Les Mémoires très Libertines de Sophie
Branlée à travers le grillage...
Il y a deux jours, ou plutôt, deux soirs, mon chien aboyait à s’en rompre les cordes vocales. Et je ne supporte pas ça. Je m’acharnais à le faire taire, mais il était de l’autre coté du grillage, chez mon voisin. Impossible de l’atteindre pour lui fermer la gueule
Mon voisin a fini par sortir, alerté par les aboiements et mes cris. Nous avons peu de rapports. Il est courtois, souriant, mais priori, pas le genre d’homme qui me plait le plus.
Je sais qu’il m'a déjà vue, voir même carrément matée, quand je me baigne dans ma piscine, nue comme toujours. Une fois où je me faisais plaisir avec le jet de mon tuyau d’arrosage, je le soupçonne d’être resté là un bon moment, à m’observer. Il faut dire que j’aime bien me mettre dans l’eau, les bras et les jambes calés par une « frite » de piscine, et de me caresser comme ça, en plein soleil, avec ma main ou le jet d’eau bien puissant de mon tuyau d’arrosage. Je me fais jouir en plein jour, et cette situation d’exhibition potentielle m’excite au plus haut point….
D’ailleurs, dans un autre texte, en début de blog, j’avais raconté comment un copain m’avait surprise dans cette position. Il en avait découlé un après-midi de sexe pur, de folie hard, avec lui, et deux voyeurs de passage…
Depuis je recommence souvent, et je me dis que peut-être….
Bref, avant-hier, j’étais dehors, à neuf heures du soir, avec une quasi pleine lune, à appeler mon chien en vain. Jacques, mon voisin est donc sorti, et s’est approché de moi. Nous avons discuté à travers le grillage. Un moment, j’étais vraiment proche de la clôture, et Jacques y avait accroché ses doigts, pour prendre un appui. Comme toujours, quand je suis chez moi, je n’étais « habillée » que d’un paréo, noué sur les seins. Et rien en dessous.
Alors qu’il me parlait de mon chien, il a brusquement changé de sujet : « Tes seins sont très beaux, ca me change de voir ça de ceux de ma femme ! »
J’étais un peu interloquée, mais ca m’a fait chaud au ventre. Il fut dire que je n’ai pas baisé depuis une semaine, un record d’abstinence pour moi !
J’ai souri, ce qu’il a pris pour un encouragement. A travers le grillage, il a tendu carrément les deux mains, pour attraper les seins. Il les a massés à travers le tissu du paréo. Son geste a immédiatement mis le feu dans ma chatte affamée. Je me suis collée au grillage, pour qu’il me caresse mieux. Il a écarté le paréo, et a saisi mes aréoles déjà très sensibles. Il les a pincées, ce qui m’a arraché un gémissent profond. Mes jambes ont tremblé. Nos visages se trouvent juste au dessus du maillage. Nous nous sommes embrassés, j’ai dévoré sa langue, sa bouche. Il semblé surpris… Mais m’a dit très vite :
« Tu me fais bander ! J’ai envie de te baiser… »
Mais sa femme était chez lui, et mes enfants ne dormaient pas encore. Nous ne pouvions donc rien faire de concret.
Il a sorti sa jolie queue, pas très longue, mais un peu épaisse. Tout en continuant de malaxer un de mes seins, il a commencé à se branler vivement. J’adore voir un homme se branler. De plus, la lune éclairait bien la scène. Je voyais presque comme en plein jour. Je n’ai pas pu résister longtemps.
J’ai écarté encore plus mon paréo, et enfoncé d’un coup deux doigts dans mon con bien mouillé. Je me fouillais le vagin, passant mon index partout, le ressortant pour masser mon clito bandé. J’ai basculé mon bassin, pour que Jacques me voie mieux me branler. Nous étions là, chacun d’un coté du grillage, à nous regarder nous caresser, les yeux fixés sur le sexe de l’autre.
Puis Jacques a introduit sa bite dans une maille de la clôture, et j’ai pu le crasser, décalotter son gland brillant de son excitation. En me collant au grillage, il a pu aussi glisser un doigt dans ma chatte. J’étais tellement trempée que ses caresses m’ont électrisée. Il titillait mon bouton raidi, s’enfonçait sans ménagement dans ma chatte de plus en plus avide. Bon sang, qu’est ce que j’avais envie qu’il me baise bien profond !!! Je dansais sur sa main, pour quelle s’enfonce encore plus.
J’avoue que le spectacle devait être comique, vu de l’extérieur, et était inédit pour moi : se branler, se caresser au travers d’un grillage !
Pourtant, à force de nous caresser, de nous embrasser, j’ai joui en inondant ses doigts de cyprine chaude. Dans les secondes qui suivirent, un épais jus de foutre giclait dans ma main, pour s’écraser ensuite dans l’herbe…
Ah, voir jouir un homme au clair de lune !!!! Vraiment bandant ! Mais maintenant, je n’attends plus que le jour où il va vraiment me baiser. Il semble être un gros cochon vicieux, comme j’aime…
L'humiliation de la Comtesse
Ma chère cousine a continué de jouer avec le feu, multipliant les occasions d’assouvir ses envies de sexe. Celles-ci sont de plus en plus fréquentes, de plus en plus hard. Elle va de plus en plus loin, surtout quand son mari est en déplacement pour son travail. Heureusement, cela arrive souvent. Mais un jour, tout a changé… pour son plus grand malheur.
Six heures du matin, le téléphone sonne. Mais qui ça peut-il être à cette heure ? Quelle nuit ! Ça faisait longtemps qu’Astrid n’avait pas baisé comme ça Jean-Etienne est un amant hors pair ! Péniblement, elle émerge de son sommeil et des bras de son amant en balbutiant un « Allo » pâteux. Aussitôt, un curieux dialogue s’engage.
« Bonjour chérie, c’est moi !
- Toi ? Mais tu sais quelle heure il est ici ?
- Mais oui chérie, il est la même heure qu’ici, puisque je suis à Paris moi aussi.
- Comment ça, tu es à Paris ? Mais tu ne devais pas rentrer avant huit jours !
- Tu as raison, chérie, mais la coulée du béton a posé bien moins de problèmes que prévu. Les piles du pont ont parfaitement refroidi, aucune fissure, les vérifications ultrasonores ont été faites. Nous sommes en avance de quinze jours sur les travaux. En attente des poutres maîtresses pour les arches, je me suis accordé dix jours de vacances à Paris, d’autant plus que l’agence SSAS m’avait envoyé un mail il y a de cela quelques jours...
- Qu’est-ce que c’est cette histoire, qu’est-ce que c’est cette agence SSAS ?
- Ah oui, tu n’étais pas au courant ? SSAS, c’est l’agence Search, Survey and Secure. C’est une agence de détectives privés spécialisée dans la télé-surveillance. Par exemple, là maintenant, de ma chambre d’hôtel, je peux te voir dans ton lit, je peux même faire un plan plus large et je peux constater que, comme il me l’avait promis, Jean-Etienne ne t’as pas laissée toute seule, et s'est bien occupé de toi... »
Astrid maintenant est tout à fait réveillée.
« Chéri, je t’en prie, je peux tout t’expliquer...
- Alors, ça tombe bien, parce que justement, si je te téléphonais si tôt, c’est qu’il faudra aller voir cet après-midi notre avocat pour le divorce.
- Comment ça, le divorce ?
- Mais oui, avec les photos que j’ai eues par mail, plus la vidéo de ce matin, je crois que je vais avoir le divorce sans peine et sans pension alimentaire. Tiens, salue Jean-Etienne de ma part, je vois qu’il vient de se réveiller. Bonjour à sa femme aussi ! »
Astrid est maintenant en pleine panique. Son mari n’est pas un plaisantin, et s'il ne s’énerve pas, c’est que précisément il est dans une colère terrible. Que va-t-il lui arriver ? Le divorce et après... Elle vivra de quoi ? Et en faisant quoi ? Elle ne sait rien faire, c’est une potiche, une très belle potiche, mais rien qu’une potiche. Elle a toujours été élevée dans le but d’être l’épouse parfaite un riche notable. Et elle est exactement cela : la femme modèle d’un chef d’entreprise reconnu dans la région.
« Écoute, on pourrait peut-être discuter avant ?
- Oui sans aucun problème. Viens à mon hôtel, je suis en bas de la rue à l’hôtel de l’Etoile. Je préfère ça, je n’ai aucun goût pour le théâtre de boulevard... Le mari, l’amant, la femme, la maîtresse, tout ça c’est d’un vulgaire ! Bon alors t’es d’accord ? Hôtel de l’Etoile, chambre 696, dix heures précises.
Et il raccroche. Bordel de bordel, quel réveil !!! Comment se sortir de cette affaire ? Avant toute chose, il faut garder son calme. Edmond a toujours été un homme de dialogue et de négociations.
« Il y aura peut-être, non il y aura sûrement, se dit-elle, un moyen de s’arranger. »
Elle ne voyait pas très bien comment mais elle pouvait faire confiance à Edmond. Il avait l’imagination fertile.
Dix heures. Astrid est là, devant la porte de la chambre 696, apparemment forte et digne, mais en réalité prête à tout pour s’en sortir. Jean-Etienne ne divorcera jamais, sa femme n’en à rien à foutre de ses incartades, elle n’a pas de travail et elle dépend entièrement de son mari pour s’assurer son train de vie, un train de vie assez dispendieux. Son mari lui ouvre la porte d’un air enjoué.
