Les Mémoires très Libertines de Sophie
Just married
Ils ont rêvé de ce moment depuis des années. Ils vivent ensemble depuis cinq ans, mais le mariage est une nouvelle étape. Didier compte bien marquer cette soirée d’une pierre blanche, et faire un cadeau très « personnel » à sa chère femme toute neuve…
Didier, vingt quatre ans, est prof de gym au lycée principal, un vrai athlète. Jennifer, vingt et un ans, est secrétaire médicale. Elle est magnifique dans sa robe de mariée. Ils ont une quinzaine de kilomètres à faire pour rejoindre leur nouvelle demeure.
« Quelle journée, souffle Didier, j'espère que tu es en forme ma chérie ?
- En forme, sourit-elle, tu vas voir dans quel état tu vas ramasser tes couilles. Enfin, ce qu'il en restera...
- Et moi, poursuit-il, je vais tellement te doigter, te sucer, que ton clitoris va être en sang. Je vais tellement te niquer la chatte, que demain tu pourras plus marcher.
-Arrête, murmure-t-elle, elle est déjà toute trempée.
- Si tu ôtais ta robe, propose Didier, je pourrai te la caresser tout en roulant. Je te réserve une petite surprise, ma chère femme. Un plaisir inoubliable… »
Jennifer est un peu intriguée, surtout quand Didier gare la voiture sur le parking d'un relais routier, faiblement éclairé. Il y a là, une dizaine camions stationnés. Didier lui demande d’aller se déshabiller, pour être plus à l’aise pour s’occuper d’elle. Toujours prête à faire plaisir à son cher mari, Jennifer se cache derrière une haie, à l'abri des éventuels regards, pour retirer sa robe.
Pour parfaire la surprise de sa jeune épouse, Didier ôte son pantalon, et se retrouve en caleçon dans la voiture.
Jennifer revient cinq minutes plus tard, uniquement vêtue d'une légère combinaison en soie, qui lui arrive à mi-cuisse. Pour pimenter le tout, elle a remis son voile de mariée. En la voyant arriver, Didier ne peut s'empêcher de sourire. Les complices de son cadeau vont apprécier, il en est certain !!!
Comme par mégarde, il actionne plusieurs fois le klaxon de sa voiture.
Jennifer n’avait pas remarqué quatre chauffeurs routiers, en train de discuter en grillant une cigarette devant la cabine d'un camion. Elle a un moment de surprise en les apercevant, et tente de rentrer plus vite dans la voiture. Mais suivant le plan prévu, ils se précipitent pour bloquer l'accès à la voiture.
Jennifer se retourne, et tente de fuir en criant. Un chauffeur black l'a rattrape, la saisit par la taille et l'a soulève. Les jambes de Jennifer pédalent dans le vide. Didier sort de la voiture en souriant :
« Ma chérie, je sais que tu as très envie de beaux males pour te faire l’amour en tous sens. Ce soir, j’ai décidé de t’offrir cet immense plaisir. Ces beaux mâles vont bien s’occuper de to. Et peut-être aussi de moi, d’ailleurs… »
La jeune femme arrête de se débattre, médusée. Jamais elle n’aurait cru son mari capable de lui faire une telle surprise, une telle joie !
Jennifer est posée sur le capot de la voiture. La combinaison en soie remonte sur les hanches, offrant sa chatte à la vue, mais aussi aux mains de ces mâles assoiffés de sexe.
Karim, un chauffeur maghrébin, lui obture les lèvres d’un puissant baiser au gout de fumée.
Roger, le jeune black, a baissé son pantalon, arborant une bite qui frise les vingt-cinq centimètres. Il fait bouger Karim, et la présente contre les lèvres intimes trempées de Jennifer, et la pénètre. Elle est plus qu’excitée de cette situation dont elle a tant rêvée… Elle se cambre sous la poussée un peu brusque, en hurlant son plaisir. Sa chatte n’a pourtant pas l'habitude de se faire pénétrer par un tel calibre. Elle se tord sur le capot pour mieux sentir le monstrueux engin.
Karim fini de lui ôter sa combinaison, et se déshabille à son tour. Il caresse les seins gonflés de Jennifer, glisse une main entre ses cuisses. Il arrive à caresser le clito dardé, entre deux coups de boutoir de son copain.
Didier, très excité par ce splendide spectacle, ne peut se retenir de se branler. Marcel le voit faire, et s’approche aussitôt de lui :
« Tu veux qu'on joue tout les trois ? Allez, viens, on va jouer ensemble ! »
Ils font mettre Didier à quatre pattes, sur un espace gazonné. Il se place ainsi de façon idéale pour leur faire tailler une pipe. Djamel le tient par les couilles, les malaxant fermement. Didier en bande encore plus fort…
On aperçoit nettement les testicules se déformés sous la pression des doigts, et le gland totalement décalotté, dépasser entre deux doigts, comme s'il voulait s'échapper.
