Les Mémoires très Libertines de Sophie
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Un journaliste souhaite réaliser un article sur
les femmes ayant recours aux services d’un ESCORT – BOY
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Cette demande est sérieuse, il ne s’agit pas d’une mauvaise blague….
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Contribution des Libertins d'Angers
Comment j'ai trompé mon mari...
Je revenais d’une rencontre professionnelle à Nantes, quand une envie pressante m’obligea à stopper quelques instants sur une aire d’autoroute, un peu avant Ancenis. J’avais encore 3/4 heure de route avant de retrouver la maison, et ne pouvais plus attendre. Alors que j’allais quitter la station, un jeune homme m’aborda. Il était tout à fait charmant et son air rassurant me mis en confiance.
« Excusez-moi de vous importuner, mais je suis en panne de voiture. Elle est là, » me dit-il en me désignant une vieille R5 garée à l’écart. « Je cherche quelqu’un pour me ramener sur Angers et j’ai vu que vous étiez immatriculée 49. »
Trouvant ce jeune homme touchant par son histoire, charmant aussi, je ne montrais aucune réticence, contrairement à l’habitude, et acceptais de le prendre dans mon véhicule afin de lui rendre ce petit service. De plus, c’était bien ma route.
Nous montâmes dans la voiture (en fait la voiture de mon mari, un monospace).
Tandis que je roulais et entrais sur la bretelle d’accélération, il entama la discussion :
« Je m’appelle Tony et vous remercie chaleureusement de ce service. Il n’est pas dans mes habitudes de faire du stop.
- Moi je m’appelle C., et il est normal de s’entre aider. Qu’est-t-il arrivé à votre véhicule ? »
Il me raconta que son véhicule, bien que roulant, montrait des signes inquiétants, et qu’il ne souhaitait pas prendre le risque de casser son moteur sur l'autoroute. Il préférait faire examiner la voiture par des amis bricoleurs plutôt que de faire venir un réparateur. C’est pour cela qu’il avait laissé son véhicule sur l’aire d’autoroute et reviendrait le chercher plus tard.
Nous continuâmes notre discussion, présentant chacun succinctement notre vie, et je dois avouer que le garçon était vraiment mignon, plein d’humour et de raffinement.
C’est dans ces multiples échanges, tandis que nous croisions de brefs regards, que je vis à un moment que son regard n’était non pas sur moi comme c’était l’usage, mais qu'il était alors posé sur mes cuisses. Je m’aperçus que ma jupe était remontée à mi-cuisse laissant apparaître la bordure en dentelle de mes bas, et pour un œil aguerri, le tendu caractéristique que fait sur la fine étoffe, une attache de jarretelle. Nos regards se croisèrent enfin, et je sentis instantanément mes joues rougir.
Tony senti mon embarras, et dit :
« Ne soyez pas gênée, et acceptez mes excuses pour mon regard perdu, mais vous êtes une très belle femme, et je ne connais aucun homme qui ne pourrait résister à cette vision magnifique que j’ai eu sous mes yeux un instant ! »
C’était un très beau compliment, qui paraissait si sincère… Mais ce jeune homme devait avoir 23-25 ans, et moi, j’approchais la quarantaine.
« Vous exagérez, mais le compliment me touche. A 39 ans, vous savez les années s’accumulent…
- Vous êtes une femme exquise, et je peux vous garantir que je décrocherais la lune, pour quelqu’un comme vous.
- Ah, ah … mais décrochez donc, Tony, décrochez donc… »
J’étais moi-même prise au dépourvu par ce qui se voulait une plaisanterie, mais dont je réalisais qu’elle allait prêter à confusion dans l’esprit de ce beau jeune homme.
Encouragé par ma plaisanterie, Tony plaça sa main sur ma cuisse. Je me sentis immédiatement troublée, et honteuse de ne pas manifester une vive protestation, et aussi gênée du trouble que je ressentais au contact sa main sur ma cuisse.
« J’espère que vous n’êtes pas choquée, me dit Tony. Si c’est le cas, demandez-moi de retirer ma main et j’obéirais immédiatement.
- Tony, vous savez, je ne suis pas habituée à ce genre de pratiques, et je dois avouer que c’est une première fois pour moi. Je ne voudrais en aucun cas que vous vous mépreniez sur moi. »
Mais loin de lui demander de retirer sa main, dont je ressentais maintenant la chaleur à travers mon bas, je restais le visage fixé sur la route.
Je ne savais, ou plutôt savait trop bien, ce qui allait arriver. F, mon mari, m’incitait depuis quelques temps à prendre un amant…
Je le traitais de fou, lui disant que c’était lui mon homme, que je l’aimais et qu’il me suffisait amplement. Je me rappelais exactement ces termes, maintes fois échangés. Le terme « suffisait » le faisait bondir à chaque fois, et avec sa persuasion habituelle (il faut dire que ses arguments sont souvent très bien construits), il m’avait petit à petit convaincue, bien que je me refuse un peu à l’admettre, du bien-fondé de sa réflexion… La question n’était pas tant qu’il me suffise, comme si j’étais sa chose, mais qu’autour de notre Amour, nous construisions une cadre épicurien où le plaisir devait être le maitre mot. Pour lui, mon plaisir passait aussi par d’autres expériences, que je conduirais seule, ou que nous découvririons à plusieurs. C’est parce qu’il m’aimait, justement, disait-il, qu’il voulait m’offrir ces plaisirs que, peut être, je ne découvrirais plus entre ses bras. Selon lui, nous nous connaissions si bien, et il n’y aurait jamais cette excitation de l’interdit, car bien que jouant avec nos toys, il rêvait pour moi, pour nous, de plusieurs verges vigoureuses… J’en étais là de ces idées qui revenaient dans mon esprit et me disais que j’allais peut être franchir une étape, si ce garçon ne manquait pas de tact.
