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Les Mémoires très Libertines de Sophie

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Au travers d'histoires très chaudes, et de quelques photos, je vous raconte mes expériences sexuelles vécues, mes fantas

Au travers d'histoires très chaudes, et de quelques photos, je vous raconte mes expériences sexuelles vécues, mes fantasmes, mes envies très débridées...

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Les Mémoires très Libertines de Sophie

Marie et Xenos - Chapitres 3 et 4

Chapitre 3

 

 

Le regard fasciné, la main gentiment crispée sur le sexe du chien, j’ai des contractions d’envie dans le bas ventre. Les papillons de plaisir et d’envie que je connais si bien. J’essaie de calmer mes ardeurs, pour ne pas blesser Xenos et ainsi profiter pleinement de cet instant tant attendu, maintes fois fantasmé.  Le chien halète un peu plus fort, sa langue rose gluante pend un peu plus, mais il ne fait aucun geste de replis, bien au contraire, se laissant bien volontiers manipuler par cette main amicale dispensatrice de plaisirs inattendus.

 

 

Il reste aux aguets, attendant la suite. Je suis assez rassurée par son attitude patiente qui laisse bien augurer de la suite. Je serai vraiment trop déçue d’avoir à faire à un chien trop pressé et expansif, il me faut du temps et dans ce domaine particulier j’adore aller progressivement, prendre mon temps pour le plaisir, telle est ma devise. Sous mes caresses et pressions, la jolie bite rose veinée de magenta se fait de plus en plus volumineuse. Elle est absolument magnifique, c’est mon tour de commencer à saliver… mais je ne sais pas encore si je vais oser une telle caresse buccale sur un animal… il me reste encore de petites réticences.

 

 

Mais l’idée ne me rebute plus autant que par le passé. Je me fais lentement à cette idée de me soumettre totalement à mon nouvel ami et de lui donner un maximum de plaisir. Après tout, les vraies chiennes doivent bien lécher le sexe des mâles qui vont les saillir ou qui viennent juste de le faire, pourquoi devrais-je déroger ? La verge de Xenos est douce et brûlante sous mes doigts, bien plus chaude que celle d’un homme. Quelques gouttes claires, giclent en petites saccades chaudes, évidentes prémices de bonheurs proches. La moquette est tout auréolée de ces giclettes désordonnées.

 

 

Peu à peu, son fourreau poilu dégage l’ensemble de la bite qui apparait enfin à mes yeux curieux. Rien à voir avec celle d’un humain. La pointe est effilée alors qu’un homme possède à cet endroit le renflement du gland entouré du prépuce. Le sommet du sexe ressemble à une pointe de lance, percée en son sommet d’un discret petit trou. La verge bien gonflée s’évase à partir de la pointe. La hampe elle-même est magnifiquement veinulée de rouge vif. La base est ornée d’une énorme excroissance, comme un gros bulbe de jacinthe, le bulbe pénien, qui ressemble un peu à des testicules d’homme auxquels on aurait épluché la peau du scrotum.

 

 

Je graisse ma main en recueillant le liquide pré séminal qui n’arrête pas de sourdre. Encore une différence par rapport aux hommes, un chien peu éjaculer pendant la totalité d’un rapport. D’abord ce liquide clair qui sera peu à peu remplacé par du sperme bien plus épais, en vue de la fécondation. Les doigts gras, je caresse doucement, je suis attentive aux réactions de mon futur amant… j’ai maintenant très envie qu’il me prenne, je sais qu’il va me saillir, j’en ai envie ! Je sais déjà que je vais adorer qu’il me prenne. Mais pour le moment, je continue ma lente câlinerie. Certains chiens sont réticents au début à ce genre de caresse à laquelle ils ne sont pas habitués. Mais ils s’adaptent très vite au comportement étrange des femmes, bien différent de celui de leurs vraies congénères, les chiennes.

 

 

La verge de Xenos coule de plus en plus au fur et à mesure de mes caresses. Je dois avouer que cette masturbation m’excite moi-même au point de me liquéfier l’entrecuisse. Le chien docile se laisse faire, allongé de tout son long, la tête dans le prolongement de l’échine, une de ses pattes postérieures en lévitation pour me faciliter la manœuvre. Je suis à présent persuadée qu’il est accoutumé à ce genre de manipulation.  

