Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un après-midi très chaud, au bord de la piscine...
Comme certains l’ont déjà lu sur ce site, j’aime beaucoup l’exhib, et les relations multiples. Eh bien, la semaine dernière, j’ai été gâtée, une nouvelle fois.…Si ca vous intéresse, je vous raconte comment.
J’ai depuis peu une piscine, et il n’y a pas de voisins, juste un petit chemin où passent moins de 3 personnes par semaine. Donc, ce dernier week-end, j’étais en train de me baigner, toute seule dans la piscine, nue, bien sur. Je ne vois pas l’intérêt de me baigner dans ma propre piscine avec un maillot... Je n’attendais personne, mais j’étais en train de fantasmer sur ce qu’il pourrait se passer ici-même. Le bassin n’était pas assez rempli, il y avait donc le tuyau d’arrosage qui crachait son eau. En le voyant, avec un jet puissant, ça m’a donné une idée.
J’ai pris deux « frites », une calée sous les bras, l’autre au creux des genoux, et je me suis laissée bercer par l’eau, non sans voir saisi le tuyau. Celui-ci, bien dirigé vers mon vagin entrouvert, commençait à vraiment m’exciter. Je me caressais avec le jet, et les doigts de l’autre main, les yeux fermés. Je le passais partout, les lèvres bien écartées, le soleil me chauffait aussi doucement, c’était très bon, le plaisir commençait à venir, quand j’ai entendu : « hummmm, joli. »
J’ai sursauté, et ouvert les yeux : quelqu’un se tenait sur le bord du bassin ! En fait, un vague copain, réparateur de pc à ses heures. Je lui avais demandé de passer depuis plus d’un mois. Sans succès. Il a fallu qu’il arrive juste à ce moment-là ! J’ai manqué de couler sous l’effet de la surprise. Je lui ai demandé en bégayant : « Mais qu’est-ce que tu fais là ? »
Il m’a répondu du tac au tac : « continuer à te regarder faire ce que tu faisais… Et participer. »
Vu son regard et l’envie qui continuait à me brûler le ventre, je n’ai pu que dire oui.
J’ai repris ma position, sous ses yeux. Il me regardait fixement, ou plutôt, ma chatte béante, en commençant à se caresser par-dessus son pantalon. Je l’ai bien sur encouragé à se déshabiller, et à me rejoindre. Il est descendu dans l’eau, la bite bien dressée et décalottée.
Il s’est approché, se mettant face à moi, toujours comme hypnotisé par mes propres caresses. Il a commencé à ouvrir lui-même ma chatte en plus grand, pour que le jet d’eau aille bien au fond. De l’autre main, il continuait à se branler.
J’ai joui une première foi, j’adore tellement l’exhib, comme ça, aussi proche. Ca m’excite énormément. J’adore qu’un homme regarde mon con, à quelques centimètres de ses yeux, me détaillant sans la moindre gêne…
Il a reposé le tuyau plus loin, mis mes jambes autour de son cou, en appui sur ses épaules, et commencé à me lécher la chatte goulument. Je ne peux résister à ça ! Il passait sa langue bien partout, me fouillait au plus profond, titillait mon clito avec ses dents et le bout de sa langue raide. C’était divin, le paradis sur terre. Flotter dans l’eau, le soleil qui chauffe, et cette langue habile…
Le pied, que je n’ai pas tardé à prendre une deuxième fois, fort bruyamment…
Après cela, il est allé s’assoir sur le bord de la piscine, juste à l’endroit où ma tête dépasse du bord. Sa queue était toujours dressée, insolente, comme le pic d’un cadran solaire. Je l’ai embouchée avec passion, elle me faisait trop envie. Humide, brillante, tiède... Un vrai régal, je l’ai sucée dans tous les sens, aspirée, léchée, mordue, branlée… Elle vibrait sous ma langue, palpitait de plaisir…
Soudain, j’ai remarqué que François levait souvent la tête pour regarder au-dessus de la mienne. Je me suis retournée, et surprise, deux types nous regardaient entre les herbes qui poussent le long du grillage. Ils étaient plutôt pas mal, j’ai décidé de continuer, j’aime trop qu’on me voit faire l’amour…
J’ai repris mes coups de langue sur la belle queue de mon amant du jour. Il m’a alors proposé de leur améliorer le spectacle, nous avons donc repris la position dans l’eau, pour que nos deux voyeurs puissent se rincer l’œil sur ma chatte. François a repris ses coups de langue, mais il m’écartait surtout très bien les lèvres, pour leur offrir une belle vue impudique. Je me caressais en même temps, me malaxais le clito, pour qu’ils en profitent au maximum. Ils ont vite posé leurs sacs à dos, et ont commencé à se branler, tout contre le grillage.
J’ai eu pitié deux, et leur ai fait signe de passer dans le jardin. Mais je leur ai précisé avant qu’ils ne me prendraient pas. Ils pourraient se branler, me caresser, me lécher, s’ils le voulaient, mais pas de pénétration. Ils ont été ok. Le temps qu’ils arrivent, nous sommes sortis de l’eau, pour nous mettre sur le bain de soleil.
Quand ils sont arrivés, j’étais sur le dos, François toujours entre mes cuisses (il m’a entre-temps avoué que lécher une femme -et parfois des hommes- était sa passion). Il était donc assis à califourchon sur le siège, mes jambes bien écartées, en train de me fouiller une fois de plus très profondément. Nos voyeurs ont baissé leur pantalon, et ont commencé à se branler. J’adore aussi voir les hommes se branler, voir leurs mains coulisser sur leurs queues raides. L’un deux a demandé à François sa place, et à commencer à m’astiquer copieusement mon minou toujours aussi avide. Sa langue était impatiente, curieuse, gourmande… Il était très doué, le petit jeune ! Mon amant est venu à coté de ma tête, et j’ai commencé à le sucer. Je ne pouvais pas rester juste à coté d’une belle tige comme ça sans avoir envie de l’aspirer bien profond !
L’autre voyeur s’est approché timidement, et a tendu la main vers mes seins, je l’ai bien sur encouragé. Il m’a caressée, et je n’ai pu empêcher de saisir sa bite brillante d’envie. Il m’a sucé les seins, les a malaxé bien fort comme j’aime. Puis il a échangé sa place avec son copain, c’était génial, j’ai joui à nouveau, avec des deux langues sur moi et cette belle bite dans la bouche.
Mais je mourrais d’envie d’être prise, et bien prise. François est venu se mettre devant moi, toujours sur le dos, les jambes levées.
Avec toute ma mouille d’excitation, et les salives de mes hommes, il est entré d’un coup, fort et bien dur. J’avais un voyeur de chaque coté, l’un me branlait le clito, l’autre les seins. Mon amant avait juste à hauteur de bouche la bite de l’un deux. Il n’a pas résisté à l’envie de le sucer. Le gars a eu un mouvement de recul, mais je lui ai dit de se laisser faire, que ça n’irait pas plus loin. Visiblement, l’excitation l’emporta sur ses réticences. Il a finalement accepté, et j’avais là un moment de rêve : un homme qui ma baisait comme j’aime, fort et puissant, un autre qui me caressait, et l’un suçant l’autre avidement…
Le plaisir à l’état pur. J’ai joui au moins deux fois, j’étais comme vidée, mais j’avais encore envie de sexe ! C’était un vrai délire.
Le mec qui était sucé a fini par jouir dans la bouche de François, je voyais le sperme couler de ses lèvres.…Lui aussi a joui, sur ma chatte, et, quelques secondes après, c’est le second voyeur qui crachait son jus sur mes seins. Pour « punir » François » de m’avoir fait subir tout ça, je l’ai contraint à me nettoyer partout, à lécher tout le sperme sur moi, qu’il n’en reste plus une goutte. Ca aussi, j’adore… Et lui aussi, apparemment : il ne laissa pas une goute de sperme sur mon corps…
Nous avons un peu repris nos esprits, bu un peu de jus, de fruit, celui-là, discuté, et fini par conclure qu’une petite dernière ne serait pas de trop. J’ai encore joué les maitresses de cérémonies, en distribuant son rôle à chacun. J’ai étalé un drap dans l’herbe, François est venu d’abord me sucer, me lécher seul, les deux autres juste à côté, toujours la bite à la main, juste sous mes yeux. Ils se branlaient énergiquement, puis dans un regard, chacun a branlé l’autre… Vu leurs queues raides, ils appréciaient !!!
