Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les aventures de Nulaï - Une messe très spéciale
Chapitre V - Nulaï et Line assistent à une messe pas ordinaire.
Nulaï réserve une surprise à Line.
Comme Cat (voir la maîtresse de Nulaï…chapitre III) avait donné l’adresse de « l’église aux orgies », Nulaï se rend à cette adresse. Il rencontre le prêtre défroqué, et arrange un rendez-vous. Bien sur, la lettre d’introduction de Nulaï, c’est le nom de Cat…
Line est un peu voyeuse, comme Nulaï. Le soir venu, assez tard, vers 23 h, ils partent vers cette église de tous les plaisirs.
Le prêtre lui avait expliqué comment il devait procéder : il l’attendrait avant de commencer sa messe.
Bien sur, Line ignorait tout, mais se doutait de quelque chose de très spécial.
L’église était un peu retirée de la ville, dans une sorte de faubourg, un peu sinistre. Comme prévu, Nulaï fait le tour du bâtiment, et va garer sa voiture près d’une autre. Tout est éteint. Il sort et ferme doucement la porte de la voiture. Il invite Line à faire de même.
Ils font quelques pas, entrent dans le cimetière qui jouxte l’église. Nulaï tient Line par le bras. Elle frissonne : « Ce n’est pas froid, nous sommes en été… Non, c’est de peur, l’endroit est sinistre ! »
Rapidement, ils arrivent à une lourde porte un peu cachée dans un angle du bâtiment.
Nulaï la pousse. A leur grande surprise, elle s’ouvre sans le moindre bruit, Nulaï marque un arrêt, le temps d’habituer sa vue à la pénombre qui règne à l’intérieur.
Après un court moment, il scrute les lieux. Ils se trouvent dans un couloir, il repère rapidement la penderie. Deux longues robes avec capuche se trouvent accrochées au mur. Il les prend, ainsi que deux masques du genre loup, qui se trouvaient derrière. A terre, il y a deux cierges. Le jeune homme fait signe à son amie de se vêtir, et lui recommande garder le silence. Il allume les cierges et lui en passe un. Elle est fort intriguée, mais ne souffle mot…
Le couloir est vite parcouru. Ils arrivent devant une porte, qu’il ouvre doucement, et ils débouchent dans une salle voûtée, faiblement éclairée par quatre lourds chandeliers, comprenant chacun trois grosses bougies.
Un homme se trouve dans le fond de la pièce, face à la porte. A gauche et à droite, trois hommes. Au centre, trois femmes couvertes d’une cape noire, ni très jeunes, ni très vieilles. Elles sont couchées sur des tables disposées en triangle, leurs jambes pendant dans le vide. Les hommes portent la même robe que Nulaï et Line, à la seule différence qu’ils ont une ceinture en corde. Tout ce monde porte un masque qui prend par moment une allure étrange à la lueur des cierges…
A l’arrivée de nos deux amis, l’homme du fond prit la parole :
« Ah, voici nos frères témoins qui sont arrivés. Nous allons pouvoir commencer… »
L’atmosphère dans la pièce était lourde, toute la journée il avait fait très chaud.
« Il est possible qu’un orage éclate ce soir », pense Nulaï.
L’homme du fond fit quelque pas en direction des femmes, et reprit la parole, d’une voix grave d’un homme habitué à parler en public : « Je rappelle aux frères rédempteurs et aux sœurs pénitente qu’aucune parole ne doit être dite durant l’office, seul les cris du repentir ou de l’absolution sont autorisés dans cette enceinte ! Ainsi en soit-il ! »
’homme reprend la parole : « Mes sœurs, vous allez subir votre châtiment pour vos pêchés. »
Le silence règne dans la pièce, et l’homme poursuit : « Frères, veuillez me suivre ! »
L’homme s’avance dans la pièce suivi des autres hommes, tous se dirigent vers les tables, sur un signe de l’homme les autres se placent un à un de chaque côté d’une femme, soit deux par femme.
Sur un autre signe de l’homme, tous troussent leur robe, et l’accrochent dans la ceinture
« Ha ! Voila à quoi elle sert pense Nulaï.
Line a un petit sursaut de surprise en voyant ces six bites en demi-érection, certaines même semblent molles.
« Mes sœurs, vous pouvez prendre vos cierges ! «
Chaque femme empoigne deux bites
« Mes frères, découvrez les pécheresses ! »
Ensemble, les hommes soulèvent lentement les draps noirs, découvrant ainsi les trois femmes entièrement nues. La première a de petit seins en forme de poire, la seconde elle possède une sacré paire de nibards, un bon 110 D avec de gros tétions, la troisième un 95 C aux larges aréoles et petites pointes. Chaque homme pose une main sur un sein et l’autre main sur le sexe de la femme.
Personne ne fait rien d’autre. Nulaï et Line remarquent que la respiration des trois femmes commence à s’accélérer.
L’homme reprit la parole : « Frères et sœurs, préparez-vous à la communion !
A cette invitation, les hommes commence à pétrir les seins, tandis que de leur autre main, ils s’occupent du sexe des « sœurs »
En même temps, les femmes, se mettent doucement à branler les bites. Sous l’effet de ces caresses, les seins se mettent à gonfler les pointes se dressent, et les queues ont une bonne érection. Une femme déjà, a gémi doucement.
Tout ce monde s’active, mais ils sont interrompus par le maître de la séance, qui reprit : « Que la communion commence ! »
A ces mots, chaque homme se tourne vers une femme, trois hommes présentent leurs bites devant la bouche d’une femme. Les trois autres, après avoir écarté les jambes chacun d’une femme, présentent leurs queues à l’entrée du vagin.
Tous en cœur, ils pénètrent leur orifice, et pistonnent doucement. Deux femmes ondulent de la croupe, celle avec les gros seins couine comme une truie.
« C’est sur, pense Nulaï, ces salopes de bourgeoise ont besoin d’être bourrées, et le pire elles se font peut être baiser par leur mari ou leur fils ! Comme ils sont tous anonymes, elles ne peuvent pas savoir…. »
Un des hommes poussa un grognement. Visiblement, il venait de se lâcher dans la bouche de la femme, qui se délecte avec gourmandise de sa dose de sperme. Elle pousse un hoquet sous les coups de boutoir de l’homme qui la bourre bien à fond.
A ce moment, une autre miaule de plaisir. L’homme qui la baise avec son gros pieu, active le mouvement, se penche, empoigne les seins en forme de poire qu’il tord presque.
Nulaï peut voir sa bite qui sort en entier du sexe de la femme pour y replonger de nouveau, bien luisante de mouille et raide. Cette fois la femme crie. Cela excite encore plus l’homme, qui finit par jouir en poussant un cri rauque.
La troisième femme s’active comme une diablesse sur la bite qui la défonce. Elle soulève son cul pour être mieux tronchée, par le type qui la tient par les seins, qu’il triture allégrement. Le premier lui crache sa jute dans la figure en longs jets gluants.
L’autre s’active dans son sexe en poussant des grognements de satisfaction. Lui aussi a craché son jus. Visiblement pas rassasiée, la femme cherche une autre bite, elle n’a pas eu son compte…
Qu’a cela ne tienne, l’homme qui avait pris la parole, vient le remplacer, se trousse, dégageant une belle queue bien dure, et l’enfonce dans con largement ouvert. Il bourre consciencieusement la femme à grands coups de bite. Sous l’assaut viril, elle jouit dans un long râle de plaisir.
Nulaï et Line en ont assez vu. Ils sont excités comme jamais avant. Ils n’avaient pas le droit de participer ! Ils se retirent doucement. Ils vont se changer, et retournent à leur voiture. Chemin faisant, Line demande à son jeune amant : « J’espère que tu va me faire l’amour ce soir, je n’en peu plus, d’avoir vu cela ! j’ai vraiment besoin que tu me défonces à fond !
