Les Mémoires très Libertines de Sophie
Expédition au pöle nord
Les pales des hélicoptères gros porteurs balaient la neige en se posant devant l'observatoire. Huit hommes et deux femmes sont envoyés pour surveiller le réchauffement de la planète. Ils vont passer huit semaines, isolés du monde.
Vingt chiens de traineaux sont là pour assurer les déplacements sur la banquise.
Samedi, c'est l'anniversaire de Reed. Les chercheurs veulent fêter dignement l'évènement. Les occasions de s’amuser sont rares, dans ce site hostile.
Le bâtiment est composé de quatre pièces. Une chambre de six lits sert de dortoir pour les hommes, une de deux couchages est destinée aux les femmes, une de réfectoire pour prendre les repas. La quatrième contient tout les ordinateurs et autres appareils de contrôles. Le tout est vraiment spartiate !
La première journée est réservée pour à l'installation du matériel. Le lendemain, les hommes partent pour une sortie de deux jours, afin de faire des prélèvements, laissant seules les deux femmes, Barbara et Solène. Ce sont elles qui sont chargées de rentrer les données sur ordinateur. Elles partagent le même lit. Avec le chauffage, elles n'ont pas froid, d'autant que Barbara, belle rouquine de trente huit ans, bisexuelle, connait tous les ingrédients pour réchauffer Solène, belle blonde de vingt cinq ans. Elles se connaissent depuis longtemps, et n’en sont pas à leur première mission…
Lors de leur dernière expédition, Barbara s'était un peu amusée avec Solène, qui avait apprécié, jusqu'à hurler de plaisir.
Cette nuit, la température extérieure affiche moins trente, mais à l'intérieur, la chaleur est plus agréable, à tel point que c'est intégralement nues, que les deux femmes se glissent sous les couvertures. Solène est directe, comme à son habitude :
« Tu me caresses comme la dernière fois ? demande-t-elle.
-Tu veux que je te branle ta petite chatte, que je doigte ton clitoris, c'est çà ?
- Oh oui, tu le fais si bien… J’adore tes caresses…»
Il n’en fallait pas plus à Barbara pour entamer un véritable marathon sexuel.
Pendant demi-heure, Solène va offrir son corps aux mains expertes de Barbara, savourant ses caresses vicieuses. Elle la caresse partout, s’attarde sur les seins lourds et durs. Elle tourmente les aréoles avec ses dents,, alterne avec de caresses puissantes, où elle malaxe sans ménagement le poitrine de Solène. Celle-ci se tord de plaisir sous ces mains habiles. Elle n’est pas en reste pour lui rendre la pareille. Barbara descend ses lèvres le long du vente de son amante, la couvrant d’une foule de baisers légers. Enfin, elle atteint le paradis de Solène, et y enfonce une langue pointue et agile. Elle fouille sa chatte trempée, mordille le clito, aspire les lèvres gonflées et rougies par le désir…
Solène est au bord de la jouissance, quand, au dehors, une bagarre s'engage entre deux chiens. Les deux femmes abandonnent leurs ébats, s’habillent rapidement, et se couvrent de grosses couvertures, et sortent de leur chambre. C'est Dick, un husky de deux ans, qui s'est fait prendre l'oreille. Solène le tire dans le bâtiment, pendant que Barbara prépare la pharmacie.
Ce n'est pas trop grave. Le chien s'assied sur l'épais tapis. Les deux femmes se déshabillent rapidement, la tenue est suffocante pour l’intérieur.
Barbara s'accroupit pour soigner la plaie. La tête de Dick est appuyée sur les genoux de Solène, qui se trouve assise sur la table basse.
Le chien sent la mouille de la jeune femme. Il glisse son museau sous la couverture, et se trouve en contact avec la chatte de Solène, qui s’était abstenue de mettre une culotte. Il envoie un premier coup de langue inquisiteur.
« Chut Dick, calme toi », dit-elle, un peu mal à l’aise d’avoir éprouvé un bref plaisir au contact de cette langue râpeuse.
Le deuxième coup est plus précis, il entrouvre les lèvres humides, et décalotte le clitoris. Vaincue pa l’excitation ressentie, Solène bascule sur le dos, jambes écartées de chaque côté de la table, la tête dans le vide. Barbara fait mine de retenir le chien.
« Oh, l'enfoiré, gémit Solène, mais c'est qu’il me bouffe le minou ce salaud… Ha… Regarde Barbara... »
Barbara, tout aussi excitée par ce spectacle, décide de profiter de la situation, pour jouer avec sa collègue. Elle passe sa main sous le ventre de Dick, et lui caresse le sexe. La queue, toute rouge, sort très vite du fourreau de poils. Le chien couine légèrement. Il bande dur. Il lèche de plus en plus fort Solène, qui jouit dans un grand cri. Le chien ne la lâche pas pour autant. Il continue de laper la chatte et la rosette bien offertes.
« Qu'est-ce-que tu fais à la petite chatte de ma copine, sourit Barbara. Polisson, regarde comme tu la fait mouiller, c'est çà qui te fait bander, gros vicieux ?
- Oh putain, soupire Solène, que c'est bon... Comme il me suce bien le bouton… Mieux qu'un homme… Vas-y… Lèche bien là...
- Et moi, ma chérie, fait remarquer Barbara, si tu savais ce que je tiens entre mes mains, une belle bite, bien dure. Tu veux qu'il te la mette, çà ne doit pas être mauvais tu sais...
- Cà risque rien tu crois ? J'ai tellement envie de prendre un bon coup de queue ! Si çà fait mal, tu le retires, d'accord ? »
Barbara place les pattes du chien de chaque côté de la table basse. Elle approche son énorme queue près de la chatte de Solène. Elle accompagne vivement la pénétration du mandrin rouge. Comme le chien qu’il est, il la pénètre d’un grand coup, butant au fond du vagin de Solène. Barbara fait la grosse bite aller et venir entre les lèvres pleines de mouille. L'instinct animal fait le reste, Dick la baise violemment.
« Whoua… Qu'il est gros... quel mâle ! Ha, que c'est bon !!! »
Barbara finit de se dévêtir, en ne perdant pas une miette de la saillie de son amie par l’animal.. Elle apparait superbe dans toute sa nudité. Elle fait le tour de la table basse, et vient se placer, jambes écartées, au dessus du visage de Solène. Lentement, elle amorce une descente. Solène admire le corps magnifique qui la surplombe. D'abord, les lèvres intimes humides, le ventre plat, les seins aux bouts énormes, puis le regard coquin. Barbara saisit la nuque de la jeune chercheuse, et la colle contre sa chatte.
