Les Mémoires très Libertines de Sophie
Promotion canapé
« Tu sais Michel, combien je vous estime, toi et Xavier, mais malheureusement les actionnaires décident, et il va bien falloir que l'on se sépare de l'un de vous deux.
Deux représentants du comité de direction doivent rendre visite aux deux filiales le mois prochain afin de rendre leur analyse pour décider laquelle des deux filiales absorbera l'autre.
Ils seront chez Xavier dans quinze jours et chez toi à la fin du mois. Tu as donc quelques jours de plus que Xavier pour te vendre profites en bien pour peaufiner ton dossier et que le meilleur gagne. »
Je suis sorti, assommé par la nouvelle. Dans mon bureau, je repensais à ces mots :
« Que le meilleur gagne !!! »
Certes, je connaissais parfaitement mon boulot et ma filiale tournait bien. Mais j'avais 50 ans, j'étais un cadre « maison », vendu sur place par l'ancien propriétaire de la société. Xavier avait 42 ans, était brillant, avait fait HEC et sa filiale n'avait rien à envier à a mienne. Alors, que le meilleur gagne sonnait comme l'heure du chômage pour moi. Qui voudrait reprendre un cadre maison de 50 ans ?
Je ne parlais de rien à ma femme mais ma nuit fut très agitée. Comment faire pour sauver ma place et mon confortable train de vie ?
A partir de ce jour, je me mis à peaufiner mon dossier, comme me l'avait suggéré Damien. A la fin du mois, il me convoqua à nouveau dans son bureau. Dans le canapé, trônaient deux blacks, en costume impeccable. A mon arrivée, ils se levèrent et me serrèrent la main. Ils devaient bien mesurer 1 m 90, avec mes 1 m 70, j'étais le plus petit et le seul blanc. Damien me présenta M. Jacques M. et M. Simon T. Les fameux délégués.
Après m'avoir exposé clairement le but de leur visite et confirmé les conséquences à brève échéance de celle-ci, ils s'installèrent dans mon bureau, et commencèrent à consulter l'ensemble des documents que j'avais mis à leur disposition.
Après avoir confié à mes collaborateurs la mission de répondre à toutes leurs questions, je pris congé afin de les laisser analyser toute cette documentation.
Je retrouvais Damien dans son bureau afin d'en savoir plus. Il m'informa qu'ils avaient été très impressionnés par Xavier, qui non seulement avait démontré sa capacité à diriger sa filiale, mais aussi en avait profité pour les accompagner dans les meilleurs endroits de la ville.
Décidément, la pression était pour moi. Que faire de plus ?
Si sur mes capacités professionnelles, je n'avais pas de doute. Je n'étais pas moins bon que Xavier, mais pas non plus meilleur... Donc, ce n'était sur ce point là que je pouvais faire la différence. Paris by night ? Bof.
C'est alors que je me rappelais avoir remarqué une alliance aux doigts de chacun de mes « clients ». Sachant à quel point la famille était importante en Afrique, je compris que la différence était là. Xavier était célibataire, donc sans assise familiale, j'étais marié, avait deux enfants, eux-même mariés. J'allais donc les inviter à dîner chez nous. Au cœur d'une famille. Voilà mon atout gagnant.
Pendant, le repas du midi, je leur proposais donc, ainsi qu'à Damien, de venir dîner chez nous le vendredi soir suivant, afin de fêter la fin de leur mission.
Le soir, j'informais mon épouse Catherine de cette importante invitation, sans lui préciser les risques. Ma femme est un véritable cordon-bleu, et de ce côté, je savais ne rien avoir à craindre.
Le vendredi matin en question, après avoir dit à mon épouse de se faire belle et féminine pour le soir, je retrouvais mes deux juges à mon bureau. L'inspection se termina vers midi. Nous partîmes déjeuner et passâmes le reste de l'après-midi à un dernier jeu de questions-réponses. Ils semblaient satisfaits. Ce que me confirma Damien discrètement. Ils n'arrivaient pas à nous départager professionnellement.
Vers 19 h 00, nous partîmes direction la maison. Je prévins discrètement Catherine de notre arrivée. Parvenus à destination, avant même de sonner, la porte s'ouvrit sur ma ravissante épouse. Elle se doutait que cette réception était importante et s'était apprêtée en conséquence. Le coiffeur avait fait merveille avec ses longs cheveux blonds qui cascadaient sur ses épaules. Son petit chemisier blanc à jabot cachant sa poitrine que l'on devinait bien remplie sans être importante, sa jupe arrivant aux genoux, puis ses jambes gainées de noir terminées par des escarpins à hauts talons fin de la même couleur offrait le tableau de la femme idéale. Malgré ses 48 ans, Catherine en faisait dix de moins. J'embrassais Catherine, en la remerciant discrètement et constatais par la même occasion au touché la présence de porte-jarretelles que nous affectionnant tant dans notre intimité. Elle me sourit, tout aussi discrètement, et me rendant mon baiser, me chuchota : « c'est pour après leur départ pour te détendre. »
Je présentais Jacques et Simon à Catherine, qui connaissait déjà Damien. Nous passâmes au salon pour déguster quelques coupes de Champagne. Ma femme était une hôtesse remarquable, et chacun pu en juger tant elle était attentionnée pour chacun d'entre nous.
Après un repas fabuleux qui ne reçut que des compliments, nous retournâmes au salon pour quelques verres de digestifs et autres. L'ambiance était détendue, et nos invités semblaient apprécier cette soirée et nos alcools. Si mon épouse et moi-même étions sobres, Damien, Simon et Jacques étaient déjà bien partis. Ils parlaient parfois dans un dialecte qui m'était inconnu mais qui semblait bien les faire rire tous les trois.
Alors que j'étais descendu dans la cave pour chercher un vieil Armagnac que je voulais leur faire goûter, Damien me rejoignit.
« Tu sais ce qu'ils disaient ? me demanda-t-il.
- Non, mais cela vous faisait bien rire, lui répondis-je.
- Hé bien, que ta femme leur plaisait beaucoup et que si elle était gentille, elle ferait certainement pencher la balance. Ils préfèrent la baiser que de baiser Xavier. Je te résume, car c'était plus détaillé et crus. C'est à toi de voir. »
Puis il tourna les talons et remonta, me laissant là comme un con avec ma bouteille à la main.
Je remontais enfin de la cave avec en tête, ce que venait de me dire Damien et je servis l'Armagnac. Tous trois parlaient, de plus en plus souvent dans le dialecte et riaient. Je me doutais maintenant de la raison et de la cible de leurs rires.
Catherine était partie dans la cuisine, nous laissant deviser entre hommes.
Vers une heure du matin, Damien se leva et me dit en me fixant : « Nous allons partir, c'est dommage, mais tant pis. Il faut bien faire des choix dans la vie, et les assumer. »
Cette phrase était pleine de sous-entendus, surtout que Simon et Jacques avaient fait silence et me regardaient aussi avec insistance.
Il me fallait faire un choix. Sans réfléchir je lui répondis : « Attendez, je vais chercher ma femme pour qu'elle vous salue. »
Je partis presqu'en courant dans la cuisine. Ma femme fut surprise par cette brusque arrivée et me regarda inquiète : « Tu en fais une tête, qu'est qu'il t'arrive ? »
Je racontais tout à Catherine et conclu par la confidence de Damien.