« Tout ça n’annonce rien de bon, se dit-elle.
- Alors chérie, t’as réfléchi à la situation ? T’as discuté avec Jean-Etienne, il va t’épouser ?
- Bon écoute, on ne va pas jouer au chat et à la souris. Tu connais exactement la situation. Je suis tombée sur une des micro-caméras, je suppose qu’il devait y en avoir d’autres, donc tu es au courant de tout. Qu’est-ce que tu proposes ?
- Astrid, ma chérie, je ne m’attendais pas à une discussion de marchands de tapis de la sorte. J’avais connu une femme distinguée, raffinée, je m’attendais à un : « Ciel mon mari ! » de circonstance, mais certainement pas à un : « Qu’est-ce que tu proposes ? » Enfin, là n’est pas l’important. Puisque tu veux jouer franc jeu, jouons franc jeu... Puisque tu aimes appeler un chat, un chat, appelons un chat, un chat. »
Edmond subitement prend une voix de théatre :
« Voilà, Madame, en un mot comme en cent, vous m’avez fait cocu, archi-cocu, plusieurs fois et par tous les trous. Qui plus est avec mon meilleur ami. Un ami de trente ans... Femme, ces preuves, je les mets ici sous vos yeux ébahis. Qu’avez-vous à dire pour laver votre honneur et vous protéger de mon courroux ? »
Reprenant ensuite sa voix normale, Edmond enchaîne, en prenant en main la pile des clichés, et sans lui avoir laissé le temps à Astrid de s’exprimer, commente :
« Des photos pareilles. On ne voit pas ça tout les jours... »
Prenant cette fois une voix de conférencier, Edmond commente les photos :
« Photo 1 : Une superbe bourge de quarante ans, et qui ne fait pas du tout son âge, en robe du soir et talons aiguilles, pénètre dans sa chambre. À voir sa tête de grosse vicieuse, elle ne doit pas être seule...
Photo 2 : Effectivement, elle n’est pas seule. Toute habillée encore, elle se met tout de suite à genoux pour une superbe fellation. Comment est-elle sous sa robe du soir ? À poil ? Non, ce serait trop vulgaire pour une femme de sa condition !
Photo 3 : Bien deviné ! Effectivement, elle n’était pas à poil, mais en soutien-gorge et porte-jarretelles, en train d’expliquer avec forces détails et devant la glace au monsieur avec qui elle s’est déjà montrée si généreuse qu’elle sait aussi s’occuper toute seule quand il le faut. Mais le comportement du monsieur semble indiquer que ce soir, il ne le faudra pas sauf pour le fun, bien sûr.
- Bon ça va, ça va comme ça, ça suffit ! Tu ne m’as pas fait venir ici pour me montrer ces photos, je te connais assez. Qu’est-ce que tu as derrière la tête ?
- Bien, effectivement, faut bien reconnaître que tu t’es comportée comme une vraie pute. Je ne m’attendais pas à ça de toi, toi une Comtesse Meillac de l’Aulne, désargentée peut-être, mais noble quand même, comme ta famille me l’a fait si souvent remarquer.
- Où veux-tu en venir ?
- Bon, et bien voilà, ce n’est pas compliqué : si t’es pute, t’es pute, il n’y a rien à y faire à çà, alors autant en profiter. Depuis le temps que j’attendais quelques piments dans notre vie conjugale...
- Bon, on y est ! Sois plus précis !
- Et bien d’abord, et avant toute chose, une petite pénitence s’impose. Pendant toute une soirée, tu feras exactement ce qu’on te demandera, sans la moindre hésitation et sans poser la moindre question. J’avais épousé une femme du monde que tout le monde complimentait, je veux maintenant savoir si j’ai épousé une pute tout aussi remarquable. D’accord ? »
Astrid n’avait pas le choix et c’est d’une voix vaincue et résignée qu’elle lui répondit :
« D’accord.
- Bon, alors, voilà le scénario : ce soir dix-neuf heures, un taxi viendra te chercher. Je l’ai réservé à ton nom et j’ai, à tout hasard, laissé notre numéro de téléphone en cas d’empêchement de dernière minute. Tu t’assoiras à côté du chauffeur. Tu répondras à toutes les questions qu’il te pose, sans tergiverser. L’adresse c’est : 18, rue des Herbiers, à Créteil. Ne t’étonne pas, c’est une cité en construction, tu verras une lumière, tu seras attendue. N’oublie pas l’argent pour le taxi. Ah oui, n’oublie pas aussi ton tailleur blanc, ton chapeau blanc à voilette, porte-jarretelles et soutien-gorge blanc, pas de slip, bas fumé à coutures, escarpins vernis, gants et pochette. N’oublie pas : tu feras tout ce qu’on te demande. J’avais cru épouser une femme honnête, intelligente, et cultivée. Je vois déjà que pour l’honnêteté, je me suis fait avoir. Tu comprends que maintenant je vérifie. S'il y a d’autres problèmes, je te vire. Bonne soirée ! »
C’est comme ça que se passaient toutes leurs engueulades : sur le ton de la plus aimable conversation. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais uns insulte. On était largement au dessus de ce genre de banalités mais la menace en était encore plus redoutable. Astrid était sur un nuage, elle s’attendait à beaucoup de choses mais pas à ça. Décidément, Edmond n’était pas à court d’imagination.
Bon, ce serait un mauvais moment à passer, et puis, qui dit que ce serait un mauvais moment ?
A dix-neuf heures précises, le taxi sonne à la porte. Astrid était fin prête et avait suivi les instructions à la lettre.
Elle s’attendait à ce qu’Edmond soit là mais non. Le taxi était vide. Curieux, qu’avait-il encore imaginé ; avec lui on pouvait s’attendre à tout et quand il était en colère, c'était pire que tout ! Le chauffeur, un "Pied Noir" d’une quarantaine d’années, lui ouvre la porte arrière.
« Non, dit-elle, je préfère aller à l’avant. »
Assez étonné, le chauffeur ne réagit pas, il se dit qu’il pourra ainsi reluquer tout à loisir ses longues jambes galbées, parfaitement mises en valeur par ses bas fumés.
« Qui sait, se dit-il, il pourra peut-être engager une conversation agréable mais il ne fallait pas trop y croire. Une bourge pareille, ce n’était visiblement pas dans ses possibilités. Enfin, c’est ainsi que va la vie ! »
- Quelle adresse Madame ?
- A Créteil, 18 rue des Herbiers.
- Créteil ? Vous êtes bien sûre Madame ?
- Oui, oui, on m’y attend à vingt heures.
- Ah bon ! »
Vu la classe de sa cliente, il est surpris qu’elle se rende dans cette banlieue souvent mal famée…
Et le taxi tente sa chance dans la circulation, particulièrement dense à cette heure, sans poser la moindre question. Mais dans le véhicule, l’atmosphère est tendue. Il est clair pour lui comme pour elle, que quelque chose ne va pas. Mais qu’est-ce qui ne va pas ? Ça c’est autre chose. Astrid ne peut pas s’empêcher de penser que le taxi, c’est son mari qui le lui a envoyé.
Quant à Abdel, lui, il n’aime pas du tout ce coin de Créteil. Pour l’un comme pour l’autre, ce n’est pas clair du tout, cette course. La conversation, malgré tout, s’engage, mais chacun interprète les paroles de l’autre à sa manière. Pour elle, il est de plus en plus certain que le taxi, c’est l’envoyé de son mari, et que c’est donc lui son épreuve. Il faudra lui obéir en tout et elle aura la paix. Bon, c’est pas trop cher payé et puis le chauffeur aurait pu être pire. Pour lui, c’est de plus en plus clair aussi. C’est une bourge un peu dingue qui veut sérieusement se faire tringler… C'est inespéré !!!!
« Où allez-vous comme ça, Madame ? C’est un curieux endroit pour une femme de votre condition...
- J’ai eu de petits problèmes avec mon mari et je me suis engagée à répondre à tous ses désirs ce soir. Et d’abord, je crois que ça a déjà commencé non ?
- Euh... C’est possible, dit Abdel, sans trop vouloir s’avancer. Et en quoi consistent exactement vos ennuis ?
- Et bien disons... Disons que je l’ai un peu trompé et qu’il n’a pas fort apprécié...
- Ah ! Je vois...
- Non, vous ne voyez sûrement pas, parce que mon mari c’est du genre sérieux vicieux et la punition qu’il a choisie pour moi va sûrement être adaptée à mon cas. Sinon, je ne vois pas pourquoi il m’aurait envoyée à Créteil, à moins que ma destination finale ne soit pas Créteil... Qu’en pensez-vous ?
- C’est possible Madame, c’est possible, dit Abdel, comprenant qu’il devait y avoir un sérieux quiproquo. Il s’efforçait de marcher sur des œufs.
- Bon alors, ne tournez plus autour du pot, arrêtez-vous où vous voulez puis vous ferez de moi ce que vous voulez, on ne va pas y passer la nuit. »
Ça c’est encore plus fort que ce à quoi il s’attendait ! Nom de Dieu ! Une occasion comme ça, ça ne se présentait pas tous les jours. La route longeait à ce moment une très longue haie, Abdel connaissait bien l’endroit. À cinq cents mètres, il y a un trou dans la haie, et derrière, un vieux parking abandonné. Ce n’est pas terrible mais c’est le plus près, et il ne faut surtout pas qu’elle change d’avis. Con promis, chose due, comme disait Coluche ! Un brutal coup de volant, et les voilà de l’autre côté de la haie.
