Les Mémoires très Libertines de Sophie
La Sirène, par Bruno
Après des années à en rêver, voici que m'arriva ma première et hélas dernière aventure avec une Sirène. Elle est restée un excellent souvenir. Une Sirène ? C'est le joli nom qu'une jeune femme a donné aux Transsexuelles sur un site qui a aujourd'hui fermé, hélas. Aussi je me permets de reprendre ce mot, je le trouve tout à fait approprié et fort délicat pour ces êtres qui se veulent avant tout féminines.
Cela se passait dans les années 85/86 à Paris. J’étais Ambulancier. C’est une profession qui offre des occasions de rencontres intéressantes. Tout le monde sait que le milieu médical n’est pas réputé pour avoir des mœurs de moines. Encore que les moines…. Mais c'est une autre histoire.
Il m’est arrivé un jour donc, de sympathiser avec quelqu’un que je devais ramener à son domicile depuis un centre de rééducation, après une fracture de la jambe. Cette personne vêtue d’un pantalon et d’un blouson avait un prénom ambigu et une allure androgyne, appelons le (ou la) Claude.
Claude mesurait 1,60 m environ et était mince. Une chemise assez large cachait péniblement des pectoraux plus féminins que masculins. Sa voix était chaude et légèrement rauque comme j’aime.
Bisexuel depuis toujours je n’ai pu m’empêcher de draguer discrètement cette jolie personne à l'allure particulièrement androgyne et cela avait l’air de lui plaire. Arrivés au domicile en consultant sa carte de Sécu, j’ai constaté que son numéro commençait par 1. C’était donc un homme, ou plus exactement une transsexuelle car sa poitrine était bien réelle.
Formalité remplie, je lui donne mon téléphone perso pour le cas où elle aurait besoin d'aide tant qu'elle n'était pas complètement autonome. Il ne se passa pas une semaine avant qu’elle ne me contacte sous un faux prétexte, pour que je vienne dans la soirée car elle avait toutes les peines du monde à déplacer un meuble, « et pour vous remercier je vous garde à dîner. C’est d’accord ? » «Avec plaisir, à ce soir ! »
A mon arrivée, Claude m’accueillit joliment dévêtue d’une robe légère, et dont le décolleté laissait apparaître une fort belle poitrine. Je ne saurai jamais l’allure que Claude avait dans sa version mâle, mais sous sa forme actuelle elle était vraiment superbe. Je lui fais compliment sur sa beauté.
Elle y est sensible : « Merci beaucoup ! Mais tu n’as pas l’air surpris par ma tenue ? » A quoi je lui répond que je savais qui elle était après avoir deviné sa poitrine et vu son numéro de sécu.
« Et même que c‘est pour ça que je t’ai proposé mon aide si tu en avais besoin », lui ai-je répondu en riant.
Claude n’eut alors aucun scrupule à m’avouer qu’elle m’avait appelé parce qu’elle avait envie de passer une soirée avec moi. Visiblement, nous avions les mêmes envies, il était donc inutile de… euh… tourner autour du pot. Il valait beaucoup mieux y entrer… dans ce pot !
Nous eûmes donc tôt fait de nous retrouver à poil. Bon sang que Claude était belle. Des seins bien fermes qui semblaient presque vrais, et ses hanches arrondies faisaient d’elle une femme d’autant plus belle qu’elle avait une queue qui tranchait avec sa silhouette menue. Claude n’avait eu simplement qu’à faire développer ses seins pour se féminiser un peu plus car sa silhouette était naturellement celle d’une femme.
Sa verge par contraste semblait énorme. Elle frôlait les 19 cms en érection et était fine. Pour un bisexuel de mon acabit, cela faisait de Claude une « femme parfaite ».
Je ne saurai jamais qui a attaqué le premier, toujours est-il que nous nous sommes retrouvés très vite un verre de whisky dans une main et dans l’autre, en guise d‘amuse- gueule, une queue qui n’était pas la nôtre.
Claude, gourmande de bonnes choses, trempa ma bite dans son verre d’alcool et la prit en bouche pour une pipe magistrale. Elle me parcourut la tige en la mordillant délicatement me procurant des sensations dans tout le corps. Puis sa langue enveloppa mon gland en le suçant comme elle l’aurait fait d’un cornet de glace. Mon émotion et mon excitation savamment orchestrées par Claude me firent jouir très vite.
J’ai explosé.
J’ai alors pris ses lèvres pour partager avec elle le sperme qu’elle m’avait si bien et si agréablement volé. J’ai toujours adoré avalé le sperme, le mien et celui des autres, aussi, j’ai pris la belle bite de Claude dans mon bec pour la sucer.
Je suis certain de n’être pas aussi bon suceur qu’elle mais elle apprécia, car elle ne tarda pas elle aussi à exploser dans ma bouche. Je me souviens encore du goût de son sperme.
C’était un savant mélange d’âcreté et de sucré qui avait un goût de «revenez-y », et d’ailleurs, j’y suis revenu souvent.
Cette dégustation faite, nous nous sommes parcourus le corps comme des morts de faim. Elle avait la peau douce, un léger bronzage la rendait encore plus belle. Ses tétons extrêmement sensibles pour peu qu’on les mordille devenaient tout durs et la Belle en devenait encore plus excitée et désireuse de jeux de plus en plus hardis. Elle en perdait toute inhibition, encore que je ne sois pas sûr qu’elle n’en ait jamais eu beaucoup.