 

 

Mon excitation va crescendo, elle s’amplifie au fil de mes découvertes. Notre sexuelle complicité semble grandir au fur et à mesure de mes attouchements. Xénos, très docile s’abandonne en toute confiance, pattes largement écartées. Je continue mes caresses manuelles avec beaucoup de délicatesse. Mais je sens venir le moment où il me faudra lui donner plus, me donner entièrement, sans restriction. Comme pour lui apporter une nouvelle preuve de ma propre soumission.

 

 

Je me sens devenir Golden Retriever moi aussi. Je deviens petit à petit sa femelle docile, je veux m’offrir à mon mâle, comme une vraie chienne en chaleur. Je suis à sa disposition pour son plaisir, tout autant que le mien. Je veux le mettre au mieux de sa forme pour la suite irrémédiable qui s’impose à mes sens. Je ne peux désormais plus reculer, je n’y songe même pas. Si ce n’est pas pour aujourd’hui, il ne fait aucun doute dans mon esprit que je ne pourrai pas lutter très longtemps contre cette furieuse envie qui me tenaille le ventre. De plus, je ne l’ai que trois semaines à ma disposition, je n’ai guère de temps à perdre avec des futilités. Je sais que mon abandon est programmé, le cheminement intellectuel s’est fait dans mon esprit, j’y suis prête, absolument consentante, ce ne sera pas un viol.

 

 

Je m’approche un peu du bas ventre de mon nouvel amant. J’ai une furieuse envie de mieux détailler sa bite. Pour le moment, je la tiens gentiment serrée entre mes doigts poisseux, elle est brûlante. Je sens parfaitement l’odeur de son sexe. Une émanation forte et sauvage, mais pas aussi désagréable que j’aurai pu l’imaginer. Mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres de la pointe cramoisie, de laquelle, par intermittence, sourdent de petites giclées troubles qui s’écrasent sur mes cuisses nues. C’est chaud, gluant, appétissant.

 

 

De ma main libre, je viens délicatement prélever quelques gouttes de ce liquide odorant. Je les porte à mes narines puis à mes lèvres. C’est olfactivement puissant. Je dépose ma cueillette sur ma langue… Hum, ce n’est pas mauvais du tout, bien différent du sperme humain. Le goût est très particulier, mais sans être absolument rebutant ! Cette découverte me rassure un peu. Elle fait encore tomber les quelques barrières psychologiques qui auraient pu résister malgré tout dans mon esprit de femme bien sous tout rapport. Si le sperme de Xenos est tout aussi gouteux que son liquide pré séminal, je ne vois vraiment pas pour quelle raison je me priverais de cette envie qui me tenaille les sens. J’ai vraiment envie de le sucer comme j’ai toujours adoré prodiguer cette caresse à mes amants.

 

 

Mais lui, va-t-il aimer la caresse de mes lèvres et ma langue ? Il a bien du se lécher la bite à maintes occasions, ou se la faire lécher par un de ses congénères. Je ne sais pas si Catherine suce son chien…

 

 

Cette idée m’excite un peu plus je dois l’avouer. D’imaginer mon amie de toujours, très classe, femme d’affaires impeccable et implacable, irréprochable, qui fréquente la bonne société de L. se livrer à de telles pratiques, condamnées par la société bien pensante me liquéfie de plus belle. Ma chatte dégouline franchement. Des images puissamment excitantes me viennent à l’esprit. Je l’imagine en tailleur strict, le chignon impeccable, avec ses lunettes d’intello branchée, agenouillée entre les pattes de son chien, en train de lui téter la bite, se délectant de ses giclées, les buvant sans réticence ni dégoût. Si je continue dans cette voie des pensées lubriques, je vais me faire jouir toute seule, sans l’aide de Xenos, ce qui serait franchement dommage !

