Les Mémoires très Libertines de Sophie
Mes après-midi au sauna, par JM
Je me présente JM, marié depuis treize ans, très amoureux de sa très belle et charmante épouse qui me comble totalement. Mais... j’ai de grosses pulsions bisexuelles. J’adore sucer une belle bite, me faire sucer, et par dessus tout, me faire sodomiser.
J’ai découvert un sauna homo dans ma ville, où j’adore me rendre pour y satisfaire mes envies et phantasmes.
A mon habitude, et toujours selon le même rituel, en arrivant au sauna, je me dirige vers les toilettes où je me soulage de mes excréments. Je prends une douche et retourne aux toilettes pour m’introduire une ou deux doses de gel. A présent, je suis prêt pour mon après-midi d’amour au masculin.
Je me promène au grès de mes envies : back room, salle de cinéma, cabines…
Comme très souvent dans la salle de cinéma il y a du monde qui se caresse manuellement et très souvent cela se termine par une fellation. La pénombre permet aussi de voir mes futurs partenaires de jeux et de me mettre en condition. Il m arrive très souvent de me faire sucer et de sucer dans cette salle. Les images passent sur
l'écran, et il est très excitant de regarder ces garçons qui, comme nous, se sucent goulument. Les voir s enculer sur l’écran me procure souvent une grande envie de sentir moi aussi une bonne bite bien dure en moi. Si mon partenaire me convient, alors je m’ouvre à lui. Il peut me doigter, je me livre à ses envies et caresses sans retenue. Sinon, on se suce mutuellement, et ensuite, je me dirige vers la back room.
Là, dans le noir, pas de vision des personnes présentes. Juste les caresses, les gémissements et les râles de plaisir. Je recherche toujours une bonne bouche bien accueillante, en général même deux. J’adore être le jouet de deux hommes : un me suce et le deuxième me lèche l’anus ou me prépare de ses doigts...
Je me livre à leurs bouche et doigts experts, rien que le plaisir ne compte plus, je caresse des bites. On me caresse, je m offre… Et quand j’ai enfin trouvé celle que je cherchais, je m arrange pour m écarter avec lui du groupe. Alors, je m offre à lui sans retenue, je tends mes fesses lui demande de me prendre doucement pour commencer. J’écarte bien mes globes pour lui faciliter le passage dans mon petit trou. Je le sens qui entre en moi centimètre par centimètre. Je gémis comme une jeune femelle. Lorsqu’il est bien entre en moi, je bouge mon cul, venant moi aussi m’empaler sur cette bonne bite qui me fait tant de bien. Je veux qu'il bouge bien, je sens ses couilles battre contre les miennes. Je lui dis que sa bite est bonne, de bien me défoncer, que je suis sa pute, sa chienne. Et très vite, cela se termine dans une jouissance commune. Alors, je me dirige vers la douche. Puis, je repars dans ma quête d’amour.
Et ce jour-là, en sortant des douches, je rencontre Éric, nos regards se croisent. Nous nous sourions. Troublé, je continue mon chemin et me dirige vers les cabines pour m’étendre un peu. Soudain, et un désir fou me prend : je le veux !!!
Je m étends sur le ventre, et laisse la porte de la cabine ouverte. Une personne se présente et je le refoule cordialement. Cinq minutes passent et je vois enfin le visage d’Éric. Il est sur le pas de la porte, de par mon sourire, il comprend immédiatement et entre puis referme la porte derrière lui. Il commence alors à me caresser les jambes. Ces mains remontent a l intérieur de mes cuisses, caressent mes couilles toutes lisses.
Il tire ma bite vers le bas, ce qui me fait relever le bassin et je sens sa langue se coller à mon petit trou. Elle est douce et virile. Il la fait pénétrer en moi et me gratifie de la meilleure feuille de rose que l’on m’avait prodiguée à ce jour. Je me mets en levrette. Ses mains m’écartent les fesses je gémis très fort et m’ouvre complètement à sa caresse.
Il me bouffe littéralement le cul. Je caresse sa bite et l attire vers moi. Je le veux dans ma bouche. Alors, il s’allonge et je me mets en 69 moi sur lui. Il continue sa caresse buccale, et moi je le suce à fond. Sa bite est au fond de la bouche. Je sens son léger duvet sur mon menton et sur mon nez. Je le suce comme jamais je n’avais sucé, lui rendant sa caresse au maximum. Je sens un doigt rentrer en moi… hummmmm !!!
J’avale toujours sa bite, un deuxième doigt vient en mo. Je gémis très fort, il me bouffe les couilles et la bite. J’ai trop envie de le sentir en moi. Je lui dis de me prendre, il passe une capote et tente de rentrer dans mon cul. Je le sens bien, mais j ai très envie de le sentir bien glisser et lui demande de me mettre du gel malgré toute la salive dont il m’a enduit. Il exécute mon souhait.
Et là, il entre très profondément en moi, d'une seule et très longue poussée. Je gémis de bonheur sa bite est divine dans mon cul ! Je suis aux anges !!! Il m encule profondément, mes fesses se soulèvent vers lui je m offre littéralement à lui.
Je suis allongé sur le ventre, et lui me laboure le cul, je jouis très fort. Ses couilles sont collées à mon cul. Il me défonce. Je suis aux anges et au bord des larmes, tellement le plaisir est intense je suis entrain de jouir du cul telle une femelle en chaleur Je me mets alors en levrette. A ce moment, il part dans un superbe galop il me défonce comme jamais, mes mains agrippent ses fesses. Je jouis encore et encore...
Je ne veux pas que cela s’arrête. Sa bite est trop bonne dans mon cul. Il me demande de me retourner et je me retrouve sur le dos. Mes cuisses sur ses épaules, il rentre en moi. Je suis tout ouvert et offert à sa bite, il me baise en douceur pour commencer.
