Les Mémoires très Libertines de Sophie
Nulai : suite et fin de ses aventures en famille...
Chapitre II : la fin Nulaï a sa tante rien que pour lui…
« Mais au fait, ajoute Pierre, demain matin, je n’ai pas cours ! Je vais encore baiser la tante. Si je faisais un petit cadeau à Nulaï.
- Bonne idée répondis Maurice. Puis ce tournant vers Nulaï :
- Toi, tu attends une dizaine de minutes, puis tu entres, n’oublie de sortir ta queue !! »
Le lendemain matin, Nulaï entend Pierre qui sort de sa chambre et entre dans celle de Mado. Il laisse passer le temps prévu, et a son tour entre dans la pièce. Pierre est à genoux sur la tante, et la pistonne fermement. Elle est nue, les yeux fermés de plaisir, Pierre triture les seins avec acharnement. C’est la première fois que Nulaï voie les seins de Mado, lourds avec de larges aréoles et de grosses pointes brunes.
La tante se rend compte d’une présence étrangère, et ouvre les yeux. Effarée, elle voit Nulaï, et pousse un cri : « Comment oses-tu venir ici, toi ?? »
Pierre lui rétorque :
- Tais-toi, et profite bien !
- Tu n’y pense pas, c’est un enfant !!!
- Mais non, Nulaï sait tout, regarde comme tes gros nibards le font bien bander ! Suce-le, il jute bien. »
Mado veut répliquer quelque chose, mais Nulaï s’est déjà approché et lui présente sa bite devant sa bouche. Toujours aussi salope, elle ne peut résister à une queue de plus pour la rassasier. Fut-elle celle de son neveu ! Elle ne dit rien, empoigne le membre et l’engloutit dans sa bouche.
Pierre a recommencé à la bourrer avec acharnement, Nulaï fait de même dans la bouche de la tante, en la tenant pas ses seins qu’il malaxe. Il baise littéralement la gorge de sa chère tante. Nulaï fini par cracher son jus. Mado avale tout, n’en laisse pas une goutte tomber. Elle gémit de plus en plus, excitée par cette situation interdite… Pierre se vide aussi dans la chatte baveuse, pendant que Mado crie tout son aoul sa jouissance salace…
Nulaï sort sans rien dire, mais ravi de sa chère tante. Il pense : « Merde alors, quelle bonne salope, cette tante ! »
Plus tard dans la soirée, Mado appelle Nulaï dans la cuisine. Il obéit, un peu surpris. Quand il arrive, il reste ébahit par ce qu’il voit : elle a enlevé sa robe, elle est en corset.
Devant son regard étonné, elle lui dit : « Tu es grand maintenant… A ce que je sais, tu aimes bien faire des cochonneries… »
Elle ajoute, comme excuse : « Je n’arrive pas à défaire le nœud du corset. Il est trop serré… Aide-moi, mon neveu chéri… »
Nulaï passe derrière elle, et commence à s’attaquer à ce nœud. Il ne prive pas de regarder par dessus son épaule, ses seins remontés presqu’hors du corset. Il aperçoit le début des aréoles. Bien sur, il prolonge spectacle. Mado, sous ces œillades vicieuses, devient rouge, sa respiration s’accélère. Il traîne exprès, mais le corset fini par s’ouvrir. Nulaï est étonné : malgré son imposante taille, la poitrine de s’affaisse pas, il les contemple dans toute leur plénitude. Il bande illico.
Pourtant, encore timide, Nulaï n’a pas fait le geste qu’elle attendait. Sûrement, empoigner ses seins. Mais il est sur d’avoir vu dans son regard un peu de déception mêlé à une interrogation. Il sort de la cuisine, et va dormir dans sa chambre.
Elle est proche de la sienne. Il entend son lit craquer en saccade, sa tante gémit doucement. Nulaï se dit qu’Eddy son mari, n’est pas rentré. Ils sont pourtant seuls dans la maison.. Alors, pourquoi ces bruits, ces gémissements de plaisir ?
La lumière se fait dans son jeune esprit : elle se masturbe ! Cette pensée le fait à nouveau bander comme un turc. Il sort doucement de sa chambre, pour voir par la serrure de sa porte…. Eh oui, à douze, on dit bien encore s’instruire !
Mado est sur le lit le haut de la chemise de nuit ouverte. La lune l’éclaire comme un spot. Elle se pétrit un sein, le bas remonté sur les hanches. Sa main s’active vigoureusement dans sa chatte. Nulaï avait raison, la gentille tante se branle fermement.
Nulaï n’hésite plus, il pousse la porte doucement, bien décidé à la fourrer à fond ! La tante, étonnée, n’a pas le temps de se couvrir. Elle l’interpelle :
« Que viens-tu faire ici petit voyeur ? Tout à l’heure, tu m’as fait de la peine…
- Comment cela, tantine ?
- Oui, réplique la tante, je pensais au moins à un petit câlin dans la cuisine.
- Mais ne sommes-nous pas mieux dans ce lit ? Continue ce que tu faisais avant que je n’entre.. Tu sais, tu te branles bien !
- Comment ? Tu espionnes, petit dépravé ?
- Oui tantine. J’aime te voir lorsque tu te branles, tu me fais bander comme un fou…
Allez continue, tu ne va pas le regretter »
Nulaï empoigne un sein de la tante et commence doucement à le pétrir, il se penche et suce avidement l’autre sein. La tante pousse un gros soupir de contentement. Elle glisse sa main dans sa chatte trempée, et s’active sur son gros clito.
Nulaï sort rapidement sa belle verge, et prend l’autre main de sa tante. Il la guide sans hésiter vers sa queue dure come du béton.
« Bon sang, quel sale garnement pervers tu es ! Qu’est ce que tu me fais faire, Nulaï ?
- Cela va mieux t’exciter ainsi, moi je m’occupe de tes belles miches tantine »
Et il malaxe fermement les seins qui ont doublé de volume. Puis il mordille une pointe bien dure et la fait crier de douleur. Il se sent maitre de la situation, un vrai mec.
La tante s’active sur la queue, mais Nulaï la repousse, lâche les seins, et des deux mains, écarte les jambes de la tante. Sans hésiter une seule seconde, il se couche sur elle.
Mado tente de proteste faiblement : « Ha non ! Tu ne va pas me baiser à ton âge ! Un gros câlin, une branlette, ou une sucette, d’accord, mais pas plus !
- Tu sais tantine, au point où nous en sommes, quelle différence ? Et puis j’ai les couilles bien pleines de bonne jute pour toi ! Comme tu es aussi dépravée que moi, tu vas me les purger bien gentiment !
Nulaï bouge la main de la tante, se couche prestement dirige son pieu à l’entrée de la grotte ouverte de sa tante. D’une poussée violente, il la pénètre bien en profondeur, sans autre forme. Il pense : « Drôle de sensations de se sentir dans une autre personne !!! » Nulaï perçoit sur son sexe les spasme du sexe de sa tante.
« Bon sang de bonsoir, gémit Mado, tu as osé ! Je devrais avoir honte, mais tu as raison elle est bonne ta queue ! Bourre-moi bien, mon petit Nulaï, fais bien jouir ta tantine. »
Nulaï commence ses va et vient de plus en plus vite et fort. Ses couilles claquent contre les fesses de la tante. Sans répit, il s’acharne à démolir un gros sein.