« Sens comme je mouille moi aussi, sens mon bouton comme il est dur ! Ma petite chienne, suce-le, mords-le… Vas-y ! Bouffe- moi la cramouille… J'ai envie, tu sais... Oui, oui...jouissons ensemble ma chérie ! Oh ouiiiiiiiiiii !!! »
Solène, agrippée aux fesses de Barbara, mord littéralement dans le fruit juteux ainsi offert, arrachant des cris de plaisir à sa collègue. Barbara gémit de plus en plus, s'écarte d'avantage, se prend le bout des seins qu'elle fait rouler entre ses doigts. Dick, lui, accélère ses coups de boutoirs, jusqu'à se vider en abondance dans les entrailles de Solène.
Les hurlements provoqués par l'orgasme traversent la chambre. Les deux femmes ont joui ensemble. La cyprine de Barbara coule sur les joues de Solène. Le chien se retire lentement, et nettoie de sa grosse langue la chatte de la jeune chercheuse, ce qui est loin de lui déplaire. Barbara s'avance pour se faire lécher la sienne. Les deux femmes roulent sur l'épais tapis, enlacées, soudées par un sulfureux baiser, puis regagnent le lit.
« Whoua ! Ben dis-donc ! Quelle partie de cul, soupire Barbara.
- Samedi, c'est l'anniversaire de Reed, rappelle Solène. Si on en profitait pour se faire mettre ? On a plein de baux mâles sans doute en manque…
- Excellente idée, répond Barbara. Mais au fait, on en était où ? A oui, j'étais en train de caresser une chatte toute mouillée.
- Hum...mais elle l'est toujours, murmure Solène. Avec encore un reste de sperme du chien…
- Viens ici petite chienne…. »
Pendant toute la nuit, elles vont se gouiner, se lécher, faire des 69 à n’en plus finir. Tous les objets longs de la base y sont passés : légumes, marqueurs, bouteilles de vin. Tout est bon pour se baiser la chatte et le cul à fond….
Le samedi de l'anniversaire arrive. L'ensemble des chercheurs remarquent que Reed et Joe s'attardent sous la douche. Ils les soupçonnent d'avoir eu des relations sexuelles. Ils n’ont pas tord. Les deux hommes sont bi, et comme le sexe leu manque cruellement, ils profitent de la douche pour se tailler mutuellement des bonnes pipes. Ils se purgent ainsi les couilles, rapidement. Mais cela leur laisse un gout de « pas assez »…
Les deux femmes arrivent dans le dortoir des mâles dans une tenue plus que provocante. Elle sont bien décidées à baiser toute la nuit…
Pierre sent que la soirée va être chaude. Il enquille un CD de musiques chaudes dans le lecteur. Les deux chercheuses se frottent et ondulent sur une lambada effrénée. Les hommes les entourent, lancent des plaisanteries douteuses. Leurs mains s’égarent sur les corps chauds des deux jeunes femmes. Elles sentent des doigts partout, qui s’infiltrent, s’insinuent, commencent à bien les exciter…
Sans plus de façon, les hommes les entrainent sur deux lits mis côte à côte.
Là, elles vont servir pendant des heures de vides couilles aux chercheurs en plein sevrage. Elles vont se faire niquer, enculer. Elles vont tailler des pipes. Elles seront prises par tous les orifices… Le top de la nuit étant Solène en double pénétration, avec Barba en travers de son visage. Elle lui bouffe la moule avec avidité, pendant que Barbara se fait enculer sans ménagement par Pierre, et qu’elle pompe Reed à fond, debout devant elle.
Joe, lui doigte la rosette de l’homme qui sodomise Solène… La scène est dantesque, inimaginable : la luxure à l’état pur ! Ils jouissent sans entraves, criant leur plaisir dans la base encore et encore.
Puis, enfin repus, tout le monde sombre dans un léger sommeil.
Les deux femmes sont réveillées par des gémissements provenant du lit d’à côté. C'est Reed qui se fait enculer par Joe. Elles ne perdent pas une miette de leurs paroles salaces.
« Bon anniversaire Reed, çà fait longtemps que je ne t’avais pas mis un coup de queue, hein ? Tu aimes toujours autant à ce que je vois.
- Oh oui mon chéri, comme tu m'encules salaud, murmure Reed, que c'est bon ! Décalotte-moi, s'il te plait… Branle-moi fort ! Tant pis si tu me fais gueuler ! De toutes façons cette nuit, on a tous baisé comme des sauvages ! »
Barbara et Solène se regardent, l’air entendu :
« Cà t'a excitée de voir çà ? Alors, tu sais ce qui t'attend. Fais voir que je m'amuse avec ta petite chatte. Je suis sure qu'elle est toute baveuse, cette salope.
- C'est vrai qu'elle est toute mouillée mon amour, vas-y, amuse-toi. Mon petit clitoris aussi ! Régale-moi… Je veux être ta pute cette nuit ! »
Elle ne croit pas si bien dire. Les deus hommes voyant les deux femmes se lécher la chatte avec ferveur, ont vite fait de les retrouver. C’est dimanche, ils ne travaillent pas. Toute la journée va être semblable à la nuit passée, une énorme partouze des six hommes avides de sexe, et des deux jeunes femmes en chaleur….
Les chiens ne seront pas oubliés non, plus, rassurez-vous !!!
Claude, cocu le jour de son mariage.
Je me prénomme Charlotte, j'ai 28 ans, je vis depuis sept ans avec celui qui est mon mari aujourd'hui. C'est lui qui m'a initié au sexe à l'âge de vingt ans, je lui dois tout et je l'aime bien sûr, mais côté sexe justement je ne suis pas très branchée. En réalité, j'accomplis l’acte sexuel plus pour son plaisir que pour le mien. D'ailleurs je sais qu'il a déjà, en parlant de moi, fait la réflexion suivante : « elle n'aime pas trop, pour preuve elle mouille à peine... »
Sans compter qu'en plus, il adore les sous-vêtements suggestifs, et là encore, il n'a pas de chance je suis très sage : type petit bateau Ultra sage.
Nous avions décidé e nos marier, après ces sept ans de vie commune. C’est un jour exceptionnel, il fallait donc sortir le grand jeu.
Pour ce jour unique, j’ai acheté un ensemble string et soutien-gorge en dentelle blanche plus des bas blancs et les jarretelles assorties.
C'est vrai aussi que le jour du mariage, la mariée doit être la plus belle et sans être prétentieuse. A vrai dire, je me dis que je ne suis pas mal.
Revenons à ce jour, préparé depuis un an, deux cents invités au repas. Je passe sur la messe, le vin d'honneur, en tant que héros du jour, mon mari tout neuf et moi ne voyons et profitons de rien…
Puis commence la soirée qui sera mémorable…
En effet, les invités apprécient pleinement le repas, et comme toujours en pareil cas, les mariés vont de table en table, voir si tout se passe pour le mieux.