 

 

De plus en plus échauffée par mes idées salaces, je m’enhardis un peu plus. J’approche encore mon visage de la verge écarlate, juste pour la sentir un peu mieux… sans plus… Je me le promets, sans y croire un seul instant. Le bout de mon nez est maintenant collé à la pointe du sexe du Golden. L’odeur ne me rebute pas davantage. De ma main, emprisonnant la verge, je fais glisser le bout plus bas, contre ma lèvre supérieure, je la caresse et l’enduis du liquide poisseux et chaud, comme avec un bâton de rouge à lèvres. Je me graisse ainsi largement la bouche.

 

 

Je darde la pointe de ma langue à chaque passage de la pointe, sans aller plus avant. Je joue quelques secondes avec. Le chien ne bronche pas. Attentive à ses réactions, car je ne voudrais pas qu’il se méprenne sur mes intentions et devienne agressif, j’entrouvre doucement les lèvres puis enfonce tout doucement la verge animale. Le chien est toujours aussi docile. Ma langue s’enhardit et caresse le bâton de chair maintenant largement enfoncé.

 

 

J’ai franchi un nouveau seuil, je suce vraiment un chien, pour la première fois de ma vie.

 

 

J’aime ça, c’est indubitable. Ma mouille laisse de longues traînées brillantes le long de mes cuisses tremblantes de bonheur et d’envie. Mes mouvements et ma succion s’accélèrent, mais je reste sur le qui-vive, je ne veux pas que Xenos jouisse dans ma bouche. Pas tout de suite en tout cas, je ne suis pas prête. Je poursuis ma fellation avec plus de mesure. Je m’applique comme si Xenos pouvait ensuite me donner une appréciation sur ma prestation. Mais je ne me fais guère de souci, bien que ne sachant pas parler, son comportement exprime sa satisfaction. C’est le total abandon au plaisir.

 

 

Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit à trois reprises.

 

« M… m… m… qui peut bien me déranger ainsi alors que je suis si agréablement occupée ? »

 

 

 

 

Chapitre 4

 

 

Je laisse ma proie. Xénos qui avait tendu l’oreille au premier retentissement  de la sonnerie se redresse sur ses quatre pattes en grognant un peu. Je lui intime l’ordre de se calmer. Il cesse de grogner, mais sa bite toujours en érection pend, toujours aussi écarlate au milieu de ses pattes arrière.

 

 

Je me recompose à la hâte une tenue décente, me couvre de mon long tee-shirt de nuit, mais reste nue dessous, avec la ferme intention de me débarrasser rapidement de cet importun. Je souhaite reprendre au plus vite mes jeux avec Xenos. Ce dernier, toujours sur le qui-vive, me suit jusqu’à la porte d’entrée, bien décidé à identifier la menace. À mon grand soulagement il semble s’être un peu calmé sexuellement, sa bite a réintégré son fourreau de poils.

 

J’ouvre brusquement la porte, un peu excédée. Ma voisine est plantée sur le perron de notre villa, un large sourire aux lèvres. Elle a comme un mouvement imperceptible de recul en voyant Xenos.  Heureusement, sa bite a disparu. Je me vois mal expliquer l’état d’excitation du chien à ma visiteuse.

 

« Excuse-moi de te déranger Marie, j’ai besoin d’un conseil... Tu as du monde ?

 

- Non, non, je suis seule. Entre, si je peux t’être utile, il n’y a pas de problème Nicole.

 

- Il est à vous ce chien ?

 

- Non. Entre, n’aie pas peur, c’est le compagnon de mon amie Catherine.

 

 

Elle hésite encore alors que Xenos s’approche d’elle pour la renifler. Cette fois cependant, elle ne recule pas.

 

 

Ma voisine Nicole est une belle quinquagénaire, fort bien conservée, tout aussi « oisive » que moi. Son mari, directeur d’une agence bancaire lui permet de se laisser vivre sans trop de soucis matériels. Elle ne s’en prive pas. Mais je la soupçonne de s’ennuyer un peu à la maison. Secrètement, elle trompe cette inactivité avec des jeunes gens bien trop jeunes pour elle. Je ne vais pas lui jeter la pierre, il faut bien que le corps exulte. Nicole n’a guère de difficultés pour assouvir ses penchants.