Didier suce la bite qui s’offre à lui. Il n’a jamais sucé un homme avant, mais en rêve depuis longtemps. Marcel gémit sous la langue du nouveau marié.
Djamel ne perd pas son temps non plus. Il écarte les fesses de Didier, lui masse rapidement la rondelle, enduit son doigt de salive pour lubrifier sommairement le conduit anal. Didier se tord de plaisir sous cette caresse inédite. Pourtant, il redoute un peu ce qui va suivre. Son cul est vierge…
Il ne peut se retenir de crier de douleur, quand Djamel lui enfonce son énorme bite dans le cul. Sa bouche s’ouvrant plus grand encore, Marcel en profite pour enfoncer la sienne dans sa bouche.
Après les premières douleurs, Didier sent une chaleur inédite lui remplir le cul. Il bouge son bassin pour mieux accueillir la bite qui lui laboure les intestins.
A quelques mètres, Jennifer, ébahie, ne rate pas une miette de ce superbe spectacle. Elle est encore plus excitée de voir son mari dans cette position…
Sur le capot de la voiture, ses jambes sont largement ouvertes pour mieux sentir les couilles de Roger taper contre son petit trou. Karim, lui, excite toujours le clitoris avec son majeur.
« Ha... salaud… Viens, toi, que je te taille une pipe… Oh putain ! je n'ai jamais eu des bites pareilles ! quel beau cadeau, mon amour !!! »
Elle saisit la queue de Karim, la décalotte, et l'avale tout en le branlant. Elle sent les veines gonfler sous ses doigts, comme elle sent durcir le membre de Roger prêt à éjaculer. Elle gemit, encourage ses deux baiseurs de la voix :
« Ha… ha... vas-y.. Remplis bien ma petite chatte… Et toi, fais-toi plaisir, crache ton jus dans ma bouche !!! Oh bon sang, que c'est bon, ne vous arrêtez pas... oui… oui… je jouis... »
Jennifer a un orgasme terrible, ses cris de plaisir traversent le parking. Le sperme coule à flot dans sa chatte, et dans sa gorge.
A quelques mètres d’elle, Didier subit le même sort que sa jeune épouse. Il est maintenant en train de se le faire mettre par Marcel. On voit un liquide blanc couler sur se cuisses et sur ses lèvres. C'est lui qui se fait sodomiser pour sa nuit de noces. Il est au comble de l’extase, mais n'a plus la force de crier. Au bout de dix minutes, il reçoit une deuxième rincée au fond de l'anus, et de la bouche. Sans ménagement, les deux chauffeurs le font rouler sur le gazon.
Les yeux vitreux par tant de plaisirs multipliés, il aperçoit sa femme se le faire baiser à fond sur le capot de la voiture. Il la voit aussi en train de faire une pie magistrale à l'autre chauffeur. Il bande illico, de la voir si heureuse, si épanouie. Il en serait presque jaloux !!!
Djamel et lui s’approchent plus près de la voiture, où Jennifer se fait mettre au moins son sixième coup de queue. Jamais elle n’a été autant défoncée, baisée, sodomisée… Et elle adore !!!!
« Oh mon amour, gémit-elle, quelle nuit de noces ! Mais mon chéri, tes couilles sont bien enflées... Elles sont presque aussi grosses que les leurs… Ce qu’il to’nt fait t’a plu, je le sais… Je t'ai entendu gueuler comme jamais avant !
- C’est vrai, ma chérie, mais je ne suis pas habitué à ce traitement… J'ai mal.. Tu sais, çà fait quand même une heure qu'ils se vident les couilles dans men ventre et dans ma bouche !
-Mais moi aussi mon trésor, sourit Jennifer. C'est vrai que j'ai plus l'habitude que toi de prendre des coups de bites. Tu verras mon chéri, dans la semaine je vais commander ce qu'il faut, comme çà je pourrai m'amuser avec toi. Tu aurus aussi un bon gode pour que je te sodomise comme ce soir… »
Didier sourit de plaisir à cette idée. Leur vie sexuelle prend un nouveau tournant… Et il en est ravi !!!
Jennifer renchérit : « Ils ont proposés de nous raccompagner, tu es d'accord ? Comme çà on pourra continuer à se le faire mettre tous les deux à fond… j’en mouille encore !!! »
Un quart d'heure plus tard, les quatre poids lourds se garent devant la villa. Tout le reste de la nuit, le couple de jeune mariés va se faire prendre dans toutes les positions a pr les quatre routiers, décidément infatigables. Ce sont des bêtes de sexe !!!
