Les Mémoires très Libertines de Sophie
Pour la Saint Valentin fête de l'Amour
http://www.youtube.com/watch?v=SNMI-o8zULo
En voici les paroles...
Vivre pour le meilleur, par Johnny Hallyday
En pleine nuit
Des gens qui courent après l'amour
Et qui le fuient
Des bras qui ...se lèvent pour un Dieu
Qu'ils ne voient pas
Moi, j'ai ta chair contre ma chair
En ça je crois
Vivre pour le meilleur
Se vouloir pour tout se donner
Plus riche de ne rien garder
Que l'amour
Des hommes qui n'ont que l'illusion
D'attendre un signe
Des femmes qui pleurent leurs enfants
Et restent dignes
Moi, tu me rends plus fort chaque jour
Sans Dieu ni loi
Et quand nos corps se font l'amour
Je sais pourquoi
Vivre pour le meilleur
Se vouloir pour tout se donner
Plus riche de ne rien garder
Que l'amour
Oui, vivre pour vivre libre
Aimer tout ce qu'on peut aimer
Encore et toujours ne vouloir
Que l'amour, que l'amour…
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Les tribulations de Nulaï - Début du chapitre III
Les Tribulations de Nulaï
Chapitre III : Une nouvelle conquête pour Nulai.
Les années ont passé, Nulaï vit seul dans une chambre d’étudiant, dans un petit immeuble Il a une nouvelle voisine.
En la croisant, ilavait remarqué son parfum assez fort. Elle est de taille moyenne, toujours bien habillée, souvent un grand décolleté, qui laisse entrevoir une belle paire de seins, beau sourire un peu timide.
De fil en aiguille, Nulai va regarder la télévision chez sa voisine, Catherine. Il est seul avec elle et reste bien à sa place dans le fauteuil, elle sur le canapé, elle porte toujours un ensemble de nuit. Elle ne porte pas de soutien-gorge…
Les jours passent tous de la même manière, télé, bisous, au revoir. Elle lui a un peu raconté sa vie, elle est obligée de travailler dans un bar comme entraîneuse, payée à la consommation. Elle déteste ce travail, elle rougit violemment :
« Tu vas mal me juger…
- Non bien sur ! Tu n’as pas eu le choix, tu ne fais pas cela par vice mais par besoin de vivre, contrairement à certaines personnes », réplique Nulaï prestement.
Le temps passe, chaque soir le même rituel, puis bisous et à demain.
Arrive le jour de l’anniversaire de Nulai. Pour fêter cela, il apporte une bouteille de vin, qu’ils boivent, en regardant la TV, Catherine commence à être saoule au trois quart de la bouteille, et ne se sent pas bien, demande à Nulai s’il ne peut pas l’aider pour se rendre à l’évier se rafraichir.
Nulaï prend la parole pour raconter la suite :
« Je l’aide à se lever, la soutenant sous un bras, ma main frôlant le sein, une fois qu’elle s’est rafraichie, elle me regarde le regard embrumé, et m’appelle par le nom de son mec : « Tu ne m’aimes plus !!! »
Elle m’embrasse brusquement. Etrange cette langue qui fouille ma bouche, mais je ne la repousse pas, au contraire, j’abuse, et pose ma main sur son sein, elle continue son baisser, je le malaxe un peu, toujours pas de réactions de sa part, tant pis je risque le coup, je glisse ma main sous la chemisette, et empoigne un sein, je fait rouler la pointe sous mes doigts, elle durci de suite.
Je soulève un peu sa chemisette pour voir sa poitrine, pas mal du tout ses seins, bien galber large auréole, petite pointe bien dressée.
Brusquement elle me repousse, et balbutie quelques mots, et me dit au revoir.
Ce jour-là, Catherine m’a donné sans s’en rendre compte, un bien joli cadeau d’anniversaire.
Le lendemain soir, je la retrouve comme d’habitude. Après un moment, en voyant qu’elle me regardait souvent, je lui demande :
« Catherine, tu te rappelles la soirée d’hier ?