 

 

De belle taille, plus que la moyenne féminine, svelte et sportive, blonde aux cheveux mi-longs, une poitrine que ne renierait pas Monica Bellucci, un sourire ravageur à faire péter les boutons de braguettes. De plus, elle cache fort bien son jeu. Madame l’hypocrite est assidue à la messe, fait régulièrement le catéchisme pour les gamins du quartier, fréquente la bonne société bien pensante de la ville. Je pense qu’elle repère ainsi ses futures « victimes », des petits puceaux catholiques de bonne famille à déniaiser sans tarder, dans la plus grande discrétion.

 

 

Depuis que nous avons fait connaissance, il y a maintenant quelques années nous sommes devenues peu à peu des amies, je dirais même des confidentes, malgré nos dix années de différence. En fait, c’est plutôt elle qui me livre ses turpitudes qui tournent invariablement autour du sexe. Ce ne fut pas évident au début. La dame ne se livre pas aussi facilement en public qu’elle écarte les cuisses en privé. Mais j’ai su la mettre en confiance. Petit à petit, elle m’a laissé accéder à son petit monde secret. Si tous ceux qui la fréquentent savaient !!! Nul doute que le curé du coin lui retirerait la charge du catéchisme !

 

 

Ce matin, elle est vêtue d’une courte jupe écossaise, d’un haut très fin, qui moule bien ses deux gros seins, qui me paressent libérés de tout soutien-gorge. Je distingue parfaitement ses deux pointes érigées. Il faut dire qu’elle n’a nul besoin de sous-tif, en plus ce serait vraiment dommage… J’espère qu’elle ne fait pas le caté dans cette tenue sinon les aspirants à la première communion de la paroisse risquent d’éjaculer dans leurs slips Petit-Bateau !!!

 

 

Xénos, un peu curieux glisse sa truffe sous le tissu écossais, en remontant vers le haut de ses cuisses. Nicole devient cramoisie. Elle plaque brusquement sa jupe pour empêcher une plus indiscrète investigation.

 

Je saisis le vilain fouineur au collier :

 

« Allons Xenos, en voilà des manières !!! »

 

 

Nicole bredouille :

 

« Je suis désolée, il doit sentir que je suis… comment dire… indisposée… »

 

 

Pour la rassurer, je rétorque innocemment, un léger sourire au coin des lèvres :

 

« Ah oui, c’est fort possible. Il a un odorat assez développé, rien ne lui échappe ! »

 

 

Je tire Xenos en arrière, puis invite une nouvelle fois Nicole à entrer. Elle s’exécute sans perdre le chien de vue. Comme il semble plus calme, je le libère. Il nous suit sagement jusque dans le salon. Nicole s’installe sur le canapé, le regardant craintivement. Le chien s’allonge voluptueusement à mes pieds près de la chauffeuse où je me tiens. Cette attitude rassure un peu ma visiteuse.

 

 

Je reviens au but de sa visite :

 

« Dis-moi comment vas-tu… Au fait, tu voulais un conseil ?

- Oui, voilà… Ce n’est pas facile à dire… Comment t’expliquer ?

 

- Vas-y Nicole, ne tourne pas autour du pot. Nous sommes de vieilles copines, lâche-toi…

 

- Bien… c’est à propos de Nicolas, tu sais, le fils de nos voisins…

 

- Oui je vois bien, un petit blond mignon, que lui arrive-t-il ?

 

- A lui rien, ou pas encore. Tu sais que je fais le caté…

 

- Oui, oui cela m’a toujours un peu étonné, mais…

 

- Comment cela « étonné » ?

 

- Excuse-moi Nicole, laisse tomber cette remarque idiote. Je t’écoute…

 

- Bon. Nicolas fait partie de mes élèves. Tu ne vas pas me croire, dans son cahier de catéchisme, j’ai trouvé une photo cochonne…

 

- Et alors ? Ce n’est pas la fin du monde !

 

- Non… je sais. Mais sur la photo, il y a un jeune homme en train de prendre une femme qui doit avoir le triple de son âge…

 

- Ne me dis pas que tu es choquée ?!

 

- Non, ce n’est pas la photo qui me choque. Mais Nicolas a écrit son prénom sur le front du gamin et le mien sur celui de la femme… Tu te rends compte ? Il n’a pas encore douze ans, il fait sa communion en mai prochain ! »

 

 

J’ai envie de rire, mais je ne veux pas la froisser. Elle est tout de même un peu hypocrite ma voisine. Je souris malgré tout.

