Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un plombier est toujours utile à une femme...
René, très beau métis de quarante six ans, travaille pour une société de service après-vente.
Il se déplace aujourd'hui, chez Mr. Gilet pour effectuer une réparation dans la salle de bains. Rien de bien méchant. On est en plein mois de juillet, et il est vêtu d'un short ample, et d'une chemise à manche courte. Il est quatorze heure quand il sonne à l'interphone de la villa.
C'est Didier, le jeune fils âgé de huit ans, qui répond.
« Oui, demande-t-il, c'est pourquoi ?
- C'est le dépanneur pour la salle de bains, répond René.
- Ah ! Une minute. Maman, c'est le Monsieur pour le lavabo. »
Valérie, jolie blonde de trente deux ans, est allongée au bord de la piscine, vêtue d'un maillot deux pièces, qui ne cache pas grand chose. Elle passe une serviette autour de la taille, et va ouvrir.
« Vous avez vite fait, dit-elle, mon mari a appelé ce matin. Entrez, je vais vous montrer. C'est le mitigeur du lavabo, qu'il faut resserrer sur la vasque. »
Arrivé à la salle de bains, René sort tournevis, pince, lampe torche, et s'allonge sous le lavabo. Valérie remarque la bosse sur le short, et ne peut retenir un sourire. Mais un sourire vicieux, en passant la langue sur les lèvres.
« Je vais mettre une tenue plus décente, vous m'appelez si vous avez besoin !
- D'accord, répond René, merci Madame. »
Valérie regagne sa chambre toute proche. A peine a-t-elle ôté son maillot, que le réparateur l'appelle.
C'est donc enroulée dans une serviette, sans rien dessous, qu'elle revient à la salle de bains.
« Oui, dit-elle, je peux vous aidez ?
- Vous pouvez tenir le robinet pour l'empêcher de tourner, s'il vous plait.
- Bien sur, pas de problème. »
Valérie avance en écartant les jambes, pour éviter celles de René. D'en bas, la vue est imprenable. Il soulève la serviette à l'aide de la lampe torche, et allume sans que Valérie ne se rende compte de rien.
Il aperçoit la fente légèrement ouverte, avec, tout en haut, le clitoris qui sommeille dans son berceau.
« Aie, çà risque d'être un peu plus long que prévu, ajoute René, déjà bien excité.
- Ce n’est pas grave, répond-elle, j'ai tout mon temps.
En se déplaçant, René butte volontairement sur les pieds de Valérie.
- Excusez-moi, Madame, je suis confus.
- C'est rien, faites. Vous voulez que je m'écarte un peu plus peut être ? Vous serez plus à l'aise. »
Elle n'attend pas la réponse. Elle fait glisser ses pieds sur le carrelage pour s'écarter d'avantage.
Avec minutie, René dirige le tournevis entre les cuisses de Valérie, jusqu'à ce que celui-ci soit en contact avec sa chatte. Surprise par le froid de l'acier, Valérie marque un temps d'arrêt.
« Oh ! C'est quoi cette agréable fraicheur que je sens contre ma petite fente », se dit-elle.
Le tournevis continue sa vicieuse inspection. Il joue avec le clitoris, essaie de le décalotter. A entendre les soupirs de Valérie, il comprend qu'il y parvient.
« Mais, qu'est-ce-que vous me faites ? Arrêtez çà, je vous en prie ! Je ne suis pas une femme facile vous savez…
- Pourquoi Madame ? Vous n’aimez pas, ce n'est pas bon ? Une si jolie chatte qui demande qu'à prendre un bon coup de bite…
- Si justement, c'est bon… Mais ce n'est pas bien ! Si mon mari vient à le savoir…
- Et qui va le lui dire ? sourit René. Certainement pas moi. »
Ces dernières paroles font tomber les dernières vagues inquiétudes de la jeune femme.
Sa chatte est bientôt prête pour être baisée comme il faut par l’artisan. Les lèvres sont touts humides. René retire le tournevis, et en a la confirmation, il est plein de mouille. Vicieux, il le remplace par la lampe torche, qui ma foi, est d'un calibre supérieur, et l'allume.
« Ne bougez pas, s'il vous plait, j'ai besoin d'un peu de lumière.
- Mais comment voulez-vous que je reste immobile, soupire Valérie. Avec ce que j'ai dans la chatte... En plus vous la faites tourner la tête. »
René sort enfin de dessous le meuble, et la tire vers le bas. Elle fait mine de résister, mais plus par principe, que par refus.
La serviette tombe au sol. René fait courir ses doigts sur le sexe épilé de Valérie, qui est de moins en moins farouche.
Elle écarte même les jambes pour faciliter l'accès à son intimité. René n'en revient pas, il trouve qu'elle se donne un peu facilement. Insatisfaite peut être ?
Valérie s'attaque au short de René qui finit à ses pieds, libérant un sexe énorme. Leurs corps roulent sur le tapis de bains.
« Bon sang, quelle est belle ! Je peux jouer avec ?
- Bien sur petite Dame, ne vous gênez pas ! »
Valérie saisit les couilles et l'imposante bite. Elle tire sur le prépuce pour décalotter le gland, et le prend du bout des lèvres.
René lui, fait rouler le clitoris entre deux doigts.
« Mais c'est qu'elle se régale, la Dame, sa petite chatte est toute mouillée. Allez, venez, on va calmer tout çà. C'est d'un bon coup de queue dont elle a besoin.
- Putain oui… soupire Valérie. Il me tarde de le prendre bien au fond de moi. D’être bien défoncée par ce mandrin ! »
René s'allonge sur le dos, saisit Valérie par les hanches, et la guide pour mieux l’empaler sur son membre en érection. Elle prend appui sur le sol avec ses mains, et s'offre totalement.
« Oh oui ! Quelle grosse queue, ça me change de mon mari ! Allez-y, je vous offre ma petite chatte affamée ! Niquez-là… Oh oui, je vais jouir !!! Pourquoi dieu vous a-t-il donné de tels attributs, et pas à nos époux ? Hein, pourquoi ???
- C'est pour pouvoir régaler les blanches, répond René. Han, moi aussi je viens… Tenez Madame, ça vous va comme ça ? C'est bon, hein ? Vous voudrez bien me sucer après ? D’accord ? »
Le sperme afflue en abondance dans les entrailles de Valérie.
« Mon dieu, quelle réserve ! Vous vous videz autant chaque fois ? Ben dis-donc ! Bien sur que je vais vous taillez une pipe ! Je vais vous faire bander encore plus fort, et vous, vous allez voir comme je vais tout avaler, et tout nettoyer ! »
Pendant une heure, René va prendre Valérie dans toutes les positions. Pendant près de trois heures, il va lui remplir tous les orifices de sa semence, il va la faire hurler de plaisir. Des cernes se forment sous les yeux. Elle est épuisée, tandis que René n'a pas l'air plus affecté que ça. Elle ne sait plus combien de fois elle l’a sucé, combien de fois ila bouffé sa chatte pleine de son sperme. Elle coule de partout, une vraie fontaine de foutre et de cyprine mélangés…
« Quel amant vous êtes ! Combien de fois vous m’avez baisée ? Cinq, six ? Je ne sais plus. Ce que je sais, c'est que je n'ai jamais joui comme ça !!!
