Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une soirée entre copains
Hervé et Laure sont mariés depuis sept ans, et elle a un appétit sexuel démesuré. Hervé le sait, et a fini par se résigner à laisser sa femme vivre ses envies sexuelles à sa guise. Secrètement, il est heureux d’avoir une telle salope à baiser comme et quand il veut…
Il profite donc de l'absence de Laure, partie en séminaire avec sa société. En clair, elle est allée se faire niquer, et tailler des pipes à son directeur. Ainsi, il a toute liberté pour inviter son copain Louis, un jeune métis, à passer le week-end à sa villa avec piscine. Ils sont tous les deux âgés d'une trentaine d'années. Louis est célibataire, et on lui prête pas mal d'aventures avec les deux sexes. Mais il n’a jamais eu de manières déplacées avec le jeune couple.
Ses talents de cuisinier étant limités, Hervé a prévu de faire des grillades. Il fait une chaleur caniculaire. Les deux hommes, vêtus d'un simple caleçon de bain, prennent l'apéritif sur la terrasse.
« Enfin une soirée sans femme, dit Hervé, tu le crois ça ? Cà s'arrose.
- Te plains pas, répond Louis, Laure est une super femme, très belle. Je t’envie, mon pote ! »
Le rosé aidant, les deux copains commencent à rire, se taquinent. Louis devient plus entreprenant avec son ami.
En plaisantant, il essaie d'attraper le sexe d'Hervé. Pour arrêter ce petit jeu, celui-ci sert les grillades. Louis semble se calmer, et engloutit sa viande avec voracité. On dirait qu’il prend des e s forces pour plus tard…
Mais la dernière bouteille à raison de leur lucidité. Il est bientôt minuit, et il fait encore très chaud.
« Et si on prenait un bain, propose Louis, à poil bien sur, l'eau doit être bonne.
- C'est pas con, répond Hervé, çà me réveillera ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Louis retrie son caleçon, pour plonger dans l’eau. Hervé est surpris de voir le sexe de son copain, douze centimètres au repos.
C'est à peine s'il ose quitter son caleçon, tant il a peur d'être complexé par l’engin qu’il vient de voir…
- Ben dis-donc, dit-il, tu es monté comme un âne !
- Tu sais bien que les blacks ont toujours une petite avance sur vous, mais vas-y, n'est pas honte… »
A son tour, Hervé ôte son caleçon, et saute dans la piscine. Son sexe doit mesurer six centimètres, à tout casser, au repos…
Il est tout de suite rejoint par Louis. Les deux copains font quelques longueurs, et Hervé s'aperçoit que Louis a tendance à le coller d'un peu trop près, ses mains frôlant un endroit précis de son anatomie.
Hervé se colle contre la paroi de la piscine en se tenant aux margelles, se demandant i son intuition est la bonne. Et il a raison. Louis arrive immédiatement derrière lui, et le prend fermement par la taille. Plus aucun doute, Louis veut le baiser…
Une main glisse entre les jambes et saisit les testicules, tandis que l'autre entoure la queue.
Et là, surprise. Hervé se laisse faire, et commence même à avoir une petite érection. Il a du mal à comprendre ce qui lui arrive. Jamais il n’aurait imaginé une chose pareille ! Il l’a toujours refusé à Laure, qui le supplie depuis des années de se faire pendre par un homme devant elle.
Louis caresse la hampe durcie de son copain, joue avec la prépuce pour décalotter le gland, fait courir son majeur sur le frein, ce qui a pour effet de faire gémir Hervé. Celui-ci sent l'énorme bite de Louis contre ses fesses.
« Salaud… c'est quoi que tu me caresses là… Je ne suis pas pédé… Laisse-moi tranquille, dit-il d’une voix peu convaincue.
- Chut, calme-toi, murmure Louis, tu vas voir comme je vais te faire du bien… »
Hervé se laisse faire, pétrifié par l’excitation qu’il sent monter en lui, à son insu.
Louis accélère ses va et vient sur sa queue, lui presse les couilles. Ce dernier passe ses bras en arrière, et se tient aux hanches de son ami, essaie d'attraper le calibre de vingt-deux centimètres, maintenant qu’il est bandé à fond.
« Ah... Tu vas me faire cracher… Ha oui… Vas-y… décalotte moi… que c'est bon... ha... salaud… Branle bien ma petite queue ! »
Les jets de sperme transpercent l'eau. Hervé a maintenant réussi à saisir les énormes couilles de Louis. Il en veut plus, il a envie de lui, maintenant.
