Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les stagiaires du bout du monde - Chapitre III
Ainsi donc ma belle stagiaire voulait une formation accélérée. Deux modules en un, deux aspects de mes désirs en une séance… Le fétichiste des dessous et le sodomite cru. Je n'eus aucun mal à imaginer comment rendre la scène plus réaliste, plus excitante.
Anaïs m'avait donné le numéro de son bungalow en m'indiquant que je pouvais passer à toute heure.
« Je suis toujours disponible pour apprendre mon métier », m'avait-elle dit en me donnant aussi son téléphone.
Le lendemain, sur les coups de dix heures du soir, je décidai de frapper à sa porte. Mon scénario était déjà prêt. J'allais endosser le rôle du client insomniaque, stressé, tendu qui ne connait qu'une méthode pour retrouver le calme et le sommeil...
A mon grand étonnement, ce fut une blonde qui m'ouvrit. Marie, la collègue nouvellement arrivée d'Anaïs. Elle m'en avait parlé mais j'avais oublié cette information. Un rapide coup d'œil me suffit à la détailler : même taille que sa collègue mais un soupçon plus forte. Un bonnet et une taille de string en plus. De B à C, de 36 à 38. Mais l'idée générale était la même : une stagiaire des plus bandantes. Elle m'ouvrit avec un soupçon de méfiance dans le regard et dans son attitude.
« Bonjour, je suis un ami d'Anaïs. Je voulais savoir si elle était là...
- Un ami ? C'est vous le client de la plage ?
- Oui, en effet, c'est moi. »
Un sourire barra son visage. Les deux collègues partageaient certains secrets. Je commençais à entrevoir des choses fort intéressantes.
« Elle m'a beaucoup parlé de vous. Entrez, je vous prie. »
Elle fit demi-tour pour me guider vers le salon. Je pus admirer sa croupe. Son peignoir blanc laissait deviner l forme discrète d'un tanga. J'en avais déjà l'eau à la bouche. Elle me fit signe de m'asseoir en face d'elle dans le petite salon jouxtant leurs chambres.
« Anaïs n'est pas là. Je suis Marie, sa nouvelle collègue. Elle m'a expliqué que vous étiez là pour compléter notre formation de stagiaire, c'est cela ? «
J'eus une intense moment de jubilation intérieure. Anaïs m'avait déjà préparé le terrain avec cette blonde excitante.
« C'est tout à fait cela, mademoiselle. Je suis là pour vous parler des désirs et des envies de certains clients, ceux que l'on peut ranger dans la catégorie gros cochon, obsédé ou vicieux. J'espère que ces mots ne vous feront pas fuir...
- Oh je ne suis pas du genre à fuir les réalités de mon travail.
- Bien. Alors peut-être avez-vous envie, maintenant, d'une petite séance ?
- Toute seule ? Mais Anaïs n'est pas...
-Recommencez deux fois cette leçon avec deux stagiaires ne sera jamais un problème.
- Très bien. Alors dites-moi ce que je dois faire, je vous prie monsieur. »
Je bandais déjà. Marie, comme sa collègue, jouait parfaitement le rôle de la stagiaire.
« Alors, commencez par enfiler une jupe de tailleur clair, un chemisier blanc, des bas couleur chair et des dessous rouges puis revenez me voir.
- Je porte déjà des dessous rouges... je dois en changer ?
- Montrez-les moi, je vous prie. »
Elle écarta avec élégance son peignoir pour me révéler un tanga en dentelle rouge des plus sexys. Exactement le genre de lingerie que le fétichiste que je suis peut regarder des heures dans la vitrine d'une boutique, sur un mannequin.
« C'est parfait. Mettez le soutien gorge assorti à ce tanga et nous pourrons commencer la leçon. »
A son retour de la salle de bain, c'était une autre femme. Une stagiaire de grande classe, une jeune femme élégante dans un tailleur moulant ses formes avec délice. Elle était aussi bandante que sa collègue.
« Cette tenue vous plait-elle pour la leçon, monsieur ? me demanda-t-elle en passant ses mains sur ses fesses et ses seins, à travers l'étoffe de son tailleur.
- Vous êtes parfaite, mademoiselle. Alors, maintenant, laissez-moi vous expliquer la situation. Je suis un client stressé, qui ne dort pas alors qu'il a un gros contrat à concrétiser demain. Il a essayé la réception mais personne pour l'aider. Il a sonné chez son voisin de chambre mais pas de réponse. Alors il prend son courage à deux mains et va sonner chez la stagiaire qu'il a vu. Il se dit qu'elle pourra peut-être l'aider...
- Oh mais bien sûr, monsieur, enchaine-t-elle sans attendre. Que puis-je faire pour vous aider ? Vous voulez de l'aspirine ?
- Je vous remercie mais j'en ai déjà pris... je... j'ai une idée mais... cela vous choquera, demoiselle.
- N'ayez crainte, monsieur. Nous sommes des professionnels. Nous sommes là pour satisfaire nos clients.
- Bien bien. Alors voilà... voir une jeune femme porter des bas a un puissant effet calmant sur moi.
- Si ce n'est que cela, je peux vous aider, monsieur.
- Ah mais merci beaucoup, alors. »
Elle se redressa et releva lentement, délicatement, sa jupe de tailleur pour faire apparaître le haut de ses bas couleur chair. Cette vue me rendit fou. Des jambes à la peau blanche, des bas de qualité...
« Voyez-vous, mademoiselle, je vais déjà mieux. Je me calme. Merci beaucoup.
- Dois-je soulever la jupe plus haut, monsieur ?
- Oh avec plaisir mais je ne voudrais pas vous importuner.