C'est ainsi qu'arrivant à la table de mes beaux-parents, mon regard croise celui de cet homme, un ami de mon beau-père, la cinquantaine, poivre et sel, bel homme, sur de lui et de son charme. Je tombe en arrêt, je bégaye pour demander si tout va bien.
Mon trouble doit être perceptible, ou du moins je le crois. Je quitte la table et retourne à la mienne, mais mes sens sont bouleversés.
Je m'assoie près de mon mari et lui fais un bisou, tout en regardant vers cet homme pour lui faire comprendre que mon homme, c’est bien lui…
Durant tout le reste du repas, je ne cesse de croiser son regard. Viens enfin l'ouverture du bal par les mariés. Nous dansons une première valse ensemble, puis, chacun de notre côté nous allons chercher un convive. C’est mon beau-père pour moi, et ma mère pour Claudemon mari.
Sans plus y réfléchir, le suivant que je vais chercher n'est autre que cet homme. A ce moment-là, j'ignore son prénom. Nous tournons sur cet air de valse et avant de le quitter pour prendre une autre personne. Il me chuchote à l'oreille : « Alors jeune fille, je te trouble, je suis certain que tu as envie de moi. Tout à l'heure, tu me rejoindras près de la réception, c'est compris. ? »
Et je lui réponds, presque à mon insu : « oui Monsieur. »
Sur ces paroles, il s'éloigne et va rejoindre son épouse. Inutile de vous dire que j'ai les jambes en coton. Pourtant, j'invite une autre personne, puis encore une autre, mais mon esprit est près de cet homme.
Je sens mon sexe tout humide, comme rarement dans ma vie. Mon corps et ma tête ne communiquent plus ensemble. Je suis effectivement sous le charme, et à ma grande honte, j'ai très envie de lui.
Au dessert, il vient dans mon dos, et profitant de la cohue autour du buffet, il pose sa main sur mes fesses et me les caressent au-dessus de ma robe. Je suis tétanisée, on pourrait le voir ! Il se colle à mes fesses et je ressens sa bite dure contre elles.
Les danses se succèdent, je sais qu'il me regarde je perçois ses yeux sur mon corps. Profitant que tout le monde, ou presque, soit sur la piste, je quitte la salle et me dirige vers la réception. Une main se saisit de mon bras. C’est lui, il me guide vers un vestibule tout proche. Nous pénétrons à l'intérieur et il verrouille la porte. Il est dans mon dos. Face à moi, il y a une table ronde sans rien dessus. Ses mains se posent sur le zip de ma robe, qu'il descend jusqu'en bas. Il dégage les épaulettes et ma robe tombe à mes pieds.
Je suis de dos en sous-vêtements avec cet inconnu, alors que ce devrait être mon mari qui profite de cette vision. Je devrais être morte de honte, rougir de moi-même. Il n’en n’est rien.
Il fait sauter l'attache de mon soutien-gorge, et ses mains s'emparent de mes seins qu'ils malaxent durement. Il fait rouler entre ses doigts mes tétons en érection. Il finit par lâcher mes seins et s'attaque à mon string qu'il baisse à mi-cuisses. Il me fait écarter les jambes tout en m'intimant l'ordre de me plier en deux sur la table.
Il s'agenouille et son souffle est perceptible sur mes fesses qu'il sépare. Sa langue pointe sur mon orifice, qui frémit sous cette caresse. Il me lubrifie la rondelle avec sa salive, puis se relève et pointe un doigt pour perforer mon anus. Cela a pour effet de me faire pousser un cri de surprise et de plaisir mêlés.
Sa bite est tendue au maximum, il la guide vers mon nid d'amour, je suis trempée comme jamais je ne l'ai encore été, il s'amuse à la frotter sur mes lèvres vaginales qui s'ouvrent à lui. Il me saisit par les hanches, me pénètre violement jusqu'à la garde puis s'immobilise au fond de mon utérus. Il est sans scrupule, cet homme… Il ne me demande même pas si je suis protégée. Par contre, il me dit crûment : « tu la sens ma queue ?
- Oui monsieur elle est bonne », ne puis-je que répondre timidement.
Il commence par se retirer pour mieux replonger à l'intérieur de cette grotte qui suinte de mon jus abondant. Il pousse des ahanements de bûcheron pendant qu'il me besogne à fond le ventre.
Je sens tout mon être qui répond à ses assauts et une sensation jamais ressentie jusque là investit mon bas-ventre. Cet homme est en train de me donner le premier véritable orgasme de ma vie. Je l'encourage en disant : « bourrez moi, plus fort çà viens ! N’arrêtez pas, je vous en supplie, baisez-moi à fond ! Inondez ma chatte, je veux votre sperme en moi !!! »
Cela l'excite tout autant, car je ressens dans mon chatte sa queue qui grossit, puis d'un coup, une déferlante liquide frappe le fond de mon utérus. Il jouit très fort, et je ne tare pas à en faire autant…
Il reste planté en moi encore quelques instants avant de se retirer pour me dire : « on se retrouve ici dans une heure, il est inutile que Claude s'inquiète de ton absence.
- Oui monsieur je viendrai, » répondis-je, servilement.
Il fait glisser mon string le long de mes jambes et le met dans sa poche : « tu seras mieux sans, et ça m'excite de te savoir sans culotte sous ta robe. »
Moi qui avait acheté ses sous vêtements pour mon mari, il m'en manque déjà un et c'est un étranger qui en profite. J'ai honte de moi, il me remonte la robe et l’attache après m'avoir remis mon soutien-gorge. Il ne manque pas, au passage, de malaxer mes seins une nouvelle fois. Il quitte la pièce, mais mon sexe à présent nu sous ma robe est encore tout excité, j'ai envie de me caresser avant de regagner la salle.
Alors, je me retrousse, et ma main plonge entre mes cuisses, je profite de la semence de cet homme qui s'écoule de ma chatte pour faire glisser mes doigts le long de ma fente et très rapidement un nouvel orgasme m'emporte au septième ciel.
Il me faut un instant pour récupérer de mes excès, je rabats ma robe et je regagne la salle. Mon mari m'interpelle et me demande où j'étais passé. Je lui réponds sans sourciller que l’étais aux toilettes. « Pendant une demi-heure, tu n'es pas bien ? me dit-il.
- si, si tout vs ne t'inquiète pas, » lui déclarai-je doucement.