« Rentrons, dit Hervé, allons nous sécher. »
Arrivé au milieu du salon, Louis fait pivoter Hervé, le prend par la taille, et se colle à lui. La queue de Louis dépasse celle de son copain de cinq bons centimètres, sans parler des proportions imposantes des couilles. C'est le mâle dominant dans toue sa splendeur. Doucement, les deux copains glissent sur la moquette. Louis force Hervé à se mettre sur le dos. Il lui bloque les mains derrière la tête. Les deux hommes se défient du regard.
Louis se penche jusqu'à ce que sa bouche soit en contact avec celle de son pote. Il sort sa langue, et la fait courir sur les lèvres d'Hervé. Celui-ci répond à l'invitation intime. Le baiser est charnel, sensuel. Jamais Hervé n’aurait pensé trouver autant de douceur et de sensualité dans ce baiser entre hommes.
Toujours soudés par les lèvres, Louis se place sur le côté, et entreprend de caresser le corps de son copain. D'abord, il s’attaque aux mamelons, qu'il excite avec un ongle, puis vient le tour du ventre, puis enfin, le sexe. Les testicules roulent entre ses doigts, et la queue est entièrement décalottée. Le gland est rouge, congestionné par le désir qui le traverse sans fin.
« Gratte-moi comme tout à l'heure, c'était bon tu sais. Tu veux qu'on aille au lit ? »
Sans perdre une minute, ils montèrent dans la chambre, s’adonner à leurs ébats homos.
Le séjour amoureux de Laure a été écourté, à son grand regret. Tous les hommes prévus n’étaient pas là, et elle n’a pas eu sa dose de sexe pour la soirée... Aussi, c'est vers quatre heures du matin qu'elle rentre, à l'improviste.
Attirée par des bruits étranges, elle monte directement à la chambre, dont la porte est légèrement entre baillée. Elle ouvre doucement, et découvre un spectacle hallucinant.
« Tu m'encules, sale black, râle Hervé, tu te régales de ta taper un blanc, hein ? Prends-moi les couilles... Décalotte-moi et tape-moi une bonne branlette… vas-y... Bien sur le bout… comme la piscine...
- Mais c'est qu'il y a pris gout, l'enfoiré, sourit Louis, il aime se le faire mettre, ce petit salopard. C'est bon de prendre un bon coup de queue, hein ? Tu vas sentir comme je vais me vider les couilles dans ton cul… ha… tiens… petite tapette...
- Moi aussi je viens… Décalotte-moi bien la bite ! Oh putain… Regarde comme tu me fais gicler…ha… Ma femme me fait pas des trucs comme çà… aieee… aie... ne tire pas sur ma queue… Je sais bien qu'elle est plus petite que la tienne !!!
- Hi hi hi, s'esclaffe Louis, même tes couillettes, hi hi hi… Allez, taille-moi une pipe maintenant… Et tu as intérêt de tout avaler ! »
Laure en a assez vu et entendu. C'est avec un sourire vicieux qu'elle regagne sa chambre.
Vers huit heures du matin, en regagnant la salle de bains, elle entend des râles qui proviennent toujours de la chambre d'Hervé. Elle glisse un regard à l'intérieur. L'énorme colonne de chair de Louis est engloutie par la bouche d'Hervé, jusqu’aux couilles.
« Allez, ordonne le jeune black, avale bien ton biberon… Oh, mais c'est qu'il a une grosse faim mon bébé… Suce bien mon petit chéri... »
C'est dans un « han » de bucheron que Louis vide sa semence âcre au fond de la gorge d'Hervé. En garçon obéissant, il avale tout, et nettoie les dernières gouttes.
« Hum… hum… Que c'est bon, apprécie Hervé, j'en prendrai aussi à mon gouter ! Ne bouge pas, je vais chercher ton café. »
En revenant avec le plateau du petit déjeuner, Hervé ne se doute pas de la surprise qui l'attend : Laure est là, assise sur Louis, de dos, empalée sur la colossale bite.
D'une main, le black lui caresse les seins, et avec le majeur de l'autre, excite le clitoris entièrement sorti de son fourreau.
« Heu... Mais que fais-tu là, ma chérie ?
- Tu ne vois pas que je me fais baiser ? soupire-t-elle. Ma petite chatte aussi avait une grosse faim. J'espère qu'il y aura des restes pour mon petit trou…. Tu e joins à nous ? j’ai vu que tu as bien aimé te faire prendre par ton ami… on ne va pas en rester là, quand même ! Pour une fois que je peux m’éclater avec toi !!! »
Hervé pose aussitôt le plateau du petit-déjeuner sur la table, et rejoint le couple sur le lit. Il fait pencher sa femme en avant, et lui enfonce sans ménagement un doigt dans sa rosette bien ouverte. La pression du gros pieu la fait s’ouvrir presque toute seule. Il sent le membre qui pistonne son épouse contre son majeur enfoncé à fond dans l’étroit conduit. Il bande comme un fou. Sa femme lui saisit sa queue, et le branle avec rage, en rythme aves les coups de boutoir de son amant. Hervé n’a jamais sodomisé son épouse, elle a toujours réservé ce « privilège » à ses nombreux amants. Elle prétendait ne rien ressentir avec un sexe aussi petit….
