Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le roman de Nulaï, la suite...
Chapitre II, la suite - Nulaï fait sa première approche
Maud gloussa, mais avec un sourire provocateur: « Mais que va penser Nulaï de moi ? Elle le regardait pourtant droit dans les yeux.
- Ne te fatigue pas, il sait que tu es une bonne salope.
- C’est gentil, Maud, de m’apprendre un peu », répondit Nulaï, se sachant trop que dire.
Il regarde Maurice qui continuait à défaire tout les boutons de la blouse. De fait, maintenant, Maud apparait en soutien-gorge et slip rouge, ses seins débordent un peu, elle a un bon 95D.
Maurice lui affirme, tout en la poussant sur le lit : « Tu ne va pas regretter ! Nulaï est Maud, pour la forme, proteste :
- Tu es sur qu’il sait tenir sa langue ?
- Ne te tracasse pas, réplique Maurice. Il est doué. Et en se tournant, vers Nulaï,
- Je te laisse déballer ton cadeau, moi je déballe le bas. »
Maud était silencieuse et avait fermé les yeux, en attente des caresses futures. Nulaï ne pas très bien comment on défait ce genre de truc. Il contemple l’opulente poitrine, un peu hésitant. Puis, il pose ses deux mains sur les bonnets et entame un léger pétrissage de la chair massive.
Maud comprend les hésitations de l’adolescent, et se soulève légèrement. Elle dégrafe cette barrière de dentelle pour Nulaï. Maurice, lui, ne pers pas de temps. Il a fait glisser le slip à terre. Maintenant, Maud se retrouve nue sur le lit et offerte aux regards vicieux de nos deux compères.
Sa poitrine se soulève à un rythme assez rapide, Maurice se tourne vers Nulaï :
« Fais comme moi ! »
Il prend un sein en main et le malaxe. Sans perdre une seconde, désireux de bien apprendre, Nulaï prend l’autre sein et l’empaume au maximum. Il est un peu étonné par la fermeté de celui-ci. Maurice se penche et commence à sucer un des obus raidi apr l’excitation. Nulaï ne se fait pas prier et l’imite aussitôt.
Ils coordonnent leurs sucions, Maud commence à gémir doucement. Maurice fait alors signe à Nulaï de sortir sa verge, lui a déjà sorti la sienne. Il ordonne à Maud, sur un ton autoritaire : « Commence à nous branler. Et tous les deux ! »
En bonne salope, elle obéit de suite et empoigne les deux bites. Elle entame un fort mouvement de va et vient. Pour une fois qu’elle a deux bites à sa disposition, elle ne va pas se priver !!
Nulaï, sous l’effet de cette caresse, redouble sa succion, et joue avec le bouton du sein bien dur avec sa langue. Il aspire le téton bandé… Cela doit avoir de l’effet sur Maud, car elle se cramponne véritablement aux deux jeunes queues.
Ce n’est pas tous les jours qu’on dépucèle un gamin, et cette situation l’excite doublement.
Maurice lâche son sein, et fouille de ses doigts la chatte de Maud. Il joue avec le clitoris, le fait sortir de son capuchon.
« Dis, Nulaï, elle mouille cette salope ! lui dit Maurice. Toi, occupe-toi des seins, moi je lui lèche la chatte ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Maurice écarte les jambes de Maud, et Nulaï empoigne l’autre sein, qu’il malaxe bien fermement, et pince la pointe, en continuant à sucer et mordiller l’autre pointe. Il prend très vite les bons gestes, et Maud se tord de plus en plus sous les caresses du jeune garçon.
Sous l’effet conjugué des doubles caresses, elle gémissait fortement, et tordait presque la queue de Nulaï, qui lui, se vengeait sur les seins. Maud suppliait : « Prends-moi vite… vite. »
- Bon, elle est mure », soupira Maurice. Et joignant, le geste à la parole, il pénétra Maud d’un coup, qui sursauta, comme si elle avait reçu une décharge électrique. S queue s’enfonça facilement dans le large vagin, habitué aux pénétrations multiples et fréquentes.
Maurice la pistonna plusieurs fois, puis resta immobile. Maud implorait : « Continue, je t’en prie !
- Non, répliqua Maurice, tu dois sucer Nulaï !
- Oui tout ce que vous voulez mes chéris, mais continuez ! »
Elle lâcha la bite de Nulaï et tourna la tête vers lui, prête à le gober en entier.
« Mets-lui ta queue dans la bouche et laisse la faire, n’aie pas peur de lui lâcher tout dans sa bouche, cette salope aime bien boire le jus », l’enjoignit Maurice.
Nulaï s’exécuta promptement, il sentit Maud qui jouait avec sa langue sur le bout de sa queue. Maurice reprit son pistonnage intensif. A chaque coup, Maud avalait encore un plus le chibre de Nulaï, elle l’enserrait fermement de ses lèvres. En même temps, Nulaï pétrissait très fort les deux seins devenu super dur.
Nulaï ne résista pas très longtemps à ce traitement, il voulait se retenir, profiter de ce divin traitement, mais il fut bien obligé de capituler. Presqu’à regret, il lâcha de très longs jets de foutre épais dans la bouche de Maud. Elle poussa une long râle de plaisir, pourtant à demi-étouffée par le flot visqueux. Maurice avait accéléré sa cadence, pour la baiser à fond. Ses coups de boutoir étaient très rapides, la tête de Maud sautait à chacun.
Enfin, dans un grand soupir, Maurice fini par jouir dans le con dilaté de Maud. Celle-ci, sentait la crème épaisse lui remplir la chatte, déborder sur ses cuisses.
Maud nue, ravagée et dégoulinante de sperme, nous dit : « Vous m’avez épuisée tout les deux, sacre garnements. On recommence tant que vous voulez…Vous êtes des gamins, mais des bons baiseurs… »
A suivre……
Le cadeau de mariage
Le mois dernier, j’ai rencontré un homme aux yeux hypnotiques dans une réunion politique. Nous avons échangé beaucoup de regards, et, à peine la réunion finie, nous sommes partis en voiture, en sous suivant, sans même nous concerter. Nous nous sommes retrouvés sur un parking désert. Je suis montée dans sa voiture. Il a eu aussitôt deux questions, sans prendre la peine de se présenter : portes-tu un string ? Es-tu épilée ? La réponse fut oui aux deux questions. Je lui posais la même, sur son épilation. Réponse positive aussi…
Il a aussitôt enchainé : « Je peux voir ?
