Les Mémoires très Libertines de Sophie
En zoo majeure
En Zoo majeure
Il fallait une bonne demi-heure au télésiège pour parvenir au « nid d’aigle » qu’était la cabane rustique du berger. Celui-ci nous accueillit avec jovialité - il connaissait déjà ma femme et ma belle-mère qui étaient venues le voir un été plusieurs année auparavant – les avait-il baisées ? Je n’en sus ma foi jamais rien et n’abordai point la question avec mes deux Amantes ; mais je peux penser qu’il devait en tout cas être certainement au courant des mœurs entre ma belle-mère et sa fille, leurs relations datant d’avant notre mariage… En tout cas, il allait maintenant partager pleinement ces relations en compagnie du mari que j’étais et ne fut pas outre mesure surpris que je baise ma belle-mère en compagnie de ma femme…
Il en profita bellement et j’eus moi-même le plaisir de baiser sa compagne Justine, laquelle se révéla être une magnifique baiseuse dont j’appréciai les talents.
Toujours est-il que le berger embrassa chaleureusement mes deux femmes qui apportaient à son isolement un peu de fantaisie, de charme et d’amour, sa solitude étant complète sur ses hauteurs.
Mais je crus comprendre plus tard au cours d’une conversation amicale et arrosée que Justine et lui avaient l’habitude de partouzer avec un jeune couple qui tenait une petite auberge sur l’autre versant, la jeune femme et l’homme un peu plus âgé seraient très heureux de nous recevoir un soir et sans doute une…nuit, après la fermeture… Il avait d’ailleurs un peu prévu la chose pour ajouter à notre séjour une autre touche de fantaisie et varier nos plaisirs !
Le berger était un homme râblé, aux grosses mains couvertes de taches de rousseurs et de poils roux, la mine burinée par les hauts soleils des monts, des rides profondes barraient son front et ses joues. Des sourcils broussailleux surmontaient des yeux verts profonds, il avait un nez aquilin, légèrement busqué, une large bouche charnue à la lèvre inférieure sensuelle complétait son rude visage de montagnard.
Nous nous installâmes dans sa cabane assez vaste, pourvue d’un relatif confort pour un berger de haute montagne : une salle commune, deux chambres, un cagibi avec réserves alimentaires et une bergerie attenante. On lui montait régulièrement par le télésiège tout ce qu’il lui fallait. La cabane sentait la laine, le suint, le cuir sauvage, mais surtout la chaude hospitalité.
Les deux chiens, vifs, actifs, nerveux tournaient déjà autour de mes femmes, celles-ci se montrant particulièrement chaleureuses et caressantes à leur égard, la séduction s’établissant de part et d’autre, comme si les chiens sentaient déjà que ces deux femmes affectionnaient leur présence… Lèchis, aboiements joyeux, pattes levées contre leurs jupes courtes qui commençaient d’ailleurs à attirer le regard égrillard de notre berger, sans doute en manque de présence féminine, son Amie, une robuste montagnarde d’une cinquantaine d’années ne le rejoignant que de temps en temps…
Celui-ci voyant l’intérêt qu’attachaient ses chiens à ma femme et à sa mère, il nous laissa entendre avec un plissement de paupières et un petit sourire, que sa propre compagne éprouvait bien du plaisir avec ces… « deux-là ! » selon sa propre expression… Que voulait-il dire ? Un regard entendu entre mes deux femmes et le berger me permit de penser que sa propre compagne devait apprécier certains rapports intimes avec les deux vaillants canidés, gardiens du troupeau de moutons de son Amant…
Justine, c’était le prénom de la compagne de notre berger, « monterait » dès le soir de la vallée pour nous venir rejoindre en notre petit coin de paradis, une fête étant prévue en l’honneur de notre arrivée et un mouton serait même sacrifié à cette occasion.
Le berger prit par la taille mes deux « Maîtresses » et leur fit faire le tour de son habitation ; le bougre ne manquerait point de prendre quelques libertés avec celles-ci, mais n’était-ce en parfaite complicité que nous devions partager ces quelques jours ?!
« Voici votre chambre, mes Belles, le lit est vaste, confortable, vous y pourrez dormir,
facilement à trois… »
Et il ajouta :
« Nous y dormons même à quatre, Justine, moi et un couple d’Amis qui tiennent une auberge sur l’autre versant et nous rendent parfois visite pour un peu de…chaleur et d’échanges… »
Il nous montra ensuite sa propre chambre, son lit étant recouvert de peaux de moutons cousues ensemble, le tout reflétant une atmosphère rupestre, fauve, sauvage…
Françoise s’assit sur le lit, sa mini-jupe largement remontée…sa mère se tenait près du berger, du prénom de Jean-Marie et buvait ses paroles, tendue vers lui, poitrine à peine maintenue par un pigeonnant soutien-gorge… il la prit par la taille et dit : « Mes Amis, soyez ici les bienvenus , vous êtes ici chez vous…je crois que nous n’allons point nous ennuyer tous les cinq avec la Justine et nos bêtes !! » et il embrassa ma belle-mère dans le cou, laquelle défaillit et se colla à lui, fesses rebondies sous la fine étoffe de sa courte jupe…
La grosse main velue du berger sa plaqua sur une fesse, fit remonter la mini, atteignit le fin slip que des doigts rudes caressèrent…haletant, la casquette en arrière, le berger cherchait son plaisir ! Ma belle-mère geignit et baisa la joue pas rasée du berger qui la serra un peu plus contre lui en nous regardant, ma femme et moi…
« Ils m’excitent ces deux-là, à se frottiner comme cela !!... » s’écria ma femme visiblement troublée par ces travaux d’approche…
« Et si nous faisions ben connaissance mes bons ?! dit le berger en soufflant… Serions bien tous les quatre ici à essayer c’te bon lit ! » enchaîna-t-il avec un accent montagnard prononcé…
Ma femme s’étant un peu plus retroussée, montra son mini-slip…
« Ah ben, c’est beau c’que voyons là ! » dit le berger en s’étranglant presque d’émotion…
Nous nous retrouvâmes donc tous quatre sur le lit… Jetant un regard par la fenêtre, Jean-Marie dit :
« Le troupeau paissons… j’avons ben l’temps d’danser une « bourrée des fesses », mes bons !! »
J’aimais bien l’expression quelque peu imagée et donc suggestive…En un tour de main (ou plutôt de fesses !) nous fûmes nus tous les quatre et fîmes grincer le sommier à cons et à culs que veux-tu !!