Jennifer va hurler de plaisir, profitant au maximum de ces bites surchauffées. Didier apprécie de plus en plus, on aperçoit même un filet de sperme s'échapper de sa queue en érection.
« Woua ! Comme il m'encule le salaud… décalotte-moi… Branle-moi encore… Ouais, vas-y… Vide-toi les couilles dans mon cul, mon salaud… » Plus le temps passe, plus il les encourage…
A tour de rôle, les quatre routiers vont se vider dans le petit trou de Didier, dans la chatte béante de Jennifer, dans son cul distendu par les multiples sodomies… Jusqu'à ce que, enfin repus, ils reprennent la route. Depuis cette nuit, il n'est pas rare de voir un ou deux camions garés devant la villa des jeunes mariées.
Jennifer a commandé et reçu son fameux colis. Un énorme gode ceinture. Deux ou trois fois par semaine, elle fait hurler son mari, mais de plaisir maintenant. Si elle oublie, c'est lui qui réclame sa dose.
Voilà comment un mariage peut changer une vie de couple !!!
Comment bien attendre son train...
Nous sommes dans la seconde quinzaine de septembre 1978. Il est minuit, je suis dans le hall de la gare de Limoges. J'ai trois heures à attendre pour ma correspondance. Le hall est désert. Le buffet est fermé, les bistrots alentours aussi, alors je prends mon mal en patience. Une petite envie de pipi me conduit vers les WC.
A ma grande surprise, il y a un homme, la cinquantaine de haute taille, il fait face au mur des urinoirs. Il y a trois places séparées par une mini cloison. C elle derrière laquelle il se cache est trop basse pour lui, ce qui me permet de constater qu'il n'est pas là pour uriner : il se branle.
Ce qu'il caresse est visible. M'entendant arriver, il tourne la tête vers moi et me sourit. Il voit à mon regard que je suis loin d'être choqué de le voir se branler. Je suis bisexuel, j'aime le sexe des hommes. Les sucer et les sentir en moi sont des plaisirs que j'adore assouvir.
Tout en entrant, je me déboutonne pour faire ce pourquoi j'étais venu. L'homme voyant mon regard complice recule d'un pas et me fait face. Ce que je vois alors me fait bander instantanément. Sa queue est longue et épaisse, du genre "Rocco". Il arrête sa caresse et écarte ses mains pour mieux me montrer sa bite. Assez exhibitionniste, ce gars là, tout de même... J'apprécie, les belles choses sont toujours agréables à admirer, et puis je suis un peu voyeur. Donc...
« Félicitations, Monsieur, vous avez vraiment une très belle bite. Je ne sais pas quels sont vos goûts, mais pour ma part, je serai heureux de vous montrer ce que j'aimerais faire avec. Mais dommage que vous soyez sans doute pressé de prendre votre train.
- Merci du compliment, mais appelle-moi Marc, me dit-il.
- Enchanté, moi c'est Bruno.
Marc enchaine aussitôt :
- Je n'attends aucun train, j'habite à Limoges. Et je viens très souvent à cette heure là à la gare pour draguer. Et ma foi, ça ne marche pas trop mal. Et toi, tu prends un train ? - Oui mais j'ai trois heures à attendre.
Tout en parlant, il s'est approché de moi, prend ma main et la pose sur sa bite. Elle est vraiment épaisse. Elle est douce au toucher et tiède. Il est circoncis et on peut admirer son gland, beau champignon qui est légèrement plus large. Je n'y tiens plus, je me penche et me mets à le sucer. Sans me soucier une seconde que peut-être malgré l'heure tardive quelqu'un pourrait venir. Marc lui aussi s'en fout. Je me régale à le sucer en prenant tout mon temps et en lui malaxant les couilles qu'il a velues. J'aime pas trop, mais bon, pas grave.
« Viens, me dit-il, entrons dans les toilettes pour handicapés, c'est vaste et à cette heure-là il n'y en a pas, j'ai l'habitude. »
Je lui fais confiance et nous entrons dans cette pièce dont nous refermons bien la porte. Aussitôt nous nous dénudons. Je reprends ma pipe et lui parcours la hampe, lui mordille parfois le gland. Je me rends compte que, avant mon arrivée il avait tout de même piss », car son gland sent un peu l'urine, un petit goût légèrement sucré fort agréable. Il faut savoir que j'aime les jeux uros.