Visiblement, ils n’en n’avaient pas eu assez, eux non plus. Ensuite, X. s’est attaqué à mes seins, pendant que Y. s’arrangeait avec François pour me lécher à deux. Deux langues en même temps, c’est indescriptible…
L’un me titillait aussi mon petit trou, sa langue y coulissait doucement. Je ne sais plus qui faisait quoi, j’avais des doigts, des langues dans ma chatte, dans mon petit trou qui frémissait d’envie, pour la première fois depuis longtemps…
En même temps que le drap, j’avais été chercher mon gode, j’ai décidé de l’utiliser. Je me suis mise en levrette, X. s’est allongé dessous, pour pouvoir me lécher en même temps que je me ferai prendre. Y. s’est aussi approché pour bien profiter du spectacle, et recommencer à se faire sucer la bite, car finalement, il avait bien apprécié ! Mon amant s’est introduit encore d’un coup dans ma chatte bien ouverte, la croupe bien redressée. Il m’a doucement caressé l’anus, craché sa salive, pour continuer de l’ouvrir, et a fini par y glisser le petit gode vibrant, guère plus gros qu’un doigt. Je vibrais sous les coups de boutoir de mon mec, et du gode. La jouissance est arrivée par surprise, a explosé en moi, j’ai hurlé, tant et plus, c’était si intense, si puissant…
J’ai rarement joui aussi fort que ça !!!
On a continué a se caresser gentiment, les deux voyeurs ont joui sous la langue de François, le deuxième s’étant laissé convaincre.
Pendant encore une heure, on a « joué », presque sagement, des caresses, des petits coups de langues, des baisers profonds… Je m’endormais presque sous leurs douces caresses.
Les deux voyeurs sont finalement partis, comme à regret.
François, mon amant inattendu du jour, a fini par me dire qu’il était lui-même surpris, car je ne l’avais auparavant pas particulièrement attiré. Il aime les femmes minces, et je suis plutôt l’inverse ! Mais de me surprendre en train de me caresser l’avait excité, et il avait décidé de me faire savoir sa présence.
Je ne le regrette pas !!!
J’espère recommencer bientôt, faire une exhib comme ça, dans une piscine, mais dans un endroit où les gens seraient « prévus », la Guyane est trop petite pour faire ca n’importe où……
Un dernier aveu : en me relisant pour vérifier les fautes, je n’ai pu m’empêcher de me caresser et de me faire jouir !
Petite partouze entre amis
Les années passant, je commence à assumer ce qui, auparavant, me paraissait impossible. Je suis devenue une petite salope, j'aime la baise. Je vais lire des histoires pornos sur le net, et maintenant j'en écris.
En plus, ça m'excite énormément de savoir que vous, les hommes, et les femmes, que je ne connais pas, se masturbent en lisant le récit de mes débauches sexuelles.
J'ai souvent envie de deux hommes, c’est trop bon !!!
L’autre soir, je me suis retrouvée entre vous, Tom et Peter, mes vieux copains avec qui je n’aurais jamais imaginé que... Mais ce soir-là, en pleine foret, la chaleur aidant, nous nous sommes retrouvés nus, à parler de sexe. Vous avez fait un pari : je devais déterminer lequel faisait le mieux l’amour…
Le résultat ne s’est pas fait attendre, et je me suis retrouvée là, devant vous deux, voulant me séduire à qui mieux-mieux, balançant vos queues sous mon nez et ma bouche.
Je ne pouvais pas choisir, alors, une queue dans chaque main, j'ai branlé vos sexes raides, longs et durs, qui sont un appel à la baise.
Puis, je vous ai sucé, à tour de rôle, aussi longtemps l'un que l'autre (je ne veux pas de jaloux), tournant ma langue sur vos glands sombres et vibrants, suçant la pointe et descendant pour gober les couilles. Et quand vous avez commencé à gémir de plaisir Tom m'a couchée et a écarté les cuisses. Là, vous m'avez léchée chacun votre tour. Bande de salauds que vous êtes bons... SI j’avais su cela avant… ;-)
C'était trop bandant. La règle était de savoir lequel des deux m'excitait le plus et lequel des deux faisait mieux l'amour.
A ce jeu-là vous vous êtes donnés du mal. Me mangeant chacun les seins, aspirant les pointes, les tirants, laissant aller vos mains sur mon corps, librement.
Mettant vos doigts dans ma chatte détrempée, je mouillais tellement que je me croyais dans le fleuve avec le clapotis sur la berge.
Puis, vos doigts dans mon cul, qui rentraient et sortaient, en tournant, vous m’avez bien dilatée. Je savais que je serais enfilée des deux cotés.
Je jouissais par saccades, sans répit… Mais il n’y avait pas de gagnants. Il m’ne fallait plus !
Entre les « ma petite cochonne et ma petite salope », je ne savais plus à qui répondre, alors je vous ai attrapé tout les deux par le cou et vous ai dis : « baisez moi, sautez moi, défoncez moi, j'ai envie de vous deux en même temps, dans la chatte, dans le cul, dans la bouche, où vous voulez, mais sautez moi ! J'ai trop envie. »
Je veux de la queue, de la baise, du foutre, plein partout !!!
Alors, Peter s'est allongé sur le dos me mettant sur lui, de face et me plantant sa grosse queue, raide, dans le ventre.
Les mains en avant, il agaçait mes seins, en tirant bien sur les pointes, et en me forçant à me courber vers lui. L'autre derrière moi, me voyant bien penchée, me remit un doigt, puis deux dans le cul pour recommencer à m'élargir le passage.
Je me sentais bien, je me sentais salope, je me sentais baiseuse en voyant dans ma tête le spectacle que nous devions donner.
J’étais couchée sur Peter, le cul en l'air, sentant sa grosse bite me ramoner la chatte, et les doigts de Tom venir s'enfoncer, toucher le sexe de Peter dans mon vagin de petite pute.
Prenant du jus venant de ma chatte, Tom me lubrifie encore plus l'anus et, avant que j'aie réalisé, je sens son gland dur et chaud s'appuyer sur ma rosette, et commencer à s'enfoncer doucement. Je me retrouvais entre vous deux avec l'impossibilité de partir, possédée par deux queutasses en folie et en fusion. La verge dans mon cul rentrait d'une seule poussée lente et inexorable, s'enfonçant progressivement, me remplissant d'un plaisir salace et lubrique.
Ca y est. J’étais prise par deux salauds qui avaient promis de me faire jouir comme une malade. Je sentais dans mon ventre les deux bites se synchroniser, l'une rentrant pendant que l'autre sortait. J’avais l'impression d'être coupée en deux et cette partie de mon corps vivait comme indépendante de moi. Les grosses couilles de Tom venaient battre sur mes cuisses dans un bruit sec et orgasmique.
De l'orgasme, du stupre, de la jouissance c'est ce que je sentais.
J'avais des mains qui me pétrissaient les seins en les faisant grossir, pendant que d'autres mains me tenaient fermement la croupe pour bien me faire m'emmancher.
Laissant toujours promener vos mains partout, je les sens dans la bouche, dans mon dos, sur mes seins, entre ma chatte et mon cul, titillant un clito en pleine excitation.
Puis, tout change, je suis toujours entre vous deux, mais les queues changent de place, mon cul et ma chatte font la différence, mais ça reste toujours extrêmement bon, agréable et salaud.
Dans une lointaine présence j'entends : « Ah., t'aime ça, te faire défoncer ma petite cochonne! Alors, hein, tu ne voulais pas te faire prendre par deux mecs ma petite salope, avoue que maintenant tu aimes ça ! Hein que tu aimes ça ? Ca te faisait drôle au début, mais maintenant tu sens que c'est le pied. Deux queues dans ton ventre. Pour que tu jouisses. Deux salauds, plantés dans toi, qui te liment comme des malades, finalement tu ne regrettes rien, hein ? »
Je suis dans une demi-consciente, et j’articule péniblement : « j'aime ça, videz-vous sur moi, je veux votre sperme sur les seins et sur le ventre. Vous êtes deux salauds exceptionnels. Je me sens comme une pute qui se livre à la débauche la plus salope. Je suis avide de queues, de foutre, de baise, de membres.»
Alors, toujours synchronisés, vous accélérez vos pénétrations, me faisant décoller dans l’extase. Quel spectacle dois-je donner ?