Abdel ne s’attarde pas dans les préliminaires. Il se penche vers elle, s’empare de sa bouche et, dans la foulée, lui bascule son siège en position auto-stoppeuse. Il a tôt fait de remonter sa jupe, et c’est stupéfait qu’il tombe sur un porte-jarretelles sans slip et une vulve déjà bien humide. Bordel de bordel ! Mais qu’est-ce qui lui arrive ? Une histoire pareille en vingt ans de métier, ça ne lui est jamais arrivé !
« Surtout rester calme se dit-il, une affaire comme ça, ça se déguste, et sans doute à plusieurs, mais pour l’instant ça se déguste surtout tout seul. »
Après lui avoir roulé une sacré pelle et lui avoir copieusement peloté son 90C et l’avoir de façon incroyable fait déjà sérieusement jouir à main nue, une idée lui traverse l’esprit : il faut continuer la conversation, mais dehors.
- Viens, on s'est pas baisé correctement ici, dit-il, je vais sortir le tapis de sol du coffre et on va baiser dehors, discute pas ! »
Au grand étonnement d’Astrid, Abdel en profite pour sortir une chaise pliante de son coffre. Elle n’a pas le temps de réfléchir que déjà Abdel a déroulé le tapis de sol devant sa voiture et s’est confortablement installé dans son fauteuil.
« Désappe-toi », lui dit-il, sur un ton sans équivoque mais avec grâce et sensibilité, on a tout notre temps.
Astrid n’a plus qu’à s’exécuter. Elle veut commencer par enlever son chapeau à voilette mais Abdel, d’un ton sec, lui ordonne de le garder. Rien ne vaut une bonne pipe tirée par une belle bourge avec un chapeau à voilette.
« À poil, salope ! Du sexe et de l’ambiance bordel ! »
Astrid sait ce qui lui reste à faire. Tout en faisant magnifiquement onduler son corps, elle fixe intensément Abdel dans les yeux. Elle déboutonne ensuite lentement la veste de son tailleur, laissant apparaître son chemisier transparent.
« Bordel, ça s’annonce bien !!! Et cette conne n’a toujours rien compris à l’astuce », se dit-il.
Au tour de sa jupe maintenant, elle ne tarde pas de glisser à terre, laissant apparaître Astrid, toujours coiffée de sa voilette, en chemisier transparent et en porte-jarretelles.
« Enlève ton chemisier salope ! »
Astrid s’exécute, le tableau est vraiment charmant : le soutien à balconnets mettant brillamment le 90C en évidence.
« Masturbe-toi maintenant. Et n’oublie pas, je veux tout voir !
Astrid entame sa danse, tout en ondulant de la croupe, elle prend à pleines mains ses deux seins, les malaxe, en fait ressortir les pointes, tout en affichant une moue provocante. Ses mains se glissent maintenant entre ses jambes, malgré la honte de la situation, son sexe est trempé. Il faut dire qu’elle ne ménage ni ses lèvres, ni son clitoris. Astrid sent monter en elle un puissant orgasme et c’est à ce moment qu’un formidable coup de klaxon se fait entendre, bloquant net Astrid dans son élan. Elle se retourne brutalement et comprend tout de suite la situation : la haie qui les abrite de la nationale n’a que deux mètres de haut. Pour les automobilistes, ils sont parfaitement invisibles mais pas pour les camions. Ce salaud de taxi l’avait fait exprès. L’air innocent et confortablement assis dans son fauteuil, Abdel la voyait complaisamment se donner en spectacle à des dizaines de camionneurs. Mais elle se rappelle les consignes d’Edmond : tout, absolument tout, sans remarque, sans discussion. Abdel affiche maintenant un superbe sourire et lui présente bien fièrement un sexe de taille fort raisonnable.
« Mets-toi à genoux salope et suce-moi bien. T'as tout ton temps, et comme tu as pu le voir. Les camionneurs apprécient fort ton spectacle, d’autant plus que les embouteillages sérieux ne font que commencer. »
Morte de honte, Astrid s’exécute. Du coin de l’œil, elle peut en effet observer la circulation qui ralentit sérieusement et les camionneurs qui n’en perdent pas une. Edmond ! Salaud de salaud, humilier ainsi une Meillac de l’Aulne, se dit-elle.
« Bon, le spectacle est terminé maintenant », dit Abdel, arborant un sexe au bord de la congestion.
Couche-toi sur le capot, replie tes jambes et écarte-les biens avec tes deux mains. La fête va pouvoir commencer... »
Abdel adore cette position car mine de rien, en accentuant un peu la cambrure, les choses se présentent fort différemment.
Abdel introduit alors d’un seul coup son sexe dans le vagin trempé, sous les acclamations d’un camionneur tout à fait ravi d’être bloqué par l’embouteillage. Il la besogne avec force, lui autorisant malgré les circonstances un orgasme bien mérité et bien bruyant. Il déclenche ainsi un tonnerre de klaxons du camionneur hilare. Puis, Abdel l’encule sans problème. Elle est bien coopérante, elle va avoir droit à la totale.
D’un camion, un conducteur leurs lance une poignée de cacahuètes, tout en arborant un sourire complice à Abdel qui rayonnait de bonheur. Quelle humiliation pour une femme de son rang ! Astrid demande alors au chauffeur de taxi :
« Mon mari sera content ?
- Ben, euh... Écoutez Madame, vous avez été charmante avec moi, mais je crois qu’il y a un gros malentendu depuis le début. Je ne le connais pas du tout, moi, votre mari.
- Comment ça ? dit Astrid, folle d’inquiétude.
- Ben non, la seule chose que je sais, c’est que je dois vous conduire comme vous me l’avez demandé, 18 rue de Herbiers… »
Astrid fond en larmes. Le salaud, le salaud ! Tout ça, toute cette humiliation pour rien ! Et ce salaud d’Edmond avait prévu tout ce qui allait arriver. La vraie soirée ne commence que rue des Herbiers…
Ma cousine la Comtesse, et son neveu
Dans les chapitres précédents, je vous avais raconté les frasques de ma cousine, la comtesse Astrid Meillac de Laulne. Vous aviez découvert comment elle s’est dévergondée avec ses jardiniers, puis des ouvriers venus chez elle. En un mot, elle est devenue une vraie garce !
La semaine dernière, j’ai reçu un mail de mon petit cousin Guilhem. Ce dernier a découvert le blog, et l’histoire de sa tante. Au vu de petits détails il a « su » que c’était elle dont on parlait… Cela ne l’a guère surpris, vu ce qu’il a vécu avec elle ! Il m’a raconté une histoire incroyable, que j’ai rédigée à votre intention… J’espère qu’elle vous plaira !
« Au printemps dernier, l’occasion s’était présentée à moi d’occuper seul, pendant quelques temps, la demeure familiale, au motif d’un séjour de mes parents durant plus de trois mois en Chine.
C’est dire si cette période fut mise à profit pour y vivre certaines expériences. La première fut de contribuer, avec les amis des deux sexes conviés à moultes reprises, à réduire sensiblement le nombre d’excellentes bouteilles de la cave paternelle.
Une autre fut de découvrir des facettes nouvelles d’une sexualité qui ne demandait alors qu’à s’épanouir.
Plusieurs jeunes personnes (féminines) de plus ou moins bonne famille prolongèrent une soirée ou un après midi pour mieux apprécier les charmes du logis (piscine et jardin) et de son locataire.
Ces petites sauteuses agrémentèrent plus qu’agréablement mon séjour et la précocité dans le vice de certaines de ces polissonnes dévergondées me conduisit à inventorier nombre de pratiques libidineuses et de fantaisies libertines.
Mais de toutes les folies accomplies lors de cette heureuse période, celles commises avec ma tante Astrid furent les plus mémorables.
Je revenais d’un cours quelconque suivi à la fac, et, ce soir là, alors que je rentrais à pied par le jardin, j’aperçus de la lumière au travers des persiennes quasi closes du salon.
Il ne me vint pas à l’idée que la maison puisse être la cible de visiteurs mal intentionnés et je me dis que j’avais sans doute oublié d’éteindre la lumière.
« C’est curieux, tout de même, pensai-je, je n’ai pas fermé les persiennes ce matin... »
Comme à l’accoutumée, j’évitais de rentrer par la porte principale, et me rendais vers la porte côté jardin, donnant sur le garage et la cuisine.
Aussitôt le seuil franchi, j’entendis immédiatement, en provenance du salon, le son doublement caractéristique de la télévision et d’un film porno.
Je me rappelais soudain, que seul depuis quelques jours, j’avais laissé traîner sur la table du salon, quelques indices de ma vie dissolue, et notamment quelques ouvrages très dépravés et des vidéos de film x.
Je me surpris même à me demander si toutes les petites culottes qui avaient pu quitter leur propriétaire ces dernières semaines avaient été retrouvées...
Naturellement, je me fis la réflexion qu’un camarade avait trouvé le moyen d’entrer et profitait de mon absence pour visionner un film.
Je décidais donc de surprendre ce larron voyeur et m’approchais alors d’un pas de Sioux.