Mais ce matin, elle se laisse faire. Elle l’encourage, même. Elle se couche sur le torse de Louis, offrant encore un peu plus son cul àa vue excitée d’Hervé. Il se met derrière elle, et positionne son gland contre le rond brun qui lui fait de l’œil… Louis ralentit ses va et vient, pour que le mari cocu puisse la pénétrer plus facilement.
Laure gémit : « Baisez-moi, baisez-moi bien, Hervé mon chéri, encule-moi. Je veux ta bite au fond de mon cul. Je veux mes trous bien plein de vous deux… vas-y, force, encule-moi…. »
Hervé est peu habitué à es paroles, et il en bande encore plus fort. Sans précaution, il fonce, et pénètre brusquement l’anus de sa femme. Laure sursaute sous la poussée, pour aussitôt crier de plaisir : « Oh oui, encule-moi, baise, défonce-moi. Je suis bien pleine, vos bites sont bonnes, défoncez-moi comme une chienne…Ha oui.. Ha... Encore !!! C’est trop bon…. »
Elle crie à s’en déchirera la gorge, quand elle jouit violemment. Hervé ne peut se contenir et éjecte sa purée dans les intestins de Laure. Louis, à peine plus endurant remplit le vagin de la jeune femme d’un foutre épais et poisseux. Elle retombe tel un pantin, sur son amant.
Louis ne perd pas le nord. Cet, homme, on dirait une machine à baiser !!!
Il fait se coucher Laure sur le lit, et dit à Hervé : « Ta femme a besoin d’une petite toilette… Vu que tu aimes bien ma crème, viens tout lécher… »
Hervé, un peu honteux devant sa femme, hésite à s’exécuter. Mais Laure l’encourage : « Lèche bien ma chatte et mon petit trou, comme ça, je vais nouveau avoir envie de baiser… vas-y mon chéri, suce-moi bien… Tu ne le regretteras pas ! »
Hervé se penche sur sa femme, et commence à avaler tout le sperme qui ressort de ses deux orifices ; le sien et celui de Louis… Laure gémit, et Louis, infatigable, bande à nouveau… La jeune femme se tourne légèrement, et embouche la grosse bite bien dure…
La journée va se passer ainsi, à baiser tous les trois, se prenant pas tous les trous, se suçant, se pompant, jouissant à n’en plus finir, jusqu’à l’épuisement…
Et ce ne fut que le premier jour d’une longue série de partie de baises à trois mémorables….
Un gang bang mémorable
L’une de mes très bonnes amies, Céline, rêvait depuis longtemps d’un gang-bang, sans toutefois oser passer le cap. Elle avait peur de se faire déborder, de ne pas pouvoir gérer.
J’ai donc décidé de prendre les choses en main, et de lui offrir ce cadeau pour son anniversaire.
Me voilà donc appelant quelques bons amis, sur qui je savais pouvoir compter, tant pour leur savoir—faire, leur bonne éducation et leur discrétion. J’avais fixé le nombre de participants à 10, nombre dont nous avions toutes les deux parlé avant, quand elle fantasmait sur ce beau rêve. Mais je n’avais que 7 participants. J’ai donc passé une petite annonce sur un site local, pour recruter les trois manquants.
Des dizaines et des dizaines de réponses sont arrivées ! Difficile de faire un choix. Il allait bien falloir que je paye de ma personne, pour savoir si les hommes étaient à la hauteur….
Après un premier tri, basé sur l’expérience, l’âge, le profil (de préférence mariés, ils sont plus discrets…), j’en gardais une dizaine, que je rencontrais tout à tour. Cinq m’ont plu. Comment choisir ???
Comme je suis d’une nature généreuse –sic-, je me suis dévouée, et j’ai testé… Pas question de laisser Céline entre n’importe quelles mains !
Et tant qu’à faire, autant faire la chose groupée… Rendez-vous fut pris dans un hôtel discret avec trois d’entre eux pour le samedi, et les deux autres, le dimanche.
Samedi donc, premier test grandeur nature. Eh bien, je ne fus pas déçue ! Ils tenaient leurs promesses… Bonne éducation, pas de violence, un excellent savoir-faire. Ils m’ont tour à tour, et ensemble, léchée comme j’aime, bien ouverte, le clito bandé, la chatte humide et trempée de leurs salives… Leurs doigts agiles me doigtaient parfaitement.