- Non, pourquoi ? J’ai fait des bêtises ? me répond-elle avec un petit sourire.
- Oui, de grosses bêtises ! »
Et je lui raconte ce qu’il s’est passé sans rien omettre. Elle rougit, et me dit : « Tu ne vas pas en parler ? Tu sais, je risque de gros ennuis, tu es mineur.
- Non, cela va rester notre secret.
Elle parut rassurée, et reprit avec un air enjôleur :
- Cela ne t’a pas plu ?
- Tu blagues ou quoi ? Tu m’as fait bander oui, puis laissé en plan !
- Je ne voulais pas cela !
- Tu sais, depuis longtemps, je lorgne tes seins…
Elle me scrute du regard :
- Tu n’avais jamais touché une fille avant ? »
Je dois bien reconnaître que non... Je ne vais tout de même pas lui dire que je baisais ma tance quand j’avais douze ans !!!
Cette conversation commençait apprendre une tournure qui me plaisait.
« Enfin, tu as 1dix-sept ans et moi trente-sept. Tu ne va pas me dire que je te plais ?
Je pars m’asseoir a coté d’elle, sans protestation de sa part.
- Comme on a un secret commun, fais-moi encore un plaisir.
- Quoi ? Que veux-tu ?
- Catherine, montre-moi encore tes seins !
Une lueur malicieuse passe dans son regard, elle soulève prestement la chemisette.
- Ah oui, cette fois, je les vois bien ! Ils sont bien gros ! Hier, ils avaient l’air plus durs…, - Idiot, dit-elle, ils étaient en érection !
Elle rabaisse la chemise, je stoppe son geste.
- Dis, j’aimerais les voir comme hier !
Elle me lance un regard interrogatif, mais réplique :
- Touche et tu vas voir !
Je ne me fais pas prier deux fois, prends ses seins à deux mains, et les pétris un peu. C’est vrai, ils commencent à durcir. Elle a fermé les yeux. Apparemment, elle apprécie la caresse.
Je ne dis rien, lâche un sein, et m’empresse de le sucer. La pointe devient de suite dure, elle a un sursaut, mais ne me repousse pas, elle respire assez fort.
Visiblement mes caresses lui font de l’effet… A moi aussi d’ailleurs, je bande ferme.
J’arrête de sucer le sein et l’embrasse amoureusement. Entre deux baisers, je lui avoue que j’ai envie d’elle.
Pour toute réponse, elle glisse sa main vers mon sexe, et répond qu’elle a aussi envie de moi. Nous nous relevons, et nous nous dirigeons vers sa chambre, puis elle hésite :
« Et si mon type revenait ?
- Ah oui, c’est vrai ! Cela lui arrivait parfois de passer en coup de vent.
- Fermons la porte, tu diras que tu as fait cela machinalement ! »
Aussitôt dit, sitôt fait. Mais une fois dans la chambre, elle se couche sur le lit, et me prévient :
« Je n’enlève rien !
- D’accord, bien sur… »
Je trousse pourtant sa chemisette, pour encore bien voir ses seins et les caresse fermement. Je sors mon bite toute raide. Elle la prend en mai, tout de suite, l’apprécie… Apparemment, la taille lui plait, elle écarte sa culotte, me guide vers sa chatte déjà bien mouillée.
Je la pénètre d’un coup, à fond, elle sursaute un peu. Pour moi, cela fait toujours une drôle de sensation de me sentir dans une autre personne…
Je commence mes va et vient, elle ferme les yeux, je l’embrasse, en malaxant allégrement son sein. Après quelques minutes de pilonnage intensif, je finsi par jouir longuement en elle. Bien trop vite à mon gout !
Elle me regarde : « Alors, tu es content ?
- Mais bien sur ! On recommence ?
- Non assez pour ce jour !!!
- Bon, maintenant, si comprend bien, Catherine tu es ma maîtresse…
- Oui, mais cela ne te donne pas de droits sur moi !
- Là, je suis d’accord. »
Je rentre donc chez moi, avec malgré tout une grosse envie de la baiser encore !