Emmanchée entre deux bites qui me pilonnent en me faisant hurler de plaisir, je jouis la bouche ouverte, les tempes mouillées par la sueur…
J'hurle brutalement, tant la décharge est forte. Elle part de mon ventre bourré à bloc par vos membres.
Vous vous retirez de moi, et vous vous mettez à vous branler, moi au milieu et vous de chaque côté. Puis dans des râles de plus en plus forts et puissants je me retrouve noyée dans un flot de foutre. J’astique mon clito en feu, et je jouis encore, je crie, je bouge en tous sens.
Je sens une langue dans la bouche et l'autre entre mes jambes et je tombe dans une transe déchaînée où, à la fin, je n’arrive plus à respirer. Je vous supplie d’arrêter… « Arrêtez-vous, je n'en peux plus… »
Mais sans pitié, vous continuez à me sucer les seins et la chatte, à me branler à tour de rôle, à me rentrer vos sexes dans la bouche pour que je vous suce complètement, pour que je redonne de la vigueur à vos grosses bites,
Paradoxalement, je sens que j'en veux encore. C’est trop bon de s'être fait baiser comme ça, d'avoir pris deux queues par tous les cotés, avec cette sensation, salace, d'avoir servie à faire copieusement jouir deux baiseurs de première, qui sont encore en train de se préparer à me bourrer de nouveau.
Alors, vous vous allongez à côté de moi, trempés de sueur, prêts à l’action, une nouvelle fois. Mes mains partent à la rencontre de vos bites qui se mettent à gonfler et à vibrer en suintant doucement du bout.
Je me tourne vers Tom, et passe sa queue entre mes seins dont les pointes sont toujours grosses et dures. Derrière, Peter, sans me prévenir, me saisit aux hanches et d'un coup brutal me défonce le cul.
« Ah, enfant de salaud, n'arrête pas, continue, ah que j'aime ça maintenant, me faire prendre comme une chienne en chaleur par ta grosse queue. » Je crie mon plaisir en crachant ces mots orduriers.
Comme j'ai la bouche ouverte pour laisser crier ma jouissance, Tom en profite pour y enfoncer son membre épais.
De nouveau les coups de queues me mettent le cul en chaleur, et cette fois j'ai envie de sentir du foutre venir gicler en moi. Alors, je donne des violents coups de hanches d'avant en arrière, pour bien me faire limer, défoncer, mettre, baiser.
Dans un râle animal je sens partir, depuis la bite de Peter qui s'est encore raidie, de puissantes giclées de sperme qui me remplissent le ventre. Cette décharge me fait encore partir en vrille et je me remets à hurler que c'est bon, que je suis salope…
Sortant de ma bouche, Tom que je suçais, me fait retourner en poussant Peter, qui me sodomisait en poussant un grand râle. Il me défonce à son tour, en s'enfonçant comme un pieu à la place de l'autre, Je jouis tant et plus, je me sens baiseuse et pute. C'est moi qui fais ça ? Je baise comme une vraie salope, je prends du chibre de tous les cotés, je suce deux mecs bien montés qui me rendent folle de sexe !!!
Je ne me reconnais pas… Moi, la sage bourgeoise, si bien élevée dans l’ignorance totale du sexe…
D'un coup, je sens une chaleur liquide m'envahir le ventre, en même temps qu'une grosse giclée de foutre arrive sur mon visage. J'en ai plein les yeux et les cheveux et le reste part de nouveau sur ma poitrine gonflée.
Jamais je ne pourrais dire qui est le meilleur baiseur des deux !
Nous nous abattons tous les trois, épuisés, sur le sol dur du carbet. La nuit amazonienne a tout entendu de nos folies sexuelles, de nos dérives lubriques. Mais elle n’en dira rien. Le secret sera bien gardé.
Enfin, jusqu’à ce jour, où je vous raconte tout…
Chris baise sa belle-mère et sa femme en même temps !
Puisque vous me le demandez si gentiment, je vous livre la suite des mes aventures avec ma belle-mère Janine, et ma femme Sandy. Ce que vous allez lire vous confirmera que j’ai affaire à deux belles salopes !
Ma belle –mère partait en cure de repos, pendant trois semaines. C’est moi qui l’ai conduite là-bas. Ma femme ne nous a pas accompagnés, car elle devait travailler.
Pendant toute la durée du voyage, nous avons parlé de tout et de rien. Peu avant l’arrivée, je lui dis : « Pendant trois semaines, tu ne vas pas avoir de sexe. Comment tu vas faire ???
- Je ne sais pas, mais quand je rentrerai, tu pourras me sauter à nouveau, on se rattrapera !
- Compte sur moi, je ne te louperai pas, tu baises trop bien, pour une vieille ! »
Je la sentais déjà toute excitée, rien que de parler de ça. Il nous restait moins de dix kilomètres à faire, et elle m’a demandé de m’arrêter.
« Pourquoi tu veux que je m’arrête ?
- Trouve un petit chemin, je veux voir ta queue avant d’arriver, une dernière fois.
-S i ca peut te faire plaisir, mais c’est toi qui la sors de mon pantalon ! »
Je trouvais un chemin creux où m’arrêter. A peine le moteur coupé, elle sort ma queue de mon jean. Bien sur, elle commence à la caresser. En quelques secondes, je bandais comme un taureau, comme à chaque fois qu’elle me touche. Elle me regarde avec les yeux plein d’envie, et me supplie de la laisser me sucer. Comment refuser ???
Elle se penche en avant, et embouche ma pine d’un trait. Une vraie gloutonne. Sa bouche est toujours aussi bonne. Elle pompe, suce, aspire, lèche comme une reine. Mais du monde peut arriver. Je lui dis d’arrêter, qu’on va continuer plus tard. Elle regrette, car je suis au bord de jouir… Mais je tiens bon, je veux profiter de cette pipe d’enfer à fond. Elle passe ses doigts sur mon gland, ramasse le liquide qui coule et le passe sur ses lèvres. Elle semble adorer ça…
Alors, je reprends la route, et nous arrivons à l’hôtel de la cure.
A l’accueil, l’hôtesse avait l’air étonnée de voir arriver deux personnes. Je lui confirme que c’est bien une chambre pour une personne, et elle nous donne la 105.
Nous montons, et j’aide Janine à ranger ses affaires dans l’armoire. Comme j’ai envie de pisser, je avis aux toilettes, et là, je m’assieds sur le siège des wc. J’étais à peine assis que la porte s’ouvre et que ma belle-mère est là, me souriant. J’ai fini d’uriner, et j’ai secoué ma queue. Je me suis levé pour aller au lavabo la rincer un peu. Elle est venue derrière moi, et m’attrape les couilles entre les cuisses. Je n’ai pas le temps d’ouvrir le robinet, qu’elle me fait pivoter et s’agenouille devant moi : « Viens Chris, elles sont pleines, je vais te les vider comme il faut ! »
A peine dans sa bouche, mon chibre a pris du volume, jusqu’à l’étouffer.
« Oh Chris, j’aime trop ta queue, elle va me manquer ! J’aime la bouffer, allez vide-toi dans ma bouche, lâche ta crème, j’ai faim de toi ! Jouis dans ma bouche de salope ! »
Je saisis sa tête pour accélérer le mouvement. Je baisais sa bouche comme un vagin, sans ménagement. J’éjectais ma purée d’un coup, qu’elle avala sans sourciller.
« Putain, t’es bonne toi, tu suces trop bien !
-Je te suce bien parce que j’aime ta pine, et j’aime ton jus ! »
Nous avons décidé de visiter la ville, avant de partir, je lui dis : « Janine, je ne vais pas partir comme ça, je vais te laisser un souvenir de moi… Viens dans la chambre. »
Nous sommes remontés, et une fois arrivés, j’ai ôté mon pantalon, retiré mon slip. Je l’ai frotté vigoureusement sur ma bite. « Ma vieille salope, je te laisse mon slip, comme ça, tu auras un souvenir de moi pour ces trois semaines d’abstinence ! »
Bien sur, même si ce n’était pas le but, j’ai bandé à nouveau !
