Les Mémoires très Libertines de Sophie
Après le zouk love, voici le zouk sex !
Ici, on danse le zouk dans les soirées, et surtout le zouk love….
C’est assez différent du slow, en ce sens où, même si vous ne connaissez pas votre cavalier, il vous plaque contre lui dès les premières notes du zouk love. Il pose ses mains fermement sur le bas de votre dos, et vous colle littéralement contre lui. La cavalière n’est pas en reste, car elle s’accroche au cou de son danseur comme une noyée à son sauveteur. Elle niche sa tête dans son cou, et voilà le couple partit pour une langoureuse croisière musicale. Commence alors des mouvements de bassin plus que suggestifs, car ils miment l’acte sexuel.
C’est en cela que c’est très différent du slow français, où l’on commence par danser un peu loin l’un de l’autre, et que l’on se rapproche au fur et à mesure des morceaux de musique, si affinités il y a. Surtout, on se dandine d’un pied sur l’autre, bien plus qu’on ne roule des hanches….
Ce petit cours sur le zouk love clos, je vais vous raconter mon aventure de l’autre samedi, dans une soirée chez des amis...
Je suis arrivée assez tard, et tout le monde dansait déjà. J’ai eu à peine le temps de saluer mes hôtes, quand un beau black m’attrapa par le bras pour m‘inviter à danser. Il était de taille moyenne, les bras bien dessinés, comme j’aime.
Bien sur, il ne dérogea pas à la règle de la danse, et enserra immédiatement le bas de mon dos de ses mains puissantes. Sans hésiter, je croisais mes bras derrière sa nuque. Il portait un parfum que j’adore « Cacharel » pour homme. Je m’enivrais de cette odeur, mêlée à la sienne. Je me sentais déjà partir pour un long voyage. Je ne me doutais pas à quel point !!!
Je me décollais un peu de lui, pour regarder son visage. Ma foi, il était plutôt beau, le crane rasé, les pommettes saillantes, et des yeux d’un vert éclatant. En Guyane, les métissages très variés font que des créoles ont parfois des yeux bleus ou verts très clair. C’est assez saisissant.
Je me collais à nouveau à lui sans hésiter une seconde.
A la fin du premier morceau, il ne me lâcha pas. C’était le signe que je lui plaisais. Je n’en doutais d’ailleurs pas une seconde de plus, car je commençais à sentir contre mon ventre sa virilité qui durcissait de plus en plus.
Il bandait dur. Sentir son membre se frotter contre moi comme ça à commencer à m’exciter. Je sentais la chaleur monter à mon visage, et mes lèves intimes se gonfler eu à peu de désir intense.
Il choisit ce moment pour faire reculer mon visage, et coller son front au mien, nez contre nez… Son souffle caressait mes lèvres. Il ralentit encore le mouvement de la danse, accentuant le roulement de ses hanches. Je l’accompagnais, en appuyant plus fort mon bas-ventre contre son sexe bandé. Je m’arrangeais pour glisser une jambe entre ses cuisses. Quelle bonne idée j’avais eu de mettre une jupe ample….
Il glissa sa main dans sa ceinture, sans doute pour faire pivoter vers le bas sa bite que je devinais avantageuse. Ainsi, elle venait frotter directement sur mon mont de Vénus.
En basculant le bassin, elle venait aussi stimuler mon clitoris.
Nous étions seuls au monde, pris dans cette dans très érotique. La musique nous mettait presque en transe. Nous étions soudés l’un à l’autre dans cette dans sans fin. Mes seins pointaient tellement qu’ils en devenaient douloureux. Ils réclamaient une caresse ferme !!!
Son souffle s’accélérait, tout autant que le mien. Ses lèvres vinrent enfin se poser sur les miennes. Ce fut comme un alizé, une caresse très légère…
Mais très vite, la passion qui torturait le bas de nos corps se manifesta dans un baiser intense. J’avais l’impression que mon corps n’était constitué que de deux parties : ma bouche et mon sexe. Ce n’était plus l’alizé qui soufflait, mais le cyclone !
Nos langues se tourmentaient sans fin, affamées l’une de l’autre.
Je me sentais au bord de jouir. Nos mouvements de « danse » étaient maintenant presque imperceptibles, tant nos sexes se pressaient l’un contre l’autre. Son chibre frottait sans répit sur mon clito comprimé dans mon string. Il sentit mes tremblements et me murmura à l’oreille : « Tu ne peux pas jouir ici... Tout le monde va le voir… »
Il m’entraina hors de la terrasse, dans un coin sombre du jardin, derrière un gros palmier multipliant, très touffu.
Avant que j’ai eu le temps de dire ouf, il s’agenouilla devant moi, souleva ma jupe, et écarta le tissu de mon string. Il enfourna sa langue dans ma chatte détrempée par toute cette excitation. Il ne me fallu, hélas, que quelques secondes pour jouir sous sa langue pointue et agile. Un jet de cyprine lui inonda le visage. Je retins mes cris, les autres invités n’étaient qu’à quelques mètres.
Je ne pouvais pas le laisser dans cet état d’excitation….
A mon tour, je me penchais vers sa ceinture, qu’il était déjà en train de défaire. Sa queue jaillit, noire, luisante, avec le gland rosé, décalotté, luisant de liquide séminal. Je me jetais dessus, aspirant goulument cette bite appétissante. Tout comme moi, il ne tint pas longtemps, et projeta un flot de foutre au fond de ma gorge. Je me relevai, et l’embrassais à pleine bouche. Nous avons mêlé son sperme et ma cyprine, dans un nouveau baiser délirant…. Nous avons tout avalé l’un de l’autre, comme ci c’était le meilleur des cocktails…
J’avais l’impression d’être hors du temps, d’avoir perdu toute notion de durée, de lieu… Ma tête tournait, cet orgasme insolite me ravageait encore le corps, avec des décharges électriques, comme les répliques d’un tremblement de terre.
Nous nous sommes regardés, et enfin parlés pour de bon… Il me donna aussi son prénom. Nous avons rejoint les autres, dans l’idée de continuer la soirée. Mais à peine arrivés sur la terrasse, nous nous sommes regardés, et sans mot dire, avons quitté précipitamment la maison pour nous retrouver chez lui, seuls, et avec un lit immense.
Je vous laisse imaginer la suite de cette nuit, qui fut fabuleuse.
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Lucie dans le train de nuit
Moi par contre, j’aimais bien ce train là, car de nombreux compartiments étaient vides, on pouvait s'allonger sur les banquettes et dormir tranquillement. Parfois aussi, on y faisait de belles rencontres. D'après une étude faite les trépidations des wagons sur les rails se répercuteraient sur l'entrejambe des voyageurs des deux sexes, et leur enlèveraient leurs inhibitions.
Les quelques rencontres que j'ai pu y faire me portent à croire que c'est vrai.