Pendant ce temps, Marc me doigte l'anus, il me masse et me pénètre avec science, je sens mon sphincter se dilater et être tout chaud, il est impatient de sentir cette queue entrer…
Je me redresse, et lui tournant le dos, je prends appui sur le lavabo et lui dit :
« Vas-y encule moi, il me tarde de la sentir bouger dans mon ventre. »
Marc se place bien derrière moi, et pendant que de mes mains j'écarte mes fesses, il positionne son gland et exerce une légère poussée. Il y a une toute brève résistance, faut dire que si mon anus est serré, il est aussi très souple. Enfin il entre, et pousse doucement jusqu'à entrer complètement en moi. Je sens son ventre contre mes fesses. Nous restons sans bouger quelques secondes, puis d'un coup de rein je lui donne le signale du départ.
Il m'a pilonné longtemps, très endurant le bougre, alternant les mouvements lents et les rapides. Parfois, il sortait complètement sa queue pour la rentrer aussitôt d'un seul coup. Ca me faisait gueuler, mais de plaisir. Enfin, il finit par se laisser aller et éjacula en moi. Quelle sensation formidable que sentir le sperme qu'il avait abondant gicler par saccade dans mon ventre !!!
On est resté un moment comme ça sans bouger. Puis il se dégagea, et pendant que je me penchais pour lui nettoyer la queue avec ma langue, il me demanda :
« Je vais te sucer, mais surtout, toi ne laisse pas couler mon sperme, de ton cul, retiens-le.»
Il me fit une pipe qui ne dura pas longtemps, car, excité comme je l'étais, j'ai joui très vite. Il s'accroupit et je compris pourquoi il voulait que je retienne son sperme en moi, car mettant sa bouche contre mon anus il me demanda de pousser.
Ce que je fis, il récupéra un maximum de son jus, se releva et me roula une pelle pour que nous consommions nos jus mélangés.
Nous sommes ensuite quittés, lui pour retourner chez lui et moi pour rêver à ce qui venait d'arriver. De quoi attendre mon train sans impatience….
Finalement je me suis toujours dit que j'avais une chance inouïe d'être bisexuel, et que quoiqu'on en dise, les voyages en train ont tout du bon, non ???
Le club house en folie
Ce soir, c'est l'inauguration du club house du club de tennis. A cette occasion, l'adjoint aux sports a organisé une petite fête, avec certains membres, et leur épouses ou copines. Serge, vingt-quatre ans, veilleur de nuit, est aussi un bon joueur de tennis. Il est marié à une jeune femme, vingt-un ans, qui répond au doux prénom de Marie, comme la vierge.
A l'entrée du club house, chaque femme a reçu un billet numéroté pour participer à un jeu. En effet, on aperçoit au fond de la scène, un large paravent, avec de mystérieux trous à un mètre de hauteur environ.
L'animateur procède au tirage au sort. En fait, le jeu consiste à reconnaitre son mari parmi quatre concurrents en comparant les sexes, qui passeront à travers les trous…
Serge est un peu surpris de la nature du jeu. Il ne savait les propriétaires du club autant branchés sexe !
L’animateur annonce le numéro gagnant.
« N° soixante-neuf, dit-il, qui est l'heureuse gagnante ?
- Moi, moi, crie Marie toute contente.
- Bravo, sourit l'animateur. Venez, vous même, jouez-vous au tennis ?
- Ah non, répond-elle, moi, c'est le pénis. Je suis plus à l'aise avec une bonne queue entre les mains, qu'avec le manche d'une raquette ! »
Serge, en pleine conversation avec un ami, n'a rien entendu, si ce n'est les éclats de rire des invités. Cet ami l’entraine vers le paravent, et lui dit d’obéir en tous points à ses consignes. Ils sont quatre à se mettre en place derrière le paravent. Un peu interloqué, Serge voit les trois hommes, deux copains de court, et son professeur Bastien, baisser leur pantalon. Il fait de même, et fini par comprendre en voyant les trous à hauteur de sexe. Il se doute qu’une main va venir les caresser….
Marie s'approche, et glisse une main dans chaque trou. Elle palpe, caresse, malaxe les bites qui ne tardent pas à gonfler sous cette caresse très érotique. Elle prend un malin plaisir à les agacer, pour les faire bander. Une douce chaleur envahit son bas-ventre...
« Alors ma chère, demande l'animateur, avez vous reconnu le sexe de vôtre mari, parmi ces candidats ?
- Bien sur, répond Marie, c'est le numéro trois. Je ne peux pas me tromper, c'est la plus petite queue ! »
Serge est abattu, anéanti par cette révélation. Il savait qu’elle ne l’aimait pas vraiment ; mais être cocu à ce point, il ne l’imaginait pas ! Pourtant, il ne dit rien, soumis à cette femme qu'il ne veut perdre pour rien au monde, quitte à en accepter tout ses caprices, mêmes les plus vicieux. Il sait que lui ne pourra jamais la satisfaire sexuellement.