La tante ondule de tout son corps. A chaque coup de bite, elle pousse un cri rauque d’excitation. La douleur de ses seins excite encore plus la salope de tante.
Nulaï fini par exploser toute sa semence en elle. Il se vide come il a toujours rêvé de le faire, dans un con baveux et accueillant… Quel plaisir de jouir dans une femme. Et dans une telle chienne !!!
En sentant les multiples jets chauds qui giclent en elle, Mado a un orgasme qui n’en finit pas.
Nulaï laisse sa tante reprendre un peu son souffle, mais reste bien bandé en elle. Il lui dit, tout sourire : « Maintenant, tantine, je peux bien te dire c’étais la première fois que je baisais une femme… Et tu es un morceau de choix pour u puceau comme moi ! J’adore tes super gros nichons. »
Il dit cela en jouant machinalement avec un bouton de sein, ce qui eu pour effet de lui accentuer son érection.
En sentant cela, la tante lui murmure : « Mais c’est pas possible ! Tu es comme une machine à donner du plaisir toi !
- Oui, mais toi chère tantine, jamais je n’aurais imaginé que tu étais une telle vicieuse !!! »
La tantine sursaute un peu : « Oui, tu dois avoir raison, Nulaï, je suis une sacre salope. »
Ils copulent encore une fois, jouissant de leur baise interdite…
Le jeudi c’est le jour de la lessive. A cette époque, il n’y avait pas encore de machine moderne pour faire la lessive, c’est une sorte de tonneau en bois avec un moteur sans couvercle, cela éclabousse partout.
Nulaï regarde sa tante qui travaille. Elle porte une robe de coton, qui, à cause du travail, est presque toute mouillée. Elle moule les formes épanouies de la tante, d’une manière fort indiscrète.
Il peut voir son slip, et comme elle ne porte pas sa gaine, les gros seins de la tante bien ronds qui balancent durant son travail. On devine les pointes sous ce fin tissu.
La tante se retourne vers Nulaï : « Tiens, tu es là, toi ? Pourquoi me regardes-tu avec ce regard lubrique ?
- Mais tantine, réplique Nulaï, j’admire tes beau gros nichons en mouvement, je bande dur en te matant…
- Mais je suis en plein travail, je n’ai pas le temps de penser à ces bêtises ! »
Pendant ce temps, Nulaï s’est approché par derrière la tante, se colle contre elle, de sorte qu’elle peut sentir l’érection naissante, Nulaï empoigne les deux seins à pleines mains
« Tu es sure, tantine, que ce sont des bêtises ? murmure-t-il en soupesant les lourds seins.
- Mais enfin, dit la tante, tu ne va pas me laisser tranquille tant que je t’accorde pas ce que tu cherches ?
- Bien sur, répliqua Nulaï, une petite pause relaxante ne te fera pas de mal, chère tantine.
- Au fond, tu as peut être raisons vilain fripon ! Mais fait vite !!
Dès le début de la phrase, Nulaï a déjà troussé la robe de la tante. A la vue de cette belle paire de fesses, son érection est complète. La tante veut pivoter
« Non tantine, lui intime Nulaï. On m’a dit que faire cela, comme les chiens, c’est pas mal aussi. »
La tante a compris bien sur ce que veut faire Nulaï, elle se penche en avant. Nulaï glisse sa bite entre les fesses, et pénètre la tante, qui sous l’effet de la caresse de ses seins est déjà mouillée et ouverte. La tante apprécie cette pénétration intense, et ondule de la croupe pour mieux se faire labourer la chatte.
Nulaï la bourre à grands coups, la tante râle de plaisir, Nulaï fini jouir en longs jets de foutre épais. Au dernier coup de bite, la tante pousse un cri comme une bête qui agonise.
Ceci termine cette aventure de Nulaï en famille, mais il va repartir vers d’autres aventures aussi chaudes…
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L'initiation de Bruno, futur grand libertin
On dirait que le site "buggue". Impossible d'ajouter un titre, ca ecrit automatiquement "nouveau billet". Et impossible de changer ça !!!
Je n'y comprends rien !
L'initiation de Bruno, futur grand libertin
Je vous ai raconté une partouze chez mes amis Marianne et Philippe qui furent mes initiateurs et je ne vous les ai pas présentés, c'est impardonnable, n'est-ce pas ? Même avant de baiser, un minimum de politesse est indispensable. Il ne faut surtout pas croire que « frapper avant d'entrer » soit une devise réservée aux rapports SM, quand elle est prise au pied de la lettre. Pardonnez-moi, nous sommes à fin décembre et il fallait que je me sépare de cette vanne.
Marianne et Philippe était un couple ami de mes parents, affinités professionnelles obligent. Mes parents ignoraient tout de leurs « loisirs particuliers » sinon leur amitié aurait vite disparu. Marianne et Philippe m'avaient connu enfant et m'aimaient beaucoup. La beauté de Marianne et la manière qu'elle avait de me provoquer, me troublaient beaucoup. A environ dix-neuf ans, ils m'invitèrent à passer mes vacances d'été dans leur splendide villa de bord de mer. Si mes parents avaient su le centième des petits jeux de ce couple, jamais ils ne m'auraient laissé partir. N'oublions pas qu'à cette époque la majorité était à vingt et un ans.
Marianne et Philippe étaient naturistes, et à leur domicile, vivaient toujours nus. D'autre part, ils étaient libertins et organisaient avec un groupe d'amis relativement restreints, des soirées ou weekend de partouzes. Ils étaient tous deux bisexuels. Comme mes parents, j'ignorais tout cela. La seule chose que je savais était qu'elle adorait me provoquer et que j'en étais toujours agréablement troublé.
Un matin, Marianne, après avoir fait ses courses, est venue me chercher chez moi pour me ramener à sa villa. Arrivés là, nous mettons les achats dans la cuisine, puis elle me conduit à ma chambre et me quitte en me disant : « Mon p'tit Bruno mets toi à l'aise et viens nous rejoindre sur la terrasse. »
J'enfile rapidement mon bikini et vais les retrouver. Philippe était seul sur la terrasse, allongé sur un transat complètement à poil. C'était un homme de quarante-cinq ans grand et bien bâti. Et chose que je n'avais jamais vue encore, il était intégralement épilé. Ce spectacle était d'autant plus beau que ça mettait en valeur une bite qui, alors qu'elle était au repos, était déjà de dimension respectable.
J'avais des expériences bisexuelles avec des copains, mais je n'avais encore jamais vu un engin pareil. Plus tard, j'en ai croisé des plus grosses, mais celle-ci avait, je m'en suis très vite rendu compte, un bon 20x5cm. A ce spectacle inattendu, mon bikini fut soudain trop petit, car je me mis à bander. Je suis arrivé à la hauteur de Philippe au moment où ma bandaison était au maximum. Il me salua et se dit heureux que je sois venu chez eux, puis ma bite étant à sa hauteur :
« Mais qu'est-ce que tu fous avec un maillot? Fous-toi à poil comme moi ! »
Et joignant le geste à la parole, il tire sur le lacet qui attachait mon bikini et le fait tomber au sol. Il prend ma queue en main pour la caresser et me dit avec un air rigolard :
« Qu'est-ce qui t'arrive là ? C'est tout de même pas moi ? »
Je suis bien obligé de lui avouer : « Oui, tu as une belle bite, elle est grosse et puis tu n'as aucun poil, c'est beau et ça m'a excité ! »
Philippe continue à me caresser la queue, mais avec plus d'insistance et me demande :
« Dis donc, toi, tu aimes les bites ? Et les femmes tu aimes ou alors tu es pédé ?