En même temps, je ressens le long de mes cuisses le sperme de mon amant qui s'écoule de ma chatte, et mouille le haut de mes bas. Aussitôt après, je cherche mon amant dans la salle, il est assis près de mon beau-père, il me regarde et passe sa langue sur ses lèvres, je me retiens sinon je pense que j'irai sur ses genoux, c'est dingue l'effet qu'il me fait. Je ne suis plus normale, c’est le jour de mon mariage, et je suis impatiente de le retrouver dans une heure. Je ne uis qu’une salope de bas-étage.
Mon mari vient m'inviter à danser, mais je rêve m'imaginant dans ses bras à lui. Je me colle et mon mari me dit : « tu as l'air très amoureuse, soit patiente. Tout à l'heure, je te ferai l'amour comme jamais… «
Comme jamais, c'est ce que je viens de faire et dont j'ai encore envie. Mais pas avec lui. Je regarde ma montre sans cesse, j'ai l'impression que le temps n'avance plus, j'ai hâte de retourner au vestibule. Enfin, je le vois qui se lève et se dirige vers la sortie, je tremble sur mes jambes.
« Claude, je m'absente un moment ne t'inquiète pas et occupe toi de nos invités, je reviens.
Ca va mon cœur ? » me lance t il
Mon cœur va la chamade, je tremble jusqu'au vestibule, je pousse la porte, il m'attend. Je me jette dans ses bras et nous échangeons un long baiser, sa langue pénètre ma bouche, je frotte mon bas-ventre contre son sexe. Il bande fortement, cela dure quelques minutes. Je suis folle de cet homme qui vient de me baiser come un catain, le jour de mon mariage…
Il se dégage de moi, me fait reculer et me dit : « retrousse-toi, petite pute, montre moi à nouveau ta chatte, écarte bien tes lèvres. Montre-moi que tu veux que je te baise, prouve moi que tu as envie réellement de moi ! »
Pourtant peu habituée à ces ordres, je m'exécute, les mots crus qu'il emploie décuple mon envie qu'il me prenne brutalement, bestialement même ! Il me fait à nouveau plier en deux sur la table, relève ma robe, m'oblige à écarter mes jambes, il sépare mes fesses et je sens un corps gras avec lequel il enduit mon œillet rose tout en introduisant un doigt dans mon fondement. Jamais Claude ne m’a sodomisée. J’ai toujours refusé ce que je jugeais être une pratique bonne pour les putes ou les animaux !!! Et là, toute pudeur perdue, tout honte bue, j’offre mon cul vierge à cet homme brutal, le jour même de mon mariage !!!
Je m'ouvre à lui, et pousse mes fesses en arrière pour qu'il puisse bien l'enfoncer, puis c'est un deuxième doigt qui rejoint le premier. Une douleur vive se fait ressentir, mais je n'ose pas m'en plaindre. Après quelques va et vient, la douleur disparaît pour faire place à quelque chose que je ne connais pas, mais c'est très agréable. Je l'encourage verbalement, et lui ne se prive pas de me dire des mots que je n'ose même pas écrire ici. Il finit par ouvrir sa braguette et extraire sa grosse queue dure. Il la positionne sur ma rondelle, et s'enfonce en moi petit à petit pour bien me faire sentir son membre. Il me fait ainsi comprendre que je suis à lui. Ses mots sont de plus en plus orduriers à mon égard, mais je m'en fiche, sa queue me fait le plus grand bien. J’ai l’impression de jouir en permanence tellement c'est bon.
En fait c'est un plaisir nouveau pour moi, la frigide que j'étais il y a encore quelques heures. Sa bite me bourre de plus en plus fortement, elle grossit dans mon conduit, je la sens d'avantage et il se cabre au fond de mon cul. Je sens le tressautement de sa queue, annonciatrice de son foutre.
Son sperme jaillit dans mes intestins, je suis terrassée par cette nouvelle jouissance et m'écrase sur la table. Il se retire et il observe mon anus qu'il vient de violenter. Il me le détaille à haute voix afin d'accentuer d'avantage ma soumission et ma culpabilité en ce jour exceptionnel.
Il plonge sa main dans la poche, en retire mon string, s'essuie le sexe avec et avec une grande délicatesse me l'enfile comme s'il ne m'avait jamais quitté. Il se rajuste, me donne une tape sur les fesses, tourne les talons et quitte le vestibule.
Je reste inerte, en train de récupérer de la baise que nous venons de vivre. Je reste un bon moment comme cela avant de regagner la fête et mon mari.
Tout à l'heure je serai à nouveau sa femme où presque… Il se prénomme Jules. Depuis cette soirée, j'ai connu trois autres quinquagénaires, à qui je me suis donnée sans retenue leur offrant ce que je refuse toujours à mon mari : mon cul et ma jouissance !
Bruno au sauna bi
Un sauna gay du Sud Ouest. J'aime bien cet établissement, car contrairement à certains autres, dans celui-ci, les hommes qui y viennent assument pleinement ce pourquoi ils sont venus. En effet, dans lieux moins sélectifs, on y rencontre quelques hétéros, généralement âgés (aucun racisme là, j'ai moi même 65 ans), qui viennent se dévergonder et s'enfuient comme des gazelles effarouchées dés qu'un peu de lumière risque de les éclairer. Dans ce sauna, un seul et unique endroit est volontairement dans le noir absolu : c'est une sorte de labyrinthe étroit dans lequel on se déplace en se frottant à des corps souvent inconnus, ce qui pimente un peu plus le jeu.
Je me suis donc rendu un après midi de semaine dans ce Sauna. A mon arrivée, il y a pas mal de gars de tous âges et de toutes couleurs. Je me rends à la douche, elle a la particularité d'être une grande salle sans cloison et éclairée comme en plein jour. Quand tu passes ton savon sur ton corps, c'est bien le diable si « une bonne âme » ne vient te proposer son aide... C'est très convivial !
J'apprécie beaucoup ça, on est tout de suite dans le bain. J'étais donc en train de me laver à côté de deux hommes, un black et un blanc, visiblement en couple. La façon que chacun avait de s'occuper de l'autre était très excitante. Je me mis donc à bander. Cette réaction sembla plaire à ces deux-là qui s'approchèrent de moi pour me donner un coup de main, pas forcément désintéressé.
Mon après midi commençait plutôt bien. J'ai pu me rendre compte que mes deux nouveaux amis étaient particulièrement bien armés. Le black avait du gros calibre entre les jambes, son copain blanc n'avait pas à rougir de la dimension de sa bite. Et chose importante à mes yeux, tout comme moi, ils étaient intégralement épilés.