Je rentrais donc sur Paris. Un peu avant 22 heures, je monte dans ce train et trouve aisément un compartiment vide, je m'y installe. Quelques minutes avant le départ, j'entends une cavalcade dans le couloir de mon wagon, et je vois une ravissante jeune femme brune aux cheveux courts entrer vivement dans mon compartiment, refermer la porte et venir s'assoir tout contre moi, mettre une de ses mains sur ma cuisse et l'autre sur ma nuque et me murmurer très vite :
Pardon, excusez-moi, je vous expliquerai tout à l’heure ! »
Comment en vouloir à une belle inconnue qui se jette sur vous et vous embrasse amoureusement ? En tous cas, je n'ai aucun mal à me montrer aussi convaincant qu'elle.
Des bruits et des voix dans le couloir se font entendre et la porte du compartiment s'ouvre. Je vois alors deux jeunes bidasses, en permission et assez avinés. Le spectacle que mon inconnue et moi leur offrons semble les remettre d'aplomb. Ils se confondent en excuse et je leur dis : « C'est ça ! C'est ça ! Fermez donc la porte en partant !»
Ils s'exécutent et disparaissent. Ma belle inconnue, bien qu'elle ait cessé son baiser, reste blottie contre moi. Je ne cherche pas à la dégager du tout, nous sommes très bien comme ça à mon avis. J'ai l'impression qu'elle aussi apprécie la position.
Elle se contente de lever la tête, me regarde en souriant. Je dois sans doute la regarder bizarrement car elle éclate de rire. Elle est belle quand elle rit et me donne des envies. Elle devait avoir 30 à 35 ans. Vêtue d'un chemisier blanc dont les boutons du haut semblent en froid avec leurs boutonnières, car j'ai une vue plongeante sur sa poitrine.
Elle voit où va mon regard mais ne semble pas s'en offusquer. Elle se présente, elle s'appelle Lucie, elle est célibataire et occupe un poste important dans une grosse boîte du Nord. Un de ses plaisirs favoris le weekend est de prendre un train de nuit le vendredi soir, peu importe sa direction, le but n'étant pas la destination, mais les voyageurs parmi lesquels elle trouve souvent avec qui s'amuser…
Et elle m'explique enfin le pourquoi de son attitude. Elle venait de monter dans le train quand elle s'est fait aborder par les deux militaires ivres, elle en a eu vraiment peur et leur a dit qu'elle rejoignait son petit ami qui l'attendait dans le train. Et j'ai été le premier copain potentiel qu'elle ait rencontré.
Quelle chance j'ai eu tout de même de tomber sur une jolie femme et qui plus, est qui n'a qu'une idée, faire l'amour avec un inconnu !
Je sais par expérience que dans un train postal, il est rare qu'un contrôleur vienne visiter les compartiments. Aussi étions-nous certain que nous ne serions pas dérangés une fois le train parti. Dés qu'il eut démarré, nous reprenons notre conversation là où les deux bidasses l’avaient interrompue : Le Baiser.
Elle a la bouche toute fraiche et la langue agile, elle donne l'impression d'être large et longue tant je la sens partout dans ma bouche. Un vrai plaisir, ce baiser, il en laisse présager d'autres.
Nous finissons par décoller nos bouches l'une de l'autre pour reprendre haleine. Je dois avoir un drôle d'air, car elle me regarde et éclate à nouveau de rire. Son rire lui aussi est sensuel. Je le lui fais remarquer. Pour me remercier, j'ai le droit à un deuxième service labial. Mais celui-ci est accompagné d'une caresse appuyée sur ma braguette déjà toute gonflée. De mon côté, je caresse sa poitrine à travers son chemisier. Le sein est ferme et Lucie semble très réactive à ma caresse.
Mais nous entendons du bruit dans le couloir. Le bruit de portes de compartiments qu'on ouvre et qu'on referme. Prudents, nous rajustons nos vêtements et prenons une position « convenable ». Bien nous en pris, car pour me faire mentir c'était le contrôleur qui faisait sa tournée, la seule de tout le trajet. Après son départ, nous savions Lucie et moi que plus personne ne nous dérangerait jusqu'à Paris.
Sûre d'elle et loin d'être timide Lucie se leva me fit face les mains sur les hanches et avec un sourire plein de sous-entendus : elle me lança sur un ton jovial :
« A nous deux maintenant ! »
Elle retira son chemisier, dégrafa son soutien-gorge et s'assit sur mes genoux face à moi. Ses tétons aux aréoles larges me narguaient. Elle donnait à son bassin un mouvement de danse qui anticipait la lambada, pas encore arrivée en France. Je bandais déjà comme un mort de faim. Sa jupe noire semblait elle-même gênée d'être entre nous, aussi je l'ai dégrafée. A ma grande bonne surprise, Lucie n'a pas de culotte. J'apprécie et le lui dis.
Elle m'avoue, fière d'elle, ne mettre de culotte que quand c'est indispensable. C''est une grande coquette qui aime se faire admirer et adore exciter. Aussi, elle se lève, et bien campée sur ses jambes et torse bombé, elle me fixe dans les yeux, attendant des compliments. Mais j'ai la gorge nouée par la surprise et l'émotion, aucun son ne sort. Mes yeux et la bosse de ma braguette parle pour moi. Elle est ravie de l'effet qu'elle produit sur moi.
Mes yeux ne la déshabillent pas, c'était fait, mais ils caressent son corps. Et je constate que sur et autour de sa chatte, les poils sont réduits à la portion congrue, et l'en félicite.
A cette époque, avoir le pubis rasé ou épilé était encore considéré comme le comble de la perversité. Je me lève et fait mettre Lucie debout sur la banquette. Elle se tient au porte-bagages, ainsi sa chatte est à hauteur de mes yeux... Les lèvres sont légèrement charnues, son clitoris qui avoisine les 10m/m semble me défier. Je le relève (le défi), ma queue, elle, n'a pas besoin de l'être, c'est fait depuis un moment.
Je fais aller ma langue le long de ses lèvres, elle s'attarde sur son bouton puis la pénètre. Elle est chaude et toute humide. L'âcreté de sa mouille est délicieuse. Lucie aime ce que je lui fais, ses gémissements le prouvent. Les mouvements qu'elle donnait à son bassin s'accentuent, elle gémit encore plus fort et jouit. Elle m'inonde le visage. Elle se penche vers moi et lèche mon visage. Mon pantalon, quant à lui, est soudain devenu trop petit pour moi, tant je m'y sens à l'étroit.
Lucie s'en aperçoit redescend de sa banquette et me déshabille. Premier étonnement, je n'ai pas de slip. J'ai horreur de ça comme des autres vêtements d'ailleurs, mais la morale veut qu'on se couvre.
Seconde surprise, je n'ai pas un poil à l'entrejambe, elle s'en étonne car si on commence à voir des femmes qui s'épilent, pour les hommes c'est beaucoup plus rare. Je lui réponds vaguement. D’ailleurs elle semble s'en moquer, l'essentiel étant d'une part que cela lui plaise et d'autre part ce que nous allons faire tous les deux.