Ma belle-mère avait empoigné la grosse queue décalottée du berger, couverte de poils roux et la suçait avidement, agenouillée, cuisses ouvertes, Jean-Marie étant resté debout près du lit et la queue bien tendue aux lèvres expertes ; pour ma part, je lichais profondément le cul de ma femme qui gloussait de plaisir sous mon anulingus appliqué, tout en se branlinant le clitin entre pouce et index (ce qu’elle affectionnait comme préliminaires)…
Les bruits mouillés de la bouche de ma belle-mère se mouvant tout au long de la grosse trique du berger venaient se mêler aux craquements répétés du lit sous la branle effrénée que ma femme menait sur son clitorin…
Le berger déqueuta de la gorge de ma belle-mère et fit étendre celle-ci, lui ouvrit les cuisses et la prit sans tarder, queue raide comme une saillie…Le lit grinça sous les va et vient rapprochés et les deux complices jouirent bientôt à nos côtés, dans un chapelet de grossièretés et de ahanements répétés… Prise à fond jusqu’aux couilles, ma belle-mère reçut la bonne semence épaisse de Jean-Marie qui dégorgea sa queue dans le large con que je connaissais bien ; le foutre s’en échappa et nappa rapidement le drap de lin épais grisâtre…
Je poursuivis ma fornication en ma femme après mon délicieux anulingus et me mis à jouir pleinement de ce beau con rose corallien, chaud, ouvert, mes couillines dansant contre les poils de sa chatte toute humide qui bâillait, se distendait et vidait sa substance blanche laiteuse sous les contractions de son con autour de ma queue…
Encore raides tous les deux, Jean-Marie et moi, nous échangeâmes nos partenaires et le berger, braquemard en main, prit ma suite en Françoise qu’il enfila sans autre forme de procès ! Il y glissa comme un dieu, elle cria, leva les jambes, tendit les cuisses, les serra autour des reins blancs du berger, couverts de poils roux et touffus et se laissa ainsi pénétrer comme une chienne…
Je fis de même avec ma belle-mère qui m’accueillit en soufflant, impatiente de se bien faire monter à nouveau… Je glissai en elle merveilleusement, vit huilé par sa cyprine et le foutre épais de notre berger… Quelle douceur, quelle chaude humidité !! J’allais et venais, bandé encore à l’extrême, excité par tant de luxure, ma queue comme un piston de chair raidi, noueux, charnu et veineux, gorgé de sang et qui tirait des râles accrus de la gorge de ma belle-mère, râles émis ponctuellement, hachés, mourants, entrecoupés de :
« Baisez, mon bon gendre, baisez votre salopine cochonne, profond, allez, fouinez, fouaillez bien la mère de votre femme, mon Chéri !! »
De telles invites, ne pouvaient que décupler mon trot, assorti des cris de ma femme à nos côtés, gaillardement montée par le berger, bandé comme un bouc et qui faisait entrer et sortir sa grosse triquette convulsive, rouge foncé qui besognait si bien ma Mie… Nous jouîmes, déments, criant, suants, tressautant, défoutrant à tout va, remuant les culs, les soulevant pour les prendre plus profondément, tout cela en des plaintes sans fin émanant de nos compagnes…
La jouissance passée, nous nous entrebaisâmes, puis nous toilettâmes à l’aide d’eau fraîche en un broc, ma femme et ma belle-mère se lavant chacune la minoune au-dessus d’une vieille cuvette émaillée bleue posée à même le sol. Nous ressortîmes. Il faisait beau. Un soleil brûlant assorti d’une petite brise nous caressèrent le visage agréablement. Il ne nous manquait plus maintenant qu’à faire la connaissance de Justine, la compagne du berger, une bonne coquine et baiseuse, à ce qu’il nous avait laissé entendre en quelques mots anodins…
Dans l’instant, il nous dirigea vers les futurs « Amants » de ces Dames, tous bien montés et endurants à ce qu’affirma le berger ; ce dernier ajouta que, particulièrement, l’âne était d’une efficacité à toute épreuve et qu’il était le préféré de « sa » Justine, remplaçant Jean-Marie quand celui-ci était un peu plus haut dans les pâturages avec ses bêtes…
Un bel âne gris, belle allure, nerveux, aux oreilles sans cesse à l’affût et à la…virilité très…apparente…remplissant de joie et d’admiration mes deux femmes qui eurent vite fait connaissance avec ce jeune étalon en de si belles dispositions…
« Branlez-le bien, il aime ça ! » dit le berger à ma belle-mère qui s’agenouilla aussitôt et entreprit de sonner du bourdon sur la gigantesque queue qui se déployait magistralement, la présence de ces femmes à ses côtés, invitant l’âne à se bien manifester…
« Il faudra aussi le sucer avidement, ma Belle… » ajouta-t-il en direction de la maman de Françoise qui, à la suite de cette recommandation du berger, avait déjà embouché voracement le gros vitin rose et gluant qu’elle faisait aller et venir jusqu’en sa gorge, les lèvres retroussées sur la queue au gré des mouvements de sa belle sucée…
Visiblement, ma belle-mère se régalait et émettait de petit grognements de bonheur, soutenant la grosse queue d’une main et de l’autre la branlant à hauteur de sa bouche…L’âne donnait du sabot sur la sol, apparemment satisfait d’une telle officiante.
Françoise contemplait sa mère ainsi agenouillée sous l’animal et officiant avec une telle adresse qu’elle en fut toute excitée ; ma coquine de femme avait attendu cela depuis si longtemps, que son plaisir à présent devenait de plus en plus pressant…elle glissa une main entre ses jambes, jambes bien écartées et, regardant sa mère et l’âne fixement, entreprit, debout, cuisses arquées, de se masturber furieusement en râlant doucement : « Vas-y, Maman, branle-le bien ce beau bandeur, il en a besoins, regarde cette queue ! Un monstre de chair, douce, satinée, humide et rose ! Branle la, branle la bien, astique-la, sonne-lui le branle, « Mamouchka » !! (elle appelait sa mère ainsi souvent, au cours de nos accouplements en trio…).
Ma belle-mère à présent avait décalotté la grosse bite de l’âne et s’employait à la sucer avidement, faisant courir la pointe rose de sa langue tout au long de la queue démesurée, comme une démente, les yeux clos, les seins se soulevant, geignante, faisant des « muuuummm, muuuummm » répétés, elle se délectait, introduisant même la pointe fine de sa langue dans le méât du vit, le titillant, puis courant au long de la matraquine de chair, ses lèvres enveloppant le brandon rose, ferme et dodu de la bête… L’âne continuait à donner du sabot sur le sol en bruits sourds résonnants, il bandait ferme et de plus en plus fort !
Devançant les désirs de ma belle-mère qu’il devinait, tant la zoophilie semblait habiter ma belle-maman, le berger glissa un banc sous l’animal, banc emmailloté d’une épaisse étoffe moelleuse (accessoire qu’utilisait habituellement Justine pour se mettre en bonne position et confortablement offerte à l’animal – car la saillie pouvait durer longtemps et se révéler fatigante à la longue pour l’officiante ! – et ainsi pouvait-elle se bien faire pénétrer par la grosse bite tout le temps qu’elle désirait…).
Ma belle-mère s’y installa, se cala bien les reins et à bonne distance, cuisses bien ouvertes, fit courir la grosse queue sur sa chatte, mouillant les petits poils de son con de l’humidité du vit démesuré et de sa propre cyprine, tant elle mouillait, complétant ainsi la lubrification de sa belle fente déjà entrouverte… Puis, elle écarta délicatement ses roses lèvres intimes gonflées et boudeuses, bien vaguelées et présenta l e gros membrin à l’entrée de sa chatte… Celle-ci commença à avaler, à renfort de quelques coups de reins bien dosés, le gros chibrin de l’âne se mit à braire soudainement, nasaux tendus vers le ciel…
L’animal habitué à ce genre de commerce avec une femme, apporta même sa collaboration dans l’intromission et donna un beau coup de bite à ce conin, ce qui eut pour effet de faire pénétrer le gros bout du cambrelin dans la belle zoophile, indécemment écartelée sous l’animal… La belle cochonne joua des reins et la queue pénétra un peu plus avant…Elle la tenait fermement en paume et la poussait à petits coups toujours plus dans sa fente qui, à présent plus que distendue, ressemblait à une fine bouche avalant un gros serpent…Union surhumaine, mais tellement excitante !
Ma femme se masturbait comme une folle, pelotée par un berger de plus en plus vicieux, lui-même excité par la vue de ma belle-mère en pareille position… Il courba ma femme sur le rebord de la grande table en bois brut qui demeurait dehors et destinée aux repas à l’air libre… lui arracha son fin mini-slip noir, tout maculé de cyprine, lui écarta les fesses et ayant craché dans sa paume, enduisit de salive sa haute queue palpitante décalottée , nantie de grosse veine prépucienne dilatée rouge foncé…
Il allait l’enculer, le bougre ! De fait, il pointa en cul, força l’anus et pénétra Françoise qui poussa un long cri, griffant le bois rude de la table de ses ongles encore vernis…Ma belle Bourgeoise fut prise. Il fallait voir comment il la sodomisait ! Je me branlai, queue bien en main, mon regard allant de ma belle-mère enfouinée par l’âne, à ma femme enculée jusqu’aux couilles par le berger… Il lui défonça le cul, l’agrippant, la pressant contre la table, à fond en elle, littéralement empalée par le vit !
Je déchargeai abondamment dans l’herbe à côté d’eux, mais point apaisé pour autant !
Ma belle-mère hurlait de plaisir, empalée, aux trois quarts clouée par la bite démentielle de l’âne…Elle jouit, remuant les reins, s’enfilant un peu plus sur le grand brandon charnu…Le foutre de l’âne jaillit, blanc, crémeux, épais, débordant de la belle chatte distendue, coula à flots entre les cuisses, inondant les poils frisés du sexe de son poisseux onguent, se glissant entre les fesses, interminable flot !!