Nous nous sommes séparés une fois bien propres et bien chauffés avec un « à tout à l'heure » assez prometteur. Je me suis rendu dans le hammam où règne une certaine pénombre, ampoules faibles et vapeur dense. Je visite à tâtons pour trouver une place sur les banquettes de carrelage. J'en trouve une, sur la banquette supérieure, où il n'y a personne. Je m'allonge sur le dos et me laisse envelopper par la chaleur moite du lieu, en caressant ma queue. Un homme assis sur la banquette inférieure me voit faire et prend ma bite en main la caresse un instant, puis se penche pour me sucer. Je le laisse faire un moment. Moi je suis bisexuel essentiellement passif, j'adore sucer et me faire sodomiser. Alors je prends la main de l'homme qui me caresse les couilles et la guide vers mon trou de balle. Il comprend très vite et négligeant ma queue se met à me doigter et me lécher l'anus. Je me régale, il fait ça avec beaucoup de douceur.
Je me déplace légèrement pour que mes fesses dépassent de la banquette. Ainsi, mon partenaire inconnu peut mieux jouer avec mon petit trou. Il introduit deux doigts et il constate que j'apprécie. Je le lui fais comprendre en remuant légèrement les reins et avec un soupir. Il a pigé ce que je cherche, et s'enhardit alors à mettre quatre de ses doigts. Et il commence quelques allers retours, je prends un plaisir fou. Je l'encourage de la voix :
« Oui vas-y comme ça, oui! Plus fort, plus fort !
- Tu veux la main entière dans tes fesses ? me dit-il.
- Oui ! Mets-la, enfonce bien. Jusqu'au poignet ! »
J'adore vraiment qu'on me travaille les fesses et si on me prépare bien, je prends un pied fou à me faire fister. Mon partenaire entre donc sa main complètement et me fait des va et vient qui me font gémir de plaisir. Sa façon de faire ça me fait jouir. Puis il retire sa main, et pour le récompenser, je lui fais une pipe, hélas pour moi sa queue est moins intéressante que sa main. Nous séparons, et je pars visiter les différentes pièces du Sauna. J'ai les fesses en feu, j'ai encore l'impression d'avoir la main à l'intérieur.
J'entre au sauna sec, personne. La chaleur est agréable. Je m'assois sur la banquette en bois, jambes repliées. Ainsi installé, mon anus est bien visible. Je le caresse un moment et constate qu'il est encore bien ouvert. J'espère que du monde va arriver et que mon cul tentera. Et puis effectivement, mon couple de la douche arrive et s'assoie de chaque côté de moi. Je me penche vers le black, sa queue majestueuse est vraiment trop tentante. Je la prends en bouche, et je la sens grossir sous ma langue, je suis heureux, voilà qui promet une sodomie formidable. Pour mieux le sucer je me suis lever et mis face à lui. Ainsi penché en avant mon cul est offert à son partenaire blanc. Celui-ci vient alors se placer derrière moi et me fait une feuille de rose. Je bande très dur. J'ai envie qu'il me prenne et le lui dit.
Aussitôt, il enfile une capote (saloperie de SIDA qui nous prive du plaisir du «direct»), et entre en moi d'un coup. Aucune souffrance, je suis bien dilaté. Il me prend ainsi un long moment durant que je suce la queue du black. Il me tarde vraiment qu'il me prenne lui aussi. Enfin ce moment arrive, il se place derrière moi et commence d'abord avec ces doigts. Là ce n'est pas pour me dilater, c'est déjà fait, c'est pour son plaisir et le mien. Il se rend compte que je suis bien ouvert, il met sa capote et entre en moi. WOUAH !!! Superbe sensation. Je me sens bien rempli. Ce black, tout en m'enculant, me dit :
« Dis donc, tu es bien dilaté là ! Tu es toujours comme ça ?
-Non, pas du tout, je me suis fait fister dans le hammam, et voilà, c’est pour ça que je peux me faire prendre comme ça aujourd'hui !
- Tu veux qu'on essaye de te prendre ensemble, mon copain et moi ?
- Euh ! Je n'ai jamais fait ça encore. Si vous me promettez d'y aller doucement, je veux bien essayer, mais vous vous arrêtez si je le dis, OK ?
Mes deux enculeurs se lubrifient bien leur bite, et moi j'en fais autant avec mon petit trou, puis le black s'allonge sur la banquette, je m'empale sur lui et me penche en avant, son chéri se place derrière moi et pose son gland contre mon anus. Il bande dur, et force doucement pour entrer. Pour moi, ce n'est pas forcement le pied, mais la douleur est largement supportable. Enfin, après d'infinies précautions, je sens les deux queues en moi. Personne n'ose bouger. Petit à petit je me sens de mieux en mieux, je leur demande de ne surtout pas bouger, et c'est moi qui fait des va et vient doucement. Je me sens, comment dire, le cul « gavé ».
Je suis bien, le plaisir est intense. Après un bon moment de ce petit jeu, je leur demande de se retirer, je les suce et avale leur bon jus. Le copain blanc en fait autant avec moi.
Nous nous quittons, je me douche et rentre chez moi. Le lendemain, alors qu'il était midi environ j'avais encore une grosse sensation de chaleur autour de l'anus agréable et délicieuse qui me permit, tout en bossant, d'avoir la tête à mes jeux de la veille…
Exhibition hard au balcon
J'ai rencontré Bertrand chez Valérie, ma meilleure amie. Valérie a toujours su s'entourer de beaux mecs, qu'elle n'hésite pas à manger en fonction de ses envies. Bertrand faisait partie de la liste. Il était tout à fait mon type de mec, un beau black au crâne rasé, avec un regard brillant qui vous transperce et vous envoûte. Il m'a rapidement plu et après une soirée de drague intensive, j'ai accepté son invitation chez lui le lendemain pour « prouver mes dires. »
J'ai fantasmé sur Bertrand toute la nuit, je me suis imaginée ses mains et sa bouche visitant tout mon corps. J'ai laissé libre cours à mon imagination, et à mon habitude, je me suis caressée à plusieurs reprises.
Nue sur mon lit, mes mains et mes doigts m’ont provoqué un orgasme libérateur.
J'avais envie de me montrer très sex, de partager avec elle mes intentions pour la soirée. Mon appel l'a amusée. Quelques minutes plus tard, elle était chez moi et me présentait une petite robe noire avec un large sourire.
Valérie a toujours envié mes seins fermes et mon 100C, je n'ai donc pas été surprise lorsqu'elle m'a conseillé d'afficher ma poitrine nue sous le décolleté très ouvert de sa robe.
J'ai suivi son conseil et elle m'a accompagnée pendant toute ma préparation. Nous nous sommes quittées devant ma voiture. Son dernier geste a été de m'arrêter alors que je tirais sur sa robe qui dévoilait, à mon goût, trop largement mes cuisses. Elle m'a fait promettre de ne plus y retoucher de la soirée. Nos regards échangés sont devenus bien plus coquins.