Et il faut dire que jusque là, il s’y prenait plutôt bien !
Sa main continuait à masser, à caresser ma cuisse, de bas en haut, faisant parfois remonter un peu ma jupe. Il avait mis à nu la blancheur de ma cuisse, au dessus du bas, et ne pouvait plus ignorer que je portais un bel ensemble de lingerie gris. Il s’amusait avec la jarretelle qui tendait mon bas. Un grand silence s’instaura dans la voiture, ponctué juste des bruits du moteur, et des froissements de sa main sur la jupe de mon tailleur sage.
Nous passâmes le péage d’Ancenis, et bien qu’ayant envisagé de repousser la main du jeune homme et de reprendre une position un peu plus décente, j’avais décidé de rester tels que nous étions.
« Il n’y avait pas de quoi fouetter un chat, me dis-je. Rien que de bien habituel, une femme conduisant, son compagnon ayant posé sa main sur sa cuisse. Rien, si ce n’est cette différence d’âge et cette expérience qui me troublait. »
J’eus l’impression que la péagiste compris mon trouble au sourire qu’elle m’adressa ...
Je ne disais mot. Encouragé par ce silence qui valait assentiment, et profitant du jeu de jambes nécessaire au redémarrage du péage, à la montée des 6 vitesses, Tony repris ses caresses expertes. Il remonta alors intégralement ma jupe, découvrant bien au-delà des bas mes porte-jarretelles gris, et laissant apparaitre l’intimité de la fourche de mes cuisses. Le contact de sa main sur ma peau m’excitait, et j’étais dans l’incapacité de prononcer la moindre parole
Tandis que ses mains se faisaient maintenant plus fureteuses, cherchant à plonger entre mes cuisses, je feins une dernière résistance. Je fermais mes cuisses sur sa main mais en même temps, donnant le signal contraire, mon souffle se fit plus haletant. Il ne manquait rien de mon excitation naissante, et habilement gardait le silence, rendant ce moment particulièrement envoûtant.
Très vite, je me laissais aller, et sa main trouva le chemin de mon pubis. C’est comme une décharge qui parcouru mon corps, après de terribles frissons, quand il vint délicatement effleurer la fine barrière de mon tanga.
Je sentais mon clitoris avide de caresses, mais il se contenta de l’effleurer … C’était exquis. Il me caressa mon triangle tout en me laissant conduire la voiture, dont j’avais bien évidement ralenti l’allure. Bientôt, un doigt se glissa entre ma peau et l’élastique, et vint se frayer un passage dans ma culotte, entrainant de fait sa main. Puis, je sentis ses doigts glisser autour de mes lèvres, titillant mon bouton. Il entreprit de fouiller mon intimité. Quand un doigt pénétra en moi, mon souffle se bloqua, et je pris la peine d’articuler
« Arrêtez, c’est trop dangereux, nous allons avoir un accident !
- C., tu me rends absolument fou, ton corps est un appel à l’amour, gare la voiture au prochain parking et trouve un endroit tranquille ou nous ne serons pas dérangés. »
Malgré mes remontrances, il maintenait son doigt dans mon sexe, qui me fouillait dans mes endroits les plus sensibles. Ce jeune homme savait faire ! il me caressait avec brio, et je me sentais me liquéfier. Parfois, il mettait sa main contre son visage, humant les doigts qui venaient de me fouiller, et les glissant avec avidité dans sa bouche. Ce petit con me rendait folle, il était si coquin, et tellement craquant. J’aimais son coté un peu rebelle, fier et sûr de lui… il pointait ses yeux dans les miens aussi surement que son doigt venait de nouveau me rendre dingue.
Je quittais alors l’autoroute à St Georges, et nous primes une petite route de campagne, à gauche. Je décidais de me ranger dans un des nombreux chemins vicinaux. J’engageais la voiture dans le premier chemin, et roulait assez loin pour nous mettre hors de vue de la route.
« Arrête-toi là. » ordonna Tony.
Je réalisais que depuis tout à l'heure, il me tutoyait maintenant. Une fois la voiture stoppée, il me renversa vers lui et m’embrassa avec fougue. Sa langue jouant avec la mienne. Sa main passa en dessous de mon tailleur pour attraper un de mes seins. Il découvrit ma poitrine opulente, cachée en dessous d’un soutien gorge à balconnet coordonné.
« Hum, tes seins sont magnifiques, C, tu es vraiment une femme superbe. »
Sa langue continuait à fouiller ma bouche, pendant que ses mains investissaient soit ma culotte, soit mon soutien gorge. J’avais l’impression d’entendre mon mari dans ses compliments, et je dois dire qu’il ne s’était pas trompé. Ce que je vivais là était tout simplement délicieux. Il me laissa bientôt, et se calant dans son siège me dit :
« Prends-moi dans ta bouche. »
Mon regard était maintenant tombé sur son jean, que je voyais déformé par une érection prometteuse. Pourtant, allais-je franchir le pas ?
« Nous sommes fous, Tony je ne te connais pas, et je ne peux pas tromper mon mari
- Tu crois au coup de foudre ? J’en ai un envers toi. Quand je t’ai vue, tu m’as éblouie, et ce que je viens de vivre est meilleur que mes rêves les plus fous ? J’ai trop envie de toi maintenant, vas y ! Prends-moi dans ta bouche. »
Il s’était débraguetté et avait sorti son sexe. Tandis que je réfléchissais l’espace d’une seconde, je regardais cette belle verge, son gland turgescent brillant de quelques gouttes d’excitation. Il me faisait envie et après tout, ce n’était pas si grave. Je vivais là un fantasme initié par F., et que je partageais maintenant. Et puis, ce garçon savait parler aux femmes. Je buvais ses mots et me perdais dans son regard perçant.