« Les salauds, me dit-elle, que vas-tu faire ?
- Je ne sais pas, lui répondis-je. C’est soit le chômage, pour une longue durée à mon âge. Il va falloir restreindre énormément notre train de vie. Ou soit en passer par leurs exigences, mais ça je ne peux pas te le demander. »
Après de longues minutes de réflexion, Catherine murmura : « Cela fait des années que je profite largement des fruits de ton travail, alors pour une fois que je peux t'aider, si tu en as besoin je ferai ce que tu veux, décides !
- Tu es certaine, tu ne me le reprocheras pas ?
- C'est si je ne le faisais pas que je me le reprocherais.
- On y va alors ?
- On y va !
- Tu devrais retirer ton soutien-gorge, ce serait plus explicite… »
Catherine ouvrit son chemisier, retira son soutien-gorge et referma son chemisier, non sans oublier de fermer les trois derniers boutons du haut.
Nous quittâmes la cuisine et nous dirigeâmes vers le salon la main dans la main, comme deux animaux que l'on traîne à l'abattoir.
Lorsque nous entrâmes dans le salon, nos trois invités étaient debout et devisaient. Ils nous regardèrent et je vis leur visage s'éclairer. Il est vrai qu'ils devaient avoir compris notre accord à la simple vision de Catherine dont les seins libérés semblaient avoir leur vie propre sous le chemisier et dont le décolleté était maintenant très prometteur.
« Vous allez bien prendre un dernier verre avant de nous quitter, proposais-je.
- Oui, si c'est Madame qui nous sert », répondit Simon.
Ils prirent place tous les trois dans le canapé et attendirent.
Nous étions tous les deux debout au milieu du salon. Catherine se dirigea vers la table basse, prit la bouteille, servit chacun des verres et se redressa.
« Non, ordonna Simon qui semblait prendre les choses en main. Restez donc penchée, pour nous laisser admirer ce merveilleux tableau. »
Catherine se pencha à nouveau, les mains appuyées sur la table. Grâce à la glace fixée au-dessus du canapé, je pouvais avoir la même vue qu'eux sur ce que leur offrait mon épouse.
Son décolleté était largement baillant permettant de voir distinctement sa poitrine libre pendre sous elle.
« Relevez la tête et regardez-nous afin de libérer notre champ de vision, demanda Simon. »
Catherine obéit cambra ses reins, releva la tête laissant ses cheveux se répandre sur ses épaules et offrit la vision de ses seins à nos « invités ».
Malgré cette humiliation d'être ainsi obligé d'offrir ma femme et d'imaginer ce qu'elle devait penser, je me rendis compte que je commençais à bander. J'av ais d'autant plus honte que je vis une larme couler sur la joue de ma tendre épouse.
C'est le moment que choisit Simon pour s'adresser, toujours dans son dialecte, aux deux autres et que tous trois se mirent à rire.
La colère aidant, je ne pus m'empêcher de gronder : « Vous pourriez avoir au moins la politesse de nous parler dans une langue que l'on puisse comprendre, et éviter de trop profiter de la situation ! »
Simon me répondit : « Vous avez tout à fait raison, et nous vous prions de nous excuser, cela ne se renouvellera plus. Je disais à nos amis qu'avec une si belle paire de nichons votre femme ne devait pas pleurer. Si elle savait ce qu'on va lui mettre, elle sourirait aux anges. En plus, je suis sur qu’elle en redemandera, comme une bonne salope qu'elle doit être ! En plus, elle servira votre carrière ! »
Avant, même que j'ai eu le temps de répondre, il plongea la main dans le décolleté de Catherine et lui caressa les seins sans aucune retenue.
« Ses seins remplissent bien les mains d'un honnête homme, sa peau est douce et ses pointes sensibles, elle a l'air d'aimer ça la cochonne, vous devriez essayer mes amis » continua Simon, en libérant la place.
Il avait raison, Catherine adorait que je lui caresse ses petites pointes. Maintenant, c'étaient les mains de Jacques et de ce salaud de Damien qui profitaient de ses seins. Ce dernier, que nous connaissions depuis dix ans, qui n'avait jamais osé une seule allusion ou un geste de déplacé envers ma femme, semblait se rattraper d'une certaine frustration.
Il est vrai, que contrairement aux deux autres, avec son ventre énorme, son visage aplati, il ressemblait plus à un gorille qu'à un Apollon. Il ne devait jamais avoir espéré, autrement qu'en payant, profiter ainsi d'un tel corps. Catherine, d'ailleurs, l'ignorait superbement, lorsque parfois, il venait prendre un verre à la maison le soir après le bureau, pour parler de dossiers.
A force de lui triturer ainsi les seins sans ménagement, bientôt le chemisier de Catherine céda jusqu'à son nombril, libérant complètement sa poitrine et l'espace nécessaire à un accès total. Elle faillit perdre l'équilibre.
D'un bond, Simon se leva et l'attrapa en même temps que moi pour l'empêcher de tomber, puis la remis en position. Mains posées, chemisier grand ouvert et ses deux seins se reflétant dans le verre de la table basse. Rapidement, Jacques et Damien reprirent la danse de leurs mains sur la poitrine de Catherine qui semblait les hypnotiser.
Simon fit alors le tour de mon épouse, lui flatta les reins et se tournant vers moi, me demanda de lui présenter le cul de ma femme.
Je m'approchais et tendant la main vers le fessier de Catherine, je lui dis : « Les fesses de ma femme.
- Non, c'est pas comme cela ! Je veux que tu me découvres complètement les fesses de ta femme et que tu me dises, je t'offre le cul de ma salope de femme. »
Je restais interdit. Jamais je n'avais parlé ainsi à mon épouse, et je me sentais ridicule.
Simon qui semblait être la mâle dominant de la soirée, ricana : « Alors j'attends, il faut savoir offrir pour gagner ! »
Je m'approchais de Catherine, pris le bas de sa jupe dans mes mains et la relevais sur ses reins en disant : « Je t'offre le cul de ma salope de femme ! »
Jacques et Damien qui s'étaient arrêté pour regarder la scène s'exclamèrent en même temps :
« En plus elle a un porte-jarretelles la cochonne. J’adore !
Simon rétorqua : Il me semble que je ne vois pas tout son cul. »
Je pris alors l'élastique de son string et le descendis le long de ses jambes, puis me relevant je répétais : « Je t'offre le cul de ma salope de femme ! » Inconsciemment, je sentais que j'y prenais plaisir.
Simon se recula et dit : « Merci, je l'accepte et vais l'enculer à ma guise. Regardez, c'est pas beau, une femelle qui attend la saillie ? »
J'étais très choqué de l'entendre parler ainsi de Catherine, j'aurais voulu lui mettre mon poing dans la figure et les chasser de la maison, mais nous étions allez déjà trop loin et je ne pouvais pas. Il le savait et jouait avec nous. C'était la règle du jeu. Le gain une place en or avec une rémunération conséquente, ou le risque le chômage. Il voulait savoir jusqu'où nous étions prêts à aller pour conserver mon poste et allait nous pousser dans nos derniers retranchements… A nous de décider de la dernière limite à ne pas dépasser en espérant qu'il la ferait sienne.