- Ben non, j'suis pas pédé, j'aime les femmes mais j'aime aussi me faire enculer.
- Bienvenue au club, mon garçon, parce que moi aussi j'aime les deux, on va pouvoir s'amuser alors ! » me dit Philippe.
Il me suçote la queue puis s'arrête, me regarde et me dit : « Mais puisque tu la trouves belle, suce-la alors, tu veux bien ? »
Comme on ne demande pas à un ivrogne s'il a soif, je lui dis, un peu gêné tout de même : « Oui, avec plaisir ! » et je me mets à genoux, je prends son beau gland dans la bouche et commence à l'aspirer, un peu, le mordiller, puis je baise ma bouche avec sa bite.
« Chérie ! Viens vite voir ce que fait Bruno ! Je sens qu'on va bien s'amuser ! »
Marianne arrive, et à ma grande surprise, elle est complètement nue elle aussi. Quelle merveille, 1,60 mètre, brune, chatte lisse, sensuelle au possible, une silhouette harmonieuse façon violoncelle. Rien à voir avec les maigrichonnes d'aujourd'hui, elle est potelée mais bien loin d'être grosse, et puis sa chatte est rasée. Et quelle chatte !
L’absence de poil met en valeur des lèvres charnues qu'on a envie de croquer. On dirait un beau fruit, « une figue », comme on dit chez nous, et un clito un peu proéminent. Marianne est faite pour l'amour, elle le sait et elle en profite. Mais ce jour-là, je ne savais pas jusqu'où elle pouvait aller. Jeune apprenti de la baise, je n'étais pas avec elle au bout de mes surprises.
Et cela me permit de confirmer que j'étais vraiment bisexuel et que comme l'a dit Woody Allen que ça pouvait « multiplier mes chances de ne pas rentrer seul chez moi le samedi soir ». Pendant que je vous la décris, elle est arrivée à notre hauteur.
« Ben mon colon ! En voilà une bonne surprise ! Tu nous avais caché ça, petit cochon ! » s'exclame Marianne en riant.
Puis elle s'allonge à mes pieds et me suce la queue. Superbe pipe que voilà. C'est vrai que j'étais novice, mais en tous les cas, jusque là les pipes de mes copains et copines étaient moins douces, un peu trop rapides, alors qu'on doit prendre tout son temps, pourquoi se presser quand c'est si bon d'en sucer une, quand c'est si bon de se faire sucer. Pour vous dire la technique de cette femme je me suis inventé une expression, elle fait des « pipes papillons ». C’est une pure merveille, on sent le plaisir monter très lentement, envahir le corps petit à petit, on sait qu'on va exploser, on ne sait pas quand et on a pas du tout envie que ça vienne vite.
Mais soudain Marianne, tout en me pipant, me met un doigt dans le cul, elle se rend compte que ça me plait. Alors elle en met un deuxième et m'encule ainsi, sa bouche et ses doigts jouant avec moi en même temps je ne tarde pas à jouir dans sa bouche. Philippe tout en soupirant de plaisir car il est prés à exploser lui aussi me dit : « Bruno, surtout n'avale pas mon jus garde le dans la bouche ! »
J'ai vite compris pourquoi car quand j'ai eu la bouche pleine, Marianne m'a roulé une pelle, et ainsi, on a mêlé les deux spermes. Le goût était fort agréable. Ensuite elle embrassa son mari pour lui faire partager nos jus. Ainsi commencèrent mes vacances.
Ensuite, nous avons repris nos esprits devant une boisson fraiche. Philippe rapporta ma réaction et mes déclarations en le voyant à mon arrivée sur la terrasse.
Marianne réagit alors aussitôt : « Alors ça te plait tant que ça de voir nos entrejambes sans aucun poil ? Si tu veux tout à l'heure après le déjeuner, je vais m'occuper de ça sur toi ! » J'ai donné mon accord, tout heureux. Depuis ce jour-là, je n'ai plus jamais laissé pousser mes poils du haut du pubis jusqu'au dessus de l'anus.
Une fois le repas terminé, on passa aux choses sérieuses : me raser. On m'allongea sur la table de la terrasse, Marianne se chargea de l'opération.
Philippe galant tenait ma bite pour permettre à sa femme de bien passer le rasoir autour, puis se fut le tout de l'anus, moment agréable, j'ai toujours adoré qu'on s'occupe de mon petit trou. Enfin, tout propre et tout lisse, Philippe me proposa pour remercier Marianne de son travail de la remercier à mon tour en la prenant tous les deux ensemble.
Philippe, maître de céans s'octroya le privilège de prendre celui de sa chère épouse tandis que moi je devais la baiser. J'étais un peu fébrile, c'était ma première femme adulte. Mais très vite l'excitation et la beauté de cette femme me permirent d'être à l'aise. Comme tout se passait bien, Philippe et moi avons changé de place et j'ai pu enfin entrer dans ce si joli cul qui me plaisait tant depuis si longtemps. Nous avons fini par éjaculer en elle et je fus invité à « nettoyer » les orifices dégoulinant de notre bon jus.
Cela nous prit un long moment et Philippe qui en voulait encore voulut m'enculer, Marianne s'y opposa formellement prétextant qu'il fallait me préparer avant. Il fut donc décidé que cela ne se ferait plus tard. Maintenant que j'étais entré dans leur intimité (au propre comme au figuré) me promener nu ne me gênait plus, si bien que je n'étais en érection qu'aux moments chauds. Le lendemain matin donc, je sors de ma chambre et passant devant les toilettes, je vois Marianne accroupie sur la cuvette des WC en train de faire pipi. Je me suis arrêté pour admirer tout en lui disant bonjour. Ce spectacle fut pour moi si excitant que je me mis à bander aussitôt. Marianne voyant ça me dit :
« Qu'est-ce qui t'arrive mon chéri, c'est de me voir pisser qui t'excite comme ça ? Approche donc, viens voir de plus prés ! »
Je m'approche de Marianne, elle me prend la main pour que je sois tout près. Elle ne me la lâche pas, la met contre sa chatte toujours en train d'évacuer son urine. Ma main bien sûr est arrosée.
« Lèche ta main maintenant ! dit Marianne. Et comme j'hésite :
- Allez ! Allez ! Vas-y ! »
Je m'exécute et je me rends compte que c'est bien agréable, ça a un goût un peu sucré. C'est ainsi que depuis je pratique les jeux Uro pour mon plus grand plaisir.
Marianne me rappelle qu'elle doit « me préparer », comme elle le dit pour la sodomie qui m'attend, mais auparavant opération importante : le P'tit Déj.
Une fois pris, je suis « ma préparatrice » dans la salle de bain. Connaissant Marianne et Philippe depuis ma plus tendre enfance, je sais qu'ils sont maniaques de la propreté. Je ne suis pas étonné qu'elle entre sous la douche avec moi pour me laver en oubliant pas quelques gestes salaces pour notre plaisir commun.