Pour mieux me le prouver, elle prend ma queue en bouche et la suce délicatement, enveloppe mon gland de sa langue, puis parcourt ma hampe. Lucie se régale, elle est à son affaire, et moi je suis aux anges. Hélas, elle cesse ce petit jeu qui risquait de nous faire arriver avant même de partir. Elle s'allonge sur la banquette, et faisant preuve d'une extraordinaire souplesse, elle relève ses jambes et les ramène à hauteur de ses épaules et les maintient ainsi à l'aide de ses mains à hauteur des genoux.
Ainsi placée, j'ai une vue admirable sur un entrejambe parfaitement lisse et où l'entrée de ses grottes semble être l'œuvre d'un artiste, tant le spectacle est beau. Je me mets tête-bêche au dessus d'elle, et me sert de ma langue, qui aimerait être plusieurs, pour déguster chatte et anus.
L'odeur qui se dégage est délicate, elle mouille abondamment, c'est un peu acre mais j'adore ça. Elle semble aimer ce que je lui fais, car elle met beaucoup d'ardeur à parcourir ma bite. Un peu trop même, car j'ai bientôt envie de jouir. Je le lui dis, mais elle me maintient dans ma position et j'explose dans sa jolie bouche.
Elle n'en perd pas une goutte. Elle ne tarde pas à jouir aussi, abondamment. Lucie, je m'en apercevrai plus tard, est une femme-fontaine. Je n'en avais jamais rencontré. C'est surprenant. Je trouve beau ce spectacle. Et puis quelque part c'est valorisant pour un homme de se dire « bon sang ! C'est grâce à moi ! »
Ça fait un bien énorme à notre Ego.
Nous nous asseyons sur la banquette, Lucie blottie contre moi, nous bavardons en fumant une cigarette. Elle me fait ses confidences sur « ses chasses en train ». Son récit ravigote mon étage inférieur, elle aussi d'ailleurs, l'évocation de ses jeux l'enflamme à nouveau. Nous nous allongeons sur cette banquette pour baiser comme des affamés.
Mais son péché mignon était la sodomie. Effectivement, elle eut un orgasme tandis que je l'enculais, il fut bruyant et ponctué de mots crus qui contrastait avec sa classe naturelle. Nous avons ainsi multiplié les combinaisons jusqu'à notre arrivée à la Gare du Nord. Nous y avons pris un copieux petit déjeuner.
J'ai raccompagné Lucie sur son quai car elle remontait sur Lille. Nous nous sommes quittés avec comme phrase d'adieu de Lucie : « Eh ! On ne sait jamais n'est-ce pas ? » ponctuée d'un clin d'œil malicieux….
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La surprise de Robert
Robert, cadre de quarante deux ans, rentre un jour plus tôt de son voyage d'affaire. Il tient à faire la surprise à sa belle épouse, âgée de trente cinq ans. Il achète un bouquet de fleurs chez le fleuriste de l'aéroport. Il est bien décidé à lui offrir une belle nuit d’amour, comme elle les aime tant. Il sent son chibre durcir dans son pantalon à la seule idée de la prendre dans une levrette sauvage, et tenter, enfin, de la sodomiser bien comme il faut…Le taxi le dépose devant chez lui, vers vingt et une heure. Il ouvre la porte sans bruit, ôte ses chaussures, et pousse la porte du salon. Il sent son bâton de chair bien dur contre son ventre, prêt à servir. Sa femme est assise dans le fauteuil, dos à lui.
Seul le feu de la cheminée, éclaire la pièce. Il voit ses jambes pendre de chaque côté des accoudoirs.
Sa tête vacille légèrement. Mais ce qui attire le plus l'attention de Robert, ce sont les gémissements non simulés que pousse sa femme.
« Tiens, se dit-il, ma charmante épouse en train de se faire une petite gâterie,. Intéressant… elle est prête à l’emploi. Sa chatte doit être bien mouillée.. Je vais la boire en entier, sucer et dévorer son abricot gonflé de sève…»
Robert pense alors que la soirée se présente sous les meilleurs hospices. Il bande encore plus dur. Il adore honorer sa chère femme, qui n’en n’a jamais assez. Il craint toujours de ne pas lui apporter toute l’excitation et la jouissance dont elle a besoin. Il a même déjà envisagé des parties à trois, pour mieux la satisfaire.. Et ainsi, il serait maitre de la relation, et elle ne le tromperait pas…
Il s'avance sur la ponte des pieds, et reste en arrêt devant le scène stupéfiante qui se déroule devant lui. Son épouse Lily, est en train de se faire bouffer la chatte par leur chien !
Vaguement écœuré, Il voit le berger allemand, babines retroussées, maintenu par les oreilles. Il comprend pourquoi l'animal ne l'attendait pas au portillon comme à son habitude, trop occupé à honorer sa maitresse.
« Ha...salaud, gémit-elle. Tu essaies de me mordre le clitoris salaud... Haaaa. !! Que c'est bon ! Vas-y, rentre ton museau bien au fond… Prends moi, baise ma chatte avec ta grosse langue...Fais moi jouir... Oh oui ! Mange-la... Oui... ça y est, je jouis.... Ouiiiiiiiii !! »
Robert est pris entre dégout, et excitation. D'un geste maitrisé, il arme son portable pour prendre des photos. Lily ne s'aperçoit de rien, les flashs se confondant avec les étincelles du feu de bois. De l’autre, il se branle à travers la fine toile de son boxer.
A l'aide de ses pouces, sa femme décalotte complètement son clitoris, comme elle sait bien le faire. Le chien est assis devant elle.
« La chienne, elle n’en n’a visiblement pas eu assez, pense Robert. La chienne... Ce nom lui va très bien ce soir ! »
Et il bande de plus belle. Sa main gauche astique violemment le membre raide. Il est au bord de l’explosion, mais veut voir toute la scène…
« Vas-y Sam...Sens mon petit bouton...lèche le ce vilain...je m'occuperai de toi après...on va bien s’amuser tous les deux. On a toute la nuit... Toi au moins, tu ne répèteras rien ! »
Lily a déjà eu envie de tromper son mari. Elle a besoin de sexe fréquemment, bien plus que son mari, trop souvent absent, ne lui en donne. Pour le moment, elle a toujours résisté. Surtout depuis que son chien la fait si bien jouir…
Robert hésite à intervenir tant la situation l'excite au plus haut point. Il décide d'être spectateur. Après tout, elle ne le trompe pas. Elle avec un chien, pas un homme !
Le deuxième orgasme survient brutalement, il est aussi puissant que le premier. Elle hurle de plaisir, ses cris déchirent la nuit feutrée du salon.