- Ne t’inquiètes pas, mn chibre est déjà dur pour toi ! je n’en peux plus de bander dans le vide ! Viens que je te prenne comme tu aimes, ma petite salope préférée ! »
Comme, Nulaï avait prévenu Line de ne pas mettre de dessous, de suite dans la voiture, Nulaï la dirige vers la banquette arrière de la voiture. Il soulève le tee-shirt de Line et empoigne ses seins qu’il pétrit, il bande dur. Line, fébrilement cherche sa bite gonflée. Elle baisse prestement son pantalon, écarte les cuisses, chatte trempée bien offerte… Il la pénètre de suite, puis la pistonne à grands coups. Rapidement, ils finissent par jouir ensemble.
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Les bourgeoises en ganbgang - une nouvelle partie
C’est de nouveau Suzanne, la mère de Clara. Je suis toujours contrainte par Souleymane de vous raconter ma dernière humiliation sexuelle. Ce petit salaud a été contacté par un de ses cousins qui voulait obtenir un prêt pour construire une maison. Comme tout le monde dans la cité, ou presque, sait maintenant que Souleymane contraint une bourgeoise, directrice de banque, à lui obéir aux doigts et à l’œil, certains se disent que ce serait con de ne pas en profiter.
Je reçois donc un coup de fil de mon tourmenteur sur mon portable un matin juste avant de partir au travail. Il me précise qu’un client va débarquer et qu’il faudra lui accorder le prêt sans poser de questions. Je tente d’argumenter que cela risque de ne pas être évident, je ne suis pas toute seule à décider. Mais Souleymane m’interrompt, et me dit que ce n’est pas son problème. Avant de raccrocher, il ajoute avec un rire gras, qu’il ne faut pas que je mette de sous-vêtements, ce n’est pas la peine. .
J’entre dans la banque, saluant les employés au passage d’un signe de tête. Je suis habillée d’une jupe crème avec des bas marrons. Les talons aiguilles de mes luxueux escarpins en daim résonnent dans le hall. .Je monte rapidement les escaliers conduisant à l’étage de la direction et j’entre dans mon bureau. Très vite, le téléphone sonne et l’hôtesse d’accueil m’annonce, un peu surprise, que mon rendez-vous est arrivé. Je bafouille que c’était prévu et lui demande de le faire monter.
Paniquée, le cœur battant la chamade, j’attends derrière mon bureau. On frappe à ma porte et je crie d’entrer. Un homme, d’une quarantaine d’années, d’aspect négligé, rentre, accompagné par l’hôtesse que je remercie. Elle me lance un regard intrigué. La directrice ne reçoit pas pour une demande de prêt habituellement, il y a des employés pour ça. L’homme se retourne matant sans gêne les longues jambes de l’hôtesse quand elle sortit de mon bureau.
Il se retourna et me dévisagea.
« Je m’appelle Moussa, je suis le cousin de Souleymane. Il m’a assuré que vous pourriez m’obtenir un prêt sans difficultés.
- Bien, bafouillais-je. Finissons-en vite. »
Je remplis le formulaire de demande de prêt. Il me fournit les pièces justificatives, un minimum, ce sera à moi de me débrouiller. Il demande une somme importante. Ces formalités administratives terminées, je lui dis que je le contacterais pour lui donner la réponse.
Je me lève signifiant la fin de l’entretien, mais il reste assis.
Il prend une voix dangereusement douce pour me demander :
« C’est tout ? Souleymane m’a dit que j’aurais droit à un cadeau.
Je blêmis et titube sur mes talons.
- Co… comment ça ? croassais-je.
- Lève-toi ! »
L’ordre a claqué comme un coup de fouet ! Je me lève précipitamment. Je dois faire le tour du bureau et me mettre devant lui.
« Soulève ta jupe, salope ! »
Rougissante, et excitée malgré moi, j’obéis, relevant doucement ma jupe dévoilant mes jambes jusqu’au porte-jarretelles blancs. Moussa sourit en découvrant ma fente.
« Souleymane m’avait bien dit que tu aurais la chatte à l’air ! Fais voir tes nichons !
Résignée, je dégrafe mon corsage. Mes seins lourds apparaissent.
- Viens me sucer ! »
Il reste assis et je dois me mettre à genoux entre ses jambes. Tremblante, je dégage sa bite de son pantalon. Elle est dure et gonflée. J’hésite et impatiemment, Moussa appuya sur ma tête.
« Aller putain ! Applique-toi. »
Sa bite força mes lèvres pulpeuses. J’eus un hoquet et prenant la base du pénis avec mes mains manucurées, je commence à le branler doucement. Ma langue tourne autour de son gland. Je salive sur sa bite. Il donne des coups de reins pour mieux s’enfoncer dans ma bouche. Ma tête monte et descend avec régularité. Je tremble à l’idée d’être surprise !
Brahim poussa un bramement de plaisir en éjaculant dans ma bouche, éclaboussant mon palais de son liquide poisseux. Je déglutis avec peine et avale sa semence. Je me relève et m’essuie le menton avec la main.
« Putain, je ne le crois pas ! »
L’exclamation me fait sursauter ! Je me retourne, la jupe autour de la taille, la chatte et les seins à l’air.
Oh Mon Dieu, non ! Pas lui ! Non !
Bertrand, mon jeune stagiaire se tient dans l’entrebâillement de la porte.
Bertrand est un jeune homme de vingt ans, taillable et corvéable à merci puisqu’en stage. Je le charge surtout des taches ingrates, comme faire les photocopies ou m’apporter le café. Pas très grand, des lunettes, il a un physique ingrat et je l’ai déjà rabaissé en public plusieurs fois.
Il rentre dans mon bureau et referme la porte avec soin.
Brahim se lève et se rajuste. Ils entament une discussion surréaliste en ma présence mais comme si je n’étais pas là. Brahim lui parle du site et il se précipite sur mon ordinateur pour vérifier. Il mate les photos quelques temps et se relève me regardant autrement. Il s’approche et me pince la pointe d’un sein ! Je couine...
Brahim prend congé et sort du bureau me laissant seul avec Bertrand.
Celui-ci tourne autour de moi comme un fauve devant une nouvelle proie.
« T’es vraiment une belle pute, lâcha-t-il en me regardant dans les yeux. »
Je tente de lui expliquer d’une voix larmoyante que je n’ai pas le choix mais cela ne semble pas du tout l’émouvoir bien au contraire.
Il me désigna mon bureau directorial.
« Monte là-dessus ! A quatre pattes, salope ! Comme une chienne ! »
Réprimant un sanglot, je m’exécutais.
Il farfouilla dans le tiroir de mon bureau et en sortit une règle plate. Il fit le tour et abattit sèchement la règle sur mes fesses me faisant hurler !
« Tais-toi salope ! Tu veux que tous les mecs de la banque viennent ??? »
Je frémis que l’on me découvre dans cette position humiliante, et je me tais. Il me donna encore quelques coups me faisant pousser des cris brefs.
Il posa la règle et sortit sa queue bandée.
« Va falloir me soulager maintenant. »
Je suis debout au milieu de mon bureau juchée sur mes hauts talons, la jupe tirebouchonnée autour de la taille. Bertrand s’est mis derrière moi. Je sens sa bite contre mes fesses. Il me prend les seins à pleines mains et les presse. Il remonte sa main le long de mes jambes et caresse ma vulve.
« Penche-toi en avant. »
Docile, j’obéis. Il plonge ses doigts dans mon vagin et les fait coulisser. Je ne peux m’empêcher de gémir.
Il me donne une claque sur mes fesses ! Il me pénétra debout comme un soudard. Les mains sur mes hanches, il s’enfonça d’un coup de reins puissant m’arrachant un grognement. Il me bourre violemment. Mes seins gigotent. Son bas-ventre vient claquer contre mon cul.
Pendant qu’il me baise, il bafouille, haletant :
« Je te baiserai quand je veux maintenant. Toute la journée si je veux ! »
.
Je me mords les lèvres en entendant ces mots. Je sens sa queue qui me lime furieusement et j’halète d’excitation. Il se dégagea à ma grande surprise me laissant frustrée. Il alla s’asseoir dans mon fauteuil en cuir et m’ordonna d’aller sous le bureau.
Son sexe dressé palpitait à quelques centimètres de mon visage.
« Suce-moi ! »
J’aspirais sa bite et le pompais délicatement. Poussant un soupir d’aise, Bertrand ricana :
« Si on m’avait dit qu’un jour je me ferais tailler une pipe par la patronne sous le bureau. »
Je lui suce la queue avec application, le gobe en creusant les joues. Je lui caresse les couilles.