Après avoir « habillé ma bite » (maudit Sida) Claude finit par s‘empaler sur moi en me faisant face, et bien amarrée à ma queue, elle fit tourner son bassin un peu comme si elle dansait la lambada. Difficile de résister à ça, surtout que Claude proférait des mots orduriers de cette voix rauque si craquante en me regardant droit dans les yeux. Et sa queue bien raide qui battait la mesure.
Il me fallut faire des efforts surhumains pour retarder mon explosion. Mais quand elle arriva elle fut suivie de très prés par celle de Claude. Et vu comme elle était placée, elle m’envoya son jus à la figure. Claude se pencha vers mon visage pour le nettoyer avec sa langue, puis m'embrassa. Je pus ainsi apprécier une fois de plus son sperme.
Nous avons trouvé ensuite un peu de réconfort dans le délicieux repas qu'elle nous avait préparé. Puis nous avons continué toute la nuit à faire l'amour.
Une fois, je suis venu chez Claude, avec son accord, accompagné d'une amie ambulancière, qui était bisexuelle également. Elle était impatiente de faire l'amour avec Claude. Ce trio ne fut pas aussi passionnant et chaud qu'on pouvait l'espérer, car « ma sirène », contrairement à ce qu'elle imaginait, n'était pas du tout attirée par les femmes.
De ce jour-là, notre aventure qui dura quelques mois, ne se passa qu'à deux.
J'aimais beaucoup quand Claude m'enculait. Sa queue fine entrait facilement en moi et ses 19 cms me fouillaient bien au fond, et elle avait une manière bien à elle de me sodomiser.
Non seulement, elle allait et venait, faisant parfois sortir sa queue complètement pour la rentrer aussitôt d'un coup sec qui me faisait râler de plaisir, mais encore elle s'amusait à onduler du bassin, et sa queue caressait alors tout mon intérieur, c'était génialement bon. En outre, cela durait longtemps, car elle était très endurante.
Puis un jour Claude quitta la France avec dans ses bagages un peu de ma nostalgie de son corps et de nos jeux. Grâce à elle, je suis devenu un chaud partisan des « Sirènes ».
Grand merci à toi, Claude, où que tu sois maintenant…
Je n'ai plus jamais rencontré de « Sirènes » par la suite, où du moins de celles qui mènent une vie normale, car une forte proportion d'entre elles se livrent à la prostitution.
Lettre à ma chérie, par Julien
« Lettre à ma chérie », par Julien
Mon amour...
Tu rentres, fatiguée, après une journée de travail épuisante.
Tu poses ton sac sur une étagère, dans l’entrée du studio et tu t’avances vers moi, souriante, les bras tendus, pour m’embrasser.
Je viens de te préparer un bain aux essences parfumées. Cette eau limpide, odorante, attend sagement l’immersion promise de ton corps, prête à détendre enfin tes muscles endoloris.
Après t’avoir prise dans mes bras et savouré longuement tes lèvres d’amande douce, je te regarde, le sourire aux lèvres.
Tu lis dans mes yeux, le désir de que j’ai de toi.
Les boutons de ton chemisier cèdent facilement.
Tu me rends mon sourire en captant mon regard, l’air coquin.
Les bretelles de ton soutien-gorge glissent le long de tes bras fins et tes seins ronds et fermes apparaissent gonflés comme des fruits trop murs sous mes yeux pétillants de désir.
Je les caresse, doucement, paumes ouvertes. Mes doigts glissent et se referment sur les douces rondeurs de ta poitrine, pinçant légèrement au passage le relief des aréoles afin d’en gonfler les pointes arrondies.
Tu rapproches alors tes deux seins l’un contre l’autre afin que ma langue gourmande puisse circuler plus rapidement de l’un à l’autre. De plaisir, tu gémis doucement en penchant la tête en arrière et tu fermes les yeux.
Ma langue, qui joue avec les pointes durcies de tes seins offerts, te fait frissonner d’aise et mes mains descendent et se glissent sous tes aisselles, après que l’ai lentement remonté tes bras au dessus de ta tête.
Offerte à mes caresses, je promène ainsi mes antennes tactiles, doucement, longuement, sur le haut de ton corps, dénudé. Le parfum délicat de ton corps qui exsude une douce sueur, me trouble et m’enivre.
Ma bouche, impatiente, avide de sensations, effectue des circonvolutions sur ton petit ventre plat et se love un moment au creux de ton nombril, alors que mes mains continuent de se maintenir, plus haut, en coquille, autour de chacun de tes seins.
Je suis maintenant à genoux. J'enfouis mon visage entre tes cuisses lisses et fermes, m’imprégnant de ta chaleur intime.
Je défais lentement un par un, les boutons de ton jean jusqu’à voir apparaître le haut de ton petit slip rouge. Baissant lentement le pantalon jusqu'à tes chevilles, je prends le temps de contempler ton corps épanoui comme on décortique longuement les détails d’un tableau de maître.
La fleur qui se devine, à la jointure de tes cuisses est la plus belle création qu’il m’ait été donnée de voir.
Le léger renflement de ton mont de vénus invite à l’escalade et, sans résister davantage, je colle mon visage sur le fin tissu qui le recouvre afin d’en respirer longuement le parfum.
Puis, prenant entre mes doigts la fine bordure de l’ultime protection qui désormais te pare, je la fais glisser lentement, de chaque coté de tes hanches.
Au fur et à mesure que ton triangle d’or apparaît, j’aspire en les humidifiant, les petites touffes de poils frisés qui glissent sur mes lèvres, prenant un malin plaisir à les étirer, doucement entre mes dents.
Debout et dressée, tes jambes s’écartent, marquant ainsi leur approbation tacite en m’incitant à poursuivre mes petits jeux.