- S'il y a d'autres réparations, je peux revenir Madame. Si vois avez envie de vous le faire mettre par une grosse queue de black.
- Il y en aura, j'y tiens, poursuit Valérie. Mais c'est moi qui vous contacterai. Heu, on peut se tutoyer maintenant ?
- Comme tu veux », répond-il.
Valérie lui donne un sulfureux baiser. Sa langue a encore la force de dévorer celle du plombier. A tel point qu’elle a de nouveau une féroce envie de lui. Mais René finit la réparation et prend congé.
Le mari de Valérie rentre vers dix-huit heures. Il trouve son fils installé devant la télé.
« Alors mon fils, tu as passé une bonne journée ? Et maman, elle est où ?
- Elle prend sa douche, répond Didier. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. Un Monsieur est venu pour réparer la salle de bains, maman s'est enfermée avec lui pour lui donner un coup de main, et pendant des heures, elle ne s'est pas arrêtée de crier : encore… Encore… Oui, oui… Vas-y, salaud ! »
Le visage du mari se crispe.
« La salope, elle a donné un coup de main, mais en échange, il a du lui mettre des coups de queues. Elle va me le payer, et cher ! Elle sait bien qu’elle ne doit se faire baiser comme une chienne qu’ne ma présence... Il va falloir convoquer cet homme, pour que je vois ma salope de femme se faire mettre par tous les trous... Ca m’excite tellement ! »
Ma première infidélité
Comme j’ai abordé le sujet de l’infidélité dans un jeune couple, dans un commentaire, après le récit des aventures de jeunes mariés d’Agde, je viens vous conter ma propre histoire.
Je suis mariée un beau jour du mois de mai, comme beaucoup de jeunes couples. Les relations sexuelles n’étaient pas le fort de mon mari, mais je me faisais une joie de l’amener à toutes sortes de jeux sensuels et érotiques. Je comptais beaucoup sur notre voyage de noces, pour être enfin seuls sur une longue période, et faire tout plein de choses très excitantes… il était routier, moi, commerciale. Tous les deux sur les routes toute la semaine, et pas dans la même région. Nous étions donc peu ensemble. Dix jours de lune de miel, j’en rêvais depuis des mois !
Je rêvais d’une nuit de noces exceptionnelle… j’avais réservé une superbe suite dans un château-hôtel de la région. Je la voulais torride, amoureuse, pleine de surprises pour mon mari tout neuf.
Premier choc : il a tout annulé, réservant une chambre à proximité de l’aéroport au motif qu’on serait plus près pour l’avion le lendemain. Résultat : une « nuit de noces » bâclée, rien dans la chambre anonyme et glaciale, pas une intention de l’hôtelier, un coup rapide, quasi contraint de mon homme « j’suis fatigué… »
Je n’ai pas pu dormir, pleine d’amertume et de frustration... Beau début, pour une vie de couple ! Le lendemain, je trainais, seule encore dans l’aéroport, je suis tombée sur deux livres que je voulais lire. Sur une impulsion, je les achetais. L’un était la bio de « Liane de Pougy », à lire d’ailleurs absolument….
Nous partîmes pour notre ile de rêve. Je passe les détails de ce voyage de noces cauchemardesques : nous avons fait deux fois l’amour en dix jours, DEUX FOIS. Et en moins de quinze minutes chrono !
Pour moi, la femme amoureuse, hypersexuelle qui plus est, j’étais au bord de la crise de nerf. Morale et physique. Plein de doutes sur mon futur mariage, et mon mari. J’ai pu lire tous les livres que je voulais : un comble, lors d’un voyage de noces, non ? Des hommes m’ont draguée, j’ai refusé leurs avances. Ma morale, mon envie de bien faire les choses avec mon mari, m’ont retenue…
Vous pouvez imaginez ça, vous, un voyage de noces où on ne fait que deux fois l’amour car « monsieur est fatigué » ???
Nous repartîmes dans notre région, fîmes une halte chez ses parents (il ne m’aura rien épargné) pour finir par me dire de rentrer seule chez nous, il avait à bosser dans ce coin-là. Je suis donc rentrée seule de voyage de noces, seule chez « nous », frustrée, triste, humiliée, en colère.
Le lendemain, je repris ma route, et allais passer la nuit à Montargis, pour mes affaires commerciales.
A l’hôtel, je sortis diner sur la terrasse, en cette fin mai très chaude. Toute les tables sont occupées par des personnes seules, comme souvent en semaine dans ces hôtels de chaine. Que des hommes, et une autre femme. Je commande et me plonge dans mon livre. Pourtant, je sens un regard insistant. Je lève les yeux, et face à moi, un homme blond comme les blés sourit, ses yeux bleus sont des épées qui me transpercent le corps.
Je ne réponds pas, replonge dans mon livre, très troublée. Le manège dure tout le diner.
A la fin, vous vous en doutez, il est venu me parler. Aussi froidement que j’ai pu, je lui ai dit que je ne voulais pas discuter avec lui, et j’ai rejoint ma chambre. Pourtant, tout m’attirait chez cet homme : ses yeux, ses mains puissantes, ses bras si accueillants…
Mais je venais de me marier !!!!
Deux jours avant, j’étais dans la Caraïbe avec mon mari ! Je ne pouvais pas parler avec un autre ! Encore moins céder à ses avances…
J’étais dans un hôtel C**, vous savez, ceux qui dont les chambres donnent toutes dehors sur le parking. J’ai laissé la porte ouverte, il faisait trop chaud. Je me suis mise à travailler sur le bureau, sous la fenêtre. Un moment plus tard, un papier est glissé dans la charnière de la porte…
Une lettre. Une très belle lettre, comme jamais mon mari ne m’en a écrit une…
C’est lui, l’homme du diner. Il me parle d’amour, de ses envies de moi, de son attirance folle, alors que je lui ai tout de même dit que j’étais mariée depuis 10 jours exactement…
Cette lettre ouvre les vannes. Je pleure un long moment, je pleure sur toutes mes illusions perdues. Je suis prostrée sur mon lit, l’oreiller baigné de mes larmes de rage et de désillusion…
Une main effleure mon épaule, Je ne bouge pas. Je sais que c’est LUI. Il a signé sa lettre Yann.
Il frôle mon bras d’une caresse légère comme une plume. Il m’électrise, littéralement. Sa main descend sur mes flancs, il avance ensuite sur ma cuisse à moitié découverte par ma jupe retroussée. Je suis couchée en chien de fusil sur le lit. Ses doigts sont magiques, ils m’envahissent toute entière. Un vague sentiment de culpabilité me traverse le cœur, la honte traverse fugitivement mes pensées. Et plus rien.
Il n’existe plus rien que cette main aux doigts d’or, qui me caresse tout le corps, sans qu’un mot ne soit prononcé.