La phase finale de ma préparation est un lavement, hygiène indispensable. Puis elle s'arme d'un gode-ceinture et me sodomise « pour t'assouplir le sphincter car Philippe est un peu gros pour ton jeune cul » me dit-elle.
Le fait est que je crains un peu le moment où ça va arriver, sa bite m'impressionne un peu. Marianne et moi nous rendons sur la terrasse où Philippe est installé, une cigarette dans une main.
Je me mets à quatre pattes et Marianne me lubrifie l'anus puis se harnache d'un gode ceinture et m'encule.
J'ai toujours adoré la sodomie. Tout jeune dans mon lit le soir, je le faisais avec des crayons d'abord puis avec des carottes que je volais à ma mère. J'éprouvais un gros plaisir à faire aller et venir quelque chose en moi. Alors me faire prendre en plein jour, sur une terrasse, au soleil, par une femme devant son mari augmenter mon plaisir si bien que je ne pouvais m'empêcher de gémir et d'inciter Marianne à continuer plus fort. Elle jugea que mon moment était venu et que Philippe pouvait m'enculer. Tout chaud à cause du traitement de Marianne, je n'eus aucune appréhension à l'idée de ce que j'allais prendre maintenant. Un peu de lubrifiant et une délicatesse certaine de la part de Philippe firent que la douleur fut très brève. C'est donc très rapidement que le contenu et le contenant s'habituèrent l'un à l'autre. J'en fus moi même étonné, mais comme me le dirent mes deux profs, mon cul est serré mais souple. Philippe m'encula longuement faisant coulisser son bel engin en alternant les mouvements lents et rapides, et enfin l'explosion finale eut lieu. Comme c'était mon premier « adulte », j'ai eu l'impression qu'il n'arrêtait pas d'éjaculer. J'étais heureux, car j'avais confirmation que la sodomie passive était un jeu qui me donnerait toujours beaucoup de plaisir. Tout le temps de mes vacances chez Marianne et Philippe se passa ainsi, en alternant les jeux divers. Parmi ceux-ci, j'eus tout le loisir de participer aux jeux Uros de mes deux amis et bien sûr tout ce que l'on peut faire de bon et jouissif avec un Cul qu'il soit féminin ou masculin. Seules les saillies de Marianne et Philippe par Friend leur chien boxer me virent uniquement spectateur, puisque je me refusais à le faire. La peur de rester collé… Mais le jour où j'ai accepté que leur chien s'occupe de moi, je ne l'ai pas du tout regretté. Je vous raconterai cela un peu plus tard.
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Première soumission
Pour vous parler un peu de moi, je m'appelle Bertrand, j'ai trente ans. Je suis ingénieur d'affaire, marié depuis peu et plutôt ouvert. Physiquement, je fais dans les 1m85, un air svelte, les cheveux châtains, et les yeux bleus. Je suis plutôt quelqu'un de classique, bonne éducation, tenue BCBG, tendance dandy.
Je sais que j'ai un physique qui plait, j'ai travaillé pendant mes années d'étudiant comme model pour des défilés de mode, et j'ai eu beaucoup de succès auprès des femmes, des hommes aussi d'ailleurs…
Cette histoire s’est déroulée alors que j’étais étudiant à Paris. Au cours de la dernière année, j'ai reçu un mail d'un assistant d'un de mes professeurs, me demandant de venir le voir pour je ne sais quel problème concernant un de mes examens.
Je le rejoins donc dans son bureau, on discute, le problème est vite résolu. L’assistant en question, un certain Rodolphe, est en l'occurrence quelqu'un de très jovial et sympathique. On s'est toujours bien entendu. Il doit avoir juste la trentaine, un peu plus petit que moi, le visage souriant, les cheveux bruns, et un corps sportif, musclé et soigné. Un homme que je qualifierai d'attirant. On discute quelques instants, et vers la fin de notre échange, prétextant je ne sais quel raison, il me demande mon numéro de téléphone. Mais sans arrière pensée aucune. Du moins c'est ce qu'il me semblait.
La semaine passe. Le samedi, dans la soirée, je me retrouve chez moi, et je reçois un coup de téléphone d'un appelant inconnu. Une certaine Yseult, qui d'une voix chaude et charmante me demande si je suis libre le soir même. Elle m'a, me dit-elle, remarqué dans les couloirs de l'université et serait ravie de me connaître plus. Flatté, je lui réponds que je suis disponible, lui demande si je la connais
« Tu ne me connais pas, mais je crois être suffisamment sexy pour te convenir. »
Telle fut sa réponse, qui me cloua sur place. Elle avait pris une voix plus sensuelle et en même temps plus autoritaire.. Et j'aimais ça. Cette conversation m'excitait. On se fixait donc rendez vous vers vingt-trois heures, dans un café place de l'Odéon. Avant de raccrocher, je lui demandais comment je la reconnaîtrai. Elle me dit : « Habille-toi avec un pantalon clair, souple, la chemise bleue qui te va si bien, un pull léger beige, et attends-moi à une table isolée, quand tu y seras je te rappellerai. »
Et elle raccroche. Excité par ces derniers mots, j'attendis impatiemment vingt-deux heures, m'habillait comme demandé et me rendit tranquillement au café en question.
Là j'attendis une bonne demi-heure assis à une table à la fenêtre, à regarder les passantes, à espérer, à détailler chaque femme qui entrait dans la pièce. Plus le temps passait, plus je m’impatientais et plus je la désirais aussi. Vers 23 heures 30, mon téléphone sonna, toujours ce numéro inconnu. C’était elle :
« Alors Bertrand, tu attends ? Tu m'attends impatiemment... Tu t'excites, tu as chaud, et tu t'énerves ?
- Euh non… J’attends, c'est tout.
- Tu ne me tutoies pas, tu ne me connais même pas, à partir de maintenant tu m'appelleras maîtresse. Tu m'as bien compris ?
- Euh oui... Je
- Oui maîtresse.
- Oui maitresse. »
La situation devenait de plus en plus excitante. Moi qui était plus habitué à être l'homme, le macho, le dragueur, le tombeur de femmes, je me retrouvais à obéir à une femme à la voix sensuelle, et que je n'avais encore jamais vu.
« Maintenant tu vas terminer tranquillement ton verre, remonter la rue et te rendre 12 boulevard Saint Michel… Tu vas y aller à pied, et lentement. Au coin de l'immeuble, il y a une cabine téléphonique, tu y attendras mon appel. Tu m'as compris ?
- Oui... Euh, oui maîtresse.
- C'est bien, et ce soir, tu feras tout ce que je te dirais tu m'entends ?
La conversation m'excitait de plus en plus, l'idée d'être l'objet d'une femme m'excitait au plus haut point et je sentais déjà l'effet à mon sexe qui se tendait dans mon pantalon de toile.
- Oui maîtresse.
- Dis-moi Bertrand, comment veux tu que je sois habillée pour toi ce soir : noir, rouge ou blanc ?
- Rouge maîtresse.
- Bien, je vois que tu as du goût. je sens que tu vas me plaire. eh bien dépêche toi si tu ne veux pas rater ta soirée. »
Je terminais mon verre, en me forçant de ne pas le boire à toute vitesse, il me fallait prendre mon temps avait-elle dit. Je sorti du café et me rendis à l'adresse donnée, à quelques dix minutes à pied.