Soudain, trois coups frappés à ma porte me font sursauter ! Je proteste doucement quand j’entends Bertrand crier d’entrer. Je me tais et arrête ma fellation mais Bertrand discrètement appuie sur ma nuque et j’engloutis de nouveau son membre.
Je reconnais la voix de l’hôtesse d’accueil qui demande à Bertrand ce qu’il fait dans le fauteuil de la patronne.
Il répond que je suis d’accord et je frémis quand l’hôtesse, lui ayant demandé où je me trouvais, il répondit de façon énigmatique :
« Oh, pas très loin. »
Soulagée, j’entends l’hôtesse ressortir.
Cette situation dut exciter Bertrand car il lâcha des jets de sperme qui s’écoulèrent dans le fond de ma gorge.
C’est à nouveau Clara.
L’hiver était arrivé sans crier gare et il faisait très froid. J’avais hésité entre mettre une jupe ou un pantalon mais craignant la réaction de Souleymane, j’avais opté pour une robe en laine sur des bas opaques. Je portais des bottines à hauts talons. J’avais pris rendez-vous chez Mme le proviseur bien décidée à lui raconter l’ignoble chantage dont ma mère et moi nous faisions l’objet de la part de Souleymane et ses complices. Ils finiraient tous leurs jours en prison !
Je croisais dans le couloir, le gardien du lycée. Un homme que je détestais l’ayant surpris plusieurs fois en train de mater les jeunes filles. Ce devait être un drôle de pervers celui-là encore ! Marié à une grosse femme, je me demandais si elle était au courant de ses vices.
J’arrivais devant la porte du bureau de la directrice et je toquais.
« Entrez ! »
J’ouvre la porte. Simone, le proviseur du lycée est une femme grande et élancée ce qui mérite d’être soulignée vu son âge. Elle vient d’avoir cinquante-cinq ans et sera à la retraite dans quelques mois. Son strict chignon ne parvient pas à l’enlaidir, elle a encore des traits fins et ses jolies yeux bleus font encore effet. Elle se leva pour me serrer la main. Elle est vêtue d’un tailleur noir avec des bas noirs. Ses talons aiguilles allongent encore ses jambes. Je m’assois en face d’elle et je commence à lui raconter mon histoire.
Abasourdie, effrayée par mon récit, Simone décroche immédiatement son téléphone et appelle le commissariat. Elle a rapidement un inspecteur au bout du fil et lui explique la situation. Le capitaine de police lui enjoint de ne pas tarder et de venir sans délais porter plainte afin de procéder à une interpellation. Simone se lève et me lance :
« Allons-y ! »
Je suis un peu inquiète car mon mari étant policier à la BAC, il risque d’être au courant ce que j’aurais voulu éviter. Mais voulant en finir avec ce cauchemar, je me lève et suis le proviseur.
La porte du bureau s’ouvrit soudain nous stoppant net.
Souleymane se tient devant nous un sourire ironique aux lèvres. Derrière lui, Claude, le gardien ! Ils rentrent tous les deux et referment la porte.
Outrée, Simone leur ordonne de ressortir. Elle menace Souleymane.
« Nous allons aller porter plainte, espèce de voyou ! C’est fini de terroriser votre professeur ! »
Claude se pencha vers Souleymane.
« Tu m’avais demandé de la surveiller, lui dit-il en me désignant du menton, j’ai pensé qu’il fallait que tu saches qu’elle avait rendez-vous avec le proviseur.
- Tu as bien fait Gégé lui répondit Souleymane avec un rictus mauvais aux lèvres. »
Il s’approcha de Simone et l’attrapant par son chignon la repoussa violemment contre son bureau !
Simone poussa un cri et tenta de repousser Souleymane. Mais celui-ci était deux fois plus grand et deux fois plus fort qu’elle. Il la retourna et aidé de Claude, ils lui ouvrirent la veste du tailleur dévoilant une poitrine pleine dans un soutien-gorge en dentelle.
Simone rue et donne des coups de pieds.
« Calme-toi ! Tu veux aller porter plainte, très bien vas-y ! Tu leur parleras du bizutage de l’année dernière ça les intéressera sûrement ! »
Un silence de plomb suivit cette déclaration. Je me souvenais de cette affaire dont peu de personnes était au courant. Bien que cela soit interdit par la loi, un bizutage clandestin avait eu lieu dans l’enceinte du lycée sous couvert d’une journée d’intégration. Le proviseur avait entendu des bruits de couloirs mais elle avait préféré fermer les yeux. Mais comme souvent lors de bizutage, cela avait dérapé. Des filles s’étaient retrouvées habillées de sacs poubelles et elles avaient dû sucer des bananes et mimer des relations sexuelles y compris entre filles. Lécher de la crème chantilly badigeonnée sur les torses des garçons ou sur leurs caleçons. On avait même parlé de tournantes. Certaines d’entres elles, traumatisées, avaient voulu porter plainte mais l’affaire avait été étouffée par Simone. Le rectorat n’en avait même pas entendu parler.
Les yeux exorbités, le proviseur regarde Souleymane avec crainte maintenant, elle a compris qu’elle va devoir lui obéir si elle ne veut pas être virée de l’éducation nationale. A quelques mois de la retraite, ce serait moche.
Claude s’approcha de moi et me souleva ma robe dévoilant mes jambes.
« Y parait que t’es une belle salope, d’après Souleymane ! »
Je ne répondis pas. A quoi bon ?
Le concierge me masse l’entrejambe, s’attardant sur ma chatte.
Souleymane a sortit son portable et, horrifiée, je l’entends appeler plusieurs personnes leurs demandant de venir dans le bureau du proviseur.
Simone protesta et tenta de fuir, rattrapée par Souleymane...
« Ne bouge pas toi ! Reste ici ! Retrousse ta jupe, salope ! »
Simone, les yeux larmoyant, retrousse la jupe de son tailleur, découvrant le string de dentelle encadré par des jarretelles qui retiennent des bas nylons.
« Un vrai attirail de pute ! ricana-t-il.
Il écarte l’étoffe et plonge deux doigts dans la fente de Simone qui sursaute…
- Enlève tes bas et ton string ! »
Morte de honte, rougissante, Simone obéit et se livre à ce strip-tease imposé devant ce jeune pervers.
Souleymane lui attache les mains avec les bas et enfonce le string roulé en boule dans la bouche du proviseur qui gémit sourdement.
Claude observe la scène et appuyant sur mes épaules, il me force à m’accroupir devant lui. Je dus lui sortir sa queue qu’il avait longue et épaisse. Je l’embouchais et commençais à lui titiller le gland avec la langue, quand la porte s’ouvrit.
Rachid, Brahim et Moussa entrèrent suivis de Jessica et Fatima !
Celles-ci s’exclamèrent en voyant Simone livrée pieds et poings liés.
« Ce n’est pas vrai ! La vieille ! »
Elles se précipitèrent sur Simone. Ils lui malaxèrent les seins, tirant sur ses pointes la faisant couiner derrière son bâillon. Simone tenta de se dégager, mais ils la tenaient fermement. Ils la courbèrent sur le bureau, jupe retroussée. Les claques tombèrent sur les fesses du proviseur qui gémit dans le tissu qui lui obturait la bouche.
Rachid et Brahim se sont joints à Claude, et je leur suce la bite à tous les trois, alternant entre eux. Souleymane prend des photos. Notamment de Simone, dont le cul rougit sous les coups de Fatima et Jessica. Il la traite de salope, de pute. Jessica introduit ses doigts dans la chatte et Simone hurle de plus belle dans son bâillon. Elle fait coulisser ses doigts, une lueur folle dans le regard.
Quant à moi, je pompe à fond les bites qui se présentent devant moi. On me force la bouche, on appuie sur ma tête pour bien que je prenne le sexe jusqu’aux couilles, m’étouffant avec. On a dégagé mes seins de ma robe et on me les triture sans ménagement. Une fois de plus, honteuse, je me rends compte que je suis très excitée. Je mouille comme une folle. Une vraie fontaine !