Le berger, lui, donnait encore par instant des coups de matraquin en spasmes, dans le cul de ma femme qui, à chaque coup de boutoir gémissait, sodomisée jusqu’aux intestins…
La grosse queue de l’âne s’échappa bruyamment du sexe de ma belle-mère avec un bruit mouillé de ventouse et resta à se balancer comme le lourd marteau d’une cloche, les grosses couilles de l’âne se balançant…
Jean-Marie quitta le cul de Françoise et vint tout aussitôt donner sa grosse queue encore gonflée et enfoutrée, à sucer à ma belle-mère qui se délecta ainsi du reste du « bon lait » et des humeurs culines de sa fille, s’employant à bien nettoyer de sa langue, le bitin encore raide…
Je pris la place du berger dans le cul de mon épouse, laquelle n’attendait que cela, pour à nouveau se faire enfiler et remuer des fesses joliment… Elle était foutreuse, débordante de semence…je m’enfouinai en elle d’un seul élan et, à cul ouvert, l’enculai à mon tour… Que ce cul était bon !! Quelle pénétration, quelle chaleur !! J’y fus promptement jusques aux couilles et pénétrai ma femme à longs coups, le chemin étant tout ouvert à mon vice…
Le berger pendant ce temps-là avait quitté la belle bouche de ma belle-maman et glissé sa trique bandée en arc, dans le joli con encore ouvert de celle-ci…il y glissa à merveille, forniquant dans la chaude jutance de l’âne qui, à présent, paissait en un coin de la prairie…
Le bougre de Jean-Marie tira des cris à la belle mâtine qui se laissait mettre , jambes levées au ciel, chatte ouverte à l’extrême…ils jouirent comme deux bêtes et retombèrent l’un sur l’autre, collés, haletants, en sueur, sous le chaud soleil d’Août…
A longs jets, ma semence remplit le cul de ma femme toujours prosternée sur la table… Elle en voulait encore et encore et me donnait des coups de cul exigeants, serrant un anus fort dilaté à force d’être forcé, autour de ma queue aux spasmes éjaculateurs répétés…
A suivre...
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Fille au pair - 4ème partie
Chapitre IV. - Les suites de mon année espagnole.
Pour les fêtes de fin d’année, je retourne passer une dizaine de jours chez mes parents. J’arrive avec plein de cadeaux dans mes bagages pour combler tous ceux qui me sont chers de petits présents achetés à leur intention.
Dès mon retour à Barcelone, je retrouve mes habitudes au sein de la famille. Le matin, pour ne pas perdre trop de temps, je prends mon petit déjeuné dans mon studio avant de partir à mes cours. Je fais souvent le trajet avec Luis qui poursuit ses études dans la même faculté que moi mais dans une branche différente. La littérature ibérique me passionne de plus en plus et nos professeurs nous font découvrir des auteurs qui sont quasiment inconnus en France.
Après la partie de jambes en l’air avec Luis, le lendemain de l’anniversaire des jumeaux, nous n’avons pas reparlé de cet épisode. Nos relations restent sur le plan d’une franche camaraderie. De leur côté, Felipe et Francesco ne sont plus venus me relancer dans mon studio. Mais certaines allusions faites Carmela à mon intention, je suis de plus en plus persuadée que ces coquins ont vendu la mèche… C’est vrai aussi qu’ils sont très complices avec leur grande sœur.
Il n’empêche que je suis très intriguée d’avoir découvert dans la chambre de Luis cette glace sans tain, qui donne dans la chambre des parents. S’il veut, il peut les espionner dans leur intimité. Pour en avoir le cœur net, j’en parle à Carmela qui est au courant mais elle me dit que ses parents savent et qu’un rideau opaque empêche la vision et elle m’entraine dans cette chambre.
Je découvre un véritable écrin précieux où les miroirs alternent avec des tentures de velours le long des murs. Le lit à baldaquin est immense, il fait largement plus deux mètres… et les parties de mur qui restent à découvert sont décorées de peintures licencieuses où je retrouve la patte de Monica. Serait-elle libertine ?
Ensuite, Carmela m’entraine dans sa chambre que je n’ai jamais vue jusqu’à présent. Là, je suis surprise. Alors que je la croyais ordonnée, cette chambre ressemble à un fouillis, il y a des fringues partout, sur les chaises, roulées en boule sur le sol. Dans le lit défait, j’aperçois un beau gode en silicone translucide que Carmela prend aussitôt, non pour le ranger, mais pour le caresser doucement dans sa main comme pour mimer une masturbation masculine.
Au bout de quelques instants, elle s’approche de moi et m’enlace doucement mais fermement en cherchant mes lèvres que je ne lui refuse pas. Sa langue fouille aussitôt ma bouche et nous échangeons une série de baiser torrides qui ont vite fait de me faire mouiller le fond de mon string. Carmela remonte l’arrière de ma jupe, et palpe mes fesses nues pour se saisir du cordon du string. Elle le fait bouge,r ce qui a le don de m’exciter encore davantage.
Je ne suis pas contre une joute lesbienne, je suis bisexuelle vous le savez déjà, alors, je vais profiter du beau corps de Carmela. Plus grande que moi, elle a de belles rondeurs : une poitrine opulente et des fesses bien galbées sous une taille fine et souple bien cambrée. D’une main, j’ouvre le devant de sa robe boutonnée du haut en bas, et je pars à la recherche des deux trésors cachés dans son soutif. La robe glisse sur le sol et Carmela se trouve devant moi dans toute sa splendeur de fille du soleil. Sa peau uniformément mate, sans trace de vêtement, que je connais bien me subjugue. Je mouille de plus en plus !
Mais au fait, qui va conquérir l’autre ? Il me semble que c’est ma compagne qui a commencé le jeu ! Elle dégrafe ma jupe, fait passer mon sweatshirt par-dessus me tête et je me retrouve en string devant elle. Nous défaisons nos derniers vêtements et, enlacées, nous nous affalons sur le lit, tête-bêche, moi sur le dos et Carmela qui me domine. J’ai sous les yeux son abricot tout lisse (elle s’est fait épiler depuis l’été) bien fendu où pointe déjà un filet de mouille. Ses globes fessiers ouverts par la pose laissent voir ses orifices, et je découvre dans son anus un joli petit Plug dont l’extrémité apparente est ornée d’un prisme coloré.
« Vas-y, fais le bouger, ça m’excite de me faire lécher la chatte avec un jouet dans mon cul. »
Aussitôt, je sors le Plug de ses fesses et je commence des va-et-vient de plus en plus rapides.
« Oh oui ! Comme ça ! C’est bon ! Continue ! »
Et là, Carmela m’explique que le soir du réveillon du Nouvel An, elle était en train de baiser avec une fille quand le copain de celle-ci était arrivé et, alors qu’elles étaient toutes les deux en 69, le gars l’avait sodomisée. Peu habituée à être prise par derrière, elle avait eu un peu mal, mais après sa jouissance avait été démentielle au point que pour habituer son anus à être ouvert, elle avait acheté ce Plug.
En même temps, je m’applique à bien lui lécher son abricot. De son côté, elle m’en fait autant, et je sens qu’elle a introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Si bien que nous ne tardons pas à jouir presque en même temps.
Nous nous rhabillons rapidement. Il était temps, car au rez-de-chaussée, nous entendons Monica qui parle avec ses deux fils et s’inquiète de ne pas nous voir. Nous descendons aussitôt. Je suis surprise lorsque Monica me dit en riant :
« Alors Sidonie, après Luis, c’est Carmela qui te met dans son lit ! »
Alors que toute rougissante (ça m’arrive), je baisse la tête, elle ajoute :
« Ne t‘en fais pas, ça devait arriver. Ils sont aussi coquins qu’Ernesto et moi. Viens dans ma chambre, je vais te montrer des choses. »
Dès que nous arrivons dans la chambre parentale que je connais déjà, Monica sort de son décolleté un petite clé au bout d’une chainette et elle ouvre une commode en bois précieux. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir dans les tiroirs qu’elle ouvre successivement, tout un assortiment de lingeries coquines, des cravaches et fouets de diverses sortes, des entraves, baillons et autres poires d’angoisse. En fouillant dans tous ces objets, Monica me demande soudain :
« As-tu déjà gouté à la cravache, as-tu déjà été fouettée ?
- Oui, j’ai reçu la cravache plusieurs fois quand j’étais en Angleterre. C’était pour me punir quand je cassais de la vaisselle dans le restaurant où je travaillais.
- Et alors ?
- Alors quoi ?