De temps en temps, je me retournais, essayait de voir si l'on me suivait, si quelqu'un m'observait mais rien.
Arrivé à la cabine téléphonique j'attendis.. les minutes passèrent, une demi heure, et au bout de trois quarts d'heure le téléphone sonna. Je décrochais mais n'entendait rien, seulement une respiration forte, saccadée, chaude. Quelqu’un au bout du fil se masturbait ou s'excitait. Puis plus rien.
Un quart d'heure passa, et je m'impatientais. Je m'excitais puis le téléphone sonna à nouveau, il devait être près d'une heure du matin. « Alors Bertrand, tu m'attends toujours, es-tu toujours prêt à m'être soumis ce soir ?
- Oui maîtresse.
- Bien c'est comme ça que je t'aime. Je me suis habillée comme tu le voulais. Et j'ai hâte de continuer la nuit. Maintenant tu va bien m'écouter : tu vas aller dans la petite impasse sombre qui est derrière toi, au fond il y a un lampadaire, tu va te tourner face au numéro 10, et là tu vas ouvrir ton pantalon sortir ton sexe et te branler. Doucement, très doucement, et je ne veux pas que tu éjacules, tu m'entends ? Je veux voir ta bite. Tu regarderas ton sexe et nulle part ailleurs. Ensuite, tu reviendras dans cette cabine. Ne me désobéis pas. As-tu bien compris ?
- Oui maîtresse. »
Elle avait déjà raccroché.
Je suis sorti de la cabine, un peu stressé de devoir sortir mon sexe en pleine rue, et à l'idée que quelqu'un puisse passer. Mais ma peur fut effacée par l'excitation de ce qui augmentait en moi.
J'ai marché jusqu'au bout de la rue, me suis placé sous l'unique lampadaire, face au numéro 10 comme elle me l'avait demandé. J’ai ouvert mon pantalon, et ait sorti ma queue. Elle est de taille convenable, quelques vingt cm, et un diamètre assez épais. Il est droit et bien taillé, le gland rond et saillant, ce qui procure assez de plaisir lors de la pénétration. Je sortis donc ma bite qui était déjà bien bandée par la situation et commençais à la caresser, je remontais jusqu'au gland brillant de mouille, et redescendait bien à la base pour le monter en entier. J’avais peur que quelqu'un passe dans la rue, j'écoutais attentivement tous les bruit alentours, et essayait du coin de l'œil de regarder les fenêtres des immeubles. Aucune fenêtre n’était allumée. Je restais là cinq bonnes minutes à me masturber doucement puis suis retourné à la cabine.
Là encore, une demi heure d'heure passa, puis elle appela à nouveau.
« C'est bien, ça me plait mon petit Bertrand. Maintenant vient le plus difficile. Si tu me veux, il va te falloir faire tout ce que je te demande. Sans exception. Es-tu prêt ? »
Les longues minutes à attendre dehors sans pouvoir l'appeler, sans pouvoir rien faire, cloué par le désir, avaient déjà éteint en moi toute rébellion, et m'avaient doucement amené à cet état de soumission qu'elle semblait attendre de moi.
« Oui maîtresse.
- Je veux t'entendre dire que tu m'es soumis, que tu feras tout ce que je te demande. »
J'étais un peu gêné par la situation, et surtout pas habitué à ce genre de rôle, mais je sentais à l'excitation de mon pieu durci, que j'aimais cela et que j'aimerai encore plus la suite si j'obéissais.
« Oui maîtresse, je vous suis soumis et je ferais tout ce que vous voudrez. Ma voix était hésitante mais je pense assez convaincante pour qu'elle continue.
- Très bien. Maintenant, tu vas attendre qu'il soit deux heures sans regarder une seule fois dans l'impasse. A deux heures précises, tu vas venir devant la porte du numéro 10, tu vas te déshabiller entièrement. Plus un seul vêtement. Et là, tu entreras dans le hall, la porte est ouverte. Tu monteras au deuxième étage, et tu te mettras à genoux devant la porte. Tu frapperas doucement. Tu as compris jusque là ?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui maîtresse. J’ai compris.
La demande était étrange, mais vu l'heure peu risquée.
- Ensuite, vient le plus difficile, mais je veux que tu fasses tout comme je te le dis, sinon tu ne me verras même pas. Tu aura attendu plus de trois heures pour rien. Tu es mon objet maintenant, et tu m'obéis.
- Oui maîtresse.
- Oui quoi ?
- Oui, je suis votre objet.
- Très bien. Quelqu’un ouvrira la porte, c'est un homme. Quand il te verra, tu te lèveras, sans dire un seul mot. Je ne veux pas que tu dises un seul mot, tu m'entends ? Tu fermeras la porte, l'emmèneras sur le lit et le déshabilleras.
- Pardon ? Un homme mais…
- Tais-toi quand je parle. Tu m'obéis, entendu ?
- Oui maîtresse. »
L'idée de déshabiller un homme m'était toute nouvelle, je n'avais eu que des relations avec des femmes jusque là. J’avais été souvent dragué par des hommes, certains mignons même, et cela ne m'avait pas gêné, plutôt flatté. Mais je n'étais jamais allé plus loin que le sourire. Là, j'allais être nu en face d'un homme, et je devrais le déshabiller. Tout dépendait de l'homme, mais pourquoi pas ? Je voulais voir où elle voulait en venir.
« très bien. Tu le jetteras sur le lit, et sans un mot, tu lui feras comprendre que tu veux qu'il te suce. Tu seras dominateur, maître de lui. Sans brutalité, mais d’autorité, tu lui mettras ton sexe dans la bouche. Et vous ferez l'amour. Je veux que tu le sodomises, qu'il te suce, je veux que tu le suces aussi, et je veux que tu lui éjacules sur le torse. Tout cela sans un mot tu m'entends ? Si tu dis un seul mot, si tu n'es pas maître de la situation... Il ne se passera rien ensuite. Obéis-moi, et tu verras que la suite te plaira. C’est compris mon petit Bertrand ? Pas un mot !
- Oui maîtresse. »
Elle raccrocha de nouveau.
Entendre ces paroles de la bouche d'une femme érotisait tout, donnait un caractère extrêmement excitant, sexuel, et obsédant à la situation. Je n’avais jamais eu le moindre rapport sexuel avec un homme, et là j'allais devoir le dominer, le pénétrer, le sucer et diriger les ébats. Il faut avouer que le sexe d'un homme m'a toujours paru excitant, magnifique. J'adore, lors de fellation, me faire caresser et titiller l'anus, sans vouloir accepter que ca m'excite...
Là, j'avais un peu peur, mais j'étais finalement énormément excité par tout cela... Le stress laissait place à un désir sexuel intense. Mon sexe se tendait dans mon pantalon, et j'avais déjà envie d'y être. Qu’allait-il se passer ensuite ? Qu’allait-elle faire ? Et si l'homme était vieux et laid, pervers ou pire encore ? Où allais-je ? Je n'étais pas particulièrement libertin, je ne connaissais rien de cette femme, de son monde, de cette rue, de ces gens. J’étais totalement inconscient finalement, mais entièrement obsédé, fasciné, envoûté par cette voix sensuelle et autoritaire, impatient de ce qui allait arriver et mon excitation était très intense. Et plus les minutes passait, plus elle allait en intensité.