Je jouis encore très fort. Je tends mon cul à chacun de ses coups qui, petit à petit, se transforment en coup de boutoir. Je crie mon plaisir, le supplie de me défoncer. Je lui dis de me baiser comme il le veut que je suis à lui, qu’il le prenne comme il le veut et il continue, continue encore et encore son pilonnage.
Je crie encore mon plaisir, et là, à bout de souffle et au paroxysme de notre plaisir, nous hurlons tous les deux notre plaisir. Il me donne encore cinq à six coups de rein, tout en remplissant sa capote, effondré sur moi.
Nous nous embrassons a pleine bouche, nous nous câlinons, je sens sa bite débander, il sort de mon cul, je vire sa capote et le suce goulument, lui me rend la pareil. Nous nous caressons mutuellement et j’éjacule dans sa bouche. Il me boit jusqu'à la dernière goutte.
Nous sommes tous les deux trempés, nous décidons d'aller prendre une douche, nous nous câlinons encore sous l'eau mais malheureusement l'heure tourne et je dois rentrer. Nous nous quittons en ayant échangé nos coordonnées et depuis ce jour, chaque fois que je vais au sauna, Éric est là pour moi, pour nous pour nos folles baises en après midi.
Je vous raconterai la suite de nos aventures dans un prochain récit.
Première expéreince bi de mon homme
Depuis mes sorties en club, où j’avais vu des hommes se sucer, et/ou s’enculer, ces visions excitantes me faisaient toujours autant d’effet. Mais je voulais que mon homme, Bertrand, s’y mette enfin ! Un soir où nous avions fait particulièrement bien l’amour, nous avions fini par une sodomie en levrette. J’étais là, les fesse en l’air, sa bite bien emmanchée dedans, et je lui ai demandé s’il savait ce que c’était de sentir une bite au plus profond de ses entrailles.
Il faisait semblant de ne pas comprendre. Il avait joui, il ne se posait pas de questions. On s'allonge, je suis derrière lui, innocemment, je joue avec sa bite. Et d'un coup, sans le prévenir, je le pénètre dans l'anus. C'est un gode, un gode bien lubrifié, que j’avais planqué sous le lit. Je le gode, l'encule, le branle, le fais jouir une deuxième fois. Je suis assez contente de mon coup ! Lui qui disait toujours non, je l’ai bien eu !!! Et en plus, il a joui vraiment très fort.
Depuis ce jour, il me dit qu’il a très envie d'un vrai sexe, dans son cul. Nous avons rencontré des couples, en vacances surtout mais jamais au grand jamais les maris n'ont voulu faire cela. A mon avis, l'une des meilleures positions, c'est un homme dessous qui prend le cul de la femme, au milieu et devant elle l'autre homme qui la baise dans la vulve. Et la seconde femme, direz-vous, eh bien, elle se fait lécher par la femme baisée.
J’aime bien cette image, elle me fait souvent jouir.
Mais un jour, l’occasion s’est enfin présentée, vraiment par hasard. J’étais au bureau, et l’un de mes collègues qui me draguait souvent, est encore venu me relancer. Il me semble bien qu’il bandait… Jamais je ne voulais donner suite. Pas question de tromper mon mec. Mais ce jour-là, alors qu’il me faisait à nouveau des avances, j’ai eu un flash et j’ai pensé : « c’est maintenant ou jamais ! »
Je lui ai dit de revenir à 18 heures, car je devais finir un dossier avec son aide. Nous serions seuls à ce moment-là. Après sa sortie, j’ai appelé mon ami, lui disant de venir aussi à 18 h.
A 17 h 45, Bertrand arrive, je lui demande de patienter le temps que je finisse. Les locaux sont déserts. Je lui propose de faire un petit tour. Il part, et je le vois aller vers le seul bureau occupé, celui de mon collègue Hervé.
Il me dira plus tard qu’il est entré, et l’a surpris en train de se branler face à la fenêtre (il devait s’exciter à l’idée de me retrouver…) Hervé ne se démonte pas et lui demande tout de go si ça ne lui arrive jamais. Il a répondu que oui, il aime se branler, surtout devant moi.
Hervé lui a alors demandé s’il avait déjà sucé une bite. A sa réponse négative, Hervé s’est approché de lui, la queue à la main :
« Eh bien, c’est le moment où jamais d’essayer… »
De mon côté, j’étais intriguée par le fait de ne pas voir Bertrand ressortir du bureau. Je me suis levée et approchée de la porte, juste à temps pour entendre la dernière phrase d’Hervé. Je passe la tête par l’encadrement, et je vois mon ami, les yeux rivés sur la belle bite de mon collègue (si j’avais vu ça avant, je n’aurais jamais attendu si longtemps…)
Bertrand finit par répondre, d’une voix faible :
« Si tu veux, mais je ne l’ai jamais fait... Guide-moi »
Je n’en crois pas mes oreilles. Hervé m’a vu, mais n’a rien dit. Je rentre doucement dans le bureau, et je vois mon cher et tendre tomber à genoux sous la pression d’Hervé.
Il prend la bite de mon collègue dans la bouche, sans parler. Il aspire, il lèche, la salive coule sur ses lèvres, il gobe les couilles gonflées, il suce partout. Jamais je n’aurai imaginé mon ami dans le rôle d’une telle pompe à bite !!!
Hervé jouit dans sa gorge et il avale tout. Moi, je n’ai pu m’empêcher de porter ma main à mon sexe. Je le sens gonfler, le clito sort tout seul, il se heurte au tissu de mon string, ce qui le fait bander davantage. Je sens que je commence à couler beaucoup...
Je passe la main sous ma jupe, et écarte mon string. C’est brûlant, et très très humide.
Toujours absorbé par la bite d’Hervé, qu’il continue de sucer sans relâche pour la faire rebander, il ne m’a pas encore vue. Je tire doucement un siège, et m’assoie, les jambes posées sur chaque accoudoir. J’offre une vue plongeante de ma chatte excitée à Hervé. Est-ce cette vue, ou le traitement de mon mec ? Mais il rebande bientôt comme un âne.