Ma langue se fait soyeuse et tendre en se glissant entre tes lèvres roses.
Ouvrant délicatement le pistil délicat de ton sexe fleuri, j’écarte les pétales en enduisant de salive l’intérieur de l’accueillante grotte, qui se me livre ses secrets, sans oublier d’en ourler tous les bords arrondis.
Je me concentre ensuite un long moment sur ce cœur en bouton qui gonfle sous mes caresses. Ma langue le contourne, l’aspirant doucement.
Poursuivant mon manège de plus en plus savant, j’entends en même temps, au dessus de ma tête, ta respiration qui se fait haletante.
C’est trop intense, mon amour, toutes ces sensations !!!….
Je pense brusquement à ton bain qui t’attend, interrompant à regret mes investigations festives, repoussant le plaisir annoncé. Je te prends dans mes bras et t’emporte vers la salle de bains. Là tête sur mon épaule, détendue et heureuse, tu te laisses aller.
L’eau tiède enveloppe doucement ton corps jusque dans ses replis les plus secrets, délassant peu à peu tes muscles contractés. Tu es bien, je le sens à ce frémissement que je viens de parcourir ton corps. Si bien dans la douce chaleur de ce bain parfumé.
Alanguie, abandonnée, lascive, tu t’étires pendant que je te contemple, amoureusement.
A genoux, le menton posé sur les mains, au bord de la baignoire, je te laisse un moment profiter du bien être liquide qui pénètre doucement tes muscles fatigués.
Enfin, un peu jaloux de cette onde qui t’enveloppe plus complètement que je ne le pourrai jamais, je glisse mes mains dans l’eau chaude et je commence à te caresser, nonchalamment. Tu te tournes et te penches, m’invitant à masser ton dos endolori.
Enduite d’une huile parfumée, ma main droite, descend maintenant, le long de ta colonne vertébrale s’arrêtant sur les endroits qu’elle devine crispés. Tu étires voluptueusement ton corps. Mes mains effleurent ta poitrine, ton ventre, tes cuisses, et descendent ensuite le long de tes jambes jusqu’à tes pieds que je masse et que j’embrasse longuement.
Mais cette promenade, ces caresses, si elles te soulagent, font renaître dans le bas mon corps une érection persistante car soudain, entre tes cuisses, je viens de sentir ton sexe qui s’ouvre sous mes doigts.
Ma main, instrument privilégie de mon désir, se fait experte et impatiente.
Se referme en coquille sur ce triangle blond (ou brun lol) dont je vois le reflet qui bouge doucement, par réfraction, sous l’eau.
Mes doigts écartent précautionneusement les grandes lèvres. Mon index pénètre entre des plis soyeux et sensibles, pénétrant sans effort dans le creux de ton cops. Tu gémis, doucement. Mon sexe devient dur, tendu, douloureux.
Comme l’eau attendrit le passage, ce sont deux doigts gourmands qui fouillent maintenant ton ventre épanoui. Je t’entends respirer de plus en plus vite. Des petits cris de plaisir sortent de tes lèvres et mes doigts, encouragés, accélèrent leur va et vient.
Avec mon autre main je masse lentement mon sexe, maintenant turgescent. Sous l’eau, mes caresses se font de plus en plus précises, parcourant la ligne de tes fesses et s’arrêtant sur l’orifice étroit et secret qui dort encore, paisiblement. Mon doigt s'y s’attarde, tandis que tu gémis plus fort. Lentement, doucement, il tente d’y pénétrer. L’intérieur est serré et mon index, un moment prisonnier, peine à s’enfoncer plus avant.
Je force doucement les chairs qui résistent. En même temps, je sors mon sexe de sa prison de toile. Un autre de mes doigts vient de reprendre possession d’une oasis soyeuse et ondulante.
Ensemble, ils poursuivent alors un lent mouvement de va et vient. Mon sexe tendu me fait mal. Tu gémis plus fort. Ton ventre, tes seins, jaillissent hors de l’eau devant mes yeux émerveillés, anticipant la montée de la jouissance. Les muscles de ton ventre et de tes cuisses, tendus à l’extrême, réclament des caresses nouvelles, plus fortes, plus possessives, suppliant que ce moment d’extase ne s’arrête jamais.
Mes doigts lissent la paroi de séparation des deux orifices, suivant le rythme de tes gémissements, de plus en plus courts. Je contemple ton visage en continuant de me masturber. La tête penchée en arrière, le cou offert, la bouche ouverte, les yeux fermés, tu es si belle ainsi... et mon plaisir s’accroît en même temps que le tien.
Ta langue lèche sensuellement tes lèvres, exprimant le plaisir qui monte, dans ton corps.
Tes seins flottent à la surface de l’eau… Ton pubis monte et descend jouant sans fin avec les vaguelettes qui l’assaillent… Mes yeux affolés courent sur ton corps tendu, ne voulant pas perdre une miette du spectacle qui s’offre à eux….
La jouissance, comme une marée qui soudain se déchaîne, monte en toi par vagues successives, t’arrachant des gémissements de plaisir. Ton corps est tendu comme la corde d’un arc, prêt à se rompre. Ton bassin tourne, de plus en plus vite, autour de mes doigts. Tu ne penses plus qu’a eux, qui te fouillent, qui ravagent l’intérieur de ton corps.
Dans ton esprit, se déploient des ondes de jouissance. Ta vision se trouble. Tes yeux chavirent. Tu te concentres de plus en plus sur la pression de mes doigts. Tu emprisonnes cette sensation délicieuse, t’accrochant à elle, comme à une bouée salvatrice.