D’une main douce et respectueuse passée derrière ma nuque, il m‘incitât à me courber et me dirigea la tête vers son entre jambe. Je pense que si j’avais émis la moindre réticence, il m’aurait respectée, mais j’étais avec lui. Son sexe pointait vers ma bouche. Je commençais à embrasser son membre, délicatement, pendant qu’il me maintenait par les cheveux. Il était propre, sentait bon… oufff ! Cela avait été une de mes plus vives réticences initiales. Son sexe s’engouffra assez vite entièrement dans ma bouche, tant par l’avancée de son bassin, que par ma volonté de lui prodiguer une belle caresse. Je me mis à le sucer intégralement, et entrepris de venir lui caresser les couilles et de titiller la zone entre la base du sexe et l’anus. C’est une caresse que mon mari m’a révélée. A ses gémissements, je sus que ma caresse faisait un grand effet, et je n’en étais pas peu fière !
« Allez, continue de me sucer, vas-y comme avec une glace : passe ta langue de bas en haut… Oh oui, tu lèches si bien ! »
Je continuais et lui obéissais, passant ma langue autour de son gland, lui léchant la hampe, de bas en haut, puis de haut en bas, lui mordillant le gland. Je le pompais aussi parfois, comme je l’avais découvert avec F, Je me servais de ma bouche fermée hermétiquement sur le gland pour aspirer et créer une sorte de vide autour de son gland… Ma langue venait jouer avec le frein, là où c’est si sensible. Mon mari m’a toujours accompagnée de ses commentaires, et j’ai appris avec lui, ce qui semblait lui donner le plus de plaisir. Régulièrement, nous découvrons de nouvelles caresses, et il me félicite de ma façon de faire l’Amour. Mais je n’en avais pas d’autre confirmation. C’était le moment d’en avoir le cœur net, et je dois dire que ce n’est pas sans une certaine fierté que je vis l’effet procuré sur Tony !
« - Ohhhh oui, continue, comme ça tu vas me faire jouir ma belle, pompe-moi la bite, vas-y ! »
Son vocabulaire avait changé, il utilisait maintenant des mots plus crus, mais là encore, cela faisait partie de notre quotidien intime avec F. et si ces mots avaient pu me choquer au début, j’avais appris à les aimer et me craignais pas de faire « la petite salope » chère à mon époux !
Je sentis assez vite monter en lui un grand frisson, qui présageait d’une libération soudaine. Je tentais d’articuler :
« Non ! Pas dans la bouche, ne jouis pas dans ma bouche. »
Je ne sais pas ce qui fut audible et compréhensible, car comme nous l’ont appris nos mamans, on ne parle pas la bouche pleine !
Il était trop tard, et ce jeune coquin se soulagea dans ma bouche, me déversant son sperme au fond de la gorge, me maintenant toujours par les cheveux afin d’être sûr que j’avale tout. Je fus un peu surprise, par la quantité d’une part, et par le gout si différent de celui de mon mari. Je gardais sa semence un temps dans ma bouche, et jouait avec elle la faisant circuler autour de son gland que je sentais mollir. Puis j’avalais, et entrepris de le nettoyer de petit coup de langues. Je me relevais et me ré-assis normalement
Nous laissâmes passer quelques instants qui me parurent éternité, en fait quelques dizaines de secondes, afin de reprendre nos esprits. Je réalisais que ça y était ! J’avais ‘’trompé’’ mon mari Devrais-je le lui raconter, ou garder ceci dans mon jardin secret ? Je me disais qu’il fallait repartir, que cette première expérience était sympa mais qu’elle devait s’arrêter là … Mon compagnon semblait rêveur, parti dans les rêves procurés par sa jouissance.
Mais à ma grande surprise, Tony sorti de la voiture, la contourna et m’ouvrit la portière. Il me fit descendre à mon tour, et m’emmena à l’arrière, ouvrit le coffre, m’y fit asseoir et m’incitât à me coucher sur le dos. Je fus contente du plaid qui s’y trouvait, et qu’il venait maladroitement d’étendre. Je me pliais à ses désirs. Il releva à nouveau ma jupe et s’agenouilla entre mes cuisses.
« - Que fais-tu Tony, il est temps de partir maintenant.
- Je vais te rendre le plaisir que tu viens de me donner. »
Il se contenta d’écarter ma culotte, découvrant ainsi mon sexe, et plongea aussitôt, sans autre préliminaires, sa langue profondément au plus loin de mon vagin.
Sa langue experte explorait tous les endroits de mon sexe, tandis que ses mains maintenaient mes cuisses au-dessus de mon corps bien haut afin de rendre l’accès à mon jardin secret plus lointain.
J’étais scotchée. Étais-ce l’excitation de la situation, ou le brio du jeune homme, mais chaque caresse était comme une déchirure agréable qui me traversait, un coup de poignard de soie.
Il me fallu pas plus de quelques minutes pour connaitre mon premier orgasme extra conjugal, tant la situation était excitante. Tony continua de plus belle, me laissant sans volonté, tant sa langue m’avait ravagée la chatte. Avec son avant-bras, il me retenait les deux jambes en l’air, tandis que son autre main et de sa bouche et langue alliées, il explorait mes recoins les plus intimes. Je compris ce qu’il voulait.
Mais, tandis que son pouce titillait mon anus, nous entendîmes le bruit d’un tracteur qui s’approchait. Très rapidement, nous rejoignirent l’habitacle, moi à moitié nue, et nous nous y rhabillâmes. Quand le tracteur nous doubla, l’agriculteur nous jeta un lourd regard. Simple curiosité, ou bien s’imaginait-il trop bien ce qui se passait ?