 

« Voilà une déclaration originale ! Au moins, tu es fixée sur les « sentiments » du petit Nicolas à ton égard !!!

 

- Ne ris pas Marie… Je ne peux tout de même pas laisser passer ça ?

 

- Si tu veux mon avis, le mieux serait de faire comme si tu n’avais jamais trouvé cette photo. Dans trois ans, le petit Nicolas sera majeur, en tout cas, sexuellement… Tu verras bien à ce moment-là…

 

- Tu as peut-être raison en fait. Je vais feindre d’ignorer et surveiller son comportement. »

 

 

Je me demande si Nicole n’a pas trouvé ce prétexte foireux pour venir me voir seule à la maison, car elle enchaîne :

 

« Tu es seule avec le chien ?

 

- Oui, toute seule, enfin la journée. Catherine mon amie est partie en vacances, elle me l’a laissé en pension… J’ai toujours eu un peu peur des chiens. C’est pour cela que nous n’en avons pas. Mais celui-là, je le trouve très beau, très soigné. Je t’avais vu hier avec lui dans le jardin. Je me demandais si vous l’aviez adopté. »

 

 

Nous y voilà, la curieuse Nicole est venue aux nouvelles !

 

J’enchaîne :

 

« C’est un Golden retriever. Cathy le fait toiletter régulièrement. C’est préférable d’autant qu’il couche dans sa chambre.

 

- Tu ne penses pas qu’il couche dans son lit tout de même ?

 

- Ah ça… je ne sais pas, elle ne m’a pas fait de confidences… Je ne pense pas, elle est si maniaque !

 

- Moi je serais bien trop stressée de savoir cette grosse bête dans la même chambre que moi. En plus, ça doit laisser des poils partout… Tu parles d’un boulot ! »

 

 

Le chien est toujours à mes pieds, ignorant la conversation dont il est l’objet. Il a posé son museau sur mon pied nu. Nicole m’en fait la remarque :

 

« En tout cas, il a l’air de bien t’apprécier !

 

- Oui, il est très affectueux, bien plus qu’on ne peut l’imaginer au premier abord. »

 

 

Nicole le regarde, pensive.

 

Je romps le silence :

 

« Dis-moi Nicole, prendrais-tu un thé en ma compagnie ?

 

- Oui je veux bien… »

 

 

J’ai très envie de me retrouver seule avec le chien, mais mes devoirs de bons voisinages m’empêchent de mettre Nicole à la porte trop brusquement.

 

Je me lève pour me diriger vers la cuisine. Xénos m’imite. Je lui intime l’ordre de rester dans le salon. Il m’obéit, mais en profite pour se rapprocher de Nicole, qui n’en mène pas large.

 

Je la rassure :

 

« N’ai aucune crainte, il sait que nous sommes amies maintenant. Il veut simplement une caresse, il adore ça. En plus, il a horreur de rester seul. »

 

 

Timidement Nicole passe la main sur la tête de Xenos qui, ni une ni deux, pose sont museau sur sa cuisse.

 

Voyant que tout se passe bien, je les laisse faire plus ample connaissance pour aller préparer le thé.

 

Ma cuisine ouverte me permet de surveiller tout ce qui se passe dans le salon.

 

Par contre, Nicole qui me tourne le dos ne fait plus vraiment attention à moi.

 

Je sors le thé, la théière et les tasses. Je pose la bouilloire sur son socle et attends que l’eau chauffe. Dans le salon Nicole caresse toujours la tête de Xenos, mais de moins en moins timidement ! Sa main progressivement parcourt son encolure, caressant longuement les poils soyeux… Je me demande si elle ne s’est pas foutue de ma poire en me disant avoir peur des chiens !

 

« Tout va bien Nicole ?

 

- Oui, oui, ne t’inquiète pas Marie, nous faisons connaissance. C’est vrai qu’il est gentil ce chien… »

 

 

Je fais un peu trainer les choses, juste pour voir.

 

Nicole caresse maintenant le dos jusqu’à s’enhardir vers les reins du chien qu’elle flatte longuement, sans oser plus. Je ne vois que le train arrière de Xenos, mais il semble ravit de cette nouvelle amie, son fouet bat la mesure de son plaisir.