Je suis dans cette ile, de nouveau, mais avec un homme amoureux et plein de désirs pour moi. D’un geste un peu plus ferme, il me fait me retourner, écarte ma chemise, pour saisir un sein resté libre. Je n’avais pas remis de soutien-gorge après ma douche. Il pointe vers le ciel, insolent et dur. Yann se penche et aspire le têton dardé. Je ne suis plus que ce sein, aspiré par cette bouche gourmande.
C’est le signal. Le signal de plusieurs jours de folie pure. Sa main saisit mon autre sein, la mienne remonte directement vers son entre-jambe. Il bande. Il bande comme un taureau. Sa braguette cède rapidement sous la poussée.
En quelques secondes, nous voilà nus sur le lit. Il nous faut un éclair de lucidité pour aller refermer la porte de la chambre, restée grande ouverte sur le parking.
Ce soir-là, pas besoin de voyeurs.
Yann se couche près de moi. Il me caresse comme si j’étais la chose la plus précieuse au monde. Sa langue prend le relais de ses mains. Elle court sur tout mon corps, douce, agile, ferme… Il n’oublie aucune parcelle de peau, qui se hérisse sous cette diabolique agression. Je frémis de désir, je suis prête à exploser. Il atteint enfin ma vulve, congestionnée, gonflée de désir exacerbé, de toutes les frustrations ressenties depuis dix jours…. Il a à peine effleuré mon bouton d’amour érigé, que j’explose. Jamais je n’ai connu cela : en moins de dix secondes, il me procure un orgasme phénoménal. Je crie, je hurle, je déchire mes cordes vocales dans une longue plainte de jouissance.
A tel point que moins d’une minute après, le téléphone sonne. Ce sont les gérants. Ils s’assurent que tout va bien… Et que je m’exprimerai moins à l’avenir….
Ce sera un vœu pieux…
Yann est tout aussi surpris que moi par la violence de ma jouissance. Je lui explique brièvement mon voyage de noces. Il me coupe la parole en m’embrassant fougueusement. Sa langue joue un ballet interminable avec la mienne… Nous nous avalons, nous dévorons sans fin. J’adore sa bouche, ses lèvres, son corps…
J’ai tout oublié. Il ne reste plus que nous deux sur terre.
Il m’allonge sur le dos, reprend ses caresses et vient ouvrir ma chatte de ses doigts si doués… Je suis humide, que dis-je, trempée… J’en profite pour saisir son sexe, une belle hampe épaisse, dure, douce, parfaitement à mon gout. Je le masturbe fermement, je m’accroche à l’objet de mon désir. Il se met au-dessus de moi, et dans un accord parfait, j’accroche mes jambes autour de son bassin, alors qu’il s’enfonce enfin en moi. Sa bite dure me perfore d’un seul coup. Enfin, je me sens prise, possédée, remplie. Il commence lentement ses va et viens puissants. Je reste arrimée à son bassin. Il accélère, je l’accompagne. Nos hanches sont soudées Ses va et vient se sont transformés en sortes de cercles internes, qui massent tout l’intérieur de mon vagin. Je sens son gland proéminent frotter mon utérus. Il me remplit à fond. Comme j’aime. Je jouis une nouvelle fois, plus lentement, plus profondément. Il me cloue sur le lit, accentue ses coups de boutoir, et jouit dans un cri animal. Je sens sa semence me remplir, déborder, couler entre mes cuisses… Le bonheur à l’état pur.
Nous retombons côte à côte un bref moment. Il me câline, m’embrasse, il fait exactement tous les gestes que j’attendais vainement de mon mari tout neuf pendant le voyage de noces. Il me fait craquer.
Il est marié depuis peu, lui aussi. Il a les mêmes manques que moi. Nous nous sommes trouvés. Plus un seul remords ne nous atteint.
Trêve de bavardage : il a envie de moi, moi de lui… En quelques secondes, nous repartons dans une copulation sauvage, presque dure tant elle est brusque. Il me reprend en levrette, martyrise ma chatte à grands coups de rein violents. Nous avons besoin de cette violence extrême. Plus aucune tendresse durant quelques minutes. Juste deux corps qui luttent pour leur plaisir, qui se cherchent, se trouvent se heurtent pour enfin jouir quasiment ensemble, dans un nouveau cri qui déchire la nuit de l’hôtel. Son sperme m’envahit de nouveau, je viens le cueillir du bout des doigts. Je le porte à mes lèvres, puis je viens embrasser Yann à pleine bouche. Il a un mouvement de recul, puis se laisse faire. Nous dégustons ensemble son sirop d’amour épais et salé.
Il doit y trouver goût, car il plonge soudain entre mes cuisses, pour me lécher à fond, comme j’aime… Sa langue ne me laisse aucun répit. Il ne me lâchera qu’après m’avoir fait jouir deux fois avec sa langue. Cet homme est magique, il a des dons incroyables. La nuit va passer ainsi, à faire l’amour sans répit. Il ne débande pas. Il semble s’en étonner lui-même.
Au petit matin, il faudrait nous séparer. Nous devons travailler, voir nos clients respectifs. Mais c’est impossible. D’un seul regard, nous décidons de faire grève… Nous avons passé la journée au bord d’une rivière à faire l’amour sans interruption, ou presque. Je ne me reconnaissais pas. Jamais je n’avais autant baisé de ma vie. Ma chatte commençait à souffrir. Sa queue aussi. Il ne débandait pas, mais son gland était devenu rouge vif.
Sur le chemin du retour à l’hôtel, nous avons du passer à la pharmacie, acheter de la biafine. Il nous a fallu passer de longues minutes à calmer les échauffements de nos sexes surmenés.
Ainsi, nous avons pu passer une deuxième nuit de folie, à faire l’amour tant et plus. Nous étions comme deux affamés qui trouvent enfin à manger après des mois de disette. Le jour suivant, il nous a fallu aller travailler. Journée courte, comme les deux suivantes. Nuits encore plus courtes. Jamais nous ne nous sommes rassasiés l’un de l’autre.
La dernière nuit de la semaine arrive. Nous avons eu le temps de parler de nos fantasmes. Je lui ai dit mon envie devoir des hommes se branler devant moi. Après le diner, alors que je me dirige vers notre chambre, il me retient par le bras : « Non ma puce, on ne va pas là… Viens. »
Il me fait monter en voiture, et après quelques kilomètres, nous arrivons devant une grande maison bourgeoise. Tout est illuminé, mais l’endroit semble désert.
« Ne pose pas de questions », me dit-il.
J’obtempère et le suis. J’ai une confiance aveugle dans cet homme. Il m’entraine dans un grand salon, vide, à l’exception d’un grand lit à baldaquin. Sur le couvre-lit, une grande boite est posée. Elle est pour moi. J’y trouve une guêpière noire, qui laisse les seins libres, des jarretelles, de bas noirs, de vertigineux escarpins de cuir, noir aussi…
Yann me désigne une pièce, au bout du salon. J’y vais me changer, passer cette tenue qui m’excite déjà follement. Yann est un miracle pour moi… Il devine mes moindres désirs. Je rentre dans le vaste salon désert, sure de moi, sure d’être attirante et sexy dans cette tenue de péripatéticienne de luxe… Je ne me trompe pas. Yann me regarde arriver, la queue dressée vers le ciel de lit. Comment peut-il encore autant bander après quatre jours et quatre nuits de copulation intensive ???