Lorsque Bertrand m'a ouvert, la robe choisie par Valérie a fait son effet. Son regard passait régulièrement de mes seins à mes jambes.
Plus la soirée avançait et plus j’avais envie de lui. Visiblement, mon envie était partagée.
Aucun des fantasmes que j'avais imaginé ne se déroulait sur un balcon, et c'est pourtant vers lui que je me suis dirigée mon verre à la main. Je voulais simplement lui donner l'occasion de se rapprocher plus librement. En tout cas, j'étais loin d'avoir prémédité ce qui s'est passé par la suite, même si j’avais une envie terrible de lui…
Je m'étais accoudée à la balustrade, pour admirer la vue magnifique qu'offrait son balcon. On pouvait voir la mer au loin. Je sentais le vent marin caresser mes cuisses et remonter, pour s'engouffrer sous ma robe. J'étais impatiente que Bertrand me rejoigne, et lorsqu'il a allumé a lumière du balcon, je ne me suis pas retournée.
Je voulais qu'il puisse regarder à sa guise mes jambes dénudées et mes fesses tendues. J'espérais qu'il vienne s'accouder près de moi. Mes espoirs furent comblés, quand Bertrand est doucement venu se coller derrière moi.
Lorsque ses mains ont alors commencé à glisser sur mes cuisses. Je me suis plaquée fortement contre son bas-ventre, bougeant mes fesses doucement. Mais mon geste était sans équivoque. !
Sans la moindre hésitation et sans se soucier du fait qu'il relevait amplement ma robe au passage, il a commencé à remonter sa main droite pour venir caresser mes lèvres intimes, au travers de mon string déjà bien humide.
Il était très habile. Je n'ai offert aucune résistance ou n'ai fait aucun geste pour réajuster ma robe alors que je me tenais sur un balcon bien éclairé, offerte aux regards des passants et des voisins !
J'étais partagée entre l'envie de me retourner pour l'embrasser et celui de ne surtout pas bouger pour l'inciter à continuer. Bertrand a compris l'invitation. Sa main droite s'est glissée dans mon string, tandis que son autre main est venue se poser sur mes fesses, pour les malaxer fermement. Je me suis cambrée, et j'ai émis un petit bruit de plaisir. Sa main droite faisait des miracles avec mon clitoris et j'ai laissé sa deuxième main remonter ma robe au-dessus de mes hanches.
Je me rappelle avoir regardé rapidement autour de moi, consciente de me montrer indécente. Je savais que nous pouvions être surpris à tout moment, mais je n'avais pas envie de l'arrêter.
Mais en fait, j’étais très excitée par cette situation d’exhib potentielle.
Ses mains sont remontées lentement, et j'ai tendu de plus belle ma croupe, ne gardant qu'une main pour me soutenir contre la balustrade, pendant que de l'autre, je commençais à caresser mes seins.
Loin d'avoir peur d'être vue, je cherchais maintenant du regard un éventuel voyeur, pendant que je sentais les mains de Bertrand remonter le long de mes cuisses, l'une par devant et l'autre par derrière.
Deux doigts de sa main droite sont venus se glisser entre les lèvres trempées de mon sexe, tandis qu'un doigt de sa main gauche s'est arrêté contre l'entrée de mon anus, l'ouvrant un peu.
Ses doigts se sont ensuite activés en moi, entrant progressivement plus profondément à chaque mouvement. Chaque progression de la main droite était accompagnée par une progression de la gauche.
C'était délicieux.
Tous mes sens étaient à l'écoute de ses doigts, de la lente progression de son majeur dans mon anus. Je sentais ma rosette se dilater, s'ouvrir et l'empresser d'aller toujours plus loin.
Le regard vague sur les lumières des maisons avoisinantes, je me faisais délicieusement doigter des deux côtés sur son balcon bien éclairé. J'étais offerte à m'importe quel voyeur. Je ressentais un plaisir d'une extraordinaire intensité.
Sans me retourner, je me suis redressée pour me coller à Bertrand, prenant soin de conserver d'une main ma robe bien relevée, pendant que de l'autre, je me frayais un chemin derrière mon dos pour chercher son sexe.
Je voulais sentir sa queue nue et chaude dans mes mains, contre mon corps de plus en plus impatient.
Bertrand profita de cet instant pour arrêter de me branler. Il remonta ses mains sur mes épaules. Il descendit les bretelles trouvées sur mes épaules, libérant ainsi mes seins tout en bloquant mes bras serrés le long de mon corps. M'exhiber lui procurait du plaisir et je n'allais pas le décevoir.
Le vent caressait ma peau et complétait mon sentiment de nudité, pendant que j'entourais déjà de mes doigts sa bite droite comme un i. Ma main prisonnière derrière mon dos commençait à le masturber, à le découvrir. Elle frottait délicatement son sexe contre ma vulve. C'est à ce moment là, alors que je commençais à me pencher à nouveau en avant tout en écartant au mieux mes cuisses, que mon regard a croisé celui d'un admirateur !
Le voisin me regardait sans se cacher, debout sur la terrasse de sa maison, à guère plus de cinquante mètres en contrebas. Il avait les mains dans les poches de son peignoir et me fixait. J'ai senti mon désir se nourrir de son regard, et je ne l'ai pas lâché des yeux lorsque je me suis penchée. C’est alors que le sexe de Bertrand s'est engouffré en moi sans le moindre effort.
J'ai offert mon plus beau regard de vicieuse à cet inconnu et j'ai accentué mon mouvement de recul contre le sexe Bertrand. Je voulais qu'aucune ambiguïté ne lui soit permise sur ce que je venais de faire. Je me rappelle avoir même léché sensuellement ma lèvre supérieure, pendant que le sexe de Bertrand s'enfonçait en moi.
Sa réaction fut immédiate. Ses mains sont venues s'accrocher à mes hanches pour imprimer un mouvement de va et vient puissant. D'un geste ferme, il me rabattait vivement contre son sexe, et faisait claquer ses couilles gorgées de sève contre mes fesses. Je pouvais le sentir entrer au plus profond de moi, et ressortir presque entièrement de ma chatte ouverte, avant de le remplir à nouveau pleinement.
J'étais comblée. Le souffle court, j'exhibais mon plaisir. Je prenais soin de garder mes seins bien apparents, et de régulièrement lancer des regards de braise à mon voyeur.
Mon meilleur souvenir de cette expérience, et tout cas, sur le balcon, est sans conteste le moment où, bien empalée sur son sexe au bord de l'éjaculation, Bertrand a relevé mes cheveux pour mieux dévoiler mon visage. D'une main, il les a tenus bien en arrière et a légèrement tiré dessus, me forçant ainsi à docilement relever un peu la tête. De l'autre main, il glissa deux doigts dans ma bouche pour que je les suce. Jamais je n'avais sucé avec autant de vice deux simples doigts.