À deux heures précises, comme elle me l'avait demandé, je me rendis au fond de l'impasse, après avoir vérifié que la rue était bien vide, je me suis rapidement déshabillé, et suis rentré dans l'immeuble, la porte d'entrée était effectivement entrouverte. Je suis monté au deuxième, et comme demandé, me suis agenouillé, nu devant la porte. La porte d'un appartement que je ne connaissais pas. J’hésitais à frapper. Je me sentais ridicule, nu devant cette porte, en pleine nuit dans un immeuble inconnu, à frapper à la porte d'un parfait étranger, et que je devais baiser avec domination, sans pouvoir donner d'explication… Quelle galère bandante !
Je frappais. Quelques minutes de silence... Je frappais à nouveau. Puis des bruits de pas, un tour de clef, et la porte s'ouvrit.
C’était Rodolphe, l'assistant de l'Université, en caleçon devant la porte !!!
Je le regardais ébahi. Je faillis mourir de honte devant sa porte. Est-ce que c’était un traquenard ? Une mauvaise blague pour me ridiculiser devant le professeur. Je pensais vite, essayait de réfléchir mais ne trouvais aucune solution. Je ne voulais même pas parler.
Il avait l'air aussi étonné que moi finalement, passé la surprise il sourit, d'un sourire entendu. Je compris que ça n'étais pas la mauvaise blague que je croyais.
« Bonjour Bertrand. Euh... longue nuit ? »
Me rappelant les indications de ma maîtresse, je me ressaisis, ne dis rien, pris mon courage à deux mains.. Après tout, il était plutôt bel homme en étant objectif. Je me relevais, entrais dans la chambre et le poussant vers le lit. Il sourit, ne dit rien, je le jetais sur son lit, lui enlevais son caleçon, assez hésitant.... Il me regardait, souriant, et vu son chibre dressé, il semblait apprécier de me voir dans cette situation soumis et dominant. Il avait un beau sexe, plus fin mais plus grand que le mien, et en pleine érection.
Je me sentais bizarre, nu devant un homme que je côtoyais tous les jours, nu lui aussi et avec cette belle queue en érection. Je bandais aussi. Je me suis finalement agenouillé sur le lit, il me caressait la cuisse... C'était étrange, cette main d'homme sur ma cuisse, ce regard vicieux chaud et sympathique, plein d'envie qui me regardais. J’hésitais encore un instant, puis lui pris la tête et l'amenais vers mon sexe.
Directif mais pas brutal. Tels étaient les ordres.
Il comprit tout de suite, et emboucha ma queue jusqu'a la garde. il se mit à me sucer doucement puis de plus en plus fort, en me caressant les bourses d'une main, et l'anus de ses doigts salivés d'une autre... Il était doué, et mais apparemment pas habitué à ce genre de chose. J’aimais ça. beaucoup même. Surtout de voir sa queue tendue, excitée au maximum, qui se frottait contre ma jambe quand il me suçait...
Je voyais ses lèvres pleines de salive remonter le long de mon membre, sa langue qui léchait mon gland, et son regard avide qui me scrutait. J’adorais ses doigts qui caressaient mon anus. C’était nouveau, mais très sexuel, très sensuel. Je lui pris la tête et forçais mon gros pieu jusqu'au fond de sa gorge. Au bout de dix minutes d'une fellation inoubliable, je le repoussais sur le lit. Dans un élan bestial que je ne pourrais pas expliquer, je lui pris son chibre, et le léchais doucement. Il souriait encore. Il était assis et gémissait de plaisir en me caressant les fesses. Je devais garder le contrôle, je le repoussais avec force et autorité, le regardais le plus durement possible.
Il souriait encore et se laissait faire... Je me remis à lui lécher le gland, en tournant autour avec la langue. C’était nouveau, étrange, agréable. L’idée que je tenais une bite dans ma bouche et donnais du plaisir à un homme m'excitait au maximum. Je le suçais du mieux que je pouvais, en faisant tout ce que j'aimais dans une fellation. Je lui gobais les couilles avidement, lui malaxais ses belles petites fesses avec force, et enfonçais sa bite toujours plus profond. Quitte parfois à avoir des hauts le cœur... Mais je voulais gober en entier, ce si bon sexe.
Il était long, bien droit, magnifique, et je bandais de plaisir. J’accélérais de plus en plus mes mouvements, qu'il rythmait des hanches pour plus d'amplitude. Je lui serrais les fesses, et m'enfonçais jusqu'à la glotte autour de son sexe, de plus en plus vite. Je caressais son anus avec mes doigts pleins de salive. Je mis un doigt dans son cul, puis continuais : deux, trois.
À chaque nouvelle étape, il se cabrait de plaisir. et à un moment je sentis qu'il était près d’éjaculer... Je continuais encore un peu, doucement et puis le repoussais. Je savais par expérience combien c'était horrible d'arrêter à ce moment-là. Mais combien c'était excitant aussi. Il haletait, mourrait d'envie, ses yeux pétillaient d'excitation. Je sentais l'odeur forte de sa transpiration. Une odeur d'homme, nouvelle pour moi mais si excitante...
Il était sur le dos. Je me relevais, lui écartais les jambes et comme si je l'avais toujours fait, le pénétrais d'un seul mouvement rapide et brutal. Il cira de douleur etl ferma les yeux. Je ne bougeais pas. Je venais de réaliser ce que je faisais !
Je venais de pénétrer un homme, de le sodomiser, je voyais ma bite dans son anus, et ses jambes écartées, le sexe tendu érigé devant moi...
Quand il rouvrit les yeux, ils pétillaient encore plus de désir. Je me mis à le laminer, par des va et vient rapides, comme je ne l'avais jamais fait. Je baisais un homme et j'adorais ça ! Je le travaillais le plus vite possible, presque violemment, et mon désir était au maximum.
Me rappelant les ordres de ma maîtresse, je sortis et éclatais littéralement de plaisir. Je lui éjaculais au visage et sur le torse. Il gémissait de plaisir. Il se léchait les mains pleines de mon sperme qu'il venait de récolter sur sa joue et son torse. Je me baissais lui pris le sexe, et me mit à le sucer avidement, avec fureur. Il ne fut pas long. quelques secondes après je reçus un flot de sperme au fond de la bouche.
Sans me rendre compte, je l'avalais en entier, et me mis à lécher les restes sur sa queue. A ce moment, je sus que j'étais vraiment devenu le soumis, l'objet sexuel du désir de cette femme que je ne connaissais pas. J'étais allé pour cette voix inconnue plus loin que je n'étais jamais allé...
Il me regardait, le visage fatigué et raviné, les yeux pleins de remerciement et de désirs et me dit : « C'était la première fois.. »
Je voulais lui répondre que moi aussi, mais je me retins au dernier moment.
« Maintenant il faut attendre me dit-il. Elle est capricieuse. »
Bien évidemment ! Donc il savait.
Il se coucha sur le coté et ferma les yeux. Je m'assis sur le bord du lit et attendais.
L’attente fut longue, presque une heure. La porte s'ouvrit enfin.