- Dis-moi ce que tu ressentais ! Ça ne devait pas te laisser indifférente ! »
Et là, je commence à raconter comment Mme Maria ou Guido fouettaient les employées du restaurant quand il y avait eu de la casse, et comment moi, j’avais découvert que cela me faisait beaucoup d’effet. Bref, je lui ai raconté toutes mes aventures sexuelles de mon séjour londonien.
Pendant tout le temps où je raconte mon histoire, Monica n’arrête pas de croiser et décroiser ses jambes gainées de bas fins et presque translucides, que j’entends crisser sous sa jupe. De mon côté, j’ai une fois de plus le fond de mon string complètement trempé, tant les évocations et l’ambiance de luxure qui règne dans la chambre m’ont émoustillée. Monica me dit soudain :
« Je suis sure que tu es aussi mouillée que moi. Va fermer la porte ! »
Le temps d’aller jusqu’à la porte et de revenir près du lit, je découvre Monica, la jupe troussée sur ses reins, les fesses barrées par le cordon d’un string blanc qui tranche sur sa peau mate. Elle m’offre une vision sur son fessier largement fendu qui achève de mettre le feu à ma libido.
« Viens me lécher la chatte, je ruisselle, après je t’en ferai autant.
- Oh oui, j’ai envie de vous donner du plaisir !
- Mais tu peux me tutoyer ! Vas-y, lèche-moi bien à fond ! »
Je m’approche et je darde ma langue entre les cuisses de Monica pour laper la cyprine qui s’écoule lentement de sa chatte. Je m’enhardis à titiller sa rondelle avec un doigt qui y entre avec grande facilité. Quelques allers-retours et Monica jouit :
« Coquine, tu m’as bien eue ! Tu sais, mon cul en a vu passer des belles queues ! J’adore ça !
- Moi aussi, j’aime bien ! C’est Guido, le fils de la patronne du restaurant à Londres qui m’a initiée.
- Viens, à mon tour de te faire jouir ! »
En disant cela, Monica me couche sur le dos, retire mon string qui est bon à tordre tant il est mouillé, et commence à lécher ma chatte où je la sens introduire un gode pour mieux me faire jouir. Mais ce n’est pas ce qu’elle veut, elle retire le jouet et elle place l’extrémité sur mon œillet plissé. Elle pousse doucement et bientôt le gode est entré totalement dans mon cul.
« Oh oui, c’est bon prend moi le cul !
- Ne t’inquiète pas mal belle, il va servir ton cul ! »
Et elle entreprend de me sodomiser tout en léchant ma cyprine, ce qui ne tarde pas à me faire partir dans une jouissance démentielle que j’exprime bruyamment.
Nous nous relevons, mettons de l’ordre dans nos vêtements mais au moment où je veux récupérer mon string, Monica me dit :
« Confisqué ! Il va aller enrichir la collection d’Ernesto. »
J’étais bel et bien tombée dans une famille de libertins et les deux jumeaux avaient de qui tenir pour venir ensemble me demander de leur faire une fellation.
Trois semaines passent. Il n’y a rien de particulier. Chacun vaque à ses occupations habituelles. Ernesto part chaque matin d’assez bonne heure à l’usine où il travaille comme chercheur, les jumeaux partent pour le lycée vers 7 h 45 et selon mes horaires, je me rends à l’université en bus ou avec Carmela dans sa voiture. Je croise peu Luis que je ne rencontre qu’au repas du soir. De son côté, Monica partage son temps entre la maison, son atelier et des sorties les après-midi.
En revenant de l’université le jeudi en fin d’après midi, je trouve posé sur le palier un colis assez volumineux mais relativement léger. Il est accompagné d’une enveloppe à mon nom, glissée sous le ruban qui noue le paquet.
J’ouvre aussitôt l’enveloppe écrite de la main de Monica :
« Sois prête avec ces vêtements samedi à onze heures. Je viendrai te chercher. »
Je déballe immédiatement le colis. Je découvre en premier un ensemble soutien gorge et string en cuir souple, des escarpins avec des talons démesurés (au moins dix centimètres), une cape en velours et un loup rigide en satin noir qui épouse la forme du nez et le haut du front. Deux orifices permettent de voir. Ensuite, dans un e boite plus petite, je découvre des menottes gainées de tissu et une longue laisse de cuir. Dans une autre boite, je trouve deux plugs de taille différentes en silicone de couleur chair et un autre en métal argenté dont l’extrémité est pourvue d’un ensemble de pierres colorées.
Je suis tellement surprise que j’hésite quelques temps avant d’essayer les sous vêtements et les chaussures, mais je ne peux bientôt plus résister. J’ôte mes habits de ville et j’enfile le soutif : il me va parfaitement, remontant les globes de mes seins comme pour les présenter. Le string moule bien le devant de mon sexe, et les cordons en cuir partent vers l’arrière où ils se rejoignent en une torsade qui passe dans mon entrejambe.
Les escarpins sont également à mon pied mais, je suis peu habituée à une telle hauteur de talon si bien que je suis obligée de marcher dans ma chambre pendant quelques temps. Lorsque je passe devant le grand miroir, je vois mes fesses cambrées comme elles ne l’ont jamais été.
La journée du vendredi passe dans la fébrilité. Je me demande pourquoi Monica a acheté ces objets… Je ne suis pas naïve, les menottes et la laisse me font présager un rôle de soumise, d’esclave sexuelle certainement.
Je passe une bonne partie du samedi à me pomponner. Après une longue douche tiède, je taille ma toison très courte puis je le mets en forme en ne laissant qu’une touffe de poils drus large de deux doigts. Les ongles des mains et des pieds sont peint d’un rouge vif et en dernier, je maquille discrètement mon visage. Seules mes lèvres sont outrageusement rouges.
Lorsque Monica vient me chercher, je remarque aussitôt qu’elle porte une cape presque identique à la mienne mais ses vêtements sont cachés. Nous montons aussitôt dans la voiture conduite par Ernesto, les deux femmes, installées à l’arrière.
Nous sortons rapidement de la ville. Monica se tourne vers moi et en me disant de ne pas avoir peur, elle passe sur ma tête un cagoule et satin noir qui m’aveugle complètement. Ernesto dit à Monica :
« Sidonie ne doit pas voir où nous allons exactement et en plus, il faut qu’elle ait la surprise des lieux. »
Nous reprenons notre route, et après une bonne heure, je sens la voiture ralentir et s’engager dans un chemin pentu apparemment étroit et bien entretenu. Dix minutes plus tard, Ernesto arrête la voiture, coupe le moteur et je sens Monica qui m’aide à descendre. Je pose avec précautions les pieds sur un sol gravillonné. Monica ouvre ma cape, en faisant passer les pans sur mes épaules, puis je sens la laisse se tendre. J’avance, toujours aveuglée par la cagoule :
« Ah ! Quelle fille superbe tu nous amènes ! »
Autour de moi, c’est un brouhaha de voix qui complimentent Monica et Ernesto. Je sens des mains qui caressent mes épaules, mes seins, mes hanches, le bas de mon dos quand soudain ma cagoule est retirée. Je ne saurai jamais par qui, mais je me trouve devant une assemblée d’une douzaine d’hommes et de femmes portant tous le même genre de tenue : pour les femmes, une cape longue qui recouvre les vêtements ou plus souvent les sous-vêtements et un loup plus ou moins petit masque le haut du visage. Pour les hommes, c’est une sorte de juste au corps uni, noir, fauve ou gris pâle.
Guidée par Monica qui tient la laisse, j’avance au milieu du groupe et nous entrons dans une immense bâtisse ancienne où après avoir traversé une pièce relativement fraiche, nous débouchons dans un grand patio meublé de divans, lits de repos, coussins, poufs de hauteurs diverses.
Nous sommes dans un lieu de luxure où tout est prévu pour une gigantesque partouze. Monica s’avance vers un homme, un véritable colosse aux épaules larges et à la taille étroite, prise dans une ceinture de satin de couleur vive. Elle s’incline devant lui et je comprends que c’est notre hôte :
« Voila Maître celle dont je vous ai parlé ! Elle est là pour partager notre fête et selon votre bon plaisir. »
Ce dernier s’approche de moi, je sens son regard qui me transperce mais d’une voix douce il me dit :
« N’aie pas peur mon petit oiseau ! Nous sommes entre gens de bonne compagnie, tu n’as rien à craindre. »
En disant cela, il me débarrasse des menottes et de la laisse qu’il donne à Monica…
(A suivre).