Tes soupirs se font de plus en plus sonores et, dans un dernier sursaut, tu serres violemment les cuisses autour du pivot de mes doigts dont tu sais qu’ils vont te délivrer enfin, en provoquant l’orgasme…. Tu jouis… Tétanisée. Tu exploses dans un débordement total des sens,… Jouissance longue, totale, absolue.
Je viens d’éjaculer en même temps que toi, sur le sol carrelé…De longues coulées de sperme s’échappent convulsivement de ma verge qui n’a pas pu retenir sa semence plus longtemps devant le spectacle de ton corps assouvi. Sensation merveilleuse et unique que l’explosion d’un corps dans l’amour. C’est l’ivresse de l’apesanteur... C’est, pour un court instant qui parait éternel, l’impression d’être dégagé des contraintes du monde, l’impression de rejoindre, libéré de tout, un endroit inondé de soleil !
Pendant un court instant, je ne peux plus bouger. Mes doigts sont prisonniers. Puis, l’ivresse, doucement, se dissipe. Tu reprends tes esprits. Ton corps enfin s’apaise et tu me rends mes doigts. Je vois, à ton sourire canaille, que tu voudrais bien les retenir encore un peu, mais je souris à ton sourire, qui me remercie.
Il est si beau, ce sourire, que je voudrais l’emporter toujours avec moi, comme un trésor qui ne me quitterait plus. Mais il y aura d’autres sourires, d’autres moments, car l’amour, tu le sais, c’est vraiment merveilleux !..
Je dépose un long baiser sur tes lèvres et tu te laisses glisser… lentement… dans l’eau chaude…
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Ma suceuse avide
Ma suceuse avide ,
par l’auteur de http://mots-crus.over-blog.com
Mes couilles sont lourdes, grosses et grasses de tout mon jus poisseux bien chaud qui n'attend qu'une chose, c'est se faire pomper par la bouche avide d'une grosse cochonne.
Suce bien cela, ma tentacule gluante, géante et raide, ce pieu amoureux qu'érige mon désir quand je te vois avec cette jupe serrée à ta taille, qui moule ton petit cul. Tu es ma petite chienne que je promène dans la rue pour que tu soulages ta vessie accroupie entre deux voitures. Et tant que tu as la bouche à porté de ma bite, baisse ma braguette et viens téter mon jus.
A genoux dans la rue, au milieu de la flaque de ton urine chaude, mets ta bouche sur ma queue et dévore ma bite avant que la foule entière réalise que, dans ce recoin de ruelle, une salope s'affaire à faire jaillir mon foutre de mes couilles juteuses.
Suce, lèche, aspire et pense bien à branler mon sexe qui durcit dans ta bouche de chienne à la langue râpeuse. Fait le tour de mon gland et prend toute ma queue dans ta gorge. Dépêche-toi de me sucer toutes les veines de ma queue, monstrueuse créature qui palpite, s'affole et se passionne pour les bouches dévergondées des chiennes et de cochonnes prête à tout pour étancher leur soif de foutre brulant.
Monument parfait de ma sexualité comme toutes les autres, tu voues un culte à ma queue, et ta prière buccale me fait bander encore plus. Sanctifie de ta bave toutes les facettes de cette érection qui pénètre ta bouche aux lèvres maquillées.
« Tu vas boire mon foutre, avaler ma semence, parce que je sais que tu es ma salope assoiffée ! »
Doucement, caresse le sursaut de mes couilles pour hâter mon jus gluant de jaillir sur ta langue et te remplir la bouche comme la source du vice. Amorce donc la pompe sans retour qui fera exploser mon sexe entre tes babines suaves. Branle encore ma hampe en suçotant ce gland qui étouffe en toi la pudeur et la peur.
Et je gicle dans ta gorge des flots de sperme brulant qui remplissent par vague ta bouche trop petite. Tu baves mon sperme, et ma queue qui surgit hors de ta bouche pleine, gicle encore quelques jets bien chauds qui souillent ton visages et engluent tes cheveux.
Tu es mon vide-couilles favori, ma suceuse préférée toujours avide de ma queue, toujours prête à bander entre tes lèvres et se vider en elles….
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Gangbang avec les pêcheurs.
Il y a quelques mois, je vous avais raconté ma partie de baise intense sur une plage locale, avec un super amant, et quelques voyeurs. Voyeurs que j’ai ensuite conviés à une partie de jambes en l’air à plusieurs…
Comme il avait été convenu la semaine précédente, je retrouvais au motel les pécheurs, et Anthony. J’avais bien baisé avec lui toute la semaine, en fantasmant sur ce gang bang…
Ils sont trois, plus Anthony.
Rapidement, je me suis retrouvée entourée et caressée par huit mains, pendant que les premières réflexions salaces tombaient. Je devais maintenant jouer le jeu. J’ai naturellement commencé par embrasser Anthony, alors qu’il guidait mes mains pour que je déboutonne son pantalon. Il y avait de l’empressement dans son geste. Je voulais prendre le temps de le caresser un peu mais il en avait décidé autrement et il m’a tourné vers Ralph. Le message était clair. J’ai répliqué les mêmes gestes avec Ralph et mes mains se sont affairées à ôter son pantalon pendant qu’il a commencé à me doigter et que nos langues s’apprivoisaient. Les deux autres se sont déshabillés tous seuls. J’ai vu leurs bites jaillir des slips et calçons… quel merveilleux spectacle !
Avec Ralph, j’ai pu prendre le temps de découvrir son sexe nu dans mes mains et de vraiment apprécier le pouvoir érotique de la situation. Ma libido a commencé à intégrer la présence de quatre belles queues en érection et je me suis tournée vers Tonio pour unir notre quatuor.
