Les Mémoires très Libertines de Sophie
Baisé par deux motards
Je m’appelle Jules, j’ai vingt-huit ans, et je suis devenu homo par hasard. Voici comment.
Il est 23 heures, je pisse dans des toilettes sur une aire d’autoroute près de Marseille.
J’entends des motos qui s’arrêtent, deux motards entrent, l’un d’eux s’approche de moi.
« Alors pédale, on joue à touche pipi ?
- On va s’occuper de toi ! »
Je lui explique qu’il y a méprise, que je ne suis pas un homo. Pour toute réponse, j’obtiens un : « ferme ta gueule ! »
J’essaie de gagner la sortie, les deux hommes me barrent la route.
« De toute façon, pédé ou pas. Nous voulons baiser. Et TE baiser !
- un trou c’est un trou !
- Baisse ton froc conard et fais voir ton cul !
- Ne fais pas ta mijaurée ! »
Stupéfait, je reste figé. Ils se précipitent sur moi, je résiste. La lutte est inégale, ils déchirent mes vêtements. En quelques secondes, mes habits jonchent le sol. Je suis nu, les mains sur mon sexe, devant ces deux mecs hilares.
« Ne fais pas de chichi, tu es drôlement mignon !
- Avec ton cul à l’air !
- Allez, ôte tes mains !
- Et fais-nous voir ta queue de pédale ! »
L’autre s’approche de moi en se marrant, me pince fortement les tétons, et me malaxe énergiquement les couilles et la bite de l’autre main.
Malgré mon anxiété, après de longues minutes de ce traitement, je bande. Et ferme, en plus Les sarcasmes pleuvent :
« Ca te plaît !
- C’est bon de se faire caresser la grappe ! Tu es drôlement mignon avec ta bite toute raide.
- Tu me plais-toi ! Je vais te caresser la rondelle avec ma bite !
Je proteste
- je ne demande pas ton avis ! »
Même si je bande, je suis effrayé. Il dégrafe son pantalon et exhibe une bite noueuse au gland violacé.
« Allez, tourne–toi ! »
Je me rebiffe, mais pour toute réponse, il me toise : « Tu vas commencer par me sucer la bite, pédé ! »
Il saisit ma nuque et m’oblige à me plier, mes lèvres entrent en contact avec son gland. Je suis un peu assuré, car il semble renoncer à m’enculer. Alors, vaillamment, j’ouvre la bouche, la nuque fermement maintenue. Il enfonce sa bite jusqu’aux couilles, et crie son plaisir :
« Tu vois, c’est pas compliqué !
- Allez salope suce-moi bien ! Hhhhoo ! Hhhhaaa ! Hooouuuuuiiii ! Bouge ta langue salope ! hhhhouuu ! Hhhhoooo ! Hhhhaaaaaa ! Putain ! Tu suces comme une reine ! Un vrai aspirateur ! Je vais lâcher toute ma purée ! Huuuuiiiiiiii ! Tiens, salope avale ! »
Sa liqueur envahit ma bouche, j’avale jusqu’à la dernière goutte avec des hauts de cœur. Il essuie son gland sur mes joues. Tranquillisé que ca ne se passe pas si mal, je crois que mon calvaire est fini.
Interdit, j’entends alors l’autre dire : « Il a un beau cul, plie-le vers l’avant un peu plus, que je vois bien son petit trou ! «
Je crains le pire, je suis terrorisé. J’essaie de me dégager, je me rebiffe.
« Regarde ce que je vais te mettre dans cul ! »
Plié en deux, la nuque fermement maintenue. Je tourne un peu ma tête. Une bite de dix-huit cm et trois de diamètre, pointe son gland décalotté a l’horizontale. Il enfile une capote, l’enduit de gel. Il fait un anneau avec son pouce et son index et le fait coulisser son gland et sa hampe. Epouvanté par ses intentions, je tente de me libérer de cette fâcheuse posture.
Je crie en vain : « Ne faites pas ça ! Je ne veux pas ! Pas par-là !
- Tu vas avoir un peu mal au cul ! Mais ca va passer !
- Gueule si tu veux ! Ça m’excite ! »
Il se place derrière moi, enduit mes fesses et ma raie de gel froid, et me saisit les hanches. Sa bite coulisse dans ma raie.
« Prépare ton cul salope ! Je vais le façonner a ma manière ! »
Je les supplie en vain de me laisser. Son gland appuie sur ma rondelle, qui se distend à l’extrême, son gland glisse et remonte dans ma raie.
« Détends-toi ! Ca va aller, tu vas aimer, ma petite salope d’autoroute ! »
Ma rondelle malmenée se rompt, laissant pénétrer le gros gland, je crie mon désarroi.
« Hhhhooooo nooonnn ! Pas ca ! Ca me fait mal !
- Tu peux gueuler ! Ca ne changera rien !
- Tu as mon gland dans le cul ! Si tu as mal respire à fond ! C’est comme aux chiottes : tu pousse et tu respires ! »
Par petites poussées, il s’enfonce au fond de mon étroit conduit vierge, balayant toute résistance sur son passage.
Je suis anéanti une larme coule sur ma joue.
Apres une courte pose, il commence un va et vient. Triomphant, il grogne,
« Tu la sens bien ? Tu gueules plus ? Elle est bonne ma queue ? »
Son copain essuie la larme sur ma joue, caresse mes cuisses, les couilles, et me branle lentement.
Le fion bourré à grands coups de butoir ces couilles écrasent mes fesses, je ferme les yeux et pousse des gémissements.
Goguenard.
« Tu as mal à ton petit cul ! Mais t’aime çà, salope ! Tu l’entends maintenant il ronronne le con ! C’est bon ? Allez, chante ! »
Excité, il sort sa bite de mes reins, écarte mes fesses et d’une poussée, s’enfonce jusqu’à la garde dans mon rectum. A chaque coup de boutoir, mon cul s’ouvre sans résistance. Je ne sais plus où j’en suis, avec cette bite qui me besogne le cul. Cette main qui me branle, fait monter en moi un plaisir masochiste, je veux qu’il me fasse mal.
Je lui crie : « Oui ! Oooouiiiiiiiiiiii ! Ooooouuuuiiiii ! Vas-y ! Vas-yyyyyyyyy !
Je suis pris de violents spasmes, et sans prévenir, je jouis comme je n’avais jamais joui avant. J’ai la tète qui bouillonne, les jambes en coton.
Mon bourreau marmonne :
« Putain il a le cul qui resserre ! Je me vide les couilles à fond ! Hhhhhoooooo ! Hhhhhhhaaaaa ! »
Il se retire, et vient me montrer une capote pleine de sperme, en disant : « Je vais la garder en souvenir, tu es une chienne hors-pair ! je ne m’étais pas trompé, quand je suis entré dans ces chiottes ! »
Puis se tournant vers copain : tu devrais l’essayer, c’est du haut de gamme !!! »
Je me tourne vers son compagnon, je suis un peu inquiet, malgré tout. Il enfile une capote, sur une queue bien plus grosse que la précédente. Pourtant, je prends la position qu’il me demande. J’ai une petite appréhension quand son gland entre en contact avec ma rondelle. Il me pénètre sans difficulté, de le sentir en moi cela me fait bander.
Et l’autre d’ajouter :
« Dire qu’il y a quelques minutes, il gueulait qu’il n’était pas pédé ! Je ne veux pas me faire enculer ! Je ne veux pas me faire enculer, qu’il criait ! Et maintenant, dès qu’il a une bite dans le cul il bande ! »
Son copain de renchérir : « Il suce bien aussi ! Il la le cul qui s’ouvre comme une fleur ! »
Et pour donner foi à ses dires, il retire sa queue, et d’une violente poussée, il l’enfonce dans mes entrailles jusqu’aux couilles. Ce qui n’est pas pour me déplaire et me fait émettre des râles à chaque bourrade.
Je n’ai plus appréhension, je me sens bien, ça me plaît de les entendre parler de moi dans ces termes vulgaires. De savoir que je leur donne du plaisir, ça m’excite, je me cambre pour qu’il me pénètre plus profondément en lui criant :
« Vas-y, encule-moi ! C’est bon ! Ne t’arrête pas ! J’ai le cul en feu ! Ta mèche m’allume le pétard, j’explose ! »
Je m’effondre par terre, terrassé par le plaisir.
Il continue a me limer le cul un long moment et me remplit le fion de son foutre. Il reste planté dans mes reins. Son pote me fourre sa bite dans la bouche, je le suce avec application, son gland se gonfle, sa bite vibre et crache sa liqueur épaisse. Je gobe tout avec application.. Quel bon jus. Me voilant aimant le sperme des hommes…
Quand je reprends mes esprits, et ramasse mes affaires, les deux motards sont loin.
