Les Mémoires très Libertines de Sophie
Virginie, l'épouse soumise, la suite....
« Ce soir, nous allons à Lyon, nous sommes invités par un ami ».
Je savais ce que cela voulait dire, nous allions faire une rencontre avec un nouveau partenaire pour une soirée à trois.
Depuis cette fameuse aventure, Paul n’était plus le même. Il était très excité, me demandant à chacun de nos rapports comment les choses s’étaient passées, si j’avais pris du plaisir, ce que je ressentais à l’idée de me faire payer... Je ne lui répondais pas, car au fond de moi je souhaitais oublier ce moment de folie.
Notre rencontre avec celui que j’appellerai Serge eut lieu à l’hôtel des Loges, un superbe quatre étoiles situé dans le vieux quartier St Jean de Lyon. Nous trouvâmes Serge au bar de l’hôtel. Les présentations faîtes, Serge ne m’adressa plus la parole, la discussion se déroulant entre Paul et lui uniquement.
Je me souviens très bien de ses paroles. J’avais l’impression irréelle d’assister à un film dont j’étais l’objet, sans pouvoir intervenir. Au début, je pris cela pour un jeu initiatique à notre rencontre, sans lendemain.
La suite des événements, quelques semaines plus tard, allait me prouver le contraire. Après quelques paroles d’usage, Serge se fit plus précis : « Tu veux faire de Virginie une vraie pute de luxe ?
- Oui c’est cela, répondit Paul.
- J’ai un réseau d’amis importants, des hommes d’affaires, des avocats, des médecins, qui aiment rencontrer de façon occasionnelle des femmes mariées. Je pourrai sans problème la présenter à ce cercle, dans lequel elle trouvera des clients, poursuivit Serge. Bien sur, ils savent se montrer généreux et elle n’aura pas à se plaindre ! Mais il lui faudra être souple et docile. Je souhaiterais toutefois l’essayer pour tester ses capacités, tu n’y vois pas d’inconvénients ? demanda-t-il enfin à Paul.
- Non c’est normal », répondit Paul.
Serge avait loué une chambre dans l’hôtel, c’est ainsi qu’après une petite heure de discussion, nous primes la direction de sa chambre. Une fois dans la chambre, Paul entreprit de me déshabiller. Je me souviens parfaitement de la scène : Serge était assis dans un fauteuil, immobile.
Paul ôta mes vêtements doucement me faisant tourner sur moi-même à chaque fois qu’il enlevait un de mes vêtements. Bientôt, je fus nue devant Serge.
« Fais la se cambrer ! Quel cul, ne cessait de répéter Serge. Je voudrais voir comment elle fonctionne cette salope », dit-il à la fin.
Paul me coucha alors sur le lit, écarta mes cuisses et se mit à me lécher délicatement le clitoris et la vulve comme il sait si bien le faire et comme il le fait à chaque fois que nous faisons une soirée à trois. Bientôt, je sentis mon clito se gonfler, et une douce chaleur envahir mon bas-ventre. Au bout de quelques minutes, je me mis à jouir, en poussant des râles de plaisir. Paul quitta mon intimité et dit alors à Serge : « Elle est à toi maintenant, je vous attends au bar d’ici une heure.»
Il quitta la chambre, j’étais seule avec Serge. C’était la première fois que Paul procédait ainsi. D’habitude, il restait et continuait à me caresser pendant que notre partenaire d’un soir me pénétrait.
J’étais troublée de me retrouver avec cet homme dans cette immense chambre d’hôtel. « Viens me caresser », ordonna-t-il.
C’était les premiers mots qu’il m’adressait depuis le début de la soirée. Je me mis a genoux entre ses jambes et commençais à le caresser au travers son pantalon. Je sentais sous le tissu son membre qui grossissait.
« Prends-la, salope », dit-il crument.
J’ouvris sa braguette et dégageais la verge de son slip. Elle était de belle taille. Je le décalottais doucement et mis dans ma bouche toute sa hampe. Alors que j’effectuais de lents va et viens, je me mis a titiller son gland avec ma langue
« Quelle belle bouche tu as, dit-il. Tu es faite pour ça, salope. »
Au bout de quelques minutes, Serge m’ordonna : « Vas te mettre sur lit en position, je te veux en levrette ». Je me mis sur le bord du lit les fesses bien cambrées, j’entends encore Serge dire ! « Quel cul, vraiment, tu es aussi belle que sur les photos que m’a envoyées Paul ! Cambre-toi encore plus ! On commence par quoi ma belle ? »
Je sentais sa verge qui allait de mon anus à ma vulve. Je lui fis remarquer que j’étais étroite de l’anus, et qu’il devait me préparer si tel était son désir premier. Il partit quelques instants dans la salle de bain, et revint avec un onguent qu’il appliqua avec douceur sur l’entrée de mon intimité. Il se mit à me doigter, d’abord un doigt puis deux. Je sentis de nouveau sa queue à l’entrée de mon anus. Il me prit par les épaules et violemment s’introduisit en moi, en poussant un rugissement de plaisir. Je poussai un cri de douleur, cela ne l’arrêta pas. Il se mit à faire des va et vient dans le creux de mes fesses de plus en plus rapidement, tout en claquant mes fesses.
A un instant, sa verge sortit de mon anus et glissa vers ma vulve, qu’il pénétra également. Il alterna alors anus et chatte, tout en me caressant le clitoris.
« Tu aimes, salope ? » demanda-t-il.
Je ne répondais pas.
« Tu aimes, demanda-t-il de nouveau. Je vais t’en donner salope ! »
Petit à petit, la douleur aigüe faisait place à une chaude pression qui envahissait tout mon bas ventre. Je me mis à jouir sans retenue. Il se retira, enleva son préservatif, et éjacula à son tour sur mes fesses. J’étais partagée entre un sentiment de honte et de plénitude.