Elle l’a vu, et m’a dit qu’elle avait envie de moi. Je ne voulais pas, car il fallait que je fasse la route du retour. Mais la garce sait y faire ! Elle m’a aidé à remonter mon pantalon, et comme ça, elle avait ma queue à hauteur se son visage. Sans me laisser le temps de réagir, elle l’a attrapée entre ses lèvres, et a recommencé à me sucer comme une diablesse. C’était trop bon. Je lui ai dis de se coucher sur le lit, j’ai relevé sa robe, j’ai arraché sa culotte brutalement. D’un autre coup sec, j’ai écarté ses belles cuisses rondes. Sa chatte était bien touffue, ce jour-là. Je me suis rapproché de son mont de Vénus bien poilu, il dégageait une forte odeur de femme. Je ne peux pas résister à cette odeur-là. J’ai plongé mes doigts dans sa fente, pour mieux la sentir. Fou de désir, j’ai plongé ma langue au plus profond de cette forêt pas du tout vierge. Je la fourrais partout, n’oubliant aucun recoin, aucun repli. Je lapais sa cyprine comme un chat boit le lait. C’était trop bon. Elle gémissait, elle grognait sous mes caresses. Elle a joui une première fois, me lâchant un flot de mouille sur le visage. Ma queue me faisait mal, tellement je bandais. Je n’y tenais plus, il fallait que je la baise à fond : « Tourne-toi, que je te prenne comme une chienne !
-Oh oui , Chris, défonce-moi bien ! »
Elle s’est tournée, m’offrant sa croupe relevée. Son abricot ressortait, gonflé, indécent : un vrai appel au crime ! D’un coup violent, je lui enfonce ma bite au fond de son ventre. Elle crie sous la poussée brusque. Il faut dire qu’avec elle, au contraire de ma femme, je suis brutal, presque bestial. C’est elle et son comportement de chienne en chaleur qui me fait cet effet-là.
Je lui ai dit de se taire, pour ne pas ameuter tout l’hôtel. Pour toute réponse, elle m’ordonna : « Tais-toi, toi ! Baise-moi, je veux que tu me déchirés la chatte ! »
Je ne me suis pas fait prier, et l’ai besognée comme un malade. Elle criait à chaque coup de boutoir, je sentais sa mouille gicler contre ma bite. J’avais envie de jouir dans sa bouche, mais cette idée m’a excité encore plus. Du coup, j’ai balancé toute la purée au fond de son con, en jets puissants. Je suis ressorti du fourreau brulant, et suis tombé sur le coté.
Elle se coucha près de moi, et me dit : « Tu m’as baisée comme jamais, Chris. Tu as été violent, une vraie bête sauvage. Ma chatte est en feu.
- Excuse-moi, Janine, mais ca faisait six semaines que je ne t’avais pas sautée. Tu m’as trop excité.
- Je sais, mais c’est toi qui me donne ces envies, quand je pense à ta belle queue… »
Je me suis endormi quelques minutes, puis je suis parti, non sans lui laisser mon slip, pour qu’elle puisse se branler avec mon odeur.
En chemin, je me demandais comment expliquer mon retard à Sandy. Mais je savais aussi qu’elle connait bien sa mère, et s’est surement doutée qu’elle a voulu goûter de ma bite.
Quand je suis rentré, j’ai dit toute la vérité à ma femme.
« Ca ne m’étonne pas, une vraie pompe à bites, ma mère… Mais que tu me racontes cette histoire m’a excitée... J’ai envie de toi, mon chéri ! »
Joignant le geste à la parole, elle a posé sa main sur mon pantalon, me provoquant illico une nouvelle érection. Elle a sorti ma bite et a tout de suite senti son odeur. En effet, j’étais parti de l’hôtel sans me laver.
« Oh la la, mon chéri, ta queue sent fort la chatte de maman. Elle a du bien en profiter ! Tu as du bien la sauter, comme la salope qu’elle est !!! »
Elle a continué de me masturber, tant et si bien que j’ai joui dans sa main. Ma femme est une déesse ! Elle a étalé tout le sperme sur mon corps, en douces caresses. Puis nous sommes allés nous coucher, passer une bonne nuit.
Le lendemain, j’ai proposé à Sandy d’aller voir sa mère en cure, deux semaines plus tard. Elle acquiesça, se doutant de ce qui arriverait là-bas…
Deux semaines plus tard, nous avons pris la route par une belle journée. Nous avons retrouvé Janine, et sommes allés en balade, puis diner au restau le soir. Vers la fin du repas, ma petite cuillère est tombée. Je me suis penché pour la ramasser. J’eu les jambes de Janine sous les yeux, e ne pus m’empêcher de les caresser. La salope, elle a écarté les cuisses : elle n’avait pas de culotte ! Je me redressais, et la regardais droit dans les yeux. Sandy me demanda ce qu’il se passait : « Eh bien ma chérie, ta chère mère ne porte pas de culotte !
- Maman, tu dois être sérieuse, tu ne peux pas sortir comme ça ! Elle avait l’air scandalisé.
- Oh, il faisait tellement chaud à midi, que je n’ai pas pensé à la remettre ! »
Le repas fini, nous disons à la vieille que nous rentrons à la maison. La vieille a protesté, et nous a demandé de rester un peu. Nous sommes donc montés dans sa chambre.
Sandy s’est assise sur la chaise de bureau, Janine sur le lit, et moi, j’en profitais pour aller aux toilettes. Quand je suis sorti, ma femme m’a laissé sa chaise, pour aller aussi dans la salle de bains. En face de moi, ma belle-mère a écarté ses cuisses, comme si de rien n’était. Je voyais très bien sa chatte poilue. Quand Sandy est sortie de la salle d’eau, elle a bien vu que je matais sa mère. Bien évidemment, en voyant cette belle chatte, je me suis mis à bander. Mais la vieille s’est levée, pour aller aussi aux toilettes.
Sandy me dit : « dis donc, voir ça t’excite !!! Tu bandes ! Ta queue est grosse comme tout !
- Ben oui, c’est ta mère ! Quand elle exhibe sa grosse chatte, ca me fait bander !
- Oui, je sais ça. »
Mon sexe était tellement gros que j’étouffais dans mon jean. Elle s’est assise sur le lit en face de moi, a écarté ses jambes. Elle aussi n’avait plus de culotte. Elle l’avait enlevée aux toilettes. Elle me sourit : « Enlève ton pantalon, et sors ta queue. Je veux la voir. »
Je me précipitais pour obéir, quand la belle-mère ouvrit la porte. Elle a ri en me voyant la bite à la main, et a passé vicieusement sa langue sur ses lèvres. Elle s’est assise près de sa fille. Je n’en revenais pas : la mère et la fille, assises là, devant moi, jambes écartées et sans culotte…
Sandy s’est relevée, et a ôté sa jupe : « Allez, viens mon chéri, sors ta queue pour de bon, je n’en peux plus ! »
J’ai sorti ma tige, et j’ai commencé à m’astiquer le nœud, sous les encouragements de Janine. Puis ma femme a demandé à sa mère de se déshabiller aussi. Quand elle fut nue, Sandy écarta ses cuisses, et lui dit : « Oh la la, Maman, ton minou sent la mouille !
-Oh oui, ma fille ! Quand je vois la belle queue de ton mari, je mouille comme une salope ! »
Sandy s’est mise à genoux sur le lit, en me tournant le dos. Je voyais bien son cul, son abricot rouge d’excitation. Elle écarta encore plus les cuisses de sa mère. Cette dernière mouillait comme une folle, son jus coulait sur ses jambes.
Je n’en pouvais plus, de voir ces deux chattes côte à côte, ouvertes, offertes à moi tout seul ! Je voulais baiser la vieille, qui a tout de suite accepté !
Je me suis approché, et j’ai senti sa bonne odeur de femelle en rut. Janine a ouvert en grand ses lèvres intimes avec ses doigts. Je voyais de très près le trou béant de son con ouert.
Je regardais vers Sandy qui, d’un hochement de tète, m’autorisa à bouffer la chatte de sa mère. Je plongeais une fois de plus dans cette motte odorante. Je voulais récupérer un max de cette si bonne mouille de femme mure. Elle n’arrêtait pas de gémir, de pousser de petits cris. Elle me disait : « vas-y, lèche-moi bien, passe partout, n’oublie pas ma rosette ! »
En même temps, Sandy me branlait à fond. Quel bonheur de sucer la mère, et de se faire astiquer la bite par la fille ! De son autre main, ma femme se doigtait la chatte bien profond. Nous étions de beaux vicieux, à se baiser comme ça sur le lit ! Elle aussi gémissait de plaisir. Alors, je délaissais le con de Janine, pour le vagin tout chaud de ma femme chérie.