On exigea de Simone qu’elle se masturbe devant ses élèves ! Le regard implorant, elle découvrit sa chatte de ses doigts tremblants. Elle y plongea ses doigts en poussant un couinement désespéré. Les larmes aux yeux dues à l’humiliation, elle s’astique le bouton. Ses doigts s’agitent rapidement dans sa chatte. Elle ne tarde pas à mouiller abondamment. On aperçoit distinctement la mouille qui humidifie ses doigts. Elle ondule du bassin. Elle se raidit soudain, son visage aristocratique crispé par le plaisir, et faillit tomber. Elle venait de jouir devant nous !
Moussa annonça qu’il voulait enculer le proviseur ! Celle-ci sortit des sons indistincts, mais tout le monde devina bien qu’elle n’était pas d’accord du tout. Pour la préparer, Jessica eut une idée : Simone du faire le tour du bureau à quatre pattes plusieurs fois, le talon aiguille de son escarpin planté dans l’anus.
Moussa, sa grosse bite d’ébène fièrement dressée, s’approcha de Simone et écarta Jessica. Elle ouvrit d’elle-même les fesses du proviseur, dégageant l’ouverture des reins. Quand elle sentit le gland peser sur l’étroit orifice, Simone grogna, s’agita mais elle était tenue fermement par Fatima qui se régalait de voir le proviseur humilié. Elle allait être enculée par Moussa, traitée comme une putain !
Moussa poussa et la bite s’engouffra dans les reins de Simone qui de nouveau poussa un hurlement étouffé. Bien emmanché, il commence à bouger, faisant coulisser son membre dans le cul de Simone.
Rachid et Brahim m’aspergèrent le visage les premiers de leurs foutres poisseux. Claude m’agrippant les cheveux, se servait de ma bouche comme d’un vagin, faisant coulisser rapidement son membre entre mes lèvres. Il lâcha des giclés de sperme qui s’écoulèrent dans le fond de ma gorge.
Moussa s’activait sur Simone, lui pilonnant le cul comme un fou. Son ventre vient claquer contre les fesses du proviseur. Il se vida en elle en poussant un cri et se retira, s’essuyant la bite dans la jupe du tailleur de Simone.
Tirée par les cheveux, Simone dut se relever et, débarrassée de son bâillon, elle dut sucer tour à tour la chatte de Jessica et Fatima. Elle se débrouillait bien car elle les fit jouir très vite…
Souleymane demanda alors qu’elle lui pompe la bite et, soumise, elle lui suça la verge, la mâchoire déformée par l’épaisseur de la bite. Souleymane éjacula aspergeant son visage distingué de sperme.
Claude demanda s’il pouvait disposer de Simone, et Souleymane, grand seigneur, accepta.
Je dus rejoindre ma classe comme si de rien n’était, avant la reprise des cours.
Le soir venu, Jessica et Fatima vinrent me chercher. Étonnée, je me rendis compte qu’on se dirigeait vers la loge du gardien. A peine entrée, j’entends des gémissements, des grognements, des cris étouffés et des exclamations.
Nous entrons dans la cuisine où se trouve Claude et sa grosse et hideuse épouse Germaine, qui me regarde avec un air lubrique. Et je découvre l’horrible spectacle :
Simone, uniquement vêtue de ses bas et de ses talons aiguilles est allongée sur la table de la cuisine. Ses poignets sont attachés aux pieds de la table. Elle est bâillonnée par une paire de collant roulée en boule enfoncée dans sa bouche. Ses jambes sont relevées à la verticale, de manière à bien dégager sa fente et ses chevilles sont ligotées grâce à une longue corde liée également aux pieds de la table. Des pinces à linges lui font rougir les tétons. Germaine est occupée à enfoncer, malgré les sauts de carpe de Simone dans ses liens, une carotte dans son anus ! Je vois distinctement la carotte s’enfoncer dans le rectum de la pauvre femme qui pousse des gémissements plaintifs. Claude se masturbe et attend que l’opération soit terminée.
« Dépêche-toi ma chérie, j’ai hâte de la défoncer cette salope !
- C’est bon, vas-y, fais la gueuler cette truie ! »
Le gardien s’enfonça dans la fente du proviseur et commença à la limer avec brutalité pendant que sa femme jouait avec ses seins.
Je ressors précipitamment, abandonnant honteusement Simone aux mains du concierge et son épouse perverse.
La Juge d'Application des Peines - la suite
Vous avez aimé le début de cette histoire ? Alain nous offre une suite, écrite à son idée…
La porte de la prison se referme avec fracas derrière Céline. Le bruit sourd se mêle à la voix de Lise qui résonne encore dans son esprit.
L'espace d'un instant, elle se revoit, plaquée contre le mur, avec le corps de Lise contre elle, sa langue qui se colle à la sienne, les doigts de la jeune femme qui la pénètre jusqu'au plaisir.
Son cœur s'emballe, elle tressaille, titube sous la force du souvenir, puis se redresse. Elle chausse ses lunettes de soleil pour se donner une contenance, et marche vers sa voiture.
Chasser ce souvenir, ces promesses imprudentes... ou la retrouver au plus vite, jouir encore, transformée en jouet docile...
Un homme la croise, lui sourit d'un air entendu. Elle marche toujours, perplexe, s'installe au volant, retrousse machinalement sa jupe pour être plus à l'aise. Et, brutalement, c'est l'éblouissement. Elle tâte fébrilement sa poche à la recherche de la petite culotte qui doit s'y trouver... Rien... Elle imagine la transparence de sa jupe légère, révélée par les rayon du soleil, à contre jour.
Sa main glisse le long de l’intérieur de sa cuisse, là ou la peau est si douce... Et cette caresse l'entraine inexorablement vers le plaisir, vers ses petites lèvres humides encore de souvenirs.
« Je suis toute trempée, je vais tacher ma jupe, se dit-elle, les joues en feu. Mais pas le temps de retourner à la maison... Je dois aller au tribunal. Tant pis ! C'est la première fois que je vais aller travailler sans culotte. »
Elle imagine la tête de Laurent, son greffier, jeune blanc-bec au visage d'ange, ou de Séverine sa secrétaire, très BCBG et sûrement coincée du cul..
Elle sourit. Ce n’est pas marqué sur mon front, après tout, non mais !
Mais lorsqu'elle effleure de sa main libre le levier de vitesse, empoigne le pommeau gainé de cuir à pleine main, pour démarrer, un souffle de désir l'envahit à nouveau . Il est toujours là, qui monte, comme une vague, s'insinue en elle.
Feu rouge. S'arrêter... Elle ferme les yeux. Bien à l'abri derrière ses paupières, elle se voit, empalée sur le levier de vitesse, le chevauchant avec vigueur, les parois brulantes de son sexe épousant le métal froid et ce contact qui l'électrise, allume des étincelles qui la soulèvent de son siège. Elle va jouir, hurler de plaisir... puis parvient à se reprendre.
Stopppp !! Je deviens folle… Quelle journée ! Elle démarre brutalement, manquant de renverser un piéton, qui lui fait un doigt d'honneur...
Dans son regard, le souvenir de Lise continue à danser, l'accompagne tout le long du chemin.
Sous-sol du palais de justice, emplacement réservé. Elle craque encore.
Une jambe relevée et le pied posé sur le siège, sa main glisse de nouveau sur sa cuisse, impatiente cette fois ci, Son index effleure le petit "ticket" de poils ras, écarte les lèvres humides et gonflées de plaisir. Elle soupire, les caresse comme une folle. Elle a envie de la langue de Lise, de sa langue qui presse son petit bouton tout fier, qui pénètre entre ses lèvres et la baise jusqu'à ce qu'elle se soulève et explose encore.
Mais soudain, la sonnerie grêle de son téléphone fait retomber la température de vingt degrés. Elle tend son autre main, qui quitte à regret la courbe d'un sein pour l'allumer, mais elle se caresse toujours..
C'est Séverine, sa secrétaire, qui s'inquiète. Elle a repoussé son rendez-vous. D'une voix blanche, la juge la remercie, lui annonce son arrivée prochaine et coupe brutalement. Elle regarde fixement l'objet mince et délicat puis posément l'approche de sa fente entrouverte. Il glisse sur la peau humide, pénètre facilement, lentement. Elle le retire puis l'enfonce à nouveau, plus profondément dans son sexe qui s'ouvre pour l'accueillir, attentive aux sensations qui l'envahissent.