C'est vrai que Serge n'a rien d'un étalon. Cinq centimètres au repos, onze en érection, et une minuscule paire de couilles. Beaucoup trop insuffisant pour calmer les appétits sexuels de sa jeune épouse.
Serge fini de s'habiller, et rejoint son épouse en train de boire un coup avec Bastien. Il l'a tire à l'écart.
« Tu te rends compte de l'affront ? Comment sais-tu que j'ai la plus petite, tu as déjà vue la leur ?
- Mais bien sur mon amour, répond-elle. Pendant que tu travailles, ils passent me voir. Ils me mettent des coups de queues toute la nuit. Tu sais qu'on a fait des concessions tout les deux, si ce n’était pas pour nos parents, je ne t'aurai jamais épousé. Allez mon chéri, remet toi, j'ai l'intention de m'amuser ce soir…. »
C'est très triste qu'il regarde son épouse s'éloigner, à peine discrète, malgré la lumière tamisée. Elle rejoint un groupe d'hommes, qui l’attendent à l’entrée. Elle revient une heure plus tard, les yeux pétillants, et caresse la joue de son mari.
« Tu as un truc blanc au bord des lèvres, fait remarquer Serge.
- Oh, c'est rien, sourit-elle. Un peu de sperme. Je viens de tailler une pipe à Bastien. Putain, ses couilles avaient sacrément besoin d'être purgées !!!
- Prend un verre, ajoute Serge, pour te gargariser.
- Ah non, répond-elle, c'est trop bon, j'aime bien garder ce gout dans ma bouche. Tu devrais en gouter un peu.
- Je pourrais te faire l'amour en rentrant, demande Serge, on pourrait s'amuser tout les deux ?
- Non mon chéri, répond Marie, tu sais bien que ta queue est trop petite, tu me fais même pas frémir. Même me doigter, tu ne sais pas. Je te taperai une petit branlette, et caresserai tes couillettes, mais si tu es sage, tu veux bien ? »
Elle repart en chasse. C'est sur, ce soir elle cherche à se faire niquer avec le premier venu, pourvu qu'il soit bien monté. Serge cherche désespérément de son épouse parmi les invités. Il la trouve dans le hall d'entrée.
Elle est avec Bastien, à la vue de tous. Il est complètement nu, son sexe énorme en érection. Marie est derrière lui, et le tient par la taille. De la main gauche, elle caresse ses monstrueuses couilles, de l'autre elle joue avec le prépuce.
« Mais, chérie, que fais-tu, là ? demande Serge. Tout le monde peut te voir !
- Tu vois bien que je branle la queue de ton prof de tennis, sourit-elle. Regarde comme je lui aies bien décalotté le nœud. Cà, c'est du mâle. Ma main est trop petite, je suis obligée de caresser un testicule après l'autre. Tu serais arrivé cinq minutes plus tôt, tu l'aurais vu m'enculer sur la table des vestiaires… »
Bastien a glissée une main en arrière, fouille entre les cuisses de Marie qui se trémousse du cul.
- Ah, le salaud, gémit-elle. Si tu voyais ce qu'il fait à la petite chatte de ta femme... comme il m'a sorti mon clitoris, comme il me le doigte...rentre bien tes doigts mon chéri… Fais-moi jouir… Sens comme je mouille… Tu dois être un bon coup, au lit toi ! »
Trois hommes se sont approchés, attirés par le râles des amants du soir. Ils font cercle autour du couple, et commencent à se branler sans aucune retenue.
Bastien tourne la tête, pour embrasser Marie, elle lui force les lèvres avec la langue. Serge, en larmes tombent à genoux, les bras ballant le long du corps. Bastien commence à se raidir, il tend son bassin à l'encontre de la main de plus en plus entreprenante de Marie.
« Tu vas me faire cracher salope, râle-t-il, tu sais te servir d'une queue toi !
- Surtout quand elles sont d'un bon calibre, et non pas d'un clou de pacotille.
Bastien fixe ironiquement Serge, toujours à genoux, idéalement placé. Il interroge Marie.
- Tu crois qu'il acceptera ? demande-t-il.
- Il n'a pas le choix, répond-elle. Allez mon trésor, soit gentil, taille une pipe à ton prof de tennis. »
Humilié, tel un automate, Serge ferme les yeux et se soumet aux désirs de sa femme. Les voyeurs ricanent et le traitent de lopette, de cocu.