Comme les trois autres, je me mis à regarder ainsi Catherine, perchée sur ses escarpins noirs, penchée en avant, les seins pendants sortant de son chemisier, la jupe relevée découvrant ses jolies fesses encadrées pas le porte-jarretelles retenant ses bas noirs. C'est vrai qu'elle était bandante ainsi et que ma queue me confirmait immédiatement mon impression. Catherine, tourna la tête, me regarda dans les yeux. Ce que j'y vis me fit chaud au cœur. De l'amour. Elle semblait dire : « je fais cela pour nous, laisse -es jouer cela n'a aucune importance, je t'aime. »
Tous les trois s'approchèrent et examinèrent le fessier de mon épouse.
« Ecarte tes cuisses pour nous montrer ta chatte » ordonna Simon.
Catherine obtempéra. Simon s'approcha et pris chacune des fesses de mon épouse dans ses mains et les écarta…
« Regardez ce joli petit trou qui demande qu'à être éclaté... On dirait qu'il nous parle. » Tous se mirent à rire.
Puis, il mit son doigt dans sa bouche, l'humecta et le plaça sur la rondelle de Catherine et lentement mais inexorablement le fit disparaître dans son petit trou. Je vis ce doigt noir s'enfoncer au fond de Catherine. Ma femme, se mordait les lèvres, les mains crispées sur la table basse, subissant cette pénétration dont elle n'était pas une adepte. Puis, le doigt ressorti pour s'enfoncer plus rapidement et plus profondément.
Jacques en profita, pour s'agenouiller et glisser sa tête entre les cuisses de mon épouse.
« Humm elle sent bon, j'ai envie de lui bouffer la chatte » et joignant le geste à la parole il enfournant sa langue dans la chatte de ma femme à la recherche de son petit bouton.
Catherine adore ce type de caresse et rapidement cela lui fit oublier ce doigt qui la violait et ne passa pas inaperçu. Son corps semblait vivre sa propre vie et se cambrait pour rechercher cette langue qui lui faisait tant de bien.
« C'est bon, elle a une super chatte, la cochonne et en plus elle en redemande » dit Jacques entre deux coups de langue.
Damien fit alors le tour de ma femme et se retrouva devant elle. Il défit son pantalon qui tomba au bas de ses jambes. Fit glisser son slip et retrouva son pantalon et exhiba un sexe qui me sembla énorme. Très large et de très bonne taille.
« Michel, tu m'en voudras pas, mais j'ai toujours rêvé de me faire sucer par Catherine. Elle m'énerve avec son air de petite bourgeoise hautaine et j'ai envie de sentir ma queue baiser sa bouche de salope, je peux ? »
Avant même que je réponde, il avait attrapé la tête de Catherine et placé sa bite au niveau de ses lèvres.
« Allez petite salope ouvre ta bouche de bourgeoise, suces ma grosse queue de black »
Son gland vint buter sur la bouche de Catherine qui s'entrouvrit, il continua et je vis son membre s'enfoncer entre les lèvres de ma femme. Il maintint la tête de mon épouse et d'un coup de reins s'enfonça. Catherine s'étrangla, des larmes jaillir de ses yeux et elle recracha son sexe.
« Ça va pas ! dis-je.
- Ta gueule, me répondit-il. Quant à toi, salope, reprend moi en bouche et suce-moi bien à fond.»
Il releva la tête de Catherine écrasa ses lèvres sur les siennes. Il lui roula une pelle, puis remit sa queue devant la bouche de ma douce.
Catherine, en équilibre sur une main, un doigt dans les fesses et une langue dans la chatte, s'empara du sexe de sa main libre et reprit sa fellation.
« Tu es moins fière, salope avec ma bite dans la bouche, tu de doutais pas que Damien avait une aussi grosse queue et qu'un jour il te baiserait, moi si ! »
Je compris alors que Damien avait du certainement tout préparer dans cet espoir et que les circonstances lui avaient permis d'assouvir son fantasme.
Simon, avait profité de cette opération pour se libérer à son tour. Il demanda à Jacques de se pousser et présenta son sexe à l'entrée de Catherine. Son gland écarta ses petites lèvres et lentement sa queue qui était aussi de belle taille, pris possession de la chatte de Catherine. Après, un ou deux aller-retour il ressorti complètement et vint se placer sur la rondelle de Catherine.
Ma femme arrêta sa fellation et cria un « Non !!! Pas là !!! » en essayant de se dégager. Mais Damien, la rattrapa et lui remis sa bite dans la bouche, Jacques la bloqua et Simon d'un léger coup de reins fit pénétrer son gland dans le petit cul de ma douce. De grosse larme coulaient sur les joues de Catherine, mais je n'eu aucune réaction. J'étais hypnotiser par cette colonne de chaire noire qui s'enfonçait entres les fesses blanches de mon épouse.
Bientôt elle se trouva complètement empalée. Je regardais ma femme. La bite de Damien dans la bouche, ce dernier la tenant par les seins qu'il malaxait sans douceur et l'insultant. Simon enfoncé dans son cul, qui commençait lentement à bouger la libérant pour mieux la reprendre, les mains bien plantées dans ses fesses. Pendant ce temps Jacques, baladait ses mains et son sexe, qu'il avait lui aussi libéré, sur toutes les parties du corps de Catherine restées libres.
C'était à la fois humiliant et bestial de voir ma femme ainsi soumise et violée, excitant et joli de voir ces membres noirs pénétrer ce corps blanc de blonde. Ces colonnes de chaire pénétrer ses fesses, sa bouche, jouer avec ses seins et son dos. Ces mains s'agripper ou la caresser, ces seins pendre, ballotter à chaque coup de boutoir, remplir ces mains baladeuses.
L'un après l'autre, ils lui pénétrèrent la bouche, la chatte et son petit trou (qui était maintenant bien plus large).
A chaque fois, ce n'était qu'insultes, humiliations verbales, comme s'ils semblaient se venger d'une attitude de ma femme.
« Salope, tu la sens ma bite dans ton cul... J'adore enculer les petites bourgeoises comme toi. Vas suce ma queue cochonne. Ecartes ta chatte, sens ma queue qui te baise comme une chienne. »
Après avoir profité de tous ses orifices à leur guise l'un après l'autre, ou ensemble en double, voire en triple pénétrations, ils obligèrent Catherine à s'allonger sur le dos sur la table basse. Puis, après avoir chacun (voire même essayé à deux) leur tour pénétrer une dernière fois sa chatte en me demandant de bien regarder « ma salope de femme se faire baiser », ils entourèrent Catherine et l'obligèrent à les branler jusqu'à voir leur plaisir gicler sur son visage, ses seins et les poils de sa chatte. Ils crièrent en riant : « une douche de bites, pour un garage à bites ».
Ils me demandèrent ensuite d'approcher et de me libérer. Après avoir fait remarqué à Catherine mon état et que la situation semblait m'exciter au plus au point, ils ordonnèrent à Catherine de me soulager à mon tour et de me faire jouir sur son visage.