« Merci mon chien, soupire-t-elle. Je vais me mettre à genoux sur la moquette. Tu me prendras en levrette..tu veux. ? Tu ne comprends pas ce que je te dis. Mais quand je vais te montrer mon cul, tu vas pouvoir me saillir comme tu sais si bien le faire. Ca, c’est de l’instinct animal ! Fais moi voir ta queue, je vais la faire raidir...oh la la..Mais les couilles sont pleines ! »
Robert s'écarte légèrement pour ne pas être surpris par son épouse. Il ne veut surtout rien perdre de la scène. Il met son portable sur caméra pour immortaliser les ébats canins de sa femme.
Il voit nettement la main de Lily se glisser sous le ventre du chien, et lui saisir la queue maintenant en érection. Elle a guide vers sa chatte pleine de mouille, la frotte contre son clitoris. L'instinct animal fait la reste. Sam grimpe sur le dos de sa maitresse, et la pénètre.
- Haaa...râle Lily...sale mâle...tu me niques là...vas-y mon chéri...régale toi...
Le chien se met à couiner, la langue pendant sur le côté de sa babine. De ses pattes, il laboure les hanches de sa maitresse, qui hurle de plaisir. Le knoot, énorme, tape contre les fesses de Lily. Robert fait un pas en avant pour intervenir. Il ne tient pas à ce que son épouse se fasse faire mal. Puis, il se ravise. Après tout, elle l'a voulu, et à la voir bouger son cul, elle ne doit pas être à son coup d'essai.
La respiration de Lily s'accélère, comme s'accélère les coups de reins du canidé. Lily est en nage, la sueur coule sur ses joues mélangée aux larmes, tout comme le mouille et la cyprine coule de sa chatte.
Son clitoris est en feu, gorgé de sang. Le chien couine de plus en plus fort, sur, il va cracher.
-Vas-y mon chien...murmure Lily...tu craches hein ? fait toi plaisir mon chéri...rempli bien la chatte de ta maitresse, haaa... Je viens encore... Ha, quel amant tu es ! Tu m'enculeras après dis ? Mais réponds-moi.. »
Le chien se retire en tirant la langue. L'accouplement a été torride. Lily s'écroule sur la moquette. Sam
s'avance, et comme pour s'excuser, lui nettoie la chatte. Elle lui caresse la tête.
Il est vingt trois heures, quand, épuisée, Lily va prendre une douche, puis se glisse sous les draps en gloussant de plaisir. Cà fait maintenant un an que sa relation avec son chien à commencé, et l'envie ne faiblit pas.
« Si Robert savait ça, » se dit-elle, un peu penaude.
Elle commence à s'assoupir, quand elle entend un bruit qui provient du salon. Serait-ce un cambrioleur ?
Elle se lève courageusement, sans faire de bruit. Elle reconnait la voix de son mari.
Robert est accroupit près de son chien.
« Hé bien, dit-il, ta queue est bien rouge mon chien. Oh la, mais elle est toute mouillée aussi ! Hou, tu as du rencontrer une chienne toi, veinard. Elle était belle au moins, tu l’a bien niquer j'espère.
- Bonsoir mon chéri, dit Lily, plutôt embarrassée. Je t'entendais pas si tôt. Quelle bonne surprise !
- Bonsoir ma chérie, j'ai écourté mes rendez-vous. J’avais trop envie de faire l’amour à ma petite femme adorée… Rends-toi compte, si je t'avais surpris avec un mec !
- Oui, je disais à Sam qu'il avait bien de la chance d'avoir rencontré une femelle.
- Mais, je ne comprends pas, il n'est pas sorti de la journée, et ce soir, il était avec moi près de la cheminée.
- Ah d'accord ! Il a du tellement se lécher, qu'il s'est fait jouir. Ce qui explique ces tâches sur la moquette. J’ignorais qu’un chien pouvait se masturber avec sa langue, au point de juter partout, dit d’un ton ironique.
- Je vais prendre une douche vite fait, tu m’attends ? Si tu pouvais regarder si j'ai des messages sur mon portable, çà m'avancerait. », répondit-elle, un peu gênée..
Quand il revient, il découvre sa femme en pleurs, à genoux sur la moquette, le portable entre ses mains.
Il s'approche d'elle sans un mot. Elle s'agrippe à ses jambes. Elle a compris qu'il savait tout.
« Pardon mon amour. Je ne sais pas ce qui m'a pris... Pardonne-moi, s'il te plait.. »
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Robert lui soulève le menton, et la regarde d'un regard malheureux.
« Lève-toi ma chérie. Déshabille-toi. »
Lily fait glisser sa nuisette, pendant que Robert quitte son peignoir. Il s'assied sur le fauteuil, et la force à se mettre à genoux. Il lui caresse les joues, puis la guide vers sa queue de Robert en pleine érection.
« Allez ma chérie, taille-moi une pipe, dit-il. Je l'ai bien mérité, n'est-ce pas ?
Lily saisit la bite raide de son mari, la décalotte, et l'avale jusqu’aux couilles sans proteste une seule seconde.
« Sam, ordonne Robert, viens ici. »
Le berger allemand s'assied auprès de son maitre.
« Tu vois la charmante dame qui me suce ? Quelque chose me dit qu'elle envie de se faire enculer, ça te dis ? Après, toi aussi tu auras droit à ta turlutte. Tu vas voir mon chien, je sens qu'on va passer un super hiver… »
Lily tente de protester, elle n’a jamais aimé la sodomie. Mais comment refuser ? Elle aime trop son mari, et craint de le voir la quitter. Elle lui pompe le dard avec application, et manque de s’étouffer quand il jouit à gros flots de sperme épais. La crème coule sur son menton. Et Sam, sans hésiter, vient tout lécher... Elle a une grimace de dégout, mais n’a pas le temps de le faire reculer. Assez rudement, son mari la met à quatre pattes devant lui. Il prend un reste de confiture dans le pot resté ouvert sur la table basse. Il force l’anneau brun doucement, puis de plus en plus fort. Lily gémit faiblement. Mais Robert voit sa mouille couler entre ses cuisses.
« Ma chérie, on dirait que tu aimes que je t’encules… Tu vas voir, une bonne grosse bite de chien, c’est encor meilleur. Après, tu sais, tu n’aimeras plus que la mienne… Quand celle de Sam t’auras bien déchiré l’anus, tu n’en voudras plus jamais ! » ajoute-t-il d’un air vicieux…
En fait, il est ravi de la tournure que prennent les choses. Si sa chère femme se satisfait d’un chien pourquoi aller chercher un homme ?
Résignée, Lily laisse son mari dilater son conduit au maximum. Elle se caresse aussi le clito, pour accentuer son excitation.
Quand Sam lui grimpe sur le dos, elle en a presque envie ! Elle veut être prise à fond. Les doigts de son mari l’ont excitée bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé… Robert se couche alors sur le coté, au sol. Il vient lécher le clito et la chatte de sa femme. Dans la saillie brutale du chien, il lèche aussi la queue canine. Il ne peut pas faire autrement. Il est surpris de constater qu’il apprécie l’extrême douceur de cette bite rouge…
Pendant deux heures, Lily va se donner à son mari et à Sam. Elle prend un réel plaisir à se faire enculer par son chien, comme elle prend plaisir à sucer son mari. Finalement, elle ne s'en tire pas trop mal.