« C’est bien pour un début », dit-il sans plus de commentaire. Il remit son pantalon et me dit en quittant la chambre : « On se retrouve au bar. »
Après avoir fait un brin de toilette, je me rhabillais et retrouvais Paul et Serge en grande discussion au bar. Serge fit de nouveau comme si je n’existais pas.
« Elle a des dispositions, elle est faîte pour ça, je pense que mes amis seront ravis de la découvrir. Il faudra la dilater un peu car elle a l’anus trop étroit, je connais un médecin dont c’est la spécialité, je la lui présenterai. Je te propose de me l’amener dans quinze jours à mon chalet de Megève. Je voudrais l’éprouver une dernière fois, lui faire subir une initiation, poursuivit-il.
- C’est d’accord », répondit Paul.
Serge nous quitta sur ces paroles après avoir salué Paul, sans toujours m’adresser la moindre parole. Nous regagnâmes notre maison.
Sur le chemin du retour je n’ai pas dit un mot à Paul. J’étais partagée entre plusieurs sentiments contradictoires. La honte de moi-même, j’en voulais aussi à Paul de m’entrainer dans ces aventures, et en même temps j’avais envie d’aller plus loin, à la fois par bravade vis-à-vis de Paul et aussi pour me prouver que j’étais capable de cela. J’aurai pu à ce moment dire à Paul : « Stop j’arrête. »
En effet, il avait été convenu entre nous depuis bien longtemps que j’avais à tout moment la possibilité et le choix de dire : « Stop, j’arrête. » Ce soir-là, je n’ai rien dit. Pourquoi ? Je n’en sais rien, probablement pour les raisons que j’ai évoquées avant.
La suite des événements me prouva que je fis là une grave erreur de jugement.
Nulaï, encore...
Les tribulations de Nulai, chapitre II - Nulaï rencontre un nouveau locataire.
Le jeudi, c’est jour de lessive, la machine est en fait un tonneau en bois qui tourne avec un moteur, et non le batteur qui tourne dans la machine. Cette machine fait beaucoup de bruit.
Je regarde Mado (la tante), qui s’affaire prés de la machine. Elle porte une robe ample, et bizarrement, elle ne porte pas de corset. Ainsi, à chaque pas, je vois sa lourde poitrine, un bon 100C, qui balance dans le vide.
Gaby, le locataire du moment, donne à Nulai un illustré sur la guerre du Pacifique. Mado sort de la cuisine et me dit : « Gaby va m’aider à tordre le linge, ne viens pas nous déranger, nous avons beaucoup de travail ! »
Nulaï se doute bien qu’il ne s’agit pas d’essorer le linge, mais plutôt les couilles de Gaby !
Ils entrent tous les deux dans la cuisine et ferment la porte. La machine continue son bruit, puis c’est le silence pendant un instant. Puis un autre bruit survient, comme des craquements saccadés... Il entend qu’ils parlent, et l’eau qui coule. Cette fois, il présume qu’ils tordent réellement le linge. Mais au bout de quelques minutes, il capte des coups sourds et répétés. Avec ce que Maurice lui a appris, il peut suivre ce qu’ils font.
Et malgré sa faible expérience, il sait qu’ils baisent à fond. Mado doit en prendre plein la chatte, vu les bruits qui me parviennent. Ils grognent fort tous les deux, et Mado finit par crier un peu…
Le soir venu, Nulaï raconte cela à Maurice, il le regarde : « Tu compris maintenant ?
- Oui j’ai compris !
- Ma mère est une assoiffée de sexe, toujours à la recherche de nouveaux amants ! »
Les semaines passent, Gaby est parti, il est remplacé par un jeune, qui est dans la même école de cuisine que Maurice.
Il s’appelle Pierre, il a 19 ans. Ils font tous les trois rapidement connaissance, et la conversation vient bien évidemment sur le sexe, sujet éternel chez les garçons.
Maurice qui n’en rate aucune, raconte que Mado est une bonne affaire.
« Ah bon, dit Pierre. Si elle veut, j’ai de quoi faire !
- Montre », dit Maurice.
Sans hésiter, il leur montre son sexe, plus large que les leurs.
Bien sur nous nous sommes masturbés en cœur. Nous sommes branlés à tour de rôle, chacun masturbant son voisin. Ils ont échangé leurs places. Maurice a même posé sa langue sur la bite de Pierre, mais il a reculé. Nulaï n’en croyait pas mes yeux : il voulait le sucer comme l’avait sucé Maud ! Ils ont finir par éjaculer dans leurs mains, et ont entrepris de tester les gouts différents de leurs spermes respectifs…
La semaine suivante, Pierre rentre l’après midi, il n’a pas cours. Mado l’interpelle : « Mais je n’ai pas encore fait ta chambre ! Viens m’aider, cela ira plus vite à deux ! »
Ils montent ensemble, Nulaï entend des éclats de voix, un silence, puis des rires nerveux, puis de nouveau silence durant un moment.
Bien entendu, il se doute de ce qu’il se passe. D’ailleurs, il ne faut que quelques secondes supplémentaires pour percevoir les craquements du lit, avec une fréquence, rapide et une sorte de plainte. Il est plus que facile d’imaginer ce qu’ils font. Nulaï n’en revient pas : sa tante couche vraiment avec tout le monde ! Alors, si elle fait cela, pourquoi pas lui ? L’idée commence à germer dans se petite tête d’ado, même s’il en est vaguement honteux….
De nouveau un moment de silence, et les craquements reprennent de plus belle, et des soupirs, des gémissements résonnent dans la maison.
Mado redescend toute gaie, et prépare le souper.