Les jours passent sans faire l’amour. Souvent, elle me racontait des histoires des clients du bar :
« Ils aiment se vanter, tu sais… Il y a le prêtre qui profite des paroissiennes qui ont le malheur de lui confesser qu’elles ont trompé leur mari. La punition : un chantage bien sur. Elles doivent se laisser faire, les nouvelles conquêtes c’est pour lui, les autres, il les envoie à la sacristie faire leur pénitence. Bien sur, le sacristain les attend de bite ferme. Le prêtre sélectionne aussi les bourgeoises vicieuses. Il organise des orgies dans la sacristie, il fait payer les hommes qui viennent. Tous portent un masque. »
C’est ainsi que j’appris que les bourgeoises de bonne famille, qui critiquent les femmes de mauvaise vie, comme elles les nomment, ces bourgeoises sont de véritables hypocrites. Ce n’est pas un amant, mais plusieurs en même temps qu’il leur faut !
Il y a aussi l’avocat véreux qui abuse de ses clientes qui ont du mal a payer. Il les fait payer en nature. Le notaire voyeur qui oblige son clerc à baiser sa secrétaire ou une cliente devant lui….
Le dentiste aussi, mais là, c’est Catherine qui en a fait les frais.
Comme d’habitude, elle avait mit une robe avec un grand décolleté, et toujours son air enjôleur. Mais une fois l’anesthésie faite pour les soins, elle se trouvait dans un état second. Le dentiste s’en est rendu compte, Il savait le métier qu’elle faisait. Catherine me dit qu’il a ouvert sa robe, et a commencé à lui sucer les seins.
Il a troussé le bas de sa robe, écarté ses jambes. Il l’a baisée dans le fauteuil, sans s’occuper de son plaisir à elle. Elle ajoute avec un sourire, qu’elle n’a pas eu à payer les soins.
A entendre toutes ces histoires, je tombe de haut, beaucoup de valeurs qu’on m’avait inculquées volent en éclat. Le peu de croyance qu’il me restait dans la religion disparait aussi.
Catherine aimait raconter, et parfaire mon éducation de la vie sexuelle. Et moi, pendant qu’elle me racontait je lui pelotais un peu ses seins.
Un jour je lui dis : « Habille-toi, on sort un peu.
Elle est étonnée :
- Où allons-nous ?
- Dans ma chambre, j’ai envie de te faire l’amour, cela fait plusieurs semaines.
- Mais pourquoi m’habiller ?
- Comme cela, je vais avoir le plaisir de te déshabiller comme je veux… »
Elle ne proteste pas. Au fond, elle a envie aussi. Nous entrons dans la chambre, je ferme la porte à clef. Elle enlève son manteau et s’assoie sur le lit, je la rejoins, et l’embrasse en déboutonnant son chemisier. Sans plus attendre, je glisse une main dans le soutien-gorge tendus, et palpe son sein. Il durcit bien sur.
Je tire sur les bonnets devenus trop petits, et libère ses seins, mon autre main remonte ses jambes pour arriver à sa chatte bien mouillée… Mhumm, j’aime de plus en plus cette odeur de femme excitée…
Bien sur, elle n’est restée inactive, elle a ouvert mon pantalon, et branle ma queue raide. Je la stoppe :
« Pour une fois, enlève tout !
Elle rechigne un peu, mais obtempère. J’en fais de même immédiatement. Je tête avidement son gros sein en caressant son abricot qui coule de plus en plus. Il est mûr pour que je la saute…
Mais avant, je descends ma bouche pour gouter l’onctueux liquide. Elle tente de me repousser, mais finit par capituler. J’ignore pourquoi cette réticence… Je parcours ses lèvres intimes gonflées et rouges d’excitation à petits coups de langue qui la font gémir de plus en plus fort.
« Viens, prends-moi, je n’en peux plus ! »
Mon sexe pulse, il trouve tout seul le chemin de sa grotte accueillante. Je la pistonne, la besogne un long moment, elle jouit sous mes poussées de plus en plus rapides.