 

 

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Une pipe de légende

Ceci s'est passé il y a plusieurs années...

Avec Yasmina, une collègue de boulot, nous parlons souvent de sexe, nous chauffant mutuellement... elle est belle, la peau dorée, grande, des petits seins en pommes, et un petit cul qui a la forme d'un cœur. Elle est excitante, et plait beaucoup. Mais nous n'avons jamais couché ensemble... Pourquoi ? Peut être que nous connaissons trop de gens en commun avec qui l'on a baisé !

Quoi qu'il en soit ce soir, nous avons besoin de nous décontracter, la journée fut dure. Nous nous rendons au pub près de chez nous. Sur la route, elle appelle une copine, Linda.

Elle me dit : « Je suis bête, je n'y avais jamais pensé auparavant ! J'ai une amie qui devrait te plaire, elle est sacrément salope... Mignon comme tu es, elle va te croquer tout cru ! »

 

 

Je ris avec elle à ces paroles, et commence à être émoustillé par la tournure de cette soirée...

Arrivés au pub, les mecs se tournent sur notre passage, surtout pour mater le cul sublime de Yasmina. Cul que j'ai déjà eu l'occasion de palper et un p'tit peu plus encore... me regardant ensuite avec surprise. Il est vrai que je suis un peu plus petit qu'elle, pas du tout « fashion », contrairement à elle qui aime bien se pomponner. Elle a un style de jeune salope, on peut le dire !

Nous commandons, et très vite, son amie Linda arrive. Elle a le même âge que Yasmina, soit vingt-sept ans. A ce moment, j'en avais vingt-trois.
Elle est très jolie, le visage d'Amel Bent, l'air d'être une chienne en plus dans ses yeux, des jolies rondeurs...

Nous passons une agréable soirée, Linda et moi accrochons bien. Nous sommes là pour la même chose, un peu de gringue de chaque côté, c'est limite si nous laissons Yasmina entrer dans notre bulle. Ce n’est pas très sympa pour elle qui nous a présenté, vous en conviendrez.

Las, Yasmina sonne le départ elle est fatiguée. Nous réglons nos nombreuses consommations, et quittons le pub.
Dehors, l'air frais et l'alcool me grisent, j'ai le cœur qui bat la chamade. Linda me demande directement si elle peut venir chez moi. Je lui répond que je vis dans ma garçonnière, ce qui la fait rire et elle m'attrape le bras.
Yasmina est souriante, elle sait qu'elle a bien fait de nous présenter.

Nous la quittons, et allons très vite chez moi. Nous discutons pendant un moment, approchant nos mains progressivement, et débutons des caresses, pour nous découvrir enfin. N'y tenant plus et faisant sauter toutes barrières, nous nous enlaçons brutalement, et nous embrassons langoureusement...

Très vite, elle me passe la main sous le tee-shirt qui finira progressivement par être ôté. Elle s'arrête de m'embrasser, et du bout des doigts, explore mon torse et mon ventre...

Nos baisers reprennent... J'ai envie de sentir sa peau contre la mienne. Alors, je répète le rituel qu'elle a initié, et très vite son petit top qui lui moulait son petit ventre rebondi saute. Penché sur elle, je caresse son ventre très doux. Ma main remonte à sa gorge, je m'agrippe au bonnet et en extrait un téton que je fais tourner sous mes doigts.

 

Puis je passe dans son dos, et de l'index, du majeur et du pouce je dégrafe son soutien gorge. Elle s'en sépare très vite pour venir se recoller contre moi.

 

 

Alors qu'elle m'embrasse dans le cou et me lèche le lobe de l'oreille, je regarde son sein, le prenant en main, le soupesant, le caressant et le malaxant. J'y applique quelques lapements de langue, ce qui a le don de la faire gémir. Elle se frotte contre moi, je suis excité, elle peut le constater en triturant mon pantalon qui a une bosse peu discrète.