Une fois terminé, ils demandèrent à Catherine de rester ainsi allongée, nue, jambes écartées afin d'offrir à leurs yeux sa chatte, ses seins et son visage maculés de leur sperme que l'on voyait couler lentement sur sa peau. Ils réclamèrent un dernier verre, qu'ils burent assis autour de la table basse décorée du corps de ma femme. Ils commentaient encore une fois avec force détails vulgaires, le corps de celle qui leur avait donné tant de plaisir. Ils étaient certains qu’elle en avait aussi pris. Plus tard, je sus que ce n'était pas faux…
Avant de partir, ils me serrèrent la main en me donnant rendez-vous pour le lendemain.
Enfin seuls, je pris ma femme dans mes bras et la remerciais. Lui fit couler un bain, l'aida à se laver et nous nous couchâmes sans un mot.
Depuis cette aventure, j'ai été licencié et suis un homme au foyer et j'attends que ma femme rentre du travail. Elle a été embauchée par Damien pour un salaire confortable et un travail dans nos cordes.
Catherine s'occupe d'organiser des dîners d'affaires à la maison pour les gros clients de mon ex-société. Là, en fin de repas ma femme est systématiquement « offerte » à ces clients par Damien qui s'est bien rendu compte que les hommes (et femmes) sont plus attirés par les bourgeoises mûres et belles qu'ils ont l'impression de forcer que par des jeunes professionnelles.
Je sais que Damien et Xavier profitent aussi des capacités de ma femme au bureau et que même parfois Simon et Jacques viennent se servir.
Catherine est devenue une véritable salope pour notre plus grand plaisir. Cette vie nous satisfait. Nous sommes plus complices que jamais et elle nous permet, aujourd'hui, d'assouvir nos envies sexuelles qui ont fortement évoluées, et de conserver notre train de vie.
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Le mauvais calcul de Christine
1.
Christine rentre chez elle folle de rage. Elle vient d'apprendre que son mari, Arnaud
l'a trompée avec Nadine, sa collègue de bureau. Elle teint à mettre les choses au point. Ils ont une vive discussion. Son mari tente vainement de se disculper…
« Mais ma chérie, dit Arnaud, ce n’est pas ce que tu crois, c'est un malentendu.
- Ben justement, gronde Christine, je vais m'en occuper, de ton malentendu ! »
Sans attendre la réponse de son mari, elle quitte l'appartement et décide d'aller mettre une bonne raclée à sa rivale. Il est dix-sept heures, quand elle se gare dans la cour.
Pendant une heure, Arnaud essaie de joindre Serge, frère de Nadine, avec qui il habite.
2.
Après une ultime tentative, Arnaud arrive à avoir son copain au bout du fil.
« Allo, dit Arnaud, c'est toi ? Cà fait plus d'une heure que j'essaie de t'avoir ! Impossible avant ! Fais gaffe, ma femme sait que je couche avec ta sœur, elle doit passer pour lui mettre une rouste.
- Mais ta femme est déjà là, répond Serge. C’est elle est en train de prendre une raclée de première ! Nadine l'a mise toute nue, et joue avec elle, quel spectacle ! C’est grandiose !
- Ah bon, reprend Arnaud, ahuri, et elle se laisse faire ?? »
3.
Oh que oui, elle se laisse faire, et comment !!!
Christine est allongée, nue sur la moquette, jambes écartées, entièrement soumise à la maitresse de son mari et son frère.
« Tu veux que je mette le haut parleur ? propose Serge.
- Ce serait bien, répond Arnaud, intrigué. J’aimerai bien savoir ce qui se passe ! »
Le traitement que lui fait subir Nadine, est loin de déplaire à Christine. La chatte et le clitoris sont mis à rude épreuve. Mais Christine se cambre sur la pointe des pieds pour mieux s'offrir aux caresses vicieuses de celle qui couche avec son mari.
4.
Serge monte le son du téléphone, et le pose sur le table basse. La qualité de la communication est exceptionnelle.
« Oh mon chéri… si tu voyais ta salope de maitresse ce qu'elle fait à ma petite chatte ! Elle est en train de me la manger. Que c'est bon ! Elle a pris mon clitoris entre ses dents. Elle me mord, c’est trop bon !
- Alors, petite pute, gronde Nadine, on voulait me donner une fessée ? Tu n’aimes pas ce que je te fais là ? Salope ! Si tu es sage, Serge te mettra un bon coup de queue après.
- Tout ce que tu veux, soupire Christine, mais fais moi jouir...ha...oui... voilà... comme çà… Ha...ha... oui... »
Arnaud n'en croit pas ses oreilles. Il ne se rappelle pas l'avoir faite crier comme çà. Il en est presque jaloux.
5.
Pendant ce temps, Serge s'était éclipsé à la salle de bains. Il en ressort en jouant avec le prépuce de son sexe en érection. Christine est en surchauffe. Son corps a soif de sexe. Elle rampe jusqu'à ce que sa bouche soit en contact avec le gland rouge qu'elle décalotte avec ses lèvres gourmandes.
« Bonjour toi, dit-elle, ma petite chatte t'attend, allez, viens te mettre au chaud.
Serge s'allonge sur la moquette. D'une main, elle saisit la bite et la fait coulisser entre ses lèvres pleines de mouille. Christine, à point, ne tarde pas à jouir. Pourtant, jamais avant elle n’a joui en suçant une queue ! Il lui en faut bien plus ! Elle ne peut s'empêcher de crier à s’en déchirer les cordes vocales
Soudain, on sonne à la porte. Nadine se précipite pour ouvrir.
6.
La communication est toujours en cours. Arnaud se demande ce qui se passe. Il ne voudrait pas que çà aille trop loin. Il connait les appétits sexuels de sa femme quand elle se donne comme cela, sans aucune retenue.
« Tiens, regardez qui est là, sourit Nadine, Mourad. Tu sais qui c'est Arnaud ? C'est lui que tu as surpris au lit en train de baiser ta première femme. Tu te souviens comme il la faisait gueuler ?
- Non, supplie Arnaud, ne faites pas çà Nadine, je t'en prie, empêche-les ! »
Arnaud est au supplice. Ce salopard lui a pris sa première femme, il ne va tout de même pas recommencer avec la seconde. Il est au bord de la rupture, ne sachant plus que faire.
Christine entend vaguement son mari, mais elle est ailleurs. Peut être Arnaud entend-il le bruit de succion que fait la queue de Serge en pénétrant la moule baveuse de sa femme….
7.
« Oh la, sourit Mourad, et si j'enculais la deuxième femme de l'autre connard ?
- Chut, répond Serge, il est au bout du fil. »
Mourad se met à poil en un tournemain. Sa queue apparait, énorme contre les fesses de Christine. Celle-ci cambre ses reins pour offrir son petit trou. Mourad frappe le cul rebondi et offert de sa hampe dure. Puis il pointe sa bite contre la rosette frémissante de Christine, et la pénètre à sec. Il ne lui fait grâce d’aucune préparation.
Christine hurle sa douleur, mais elle ne peut s’empêcher de pousser ses fesses vers son tortionnaire.
« Putain, qu'elle est bonne, dit Mourad, elle m'a englouti jusqu’aux couilles. Si son mari voyait çà.