Comme chaque soir, les trois garçons se réunissent pour discuter un peu. Nulaï avait déjà prévenu Maurice que Pierre avais baisé Mado dans l’après-midi. Il incite donc Pierre à tout leur raconter…
Pierre, fier comme un coq, ne ce fait pas prier :
« Et bien nous sommes montés dans ma chambre, pour refaire le lit. Mado avait sa robe avec les trois premiers boutons défaits, et ne portait pas son corset. Lorsqu’elle s’est penchée pour refaire le lit, j’avais une bonne vue sur ses seins. Bien sur, elle a vu mon regard sur ses seins, et elle m’a demandé à quoi je pensais.
Je lui ai répondu : « Presque rien je regarde tes gros nichons qui me font déjà bander.
- Comment peux-tu dire de telles cochonneries ?
- Je pense à ce que m’a dit Maurice au sujet du locataire qui était ici avant moi et au régime auquel il avait droit…
Mado joue l’innocente et interroge : et il t’a dit quoi ? »
- Par exemple qu’il pouvait faire ceci… »
Et, joignant le geste à la parole, je n’hésite pas, et plonge mes deux mains dans son corsage et j’attrape les siens à pleines mains.
Mado a protesté : « Mais que fais-tu, espèce de dégoutant, arrête de suite. » Mais sans repousser mes mains. Alors, je continue, je soupèse et malaxe ses grosses mamelles.
Mado continue de râler pour la forme : « Allez, arrête tes bêtises ! »
Mais elle lorgne la bosse que fait mon pantalon. Il faut dire que mon pelotage m’avait donné une bonne érection !
J’ai renchéri : « Je sais que tu aime cela, Mado !
- Mais que vas-tu imaginer petit dévergondé ???
- Ton fils m’a raconté tes exploits, tu ne vas pas faire de différence avec le régime de tes pensionnaires, quand même ? Et puis je sais que tu aimes trop la baise pour le refuser ca, n’est-ce pas ? »
Sur ces paroles, elle ne dit plus rien.
Je continue sur ma lancée : « Tes seins me font envie depuis pas mal de temps, maintenant ils me font bander dur ! Regarde ! »
Je sors prestement mon sexe et de l’autre main je détache très vite quelques autres boutons, elle n’a pas tenté d’arrêter mon geste.
Mado continue de faire son cinéma : « Comment oses-tu ? Tu n’es pas honteux, à ton âge, avec moi ?
Je fais semblant de ne rien entendre :
- Ah oui, maintenant je les vois bien, tes grosse miches, super jolies, tout ce que j’aime : de grandes aréoles et de belles pointes.
- Arrête de dire ces insanités, et rentre cette chose !
- Non, surement pas, je sais que tu aimes les gros calibres comme le mien. Je sais qu’il te fait envie, espèce de belle salope !
Elle prend mon sexe en main, et continue de protester mollement : « Rentre cela de suite !
Mais la garce tient fermement ma queue.
- Elle te plait hein, elle te fait envie ? Moi, j’ai envie de bien voir tes seins ! Ouvre un peu ta robe.
- Tu n’y penses pas !!! »
Mais elle déboutonne sa robe, et la lourde poitrine apparaît sous mon regard avide. Je m’empresse de les malaxer bien fermement et faire rouler les pointe sous mes doigts.
Mado, devenue rouge, à la respiration saccadée. Elle murmure, comme pour se convaincre : « C’est vrai que tu es bien monté, petit salaud ! Et d’un autre coté, je ne peux pas te laisser dans cet état !
- Montre-moi comment tu suces. Maurice m’a aussi dit que tu étais une experte en la matière ! »
Elle a un sourire et ne se fait pas plus prier. Elle gobe d’un seul trait ma bite, et la pompe en entier. Je vois qu’elle sait vriament y faire. Elle me suce à la perfection ! Ce n’est pas une gamine de dix-huit ans qui me ferait la même chose ! Ta mère est une salope hors pair, ajoute-t-il pour Maurice.
Je glisse une main vers son abricot tendu, elle mouille à fond, et inonde ma main de son jus un peu poisseux. Je continue aussi à malaxer un sein, devenu bien dur maintenant.
Je continue à la masturber, je fouille sa chatte poilue de mes doigts, je rentre presque ma in en entier. Elle aime ca, la cochonne !!! Pour un peu, je la fisterai en entier !!! Elle, elle ne perd pas son temps non plus : elle se déchaîne sur ma tige. Elle me fait une gorge profonde, m’avale en entier, me pompe le dard à mort.
Je la préviens que je vais me jouir, elle redouble d’ardeur. Je lui lâche toute ma purée dans la gorge, en une série de longs jets. La salope, elle a tout bu ! Elle se relève et me lance : « Tu es vraiment un petit salopard toi !
- Oui, mais toi, tu es une super bonne salope. Tu suces super bien ! Ton fils avait bien raison ! Allez, on passe aux choses sérieuses ! »
Il la pousse doucement vers le lit. Elle fait sa mijaurée, elle a un gros rire nerveux. Elle ajoute pour la forme : « Non pas cela à ton âge ! Tu n’y penses pas, je pourrais être ta mère ! Une petite gâterie, oui, mais pas autre chose !
- Au contraire, je ne pense qu’à cela ! Et au point où on en est…. Tu verras, ma salope, après tu en redemanderas !! »
Je déboutonne rapidement le reste de sa robe, la bascule sur le lit, et commence a m’occuper de sa poitrine, lui suce un sein et malaxe l’autre A chaque succion, elle balbutie : « Petit salaud, comme tu me têtes, comme tu fais ça bien… »
Mon autre main repart sur le chemin de son con bien ouvert et humide. Je le caresse et active mes doigts. Une fois de plus, elle dit non : « Mais que fais-tu petit salaud ? Tu n’as pas honte d’agir ainsi ??
- Mais non, je te prépare à recevoir ce que tu meurs d’envie de sentir en toi !
- Petit salaud je t’interdis de faire cela !