J’étais à bout de souffle… Je fis demi-tour, et ramena la voiture sur la route. Nous continuâmes sur Angers… Nous avons pris rendez-vous pour nous revoir. Je ne pouvais as le laisser partir ainsi.
Mon premier amant… Quel plaisir inoubliable !
18 ans, homo et un chien
Quand j'avais dix-huit ans, ma préoccupation principale était le sexe, comme la plupart des gars de mon âge. Comme j'ai toujours été du genre gêné, mes partenaires sexuels étaient moins fréquents que je l'aurais aimé et ma principale relaxation était celle que mes mains habiles me procuraient.
Je m'étais justement installé pour une bonne session de plaisir en solo cette soirée-la. Mon père était parti pour quelques heures et j'avais la maison à moi. La situation idéale pour prendre soin de moi-même. Je me suis pris une bière dans le frigo et j'ai mis de la musique relaxante. L'anticipation me causait déjà des effets, et ma queue commençait déjà à pousser contre la toile de mes jeans.
J'aime bien prendre mon temps dans ces moments-là, quand il ne suffit pas de soulager une pression accumulée. Je prends alors le temps de stimuler mon corps entier, graduellement. J'ai commencé à me flatter le torse a travers mon tee-shirt, et le tissu a vite fait de mettre mes mamelons au garde-à-vous en se déplaçant. Je suis retourné à ma chambre et me suis assis sur le petit sofa qui s'y trouve. Ma main libre (l'autre tenait la bière) parcourait mon corps, se glissait parfois sous mon haut. Ma peau frissonnait au contact délicat de mes doigts qui parcouraient ma peau, le long de mes bras, mon cou. Comme je ne porte jamais de sous-vêtements sous des jeans, ma queue maintenant bien bandée, en soulevait la toile haute et demandait mon attention.
J'ai déposé ma bière presque finie sur la table du coté pour libérer mon autre main. Alors que d'une main glissée sur mon torse j'enlevais mon tee-shirt, j'ai commencé à doucement masser mes couilles, laissant tout juste mon avant bras effleurer les vingt centimètres de ma queue a travers le denim. Tom, le golden retriever de la famille, devait s'ennuyer seul. Il est venu me rejoindre dans la chambre. Il a sauté sur le lit et s'y est couché, me regardant avec le regard vaguement blasé, vaguement curieux. Il les réserve pour ces moment où, d'un air distant, il semble observer ses compagnons humain en pensant : »ils sont fous ces humains. »
J'ai toujours été exhibitionniste et l'idée d'un spectateur, tout canin soit-il, me donna une poussée supplémentaire de désir. Ma queue devint encore plus raide et le contact indirect que je lui accordais me fit pousser un petit gémissement de plaisir. L'oreille gauche de Tom se déplaça un peu, et il ouvrit grand un de ses yeux semblant se demander : « Bon, qu'est-ce qui se passe, cette fois ? »
L'attention de mon spectateur impromptu me fit lui sourire et je lui ai dit : « Comme ça t'es voyeur, toi ? »
Il prit mes paroles comme une invitation et sauta du lit pour venir se coucher sur le sofa à coté de moi. Il m'offrit sa tète pour que j'accomplisse mon devoir d’humain : le gratter derrière les oreilles. Pendant ce temps, ma queue commençait à mouiller mes jeans sous l'attention indirecte que mon autre main lui prodiguait. J’ai donc ouvert mon pantalon pour laisser sortir la barre bien raide qui s'y cachait. Le chien sortit complètement de mon esprit alors que mon corps réclamait maintenant tout mon attention avec insistance.
Ma main gauche massait maintenant mes pectoraux pendant que ma droite se glissait sous mes couilles pour aller stimuler mon anus. A défaut d'une queue bien chaude pour s'y glisser, je suis bien en mesure de me stimuler agréablement. Mon avant-bras serré contre mes couilles et ma queue bandée à bloc m'excita d'autant plus, et je commençai à me tortiller sur le sofa pour me donner meilleur accès.
Âpres à peine une minute à me stimuler de cette façon, mes jeans devenaient un obstacle distrayant. Je me les suis presque arrachés tant j'étais excité, et je les ai lancés au pied sur le lit. Mon index de la main droite était maintenant bien planté dans mon anus désireux, et stimulait doucement ma prostate. Pendant ce temps, ma main gauche prodiguait ses délices au reste de mon corps, sans jamais s'attarder sur ma queue pour éviter que j'explose trop vite.
Les yeux fermés et gémissant doucement, je me concentrais sur le plaisir que me procurait ma main qui se glissait sur tout mon corps. Je sentais mon doigt bien enfoncé, dont les stimulations devenaient plus robustes avec mon excitation montante. J’avais aussi la sensation agréable de la langue douce et chaude de Tom sur l'extérieur de ma cuisse gauche….
J'ai sursaute en réalisant que le chien s'était glissé dans mon plaisir sans même que je ne le réalise. Mon reflexe fut de le repousser doucement de la main gauche. De quoi j'me mêle ? Ce n’est pas le temps de me distraire ! Frustré de ma réaction, Tom sauta du sofa et quitta instantanément mon esprit alors que ma main retourna rapidement satisfaire les besoins de plus en plus pressants de mon corps.
Je commençais à m'approcher du moment où ma queue deviendrait le centre de mon attention. Ma main s'en rapprochait inexorablement, mais lentement pour maintenir mon plateau d'excitation le plus longtemps possible. C'est ce moment que Tom choisit pour revenir à la charge. Sans avertissement, il lapa vigoureusement le bas de mes couilles et le tendre et sensible bout de chair entre celles-ci et mon anus !