Quand l’un me dévorait le minou avec application, les deux autres me caressaient, se branlaient juste sous mes yeux. Je leur avais dit que je ne ferai pas grand-chose : j’étais là pour tester, pas pour être active ! N’empêche que la belle tige de l’un d’entre eux me faisait bien envie, et que je n’ai pu me retenir de la sucer goulument…
Ils m’on prise tout à tour, très profond, en levrette, pour me baiser bien à fond. La levrette permet aux autres de me caresser aussi le clito, de sucer mes seins qui pendent…
Un plaisir immense !
Petite anecdote, pour le second, je me suis allongée sur le lit, les jambes justes écartées. Il m’a enfilé bien dur, les couilles battaient contre le bas de mes lèvres. Le troisième, qui ne m’avait pas encore prise, s’est alors penché sur ma chatte pour continuer de lécher le clito, qui n’attendait que ça… Mais vu l‘ampleur de ses grands coups de langue, il léchait aussi la bite qui me labourait la chatte. Mon baiseur a faiblement protesté, puis il a du trouver ca bien agréable. Tant et si bien qu’il me pénétrait de moins en moins profond, pour profiter de la bouche aspirante du 3ème.
Pour, en fin de compte, se retirer complètement de ma grotte toujours affamée, et ôter sa capote. Il s‘est alors fait emboucher de façons phénoménale, ses 20 cm ont disparu dans la gorge du suceur. Un vrai phénomène, auquel je ne m’attendais pas. En effet, pour une fois, je n’avais rien spécifié sur les hommes bi, puisque ce n’était pas le but de la rencontre….
Divine surprise, dont j’ai profité largement. J’ai fait bouger les deux partenaires, pour que le 3ème vienne me prendre, pendant que le 2nd se mettrait debout, bite à la hauteur de la bouche de l’autre. Imaginez la scène… splendide pour moi. Baisée bien comme il faut, et un superbe spectacle sous les yeux…
Bien sur, je les ai sélectionné tous les deux !
Me restait le dimanche, à voir les deux derniers. Pas grand-chose à dire, si ce n’est que l’un était vraiment doué, avec une splendide queue très longue et épaisse (trop pour moi, mais le péché mignon de Céline). Il savait aussi divinement sucer ma chatte toujours aussi avide…
Il fut donc le dernier sélectionné.
Mais à l’origine, je suis là pour vous raconter le gang-bang.
Le jour dit, je demande à Céline de passer à la maison, pour m’aider à choisir un gode. Je sais que cette idée la mettra dans de bonnes dispositions d’esprit…
Ma maison de l’époque était particulièrement discrète, pas de voisins, personne aux alentours. J’avais dégagé tout le salon, posé quatre grands martelas au sol.
Les dix hommes sont là, propres comme des sous neufs, une bonne réserve de capotes et de lubrifiant. Ils sont tous assez excités. Je leur ai donné comme consigne qu’ils doivent tout stopper à la moindre protestation de mon amie, ne rien lui imposer qu’elle ne voudrait. Parmi eux, il y a deux « modérateurs », dont je suis absolument sure. Ils maitriseraient les éventuels dérapages. Et puis moi, je serai aussi là, dans un coin... Mais je ferai que regarder, promis juré !
Céline arrive enfin, vêtue comme souvent le week-end d’un simple paréo noué au-dessus des seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et je me demande si elle à une culotte…
Les baiseurs sont cachés dans une chambre. Quand Céline passe la porte, elle s’arrête, surprise de voir les matelas au sol.
« Tu organises une soirée privée ? Tu aurais pu me prévenir ! »
« Ma chérie, c’est ton anniversaire, je n’ai pas de gâteau, mais une énorme surprise… »
Céline me regarde, interrogative. Elle n’a pas le temps de poser sa question, car j’ai tapé dans mes mains, et voilà le harem qui arrive…
Tout de suite, elle comprend…
« Ma puce, ton cadeau, c’est le gang-bang donttut as toujours rêvé… tu es prête ? »
Elle hésite un peu, mais je vois ses yeux briller... elle reconnait certains des mâles présents, habitués des soirées libertines.
Son hésitation fond comme une glace coco au soleil de Guyane…
« Tu savais que ça me plairait, coquine ! Tu participes aussi ? »
Je lui réponds que non, mais que je reste présente pour surveiller que tout va bien.
Céline s’approche, fais des bises, effleure l’entre-jambe de quelques pantalons… Certains bandent déjà beaucoup !
Puis elle se plante au milieu des matelas debout, souveraine. Elle dénoue son paréo, et laisse voir un minuscule string noir. Elle est là, altière, majestueuse dans sa quasi nudité, femme prête à recevoir tous les hommages, tous les outrages des mâles présents devant elle. La voir ainsi me trouble beaucoup plus que je ne l’aurai imaginé !
Céline observe tous les hommes un à un, et en désigne un.