Mais elle ne peut pas continuer sa phrase : sous l’effet de ma caresse intense dans sa chatte ouverte et gluante, elle jouit en râlant…
Mon sexe toujours dur, j’écarte ses jambes sans opposition, cette fois-ci. Son sexe coule, tant elle est excitée. Je me couche sur elle et la prend d’un coup. Je la baise fermement, elle gémit à chaque coup. Comme tu me l’avais dit, Maurice, elle aime les grosses queues !
Depuis que j’ai commencé à la défoncer à mort, elle ne proteste plus du tout ! Bien au contraire ! Elle participe activement, en lançant son bassin à l’assaut du mien. Une vraie furie ! Je décharge mon foutre en elle, mais comme je bande encore, je la fais mettre à quatre pattes sur le lit. Une fois de plus, elle tente de s’y opposer : « Qu’est ce que tu me fais faire, petit salaud ? Tu ne vas pas me défoncer le cul, quand même !
-Mais bien sur que si. Une chienne, on la saillit en entier, et aussi, par le cul ! »
Je la prends par derrière, lui agrippe les seins. Je m’enfonce dans sa rosette pas mal ouverte. Tu sais, Maurice, ta mère, elle doit souvent se faire enculer ! Je la pistonne bien a fond, elle tortille de la croupe comme une diablesse, elle aime cela ! Je finis par jouir de nouveau, je me vide dans ses entrailles. Elle aussi d’ailleurs, jouit dans un long cri d’agonie. »
Oui, cela rejoignait bien les bruits que Nulaï avait entendus. Pendant tout le temps où Pierre leur racontait cette belle histoire, les trois garçons se masturbaient avec ardeur. Pierre branlait Nulaï, lui pognait à fond Maurice, et ce dernier masturbait Pierre. C’était un grand un moment de bonheur entre garçons ! Ils ont pratiquement giclé ensemble, s’aspergeant de leurs spermes. Une fois de plus, ils les goutèrent s’amusant de leurs gouts si différents.
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Ma femme offerte en dessert...
C’était un soir d’été, un vendredi soir d’une chaleur moite. Il flottait comme un parfum d’excitation dans l’air. Mélanie avait déjà une idée de la suite de la soirée, car ils en avaient parlé ensemble. Elle était sexy comme une diablesse. Toute en transparence avec des bas noirs et une jupe minuscule. Elle portait un haut noir transparent avec un soutien gorge au décolleté plongeant.
Ils étaient un couple uni et fidèle, mais voulaient pimenter quelque peu leur vie sexuelle. Ferdinand avait dans l’idée d’offrir sa jolie femme à un autre. Il fantasmait sous la soumission complète de sa femme à ses désirs. Il voulait la voir crier sous les caresses d’un autre, qu’elle le veuille, ou non…
Le dîner avait été très évocateur et plein de sous-entendus. Ferdinand la voulait soumise complètement à ses pieds, sensible à ses fantasmes les plus fous. Le dîner épicé et le vin commençaient à enflammer leurs sens…
Pour cette dernière soirée avant les vacances, ils voulaient tous les deux un dessert un peu particulier…
Soudain, la sonnerie de l’interphone retentit, et une excitation sourde s’empara de Mélanie.
« Vas ouvrir mon amour… le dessert arrive », lui dit son mari.
Elle commençait à avoir chaud et son sourire était déjà très prometteur. Elle accueillit leur invité, Matthieu, dans une tenue si sexy qu’il ne manqua pas de glisser ses yeux dans son décolleté en l’embrassant.
Une tarte aux fraises nous attendait avec des bulles d’un vin blanc sucré. Elle sentait comme une forte excitation dans l’air.
Les fraises glissaient sur ses lèvres, et les deux hommes observaient cette scène avec l’air plus que coquin.
Matthieu déposa sa camera sur un coin de table et la laissa fonctionner doucement. Le mari futur cocu lui avait demandé de filmer toute la scène.
Puis Ferdinand décida de réchauffer l’atmosphère et glissa lentement sous la table. Mélanie sentit ses mains remonter le long de sa cuisse. Il prit le temps de bien écarter ses jambes sur la chaise, et découvrit son string noir transparent. Il laissait entrevoir son sexe déjà humide. Seul un mince filet de toison subsistait d’une chatte parfaitement épilée.
La jeune femme, un peu gênée, tenta de l’empêcher de continuer son cunnilingus.
« Mon chéri, nous ne sommes pas seuls, tu ne peux pas faire ça devant notre invité !
- Ma puce, tu m’avais promis de te laisser faire, de te soumettre à tous mes fantasmes… Je t’en prie, acceptes. »
Sa bouche attrapa plus fort son clito à travers la fibre et cette sensation la fit se tordre de plaisir. Matthieu avait compris ce qu’il se passait sous la table, et apparemment, cela ne l’avait pas laissé indifférent. Avec provocation, Mélanie lui demanda si la scène l’excitait et si elle lui plaisait.
Mais sans attendre la réponse, résignée à faire plaisir à son cher mari, elle lui demanda d’approcher pour se rendre compte si vraiment son sexe durcissait de plus en plus. Il se leva et elle prit un malin plaisir à le dégrafer. Sa queue devenait plus ferme à travers son caleçon, et Mélanie adorait les coups de langue sous la table entre ses lèvres… Même si elle se sentait un peu salope d’être à la merci de ces deux hommes. Les restes de sa stricte éducation lui disait que c’était mal, qu’il ne fallait pas se comporter en putain…
C’est pourtant ce qu’elle se préparait à être, pour l’amour de son mari !
Elle dégrafa délicatement son pantalon et le son de la braguette excitait ses sens exacerbés. Mélanie tourna vicieusement autour de la queue de Matthieu avec sa bouche tout en le branlant et finit par le prendre profondément entre ses lèvres. Cette sensation l’avait remplie d’excitation. Elle lui taillait une pipe avec vigueur et se faisait prendre le clito à pleine bouche sous la table... En quelques secondes, elle était devenue une vraie chienne, prête à être saillie par deux mâles en rut !