- Allons, allons, monsieur. Le confort des clients passe avant tout chez nous. »
Et là, elle révéla son tanga, qui était encore plus beau avec une paire de bas non loin et l'étoffe d'une jupe qui en masquait une partie. J'étais devant une vue qui me troublait. Le fétichiste que j'étais savourait ce moment de jeu. Un beau tanga porté par une stagiaire excitante.
« Je ne sens presque plus rien ! C'est magique mademoiselle. Je crois que voir votre soutien gorge serait un petit plus non négligeable pour ma douleur...
- Avec plaisir, monsieur. »
Elle dégrafa son chemisier pour faire apparaître un délicieux bonnet C mis en valeur par un soutien gorge en dentelle rouge qui me subjugua. Je nageais en plein rêve avec cette poulette qui se déshabillait pour jouer à mes jeux. En fixant son tanga, je crus voir, sur la dentelle rouge, un endroit plus sombre. Marie commençait à tremper sa lingerie ? Cette tache semblait l'indiquer.
« Mademoiselle, vous êtes vraiment très professionnelle. Cela vous honore. J'aime vos dessous et votre serviabilité. Puis-je encore abuser de vous ?
- Que dois-je faire ?
- Pourriez-vous aller prendre deux strings de votre amie Anaïs ? J'aurais un petit jeu à effectuer avec. J'en ai pour une seconde... »
Et elle se tourna encore pour aller dans la chambre de sa collègue.
« Non, arrêtez-vous là, mademoiselle... Votre cul est un spectacle magnifique. Je voudrais en profiter. »
Je l'entendis sourire d'aise. La dentelle du tanga était un régal à voir disparaître entre ses fesses. Je lui demandais de se cambrer, de passer un doigt sous la dentelle, d'ouvrir ses fesses pour que je vois bien les motifs du tanga s'imprimer sur son entre-jambe. En la voyant ainsi s'exhiber devant moi, je pus constater ce que j'avais vu quelques instants auparavant : cette stagiaire trempait sa lingerie. L'étoffe de son tanga était sombre de cyprine là où elle était en contact avec ses lèvres.
Elle revint de la chambre de son amie avec deux beaux strings en dentelle, un noir et un blanc. Je la mis a genoux devant moi. Je lui fis sortir ses deux seins des bonnets de son soutien gorge. je lui fit enrouler les strings autour de ses mains pour, ensuite, se caresser les pointes avec les strings de sa collègue.
« Pouvez-vous vous caresser la chatte à travers le string avec une main et le visage avec l'autre main ? »
Elle s'exécuta après m'avoir regardé avec dans les yeux une lueur de plaisir qui me donna envie de me surpasser pour elle et sa collègue. Une jeune femme en train de jouer avec son corps et les dessous d'une autre... Je n'en pouvais plus. J'étais aux anges devant cette vision d'une sensualité, d'un fétichisme excitant.
« Mademoiselle, devant tant de professionnalisme, je me vois dans l'obligation de sortir ma queue pour me toucher devant vous. Cela vous convent-il ?
Oh mais faites, monsieur. Je suis à votre disposition. »
Ce fut à ce moment là qu'Anaïs fit entendre le bruit de sa clé dans la porte...
Bourgeoises en Gang bnag
Avertissement :
Cette histoire fictive est vraiment très hard. Elle pourrait en choquer certains. Je m’en excuse à l’avance, et souhaite que vous ne m’en teniez pas rigueur. Mais parfois, j’ai envie d’écrire des choses violentes…
Ma mère et moi nous avions décidé d’aller faire les soldes entre filles. Les mecs, par définition, n’aimant pas trop faire les magasins, c’est bien connu, ma mère, Suzanne, avait donc accepté de bon cœur. Mon père étant de toute façon à son travail. Moi, j’avais fait de même avec mon jeune époux, je suis marié depuis à peine quelques mois. Je m’appelle Clara, j’ai vingt-cinq ans, je suis brune, pas très grande, mais il parait que je suis canon d’après les critères masculins en vigueur. Je suis professeur de maths dans un lycée de la région parisienne. Mon mari est flic. Ma mère, Suzanne, cinquante ans, est directrice de banque. Elle est encore une belle femme, elle prend soins de son corps, les revenues confortables de mon père, qui dirige une entreprise de BTP lui permette un train de vie confortable. Elle habite dans une ville bourgeoise de la région.
Nous avons donc pris le métro pour nous rendre à Chatelet les Halles, quartier de Paris, pour ceux qui ne connaitrait pas, ou l’on peut faire de bonnes affaires pendant les soldes. Nous commençons à déambuler dans la rue. Quelques regards masculins s’attardent sur nous. Ma mère est habillée d’une jupe courte violette sur des bas noirs. La hauteur de ses talons allonge encore ses jambes. Pour ma part, j’ai enfilé une tunique sur un leggins et des bottes à talons. Nous tournons à droite et nous nous retrouvons rue Saint-Denis, célèbre rue de Paris mondialement connue pour ses prostituées. Ce qui n’est plus tout a fait vrai de nos jours du reste. On y trouve encore des sex-shops mais surtout des boutiques de fringues. Il n’est pas rare de rentrer dans une parfumerie ou une boutique de prêt-à-porter coincée entre deux sex-shops ce qui est assez surprenant.