« Toi, viens le premier finir de me déshabiller. »
C’est comme un signal. Le mec s’approche et tous les autres se déshabillent à la vitesse grand V.
Subjuguée, je vois cette belle brochette de sexes de toutes tailles, de toutes formes, toutes couleurs. Un point commun : ils bandent tous comme des turcs.
Je me recule, et vais m’assoir dans le canapé, la chatte en feu. Comment vais-je faire pour résister à un tel spectacle ???
Le premier désigné s’agenouille devant mon amie, passe les mains sur ses fesses, fais glisser la ficelle du string sur le cul frémissant et rebondi.
Il va lentement, mais d’un coup, accélère et presque sauvage, arrache le string. La grosse chatte de Céline apparait, bombée, luisante de son excitation.
Il n’y tient plus, et fourre sa langue dardée dans le con de Céline, toujours debout. Les autres commencent à se branler, un ou deux s’approchent.
Sous la caresse intense, elle se laisse choir sur le lit. Des mains la touche, la masse, la palpe, la caresse. Des bouches passent sur tout son corps, Tous les hommes sont maintenant autour d’elle, se bousculant un peu. Ils ont tous hâte de la toucher, de se faire sucer. Je ne vois presque plus mon amie. Elle jouit une première fois, la première d’une longue série. Elle saisit deux bites à portée de mains, les suce alternativement. Du coup, pour mieux faire, elle se relève, se met à genoux, un type sous sa grotte affamée, la lui dévore toujours.
Tous les autres lui font face, lui présente leurs chibres dressés. Elle suce, elle branle, toutes les queues passent dans sa bouche. Une vraie pompe à bite !
J’hallucine ! Jamais je n’aurai imaginé mon amie dans cet état là. Les gars se relaient pour lui sucer la chatte, elle jouit de façon désordonnée, ca va, ca vient. Mais je sens qu’elle en veut plus. Les baiseurs aussi !!!
Déjà, deux ou trois sont venus me solliciter… J’hésite. Cette vision me met dans un état second. Je me branle furieusement avec mon gode. Finalement, je cède, et accepte de me faire lécher. Ils doivent garder leur foutre pour mon amie !
Céline se couche à nouveau sur le dos, et désigne le gars que j’avais vu le dimanche. Elle veut commencer par la plus grosse bite, la salope !!!
Là, mes chers lecteurs, je fais un break. Je suis trop excitée. Je mets ce texte en ligne, (19 h, heure de Paris) et je vais retrouver mon gode et mon tuyau d’arrosage. Il fait chaud, je vais aller me faire jouir sur le bord de la piscine. Avec un peu de chance, un voyeur passera par là...
A plus tard, je pense à vous qui vous excitez sur mes textes…
- Commentaires textes : Écrire
Le "Glory Hole"
Je suis un homme qui apprécie tous les plaisirs de la chair. Je n’arrive pas à m’en passer, sous quelque forme que ce soit. Je dois être hypersexuel… Il me faut plusieurs jouissances par jour, au moins trois. Que ce soit avec des femmes ou des hommes…
Alors, pour assouvir mes envies, de temps à autre, je vais voir un film dans un sex-shop. J'aime cette ambiance et la discrétion des gens qui le fréquentent. Ce jour là, j'ai voulu changer de lieu et j'ai découvert un nouveau sex-shop, tenu par un couple dynamique, très sympathique, et néanmoins discret.
Les films proposés sont aussi différents par leur présentation et que par leur diversité. Aussi, il m’a fallu pas mal de temps pour en choisir un. La patronne, avec un grand sourire, m'indiqua le numéro de la cabine où je pouvais visionner le DVD au titre évocateur « Chiennes en chaleur ».
Je pénètre donc dans le petit box, enlève ma veste, et déclenche le départ du lecteur. Je fais avancer rapidement les images pour passer au plus intéressant du film. Les images sont nettes, les plans bien faits et je bande aussitôt. Mon sexe tendu dans mon pantalon me fait un peu mal, et je décide de déboutonner ma ceinture et de baisser ma fermeture pour attraper mon bite durcie. Je me caresse doucement hypnotisé par les gros plans de ces femelles en chaleur.
Au bout d'un quart d'heure, j’entends un léger bruit dans ma cabine, tout près de moi. Je tends l'oreille, mais plus rien. Le même bruit se renouvelle cinq minutes après. J'examine ma cabine, et j'aperçois derrière mon manteau, un trou de 10 cm de diamètre. Je me penche, et je vois une belle bite de plus de 18 cm qui glisse dans la main d'un homme. Je mate ce sexe magnifique, le prépuce glisse bien sur le gland et je n'en suis que plus excité. Tantôt je regarde mon film, et tantôt je regarde par ce trou mon voisin qui se branle.