Ils ton baisé tous les trois comme des chiens, c’est le cas de le dire ! Même Robert s’est pris au jeu et à tenter de pomper le dard animal… Sa femme n’en croyait pas ses yeux. Excitée à mort, elle en a jouit presque sans se toucher…
Lily pousse son dernier cri de plaisir sous la douche. Mais les jours suivant seront à l’identique. Quel bonheur d’avoir un amant toujours prêt sous la main, jour et nuit…
Les bourgeoises en gangbang - une nouvelle partie
Le lendemain matin, à la reprise des cours, certains élèves et plus encore les professeurs furent très étonnés voire choqués de croiser Madame le proviseur dans les couloirs du lycée vêtue d’une jupe en cuir ultra courte d’où émergeaient des jambes gainées de bas résilles allongées par des talons aiguilles rouges ! Ses gros seins débordaient littéralement du haut moulant qu’elle portait.
Ils furent encore plus surpris quand ils se rendirent compte qu’elle suivait docilement, tête baissée, le gardien vers sa loge.
J’avais donné rendez-vous à ma mère dans un café afin que nous discutions toutes les deux de la décision de porter plainte contre Souleymane et ses complices. J’ai choisi un bar tranquille en dehors du centre ville, pas vraiment la grande classe mais au moins discret. Je lui racontais comment j’avais assisté à l’horrible humiliation du proviseur. Elle me raconta de son côté comment elle était devenue l’esclave de son stagiaire à la banque, qui ne perdait pas une occasion de la sauter soit dans son bureau soit dans les toilettes. Maman est habillée d’un tailleur gris sur un chemisier rose fuchsia et je porte une jupe rouge avec un chemisier blanc avec des talons aiguilles crème. Nous sommes assises à une table et je remarque plusieurs regards de consommateurs masculins qui lorgnent sur nos jambes croisées très haut.
La porte s’ouvrit et j’eus l’impression que mon cœur s’arrêtait de battre ! Cela dut se voir sur mon visage car ma mère se retourna et elle blêmit à son tour. Moussa venait d’entrer dans la café !
Comment a-t-il pu savoir ? Ce n’est pas possible ! Je comprends soudain que c’est sans doute Simone, le proviseur du lycée, qui a dû vendre la mèche. Maintenant qu’elle est devenue la nouvelle proie de Souleymane et surtout de Claude, le gardien et de son horrible femme ! Je maudis ma naïveté d’avoir cru qu’elle garderait le secret, elle doit être totalement sous l’emprise de ce couple pervers.
Moussa s’approche de nous et s’assoie à notre table. Il nous lance un regard noir.
« Alors, espèce de chiennes ! Vous vouliez nous baiser ? Et bien c’est vous qui allez vous faire baiser encore une fois et cette fois votre punition va être à la hauteur de votre trahison ! »
Maman et moi nous n’osons pas protester. Moussa avance sa main sous la table et me caresse mes cuisses faisant crisser le nylon de mes bas. Il regarde maman et lui demande de retrousser sa jupe !
« Mais... Mais, ce n’est pas possible, les clients vont…
- S’en apercevoir ? Mais justement ma chérie, tu vas les exciter un peu ! »
Rouge de honte, maman s’exécute soulevant un peu sa jupe en plein café dévoilant généreusement ses cuises gainées de bas noirs, elle s’arrête juste à la lisière du bas. Mortifiée par cette exhibition forcée.
Moussa se retourne et ricane. En effet, plusieurs clients du café en oublient de boire leurs verres, la bouche ouverte, ils matent les jambes de maman. Moussa se lève et va voir le patron du café, un homme bedonnant. J’observe le conciliabule, inquiète. Que nous réserve Moussa ?
Je compte rapidement les clients du bar, ils sont quatre. Il y a deux jeunes, un vieillard d’au moins 70 ans et un homme genre routier.
Le patron nous lance un regard égrillard. Ce qui ne me rassure pas vraiment.
Moussa revient vers nous et nous empoignent par le bras. Il nous pousse vers l’arrière salle du café qui fait aussi restaurant. Il nous demande d’attendre. Apeurées, maman et moi nous nous regardons.
Des pas nous font frissonner. C’est le vieillard ! Il s’approche de Moussa et sans un mot, lui donne une somme d’argent. Le vieil homme s’approche de nous et nous demande d’ouvrir nos vestes et nos chemisiers. Dociles et sous le regard autoritaire de Moussa, nous obéissons. Il salive littéralement devant nos seins. Il posa ses mains sur les miens, les malaxant sans douceur. Il baissa les balconnets du soutien-gorge et se pencha gobant la pointe de mes seins. J’eus un sursaut de dégoût en voyant ce visage ridé se pencher vers moi. Des éclats de voix retentirent de nouveau. Les autres clients étaient venus voir suivis du patron.
« J’ai carrément fermé pour être tranquille », lança-t-il à la cantonade.
Tous payèrent Moussa. Le routier s’approcha de maman et lui souleva sa jupe. Elle tenta de se débattre.
« Fais voir salope ! Tout à l’heure, tu nous montrais bien plus. T’as un porte-jarretelles, putain ! »
Les trois hommes entourent maman et commencent à la toucher partout, les mains deviennent baladeuses. Elles s’insinuent partout. Maman se retrouve vite la jupe de son tailleur tire-bouchonnée autour de la taille, le chemisier ouvert, les seins à l’air malaxés par des mains avides. On lui fouille la chatte.
Le vieux me suce les tétons en salivant dessus, il me mord la pointe par moment et je pousse un petit cri. Il me repoussa soudain et sortit un sexe de bonne taille vu son âge canonique. M’agrippant violement par les cheveux, il me contraignit à m’agenouiller devant lui et il m’enfonça sa queue dans ma bouche. Il posa sa main sur ma tête et il donna des petits coups de reins pour mieux s’enfoncer entre mes lèvres.
Maman suce aussi des bites. Elle a la mâchoire déformée par les deux queues des deux plus jeunes, qui veulent absolument qu’elle les suce ensemble. Campée sur ses talons aiguilles, elle est penchée en avant, et derrière elle le routier et le patron lui enfoncent leurs doigts dans sa chatte et son cul, la branlant sans ménagement. Nos gémissements se mêlent aux halètements de nos clients.
« La salope ! Qu’est ce qu’elle mouille, une vraie fontaine.
- Elle suce comme une pro, la petite. »
Le vieillard me poussa vers une table où je dus m’allonger, il me souleva les jambes et sa langue s’engouffra dans mon intimité. Il me lape à grand coups, léchant mes petites lèvres intimes. Il sait y faire le salaud et je ne tarde pas à mouiller comme une folle, poussant de petits jappements. Il me mordilla le clitoris et je fis un saut de carpe sur la table, arquant mon corps.