Ma main fit un geste pour repousser le chien que mon excitation grandissante et l'incroyable sensation de plaisir que me donnait la langue chaude imprévue ne me permit jamais de terminer. Alors, je me laissais glisser dans les sensations voluptueuses que le chien m'apportait. Sa langue se fit plus entreprenante, et léchait maintenant toute la région, me rendant fou d'excitation. Je me glissai sur le sofa pour lui donner meilleur accès, et Tom ne se fit pas prier pour laper ma queue gonflée à bloc.
Ainsi, il m’envoya dans un paradis que jamais avant nous avions partagés. Après quelques secondes de son attention dévouée, ma queue explosa en jets de foutre et mes gémissements de plaisir devinrent cris de passion. Tom ne cessa pas de lécher, et nettoyait tout le jus que ma queue était capable de lui donner avec passion.
Tout tremblant de plaisir et de passion éveillée, j'ai ouvert mes yeux et me suis rassis droit pour remercier mon ami canin des sensations de plaisir qu'il m'avait accordées. Je l'ai flatté derrière les oreilles, geste qu'il aime tant, et lui dis : « Ce n’est pas une plaisanterie quand ils disent que le chien est le meilleur ami de l'homme, hein ? »
Mon regard toujours empli de désir s'accrocha sur un détail auquel je ne m'attendais pas : sa queue commençait à pointer et sortir de sa gaine de duvet.
« Ca t'a excite aussi, on dirait. »
Sans hésiter un seul instant, je me suis mis à genoux sur le sol tout contre lui. « Va ben falloir que je te remercie pour ce que tu m'as fait sentir. »
J'ai commencé à lui caresser le ventre, puis à effleurer sa queue pour voir sa réaction. Tom devint immobile, langue tombante, et se mit à respirer fort. Sa queue sortit plus de son abri, et commençait à gonfler.
« T'as besoin d'une bonne baise, toi, non ? »
Les idées s'entrechoquaient dans mon esprit à vive allure. Le désir interdit, mon cul qui hurlait pour se faire planter, la honte du tabou.. Mais finalement, c'est la passion pure qui prit le contrôle, et toute autre considération morale disparut de mon esprit. Ma main avait cessé de stimuler la queue de Tom. Dans ma distraction, et celui-ci avait commencé à prendre l'initiative. Il mit une de ses pattes sur mon épaule, et fit des mouvements de va-et-vient sans équivoque. Ma queue était déjà revenue bien bandée, et plus rien ne comptait pour moi que la passion animale qui se cache en nous, « êtres de raison ».
J'ai enlevé la patte de Tom de mon épaule et me suis mis à quatre pattes, dos à lui. A peine retourné, Tom léchait mon anus en manque, me faisant gémir de plaisir. J'ai étiré mon bras derrière en me tournant un peu pour prendre une de ses pattes de devant. Je la déposais sur mon dos. Il ne se fit pas prier et sauta littéralement sur moi, sa queue cherchant désespérément l'entrée qui le soulagerait. L'os de sa queue donna des coups un peu trop bas et me fit un peu mal, mais mon excitation, au contraire, montait. Je le voulais qu'il me prenne, qu'il me plante sa queue bien au fond, qu'il me baise comme une bête, sans autre délai.
J'ai pris une main pour le guider vers ma rosette, et sa queue naturellement lubrifiée aidée de la salive qu'il m'avait apposé en me suçant l’anus, entra d'un coup. J'ai poussé un cri mi-douleur, mi-extase sous la violence de son entrée. Il me prit comme je le voulais, avec force et vitesse.
A chaque coup qu'il donnait, il pénétrait plus profond, plus loin, et sa queue gonflait à une vitesse qui me surprit. Je savais, intellectuellement, que la base de sa queue gonflerait a la grosseur d'une balle de tennis, et qu'il serait bloqué en moi jusqu'a assouvi. Mais rien au monde n'aurait pu me préparer a la sensation incroyable du nœud qui gonfla en moi, me remplissant come jamais je ne l'ai été ! Tom me baisait comme jamais on ne m'a baisé, et cette seule idée me fit jouir sur le sol, ma queue explosant sans même que je ne l'ai effleurée.
Puis, sans avertissement, Tom jouit aussi. Il tremblait de jouissance et avait arrêté ses va-et-vient. Pendant une seconde, je fus désolé de la brièvete de la chose, puis je l'ai senti... Son nœud gonflé à bloc contre ma prostate commença à faire des pulsations régulières. Son sperme semblait bouillant, et il pompait en moi. J'ai fermé mes yeux et me mis à gémir d'extase pendant que je me faisais remplir de la semence d'un chien et que ma prostate recevait un massage intensif et incroyable.
Pendant quatre, cinq minutes je ne pensais pas, je ne voyais pas, mon univers était la sensation incroyable que Tom me donnait. Ma queue faisait mal tant elle était bandée dure, et ma main s'y rendit pour la soulager. Un autre orgasme, une autre fois le plancher fut arrosé de ma crème.
Mon anus s'était contracté sous les vagues de plaisir, et Tom poussa un gémissement rauque que j'espérais de plaisir. J'en ai eu la confirmation quand il a donné une poussée pour planter sa barre encore plus au fond en moi. Les pulsations de son nœud semblèrent redoubler de rythme et d'ardeur. Encore une fois ma queue s'était remise au garde-à-vous, sans même avoir eu le temps de s'amollir, et de nouveau ma main dansait dessus, me faisant revisiter le paradis.
Puis, à mon grand désolement, les pulsations finirent, et la queue de Tom se résorbait. Il sortit de moi avec un « plop » audible, et son sperme canin coulait le long de mes jambes. Je me suis effondre d'épuisement et de contentement, et je suis resté ainsi pendant presque quinze minutes la respiration haletante, rien d'autre en tète que la baise incroyable qu'on venait de m'accorder.