Je m’allonge sur le lit, une musique douce joue au loin. Yann ferme les rideaux du lit. Nous sommes dans un écrin de blancheur, où seul notre plaisir est maitre.
Il se penche sur moi, me caresse, ouvre les lèvres de mon abricot ultra irrité, mais qui réclame encore et encore ses mains, sa langue, son pieu adoré…
J’entends des bruissements dans le salon, mais il prétend que c’est la musique. Je me laisse aller à ses attouchements érotiques, qui m’enflamment, une fois de plus. Soudain, je vois les quatre rideaux s’ouvrir en même temps. Et là, surprise, une bonne douzaine d’hommes sont présents, entièrement nus. Je crie de surprise.
« Chut, ma chérie... tu voulais des hommes, tu vas en avoir…
- Mais je ne peux pas les prendre, je suis hors service, je ne peux en recevoir aucun !
- Ne t’inquiètes pas, mamour, ils suivront tes ordres à la lettre... »
Je suis ébahie, chavirée par cette vision de rêve : douze hommes bien bâtis, certains masqués, de belles bites à la main, toutes bandée bien comme il faut.
Yann reprend des caresses et fouille mes lèvres intimes de sa langue. Il prend bien soin de montrer aux hommes ce qu’il me fait. Certains se rapprochent. Partout où je porte mon regard, je ne vois que des mains qui masturbent des queues raides. Je jouis à cette seule vue. Je jouis de l’excitation que je leur procure… Un flot de cyprine inonde le visage de Yann, et coule sur mes jambes. Un homme d’enhardit, et vient chercher ma mouille de ses doigts. Je l’autorise d’un regard.
Une idée folle me traverse l’esprit : « Yann, tu m’as bien dit qu’ils obéiront à tout ?
- Oui, mamour.
- Alors, je veux que chacun vienne me lécher à tour de rôle. Je ne veux que leurs langues, et leurs mains. J’en veux un sur ma chatte, un sur chaque sein. Et toi qui m’embrasse….
- Messieurs, vous avez entendu ? A vous de jouer. Juste vos langues, vos mains. »
Les hommes obéissent. Comment sont-ils aussi dociles ??? Pendant plus de deux heures, je vais être caressée, léchée, sucée, branlée sans répit. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui…. D’autant que certains, sans doute un peu frustrés, ont entrepris de se sucer entre eux. Mon bonheur est à son comble : je suis exhibée, caressée, et j’assiste à mon spectacle préféré : voir des hommes baiser entre eux ! Les voyeurs jouissent aussi, le sperme coule partout… Ca sent le foutre à plein nez. La débauche est totale.
Le final approche, je le sens… Yann me fais mettre en levrette, il ouvre ma chatte baveuse à la vue de tous… Il écarte mes fesses pour titiller ma rosette qui ne demande que ça…
Un mec vient se coucher entre mes cuisses, et entreprend de sucer mon clito toujours bandé. Un autre vient au-dessus, et de sa langue, ouvre mon anneau brun…
Yann, lui, commence à me posséder fortement, de sa queue tant aimée. Quel plaisir fou ! Deux langues sur moi, une bite ancrée dans ma chatte. D’autres mains viennent me caresser, torturer mes seins lourds. Une queue courte vient devant ma bouche. Je la gobe, et la recrache. Après tout, ils sont là pour mon plaisir, pas pour le leur !!! Je suis hyper égoïste !
J’ai un orgasme énorme, qui me fait hurler à la mort. Je tremble de tous mes membres, je me sens possédée à fond, mangée, avalée. Je sais que j’ai perdu connaissance, Yann me l’a confirmé.
Quand je reviens à moi, il n’y plus personne. Juste nous deux. Je me demande si je n’ai pas rêvé. Mais l’odeur de foutre est bien là, produit de maintes éjaculations. Je n’ai pas rêvé. J’ai eu mon cadeau de mariage. J’ai eu mon voyage de noces. Mais pas avec mon mari.
Le lendemain nous nous sommes séparés à regret, et le mot est faible. A mon retour, personne à la maison. Mon « mari » n’avait pas jugé utile de rentrer pour le week-end… Avec Yann, notre histoire a duré trois mois, jusqu’a ce que je sois enceinte… De lui ? De mon mari ? Je ne savais pas….
Les bourgeoises en gang bang - partie 3
Avertissement :
Cette histoire fictive est vraiment très hard. Elle pourrait en choquer certains. Je m’en excuse à l’avance, et souhaite que vous ne m’en teniez pas rigueur. Mais parfois, j’ai envie d’écrire des choses violentes.
En arrivant au lycée, une petite appréhension m’étreignait la poitrine. J’avais longuement hésité devant ma penderie le matin, me demandant comment je devais m’habiller. Je me souvenais des ordres de Souleyman qui m’avait demandé d’être sexy. Refusant d’abdiquer si facilement, je m’habillai d’une jupe à carreaux s’arrêtant juste au-dessus du genou, un haut blanc, des bas noirs et des escarpins à talons plats.
Je traversais les couloirs me rendant dans ma salle de classe quand je tombais sur Souleyman et Rachid. Je blêmis en les voyant. Souleyman s’approcha de moi :
« Comment t’es sapée !!! Tu te fous de ma gueule ? on avait dis sexy ! T’as mis une culotte, je parie ?
- Je vous préviens que je vais porter plainte si vous continuer à me harceler ! lançais-je d’une voix que je voulais autoritaire.
Mais Souleyman et Rachid ricanèrent :
- Vas-y porte plainte et demain ton mari et ton père auront les vidéos de vos exploits à ta mère et à toi ! Surtout quand tu jouis tellement que tu tombes par terre ! Alors ? Tu obéis ? »
Tétanisée, je ne pus qu’acquiescer. Rachid et Souleyman m’entrainèrent vers les toilettes.
Souleyman sortit un objet de sa poche. Cela ressemblait à un œuf mais de couleur rose. J’écarquillais les yeux, ne comprenant pas.
« Tu vas t’enfoncer ça dans la chatte, salope !!
Je me sentis devenir rouge de honte.
- Relève ta jupe !! aboya Rachid. »
Apeurée, et bizarrement excitée, je m’exécutais. Je soulevais doucement ma jupe dévoilant mes jambes. Arrivée à la lisière de la jarretière, je m’arrêtais.
« Continue, connasse ! Fais voir ta culotte ! »
Je soulevai la jupe laissant apparaitre mon string en dentelle. Je reçus immédiatement une violente claque sur les fesses et je dus l’enlever.
Souleyman s’approcha de moi et m’introduisit l’œuf dans la chatte. Puis il sortit une espèce de télécommande de sa poche et me la montra, hilare :
« Tu vas prendre ton pied ma salope !!! »
Il actionna un bouton et l’œuf se mit à vibrer dans mon intimité !!! C’était une sensation étrange de sentir ce corps étranger bouger dans ma chatte. Très vite, je ressenti une délicieuse chaleur dans mon bas-ventre. Rachid me dégagea les seins de mon haut et baissa les balconnets de mon soutien-gorge. Il me suça les pointes lentement, me les mordillant à peine. L’œuf continue de vibrer et je mouille comme une folle.