Un cri me fait tourner la tête. Maman courbée sur une table, les seins écrasés, se fait besogner par le routier. Sa queue rentre et sort du vagin, les fesses de maman tressautent sous les coups de boutoir de l’homme. Il la pilonne avec brutalité.
Cela donna des idées au vieux qui me pénétra. J’eus un petit sursaut. Me tenant les jambes, il me donne de violents coups de reins, s’enfonçant dans ma chatte, je gémis.
On alterne les clients. Maman est maintenant prise en main par le patron qui la tenant aux hanches, la défonce comme un sauvage en l’insultant. Le routier a enfoncé sa bite entre les lèvres de Christiane qui le pompe avec frénésie. Le vieux me bourre sauvagement et se retire laissant la place aux deux jeunes. Ils manipulent mon corps me forçant à me lever. Un des jeunes s’allonge sur la table, la bite victorieusement dressée et je dois m’empaler dessus en grimaçant. Il commença à bouger tout en me suçant les seins. Derrière moi, l’autre jeune s’enfonce dans mon anus et je pousse un cri. Bien rempli par ces deux bites, j’halète. Il commence tous deux à bouger, alternant les coups de queues.
On entendit alors Moussa qui criait :
« Eh les gars, on s’active, j’ai encore du travail pour ces deux salopes ! »
Maman et moi nous fûmes agenouillées au milieu de la salle. Les quatre types regroupés autour de nous se masturbant comme des fous. Les premiers jets giclèrent allant s’écraser sur nos seins. Puis le vieux voulut se branler dans la bouche de maman et il éjacula l’étouffant avec son sperme. J’en reçus dans les cheveux et sur mon visage.
Moussa nous releva et nous entraina dehors.
Nous nous retrouvons sur le trottoir à peine rhabillées, du sperme souillant nos visages et coulant sur nos seins. Une camionnette blanche est garée devant le café. La porte latérale s’ouvrit et nous sommes poussées à l’intérieur. Je gémis. Oh non, par Pitié. Rachid, Souleymane, Brahim, Diouf et Brice nous regardent, la bite à l’air, déjà en érection.
« On vous emmène faire un tour, les bourgeoises, mais durant le trajet il va falloir s‘occuper de nous. »
La porte latérale claqua comme un coup de tonnerre en se refermant !
La camionnette s’ébranla et décolla du trottoir. Brahim et Rachid forcent maman à se mettre à quatre pattes sur le plancher. A genoux derrière elle, Rachid lui enfourne sa bite dans sa fente et Brahim lui pince le nez pour qu’elle ouvre la bouche. Maman aspira une goulée d’air et il enfonça sa queue entre ses lèvres. Je suis à genoux et je suce le gros Brice. Sa bite fait des aller et retour dans ma bouche. Diouf s’approche, la bite à la main, et m’ordonne de le sucer aussi. Servilement, j’obéis. Je donne de petits coups de langue sur leurs glands. Moussa filme la scène. Maman halète sous les coups de pine de Rachid.
Le trajet ne dure pas trop longtemps et Souleymane signale que nous sommes arrivés à destination.
Rachid pilonna maman de plus belle la faisant couiner, étouffée par la matraque de chair qu’elle suce. Rachid explosa en elle en poussant un grognement bref. Brahim gicla dans sa bouche et l’obligea à avaler son foutre. Brice et Diouf éjaculèrent en même temps sur mon visage m’arrosant de leurs semences.
Maman et moi nous descendons de la camionnette. Nous nous sommes rajustées tant bien que mal et nous ressemblons de nouveau à deux bourgeoises respectables. Je vis maman porter sa main à sa bouche étouffant un cri qui se mua en gémissement. Visiblement horrifiée. Ne comprenant pas sa réaction, je levais les yeux découvrant un panneau accroché à une palissade. Abasourdie, je découvre le nom de mon père sur le panneau ! Nous sommes devant un de ses chantiers !
Brahim, Rachid, Brice et Diouf prennent congés et nous abandonnent aux mains de Moussa et Souleymane. Laissant la camionnette garée en double file.
Souleymane nous poussa et nous pénétrons dans le chantier. Il s’agit de constructions de logements sociaux. Nous passons devant des ouvriers qui nous regardent passer stupéfaits de voir deux belles bourgeoises élégamment vêtues dans un endroit pareil ! Nos talons aiguilles s’enfoncent dans le sable et la boue. Il a plu cette nuit rendant le sol spongieux.
Nous nous approchons d’une baraque de chantier. Un homme se tient devant, les bras croisés sur sa poitrine. Il porte un casque et il est habillé de bleu. Il a un regard ironique en nous découvrant.
« Ce sont elles ? demande-t-il avidement à Souleymane.
- La femme et la fille de ton patron, oui. Ce sont bien les deux salopes que tu as vues sur le site internet. T’as le pognon ? »
Échange d’argent, poignée de main. Notre sort vient d’être scellé.
Le chef de chantier appelle ses gars et ils approchent en ricanant et en se faisant des clins d’œil.
A part le chef, ils sont visiblement tous d’origines étrangères.
« Ils ont tous cotisé pour s’offrir deux belles salopes comme vous, lança le chef, ils n’en revenaient pas quand je leur ai dit que vous étiez la mère et la fille et en plus la femme et la fille de leur grand patron. Malheureusement pour vous, ils sont un peu remontés contre lui, car il ne leur a pas versé leurs salaires le mois dernier. Comme ils ne sont pas déclarés pour la plupart, ils ne peuvent rien dire n’est ce pas ! A mon avis, ils vont se venger sur vous, d’autant que la plupart n’ont pas touché une femme depuis des mois… »
Maman et moi nous tentons de nous enfuir ! Paniquées, nous faisons demi-tour, échappant à Souleymane et Moussa et nous nous mettons à courir maladroitement sur nos talons aiguilles. Les six ouvriers se lancent à notre poursuite et nous rattrapent très vite nous poussant sur un tas de gravats !
Nous poussons des cris d’épouvante. Autour de nous, les ouvriers nous lancent des commentaires dans leurs langues respectives. On soulève la jupe de maman et elle se retrouve en porte-jarretelles. Une brute avec une moustache épaisse m’oblige à l’embrasser sur la bouche. Nous sommes écrasées par le poids de ses hommes. On nous tient les bras et les jambes, nous empêchant de bouger. Maman est retournée et plaquée sur le tas de gravats, le cul à l’air. Un des ouvriers la pénètre lui donnant de violents coups de reins. Un autre fait le tour et enfonce sa queue dans la bouche de maman qui tente de protester en vain.
On me tire par les cheveux et on m’entraine un peu plus loin. On me pousse vers un tas de planches et je dois écarter les jambes. Le type à la moustache qui me fait penser à un Turc ou un Irakien me fesse le cul en rigolant. A côté de moi, un homme à la peau mate se branle. Je suis horrifiée par le calibre impressionnant de son sexe. Le Turc envahit ma chatte d’une brutale poussée me faisant crier. Il me bourre en haletant. Me tenant par les hanches, il me pilonne vigoureusement.