« Hâte-toi lentement, dit-elle à son plaisir. Je t’attends, mais viens vite... »
Elle jouit après avoir prononcé sept fois cette incantation.
A quelques étages de notre juge, dans une pièce réservée aux archives, la secrétaire de la JAP repose son téléphone. Elle a perçu ce drôle de trouble dans sa voix, mais n’en souffle mot. Elle se tourne vers Théo, le jeune greffier qui complète l'équipe.
« Je crois que notre petite juge va nous laisser tranquille un moment…
- Ca tombe bien, non ? ajouta-t-il en souriant d'un air complice.
- Je vois que tu n'as pas oublié depuis hier... Tu as raison, c'est l'heure de mon thé au lait. »
La veille, ils avaient entamé une ébauche de relation sexuelle torride, mais avortée par l’arrivée d’un juge.
Il rougit fortement, sans la quitter des yeux. Elle s'était levée, et, lui tournant le dos, retirait sa veste de tailleur. Elle la posa soigneusement sur le dos d'une chaise avant de quitter sa jupe d'un geste souple.
Penchée en avant, les fesses tendues vers le jeune homme, elle la défroissait de la main après l'avoir posé sur sa veste. Séverine, la secrétaire, prenait tout son temps, laissant son esprit imaginer le regard brûlant de Théo descendant le long de son corset jusqu'au bas de ses reins, s'attardant sur sa croupe tendue, puis glissant sur ses jambes gainées de bas gris bleus. Elle entend son souffle court, elle le sent qui s'approche, la bosse dure heurter ses fesses.
« Celui-là, au moins il bande », se dit-elle en fermant les yeux pendant qu'il l'enlaçait.
A tâtons, sa main cherchait le contact de la bite toute raide sous le pantalon. Elle se frottait contre l'homme, s'était cambrée lorsque les doigts impatients du jeune homme avaient dénudé ses seins qu'il pressait maintenant comme des fruits murs
Il joue avec eux, énervant les pointes dressées, qu'il pince, qu'il frotte fermement avec la paume de la main.
Séverine se laisse aller, emportée par le désir et le plaisir qui se mêlent. Elle a glissé une main dans sa petite culotte et se caresse, les doigts se perdant dans les milles plis de ses petites lèvres gonflées, dans sa fente humide et brulante que nulle toison ne vient masquer. Elle a très envie de brusquer les choses, de sentir sa queue remuer en elle, de la sucer en se caressant comme une folle. Mais aussi très envie de jouer avec toutes ces envies qui la pénètrent et l'envahissent.
Théo a abandonné ses seins meurtris, durs et douloureux, baissant la petite culotte qu'elle porte et, maintenant, il lui donne de petits coups sur ses fesses plantureuses. Il les regarde balloter au gré des secousses, qui rosissent petit à petit. Elle halète, mouille comme une folle, toute serrée lorsqu’ils glissent ses doigts dans sa fente offerte. Elle va jouir, elle est au bord...
Cette femme à la quarantaine austère l'excite terriblement, et d'abord surpris de sa bonne fortune, il entend bien joindre l'agréable à l'utile.
C’est le moment de sortir sa bite et de la baiser, elle ne demande que cela, cette garce...
Sentir les doigts de l'homme se retirer avant qu'elle ne jouisse provoqua en elle comme un électrochoc... elle s'en voulait d'avoir été tout prêt de céder aussi facilement... Elle le repoussa violemment, pour s'assoir sur la chaise.
Théo restait les bras ballants, presque confus, cherchant à lire une explication, dans le regard de Séverine. Elle finit par lui faire signe de s'approcher. D'un geste précis, elle extirpa la bite et se penchant, fit coulisser ses lèvres le long du membre long et mince, au gland à peine dessiné jusqu'à le prendre presque en entier dans sa bouche… Puis elle le libéra lentement, sans relâcher la pression des lèvres, la langue frétillant le long de la tige raide.
La bouche sèche, il se concentrait pour ne pas se lâcher trop vite. Mais comment résister longtemps alors qu'elle lui mordille le gland en le suçant puis se redresse pour le branler énergiquement, le petit doigt en l’air, son autre main plongée entre ses cuisses ouvertes largement.
Leurs regards se rencontraient, se heurtaient, se frottaient l'un contre l'autre, lascivement, se pénétraient. Elle avait calqué le mouvement de ses doigts sur son clitoris par rapport à celui de sa main enserrant la queue de Théo.
Il haletait de plus en plus, gémissait sourdement, comme elle.
Soudain un ongle griffa la peau délicate de son petit bouton. Elle poussa un petit cri, bref orgasme discret, secret, qu'elle enfouit en elle.
« Juste à temps se dit elle, en recueillant les giclées épaisses dans sa tasse de thé avant de l'avaler cul-sec, enfin pas vraiment, mais avec satisfaction… » Ca change de la crème habituelle !
Toute la tension était retombée... Rideau de fin. Ils se reboutonnèrent en silence. Comme si de rien n'était, Séverine attrapa deux dossiers et déverrouilla la porte du local des archives et de la machine à café.
Une avocate, la robe noire au vent sortit de l'ascenseur, juste en face de la porte et s'engouffra dans la pièce qu’ils venaient de quitter. L’ascenseur se referma lentement
« La prochaine fois, vous me baiserez monsieur le greffier… Znfin , si tel est votre bon plaisir », lui chuchota Séverine.
Sur la porte d'en face, une affiche avait disparu rapidement :
« Pause café... un moment de plaisir partagé ! »
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Les bourgeoises en gangbang... un nouvel épisode.
Avertissement :
Cette histoire fictive est vraiment très hard. Elle pourrait en choquer certains. Je m’en excuse à l’avance, et souhaite que vous ne m’en teniez pas rigueur. Mais parfois, j’ai envie d’écrire des choses violentes.
Cette partie contient de scènes zoophiles... Attention aux âmes sensibles !
Nous sommes désormais sous la coupe d’une bande de jeunes voyous. Souleyman et ses complices ont fait de nous leurs putes qu’ils peuvent baisées quand ils veulent et où ils veulent.
J’étais chez moi dans mon appartement à faire le ménage. Mon mari était de permanence. Nous étions dimanche. Un coup de sonnette m’interrompit. J’allais ouvrir et je fus étonnée de découvrir ma mère en manteau de fourrure. Je blêmis en découvrant qu’elle était accompagnée de Souleyman ainsi que d’un grand black que je ne connaissais pas.
Il me dévisagea avec un regard pervers. Je suis habillée d’un caleçon et d’un tee-shirt.
Ils entrèrent dans mon appartement, poussant ma mère. Le grand black, que l’on me présente comme étant Moussa, s’approche de moi et me pousse vers le canapé du salon. Il me positionne à quatre pattes dessus et baisse mon caleçon. Je ne porte rien dessous et ma fente apparait. Il me claque les fesses.
« Quelle salope, comme sa mère. Tu sais, on l’a sautée, ta mère et par tous les trous et elle en redemandait. »
Il enfonce ses doigts dans ma chatte et instinctivement je me cambre.
J’entends la voix de Souleyman :
« Dépêche-toi, les clients attendent et on a de la route à faire. »
Je frémis. Que nous réservent-ils encore ???
Moussa me pénétra d’un brutal coup de reins. Je poussais un cri rauque en sentant cette queue hors norme qui me déchirait. Les mains crispées sur mes hanches, il me pilonne sauvagement. Mon corps est projeté en avant sous la violence de ses coups de reins. J’halète en sentant cette bite qui me défonce. J’entends ma mère raconter à Souleyman d’une voix tremblante comment elle est devenue une pute à blacks depuis que Moussa et ses sbires l’ont baisée toute une journée.
Moussa accélère ses va-et-vient et il lâche des torrents de sperme en grognant sur mes fesses.