Marie guide la queue de son amant, jusqu'à ce que l'énorme gland frôle les lèvres de son mari. Il a à peine le temps de gober le gros pieu, que de longs jets de sperme affluent dans la bouche de Serge. Les hommes l’encouragent, la traite de chienne, et bientôt, vont exiger plus, c’est sur…. Ils se masturbent de belles queues de façon intense, presque brutale. De vrais males en rut.
« Allez mon chéri, avale moi tout çà, ordonne Marie, faut bien lui nettoyer le bout, bien la langue sur le petit trou, OK ? Oh putain… Moi aussi je coule... Vas-y, doigte bien mon petit bouton… ha… ha... oui... »
Le majeur de Bastien s'active sur le clitoris de Marie, il le sent dur, surdimensionné. Ses doigts sont plein de mouille.
« Si tu me ramenais chez moi, propose-t-elle. Tu pourras me niquer le reste de la nuit si tu veux.
Bastien s'approche et murmure à l'oreille de Marie.
- Oh… le vicieux, sourit-elle. Mais bien sur que tu pourras l'enculer, n'est-ce pas mon chéri? Fais voir ton petit oiseau à ton prof, allez, n'aie pas honte. "
Serge, rouge d'humiliation, baisse son pantalon, et laisse apparaitre une bite minuscule, posé sur deux ridicules testicules.
Bastien et les voyeurs ne peuvent se retenir de rire, en montrant du doigt l'anatomie de Serge.
L’un deux les interpelle : « Eh, mon pote, fais-nous un peu partager ta femelle ;..
- Bien sur, répondit-il. Je vous la laisse !
- Je vais bien vous pomper le nœud, renchérit-elle. »
Elle joint aussitôt le geste à la parole, et empoigne le pieu de l’un des hommes, d’une main, et de l’autre, une belle queue noire d’ébène, qu’elle avale goulument. Elle suce cette grosse colonne de chair come mais sa vie en dépendait. Le troisième se branle sur ses cheveux. Il ne faut que quelques minutes pour que le noir jute sa crème épaisse dans la gorge de Marie. Elle finit tout juste d’avaler ce nectar, que le second lui enfourne prestement sa bite au fond de la gorge. Elle est plus petite, elle peut l’avaler jusqu’aux couilles. Le troisième, impatient, se tourne vers Serge et lui crie : » Eh, le cocu, viens me sucer. J’en ai trop envie. Le regard de Marie vers son Mair ne lui laisse pas le choix. Résigné, il tête la belle queue arrivée devant sa bouche.
Damien rit aux éclats : » Quel beau spectacle ! Voilà un joli couple de suceurs ! Ils pompent même en rythme !!! »
Les deux hommes jouissent ensemble, et Serge a un haut-le-cœur quand le sperme déferle dans sa gorge. Marie se pourlèche les lèves, et se relève. Elle toise mon petit mari.
" Voilà une bonne mise en bouche ! Damien, on s’en va ? Tu dois me baiser bien à fond, maintenant.
Puis, se tournant vers son mari toujuoours à genoux :
- Autre chose. Tu sais, les dessous rouge que tu m'as offerts, ben j'ai perdu le string. Il doit trainer dans la poche d'un de tes copains. Allez, ne rentre pas trop tard, tu sais que tu as un coup de queue à prendre, et pense aux croissants. »
D'un revers de main, Serge essuie le sperme qui coule sur son menton, et regarde, impuissant, son épouse quitter la soirée, pendue au cou de son prof de tennis.
Quand il rentre, vers quatre heures, Marie est toujours au lit avec Bastien. Elle vient de prendre son énième coup de queue. « Ah c'est toi mon chéri ? soupire Marie. Il est en forme, tu sais. Viens qu'il t'encule, moi je ferai une petite gâterie à te petite queue, tu veux. »
Serge n'a pas trop le choix. Si lui aussi veut jouir, il doit se laisser faire…
Bastien va se vider les couilles dans son petit trou, le reste de la nuit, pendant que ca chère femme le branlera gentiment.
un gang-bang mémorable (suite et fin)
L’après-midi est passée… Je me suis faite jouir en pensant à ce gang bang de légende, et en vous imaginant, vous tous, gros cochons lubriques, en tain de vous branler sur mes récits…
Je peux recommencer mon récit là où je m’étais arrêtée : Céline prête à se faire défoncer par la plus grosse que de la journée : 22cms x 6…
Elle me demande des oreillers, je m’approche d’elle pour le lui apporter. Elle est là, offerte, luisante de transpiration, les yeux éclatants des jouissances déjà venues, et de celles à venir. Superbe vision, qui continue de m’exciter. D’autant que des mains baladeuses me touchent, se glissent entre mes cuisses quand je me penche pour poser les coussins. Il me faut me faire violence pour quitter ce lieu de débauche totale !