Nous croisons un groupe d’une dizaine de jeunes, composés de blacks et de maghrébins, qui me jettent un drôle de regard. Il me semble les reconnaitre, ils sont dans mon lycée je crois. Un est dans ma classe en tous cas, je le reconnais et il me fait un signe de tête. Maman et moi nous continuons et on entend des sifflets derrière nous. Ma mère grince des dents :
« Ces jeunes, aucune éducation ! »
Nous dépensons notre argent dans divers magasins, faisant chauffer la carte bleue ! Nous avions l’intention d’acheter de la lingerie sexy et nous rentrons dans une boutique. Nous restons interloquées quelques secondes aussi étonnés que le gérant qui nous dévisage. En fait d’une boutique de lingerie, ce serait plutôt un sex-shop. La devanture plutôt soft nous a induits en erreur. Ma mère ouvre les yeux devant l’étalage de godes et de DVD pornos. Il y en a pour tous les gouts ! Gang-bang, SM, zoophilie…Des sous vêtement sexys, il y en a. Des tenues de soubrettes ou d’infirmières, pour pimenter les soirées… Des porte-jarretelles en vinyles, des bas résilles et même des escarpins vernis aux talons incroyablement hauts a tel point que même ma mère qui a pourtant l’habitude des talons aiguilles me demanda comment c’était possible de marcher avec ca…
Nous nous regardons et rouge de honte, nous pouffons et nous faisons aussitôt demi-tour pour sortir du sex-shop. Nous nous retrouvons bloquées par le groupe de jeunes que nous avons croisé tout a l’heure ! Mohamed, mon élève, s’approcha de moi, un sourire ironique sur les lèvres ! Tu m’étonnes ! Je me mets a sa place, il doit saliver ce petit con, surprendre sa prof dans un sex-shop avec sa mère… Maman me jette un regard inquiet mais nous avançons vers la sortie. Le gérant n’a rien dit… Mohamed m’attrape par le bras…
« Ben, ne partez pas déjà, Madame. Faut acheter un truc à Roger quand même !
Comprenant que Roger est le gérant, je lui jette un regard hautain et lance :
- Certainement pas !
Ma mère renchérit :
- Ca suffit maintenant, laissez nous sortir ou on appelle la police !
Un grand black, impressionnant, s’approche de ma mère, la poussant vers la caisse de Roger…
- T’entends ca Roger, ce n’est pas gentil ce qu’elle dit la bourge ! »
Nous sommes vite entourées ma mère et moi par tous ces jeunes… Je commence à paniquer sérieusement, je pousse un cri ! Une main c’est posés sur mes fesses… J’entends maman crier aussi. Du coin de l’œil, je l’aperçois en train de se débattre au prise avec trois blacks qui tentent de remonter sa jupe. Ils y arrivent et ils sifflent en découvrant les bas auto-fixant …Roger arrive a son tour.
« Ces bourgeoises, toutes des salopes, je suis sur qu’elles ont fait exprès d’entrer dans mon sex-shop !!! »
Protestations vaines de notre part. Mohamed me donne une claque sur mes fesses et soulève ma tunique.
« Depuis le temps que tu nous fais bander en classe avec tes jupes courtes, tu vas y passer ma chienne ! Tu ne t’en doutes pas mais on te filme régulièrement en cours avec nos téléphones portables, surtout tes jambes et ton cul et on met les films sur internet ! »
Horrifiée d’apprendre cela, je tente de me dégager. Mohamed me tire par les cheveux et me met a quatre pattes sur le sol, il baisse d’un coup sec mon leggins et je pousse un cri. Il ricane en découvrant mon string en dentelle qu’il écarte, introduisant un doigt dans ma fente…
On ramène maman, échevelée, apeurée, devant moi. Ses seins sont déjà à l’air et des mains noires n’arrêtent pas de les malaxer. Maman, le visage ravagées par les larmes hoquète.
Une bite noire se présente devant sa bouche et elle tourne la tête en criant. On la force à engloutir ce sexe énorme et elle doit accepter le chibre dans sa bouche. Elle commence à pomper la bite, la mâchoire déformée par l’épaisseur du membre. Les doigts fouillent mon intimité sans douceur. Je ne suis plus qu’un objet pour mon élève. Mohamed fébrilement se défait et sort un sexe d’un calibre impressionnant, je tente d’esquiver mais une main puissante me force à courber la tête et avaler sa queue. Je me retrouve comme maman à sucer cette bite dure et gonflée qui m’étouffe. Les larmes aux yeux, je salive sur la bite de mon élève…
« Putain ! Quelle salope, vas y, suce bien ma bite… »
Ma mère pompe elle aussi la queue, j’entends ces protestations étouffées. On lui claque le cul quand elle proteste trop.
Roger, le gérant du sex-shop a sorti des godes, des menottes, des colliers et des laisses. Nous devons arrêter maman et moi nos fellations et nous nous retrouvons avec un collier en cuir autour du cou, une chaine attachée a un anneau. Maman, tenue en laisse par un des black doit faire le tour du sex-shop a quatre pattes, filmées par les téléphones portables, ils prennent tous des photos. Je dois reprendre ma fellation. Mohamed se retira, la bite dressée, et une autre queue s’engouffre dans ma bouche ne me laissant même pas le temps de respirer. Maman, a genoux, tenue en laisse par un des jeunes, suce sa bite en faisant des bruits de sucions obscènes… Elle prend la bite à pleines mains, le branle puis lui titille le gland avec sa langue. Pendant qu’elle suce, les autres l’obligent à leur branler leurs bites.
Je suis renversée sur le dos et Mohamed plonge sur ma chatte. Je sens sa langue m’aspirer le clitoris. Ma mère subit vite le même sort. A quatre pattes, un black derrière elle lui bouffe la chatte. Maman pousse un cri et secoue sa tête dans tous les sens. Le gérant lui présente sa bite qu’elle avala sans rechigner.
Je donne des coups de reins, répondant aux coups de langue de mon élève. Je gémis.
« Tu prends ton pied ma salope !
- Sa mère aussi, une vraie chienne… »
Maman s’active sur le sexe du gérant, pompant toutes les bites qui se présentent à elle. Un des jeunes se positionna derrière elle et l’enfourna. Elle poussa un hurlement. Les mains solidement accrochées aux hanches de ma mère, il commença à la pilonner comme un fou. Ses seins ballotant sous les coups de reins, maman continue de sucer la bite du gérant.