Elle voulait aussi son mari, elle voulait lui pomper le dard à fond, comme jamais avant. Il sortit de sous la table pour lui présenter sa bite très dure. La vue de Mélanie suçant Matthieu l’avait aussi rempli d’excitation. Il bandait encore plus que d’habitude !
Mélanie disposait à sa guise de deux queues humides et dures, et sa bouche alternait entre l’une et l’autre tout en les branlant. Elle s’était mise à genoux en signe de grande soumission.
Ferdinand aimait la filmer dans ses moments si chauds… Il captait son regard de braise lorsqu’elle avalait son sexe au fond de sa bouche. Ils se déplacèrent sur le canapé, pour être plus à leur aise.
Ferdinand voulait rendre Matthieu fou d’excitation et souhaitait la même chose en retour. Il voulait que l’homme se déchaine sur sa femme. Mélanie prenait le chibre de Matthieu entre ses lèvres avec délectation. Pour ne pas être en reste, Ferdinand écartait doucement les fesses de Mélanie. Il ouvrait à l’aide d’un mini gode la rosette brune de sa femme. Mélanie bougeait son cul, pour mieux l’ouvrir. Son mari enfonça de plus en plus loin le petit gode, ouvrant bien le passage pour son gros mandrin. Plus il baisait sa femme fort, plus cette dernière pompait la bite de Mathieu.
Ferdinand retira le gode et vint mettre son gros gland devant l’anus de sa femme. Sans hésiter, il força la barrière rose, et s’empala au plus profond de sa femme. Elle cria de douleur sous la poussée brutale, à laquelle elle n’était guère habituée. Mais ses cris furent vite étouffés par la queue de son amant qui continuait de lui pistonner la bouche.
Ferdinand allait et venait avec vigueur dans le cul de Mélanie. Elle se retournait parfois pour contempler le spectacle et l’idée des moments à venir la rendaient de plus en plus folle. Cette vision rendait l’autre dingue et Mélanie prenait un immense plaisir à rendre fou Ferdinand. Au point où elle en était, elle voulait être très salope. Lui montrer à quel point elle pouvait aller très loin dans le hard, dans le sexe brut.
Sans retenue, elle gémissait d’un cri étouffé à chaque coup de rein de Ferdinand. Mais elle en voulait encore plus, bien plus. Elle dégagea son mari de son petit trou, et elle prit la main des deux hommes et les guida vers la chambre. Une lampe halogène éclairait la pièce, et Matthieu posa la caméra en bonne place pour ne rien rater des ébats à venir.
Elle s’allongea et écarta ses jambes. Ses mains découvraient les lèvres de son clito humide pour accueillir la bouche de Matthieu. Dans le même temps, elle lui agrippa sa bite toute dure et fit glisser sa langue sur toute sa longueur.
Ferdinand dégagea les fesses de Mélanie et décida de la prendre par derrière. Le chemin était ouvert, il pouvait aussi s’y engouffrer. Matthieu était troublé de voir un sexe d’homme de si prés pendant qu’il gobait le clito détrempé de Mélanie. Il avait là, juste à deux cms de ses pupilles, cette grosse queue qui labourait le cul de sa femme. Pour u peu, il pourrait aussi la lécher…
Elle se sentait tressaillir et adorait s’abandonner aux plaisirs multiples. Elle regrettait de ne pas avoir cédé plus tôt aux demandes insistantes de son mari.
Cette sensation redoutée devenait réalité, et à sa grande surprise, son plaisir augmentait au fur et à mesure des coups de boutoir du sexe de Ferdinand dans son cul ouvert.
Matthieu n’en pouvait plus et il voulait aussi sentir l’humidité chaude et intime de Mélanie. Cette idée commençait à l’obséder.
« On va la prendre à deux, comme une chienne… Mais avant, je vais la baiser, elle va te sucer encore.»
Mélanie devenait un objet, elle n’avait plus son mot à dire. Elle adorait cette sensation. Matthieu enfilait une protection pendant que Ferdinand glissait son sexe dans la bouche de Mélanie. Elle dessina un immense sourire.
« Il va me baiser devant toi comme une salope, une vraie chienne soumise… Tu vas adorer, et moi aussi », dit-elle crument.
Matthieu n’en revenait pas de la voir si chienne. Son sexe si dur commençait à frotter le clito de Mélanie comme pour l’exciter encore plus.
Ferdinand écarta entièrement les cuisses de Mélanie comme pour lui ouvrir le chemin. Elle ne pouvait plus se débattre, Matthieu prit aussi les cuisses de Mélanie fermement. Elle sentait quatre mains sur ses cuisses et le sexe de Matthieu allait se présenter devant son abricot gonflé. Son excitation grandissait encore.
« Prends-moi tout doucement, puis de plus en plus fort, défonce-moi, mets-la moi, ne sois pas timide… », supplia-t-elle.
Matthieu fit pénétrer sa queue jusqu’au plus profond du con dilaté de Mélanie avec une lenteur extrême. Elle voyait son sexe s’engloutir en elle et poussa un gémissement de plaisir tout en prenant la main de Ferdinand. Sa langue glissa le long du pieu de Ferdinand pendant qu’elle sentait grossir en elle une bite inconnue, inconnu avec un autre rythme.
Cette vision l’excitait infiniment. Elle était trempée. Matthieu prenait réellement son pied, se mettait à l’aise et manifestait un plaisir grandissant. Il prit les jambes de Mélanie pour les écarter encore plus. Mélanie poussait des cris de plus en plus saccadés :
« Il est en train de me défoncer… C’est bon… vas-y ! Pilonne-moi à fond !! »
Ferdinand se délectait avec la camera de ce superbe spectacle. Il se dégagea pour prendre en gros plan par derrière la vision du pieu qui allait et venait en Mélanie. Ses couilles frappaient les lèvres humides de sa chatte.