Le chien est vraiment le meilleur ami de l'homme. Et j’allais encore en profiter de nombreuses fois….
- Commentaires textes : Écrire
Ma rencontre avec Sophie, par Adrien
Cette histoire vous paraîtra peut-être un fantasme. En tout cas, si pour moi l'idée de connaître une expérience concluante de rencontre via Internet, en était un au départ, je suis bien forcé d'admettre que mon weekend avec Sophie avait toutes les apparences d'un beau rêve.
Cela faisait bien un mois que j'étais parti temporairement de chez moi pour travailler dans une entreprise dans le cadre d'un stage. La compagnie avait eu la gentillesse de mettre à ma disposition un carbet, la « maison des invités ». C’était en fait un grand bungalow de six chambres à coucher et trois salles de bains, dont une était même une pièce adjacente à une des chambres à coucher, celle avec cette magnifique vue sur le fleuve, et ce grand lit double...
Dès mon arrivée, m'était venue l'idée stupide qu'une jolie « visiteuse » aurait pu éventuellement vouloir la partager avec moi. Toujours est-il que, pour passer le temps, je m'étais loué un ordinateur au moyen duquel j'allais visiter régulièrement un forum de discussion où, un certain soir, je fis la connaissance de Sophie, qui disait avoir un peu moins que mon âge - j'avais quarante-quatre ans -, mesurer un mètre 62, et être une jolie blonde aux yeux verts avec, en prime, une poitrine 100D..
Bien qu'il fût virtuellement alléchant, ce n'est pas le physique de Sophie qui m'incita à poursuivre ma relation avec elle. En fait, nous nous sommes découverts énormément de points communs et d'affinités. Elle avait un copain depuis quelques mois, avec qui elle vivait une relation qui semblait ne plus la combler.
Nous nous mîmes à nous fixer des rendez-vous virtuels réguliers pour des discussions dont la durée était généralement de trois ou quatre heures. Nous parlions de toutes sortes de choses, éventuellement de sexe...
Bien évidemment, nous décidâmes de nous rencontrer. Je devais aller la chercher à Cayenne.
Au moment d'aller la chercher en voiture -j'en avais bien pour deux heures de route- j'étais un peu nerveux, surtout parce que je n'avais pas trouvé moyen de lui envoyer une photographie convenable de moi. Ainsi, Sophie avait dû se contenter d'une description sommaire de mon physique. Cela dit, j'étais tout de même très confiant de lui plaire.
Je la retrouvais aux palmistes, et je fus heureusement surpris de la voir. Le plaisir a semblé réciproque. Elle est donc montée en souriant dans ma voiture.
Au début du voyage de retour vers le carbet, l'ambiance était un peu tendue, comme de raison.
Sophie m'a plu dès le premier regard. Son corps était un ensemble magnifiquement harmonieux de courbes voluptueuses. Sa peau, d'une couleur dorée par le soleil de l’équateur, me donnait l'envie de la parcourir en entier, de mes mains et de ma langue.
Aussi, dès qu'elle osa, juste au bon moment, poser sa main sur la mienne, je fus pris d'une violente érection et mon cœur voulut me sortir de la poitrine. Bien sûr, je ne ratai pas pareille occasion et retins cette main, caressant bientôt l'avant-bras dénudé et le ventre de la belle blonde qui parut enchantée du premier contact physique. J'étais un peu maladroit dans mes manœuvres, étant donné ma condition de conducteur. Et puis, il faisait nuit. Et dans moins de deux heures, elle et moi serions seuls dans un immense carbet. J'avais tout prévu : vin, bonne bouffe, grand ménage au préalable. Tout était impeccable.
Sophie semblait avoir confiance en mes talents de chauffeur. Aussi, sans se soucier du besoin de concentration que j'avais pour mener à bien le trajet, elle massait ma cuisse et la bosse dans mon pantalon d'une main assurée, tout en m'embrassant le lobe de l'oreille et le cou. Je devais faire des miracles de retenue pour ne pas causer un désastre.
Une fois même, deux des roues de la voiture quittèrent la route pour le bas-côté, ce qui nous refroidit pour un très court laps de temps. Cet événement me décida à faire une pause, aussi stoppai-je près d’une crique, à une quarantaine de minutes du carbet, pour tenter d'apaiser le désir qui nous enflammait tous les deux.
Je vins m'installer au-dessus de Sophie et passais mes mains partout sur son corps, l'embrassant, pelotant ses seins; bien que nous en avions tous les deux terriblement envie, je ne voulus pas gâcher notre première relation dans une voiture, aussi nous évitâmes de nous déshabiller et convînmes de reprendre le trajet afin d'atteindre le plus vite possible notre nid douillet.
Arrivés sur place, je fis voir à Sophie les espaces du carbet, et dans ce qui me tient lieu de chambre à coucher. Nous nous enlaçâmes et elle enleva son haut gris... Couchée sur moi, elle faisait balancer ses seins d'une manière provocatrice. Je caressais son dos en l'embrassant et dégrafai son soutien-gorge noir.
Avant de quitter la pièce pour une autre, j'insérai une main dans son jean pour toucher son intimité. Elle retint son souffle et ferma les yeux quand je touchai sa vulve, débordante de lubrification. Pendant la visite du carbet, nous nous enlevâmes chacun quelques pièces de vêtements dans chaque chambre à coucher, pour terminer dans la magnifique pièce avec vue sur la crique. Là, elle m'enleva mon boxer et prit ma bite érigée dans sa main, en le masturbant délicatement. Je la couchai sur le lit à son tour et finis de la déshabiller. J’insérai un doigt dans son vagin délicieusement humidifié.
En quelques mouvements doux, je le sentis se cambrer sous mes doigts. Elle mouillait abondamment, et ça m’excitait comme un fou.