- S'il vous plait, implore Arnaud, laissez-la, ne me faites pas çà !
- Oh putain… gémit Christine… un qui me nique, un qui m'encule...Tu entends, chéri, comme je me fais prendre ! »
Elle parle dans un souffle, tout à son plaisir de se faire prendre en double pénétration. Il ne lui manque plus qu’une autre bite dans la bouche, et elle serait parfaitement comblée.
8.
« Je jouis… mon dieu… vous me rendez folle… oui… enfoirés… Quels amants… t'en fais pas chéri...pour me venger, je vais leur tailler une pipe… Moi aussi je suis capable de les faire gueuler... écoute mon amour... »
Elle jouit une nouvelle fois, se tordant sur les membres qui la perforent à fond. Pourtant, dans un sursaut, elle se dégage des deux pieux, pour mieux les sucer.
Christine saute d'une bite à l'autre, les pompant avec avidité. Elle avale même Serge jusqu’aux couilles…. Puis, sentant qu'ils allaient venir, elle réunit les deux glands massifs dans sa bouche. Ses joues sont distendues sous la pression des deux sexe qui la baisent sans aucune précaution.
La semence des deux hommes afflue violemment dans sa gorge. Elle avale le tout sans sourciller, se lèche les lèvres des gouttes qui ont jailli dehors.
« Que c'est bon, arrive-t-elle à dire. Oh mon chéri, comme je leur ai vidé les couilles ! Et leur foutre, ils m’en ont rempli la gorge… un vrai nectar. J’en veux plus encore !!!
Viens Nadine, je vais m'occuper de toi maintenant. Tu veux bien qu'on se gouine ma chérie ? »
Les deux femmes roulent sur la moquette, et s'attrapent les points sensibles de leur corps. Elles se gouinent à fond, chacune dévorant la chatte de l’autre. Les hommes ne tardent pas à se branler devant cette superbe scène…
9.
Les clitoris sont décalottés, pincés, mordus. C'est à celle qui abandonnera la première. Christine ne tient pas la distance, dominée qu'elle est par Nadine. L'orgasme est terrible. Nadine joue avec son corps, comme avec une poupée de chiffon.
« Tu as entend ta pute ? dit Nadine à l'attention d'Arnaud. Comme elle se régale, sa chatte est pleine de mouille. Tu entends comme je la fais couiner ??? Toi, tu ne l’as jamais fait crier comme ça. Et moi non plus d’ailleurs !
- Oh, mon chéri, je vais passer la nuit avec eux, çà te dérange pas ? Pour une fois que j'ai deux grosses queues et une belle chatte rien que pour moi….
Mourad s'approche du téléphone.
- Putain, tu as le don pour dénicher les putes ! Elle est aussi bonne que la première. Et toi, quand c'est que je t'encule ??? Allez, bonne nuit connard. »
Arnaud entend le bip de fin retentir dans le combiné. Il est accablé. Il ne se savait pas aussi nul….
La première expérience bi de mon homme
Depuis mes sorties en club, où j’avais vu des hommes se sucer, et/ou s’enculer, ces visions excitantes me faisaient toujours autant d’effet. Mais je voulais que mon homme, Bertrand, s’y mette enfin ! Un soir où nous avions fait particulièrement bien l’amour, nous avions fini par une sodomie en levrette. J’étais là, les fesse en l’air, sa bite bien emmanchée dedans, et je lui ai demandé s’il savait ce que c’était de sentir une bite au plus profond de ses entrailles.
Il faisait semblant de ne pas comprendre. Il avait joui, il ne se posait pas de questions. On s'allonge, je suis derrière lui, innocemment, je joue avec sa bite. Et d'un coup, sans le prévenir, je le pénètre dans l'anus. C'est un gode, un gode bien lubrifié, que j’avais planqué sous le lit. Je le gode, l'encule, le branle, le fait jouir une deuxième fois. Je suis assez contente de mon coup ! Lui qui disait toujours non, je l’ai bien eu !!! Et en plus, il a joui vraiment très fort.
Depuis ce jour, il me dit qu’il a très envie d'un vrai sexe, dans son cul. Nous avons rencontré des couples, en vacances surtout mais jamais au grand jamais les maris n'ont voulu faire cela. A mon avis, l'une des meilleures positions, c'est un homme dessous qui prend le cul de la femme, au milieu et devant elle l'autre homme qui la baise dans la vulve. Et la seconde femme, direz-vous, eh bien, elle se fait lécher par la femme baisée.
J’aime bien cette image, elle me fait souvent jouir.
Mais un jour, l’occasion s’est enfin présentée, vraiment par hasard. J’étais au bureau, et l’un de mes collègues qui me draguait souvent, est encore venu me relancer. Il me semble bien qu’il bandait… Jamais je ne voulais donner suite. Pas question de tromper mon mec. Mais ce jour-là, alors qu’il me faisait à nouveau des avances, j’ai eu un flash et j’ai pensé : « c’est maintenant ou jamais ! »
Je lui ai dit de revenir à 18 heures, car je devais finir un dossier avec son aide. Nous serions seuls à ce moment-là. Après sa sortie, j’ai appelé mon ami, lui disant de venir aussi à 18 h.
A 17 h 45, Bertrand arrive, je lui demande de patienter le temps que je finisse. Les locaux sont déserts. Je lui propose de faire un petit tour. Il part, et je le vois aller vers le seul bureau occupé, celui de mon collègue Hervé.
Il me dira plus tard qu’il est entré, et l’a surpris en train de se branler face à la fenêtre (il devait s’exciter à l’idée de me retrouver…) Hervé ne se démonte pas et lui demande tout de go si ça ne lui arrive jamais. Il a répondu que oui, il aime se branler, surtout devant moi.
Hervé lui a alors demandé s’il avait déjà sucé une bite. A sa réponse négative, Hervé s’est approché de lui, la queue à la main :
« Eh bien, c’est le moment où jamais d’essayer… »
De mon côté, j’étais intriguée par le fait de ne pas voir Bertrand ressortir du bureau. Je me suis levée et approchée de la porte, juste à temps pour entendre la dernière phrase d’Hervé. Je passe la tête par l’encadrement, et je vois mon ami, les yeux rivés sur la belle bite de mon collègue (si j’avais vu ça avant, je n’aurais jamais attendu si longtemps…)
Bertrand finit par répondre, d’une voix faible :
« Si tu veux, mais je ne l’ai jamais fait... Guide-moi »
Je n’en crois pas mes oreilles. Hervé m’a vu, mais n’a rien dit. Je rentre doucement dans le bureau, et je vois mon cher et tendre tomber à genoux sous la pression d’Hervé.
Il prend la bite de mon collègue dans la bouche, sans parler. Il aspire, il lèche, la salive coule sur ses lèvres, il gobe les couilles gonflées, il suce partout. Jamais je n’aurai imaginé mon ami dans le rôle d’une telle pompe à bite !!!
Hervé jouit dans sa gorge et il avale tout. Moi, je n’ai pu m’empêcher de porter ma main à mon sexe. Je le sens gonfler, le clito sort tout seul, il se heurte au tissu de mon string, ce qui le fait bander davantage. Je sens que je commence à couler beaucoup...