Je remonte dans ma voiture et je m’éloigne avec un léger mal au cul. Mais prêt à recommencer. Je sais que je suis devenu une bonne salope, prête à me faire baiser par des dizaines de mecs. Je serai le vide-couilles de cette autoroute !!!
Quand on joue avec le feu... l'histoire de Nicolas et Emilie
Nicolas m' a permis le publier ici. Cependant, ce texte étant très long, je ne peux le mettre en ligne au complet. Vous retrouverez la totalité de cette histoire dans mon autre blog : http://sophie973.erog.fr
J’ai hésité avant de me lancer dans le récit de cette aventure que nous avons vécue à la fin de l’été dernier. J’ai hésité, car il s’agit tout de même d’une sorte de fantasme qui s’est réalisé, et je n’étais pas sûr de ne pas vouloir garder tout ça entre nous. D’autant que ce genre d’aventure n’est pas que positive, quand on n’y est pas préparé. Et puis finalement, j’ai décidé d’écrire cette histoire, en espérant une sorte d’absolution psychique, avec la volonté de garder ces dix jours dans nos mémoires comme une parenthèse refermée sur nos vies.
Émilie et moi nous sommes donc mariés l’été dernier dans notre petit village du Gers. Nous avions prévu de passer quelques jours sur un voilier dans les Caraïbes, avec au programme deux jours d’escale aux Grenadines, pour retrouver un copain de lycée que nous n’avions pas revu depuis cinq ans.
Notre idée de départ était de vivre ce voyage en solitaire pour simplement profiter de la vie à deux. Mais comme ni Émilie ni moi n’avions une quelconque connaissance en navigation, il nous fallait donc être accompagnés du capitaine du voilier. Nous allions donc suivre un itinéraire que nous avions décidé tous les trois au préalable. C’était une sorte de tour des petites Antilles qui nous attendait : Guadeloupe, Barbade, Sainte-Lucie, Saint-Vincent, Grenadines, Martinique, puis retour à la Guadeloupe. Tout ça sur dix jours…
La première étape fut donc de prendre l’avion jusqu’à Pointe-à-Pitre, après l’escale habituelle à Paris. Les vols se sont déroulés tout à fait convenablement, et nous nous sentions légèrement euphoriques à l’idée de bientôt débarquer dans ces paysages paradisiaques. Nous sommes donc arrivés en début d’après-midi en Guadeloupe, où nous avons été accueillis par Philippe, le capitaine du voilier.
La première réflexion que je me suis faite a été que Philippe était vraiment classe, le marin chic par excellence. Il était grand, élancé, assez large d’épaules, et on sentait tout de suite une grande force dans ses mouvements malgré une gestuelle élégante. Avec en plus son mètre quatre-vingt cinq, et ses yeux vert d’eau mis en valeur par sa peau légèrement brûlée par le soleil, le tout dans un bermuda et une chemise en lin blanc, nous nous retrouvions devant la plus belle caricature que l’on aurait pu se faire d’un capitaine de voilier. Il ne manquait que la casquette !
(...)
Après avoir aidé Philippe à débarrasser la table, nous avons regagné notre cabine, l’esprit un peu embrumé par l’alcool. Ça a été ce soir-là un feu d’artifice de sensualité et de sexe à l’état pur. Émilie avait quelque chose d’animal dans son regard, et à peine la porte de notre cabine refermée, elle m’embrassa dans un long baiser fougueux, frottant l’intégralité de son corps contre le mien.
Elle avait la peau chaude, et tout en elle respirait les plaisirs du sexe. J’ai commencé à lui caresser le dos, alors qu’elle prenait mon sexe dans sa main à travers le bermuda. J’allais lui écarter les bretelles de sa robe pour la lui enlever, quand elle m’a repoussé pour m’asseoir sur le bord du lit.
Elle m’a regardé droit dans les yeux avec un regard de félin malicieux, et m’a dit de me laisser faire, que ce soir c’était elle la dompteuse, et qu’elle allait m’en faire voir de toutes les couleurs. Elle a alors commencé à bouger légèrement sur le rythme d’une musique intérieure, frottant son petit cul contre la porte, de manière à ce que sa robe remonte et dévoile son string humide.
Puis elle s’est mise à titiller ses tétons, qui n’avaient pas attendu pour se dresser fièrement. Lentement, elle s’est baissée, et sans me quitter des yeux, elle s’est retrouvée à quatre pattes, m’approchant lentement telle une lionne approchant sa proie. Elle a caressé ses cheveux sur mes jambes, remontant lentement le long de mes mollets puis de mes cuisses. En s’approchant de mon sexe, elle a donné un coup de langue sur mon bermuda, ce qui a eu pour effet de m’électriser encore plus.
J’étais à ce moment précis dans un état d’excitation comme je n’avais jamais été, totalement à la merci de ma femme. Elle a lentement déboutonné mon bermuda puis me l’a retiré, enlevant au passage mon boxer pour que je me retrouve complètement nu.
Me caressant le torse de ses mains, elle a commencé à donner des coups de langue tout autour de mon sexe turgescent. J’étais vraiment très dur et très épais à cause de toute cette excitation, chose qu’elle n’hésita pas à me faire remarquer. Ses coups de langue et ses caresses se sont précisés petit à petit, jusqu’à ce qu’elle joue avec une perle d’excitation qui pointait au bout de mon sexe.
Elle l’a alors englouti doucement et goulûment, le caressant avec sa langue à l’intérieur de sa bouche.
Après quelques va-et-vient, elle a replongé son regard dans le mien et s’est mise à faire tournoyer sa langue autour de mon gland. Je trouvais ma femme splendide et envoûtante, et jamais je ne l’avais vue comme ça auparavant. Elle m’a ensuite léché les bourses, est revenue prendre mon sexe en bouche, tout en me caressant avec son autre main.
Puis en me gardant en bouche et en serrant ses lèvres, elle a alors cherché mon anus de son autre main. Elle avait décidé de me faire la totale, elle y allait vraiment sans retenue. Mon sexe toujours prisonnier dans son écrin chaud et humide, elle a fait tourner lentement son index sur mon anneau pour le détendre.
Je me suis naturellement rapproché du bord du lit pour lui faciliter l’accès, et après quelques minutes de ce traitement, elle avait son doigt immiscé en moi. J’adorais cette sensation et elle le savait. D’ailleurs elle n’hésitait pas à me caresser l’anus pendant nos ébats, ce qui avait pour effet de faire grossir mon sexe, et de lui donner plus de plaisir. Mais cette fois-ci, la sensation était décuplée par l’érotisme du moment et la fellation dont elle me gratifiait.
Elle a laissé son doigt en moi alors qu’elle reprenait ses mouvements autour de mon sexe. Puis ce va-et-vient a été accompagné par le même mouvement dans mon anus, faisant vaciller tous mes sens. Je ne savais plus ce qu’il se passait, je n’avais plus conscience de notre environnement, la promiscuité des lieux… seuls persistaient dans mon esprit Émilie et le plaisir. J’étais au bord de l’explosion, il me fallait faire une pause pour ne pas m’effondrer, j’ai donc pris les épaules d’Émilie pour le lui faire comprendre. Mais contrairement à l’habitude, elle a résisté, puis gardant mon sexe en bouche, m’a lancé son regard le plus indécent possible et m’a fait un clin d’œil.
Avant même que je ne comprenne le message qu’elle voulait me faire passer, elle avait repris sa caresse buccale de plus belle. Malgré ma volonté de faire durer cet instant le plus longtemps possible, je me suis répandu dans sa bouche dans un souffle rauque et profond, lâchant le cran de sécurité, la soupape qui me maintenait sous pression. Émilie eut un mouvement en arrière, puis laissa du sperme s’échapper de la commissure de ses lèvres. Le temps que je reprenne mes esprits, je la trouvai toujours entre mes jambes, me caressant d’une main le sexe, et de l’autre se pelotant le sein gauche, la robe à moitié débraillée.
Elle me fit un large sourire en me demandant si j’avais aimé, puis me fit comprendre que c’était à mon tour de lui donner du plaisir, en se frottant la main par-dessus son string. Je ne fus pas long à la détente et je l’attirai vers moi. Après quelques nouveaux échanges de baisers au goût de sexe, je la couchai sur le lit et lui retirai son string. Je pris le temps de laper son corps, de le recouvrir de tendres caresses, avant de plonger dans son entrejambe chaud et trempé. Mon majeur n’eut aucun problème pour entrer dans son intimité, alors que ma langue jouait avec son clitoris. Mon majeur bien mouillé, je voulus tenter à mon tour une descente vers son petit trou. Bien que nous ayons essayé une ou deux fois la sodomie, Émilie n’était pas adepte de cette pratique, non pas qu’elle lui faisait mal, mais elle n’y prenait pas de plaisir. Un éclair de raison fit que je me retins, pour ne pas la froisser et détruire cette si douce atmosphère en lui donnant une sensation négative. Je me contentai donc de prendre son clitoris en bouche et de le sucer comme un petit bonbon.