Obéissant à son désir, je m'étendis sur elle et la laissa guider ma hampe durcie vers sa vulve bien ouverte. Je la pénétrai par petits coups, lentement, en ressortant régulièrement. Les petits bruits de succion accompagnant ses gémissements étaient une fête pour mes oreilles. Je m'enfonçai totalement en elle, ressortais et pénétrais plusieurs fois, avant d'entamer un va-et-vient de plus en plus rapide.
Sophie croisa ses jambes sur mon dos. Je lui avouai que j'allais en avoir encore pour un bon bout de temps avant d'atteindre le paroxysme de mon plaisir. Elle me dit alors avoir envie de me prendre dans sa bouche.
Sophie m'avait dit qu'elle avait une bonne réputation de fellatrice. Mais j'étais loin de me douter que cette caresse pouvait provoquer de telles sensations lorsque bien exécutée, moi qui avait été maintes fois déçu par mes anciennes partenaires.
Elle enfonçait mon pieu profondément dans sa bouche, et me faisait sentir habilement ses parois buccales. Elle entreprit ensuite un va-et-vient entrecoupé par de langoureux passages de sa langue le long de ma bite raide. De sa main libre, elle massait tendrement mes testicules. Lorsque je sentis que mon plaisir montait, je lui demandai de se coucher sur le côté.
Je m'installai de façon à pouvoir lui prodiguer une caresse orale, mon sexe dur toujours à portée de sa bouche. J'écartai ses cuisses, ouvris délicatement la fleur de sa vulve, trempée, et la parcourus lentement de ma langue... Sophie goûtait merveilleusement bon, et pendant qu'elle suçait mon gland, je massais son clitoris en enfonçant ma langue en elle. J'effectuais des passages sur se lèvres gonflées, en utilisant également mon nez et en pénétrant occasionnellement plusieurs doigts.
Mes mains massaient ses fesses, pouvaient contrôler tout son bas-ventre. Nous nous caressâmes ainsi plusieurs minutes avant que Sophie ne réclame à nouveau une pénétration. Je ne me fis pas prier... Cette fois, je la pris en levrette, la pénétrant avec davantage de force. ses seins lourds se balançaient au rythme de mes coups de hanches. J'aimais voir ses fesses, son dos, ses épaules, et surtout son visage, qu'elle tournait vers moi en subissant mes assauts. ses yeux étaient fermés, sa bouche entrouverte laissait échapper de forts gémissements. Elle cambrait les reins pour me recevoir le plus profondément possible, et je massais ses seins en frottant ses pointes durcies. Bientôt, elle sembla comme prise d'une décharge électrique. un orgasme la parcourut toute entière.
Notre première relation dura plus de deux heures. Nous essayâmes plusieurs positions, nous masturbâmes, explorant nos corps de nos mains et de nos langues. Puis, exténuée, Sophie se coucha sur le ventre, les cuisses ouvertes, se laissant pénétrer en gémissant, et bientôt l'orgasme monta en moi et ce furent plusieurs giclées de sperme chaud que je répandis sur ses fesses et son dos. Je me couchai sur elle, savourant la proximité de son corps tout chaud et détendu.
Nous avons fait l'amour encore plusieurs fois au cours des quelques quarante-huit heures que nous avions à notre disposition. Je dirais même que nous avons passé plus de temps à baiser comme des fous qu’à dormir ou manger. Rien ne semblait vouloir arrêter ses ardeurs. Je dois avouer que je n’avais jamais rencontrée une femme aussi gourmande et avide qu’elle ! Elle est un vrai bonheur pour un homme !
Même au terme du voyage de retour, nous avions peine à contenir nos ardeurs. Nous nous sommes quittés un peu tristes, mais (presque) repus.
Je garde un souvenir doré de ce merveilleux weekend avec Sophie. Il m'a convaincu que, quoi qu'on en dise, les rencontres via Internet étaient possibles. J'espère que, si vous avez l'occasion d'en vivre une, vous ne raterez pas votre chance. Il me vient à l'esprit ce seul conseil : ne précipitez pas les choses, et tout ira bien !
Adrien
Sophie :
Cette rencontre avec Adrien a été inattendue. Il me parlait de sa timidité, je me voyais mal passer deux jours avec un homme timide !
Finalement, je me suis laissé convaincre, car il était vraiment adorable.
Et je ne regrette pas ce fabuleux week-end. Il a été l’un des rares amants que j’ai eu à pouvoir me satisfaire, seul, pendant deux jours ! Il a répondu à toutes mes sollicitations, toutes mes envies, me faisant jouir autant que j’en avais envie.
Merci à lui, qui restera un inoubliable souvenir.
Mais il a du rentrer France... Alors, plus d’Adrien… Dommage pour moi !
Je suis cocu et bi, et j'aime ça !
Adolescent, j’avais un look plutôt androgyne qui, en son temps, m’avait valu les faveurs d’un « grand ». Ce fut un cours épisode vite oublié dans l’environnement social de mon passage à l’âge adulte. Après diverses expériences où alternèrent jeunes filles et femmes matures, je me suis marié. Nous étions un couple ordinaire, famille, boulot, dodo. Au bout de quinze ans de vie maritale, entrecoupées de quelques rares entorses au contrat, l’enthousiasme de nos débuts avait fait place à des relations sexuelles classiques et rituelles, fellations, cunnilingus, etc.
Pendant toute cette période, en diverses circonstances j’avais acquis quelques manies.
N’aimant pas porter de socquettes, j’ai commencé à porter des chaussettes fines, noires que je trouvais élégantes. Par inadvertance, un jour j’ai mis des mi-bas de ma femme. Trouvant cela très agréable, j’ai continué en les choisissant de plus en plus fins. J’en suis arrivé à acheter en cachette des bas, dim up d’abord, puis avec porte jarretelles.