De suite, j’aperçus en haut du canapé de cuir crème dépasser des cheveux blonds, qui oscillaient légèrement.
Ma compagne friponne préférée du moment étant brune aux cheveux courts, je me demandais qui pouvait être cette intruse aux mœurs curieuses, venant chez moi mater un film porno, et des plus hard.
Quelques prénoms me vinrent à l’idée tandis que j’avançais sans faire un bruit.
Je perçus bientôt quelques gémissements caractéristiques de la montée du plaisir féminin, entrecoupés d’une respiration quelque peu saccadée.
Persuadé d’avoir affaire à une copine de soirée ayant décidé de revenir bluter les fleurs du mâle, je n’hésitais pas à dégrafer les boutons de ma braguette et d’en sortir mon gourdin, dont la raideur progressait à grande vitesse.
C’est dans cette position déboutonnée, mon outil à la main que je fis d’un saut les quelques mètres me séparant de la coquine qui, manifestement, attisait elle-même son excitation, ainsi que le démontrait le mouvement régulier de son épaule.
Tandis que d’un autre bond, je présentais ma bandaison auprès de la bouche de ma visiteuse, je découvris enfin son identité.
Notre surprise fut réciproque.
Cette branleuse n’était autre qu’Astrid, ma Tante Astrid, qui, nue sur le canapé, à l’exception de ses bas noirs, se flattait les lèvres intimes au moyen d’un vibromasseur doré.
Après un bref instant de flottement, le regard de Tante sembla irrésistiblement attiré vers le vit turgescent et tendu devant son visage. Elle eut un soupçon d’hésitation, mes yeux dans les siens où il me sembla trouver une lumière égrillarde, puis elle avança la tête, ouvrit la bouche et d’un geste gracieusement gourmand, goba ma queue.
Sans cesser de manipuler le vibromasseur, elle entreprit une fellation de haute école, alors que je venais empaumer et tripoter ses seins en poire, aux mamelons tendus par son désir, mon regard allant tantôt vers cette bouche et ce regard de suceuse sans complexe, tantôt vers la main qui s’agitait entre ses cuisses, tantôt vers l’écran où une donzelle en bas et porte jarretelles se faisait prendre en levrette en même temps qu’elle avalait, aussi, un honorable braquemart, sous les yeux d’une spectatrice qui se masturbait impudiquement.
Il va sans dire que quelques minutes de ce traitement aussi délicieux qu’inopiné (si l’on peut dire) eurent raison d’une certaine résistance habituelle…. Cela d’autant qu’Anita, une copine un peu boulotte mais portée sur la bagatelle, m’avait obligeamment branlé dans les toilettes de la cafétéria, après que je lui eus brouté le minou. Cette petite séance plaisante avait eu lieu après le cours du matin, où nous étions assis l’un près de l’autre.
C’est ainsi que les signes avant coureurs d’une éruption liquide se firent rapidement sentir entre les lèvres de Tante Astrid, laquelle, son regard fixé dans le mien, pompait activement, les lèvres bien refermées, et sa main tripotant mes couilles.
Je ne pus que dire des : « Ohh Tante Astrid, qu’est ce que tu fais ? Ohhh... oui, je vais jouir, ma Tante, je vais gicler... »
Et c’est ce qui survint alors. Astrid ne retira pas sa bouche, et au contraire, fit en sorte de réceptionner le nectar copieux sans en perdre une goutte.
Elle avait poursuivi sa branlette et le gode vibrant sur son clitoris, elle exprima son propre plaisir par un gémissement alangui.
Nous restâmes ainsi sans rien dire quelques minutes, elle assise sur le canapé, ses cuisses toujours écartées et moi sur l’accoudoir, le pantalon baissé, alors que le film porno continuait à diffuser ses images obscènes.
« Eh bien Tante Astrid, c’est du joli !!! finis-je par dire.
- Oh, Guilhem, tu... tu m’as prise par surprise...
- Mais tu n’as pas protesté quand je t’ai mis ma queue dans la bouche...
- Oh non, mais, mais que vas-tu penser de moi ?
- Que tu es une belle cochonne, Tante !
- Et toi, un petit vicieux...
- A-t-on idée, Tante, aussi, de se branler devant un film porno et de s’enfourner la bite de son gentil neveu sans barguigner ! »
En définitive, après nous être entreregardés, nous convînmes en même temps que l’un comme l’autre n’avions guère d’intérêt à ébruiter la chose dans la sphère familiale.
« Pas la peine de raconter tout çà à toute la famille, conclut-elle fermement.
Cette connivence nous amena à dire concomitamment et dans un parfait ensemble :
- D’accord, mais à une condition...
Nous sourîmes de cette coïncidence.
- Toi d’abord ! dit-elle.
- Combien de temps restes-tu ici, Tante Astrid ?
- Quelques jours, pourquoi ?
- Eh bien ma condition, c’est que nous… Bref, tu as compris...
Elle sourit, mutine, toujours la main posée sur sa motte bien taillée.
- Je te propose bien mieux que çà, c’est ma condition à moi...
Je n’osais imaginer ce qu’il fallait comprendre de cette observation.
- Euh, que veux-tu dire par là Tante ?
- Eh bien n’aurais-tu pas un bon camarade ? Un copain que tu pourrais inviter à se joindre à nous ?
- Oh ! Tante, tu veux faire l’amour avec deux... euh ?
- Pas tout à fait, enfin oui, mais aussi un peu plus... alors ce copain tu l’aurais ?
- Peut-être…
- Attention, il faut que euh.. Tu comprends ? Quelqu’un qui soit assez ouvert à ces jeux…
- Oui je vois. Il y aurait bien Marc... Il est déjà venu ici, en fait Tante, on a déjà fait çà ensemble avec deux filles...
- Oh ! Mon Guilhem, mais tu es décidément un petit vicieux, déjà une partouze à ton âge... Bravo ! Cà promet... Au fait, et ta condition à toi ? me demanda Tante.
- Hum... ma condition, oui, ma condition, c’est que... c’est que nous, enfin, tu as compris... »
Elle m’adressa pour toute réponse un sourire coquin, et soudain concentrée sur son bas ventre, retira le gode de son fourreau humide.
La nature polissonne de notre conversation et le défilé des images érotiques sur l’écran de la télévision, m’avaient ragaillardi et j’exhibai aux yeux de Tante un chibre de nouveau bien tendu, tension que je n’hésitai pas à encourager de quelques mouvements onanistes.
A la vue de cette proéminence renouvelée, d’un geste Tante m’invita à lui rendre une visite intime et c’est ainsi que sur le grand canapé du salon, je connus ce soir-là, la profonde et délicieuse volupté d’enconner ma Tante Astrid.
Ramonage et pistonnage étant, entre autres ardeurs (hardeur), les mamelles du plaisir, nous ne tardâmes pas à cheminer de concert sur la voie de la jouissance.
Et c’est au fond de la chatte de ma tante Astrid que je déversai une nouvelle fois ma liqueur intime, encouragé par les feulements extatiques de ma libidineuse parente.
C’est après une douche réparatrice que je retrouvais ma tante à la cuisine, toujours quasiment nue et seulement vêtue de ses bas, et d’un modeste tablier.
Je demeurai quelque temps, assis à la table, dans la contemplation de cette croupe offerte et dansante sous mes yeux, rêvant aux félicités à venir.
Nous dînâmes ensuite des mets simples mais parfaitement cuisinés par Astrid. Alors que nous terminions notre dessert, Tante, qui avait de nouveau contribué à un nouveau déploiement de ma bite en me racontant certaines de ses frasques sexuelles et espagnoles, me rappela que j’avais un coup de fil à passer.
« Euh, ce soir, ma Tante…
- Bien sur... Ne me dis pas qu’un jeune homme vigoureux comme toi est fatigué au prétexte qu’il a juté deux fois ???
- Pas exactement Tante.
J'avouais la séance de branlette avec Anita en fin de matinée.
- Ohh... tu es un vrai coquin !
- C’est de famille, sans doute...
- Bon, on remet çà à demain soir, finit par accepter Tante, tout en passant ses doigts sur ses lèvres intimes, avec un zeste de regret de devoir en rester là... »
Quelque peu fatigué de cette journée, je me rendis dans ma chambre non sans observer que Tante semblait former le projet de visionner un autre film porno, en recherchant dans le stock disponible.
Je m’endormis en imaginant Tante poursuivre ses excitations audio visuelles et godesques (godiques) sur le canapé du salon, ses cuisses écartées et répandant sa cyprine sur le cuir fauve.
C’est d’excellente humeur que je me levais le lendemain, pas de très bonne heure, prêt à en découdre avec cette tante débauchée, et à lui rendre les hommages que ses cavités hospitalières méritaient.
Mon excitation matinale retomba bientôt lorsque je me rendis compte que la belle avait quitté la maison et m’avais laissé seul.
Renonçant à un petit plaisir personnel et manuel, en prévision des probables débordements à venir, je vaquai à quelques oiseuses occupations.
Alors que j’avalais quelques denrées éparses en guise de déjeuner, le téléphone sonna.
« Allo ?
- C’est toi, mon neveu baiseur ?
- Euh oui...
- Tu as invité ton copain ?
- Ben, pas encore, j’allais le faire.
- OK, à tout à l’heure petit coquin et ne te branle pas. Garde tes forces pour ce soir.