Une femme entra. Elle était habillée d'un long manteau beige comme celui de Colombo. Elle devait avoir la trentaine aussi, les cheveux brun-noir longs, de grands yeux verts. Elle devait faire dans les 1m75. Elle n’était pas réellement belle, mais d'elle se dégageait une autorité sensuelle qu'avait augmenté mon fantasme. Elle me regarda, fixa Rodolphe allongé nu sur le lit. Aucun de nous ne fit un mouvement. Elle s'avança vers nous et dit : « Alors mes petits esclaves, on a fait des cochonneries ? On est fatigué ? Mais ce n'est que le début. Rodolphe, viens m'enlever mon manteau. Toi, tu ne bouges pas. »
Rodolphe se leva, vint verre elle, voulu lui enlever son manteau, mais elle l'arrêta, le mit à genoux, et lui demanda de le faire avec les dents. En dessous, elle portait de longues basses résilles noires, avec des porte-jarretelles et des dessous rouges, fins et délicats. Elle avait de belles jambes, de belles hanches plutôt larges, et de magnifiques seins. Ils semblaient fermes et ronds. Une nuque très féminine, et de beaux bras dessinés complétaient le tableau.
Une fois son manteau enlevé, elle repoussa Rodolphe du pied, et vint vers moi. Elle m'allongea sur le lit sur le dos, retira son string et vint s'agenouiller au dessus de ma tête. : « Ne bouge pas dit-elle »
Elle se caressait à cinq centimètres de mon visage et je voyais son sexe s'humidifier au fur et à mesure des caresses. Une fois la chatte bien humide, et elle se baissa et l'appuya fortement contre mon visage. Elle bougea pour me couvrir de ses sécrétions odorantes, et me dit sèchement : « Lèche petit vicieux. »
Elle me prit les mains, les mis sur ces fesses fermes et appuya plus fortement sur ma bouche. Je me mis à la lécher goulûment, à tourner autour de son clitoris tendu et rouge d'excitation. Elle enleva son soutien-gorge et se mit à se caresser les seins.
Rodolphe vint vers elle pour la caresser aussi. Elle lui prit la tête et l'enfonça sur mon sexe qui bandait au maximum : « Toi aussi, suce petit pédé. »
J’étais fou d'excitation. J’allais lécher la chatte d'une femme qui me contrôlait complètement, et me faire sucer par un homme soumis. Je mourrais de bonheur !
Elle coucha ensuite Rodolphe sur le dos et me demanda de le pénétrer à nouveau. Il semblait prendre plaisir à ça, et je le fis sans rechigner. Elle se mit face à moi, les seins devant mon visage et me fis les lécher. Puis elle se leva et me dit de continuer sans me retourner. Au bout de quelques minutes, je sentis sa langue lécher mes couilles gonflées, puis remonter vers mon anus qu'elle léchait avec force de salive. Elle enfonçait sa langue dans le trou, et je gémissais de plaisir.
Je n’arrivais même plus à travailler Rodolphe qui ondulait pour profiter de mon sexe dans son cul. Et là ce que je m'attendais arriva. Je sentis un objet tiède et dur me caresser l'anus. D'un seul coup, un long gode, large s'enfonça dans mes entrailles sans que je puisse m'y préparer. Je crus m'évanouir de douleur. Mon cul me parut totalement explosé, dilaté par cet objet large et long. Mais elle n'y prêta aucune attention, elle avait une ceinture gode autour de la taille, et se mit à faire des va et vient dans mon anus avec ce monstrueux gode. Les minutes passèrent et la douleur aussi... C’était chaud, très chaud, et très excitant. Je pénétrais un homme et une femme me sodomisait !
Elle continua de plus en plus vite, Rodolphe se releva et se mit à me sucer en cadence. Je jouis en quelques minutes et lui éjaculais un flot abondant de foutre épais dans la bouche.
Yseult se retira, vint vers Rodolphe et l'embrasse goulûment pour recueillir aussi de mon sperme chaud... Je m'étalais sur le lit, littéralement écartelé, vidé, soumis. Mais de les voir boire ma crème m'excitait encore et mon sexe conservait tout sa force et sa dureté.
Allongé sur le dos, Yseult vint s'empaler sur ma bite. Rodolphe, m'écartant les jambes, vint se placer dans mon anus déjà dilaté. Son mandrin glissa aisément dans mon trou dilaté, et c'était fort agréable. Bien plus que le gode. Je sentais son gland vibrer dans mon ventre, et Yseult, s'exciter sur mon sexe.
Elle bougeait vite et se caressait le clitoris en même temps. Puis Rodolphe sortit, et empala Yseult qui ne dit pas un mot. Il la travaillait aussi très rapidement et elle se mit à jouir en se cambrant, les muscles tendus, dans un gémissement aigu.
Quelques secondes passèrent en silence. Rodolphe se retira de son anus. Avec son gland, il caressa mon trou et celui d'Yseult. Il revint vers le mien à nouveau. Ses va et vient lents et vicieux nous excitaient. Chacun voulait se faire sodomiser par ce long sexe. Il passait de l'un à l'autre, puis il me prit, d'un coup, et s'agita quelques instant puis sortit. Après, ce fut le tour d'Yseult... Il alternait de l'un à l'autre sans ordre. Parfois deux fois moi, parfois plusieurs fois Yseult. Ce petit jeu nous excitait au plus haut point.
Finalement, il m’encula une dernière fois. Il me besognait avec ardeur et force. Yseult se releva, s'agenouilla à nouveau sur ma tête, et me suça avec vigueur. Rodolphe continuait d'aller et venir avec puissance, je léchais Yseult qui me pompait la queue à fond. J'étais au comble de l’extase. Enfin Rodolphe se cabra, gémit et me remplit de sperme par petits jets puissants. Je sentais chaque éjaculation me remplir… J’éjaculais à mon tour dans la bouche d'Yseult. Elle me couvrit de sa cyprine abondante. J’enfonçais sa chatte sur mon nez et ma bouche. Je ne pouvais pas crier, mais je crus presque m'évanouir de plaisir.
Ce soir-là, j'avais été l'objet sexuel d'une femme, et d'un homme. Ils avaient fait de moi ce qu'il voulait. Ce fut la seule fois que je les rencontrais, et ou je fus pris par un homme et une femme. Je ne l'oublierai jamais. J’espère qu'il y aura une seconde fois. Depuis j'attends son appel….
La meilleure amie de ma mère...
EN VISITE CHEZ L'AMIE DE MA MERE
Ma mère m’a chargé de passer chez sa meilleure amie prendre un colis (des vêtements commandés dans un catalogue), que cette dernière a récupéré pour elle. Annie est une célibataire endurcie, jamais mariée, et qui préfère collectionner les conquêtes.
Elle habite donc seule, une grande maison à l’écart de la ville. C’est une femme de 46 ans, blonde et qui prend soin de son corps, ce qui est plus pratique pour draguer les mecs…
Je la vois souvent depuis que je suis bébé, car elle passe souvent à la maison pour discuter avec ma mère. Comme je la connais bien et que cela n’occasionne pas de détour pour moi, je ne l’ai pas prévenu de mon passage ce mardi soir.
J’arrive chez elle vers 19 heures. Je vois de la lumière à travers la fenêtre et j’en déduis qu’elle est là.
En arrivant devant l’entrée, je suis surpris en voyant que la porte est légèrement ouverte. Très vite je m’imagine des situations telles qu’on peut les voir dans les films : elle a été cambriolée, ou agressée et je vais la découvrir inconsciente. Je vais appeler les secours, la sauver et devenir un héros….