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Manon la sauvageonne
Le temps est magnifique dans ce coin de Provence cher à Marcel Pagnol. Le Romarin, les cigales, les champs de lavande, un endroit paradisiaque. L'histoire se déroule dans les années quarante, dans le petit village de Castellane, sur les hauteurs d'Aubagne. C'est sur qu'on va pas voir arriver Ugolin, ou le papé, mais Manon… non. Non pas celle des sources, mais la plus belle fille de la région, resplendissante à l'orée de ses dix huit ans, est bien là. Elle vit sereinement sa vie de jeune fille insouciante, à l’orée des années 60.
Elle a un petit ami, Baptiste, âgé de dix neuf ans, qu'elle a rencontré à l'école de la paroisse. Bien sur, ils en sont au stade des bisous, peut être une main qui effleure par maladresse la poitrine par dessus le chemisier, mais pas plus, çà s'arrête là. Personne ne comprendrait qu’il en soit autrement !
C'est la dernière semaine de vacances, et tout les après-midi, Manon se rend à la rivière, se baigner dans un plan d'eau, à l'abri des regards indiscrets. Là, elle se sent seule au monde. Elle ôte robe, jupon, chemisier, culotte, soutien gorge.
Entièrement nue, elle glisse son corps à la peau blanche dans l'eau claire, accueillie par les libellules et autres insectes, qui frôlent la surface de la mare. Elle ferme les yeux, et savoure cet instant de bonheur.
Pierre, jeune voyou de vingt ans, du village voisin, rentre chez lui à vélo. Il emprunte le chemin qui longe la rivière. Il est attiré par les clapotis qui montent du point d'eau. Il s'arrête et écarte les roseaux. A droite, sur un rocher, il aperçoit les habits de la jeune fille, et au milieu du gourg, le corps superbe de Manon. Il ne peut résister à cette vision du paradis, et il dérobe les vêtements, et se déshabille.
Manon entend des pas crisser sur les galets. Elle se retourne, et voit Pierre accroupi sur la berge, entièrement nu, la bite qui pend entre ses jambes. Elle pousse un « ho » de surprise en cachant ses jeunes seins. Elle découvre aussi, ce qu'elle a toujours imaginé, sans jamais l'avoir vu.
« Mais... qui êtes-vous ? interroge-t-elle, intimidée. Retournez vous, s'il vous plait...
- N'ayez pas peur, la rassure-t-il, j'avais chaud, j'ai voulu me baigner, c'est tout.
Manon dévisage l'intrus. Dans cette tenue, elle se sent vulnérable, honteuse.
- Je peux venir avec vous ? poursuit Pierre. Allez, tendez-moi la main. »
Manon est fascinée par le jeune homme, dont le physique est loin de lui déplaire. Elle reste malgré tout, méfiante. Si jamais « on » la voyait, elle, la jeune fille sage, nue dans une mare avec un garçon ? Sur que tout le village la mépriserait !
Le geste qu'elle va faire va changer sa vie. Sans s’expliquer pourquoi, elle tend la main au jeune homme, qu'elle connait depuis cinq minutes. Ils se fixent du regard. C'est sur, le courant passe.
Pierre glisse dans l'eau, et entraine Manon dans une brasse. Leurs corps se frôlent. Le jeune voyou fait courir une main sur le dos de Manon. Celle-ci sent l'électricité sur son échine. Elle est prête à couler. Dans un geste de survie, la jeune fille attrape involontairement la queue de Pierre, en totale érection.
« Oh ! Excusez-moi je vous prie ! ne croyez pas que, bégaie Manon, très gênée.
- Mais je vous en prie, répond Pierre, ce n'est pas grave.
- Vous êtes rassurée, dit-il en souriant. Ca va mieux ? Je ne vais pas vous manger. »
Est-ce le désir ou la fraicheur de l’eau ? Toujours est-il que le bout des seins de Manon ont durci, et doublé de volume. Une sensation toute nouvelle pour elle. Elle se demande ce qui se passe dans son corps. Pierre le sent. Il la prend par la taille, et la tire à lui. Sa queue est maintenant au contact de la fente de la jeune fille, frotte le fin duvet. Les lèvres intimes sont prêtes à s'ouvrir sous la caresse indécente.
Mais voilà, Manon est encore vierge, et la tradition veut qu'elle doive garder sa virginité jusqu'au mariage, pour l'homme qui va devenir son mari.
« Oh bon sang, mais qu'est-ce-que vous me faites ? Je suis encore vierge, et fiancée ! Vous n’avez pas le droit !
- Vous ne le serez plus longtemps Mademoiselle. Laissez vous faire, faites-vous plaisir, votre fiancé n’en saura rien… »
Manon, déboussolée par toutes ces nouvelles sensations, ne sait plus que dire, que faire. Alors, elle se laisse aller dans les bras du garçon, sans penser à rien. Son corps de jeune provinciale en décide pour elle. Et c’est elle qui donne le dernier coup de reins, fatal à sa virginité.
L’hymen ne résiste pas à la poussée de Pierre. Un filet de sang s'échappe dans l'eau. Manon vient de se faire dépuceler.
« Vous avez raison, soupire Manon. Allez-y, c'est trop tard maintenant. Mais c'est tellement bon… »
Pierre, dominateur, accélère ses coups de boutoir dans la jeune chatte qu'il vient de déflorer. Les cris de Manon résonnent dans la crypte. Férocement, elle lui prend les lèvres.
Pierre, le regard souriant, provocateur, s'éclipse comme il est venu, discrètement.
Les yeux brillants de bonheur, Manon retrouve ses vêtements, cachés derrière un arbuste, et se rhabille. Les idées les plus érotiques défilent dans sa tête. Elle aurait bien pris un deuxième coup de queue ! Elle rentre chez elle, rempli une bassine d'eau tiède, et se lave.
« Oh ma pauvre petite fleur, je t'ai perdue aujourd'hui. Et je suis maintenant une fille perdue… »
Le samedi suivant, c'est la fête au village. Tir sur les boites de conserves, mat de cocagne, jeux de quilles, tout pour que les villageois puissent s'amuser. Manon et Baptiste se tiennent par la main. Ils croisent Pierre et son copain Clovis, âgé de vingt cinq ans. Le sourire que Manon adresse à Pierre, ne souffre d’aucune équivoque. C'est presque une invitation. Son fiancé ne semble pas s’en apercevoir. Il entraine Manon vers une grange, désireux d’un peut d’intimité… On ne sait jamais, Manon pourrait se laisser caresser un peu plus que d’habitude, en ce soir de fête…
Pierre les suit du regard.
« Chéri, demande Manon, je boirai bien une limonade, tu peux aller m'en chercher une ?
- Mais de suite mon amour, ne bouge pas, je reviens. »
Pierre en profite pour se glisser dans la grange, avec Clovis, et s’approche de la jeune fille. Elle étouffe un cri de surprise, mais n’oppose aucune résistance quand le garçon soulève sa robe d’autorité, pour lui enfourner deux doigts très profond dans sa grotte déjà mouillée. Elle oublie tout, et accepte avec plaisir les assauts du jeune voyou, sous les yeux de son copain. Sa tète tourne de ces plaisirs, de ces interdits, du danger qu’elle court.
Quand Baptiste revient avec les boissons, il a l'impression que le toit de la grange s'écroule sur sa tête. La scène qui se déroule devant ses yeux est hallucinante.
Manon est à quatre pattes sur la paille, entièrement nue, en train de se faire prendre en levrette par Clovis, tandis que Pierre, installé devant elle, se branle dans sa bouche. Les deux jeunes hommes poussent des râles de plaisir.
« Je te l'avais dis qu'elle était bonne, jubile Pierre. Si tu voyais la pipe qu'elle me taille.
- Elle mouille comme une pute, gémit Clovis, putain, comme elle me serre. »
Baptiste se prend le visage à deux mains. Sa promise n'est plus vierge. Manon a senit sa présence, et sans honte, elle lui parle.
« Oh, mon chéri soupire Manon, viens voir comme il me nique, ce salaud ! Comme c'est bon ! Ha... ha, oui !
- Tu n’auras pas l'occasion de lui faire sauter la rondelle, ironise Pierre, en s’adressant au fiancé désemapré. C'est dommage.