Mohamed releva mes jambes a la verticale et me pénétra, je sursautais sous l’intromission. Ses hanches s’agitent, je sens sa bite aller et venir, me perforant…Un autre black m’a pénétré la bouche de son sexe et je le pompe avec frénésie.
Il éjacula rapidement lâchant son sperme dans ma bouche. Je fus retournée à quatre pattes, tenue par la laisse et de nouveau pénétré par une autre queue. Mon corps secoué par les assauts de mon violeur, j’halète.
J’entends un hurlement déchirant ! Maman, à quatre pattes, jupe tirebouchonnée autour de la taille, se fait branler par deux jeunes. L’un a enfoncé quasiment toute sa main dans la chatte de ma mère et l’autre agite rapidement deux doigts dans son cul.
« Tu t’es déjà fait enculer la vieille ? lui crie-t-il. »
Maman refuse de répondre et gémit…
Quelques fessées (bien que cela soit interdit maintenant !) la ramène dans le droit chemin…
« Non, non…bafouille-t-elle. Jamais !
Éclats de rire général.
- Ben tu vas y passer la bourge ! »
Cri désespéré de maman…
Le grand black, une bite énorme dans la main s’approche du trou du cul de ma mère qui gigote pour tenter d’échapper à la pénétration. Il posa l’extrémité de son gland sur l’ouverture des reins et il poussa en s’agrippant aux hanches de ma mère, faisant rentrer la moitié de sa bite. Il attendit un peu permettant à ma mère de s’habituer et donnant un dernier coup de reins, il enfonça tous le reste dans le cul de maman. Il commença à la pilonner d’abord doucement puis de plus en plus vite, la défonçant brutalement malgré ses cris et ses supplications.
Toute la scène a été filmée…
Quand à moi, je me retrouve empalée sur une bite et enculée par une autre pendant que je dois sucer une troisième bite. Filmée en gros plan.
Je suis relevée et courbée sur le comptoir et pénétrée par une queue. Je sens le ventre de mon tourmenteur claquer contre mes fesses. Sa bite s’enfonce dans ma fente.
« Ha la la, quelle chienne, tu vas nous obéir a partir de maintenant ! Avec toutes les photos que l’on a et les films, toi et ta mère vous allez devenir nos putes… »
Je frémis…
Maman aussi proteste…
« Non, non je vous en supplie, ne faites pas ca ! »
Nos cris et nos gémissements se mélangent. Les salauds nous obligent à nous mettre à genoux l’une à coté de l’autre et se branlant au dessus de nos visages, ils éjaculent, nous aspergeant de leurs foutres.
On joua et on abusa de nos corps pendant des heures. On nous enfonça différents godes de différentes tailles dans nos chattes et nos culs. Maman fut même obligée de me branler avec un gode. Sous les éclats de rire de nos agresseurs. Moi, je dus lui sucer la chatte. On nous obligea à nous déshabiller entièrement et nous habiller avec des déguisements. Soubrette pour maman : mini robe noire avec un tablier blanc, bas résilles et chaussures aux talons d’au moins seize cms.
Écolière pour moi : micro-jupe plissée écossaise dissimulant à peine mes fesses, un chemisier blanc trop ajustée, mes seins débordant du décolleté, bas blancs montant très haut et chaussures vernis à brides mais a talons hauts. Ils poussent même le vice jusqu'à m’obliger à me faire des couettes… Nous avons gardé notre collier et notre laisse…
« Nous allons sortir, lance Mohamed, les emmener dans d’autres sex-shop, elles vont faire le show et nous rapporter un paquet de pognon !!! »
Nous crions ma mère et moi, et nous sommes aussitôt bâillonnées par une boule en latex que l’on nous enfonce dans la bouche attachées par une lanière derrière la tête… Nos cris se transforment en gémissements. Maman et moi nous nous regardons, la mâchoire déformée par la boule…
Nous sortons du sex-shop, la nuit est tombée. Nous avançons dans la rue Saint-Denis, tenues en laisse, dans nos déguisements de putes ! Les passants nous dévisagent étonnés mais aucuns ne réagit. Nous allons de sex-shop en peep-show, nous faisant baiser par les patrons et les clients, trop contents de l’aubaine ! A chaque fois, Mohamed encaisse les gains et nous avons du succès. Surtout quand Mohamed explique que nous sommes deux bourgeoises, la mère et la fille, venues s’encanailler… Nous suçons des centaines de bites, je suis enculée un nombre incalculable de fois. Maman subit des gangs-bangs monstrueux… On se branle entre ses seins et on lui éjacule dessus. Son visage est maculé de sperme… et je ne suis pas mieux !
Plus de deux heures plus tard, le corps repus, haletantes, en sueur, du sperme gluant dans les cheveux et sur nos visages, les habits déchirés, Mohamed et ses complices nous conduisirent à leurs voitures. Inquiète, je demandais s’ils nous ramenaient chez nous. Mohamed éclata de rire !
« Tu rigoles ! On va dans la cité, on a des potes à vous présenter ! »
Dans la voiture qui nous amène, ma mère et moi, dans la cité de Mohamed et ses ignobles complices, c’est l’enfer… On nous a contraintes à remettre nos bâillons-boules dans la bouche, nous empêchant d’émettre le moindre son. Nous sommes à l’arrière et pendant le trajet, maman et moi nous subissons des attouchements de plus en plus pervers… Maman, a les seins à l’air, ils sont malaxés sans vergogne par un black et un autre jeune. On lui suce les tétons, on les pince, on farfouille sous sa micro robe de soubrette et des doigts s’infiltrent dans sa chatte. Elle gémit à travers son bâillon. Pour ma part, je suis dans la deuxième voiture, et l’on m’enfonce dans la chatte toutes sortes de godes, me branlant avec tout le long du trajet…
Cette histoire n'est pas finie. Je publieai la suite très bientot... Enfin, si vous le souhiatez ! Sinon, j'arrete là...