Je passe la main sous ma jupe, et écarte mon string. C’est brûlant, et très très humide.
Toujours absorbé par la bite d’Hervé, qu’il continue de sucer sans relâche pour la faire rebander, il ne m’a pas encore vue. Je tire doucement un siège, et m’assoie, les jambes posées sur chaque accoudoir. J’offre une vue plongeante de ma chatte excitée à Hervé. Est-ce cette vue, ou le traitement de mon mec ? Mais il rebande bientôt comme un âne.
Bertrand retire le membre épais de sa bouche, et le contemple. Soudain, il lui dit :
« Encule-moi, je n'ai jamais connu que des godes ! Ma femme me gode depuis quelques temps, mais je veux de la chair ! »
« Ok, répond Hervé, mais ensuite, c’est toi qui m ‘encule, pendant que je baiserai ta femme !
- non, elle ne doit pas savoir ça ! proteste Bertrand.
- trop tard, elle sait tout, tourne la tête… »
Bertrand, se retourne, et me découvre, totalement ahuri. Il me voit assise, les jambes en l’air, la chatte dégoulinante de désir, et moi, en train de la fouiller de mes doigts impatients…
Il rougit, bafouille « mais qu’est-ce que tu fais là ?
- Je ne te voyais pas revenir, alors je suis venue voir ce qu’il se passait. Et on dirait que j’ai bien fait ! Je n’ai pas voulu te déranger mon chéri. C’était trop beau de te voir pomper cette bite à fond… Fais-toi enculer pour de bon, tu me lécheras la chatte en même temps. Ensuite, on fera comme Hervé a dit. »
Dire tout cela m’excite énormément. Parfois, j’aime sortir de mon rôle de femme « bien élevée » et sage, pour prendre celui d’une belle salope, avide de sexe.
Je fais rouler mon fauteuil près des deux hommes et ordonne à Bertrand de se tourner, pantalon baissé, cul en l’air. Hervé doit avoir l’habitude de baiser au bureau, car il sort de son tiroir un gros tube de lubrifiant. Il s’en enduit copieusement deux doigts, qu’il enfourne sans ménagement dans le fondement de mon mec. Il sursaute sous la douleur, plus habitué à la douceur de mes pénétrations. Mais il ne dit rien, il a la bouche remplie de mes lèvres et de ma mouille... Plus mon collègue lui bourre le cul avec la main, plus il enfonce sa grosse langue dans ma chatte offerte. Hervé n’en perd pas une miette, les yeux hors de la tête.
Bertrand agrippe les accoudoirs, à la demande d’Hervé. Ce dernier retire ses doigts, je me soulève, et vois l’anus de mon ami vraiment bien dilaté. Mon collègue prend un préservatif, l’enfile prestement et l’enduit aussi de gel. Le moment fatal approche… Hervé se positionne bien comme il faut, le gland à l’entrée de la rosette distendue de mon chéri. Il me regarde d’un air de défi et dit :
« Tiens, je vais enculer ton mec ! Je vais lui défoncer le cul, et il en redemandera ! »
Il pousse d’un coup son gros mandrin, qui rentre dans les fesses comme dans du beurre. Sous la poussée, Bertrand manque de s’étouffer dans ma chatte. Mais il continue de me lécher avec ardeur, en rythme avec les coups de reins de mon collègue. Je n’en peux plus, et je jouis très fort, sans me soucier des éventuels salariés encore présents dans les autres sociétés…
Hervé jouit assez vite. Mais pour que je vois mieux, il se retire, ôte la capote et envoie de grands jets crémeux sur le dos de mon homme. Le jus blanc se dessine bien sur la peau noire…
Je me dégage de la bouche de mon homme, et vient prendre du sperme du bout des doigts… Je le pose sur mes lèvres et m’approche d’Hervé :
« Embrasse-moi, viens gouter ton foutre…
- Je ne te savais pas aussi salope... Si j’avais su, je t’aurais sauté dessus sans te demander ton avis ! »
Il m’embrasse, lèche le tour de mes lèvres que je couvre de son sperme, cueilli sur le dos de mon ami.
Il est temps de passer à la suite. Bertrand bande tant et plus. Et moi, je suis toujours aussi excitée. Depuis que j’ai vu le beau membre mon collègue, j’en ai très envie au fond de ma chatte bien chaude.
Je m’allonge sur le bureau, les genoux relevés. Hervé met de nouveau une capote, vient m’enduire les lèvres rougies par le désir de salive. Il passe sa langue partout, n’oublie pas mon clito bandé à l’extrême…
Entre deux léchouilles, il ordonne à Bertrand de lui lécher le cul. Il reste un peu interdit, mais obtempère sans broncher. Je suis sidérée : il se laisse donner des ordres comme un chien docile !!! On en reparlera à la maison !
Il écarte les deux globes noirs et musclés, et pointe sa langue dans le cul odorant, me dira-t-il plus tard.
Je le vois qui s’acharne, baise le cul avec sa langue. Il aime ça, le salaud !!!
Hervé lu dit que c’est assez, qu’il veut sa bite. Toujours sans broncher, mon homme, qui bande comme je l’ai rarement vu avant, se relève, enfile une capote, la lubrifie, et se positionne comme Hervé l’avait fait pour lui.
« Attends une minute, je dois d’abord prendre ta femme, et la baisser comme la pute qu’elle est. Son con de garce n’attend que ça ! »
En effet, j’attends avec impatience que ce gros pieu me remplisse à fond…
Il se redresse, vise ma grotte avide, et s’enfonce à grands coup de boutoir dans ma fournaise. Je crie sous le choc. Il est bien plus gros que Bertrand ! Mais j’aime sentir ce gros machin qui me cloue au bureau ! Il me laboure consciencieusement, sans me laisser de répit.
Bertrand vise, et s’enfonce lui aussi d’un coup dans le cul offert, qui a visiblement l’habitude de ce genre de traitement…. Hervé est pris en sandwich entre nous. Je jouis à plusieurs reprises, nous crions tous les trois. Plus rien n’existe, nous sommes hors du temps. Je ne saurais pas dire combien de temps cela a duré. Bertrand a joui le premier, avec un cri sauvage, Hervé le suit de près, mais en se retirant, pour jouir sur mes seins.
Mais je n’en n’ai pas eu assez… Sous le regard un peu effaré des deux hommes, je me branle furieusement avec les doigts, d’une main, l’autre tenant ouverte ma chatte distendue par le gros chibre. J’attrape trois gros feutres, et les enfonce brutalement dans ma grotte. Je demande à Bertrand de venir lécher le foutre de mon collègue sur mes seins. Il obéit une fois de plus, et tourment mes tétons dressés avec sa langue, les enduit de crème. Hervé bande à nouveau, je le vois. Il ne débande jamais, ce mec !!!
Je le supplie de me baiser à nouveau. Ce qu’il fait sans attendre. Je reçois la grosse queue comme une délivrance, ca me fait jouir presque aussitôt. Un orgasme géant me secoue le corps, je crie à m’en déchirer la gorge !
La réalité repend le dessus… Nous nous regardons, un peu hébétés… Comme si nous avions rêvé !