Jamais je n’avais fantasmé sur les gang-bang, mais là, les idées s’affolent dans ma tête et dans mon sexe !
Elle me regarde droit dans les yeux et me dit :
« Merci de cette extraordinaire surprise. Maintenant, je vais être le vide-couilles de tous ces mecs. Je vais les purger à fond en étant la plus grande des salopes. »
A ces mots, les hommes ont du mal à se maitriser, je vois leurs mains les branler encore plus vite, d’autres, tordre leurs queues, pour ne pas jouir.
Céline fait mettre Jacky, l’étalon du jour, face à elle. Les autres font cercle, ils savent que le spectacle va être grandiose. Son énorme bite noire, droite comme un i, touche son ventre. Il prend une capote à sa taille, et commence à la dérouler lentement sur le monstre. Le silence est total, on entendrait une mouche voler. Tous, et surtout Céline, sont hypnotisés par cette queue énorme, recouverte petit à petit par le latex.
Ca y est, elle est emprisonnée, mais frémit de désir. Jacky saisit un tube de lubrifiant, et s’enduit la bite du liquide épais. Mon amie se caresse la chatte, s’enfonce deux, puis trois doigts dans le con, avant qu’un des gars se jette sur elle, pour un ultime coup de langue bien baveux. La salive coule de ses lèvres rouges et gonflées.
Jacky se met à genoux devant Céline, soulève ses jambes et les pose sur ses épaules. Le silence est toujours complet, excepté la respiration de plus en plus forte de la « victime. » Ma propre chatte se crispe du désir de ce pieu immense.
Le gland caresse le clito dur de Céline, passe en douceur sur les lèvres, qui s’écartent un peu. Subitement, elle crie : « défonce-moi ! »
Ahurie, je vois le monstrueux engin s’enfoncer d’une traite dans la chatte béante. Comment peut-elle accueillir comme ça un tel engin ???
Elle crie si fort (de plaisir ? de douleur ?) que Jacky se retire. Mais elle agrippe ses cuisses et lui dit :
« Continue, défonce ma chatte de cochonne !!! »
Alors, les vannes sont lâchées, il la besogne avec ardeur, la baise à grands coups de reins rageurs. Les autres l’encouragent à grands cris, se branlent, deux (ceux de l’hôtel) se hasardent à se sucer l’un après l’autre. Deux ou trois s’approchent du visage de ma copine, lui force la bouche de leurs bites qui n’en peuvent plus. Ils lui baisent la bouche comme si c’était un vagin. Certains jouissent, je vois le sperme dégouliner des lèvres de Céline. Elle en a plein les cheveux aussi. Les gars jouissent, et rebandent aussitôt.
C’est le vrai début de 2 heures d’orgie totale, indécente, pleine de stupre et de luxure vicieuse et hard.
Impossible de tout vous décrire. Il me faudrait un livre entier. Jacky a joui dans un grand râle, et s’est retiré, la capote débordante de son foutre Il la déverse sur le ventre de Céline. Elle jouit aussi, crie, halète. Elle n’est plus qu’une une vraie marionnette dans les mains de ces hommes en rut.
Elle encourage les autres à venir aussi la baiser. Elle reste sur le dos, tous passent, lui liment la chatte, qui n’est plus qu’un garage à bites, elle suce sans relâche, tout ce qui se présente à elle.
Après un long moment, où au moins chacun l’a baisée une fois, elle se met en levrette. Elle veut se faire sodomiser. Elle réclame d’abord Eric, qui a une petite queue. Celui-ci, flatté de l’honneur, s’approche, et commence à dilater de la langue le cul offert. La rosette s’épanouit très vite sous sa bouche. Il n’a aucune peine à glisser un doigt inquisiteur. Un autre vient me voir, et veut mon gode. Je ne le lui prête qu’après la promesse qu’il viendrait le remplacer. Je suis trop excitée, je veux aussi ma dose de sexe !
Il la donne à Eric. Ce dernier l’enduit de lubrifiant, et force l’anus. Sans trop de peine, il s’ouvre, et engloutit l’engin. Tous ont les yeux hors de la tète ! Un gars vient se coucher sous elle, elle s’assoit aussitôt sur la bite dressée. Ses hanches ondulent, elle jouit encore une fois. Elle réclame :
« Eric, défonce-moi le cul, je veux tous mes trous remplit de chair. »
Nouveau signal de la deuxième partie de cette baise hallucinante. Eric se positionne au-dessus du cul qui s’est immobilisé. Il vise, et s’enfonce sans peine dans le trou béant.