Elle se redressa presque brusquement en me disant qu’elle voulait que je la pénètre, et qu’elle espérait que mon sexe était aussi gros que tout à l’heure. Elle me mit sur le dos, et vint s’empaler sur mon membre qui avait retrouvé sa forme. Dans cette position, je pus littéralement lui dévorer les seins, ce que j’adore et qui intensifie ses orgasmes. D’ailleurs elle fut rapide à venir, le souffle court, la tête en arrière, tel un pantin désarticulé à force de monter et descendre sur mon sexe. Elle s’écroula haletante sur mon épaule, alors que je continuais à bouger lentement au fond d’elle et à lui caresser les épaules et le dos. Elle prit le temps de récupérer son souffle, et me lécha tendrement l’oreille avant de la mordiller et de souffler doucement dessus. Intense sensation qui traversa tout mon corps.
Puis, toujours calée sur mon sexe encore dur, elle me chauffa en disant qu’il fallait qu’elle finisse de s’occuper de lui. Elle se mit à genoux sur le lit, les seins plaqués contre le mur de la cabine, la tête de côté. Elle me demanda de la pénétrer doucement dans cette position. Je me mis à genoux derrière elle et entrai doucement dans sa vulve toujours aussi chaude. La sensation de ses fesses contre mon pubis multipliait mon plaisir pendant le coït. Je voyais son visage refléter son plaisir à quelques centimètres de mes lèvres, et lui déposai de petits bisous dans la base du cou.
C’est alors qu’elle me demanda entre deux souffles si ça m’excitait de l’imaginer se faire prendre par Philippe devant moi. Ce murmure à peine audible eut un effet dévastateur qui me fit jouir presque instantanément. Je la vis sourire et se mordre doucement les lèvres, alors que je ne trouvais plus la force de bouger. Nous nous sommes écroulés sur le lit et nous sommes endormis dans la foulée, sans même avoir le temps de parler de son estocade.
(...)
Sylvain nous dit qu’il était très heureux de sa sexualité, qu’avec Méloé ils vivaient très souvent de nouvelles expériences et que c’était très épanouissant. Il avoua tout de même qu’un de ses fantasmes aurait été de voir Méloé faire l’amour avec une autre fille, avant qu’elles ne s’occupent toutes les deux de lui. Émilie avait les joues rouges suite à ses propos. Je me suis demandé si c’était parce qu’elle prenait la confession de Sylvain pour une demande et que ça l’excitait, ou plus simplement parce que c’était son tour de dévoiler ses fantasmes. Puis je compris que ce n’était ni l’un ni l’autre, lorsqu’elle avoua légèrement haletante que les caresses de Sylvain sur l’intérieur de sa cuisse, depuis dix minutes, n’étaient pas forcément un fantasme, mais que le fait que je ne m’en rende pas compte l’avait complètement excitée. Puis elle rajouta en me fixant droit dans les yeux qu’elle croyait que ce soir, j’allais finalement vivre mon fantasme.
C’est là que tout s’est emballé. Sans que j’aie le temps de réagir, l’esprit vaseux à cause de l’alcool mais aussi de ma grande excitation, Émilie embrassait Sylvain sans retenue, et je compris à leur gestuelle que mon ami venait de poser sa main sur l’intimité de ma femme. Cette vision extrêmement érotique fit durcir encore plus mon sexe, mais décupla cette espèce de sentiment latent de jalousie qui me faisait peur depuis quelques jours. Je n’eus pas le temps de réagir ou de dire stop que Méloé caressa mon sexe à travers mon short, et me gratifia de baisers dans le cou. Le contact de ses lèvres sur ma peau et sa main douce me firent basculer dans un monde de sensualité. Je venais de franchir la limite et il était trop tard pour faire machine arrière, je n’avais plus d’autre choix que de me laisser aller. Pourtant le doute subsistait au fond de moi…
Alors que ma femme et mon ami continuaient de s’embrasser et se caresser, je tournai machinalement la tête et rencontrai la bouche de Méloé. Nos langues se sont délicatement découvertes, avec beaucoup de douceur et de passion. La main de Méloé me caressait les cuisses, le torse, la joue partageant la chaleur de sa peau avec toutes les parties de mon corps. Je n’étais pas encore très à l’aise, et c’est elle qui prit ma main pour la poser sur son sein. Il était dur et tendre, donnant la sensation d’une poitrine bien pleine et agréable à caresser. J’ai alors descendu mon visage vers ce sein que j’ai embrassé à travers la nuisette. Méloé a basculé sa tête en arrière pour apprécier pleinement cette caresse, et j’ai pu alors faire glisser la bretelle de sa robe pour caresser et embrasser directement la peau de son sein. Ses mamelons étaient plus foncés que sa peau, ce qui changeait des variations de rose sur la poitrine d’Émilie et qui rajoutait à mon excitation. La saveur de cette peau, sa texture, son odeur m’ont donné encore plus envie de découvrir son corps. J’ai donc pris le temps de la caresser langoureusement avec mes mains, mes lèvres et ma langue alternativement. J’ai petit à petit exploré tout le haut de son corps, des épaules à son nombril, oubliant l’autre couple à côté de nous. Méloé m’embrassa ensuite et se leva en me prenant par la main, pour me conduire sur un transat proche de la piscine. Je me rendis compte à cet instant qu’Émilie était tout à son plaisir, allongée sur la table pendant que Sylvain lui dévorait l’abricot. Elle était magnifique, comme la veille au soir, la tête sur le côté, les yeux fermés, prenant son plaisir sous la langue agile de mon ami.
Méloé m’allongea sur le transat et sans autre forme de procès, m’enleva mon short, libérant mon sexe cramoisi et aux abois. Elle me regarda droit dans les yeux en se mordillant la lèvre, et descendit doucement sur l’objet de son désir. Les jambes tendues, les seins ballants, elle m’engloba d’un seul coup, ce qui eut pour effet de m’électrifier toute la colonne vertébrale. C’était si bon que je crus jouir instantanément. Je voulais reprendre mes esprits, mais voir cette jolie métisse s’occuper ainsi de moi, ses seins se baladant au rythme des montées et descentes sur mon sexe, me rendait fou. Je saisis un sein et compris rapidement qu’il me fallait occuper mon esprit pour ne pas venir si vite. Je me redressai alors et lui caressai les fesses, tout en l’attirant vers moi. Elle comprit ainsi ce que je voulais faire et passa une jambe au-dessus de mon visage, tout en se baissant. Je pus ainsi respirer la forte odeur de désir féminin qui s’échappait de son sexe.
Elle reprit mon membre en bouche, mais j’étais à mon tour concentré sur sa vulve rose qui s’ouvrait devant mes yeux. J’étais fasciné de voir que l’intimité d’une fille de couleur puisse être si rose. Sa peau plus foncée rendait la couleur de son sexe presque fluo à cause du contraste inhabituel pour moi. Je me décidai enfin à laper ses lèvres, ce qui eut pour effet immédiat de tendre son corps en un murmure d’extase. Je décidai de prendre mon temps alors qu’elle suçotait tour à tour mes testicules. Ainsi je déposai des baisers et des coups de langue autour de ses lèvres, me contentant de souffler doucement sur la cible rose. Ce traitement eut l’air de lui plaire, car pendant quelques instants elle laissa mon sexe pour apprécier mes caresses. Puis je lui donnai un coup de langue profond de bas en en haut, avant d’enfoncer ma langue dans son intimité ainsi offerte. Elle avait complètement laissé mon sexe, ce qui m’offrit un répit et l’occasion de faire durer le plaisir.
Sylvain et Émilie s’installèrent sur le transat à côté, et mon ami déposa une boîte de préservatifs à côté de ma tête. Il en enfila un et s’allongea à son tour sur le transat tandis qu’Émilie vint s’empaler sur son membre. Elle bougeait de haut en bas, s’abandonnant totalement à son plaisir, les seins ballotant, sans même m’avoir lancé un regard. Elle était belle et semblait épanouie. C’est alors que je décidai de m’écarter de Méloé et d’enfiler à mon tour un préservatif. Méloé resta à quatre pattes, la tête en direction des sexes d’Émilie et Sylvain. Elle semblait vouloir être prise en levrette et je m’appliquai à la pénétrer très profondément. Ce fut sans difficulté que mon ventre vient s’écraser sur ses fesses, et je restai immobile quelques secondes pour savourer la chaleur de sa grotte secrète. Puis je commençai de lents va-et-vient, profonds, intenses, qui extirpaient à chacun de nous des vocalises de plaisir. Les sons enthousiastes de nos quatre voix semblaient résonner comme un concerto de luxure.