J’entends ma mère crier sous les coups de bite de son agresseur. Je tourne la tête et la vois empalée sur un gros pieu de chair, bougeant son corps, montant et descendant sur cette bite épaisse qui la transperce. La bouche ouverte, elle gémit, ses gros seins ballotant.
Un ouvrier s’approche d’elle et lui enfonce son membre dans la bouche.
Celui qui me baisait sortit précipitamment et se libera sur mon cul. Je sens le liquide poisseux couler sur mes fesses. Je n’ai pas le temps de souffler, l’autre à côté, se positionna derrière moi et pointa son gland contre l’ouverture de mes reins.
« Non ! Non ! S’il vous plait »
Il força mon anus et je poussais un cri déchirant. Il a un sexe monstrueux, terrifiant et je le sens qui palpite dans mon fondement. La sueur au front, j’halète, les larmes aux yeux. Une dernière poussée et il s’engouffra dans mon trou du cul. Le salaud n’a aucune pitié et il me déchire le cul à grand coups de reins. Prenant un plaisir sadique à sortir et rentrer m’arrachant un cri à chaque fois. Heureusement pour moi, il jouit rapidement dans mon cul. Je sens sa semence qui s’écoule de l’étroit boyau.
Je retrouve maman recouverte de sperme. Les trois ouvriers ont éjaculé sur ses seins et son visage ! Elle est méconnaissable. Elle en a sur les cheveux et les yeux...Le sperme coule sur son menton. M’agrippant par les cheveux, on me contraint à lui lécher la figure pour la nettoyer. Nous devons même nous embrasser sur la bouche. Manquant vomir de dégout, nous nous exécutons devant l’assemblée hilare.
Moussa et Souleymane font des photos et filment depuis le début bien sûr !
Le chef de chantier arrive alors et suggère que nous nous gouinions.
Malgré nos cris et nos supplications, nous sommes, à grands renforts de claques sur le cul, allongées tête-bêche. Je suis sous maman et elle est sur moi. Je sors timidement ma langue sous les encouragements du public et lèche la chatte de maman. Je sens ma mère qui fait la même chose avec moi. Sa langue et ses doigts fouillent ma fente. Je ne tarde pas à sentir la cyprine qui coule.
Maman poussa soudain un hurlement ! Le chef de chantier, la tenant aux hanches, l’encule violemment. Il la baise sauvagement la faisant beugler. Il retire sa bite de son anus et me la donne à sucer, la replongeant aussitôt dans le cul de maman.
« Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ici !
- Nom de Dieu, t’as vu ca, Serge ? »
Tout le monde sursaute. Les ouvriers prennent la fuite en courant ! Deux policiers en uniforme viennent d’arriver. Ils ont été intrigués par la camionnette en double file et les cris qui provenaient du chantier.
Moussa et Souleymane ainsi que le chef de chantier se retrouvent menottés. Maman et moi nous nous relevons péniblement. Pudiquement, nous redescendons nos jupes et refermons nos chemisiers. Nos bas sont en lambeaux et des bouts de nylons pendent lamentablement sur nos jambes.
Un des flics m’observe semblant songeur puis son visage s’éclaira et il s’exclama en donnant un coup de coude à son collègue :
« Putain ! Je ne le crois pas, Mathieu, c’est la femme de JP, notre collègue de la BAC !
- Le prétentieux qui se la raconte ?
- Lui-même ! »
Le dénommé Serge se pencha vers moi, une drôle de lueur dans le regard.
« Et votre mari sait que vous vous faites baiser dans les chantiers, chère madame ? »
Au regard qu’il avait, je compris que nos problèmes étaient loin d’être terminés…
L'histoire vécue de Virgine - 5ème partie, la plus dure...
La Punition
Quelques semaines après ma mise aux enchères à Megève, je reçu un premier coup de fil sur mon portable. L’homme me dit s’appeler Pierre, il désirait me rencontrer suite à une recommandation du réseau.
Je me souviens très bien de cette première rencontre, tellement elle fut inattendue, pleine de tendresse. Pierre me donna rendez vous au Sofitel de Lyon en fin d’après midi, un mardi, après mes cours au lycée. J’avoue que j’étais, pour cette première fois, inquiète. Je ne savais trop comment m’y prendre et j’avais peur de tomber sur un tordu.
Nous avions convenu d’un signe de connaissance, et en le voyant rentrer dans le hall de l’hôtel, je fus rassurée. C’était un homme de quarante ans, à l’allure sportive, au visage très ouvert. Il m’amena dans un excellent restaurant de la ville. Je me souviens lui avoir demandé pourquoi recherchait il la compagnie d’une occasionnelle comme moi. Il me répondit qu’il était un homme d’affaires toujours en déplacement, souvent sur Lyon et qu’il souhaitait rencontrer une femme qui lui apporterait un peu de tendresse et aussi du plaisir.
Nous avons parlé de tous nos goûts nos envies, je me souviens même lui avoir parlé de Paul. Il était très attentif, à mon écoute. Nous avons terminé la soirée dans un bar à cocktails sur les quais de Saône. Ensuite nous sommes revenus au Sofitel ou il avait sa chambre. Il me fit l’amour divinement bien, avec beaucoup de tact, sans brutalité. Lorsqu’il me demanda de rester la nuit entière avec lui, naturellement j’ai accepté.
Alors que je rentrai chez moi le lendemain matin, je ne pus m’empêcher de penser que, finalement, cela avait du bon. J’avais rencontré un homme charmant, qui souhaitait me revoir, j’avais passé une excellente soirée et pour embellir le tout il m’avait donné « un cadeau » non négligeable.
C’est pour cette raison que sur le moment j’ai décidé de continuer.
Bien sur, je racontai mon histoire à Paul, qui me dit façon à m’encourager : « Tu vois ce n’est pas difficile et tu prends du plaisir en supplément… »
Quelques semaines plus tard, je reçu un nouveau coup de fil. L’homme qui était médecin, me demandait de venir le voir à son cabinet dans le vieux Lyon .Je m’y rendis en fin d’après midi. Je fus surprise de voir sur sa plaque qu’il était gynécologue. Il n’y avait personne dans la salle d’attente. Au bout de dix minutes, une porte s’ouvrit, je reconnus à sa carrure imposante et un peu à sa voix l’homme qui m’avait prise lors de la première enchère à Megève. Une fois dans son cabinet, il me dit : « Déshabillez-vous, Virginie, je vais vous examiner.»
C’est ainsi que je me retrouvais cuisses écartées sur sa table d’auscultation.
Il avait enfilé une paire de gants et durant les premières minutes, il me fit un examen normal avec quelques commentaires équivoques, mais sans plus : « Vous avez de belles lèvres, votre utérus est souple à souhait.»