J’ai été contrainte de m’habiller devant Moussa et Souleyman. Ils ont bien insisté sur le fait que je devais m’habiller très classe. Très bcbg. Très bourgeoise. Les clients l’ont expressément demandé. Ma mère, sous son manteau de fourrure, est habillée d’une veste blanche très chic. Ses longues jambes gainées de bas blancs émergent d’une jupe noire cintrée, moulant son cul. Elle porte des talons aiguilles noir et blanc.
Pendant que maman, à genoux devant Souleyman lui suce la bite, Moussa choisit ce que je vais porter. Après avoir enfilé un porte-jarretelles retenant des bas gris, je mets une jupe grise ainsi qu’une veste rouge sans rien dessous. Il choisit avec soin mes chaussures et je me retrouve affublée d’une paire d’escarpins « ouvert » à hauts talons que l’on met généralement en été mais avec les bas cela me rend encore plus sexy.
Au moment où je suis prête, Souleyman éjacule, aspergeant le palais de maman de sperme.
Le trajet dura plusieurs heures. Nous nous rendons en province, à quelques kilomètres de la ville où maman et moi nous habitons. En rigolant, Souleyman nous a annoncé que nous allions passer un dimanche à la campagne. Nous arrivons devant une ferme, totalement isolée. A l’écart, une grange avec des vaches à l’intérieur. Ca sent le fumier et le crottin. Il y a de la boue dans la cour. Un gros berger allemand aboie en nous voyant arriver. Dans un enclos, un âne.
Nous descendons de la voiture. Maman et moi nous nous regardons, pas vraiment rassurées. Quelles avanies allons-nous encore subir ?
Un vieil homme, la soixantaine bien tassée, que je qualifierais de paysan, sort de la ferme. Il porte un vieux pantalon et un pull. Son ventre de buveur de bière gigote quand il avance vers nous. Souleyman lui serre la main et il discute tarif devant nous. L’affaire se conclue très vite et l’argent change de main.
Nous sommes emmenées dans la ferme. Assis à une table un jeune homme. Le vieux nous présente son fils qui se prénomme Antoine. Avec nos tenues de bourgeoises nous détonnons complètement dans ce décor rustique.
Les deux hommes nous observent les yeux remplis de convoitise, comme un enfant devant le sapin de noël qui n’ose pas ouvrir ses cadeaux. Souleyman intervient :
« Allez les salopes ! Déballez la marchandise ! »
Rouges de honte, maman et moi nous retroussons nos jupes dévoilant nos porte-jarretelles.
Moussa filme avec sa caméra numérique bien sûr. Souleyman ouvre nos vestes afin que les deux hommes puissent mater nos seins. Ils semblent impressionnés par ceux de ma mère qui sont plus imposants que les miens.
Le père et le fils se décident et font un pas vers nous. Ils s’emparent de nos seins en soufflant comme des porcs. Le vieux, Robert, m’a choisie pendant que son fils a jeté son dévolu sur maman. Il lui malaxe les seins, les soupèse, les laisse retomber, lui mordille les tétons.
Le vieil homme me force à l’embrasser, je manque vomir de dégoût.il ne doit pas se laver les dents tous les jours.
Sa main s’est faufilée dans ma chatte et il y introduit ses gros doigts.
Maman est agenouillée et elle a un haut le cœur quand elle sent l’odeur nauséabonde de la bite qui cogne contre sa bouche fermée. Souleyman doit lui fesser le cul pour qu’elle surmonte son dégoût et engloutisse le membre. Antoine lui agrippe la chevelure et la guide donnant des coups de reins pour mieux s’enfoncer dans sa bouche. Puis il sortit son sexe permettant à maman de reprendre sa respiration et il mit son gland entre les seins de ma mère :
« Allez la bourgeoise, fais-moi une bonne cravate de notaire ! Avec tes grosses loches, ça doit être le pied. »
Rougissante et sous l’œil de la caméra, maman s’exécute. S’emparant de ses seins, elle commença à branler la bite du paysan.
Je fus retournée et cambrée sur la table. Robert me pénétra, enfonçant son gros membre dans ma chatte. Me tenant par les seins, son gros sexe me labourait. Sa main pelotait ma poitrine. Il me martelait comme un fou, ahanant. La table grinçait.
- Bouge ton cul salope, vas-y, putain quel pied.
Il sortit précipitamment et son sperme se répandit sur mes fesses.
Antoine a contraint maman à retirer son élégant manteau de fourrure et l’étendre par terre. Il la prend ainsi, à quatre pattes, sa bite enfoncée dans sa chatte. Comme sur une peau de bête. Maman gémit sous la violence des coups de reins du jeune Antoine. Il se redresse brusquement, fait le tour et asperge les seins de maman de sa semence.
Nous pensions en avoir terminé mais l’horreur ne faisait que commencer.
Nous sortons de la ferme et nous sommes entrainées vers l’enclos où se trouve l’âne. Antoine va chercher le chien. Il commence à pleuvoir un fin crachin et nos escarpins sont vite recouverts de boue ainsi que nos jambes. Nous sommes trempées en arrivant devant l’âne. Souleyman et Robert nous mettent à quatre pattes dans l’herbe, salissant nos bas, jupe retroussée, cul à l’air. Je comprends soudain quand Antoine va chercher l’âne. Je pousse un hurlement !
« Non !!! Pitié, non, pas ça, je vous en supplie !!! »
Je tente de me relever mais impitoyable Souleyman me maintient au sol. Maman aussi a compris et se débat sans succès.
On positionne l’âne au-dessus de moi.
« Suce-le salope, suce la bite de mon âne, tu vas voir c’est autre chose. Branle-le d’abord. »
Écœurée, au bord de la crise de nerfs, je saisis de ma main la bite de l’âne et je le branle doucement. L’âne bouge un peu mais reste tranquille. Très vite sa bite devient énorme entre mes doigts.
Maman, malgré ses supplications et ses pleurs doit se faire lécher la chatte par le berger allemand, Celui-ci lui fouille son intimité de sa langue râpeuse.
On me tire par les cheveux et je suis forcée d’avaler la bite de l’âne. Ma bouche est déformée par l’épaisseur de la queue. On me maintient fermement la tête pour que je ne recrache pas la bite. Le sexe de l’âne commence à gonfler dans ma bouche. Il déchargea soudain, m’étouffant en de longues giclées de sperme.
Bizarrement, j’eus envie de sentir cet énorme membre qui me révulsait au plus profond de ma chatte. Mais je n’ai rien osé dire.
Maman secoue la tête en gémissant sous les coups de langue du chien. Médor lui lèche la vulve, donnant de grands coups de langue. A ma grande surprise, elle se mit à gémir sous la caresse. En fin de compte, elle ne devait pas trouver cela si désagréable... J’eus même la nette impression qu’elle jouissait discrètement. On releva soudain ma mère, et elle dut se mettre à quatre pattes. Elle cria quand elle comprit qu’on la livrait au chien pour une saillie contre nature !!!
Le chien renifla le cul de ma mère et monta sur son dos. Il la pénétra et commença à s’activer sur elle ! Folle de terreur, ma mère pousse un hurlement déchirant. Le chien rythmant sa pénétration entrait et sortait de la fente de ma mère. Il ne tarda pas à jouir et il se répandit dans les entrailles de maman, morte de honte..
Nous sommes relevées, maman et moi, et reconduites vers la voiture de Souleyman. Nous sommes recouvertes de boue. Nos cheveux dégoulinent d’eau. Le rimmel a coulé, souillant nos visages d’élégantes bourgeoises. Mais surtout, nous venons d’être humiliées comme jamais, livrées à des animaux ! Abattues, effondrées, maman et moi ne disons pas un mot sur le chemin du retour.
Le lendemain, je dois reprendre le chemin du lycée comme si de rien n’était.
Les cours viennent de se terminer et je me dirige vers la sortie du lycée. J’ai voulu rester pour corriger des copies et il n’y a plus âmes qui vivent dans l’établissement. Mes talons claquent sur le dallage. Je suis habillée d’une jupe longue descendant à mi-mollet et d’une veste beige sur un chemisier.
Je suis étonnée. La journée c’est écoulée sans que je n’ai aucunes nouvelles de mes élèves. Rachid, Souleymane et Brahim ne sont pas venus en classe aujourd’hui et je n’ai donc pas eu à supporter de nouvelles humiliations. Après l’épisode de la veille, dans la ferme où ma maman et moi nous avions été livrées sans pitié à un âne et un chien, je me demandais avec anxiété ce qui nous attendait encore !