Le roman de Nulaï, chapitre IV
Chapitre IV - Nulaï entre dans le monde des voyages.
Comme il faut bien commencer un jour par quelque part, Nulaï décide de partir pour l’Autriche.
Départ tôt le matin avec sa voiture, une vieille 4 CV Renault. La route est longue, mais aux cotés de son amie, il imagine toutes les dépravations auxquelles ils vont se livrer dans les jours qui suivent…
Une fois arrivé dans les Ardennes, un brouillard à couper au couteau l’enveloppe. Plus tard, en Allemagne, il arrive enfin à sa ville d’étape. Il y passe une première nuit très calme avant de repartir pour l’Autriche.
La route a été longue et la petite voiture a bien du mal à gravir les cols. Nulaï apprend vite les règles de conduite en montagne. Enfin, quand il arrive dans la plaine autrichienne, il n’est pas loin de midi. Il décide de faire une halte dans une petite auberge ma foi, fort sympathique, qui fait la publicité des fameuses truites de la région, avec un bon vin idoine.
La serveuse porte une jolie robe avec le corsage décolleté en carré, orné de dentelle. Tout ce corsage est tenu par un lacet sur le devant. Elle porte aussi des gros bas de laine, notre autrichienne ne portait pas de soutien-gorge. En se penchant pour servir Nulaï, il peut voir l’entièreté de ses seins, ma foi fort jolis, deux petit obus. Elle a remarqué son regard sidéré, car elle a eu un petit sourire amusé. Le plat servi est joliment présenté, la truite est posée sur le ventre elle forme un S, comme si elle nageait.
A la fin du repas, elle demande si c’était bon. En se penchant encore pour servir, donnant de nouveau la vue sur ces nichons, Nulaï ne saura jamais si elle parlait du repas, ou de la vue qu’elle lui offrait sur sa belle poitrine.
Toujours est-il que cette serveuse a provoqué une bonne érection chez Nulaï, sevré de sexe depuis de longues semaines. Il éprouve le besoin impérieux d’aller se masturber aux toilettes.
Il ne sait pas si Line a vu le manège, de la serveuse, mais il est bien décider à la baiser dans les règles à l’étape du soir. Il est trop en manque !
Mais Nulaï de comprend pas très bien l’allemand, et il se trompe de porte. Il atterrit dans la cuisine, où, justement, la serveuse se trouve. Il essaie de lui expliquer ce qu’il veut, mais il a le malheur de montrer sa braguette. La serveuse remarque de suite la bosse que fait celle-ci. Sidéré, Nulaï voit sa main qui pour le toucher. C’est un peu trop pour Nulaï, vu son état de manque…
Il ne lui laisse pas le temps d’arriver à son but, il ne faut pas jouer avec le feu !
Il pousse doucement la serveuse vers la table de cuisine. Comme elle ne peut pas reculer, elle bascule sur la table, en poussant des « non, non, » en allemand. Nulaï dégage prestement sa verge et dirige la main de la serveuse. Elle empoigne le membre, le serre bien fort, et commence un mouvement de masturbation. Pour quelqu’un qui dit non, elle y met plutôt du cœur !
« Ah non, pense Nulaï, elle ne va pas s’en tirer si facilement, cette salope d’allumeuse ! »
Il fait rapidement le tour de la table, et présente sa bite, devant la bouche de la serveuse. Elle veut encore protester, mais il tire sa tête par ses cheveux. Elle veut crier, ouvre la bouche à cet effet. Vicieusement, Nulaï en profite pour introduire sa queue. Malgré elle, elle doit engloutir le membre raide. Il glisse ses deux mains dans le joli corsage et empoigne les deux petit obus qu’il malaxe fermement. Sous l’effet de cette caresse, deviennent vite dur.
A ce moment, un des serveurs, entre dans la cuisine, regarde la scène et sans hésiter, sort sa bite pour commencer à se masturber.
Puis il avance, trousse la robe de la serveuse, écarte son slip, commence à lui caresser la chatte. A voir l’air satisfait de la jeune femme, Nulaï pense de suite : « elle mouille la salope ! »
Le type la pénètre avec sa bite sans autre forme de procès, il l’empoigne par les fesses et la pistonne rapidement et violemment. Ce spectacle excite encore plus le jeune home, si c’est possible.
Il tire sur le nœud du lacet et ouvre le corsage, la vue des seins aux pointes bien dressée le fait bander encore plus dur. Il malaxe énergiquement ses seins et active son mouvement dans la bouche accueillante. Il finit par se lâcher en longs jets. Elle avale tout cette salope ! Le serveur continue de la besogner à grands coups de reins rageurs, jouit en criant dans la chatte bien ouverte.
C’est sur cette dernière vision que Nulaï part sans rien dire rejoindre Line.
Elle lui demande pourquoi il est resté si longtemps aux toilettes, Nulaï lui réplique : « Je te raconterais ce soir ! Je vais t’exciter, ma puce, tu verras ça ! »
Après le dîner et encore 200 Km, Nulaï parvient enfin à son hôtel de séjour, une sorte de chalet en bois, niché dans la montagne.
Nulaï constate très vite que la cuisine n’est pas terrible en Autriche. Il ne trouve à manger dans cet hôtel, uniquement de la soupe au chou, des beaux gâteaux mais sans sucre.
Le soir venu, Line le presse de questions : « Raconte-moi vite ce qu’il s’est passé à midi ?