Avec quatre hommes qui me sollicitaient, je n’ai eu qu’à me laisser guider. Tout s’est enchaîné à une vitesse prodigieuse.
Mes seins lourds sont léchés et mordillés sur toute leur surface, ma nuque, mon ventre, ma bouche, tout y passe sauf le meilleur. Ils ont l'air de vouloir me faire languir, les salauds. A mon tour, n'y tenant plus je me décide enfin à attaquer le meilleur morceau. Je me dirige vers le short et commence à le baisser très lentement, faisant apparaître le sommet du membre imposant.
Puis au fur et à mesure que je descends, je découvre sa bite d'une épaisseur incroyable, avec pour couronner le tout, une paire de couilles comme j’adore. Il est tout simplement comme je les aime. Anthony bande déjà très dur et très fort. Sa queue m'excite, tellement elle est épaisse. Je le suce comme je peux mais je n'arrive pas à le mettre entièrement dans ma bouche. Moi qui adore les longs membres, je me surprends à me caresser au vu de celui-ci, pas très long mais si épais... J’imagine déjà les sensations de sa belle bite entrant dans ma moule trempée. Je décide de lui montrer à nouveau ce que je sais faire avec ma langue. J'ai envie de l'avaler entièrement, car je sais à quel point les hommes aiment sentir leur bite arriver jusqu'au fond d'une gorge chaude. Mais son épaisseur énorme me l'interdit. Je ne peux que le flatter avec la pointe de ma langue. Anthony me relève et me couche sur la table de la chambre. Il me dévore le clito et me fait jouir plusieurs fois.
Je n'en peux plus de voir Anthony qui me bouffe le cul et Ralph qui, en même temps commence à se caresser son mandrin imposant. Les autres se branlent en nous regardant…
L'excitation est trop forte pour moi, et je ne peux m'empêcher de jouir une nouvelle fois, alors que la langue d'Anthony pénètre mon petit trou. Je n'en peux plus. Anthony me pénètre, mais il doit y aller doucement tant son gland a du mal à pénétrer en moi. J'ai l'impression d'avoir deux queues dans ma chatte tellement elle est grosse. Il est obligé de faire une pause lorsque son gland a passé l'entrée de mon vagin pour lui permettre de se détendre un peu. Je n'avais jamais vu ça. Et ça me faisait un effet ...
Une fois au fond, il commence à bouger lentement. Je me rends compte qu'en effet elle n'est pas très longue, mais j'ai l'impression de jouir en permanence tant je suis remplie. Ses va et viens me font littéralement chauffer la chatte. Heureusement que je mouille comme une folle. Pendant ce temps, je masse énergiquement mes seins et mon clito qui est devenu énorme, je le sens. Anthony a les yeux écarquillés lorsqu'il découvre sa taille, il devient toujours très gros quand je suis bien excitée.
Aussitôt, il se retire de ma chatte et viens me le sucer comme si c'était une bite. Ralph décide d'entrer dans la danse. Ils décident de me prendre tous les deux en même temps. Mon fantasme va enfin se réaliser. Debout tous les deux face à moi, ils me demandent de choisir laquelle je veux dans mon cul. J'hésite...
Anthony est tellement épais, j'ai peur qu'il me défonce trop fort. Je choisis Ralph pour m'enculer en premier. La grosse queue d'Anthony viendra une fois que je serai bien dilatée. Je couche Ralph sur le dos et je m'empale sur lui par mon petit trou. Je suis si excitée que je l'engloutis sans problème. Quel pied ! Anthony se branle pendant quelques instants, me tapote le clito avec sa belle grosse queue avant de me l'enfoncer lentement.
Je hurle de plaisir tant je suis remplie par mes deux amants du soir. Ils me pompent en cadence et ma grosse poitrine n'est pas en reste.
Anthony sort de ma chatte et j'essuie sa bite avec ma langue. Je me redresse, et me retrouve donc assise sur le divan avec les quatre mecs devant moi. Les deux voyeurs sont ultra bandés.
Le premier qui dit s'appeler Luc est très bien bâti. Je décide de commencer par lui car le métis était mieux membré. Je garde toujours le meilleur pour la fin. Sa bite est splendide bien qu’un peur amollie par une première ejac dans le vide, en nous matant, quelques minutes plus tôt…
Quelle soirée ! Elle tient toutes ses promesses…
Puis vient le tour de Steeve, le métis. Il a une queue qui n'en fini pas de se déployer devant moi. C'est un véritable monstre. Une fois que je la vois entièrement pendante devant mes yeux, la vision de cette bite me fait jouir instantanément.
C'est la première fois que cela m'arrive. Je me précipite sur elle et suce comme une furie. Je m'empale maintenant sur Anthony qui s'est allongé et qui me sodomise malgré son membre si épais. Ralph me défonce la chatte par devant et j'ai la queue de Luc dans une main et le branle.
Mais malgré ces trois queues je ne peux me concentrer que sur celle de Steeve qui commence à prendre une taille monstrueuse. Je suis remplie par tous les trous et je jouis sans arrêts. Au bout de cinq minutes, Ralph n'en peux plus. Il sort de ma chatte et m'envoie une épaisse giclée de sperme sur mes seins.