Assez rapidement, Sylvain jouit et Émilie s’allongea à côté de lui en l’embrassant tendrement. Elle continuait à caresser le ventre de son amant d’un soir. J’étais à mon tour au bord de l’explosion, quand Méloé décida d’avancer un peu son corps, pour prendre en bouche le sexe visqueux et collant de son homme. Cette vision eut raison de ma volonté et je me vidai dans le préservatif, mes tempes compressées dans un étau invisible. Je m’assis, complètement exténué, sur le bord du transat, regardant Méloé redonner vigueur à son homme aidée par Émilie qui lui caressait les testicules. Émilie approcha à son tour son visage de la verge de mon ami, et c’est à deux qu’alternativement elles s’appliquaient à redonner vie à son organe d’amour. Pendant quelques instants, je fus frappé de plein fouet par la jalousie et un sentiment de solitude.
Les filles s’occupaient de mon ami pendant que je récupérais de mes ébats, et rapidement Méloé s’est satisfait de l’état de Sylvain, car elle s’est glissée sur son homme dans la même position qu’avait Émilie auparavant. Émilie a alors embrassé Sylvain puis s’est placée à genoux au-dessus de son visage pour qu’il lui lèche le sexe. Elle se frottait carrément le sexe sur son visage en se mordant les lèvres, quand elle me sourit et me tendit la main. Elle avait dû s’apercevoir de mon trouble et me permettait de revenir dans le manège. Ce geste me rassura énormément et elle m’embrassa fiévreusement. Je pouvais sentir à son goût le sexe de Sylvain, et aux soubresauts de sa langue le plaisir qu’elle prenait de la situation et de la langue de mon ami. Elle me fit me lever, et à son tour engloba mon sexe dans sa bouche. Le plaisir de sa langue chaude fut intense, car ce fut la première fois que ma femme me reprenait en bouche après que j’aie joui. E
lle le savait et me jeta un coup d’œil pour voir si j’appréciais son geste. Tout comme mon ami, je ne fus pas long à retrouver la forme. Émilie me fit alors asseoir sur le bord du transat, et vint doucement se lover contre moi. J’avais ainsi ses seins à portée de bouche, et elle serrait ses bras derrière ma tête. Je tétais ainsi les seins de ma femme pendant qu’elle imprimait le rythme de nos ébats. Elle me murmura alors qu’elle appréciait follement la soirée et qu’elle avait pris son pied avec Sylvain, me remerciant de l’avoir un peu poussée dans cette aventure. Elle passa alors sa main dans son dos pour me malaxer les bourses, pendant qu’elle continuait à monter et descendre sur mon mât de chair.
Elle me demanda ensuite si moi aussi j’avais pris plaisir à la voir avec quelqu’un d’autre, puisque c’était mon fantasme. La confusion était telle dans mon esprit à cet instant que je ne pus contrôler une seconde éjaculation, plus courte que la première mais puissante et à la limite de la douleur. Sentant mon corps qui s’arque-boutait sous cette jouissance, Émilie m’embrassa en ondulant lentement son bassin. Derrière elle, Sylvain s’était levé et tenait Méloé par les fesses, la faisant monter et descendre à bout de bras. Elle semblait apprécier le traitement et poussait « Oh oui ! » suivant la cadence des mouvements. Le spectacle était vraiment torride, et Émilie me prit la main pour que je lui caresse le clitoris.
Elle avait fait ce geste machinalement, sans même quitter le couple des yeux. Elle voulait plus de plaisir et je n’arrivais plus à avoir qu’une « demie érection », ne pouvant donc la satisfaire. Tout en la caressant, je la regardais, hypnotisée par le spectacle de Sylvain coulissant dans la matrice de sa chérie. Elle semblait envieuse et prête à se jeter sur le couple pour participer à leurs ébats.
Sylvain avait maintenant reposé Méloé sur le dos et allait à nouveau la pénétrer, quand elle le retint et lui dit de s’occuper d’Émilie. Cette fois-ci je me suis senti presque minable, tellement pas à la hauteur de donner du plaisir à ma femme qu’il fallait que ce soit mon ami qui s’en occupe. Émilie, les yeux pétillants, s’est immédiatement levée et à embrassé Sylvain en prenant son sexe en main. Après deux ou trois allers-retours, Méloé s’est approchée avec un préservatif et l’a déroulé sur le membre de son homme, y déposant un bisou. Sylvain souleva une jambe de ma femme et la pénétra debout sans se défaire de sa bouche, gardant pour lui le cri sourd qu’Émilie poussa. Il la besogna assez durement et avec peu de tendresse, mais elle semblait éprouver énormément de plaisir à se faire posséder ainsi. Les deux corps bougeaient en rythmes inverses, laissant s’échapper des grognements de plaisir sauvage. J’étais envoûté par cette scène et elle m’excitait autant qu’elle me broyait le cœur. Et si Émilie prenait plus de plaisir avec lui qu’avec moi ? Mon fantasme m’excitait et m’explosait en pleine face en même temps.
Je regardais sans bouger ce couple d’un soir et Méloé qui se masturbait sans gène en observant la scène. Mon sexe se raidit à nouveau, mais je n’avais pas le cœur à recommencer. J’avais vécu cette soirée sur un fil, sans savoir si je tomberais du côté du plaisir total ou de l’angoisse et de la tristesse, et finalement il me semblait que cette aventure ne me laisserait pas indemne…
Sylvain finit par jouir, alors qu’il prenait ma femme en levrette. Nous étions tous exténués, allongés sur les transats ou affalés sur les chaises de jardin. Seule la lune et la lumière de la terrasse nous éclairaient, et permettaient de distinguer les visages las et comblés des uns et des autres. Un lourd silence venait de s’installer, et je me demandais quelle allait être la réaction d’Émilie après cette soirée. Méloé a été la première à bouger, et après avoir fait la bise à tout le monde, elle a annoncé qu’elle allait se coucher. Nous nous sommes regardés avec Émilie, et avons décidé de faire de même. J’ai eu l’impression qu’il y avait une certaine distance entre nous, mais j’avais peur que ce soit moi qui aie créé cela en interprétant mal la soirée. Après tout, je l’avais poussée dans les bras de mon ami en lui disant que c’était mon fantasme de faire l’amour à plusieurs, et elle l’avait fait pour me faire plaisir. Il était normal qu’elle y prenne du plaisir en retour.
(...)
Immédiatement après cette annonce, Philippe s’était rapproché de ma femme et n’hésitait pas à la peloter, caresser ses cuisses, son dos, allant jusqu’à l’embrasser dans le cou. Petit à petit, sa robe recouvrait de moins en moins son corps, se froissant et rapetissant sous les mains du marin. Nous n’avons pris ni dessert ni café ce soir-là, Philippe étant trop heureux de pouvoir jouir de ma femme, il a sorti son membre alors que nous étions encore à table, demandant à ma femme de venir goûter à son dessert. Elle semblait émoustillée de se faire traiter de la sorte, par des ordres stricts et directs, mais sans violence, ce que je n’aurais pas accepté. Je voyais le haut de sa tête monter puis descendre sur le pieu de chair de Philippe. Il se baissa un peu sur le côté pour atteindre les fesses de ma femme, et après avoir remonté sa robe, commença à lui malaxer les fesses. Je crus comprendre qu’il immisçait un doigt en elle, quand je vis son corps avoir un soubresaut puis recommencer sa fellation. Les deux respirations s’intensifiaient, et mon sexe ne restait malgré tout pas insensible à cette scène hautement perverse. Après quelques minutes ainsi, Philippe stoppa ma femme et l’allongea sur la banquette. Il me demanda d’attraper un préservatif dans le premier tiroir de la cuisine, et commença à brouter le minou d’Émilie.
Je la vis en passant, la robe remontée jusqu’au nombril, la tête en arrière, les yeux clos, toute au plaisir que la langue de Philippe lui procurait. J’attrapai un préservatif et le posai sur la table à côté de Philippe, toujours à l’œuvre. Je ne pus cependant pas m’asseoir à nouveau, restant debout à leurs côtés, comme pour me rassurer en ayant l’impression de pouvoir maîtriser les événements.
Mais force est d’avouer que j’étais aussi hypnotisé par cette scène, qui éveillait en moi des désirs animaux primitifs. Émilie avait un souffle de plus en plus rauque, synonyme d’une montée de jouissance, puis elle attrapa la tête de son amant pour la compresser sur sa vulve. Je voyais son corps se distendre sous cette caresse buccale, et comprenais l’intensité de son orgasme. Je me sentis devenir orphelin de ma femme à cet instant. Elle n’était plus tout à fait mienne, vivant sa sexualité et prenant plaisir loin de mes caresses, loin de moi tout simplement… et pourtant sous mes yeux. J’avais souvent eu cette vision qui m’excitait inexorablement, mais le passage du fantasme à la réalité laissait un goût rance dans tout mon être.