« Vous allez vous retourner, dit il au bout de cinq minutes. Je voudrais examiner votre anus. »
Je m’exécutai et me retrouvai les fesses cambrées sur la table. Je compris que les choses allaient prendre une autre tournure. En effet, il avait enlevé ses gants, et je sentis qu’il m’introduisait un gel dans l’anus. Je me contractais.
« Laissez-vous aller, je vais vous faire une dilatation anale, car il semble que vous êtes étroite à ce niveau », dit-il.
Dans le même temps, il me demanda de pousser. J’étais honteuse de la position et de ce qu’il me demandait de faire. Pas l’ombre d’un doute, c’était un pervers.
Il m’introduisit dans l’anus un spéculum et se mit à l’activer. Je sentis alors mes chairs s’écarter, et au bout de quelques instants, je ne peux m’empêcher de gémir de douleur.
« Il faut que tu souffres pour être bien pénétrable », affirma-t-il.
Un avilissement total. Enfin il s’arrêta et me dit : « Tu vas rester ainsi dix minutes. Je reviendrai ensuite pour voir si la dilatation est bien faite. »
Il est alors sorti, et je suis restée ainsi seule. Mes pensées se bousculaient, j’avais envie de partir, d’arrêter ces jeux .Il revint une quinzaine de minutes plus tard, il n’était pas seul.
« Je te présente Virginie, elle est dans le réseau » dit il en s’adressant à un homme plus jeune que lui.
- Elle est nouvelle dans le réseau, une vraie blonde aux formes arrondies comme il faut, un beau sujet pour la soumission, continua-t-il.
- Je te présente, Alain, un collègue médecin comme moi, me dit-il alors.
- Nous allons voir si tu es suffisamment dilatée avant de t’essayer », conclut-il.
Le spéculum fut enlevé me libérant ainsi, je ne sentais plus mon anus. Les deux hommes étaient derrière moi commentant en terme crus ce qu’ils voyaient : « Un beau cul, un bel anus, elle est vraiment faite pour la sodomie !
- A toi l’honneur moi je l’ai déjà baisée… »
Je sentis bientôt la verge d’Alain qui me pénétrait. L’autre se mit en face de moi pour m’observer et commenter mes réactions : « Vas-y elle aime, je sens que tu la faire jouir du cul cette salope ! »
Il avait repris son langage ordurier. Il encourageait son collègue avec des mots de plus en plus durs : « Encule-la bien à fond, elle aime, je le vois sur son visage… »
Alain se retira et décida alors : « Il faudrait la raser, elle a trop de poils. Qu’en penses-tu ?
- Bonne idée », répondit l’autre.
A ces mots, un déclic se produisit en moi, je ne voulais absolument pas être rasée !
Pourquoi ? Je n’en sais trop rien, mais je tenais à rester nature avec ma toison pubienne.
« Non, je ne veux pas être rasée ! » protestai-je de nouveau.
Face a ma détermination qui semblait les surprendre, le docteur me dit : « Bien, rhabille-toi c’est fini pour aujourd’hui.»
Un peu interloquée et ne sachant comment interpréter tout cela je me suis rhabillée et je suis partie.
J’avais presque oublié cela, lorsque deux semaines plus tard, Paul me dit : « Serge veut nous voir, nous irons demain à Lyon.»
Je m’en souviens très bien, nous étions un jeudi soir. Nous avons retrouvé Serge dans le centre de Lyon. Il est monté à l’arrière de la voiture, et m’a demandée d’en faire autant. Nous avons pris la direction de l’autoroute qui contourne Lyon par l’est, et sommes partis vers Vienne.
« Tu as désobéis », me dit Serge au bout de quelques minutes.
Je ne voyais pas ce qu’il voulait dire, il me rappela alors l’incident chez le médecin.
« Tu dois obéir à tes clients, c’est pour cela qu’ils font appel à toi. Pour la peine, tu vas être punie. »
Je ne comprenais pas très bien où cela pourrait aller. Serge me banda les yeux. Au bout d’un quart d’heure, nous nous sommes arrêtés. Nous étions, je l’apprendrai plus tard, sur un parking réservé aux routiers qui se trouve sur à Communay. Je suis restée plusieurs minutes seule dans la voiture ,Paul et Serge étaient descendus. Au bout de dix minutes ou plus, j’avais un peu perdu la notion du temps, ils me firent descendre.
Serge me mit contre le capot de la voiture poitrine en appui. Il souleva ma jupe et je l’entends annoncer : « Messieurs, elle est à vous pour 50 €,. Allez, elle a un beau cul à baiser ! »
J’allais me redresser pour protester, mais à ce moment, je fus maintenue en place par deux bras de chaque coté, probablement Serge et Paul.
Alors commença pour moi une véritable punition. Des mains, des doigts, m’écartaient les fesses, me palpaient, s’introduisaient dans mes orifices, bientôt je sentis une verge qui me pénétrait. Les hommes qui étaient la parlaient peu. Je les entendais seulement haleter, rugir comme des bêtes en rut. Je dus bientôt subir l’assaut de plusieurs mâles en série de 3 ou 4.
C’était une véritable tournante.
Serge me sermonna : « Tu obéiras, maintenant !
- Non » retoquais-je.
Au bout de plusieurs minutes, je fus reconduite dans la voiture, pour en ressortir de nouveau dix minutes plus tard. Je fus encore mise à la disposition de plusieurs hommes. Ils étaient maintenant une dizaine. Ce fut un véritable viol collectif.
Sodomisée, pénétrée de partout, je ne savais plus où j’étais, qui j’étais. Au bout de plusieurs minutes, je me mis à pleurer. Cela sembla décupler leurs ardeurs. C’était à qui me prenait le plus violemment.
Serge réitéra sa question : «Tu obéiras ?
- Oui », murmurais-je cette fois.
Tout cela cessa au bout d’une heure.
Alors que nous remontions dans la voiture, Serge dit : « Il y a deux types qui la veulent pour une heure dans leur cabine, on va leur donner. Cela va la mater définitivement !
Non ! Ca suffit, on arrête elle a compris », s’interposa Paul.
Malgré ma colère pour ne pas dire ma haine, j’en fus reconnaissante à Paul .Sur le chemin du retour Serge ne put s’empêcher d’être horrible et sauvage. Il me dit : « Suce-moi salope ! »
Je dus m’exécuter. Au moment où il allait éjaculer, je voulus retirer sa verge de ma bouche. Il me plaqua contre lui et je l’entends encore crier : « Avale, salope ! Tu es bonne qu’a ça ! »
Nous sommes rentrés très tard chez nous. Je n’ai pas dis un mot, je me suis mise à pleurer. Paul toujours équivoque m’a prise dans ses bras :« Tu dois faire ce que te demande tes clients, et il ne t’arrivera plus rien je te le promets.. »
J’allais pourtant être de nouveau mise à l’épreuve quelques semaines plus tard avant de retrouver un semblant de liberté.
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J'adore ce récit.
Merci Sophie de nous régaler ainsi