- Mais... »
Tante Astrid avait déjà raccroché. Je fis alors le numéro de Marc.
« Ouais, entendis-je...
- Salut, Marc, c’est Guilhem.
- Wooh, salut qu’est ce que tu veux... Dis donc, j’ai trouvé deux minettes qu’on pourrait sortir ce soir, à mon avis des saute-au-paf, çà te dit ?
- En fait, j’avais un autre projet. C’est pour çà que je t’appelle.
- C’est quoi ton projet ? Un plan cul j’espère !
- Tu ne crois pas si bien dire.
- Avec qui ?
- Tu ne la connais pas...
- Y en n’a qu’une, non ?
- Une quoi ?
- Une nana ?
- Oui, mais pas n’importe laquelle...
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- Tu es là aussi ?
- Ben oui, elle veut se faire deux mecs en même temps... Enfin, je suppose !
- Une fille de la fac ?
- Non, pas du tout.
- Qui ?
- Ma tante. Astrid, elle s’appelle.
- Dis-donc, et c’est une... une...
- Oui, c’est une sacrée salope...
- Hum...faut voir, elle me tente, ta tante... ha ha !
- OK je compte sur toi, je pense qu’on va s’amuser...
- Tu l’as déjà baisée ?
- Ouais, hier soir. Je l’ai même surprise à se branler sur le canapé en regardant un film porno...
- La cochonne wwaaooou.
- OK, tu viens ?
- Super mec, à ce soir.
- Eh attends, qu’est ce que je fais des deux minettes ?
- Tu les gardes pour demain... »
A peine avais-je raccroché avec Marc, que le téléphone sonnait de nouveau.
Cette fois c’était Anita -la branleuse de la fac- qui me demandait si justement, j’étais libre ce soir, pour développer nos relations à d’autres pratiques, dans le prolongement de notre prise de contact de la veille.
Je lui répondis que cela aurais été avec grand plaisir mais que justement, ce soir j’étais coincé et je lui servis l’arrivée inopinée d’une tante vieille fille avec laquelle je devais passer la soirée, par respect familial...
« Mon pauvre Guilhem, je te plains...
- Une autre fois, je te rappelle... Anita... Bises où tu aimes...
- Bisous aussi, au même endroit... »
Plus tard dans la journée, Tante Astrid fit son retour, chargée de divers paquets attestant d’une après midi de shoping.
« Hello ! Guilhem... En forme j’espère ? Dis, tu as eu ton copain ?
- Oui, Marc arrive vers 8 heures...
- Super. Tu nous prépareras un apéritif et après j’ai acheté une grande pizza. Nous aurons autre chose à faire que la cuisine. A plus tard... »
Tante se dirigea vers la salle de bains, et j’entendis l’eau couler. Je subodorais qu’elle envisageait une préparation exceptionnelle pour la soirée.
Marc arriva alors, au moment convenu, alors que Tante n’avait toujours pas reparu. Il commença par douter de la réalité de l’existence de la rencontre promise.
J’avais sorti une bouteille de champagne et une de scotch. Nous primes avec Marc un petit verre de whisky pour nous permettre de patienter et aussi sans doute de nous détendre quelque peu.
« Hello les garçons !!! entendîmes-nous soudain, et Tante Astrid fit son apparition au salon, juchée sur des escarpins de cuir blanc à haut talons, ses jambes gainées d’un voile blanc à résilles, avec couture, une courte jupe de stretch, un chemisier de soie grège laissant apparaître un décolleté pigeonnant.
J’observais Marc, dont le regard ne semblait pas pouvoir se détourner de la femme qui se tenait devant nous. Elle était sûre de sa féminité, et de la séduction torride qui émanait de sa personne, campée devant deux jeunes godelureaux, un sourire aux lèvres. Nous l’interprétâmes comme une invitation à des plaisirs sans barrière.
« Bonsoir, tu es Marc, je présume ? poursuivit ma tante.
- Euh oui, bonsoir...
- Guilhem m’a dit que tu étais un petit polisson ?
Marc me jeta un coup d’œil et benoîtement, je lui souris.
- Alors, je vous plais les garçons ? demanda Tante Astrid en s’asseyant sur le fauteuil en face du canapé où nous étions. »
La coquine prit soin de nous gratifier d’un gracieux mouvement de ses jambes. Ce geste nous permis d’observer qu’elle portait, d’une part, des bas soutenus par des jarretelles blanches, et d’autre part, un string arachnéen de dentelle blanche.
« Guilhem, tu nous sers le champagne ?
- Bien sur, Tante... »
Elle caressait doucement sa cuisse faisant crisser le bas. Nous trinquâmes à notre soirée et ma tante, une fois sa coupe reposée, entra dans le vif du sujet sans autres tergiversations.
Cette entrée en matière consistait à croiser et décroiser les cuisses le plus lentement possible en nous regardant par dessous, avec son petit sourire enjôleur qui en disait long sur ses intentions libertines.
« Alors, les garçons, le spectacle vous plait ? »
La gorge nouée par l’émotion, et l’excitation croissante, nous nous contentions de hocher la tête, les yeux exorbités devant ces jeux de jambes de plus en plus impudiques. Maintenant sa jupe était remontée, et nous pouvions admirer les cuisses striées par les jarretelles.
« Dites, je vous fais bander au moins ?
- Euh… oui, répondis Marc., un peu gêné. »
Pour ma part, j’opinais vigoureusement du chef en continuant de mater ma tante dans son exhibition. A cet instant, elle passait sa main entre ses cuisses par dessus la fine culotte, avec un bruit d’ongle délicieux sur le tissu tendu.
« Alors ? relança Tante Astrid.
- Euh… quoi ?
- Eh bien qu’attendez-vous ? Montrez-moi comme vous bandez... Sortez vos queues, les garçons... »
Fascinés par la dimension érotique de la situation, nous entreprîmes de concert de défaire notre braguette pour en extirper notre engin.
« Déshabillez-vous ordonna soudain ma chère tante, alors que nous regardions sa main se glisser dans sa culotte... Mettez-vous tous les deux à poils. Je vous veux nus devant moi... »
Marc, subjugué par Tante Astrid, obéit aussitôt. D’un sourcil relevé, elle me décida à faire de même. C’est bientôt, deux jeunes hommes nus devant elle que Tante put voir, l’étendard vigoureusement levé.
« Elles sont belles, vos bites, les garçons. Allez, branlez-vous devant moi. Montrez-moi comment vous vous paluchez, mes petits cochons. Je veux vous voir vous masturber devant moi... »
Nous nous livrâmes ainsi, à sa demande irrésistible, cuisses maintenant écartées devant nous, au maniement de notre queue, occupation au demeurant familière, et pour ne pas dire quotidienne. Mais il faut bien l’avouer, c’était une première pour nous de le faire dans de telles conditions !
C’est alors que ma tante repoussa sur le côté le tissu de son string pour nous dévoiler impudiquement son sexe humide d’excitation. D’un geste gracieux, elle écarta d’un doigt ses lèvres intimes et s’exhiba à nos regards perdus de concupiscence juvénile.
Elle s’engagea alors dans une masturbation lente, méthodique, jouant de ses doigts, tantôt sur la perle ourlée de son clitoris, tantôt en s’enfonçant délicieusement l’index ou le majeur dans les plis de sa chatte, tout en ne quittant pas des yeux nos mains qui maintenant s’agitaient de manière quasi automatique sur notre gourdin tendu.
« Humm, Vous êtes superbes comme ça les garçons, branlez-vous bien devant moi… C’est bon, vous me faites mouiller mes petits cochons. Ohh ! Vous savez ce qui m’exciterait encore plus ?
- Euhh ... non... Tante Astrid...
- Branlez-vous ensemble...
- Ben, c’est ce qu’on fait déjà !
- Vous avez bien compris ce que je voulais dire. Guilhem, prend la queue de Marc et branle ton copain et toi Marc fais pareil... »
Nous nous regardâmes, Marc et moi, quelque peu surpris par cette invitation, mais nous avions probablement déjà dépassé nos limites, plongés dans l’érotisme torride diffusé par cette garce d’Astrid.
C’est ainsi qu’avançant la main, je pris la hampe douce, chaude et dure de mon copain et lui fit de même. Nous nous branlâmes ainsi, timidement d’abord puis ensuite plus franchement sous le regard embrasé de Astrid, dont la délicieuse branlette et l’exquis auto-doigtage exsudait un stupre du meilleur aloi.
Cette palpation réciproque se poursuivit quelques minutes, et je fis le mouvement que chacun semblait attendre, Tante la première, à savoir me pencher pour poser mes lèvres sur le gland turgescent de Marc. Je commençais ainsi la première pipe de ma vie, alors que ma tante, à moitié nue, se levait de son fauteuil et venait présenter, ventre en avant et cuisses écartées, sa chatte humide sur la bouche disponible de Marc qui se laissait sucer, dévorant en même temps l’abricot gorgé de sève.
« Mes petits cochons vous m’excitez. Vas-y Guilhem suce-lui sa belle bite à ton copain qui me bouffe en même temps. Ho oui... j’adore... continue toi, gémissait Astrid en caressant les cheveux de Marc. Mange-moi, dévore-moi déguste-moi la cramouille... »
Nous communiquions dans le même délire érotique, et ce fut bientôt au tour de Marc de me rendre la politesse caudale, ce qu’il accepta sans hésiter, gobant avec délice mon chibre déployé. Tante Astrid vint alors prêter main et bouche fortes à Marc. Ce fut alors un galant et tendre ballet de langues fureteuses et de lèvres aspirantes, qui dansèrent sur ma bite, et un peu plus loin du côté pile.