C’est elle qui prit les choses en main, complètement obnubilée par l’appel du plaisir. Elle avait le corps qui transpirait la luxure, et son regard était un appel vicieux au sexe. Elle se redressa puis s’allongea, le ventre sur la table, avec les jambes écartées posées par terre. Elle offrait sans pudeur son sexe ouvert à nos regards, et ne quittait pas Philippe des yeux. Il se leva pour enfiler le préservatif, et je me rendis compte qu’il avait un sexe plus fin mais bien plus grand que le mien. Il ne devait pas être loin des vingt centimètres, avec un gland qui me fit penser à un chapeau de champignon, tant il me parut large et rouge sur cette fine tige. Il se positionna derrière ma femme, qui se tenait les fesses écartées de ses deux mains.
J’eus l’impression qu’elle me lançait un regard, juste avant de fermer mes yeux, alors que Philippe la pénétrait doucement. Il entra en elle de toute sa longueur puis resta immobile quelques secondes, sûrement pour profiter de la sensation de chaleur de ma femme. Puis, sûrement, il se mit à aller d’avant en arrière, profondément, écrasant les fesses de ma femme entre la table et la fine toison grisonnante recouvrant ses abdos. Il la prit ainsi de longues minutes, pelotant tour à tour ses fesses et ses seins, puis, tout en restant en elle, il s’assit sur la banquette.
Elle était maintenant face à moi, et elle le chevauchait en accélérant le rythme. Il avait ses mains sur les seins de ma femme, et elle les lui maintenait en pressant les siennes par-dessus. Le couple ne se souciait plus de ma présence, et Émilie tourna la tête pour embrasser son amant derrière elle. Cette position était vraiment très sensuelle, et cette vision accentuait mon érection et l’excitation à laquelle je ne voulais pas céder. Philippe, visiblement encore loin de déposer les armes, se retira et coucha Émilie sur la table, mais cette fois face à lui. Il la reprit immédiatement en la saisissant par les hanches, puis se mit à caresser le clitoris de ma femme. Leur cris devenaient insoutenables à contenir, et semblaient petit à petit combler l’espace vide de la nuit qui nous entourait. Émilie s’était définitivement abandonnée à cet homme qui la possédait. Elle saisit alors le sexe de Philippe, et le fit sortir de son vagin tout en le masturbant. Elle le regardait droit dans les yeux tout en se mordant la lèvre inférieure.
Je compris immédiatement ce qu’elle voulait faire, et la vision de ce gland posé sur son anus me donna un second vertige nauséeux. Il entra en elle, lui extirpant un feulement chargé de douleur et de satisfaction. Il se cala au fond de son fondement puis commença un lent va-et-vient, alors qu’elle se tenait au bord opposé de la table. Ses seins ballottaient au rythme des coups de boutoir de son assaillant, puis après s’être visiblement retenu autant que possible, Philippe se retira et en enlevant le préservatif, se répandit sur le ventre d’Émilie. Il se laissa tomber sur la banquette pour reprendre son souffle. Je n’avais pas bougé depuis le début et je me sentais KO.
Debout, le caleçon trempé d’une jouissance sourde et obscène que je n’avais su contenir. Émilie me chercha des yeux. Elle semblait perdue et confuse, dépassée par les événements et par la vague de plaisir qui l’avait submergée. Philippe se leva et nous laissa seuls, en nous souhaitant bonne nuit, visiblement satisfait de sa soirée. Je m’assis sur la banquette, le regard perdu au loin dans l’obscurité sidérale pailletée d’étoiles. Je voulus me perdre dans cet infini pour desserrer l’étau de ma douleur. Émilie ne bougeait pas, encore sous le choc des minutes passées.
Il dut se passer une heure sans que ni l’un ni l’autre ne fit un geste. Je décidai alors d’aller m’isoler dans la cabine. Émilie m’emboîta le pas et sans un mot, sans un regard, elle s’allongea contre mon corps. La nuit fut longue, et je ne parvins à trouver le sommeil que très rarement, ramené à la réalité par des images devenues trop réelles. Ces images que me renvoyait ma femme, préférant offrir sa plus pure intimité à un inconnu qu’à moi-même. Le sentiment de trahison et de dégoût m’asséchait la gorge à chacun de mes réveils. Émilie sembla avoir un sommeil très agité elle aussi.
Notre voyage s’est conclu deux jours plus tard, dans cette ambiance très lourde, et je quittai Philippe en espérant ne jamais recroiser sa route. Un gouffre s’était creusé entre Émilie et moi, et rien ne sembla nous rapprocher sur tout le chemin du retour. La vie reprit son cours, mais quelque chose s’était fendu entre Émilie et moi. Je ne supportais pas de la voir en compagnie d’hommes, je passais mes journées à me demander à qui elle pouvait offrir son corps. J’étais totalement sous l’emprise de ce cauchemar que j’avais vécu éveillé.
Il nous fallut environ trois mois pour réussir à reparler de cette aventure, et pour commencer à crever l’abcès. Émilie m’avoua avoir pris trop de plaisir à cette situation, à me savoir à côté d’elle alors qu’elle baisait littéralement avec cet homme, qu’elle en avait perdu le cours des choses, laissant son corps contrôler son esprit. Ça avait créé en elle une onde de choc qui avait décuplé son désir pour Philippe, et elle espérait ne jamais le revoir car elle savait qu’elle succomberait à nouveau à cet homme devenu fantasme. Mais elle ne souhaitait pas que cela arrive, car elle ne voulait plus me faire souffrir.
Petit à petit, j’ai cessé de la voir comme une traîtresse qui m’aurait honteusement mis plus bas que terre, et j’ai recommencé à lui faire confiance. De son côté, elle a pris l’initiative de détruire toutes les photos de notre voyage sur lesquelles on voyait Philippe ou son voilier, histoire d’éradiquer les souvenirs.
Soumis à mes potes de lycée
Ce soir, je vais vous raconter comment je suis devenue une petite pute soumise, une vraie lope à pédés…
Cette histoire s’est passée pendant ma dernière année de lycée. J'ai été invité un samedi soir du mois de février avec mon copain Marc chez Joël, un ami de classe.
Nous avions l’intention de jouer aux jeux vidéo et de mater des films.
Après quelques parties de jeux, Marc a roulé un grand joint tandis que Joël a examiné les vidéos de son grand frère et a découvert un film de cul hétéro.
Les parents de Joël étaient partis pour le week-end, donc nous avions fait un raid sur le bar et avions déjà bu la moitié de la bouteille de vodka. Je me sentais un peu bourré.
Joël mit un film et a éteint tous les lumières, sauf un halogène dans le coin de la pièce. Il s’est assis sur le divan entre moi et Marc.
Les scènes du film de cul étaient vraiment chaudes : deux types faisaient une double pénétration à une fille.
Les deux mecs avaient des bites énormes. Le mec qui la sodomisait retirait de temps en temps sa bite, ce qui nous permettait de voir le cul de la fille complètement ouvert. On était concentré sur le film, plus personne ne parlait mais le joint tournait.
J'ai discrètement regardé mes deux copains pour voir s’ils bandaient.
Joël bandait et se frottait la bite à travers son pantalon. Je pouvais voir qu'il avait une très grosse queue. A ma grande surprise, cette idée m’a excité…
Après dix minutes, Marc et Joël se caressaient ouvertement leurs bites à travers le pantalon, et j'ai commencé à me caresser aussi. Joël m'observait en coin, puis il a placé sa main sur ma cuisse en me frottant la jambe.
Surpris, j'ai regardé Joël. Il m'a souri, mais je n’ai pas réagi, trop indécis sur l’attitude à adopter. Il a alors déplacé sa main vers mon entrejambe et a commencé à me caresser la bite et les couilles, sans aucune hésitation. Tétanisé, je me suis laissé faire.
Il a pris ma main et l'a guidée vers sa bite.
Joël a ouvert la fermeture éclair de sa braguette. Il ne portait pas de sous-vêtements, sa bite gonflée a jailli à l’extérieur. Comme je l’avais pressenti, elle était vraiment énorme.
J'ai placé ma main sur ce gros phallus, et ai commencé à serrer doucement.
Tandis que je caressais sa bite, Marc a passé le joint à Joël. Il a tiré dessus, puis il s'est penché voir moi pour me souffler la fumée dans ma bouche. Sans façons, il m'a ensuite embrassé. Nos langues se sont entremêlées : quelle sensation agréable… Jamais je n’aurais pu imaginer que ce fut si bon !
Ma bite était dure comme de la pierre, j’étais super excité, je me sentais prêt à tout. Tout en m’embrassant, Joël a enlevé ma chemise Il a trouvé mes mamelons et les a frotté doucement avec ses pouces. Il a soulevé son cul, et j’ai ôté son jean.