Ma belle-mère reprit ma bite, et me masturba de plus belle. Sandy se tortillait sous ma langue, et elle jouit en criant très fort. Je reçus sa mouille au fond de ma gorge. Son clito était énorme. Mais elle en voulait encore. Alors, j’ai enfoncé trois doigts dans on con trempé.
Le va et vient de Janine sur ma bite était ultrarapide. J’étais au bord de jouir. Sandy lui a dit de ralentir, si elle voulait ma crème !
Elle a ralenti le mouvement, puis Sandy s’est penchée en avant pour me sucer. Alors, la vieille a fait de même. J’avais leurs deux bouches sur ma hampe bouillante. C’était mieux que dans mes fantasmes les plus hard…
Je ne résistais pas longtemps à ce traitement, et je jouis à gros jets de foutre. C’est Janine qui en a pris le plus, comme d’habitude. Celle-là, elle boirait des litres de ma crème ! Elle aspirait mon gland, massait mes couilles, pour faire sortir tout mon jus. Il en sortit encore, qu’elle avala goulûment. Je criais aussi, tant mon plaisir était intense.
La belle-mère soupirait, gémissait et se léchait les lèvres. Sandy n’en revenait pas : « Hé, maman, tu manges son sperme en entier ! Tu l’aimes tant que ça ???
- Oh oui, il est trop bon, je l’adore ! Et en plus, il m’en donne beaucoup à chaque fois ! »
J’avais débandé, mais une dernière goutte de crème restait accrochée. Sandy s’est penchée, et a dit : « Celle-là, c’est pour moi ! Je suis ta femme, quand même !!! »
Mais en fait, elle fit la grimace. Ce n’était pas top son truc. Janine a passé son doigt sur les lèvres de sa fille. Elle les a ensuite mis dans sa bouche… Décidément, rien ne la rassasiait, celle-là !!!
Il est vrai que je ne l’avais pas bourrée comme d’habitude. Ca me manquait, d’ailleurs. Mais bon, il fallait rentrer …
Bien sur, nous avons souvent recommencé nos petites parties à trois…
Ps : si vous avez aimé ce récit, j'ai consacré une catégorie complète à Chris et sa chère belle-mère !
La suite des aventures de Melody : explosions anales avec un italien
Ce texte étant très long, il fait l’objet d’une page complète. Ceci est donc une version « raccourcie ». Vous trouverez la version intégrale dans l'autre blog "http://sophie973.erog.fr", en cliquant dans la rubrique page, dans la colonne de gauche, sous le même titre.
Elle a une photo et elle le reconnaît aussitôt. Il s'appelle Luciano, il a 18 ans et elle ne l'imaginait pas aussi grand eu aussi beau. Elle l'accoste, troublée malgré elle. Ils s'embrassent un peu gênés. Sur le trajet de retour, elle lui explique que toute la famille doit rentrer le lendemain, elle s'en excuse et elle est encore plus troublée lorsqu'il lui dit :
« Ce n'est pas grave ! Ce sera un grand plaisir de rester avec une femme aussi belle que vous ! »
Melody rougit de plaisir.
« Oh Luciano ! N'exagère pas ! Je peux te tutoyer ? »
Luciano sourit.
« Bien sûr, madame ! Et je vous le répète, je vous trouve absolument superbe ! »
Il ajoute, en regardant ses jambes que la robe dévoile à moitié.
-« Vous avez de belles jambes ! Elles ont l'air d’être très douces… »
Melody tremble malgré elle, à ces compliments pourtant osés, venant d’un jeune inconnu de 18 ans !
« Appelle-moi Melody ! J'aimerais aussi que tu me tutoies. Tu ne te moques pas de moi ? Je ne suis plus si jeune. »
Et avec un accent italien qu'elle trouve adorable, il lui dit :
« Je ne dis pas que tu es belle par politesse ! Je te trouve vraiment, vraiment sublime ! J'aime ton visage, j'aime tes jambes ! J'aime. J'aime... »
Malgré elle, elle l'encourage :
« Tu aimes quoi ?
- Non Melody ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas vous choquer.
- Je t'en prie ! Dis-moi.
- Et bien. Et bien ! Ta robe laisse deviner de jolis seins et de jolies fesses bien rondes ! Tu ne fais pas mentir la réputation des françaises !
- Et quelle est cette réputation ?
- C'est très cochon.
- Je t'en prie ! Dis le moi.
- Il parait que les Françaises sont les meilleures pour la fellation et qu'elles adorent se faire sodomiser. »
Melody ne s'attendait pas à cela. Elle rit nerveusement et, regardant Luciano brièvement, elle voit une bosse énorme qui déforme la braguette du jeune homme. Heureusement, ils arrivent et n'ont plus le temps d'être gênés. Elle lui montre sa chambre, puis ils dînent ensemble. Ils parlent de choses et d'autres, et Luciano est si galant que Melody se sent de plus en plus à l'aise.
Après le repas, ils vont sur le canapé, la chaîne diffuse de la musique, Luciano évoque son pays. Entendant un slow, il demande à son hôtesse si elle veut bien danser. Elle accepte, ils dansent doucement. Un deuxième slow suit et, insensiblement, ils se rapprochent. Elle sent alors contre son ventre la queue dure du jeune homme. Elle sait qu’elle ne devrait pas, mais au lieu de s'écarter tant qu'il en est encore temps, sa tête se niche sur l'épaule de Luciano.
Le jeune italien prend cela pour une invite. Il frotte alors sa bite de plus belle et, comme cela n'a pas l'air de déplaire à la jeune femme, il glisse les mains sur ses fesses. Il constate alors qu'elle a une croupe bien remplie. Il ne se prive pas de la malaxer. Il sent contre sa poitrine les tétons durcis par l'excitation que ressent Melody. Luciano lui relève doucement la tête, il l'embrasse et, comme on se jette à l'eau, elle lui dévore subitement la bouche. Ils échangent ainsi un fougueux baiser, torride, qui dure plusieurs minutes et les laisse haletants.
Melody se sent vaguement coupable, elle a rarement trompé son mari, en 20 ans de mariage. Souvent, Greg lui dit qu’il aimerait des parties à trois, avec un autre homme ou une autre femme. Elle a accepté, parfois, comme avec le plombier, après qu’elle ait été surprise avec le peintre.
Et à cette minute, ce qu’elle ignore, c’est que Greg a, en fait, tout manigancé. Quand il avait vu des photos de son fils prises chez le jeune italien, il a avait tout de suite su qu’il plairait à sa petite femme, malgré ses réticences. Il avait pris contact avec lui avant son arrivée, et lui avait demandé d’être très entreprenant… Luciano avait hésité, mais Greg l’avait totalement rassuré, en disant que c’était un jeu pour eux, et qu’il pouvait faire avec elle tout ce qu’il voulait.
Melody s'agenouille ensuite doucement. Elle ouvre la braguette, fait descendre le pantalon et libère la queue de Luciano. Elle contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue. Elle la trouve incroyablement dure, comparée à celle de son mari. Puis, elle s'approche et ses lèvres se referment sur le gland qu'elle lèche et suce longuement. Elle l'avale lentement ensuite et, alors que ses lèvres touchent le pubis de Luciano, il s'exclame :
« Ohhh ! Les françaises ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m'avales toute la bite ! C'est si bon !!! »
(…)
Greg n’en peut plus de ce spectacle qu’elle lui a toujours refusé… Pour un peu, il ferait irruption dans la pièce. Il commence à se branler…
Melody, sans aucune hésitation, se lève, glisse ses mains sous sa robe et enlève sa culotte. Luciano déboutonne sa robe et la retire lentement. Il lui reste juste un beau soutien-gorge noir qui moule bien ses deux seins. Melody vient à côté du jeune italien, saisit sa queue d'une main et la branle doucement. Elle sent sa liqueur intime imbiber sa chatte. Elle serre fort la bite tant elle en a envie. Elle s'installe de part et d'autre d'une jambe de Luciano et, tout en l'embrassant à pleine bouche, elle frotte sa vulve sur la cuisse du jeune homme, l'engluant carrément. Elle finit par monter sur lui, elle est tellement échauffée qu'elle veut être baisée à tout prix. Elle tient la queue raide, la frotte sur sa fente. Et, brutalement, elle s'empale en poussant un cri, tant son plaisir est grand. Elle s'est emmanchée à fond et, déjà, elle l'entraîne dans une cavalcade, elle se donne à fond.