- On te la bien préparée, poursuit Clovis. Maintenant, on va s'occuper de l'autre trou. »
Clovis se retire de la chatte de Manon, et lui perfore le petit orifice. Ses cris de douleur sont étouffés par la queue de Pierre, enfoncée dans la bouche jusqu’aux couilles. Dans un dernier coup de reins, il vide sa semence au fond de la gorge de la jeune fille.
« Baptiste, mon chéri, mais qu'est-ce qu'ils me font ! Dis leur d'arrêter... »
Mais Baptiste est statufié, comme halluciné par le spectacle de sa promise ainsi écartelée, offerte, impudique, pleine d’un vice qu’il n’aurait jamais pu imaginer !
C'est maintenant le plaisir qui envahit les entrailles de Manon. Ce qu'elle a connu au plan d'eau, n'a rien avoir avec ce rapport, certes consenti, mais brutal. Elle hurle de plaisir, ce qui ne tarde pas à attirer les villageois, dont les parents de Manon.
Ils découvrent les deux jeunes en train de se rhabiller, et leur fille, couchée, jambes écartées, le corps éclaboussé de sperme.
« Maman, maman, dit-elle en se jetant dans ses bras, pardon, pardon... »
Elle réalise enfin l’énorme erreur qu’elle a commise, en ces temps de pruderie obligatoire…
Légèrement en retrait, le père, les poings serrés, lèvres pincées faisant ressortir les rides d'un visage marqué par le dur travail des champs.
« Femme, dit-il sèchement, ramène la à la maison, et prépare sa valise. Elle nous a déshonorés.
- Mais Gustave, supplie la mère, c'est notre fille.
- Obéis, femme, que je n'ai pas à le répéter. Je n'ai plus de fille à partir d'aujourd'hui. »
Par respect, les villageois baissent la tête quand la mère quitte la grange en tenant sa fille par les épaules.
Baptiste ne pourra plus l’épouser, au risque de passer perpétuellement pour le cornu du village.
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Ciné folies
Claude dit :
« Ok! Et tu n’oublies pas, tu me racontes. »
Sandrine répond en souriant :
« Promis, je te raconte. »
J’éteins mon ordinateur. Je viens de passer une heure, sur MSN, avec un type super sympa. Nous nous sommes chauffés par un dial bouillant, et, chacun de notre côté, nous nous sommes donnés du plaisir. Mon excitation est telle, que sans réfléchir et pour avoir une pointe d’humour, je lui ai dit que j’avais envie de me faire baiser, et que j’allais aller dans un ciné me faire draguer.
Claude ne comprit pas qu’il s’agissait de paroles en l’air, et sembla très surpris par mon envie, mais finis par me dire que c’était cool, et bien sûr de le tenir au courant.
Et si je le faisais vraiment? Aurais-je le courage de jouer les salopes? Jusqu’où suis-je capable d’aller ?
Le meilleur moyen de le savoir, est de passer à l’acte. C’est ainsi que je me retrouve sur le quai du métro, habillée d’un pull rose moulant, d’une jupette plissée, de bas et de bottes, le tout caché pour l’instant d’un long manteau simili cuir. J’ai bien sûr omis de mettre des sous vêtements. Les courants d’air, parfois, s’engouffrent sous ma jupe et caressent doucement ma petite chatte. Hummmm ! J’adore ça, mais je prends garde à ce qu’un vent coquin ne me met pas les fesses à l’air. Le souffle frais fait dresser mes tétons qui, de plus, sollicités par le frottement de mon pull, déforme celui-ci et ne laisse aucun doute sur mon état d’excitation déjà bien avancé.
Station « Strasbourg Saint Denis». Je sais exactement où je vais. Je suis passée plusieurs fois devant un petit ciné de quartier, sûrement un des derniers, qui passe en boucle de vieux films d’épouvante. Un ami qui l’avait fréquenté, ne m’en n’avait pas dit que du bien, décrivant cet endroit comme étant miteux et pas très bien fréquenté. Bref! Sûrement pas un endroit pour une femme, donc… parfait pour une aventurière comme moi.
La femme sans âge qui tient la caisse, en écoutant une vieille radio à piles et en lisant « VOICI », ne daigne même pas lever les yeux sur moi. Quelque part, c’est rassurant, puisqu’elle n’est pas surprise qu’une femme seule veuille entrer dans son cinéma. Un peu nerveuse tout de même, je ramasse mon billet et ma monnaie. Un escalier abrupt d’une quinzaine de marches descend vers une porte avec un hublot, comme sur les bateaux. Le cœur battant, je pousse la porte, qui bien sûr, grince. Le contraire fut étonnant. Sur l’écran, une jeune fille se fait vider de son sang par un vampire.
La salle est encore invisible pour moi, mes yeux n’étant pas encore habitués à la pénombre. J’aperçois tout de même les trois marches restantes pour atteindre l’allée. Je fais deux pas à tâtons, et touche un fauteuil. Je quitte mon manteau, que je plis en deux, et me glisse dans la rangée pour atteindre un fauteuil bien centré à l’écran. En fait, le film ne m’intéresse pas du tout, je suis plus occupée à écarquiller mes yeux pour voir ce qui m’environne, que de regarder cette pauvre fille se vider. Petit à petit, la salle m’apparaît. Une allée sur le côté gauche qui monte en pente douce vers l’écran, pour rejoindre un escalier, qui, je suppose, mène aux toilettes, et une cinquantaine de rangées de fauteuils. C’est pour l’instant tout ce que je distingue.
Une image, plus claire, illumine la salle. Je peux enfin évaluer le nombre de spectateurs présents. Une dizaine de personnes occupent les premiers rangs, et cinq ou six sont dispersés plus prêt de moi. Bien sur, comme je m’en doutais, il n’y a que des hommes. Je trouve mon pull rose trop voyant, je dois faire une tâche claire sur l’ensemble de la salle. Je n’ose pas me retourner pour voir s'il y a quelqu’un derrière moi, car je pense qu’il y a encore plusieurs rangées de fauteuils. Je sens quelques regards se poser sur moi. Les mains croisées, posées sur mon manteau bien plié sur mes genoux, me donne l’impression de renvoyer une image de petite fille sage. Je sens ma poitrine se soulever à chaque respiration, et me donne la sensation que l’on ne doit voir que ça. Le pull moulant doit faire ressortir mes seins. Le fait d’y penser fait dresser mes tétons, qui maintenant à leurs tour doivent être voyant. Le rouge me monte aux joues.
Mon cœur cesse de battre. Un homme d’une soixantaine d’années, cheveux blanc, encore bel homme, vient de rentrer dans ma rangée, et s’assoit près de moi. Il devait être déjà là dans le cinéma, derrière moi, car je n’ai pas entendu la porte grincer. Il a dut m’apercevoir et s’est levé pour me rejoindre. Alors, il est près de moi volontairement ? J’ai la trouille. Ma pauvre Sandrine dans quel pétrin t’es tu fourrée… Qu’est-ce que je fais ? Je me lève et je m’en vais ? Et j’aurai fait tout ce chemin pour rien ? Non, c’est trop bête ! Je suis là, et bien il ne me reste qu’à assumer.
Facile à dire. J’essaie de me détendre en me disant que je suis en train de paranoter. Mais le pied qui vient de se coller à ma botte, me prouve le contraire. Je suis parcourue par un frisson, et je me sens glacée. Je sens sa jambe se rapprocher de la mienne. Le tissu de son pantalon frôle mes bas. Sans bouger la tête, je baisse les yeux. Je vois qu’il est assis profondément dans son fauteuil, jambes écartées, les mains sur ses genoux. Je relève les yeux, et noie mon regard dans l’écran. Je suis au bord de la panique. Du bout de son petit doigt, il touche mon genou et le caresse tout doucement, presque imperceptiblement au début, un peu plus fort maintenant.
J’ai la sensation que mon cœur va se décrocher. Voyant que je ne réagis pas, il remonte un peu son doigt, et fait rentrer en jeu son annulaire. Je n’ose même plus respirer normalement. Il continu son avancé avec son majeur, puis son index et pour finir, bien sûr son pouce. Sa main est maintenant posée sur mon genou, sous mon manteau. Il ne semble pas sur de lui, peut être a-t-il peur aussi. Il ne bouge pas, seul son pouce monte et descend sur mon genou. Sans le regarder, je vois son visage se tourner légèrement vers moi. Je dois être écarlate.