-Bien sur, ne puis-je que répondre, déjà bien excitée. »
J’ai écarté les cuisses, il a glissé un doigt sous mon string bien humide… J’ai incliné le dossier pour lui donner un meilleur accès à ma chatte. Il s’est dégrafé le pantalon d’une main, laissait jaillir une jolie queue, pas immense, mais un peu épaisse. Tout comme j’aime…. J’ai commencé le branler énergiquement. Il mouillait beaucoup, lui aussi… ma main glissait à la perfection sur ce membre lisse et glabre.
Il est sorti de la voiture, m’a fait pivoter les jambes vers l’extérieur du véhicule. Il s’est agenouillé et a posé mes mollets sur ses épaules. Ainsi, sa bouche était exactement comme il fallait pour entamer un cuni d’enfer… Il ne me fallu hélas que quelques secondes pour jouir dans sa bouche. Sa langue était ferme, longue, il a dévoré mon clito et mes lèvres comme s’il n’avait pas mangé depuis des mois !!!!
J’ai du retenir mes cris, car des gens passaient à proximité, avec des enfants. Pas question d’exhib dans ces conditions…
Il m’a laissée exténuée, mais avide de lui… je me suis redressée, il en a fait autant. J’ai ainsi pu le sucer comme il faut, il avait sa belle queue juste à hauteur de mes lèvres. Lui aussi, devait être bien excité, car il a joui très vite dans ma gorge, de longs jets de crème épaisse. Il m’a avoué ensuite en pas avoir baisé depuis trois mois !!!
Il fallait rattraper le temps perdu… Rendez-vous fut pris pour le lendemain, dans un hôtel proche. Au fait, il s’appelle Fabien.
Le lendemain, un samedi, j’arrive donc à l’hôtel à 17 heures, une sorte de motel, en fait. On ne gare près de sa chambre, les chambres sont cote à cote, donnant sur l’extérieur. Sur le parking, je remarque LA limousine blanche, la seule dispo dans cette région.
Le matin, je l’avais croisée, en allant au marché. Ce sont des jeunes mariés qui l’ont louée. Mon idée était la bonne, car devant la chambre voisine de la notre, les jeunes mariés sont là, elle en corset blanc et jupon, lui torse nu. Ils forment un couple que l’on nomme « un couple domino » ici : il est noir, elle est blanche. Ils discutent sur la petite terrasse de leur chambre. Je les salue, leur offre mes vœux. Ils me semblent bien jeunes, sans doute pas plus de 23 – 25 ans… Aujourd’hui, c’est tôt pour se marier !
Je rentre dans la pièce, et referme un peu la porte-fenêtre. Pas en entier, car la climatisation a rendu la pièce glacée. Fabien m’attend. Il me saute littéralement dessus, arrache quasiment mes vêtements. Cet homme me semble bien affamé !!! Nous allons sous la douche, il me savonne partout, vraiment partout… Ses doigts plein de savon caresse habilement ma chatte…. Tant et si bien qu’il me fait jouir une première fois. Je m’accroche comme je peux à sa bite bien dure… Nous sortons de la douche, il nous en faut bien plus !
Fabien s’allonge sur le lit, il me demande devenir m’asseoir sur son visage. Je me met à genoux, en me retenant à la tête de lit. Je monte et je descends sur sa langue dardée, qui me baise comme une petite bite. De temps en temps, il frotte tout son visage contre ma chatte, glisse sa langue dans ma rosette…
« Je veux être couvert de ta mouille, gémit-il… Arrose-moi, jouis, ma belle… Donne-moi ton jus d’amour… »
Il me dévore littéralement, je baigne dans ma cyprine et sa salive. Quand il enfonce un doigt dans mon cul, je crie à tout rompre. Je jouis enfin comme je veux, libre de toute contrainte !
Sauf que…
Fabien me fait glisser contre sa poitrine, puis près de lui. Je saisi sa belle queue bien dure, qui me donne immédiatement envie de me faire prendre par elle. Enfin !
Je me et à quatre pattes, les fesses tournées vers lui. Au moment où il va s’enfoncer dans mon vagin dégoulinant, je redresse la tête, et regarde machinalement vers la porte-fenêtre ;
Là, LA surprise ! Le jeune marié est debout devant nous, il a écarté le rideau. Il nous regarde en souriant : « Madame, vous êtes très expressive ! Et très excitante…
- Euh, je ne sais pas... Désolée, bafouillai-je, un peu gênée par la situation.
- Ne vous excusez pas, j’ai bien aimé vous entendre. Et ma femme aussi... »
Sur ces mots, il écarte un peu plus le rideau, et elle est là, tout près de lui…
Fabien, interloqué, ne bouge plus du tout. Sous le choc, il s’était enfoncé profondément dans mon minou tout ouvert pour lui. Il est planté dans mon sexe, immobile. Il me dira après n’avoir jamais eu affaire à des voyeurs, ou encore, participer à une partie carrée.
Je reprends la parole, car je vois le jeune homme de profil, et j’aperçois une bosse fort prometteuse en haut de ses cuisses… Ca suffit pour doubler mon excitation.
« Comment vous appelez-vous ?
- Elisa et Jordan, me répondit le marié.
- Tu veux entrer ? Avec Elisa, bien sur…
- C'est-à-dire... on nous attend pour le vin d’honneur. On s’est mariés ce matin, vous savez ?
- Oui je sais. De toute façon, les invités ne partiront pas ! »
Tandis que je parlais, Fabien avait commencé à me limer doucement. Jordan fixe le mouvement de va-et vient, Elisa passe sa langue sur ses lèvres, d’une façon très érotique…
« Viens, lui dis-je doucement.
- J’arrive, dit-il en joignant le geste à la parole. »
En trois pas, il est devant moi. Je masse la grosse bosse à travers le pantalon de mariage. Sa jeune femme s’approche aussi de nous, elle glisse une main pour saisir les couilles de Fabien... Au passage, je sens un doigt qui vient me titiller le clito. Elle accompagne les va et vient de plus en plus forts de mon amant. Jordan a ouvert sa braguette, laissant apparaitre un membre plus qu’honorable, une belle bite d’ébène, longue et forte. Son gland brun rosé brille d’excitation. Je ne peux y résister, et je l’embouche en une seconde.
Le limage intensif de mon baiseur me fait pomper automatiquement la colonne de chair. Elle manque de m’étouffer, tant il est gros… Gentiment, il en saisit la base pour la retenir... Je lui sais gréé de cette attention !