Après avoir regardé quelques images sur mon écran, je vois le gland bien gonflé de cette queue anonyme approcher de l'ouverture. Je suis impressionné, mais ne me dérobe pas et attends que celui-ci vienne franchir l'épaisseur de la petite cloison qui nous sépare.
En effet, lentement ce membre turgescent passe par l'ouverture et laisse dépasser une bonne dizaine de centimètres de mon côté. Il avance, puis recule, pour avancer de nouveau. Du bout des doigts, je caresse ce gland bien fait sur toute sa surface, et celui-ci pénètre au maximum par l'ouverture. Mes yeux sont fixés sur ce beau chibre, et mes doigts tripotent cette boule appétissante...
C’est plus fort que moi, je me penche, et lui donne quelques petits coups de langue sur le bout, juste là où perle une petite goutte. Puis j'ouvre la bouche et engloutit ce pieu à pleine bouche et me mets à le sucer avec un plaisir inouï.
Il avance et recule et fait naviguer sa queue dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Sa queue est très dure et chaude. Elle glisse de mieux en mieux sur ma langue... Je prends mon temps, et mes lèvres pincent un peu pour lui donner le maximum de plaisir.
Tout à coup, je sens dans ma bouche cette bite se tendre, se gonfler encore. Plusieurs jets jaillissent dans ma gorge. J'avale ce sperme inconnu et délicieux, et continue de le pomper encore quelques minutes, jusqu'à ce qu'elle se ramollisse un peu et finalement se retire. Je mate par le trou mon divin voisin et je vois qu'il remonte son pantalon,
Je savoure les quelques gouttes de sperme autour de mes lèvres et me remets à regarder mon film dont j'ai perdu le fil.
J'entends à nouveau, un petit grattement et regardant vers l'ouverture, je vois deux doigts faisant signe de venir. Je baisse complètement mon pantalon et mon slip, m'approche du trou et enfonce ma queue encore raide. Aussitôt, mon gland fut happé par une bouche chaude et humide, aspirant légèrement et suçant divinement bien, trop même. Très vite, trop vite, je me vidais complètement dans la gorge de mon pompeur, qui me dégusta avec gourmandise.
Il finit par lâcher prise et je replaçais mon sexe vide dans mon slip, remontais mon pantalon et m'assis pour finir de regarder le film. Je n'ai jamais su qui j'avais sucé ni qui m'avait bu. La cabine du voisin était entrouverte, mais vide.
Depuis, je n'y suis pas retourné, mais je vais à y aller sous peu, car il me tarde de sucer une nouvelle queue inconnue.
Je souhaite que ma femme m’accompagne… J’aimerai la voir sucer une belle bite à travers se trou, pendant que je lui lécherai la chatte à fond, comme elle aime, en enfonçant ma langue profondément dans les replis de son vagin toujours trempé….
J'ai appris par la suite que cette ouverture s'appelait une « Glory hole », le trou de la gloire !
Chris, sa belle-mère, sa femme et la masseuse
Dans quelques jours, c’est l’anniversaire de ma très chère belle-mère, Janine. Ma femme et moi ne savions pas quoi lui offrir. Nous avons fini par nous décider pour un bon de massage et solarium.
Le jour de la fête, elle avait invité quelques amies. Nous avons bien remarqué que Janine semblait déçue de son cadeau. Nous pensions pourtant lui faire plaisir…
Quelques jours plus tard, elle est venue me voir : « Chris, vous auriez pu me faire un autre cadeau… Je n’aime pas trop ça.
-Janine, ne râle pas, Vas-y, tu me diras après. Ca ne peut pas te faire de mal ! »
Le lendemain, elle demanda à sa fille de l’emmener au salon de massage. Quand je suis rentré le soir, j’ai trouvé Janine affalée sur le fauteuil. Un peu inquiet, je lui ai demandé si elle allait bien.
« Oh non, rassure-toi, ca va très bien ! C’était génial, ce massage ! Vous êtes des amours de m’avoir offert ça ! Et tu sais quoi, la masseuse m’a dit qu’elle vient aussi à domicile pour faire ses massages. Mais attention, ce ne sont que des massages, pas autre chose !
-Tu as le numéro ? lui répondis-je. Je vais prendre rendez-vous pour Sandy et moi.
-Tu as raison, fais-le. D’ailleurs, j’ai déjà payé la facture pour ça. Je savais que tu en aurais envie… Elle viendra aussi pour moi, d’ailleurs…
-Merci Janine, tu es géniale ! »
Le samedi suivant, je rentrais de ma balade à vélo, et je vis une voiture inconnue devant la porte. Je rentrais vite, pour aller me doucher. C’était sans nul doute la masseuse.
Quand je suis entré dans le salon, j’ai vu que Janine avait déjà eu son massage. C’était au tour de Sandy. Je ne pus m’empêcher de constater que la jeune femme était plutôt bien foutue….