Dans un ultime coup de reins plus violent que les autres, je jouis en répandant en elle une bonne dose de sperme gardé trop longtemps en moi…
Nous retombons cote à cote, et nous endormons dans un bienheureux sommeil de satisfaction…
Très bientôt, la suite…
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Ma rencontre torride avec Franck
Franck et moi nous sommes rencontrés il y a quelques semaines. Nous avons décidé de raconter cette histoire à quatre mains. C’est un souvenir fabuleux….
Franck (1):
Après de nombreux échanges par mail et téléphone, nous décidons enfin de nous rencontrer.
Je réserve une chambre dans le meilleur hôtel de la ville et te donne rendez-vous ce vendredi à 17 h.
Je suis déjà sur place depuis une heure, lorsque j’entends tes pas devant la porte. Je vois ton ombre sous la porte…. tu sembles hésiter.
Je me lève et ouvre la porte. Après un léger sursaut de surprise :
« Bonjour Franck
-Bonjour Sophie… entre…. »
Tu te tiens devant moi, vêtue d’une robe rouge à bretelles qui moule ta poitrine de façon divine, et qui laisse entrevoir ton dos par un immense décolleté arrière. Cette robe est courte et mon regard se baisse vers tes jambes. Tu portes des bas noirs qui rendent tes jambes interminables.
Sous l’effet de l’excitation, tes seins pointent fortement sous ta robe et les tétons sont nettement apparents. Tout en me regardant droit dans les yeux, tu fais glisser tes bretelles : d’abord la gauche, puis tu te retournes en enlevant la droite. Ta robe tombe à tes pieds et tu me tournes le dos. Tu ne portes pas de soutien-gorge et de mon point de vue, ta petite culotte se résume à une ficelle qui disparaît entre tes fesses. Je m’approche de toi et je commence par embrasser tes épaules nues.
Ta peau est douce et sucrée, je m’enivre de ton parfum.
Mon sexe devient dur et je me presse contre ton cul pour que tu sentes mon désir à travers mes vêtements.
Ta respiration m’indique que tu aimes sentir mon pieu contre toi…
Lentement ma main remonte le long de ton bras et viens enserrer ton sein. Sa pointe est dure et la sensation de ma paume sur ton téton ne fait que m’enflammer davantage.
Sans cesser de t’embrasser la nuque, mes mains se plaquent maintenant sur tes fesses… La sensation est divine. Ma main droite remonte sur ton ventre pendant que l’autre caresse ton string, là où il est le plus fin….
« Oui, caresse-moi… »
Maintenant, mes deux mains s’occupent de ta généreuse poitrine et ton souffle se fait de plus en plus haletant.
Ta main se pose sur mon sexe bouillonnant et tu commences à défaire ma ceinture…
Sophie (1) :
Ma main glisse sous ta ceinture, et je la défais aussi vite que possible. La bosse que je sens sous le tissu est des plus prometteuses… Ton pantalon tombe à terre, et je sens ta bite hors de ton caleçon. Tu bandes tellement qu’il n’a pas pu te contenir. Ton gland est chaud, humide sous ma paume. Tu m’aides à te débarrasser du superflu. Je sens alors dans ma main ton organe entier, long, épais comme j’aime. Tu es dur, une vraie barre d’acier. Cette sensation a le don de m’exciter encore plus. Ma liqueur coule le long de mes cuisses.
Tu continues de malaxer fermement mon sein, tout comme j’aime. Ton autre main glisse le long de mon ventre, pour atteindre le mont de venus totalement épilé. Je sais que tu aimes ça, je t’ai fait ce plaisir… Je sens ta queue dure contre mes fesses. Je ne peux m’empêcher d’onduler du bassin pour mieux te coller à moi, m’exciter d’avantage. Mes jambes tremblent de désir…
L’une de tes mains reprend sa descente vers mon bas-ventre. Puis, la pulpe de tes doigts caresse le mont de vénus parfaitement lisse, et enfin, enfin, s’égare en haut de ma fente trempée. Un sursaut d’excitation me secoue à nouveau, l’attente est terrible, presque douloureuse, tant j’attends ta caresse plus directe.