Hervé rompt le premier le silence :
« Vous cachez bien votre jeu, sous vos airs bourgeois, vous êtes de vrais salauds affamés de sexe... mais ça me va. D’ailleurs, je n’ai pas joui, alors, on fait quoi ? »
Sans hésitation, et à mon grand plaisir, Bertrand lui répond : « on continue chez nous… »
Nous avons passé une nuit entière de baise, et bien sur, nous avons recommencé à maintes reprises !
Soumis à l'amant de sa femme
Quand Georges, jeune cadre de vingt-trois ans a accepté de participer à cette soirée d'échangisme, Il était loin de se douter qu'il allait vivre un véritable calvaire. Surtout en voyant Valérie, sa plantureuse épouse de vingt-deux ans, s'impliquant à fond dans cette nuit libertine….
Ils sont mariés depuis peu, mais ils ont toujours eu envie de sexe multiple. Souvent, ils lèvent un mec dans la rue ou sur le net, le ramène à la maison, pour qu’il baise Valérie en sa présence. Il aime la voir offerte à d‘autres, il se sent puissant, de faire niquer sa femme par qui il décide. En plus, elle y trouve du plaisir… Alors, pourquoi se priver !
Ce soir-là, Ils ont décidé que Valérie se ferait un maximum de mecs, selon le bon vouloir de son mari. Elle promet de se soumettre à tous ses désirs...
Mais il a à peine le temps d’aller se servir un verre, qu’il retrouve Valérie, assise, jambes écartées, sur les genoux d'un homme de type maghrébin, âgé environ d'une cinquantaine d'années. Un vrai athlète, tout en muscles. Superbe pour sa cinquantaine !
La jupe de Valérie est déjà enroulée à la taille, et ses seins sont sortis du bustier. Le string git au sol.
L'homme suce goulument les bouts dressés de ses gros seins, pendant qu'une main investit la chatte. Il la pénètre avec deux doigts, et la chatte excitée de sa femme coule sur ses cuisses. Il la doigte ronflement, on ne voit plus les phalanges de sa main.
Valérie joue avec le gland décalotté de l'énorme queue qui dépasse entre ses cuisses.
Georges n'apprécie guère de voir son épouse entre les bras d'un autre homme qu’il n’a pas choisi lui-même, même si çà fait partie du jeu. En plus, ce mec a une énorme bite, et il prend toujours soin de choisir des hommes avec une queue plus petite que la sienne. Il ne voudrait pas que sa douce épouse prenne plus de plaisir avec d’autres que lui…
« Oh, bon sang, gémit Valérie, ça fait un quart d'heure qu'il me caresse ma petite chatte, et mon clitoris. C’est homme est un artiste. Ses mains sont géniales… Comme il est très vicieux, il m'a déjà fait jouir ce salaud. »
L'homme va jouir lui aussi, il fait descendre Valérie de ses genoux, et la force à le prendre en bouche. Elle entame une longue pipe, bien trop longue au gout de son mari. Jamais il ne l’a vue sucer avec autant de paisson un mandrin pareil… Même lui, elle ne le suce pas comme ça. Il sent la jalousie lui monter au nez. Elle l’aspire sans relâche, avale au moins 18 cms des 22 de l’homme. Impressionnant ! Elle étouffe, mais elle continue de se faire baiser la gorge à fond. Elle sent une grosse secousse, annonciatrice de sperme. Elle reçoit dans la bouche la purée épaisse de l’homme. Il jouit en râlant, et en narguant Georges du regard.
Après s'être bien vidé les couilles, il lance un sourire à Georges, et disparait parmi les autres couples. Honteuse, Valérie s'approche de son mari, tête baissée.
« Rentrons ma chérie, dit-il, n'allons pas trop loin. Je t’attends aux vestiaires, d'accord ?
Valérie tarde à le rejoindre. Il repart à sa recherche, et la trouve derrière une colonne, à quatre pattes sur une table basse. Elle est entièrement nue, la croupe cambrée, en train de se faire prendre en levrette, par le même maghrébin. Il la tient par les hanches, et la nique violemment.
Valérie est en sueur, le visage déformé par le plaisir. Le rimmel coule sur ses joues. Georges, impuissant, assiste à la scène. Il voit nettement l'énorme bite faire des va et vient dans la chatte baveuse de sa femme.
« Je m'appelle Kader, c'est ta meuf ? demande le maghrébin.
- Heu… oui, répond Georges.
- Elle est bonne tu sais, comme elle me serre la salope. Regarde comme elle bouge son cul ! »
Valérie s'écarte de plus en plus. Des mots inaudibles s'échappent de sa bouche. Georges, fasciné par cette grosse bite qui laboure sa femme, s'approche.
« Pardon chéri, gémit-elle, mais c'est tellement bon de se le faire mettre par une grosse queue !!! »
Valérie a un orgasme terrible, son corps se tend comme un arc, il la rend folle de plaisir. Lui aussi se met à grogner, proche de l’éjaculation.
Il se retire de la chatte de la jeune femme, et tout en se branlant, bouscule Georges pour venir placer sa queue contre les lèvres de Valérie. Instinctivement, elle ouvre la bouche pour recevoir la semence épaisse de son amant et l'avale d’un trait.
Kader se tourne vers Georges, un sourire ironique sue ses lèvres :
« Tu en voulais un peu, peut être ? Dommage, ta pute a tout avalé. Mais si un bon coup de queue te tente, n'hésite pas. Allez… à plus tard ! »
Le maghrébin lui caresse la joue, récupère ses vêtements, et s'en va.
« Quel amant merveilleux, soupire Valérie, quelle queue. Oh… putain… Je veux le revoir.
- Mais enfin, reprend Georges, tu n'y penses pas !
-Je veux le revoir je t'ai dit, et je tiens à ce que tu participes. D'autant que tu ne le laisses pas indifférent.
- Quoi ? Tu ne voudrais quand même pas que je me donne à lui, que je me fasse sodomiser en plus !
- Bien sur que si mon amour, sourit Valérie, que tu lui tailles une pipe aussi. Tu dois te soumettre, comme je me suis soumise. »
Ils rentrent chez eux, et font l’amour comme jamais. Georges nage dans le jus de Kader. Il prend un plaisir malsain à lécher la chatte visqueuse de sa femme… serait-ce lé début de la fin ???
Mais ça, il ne sait pas encore !!!
Trois jours plus tard, Valérie a réservé une surprise de taille à son mari. Ella a invité Kader pour la nuit, sans lui demander son avis. Ils dinent tous les trois, Georges est énervé, et boude. Il n’ jamais voulu ça ! C’est elle qui l’a choisi, pas lui. Ca ne va pas comme il le veut !
A la fin du repas assez vite expédié, elle lui intime l’ordre de débarrasser la table.
Quand il revient de la cuisine quelques minutes plus tard, il trouve les deux amants dans une position qu’il juge indécente…
Le couple est debout au milieu du salon, entièrement nu, tendrement enlacé, dans un baiser torride.
« Alors mon chéri, murmure-t-elle, tu as réfléchi à ma proposition ?
- C'est-à-dire ? demande Georges.
Il n'a pas le temps de finir sa phrase, que deux gros bras le prennent par la taille, et le soulève. Valérie est aux anges. Georges se débat, mais ne peut rien contre la force herculéenne de son agresseur.