Le contact sur mes cuisses me procurait de fortes émotions. J’aimais aussi beaucoup porter des tee-shirts en tissu léger, très fins, près du corps. Je ne me rendais pas bien compte que ce type d’habit révélait les bouts de mes seins, saillants et très pointus. J’aimais bien être sanglé par des larges ceinturons et je trouvais les pantalons amples assez disgracieux. J’ai commencé à porter des jeans de plus en plus étroits à tel point que les slips devenaient gênants. C’est alors qu’un string de ma femme s’est égaré dans ma pile de linge. Il m’allait comme un gant. De plus, j’ai trouvé son contact soyeux des plus agréables. Petit à petit, ma tenue vestimentaire avait perdu son aspect viril.
Dans un domaine plus intime, et sous prétexte de faire durer l’échange plus longtemps, j’avais pris l’habitude d’être sur le dos et lui laisser l’initiative, à cheval sur mon sexe, du rythme de la pénétration.
Et, pour compenser les risques de panne, on a eu recours à l’emploi d’un gode. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut-être me punir de cette attitude, elle a voulu un jour faire de même.
Non seulement je n’ai pas refusé, mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement, au point que je la réclamais de plus en plus. Puis le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Elle n’a pas hésité longtemps. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi, au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de véritable « pédé ».
Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, homo, passif, soumis.
Le jour où son gode a remplacé ses doigts, elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non et, plus ou moins sérieux, j’ai rajouté que cela ne pouvait pas se passer sans elle, et qu’elle aurait à choisir l’élu. En plaisantant à demi, j’ai même évoqué que mon fantasme était de la voir faire l’amour à un autre ou d’être pris en sandwich entre elle et lui.
Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami de sa famille que je ne connaissais pas encore. Sans y voir autre chose qu’une rencontre cordiale, j’ai accueilli un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique, plutôt costaud et look viril. Pendant que ma femme servait les apéritifs, j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle.
Chemisier noir assez transparent, et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer alors que je la savais, jusqu’à ce jour, sérieuse. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse. L’alcool aidant, la discussion devint grivoise, puis orientée sur le sexe.
Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a fini par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant :
« Bien sur, je suis là pour ça.»
Alors, m’a femme m’a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins en cachette et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir.
Quand je suis revenu, ils étaient en train de s’embrasser goulûment, une main avait disparue dans les plis de la robe de ma femme, l’autre dans son chemisier. Subjugué par cette audace, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma femme, il lui dit :
« Il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir. »
Constatant un léger recul de ma part, ma femme me dit :
« Tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord pour nous partager et j’en ai très envie. Ramène les verres à la cuisine et viens nous rejoindre dans le lit ! »
J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma femme dans cet état et de penser que j’allais être dans les bras d’un homme.
En arrivant dans la chambre, je les ai trouvés nus, enlacés. Quant ils se sont séparés, j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma femme, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit :
« Regarde comme il faut faire. »
Et elle engloutit le membre dans sa bouche sous mes yeux. Elle a commencé une magistrale fellation. Subjugué, je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit :
« Suce le bien. Fais comme j’ai fait, à fond … »
Et pour conforter ses propos, elle appuya sur ma tête d’une main, et se branla le clito de l’autre. Aux bruits environnants, j’ai compris qu’ils continuaient de s’embrasser et de se caresser. Puis ma femme s’est levée.
Peu après, tout en continuant à sucer avec enthousiasme, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement.
« Depuis quand te plains-tu ? » dit-elle.
Je sentais que le sexe de notre ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda :
« Par qui je commence ?
- Par lui, dit ma femme en me montrant du doigt. Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander comme un cerf et je pourrais en profiter. »
Positionnée en levrette, tenu par les hanches, ma femme appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma femme, de plus en plus salope, me demandait de me taire en me traitant de pédé, d’enculé et j’en passe.
Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé. Bizarrement, cela me procura peu à peu un bien être extrême et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse.
De temps en temps, mon amant ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette légère douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma femme, en me faisant un peu souffrir et il y réussissait.
Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, mon chéri, encule moi bien, vas au fond… »
Et ma femme surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur … Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait.
« Retiens-toi me dit-elle, où il va t’en cuire … Attends que je jouisse ! »
J’ai à peine eu le temps de me rendre compte de ce qu’il se passait, qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ».
Étendus tous les trois côte à côte pour reprendre nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première :
« Te voilà dépucelé mon chéri. Tu seras dorénavant à mes ordres et à ceux de mes futurs amants car je vais rattraper mon retard en la matière. C’est toi qui les recruteras et ce sont eux qui me baiseront. Tu assisteras en te masturbant avant qu’à leur tour, ils t’enculent, si tu leur plais aussi. S’il t’arrivait de me désobéir, le martinet que je vais acheter te remettras dans le bon chemin. »
Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé. Nous avons légèrement réorganisé notre vie et j’ai commencé à voir défiler des hommes dans notre lit nuptial. Sans excès, en pleine acceptation de la situation.
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bon comme toute personne faire le coup de la panne c'est bien.une gourmandise reste une gourmandise . l'amour reste l'amour si sa a fait tilt alors ne laisse pas filer ton amant
il i a pas de mal a le faire mais bon faux etre franc se que je dis toujours
Pas mal le coup de la panne. Faudrait que je la fasse aussi. Sinon les autoroutes françaises sont de superbes lieux pour des rencontres fortuites.
Je crois que je vais faire du stop bientot ! Jamais eu la chance de trouver une telle femme, prete à tout ! En tout cas, si une femme mariée a envie de tromper son mari, je suis là.