Souleyman m’explique qu’il peut choisir la vitesse de vibration de l’engin et joignant le geste à la parole, il appuie sur un autre bouton. Immédiatement, je sens l’œuf vibrer de plus en plus vite. C’en est trop. Je me mords les lèvres en gémissant et donne de furieux coups de reins. Souleyman passe sa main sur ma vulve et ramène ses doigts couverts de cyprine. Il me force à les nettoyer avec la langue et je m’exécute vilement.
Il arrêta le moteur de l’œuf me laissant au bord de l’orgasme et je ne pus m’empêcher de pousser une exclamation de dépit.
« Tu vas aller en cours, sans culotte et avec l’œuf dans la chatte. Je me mettrais au premier rang et je te ferais prendre ton pied en plein cours si je veux !
- Oh non, non pas ça, je vous en supplie. »
Je suis affolée à l’idée de jouir en pleine classe devant mes élèves !
Mais Souleyman et Rachid, impitoyables, me laissèrent seule dans les toilettes. Juste quand résonnait la sonnerie annonçant le début des cours.
Je marche maladroitement sur l’estrade. Gênée par l’œuf. Honteuse d’être sans sous-vêtement, je n’arrête pas de me demander, angoissée, si cela ce voit à travers le tissu de ma jupe.
Au premier rang. Souleyman, Rachid et Brahim me dévisagent, une lueur ironique dans le regard.
Je suis en train de donner une explication à un élève quand je sens l’œuf se mettre à vibrer. Je sursaute et m’arrête net de parler. Je deviens toute rouge. Je continue de donner mon cours en balbutiant.
« Ca ne va pas Madame ? Vous vous sentez mal ?
- Non, non, ça va, merci. »
Les jambes flageolantes, je retourne m’asseoir à mon bureau. Il y a une ouverture dessous et l’on peut voir mes jambes. Certains de mes élèves ne doivent pas se priver de les mater du reste.
Je donne un exercice à faire pour être tranquille.
Souleyman se lève, me regarde dans les yeux et me tend un bout de papier. Horrifiée, je découvre le message.
« Écarte les cuisses que l’on voit ta chatte. »
Docilement, je m’exécute. J’écarte lentement mes jambes. Ma jupe s’est retroussée sur mes cuisses et l’on doit se rendre compte que je ne porte rien dessous si l’on se penche un peu. Je réalise, humiliée, que c’est ce que font plusieurs de mes élèves ! Mon Dieu ! Ils vont apercevoir ma fente !
J’entends des chuchotements et des gloussements. J’essaye de rester naturelle. La sonnerie retentit et je sursaute. Soulagée, je salue mes élèves qui sortent précipitamment. Sauf Rachid, Brahim et Souleyman.
Brahim s’approche du bureau et me demande de me lever. J’obéis.
« Soulève ta jupe !
Il introduit un doigt dans ma chatte.
- T’es trempée ma salope, une vraie fontaine !!! »
Les autres éclatent de rire. Souleyman a sorti un appareil photo numérique et il commence à me filmer malgré mes supplications.
« Monte sur ton bureau », ordonne Rachid.
Je m’exécute et monte sur mon bureau. Je suis obligée de retrousser ma jupe au maximum, dévoilant mes jambes gainées de bas noirs à mes trois élèves pervers.
Il me demande de me mettre en position accroupie sur le bureau. Cette posture ne leur cache rien de mon intimité. Souleyman filme et Brahim prend des photos. Je dois sortir mes seins de mon soutien-gorge et je me retrouve la poitrine dénudée en pleine classe !
Rachid actionna l’œuf et très vite je me mis à gémir. Je les supplie d’arrêter.
« Ca va faire un film du tonnerre, lâche Souleyman, les internautes vont adorer. »
On m’oblige à changer de position et je me retrouve à quatre pattes sur mon bureau, le cul tourné vers la caméra, l’œuf vibrant toujours. Brahim m’enfonça un doigt dans le cul. Le faisant coulisser rapidement. Rachid fit le tour et enfourna sa bite dans ma bouche m’étouffant à moitié. Je lui suce le gland, le pompant frénétiquement. Brahim agite ses doigts de plus en plus vite et je gémis de bonheur. Rachid m’agrippe les cheveux et fait coulisser son membre entre mes lèvres. Il déchargea sa semence qui s’écoula dans le fond de ma gorge. Rachid retira ses doigts et me fit descendre du bureau. Il me retourna et me plaqua dessus, les seins écrasés. Il me pénétra brutalement, et me donna de violents coups de reins. Très vite, il joui et je sentis son sperme couler le long de mes cuisses.
Souleyman réclamant sa part du gâteau mais continuant à filmer, je dus le rejoindre à quatre pattes, comme une chienne me lancèrent-ils, et je dus le sucer sous l’œil de la caméra qui me filme en gros plan, jusqu’à ce qu’il m’asperge le visage de foutre..
Le portable de Souleyman sonna. Il vient de recevoir un texto.
« Des nouvelles de ta mère, me lance-t-il. Elle a bien bossé, elle nous a rapporté un max de fric. Va falloir t’y mettre toi aussi ! »
Je baisse la tête, effondrée. Moi encore, mais ma pauvre maman ! Qu’a-t-elle donc bien pu subir comme humiliations ?
Récit de Suzanne
Je reprends la suite du récit de ma fille Clara. A la demande de nos tortionnaires, nous sommes contraintes d’envoyer des comptes-rendus détaillés de nos turpitudes depuis que nous sommes devenues les esclaves sexuelles des élèves de ma fille. Je m’appelle Suzanne, j’ai cinquante ans. Je suis directrice d’une agence bancaire et j’habite un grand pavillon dans la région parisienne. Je suis grande, élancée. Féminine, raffinée. Je fais très attention à mon corps. Souleyman a créé un site internet où il poste les photos et les vidéos dont nous sommes bien malgré nous les actrices. Il a également ouvert un blog où ma fille et moi, nous devons toutes les semaines raconter notre déchéance.
Après cette après-midi de cauchemar où ma fille et moi, nous avions été partouzées par des jeunes de banlieue, Souleyman m’avait ramenée chez moi. Avec ses complices, ils m’avaient baisée une dernière fois me laissant anéantie.
La sonnerie du pavillon retentit et je me dirige vers la porte. Je suis seule, mon mari est à l’étranger pour visiter un chantier. Il est à la tête d’une grosse entreprise de BTP qui passe des contrats important un peu partout dans le monde mais aussi en France.
Je reste bouche bée devant la porte. Trois blacks, des jeunes, sont devant moi. Capuche sur la tête, casquette. Sans hésiter, ils rentrent me bousculant presque.
Je tente de protester :
« Mais ! Sortez d’ici immédiatement ! »
Un des blacks se retourne et me dévisage.
Il mate mes seins moulés dans mon chemisier en satin. Je m’apprêtais à partir au travail.
« Pas mal, la bourgeoise ! Souleyman m’avait prévenu. Du premier choix !