Luciano apprécie d'être chevauché par une telle cavalière. Il n'aurait jamais imaginé baiser une telle femme. Il avait été très surpris de la demande de son mari, mais il ne regrettait vraiment pas d’avoir accepté !!!
Il la laisse faire, prenant garde à ne pas jouir, ayant une autre idée en tête. Pendant qu'elle s'empale, il saisit ses fesses, les écarte, les malaxe et chatouille d'un doigt mouillé le petit trou. Il l'enfonce doucement et le fait aller et venir au même rythme que Melody lui impose. Elle gémit soudain plus fort et elle est saisie par un orgasme dévastateur, qui la laisse pantelante quelques secondes. Luciano se lève alors et, debout, il lui présente sa bite toujours raide. Melody l'avale d'un trait, jusqu'à ce que son nez bute sur le pubis du jeune mâle.
Elle le suce comme une friandise. Elle sent son regard vicieux sur elle et cela la brûle, cela la fait mouiller encore plus. Il s'agenouille derrière elle et glisse un doigt dans son petit trou. Il l'enfonce vite à fond, puis il en met un second. Melody a une petite grimace, mais elle le laisse faire et les deux doigts la pénètrent vite à fond. Luciano les retire, guide son gland dans la raie et le glisse sur son anus entrouvert. Il pousse doucement, à petits coups. Le fin anneau cède le passage peu à peu, il s'assouplit bien que Melody soit crispée par l'appréhension. Bien qu’elle ait déjà été sodomisée par ses amants, son mari ne l’encule pas. Elle refuse toujours.
Et à ce moment-là, elle imagine la tête qu'il ferait s'il voyait la queue de ce gamin lui pénétrer son anus. Elle se répète qu'elle est une salope. Mais elle se rend compte qu’elle aime ça de plus en plus !
(…)
Ils sont épuisés et Melody l'invite à dormir avec elle dans le lit conjugal.
Si elle savait…
Greg les regarde se glisser dans SON lit, LEUR lit. Il a voulu ça, mais là, elle passe les bornes. Pourtant, il se résigne, et se glisse dans la chambre de son fils sans bruit.
Au matin, Melody est réveillée par une sensation bizarre. Le jeune Italien la tient serrée contre lui et elle sent sa queue dure, insinuée dans la raie de ses fesses. Elle se souvient brusquement de tout. Comment elle l'a sucé la veille, avalant du sperme pour la première, comment ce jeune homme de 18 ans l'a baisé, puis l'a enculé pour finir… Ces souvenirs lui font chaud au ventre, mais elle évite de penser à son mari, encore si loin d’elle…
Pourtant Greg est déjà aux aguets. Il a entendu à travers la cloison, sa femme se réveiller. Il se lève, et s’approche de la porte de la chambre conjugale. Heureusement, elle n’est pas fermée. Il tire un tabouret du placard voisin, et s’assied, pour mieux mater sa femme et son jeune amant.
Il voit Melody pousser ses fesses vers le jeune homme pour que sa bite s'incruste entre ses cuisses. Il gémit, elle tourne la tête, sourit et lui dit bonjour. Pour toute réponse, il l'enlace et lui dévore la bouche en un long baiser, auquel elle répond aussitôt. Melody se retourne alors et monte sur son jeune amant. Tout en s'embrassant, il glisse une main sur sa chatte et glisse vite deux doigts dans un véritable marécage. Puis il lui tâte les fesses à pleines mains, pendant qu'elle frotte sa chatte baveuse sur la queue dure. Il lui enfonce un doigt dans l'anus jusqu'à la dernière phalange. Elle se soulève à peine, pointe le gland sur sa fente et elle s'empale d'un coup en poussant une longue plainte de plaisir. Lui ordonnant de ne pas bouger, Melody se met à s'agiter sur la queue. Elle balance son torse d’avant en arrière, faisant une sorte de danse du ventre sur ce pieu où elle est empalée bien profond. Luciano se laisse faire. Elle se soulève en faisant sortir la bite couverte de mouille et elle retombe de tout son poids en se la renfonçant toute entière. Les pubis se choquent et elle pousse des gémissements de plaisir. Elle se baisse alors, écrase ses seins sur la poitrine de l'Italien et, joue contre joue, elle fait bouger son cul à petits coups très rapides. Sa chatte aspire la queue avec avidité. Dans cette position, elle offre son cul et elle murmure :
« Mets-moi un doigt derrière ! »
Il lui fait lécher un doigt et il le lui introduit dans l'anus. Elle accélère la cadence en gémissant. Elle se met alors à lui sucer la langue, ses trois orifices emplis et elle jouit en émettant des sons rauques. Luciano a eu le plus grand mal à se retenir d'éjaculer. Ils restent ainsi quelques instants. Toujours allongé, Luciano dit à la mère de son ami :
« J'ai envie de t'enculer ! »
(…)
Elle sait que son jeune amant préfère ce trou là et elle a envie de venir au devant de ses désirs pour lui laisser un impérissable souvenir. Toujours dans la cuisine, elle enlève le peignoir, apparaît nue devant le jeune homme. Elle se sent salope et cela l'excite énormément. Elle se tourne, pose une jambe sur une chaise et s'écarte les fesses. Il a sous les yeux sa belle croupe et son anus qu'il voit palpiter. Elle glisse un doigt dans son anus en lui disant :
« Tu m'as bien ouvert le cul tout à l'heure ! Il est rempli de ton jus ! Viens me le défoncer encore, j'en ai envie. »
Elle, si timorée d'habitude, se surprend à exprimer haut et fort ses envies, de façon plutôt crue. Luciano vient se coller derrière elle en l'agrippant aux hanches. Sa bite, de nouveau bien raide, bute contre les fesses offertes. Quand il colle son gland contre l'anus de Melody, elle lui dit :
« Dis donc, tu es drôlement vicieux toi pour ton âge ! Tu aimes mon cul ? »
Le jeune Italien taquine quelques secondes le petit trou de la pointe de son pieu, en répondant :
« J'adore ton cul Melody ! Il est tout petit et pourtant il peut avaler de grosses choses ! J'adore aller dedans. »
Aussitôt, il force. Tout de suite, il sent l'orifice s'écarter sous la poussée. Le gland est entré sans aucune résistance et, d'une seule poussée, il s'enfonce jusqu'aux couilles, facilement, tant le conduit est bien graissé. Melody pousse un long cri guttural de douleur et de plaisir mêlés, elle ne sait pas. Il l'a enculée d'un coup et c'est atrocement bon. Il voit son visage grimacer, il craint de lui avoir fait trop mal et il s'immobilise, ne bouge plus, toujours bien ancré au fond de ses reins. Mais, sans attendre, Melody pousse son majestueux fondement vers la queue qui la défonce, ses fesses forçant sur le pubis de son amant. Luciano prend cela pour une invite, il ressort doucement du petit trou et Melody pousse sa croupe sur sa bite. Il se sent comme avaler par l'anus bouillant et terriblement étroit. Cela est à peine croyable comment cela a été facile de la sodomiser, il n'en revient pas. Il ne bouge toujours pas et, fasciné, il regarde la rondelle ouverte à se rompre, aller et venir sur son manche. Elle pousse de drôle de râles chaque fois que la bite s'enlise dans son rectum. Luciano n'en revient pas, un pur délice...
(…)
Greg met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme adossée contre la rambarde de l'escalier. Elle le regarde d'un air étrange, qu'il lui a seulement vu quand elle se faisait baiser comme une chienne par les ouvriers, ou par Luciano... Elle lui demande : « Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ? »
Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin : « Est-ce que tu veux voir de plus près ? »
Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe porte-jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large, froufroutante que ses amis lui ont offerte pour son anniversaire. Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eue aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins.
Melody fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers. Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à clé dès que Greg est passé devant elle. En entrant dans la chambre, Greg se souvient des ébats de sa femme le matin-même, ici, dans LEUR chambre. Il en est encore plus excité…
(…)
Melody dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre. Greg l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà. Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes, elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte doucement. Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi. Elle écarte soudain l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un second.
(…)
Il est fasciné par le dos de sa femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa croupe qu'elle offre à sa vue avec cette nouvelle impudeur qu'il adore ! Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit trou mauve. Elle en enduit l'anneau encore distendu de sa mouille intime, et, du majeur, en a caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit passage secret. Aussitôt, elle s'est enfoncée le plus loin possible dans ses reins pour y joue une sarabande infernale.
Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit. Greg a l'impression de rêver, cette femme qui s'exhibe devant lui, elle qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. Il la voit se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller. Elle joui encore et encore. Elle est devenue une vraie machine à jouir !!! Elle reste pantelante quelques longues secondes.
(…)
Greg ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu, mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est surpris, sa femme avait donc tout prémédité…
Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Melody attend. Greg met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume. Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit dans son cul doucement mais inexorablement...
Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme sur son visage. Elle gémit et grimace bientôt lorsque la carotte est enfoncée de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui enfiler tout l'engin dans les reins. Il l'encule alors de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la manœuvrer à sa guise. Melody geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les fesses à se les décrocher. Greg n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à chaque passage un peu plus. Melody apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Pour la prochaine fois, elle ira acheter avant un bon gode, bien gros, pour bien la remplir à fond !
Elle ne se caresse pas la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale soumission acceptée et cette pénétration contre nature. Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure les reins. Il se venge des années où il n’a pas pu la baiser comme il voulait, des scènes vues hier et ce matin, quand elle le trompait sans vergogne.
(…)
Greg la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches. Il ne voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend qu'elle apprécie de se faire sodomiser lorsqu'il la voit donner des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Elle le sent au plus profond de ses reins. Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le plaisir de la voir se trémousser de plus belle. Melody a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les entrailles tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir. Greg lui malaxe encore les seins. Melody halète de plus en plus fort, et s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les reins. Mais Greg la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme.
Il ne peut s retenir de l’insulter : « T’es qu’une salope, Melody, un garage à bites, qui se fait prendre par tous les trous !!! Tu t’en bien fait enculée par ce gamin... Hein, ma salope, t’as aimé ça ??? »
(...)
A suivre dans l'autre blog !
Les inconnus de la plage
Ici, nous sommes en pleine saison chaude et sèche. Il fait en moyenne 34° tous les jours. La nuit, on peine à descendre en-dessous de 30°. Alors, le soir, on va se promener, on tente de trouver un peu de fraicheur en bord de crique ou sur la plage.
Hier, pourtant, il a plu. Première pluie depuis sept mois. Dans une des zones les plus humides de la planète, la sécheresse rôde. Malgré cette averse rafraichissante, hier, je mourrais de chaud. Je décidais d’aller faire un tour à la plage, profiter de l’alizée du soir.
Je sortis, juste vêtue d’un haut à bretelles, et d’un paréo noué sur les hanches en guise de jupe.
Après quelques minutes de voiture, j’arrivais enfin à Montravel. La lune n’est pas pleine, mais on y voit assez clair. Le bruit des vagues me rafraichit déjà l’esprit et le corps.
J'allais m'allonger sur le sable, dans un coin sombre, sous les cocotiers, à l'abri des regards curieux, n'ayant que le bruit des vagues comme compagnie. Je fermais les yeux, bercée. Au bout de quelques minutes, dans un semi-état comateux, j’eus la sensation d'être observée
J'ouvris alors les yeux, et j’aperçus une ombre se dessinant dans la lumière de la lune. Un homme était là. Il fumait tranquillement une cigarette dont la rougeur m'apparaissait à un rythme régulier. J'étais subjuguée, mais bizarrement je ne ressentais aucune peur. J'étais au contraire sereine…
Comme s'il avait sentit mon accord tacite, il jeta sa cigarette au loin et se rapprocha de moi. J'eus un léger mouvement de recul, bien vite refreiné par mon envie de savoir le pourquoi de sa présence auprès de moi. Je fermais les yeux, les bras le long du corps. Je sentis alors ses lèvres chaudes, douces et légèrement parfumées de l'odeur de cigarette, se poser sur les miennes. Il était d'une délicatesse incroyable. Il força avec douceur le barrage de mes lèvres, nos langues partirent alors dans un ballet sensuel, nos salives se mêlèrent… Il entama avec sa langue un tango de fièvre, me coupant presque le souffle. On dit qu’un baiser montre la façon dont son auteur fait l’amour. Alors, je sais que je vais être gâtée…
Je ressentis une langueur me prendre au plus profond de moi, mon cœur battait la chamade. Une main vint se poser sur mon sein, et malgré l'obstacle du tissu, je ressentis comme un feu sur mon corps, je me cambrai pour renforcer ce contact, et gémissais doucement…
Tout en continuant à m'embrasser, il commença à baisser les bretelles de mon haut et soudain mes seins furent libres de leur carcan de toile. Je ne portais pas de soutien-gorge, j’étais partie trop vite de chez moi.
Sa main vint en caresser les pointes qui se tendirent sous cet assaut sensuel. Je frissonnai de plaisir contenu… Mes aréoles durcies me faisaient presque mal.
Sans un mot, il commença à tracer un chemin sur mon corps…
Avec sa langue, il lécha mon menton, descendit le long de mon cou. Je ressentais une volupté sans nom. Sa bouche vint jouer sur mes mamelons dressés, excités. Je soupirais de sensualité, d’excitation. Mes mains étaient venues se fondre dans ses cheveux, le plaquant sur mes seins, comme si je voulais qu’il ne fasse plus qu’un avec moi.
Tout en continuant à descendre sur mon ventre, il dénoua mon paréo. Ne restait alors que la barrière de mon string...
Il ôta son polo, le déposa sur le sable et m'aida à m'installer dessus. Il était d'une grande délicatesse. Je me sentais un peu égoïste de goûter au plaisir qu'il m'offrait sans retour. Il finit par ôter mon string, me retrouvant enfin nue devant lui. Mon corps plein était éclairé par la faible lueur de la lune.
Mes yeux s'étant habitués au noir, je devinais son visage, il était beau. Mais pas une beauté commune, non, je dirais une beauté dangereuse. On aurait dit un loup aux aguets, guettant sa proie, qui était déjà soumise à lui… Je devinais des yeux verts, éclatants au milieu de son visage noir. Le miracle du métissage…
Il écarta mes cuisses, approchant sa main, qu'il posa sur le haut du pubis, allant ensuite caresser l'intérieur de mes cuisses. Il jouait sur mon corps comme le ferait un artiste sur les touches d’un piano. Je désirais ses mains sur moi, sur ma chatte avide. Je sentais que ses doigts avaient déclenché au creux de mes lèvres, la naissance de ce jus qui annonçait le futur plaisir que j’allais ressentir…
J'étais très excitée. Mon souffle se faisait de plus en plus saccadé. Aucun mot ne franchissait nos lèvres. Il s'allongea sur le sable, son visage à proximité de mon abricot offert. De ses doigts, il en écarta les chairs, allant caresser mon bouton d'amour, déjà bien gonflé de désir exacerbé.
Puis vint sa bouche, qui se mit à me butiner, très sensuelle. Mon corps dansait au rythme de ses coups de langue. Il prenait un malin plaisir à contenir le mien... J'étais en transe, bouleversée par toutes ces sensations magiques. La nuit, la plage, la mer, tout décuplait mon plaisir.
Il introduisit alors un doigt au fond de ma chatte détrempée, tout en continuant ses coups de langue. Je sursautais à cette intrusion dans ma vulve en feu, savourant le plaisir que cela me procurait. Je sentais ce doigt, caresser l’intérieur de mon conin, cherchant un je ne sais quoi, au plus profond de moi….
Il commença de lents mouvements de va et vient au cœur de mon vagin affamé.
Le plaisir montait au fond de mon corps, j'étais en feu….
Il introduisit alors un deuxième, puis un troisième doigt, j'étais au bord de la jouissance. Mon corps se cambrait au rythme de ses doigts. Il ressortit alors ses doigts, puis son index humide se dirigea vers mon anus, qui surprit, se contracta à son contact… Comme si c’était le signal, je fus foudroyée par un orgasme puissant, violent,… Sans tenir aucun compte des éventuels promeneurs, je criais aux étoiles mon plaisir intense.
Sans tenir compte de ce plaisir intense, il fit tourner ce doigt délicatement autour... puis commença à l'introduire doucement, me laissant choisir le rythme de la pénétration, au gré de mes gémissements...
Un jus de plus en plus important sortait de ma chatte, montrant à mon baiseur anonyme combien cela me plaisait….
Une fois son doigt entièrement enfoncé, et lorsqu'il sentit que j'étais prête, il se mit à limer doucement... En même temps, il continua son jeu de langue sur mon clitoris. Je savais qu’une nouvelle jouissance n'était plus très loin. Mon corps se mit alors à danser, au rythme de son doigt et de sa langue… Je soupirais, me tordais sur ces doigts agiles qui me procuraient de telles sensations…
Une seconde fois, mes hurlements déchirèrent la nuit équatoriale.