Je tourne au coin du couloir et tombe nez à nez avec deux filles du lycée. Fatima et Jessica. Je les connais bien. J’ai souvent des problèmes de discipline avec elles. Je suis surprise de les voir encore trainer dans l’enceinte du lycée. Pas vraiment le genre à rester pour terminer un devoir !
Je leur adresse un sourire :
« Qu’est ce vous faites encore là ?
Fatima s’approche de moi.
- On voulait vous parler Madame.
Un peu étonnée, je demande :
- Euh… Oui, je t’écoute.
Mimique de Fatima.
- On ne pourrait pas trouver un endroit plus tranquille ?
- Pas de problème. »
Sans aucune méfiance, je suis mes deux élèves dans les couloirs. Pensant qu’elles veulent m’emmener dans une classe ou dans la cour.
Soudain, Fatima et Jessica m’agrippent chacune un bras et m’entrainent dans les toilettes de l’établissement ! Elles me poussent violement et je manque tomber par terre en glissant sur mes talons.
Fatima se rue sur moi et me tord le bras, me faisant crier de douleur.
« Mais, qu’est ce qui vous prend ! Arrêtez !
- Ta gueule salope, on a vu ton site ! Souleymane, c’est mon mec figure toi !!
Je blêmis sous mon maquillage. Oh Mon Dieu, non !!!
- Ta mère et toi vous êtes deux belles putes ! J’ai demandé l’autorisation à mon mec. On va bien s’amuser avec toi. Mais t’inquiète pas, on t’a pas oubliée ! T’auras pas de bites mais on va te faire jouir quand même, ma salope ! »
Elle me pousse vers la porte des toilettes et déboutonne ma veste. Elle s’empare de mes seins à travers le chemisier et les malaxe. Je me débats en vain. Jessica s’agenouille à mes pieds et soulève ma jupe dévoilant mes jambes emprisonnées dans le collant couleur chair.
Fatima m’arracha le chemisier, faisant tomber les boutons à terre et je poussais un cri. Fébrilement, elle abaissa les balconnets de mon soutien-gorge. Elle se pencha et suça les pointes de mes seins. Jessica baissa mon collant et poussa un rugissement :
« Putain ! Fatima, elle a mis un string cette salope !
Fatima me donna aussitôt une gifle sur un de mes seins !
- Souleymane t’avait interdit pourtant !
- Faut la punir !!
Je fus tirée par les cheveux et emmenée dans les WC. Jessica et Fatima me forcèrent m’agenouiller devant la cuvette.
- Nettoie les chiottes, elles sont dégueulasses ! »
Je proteste violement et tente de me relever, mais Jessica et Fatima me maintiennent fermement au sol. Elles appuient sur ma tête et ma bouche se retrouve vite en contact avec l’email de la cuvette. Je réprime une nausée, je manque vomir de dégoût mais je sors timidement ma langue et la passe sur le blanc douteux de la cuvette des WC.
« Allez, balai à chiottes, nettoie bien !!! »
Elles éclatent de rire. J’entends un appareil photo.
Je fus relevée et amenée au centre des toilettes et je dus enlever mon collant et mon string. Fatima le roula en boule et me le fourra dans la bouche puis elle se servit du collant pour me bâillonner.
La mâchoire distendue par le string, je pousse des plaintes étouffées. Fatima passa sa main sur ma vulve. Doucement, en me regardant dans les yeux. Derrière moi, Jessica me caresse les seins, me tordant les pointes. Je sens une douce chaleur envahir mon bas-ventre. Honteuse, je réalise que je commence à apprécier ses caresses. Fatima enfonce ses doigts dans ma fente.
« Elle mouille, cette salope ! Souleymane avait raison, une vraie chiennasse ! »
Elle agite ses doigts de plus en plus vite. Je sens la cyprine qui coule. Je donne un petit coup de reins pour mieux sentir ses doigts. Je pousse un gémissement à travers mon bâillon improvisé.
On me poussa vers le lavabo et je fus cassée en deux dessus. Les mains posées sur l’émail. Une volée de claques s’abattit sur mes fesses, me faisant grogner dans mon bâillon. Fatima et Jessica alternent leurs fessées sur mon cul qui devient vite rouge.
Leïla enfonça son index dans mon anus et je sursautais. Elle fit coulisser son doigt rapidement puis elle enfonça trois doigts me distendant le trou du cul !
Je tente de me relever mais Jessica m’appuie sur la nuque m’obligeant à rester courbée en avant.
« Quelle salope, elle est trempée », lâcha Fatima en passant une main sur ma vulve dégoulinante.
Je fus redressée et allongée par terre. On m’oblige à écarter les jambes au maximum dévoilant ma fente. Fatima me tient les poignets. Jessica se pencha et me lécha la fente, me donnant de petits coups de langue avec précision. Je ne tardais pas à mouiller comme une folle. Je secouais la tête de droite à gauche en gémissant à travers mon bâillon. Jessica introduisit ses doigts dans ma fente. Deux puis trois et quatre. Presque toute la main est entrée et je donne des coups de reins pour tenter de m’en débarrasser. Mais aussi, parce que je sens un certain plaisir monter…
Jessica agite sa main dans ma chatte, elle la fait tourner. Je sens mon excitation monter encore d’un cran. Ma poitrine se soulève de plus en plus vite. Je gémis. Jessica bouge sa main qui est entièrement rentrée maintenant !
« T’aime ça salope, dis pas le contraire, t’es trempée. Comme ça, là. Ça t’excite que je te branle avec ma main ? Attends ! On va essayer autre chose ! »
Elle retira sa main et je fus retournée et mise à quatre pattes.
J’eus un violent sursaut et je sentis la sueur couler le long de mon dos quand je compris ce qu’elle voulait m’imposer !
Ses doigts forcèrent mon anus de nouveau et elle réussit très vite, malgré mes cris de protestations, à introduire sa main dans mon anus. Sa main entière est entrée ! Elle fit coulisser sa main, la tourna. Je sens sa main qui bouge dans mon trou du cul. J’ondule de la croupe pour accompagner son geste. Je sens l’orgasme monter, je pousse un long gémissement et je m’écroule, ravagée par le plaisir.
Ce fus ensuite à mon tour de donner du plaisir à mes deux « violeuses ». On me retira mon bâillon et Fatima s’allongea à terre. Je fus contrainte de lui lécher la chatte, la tête fermement tenue par Jessica, sous les insultes :
« Bouffe-lui la chatte, salope ! »
Ma langue lui fouille son intimité et Fatima gémit sans discontinuer. Je lui mordille le clitoris et elle donne des coups de reins violents. Elle appuya sur ma tête en ayant un orgasme me barbouillant la figure de sa cyprine.
Ensuite, je dus satisfaire Jessica. Après lui avoir lécher le trou du cul, je dus lui laper la chatte. J’enfonce mes doigts dans la fente de Jessica. Je fus même contrainte de l’embrasser. Nos langues se mélangèrent. C’est la première fois de ma vie que j’embrasse une fille. Ce lesbianisme forcé m’excite pourtant au plus au point.
Je me relève, hagarde, et sors des toilettes après m’être rajustée. Je suis cul nu. Fatima et Jessica ont emmené mon string comme trophée pour le montrer à Souleymane. Je monte dans ma voiture, restant prostrée au volant. Ca ne peut plus continuer ainsi ! Je dois réagir ! Je décide d’en parler à la directrice demain et d’aller porter plainte !
Partie 3
Ma rencontre avec Lucie, par Electrohead
Cette nana, je l’avais rencontrée sur internet. Elle disait aimer les hommes virils mais gentils.
Je ne suis pas très viril mais j’ai une certaine carrure, 1m90 pour presque 100kilos, quelque uns en trop mais rien de méchant, et elle était plutôt mignonne : 1m72 65kilos, disait-elle, jolie visage, brune. Physique assez banal mais plaisant.
Après avoir pas mal discuté avec elle, nous nous somme décidés à nous rencontrer dans un pub pour faire plus ample connaissance.