Luc prend sa place dans ma chatte et me ramone comme un dingue. Anthony qui m'enculait depuis une éternité, se retire également et vient placer sa bite entre mes gros nichons pour se branler. Steeve est maintenant à sa taille maximum. Sa queue est dressée fièrement devant mon visage. Je la veux dans la chatte. Luc se retire et vient lui aussi me gicler très abondamment sur les seins. Je suis déjà couverte de sperme que j'étale sur mes seins, car je sais que les hommes adorent me voir faire ça. Je me retrouve donc seule avec les deux plus beaux spécimens.
Anthony d'un côté avec sa belle queue épaisse et ses magnifiques couilles qui n'ont pas encore craché leur jus, et Steeve de l'autre avec sa longue et grosse bite. Je vais me diriger vers la dernière ligne droite et demande à ces deux magnifiques étalons de me prendre en même temps.
Je suis folle d'oser cela, car leurs proportions sont gigantesques mais je suis dans un état qui me ferait faire n'importe quoi. Je m'assois donc sur Anthony, le plus épais. Ma chatte est tellement ouverte qu'elle l'avale comme un rien. Il prend ma grosse poitrine en mains et la malaxe. Je me baisse vers l'avant pour permettre à Steeve de me pénétrer lui aussi. Il entre lentement dans mon anus lui aussi béant. Une queue normale aurait été avalée facilement mais la sienne ... Et avec Anthony par devant en plus...
Ils me défoncent les trous comme des taureaux en rut. Je me surprends à leur dire des obscénités, je deviens chienne tant la scène est bonne. Mes orifices sont trempés de sperme et de mon jus qui n'arrête pas de couler. Je jouis sans arrêt. Après un quart d'heure à ce rythme, je suis sur le point de m'évanouir à force de jouir. Steeve sort de mon anus et me prévient qu'il est sur le point de gicler.
Il se présente face à mon visage et se branle avant de me dire d'ouvrir la bouche. Je m'exécute et crois rêver lorsque je vois l'épaisseur du jet qu'il m'envoie. Il n'arrête plus et ma bouche semble pleine de sperme, il en coule sur mes seins. Je lui vide les burnes et le lèche comme une chienne. J'essore littéralement sa queue. Il semble apprécier, car je le vois sourire de bonheur.
Je dégouline de sperme, j'adore ça. Et dire qu'Anthony n'en a pas encore fini. Je me lève, le fait sortir de ma chatte et décide de le finir à la main. Je veux voir de près ses grosses couilles gicler leur jus. Je le branle avec toute la technique dont je dispose, je léchant, aspirant son gland tant bien que mal, lui massant les burnes, léchant son anus...
Il est très excité, me dit que mes gros seins l'excitent et qu'il va m'inonder de son sperme. Je le branle à deux mains maintenant car j'ai l'impression que sa bite à encore grossie. Je masse mon gros clito en même temps. Brusquement je sens ses spasmes arriver, il me fait signe. Je le prends dans ma bouche pour accueillir sa semence. Lorsqu'il gicle, j'ai l'impression que je vais étouffer tellement il a de la pression.
Son jet est si fort que je ne peux le contenir et que la moitié sort de ma bouche. Je jouis en voyant ça. Je continue de le masturber à la main et il gicle toujours. Mon visage, mes cheveux et mes seins sont pleins de foutre. Je le vide au maximum. Nous restons un long moment sans parler pour reprendre notre souffle. Quel effort. Je regarde l'heure. Il est cinq heures du matin. J'ai baisé avec quatre mecs pendant presque six heures d'affilée.
Nous sommes lessivés. Mes amants se sont éclipsés les uns après les autres. Je suis trempée de sueur, de sperme, de mouille. Jamais je n'avais joui autant. Cette soirée restera un souvenir formidable pour moi.
Déjà délicieusement doigtée par Ralph, Tonio s’est rapidement rabattu sur l’alternative qui s’offrait à lui et il a glissé un doigt dans mon cul en me regardant droit dans les yeux. Je sentais leurs caresses se rejoindre à travers ma paroi vaginale et j’en tirais un plaisir indicible que Tonio lisait dans mes yeux. Il bougeait son doigt lentement en me regardant sans se douter qu’au-delà de sa caresse c’était l’idée d’avoir leurs deux sexes en moi qui faisait briller mes yeux. Devant moi, trois autres tiges de chair s’agitaient. Elles se présentaient à moi alternativement, je les suçais autant que possible, les gobant à fond… J’adore me sentir chienne, dans ces situations comme celles-là…
Anthony appuyait sur ma tête pour que le suce en priorité… Il a passé ses mains dans mes cheveux pour m’attirer contre son sexe et je l’ai aussitôt accueilli entre mes lèvres. Je suçais avidement le sexe d’Anthony pour lui donner un maximum de plaisir tandis que Ralph se masturbait à ma gauche et que je caressais encore la queue de Tonio de mon autre main. Le deux autres se branlaient en nous regardant, passant leurs mains partout sue moi.
Je me suis ainsi laissée guider d’un sexe à l’autre selon leurs plaisirs, les laissant gérer entre eux le partage de mes caresses, tandis que je mettais toute mon expérience au service d’une seule ambition, les faire jouir dans ma bouche. Je ne lâchais prise que lorsque mon partenaire se retirait pour ne pas jouir trop vite ou qu’un autre me réclamait en présentant son sexe devant ma bouche. Je ne pourrais pas vous dire combien de temps ce petit jeu a duré assez longtemps. Les caresses des hommes dans ma chatte ont commencé à faire leur effet, et j’ai eu un premier orgasme.