Et visiblement, la jeune mariée n’en n’est pas à son coup d’essai... Elle a délaissé les bourses pleines de Fabien, pour venir m’ouvrir ma rondelle brune, d’un doigt inquisiteur et mouillé. Elle fait des cercles pour m’ouvrir le plus possible…
Cette situation inattendue me met dans tous mes états, je jouis une nouvelle fois, en cirant encore plus fort... Au diable les autres clients !
Je retombe sur le lit, Fabien se redresse, et Elisa en profite pour saisir sa queue à pleines mains et le branler énergiquement. Il ne résiste pas longtemps à ce traitement inhumain, et jouit à gros jets sur le corse immaculé… Son mari jouit presqu’en même temps, arrosant mes seins d’un foutre gluant et chaud. Aussitôt, elle se précipite sur moi, pour lécher la liqueur de son mari. Sa languie parcourt toute ma poitrine, faisant au passage dressé mes tétons…
Fabien, un peu gêné d’avoir souillé le vêtement de mariage, se lèvre prendre une serviette et de l’eau. Elisa, tout en continuant de me lécher les seins, défait le corset, et laisse jaillir une opulente poitrine bien ferme. Ses seins sont splendides et m’attirent irrésistiblement. Quand elle se penche pour déposer le corset sur le lit, je happe un tétin dardé. Elle se laisse faire, et je tête avidement cette chair douce et ferme. Mon excitation m’envahit illico, encore plus intense que tout à l’heure…
Et visiblement, je ne suis pas la seule ! Jordan bande à nouveau, et Fabien ne tarde pas à en faire autant. Malgré tout, il tente de détacher le vêtement rapidement.
Elisa s’est allongée prés de moi, et me caresse le dos, les seins… je suis peu habituée aux caresses des femmes. Mais là, elle me déclenche des sensations divines... Je mordille sa chair blanche, aspire fortement les pointes raides.
Insensiblement, nous nous mettons tête-bêche, et ma langue trouve tout naturellement le chemin de son petit bouton rose.
Elisa en fait de même pour moi, et elle se retrouve sur moi, les fesses en l’air à brouter ma chatte de façon très experte. Les deux hommes sont côte à côte, et se branlent en nous regardant. Je fais de mon mieux, et visiblement, elle doit y trouver du plaisir, car elle gémit de plus en plus...
A ma grande surprise, je l’entends articuler : « Chéri, branle-le pour moi…
- Oui, mon amour, je ne peux rien te refuser aujourd’hui… »
Et il attrape la bite de Fabien, complètement tétanisé. Jamais un homme ne l’a touché !!! Je l’encourage à se laisser faire…
Jordan le prend dans sa grande main, et le masturbe avec dextérité. Je demande à Fabien d’en faire autant. Il semble trouver très vite le bon geste. Et me voilà en train de faire minette à une jeune mariée, pendant que son mari branle mon amant !!!
Jordan se penche, et se met à genoux, pour sucer la bite de Fabien. Il a encore un mouvement de recul, mais il semble que la bouche du jeune homme soit miraculeuse.
En quelques secondes, je vois mon amant saisir la tête du marié, et le plaquer contre son pubis. Lui aussi doit avoir l’habitude. Il avale le sexe en entier, a bouche vient heurter le pubis lisse. Je suis dans un état second, de voir les deux hommes se sucer, se pomper à fond, pendant que je dévore une jeune chatte lisse et rose, et que je me fais manger la mienne par une experte. Je pers tout sens du réel pour jouir d’un orgasme profond, immense… je projette un flot de cyprine entre les lèvres d’Elisa. Fabien, qui adore cela, se dégage de Jordan, pour venir boire mon liquide tiède. Il l’aspire entre les lèvres de la jeune mariée, ils s’embrassent, passent leurs langues aussi dans ma chatte…
Pendant ce temps, Jordan s’est approché de sa femme, et je vois sa queue noire venir frotter l’entrée de la chatte. Je lui gobe les couilles au passage… Je me retire un peu, pour qu’il puisse baiser sa femme tout à loisir.
Je vois à quelques centimètres de mes yeux le gros pieu noir ouvrir les chairs détrempées de la jeune épouse… Il entame un lent va et vient qui me font tourner la tête.
Elisa se relève un peu, pour être réellement en levrette et prendre la grosse colonne en entier. Se faisant, elle dégage ma chatte à la vue de Fabien. Il s’approche pour me baiser à nouveau. Pendant que je suis allongée là, Elisa sur moi en train de se faire defoncer, nous allons former une sorte de sandwich de luxure…
Elisa demande à son mari : « Amour, sors de moi, viens la baiser sous mes yeux. Et son mec va me défoncer sous les tiens… tu veux bien ?
- Tout ce que tu veux, je suis à tes ordres, ma chérie. »
Il sort du vagin de sa douce, et vient se mettre à genoux devant ma chatte. Il soulève mes jambes, les pose sur ses cuisses, et me pénètre d’une seule poussée un peu brusque. Elisa est toujours à quatre pattes, et Fabien vient derrière elle, pour la prendre à son tour. Il la besogne fébrilement, le lèche le clito de la jeune femme, les couilles de mon amant.
En même temps, Jordan me baise à fond, laissant sa grosse queue buter contre mon utérus. De temps à autre, Elisa se penche plus pour gober mon clito décalotté…
Je ne sais pas si vous visualisez bien la scène, mais c’est d’un érotisme torride. Je ne coirs jamais avoir vu une telle position dans un film X !
Elisa jouit la première, déversant un torrent de cyprine dans ma bouche, qui se mêle très vite au sperme de Fabien. Ce dernier, toujours accro à la mouille, se retire pour venir nettoyer mon visage à grands coups de langue. Je suis couverte de fluides…
Elisa bascule sur le coté, pendant que son homme continue de me besogner fortement. Fabien descend sa langue vers mon bas-ventre, et se retrouve à lécher mon clito et la bite qui me défonce.
Du coup, Jordan sort de ma chatte, et baise la bouche de Fabien. Pendant quelques minutes, il alterne les « trous », passant des lèvres de mon amant à mes lèvres intimes à moi ! Je me suis soulevée sur les avant-bras pour regarder cette scène splendide. Le résultat ne se fait pas attendre, et un énième orgasme me déchire le ventre, me secouant comme une marionnette.
Dans la foulée, Jordan jouit dans la bouche de Fabien… Le final a été grandiose !!
Pour clore la séance, le jeune marié s’est précipité embrasser mon homme du jour, pour avaler sa propre semence. Elisa en profite pour me rouler aussi un patin d’enfer…
Nous restons tous les quatre, épuisés, sur le lit. Quelques minutes plus tard, Jordan donne le signal du départ... Ils ont plus d’une heure de retard.