Bertrand retire le membre épais de sa bouche, et le contemple. Soudain, il lui dit :
« Encule-moi, je n'ai jamais connu que des godes ! Ma femme me gode depuis quelques temps, mais je veux de la chair ! »
« Ok, répond Hervé, mais ensuite, c’est toi qui m’encules, pendant que je baiserai ta femme !
- non, elle ne doit pas savoir ça ! proteste Bertrand.
- trop tard, elle sait tout, tourne la tête… »
Bertrand, se retourne, et me découvre, totalement ahuri. Il me voit assise, les jambes en l’air, la chatte dégoulinante de désir, et moi, en train de la fouiller de mes doigts impatients…
Il rougit, bafouille : « mais qu’est-ce que tu fais là ?
- Je ne te voyais pas revenir, alors je suis venue voir ce qu’il se passait. Et on dirait que j’ai bien fait ! Je n’ai pas voulu te déranger mon chéri. C’était trop beau de te voir pomper cette bite à fond… Fais-toi enculer pour de bon, tu me lécheras la chatte en même temps. Ensuite, on fera comme Hervé a dit. »
Dire tout cela m’excite énormément. Parfois, j’aime sortir de mon rôle de femme « bien élevée » et sage, pour prendre celui d’une belle salope, avide de sexe.
Je fais rouler mon fauteuil près des deux hommes et ordonne à Bertrand de se tourner, pantalon baissé, cul en l’air. Hervé doit avoir l’habitude de baiser au bureau, car il sort de son tiroir un gros tube de lubrifiant. Il s’en enduit copieusement deux doigts, qu’il enfourne sans ménagement dans le fondement de mon mec. Il sursaute sous la douleur, plus habitué à la douceur de mes pénétrations. Mais il ne dit rien, il a la bouche remplie de mes lèvres et de ma mouille... Plus mon collègue lui bourre le cul avec la main, plus il enfonce sa grosse langue dans ma chatte offerte. Hervé n’en perd pas une miette, les yeux hors de la tête.
Bertrand agrippe les accoudoirs, à la demande d’Hervé. Ce dernier retire ses doigts, je me soulève, et vois l’anus de mon ami vraiment bien dilaté. Mon collègue prend un préservatif, l’enfile prestement et l’enduit aussi de gel. Le moment fatal approche… Hervé se positionne bien comme il faut, le gland à l’entrée de la rosette distendue de mon chéri. Il me regarde d’un air de défi et dit :
« Tiens, je vais enculer ton mec ! Je vais lui défoncer le cul, et il en redemandera ! »
Il pousse d’un coup son gros mandrin, qui rentre dans les fesses comme dans du beurre. Sous la poussée, Bertrand manque de s’étouffer dans ma chatte. Mais il continue de me lécher avec ardeur, en rythme avec les coups de reins de mon collègue. Je n’en peux plus, et je jouis très fort, sans me soucier des éventuels salariés encore présents dans les autres sociétés…
Hervé jouit assez vite. Mais pour que je vois mieux, il se retire, ôte la capote et envoie de grands jets crémeux sur le dos de mon homme. Le jus blanc se dessine bien sur la peau noire…
Je me dégage de la bouche de mon homme, et vient prendre du sperme du bout des doigts… Je le pose sur mes lèvres et m’approche d’Hervé :
« Embrasse-moi, viens gouter ton foutre…
- Je ne te savais pas aussi salope... Si j’avais su, je t’aurais sauté dessus sans te demander ton avis ! »
Il m’embrasse, lèche le tour de mes lèvres que je couvre de son sperme, cueilli sur le dos de mon ami.
Il est temps de passer à la suite. Bertrand bande tant et plus. Et moi, je suis toujours aussi excitée. Depuis que j’ai vu le beau membre mon collègue, j’en ai très envie au fond de ma chatte bien chaude.
Je m’allonge sur le bureau, les genoux relevés. Hervé met de nouveau une capote, vient m’enduire les lèvres rougies par le désir de salive. Il passe sa langue partout, n’oublie pas mon clito bandé à l’extrême…
Entre deux léchouilles, il ordonne à Bertrand de lui lécher le cul. Il reste un peu interdit, mais obtempère sans broncher. Je suis sidérée : il se laisse donner des ordres comme un chien docile !!! On en reparlera à la maison !
Il écarte les deux globes noirs et musclés, et pointe sa langue dans le cul odorant, me dira-t-il plus tard.
Je le vois qui s’acharne, baise le cul avec sa langue. Il aime ça, le salaud !!!
Hervé lu dit que c’est assez, qu’il veut sa bite. Toujours sans broncher, mon homme, qui bande comme je l’ai rarement vu avant, se relève, enfile une capote, la lubrifie, et se positionne comme Hervé l’avait fait pour lui.
« Attends une minute, je dois d’abord prendre ta femme, et la baisser comme la pute qu’elle est. Son con de garce n’attend que ça ! »
En effet, j’attends avec impatience que ce gros pieu me remplisse à fond…
Il se redresse, vise ma grotte avide, et s’enfonce à grands coup de boutoir dans ma fournaise. Je crie sous le choc. Il est bien plus gros que Bertrand ! Mais j’aime sentir ce gros machin qui me cloue au bureau ! Il me laboure consciencieusement, sans me laisser de répit.
Bertrand vise, et s’enfonce lui aussi d’un coup dans le cul offert, qui a visiblement l’habitude de ce genre de traitement…. Hervé est pris en sandwich entre nous. Je jouis à plusieurs reprises, nous crions tous les trois. Plus rien n’existe, nous sommes hors du temps. Je ne saurais pas dire combien de temps cela a duré. Bertrand a joui le premier, avec un cri sauvage, Hervé le suit de près, mais en se retirant, pour jouir sur mes seins.