Tu amorces ma délivrance en glissant un index curieux le long de mon clito bien bandé. Tu tournes autour, j’écarte les jambes, pour que tu accèdes mieux à mon bouton d’amour, avide de toi.
De mon coté, je ne reste pas inactive, malaxant ta bite bien raide, la faisant coulisser dans ma main. Tu mouilles, elle glisse bien. Tu es chaud, dur, puissant, je sens que je vais aimer ce pieu de chair. Te branler me donne encore plus envie de toi, si c’est possible…. Ton souffle s’accélère dans mon cou.
Nous sommes tous les deux au bord de la rupture. Tu délaisse à regret ma chatte humide, et tu me fais pivoter. Enfin, nous sommes face à face. Après quelque secondes d’une hésitation nouvelle, nous nous embrassons comme deux assoiffés au milieu du désert.
Franck (2) :
Nos langues se mêlent dans ce fougueux baiser. Tes lèvres sont douces, sucrées et ta langue habile. Tout en t’embrassant, ma main redescend vers ton trésor. Tes cuisses sont trempées, et ta cyprine inonde rapidement mes doigts, facilitant leur passage en toi…
Mon index explore ton antre. Tu es chaude, je sens tes tétons durcis contre mon torse. Tu ondules du bassin pour mieux me sentir en toi, tu gémis… Un deuxième doigt se perd dans ta chatte si belle. Tu me regardes dans les yeux, ton souffle se fait plus court, tu me chuchote :
« Fais-moi jouir….. »
Je me penche vers tes seins, mes doigts continuant l’exploration de ton sexe. Ma langue passe sur un téton, puis sur l’autre. Tu m’encourages en plaquant mon visage sur ta poitrine. Je me perds dans tes seins, je les lèche, mordille doucement tes tétons, ma langue passe de l’un à l’autre sans connaître de répit.
Pendant ce temps, j’accélère le mouvement de mes doigts. Ta vulve est mouillée comme je l’ai rarement vu !! Je sens tes muscles se contracter, tes hanches bouger plus vite. Tu sembles apprécier ce traitement, mais cela ne me suffit pas….
En même temps que mes deux doigts continuent de te pénétrer, mon pouce vient titiller ton joli clito, gonflé de désir.
Tu laisse échapper un petit cri :
« Oooh Franck, oui comme ça !!
- Laisse-toi aller Sophie… Tes seins sont si bons !! »
Je suis perdu entre ses deux monts du bonheur, pas une seule partie n’a échappé à ma bouche et je m’attarde maintenant sur tes aréoles brunes
Mes doigts rentrent de plus en plus profondément dans ta vulve gonflée, et mon pouce te caresse de plus en plus vite….
Tu gémis, respires de plus en plus fort. Soudain, ma main se retrouve inondée de ta liqueur, tu te cambres au maximum, et ton cri de jouissance emplit toute la pièce…
Tu plaques ton corps au mien. Ma bite est collée à ton ventre, elle palpite de désir…
Tu te laisses tomber sur le lit, tu étends ta jambe et pose ton pied sur mon membre prêt à exploser…
Sophie (2) :
Cette grande jouissance m’a coupé le souffle. Le temps de reprendre mes esprits et ma respiration, je caresse ta bite dure de mon orteil. J’ai joui, mais je n’en n’ai pas assez. Mes lèvres gonflées appellent un membre plus gros que tes doigts pour les forcer et les faire exploser.
Petit à petit, je rampe vers ton bâton d’amour, qui palpite et m’attire irrémédiablement… je veux te sentir au fond de moi, m’empaler et sentir ce pieu fiché en moi. Au passage ma langue vient butiner ton gland humide et gonflé. Je lape la petite goutte qui perle au bout, délicieux prémices du plaisir à venir... J’engloutis brièvement ce beau chibre pointé vers le ciel, pour bien le lubrifier. Pourtant, vu comme ma chatte coule de ma jouissance récente, je n’en n’ai guère besoin !