Ils éclatent de rire et je blêmis.
- Je croyais qu’il t’avait dis de t’habiller sexy pour recevoir tes premiers clients ! »
Je manque m’évanouir. Je ne pensais pas que ces jeunes étaient sérieux quand ils nous avaient annoncé ça dans la voiture qui nous ramenait.
Il me prend par les bras et m’entraîne vers le salon, les talons de mes escarpins claquent sur le sol.
Le plus grand, qui semble commander, me dit s’appeler Moussa. Il me présente ses complices : un plus petit, le crane rasé, le regard méchant qui s’appelle Diouf et un gros, énorme, le ventre en avant. Il a dû trop se nourrir de fast-food. Il porte un sac.
Moussa me demande si j’ai internet. Je les emmène dans le bureau de mon mari. Il allume l’ordinateur et il se dirige sur un site intitulé « Dressage de bourgeoises ». Je défaillis. Ma fille et moi sommes les héroïnes de ce site immonde où l’on nous voit se faire prendre à la chaîne dans le sex-shop et dans la cave de la cité. Je suis quand même soulagée de voire que nos visages sont floutés.
Pendant que je regarde le film, la main de Moussa remonte le long de mes jambes. Je frémis au contact mais ne dis rien, fascinée malgré moi par le film. Diouf déboutonne mon chemisier. Il baissa les balconnets de mon soutien-gorge faisant apparaitre mes seins. Il souleva ma jupe, baissa mon collant et mon string.
« Tu ne devras plus porter de sous-vêtement à part des bas. Tu as un porte-jarretelle ? »
Médusée, je hoche la tête. La main de Moussa me caresse la vulve. Je commence à mouiller. J’ai honte, mais j’aime ce contact. Cette main noire qui caresse ma peau blanche m’excite terriblement.
Moussa m’appuya sur les épaules et je dus m’accroupir. Il sortit son sexe. Un membre qui me parut énorme. Une matraque de chair qu’il m’enfonça brutalement dans la bouche. Je dus le pomper longuement, salivant sur la hampe, lui léchant les couilles. Il éjacula, le sperme giclant contre mon palais. Je déglutis avec peine et avalai sa semence.
Je fus relevée et emmenée dans ma chambre. Je dus faire le tri dans ma penderie, jeter tous mes pantalons. Moussa et Diouf admirèrent ma lingerie.
« C’est pas mal, mais pour aujourd’hui, on t’a ramené des fringues. Enlève ta jupe ! »
Je me déshabillais et restais devant les trois hommes totalement nue. Le gros, qui se prénommait Brice, me palpa sous toutes les coutures. Les seins, la chatte, le cul. Puis je dus m’habiller avec les vêtements qui étaient dans le sac qu’il avait emmené.
Un collant noir à couture ouvert à l’entrejambe dévoilant mon cul et ma chatte. Un soutien-gorge ouvert également laissant apparaitre mes seins. Une minijupe en vinyle s’arrêtant juste en dessous des fesses et une paire de cuissarde en vinyle également aux talons très hauts. Moussa ajusta un collier autour de mon cou avec une laisse. Je ressemblais vraiment à une pute ! Non ! Pire, à une esclave.
Moussa m’ordonna d’appeler ma banque pour dire que j’étais souffrante et que je ne pourrais venir aujourd’hui. Pendant que je parlais avec mon stagiaire, Bertrand, un jeune que je chargeais en général d’effectuer les tâches ingrates dans la banque comme faire les photocopies, Brice m’enfonça deux doigts dans ma chatte. Je sursautais !
« Oui, oui, Bertrand. Non, je ne viendrais pas. »
Sadiquement, Brice remue ses doigts boudinés, je mouille et j’entends les clapotis. Pendant ce temps, Diouf me malaxe les seins. Je ne tarde pas à réagir à ses caresses et je donne des coups de reins involontaires. Je raccroche précipitamment et je gémis.
« Arrêtez, je vous en supplie. c’est trop ! »
Ricanement de Brice qui me branle sauvagement faisant coulisser ses gros doigts dans ma fente. Diouf me suce les tétons.
Moussa filme la scène avec une caméra numérique. Brice me branle savamment me caressant lentement puis plus vite me faisant haleter. Diouf m’enfonça son index dans mon anus et je sursautai. Branlée par la chatte et le cul, je ne tardais pas à jouir sous le regard de la caméra.
Le souffle court, je tentais de récupérer. Moussa se pencha vers moi :
« T’as intérêt à récupérer ma chérie, y a du monde qui va arriver. On a mis une annonce sur le site. Une bourgeoise qui recherche des mâles bien montés pour un gang bang géant. On a vite recruté, ils ont tous payé sans rechigner. Ce sont des blacks qui viennent de différentes cités de la région. Tu vas morfler ! Pute à blacks ! »
Et il éclata de rire.
Voila donc ce que j’étais devenue : une pute à blacks. Moi, la bourgeoise respectable, la bonne épouse, bonne mère de famille. Effondrée, je m’affalais sur le sol.
En effet, ils arrivèrent dans la soirée. Horrifiée, je découvre qu’ils sont au moins une dizaine. Tous blacks. Des jeunes. Ils sifflent en découvrant mon beau pavillon. C’est moi qui vais leur ouvrir dans ma tenue de pute. Je subis des commentaires salaces :
« C’est toi la pute à blacks ? Qui veut des bites noires pour te faire gueuler ?
Je baisse la tête, honteuse et je dois répondre dans un souffle :
- Oui, c’est moi. »
Je suis empoignée et amenée dans le salon. Je suis accroupie sur la moquette. Les jeunes sont déjà en érection et se branlent doucement. Plusieurs bites d’ébène se présentent déjà devant moi. J’engloutis les membres dans ma bouche. Plusieurs mains malaxent mes seins.
« Vas-y la bourgeoise ! Ouvre la bouche, suce nous, tu vas nous vider les couilles, pute à blacks ! »
Un grand black fait coulisser sa bite entre mes lèvres. Il éjacule rapidement m’étouffant avec son sperme. Des mains se faufilent sous ma jupe me titillant le clitoris. On me suce les seins. Moussa filme bien sûr. Je suce plusieurs bites. Et parfois deux en même temps. Je suis essoufflée. On se vide dans ma bouche et je dois avaler le foutre.
Je suis mise à quatre pattes et on me fesse le cul. Des doigts s’enfoncent dans mon cul et ma fente. Puis une queue me pénètre et une autre s’engouffre dans ma bouche. Mon corps ballote sous les coups de pines. Je gémis. Je suis traitée comme une chienne mais j’y prends un sale plaisir ! Celui qui me pilonnait éjacula sur mon dos et celui que je suçais se vida sur mon visage. Aussitôt un autre le remplaça. Ses va-et-vient violents me font gémir. Il se retira de mon ventre et sans précaution força mon anus. Je voulus crier mais bâillonnée par la bite que je suce, mes cris se muèrent en gémissements plaintifs.
« Quelle salope ! Une vraie pute ! »
Moussa me filme en gros plan.