Mais je n’en n’ai pas eu assez… Sous le regard un peu effaré des deux hommes, je me branle furieusement avec les doigts, d’une main, l’autre tenant ouverte ma chatte distendue par le gros chibre. J’attrape trois gros feutres, et les enfonce brutalement dans ma grotte. Je demande à Bertrand de venir lécher le foutre de mon collègue sur mes seins. Il obéit une fois de plus, et tourment mes tétons dressés avec sa langue, les enduit de crème. Hervé bande à nouveau, je le vois. Il ne débande jamais, ce mec !!!
Je le supplie de me baiser à nouveau. Ce qu’il fait sans attendre. Je reçois la grosse queue comme une délivrance, ca me fait jouir presque aussitôt. Un orgasme géant me secoue le corps, je crie à m’en déchirer la gorge !
La réalité repend le dessus… Nous nous regardons, un peu hébétés… Comme si nous avions rêvé !
Hervé rompt le premier le silence :
« Vous cachez bien votre jeu, sous vos airs bourgeois, vous êtes de vrais salauds affamés de sexe... mais ça me va. D’ailleurs, je n’ai pas joui, alors, on fait quoi ? »
Sans hésitation, et à mon grand plaisir, Bertrand lui répond : « on continue chez nous… »
Nous avons passé une nuit entière de baise, et bien sur, nous avons recommencé à maintes reprises !
La première expérience zoo de Burno
Je vous ai raconté comment je m'étais fait plus que très agréablement masser les muscles lombaires par Jacques le kiné bisexuel. En y réfléchissant ce massage lombaire, il me le fit aussi depuis « mon intérieur ». Nous avons continué durant quelques temps à nous rencontrer, parfois seuls parfois avec des amis des deux sexes, pour des partouzes assez chaudes. J'aimerais vous raconter l'une d'elle.
Je fréquentais assidument la superbe villa en bord de méditerranée où vivaient ceux que j'appelle « mes bienfaiteurs » : Philippe et son épouse Marianne. Pharmaciens, tous deux, ils jouissaient (aussi) d'une grande aisance financière. Ils étaient bisexuels et adeptes de tout ce qui peut faire jouir. Toujours à l'affut de nouveau gibier, alors qu'ils m'avaient connus tout petit, ils durent me juger consommables à l'approche de mes vingt ans, fantasmes d'inceste sans doute, car ils n'ont jamais eu d'enfant. Mais je vous raconterai mon initiation sexuelle plus tard. Je leur ai bien entendu parlé de Jacques, mon kiné bisexuel. Ils furent avides de le rencontrer. Une rencontre à quatre fut donc organisée chez Philippe et Marianne un weekend où ils n'étaient pas de garde, c'était au cour d'un mois de Juillet.
Adeptes du nudisme intégral et permanent, ils nous accueillirent, Jacques et moi, dans cette tenue. Jacques à qui j'avais volontairement caché cela en fut surpris agréablement car ce couple était fort plaisant à regarder. Ils nous conduisirent à leur terrasse située derrière la villa faisant face à la mer. Il y avait quelques transats et trois ou quatre matelas qui jonchaient le sol carrelé. Jacques et moi nous nous dénudons, et nous installons pour déguster les boissons fraiches préparées.
La conversation, après les préliminaires ordinaires de présentations, porta sur des sujets variés comme il est de bon ton en société même dans une société de queutards. Nous avions à peine commencé que nous fûmes cordialement invités à entamer le sujet à l'ordre du jour grâce à « Friend » qui arrivait du fond du jardin d'une démarche très souple. C'était le boxer mâle de 4 ans de Philippe.
Comme tous les chiens de sa race, tout impressionnant qu'il puisse être il est très sociable et se dirigea vers nous en manifestant sa joie de nous voir, il glissa sa truffe fraiche entre nos jambes, nous renifla et donna un coup de langue sur nos queues et se dirigea vers Marianne, sa belle maîtresse, dans les deux sens du terme. Celle-ci installée sur un transat changea sa position et écarta les jambes. Friend comme si c'était un signal se mit à laper goulument la chatte de Marianne. Elle l'encourageait de la voix tout en lui caressant le sommet du crâne. Elle ne tarda pas à exprimer son plaisir. Jacques, à qui j'avais tu les pratiques zoophiles de Marianne, fut surpris et apparemment pas trop choqué, car il eut aussitôt une belle érection.
J'interpelle Philippe et lui dis : « Regarde un peu, comme il bande là. Je ne t'avais pas menti, elle est belle, non ? »
Philippe se lève vient vers nous et répond : « Ah oui ! Elle mérite qu'on la voit de plus prés ! »
Et sans même attendre la réponse de Jacques il lui dit : « Tu permets ? » et la prend en bouche pour la sucer. Je laisse donc les deux nouveaux amis faire plus ample connaissance pour aller rejoindre Marianne, entreprise par son chien. Cette femme est une grande jouisseuse pas forcément discrète. Tout en râlant de plaisir, elle me fait signe des deux mains d'approcher d'elle plus vite, ce que je fais. Elle m'attrape par la queue et me tire à elle bouche grande ouverte pour une pipe presque goulue, comme si elle voulait que je jouisse immédiatement. Elle sait mieux que personne ce qui me fait plaisir, forcément, c'est mon initiatrice, aussi elle met deux de ses doigts dans mes fesses et les fait aller et venir tout en me pompant.
Ce qu'elle me fait et l'excitation de la voir avec son chien me font jouir très vite. Elle me connait bien, elle n'avale pas, elle me tend ses lèvres et nous nous embrassons pour partager mon jus. J'adore avaler le sperme, le mien et celui des autres. Pour récupérer de cette émotion, je m'agenouille devant Marianne et «m'occupe» de Friend. A savoir que je caresse son sexe qui n'est pas encore sorti de sa cachette. Il aime bien cette branlette, ça se voit immédiatement, car un bel engin rouge et marbré sort enfin. Pour mon plaisir personnel et pour entretenir la forme du chien je suce sa belle pine. Malgré l'insistance de ses maîtres, j'ai toujours refusé jusque là de faire autre chose que sucer leur boxer. Peur idiote de « rester collé ».