Il va et vient lentement, puis de plus en plus fort. Elle est prise par ces deux sexes, que j’imagine se frottant à travers la mince paroi de son rectum. Il jouit assez vite, et se retire, remplacé aussitôt par un autre.
C’est bien simple, dans les moments qui suivront, Céline aura tous ses trous perpétuellement remplis. Ca sent fort le sperme, ça gicle, sur elle, en elle, on dirait que les hommes ne débanderont jamais. Les cris pleuvent :
« Salope, pétasse, cochonne, grosse pute, garage à bites, pompe à foutre, on va t’éclater le cul, tu vas hurler grosse pute,… »
A chacune des grossièretés, on dirait que Céline en redemande. Je découvre une femelle en rut, possédée par le sexe. Elle n’est qu’une poupée au service du désir brut des mâles surexcités. Son corps est couvert de sperme, mais jamais elle ne demande grâce. Elle est insatiable. Une vraie garce assoiffée de sexe sans limite.
Chacun s’enfonce à tout de rôle, jusqu’à la garde, dans son cul totalement dilaté. Ils lui fouillent les entrailles, leurs couilles battent contre les fesses meurtries. Le sperme coule de partout, une vraie coulée de lave blanche dégouline de son corps vers les matelas.
De mon côté, je n’ai pas pu tenir. Celui qui était venu chercher le gode est revenu vers moi, s’est agenouillée, et a entrepris de me baiser la chatte avec sa langue. D’autres ont fait un petit cercle autour de nous deux. Je les préviens que je ne ferais rien, je veux juste jouir un peu, soulager mon excitation intense.
Bon sang, j’aime toujours autant voir des mecs se branler à quelques centimètres de mes yeux. Je jouis en criant, comme j’aime tant le faire. Quand je rouvre les yeux, je vois là, très très près, l’énorme bite de Jacky.
Je l’ai dit, je n’aime pas trop les membres hors norme, ca me fait mal. Mais là, j’ai envie d’essayer... Céline y a pris un tel plaisir….
Je lui demande de faire preuve de beaucoup de douceur, d’y aller très lentement.
Je m’allonge sur le canapé, une jambe sur le dossier. Un homme vient encore me lécher, et m’ouvrir au maximum avec ses doigts. Je sens ma chatte dilatée, baveuse de mouille.
Jacky a de nouveau enfilé une capote, bien lubrifiée. Je sens l’énorme gland retrousser mes lèvres. Elles s’écartent sans peine pour recevoir cette chose. Lentement, il avance, il force. Je suis envahie par cette queue démesurée. Je ne sais pas si j’ai mal ou pas.
Mon bassin en réclame encore plus. Mes hanches bougent pour avaler encore plus ce sexe qui me cloue au matelas.
Mais j’ai beau faire, il ne rentre pas. Une bonne partie reste dehors. Il me défonce le vagin, j’ai l’impression de sentir tous les organes remonter dans mon corps. Mais rien à faire, ca ne passe plus. Jacky est désappointé, pourtant pas autant que moi…
Il ressort, plonge sa grosse langue dans ma grotte distendue. Une vraie p’tite bite, qui soulage le feu qu’il a provoqué. Et sous le regard lubrique des autres, je jouis une nouvelle fois…
A coté, j’entends Céline râler, puis lancer un ultime hurlement qui déchire la nuit tombante. Je la vois retomber, telle une poupée de chiffon. L’excitation retombe. Les uns après les autres, les baiseurs se rhabillent et quittent la pièce, en silence, comme abasourdis par ce qu’ils venaient de vivre… Fantasme, ou réalité ? Ils ont baisé comme rarement dans leur vie, juté plusieurs fois, purgé leurs couilles, certains ont tenté les relations bi…
Seul reste Thierry, l’un des participants, qui reste collé à mon amie. Il la caresse doucement, parcourt tout son corps de ses lèvres. Il lui refait l’amour doucement, presque tendrement… le calme après la tempête.
Il me semble qu’elle apprécie.
Thierry la quitte comme à regret, et nous nous retrouvons seules toutes les deux.
Elle est rouge, ivre de plaisir, de jouissance, de ce délire sauvage, hard, purement sexuel, presque animal. Son vagin est tellement dilaté qu’on y mettrait une cannette. Son anus, tout autant. Elle a mal à la mâchoire de ses heures de fellations intenses.
Elle sourit, me remercie.
« Ma puce, j’ai adoré, tu m’as offert la plus grande jouissance de toute ma vie. Mais je ne recommencerai pas… »
Moi aussi, j’ai adoré voir ces scènes grandioses, et qui sait….
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c'est clair que c'est tres exitant humm bisoux sophie
Putain, c'est de la bonne baise, ca. Ca m'excite grave !