Sandy était sur le ventre, elle lui massait le dos. A mon arrivée, elle se tourna vers moi : « Monsieur, vous avez de la chance… Vous avez une très belle femme !
-Oh oui, je sais, elle est très belle, ma petite femme chérie. »
Sandy n’avait qu’une serviette sur les fesses. La masseuse s’est alors attaquée à ses jambes. Sandy appréciait visiblement. Elle écartait de plus en plus les cuisses, pour la jeune femme lui masse mieux et plus haut les jambes.
Je me suis alors approché de ma femme, pour voir comme l’esthéticienne faisait. Et là, surprise ! Je vis qu’elle touchait sa chatte avec un doigt à chaque passage ! Sandy appréciait, car je distinguais de la mouille sur ses lèvres externes. En plus, elle soulevait ses fesses à chaque doigté…
Tout à coup, la masseuse rompit le silence et me dit : « Votre femme voudrait peut-être un massage plus intime ? »
J’étais bouche bée, ne sachant que lui répondre. Je finis par articuler :
« Euh, je ne sais pas…
-Moi, je suis d’accord, répondit Sandy à ma place. Enfin, si ca ne vous dérange pas….
- Non, répondit la jeune femme, ce sera juste un peu plus cher.
-Ok murmura Sandy. J’en ai trop envie… »
La masseuse ôté alors la serviette et a écarté les cuisses de ma femme. Elle lui a massé tendrement les fesses, sans oublier de s’attarder sur son petit trou brun, tout palpitant d’envie… Puis elle lui plongea deux doigts dans la chatte trempée, pendant qu’un troisième massait la rondelle foncée.
Je n’en pouvais plus, je bandais comme un fou devant ce si beau spectacle. Je mourrais d’envie de sortir ma queue et de me branler bien à fond. La masseuse demanda à Sandy de se retourner, et de bien écarter les cuisses. Elle obéit aussitôt, tant elle était excitée.
La jeune femme lui massait la moule à fond, les mains bien lubrifiée par toute la mouille de ma femme. Je ne peux m’empêcher de dire à la masseuse : « Ah, je comprends mieux pourquoi ma belle-mère a tant apprécié sons massage…
-Ah non, je ne lui pas fait ça. Jamais à l’institut. Je le fais ici car votre femme a une belle chatte bien appétissante… »
Elle finissait à peine de parler que ma femme jouissait comme une folle, se tordant de plaisir sous la caresse profonde. J’ai préféré sortir, pour me doucher, et calmer mon érection. Dans la pièce à coté, j’ai vu Janine. Je lui ai dit de laisser les deux femmes tranquilles.
« Il vaudrait mieux les laisser seules…
-Ah bon ? Pourquoi ?
-Sandy se fait masser la chatte à fond.
-Si c’est ça, je vais aller voir ! Je ne veux pas rater un tel spectacle ! Je me demandais aussi pourquoi Sandy poussait de tels soupirs… »
J’étais déjà nu dans la salle de bain, quand Janine est revenue me voir : « Chris, la masseuse dit que tu as aussi le droit d’avoir un massage…
-Ok, répondis-je, aux anges. »
Je n’en n’espérais pas tant ! Je pris malgré tout une douche en vitesse. Ma queue me faisait mal, tant je bandais, il fallait me soulager à tout prix !
Je rejoignis les trois femmes dans le salon, une serviette nouée sur mes hanches.
La masseuse m’a aidé à monter sur la table de massage. Je me suis allongé sur le ventre, pour commencer. Elle a ôté la serviette, et a commencé à masser mes fesses. Janine et Sandy regardaient la scène. Elles semblaient bien excitées toutes les deux…
La jeune femme a demandé à Janine de sortir, mais elle a refusé.
« Non, je ne sortirai pas, j’ai déjà vu ses fesses ! Chris, c’est comme si c’était mon mec… »
La masseuse a semblé un peu choquée, mais n’a rien répondu. Sandy s’est approché pour mieux voir comment elle faisait, et lui a dit de faire plus intime, si elle voulait bien… Elle a donc écarté mes jambes, pour m masser ferment la rondelle. De temps en temps, je sentais son doigt qui rentrait. Il pénétrait facilement grâce à l’huile de massage. Elle accentuait sa pénétration, et a fini par carrément me baiser à fond l’anus avec son doigt. Je gémissais comme une salope, tant c’était bon. Je bandais aussi à mort, mais la position sur le ventre me gênait.
Janine souriait en me regardant. Je savais qu’elle devait bien mouiller….
J’ai dit à la masseuse que je devais me retourner, et elle a accepté sans sourciller.
Janine a émis un petit sifflement en voyant ma bite si bandée, rouge et brillante. La masseuse ne fut pas en reste : « Oh Madame Sandy, votre mari a une belle queue... Je vous envie !