Marianne, chauffée à blanc, se met à quatre pattes et se présente à Friend comme une chienne qu'elle est à ce moment là. Le chien connait bien sa maitresse, et puis, il a envie lui aussi, il saute sur elle et pénètre sa chatte. Je me dirige alors vers Philippe et Jacques toujours absorbé par leur 69 et leur signale que « le spectacle » va commencer. Jacques n'en revient pas et cela l'excite au plus haut point, Philippe s'en aperçoit et lui dit : « Vas-y Jacques, encule moi ! »
Je les laisse à leur saillie et je m'allonge sous Marianne, tête-bêche pour qu'elle suce ma queue qui est bien raide, ma tête est juste entre ses cuisses et je peux voir la grosse queue de Friend entrer et sortir de la belle chatte rasée. Ses lèvres charnues sont appétissantes à souhait, je la lèche, allant du clito à la bite du chien sur ma langue un mélange de la mouille de Marianne et du jus du chien. Curieux mais appétissant cocktail dont je me régale. Le chien se sépare de son amante et j'en profite pour prendre sa place. La chatte de Marianne baigne dans le jus de Friend, je m'y sens bien et je la baise avec délice, sous moi la belle chante son plaisir.
Je ne tarde pas à éjaculer à gros jets, alors que Marianne a un bel orgasme. Je me sépare d'elle qui se couche sur le dos pour ne rien perdre de tout ce qu'elle a dans sa chatte. Pendant ce temps Jacques toujours dans le cul de Philippe, et complètement excité par la séance de baise zoo de Marianne, signale qu'il va jouir, Philippe lui dit «non ,non, pas dans mon cul dans ma bouche!» Jacques s'exécute en gémissant car lui aussi a l'orgasme bruyant. Marianne leur fait signe d'approcher et offre sa chatte à boire à ses 3 hommes. Nous buvons avec délices ce qu'elle nous offre.
Ensuite, nous nous installons pour nous remettre de nos émotions avant un deuxième round. Marianne s'adresse soudain à moi, et me dit : « Mon petit Bruno, jusque là, tu as toujours refusé de te faire enculer par mon chien, aujourd'hui il va falloir que tu y passes !
-C'est que j'ai peur de rester collé, tu le sais bien ! »
Marianne me dit alors : « On va te préparer tous les trois, entre les deux bites que voilà et mon gode ceinture, je te garantie que Friend te fera jouir !
- Euh... Tu crois ?
- Bien sûr! Sois tranquille, mon petit chéri ! »
Malgré leurs paroles apaisantes, je ne suis pas trop rassuré, moi. Nous verrons bien au moment voulu...
Et le moment en question n'est pas venu ce jour là. Je me suis dégonflé, vraiment trop peur. Je regrette de ne l'avoir fait que plusieurs jours après, car j'avais pris du retard dans un plaisir agréable et nouveau.
Après nous être désaltérés et refaits une santé, Marianne, grande affamée de sexe devant Éros l'Éternel, jeta son dévolu sur Jacques à qui elle n'avait pas encore goûté. L'épaisseur de sa queue la tentait vraiment, aussi elle se mit à genoux devant lui et l'emboucha pour une de ces pipes dont elle avait le secret. La bouche de Marianne était réputée dans le milieu libertin local. Philippe s'absenta pour un moment, quant à moi je me suis rapproché de Friend pour qu'il me fasse plaisir avec sa langue. Il me lécha longuement la queue les couilles et mon anus.
Je ne tardai pas à être en grande forme je me suis alors rapproché du couple Marianne et Jacques car la belle adorait avoir deux personnes pour s'occuper d'elle. Elle se faisait sodomiser par le kiné, donc je me suis placé à l'avant de l'équipage, et Marianne hurla son plaisir en se sentant prise des deux côtés. Nous avons tous les trois fait l'amour pendant un long moment. C'est tellement plus agréable quand on prend son temps pour arriver au plaisir, n'est-ce pas ?
Nous avons, Jacques et moi, joui abondamment en Marianne. Celle-ci, après avoir hurlé son orgasme, nous demanda : « Mes amours, la moindre des choses maintenant est de me nettoyer, je crois, non ? »
Il y a comme ça dans la vie où des explications détaillées sont inutiles. Aussi Jacques et moi avons léché notre belle gourmande, mais en Jacques s'occupant de la chatte de Marianne pour y récupérer mon sperme, et moi de son anus pour récupérer celui de notre Kiné.
Jacques fut un instant surpris de la demande de Marianne, mais, se reprenant très vite, il fit comme moi, et nous avons arrosé ce joli corps avec notre pipi, en prenant bien soin de ne pas oublier sa bouche grande qu'elle tenait grande ouverte tel un oisillon affamé. Puis, Jacques, pas encore habitué à ça refusa l'invitation de Marianne de rendre la politesse. Je fus seul à accepter avec la plus grande joie. C'est que son liquide doré avait un goût délicieusement sucré dont je ne me lassais jamais.
Notre journée se termina après que Marianne, et Philippe enfin revenu, ait pu m'arracher que à ma prochaine visite, il faudra absolument que je me fasse prendre par Friend. Et je dois dire que quand cela arriva je me suis régalé.
Virginie : vendues aux enchères du sexe.
Ce matin, vous aurez le plaisir de lire la suite de l’histoire vécue de Virginie.
Les Enchères
Quelques semaines après cette soirée à Megève, nous étions alors fin août, Paul me dit :
« Samedi prochain nous irons à Megève chez Serge, tu seras officiellement présentée aux membres du réseau, ce sera une soirée pleine de surprises. »
J’étais à la fois inquiète et curieuse. Tout ce que j’avais fait jusqu’alors par amour pour Paul, m’avait laissé un gout amer, mais j’avoue que parfois j’y avais pris du plaisir.