Comme pour m’appeler, il me fait deux petites pressions avec sa main. J’ai trop peur, je ne bouge pas, je ne le regarde pas. Voyant mon manque de réaction, il doit penser que je suis d’accord. Sa main commence à remonter, tout doucement, tout en me caressant. Je suis sûr que même si je le voulais, je serai incapable de me lever, mes jambes ne me tiendraient pas. Je suis tétanisée. Et pourtant cette caresse m’est agréable, mais c’est de ne pas savoir jusqu’où ça va aller qui fait très peur. Son petit doigt vient de toucher ma jupe. Il arrête son avancée, et comme pour me faire accepter d’aller plus loin, il malaxe doucement ma cuisse.
Me voyant toujours sans réactions, il reprend sa route. Sa main glisse doucement sous ma jupe, et atteint la barrière de dentelles de mes bas. Nouvel arrêt, nouvelles pressions sur ma cuisse. Le contact peau à peau, me fait tressaillir. Il l’a senti, car il s’arrête d’un coup et se tourne vers moi. Il doit craindre mon refus d’aller plus loin et attend ma réaction. Contre toutes attentes, sa main redescend à mon genou. Je ne comprends pas. Laisserait-il tomber ? Bien sûr que non. Il tire mon genou vers lui, m’invitant ainsi à ouvrir mes jambes. Je suis comme envoûtée, je navigue dans un état second qui semble me déconnecter de la réalité. Alors je laisse faire. Mieux, je glisse sur mon siège pour mieux m’ouvrir. Je sens mon sexe couler. Je suis excitée comme rarement auparavant.
Ma jambe est maintenant collée à la sienne. Il ne peut plus y avoir de doute sur le fait que je suis d’accord de poursuivre ce moment. Fort de cette acceptation, il prend ma jambe, la lève et la pose sur la sienne, emprisonnant ainsi mon mollet entre ses genoux. Cette action fait que sous mon manteau, je sens ma jupe remonter, laissant ainsi un accès direct à ma vulve. J’ai peur que nous soyons surpris par un autre spectateur. Sa main remonte, pour arriver de nouveau à la dentelle. Il la passe et caresse maintenant le haut de ma cuisse. Sa main est douce, chaude. Inconsciemment j’écarte encore plus mon autre jambe, pour mieux m’offrir à ses caresses. Je ferme les yeux et me laisse aller au fil du plaisir. De son petit doigt, il écarte doucement les grandes lèvres. Elles se décollent sans effort. Puis un autre doigt glisse maintenant le long de ma fente. Je suis trempée par le plaisir. D’une légère pression il fait pénétrer ce doigt curieux, et me fouille délicatement. Je me sens inondée.
Il le ressort, pour maintenant, s’intéresser à mon clito. Il tourne autour, le presse, le frotte. Je suis prise d’une première vague de jouissance. Les yeux toujours fermés, je mords ma lèvre inférieure pour ne pas gémir. Mais soudain, je reviens à la réalité. Une main qui ne peut pas êtres celle de mon bienfaiteur, s’abat sur mon sein droit et le malaxe sans ménagement. Je sursaute, j’ouvre les yeux. C’est un homme assis derrière moi, qui voyant notre manège, s’invite sans y être autorisé. Je repousse son bras, et j’essaie de me redresser. Mon voisin ne voit pas cela d’un bon œil, et accompagné d’un « Chuttttt ! » appuie sur ma cuisse pour m’empêcher de bouger.
La peur, doucement, fait place au plaisir. Je me suis mise dans de sales draps. Craignant de faire du bruit et d’attirer l’attention des gens devant moi, je n’ose plus bouger. Le type, derrière moi, passe sa main sous mon pull et caresse mes seins. Il s’est calmé, et sa caresse est plus tendre, plus délicate que tout à l’heure. Je sens mes tétons se dresser. Il s’empresse de les faire rouler entre ses doigts. Ma poitrine sensible à ce genre de caresses me remplie de bonheur et fait monter d’un cran mon envie de jouir. Ma chatte est reprise d’assaut, et je suis de nouveau fouillée par des doigts experts. La surprise étant passée, le plaisir revient doucement.
Pas pour longtemps, car l’homme de derrière lâche ma poitrine et entreprend d’enjamber les fauteuils pour se placer à côté de moi. Il a fait un boucan de tous les diables, et plusieurs types se sont retournés, mais apparemment sans voir ce qu’il c’était passé, et reprennent le cour de leur film. Très sur de lui, il remonte mon pull jusqu’au -dessus de mes seins et les reprend à pleines mains. C’est un type d‘une quarantaine d’années. Il a les yeux exorbités, un regard vicieux et sadique qui me fait peur. Il penche la tête vers moi et me lèche un sein puis m’aspire un téton.
Je suis parcourue de frissons à ce nouvel attouchement buccal. Son manque de discrétion va finir par nous faire remarquer.
Ma jambe gauche toujours prisonnière des genoux de l’autre homme commence à s’engourdir, quand soudain je sens quelque chose de dur frapper ma cuisse. De sa main droite il continu l’exploration de mon bas ventre, et de sa main gauche il a sorti sa queue et me donne des coups avec sur la cuisse. Voyant cela, le suceur fait de même, il sort son sexe, passe son bras autour de mes épaules et de sa main libre prend la mienne pour que je le masturbe.
Une fois que j’ai eu accepté de le faire, sa main retourne à l’assaut de ma poitrine. Avant même qu’il me le demande, j’attrape la queue qui me frappe la cuisse et je commence à appliquer une douce masturbation aux deux hommes. Leurs sexes sont durs, gonflés de plaisirs, de désirs.
Mon manteau glisse et tombe à terre. Je suis offerte aux regards de ces deux hommes, quasiment nue. Ma jupe remontée n’est plus qu’une ceinture de tissus, et mon pull une écharpe. Je suis nue dans ce cinéma, à branler deux hommes qui me fouillent, me caressent.
Une nouvelle vague de jouissance m’emporte dans un autre monde. Je ne vois plus, je n’entends plus, je suis ailleurs, je jouie. Je sens les sexes vivres et vibrer dans mes mains, ils deviennent plus durs. Ils sont secoués de spasmes, et se libèrent d’un coup. Celle du suceur arrose copieusement le dossier du fauteuil de devant et finie de gicler sur mes doigts, tandis que l’autre déverse sa liqueur sur ma cuisse, faisant de grandes traînées blanche sur mes bas noirs. Cette profusion de sperme me provoque un orgasme violent et je manque de crier. Dans mon délire, j’essuie ma main sur mes seins, mon ventre, étalant, massant le foutre jusqu'à ce qu’il n’y en ait plus. A ma gauche, le sexagénaire, très galant, essuie ma cuisse avec des mouchoirs en papier et une fois fait, je repose enfin ma jambe au sol.
Je me redresse, baisse mon pull, réajuste ma jupe et me penche pour ramasser mon manteau. Mes cheveux sont agrippés par une poigne puissante et le sadique me tire violemment vers sa queue encore sortie. Elle est encore raide et très dure. Il la frotte sur ma bouche, tout en appuyant pour forcer le passage. Toujours par peur du bruit et pour éviter d’être remarquée, je cède. Le membre envahi ma bouche et exécute un vas et vient. Il a encore le goût du sperme. Il va vite. Il va fort. Puis je le sens gonfler encore, par petits coups et soudain, il se vide de nouveau, remplissant ma bouche d’une giclée grasse et chaude.
La main qui appuie sur ma tête, ne me donne pas d’autre alternative que d’avaler. La pression sur mon crâne se relâche. Je ramasse mon manteau, me lève, passe précipitamment devant le papi, qui ne manque pas de me remettre la main aux fesses. Je manque de tomber et arrive devant la porte au hublot. Toute tremblante, j’enfile mon manteau et jette un dernier regard à la salle pour voir si je ne vais pas être suivie et là… stupeur! Dans la rangée derrière mes deux compères, sont assis cinq hommes. Ils me dévisagent. Il ne fait aucun doute qu’ils ont matés tout le long. Le rouge remonte à mes joues. La porte grince.
La caissière lis toujours « VOICI ».