Matthieu retourna Mélanie. Elle décida de prendre les choses en main et s’assied sur la colonne de chair dressée. Dans le même temps, elle suçait Ferdinand en le regardant au fond des yeux : « Tu n’imagines même pas à quel point je vais être salope ce soir… Une véritable petite pute, comme tu voulais ! »
Ferdinand adorait la voir dans cet état, même s’il avait un léger nœud dans le ventre, à la voir prendre autant de plaisir. Jamais il n’aurait imaginé la voir dans cet état. Il l’imaginait plus retenue, plus craintive, refusant l’autre homme. Mais non, bien au contraire…
Pourtant, il ne manquait pas une miette de la scène.
« Vous allez me défoncer à tour de rôle comme une chienne, et puis en même temps… Je veux jouir sans m’arrêter avec lui, avec toi, tous les deux… »
Matthieu commençait à tressaillir. Mélanie lui donnait ses seins à pleine bouche. Elle sentait ces mains étrangères sur elle. Elle adorait l’idée de se faire baiser par un inconnu devant son homme.
Mélanie se retourna et s’accroupit. Elle présenta sa croupe à Matthieu pour qu’il la sodomise à fond. Pendant ce temps, Ferdinand profita des lèvres de Mélanie sur sa queue hyper bandée. Les cris de jouissance de Mélanie prise sans retenue commençaient à faire tressaillir Matthieu. Sa sève montait en lui sans qu’il puisse la retenir.
« Baise-moi comme une salope… Vas-y !!! »
Et soudain, Ferdinand commença à jouir sans s’arrêter. Il déversa un flot de sperme dans la bouche de la nouvelle salope, qui manqua de s’étrangler... La crème coulait sur son menton… Cette vue fit éclater Matthieu. Il donna un dernier coup de rein, pour jouir dans la chatte béante. Mélanie, elle aussi, jouit en criant très fort, comme jamais auparavant. Elle ressentait des vagues intenses de plaisir, qui la firent éclater en hurlant à fond. Ils se laissèrent tomber sur le lit, Matthieu venant lécher gentiment le sperme de son ami sur le menton de la belle garce.
Ils décidèrent de prendre un verre pour se remettre de leurs émotions. Ferdinand avait envie de jouir encore, il voulait sentir Mélanie au comble de l’épanouissement, la rendre encore plus folle de lui et soumise.
Après quelques minutes de rafraîchissement, Mélanie attrapa d’elle-même la main des deux hommes. Elle voulait à nouveau ressentir ce plaisir intense, et voulait que Ferdinand prenne son pied encore. Elle se mit à genoux sur le lit pour les sucer l’un et l’autre. Matthieu se délectait de lui introduire un doigt dans sa chatte humide de sa crème de sa première jouissance.
Après une série de caresses et des coups de langues entre les cuisses de Mélanie par la bouche de Matthieu, celui-ci se laissa aller complètement et décida de prendre Mélanie en levrette pendant qu’elle suçait Ferdinand.
Très dur, il s’imposa entre les cuisses de Mélanie, forçant sa chatte mouillée. Elle s’assied sur la bite dure de Matthieu qui prenait ses seins entre ses lèvres et Ferdinand écarta le cul de Mélanie fermement. Matthieu se dégagea pour laisser Ferdinand prendre à son tour Mélanie.
Ils prirent Mélanie à tour de rôle, la baisèrent à fond. Cela augmentait encore l’excitation de Mélanie. Elle était soumise au plaisir des deux hommes, au sien, comme si elle était une seule et unique grosse chatte, prête à tout subir…
Elle sentait une énorme queue d’une puissance redoublée. Puis Ferdinand décida de passer la vitesse supérieure. Il humidifia là nouveau la rosette de Mélanie et pénétra vivement son cul offert. Elle sentit sa queue si grosse comprimée dans son étroit conduit anal. Elle se tordait pour mieux sentir le membre la remplir à fond.
Matthieu pénétra aussi son vagin distendu, et ils se lancèrent à son assaut dans un élan saccadé. Elle sentait ces deux queues au plus profond d’elle et une vague de jouissance l’envahit rapidement.
« Prenez-moi fort…. Baise-moi, mon cœur… »
Ferdinand se retenait au maximum, il sentait sa bite de plus en plus dure glissant dans le cul écartelé de Mélanie. La vue de cette autre queue la défonçant sauvagement et surtout les cris de Mélanie d’un plaisir presque animal, le rendaient fou…
« Tu aimes ça, mon amour, me voir aussi salope… Je suis en train de me faire défoncer par vos deux bites, comme la dernière des putes ! C’est si bon ! »
Ces mots si crus excitaient les deux hommes. Elle ne se rendait pas compte de l’effet qu’elle pouvait faire ! Matthieu laissa éclater sa jouissance au fond des entrailles de la jeune femme. Il juta sa crème épaisse dans son cul hyper dilaté. Ferdinand sentait aussi le moment ultime de son plaisir… Il cria avec vigueur et harponna Mélanie de plusieurs coups moins rapides, mais très forts comme pour la pénétrer entièrement. Il voulait se vider au plus profond de cette chienne en chaleur. Elle sentit le foutre lui remplir la chatte, puis déborder sur ses cuisses ouvertes.
Mélanie lâcha ses gémissements de jouissance. Elle devenait dingue. Elle serra les fesses pleines de ces deux males en rut. Enfin, elle cria sa jouissance à travers toute la maison.
Puis elle se dégagea et embrassa amoureusement Ferdinand. Ils avaient pris un plaisir presque fou, inattendu, super excitant…
Matthieu montrait des signes d’épuisement. Il s’éclipsa doucement pour se rafraîchir et prendre une douche rapide…
Après un dernier digestif, il partit complètement abasourdi de plaisir et offrit en cadeau la cassette du film.