Je te sens tressauter dans ma bouche, heurter ma gorge. Tu es gros, trop gros pour ma petite bouche. Je te laisse sortir, un filet de salive continue de relier ta bite à mes lèvres.
Il est vite rompu par mon mouvement de reptation, pour me mettre à tes pieds. Je te veux en levrette, pour te sentir au plus profond de moi. Tu te redresses, te positionne derrière moi. Je me suis mise à genoux, la tête posée sur le lit, le cul en l’air, ouvert, offert à tes yeux brillants d’excitation. Je suis là, totalement ouverte pour toi. Tu passes un doigt sur ma rosette, qui frémit d’envie sous cette caresse…. Tu y pointes ta langue, pour continuer de m’exciter. Je n’en peux plus : JE VEUX QUE TU ME BAISES !!!!
Je te le crie : « Franck, vas-y défonce-moi !!! Prends-moi, laboure mon cul !!! »
C’est comme si j’avais lâché les vannes. Sans plus aucune précaution, tu t’enfiles brutalement dans mon con détrempé. Je bascule sous la brusque poussée, mais je me redresse, pour mieux sentir ta bite me baiser à fond.
Franck (3) :
Tu es divine !!! Je regarde ton corps subir mes assauts, je sens tes seins se balancer…
Je me retire et fais glisser ma bite entre tes fesses. Quel délice…
Je présente mon sexe devant ta chatte ruisselante et te pénètre doucement, lentement….
« Franck… Prends-moi comme une bête !!! Baise-moi à fond !!! »
Ta luxure m’excite encore plus et mes mouvements se font rapides, puissants, presque violents… Ton sexe est si mouillé que ma queue te transperce sans aucune difficulté… Dieu que tu es bonne !!
Tout en continuant de te ravager le vagin, mon index s’introduit dans ton anus si appétissant.
« Oui… Comme ça… Je te sens bien bien… Mmumhh…
- Tu me rends dingue ma belle…. Oooh ta chatte !!! C’est bon !! »
Ta tête s’enfonce dans le lit sous mes coups de boutoir, mais tu en redemandes et mes efforts redoublent…. Tu es si belle, si désirable dans cette position, soumise, offerte, je ne vais plus pouvoir tenir.
Mais je ne veux pas encore jouir : je veux te baiser encore, t’entendre hurler !! Je me retire donc de ton corps, mais ma bite est vite remplacée par ma langue….
Tu gémis de plaisir lorsque je m’attaque à ton clitoris gonflé de désir. Je l’aspire, le lèche, l’embrasse…. puis ma langue passe sur tes lèvres et je goûte enfin ta cyprine directement à la source. Je te lèche goulûment, mon visage se perd en toi…
« Occupes-toi de mon cul… »
Je suis à tes ordres, et ma langue glisse sur ta fleur, déjà bien dilatée par mon doigt.
Tu ondules pour mieux ouvrir ton antre et tu diriges ta main entre tes cuisses pour te caresser.
Pendant que ma langue explore ton petit trou, je sens ta liqueur couler sur mon menton. Tu gémis de plus en plus fort, étouffant même des cris dans les draps…
J’ôte mon visage de tes fesses et contemple ton anus ouvert, appelant à être défoncé…
« Cambre-toi bien Sophie, je veux que tu sentes ma queue au plus profond de ton cul !!! »
Sophie (4) :
Sans plus attendre, je t’obéis, pour mieux sentir ton gros mandrin envahir mon intimité la plus secrète… Je sens le gland hypertrophié se poser contre ma rosette, et forcer un peu, doucement. Dans un petit mouvement sec, tu forces le passage… J’ondule mon bassin, pour mieux accompagner ta lente et délicieuse progression. Centimètre après centimètre, tu progresses dans mon étroit conduit, qui épouse parfaitement ton membre imposant. Enfin, je sens tes couilles gorgées de jus d’amour heurter mon clito.