« Allez, on se calme, gronde Kader. »
Lui aussi est tout nu. Georges sent l'énorme bite contre ses fesses. Kader s'installe sur une chaise. Il force Georges à s'asseoir sur ses genoux, jambes écartées.
« Mais ça va pas, dit-il en se débattant, lâchez moi !
- Hé… Il t'a dit de te calmer, précise Valérie, tu veux en plus qu'il te donne une fessée ? »
Elle lui sourit d’un air narquois, mais bien décidé. Son mari sent qu’il ne va pas pouvoir lutter contre les amants diaboliques.
D'une main, Kader tient Georges par les couilles. Il els tort, pour inciter l’homme à plus de calme. De l'autre, il joue avec la queue, faisant coulisser sans douceur le prépuce sur le gland. Georges tente malgré tout de se débattre. A son insu, il voit qu’il bande de plus en plus…
Valérie ricane : »Tu vois, mon chéri, tu aimes ça… »
Kader le soulève légèrement, et présente son membre en érection contre la rosette du mari trompé.
« Non.non… Pas çà… pleure Georges.
Mais l'énorme queue a commencé à s'introduire dans le petit trou peu dilaté. Kader n’a pas pris le temps de lui préparer son anus vierge.
Imperturbable, Valérie assiste à la scène.
« Aieeeee.... aieeeee… tu vas me déchirer… assez… je t'en supplie... Aide-moi chérie… raisonne-le. ! »
Inexorablement, la queue se met en place dans le cul de Georges, qui maintenant, pleure comme un gamin. Il a mal, le mandrin lui déchire les entrailles.
« Si tu savais comme je mouille de te voir comme çà, jubile Valérie. Tu es en train de devenir une petite fille. Et qu'est-ce qu'elles font, les petites filles ? Elles taillent des pipes. Tu lui en tailleras une après, hein ?
- Sale pute, tu te régales de voir ton mec qui m'encule.
- Mais mon chéri, la pute, c'est toi en ce moment. Tu aimes, regarde ton fifre comme il est raide. Tu ne veux pas que Kader te branle ta queue de lopette ? »
Georges commence a ressentir des sensations jusque là inconnues pour lui. Il sent le désir monter en lui. Il n'aurait jamais pensé qu'un homme puisse lui procurer autant de plaisir. Il se tend en avant pour inviter Kader à accélérer ses mouvements de branle. La queue lui laboure les intestins sans répits. Il sent les 22 cms l’embrocher à fond, et les couilles qui tapent contre les siennes.
« Ah...salaud, gémit Georges, décalotte-moi complètement... fais-moi cracher... ha… ha... ça y est… je jouis...
Le sperme gicle en direction de Valérie. Elle aussi hurle de plaisir.
- Espèce de salauds, soupire-t-elle, regardez ce que vous me faites faire… enfoirés… ma petite chatte est toute excitée ! »
En effet, Georges voit bien la cyprine qui coule entre ses jambes. Valérie s’est assise face à lui, sur le canapé. D’une main, elle ouvre grand son abricot, de l’autre, elle caresse son clito, enfonce quatre de ses doigts aux tréfonds de son vagin. Elle pousse de peits cris de plaisir, elle est à la limite de se faire jouir…
D'un coup, Kader se lève, libérant les vingt-deux centimètres de chair qui labourait les entrailles de Georges. Il présente son énorme queue face à son visage.
« Allez, pardonne-t-il, suce, petite tapette. »
Tel un automate, Georges avale le membre, jusqu'à ce que le gland cogne au fond de sa gorge. Kader le prend par la nuque, et guide lui même les va et vient.
« Regarde notre petite fille comme elle pipe bien, sourit Kader. Pour te récompenser, tu vas tout avaler. Hein ma chérie ? »
Georges sent les premiers jets de sperme gicler au fon de sa gorge. Voyant qu'il était à deux doigts de s'étouffer,
Kader se retire, et fini d'éjaculer sur son visage. Georges essuie ses lèvres d'un revers de main, puis éclate en sanglots.
« Ben mon salaud, dit Valérie, quelle turlute tu lui as taillée… oh putain... Tu es encore plus doué que moi ! Quelle belle salope tu fais ! »
Georges, à genoux sur la moquette, regarde son bourreau rejoindre sa femme sur le canapé. Il s’agenouille entre ses cuisses, et pénètre d’une grosse langue la chatte béante. Valérie se cambre sous la pénétration intense. Il tourne la tète en tous sens, il visse littéralement sa langue au fond du vagin avide. Elle jouit dans un hurlement à faire accourir tous les voisins ! Elle n’a pas encore fini de jouir que Kader se redresse, et défonce d’un grand coup de reins la chatte baveuse. Elle hurle à nouveau sous la poussée brutale. Elle enserre le dos de son amant pour mieux s’accrocher à lui. Il la besogne rageusement, regardant de temps à autre, le mari cocu, Ricanant, il continue de le narguer. Il se cambre lui aussi, Georges sait qu’il va jouir. Sans réfléchir, il s’avance, saisit la queue raide au moment où elle sort, et l’enfourne au fond de sa gorge. Surpris, Kader le laisse faire. Il baise aussi violemment la bouche de Georges que le sexe de Valérie quelques secondes plutôt.
« Tu as vu, ma chérie, ton mec est devenu une belle petite lope, une bonne suceuse ! Il pompe bien... Regard, il va avaler ma crème ! »
En effet, Kader jouit encore, projetant son foutre au fond de l’œsophage du mari cocu. Ce dernier avale tout, et semble même s’en régaler...
Sans plus prêter attention à lui, Kader et Valérie prendre la direction de la chambre. Une bonne partie de la nuit, il va entendre son épouse hurler de plaisir sous les caresses vicieuses de Kader, cet homme qui pourrait être son père. Jamais il n’a entendu sa si jolie épouse hurler ainsi avec lui !
Kader et Valérie sont toujours amants aujourd'hui, et Georges de plus en plus soumis. Kader passe souvent à la villa.
Dans ces moments-là, Georges se plie à tous les phantasmes de l'amant de sa femme devenu son maitre.
Il est devenu candauliste. A jamais.
Un après midi, Valérie rentre des courses, et trouve son mari, entièrement nu, en larmes, les fesses toute rouges.
« Mais… que se passe-t-il ? demande-t-elle.
- Il m'a désobéi, répond Kader, j'ai été obligé de lui donner une raclée.
- Pauvre chéri, poursuit Valérie. Tu sais bien que tu pleures quand il te prend par les testicules. Allez, fais voir tes noisettes à ta petite femme.
- Aieeeeee… non... pas toi... aie... »
Elles sont rouges et enflées… Valérie éclate de rire… « Pour une fois qu’elles sont grosses.. Tu devrais être content !!! »
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Et bien voila un beau chapon (coque sans couille)
Ce faire plaisir est une tres bonne chose mais une soumission comme celle-ci je deteste enfin si il sont heureux comme ca ces leurs choix
bonjour sophie tres jolie recit je suis sur que tu aurais aimer etre catherine !!!
tu ne m'as pas dit si tu avais apprecier mon mail
bisouxx