« Mes amis, nous devons vous laisser. J’avais envie d’un mariage très spécial, vous nous l’avez offert ! Merci pour cet inoubliable cadeau de mariage ! »
Ils nous invitent au repas. Nous n’irons qu’au dessert. Et nous les laissons partir avec leur numéro de téléphone, pour se revoir à leur retour de voyage de noces…
Fabien est un peu ko debout. Il me dira plus tard que jamais il n’aurait imaginé une telle histoire. Mais al réalité est là. Nous avons encore baisé toute la soirée, tous les deux, revivant sans cesse ce moment d’anthologie.
Au fait, j’ai reçu un appel d’Elisa. Elle nous invite pour un réveillon très spécial le 31 décembre…
La soirée de cloture de 2009, au 13bis, par Titou
Une fois n'est pas coutume, voici un recit à tendance SM... Si vous n'aimez pas, passez au suivant !!!
Joyeux noel à tous, pleins de toutes sortes de plaisirs !
Préambule
Maitresse Olivia et Madame Isis organisent des après midi au 13 bis, et pour finir la saison en apothéose, elles ont organisé une ultime soirée samedi dernier.
Le jeudi précédent, compte tenu d’un emploi du temps chargé, j’avais du décliner l’invitation, mais, sur l’insistance de Madame Isis, et surtout parce que j’en mourrais d’envie, j’ai réussi à me libérer en fin de soirée.
J’ai pu ainsi découvrir un couple de dominateurs tout à fait sympathique, et un soumis plutôt doué. Vite impliqué dans le jeu, mes seins ont été soumis à rude épreuve. Ma Maitresse avait décidé de les équiper des pinces qui font si mal, et c’est Mphil, le Dominateur des lieux, qui les a retiré avec son martinet. La douleur fut d’une violence rare. Plus tard, ma Maitresse les a reposées sur mes seins encore douloureux, et c’est à nouveau Mphil qui s’est chargé de les retirer, m’arrachant un cri de douleur.
Pour me soulager, il m’a flagellé avec son martinet, lui devant, le second dominateur s’appliquant à rougir mes fesses, et ce fut un vrai moment de plaisir.
Mais je retiendrai de cette fin de soirée le moment privilégié où Maitresse Olivia m’a fait l’honneur de me prendre, pour la première fois, au gode ceinture. Plutôt bien membrée, ma Maitresse fut surprise par la facilité avec laquelle j’ai englouti ce code. Elle s’y est donné à cœur joie, elle m’a limé sans ménagement, pendant que je me branlais. J’ai couiné, je me suis trémoussé, et j’ai eu un violent orgasme qui m’a laissé chaos pendant quelques instants.
Merci Maitresse, voilà une soirée que je ne suis pas prêt d’oublier !
Le début de soirée
Mais le meilleur est à venir, car j’ai pu me libérer pour la soirée de clôture de Samedi. Cette soirée sera intime, car nous ne serons que deux soumis, et avec deux dominatrices expertes et perverses pour nous deux, gageons que les émotions seront de la partie.
Comme toujours, la journée est interminable, et je suis bien peu concentré alors que vaque à mes occupations. Les embouteillages m’empêchent d’arriver à l’heure, et c’est un peu stressé que je franchis enfin la porte du 13 bis. Le stress est néanmoins de courte durée, car les voir ainsi détendues et amicales me rassure instantanément
Et comme elles sont belles !
Maitresse Olivia porte une superbe guêpière noire, avec des petits cœurs brodés. Elle laisse ainsi admirer ses très belles jambes, gainées de noir. Ainsi vêtue, elle souffle le chaud et le froid : le noir pour la sévérité, les cœurs pour l’humanité !
Madame Isis n’est pas moins élégante dans sa longue robe noire et fendue, qui laisse également admirer ses bien jolies jambes.
Je me sens tout de même bien insignifiant en face de ces deux magnifiques dominatrices.
Après les salutations d’usage, ma Maitresse m’ordonne d’aller me mettre en tenue, et de m’habiller devant elle. Je retire mes vêtements de ville, que je plie soigneusement au vestiaire, et me présente devant elle, nue comme un vert. Je commence à enfiler mes bas résilles rouges, au moment où Madame Isis revient dans la pièce. Elle me somme de les retirer, et me présente de très jolis bas rouges avec de la dentelle, et un porte jarretelles de la même couleur. Après m’être ainsi vêtu, je mets mon mini string rouge, et Madame Isis me présente une nouvelle surprise : c’est un harnais en cuir rouge avec lequel ma Maitresse me sangle. Et pour finir, elle me tend un tablier de soubrette. Je sais maintenant que je serai la boniche de la soirée. Quel plaisir de pouvoir servir ainsi mes deux maitresses adorées !
En attendant l’arrivée de la Fouine, qui sera le second soumis, je suis aux petits soins pour les deux dominatrices. Installées confortablement dans le canapé, elles peuvent déguster l’apéritif que je leur sers, et j’ai le droit de boire un verre, à genoux à leurs pieds. A la moindre faute, j’ai droit à quelques coups de cravache, la cravache rouge en forme de cœur, celle que j’ai offerte à ma Maitresse pour mon anniversaire.
Nous sommes toujours à l’apéritif lorsque ma Maitresse m’envoie chercher sa boite à malices. Les choses sérieuses vont débuter. Elle sort un gode vibrant que je connais bien. Après m’être lubrifié l’anus, elle me l’enfonce directement dans le fondement, le bloque avec la ficelle de mon string, et met en marche les vibrations à la vitesse maximum. J’adore cette sensation d’être ainsi rempli. Ma Maitresse reprend sa cravache pour bien faire chauffer mes fesses, joue avec le gode en me l’enfonçant jusqu’à la garde à coups de pieds. J’ai mal, mais je reste stoïque, enfin tant que faire ce peut. Je ne veux pas que s’arrête cette si douce sensation ! D’autant que je préfère qu’elle joue avec mon cul, plutôt qu’elle reprenne possession de mes tétons encore douloureux de la soirée de jeudi.
La fouine arrive enfin, et crée une légère diversion, dont je dois reconnaitre que je me serais bien passé. J’aimais ce moment où j’avais deux dominatrices pour moi tout seul. Les seins et les fesses de la Fouine rougissent rapidement, sous les coups d’une cravache surnommée « la saloperie », car elle fait horriblement souffrir.