Cette histoire de réseau m’intriguait plus qu’autre chose, bien que je n’aie aucun doute sur la finalité au moment des faits.
Nous nous sommes retrouvés, Paul et moi, un samedi soir devant le même chalet où avait eu lieu mon « initiation ».
Il y avait sur le parking plusieurs voitures. Aussitôt que nous fumes rentrés, je fus prise en main par une femme, que j’appellerai Mme X, à qui il était difficile de donner un âge .Elle m’amena dans un petit salon situé au rez-de-chaussée. Il y avait là deux autres femmes, l’une était très jeune, vingt-cinq ans au plus, l’autre je m’en souviens très bien une brune de mon âge semblait comme paralysée.
Mme X nous décrivit ce qui allait arriver. D’abord elle allait nous préparer pour que nous soyons présentables selon son expression à « ces messieurs ». Ensuite, nous serions, en quelque sorte, mises aux enchères pour servir « ces messieurs ».
Je compris que la plus jeune femme était là de son plein gré, c’était en fait une occasionnelle. L’autre femme comme moi était présentée par son mari . Mme X nous demanda de nous déshabiller et elle nous donna à chacune des tenues très sexy. Manifestement ces sous-vêtements avaient été choisis spécialement pour nous, car ils correspondaient tout à fait à nos tailles. Je fus pour ma part affublée d’un soutien-gorge à balconnet, d’une guêpière avec portes jarretelles, de bas et d’un string, le tout de couleur anthracite. J’avais gardé aux pieds mes souliers à talon haut qui exagéraient la cambrure de mes reins.
Une heure s’était passée depuis mon arrivée lorsque Mme X nous conduisit au premier étage. Je reconnus la pièce dans laquelle j’avais subi les deux hommes lors de ma première visite. Il avait au milieu de la pièce une estrade avec trois fauteuils, dans un coin brulait un feu de bois dans une cheminée que je n’avais pas remarquée la première fois. Une douzaine d’hommes se trouvaient autour de la cheminée. Chacun portait un masque, je reconnus parmi eux Paul à ses vêtements.
Mme X nous incita à monter sur l’estrade et là, elle nous demanda de prendre place chacune sur un des fauteuils en prenant des poses lascives et abandonnées. J’avais l’impression d’être une marchandise à la merci de ces hommes qui nous scrutaient de façon aigue et pénétrante.
La femme brune à coté de moi semblait ne pas apprécier du tout, quant à la plus jeune elle semblait à l’aise et se prêtait au jeu de l’exhibition sans retenue.
J’étais pour ma part, comme toujours, partagée entre la honte de se que je faisais et la curiosité. Au bout de quelques minutes, je vis les hommes qui levaient leur main de façon un peu aléatoire. Je compris qu’après qu’il s’agissait d’enchères, dont nous étions les objets.
Au bout d’un quart d’heure, Mme X me demanda de la suivre. Elle me conduisit au deuxième étage où je crus discerner plusieurs chambres. Elle m’introduisit dans l’une d’entre elle et me demanda d’attendre en me disant : « Vous avez remporté la première enchère, c’est un bon début pour vous, soyez maintenant à la hauteur… »
Quelques minutes plus tard, « l’heureux élu » entra. C’était un homme de forte corpulence, j’avais à peine eu le temps de le remarquer lors des enchères. En silence et avec brutalité, il m’enleva les quelques sous-vêtements que je portais. Il me dit alors :
« Couche-toi sur le lit et écarte. »
Il se déshabilla rapidement et plus de cent kilos de chair s’abattirent sur moi. Je fus soulevée, il avait relevé mes cuisses avec ses bras, et m’écartait à me faire mal. Il me pénétra avec violence et je dus, quinze minutes durant, subir ses assauts. Il éjacula finalement dans un râle bestial, et à bout de souffle, il me dit :
« Putain, tu es bonne, je te reverrai !»
Il avait gardé son masque tout au long de notre rencontre. Il se rhabilla et quitta la chambre sans un mot de plus. Dans la chambre d’à coté, je pus entendre quelques sanglots qui provenaient probablement de la femme brune. Je venais juste de me rhabiller lorsque Mme X entra dans la chambre. Elle me conduisit de nouveau au premier étage. Ce fut encore la séance des enchères, nous n’étions plus que deux, la jeune femme et moi-même.
Après dix longues minutes, je fus de nouveau reconduite dans la chambre. Quelques instants après on frappa à la porte, surprise j’ouvris la porte. L’homme était cette fois beaucoup plus svelte, avec des allures de gentleman et d’emblée il enleva son masque. Il me déshabilla avec beaucoup de délicatesse, puis il me coucha sur le lit et se mit à me caresser le clitoris tout en embrassant mes seins. Au bout de quelques minutes, je sentis monter en moi du désir.
« Tu coules », dit il en m’introduisant un, puis deux doigts dans mon vagin. Et soudain mon plaisir explosa. Il se déshabilla et vint s’étendre sur le lit à mes cotés. Je fus alors prise d’une envie très forte de lui faire plaisir à mon tour. Je mis son sexe dans ma bouche et doucement l’amena a sa taille d’érection. Je me mis à cheval sur lui et m’empalais sur sa verge. Je me mis à faire des mouvements de va et vient, prenant soin de contrôler son érection. Après plusieurs minutes, il me fit me retourner. De nouveau, je m’enfonçais sur lui, il avait une vision sans équivoque sur mes fesses et mes lèvres qui l’aspiraient à chaque remontée de mes reins.
Je l’entends encore dire : « Tu es magnifique, ton cul est beau, tu m’excites ! »
J’étais comme dans un état second, je ne me maitrisais plus. Je ne sais plus à quel moment nous avons joui en même temps.
Il est resté plusieurs minutes contre moi, puis m’a dit : « J’aimerai te revoir, j’habite Lyon, je t’appellerai, tu veux bien.
- Oui je veux bien », ai-je répondu.