- Allons au lit, dit Nulaï. Comme je sais maintenant par expérience, que l’histoire de sexe te donne envie d’être baisée…
Line répondit par un petit rire qui en disait déjà long sur ces intentions.
- Je me suis fait faire une pipe par cette pute de serveuse, tu as vu comme elle montrait ses nichons ? Et quand elle me pompait le dard, un serveur est entré, et il l’a baisée comme ça, sur la table, sans rien dire. Elle se tordait de plaisir, la salope. J’aurais bien aimé la baiser aussi. Mais je t’ai toi…
- Oui j’ai vu dit Line, j’espère que tu as encore de la réserve pour moi !
Nulaï commence déjà bien sur de s’occuper des seins de Line.
- Toi ma douce, ajoute Nulaï, tu vas faire la chienne comme tu aimes... »
Line se tourne rapidement, et se met en chien de fusil. Il est facile alors pour Nulaï de la prendre sans tarder en levrette. La petite aventure de son ami l’a excitée, elle mouille beaucoup. Nulaï voit la cyprine couler entre ses cuisses. Sa chatte brille de son plaisir naissant.
Il la pistonne dans cette position un bon moment en la tenant par ses seins. Il les malaxe à mort.
A chaque coup de queue, Line suit le mouvement en ondulant de la croupe, Nulaï fini par jouir en grosses saccades chaudes. Line suit bientôt, en hurlant des cris à réveiller tout l’hôtel…
Ils recommenceront trois fois dans la nuit. Nulaï prendra son amie dans toutes les positions. Il arrivera même à la sodomiser bien profond…
Nulaï visite un château du roi Louis II de Bavière la réplique du château de Versailles, une débauche de dorure, la galerie des glaces, le parc à la Française.
Puis, non loin, ce trouve le fameux nid d’aigle d’Hitler, de la villa il ne reste rien, elle a été détruite par l’aviation anglaise.
Mais il reste toutes les galeries, creusées dans la montagne, galeries qui descendent dans la vallée, et conduisent aux habitations occupées par les nombreux dignitaires nazis.
Vu ce que leur raconte leur beau guide, Nulaï et Line imaginent les orgies qu’ont du connaître ces lieux, lors des banquets décadents offerts par le nazi à moustache….
Et ils en feraient bien autant avec le bel autrichien au cul bien ferme dans son pantalon vert…
- Commentaires textes : Écrire
Petit dico amusant des "perversions" sexuelles
J’ai trouvé cette liste amusante, et je vous invite à découvrir quel « pervers » vous êtes… Harpaxophile ? Somnophile ? Ou peut-être bouboupiste ??? A vous de trouver, et de le dire !!!
La zoophilie, du Grec ancien ζωον (zôon, « animal ») et φιλία (philia, « amitié » ou « amour »), est l'attirance sexuelle d'un être humain pour un ou plusieurs animaux. Elle est éventuellement affective, étymologiquement parlant. Généralement considérée comme une déviance ou une perversion sexuelle, elle devient véritablement une paraphilie si elle remplit ces critères ; bien qu'elle ne soit plus listée depuis 1980 dans le Manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (DSM), la référence américaine et mondiale psychiatrique en matière de pathologies mentales.
Apparu au XIXe siècle, le mot zoophilie provient de racines grecques. Il était autrefois connu sous le nom de « bestialité ». Aujourd'hui ce terme est souvent utilisé pour désigner le passage à l'acte sexuel effectif qui peut découler d'une attirance zoophile. On parle aussi d' « actes zoophiles ».
La liste des différentes attirances étant longue, les suivantes ne sont que définies :
L'acomoclitisme, ou l'attirance sexuelle pour les pubis rasés.
L'acrotomophilie, ou l'excitation par l'idée d'avoir des relations sexuelles avec une personne amputée.
L'apodysophilie, dans laquelle le sujet éprouve le besoin de se déshabiller entièrement et de se montrer nu dans n'importe quel endroit.
L'asthénéophilie, ou excitation sexuelle provoquée par le fait d'être malade.
L'autonepiophilie est l'attirance sexuelle pour les couches-culottes et par le désir d'être traité comme un enfant.
L'axilisme, ou l'attirance sexuelle pour les aisselles.
Le bouboupisme : excitation provoquée par le pincement des tétons par un partenaire ou par soi-même
Le candaulisme : excitation provoquée par le spectacle d'une relation sexuelle de son partenaire habituel avec une tierce personne (ou plusieurs).
La chronophilie, ou l'attirance pour un partenaire d'âge complètement différent
La cryophilie, excitation due au froid.
La dendrophilie, excitation sexuelle provoquée par le fait d'avoir des relations sexuelles en contact avec les arbres et les plantes.
L'échangisme, ou la sexualité de groupe avec échange de partenaire.
L'émétophilie, ou l'excitation sexuelle pour le vomi.
L'excessivophilie, ou l'excitation sexuelle provoquée par des pratiques à l'origine « normales » mais portées à un degré excessif.
L'exobiophilie, ou le fantasme d'avoir des relations avec une créature extraterrestre. (cf Alien)
Le fist-fucking, ou l'insertion de la main ou du poing fermé dans le vagin ou l'anus.
La gérontophilie, c'est-à-dire l'attirance sexuelle pour les personnes âgées.
Le godivisme, pulsion conduisant à s'exhiber à cheval et qui peut être considérée comme l'une des formes de l'apodysophilie. Par extension, amateur/voyeur de cavalières nues (le mot est construit en référence à la légende de Lady Godiva). L'exhibition à bicyclette peut être considérée comme une forme de godivisme.
L'harpaxophilie, ou l’excitation sexuelle à l’idée d’un vol.
L' hybristophilie, (du grec hybrizein, « commettre un outrage contre quelqu'un » et de phile, « qui aime »), ou l'attirance pour les personnes ayant commis des crimes (vol, viol, meurtre).