Mes yeux ne quittaient pas mon voyeur, j'imaginais son sexe dans ma bouche en suçant les doigts de Bertrand. Ses doigts accompagnaient maintenant les mouvements lents et profonds de son bassin. À ce moment précis, je voulais tout, j'aurais tout accepté. J'ai senti Bertrand se tendre pour aller encore plus loin en moi, puis le soubresaut annonciateur de son éjaculation. Les spasmes de son sexe ont déclenché en moi un orgasme fulgurant. J’ai voulu crié, mais mes cris ont été étouffés par les doigts de mon nouvel amant.
Je l'ai accueilli les yeux ouverts et rivés sur le voisin, espérant de tout cœur qu'il puisse y lire que mon orgasme lui était aussi dédié, que dans ma bouche, c'était son sexe que j'imaginais.
Je n’allais d’ailleurs pas l’imaginer très longtemps…
Le temps que je reprenne mes esprits, le voyeur avait disparu. J’étais réellement désappointée. J’avais encore envie de sexe, et il n’était plus là pour nous mater !
Quelques minutes plus tard, alors que Bertrand me caressait sur le divan du salon, que nous venions de réintégrer, on sonna à la porte.
Il eut l’air surpris, et m’affirma n’attendre personne. Il alla cependant ouvrir, après avoir passé une serviette autour de ses hanches. J’entendis une voix masculine, mais sans pouvoir saisir la conversation. Après quelques minutes qui me parurent très longues, il revint, accompagné de notre voyeur. Je restais bouche bée…
Il m’adressa la parole : « Votre ami a la bonté de me laisser venir vous parler. Je vous ai bien observés, tous les deux, et je crois, que vous, jeune demoiselle, vous avez envie de bien plus ce soir… je me trompe ? »
Je rougis jusqu’aux oreilles, et je ne sais que répondre. Bien sûr, il a raison ! Mais l’admettre, comme ca, devant mon nouvel amant… je ne sais que faire…
Je regarde les deux hommes alternativement, et je constate qu’ils bandent tous les deux ! Cette vision emporte mes dernières hésitations.
« En fait, vous avez raison… Si Bertrand veut bien, je suis aussi à vous ce soir… »
Bertrand sourit : « Je ne te savais pas si garce, Valérie ne m’avait rien dit. Mais j’adore ça ! »
Le nouvel arrivant, Pierre, s’assied près de moi. Il ne s’encombre pas de gestes inutiles. Il découvre ma poitrine, que j’avais tenté de cacher à son entrée. Et, sans plus de cérémonies, aspire la pointe de l’un de mes seins. Bertrand approche, et avale l’autre. Je suis aux anges ! Leurs mains se promènent sur moi, et des doigts viennent fouiller mon vagin encore plus humide que tout à l’heure. Je me dis que je ne suis qu’une salope, à être là, à baiser avec deux inconnus, ou presque.
Pierre se laisse glisser au sol, et attaque ma chatte avec sa bouche. Bon sang, qu’il lèche bien !!! Bertrand maltraite mes seins, et j’adore cette caresse violente. Je ne tarde pas à jouir sous ces caresses combinées.
Pierre prend la parole : « Tu m’as bien allumé, tout à l’heure, quand tu suçais les doigts de ton ami… Maintenant, tu vas avoir ma vraie bite dans la bouche ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il se lève, et me présente sa belle bite raide. Sans attendre, je la gobe, comme un gros sucre d’orge. Je mets toute ma science à le pomper à fond, le sucer, l’avaler. Je l’aspire au fond de ma gorge. Je savoure ce bâton de chair, qui me pilonne la bouche sans répit.
Bertrand ne perd pas son temps, et pendant que je suce comme une salope le voyeur, il écarte mes jambes, ouvre ma chatte dégoulinante de salive. Il s’exclame, vulgairement : « Putain, quand je t’ai baisée sur le balcon, je n’avais pas vu ta grosse chatte… Elle est bandante. Tu vas voir comme je vais te la défoncer !!! »
Il joint le geste à la parole, et sans ménagement, s’enfonce brutalement dans mon con qui n’attend que ça. Me voilà prise entre eux deux, baisée par deux chibres qui me font grimper au 7ème ciel ! Je me découvre garce, et j’aime ça !!!
Je suis secouée par les deux hommes, qui me besognent très fort. Alors que Bertrand intensifie ses va et vient, je sens monter la tempête en moi. Pour ne pas broyer la bite de Pierre, je le fais se retirer. Alors que je vais jouir, je le vois, stupéfaite, se déplacer près de Bertrand, et lui fourrer son pieu sous le nez, lui frotter la bouche… Et Bertrand de l’ouvrir sans moufter. Je suis aux anges !
Comme vous le savez maintenant, cette vision est la meilleure pour moi : un homme qui en suce un autre !!!
Bertrand avale d’un trait le gros sexe, et je vois es joues se gonfler sous l’intrusion. De vois coulisser ce pieu dans la bouche mâle de mon baiseur, plus la pénétration forte, je jouis encore plus fort que tout à l’heure. D’autant que là, je peux crier, hurler à loisir !
Bertrand n’arrête pas pour autant de me bourrer le vagin profondément. Il continue aussi sa pipe d’enfer. Pierre est agité d’un soubresaut bien connu : il va jouir. Il se retire un peu, et un gros jet de foutre blanc s’écrase sur la lèvre de Bertrand, qui va le chercher de sa langue. Il finit de gober, de lécher le sperme chaud, et semble s’en délecter.
Bien que je vienne de jouir, je suis vraiment dans un état d’excitation maximal.
Bertrand le fixe dans les yeux : « Mon vieux, tu vas pas t’en tirer comme ça !!! A toi de me sucer, gros porc ! » Je ne sais pas s’il plaisante, ou s’il est furieux…
Il bouscule Pierre, qui tombe sur le canapé derrière moi. Il sort de ma chatte, que je trouve bien vide, tout à coup…
Il se lève, et enfourne sa bite pleine de ma mouille dans la gorge du voisin. Il lui baise littéralement la bouche, à grands coups de bite dans la gorge. Pierre semble un peu suffoquer, mais tient le rythme. Moi, je n’en peux plus : je me branle tant que je peux, j’offre à la vue des deux hommes qui me matent, ma chatte béante et avide. Juste avant que Bertrand n’éjacule en gros jets crémeux, je jouis une dernière fois en enfonçant quatre doigts dans mon con brûlant.