Je marche rapidement jusqu'à un café et descend aux toilettes pour vérifier ma tenue. Avant de reprendre le métro, je déguste un bon crème. Dans la rue, des hommes passent et me regardent.
Et si l’un d’eux …
Claude Lamour
En plen vol....
Il y a quelques semaines, j’ai pu assouvir un fantasme qui me hantait depuis quelques mois déjà. Et je dois dire que malgré l’inconfort et l’étroitesse du lieu, j’ai pris un pied formidable.
Avec mon copain Bastian, nous avons quitté les brumes et les frimas bretons, et nous sommes partis pour passer une semaine de vacances en République Dominicaine. En cette fin d’hiver gris et maussade, nous avions envie de soleil et de bains de mer… mais aussi de farniente sur la plage.
Et cette semaine a été un véritable enchantement tant nous avons été accueillis chaleureusement à l’hôtel club, que par la beauté des plages de sable blanc. Hélas, une semaine çà passe très vite, trop vite…
A 36 ans, petite brunette d’à peine 1.55 m pour cinquante kilos, je suis très fière de mon corps mais surtout de ma poitrine. Mon copain ne cesse de la caresser chaque fois qu’il peut : de beaux seins ronds et généreux –bonnet D– avec des tétons ultra sensibles, qui, lorsqu’ils sont sollicités par des caresses et le simple frottement d’un vêtement en soie de préférence, pointent au milieu des aréoles.
Bastian est ce qu’il convient d’appeler un beau mec. Très brun avec des cheveux mi longs frisés et noirs, il est professeur de sport dans un lycée de la ville. Il possède une musculature fine légèrement marquée qu’il entretient régulièrement. Nous sommes un couple bien assorti car il n’est pas très grand.
Depuis de nombreuses années, nous filons le parfait amour au milieu de nos deux filles, amour fait de tendresse partagée mais aussi de bonnes séances de sexe dont nous sommes friands. A deux, nous avons presque tout expérimenté. Nous avons fait l’amour dans sa voiture plusieurs fois après notre première rencontre, sur la plage au clair de lune, en plein jour cachés au milieu des dunes, dans un parking souterrain du centre de Rennes, dans la cabine d’ascenseur de notre immeuble alors que nous rentrions du cinéma.
Mais… l’un et l’autre nous avions un fantasme commun dont nous avions déjà parlé à plusieurs reprises ! Nous voulions faire l’amour en avion. Notre voyage en République dominicaine allait peut-être nous permettre de réaliser ce fantasme.
A l’aller, cela nous a paru difficile car c’était un vol de jour. S’isoler dans les toilettes de l’avion alors que la plupart des passagers était éveillée, et le personnel de cabine très présent, nous a fait renoncer. Mais au retour, le vol de nuit nous a semblé plus propice.
Nous volons depuis déjà une bonne heure et le léger diner servi par le personnel est terminé. Le ronronnement des réacteurs commence à bercer les passagers mais la climatisation de la cabine trop fraiche à notre gout nous fait demander une couverture à l’hôtesse. C’est vrai aussi que Bastian et moi, nous ne portons que des vêtements légers, chemisette et bermuda pour lui et pour moi, un sweet-shirt à manche courtes et une jupe en coton arrivant à mi cuisses. Nous avons dans notre bagage à main de quoi nous couvrir pour l’arrivée aux petites heures de la matinée.
A l’embarquement, nous avons eu la chance d’obtenir deux sièges côté hublots. Nous nous sommes couverts pour échapper à la fraicheur de la climatisation de la cabine et nous avons incliné nos sièges au maximum. J’ai appuyé ma tête sur l’épaule de Bastian et j’ai commencé à somnoler.
Mais bientôt, je sens la main de mon copain glisser sur mon ventre puis entre mes cuisses et remonter ma minijupe et se poser sur mon mont de Vénus :
« Amélie, je crois que çà va être le moment propice !
- Quoi ? Qu’y a-t’il ?
- Je vais aller aux toilettes de l’arrière, rejoins moi dans quelques minutes ! »
La cabine est plongée dans la pénombre. Seules les bandes de plots lumineux jalonnant les allées et les passages donnent une lumière verdâtre.
Bastian se lève et se dirige vers l’arrière. Deux minutes après je le suis. Arrivée à la hauteur des toilettes, je peux voir que les rideaux séparant la cabine « touristes » en deux parties sont tirés. Génial, personne ne va me voir entrer dans une cabine déjà occupée...
Quelques coups discrets frappés sur la battant de porte et Bastian me fait entrer avec lui dans le réduit exigu des toilettes. Il m’enlace aussitôt, plaquant son corps contre le mien et glissant un genou entre mes cuisses qui ne demandent qu’à s’ouvrir.
Est-il particulièrement excité par ce que nous avons entrepris, toujours est-il que sa queue que je sens contre moi et ses baisers passionnés achèvent de mettre le feu à ma libido…
« Doucement ! Tout le monde dort, on a le temps !
- Oui, je sais mais j’ai envie de te sauter comme une chienne ! Tourne-toi et appuie-toi sur le lavabo. »
Je comprends immédiatement ce que veut Bastian : me prendre en levrette ! Il a raison, c’est presque la seule position possible dans un tel lieu aussi étroit. Je me place comme il le souhaite, face au miroir qui surplombe le petit lavabo.
Il remonte le bas de ma jupe pour le coincer dans la ceinture puis il plaque ses mains puissantes sur mes fesses pour ouvrir la fente. Là, il a la surprise de trouver bien enfoncé dans mon anneau plissé, le petit Plug bijou que nous avons acheté dans un sex-shop de la ville. Après les avoir massées quelques temps et agité le jouet dans ma gaine anale, il fait glisser mon string pour me l’enlever en même temps qu’il fait descendre son bermuda et son boxer.
Au passage, il dépose quelques baisers humides sur mes fesses et dans ma raie qui s’ouvre d’elle-même. J’ai la chatte en folie. Ma cyprine ruissèle déjà rien qu’à la pensée de ce qui m’attend !
Je sens la queue de Bastian se glisser entre mes cuisses. Oulla ! Qu’elle est bandée ! Un véritable estoc ! Puis elle entre doucement dans ma gaine humide jusqu’à ce que son pubis soit au contact de mes fesses et enfonce un peu plus le Plug. Je suis bien remplie et mon excitation est à son comble.
Après quelques allers-retours pour bien trouver sa position en fléchissant un peu les jambes, Bastian vient peloter les tétons de mes seins en remontant mon sweet-shirt.
Le pouvoir érotique de cette étreinte est encore décuplé car nous pouvons nous voir dans le miroir… Waouh, quelle idée géniale de choisir notre vol de retour des vacances pour satisfaire mon fantasme, qui au fil des mois était devenu aussi celui de Bastian.
Malgré l’inconfort certain des lieux et la position prise par Bastian, je sens mon plaisir monter, monter, monter… Ses allers-retours dans ma chatte sont de plus en plus rapides et j’ai l’impression que chaque fois que son pubis vient claquer contre mes fesses, je vais m’ouvrir en deux pour qu’il puisse aller encore plus loin au fond de mon sexe.
Je mords mes lèvres pour ne pas exprimer trop bruyamment cette jouissance qui m’envahit et je vois un sourire coquin illuminer le visage halé de Bastian. Bientôt, j’atteints le point de non retour et un plaisir démentiel me déchire la chatte, montant dans mes reins jusqu’en haut de mon dos.
Bastian n’attend que cela pour se lâcher. Les derniers spasmes de ma jouissance déclenchent la sienne ! Il m’a attendue comme il le fait de temps en temps, attendant que je parte pour venir à son tour. Je sens ses jets de sperme venir frapper le fond de ma chatte et se mélanger à ma cyprine.
Nous restons ainsi, embrochés l’un dans l’autre quelques minutes pour retrouver notre calme :
« Amélie, mon trésor, te baiser ainsi, c’était vraiment bon. Tu as eu une bonne idée avec ce fantasme.
- Oh oui ! Merci mon Amour ! »
Bastian se rhabille et regagne sa place. Quant à moi, avant de remettre mon string, je dois éponger nos fluides mêlés qui ruissèlent entre mes cuisses….
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Texte super excitante très envieux de n'avoir pas été là. Quel bonheur cela à dû être pour eux de vous avoir caresser et branler votre petite chatte toute trempe. J'aurai tant aimer vous la lécher. vive le sexe.