Mais j’avais envie d’être prise, défoncée à fond…
J’ai entraîné Peter, l’un de pêcheurs, au centre du lit et je l’ai installé sur le dos pour me placer à califourchon au dessus de lui. J’ai ensuite vu Tonio qui s’approchait et je l’ai invité à ma manière : « Je veux une bonne double… mais pour la première, dilate-moi avec précaution… »
Je n’ai pas eu besoin d’en dire plus pour qu’il me sourit et qu’il se place derrière moi. Son sexe dur est venu contre mes fesses et il a commencé à m’embrasser dans le cou pendant que ses mains ont englobé mes seins. Sentir deux sexes et deux corps chauds contre vous, vous donne des ailes. Surtout quand vous avez la promesse de trois autres belle queues…
Je me suis relevée un peu pour prendre d’une main le sexe de Ralph et glisser mon autre main derrière moi pour guider à ma guise le sexe de Tonio.
Ils ont tous les deux été patients. Me laissant me caresser avec leurs membres. J’ai joué ainsi quelques instants avec ces deux magnifiques queues pendant que Anthony se masturbait lentement a quelques centimètres de mon visage. J’ai fait monter mon désir puis j’ai écarté un peu plus les cuisses pour glisser en moi le sexe de Ralph et ensuite me coucher sur lui pour introduire la queue de Tonio entre mes fesses. Tonio a fait le reste, lentement. Il s’est enfoncé en moi et leurs deux sexes se sont rapidement rejoins au plus profond de moi.
Se faire ainsi prendre en même temps par deux queues est une sensation unique et indescriptible. La sodomie et la pénétration vaginale procure des sensations très différentes mais lorsque l’une est mêlée à l’autre, et que les deux partenaires sont habiles, c’est purement et simplement délicieux. L’excitation des deux partenaires qui vous entourent décuple vos sens et s’asseoir sur le membre du premier tandis que le deuxième le rejoint au plus profond de vous, procure un plaisir hors norme. J’avais les cuisses en feu à force de monter et descendre sur la queue de Ralph pendant que Tonio faisait des merveilles en m’accompagnant profondément et en rythme. Lorsque j’ai joui, mon euphorie a été telle que je me rappelle avoir pensé qu’ils pouvaient ensuite me demander n’importe quoi : je l’exaucerais. Je ne pensais pas être si proche de la vérité à venir.
Les stagiaires du bout du monde - Chapitre IV
La clé se fit entendre alors que je glissais mon boxer short pour révéler ma queue à la vue de Marie qui se caressait avec les dessous d’Anaïs.
« Elle est belle monsieur. Cela va être un plaisir que de la satisfaire. »
Anaïs eut un temps d’arrêt en nous voyant, avant de nous sourire.
« Votre collègue était en session de rattrapage. Juste le temps de tremper son tanga et vous voilà.
- Right on time, n’est-ce pas ? me répondit-elle en dégrafant son chemisier. »
Elle fit apparaître un soutien gorge noir en dentelle aussi précieux que celui de sa collègue. Un puissant soupir de plaisir me parcourut. J’avais devant moi une nuit avec deux bombes…
« Anaïs, pour la suite du module, veuillez vous mettre a genoux derrière votre collègue et glisser une main dans son tanga… Oui voilà. Allez sentir comme votre collègue a déjà trempé sa dentelle.
- Sa chatte est très douce. C’est un plaisir. »
Puis je me calai confortablement dans le canapé pour contempler ces deux stagiaires, ces deux jeunes femmes élégantes s’exciter entre elles, me contentant de les guider et de leur parler.
Marie se mit en position levrette, les épaules sur le tapis, le cul relevé bien haut devant le visage d’Anaïs. En un tour de main, elle avait rejoint la tenue de son amie. J’avais sous les yeux deux parures en dentelles, deux paires de bas. De la lingerie à m’en tourner la tête. De la dentelle humide.
« Masse ses orifices à travers son tanga, dis-je à Anaïs. Oui. Promène tes doigts comme cela. Oh les deux belles biches. On va s’amuser. Je sens peu à peu le fétichiste qui cède la place au client salace. Envie de vous faire tremper les cuisses avant de vous sauter, mes demoiselles.
- Oh mais nous sommes là pour le fétichiste autant que pour le grossier personnage », me fit Anaïs.
Puis elle écarta le tanga de Marie. Elle lappa sa cyprine, elle joua avec sa rondelle. Marie était aux anges, ainsi offerte, le cul relevé, avec une langue en train de lui fouiller les orifices.
Anaïs attrapa son amie par sa queue de cheval pour la redresser à genoux. Là, elle descendit son tanga à ses genoux pour mettre ses deux mains sur son entrejambe et sa bouche sur la sienne. Elles s’embrassèrent langoureusement alors que les doigts de ma première stagiaire fouillait l’entrejambe de Marie. Pour lui doigter la chatte et le cul.
« Doigte-lui bien le cul, à cette petite salope, dis-je à Anaïs.
- J’ai un doigt dans chacun de ses trous, monsieur. Est-ce ainsi que vous aimez vois les stagiaires ?
- Exactement. C’est un plaisir que de se branler devant deux petites chiennes en dentelle, devant deux stagiaires qui aiment les clients vicieux. »
L’étape suivant de ces jeux passait par le shorty d’Anaïs. Marie lui mit les épaules sur le canapé, croupe fa ce à moi, elle aussi offert à mon regard. Voir ce cul dans un shorty me donna très envie de l’enfiler par la petite porte.
Marie fit glisser le shorty et me le montra là où la dentelle l’avait humidifié.
« Voilà une belle vue. Maintenant, Marie, caresse la chatte de ta collègue avec cette dentelle humide. Parfume la bien avec cette fente de stagiaire, avec cette fente que j’ai déjà très envie de fourrer.