Enfin, quand je dis « une dernière fois », c’était pour cette première partie de la soirée. Elle continua comme ça, avec en prime un bel enculage de Bertrand par Pierre. Ce dernier était bi, et il en fait découvrir les délices à Bertrand… Depuis, je les revois souvent…
Un plaisir immense, à l’état brut !
La juge devenue zoophile
Je m'appelle Hélène, j'ai quarante ans, et, d'après mes amis, je suis assez belle. Je suis célibataire, ce qui ne m'empêche pas d'aimer le sexe. Mes partenaires, hommes ou femmes peuvent en témoigner. Je suis toujours habillée très sexy, sauf au travail où je porte un tailleur assez strict.
Je suis juge au palais de justice dans un département de l’ouest de la France.
Aujourd'hui, la journée a été très chargée. Un tas de dossier à traiter, dont un qui revient souvent sur la table.
C'est un jeune délinquant qui sème la terreur parmi le voisinage avec son chien, un énorme berger allemand. Le gamin doit avoir dix-huit ans, très beau, mais en manque d'affection.
« Alors jeune homme, lui dis-je, encore vous ? C'est plus que de la récidive. Je dois sévir. Vous avez quarante-huit heures pour vous débarrasser de votre chien ! »
Le jeune homme, prénommé Jimmy, quitte le tribunal, le regard menaçant.
Il est dix-huit heures quand je quitte le palais de justice.
Le ciel se charge de gros nuages, çà sent l'orage. Ils sont très violents dans cette région. Je démarre, et décide de prendre la départementale pour dire bonjour à mes parents.
Maintenant, c'est le déluge. La chaussée est inondée. Subitement, ma voiture cale.
« Oh mon dieu, dis-je, dans ce coin isolé, qui va me venir en aide ??? »
A travers la pluie battante, je distingue des phares qui s'approchent. Je sors de ma voiture, et fais des grands signes pour intercepter le véhicule. C'est un gros 4x4. Il s'arrête. Un homme sort, vêtu d'un caban marin, qui lui couvre une partie du visage.
« Un problème ? demande-t-il.
- J'ai calé, elle veut plus démarrer. Mes parents habitent tout près, si vous pouviez me déposer…
- D'accord, passez à l'arrière. »
A peine montée, deux bras me saisissent par la taille, et me plaquent sur le siège. Je tente vainement de me débattre. Je tourne la tête, et remarque un énorme berger allemand à la place passager. Le chauffeur se retourne, c'est Jimmy, le jeune délinquant de l’après-midi.
Je croise le regard de celui qui me maintient de force sur le siège.
« Jimmy, mais qu'est-ce-que tu fais, lâche moi, voyou ! Tu vas voir quand je vais croiser tes parents ! »
Sourd à mes protestations, il arrache littéralement mes vêtements. En deux minutes, je me retrouve entièrement nue.
« Putain, la juge, s'extasie Jimmy, comme elle est gaulée ! Je sens qu'on va bien s'amuser tos les deux ! »
Je me débats de toutes mes forces, mais je ne fais pas le poids à côté d'eux. Et ce chien qui tire la langue en me fixant d'un regard froid !!!
Jimmy me fait pivoter, de façon à ce que ma vulve soit entre les deux fauteuils de devant.
« J'ai décidé d'offrir un extra à mon chien avant de m'en débarrasser. Vas-y Rex.
- Mais vous êtes fous, hurlai-je, arrêtez tout çà, çà va vous coutez cher !! »
Je suis tétanisée par la peur.
Mais le museau du chien est déjà contre ma fente. Sa truffe, humide frotte contre mon clitoris. Puis, c'est sa langue qui rentre en action.
« Arrêtez-le, c'est sale. Je vous en supplie, retirez votre chien ! », suppliai-je en vain.
Mais la langue, râpeuse, continue sans pitié son léchage intensif. Elle écarte mes lèvres, et pénètre au plus profond de mon intimité bafouée.
Je ferme les yeux. Malgré moi, je ne reste pas insensible aux caresses de cette langue canine. Je me cambre légèrement en avant. Jimmy, derrière moi, a saisi mes seins.
« Whoua, comme ils ont devenus durs ! Et les bouts, ils ont doublé de volume…
- Tais toi salaud, lui dis-je, tu ne vois pas que je me régale ? »
Ma chatte est toute mouillée. Que c'est bon, putain ! Jamais je n’aurais imaginé prendre du plaisir avec un chien ! Il ne peut pas rentrer son museau.
Je tire le chien par ses oreilles pour le maintenir contre moi.
« Vas-y salaud, bouffe moi la chatte, sale mâle. »
Jimmy caresse le sexe de Rex. Il se gare dans un sous-bois.
« Tu es prêt mon chien, tu vas niquer une juge, pendant qu'elle me taillera une pipe.
- Vous allez me faire prendre par le chien ? C’est pas possible, çà ! Jimmy, s'il te plait, pour tes parents, je verrai ce que je peux faire pour que tu gardes son animal…
- Que dalle ! Vous allez voir, vous allez vous régaler ! »
Jimmy me fait changer de position. Je suis à genoux, mon visage appuyé contre la vitre. Seule, la pluie qui ruisselle rompt le silence. Puis, je sens une masse poilue me grimper sur le dos, des pattes qui me griffent les flancs. Mais surtout, je sens une queue dure comme du béton à l'entrée de ma fente.
« Noonnn, crie ai-je, haa..haaa, pas çà !!! »
Je suis en larmes. Le molosse entame ses va et vient. Sa queue tape au fond de mon vagin. Pourtant, contre mon gré, petit à petit, la douleur s'estompe pour laisser la place à une sensation de plaisir. A ma grande honte, je sens le désir et le plaisir monter en moi.
Jimmy me tourne la tête, et pose sa queue en érection contre mes lèvres.
« Alors, cette pipe, tu me la fais, sale pute ? »
Sans réfléchir, j'ouvre la bouche, et l'avale. Le chien accentue ses coups de reins, je sens la bave couler sur mon dos, puis un liquide brulant qui se mélange avec ma mouille. Il se retire aussitôt en couinant. En même temps, Jimmy vide sa semence au fond de ma gorge en poussant des grands ahanements de bucheron. Moi, mon orgasme est terrible.
J'éclabousse le 4x4 de ma cyprine. Je suis épuisée. Je prends la tête du berger allemand, et la tire entre mes jambes.
« Nettoie ma petite chatte, lui dis-je. Tu vois comme une femme, même une juge, peut être une chienne… »
Comme s'il avait compris, Rex pousse un petit aboiement.
« Jimmy, j'ai un grand parc chez moi, je peux prendre Rex si tu veux. Il ne sera pas malheureux avec moi. Tu pourras venir le voir quand tu veux... On va bien s'amuser tout les trois.
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Hmmmm, excellent, bonne année coquine 2010 !
Bisous