Cela dura toute la nuit. Mon corps ne m’appartient plus. Il leur appartient. Je leur appartiens. Les petits salauds en abusent. Empalée sur une bite, enculée par une autre et contrainte d’en sucer une troisième, je jouis sans discontinuer. Je serais enculée et branlée en même temps avec un gode. Que je devrais sucer ensuite. On se branle entre mes seins. Mes « clients » se soulagèrent en se vidant sur mon visage. Le sperme gicla allant s’écraser sur mes lèvres, mes cheveux, mes yeux. Un des jeunes, plus pervers que les autres, voulut éjaculer dans mes mains et je dus lécher son sperme ensuite. Pour la plus grande joie de Moussa qui trouva cette scène « génial ! »
Ils partirent au petit matin me laissant affalée sur le sol. Moussa, Brice et Diouf n’eurent aucune pitié. N’ayant pas pu profiter de moi, je fus obligé de terminer la soirée en les suçant tous les trois. Ils se vidèrent rapidement dans ma bouche. J’avais tellement de foutre en bouche que cela déborda et que ça coula sur mon menton.
« Allez, on va te laisser récupérer ma salope !! Mais vite, hein ! Bientôt on t’emmènera dans un chantier qui appartient à ton mari. Vu comment il doit les payer, il leur doit bien une compensation ! »
Ils éclatèrent de rire. Je me relève péniblement.
Après avoir été une pute à blacks, allais-je devenir une pute à chantier ?
Ma suceuse avide
Ma suceuse avide, par l’auteur de http://mots-crus.over-blog.com
Mes couilles sont lourdes, grosses et grasses de tout mon jus poisseux bien chaud qui n'attend qu'une chose, c'est se faire pomper par la bouche avide d'une grosse cochonne.
Suce bien cela, ma tentacule gluante, géante et raide, ce pieu amoureux qu'érige mon désir quand je te vois avec cette jupe serrée à ta taille, qui moule ton petit cul. Tu es ma petite chienne que je promène dans la rue pour que tu soulages ta vessie, accroupie entre deux voitures. Et tant que tu as la bouche à porté de ma bite, baisse ma braguette et viens téter mon jus.
A genoux dans la rue, au milieu de la flaque de ton urine chaude, mets ta bouche sur ma queue et dévore ma bite avant que la foule entière réalise que, dans ce recoin de ruelle, une salope s'affaire à faire jaillir mon foutre de mes couilles juteuses.
Suce, lèche, aspire et pense bien à branler mon sexe qui durcit dans ta bouche de chienne à la langue râpeuse. Fait le tour de mon gland et prend toute ma queue dans ta gorge. Dépêche-toi de me sucer toutes les veines de ma queue, monstrueuse créature qui palpite, s'affole et se passionne pour les bouches dévergondées des chiennes et de cochonnes prête à tout pour étancher leur soif de foutre brulant.
Monument parfait de ma sexualité comme toutes les autres, tu voues un culte à ma queue, et ta prière buccale me fait bander encore plus. Sanctifie de ta bave toutes les facettes de cette érection qui pénètre ta bouche aux lèvres maquillées.
« Tu vas boire mon foutre, avaler ma semence, parce que je sais que tu es ma salope assoiffée ! »
Doucement, caresse le sursaut de mes couilles pour hâter mon jus gluant de jaillir sur ta langue et te remplir la bouche comme la source du vice. Amorce donc la pompe sans retour qui fera exploser mon sexe entre tes babines suaves. Branle encore ma hampe en suçotant ce gland qui étouffe en toi la pudeur et la peur.
Et je gicle dans ta gorge des flots de sperme brulant qui remplissent par vague ta bouche trop petite. Tu baves mon sperme, et ma queue qui surgit hors de ta bouche pleine, gicle encore quelques jets bien chauds qui souillent ton visages et engluent tes cheveux.
Tu es mon vide-couilles favori, ma suceuse préférée toujours avide de ma queue, toujours prête à bander entre tes lèvres et se vider en elles….
- Commentaires textes : Écrire
Les bourgeoises en gang bang - la suite.
Avertissement :
Cette histoire fictive est vraiment très hard. Elle pourrait en choquer certains. Je m’en excuse à l’avance, et souhaite que vous ne m’en teniez pas rigueur. Mais parfois, j’ai envie d’écrire des choses violentes.
Nous arrivons dans la cité, cela se reconnait sans mal à voir les carcasses de voitures calcinées qui jonchent le trottoir souvenir de la dernière nuit d’émeutes. Les voitures stoppent devant l’entrée d’un immeuble où traînent cinq à six jeunes. Je suis éjectée de la voiture et maman aussi. Nous nous regardons, maman le regard rempli de terreur, me dévisage.
Au pied de l’immeuble, les jeunes nous regardent, étonnés de voir deux belles femmes en tenues sexys mais bâillonnées accompagnées leurs potes.
« Putain ! Vas y. Souleyman, c’est qui c’est deux salopes ?
- Deux bourgeoises en chaleur. On va à la cave, tu surveilles et tu pourras en profiter après. »
Nous sommes entraînées dans un escalier malgré nos protestations étouffées. Nos talons claquent sur le sol. Dans la cave, nous sommes dirigées vers un local où se trouvent quelques jeunes. Ils fument du cannabis et boivent de l’alcool tout en écoutant du rap. Ils s’arrêtent net de discuter en nous voyant.
Souleyman leur explique qui nous sommes, notamment que je suis leur prof et que nous devons subir en entraînement intensif, un dressage avant d’être mises au tapin.
J’entends maman qui émet un son indistinct à travers son bâillon en entendant ces mots.
Les jeunes se lèvent et se dirigent vers nous. Nous sommes empoignées et emmenées au milieu du local. On me malaxe les seins et des doigts inquisiteurs farfouillent mon intimité. Maman est courbée en avant, campée sur ses talons aiguilles, et elle subit une fouille en règle de sa chatte par plusieurs mains. Tout le monde rigole, je sens les doigts qui me fouillent. On me branle, on pince mon clitoris. Des doigts s’enfoncent dans mon cul. On me retire mon bâillon et une bite se présente devant ma bouche.
« Suce salope, suce-moi ! »
Je m’empare de la bite et l’avale, soumise.
Maman à genoux, pompe une bite noire qui l’étouffe à moitié. On lui agrippe les cheveux et la force à l’avaler entièrement jusqu’aux couilles. Elle a des hauts le cœur.
Beaucoup de nos agresseurs sont des élèves de ma classe. Ils font des photos et des films.
Maman, toujours en soubrette, à quatre pattes, est filmée en train de sucer un gode pendant qu’un des jeunes, un type au crane rasé, lui enfonce un autre gode dans le cul.
Moi, on me prend en photo en train de sucer une bite d’un calibre impressionnant.
Je suis horrifiée d’entendre Souleyman dire qu’ils vont créer un site internet pour y mettre les photos. Le site pourrait être payant pour mater les films. Un des jeunes objecte qu’il ne faudrait pas qu’on nous identifie et Souleyman lui dit qu’il n’y a pas de problème car on peut flouter les visages.