« Bonne nuit, et merci pour ce merveilleux dessert… Merci à toi, dit Mélanie avec un sourire coquin. On recommence quand ? Avec lui ou d’autres. Au pluriel, bien sur ! »
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Les aventures du soir
A l'origine de ce blog, je voulais raconter mes expériences intimes, telles que je les ai vécues tout au long de me vie sexuelle. Ce soir, je reprends le cours de ces « mémoires », et vous offre une tranche de ma vie de sexe brut au début des années 90.
Il y a quelques années, je suis venue vivre à Paris. Ah, Paris et ses plaisirs à l’infini… Le minitel explosait, avec ses sites roses. J’avais trouvé là un excellent terrain de chasse, pratique, discret, rapide.
Tous les soirs, je troquais ma panoplie de femme d’affaires, très « comme il faut », sérieuse, limite coincée, si j’en jugeais les ragots de mes collègues masculins, contre celle de la séductrice, de la prédatrice.
J’avais un ami régulier, Alain. Il connaissait mes appétits, et me laissait les assouvir à sa guise. Le sexe l’intéressait peu. Mais nous avions d’excellents rapports intellectuels. Tout compte fait, cette relation s’équilibrait très bien et me satisfaisait pleinement. Nous ne vivions pas ensemble, ce qui me permettait d’être plus libre, et de ne pas lui imposer mes sorties inopinées.
Les soirs où j’étais à la maison, je pianotais sur mon minitel. Comtesse de Paris était mon pseudo.
Beaucoup de femmes présentes sur les sites étaient des animatrices, peu acceptaient des rencontres. Ce n’était pas mon cas.
Si la description de l’homme me plaisait, je lui demandais ses gouts en matière de sexe. Un rapide échange téléphonique avait lieu. Cet ultime examen passé avec succès, nous prenions rendez-vous, parfois dans l’heure qui suivait. Jamais chez moi, parfois chez lui, ou dans un endroit discret, un parc, un sex-shop, un hôtel.
Arrivée sur place, si l’homme me plaisait, pas de formalités : nous avions immédiatement une relation sexuelle. Je les prévenais avant, au téléphone : c’est moi qui décide, c’est moi qui mène la danse. Ils savaient donc à quoi s’attendre, et avaient accepté le principe avant…
Le rituel était souvent le même. Je lui demandais de me lécher, au moins le temps que j’ai un premier orgasme. L’inconnu s’exécutait, plus ou moins bien... J’ai senti des dizaines de langues avaler mon clito toujours avide, fouiller les replis de mon vagin détrempé… Si j’en voulais encore, je lui maintenais la tête collée à ma chatte : « Mange, bouffe-moi la moule, je veux jouir encore… ! » Mon langage devenait chaque soir cru, ordurier. J’aimais ça. Je me saoulais de paroles, moi qui ne buvais jamais d’alcool.
Je ne le lâchais que lorsque j’avais eu satisfaction. Je jouissais en criant toujours aussi fort. Parfois, alertés par le bruit, des voisins de cabine de sex-shop entrouvraient la porte, pour nous mater et se branler devant nous. Ensuite, l’inconnu du soir pouvait me baiser. Protégé, toujours. Nous arrivions dans les années Sida. Il me prenait, tirait son coup, le plus souvent, semblait satisfait.
J’avoue que je n’aimais que peu cette partie-là. Mais c’était un passage obligé. La plupart était satisfait. Ils me rappelaient, m’inondaient de messages sur les forums de discussions du minitel.
Neuf fois sur dix, je ne les revoyais pas. Ca ne me disait rien. En fait, je les méprisais. Parfois, un ou deux sortaient du lot, ils étaient plus cultivés, plus sensuels, plus imaginatifs. Alors, nous entretenions une relation plus régulière, où une certaine complicité s’installait. Il m’est arrivé de partir en weekend en Normandie, de passer trois jours à Londres ou à Paris, avec l’un des ces amants de passage.
Ces moments étaient des petits miracles de douceur, de beauté, de sensualité. Tous les plaisirs des sens étaient réunis. Certains se doutaient que je n’étais pas celle que je prétendais être. Nous faisions l’amour la plus grande partie du temps, nous abreuvant de sexe et de luxure. Je sortais épuisée de ces marathons de baise, mais enfin satisfaite, enfin repue.
Ces amants particuliers finissaient par déceler mon éducation, mon savoir-vivre, que peu de gens possèdent, tout du moins, de cette façon si particulière, qui n’appartient qu’à la noblesse…
L’un d’entre eux, le patron d’une grosse boite d’agro-alimentaire m’a même payée pendant un an pour que je l’accompagne à des diners d’affaires. Dans ce genre de réception, un patron doit avoir une femme à ses côtés. J’étais censée être sa sœur, ou son associée.
Attention, il me payait pour que j’achète de jolies robes, toujours différentes, les chaussures, chapeaux, sacs assortis, parfois les bijoux. Il m’avait ouvert un compte chez un grand coiffeur de la place, pour lui faire honneur. Il réglait mon taxi. Mais jamais il ne m’a payée pour faire l’amour. D’ailleurs, nous n’avions jamais de relations les soirs de sorties professionnelles. J’ai bien aimé cette période. Elle m’a permis de rencontrer des gens intéressants, cultivés, hors-normes, et malgré tout, loin de mes racines, parfois pesantes.
Pourtant, un soir de pianotage intensif, à l’écran, un homme me proposa de me payer pour faire l’amour avec lui. C’était fréquent je refusais toujours. Cela me faisait peur. Je me disais que si un homme paye, il peut tout exiger. Et je n’étais pas prête à tout, surtout pour de l’argent. Je baisais tant et plus, mais je n’étais pas une pute. Mais lui, il m’intriguait… il voulait cette relation tarifée en pleine journée, dans son bureau. Je me suis dis que je risquais rien, que je crierai s’il dépassait les bornes. Il fallait aussi qu’il me plaise. Je lui fais part de mes réserves, il les accepte. Nous ne parlons pas tarifs.