La soirée s’est terminée ainsi lorsque Paul est venu me chercher dans la chambre une demi-heure plus tard. Alors que nous allions vers notre hôtel, il me tendit une enveloppe, il y avait à l’intérieur plusieurs centaine d’euros.
« Voila ce que tu as gagné, j’ai donné ton numéro de portable aux membres du réseau qui étaient présents ce soir, ils te contacteront.
- Et si je refuse de les voir qu’arrivera t il ?
- Rien, répondit Paul. Tu n’es pas obligée, mais je sais que tu iras à leur invitation ne serait ce que pour ton plaisir… »
Paul avait probablement raison, car à ce moment-là, j’étais toujours par amour pour lui, et aussi par curiosité, partagée entre l’envie de dire stop et l’envie de continuer ce que je considérais comme un jeu. J’allais être amenée a faire des choses dont je n’avais pas envie, je refuserai j’en étais sûre, je ne savais pas alors les conséquences que cela pourrait avoir pour moi , mais c’est la suite de mon histoire .
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Une Saint Valentin d'exception
En ce jour de Saint Valentin, je vous raconte l’une des mes plus belles expériences, le plus beau cadeau reçu, les plus grandes émotions ressenties ce jour-là…
Pierre, je le connaissais depuis que j’avais trois ans. Il avait un an de plus que moi. Nous étions des amis de vacances, de plage.
Cette année-là, pour mieux nous connaitre, nous sommes partis ensemble en stage aux Antilles, pour parfaire notre formation dans le tourisme.
Nous avions une journée de congé par semaine, dont nous profitions pour aller à la plage ou faire du catamaran.
Lors d’une de ces journées, je lui racontai le début de ma vie très débridée sur le plan sexuel, que vous connaissez déjà (cf. « les premières de Sophie »)
J’avais besoin d’en parler à quelqu’un. Dans un premier temps, il eut l’air vraiment scandalisé.
« Comment as-tu pu te laisser faire ? Tu n’as pas été élevée comme ça !
- Je sais, mais c’était trop bon. Tu as déjà fait l’amour à une fille ? » lui demandai-je en réponse à son indignation.
Il rougit, et j’eu ma réponse. Bien sur que non. Il était puceau…
Cette nouvelle amena immédiatement une chaleur intense dans le bas de mon ventre. J’eu envie de tout lui apprendre, là, maintenant… Je ne l’avais jamais regardé comme un amant potentiel, mais là, lui faire l’amour me paraissait d’une totale évidence.
Nous étions le 14 février, jour des Amoureux. Et même si nous n’étions pas un couple, je décidait immédiatement de lui faire un joli cadeau de Saint Valentin.
L’endroit n’était pas le mieux choisi… Un catamaran n’a rien de confortable, et la mer est assez fréquentée en cette pleine saison haute en Guadeloupe.. D’autorité, je pris la barre, et menait l’embarcation jusqu’à une petite crique, prés de Grande Anse, accessible uniquement par la mer. Pierre me demandait où nous allions, mais je restais muette. Nous avons accosté, j’ai sorti les serviettes du bateau, et les posait sur le sable.
« Viens ici, lui dis-je, tu vas comprendre pourquoi je me suis laissée faire ! »
Pierre rougit à nouveau, et en baissant les yeux, je vis qu’une jolie barre déformait son maillot de bain. Il bandait !
Sans attendre, je m’allongeais sur le sable, en tirant le jeune homme par les mains. Il chuta près de moi.
« On ne peut pas faire ça, nous ne sommes même pas fiancés !
Bon sang, il en était encore là !
- Pierre, tu ne vas pas rester puceau toute ta vie ! Comment feras-tu bien l’amour à ta femme le jour J ? Tu as 21 ans ! Il est plus que temps que tu connaisses les plaisirs de la chair… »
Il ne répondit rien, mais je voyais bien que, maintenant, son sexe avait de plus en plus de mal à rester dans le maillot. Le gland commençait à pointer hors du vêtement... Cette vision accentua mon excitation. Je n’avais jamais couché avec un puceau !
Il me fallait lui laisser un souvenir impérissable, qui hanterait sa mémoire pour toujours.
Nous étions donc allongés, seuls sur cette petite plage, le soleil commençait à baisser sur l’horizon, le décor idéal pour une « première fois. »
Je me tournais vers Pierre, lui saisissait le visage entre mes mains, pour lui poser un baiser très léger sur les lèvres… Nous nous sommes cherchés un long moment, jouant avec nos bouches, pointant une langue cuiseuse contre celle de l’autre… Notre long baiser se fit de plus en plus passionné. Le gourgandin apprenait vite ! Comme magnétisés, nos corps s’attiraient irrémédiablement, jusqu’à être comme soudés l’un à l’autre. Je sentais son sexe dur contre mon ventre. Ses mains passaient dans mon dos, de plus en plus tremblantes. Mes seins pointaient contre sa poitrine lisse. Je pris sa main, m’écartais un peu de lui, et la posais sur mon sein. Il l’enveloppa, le regarda comme un bien précieux. Ses yeux brillaient de mille feux. Il hésita un peu, effleura mon aréole, qui se durcit encore plus sous la douceur de la caresse. Sa main se fit plus ferme, comme j’aime. Il eut à nouveau une hésitation, et se pencha enfin pour mordiller ce sein bandé. Je poussais un soupir de contentement…
« Mhum, que c’est bon, n’arrête pas, prends-le entre tes lèvres, aspire, mordille, j’aime tellement ça… »
En élève docile, il obéit aussitôt. Sa main me caresse, se fait plus ferme, plus rude. Il apprend vite !
En fait, pour moi aussi, ca va être une première. Je me suis décidée à lui faire une fellation. J’ai toujours refusé, ca me dégoutait plus ou moins. Mais pour lui, dont le sexe est « pur », j’en ai envie. Très envie, même.