Nous échangeâmes alors force léchouilles de toutes sortes, dans un festival oral (si l’on peut dire car nous avions toujours la bouche pleine de quelque chose, qui une bite, des couilles, un sein, une autre langue).
« Petits vicieux dit-elle soudain, il est temps de me foutre ! Venez me mettre vos bites. »
A ce moment, Marc était allongé sur le tapis de telle sorte que Tante Astrid vint s’empaler sur son manche rigide, offrant sa croupe à mon concupiscent désir.
Je me penchais alors vers le divin cul de Tante, léchant la raie publique comme un roi, désireux de préparer ma vicieuse tante à la double pénétration à laquelle elle nous invitait.
« Allez, viens mon petit neveu, viens sodomiser ta tante...
- Ho oui… Quelle cochonne tu fais. Je…
- Trêve de discours, mets-moi ta queue, petit coquin... J’en ai trop envie ! »
Je me positionnais alors devant les fesses tendues d’Astrid, qui se les écartait des deux mains, exhibant son œillet coquin et luisant de salive et de mouille...
« Alors Guilhem, qu’est ce que tu attends pour enculer ta tante ? Vas-y, mets-moi ta queue... »
Mon gland força alors la rondelle de ma tante, et c’est toute la hampe qui fut aspirée dans l’antre culière d’Astrid, maintenant doublement queutée.
Je sentais le gros engin de Marc qui reprenait du service dans la chatte de Tante, et nous accordâmes nos allées et venues, alternant nos coups de boutoirs et nos délectables glissades dans ces deux orifices que ma vicieuse tante nous offrait de concert.
« Oh oui j’aime, disais Tante Astrid, me faire sandwicher comme çà.
- C’est plutôt notre mie entre deux saucisses, rétorquai-je... poursuivant le pistonnage culier de Tante dont les déhanchements avalaient nos bites au plus profond de ses sensations. »
Confrontés à un tel régime, Marc et moi ne tardâmes pas à sentir monter notre sève. Tante le sentit aussi.
« Oui.. oui !! Mes petits vicieux, jutez moi dans les deux trous, j’adore çà... »
Une telle invitation ne se refusant pas, nous nous répandîmes dans les entrailles de Tante, quasiment en même temps. Cette coïncidence a déclenché à son tour l’orgasme vertigineux de Tante Astrid, haletante, qui exprima vivement son plaisir à cris et à corps.
Nous nous retirâmes alors, et Tante, satisfaite et repue, se tournant vers nous, vint de sa bouche et de sa langue gourmande, savourer les effluves musquées et les dernières gouttes de notre plaisir.
Après quelque temps de récupération, ma tante, en lingerie blanche, mais sans son string, se mit à la cuisine et réchauffa la pizza que nous mangeâmes de bon appétit. De ses mains polissonnes, elle venait nous flatter la queue, de telle sorte que nous étions bientôt prêts à remettre le couvert, ce que nous fîmes au long de cette soirée inoubliable. »
- Commentaires textes : Écrire
Les gueules noires, la suite...
Nous sommes le vendredi trois décembre, la veille de la Sainte Barbe, fête des mineurs. Dans les bassins miniers, ce jour est considéré comme férié. Le vin, boisson favorite du mineur, va couler à flot. C'est dire si la production va passer au second plan.
Comme tous les soirs vers vingt-deux heures, l'équipe de nuit se change dans la salle des pendus. Ils mettent leurs tenues allégées, slip, ou intégralement nus. Déjà, les regards reluquent les sexes qui pendent entre les jambes. Puis, c'est la longue descente vers la galerie cinq cent, dans la cage faiblement éclairée. Pendant le trajet, les hommes rient entre eux, jouent comme de vrais gamins.
« Hey... qui c'est qui m'a décalotté le fifre, dit l'un...
- Qui me serre un testicule, couine un autre.
- Je t'ai reconnu Djamel. Oh ! Mais on m'a mis un doigt dans le cul », poursuit Stan.
Autant de manières devenues incontournables, et qui font partie intégrante du paysage minier.
Arrivé au fond du trou, chacun rejoint son lieu de travail.
Momo entraine Stan vers le chantier en le tenant par la taille. Le polonais est devenu le vide-couilles attitré du jeune marocain. Il accepte même de se faire sodomiser devant se collègues de production.
Les deux hommes s'enfoncent dans les noirceurs de la galerie.
La main de Momo descend lentement sur les fesses de Stan, qu'elle caresse, s'insinue entre les cuisses. Les couilles de Stan roulent entre les doigts de Momo, tandis que le pouce perfore le petit trou.
La queue, bandée au maximum, est toute décalottée, n'est pas épargnée non plus. Deux doigts jouent avec le gland, frottent sur le frein, arrachant des cris de plaisir au polonais, jusqu'à celui-ci éjacule sur le tapis d'extraction.
Un peu partout dans les sous terrain, c'est le même scénario. On entend des râles de plaisir.
« Ha...ha, fait Kader. J'ai l'impression d'enculer ta femme, sauf que tu es plus étroit.. Petit vicieux va... Tu te régales hein ?
- Tu le sais salaud, soupire Jean. Elle aussi, elle se régale ! Tu es tellement mieux monté que moi... »
Dans la galerie adjacente, c'est Djamel qui donne le biberon à René. La bite, tendue tel un arc, cogne à l'intérieur de la bouche, déformant les joues. Les premiers jets de sperme affluent.
« Oh, mais c'est qu'il avait une grosse faim mon bébé ! Tu vois que c'est bon ! Et il va être sage, il va bien nettoyer son maitre maintenant... Oui là, bien sur le gland... Petite salope ! »
C'est l'heure de la pause. Les mineurs de fond se rendent au réfectoire pour prendre un rapide repas. Les gamelles vidées, les gueules noires se détendent. Certains se reposent, d'autres se racontent leurs exploits conjugaux. A table, le bras de fer est remplacé par une partie de cartes. Stan et René sont opposés à Momo et Djamel. L'enjeu ? Une pipe complète, bien sur !
L'opposition est serrée, mais les deux maghrébins remportent le dernier pli, et gagne la partie, au grand dam de René, qui accuse son équipier de l'avoir fait perdre.
« Hé, calme-toi, dit Jean, l'arbitre de la partie. Ca va, ce n'est qu'une pipe… »
Sans un mot, les deux hommes se glissent sous la table, où les attendent deux énormes bites en totale érection. Stan est le plus gourmand, il avale le membre de Momo jusqu'aux couilles, et entame une lente fellation.
Après moult hésitations, René en fait de même. Comme pour se venger de son collègue polonais, il lui enfonce deux doigts dans le cul, ce qui a pour effet, de faire onduler la croupe de son partenaire.
« Hum...hum, gémit Stan. Hum, c’est trop bon... »
Djamel s'adresse à Momo en souriant.
« Tu crois qu'ils vont avaler ?
- Mais bien sur », répond Momo.
Pour plus de sureté, les deux maghrébins appuient sur la tête des suceurs, jusqu'à l'explosion finale. Le sperme gicle par saccades dans la bouche des mineurs, qui avalent jusqu'à la dernière goutte. Puis, plus rien, le calme.
Momo jette un œil sous la table, et reste scié en voyant la scène. Stan et René sont lèvres contre lèvres, en train de lécher le liquide blanc qui sort de leur bouche. A mourir de rire.
On arrive en fin de poste. Les ouvriers n'ont qu'une seule hâte, se retrouver sous la douche.
Les mineurs arrivent à la salle des pendus. Ils récupèrent leur serviette et leur savon.
Ils sont subitement attirés par des cris et des rires provenant des douches communes. Étonnés, ils s'avancent lentement, et découvrent leurs épouses en train de se trémousser en gloussant de plaisir sous les jets d'eaux. Les célibataires baissent la tête en étouffant un rire.
« On a eu vent de la proposition de certains, dit Jeanne. Après réflexion, on s'est mises d'accord. On espère que vous n'avez pas laissé toute votre énergie dans les galeries... »
Le regard des femmes se dirigent sans vergogne vers le sexe des mineurs, surtout celui des célibataires maghrébins, mieux montés et décalottés en permanence. Les mineurs, eux, ont les yeux rivés sur la nudité de ses femmes, qui, si elles ne sont pas toutes belles, dégagent une extrême sensualité.
« Je vous présente la petite dernière, dit Aline, Lisette. Elle est mariée depuis un mois. On s'est amusée un peu avec elle sous la douche. Quelle santé ! Elle nous a avoué être en manque de bonnes bites en ce moment. »
Jeanne est un peu ma meneuse de la bande. C'est elle qui lance les hostilités. Elle se dirige vers Kader, ignorant son mari au passage. Elle se colle contre le torse musclé du jeune maghrébin. Elle lui sourit, puis glisse le long de sa poitrine, jusqu'à ce que qu'elle sente l'énorme queue, toute raide, frapper contre sa joue. Elle ouvre grand la bouche, et avale le
membre bien humidifié, sans problème.