Au bout d’une heure et demi, ma Maitresse m’autorise enfin à retirer le gode vibrant. J’ai l’anus vraiment assoupli, et c’est avec un peu de soulagement que je me décule. J’ai maintenant comme une sensation de vide, j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose. Et je sais, au moment où j’écris ce récit, que ma Maitresse a sciemment opéré pour que mon anus soit bien souple.
Nous allons passer à table, que la Fouine et moi avons dressée pour nos Maitresses. Quant à nous, c’est à genoux devant la table basse que nous dinerons. Quelques inattentions pendant le service m’occasionnent des coups de cravaches mérités, mais le repas se passe globalement dans une ambiance conviviale et sereine.
Je me sens bien dans cette douce atmosphère, à servir à ma Maitresse.
Le repas touche à sa fin, et nous débarrassons la table.
La soirée bat son plein
Ma Maitresse m’emmène dans la pièce du fond, pendant la Fouine se charge de la vaisselle. Je m’installe à quatre pattes sur le lit, et j’attends en fermant les yeux la douce torture qui m’attend.
C’est le double martinet qui commence à caresser ma peau. Maitresse Olivia joue de manière divine et très sensuelle avec mon corps et ses deux martinets. Les coups pleuvent avec délicatesse au début, sur mon dos, sur mes fesses, sur mes jambes. Je m’imprègne de cette douce et voluptueuse sensation, j’abandonne mon corps à ma Maitresse en qui j’ai toute confiance. Mon corps ondule au rythme des martinets, pour aller au devant des lanières en cuir qui chauffent progressivement ma peau. Maitresse Olivia entame un jeu endiablé, alternant douceur et violence, passant des épaules au dos, descendant sur mes fesses ou cherchant mes couilles et ma queue.
J’ai l’impression d’entendre voler les lanières, et je suis sur le point de m’envoler tant ces sensations sont fortes et réchauffent mon âme. Ma Maitresse, ses martinets et mon corps ne font plus qu’un. Je suis les lanières en cuir, je suis la brulure intense lorsque les coups sont plus appuyés, je suis les mains de ma Maitresse qui manient dextrement ces instruments de torture et de plaisir mélangé. Et quand la morsure atteint mon petit trou, je suis au bord du Nirvana et de la jouissance, même si le cuir des lanières commence à bruler mon épiderme.
Je suis dans ma bulle, je suis à l’abandon, je suis tout à ma Maitresse !
Maitresse Olivia semble satisfaite de la couleur de ma peau, et décide de faire une pause. Toujours à quatre pattes sur le lit, cambré dans la mesure de mes possibilités, le cul bien offert, j’attends avec impatience la suite des évènements.
Des bruits de pas, c’est Madame Isis qui vient rejoindre ma Maitresse. Elle s’installe à mes cotés, et je sens rapidement le froid envahir mon fondement. Maitresse Olivia a décidée que je serais fisté ce soir. J’ai une légère appréhension, car je n’ai reçu ce don qu’une fois, mais je connais trop Madame Isis, et la crainte fait vite place au plaisir.
Les trois premiers doigts rentrent avec une facilité qui étonne Madame Isis, et qui me vaut les sobriquets de « salope » de la part des deux dominatrices. Madame Isis me lubrifie au maximum, et en alternant va et vient musclés et douceur, fait pénétrer un à un les doigts de sa main. Ma Maitresse est restée à mes cotés, m’encourage à aller au devant de cette main qui joue avec mes chairs, me flatte, me tient la main, me félicite. Soudain, j’entends Madame Isis annoncer qu’elle a sa main entière dans mon cul. Je n’ai ressenti aucune douleur, bien au contraire. C’est dorénavant le plaisir qui prend maintenant place dans mon cerveau.
J’ai reçu l’autorisation de me branler, et c’est avec frénésie que je m’y emploie. Madame Isis me fiste toujours, parfois profondément, parfois dans un rythme endiablé, ma Maitresse me caresse et me claque les fesses, ma main s’active sur mon membre à l’unisson de mes expertes dominatrices.
« Mais elle jouit du cul, cette salope, constate Madame Isis. »
Ces mots résonnent dans mon cerveau, redescendent dans ma queue, et je lâche mon plaisir dans des couinements de chienne en chaleur, avant de m’effondrer. Je suis submergé par le violent orgasme que je viens de vivre !
Je remercie Maitresse Olivia et Madame Isis pour ce bonheur immense qu’elles viennent de m’offrir, et elles m’abandonnent quelques minutes pour me permettre de retrouver mes esprits.
C’est maintenant au tour de la fouine. Mais au préalable, il a droit au lavement. Une fois passée cette étape, on lui intime l’ordre de se mettre à quatre pattes, dans le salon, au vu de tous. Il n’aura pas droit à une quelconque intimité. Madame Isis a sorti un gode d’un bon diamètre.
Au préalable, ma Maitresse me demande de lubrifier son anus avec ma langue. Elle aperçoit la lueur de désespoir qui scintille au fond de mes yeux, mais son regard se fait plus noir, et je m’exécute dans l’instant. Je crois qu’elle est fière de me voir obéir au doigt et à l’œil à la moindre de ces exigence, mais je crois surtout qu’elle jouit du pouvoir qu’elle a sur moi, d’autant que ce cul poilu est vraiment peu engageant.
Madame Isis décide enfin de prendre possession de ce cul, et tente désespérément de le sodomiser. Mais le gode est trop gros, il faut aller en cherche un plus petit. Il finira tout de même par rentrer un peu plus tard.
L’apothéose
Après ces deux séances de sodomies, nos deux Maitresses profitent d’un moment de relaxation, non sans annoncer la suite du programme. Dans quelques instants, c’est la cire qui coulera sur nos corps masochistes, et ma Maitresse s’amuse par avance de voir souffrir la fouine qui ne goute guère ce genre d’exercice.
On va d’ailleurs commencer par lui. Allongé sur le dos, Madame Isis tente de lui dessiner de jolis motifs sur le corps, mais la fouine ne tient pas en place ; dès que la bougie le touche, il se tortille au risque de se bruler. Ma Maitresse tente de l’immobiliser, mais sans grand succès. La séance sera pour lui de courte durée.
C’est maintenant à mon tour. Je m’allonge également sur le dos, avec sérénité, tant je me sens bien ce soir auprès de ma Maitresse. Elle va étrenner une nouvelle bougie toute neuve, j’espère seulement quelle ne brulera pas trop.