Rendez-vous fut pris dans le 17ème arrondissement, dans un bel immeuble haussmannien. Je me présente à l’accueil, l’hôtesse m’informe qu’en effet, Monsieur X m’attend au dernier étage.
J’ai un peu d’appréhensions dans l’ascendeur. Dans quel guêpier me suis-je fourrée ???
Une secrétaire m’attend à la porte, et me guide vers le bureau de son patron. Je suis rassurée, son bureau est tout prêt de la porte. Si ca dégénère, je pourrais toujours hurler, elle m’entendrait !
Elle m’ouvre, et je vois un bel homme, la quarantaine élégante, qui se lève pour m’accueillir. J’ai même droit au baisemain…
Nous nous asseyons dans les fauteuils qui occupent le fond de son bureau. Il est très séduisant, visiblement ses affaires marchent bien. Après quelques banalités, je lui pose la question qui me brûle les lèvres depuis que je suis entrée :
« Vous êtes un bel homme, charmant, cultivé, alors, pourquoi voulez-vous payer une femme pour faire l’amour avec elle ? Je présume que les prétendantes ne manquent pas ! »
Il me répond en souriant : « J’ai de gros besoins sexuels, que ma femme n’assouvit pas. Alors, j’ai des maitresses, mais je les paye. Ainsi, toute notion de sentiments est annihilée. J’aime ma femme, je ne la quitterai jamais, et je ne veux pas de relations affectives. En payant, les femmes ne peuvent rien revendiquer sur le plan des sentiments. »
Il a raison.
Il se lève, vient s’assoir près de moi : « Vous êtes d’accord, je vous plais ? »
Je suis d’accord. Très doucement, presque tendrement, il m’embrasse. Ses lèvres sont fermes, comme je les aime. Nous échangeons un vrai baiser, passionné qui allume le feu dans mon ventre.
Mais je ne suis pas là pour moi. Juste pour le satisfaire, lui. Nous nous mettons debout, il presse mes seins, les caresse, les fait durcir. Je sens une raideur contre mon sexe qui s’échauffe. Il bande. Je m’agenouille devant lui, défait son pantalon, avec la ferme intention de lui faire la meilleure pipe de sa vie. Il caresse mes cheveux, joue avec. Je sors son membre de belles dimensions. Avec ma petite bouche, comment avaler un engin pareil ?
Mais j’ai à peine le temps de pointer ma langue sur le gland humide de désir, qu’il me fait me relever.
« Pas comme ça, pas tout de suite… », me dit-il en souriant. Il est grand, et lorsqu’il me fait assoir dans le fauteuil, ma bouche est juste à hauteur de son membre dressé.
Visiblement, cela ne lui convient pas. Il me fait lever, et nous avançons vers son majestueux bureau de direction. Il me fait assoir dessus, la jupe relevée sur mes hanches. Il dégrafe mon soutien-gorge. Je me laisse faire, je me demande ce qu’il veut… En fait, rien de très compliqué. Il me demande de le branler entre mes seins généreux. Je suis un peu interloquée : seulement ça ?
Je saisis la hampe dure, la lécha rapidement pour l’humidifier, et la fit coulisser entre me seins resserrés. Dans le même temps, il glissait un doigt inquisiteur dans ma chatte détrempée. Cette situation m’excitait de plus en plus. Il jouait avec mon clitoris, le massait, le titillait avec un grand savoir-faire. Cependant, ma concentration pour le satisfaire m’empêchait de me laisser aller.
A mon grand étonnement, en quelques minutes, il jouit sur mes seins. Il m’inonda totalement la poitrine, d’un flot de foutre impressionnant.
Etait-ce fini ? Je ne pouvais pas croire qu’il allait se satisfaire de « seulement ça » !
Il se baissa vers moi, et entreprit d’aspirer son sperme, de le lécher à petits coups de langues rapides, et excitants… j’étais au bord de l’explosion. Mais il s’arrêta brusquement et me tendit un beau mouchoir brodé. J’ai d’ailleurs toujours gardé ce mouchoir…
Il me dit de finir de m’essuyer, s’excuse de ne pas avoir de douche, me tend un bouteille d’eau pour me rincer succinctement. Un vrai gentleman…
Il s’est passé si peu de choses que j’hésitais à lui parler de me « honoraires. » Il aborda le sujet de lui-même.
« Je ne vous avais pas fixé de prix, et je vous sais gréé de ne pas avoir réclamé tel ou tel montant. Je n’ai pas de liquide. Vous prenez les chèques ? »
Une fois de plus, je restais sans voix, devant ces paroles à la limite de la réalité !
Je bafouille : « Mais oui, bien sûr, laissez l’ordre en blanc ».
Vu le peu que j’avais donné, j’étais prête à ne pas me faire payer du tout.
Il tira un chéquier de sa veste, le remplit rapidement et me le tendit. J’écarquillais les yeux : huit cents francs ! C’est énorme, nous sommes en 1989, c’est le loyer de mon studio !
Huit cents francs pour une simple cravate de notaire. Pas de fellation, pas de pénétration.
Je le remerciais, et sortis, non sans qu’il m’ait embrassée fougueusement. J’étais sur un petit nuage.
Etait-ce aussi facile de se faire payer pour faire l’amour ? Au fond de moi, je savais que non. J’avais eu une chance inouïe de tomber sur la perle rare.
Inutile de tenter le diable une nouvelle fois. Plus jamais je n’ai accepté de rencontres tarifées.
Pour l’anecdote, en lisant son chèque, je m’aperçus qu’il était fait sur son compte-joint… Comment expliquait-il à son épouse ces chèques aux montants si élevés ?
Le mystère resta entier !
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Très beau texte sur la descente au paradis