Comme nous sommes dans la réalité, je sonne.
Bien évidemment, j’entends Annie :
« C’est ouvert !! »
Le couloir de l’entrée est sombre et la seule lumière provient du salon. Comme personne ne vient, je ferme la porte et me dirige vers le séjour.
« Annie ? C’est Franck, je viens chercher le…. »
Stupeur ! Annie est allongée sur le canapé, à demie nue et semble aussi surprise que moi !!! Elle place rapidement ses bras sur sa poitrine :
« Qu’est-ce que tu fous là !!!
- Ben….Je….Je dois prendre le colis….
- Tu aurais pu prévenir !!!
-La porte était ouverte… tu as dit d’entrer…
- C’est pas vraiment toi que j’attendais !!!
- Je suis désolé…. »
Durant ce court dialogue, je n’ai pu m’empêcher de reluquer Annie. Elle ne porte pas de réel vêtement. Un « body » rouge maintient ses bas de couleurs chair et son sexe est caché par une culotte blanche légèrement transparente.
Je me rends compte que je n’avais jamais remarqué à quel point elle est bandante !!!
Sa poitrine est trop imposante pour être totalement dissimulée par ses petits bras.
Mon regard se pose maintenant sur ses cuisses et je sens ma queue gonfler dans mon pantalon…
« Qu’est-ce que tu regardes ? »
Ses chaussures, ses bas, ses cuisses, sa poitrine débordante, sa position, allongée sur le canapé, offerte à mes yeux de pervers… Ma bite explose !!
Ca y est, je suis excité, j’ai envie de baiser….j’ai envie de la baiser !!!
Je décide d’y aller à fond, de tenter ma chance :
« Jolie tenue pour recevoir…
- Quoi ?!!
- Elle te va très bien cette lingerie. Dommage que tu caches tes seins…
- Mais…
- Et tes cuisses sont si serrées… tu devrais les écarter. »
Nos yeux se croisent et je soutiens son regard. Je tente le tout pour le tout et ma main descend vers mon entrejambe pour caresser mon sexe à travers mon pantalon.
« Ma parole !! Tu bandes !!! »
Lentement, elle écarte les jambes. Sa chatte reste dissimulée par sa culotte, mais je peux distinguer sa fente au travers. En réponse à son geste, j’enlève ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le laisse tomber à mes pieds. Mon caleçon est tendu au maximum.
« Hmmmm, tu sembles cacher de bien belles choses…
Et elle dévoile ses seins.
- Voilà une belle paire de mamelles…..
- Tu sembles bien effronté et très sûr de toi. Rejoins-moi en haut, pour me montrer ce dont tu es réellement capable. »
Elle sort de la pièce et monte à l’étage. J’en profite pour me déshabiller entièrement.
Ma verge est dure et raide, mon gland gonflé de désir. Je la rejoins au plus vite.
Je pousse la porte de sa chambre… Elle est debout devant son lit, jambes écartées, les mains tirant doucement sur ses tétons. Elle me regarde de haut en bas.
« Je sens que je vais bien m’amuser avec toi… »
Elle s’approche de moi, se saisit de ma bite et me branle vigoureusement.
Ce faisant, elle fait descendre sa petite culotte et plonge un doigt dans sa fente. Elle le ressort, imprégné de cyprine et le pose sur mes lèvres. Ma langue vient lécher le doux liquide. Que c’est bon !!!
Je sens ses tétons durcir contre mon torse. J’approche mon visage d’elle pour l’embrasser mais elle me repousse en souriant.
Elle s’éloigne, retire définitivement sa culotte, ôte ses chaussures, s’assoit sur le lit et enlève ses bas.
Elle me les lance au visage. Je respire au maximum cette odeur de femme en chaleur que dégage sa lingerie. Elle écarte les cuisses et j’aperçois son mont de Vénus, parfaitement taillé et accueillant.
Son « body » vole dans la pièce et la voilà nue. Elle se positionne sur le lit et son regard me défie d’aller jusqu’au bout.
« Tu attends quoi ? Tu as peur ?
A ce moment précis la sonnette retentit.
- C’est qui ?
- Ne t’en fais pas mon mignon. C’est mon rendez-vous de ce soir. Laisse, il finira par s’en aller… »
Je m’approche du lit, et je lui présente ma bite.
Elle me masturbe lentement, son visage s’approche, sa langue se dirige vers mon gland... puis sa tête recule. Ce petit manège dure quelques minutes. Je ne tiens plus, ses doigts si agiles me rendent fou !!
« Annie, je te veux !!!
- On va voir si tu sais y faire… »
Elle lâche mon sexe, fouille dans son tiroir et me donne un préservatif.
Pendant que je l’enfile, elle se met à quatre pattes et me présente son cul et sa chatte.
Mon doigt vient jouer avec sa rondelle…
« Pas touche !!! Pas de sodomie avec moi !!!
- Comme tu veux…
Je présente mon membre devant sa chatte, mais avant que je comprenne ce qui se passe, elle recule d’un mouvement sec et s’empale sur mon chibre.
Le plaisir est inimaginable !!! Je ne bouge même pas !! Ses mouvements de bassin sont divins !! Je vois ma queue disparaître à chaque mouvement.
« Oh Annie !!! Putain c’est bon !!!
- Hmmmm, écarte mes fesses pour mater mon petit trou. »
Je m’exécute, et je la pénètre encore plus profondément.
« Oui… comme ça Franck !!! J’aime ta bite !!! Transperce-moi !!! »
Je prends ses fesses à pleines mains, et je démarre moi aussi un mouvement de va et viens. A chaque coup de boutoir, mes bourses claquent sur sa vulve, lui arrachant de petits cris étouffés.
Je me rends compte que nous baisons comme des bêtes !!! Du sexe pur, à l’état brut !!!
Soudain, ses mouvements se font plus violents encore et ses petits cris se transforment en véritable hurlements :
« OUIIIII !!!! VAS-Y !!! BAISES MOI FORT !!! AAHHHHH… »
Je ne tiens plus !! Ce qu’elle est bonne !!! Dans un râle rendu inaudible par ses cris, je lâche tout mon foutre dans la capote et m’affale sur le lit. Elle me regarde, le visage en sueur :
« Déjà ? On ne va quand même pas gâcher tout ce sperme !! »
Elle m’enlève la capote, se couche à côté de moi et déverse le contenu sur sa vulve.
Tout en se passant la langue sur les lèvres, elle s’applique à vider le préservatif tout en étalant ma semence sur sa chatte et son ventre.
« Pas mal pour un petit jeune. La prochaine fois, il faudra tenir plus longtemps.
- La prochaine fois ?
- Tu crois que je vais te lâcher ? On va bien s’amuser tous les deux… »
Cette superbe histoire a été écrite par kukaman, qui tient un très joli blog : http://fanstames.erog.fr
Il y a quelques semaines, il m’a proposé une histoire écrite à 4 mains, qui verra sa conclusion bientôt. J’aurais le plaisir de vous le faire lire dès qu’il sera achevé !
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Ce bertrand est un petit veinard.
Merci à lui de nous avoir narré cette aventure
Très belle histoire vécue!! Qui donne envie d'être vécu, d'y parrticiper, de se soumettre à ces caprices et ces désirs de jouissance!