L'hygrophilie (comprenant la nasomycinophilie, la dacryphilie, la salirophilie, l'urophilie, la coprophilie, etc.), ou l'attirance pour les sécrétions corporelles humides, gluantes ou visqueuses.
L'infantilisme, ou l'excitation ressentie en jouant le rôle d'un enfant ou d'un bébé.
La knismolagnie, ou excitation sexuelle par des chatouilles.
La lactophilie, ou l'attirance sexuelle pour les femmes allaitantes.
La maïeusophilie, ou l'attirance sexuelle pour les femmes enceintes.
Le mélangisme, ou la sexualité de groupe sans échange de partenaire.
La météorophilie, ou excitation sexuelle provoquée par le fait d'être suspendu.
La nanophilie, ou l'attirance sexuelle pour les gens de petite taille.
La nécrodendrophilie, ou l'excitation provoquée par les actes sexuels en contact avec les arbres morts.
La pédiophilie, ou l'attirance sexuelle pour les poupées, les ours en peluche et autres jouets zoomorphes ou anthropomorphes.
La podophilie, ou le fait d'être excité par les pieds.
La pygmalionisme, ou le fétichisme des statues.
La schoïnopentaxophilie, ou l'attirance pour les cordes de pendus.
La scopophilie, ou l'attirance fortement marquée pour tous les spectacles sexuels : en support média (revues, cinéma, vidéo, internet, …) ou en réel (strip-tease, peep show, …) ; le scopophile ne cherche pas à se cacher ni à surprendre et se distingue en cela du voyeur.
La sitophilie, ou l'utilisation de la nourriture à des fins sexuelles.
La somnophilie, excitation érotique provoquée par une personne qui dort, attirance sexuelle pour cette personne.
La spermophilie, attirance sexuelle du sperme (et par extension de sa manipulation et de son ingestion).
La tératophilie, ou l'attirance pour des êtres socialement considérés comme difformes, monstrueux, voire inhumains.
La trichophilie, ou l'excitation sexuelle par les poils, les cheveux.
La trimammophilie, ou le fantasme de la femme à trois seins.
Le vampirisme, ou excitation sexuelle provoquée à l'idée de sucer le sang de son/sa partenaire (ou vice versa) pendant l'acte sexuel.
La vorarephilie (ou voraphilie), excitation sexuelle à l'idée de manger une autre personne ou d'être mangé(e) par elle.
Source wikipedia ; Richard von Krafft-Ebing Psychopathia Sexualis I,II et III ; Gaëtan Gatian de Clérambault Archives d’anthropologie criminelle ; Esquirol, Des maladies mentales, tom. XIV, p. 32 ; Paris, 1828
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La juge d'application des peines
La juge d’application des peines, Claire, belle blonde de vingt-huit ans, arrive à la prison, suite à une agression par une détenue, sur une gardienne âgée de trente-quatre ans. C'est Lise, une jeune métisse de vingt-deux ans, qui serait responsable. Elle devait être libérée demain.
Claire arpente le long couloir qui mène à la salle d'interrogatoire, accompagnée de la gardienne en chef.
« C'est quoi, ces cris ? demande la juge.
- Ah, c'est rien, c'est une nouvelle qui est là depuis trois jours. Une ancienne mannequin, très jolie fille, mais récalcitrante. On l'a mise avec la doyenne, Nina, une black de cinquante ans. Tous les jours, elle lui donne une fessée pour la mettre aux plis. Des fois, elle la gouine, jusqu'à ce qu'elle hurle de plaisir.
- Et vous ne dites rien ? A bon ! »
Claire est malgré tout surprise de cette façon de faire…
Elle arrive dans la salle d’entretiens, Lise y est déjà installée. L'interrogatoire peut commencer.
« Alors, racontez moi comment çà c'est passez, et dans les moindres détails, compris ?
- Dans les moindres détails ? demande Lise. D'accord. Je me rendais aux toilettes, quand j'ai entendu des bruits qui provenaient de la réserve. Je pousse la porte, et j'aperçois, Lily, ma collègue de cellule, et Anne, la gardienne, en train de s'embrasser. Quand elle m'a vue, elle a fait mine d'écarter Lily, en la poussant assez violemment. Je l'ai prise par derrière pour lui bloquer les bras. C'est là que j'ai vu que sa chemise était ouverte, et qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.
« Lâchez-moi, disait-elle, ça va ne pas se passer comme ça ! Je vais faire un rapport ! »
Lily s'est sauvée, et c'est là que j'ai pété un plomb. Je n'ai pu m'empêcher de caresser ses seins rebondis. Vous vous rendez compte, peloter une gardienne ???
- Ah bon ? Et qu'elle réaction elle a eu ? demande Claire, troublée malgré elle.
- Elle acceptait les caresses, c'est même elle qui a quitté sa chemise.
- Ce n’est pourtant pas ce qu'elle raconte, poursuit la juge. Elle vous accuse d'avoir abusé d'elle. Et après, comment ça c'est passé ?
- Après, j'ai entendu un zip. Elle venait d'ouvrir la fermeture éclair de son pantalon. Elle m'a pris une main, et l'a glissée entre ses cuisses.
« Vas-y, me dit-elle, çà me gratte là, soulage-moi, tu sens comme ma chatte est mouillé ? Et mon clitoris, décalotte-le, s'il te plait. Tu dois avoir l'habitude de faire ça en prison, salope comme tu es… »
Je l'ai doigtée pendant dix minutes. J'ai été obligée de mettre une main devant sa bouche, tellement elle criait. Elle a eu un orgasme terrible, puis elle est partie subitement.
« Mon dieu, mais qu'est-ce-que j'ai fait, pleurait-elle. »
- Ensuite.