Tirée par la laisse, je suis contrainte de m’agenouiller sur le sol crasseux de la cave. Souleyman poussa ma tête jusqu'à ce qu’elle touche le sol, cambrant mon cul. Je sentis le gland de son sexe forcé mon anus et je poussais un cri. Je reçu une volée de claques sur les fesses !
« Tais-toi, salope ! »
Sa bite força mon cul et il commença à me pilonner. Mes seins secoués par ses coups de boutoirs gigotent dans tous les sens.
Maman fut amenée devant moi et courbée en avant, elle dut accepter toutes les bites qui se présentaient devant elle. Il y a au moins une quinzaine de jeunes dans la cave. J’entends leurs cris et leurs rires. A l’entrée, un colosse donne les tarifs et encaisse. Maman suce une queue noire, s’étouffe, hoquète, recrache la bite pour reprendre sa respiration. Une seconde bite investit sa bouche, forçant ses lèvres rouges. On la contraint à branler une queue de ses mains manucurées.
Souleyman continue de me perforer et je sens une douce chaleur envahir mon bas-ventre. Je gémis malgré moi.
« Tu prends ton pied ma salope ! On va faire de toi et ta mère de bonnes petite putes soumises. »
Ma mère tente de protester mais ses cris sont étouffés par la bite qu’elle suce. De la bave coule sur son menton. On ne lui laisse aucun répit. A peine un des jeunes a-t-il éjaculé libérant son sperme dans la bouche de cette bourgeoise b.c.b.g., qu’un autre le remplace. On la force à avaler le foutre et elle s’étouffe.
Souleyman se retire et me lime la chatte maintenant, les mains crochées dans mes hanches, il me bourre sauvagement, j’halète, c’est plus fort que moi, je sens l’orgasme arriver.. Je pousse un cri et je m’affale sur le sol. Un autre jeune se précipite et me retournant comme une crêpe me soulève les jambes et me pénètre violemment m’arrachant un nouveau cri. Maman, les seins recouverts de spermes, se retrouve à quatre pattes, une bite qui lui ramone le cul. La bouche ouverte sur un cri muet.
Ses gros seins sont malaxés par des centaines de mains. On s’amuse à lui tirer les tétons. Pendant que le jeune lui déchire le cul, elle doit accepter de sucer d’autres bites, sous les commentaires ignobles :
« Bourre la cette pute, éclate lui son cul de bourgeoise. Défonce lui le cul à cette chienne !
- Je vais jouir dans ton cul, salope !! »
On nous releva et, en fragile équilibre sur nos talons aiguilles, plusieurs mains relèvent une de nos jambes. Nous sommes, maman et moi, masturbées un long moment jusqu'à ce qu’un orgasme nous fasse crier. Je suis pénétrée par la queue d’un petit jeune pendant qu’un gros, presque obèse, enfile maman. Prises debout, nos seins ballotent. Leurs coups de bites nous font gémir. On force maman à sucer un gode.
Je me rends compte que maman à perdu un de ses escarpins et que ses bas sont déchirés.
Le gros défonce maman à grand coups de reins. Les yeux exorbités, elle me regarde. Elle poussa soudain un cri bref et faillit tomber sous la violence de l’orgasme. Je subis les va et-vient de mon tourmenteur. Je sens la cyprine qui coule sur son membre.
On nous positionna à genoux pour le final. Tous les jeunes se présentent devant nous, et bouche ouverte, langue pendante, nous attendons. Les jets de spermes giclèrent allant s’écraser sur nos visages. J’en reçois sur le front, les yeux. Maman en a plein les cheveux et sur ses seins. On la contraint une dernière fois à piper une queue, celle de Souleyman, qui éjacula dans sa bouche l’étouffant avec son foutre
Nous sortons de la cave, titubantes sur nos talons hauts. Maman se tord la cheville. Nous passons devant le jeune que Souleyman était chargé de surveiller l’entrée. Il proteste en nous voyant partir. Il n’a pas eu sa part.
Nous sommes livrées gracieusement à ce jeune. Son visage dissimulé par une capuche rabattue sur sa tête. Il s’empare de nous, nous pousse vers la voiture et nous cambre dessus, nos seins écrasés sur la tôle. Il me pénètre en premier et me donne de furieux coups de reins me faisant couiner. Il se retire et enfile maman qui, passive, accepte la bite de ce jeune qui pourrait être son fils, voire son petit-fils tellement il parait jeune. Il défonce ma mère en l’insultant et en la traitant de grosse bourgeoise salope, de traînée. Il éjacula rapidement aspergeant le cul de maman de son sperme poisseux.
Nous sommes coincées maman et moi à l’arrière de la voiture entre Souleyman et Rachid, un de ses complices. Brahim conduit. Ils nous ramènent chez nous. Nous avons été contraintes de donner nos adresses personnelles. Souleyman fouille dans nos sacs à main qu’il a pris soin d’emmener après notre virée dans les sex-shops. Il découvre la photo de mon époux.
« C’est ton mari ? Il fait quoi ?
Je lui apprends qu’il est policier, à la BAC, et il ricane.
- Putain ! On vient de se taper une femme de flic, je connais plein de mecs qui seraient ravis de te défoncer ma belle.
Il se tourne vers ma mère :
- Et toi ? Tu bosses ?
Maman, tremblante lui avoue qu’elle est directrice d’une agence bancaire .
- Et ton mari ?
- Il travaille dans le BTP, il dirige une société.
Eclat de rire de Souleyman :
- Je pense que les ouvriers de ton mari rêvent de te déchirer le cul !! »
Maman et moi nous baissons la tête, honteuse.
Souleyman donne ses instructions :
« Demain, dit-il en s’adressant à moi, au lycée, tu seras habillée sexy, jupe courte , talons hauts et bas nylons.
Il se tourne vers ma mère.
- Toi, tu ne vas pas bosser demain, tu seras malade. Tu auras de la visite, habille toi sexy, pour appâter les clients !!! Et t’inquiète pas pour ton boulot, à la banque on va contacter tes employés. Je suis sûr qu’ils seront ravis de pouvoir te sauter !!! »
Nous avons été ramenées chez nous. Maman m’a avoué le lendemain, que Rachid, Brahim et Souleyman l’avaient baisée une dernière fois sur le lit conjugal l’abandonnant recouverte de sperme.
Ramenée chez moi, je m’empressais de prendre une douche. Avec une crème apaisante, je soulageais les brûlures dues aux multiples enculages que j’avais dû supporter. Mon mari rentra tard et il me trouva pimpante dans le salon de notre appartement. Cependant, il ne compris pas quand je trouvais une excuse bidon (j’ai mal à la tête !!) pour qu’il ne me fasse pas l’amour.
Je me demande encore pourquoi je ne lui ai rien dit de notre mésaventure. J’étais très troublée par ce qu’il venait de m’arriver. Maman et moi avions été contraintes bien sûr mais nous avions également eu des orgasmes. Une jouissance que je n’avais jamais ressentie jusque là.
Épuisée, je me couchais de bonne heure et dormis d’une traite jusqu’au matin.
Il y a une suite, si vous le souhaitez...
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Superbe entrée en matière!!
La suite.... la suite.... trop excitant l'histoire!!!