Dans un mouvement de balancier, tu le masse en le heurtant. Mes doigts les accompagnent. Je jouis une nouvelle fois, ma chatte déborde de cyprine qui mouille le drap. J’attrape le gode resté à porté de main, et me l’enfonce d’un coup brutal dans ma chatte avide. Il vire au maximum. Je suis en fion pleine, mes deux orifices comblés. Toi, chaud et vivant dans mon cul dilaté, le vibro, dur et mouvant qui excite mes chairs excitées. Une dernière jouissance m’emporte au 7ème ciel, je jouis en hurlant comme si ma vie en dépendait. Le vibro continue à me lancer des ondes qui m’électrisent et me font presque souffrir, tant l‘orgasme est fort et violent…Je finis par le retirer, à bout de force. Je suis à la limite de perdre connaissance…
Je m’agite tellement sur ton membre planté dans mon cul que tu ne peux te retenir. Je sens une contraction forte, et un jet libérateur vient inonder mes intestins. Tu me remplis de ta crème épaisse et chaude… Dommage, je ne vais pas pouvoir la manger….
Nous retombons comme des pantins désarticulés, épuisés par cette jouissance intense, hors du commun. Il nous faudra plus d’une heure pour reprendre nos esprits, et recommencer à faire l’amour, mais moins sauvagement… La nuit fut fabuleuse…
Virginie, l'épouse soumise, devient prostituée...
Virginie, l'épouse soumise, devient prostituée de luxe
Quinze jours après avoir rencontré Serge, Paul me dit : « Demain, nous sommes invités par Serge dans son chalet de Megève. Nous partirons dans l’après midi, il nous attend vers dix heures. » J’avais un peu oublié que nous nous étions quittés là-dessus lors de notre rencontre sur Lyon. J’étais inquiète, et pour tout dire, pas rassurée du tout. J’en parlais à Paul qui me rassura en disant que, de toute façon, il resterait prés de moi. Je lui fis remarquer que cela n’avait pas été le cas à Lyon.
Je me souviens bien de l’époque, nous étions fin juin début juillet. Après avoir pris possession de notre chambre d’hôtel à Megève, nous sommes allés au restaurant. Vers dix heures, nous sommes partis vers le chalet de Serge. Nous avons fait quelques kilomètres sur une route sinueuse avant d’arriver devant un magnifique chalet en bois. Serge nous attendait devant le seuil de la porte. Contrairement à la première fois, il fut plus chaleureux dans son accueil, en m’embrassant et en me disant quelques mots. Nous sommes montés au premier étage du chalet qui, manifestement, devait en compter deux.
La pièce dans laquelle nous étions donnait sur une terrasse face au Massif du Mont Blanc. Serge s’est assis dans un fauteuil, cela ma rappelait la première scène à Lyon. Nous étions, Paul et mo,i face à lui, derrière nous la terrasse.
« Déshabille-la », dit il à Paul. Bientôt je me retrouvais nue face à Serge comme à Lyon. Paul m’amena alors sur la terrasse et les mains en appui sur la balustrade, il me fit me cambrer fortement en arrière. J’entends encore Serge dire toujours la même chose : « Quel cul elle a ! »
Serge me dit alors : « Viens ici, assieds-toi dans le fauteuil, mets tes jambes en appui sur les accoudoirs. »
J’avais honte, j’étais complètement ouverte, mon intimité offerte. « Tiens, dit il, prends ce godemichet et caresse-toi. »
Paul avait disparu sur la terrasse, j’étais de nouveau seule avec Serge. « Caresse-toi », répéta t il.