Marc s'avance vers sa jeune épouse Lisette. Mais celle-ci est déjà entre les pattes de Joseph, placé derrière elle. Les mains calleuses enveloppent les seins gonflés par le désir. On peut voir la queue entièrement décalottée, dépasser entre les cuisses de la jeune femme, contre sa chatte. Elle lance un bras en arrière et saisit Joseph par la nuque.
« Vas-y, murmure-t-elle, prend moi, je suis prête. »
Le mineur de fond la force à s'appuyer contre les faïences, et la pénètre par derrière. Lisette râle comme une chienne en chaleur. Elle saisit la main de Joseph et la plaque contre son clitoris.
« Sors-le, soupire-t-elle, doigte-le ce salaud, fort ! »
A même le sol, Yvette, la cinquantaine bien sonnée, assez enveloppée, est aux prises avec Manu, dans un 69 de folie. Elle lui dévore la colonne de chair rougie par les assauts, tandis que manu dévore à pleine bouche les lèves juteuses de la femme.
Le mineur espagnol envoie sa décharge de sperme dans la bouche de la femme, pendant qu'avec sa langue, il lui fouille la chatte béante, baveuse à souhait. Yvette lâche la bite pour recracher le surplus de foutre. Elle se redresse sur ses mains et s'écarte d'avantage en hurlant de plaisir.
« Ah, comme il me bouffe ce salaud... Ah oui, t'arrête pas... Mords-moi le clito ! Putain ! Pourquoi mon mari ne me lèche pas comme ça, ce con ! »
Marthe est allongée sur la dos dans l'eau ruisselante de la douche. Elle reçoit l'offrande du frère de Djamel qui la prend en position du missionnaire. Les jambes de Marthe sont nouées dans le dos de son amant.
« Ah, glousse-t-elle, quel niqueur tu es un beau salaud... Fais attention cette fois, ne me fais un autre bébé...hein...tu te retireras ?
- Mais ou vais-je cracher alors ? répond-il. C'est dommage de gaspiller mon foutre pour rien.
- Dans ma bouche, propose Marthe, dans ma bouche... Trop tard, salaud, tant pis..Vas-y, vide tes couilles mon chéri ! »
Et la Jeanne, où en est-elle ? Elle est tout simplement empalée sur la hampe de Kader, de dos. Il la prend par les seins et la couche sur lui. Elle est totalement offerte à son amant, mais aussi aux autres participants de cette partouze générale.
Solange enjambe le couple et se penche en avant. A l'aide de ses pouces, elle fait glisser le capuchon pour en extraire le clitoris, puis s'amuse à l'exciter avec son majeur.
« Hé, dit Solange. Regardez ce que je fais au bouton de la Jeanne, comme il est dur, mais il va crever, ha ha ha. Elle se régale la bordille, hein, elle aime se faire doigter, même par une femme, la pute.
- C'est tellement bon tu sais, soupire Jeanne/ Vas-y, gratte le avec ton ongle... Oh oui, tu me fais jouir... oui... ouiiiii... »
Pris dans leurs ébats érotiques, c'est à peine s'ils remarquent la scène qui se déroule devant eux. Pourtant, elle vaut le coup. Stan rampe sur le carrelage, la bite de Momo plantée dans son cul jusqu'aux couilles. Le corps de Momo roule sur le sol, entrainant Stan dans son mouvement, tant et si bien, que le polonais se trouve couché sur le ventre du jeune marocain.
Momo passe ses bras autour de la taille, vrille les mamelons entre ses doigts, puis glisse une main entre ses jambes. Il saisit le membre de son partenaire, et commence à le branler. Il joue avec le mâle soumis.
« Enfoiré, râle Stan. Tu sais que j'aime ça, salaud. Tu tiens à ce que ma femme voit ce que tu me fais ?
- Tiens, dit Marie, mais c'est mon cher époux qui se fait prendre. Si tu voyais comme il t'a décalotté la valve. Qu'est-ce qu'il t'arrive mon chéri, pourquoi tu couines ?
- Mais tu ne vois pas comme il m'encule ? Ah, ah ! Il est de plus en plus gros !
- Si je le vois, répond Marie. Si tu savais comme çà m'excite de te voir emmanché sur sa bite. Plus que si c'était le contraire. Attends mon amour, je vais en profiter moi aussi. »
Marie descend lentement, et s'empale sur la queue tendue de son mari.
« Hou, gémit-elle. Que c'est bon ! Si quelqu'un veut se faire tailler une pipe, c'est le moment, je suis disponible. »
C'est Abdel qui s'y colle. Le membre dressé, bien décalotté, se positionne à l'entrée de la bouche de Marie. Elle sort sa langue pour lécher le gland, puis l'avale. Marie agrippe les fesses d'Abdel, et commence à le turlutter. Par réflex, Stan tend sa main, et caresse les couilles bien dures du mineur marocain.
Jeanne se pend au cou de Momo, et lui parle à l'oreille.
« Sérieux, répond-il, vous voulez qu'on vous prenne dans les galeries ? La où on nique vos mecs ? Et tes copines, elles sont d'accord ? Et la sécurité.
- C'est pas des coups de queues qui vont provoquer des coups de grisous, ni des éboulements... Les filles, c'est bon, on y va... »
Chaque maghrébin est empoigné par deux filles, et se dirige vers l'immense cage. La descente est à peine entamée, qu'on entend déjà des cris de plaisir monter du puits. Les autres mineurs se regardent entre eux, et semblent accepter. Ils retournent sous la douche pour finir ce qu'ils avaient commencé.
Il est onze heures quand Stan et Marie se réveillent. Celle-ci, entièrement nue, s'étire langoureusement.
« Tu sais que c'est la fête aujourd'hui, rappelle Stan. On est invité à prendre le café chez Momo et son frère.
- Oh mon dieu, c'est vrai, répond Marie. En plus j'ai rien à me mettre.
- C'est pas grave, sourit Stan, ils ont ce qu'il faut.
- Dis salaud, à quoi tu fais allusion ? Tu veux encore que je me le fasse mettre, c'est ça ? Ah, j'ai compris, c'est toi qui a envie que Momo te mette des coups de queues, petite tapette. Je sens qu'on va passer une super journée. »
En effet, les bals organisés aux quatre coins de la ville attirent les mineurs, le vin coule à flot. Leurs épouses en quête de coups de bites, sont servies. Faut dire aussi qu'elles ne sont pas farouches. Les mâles, plus discrets, choisissent des endroits plus obscurs pour faire
le plein d’enculages et de bites en tous genres…
Quelques temps plus tard, Marthe apprend qu'elle n'est pas enceinte. A voir son visage, on se demande si elle est contente, ou déçue.
La partie de Poker
Il fait une chaleur étouffante dans la salle de jeux. Nous sommes cinq joueurs à nous affronter, au cours d'une partie de poker interminable.
Il y a Enzo, un franco argentin, Mario et Nino, deux frères italiens, tous trois âgés d'une trentaine d'années. Installé en face de moi, Joe, la cinquantaine, d'une laideur repoussante. Obèse, la centaine de kilos, pour un mètre soixante cinq, double menton, bref, rien pour plaire.
Trois videurs surveillent le bon déroulement des parties, au cas où.
« Tapis », dit Joe en me fixant.
Il sait que je ne pourrai pas suivre, étant endetté jusqu'au cou. Je lui dois déjà une importante somme d'argent, dix mille euros. Les menaces affluent à l'insu de mon épouse Lisbeth, jolie blonde âgée de vingt-cinq ans.
« Ca va être dur de suivre Eddy, me dit-il. Au fait, quand vas-tu me rembourser ? Heureusement que j'ai pris des garanties. Cette après midi, j'ai fais une connaissance qui peut t'aider. »
De l'épaisse fumée de cigarettes, surgit une créature descendue tout droit d'une couverture de play-boys. Effaré, je réalise qu’il s’agit de ma propre femme…
« Mais… C’est Lisbeth, mon épouse… »
La tenue vestimentaire est à couper le souffle. Je ne lui connaissais pas ces vêtements. Une jupe ultra courte, petit haut qui ne touche pas le ventre, tendu qu'il est par le bout des superbes seins, qui laisse deviner l'absence de soutien gorge. Des escarpins de huit centimètres, et un bandeau sur le front pour maintenir sa longue chevelure blonde.
« C'est quoi çà ? » dis-je en me levant.
Une main se pose sur mon épaule, et m'invite fermement à me rasseoir. Ma femme me lance un sourire qui annonce clairement ses intentions. Elle se dirige vers les gros lards, et se place debout à côté de lui. Celui-ci me fixe d'un regard sarcastique. Il passe une main derrière elle, et caresse les fesses de Lisbeth. Puis la main glisse à l'intérieur des cuisses. Je la vois nettement déformer le devant de la minijupe. Ma femme ferme les yeux, passe sa langue sur ses lèvres pulpeuses.
« Ho, sursaute-t-elle, mais que fais-tu ?
- Fais voir à ton charmant mari ce que je te fais », sourit Joe.
Lentement, Lisbeth soulève sa jupette. Je sens une boule se former dans mon estomac en voyant la scène. Deux doigts ont tiré l'élastique du string, ils jouent avec les lèvres intimes, excitent le clitoris, puis pénètrent la chatte légèrement humide.
« Ha.ha ha, ricane l'obèse. Fais pas cette tête. Ton épouse se propose à éponger ta dette, tu devrais être content.