Je ferme à nouveau les yeux, et j’attends avec calme et délectation anticipée la morsure de la cire. Maitresse entreprend d’écrire « salope » sur mon dos, sans oublier de laisser couler la bougie entre mes fesses. Je suis en train de partir à nouveau, de prendre mon pied. Je n’arrive pas à maitriser mon corps qui spontanément va au devant de la cire, de la brulure que m’offre ma Maitresse. Les minutes s’égrènent, et je suis proche du Nirvana quand elle a finit, trop tôt, d’écrire sur mon dos.
C’est maintenant au tour de Madame Isis, qui se charge de retirer la cire avec le couteau stocké à cet effet dans le congélateur.
Quand elle finit son office, je suis soudain envahi par une vague d’émotion qui me submerge. Toutes ces attentions de Maitresse Olivia et de Madame Isis m’ont bouleversé, et je ne peux retenir des larmes de bonheur, des larmes d’émotion. A noter qu’à la rédaction de cet épisode, les larmes remontent à nouveau. J’ai les jambes qui flageolent, j’ai des larmes de joie qui inondent mon visage, je suis comblé.
Ma Maitresse me conduit à la douche pour que je retire les dernières traces de bougie, mais avant que l’eau ne coule, c’est le champagne de ma Maitresse qui vient réchauffer s’il en était besoin, mon corps et mon âme. Quel bonheur sans cesse renouvelé de vous appartenir !
Au sortir de la douche, Madame Isis m’enduit le dos d’une crème apaisante pour atténuer les traces de brulure, avant de me prodiguer un massage californien dont elle a le secret.
Je suis aux anges, et cette soirée de clôture restera à jamais gravée au plus profond de ma mémoire.
Je ne sais comment je pourrais remercier Maitresse Olivia et Madame Isis pour cette soirée d’une telle intensité émotionnelle et d’un tel plaisir orgasmique.
- Commentaires textes : Écrire
Le roman de Nulaï, ou les tribulations d'un jeune belge en Chine
J’entame aujourd’hui la publication d’une nouvelle série : le Roman de Nulai, écrit par Pierre, parfois corrigé et complété par mes soins (mais avec son accord).
Il nous offre les passages érotiques d’un roman qu’il publie par ailleurs en entier sur son site. Ici, je me cantonne aux passages les plus « chauds ».
Mais je ne peux que vous encourager à visiter son blog pour lire la totalité du roman !
Préface du roman
La vie et les voyages de Nulai, c’est un peu comme la recherche du Graal, avec la grande question de l’humanité : POURQUOI ??
Beaucoup de personnages vont apparaître, puis disparaître dans ce roman.
Nulai est Belge, comme Tintin ou Hercule Poirot, le célèbre détective.
Au cours de sa recherche Nulai, va parfois frôler la mort, avoir de grandes joies, de grandes déceptions.
Nulai, c’est un peu de moi, un peu tout le monde. Au départ, une vie en apparence banale, puis qui va prendre une tournure imprévue.
Beaucoup de sujets seront abordés, sans complaisance ou parti pris, mais bien avec lucidité : les grandes questions de l’histoire, de notre société.
Rien ne seras épargné, histoire, religion, l’amour avec un grand A, le sexe… Là, je vois plusieurs qui dressent l’oreille. Et surtout, les voyages, avec leur lot d’aventures érotiques.
Souvent, le lecteur va faire un voyage dans le passé de Nulai, pour mieux revenir au présent de sa recherche.
Ce roman n’a pas la prétention d’être un best seller, mais bien l’histoire d’un personnage en quête de LA vérité, que tout un chacun cherche peut-être inconsciemment.
Chapitre 1 – Premières visions
Environ une fois par mois, le grand père emmenait Nulai voir une tante. Elle devait avoir la soixantaine, fort avenante, plutôt de taille petite assez ronde, et veuve.
Elle nous préparait un bon repas, eux buvaient du vin, après le repas. Ils étaient assez joyeux, on me donnait une balle et l’on m’invitait à jouer dans le jardin, eux allaient faire une sieste, ils m’appelleraient plus tard…
Bien sur, Nulai ne comprenait pas le pourquoi, environ une heure après, ils m’appelaient pour un dessert, tous les deux fort gais.
Avec le temps, Nulai commence un peu à être curieux et voyeur, bien que n’ayant que 8 ans. La cour où il joue n’a pas de fenêtre qui donne une vue sur le salon, donc il ne sait pas voir ce qu’il s’y passe.
Un jour pourtant, il laisse passer quelques minutes. Après être sorti comme à l’habitude, il rentre sur la pointe des pieds, la porte du salon qui donne sur le couloir est entrouverte.
La tante est sur les genoux du grand-père (André) et lui fait face. Elle rit assez fort, André commence à déboutonner son chemisier, qui se retrouve vite grand ouvert. Il laisse voir une poitrine qui déborde du soutien-gorge. La tante rit un peu plus fort, André donne quelques baisers sur le dessus de la poitrine, la tante cesse de rire et soupire.
André empoigne à deux mains le soutien-gorge et le tire d’un coup sec vers le bas, libérant ainsi une belle paire de seins. Il ne fait ni une, ni deux, et commence a les malaxer à deux mains. La tante soupire de plus en plus fort, elle ferme les yeux. André lâche un sein, et commence à le sucer goulûment… Maintenant, la tante râle de plaisir.
André lâche un moment le deuxième sein et fait quelque chose entre les jambes de la tante qui pousse de grand « oh oh ».
Elle se soulève légèrement pour se rasseoir, et recommence ce manège un bon moment en poussant des « oh » de plus en plus fort. André suit la cadence, il a repris les deux seins en main, qu’il tient fermement.
Nulai étant fort jeune, il ne comprend pas bien ce qu’il se passe… Surtout que la tante finit par pousser un grand cris, et André presque de suite, après un grognement visiblement de plaisir.
Nulai va beaucoup mieux comprendre dans le chapitre suivant en découvrant le sexe….
Chapitre 2 - Nulai découvre une autre face de la vie
Nulai a maintenant douze ans, et il est en vacances chez une tante éloignée, une famille bourgeoise des plus respectables.
Cette famille, c’était le style petit bourgeois, messe le dimanche, bref bonne éducation.
Mais ce que Nulai découvre avec un grand étonnement, c’est que l’oncle et la tante ont un comportement des plus étranges.
Donc, Nulai loge chez sa tante, son cousin aime bien discuter avec lui. Ensemble, ils abordent toute une série de sujets. Ils refont le monde.
Au cours de leur conversation sur ce sujet, le cousin lui explique ce qui se passe dans la maison.