- Et la mienne, fit Marie, minaudant, avez-vous envie de la fourrer ?
- Oh mais mademoiselle, sachez que les six trous que vous mettez à ma disposition ce soir vont recevoir mes hommages. »
Quand elle eut bien caressée Anaïs avec le shorty, je lui fit mettre la précieuse étoffe dans la bouche d’Anaïs, pour la bâillonner avant de jouer avec son entrejambe.
Je m’approchai d’elle pour écarter sa croupe et ouvrir ses fesses de mes deux mains
« Crache sur cette petite rondelle, Marie, et léche lui le cul, je vous prie. »
Elle s’exécuta. Je vis avec délice la stagiaire darder sa langue pour aller titiller l’anus de sa collègue.
« Lèche-lui bien le cul. Goûte à son petit trou. Oui, Doigte lui la chatte aussi. C’est magnifique de voir cette rondelle et ces lèvres excitées de plaisir. Elles mouillent bien mes deux stagiaires. »
Puis nous donnâmes une fessée à Anaïs. Ses deux fesses, blanches là où le maillot laissait sa trace, devinrent rouges en quelques coups. Elle était si bandante, si excitante, si désirable ainsi, fessée et bâillonnée.
« Ferme les yeux, Anaïs », dis-je doucement à son oreille.
L’instant d’après, je la redressai avec l’aide de Marie. Elle lui enleva son soutien gorge pour saisir les pointes de son bonnet b et jouer avec. Elle était dans son dos. J’avais en face de moi la vue de ma parfaite stagiaire avec, sur les seins, les deux mains de son amie.
Je fis glisser le shorty de sa bouche pour, d’un coup, le remplacer par ma queue. Je sentis une vague de plaisir parcourir Anaïs alors que ma queue prenait possession de sa bouche.
« Suce le bien, Anaïs. Elle doit être bonne cette queue, dit Marie à son oreille, alors que, les yeux toujours fermés, elle commençait à me tailler une belle pipe.
- Oh le pied ! exultai-je. Deux bonnes suceuses, deux belles bouches à pipe rien que pour moi. Je suis très excité là. Je ne vais pas pouvoir me retenir des heures donc je vous propose une première éjaculation avec vos bouches avant de passer à l’étage inférieur de vos deux corps. Vous êtes partante ?
- Le client est roi, monsieur, me fit Anaïs en sortant la queue de sa bouche et en me regardant.
- Les deux stagiaires sont là pour vous satisfaire », compléta Marie.
Je vis rouge de plaisir, excité comme un taureau.
« Venez là, mes deux chéries. A genoux toutes les deux, on va s’offrir une belle pipe à deux bouches avant de vous offrir une bonne giclée. »
Je les mis côte à côte, à genoux, nue, joue contre joue avant de commencer à jouer avec leurs deux bouches. Je passais de l’une à l’autre, j’offrais mon gland tour à tour à leur deux langues. Je baisais ces deux paires de lèvres. Mon gland fut rapidement luisant de leurs salives et de mon liquide séminal. C’était un spectacle délicieux que de les voir jouer avec ma queue, la lécher, titiller mon gland. Je le promenais sur leurs lèvres, leurs joues. Elles s’embrassaient et je me glissai entre leurs bouches jointes.
« Allez les filles, sucez bien cette queue. Elle a envie de baiser vos petits culs, elle a envie de vous sauter. »
Je mis Marie à genoux devant moi pour lui offrir la même pipe dirigée qu’à Anaïs sur la plage. Une main sur sa tête, solidement arrimée, je me mis à diriger le mouvement de sa bouche autour de ma queue. Elle fermait les yeux et se laissait faire. Son visage entier allait et venait autour de ma verge. Le spectacle était magnifique
« Allez petite salope, laisse moi te baiser la bouche. Laisse-moi fourrer ces lèvres de suceuse. »
D’elle-même, Anaïs se mit derrière pour lutiner la croupe de sa camarade. Elle enfouit sa tête entre ses fesses pour lui lécher la chatte et le cul. Elle recula la tête, sourit et lui glissa deux doigts dans la chatte puis dans le cul.
Puis je ne fus plus en mesure de retenir mon plaisir.
Elles se mirent à genoux et je vins dans leurs bouches et sur leurs joues à longs traits de semence chaude. Elles échangèrent ensuite un long baiser avec mon foutre en bouche. Il coulait à la commissure de leurs lèvres. Elles s’échangeaient mon précieux liquide en s’embrassant. Je me mis a genoux pour les saisir, pour caresser leurs peaux brûlantes, pour les embrasser et partager nos fluides.
Mes mains descendirent entre leurs jambes. Je me glissai dans l’intimité de leur douceur lubrifiée en même temps. Comprenant mon intention, elles se mirent d’elles-mêmes en levrette, relevant pareillement leurs croupes. Et là, de mes deux mains, avec quatre doigts, sur leur clitoris, en elles, je leur donnai un orgasme.
S’ensuivit quelques instants de silence où nos corps, collés les uns aux autres, se reposaient, jouissaient de la chaleur et du plaisir dégagés par nos ébats.
« Alors, mesdemoiselles, on continue la formation ou bien vous voulez remettre à plus tard la seconde partie du module, celle du vicieux salace ? » leur demandai-je dès que je sentis monter en moi une nouvelle érection.
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ca reéveille en moi des instincts que je croyais oubliés... j'aimerai rencontrer un vrai trans, avec des beaux seins et une belle bite...
Très belle et excitante histoire! Que je rêve au plus profond de mon être de vivre au moins une fois!
Merci pour ses lignes si agréable à lire!!!