Joël m’a alors poussé sans ménagement la tête vers sa bite, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais sans hésiter, je me suis mis à genoux entre ses jambes et ai commencé à lécher, embrassant et suçant ses couilles. J'ai soulevé une de ses jambes, Joël l'a soutenu, exposant son cul brun, velu. J'ai timidement léché son anus. Il a haleté, m’a encouragé, j'ai alors poussé ma langue dans son cul.
Il sentait fort la sueur mais j'ai aimé le goût. Je l'ai léché jusqu'à ce que ce soit propre et sec. Alors, je suis retourné à sa bite en la suçant de bas en haut. Il a poussé ma tête afin que j’avale toute sa bite. J’ai suffoqué, mais il m’a maintenu la tête fermement. Aucun doute, ce mec me baisait la bouche ! Comme il l’aurait fait d’un cul ou d’un vagin !!!
« Olivier, tu es un putain de suceur de bite » a-t-il dit.
Quand j'ai levé les yeux, j’ai vu que Marc avait retiré son pantalon et sa chemise et embrassait à pleine bouche Joël. Marc est venu à côté de moi et m'a rejoint pour sucer la bite de Joël. J'ai sucé les couilles de Joël tandis que Marc a avalé sa bite. Marc et moi l’avons pompé à tour, léchant son gland avec une gourmandise non dissimulée
.
Puis Marc s’est approché de mon oreille et m’a chuchoté : « Olivier, je veux te baiser. »
Je savais que ce moment arriverait, et j’y étais résigné.
Tandis que je suçais Joël toujours profondément, Marc a ôté mon jean et mon caleçon, exposant ainsi mon trou du cul à sa vue. Il m’a dit à l’oreille que j’avais un cul tout mignon, lisse comme celui d’une fille, potelé et ferme. Il le trouvait parfait pour se faire prendre.
Marc a collé son nez dans ma fraie culière, et a léché mon cul vierge. Une fois mon anus bien mouillé par sa salive, il a mis son doigt sur mon sphincter et l’a lentement poussé pour le forcer. Marc a ensuite inséré un autre doigt, pour mieux m’élargir le conduit.
Je suçais toujours la bite de Joël avec toute ma force, tandis que les doigts de Marc baisaient mon cul sans aucune tendresse.
Une fois prêt, Marc a positionné sa bite devant mon œillet, et avec ses mains m’a pincé les mamelons, embrassant le cou et me léchant les oreilles. J'ai arrêté de sucer Joël pendant une seconde, et me suis tourné pour embrasser et sucer la langue de Marc.
Je me surpris de dire à Marc : « Baise-moi comme une petite putain, je veux ta grosse bite dans mon cul.
- Ok, la chienne, tu l'as demandée, et bien tu vas l’avoir maintenant. Je veux t’entendre jouir comme une fille quand je baise sa chatte, dit Marc. »
J'ai senti son gland à l'entrée de mon trou, et Marc a lentement poussé son pieu vers mes entrailles. Je sentais mon trou s’ouvrir, s’élargissant facilement.
J'ai alors poussé en arrière, désireux d’avoir sa bite toute entière dans mon cul. Une fois son membre entièrement rentré, Marc n’a plus bougé pendant quelques secondes. Enfin, il a commencé doucement à me limer. Je gémissais comme une fille : j’avais une bite dans la bouche et une autre dans le cul !!! J’étais devenue une petite chienne, qui se faisait baiser par tous les trous….
J'ai fait un peu de bruit avec ma gorge, essayant de me sentir comme une petite fille qui était violée par deux garçons plus vieux. J'ai pleurniché et j’ai sangloté pour les encourager à abuser de moi….
Marc a poussé sa bite au maximum, je pouvais sentir ses couilles tapant sur mes fesses. J'ai arqué mon dos pour le prendre complètement et j’ai continué de sucer Joël qui embrassait à pleine bouche Marc. Je savais maintenant que j'étais un pédé et que j’aimais me faire baiser par des dizaines, que dis-je, des centaines de mecs..
Marc mettait en pratique ce qu’il avait vu dans le film quelques minutes plus tôt, c’est-à-dire qu’il sortait entièrement sa bite de mon trou avant de la rentrer à nouveau violemment. C’avait pour effet de m’empaler à fond sur la bite toute gonflé de Joël à chaque poussée.
Joël m’a alors saisi la tête, puis il a commencé à me baiser la bouche, essayant de correspondre avec les poussées de Marc. Joël et Marc baisaient mon cul et ma bouche avec leurs bites énormes et raides. J’étouffais avec ce gros chibre qui me déformait la gorge. Mais je ne le lâchais pas…
« Quelle bonne petite pute, nous avons ici, a dit Marc. Regarde, Joël comment Olivier aime se faire prendre !!! »
C’est alors qu’il a retiré sa bite pour montrer à Joël mon trou béant, puis il m’a enfoncé de nouveau sa queue, entièrement, jusqu’à la garde. Je le sentais fouiller mes intestins…
Joël enfonçait sa bite profondément dans la bouche, j’avais le nez dans son buisson à l'odeur forte.
Il gémissait profondément en disant : « Je vais jouir, allez chienne, suce ma bite et avale mon sperme. »
C’est à ce moment que j’ai senti 4 à 5 giclées de son foutre au goût amer m’arroser la glotte. Ma bouche et ma gorge ont été inondées de son sperme, j’en avalais le plus possible, mais quelques gouttes se sont échappées de mes lèvres coulant sur mon menton. J
Joël a alors pris ces gouttes sur son doigt et me l’a donné à sucer. Je continuais de le pomper Joël de nettoyer sa bite et de ne pas perdre une goutte de son nectar. Il s’est alors baissé pour m'embrasser profondément et puissamment. J'ai avalé sa langue comme une adolescente avec son premier petit ami. Une vraie midinette !
Marc est devenu si excité lorsqu’il m’a vu avaler le sperme, qu’il m’a bourré le cul comme un fou. J'ai arqué mon dos comme une chienne pour profiter au maximum de ces coups de boutoir.
Marc a crié : « Je n'ai jamais connu une chatte aussi bonne que ton petit cul, je vais te remplir, tu vas déguster, ma petite salope… »
Marc m’a claqué les fesses, puis il a enfoncé son pieu au maximum et a crié très fort, j’ai alors senti sa bite se contacter, et six ou sept bonnes giclées ont tapissé mes entrailles.
Je venais de réaliser que j’avais livré mon cul et ma bouche à la soumission de deux jeunes mecs excités, les laissant abuser de moi et m'humilier… je n’en n’étais pas si fier…
Marc s’est retiré, mais Joël avait repris de la vigueur, il m'a alors retourné, j’étais maintenant sur le dos, il s’est couché sur moi, m'embrassant et suçant mes lèvres, mon cou, mordant mes lobes d'oreille et m’a interpellé durement : « Je vais moi aussi te baiser comme une putain que tu es, Olivier, allez, lève tes cuisses ! »
Il mit mes jambes autour de son cou. Joël positionna son gland énorme contre mon anus. Sa bite était plus grosse que celle de Marc, et j’avais un peu peur de ce monstre de chair.
Il a enfoncé sa bite d’un seul coup dans mon corps, j’ai été assommé par la douleur fulgurante qui m’a traversé le corps.
Mon rectum venait d’être déchiré malgré la présence du sperme de Marc qui aurait du faciliter la pénétration. J'ai crié, mais il a continué de me baiser, ne prenant pas la peine de ralentir, à chaque fois sa bite allait profondément dans mes intestins, la douleur était inimaginable.
Sa bite tapait directement ma prostate, j’ai alors joui spontanément, sans que l’on me touche, une décharge énorme sur mon torse. Marc qui, depuis le début, regardait Joël me baiser, récolta mon sperme avec sa main, puis il le porta à ma bouche. J’étais dégouté, je ne voulais pas goûter à mon propre sperme mais Marc me claqua les fesses et m’ordonna : « Allez, nettoie-lui les doigts ».
Je ne pouvais qu’obéir, et je me mis alors à les lécher, un par un, j’ai ainsi avalé tout mon sperme.
J’étais humilié et soumis. Joël utilisait mon cul comme un jouet, sans respect face à ma douleur. Il rentrait sa bite profondément dans mon rectum, déchirant mon sphincter. Pourtant, au fur et à mesure, j'ai constaté que j’aimais ces humiliations.
Marc avait repris de la vigueur, il se branlait regardant son copain me baiser puis Joël lui a demandé de me tenir les jambes, il s’est alors installé sur ma tête. Comme cela, j’avais son œillet juste au dessus de ma bouche. Il m’intima son ordre : « Lèche mon trou à merde, il faut le rendre propre ! »
J'ai léché et ai sucé son trou d'homme qui sentant fort, Marc poussait pour me permettre d’enfoncer ma longue plus profondément. J'étais maintenant dans les profondeurs de soumission et d'humiliation, léchant le trou du cul d'un homme tandis que l'autre violait le mien.