Je m’exécutai avec honte. Au bout d’un moment, il me tendit un nouveau godemichet beaucoup plus gros, et l’introduisit lui-même dans mon vagin. Je me souviens de ses mots crus : « Tu avales bien, continue. »
Il était face à moi, son regard allait de mon sexe à mes yeux. Il me dit en me regardant droit dans les yeux comme pour me soumettre : « tu aimes n’est ce pas ? Dis que tu aimes. Mais je suis sur que tu préfères la réalité, regarde. »
Il s’écarta, et dans l’encadrement de la porte fenêtre qui donnait sur la terrasse, apparurent deux hommes. Ils étaient nus, l’un devait avoir une cinquantaine d’année, l’autre semblait beaucoup plus jeune. « Avancez, dit Serge. Elle est à vous, je vous la laisse, prenez bien du plaisir. »
J’étais paniquée, d’autant que je ne savais pas ou était passé Paul qui semblait avoir quitté la pièce depuis plusieurs minutes .Le plus âgé s’avança vers moi, il me regarda droit dans les yeux et sans me quitter du regard, il enleva le godemichet que j’avais dans le sexe et se mit à me caresser le clitoris. Le plus jeune vint se placer derrière moi, il me fit pencher la tête sur le dos du fauteuil et mit sa verge à l’aplomb de ma bouche. J’ouvris la bouche et je lui pris la verge entre mes lèvres. Bientôt, je plus âgé se fit entreprenant. J’étais comme tétanisée. De toute façon, je devais maintenant assurer pleinement la chose pour laquelle j’étais soumise. Il me pénétra d’abord doucement, puis de plus en plus violemment.
Au bout de cinq minutes, j’avoue que je n’avais plus la notion du temps, ils me firent mettre à genoux sur le fauteuil, la poitrine en appui sur le dos de ce dernier, les fesses cambrées en arrière. Ils me prirent alors à tour de rôle, alternant l’un et l’autre sans un mot les pénétrations. Alors que mon esprit repoussait cette possibilité, je me suis mise à jouir, cela les excita encore plus. Ils continuèrent encore à me saillir comme une chienne. Au bout de combien de temps, je ne sais plus, le plus âgé se retira et éjacula sur mes fesses. Le plus jeune, qui était venu se replacer devant moi, éjacula sur mon visage. J’étais à la fois comblée par la jouissance qui brulait encore mon bas ventre, mais j’avais honte, honte de moi-même, honte de tout, et de se que je faisais par amour pour Paul. Je lui en voulais énormément.
Serge réapparut alors, avec Paul, et demanda aux deux hommes : « Alors, comment cela s’est il passé ? Comment la trouvez-vous ? »
J’entends toujours le plus âgé dire : « Elle est bonne, on peut sans problème l’intégrer dans le réseau. Elle a des qualités, elle aura des clients.
- L’avez-vous sodomisée, demanda Serge.
- Non, répondit le plus jeune.
- On l’essaye maintenant ? demanda Serge.
J’avais l’impression d’être un objet asservi à la volonté de ces hommes.
- On verra cela plus tard », répondit Paul qui, pour la première fois, prenait la parole.
Nous sommes rentrés Paul et moi à notre hôtel. J’ai demandé à Paul ce qu’il comptait faire par la suite et quel était ce réseau dont avait parlé l’un des hommes. Il me répondit, qu’il s’agissait, comme nous l’avait déjà dit Serge, d’un réseau d’hommes d’affaires, de médecins, d’avocats, qui aimaient prendre du bon temps avec des femmes mariées, car les risques étaient limités.
Il ajouta : « Tu seras comme une pute de luxe occasionnelle, et cela te rapportera des avantages en nature, tu n’auras pas à le regretter, tu en feras ce que tu voudras, tout est pour toi.
- Et si je refuse ? ai-je demandé.
- Je sais que tu vas le faire, c’est ta nature, a-t-il répondu. Dans quelques semaines, Serge va t’introduire dans son réseau, ensuite tu seras autonome. Tu es d’accord ?
Je m’entends répondre : oui si tu le veux.
- Je le veux » dit-il.
Virginie.
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Ah j'aurai tout donné pour vivre se genre d'intense moment avec vous!!!
Quel récit ! Il est tellement bien écrit que j'ai vécu ton orgasme pleinement.
Cela m'a rappelé la dernière fois que ma Maitresse m'a fait jouir avec son gode ceinture. Je me sentais totalement rempli, et j'ai cru défaillir tant mon orgasme fut violent.
Merci