Nulai tombe de très haut : « Comment ? L'oncle a une aventure avec la femme qui vient une fois par semaine faire le ménage ? »
Son cousin lui répond : « La tante aussi, avec les pensionnaires ! »
Il faut dire que, dans la maison, parfois, des locataires logent sur de courtes périodes.
Le cousin reprend : « Ouvre un peu les yeux sur le monde qui t’entoure, ouvre aussi les oreilles ! »
Du fait que Nulai dormait avec son cousin Maurice, de six ans plus vieux que lui, ils parlaient de plein de choses, de rêves, du futur. Bien évidemment, la conversation vint sur les filles, devant les questions naïves de Nulai.
Maurice lui dit : « Décidément, tu connais rien de la vie toi !
- Euh… non, je ne sais pas…
- Bon, je vais un peu faire ton éducation. Surveille un peu ma mère en douce, ainsi que mon père, le lundi, lorsque Maud vient faire le ménage… »
- Cela fait un peu espion non ? réplique-t-il
-Si tu veux apprendre, c’est nécessaire, lui assène Maurice. Tu me diras ce que tu as vu, mais ne te fais pas voir. Maintenant, je vais t’apprendre comment on se masturbe, car cela aussi, je suppose que tu ne sais pas le faire…
- Nooon… Je ne sais même pas ce que c’est ! »
Sitôt dit, sitôt fait, Maurice sort son sexe, et lui montre. Il masturbe sa queue d’adolescent de façon vive. Il fait coulisser sa main sur la colonne de chair dure. Nulai fait comme lui. Il s’applique, et petit petit, sa bite de gamin se raidit et pointe vers le plafond. Puis ils échangent : ils se branlent mutuellement.
« C’est mieux, tu verras, lui conseille Maurice.
- Oui, tu as raison ! Mais c’est une sensation fort étrange de sentir une main étrangère sur ma verge ! »
La branlette réciproque ne dura pas très longtemps, peu habitués qu’ils étaient à se maitriser. Ils jouirent assez vite, d’un jet de crème claire qui vint les éclabousser… Ce fut sa première éjaculation, sensation fort agréable, mais qui l’étonne par la force du jet qu’ils recueillent tout dans un mouchoir.
C’est lundi. L’oncle Eddy est à la maison, c’est son jour de congé. Maud arrive, et Mad, la tante, part vendre ses chapeaux.
Maud est assez jeune, on lui donne 35 ans, assez grande et une poitrine bien faite, d’après le galbe avantageux de sa robe.
Comme d’habitude, elle monte se changer, pour mettre un tablier. Eddy donne un livre à Nulai, une encyclopédie sur la guerre avec de nombreuses photos. Il sait qu’il aime cela.
Il dit à Nulai : « Je monte expliquer un travail à Maud, reste là tranquillement. »
Nulai acquiesce d’un signe de tête. Il attend quelques minutes, puis suit le conseil de Maurice. Il monte doucement les escaliers, sans bruit bien sur. C’est assez facile, car les marches de l’escalier sont recouvertes d’un épais tapis.
En montant, il entend des bruits bizarres, des grincements saccadés. Sans doute ceux du lit... Il y a aussi des gémissements, les grincements s’accélèrent. Il ne monte pas jusqu’au palier.
Bon, c’est assez. Nulai redescend et va rejoindre son livre. Il est à peine plongé dans sa lecture, qu’une sorte de grand cri lui parvient, puis le silence revient dans la maison… Quelques minutes après, Eddy, viens rejoindre Nulai.
Devant l’air interrogateur de Nulai, il lui dit : « J’ai aidé Maud à déplacer un lit pour le nettoyage, mais elle s’est cognée. »
Nulai a bien du mal à le croire…
Lorsque Maud a fini les chambres, elle vient faire le bas. Elle fait un large sourire, et vient voir ce que lit Nulai. Pour ce faire, elle se penche vers lui. Comme le haut du tablier n’est pas fermé, il plonge son regard à l’intérieur… C’est vrai qu’elle a de beaux seins, dans un beau soutien de dentelle à balconnets.
Elle surprend son regard, et continue de sourire, elle lui dit c’est beau, il répond oui très beau, jamais il ne saura si elle parlait du livre, ou de ses seins...
Le soir venu Nulai, raconte à Maurice ce qu’il a vu dans la journée. Ils ont recommencé à se branler mutuellement, come si c’était la chose la plus naturelle du monde…
« Dis, pourquoi l’oncle fait du mal a Maud ? Elle a beaucoup crié !
- Décidément tu n’a rien compris toi, lui répond-il en riant. Ce que tu tiens en main, et bien le père la mettait dans le sexe de Maud, et il la baisait ! Les cris, c’est de plaisir pas de mal, c’est cela faire l’amour….
Tu comprends, reprit Maurice, ce que nous sommes en train de faire avec notre main, au lieu de la main c’est le sexe de la femme qui te branle.
-Cette fois, j’ai compris ! Au fond, c’est pas mal !
- Attend la semaine prochaine que Maud revienne, je te montrerai quoi, répond Maurice. Tu sais, j’ai baisé Maud, elle n’a plus son mari, et elle est en manque de sexe, j’ai pas du le lui demander deux fois ! Crois-moi, elle sait y faire. !!! »
Nulai est très impatient de revoir Maud….
Enfin le jour de Maud arriva. Maurice lui dit : « Attendons qu’elle commence les lits, elle est en blouse, en dessous elle n’a que son soutien-gorge et son slip… »
Apres un petit moment nous montons dans la chambre où Maud a commencé à faire le lit. Maud est surprise de nous voir ensemble débarquer brusquement dans la chambre. Elle les interpelle : « Vous ne voyez pas que j’ai du travail ??? »
Maurice ne lui laisse pas le temps d’en dire plus, il la saisit par la taille, et déboutonne sa blouse. Elle proteste mollement : « Mais tu es fou, pas devant le gamin !
- Justement si, réplique Maurice. J’ai envie d’en faire un homme ! Et tu vas m’y aider !!! »
La suite, très bientot...
Le kiné bi
J'avais vingt ans. Un couple de cinquante ans, assez vicieux, m'a initié à toutes les formes de sexualité. Et grâce à eux, j'ai pu découvrir que j'étais bisexuel. Chose rare pour l'époque, ils avaient tous les deux l'entrejambe rasé. J'ai trouvé cela tellement beau et plus doux sous la caresse, que je les ai imités.