Joël me baisait de plus en plus vite, je savais qu’il allait bientôt jouir. Marc se mit sur le côté et reprit frénétiquement sa branlette. Joël se retira de mon cul et vint s’installer de l’autre côté de ma tête. Avec une main il se branlait, et avec l’autre il m’obligea à ouvrir en grand ma bouche. J’étais déjà si dégradé que je n'ai émis aucune plainte. Ils ont joui en même temps, m’envoyant au fond de ma gorge une belle quantité de sperme que j’ai du avaler.
Enfin, Joël m’a dit : « Nettoie maintenant ma bite », tout en mettant ses mains derrière sa tête pour montrer sa victoire.
J’ai léché consciencieusement la bite de Joël qui était recouverte de sperme, du sang de mon cul et d’un peu de merde puis j’ai nettoyé celle de Marc.
Joël et Marc ont ricané de concert : « A partir de maintenant, tu seras notre esclave sexuel, tu feras tout ce que l’on voudra ».
Nous sommes partis nous coucher, j’étais humilié mais j’avais pris énormément de plaisir. Jamais je n’aurais imaginé cela. Je savais que je serai à jamais un pompe à bites, pour mecs vicieux et dominateurs…
Je suis devenu leur pute. Il m’arrivait de les sucer ou de me faire prendre pendant les récréations, et ceci régulièrement jusqu'à la fin du lycée. Mais tout cela resta entre nous, jusqu’au jour des résultats du Bac où nous sommes allés boire un coup sur un terrain vague avec la petite amie de Joël. Les choses sont vite devenues chaudes : tandis qu'elle a sucé Joël, elle m'a regardé sucer Marc puis Joël l'a baisée et Marc m'a baisé : la honte absolue.
Depuis je suis toujours soumis et j’aime ça.
Une histoire courte
Pour changer, une histoire courte, de sexe brut (mais pas brutal…)
Il y a quelques semaines, j’avais vraiment des envies très fortes de sexe. Ca me prend comme ça, par période, où je ne pense qu’à ça : le sexe, le sexe, le sexe. Je suis alors prête à tout pour me satisfaire. A tout.
J’avais passé une annonce, et reçu un flot énorme de réponses. Quelques-unes se détachaient du lot, dont celle de Serge.
Quelques échanges rapides sur Msn, et il me donne rendez-vous dans un ancien garage désaffecté. Je lui avais fait part de mon envie : du sexe, pas de chichis… Je sais juste de lui qu’il est black et qu’il a une grosse queue épaisse. Aucune photo échangée.
Le scénario a été décidé à l’avance. Je ne vous le dis pas, sinon, vous n’avez plus rien à découvrir !
Rendez-vous est pris à la nuit tombé, le soir même.
Je me rends dans le lieu qu’il m’a indiqué. C’est vieux, sale, crasseux, même Et cet univers glauque m’excite encore davantage.
Je mets ma voiture en plein milieu. Le moteur a peine coupé, il arrive, se range près de moi.
Il semble être pas mal, mais la pénombre m’empêche de voir clairement son visage. Peu importe. Ce n’est pas pour son visage que je ne suis venue ! Je porte une jupe ample, sans culotte. J’ai un haut lâche aussi, et pas de soutien-gorge.
Nous nous trouvons face à face, un peu hésitants. Je prends les choses en main, au sens propre et figuré. Je l’embrasse à pleine bouche, en me saisissant du paquet qui arrondit son pantalon. Joli morceau, j’en salive d’avance ! Je recule vers le capot de ma voiture, et m’assieds dessus, les jambes les plus ouvertes possibles, jupe retroussée sur les hanches. Je mouille déjà beaucoup, avant même d’arriver au garage.
Cela fait partie des choses décidées avant : il arrive, il me suce. Sans hésiter, il se jette sur ma chatte trempée, comme un chien sur son os. Il me lèche, me suce, m’aspire les lèvres, le clito qui darde bien. Il enfonce sa bonne langue dans tous les replis de mon vagin, il n’oublie pas de mouiller ma rosette qui n’attend que ça. Je jouis très vite une première fois.
Ses caresses, la situation, l’endroit, tout contribue à ce premier orgasme rapide. Il veut se retirer, mais d’un ton impérieux, je luis dis : « encore ». J’ai encore trop envie qu’il me bouffe la chatte. Il est très doué à ce petit jeu là ! Il s’applique tant et si bien que je jouis une nouvelle fois en criant de plaisir.
Je me laisse glisser du capot, je veux être prise, là, tout de suite. Il extirpe de son pantalon un engin de bonne taille. Son gland luit sous la lumière venue de la rue. Il mouille bien…
Je pose le bout de ma langue sur le gland rose et attirant. Je le lèche partout, j’aime cette belle bite large et massive. Il va bien me remplir, je le sens sous ma langue.
Je veux être baisée, bien à fond. Maintenant. Il sort une capote pendant que je joue avec son chibre toujours dressé vers le ciel. Il l’enfile rapidement, et me retourne sur le capot. Les avant-bras en appui sur la tôle, le cul offert à cette bite qui va me défoncer copieusement.
Je sens son gland hésiter, passer sur mes lèvres gorgées de désir. Il trouve l’entrée. Mais il est trop gros pour moi. Il ne peut rentrer d’un coup. Alors, il me besogne en soufflant à chaque fois très fort. Peu à peu, mon étroit vagin s’ouvre sous la poussée du gros membre. D’un ultime coup de boutoir, il me pénètre en entier. Son pieu me cloue sur la voiture, littéralement. Mes seins sont écrasés, mais il parvient à en attraper un. Il le malaxe durement. J’adore ça ! Comme je lui avais dit que j’aimais qu’on parle pendant ce genre de baise, il en rajoute :
« Prends ça, sale chienne. Tu n’es qu’une pute qu’on baise à la sauvette ! Ta chatte est un garage à bites, un déversoir de foutre ! Prends-ça, grosse salope, tu n’es qu’une chienne bonne qu’à baiser !!! »
Il travaille avec ardeur mon petit trou, le lubrifiant avec de la salive. C’est génial, cette grosse queue qui me laboure, et ces doigts qui fouillent mon cul…
Je ne suis pas en reste : « baise-moi, espèce de cochon vicieux. Ta bite baise tout ce qu’elle trouve. Tu es un salaud vicelard, défonce-moi à fond !!! »
Je sens sa queue secouée de spasmes. Il jouit en râlant, et en cognant encore plus fort au fond de mon sexe martyrisé. Il se retire et je sens un grand vide… Il m’en faut plus ! Je lui demande de me lécher encore, pour calmer le feu qu’il a provoqué. Sous sa langue, je jouis une dernière fois, en lui crachant ma mouille en plein visage.
Puis chacun retourne dans sa voiture. Fin de l’histoire.
Ce genre de scénario, de temps à autre, j’adoooooooooore !!!!
L'inspectrice
1.
Florence est allongée sur le lit, jambes écartées. Elle se soulève à l'aide de ses avant-bras pour mieux se cambrer, et se caresse le bout des seins. Ils sont durs, ultra sensibles… C'est son deuxième orgasme de la matinée.
« Ah… ah… salaud… Comme tu me chattes… vas-y… rentre bien ta langue… bien profond... bien sur mon clitoris… ah… tu ne veux bien être mon amant… Pourquoi tu ne me réponds pas ? »
Le jeune labrador ne peut pas répondre, mais il comprend. Il replonge sa tête entre les
cuisses pleine de mouille de la jeune femme. Florence repense à cette merveilleuse nuit qu'il lui a fait passer.
En effet, cette nuit là....
2.
A la suite à une violente altercation à la sortie d’une boite de nuit, Douéna, une jeune roumaine de dix-neuf ans, est emmenée à la gendarmerie de la ville comme témoin. Elle est accueillie par Florence, une inspectrice arriviste, récemment mutée dans la région. Sa spécialité : les interrogatoires musclés. C'est une jolie femme de vingt-huit ans, qui ne recule devant rien pour obtenir des aveux. Absolument rien.
« Tiens, dit-elle, belle pièce que voilà », s’exclame-t-elle quand elle voit la jolie roumaine debout devant son bureau.
Les deux gendarmes force Douéna à s'asseoir. Ils expliquent la situation, et repartent en patrouille, laissant seules les deux jeunes femmes. Florence est vêtue de la traditionnelle jupe bleue marine, et de la chemise bleu ciel. Mais l’austère uniforme ne cache pas la silhouette harmonieuse et pleine. D’ailleurs, un des gendarmes ne peut s’empêcher de chuchoter « quel canon, cette femme, une vraie bombe de sexe ! »
3.