- Lâche-la, ordonnai-je. Sors tes doigts de là, sinon....
- Sinon quoi ? Reprend Joe. Et si on demandait l'avis de ton épouse ? Dis-lui Lisbeth. »
En plus, il l'appelle par son prénom. C'est sur, il a du faire une enquête, préparer son coup.
« Mon chéri, me dit-elle, une nuit c'est vite passé. Tu verras comme tu seras soulagé après. Et puis, je ne vais pas mourir, c'est tellement bon ce qu'il me fait. Vas-y, suis-le, fais tapis. »
Je serre les poings. Je voudrais lui sauter dessus, mais je suis toujours maintenu cloué sur ma chaise par ce vigile de merde.
C'est vrai que j'ai une bonne main, trois rois, mais la chance n'est pas là en ce moment. Je suis le tapis.
Après une longue hésitation, je tourne mes cartes. Mon adversaire ouvre grand les yeux, son énorme bedaine se soulève. Je sens la sueur moite perler sur mon front. Mais qu'attend-il ? C’est peut être bon signe. Il prend ses cartes, les retourne face à lui, puis les abat sur le tapis. je sens le sol se dérober sous mes pieds. la sentence est terrible, sans appel. Trois valets et deux neuf, full.
Je prends ma tête entre mes mains. Je viens de perdre gros sur le coup. Mais ce qui fait le plus mal, c’est le "Ouf" de soulagement que pousse Lisbeth, comme si elle espérait ma défaite.
« On fait une pause, ordonne Joe. Suis moi ma chérie. »
Sans un regard, je vois mon épouse s'éclipser, pendue au bras de cette laideur ambulante. Les autres joueurs, fair-play, me consolent en me tapant sur l'épaule. Le videur, placé derrière moi, me soulève par les aisselles, et m'entraine dans une pièce attenante, complètement vitrée, ou l'on peut voir une autre salle de jeux, celle des billards.
Et là, c'est le coup de poignard. Lisbeth est accroupie devant Joe, et lui taille une pipe. Il est obligé de tenir son ventre, pour faciliter l'accès à son membre en érection.
Soudain, la porte s'ouvre. Deux videurs se dirigent vers Joe. L'un d'eux lui murmure à l'oreille.
« D'accord, fait Joe, tenez les gars, elle est à vous. »
Les deux hommes, d'une vingtaine d'années, ne se font pas prier. Ils tombent vestes, pantalons, et autres dessous, pour apparaitre en tenue d'Adam. Je vois Lisbeth ouvrir des yeux gourmands en voyant les imposantes bites, et les énormes couilles pendre entre leurs jambes.
L'un d'eux la saisit par les hanches, et la couche sur le billard. La jupe est retroussée, le string et le petit haut jetés lamentablement au sol. Un jeune black, écarte les cuisses de ma femme, et frotte sa queue contre sa chatte pleine de mouille. D'un regard soumis, mon épouse implore le vigile de la prendre.
Le second astique son membre, jusqu'à ce que celui-ci atteigne des proportions dantesque. Puis il l'avance de la bouche de Lisbeth, qui happe la bite entièrement décalottée, et la suce.
Je veux envoyer des coups de poings contre la vitre, mais le videur parvient à me maitriser. Je me sens humilié devant cette situation, d'autant que j'entends les cris de plaisir non dissimulés de ma femme.
Je vois même ses joues se creuser, signe qu'elle avale la semence du vigile, qui prend plaisir à vider ses couilles dans sa bouche. Satisfaits, les deux hommes regagnent la table de poker, en emmenant Lisbeth.
« Alors ma chérie, sourit Joe, ça c'est bien passé ? Viens sur mes genoux, tu me porteras chance. J'ai déjà récupéré cinq mille ce soir, et la nuit n'est pas finie. Oh... mais tu es bien mouillée !
- Surement, soupire ma femme, ça fait une heure que je me fais chatter et niquer par tes sbires ! »
Le fumier. Et dire que je lui dois encore cinq mille euros ! Je regarde Lisbeth en quête d'une solution. Mais je la vois tourner de l'œil. Je baisse les yeux. Ses jambes sont à l'équerre. J’avise les doigts boudinés du gros tas de graisse écarter la fente, et pénétrer la chatte en force. Lisbeth se tord en gémissant sur les genoux de Joe. Elle se régale, la pute, à tel point qu'elle ne peut retenir un orgasme devant les joueurs qui éclatent de rire. Des rires moqueurs, pour me faire encore plus mal. Ma femme se retourne, et prend Joe à pleine bouche. Répugnant.
Je suis KO. Les larmes se mélangent à la sueur. Comment mon épouse peut-elle accepter un deal pareil ?
Je suis fautif, c'est vrai, mais n'y avait-il pas une autre solution ? L'autre solution est abordée par Lisbeth.
« Est-ce que mon mari ne pourrait pas rembourser une partie de la dette ? Après tout, c'est la sienne.
- Ha.haha, rit Joe. Très bonne idée, surtout qu'on a ce qu'il faut, N'est-ce pas Mario ? C'est ton truc, non ?
- Pas de problème, répond-il, çà fait pas mal de temps que je n'ai pas sodomisé un mec. »
Sur un signe de Joe, deux videurs me saisissent, et m'entrainent dans la salle de billard. En un tour de main, je suis débarrassé de mes vêtements, et cloué sur une table, malgré une farouche résistance. Je suis si vulnérable, couché sur le vente, les fesses en l’air, mon anus bien offert sous la lumière crue des lampes.
Je sens un énorme calibre frotter contre mes fesses, puis un gland décalotté taquiner mon petit trou, qui commence à se dilater malgré moi.
« Haaa...haaa...assez ! Pas ça ! Salaud, je vais vous tuer... »
Mes cris ne semblent pas les émouvoir le moins du monde. Une main se glisse sous mon ventre, saisit mes couilles.
« Putain, râle Mario, j'avais perdu l'habitude. Il est étroit ce con, ça doit être une première pour lui… »
Mario force le passage, et s’introduit de plus en plus loin dans mon conduit étroit. Petit à petit, la douleur s'estompe, pour laisser la place à une douce sensation. Ce qui me fait le plus mal, c'est peut être la présence de ma femme à travers la vitre !
Mario accélère ses coups de boutoirs, jusqu'à ce qu'un liquide chaud envahisse mes entrailles. Il prend tout son temps pour se vider les couilles. Il ne remarque pas que ma queue est en totale érection, et que quelques gouttes de sperme s'échappe du méat entre ouvert. J’ai presque honte de bander alors que je viens de me faire enculer une salope !
« Voilà les soirées que j'aime, ironise Mario. J'espère que Joe ne va pas éponger toute la dette. Allez, lopette, nettoie-moi le bout de la bite maintenant. »
Me voilà en train de sucer le calibre qui vient de défoncer mes entrailles. Le gout est âcre, et parsemé de zébrures peu engageantes. Mais je n’ai pas le choix, je suce, je lèche, je nettoie tout à la perfection. Et finalement, j’aime bien…
Quand on regagne la table, Joe me lance un regard ironique. Lisbeth, entièrement nue, est embrochée sur la bite de Nino. Celui-ci la maintient par les fesses, glisse un doigt vers le petit trou. Ma femme jouit pour la énième fois. C'est à peine si elle s'aperçoit de ma présence, ignorant totalement ma souffrance morale… A vrai dire, je bande toujours comme un taureau !
On entend le bruit des couilles taper contre son vagin plein de mouille. Elle l'implore de la sodomiser. Jamais je ne l’ai vue aussi salope !
Nino saisit l'aubaine. Il a vite fait de changer de trou. Halluciné, je vois le pieu perforer les jolies fesses de ma chère épouse, de façon indécente. Elle bouge son cul pour le faire entrer plus loin, plus vite. Elle coulisse dessus comme une machine bien huilée…
« Ah, comme il m'encule ! Regarde chéri ce qu'il me met dans le cul... Oh putain, ça c'est de la bite...
- Allez, ordonne Joe, raccompagnez-le. On va encore s'amuser avec sa femme, on la ramènera plus tard... »
Je m’approche de ma chère femme, désireux de lui faire plaisir…
« Que tu es belle ma chérie, embrasse-moi.
- Plus tard, me dit Lisbeth. Quand j’aurai bien fini de me faire remplir par tous les trous, je rentrerai, et on ira au lit faire un gros câlin, tu veux ? Tu sais que demain, Joe et sa femme viennent diner. On jouera aux cartes après…
- Quoi, je m'écriai-je, ce gros porc ?
- Gros ? Ah bon ? Reconnais que ton frère est quand même plus maigre que toi.
- Heu... excuse moi, ma chérie, j'étais ailleurs. On en était où ? Tu disais quoi... ah oui, un gros câlin ! »
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
j'ai une tres bonne pince coupante et je me ferai un plaisir de decouper ton grillage pour pouvoir le lecher et de donner un maximum de plaisir
bisouxxx dark
trop cool de se faire tellement de plaisir entre voisin sur tous entre le grillage
j'ai plus les mots...
Sophie y'a pas un location du coté de chez toi?
J'ai un chien qui aboie en plus lol
Cela a du bon de n'avoir qu'un grilmlage pour vous séparer.
C'est souvent les aventures les plus imprévues qui donnent les meilleurs jouissances.
Brovo, encore un récit à faire bander un eunuque