-Oh oui, elle est aussi très bonne ! répondit Janine à la place de Sandy. »
Elle s’approcha pour me masturber, mais la femme refusa : « Pas touche, je finis, et ensuite, vous ferez ce que vous voulez ! Monsieur, je peux aussi vous masser ce bel organe ?
- euh, oui, bien sur… Faites ce que vous voulez !
-Madame Sandy, je vais vous montrer comment faire durer le plaisir avec des caresses précises… »
Sandy et la vieille se sont approchées toutes les deux.
La masseuse a commencé à me sucer, mais brièvement, à peine deux minutes. Alors, elle s’est occupée de ma colonne, avec un va et vient très doux. J’étais au 7ème ciel !!!
Janine était de plus en plus excitée de me voir touché par une autre femme. Je voyais sa main qui frottait sa chatte à travers sa robe. Sandy n‘était pas en reste….
La femme a alors introduit à nouveau deux doigts dans mon anus, bien profond. Elle demanda aux deux femmes :
« Madame Sandy, vous pouvez lui masser les couilles ? Et madame Janine, vous avez le droit de branler ce beau pieu ?
-Oh oui, dit tout de suite Sandy. »
Janine était à la bonne place, elle s’est juste penchée pour attraper ma queue pointée ver le ciel. Elle émit un petit cri de satisfaction, et me massait bien comme il faut. Les trois femmes étaient là pour moi, une s’occupait bien de mon cul, les deux autres de ma bite. Que demander de plus ???
Ma tête était à hauteur de la chatte de Janine. Jej ne pouvais pas la sucer, même si j’en avais bien envie. Mais l’odeur forte de sa mouille m’excitait encore plus. Cette odeur de femme en chaleur me fait perdre la tète…
Soudain, j’ai senti une grosse chaleur m’envahir les entrailles : je jouissais de mon cul ! C’était nouveau et super bandant. Je planais carrément…
Et là, je commençais à jouir de ma bite. Une petite goutte a perlé sur mon gland hyper gonflé. Janine, qui adore mon sperme, est devenue toute folle. Elle m’a masturbé de plus en plus fort, je savais qu’elle voulait manger ma crème…
Sandy et la masseuse ont aussi accéléré leurs rythmes, pour que je jouisse à fond. Je me suis un peu redressé sur les avant-bras, et là, j’ai joui comme jamais avant ! Un grand jet m’est arrivé en plein visage, un deuxième a atterri sur mon ventre, et le troisième a juté sur la robe de la vieille. Le reste a coulé sur la main des deux femmes, et aussi celle de la masseuse.
Cette dernière était très étonnée de la quantité de foutre que j’avais balancée partout. Elle a demandé d’aller se laver. Janine en a profité pour me lécher la bite, gourmande comme elle est. Quand elle a eu fini, elle vint aussi me lécher le visage, pour ne rien perdre de ma liqueur. Entre deux coups de langue, elle soupira : « Chris, bon sang, tu as joui comme un cheval ! Tu me fais mouiller comme une malade ! »
J’étais aux anges : trois femmes s’étaient occupées de moi… On a payé la masseuse, et sagement, on a regardé la télé. Enfin, sagement…
Vous aurez la suite plus tard !!!
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Ils ont une chance Hervé et Laure! J'en veux moi aussi de vivre des moments pareil
Mon cher Titou, Merci encore pour ta fidélité et tous tes commentaires adorables; Cependant, ej rectifie un tout petit peu celui-ci. Cette jeune femme n'est pas nymphomane, mais hypersexuelle. Il y a une grande différence !!! Tu pourras en savoir plus en allant sur mon blog conscré à ces femmes : http://hypersexuelle.erog.fr
Ce sont plutot les articles du debut du blog. Celui-ci a un peu evolué, vers le traitement de toutes les violences à caractère sexuel, et les debats de société autour du sexe.
Pour resumer, une femme nymphomane multiplie le srelatiosn sexuelels sans jamasi y trouver du plaisir. Elle cehrcher pepétuellement l'orgasme sans le trouver. L'hypersexuelle est très satisfaitte sexuellement, et multiplie les partenaies ou l'actvité sexuelle pour encore plus de plaisir.Si une femme hypersexuelle rencontre un homme comme elle, elle n'aura pas forcement beaucoup de partenaires. Le sien lui suffira !!!
Ce récit est vraiment super excitant. Tout ce que j'aime. Une belle femme nymphomane, des hommes bi qui baisent avec Madame.
Quel bonheur.
Merci Sophie pour toutes ces histoires
Il me faut un pote et une femme comme ceux-là... J'ai envie d'une femme qui accepte que je sois bi.
voila un partage parfait hum