- J'étais dans un tel état, que je me suis branlée sur place. Il fallait que je me fasse jouir. Je me suis enfoncé les doigts bien profond dans ma moule baveuse, et je me suis quasiment fistée moi-même. J’ai joui en criant, pour que tout le monde sache ce que je faisais…. Quand je l'ai croisée en regagnant ma cellule, elle me regardait sévèrement. J'ai compris qu'il fallait que je la ferme.
- Je comprends mieux maintenant », dit la juge, de plus en plus troublée par ce déballage de sexe bien chaud.
Elle est même excitée par le récit. Elle avale difficilement sa salive. Elle sent une agréable chaleur envahir ses entrailles, au point de mouiller légèrement sa culotte. Elle ne peut pas rester comme ça.
« Allez, on fait une pause, dit-elle, je vais aux toilettes. Je vous ramène un café ?
- Je veux bien, répond Lise, merci. »
Une fois aux toilettes, elle essuie son entre-jambe. Elle ne peut s’empêcher de faire glisser son index sur ses lèvres gorgées de désir. Elles sont trempées, et elle a une folle envie de baise bien hard… Elle ôte son string, le plie dans du papier WC, et le met dans la poche de sa veste. Elle passe au distributeur, et prend deux cafés.
« Bon, reprenons », dit Claire, tentant de se maitriser.
Lise remarque de l'hésitation dans la voix, elle sent le trouble envahir la jeune juge. La table qui les sépare, est étroite. Elle tente le tout pour le tout. La juge semble si chaude…
Elle quitte sa sandale, et tend sa jambe. Elle est de suite en contact avec la cheville de Claire. Celle-ci a un sursaut, mais ne se dérobe pas. Le pied poursuit son ascension, d'abord les mollets, puis l'intérieur des cuisses. Claire excitée au plus haut point, se prend au jeu, écarte ses jambes. Les doigts de pieds sont maintenant en contact avec la chatte détrempée. La jeune détenue sent le fin duvet de sa chatte au bout de ses orteils. Les fesses de Claire glissent jusqu'au bord de la chaise. Sans hésiter, elle ouvre encore plus ses jambes, ferme les yeux. Elle se cambre pour s'offrir d'avantage à l’indécente caresse. Le gros orteil parcourt les lèvres humides, taquine le clitoris. Un sourire éclaire le visage de Lise, en sentant le petit organe dardé.
« Tiens, dit-elle, mais qu'est-ce-que cela peut-il être ?
-Tu le sais salope... gémit la juge. C'est mon petit bouton... Ha...hum...
- Et tu aimes ? demande la détenue. Allez, bouge ton cul un peu. Et si tu me faisais voir tes nichons ? »
Dans sa vie sexuelle, Claire aime être dominée. Ca la change de l’autorité qu’elle doit exercer journellement. En femme soumise, elle ouvre sa veste, déboutonne son chemisier, et fait passer ses seins par dessus le soutien gorge.
« Caresse-les », ordonne Lise.
Claire obéit. A force de caresses, les bouts doublent de volume. Les râles de plaisir s'intensifient. C'est maintenant elle qui guide le gros orteil, et le fait aller et venir dans sa chatte pleine de mouille. Sa bouche reste entre ouverte. Elle s’en sert comme d’un gode vivant.
« Ah… Ah...Vas-y... C'est bon, tu sais...on m'a jamais fait ça… Comme tu régales ma petite chatte de garce… Oui, je vais jouir... Oh oui !!!
- Laisse-toi aller, ma chérie, sourit Lise. Tu vois que c'est bon avec une femme. Oh la la, mais Madame la juge avait une grosse envie ! Elle aime se faire doigter…. »
Lise sent la cyprine de la jeune juge recouvrir son pied. Claire donne des coups de reins, comme pour mieux se vider. Elle est rouge de honte. Mais elle a joui comme rarement avant…
« Faut pas avoir honte, Madame la juge. Vous savez, c'est notre lot de tous les jours ici. »
Confuse, Claire arrange sa tenue tant bien que mal. Heureusement qu'il n'y a pas de caméras de surveillance. Elle se lève, et se dirige vers la sortie. Lise est tout de suite derrière elle. Elle sent que la jeune juge est en manque d'affection. Elle la force à se retourner, et l'appuie contre la porte. Elle la fixe droit dans les yeux et lui mord les lèvres dans un baiser dominateur. Elle glisse une main entre ses cuisses.
Claire fléchit sur ses jambes pour mieux s'écarter.
« Hum... hum... soupire Claire.
- On ne t’a jamais prise comme çà, murmure Lise. Tu vas voir comme c'est bon. Tu sens mes doigts dans ta chatte ? Et ton clitoris, comme je l'ai bien décalotté… Hum, c'est bon ça, hein ? Petite pute va. J'espère que tu signeras ma sortie pour demain, hein ?
- Vas-y, doigte bien mon petit bouton… Oui, je jouis ! Enfonce profond... Rends-moi encore plus pute ! Oh ouiiiiiiiiiii !!! »
Les cris de plaisir s'estompent. C'est maintenant Claire qui prend la jeune détenue à pleine bouche.
« Promis, tu sortiras demain. Tiens, voici mon adresse. Si tu ne sais pas où aller, je peux t'héberger quelques jours. »
Lise ne se le fera pas dire deux fois, et dès le lendemain, elle arrive chez la juge. Pendant des jours, elles passeront le plus clair de leur temps à se gouiner sans jamais se lasser…
L’ex-détenue lui a fait promettre d’aller l’accompagner dans les prisons d’hommes, pour négocier avec elle les remises de peine des détenus mâles, sans doute en gros manque de sexe !
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ME FAIRE BANDER DE BONHEUR AVANT D ALLER AU BOULOT CA C SOPHIE AVEC SES HISTOIRES