Depuis donc, je n'ai plus aucun poil qui me gêne. En outre, j'ai horreur des vêtements et en particulier des slips ou des caleçons, je n'ai donc jamais rien sous mes pantalons, sauf, ça va de soi pour les visites médicales.
A cette époque, au cours d'un, entrainement sportif, la lutte gréco-romaine, je me suis fait mal aux lombaires. Ceci m'a valu des séances de massage chez un kiné spécialisé dans le sport. Je me présente à mon première séance. Mais une fois dans ma cabine pour me déshabiller et me présenter comme tout le monde en slip, je m'aperçois que j'ai oublié d'en mettre un... Je sors de la cabine donc en pantalon. Jacques le kiné s'étonne que je sois en pantalon et me demande de le retirer. A mes excuses pour avoir oublié mon slip il me répond :
« Pas grave, enlevez votre pantalon, ni vous ni moi n'en mourrons ! On est tous fait pareil, n'est-ce pas ? »
Je me mets donc à poil et m'installe sur la table de massage. Jacques me regarde avancer et me dit sa surprise de voir mon entrejambe épilé, il trouve cela beau à voir et tout en me disant : « ça doit être agréable pour se faire caresser. »
Il me passe sa main sur le pubis et en profite pour glisser un doigt le long de ma queue. Bien entendu j'ai un début d'érection, il s'en aperçoit et me regarde en esquissant un sourire et me fait un clin d'œil.
Je m'allonge donc sur la table et le regarde prendre la crème qu'il va utiliser. Je remarque que son pantalon de toile légère et blanche a une belle bosse au niveau de la braguette. Il voit que je m'en suis rendu compte, me regarde nous nous sourions, sans plus, et il commence son travail.
Un massage des lombaires se fait en étendant la zone à travailler, ce qu'il fait donc tout en parlant de choses et d'autres avec moi. Jacques très discrètement, comme si de rien était, passe ses mains sur mon cul très régulièrement. Au bout d'un moment, il réussit à mettre un de ses doigts entre mes fesses.
Aussitôt je creuse mes reins pour lui faire comprendre que s’il insiste un peu, je ne protesterai pas. Il comprend mon geste et s'enhardit en me massant le sphincter. Je me régale il fait cela très bien.
Rien d'autre ne sera fait au cours de cette séance. Lorsqu'il me dit que je peux me lever, je bande comme un taureau, ce qu'il m'a fait m'a excité au plus haut point.
« Ben ! Qu'est-ce qui t'arrive ? me dit-il hypocritement, en me tutoyant. »
- Tes caresses sur mes fesses et ton pouce dans mes fesses m'ont plu, j'adore ça! Et puis je crois que je ne suis pas le seul à avoir aimé cela, si j'en juge par la bosse de ta braguette ! »
Je l'ai tutoyé moi aussi, après tout, il n'y avait pas de raison. Il regarde sa braguette se met à rire et me dit :
« Oui ! Bon ! On en reparlera la prochaine fois, là j'ai un autre rendez-vous ! »
Il en profite pour consulter son carnet et me donne l'heure de ma prochaine séance. J'accepte et je remarque qu'elle sera la dernière de sa journée. J'en conclus que comme ça, nous ne serons pas dérangés, et qu'il a l'intention de tenter quelque chose…
Je ne suis a priori pas contre, il a l'air très sympathique, la bosse que fait son pantalon laisse présager qu'il est bien outillé, alors pourquoi pas ?
Pour la séance suivante, donc, je décide de ne pas changer mes habitudes et de ne pas mettre de slip, et je me lave méticuleusement « mon intérieur », la propreté là est aussi importante qu'ailleurs.
Donc la séance commence normalement, mais cette fois-ci, il ne tente pas de cacher ses gestes, il sait que je suis partant. Pour mieux l'aider j'écarte bien les jambes, ainsi entre deux gestes de kiné, il en fait un de sexuel en descendant jusqu'à mes couilles qu'il caresse. Il s'enhardit de plus en plus, alors pour l'encourager je glisse ma main gauche vers sa braguette et caresse sa queue à travers son pantalon.
Il s'arrête un instant de me masser, et tout en me souriant, il me dit :
« Après tout, je ne vois aucune raison à être le seul à être habillé ici, n'est-ce pas ? »
Je lui dis qu'il a parfaitement raison. Il se retrouve à poil, lui aussi. Je me sens soudain moins seul. Une fois son slip retiré, je constate avec plaisir, qu'il a très peu de poils, et qu'il bande. Sa queue est dure, elle n'est pas très longue, elle doit faire à peu près 15 cm, mais elle est particulièrement épaisse. Ce que je préfère, car c'est avec une queue épaisse que j'avais été initié.
Jacques venait de terminer la partie médicale de la séance, mais il continua à faire travailler ses mains. Son pouce gauche me sodomisait et sa main droite me branlait. J'étais aux anges. Pendant ce temps, moi je le masturbais doucement. Mais nous avions envie d'autre chose, il est donc monté sur la table et nous nous sommes sucés.
Nous étions assez excités tous les deux, car cette façon de se chercher en douce nous avait bien chauffés. Et ce qui devait arriver arriva très vite. Nous avons joui dans la bouche de l'autre, et dégusté ce bon jus chaud et un peu âcre à la fois.
J'ai gardé sa queue en bouche, pour bien la nettoyer et tenter de lui redonner de la vigueur… C'est que j'en voulais plus ! Cette situation m'avait passablement excité, lui aussi, sans doute, car il ne tarda pas à rebander.
Je lui ai alors demandé de réaliser un de mes fantasmes, qu'il installe des étriers pour transformer sa table en table gynéco. Ce qu'il fit aussi tôt. Je me mis en position et j'ai attendu que Jacques entre en moi.
Il le fit sans aucune précaution, mais j'étais tellement chaud que même cette douleur était plaisir. Il m'encula un long moment, et me fit jouir du cul. Je finis par cracher sur mon ventre car je me branlais. Enfin il a joui en moi. Heureuse époque où on pouvait goûter au plaisir d'éjaculer dans un corps sans danger….
Toutes mes séances de kiné se passèrent ainsi. Puis, nous avons continué un temps à nous rencontrer pour baiser en groupe avec des amis des deux sexes, car lui aussi était bisexuel.
Mon cher Bruno, j’espère que tu auras l’occasion de nous raconter ces partouzes…
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Belle histoire.. Est-elle auto biographique ? J'aime bien, ca change un peu
Cette histoire est excitante, mais pas tres morale. Le jeune Nulai à moins de 18 ans... Mais bon, j'aime bien !
passe une tres bonne journee bise