J’entame une longue descente de tout son corps, en l’embrassant de centaines de petits bisous, doux et rapides. Je le picore… ses seins sont sensibles, ma langue les agace, il sursaute. Du coin de l’œil, je vois que son mandrin a pris des libertés, et a jailli de son maillot. Il est beau, de bonne taille, de fines veines le parcourent tout du long. Le gland est brillant, luisant de son désir. Il est rouge-rosé, plus foncé que le reste du sexe.
J’accélère ma descente, maintenant, j’ai envie d’y poser ma langue.
Pierre semble comprendre ce que je prépare.
« Tu ne peux pas faire ça, c’est sale !
Il a la même réaction que la mienne, un an plus tôt.
- Laisse-toi faire, pour moi aussi, c’est la première fois. Mais je sais que tu vas aimer ! »
Je reprends ma progression, et me saisis du membre, qui se dresse de façon insolente, dans la lumière du soleil. Il est ferme, et tressaute sous mes doigts. Je les fais coulisser de bas en haut, doucement, tendrement, comme si je caressais un objet précieux. Sa peau est douce, et presque sans m’en rendre compte, je pose me lèvres sur le coté de sa hampe raide. Elles l’effleurent, le taquine, l’agace.. Puis je sors ma langue, et la pointe sur ce membre de plus en plus appétissant. Je le lèche comme un chiot laperait du lait. C’est bon, salé, avec un goût d’eau de mer et d’algues. J’aime beaucoup… Alors, je m’enhardis, et avale tout le gland. Il m’emplit la bouche, je suffoque un peu. Pierre gémit doucement, prononce des mots inaudibles. Son ventre se contracte sous l’effet du désir, du plaisir.
Moi aussi, je suis de plus en plus excitée. Je pivote, de façon à mettre mes jambes vers sa tête. Nous sommes tête-bêche.
« Caresse-moi, lui dis-je, passe tes doigts dans ma petite chatte. Elle a faim de toi… »
Il obtempère aussitôt, et ses doigts maladroits commencent à explorer mon intimité. Il est curieux, je le regarde un moment, il semble hypnotisé… Il examine de près ma chatte trempée. Depuis ce jour-là, j’aime énormément qu’on me regarde de très près, très en détail… Il continue son exploration, caresse mon clito, n’oublie aucun endroit de mon conin mouillé.
« Pourquoi es-tu mouillée comme ça ? Ca fait pourtant un moment que nous sommes sortis de l’eau !
Sa naïveté m’amuse : il ne sait donc rien du tout !
- C’est parce que tu m’excites, j’ai envie de toi. Quand une femme a très envie de son homme, son sexe s’humidifie, se lubrifie, pour mieux accueillir le sexe de son amant. Le nom savant est la cyprine. On parle aussi de mouille.
Il est très attentif à mes paroles, mais replonge les doigts et les yeux au fond de ma chatte.
- Si tu veux, tu peux faire comme l’homme de la plage, l’an dernier… passe ta langue sur mes lèvres… »
Une fois de plus, il hésite. Il me dira plus tard que c’était appétissant, et qu’il a eu envie de me lécher pour connaitre mon goût.
Cette fois-ci, il plonge sa langue, et la passe partout. Je reprends ma fellation, le suce de plus en plus fort. De sentir sa sève monter, et sa langue active dans ma chatte me provoque un premier orgasme, doux et puissant à al fois. C’est une sensation étrange…
Pour sa première fois, je ne veux pas qu’il jouisse dans ma bouche. Je serre très fort la basse de sa queue, pour ralentir son plaisir.
Je me dégage doucement de son étreinte, et viens me mettre sur le dos.
« Viens, c’est le moment... Prends-moi, viens me faire l’amour… »
Il s’allonge sur moi, en appui sur ses bras, J’attrape son sexe, et le guide vers ma chatte. Son gland cherche un peu l’entrée, mais la trouve, et d’un coup de rein, me pénètre profondément. Je suis tellement mouillée qu’il entre comme dans du beurre. Il s’affale sur moi, reprend son souffle, et commence à me limer doucement. Mais très vite, il accélère la cadence. Au bout de quelques trop courtes minutes, je sens son corps de raidir, il a comme un hoquet. Son sexe est secoué de saccades.. Il jouit ! Aucun son ne sort de sa bouche, puis vient un long râle de plaisir.. Je jouis presqu’en même temps que lui, son sexe bien planté au fond de moi. Il tombe sur moi, épuisé.
« C’est trop bon, ma puce… Comment ai-je pu me passer de cela tout ce temps ??? »
Il débande, sa queue sort toute seule de ma chatte. Il roule sur le côté, pour me laisser respirer. Avec ma main, j’attrape un peu de sa crème blanche.
« Tiens, goûte… après tout, c’est à toi ... »
Il fait une grimace de refus, mais je pose d’autorité son sperme sur ses lèvres. Il ne peut que l’avaler ! Je le goute aussi, la saveur est douce-amère, un peu âcre. La prochaine fois, je boirais tout !
La prochaine fois ne se fait pas attendre. Moins de cinq minutes près, il bandait à nouveau comme un turc.
Pendant des heures, bien après que la nuit soit tombée, nous avons fait l’amour, encore et encore. Nous n’étions pas rassasiés. C’était bon, doux, tendre, magique. Un bonheur comme je ne pensais pas en connaitre un jour…
Nous fûmes rappelés à la réalité par le phare puissant du bateau des secouristes. Ne nous voyant pas revenir, nos employeurs les avaient alertés. En bafouillant, nous avons invoqué une avarie de dérive. Le sauveteur, nous regardait d’un œil goguenard, il n’en croyait pas un mot.
« C’est bon, nous sommes heureux de vous retrouver sains et saufs. Mais ne recommencez pas, ca mobilise beaucoup de monde pour une partie de jambes en l’air ! »
Cette Saint Valentin était magique, au-delà de tout ce que j’avais imaginé. Jamais, ensuite, je n’ai retrouvé une telle émotion…
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Marcel, tu es gay ou bi ???
JE BANDE ET JE BANDE