Sa langue continuait pourtant à me lécher, comme s'il ne voulait pas perdre une goutte de la jouissance qu'il venait de me donner. Je me sentais bien, très bien. Je me sentais heureuse, épanouie…
Il retira le doigt de mon anus… Mais continua à me lécher doucement, amenant alors une troisième jouissance, plus « soft »…
Au bout d'une minute, je le vis se relever. Remettre un peu d'ordre sur lui. Je sentais qu'il allait partir, mais je refusais qu'il disparaisse comme ça, sans que je lui rende ce plaisir qu’il venait de me procurer sans aucune raison. Je ne comprenais pas pourquoi, il repartait comme ça, sans prendre lui–même du plaisir. Pourquoi, m’avait-il donné la jouissance et ne pas jouir à son tour ? J’étais étonnée, comme s’il avait voulu donner sans recevoir… C’était incroyable… Un tel homme pouvait-il exister ? J’avoue que j’avais envie de sentir une bâton bien dur au fond de moi… le sien, avant tout.
D'une main ferme, j'agrippai la sienne, ce qui le surprit un peu. Sans un mot, je l'obligeai à s'asseoir à son tour sur sa veste. Il était étonné, mais se laissa faire sans broncher. J’entrepris alors de lui ôter à nouveau son polo. Je vis se dessiner un lent sourire complice sur ses lèvres sensuelles. Je l’embrassais, croquant ses lèvres épaisses.
Comme j'étais plus ou moins assise sur lui, à cheval sur ses cuisses, je sentis alors l'excitation qui tendait son pantalon, au contact de mon chatte toujours humide.
Son torse chocolat était bien bâti, sans l’ombre d’un duvet.
J'allais titiller à mon tour ses mamelons noir charbon. Il gémit doucement. Puis, je continuais à descendre, allant même introduire ma langue dans son nombril, simulant un mini-coït. Je sentais son excitation être de plus en plus forte. Mais aucun mot….
Je retirais sa ceinture, dégrafais son pantalon. Je l'aidais à retirer ce dernier. Ne restait alors qu'un boxer noir, dont la bosse, ne laissait aucun doute à l'envie qui le tenaillait.
Je découvris alors un sexe d'une taille imposante, pas très long, pas plus de 18 cms, à mon avis, mais bien épais, avec un gland large et massif. Il était déjà bien gonflé et tendu, près à recevoir les délices de ma part. Je salivais à l'idée de goûter à ce chibre d’ébène. Son sourire se fit vorace, réclamant le plaisir qu'il allait subir, enfin recevoir... Pour être plus libre, je lui retirais son boxer. Nous étions nus tous les deux.
Je pris sa belle bite dans ma main droite, commençant un lent mouvement de va et vient sur sa queue. Il se contracta un peu à ce contact, mais je vis qu'il aimait ça. Taquine, je m'arrêtai quelques secondes et l'entendit râler de désespoir.
Lui tirant la langue, comme une enfant, je repris alors mes mouvements, toujours lents. Puis soudain, j’accélérai le rythme de ma main, entendant alors son souffle s’intensifier, s’accélérer à la même vitesse, je ralentis le rythme à nouveau. Je le serrais au maximum, mes doigts n’en faisait pas le tour, tant il était épais et massif. Tout ce ue j’aime…
Il me regardait droit dans les yeux malgré la nuit, je voyais une lumière se refléter à l’intérieur de sa pupille vert émeraude, marquant le feu que son corps brûlait au plus profond de lui…. J'approchais ma bouche et du bout de la langue, je lapais son gland, il gémit.
C’est à ce moment-là que j’entendis un bruit de feuilles froissées, de palmes écrasées. Du coin de l’œil, je fouillais pénombre. Mon instinct ne m’avait pas trompé. Nous n’étions pas seuls. Un homme se tenait là, à quelques mètres de nous. Mon bel inconnu ne semblait pas avoir remarqué sa présence.
L’homme vit que je l’avais démasqué. Remarquant sans doute que je ne faisais rien pour signaler sa présence, il s’approcha un peu, et sortit de l’ombre des palmiers. Il devait être là à nous mater depuis longtemps, car il s’approcha, la bite à la main. Il bandait dur, d’autant que je pouvais en juger dans la nuit. Il resté à deux ou trois mètres, dans le dos de mon dragueur. Ce dernier avait les yeux fermés, savourant mes caresses prolongées. Le voyeur se camp sur ses deux jambes écartées, et entreprit une lente masturbation. Mon excitation remonta d’un cran. J’ai toujours adoré me faire mater en train de baiser.
Sans le quitter des yeux, j'introduisis le sexe massif de mon amant du soir dans ma bouche. Il eut un mouvement de hanches, m’intimant le rythme qu'il voulait que je prenne. Ma main gauche alla s'égarer sur ses couilles, les massant avec douceur, ce qui le fit gémir encore plus. Alors je me mis à le sucer, tout en le masturbant de la main droite et en me caressant de ma main libre le clitoris, je mouillais moi aussi comme une vraie fontaine, mon désir était intense. J’ouvrais bien les cuisses, pour que le voyeur me voie en train de me caresser la chatte. J’avais envie d’une bonne queue pour me ramoner il avait beaucoup de mal à se contrôler. Je jouissais intérieurement du plaisir que je lui donnais, tout comme au voyeur. Ce dernier accélérait le mouvement et se branlait plus énergiquement. Sa main s’agitait frénétiquement su r son manche bien dressé vers le ciel.
Mon amant avait fermé les yeux, la tête légèrement renversée en arrière, il appréciait ma langue qui jouait sur son gland. Toutefois, il ne s’était toujours pas aperçu de la présence de l’intrus. Il posa sa main dans mes cheveux, me donnant ainsi le rythme de succion qu’il voulait.
Pourtant, je me dégageais de sa main, et le couchais d’un coup sec sur le sable. Il sembla surpris, mais je ne lui laissais pas le temps de protester. Je vins à califourchon sur lui, et m’empalais d’un coup sur son bâton épais. J‘étais si excitée qu’il s’enfonça comme dans du beurre dans ma chatte affamée. Enfin, je me sentais bien rempli, comme j’aime tant. J’entamais une danse des hanches et du ventre sur ce pieu massif, qui me labourait le ventre. Il avait toujours les yeux fermés.
Le voyeur s’est approché. Il est là, tout contre la tête de mon baiseur. Je comprends ce qu’il veut. J’attrape sa queue dans la bouche. Je le pompe au rythme de coups de reins de celui qui me baise la chatte. Ce dernier finit pas sentir quelque chose d’anormal. Il ouvre les yeux, qui s’écarquillent de surprise, quand il me découvre en train de sucer furieusement une bite !!! Il a un mouvement de recul, si je puis dire, mais mon poids le maintient au sol. Alors, résigné, il nous regarde à tour de rôle, et continue de me besogner à fond.
La vue que je lui offre doit lui plaire, car je sens son corps se contracter, la jouissance approchait à grand pas. Dans un râle rauque, il jouit au fond de mon vagin, en jets puissants et saccadés. Quelques secondes après, c’est le voyeur sui se vide dans ma gorge. Le sperme coule entre mes lèvres. Alors, avec un air de défi, je me penche et embrasse mon amant du soir. Il fait une grimace, recrache le foutre mêlé de salive. Ca m’amuse, et je ris comme une petite folle.
Me voyeur se retire dans l’obscurité, aussi doucement qu’il était arrivé. Je retire le membre qui m’a donné tant de plaisir, et roule sur le coté. L’homme se relève, se rhabille et part sans un mot. Il doit être vexé de mon baiser de sperme…
Moi, je suis heureuse, apaisée et je décide prendre un petit bain nocturne, seule dans la vagues….
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Whoaaaa... Quelle histoire ! Tu pris un pied magique, et les mecs aussi, je constate.. Pourquoi ca ne m'arrive pas à moi ?
hummm moi aussi je n'ai pu m'empecher de me caresser et de jouir encore en relisant cette superbe histoire !!!
bisouxxx
ok me fo du temps pour lire merdi kisssssssssss
Où se trouve ce petit chemin ? Je veux y aller tout de suite, et te trouver nue dans ta piscine. Tu me recevras comment ???
Je veux que tu me fasses bander comme je viens de bander en tel isant. Bises sur le minou en chaleur.