« Alors, dit Florence en s'asseyant au bord du bureau. Comment çà c'est passé ?
- Va te faire foutre, répond la roumaine.
Douéna ne voit pas arriver la gifle, tellement appuyée qu'elle porte la main à son oreille.
- Tu n’as pas bien compris ma question, on dirait. Allez, je recommence. »
Douéna nargue ouvertement la jeune inspectrice. Elle évite la seconde gifle, ce qui a pour effet de déséquilibrer Florence. Elle tombe, et se retrouve assise, le dos appuyé au mur, à moitié groggy. Sans hésiter, Douéna se lève, et saisit rapidement les menottes qui trainent sur le bureau, et l'attache, mains dans les dos.
4.
Une fois immobilisé, Douéna lui envoie une violente paire de gifles. Les deux femmes
se défient du regard.
« Tu vas voir le rapport que je vais te faire, connasse, dit Florence.
- Des menaces, répond Douéna, détends-toi. On va s'amuser un peu toutes les deux, tu veux ? »
Florence est inquiète. La brigade est déserte, elle est à la merci de cette jeune folle, qui lui inspire quelques craintes…
Douéna jette un regard circulaire, et se dirige vers le bureau. Elle fouille dans un tiroir, en sort un cutter, et vient s'accroupir devant l'inspectrice. Elle lui déboutonne la chemise, libérant la magnifique poitrine de Florence. Sans hésiter une seule seconde, elle prend le cutter, et sectionne le soutien gorge, entre les deux seins. Ceux-ci, enfi libérés de leur carcan, jaillissent au visage de Douéna
5.
« Putain… qu'ils sont beaux, s'extasie Douéna. Quels bouts ! Tu dois aimer te les faire avaler, ma chérie !
Elle prend plaisir à caresser le galbe parfait des seins, faisant rouler les tétons durcis entre ses doigts.
« Arrête, gronde Florence. Tu sais que tu es en train de garnir copieusement ton casier, petite garce ? »
La jeune roumaine la regarde en souriant. Elle n’a visiblement rien à faire des menaces de la gendarmette. Elle déboucle la ceinture de la jupe, et découpe cette dernière de l'entre jambe au nombril. Elle l'ouvre en deux, et donne un coup de cutter sur l'élastique du string.
Florence se retrouve ainsi entièrement nue, soumise de force à l’entière volonté de la roumaine. Douéna lui écarte les jambes, et ôte le restant du tissu.
« Ben voilà, tu es plus à l'aise comme çà ? J'ai tout ce qu'il me faut, des seins, et ta petite chatte.
- Profites-en bien, poursuit Florence, la bravant du regard, parce qu’à la prochaine occasion, je ne vais pas te manquer ! Tu paieras cher pour ce que tu me fais subir ! »
6.
Douéna glisse une main entre les cuisses ouvertes de Florence, et commence à caresser la chatte bien épilée.
Doucement, elle joue avec le clitoris qu'elle a pris soin de bien dégagé, écarte les lèvres, et la pénètre de son index et de son majeur.
« Arrête çà, tu vas voir la raclée que je vais te mettre, sale pute.
- Sale pute ? sourit Douéna, mais c'est pas moi qui aie deux doigts dans la chatte.
Douéna sort ses doigts, et les sent.
- Je me disais aussi, elle est bien sèche ! C'est qu’elle n’a pas servi aujourd'hui. La pauvre, tu vas voir, je vais te la faire mouiller. Tu veux bien ? Tu vas voir comme c'est bon. Tu vas me supplier après…. »
Florence, vaincue, ferme les yeux comme si elle acceptait son sort. Elle sent ses lèvres intimes qui commencent à s'humidifier contre sa volonté. Elle lâche même un léger soupir d’excitation. Elle sent ses seins gonfler, ses aréoles durcir. Les deux doigts font des va et vient dans sa chatte maintenant pleine de mouille. Douéna la sent prête à jouir.
« Mais c'est que l’inspectrice se régale, sourit-elle, tu sens mon ongle sur ton clito... Hum... tu aimes, hein ?
- Oh oui… que c'est bon, bon sang… comme tu me chattes… je vais jouir, là… Vas-y… ha.... gratte bien mon petit bouton...
Douéna sort ses doigts imbibé par l'abondante mouille, et les porte à la bouche de Florence.
-Tiens, dit-elle, goute comme c'est bon. De la mouille de flic. »
8.
Le portable de Douéna sonne. Elle décroche.
« Je suis à la gendarmerie, dit-elle. Oui, tu peux venir… bien sur… non, ils sont tous en patrouille.. A tout de suite.
- C'est mon frère, il va venir nous rejoindre, tu n'y vois pas d'inconvénient ?
- Qu'est-ce-que vous allez me faire ? s'inquiète Florence. »
Cornel, le frère de Douéna, âgé de vingt et un ans, arrive à la gendarmerie, accompagné de son jeune labrador.
« Wouaou, joli morceau, dit-il en voyant Florence nue. Je me la ferais bien. »
Mais le deux comparses ne sont pas là pour çà. Ils cherchent plutôt des dossiers compromettant. Il abandonne la jeune femme à son sort, pour aller dans la salle des archives. Ils l’ont laissée sous la bonne garde du labrador.
9.
Ils sont dans la salle des archives, quand soudain, ils entendent des plaintes venant de la salle d’interrogatoire..
« Salaud, gémit Florence, c'est ma mouille qui t'a attiré… Vas-y… lèche bien ma petite chatte... oh… Comme tu as décalotté mon clitoris, suce-le lui aussi… tu vas me faire jouir... vas-y… Rentre bien ta langue...ha...Ha...oui...Ouii !!! »
Douéna et Cornet sont sidérés remontent quatre à quatre, et découvrent la scène du chien léchant copieusement l’a gendarmette. Ils sont sidérés ! Jamais ils n’auraient imaginé une telle situation…. Le museau du jeune labrador fouille l'intimité trempée de l'inspectrice. Et ils ne sont pas au bout de leurs surprises.
En effet, dans un ultime effort, Florence parvient à se mettre à quatre pattes, appuyées sur les mains. Elle est avide de sexe, de bite. Celle du chien fera bien l’affaire !!!
« Monte-moi mon chien… Vas-y nique moi… je voudrais bien de caresser, mais je suis attachée... oh...vicieux...Tu veux me prendre par le petit trou ? Tu feras ma petite chatte après, hein? Vicieux, comme tu m'encules… Salaud... bourre-moi le con... Baise-moi à fond, défonce mon cul de chienne ! »
10.
Douéna, amusée de voir le chien dominer la policière, s'avance et libère la jeune inspectrice. Celle-ci la remercie d'un sourire.
« Allez, amusez vous, dit-elle. On est à côté. Si t'as besoin, tu nous appelles, la pute. Ou plutôt, la chienne, vu ce que qu’il se passe ici !!! »
Florence gémit de plaisir. Elle est allongée, cul à cul avec le chien. Ils sont collés l’un à l'autre. D'une main passée entre ses cuisses, elle lui serre la queue au niveau du knot. Le chien la besogne à fond, brutalement. Florence ahane sous les coups violents du chien. Il a un soubresaut, et, interminablement, le jeune labrador se vide dans les entrailles de Florence.
« Waou..waou..waou.woua, couine le chien.
- Ah...oui... crache mon chéri… remplis bien ma petite chatte… quel amant... tu me nettoieras le cul après… et moi ta queue ! »
Les deux roumains font un premier voyage de dossiers à la voiture. Quand ils reviennent, Florence est en train de nettoyer goulument l'énorme bite du labrador. Elle le pompe sans relâche, avale la grosse bite rouge en entier. On dirait qu’elle n’en n’a jamais assez !
« Ben dis-donc, elle y a pris gout, la pute ! Tu veux venir passer le week-end à la maison ? On a une chambre d'amis. Tu pourras l'occuper avec le chien, et te faire mettre des coups de queues tout ton saoul !!! Et quand tu n’en pourras plus, c’est mon frère qui te niquera, et tous ses potes… tu vas ne voir plein tes trous, ma chérie ! »
Florence ne peut qu’accepter cette proposition. Elle est comme folle, avide de sexe hard comme rarement auparavant. Elle est prête à tout pour se faire prendre dans tous les sens, par des hommes, des femmes, des chiens…
Le lendemain, Douéna sort pour faire son jogging. Florence est à demi-allongée sur le canapé, jambes écartées en train de sa faire bouffer la chatte et le cul par le jeune labrador. Cornel, debout, un pied posé sur l'accoudoir, se fait tailler une pipe. Putain, çà c'est du week-end.
Et ce n’est que le début…
Sophie et l'Amoureux
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Quel veinard, ce Jules.
Il m'est déjà arrivé d'aller pisser sur des aires d'autoroute, mais je n'ai pas eu sa chance !