Arrivé la bas, je vis qu’elle n’avait pas spécialement fait d’effort pour moi, ce qui me vexa un petit peu. Jean-basket, petit haut, rien qui ne puisse laisser penser qu’elle avait envie de plaire ou de se faire draguer. Une foi posés autour d’une table, je remarquai qu’elle me laissait diriger la discussion. Cela dura quelques heures et des pintes se vidèrent. Aussi lui proposais-je de rentrer avec moi pour éviter de rentrer seule alors qu’elle habitait en banlieue, ce qu’elle accepta. J’habitais un pavillon en banlieue, encore chez mes parents à vrai dire, mais j’étais installé au sous sol et j’étais relativement indépendant.
Une fois chez moi, je lui proposais de nous regarder un film, moyen pour moi de me rapprocher… je lui proposai de venir dans mes bras.
Elle n’était enthousiaste pour rien, mais ne refusait rien non plus. Quelque peu vexé malgré tout : je m’exclamai : « je ne te plais pas ? » ce qui
C’eut pour conséquence de la rendre rouge pour comme tomate, ce qui me fis de m’attendrir, mais aussi me rassurer. Je restai quelques minutes devant le film sans trop m’aventurer sur son corps, puis je me mis à lui caresser doucement les bras. Je remontais puis descendais le long de sa poitrine, caressais ses cuisses par-dessus ses vêtements. Elle se laissait faire sans rien dire. Je l’embrassais alors dans le cou et passais mes bras sous son haut pour lui masser les seins à travers son soutien gorge. Je lui pris le cou pour maintenir sa tète en arrière alors que ma main déboutonnait son jean et s’y glissa.
Je découvris alors que sa chatte était complètement épilée et qu’elle portait un beau string en dentelle ! Elle me sembla beaucoup moins coincée d’un coup. Et le fait qu’elle se laissait complètement faire m’encanailla, d’autant plus que je bandais et que mon sexe me faisait mal dans mon short. Je lui massais gentiment la chatte. Comme elle mouillait je lui mis un doigt, puis un deuxième. Ma position n’était guère pratique vu que j’étais assis derrière elle, mon poignet était un peu tordu. Elle ne bougeait pas trop mais je sentais son souffle s’accélérer légèrement.
Ne tenant plus, je l’ai fait glisser doucement du canapé. Ainsi, elle était assise par terre devant moi. Je descendis mon short et mon caleçon, mis ma main derrière sa nuque et l’amena à mon sexe dressé.
Je forçais légèrement l’entré de sa bouche et m’enfonçais en elle. Sans conviction, elle me suça, me laissant imprimer le rythme. Devant sa docilité, j’imprimai un rythme soutenu, pénétrant sa bouche comme si c’était sa chatte, lui maintenant plusieurs fois ma bite entière dans la bouche. Ses bras tentaient alors de me repousser en prenant appui sur mes cuisses, mais elle ne disait rien quand je sortais mon sexe de sa bouche. Alors, je lui remettais immédiatement jusqu'à la garde en imprimant un rythme élevé. Elle bavait beaucoup, et cela coulait sur mes bourses ce qui m’excitait toujours plus. Aussi, je sortis de sa bouche, serrais les boules et lui mis dans la bouche.
Elle me les lécha, et toujours plus chaud, je lui faisais aussi lécher en dessous. Mon cul finit par y passer. Son manque d’initiative mêlée à sa docilité me porta vers un comportement dominateur que je n’avais jamais eu. Je me mis à la traiter de salope, de petite chienne. Je pris sa main afin qu’elle me branle en me léchant le cul, puis je me retournai et lui repris la bouche avec force. Elle salivait beaucoup et je sentais que j’allais exploser. Je lui intimais de se maintenir à genoux et lui demandais où elle voulait que je jouisse Je ne lui laissais comme choix que sa figure ou sa bouche. Dans un murmure, elle me répondit qu’elle voulait que je jouisse sur son visage. Je me branlais alors en lui mettant des coups de queue sur les joues, avant de jouir longuement sur son visage…
J’avais joui, mais ce n’était que le début de la nuit, et je me mis rapidement en tète de me faire à nouveau plaisir. Je lui proposais une douche afin qu’elle s’essuie le visage et que nous puissions nous coucher après…
Alors que l’eau commençait à couler sur nos corps, je la pris dans mes bras et la remercia pour la superbe fellation qu’elle m’avait offerte (bien que je la lui avais prise plus qu’autre chose). Son « de rien » fut accompagné d’un sourire comme à aucun moment, elle ne m’en avais fait avant. J’eus alors envie de lui faire plaisir et accompagnant le jet du pommeau de douche, je descendis lui lécher un peu la chatte. Elle s’adossa contre le mur de la douche et passa vite une jambe par-dessus mon épaule.
Afin de me faciliter les choses, je lui introduisis à nouveau plusieurs doigts puis je la retournais et lui lécha la rondelle un petit moment avant d’y enfiler mon pouce… elle gémissait peu mais je savais au gout de mes doigts qu’elle mouillait fortement.
Je lui intimais alors de sortir de la douche, je bandais à nouveau comme un fou, l’amenais sur mon lit. Je la positionnais en levrette avant d’y rentrer d’un coup, ce qui lui arracha un petit cri malgré la lubrification naturelle de sa chatte. Je commençais alors à la pilonner comme un fou. Ma bite rentrait et glissait dans sa chatte jusqu'à ce que mes couilles tapent contre son ventre. Comme pour la pipe, elle ne disait rien, me laissant faire à ma guise sans me laisser percevoir du plaisir de son coté.
Mais encore un peu enivré par les bières du début de soirée, je pensais surtout à mon plaisir à moi, et au plaisir de sauter une nana aussi docile. Ma main claqua sur ses fesses plusieurs fois, elle semblait plus réagir au fur et à mesure que je devenais vulgaire, voire brutal. Les claques sur son cul tombèrent en même temps que les « sale chienne, salope, tu aimes ma bite, hein, petite pute ! »
Je m’enfonçais en elle et lui tirais les cheveux en arrière et je pilonnais encore comme ca quelques minutes. J’avais de plus en plus envie de jouir, mais le souvenir de mon pouce dans son cul dans la douche me chauffait trop, je voulais la sodomiser ! Je mouillais alors deux doigts et lubrifiais son petit trou. Pendant que je prenais sa chatte, je rentrais rapidement un doigt puis un second sans trop de difficulté. Je sentais que ses réactions étaient différentes maintenant. Je lui dis de bien écarter ses fesses avec ses mains, et lui appuyais sur la tète avec ma main droite.
Je m’aidais de ma main gauche pour placer ma bite devant son petit trou et en pris possession doucement. Je sentais qu’elle avait un peu mal, mais j’étais décidé à la lui mettre. De plus, si elle eut un petit moment de recul quand je la pénétrais, elle ne tenta pas une foi de se soustraire à moi.
Je progressais centimètre par centimètre au début, puis commençais un très léger mouvement de va-et-vient pour l’aider à ne plus avoir mal. Mais je rentrais aussi sec les derniers centimètres et m’enfonçais jusqu'à la garde. Son cri de douleur fut étouffé dans l’oreiller et j’entrepris de la fourrer carrément, désormais. Elle étouffa à nouveau sa douleur pendant que je lui limais le cul, et cette fois, bien serré, je ne mis pas plus de deux minutes à jouir, lui tapissant l’intérieur de mon foutre . Je m’affalais un peu sur elle, lui bisant le cou et les épaules, lui caressant la nuque et les cheveux, reprenant mon souffle…
Je sortis de son cul et elle s’excusa avant de sortir du lit et de courir aux toilettes. J’en profitais pour nettoyer rapidement ma bite et remettre un caleçon.
Quand elle revint, elle sembla hésiter une seconde avant de me rejoindre. Je l’invitais à se mettre dans mes bras ce qui lui décocha un sourire aussi beau que celui que j’avais eu dans la salle de bain.
Elle est toujours docile et soumise, pourvu que la tendresse suive derrière. Je reste un de ses plans cul préféré principalement pour ça.
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Bjr,
Je ne m'en lasse pas c'est réellement un immense plaisir que de vous lire