Je suis tout excité ! J'ai trop envie de la prendre là, sur le champ !!! Mais elle s'arrête d'un coup, et me demande si je me sens bien, le sourire aux lèvres. Je prends sa main et la dépose sur la bosse qui est en travers de mon jean. Je bande tant que je commence à avoir mal... Mhum, elle appuie sa main sur le renflement, ce qui compresse mon sexe contre moi...

 

 

J'adore cette sensation, elle me donne l'impression que mon sexe va exploser de plaisir. Et elle de me dire : « Je suis désolée... mais j'ai mes règles, ca ne va pas être possible ce soir. »

 

 

Moi gentleman, je lui assure que ce n'est pas grave, pensant bien qu'il y aurait un match retour de prévu, passées ses menstruations. Elle me sourit, l'air ravi que je ne me fâche pas. Je l'embrasse goulument, malgré ma petite déception, je suis chaud, et la certitude d'une partie de sexe endiablée s'envole...

Elle me rend mon baiser avec la même vigueur, et m'enfourche. Sans me laiser le choix de refuser. J'ai la queue compressée dans mon jean, entre ses cuisses sur moi. Elle me susurre dans l'oreille :

 

« Mais j'ai trop envie de te faire jouir, je ne vais pas te laisser comme ça, sur ta faim... »

 

 

Elle entame alors elle fait des mouvements du bassin sur mon bas ventre, ce qui me rend fou, et provoque des tensions dans tout mon corps. Puis elle descend sur mon torse, caressant mes poils, léchant et aspirant mes tétons...

 

Argh... hmmm...

 

Elle m'embrasse le ventre, puis passe entre mes cuisses. Elle tripote mon jean. Elle me regarde dans les yeux, un petit sourire en coin, lorsqu'elle saisit ma ceinture et la défait... Le bouton et la braguette de mon jean sautent très vite, et d'un geste assuré, elle me fait signe de me redresser pour ôter mon jean qui vole par terre, les chaussettes avec...

Elle me masse le mollet, l'embrassant et remontant sur ma cuisse avec sa langue. Sa main est là en éclaireuse et remonte plus vite que sa bouche, et elle est déjà sur mon boxer... Elle pétrit mon paquet bien épais dans sa main droite, poussant des gémissements quand elle sent mes couilles toutes dures, et mon sexe bandé sous le tissu.

Elle renifle ensuite mon boxer avec un son sortant du plus profond de sa gorge, puis mordille mon sexe qui y reste coincé. Toujours des dents, elle le descend mon en dessous de mes couilles. Enfin, d'un petit rire trahissant l'envie, elle prend ma queue en main, me branlant à fond de bas en haut...

 

Elle a un air de grosse salope dans ses yeux qui brillent dans la pénombre que mes petites lampes donnent chez moi... Puis elle me prend en bouche, gémissant lorsque mon gland se gonfle sous sa langue.

Elle me suce comme une experte, je me rends compte que je n'avais jamais connu aucune bonne suceuse auparavant. Elle me rend fou, me maitrisant juste avec sa bouche et sa langue, sa main me malaxant les bourses. Je deviens dingue, alors qu'elle me lèche la petite ''cicatrice'' qui va des couilles à l'anus...

 

 

Cela dure longtemps, j’éructe comme une bête. A ce moment, je la saisis par son chignon, et la force à me prendre au plus profond de sa gorge. Elle s'étouffe légèrement, puis je lui baise la bouche comme je l’aurais fait de sa chatte. J'en ai mal à la queue, j'ai envie que ca se termine ! J’y arrive enfin ! En la tenant par le chignon, j'éjacule dans sa bouche, ce qui provoque un soubresaut de sa tête. J'ai des spasmes à chaque coup de langue sur mon gland, qui me font gicler encore un peu. Le sperme dégouline le long de ma queue, sortant de sa bouche.

 

 

Elle lape le sperme qui s'échappe, puis porte les doigts à ses lèvres pour rattraper celui qui coulait à la commissure de ses lèvres... Et elle, d'avaler tout mon jus...

 

« Mhum, j'ai plein de petits X en moi », dit elle en riant.

 

 

Elle me branle encore un peu à mesure que je débande. Elle a un air satisfait sur le visage alors qu'elle a les yeux rivés sur mon sexe gluant, qui brille et est tout rouge dans sa main. Elle vient m'embrasser, me tendant sa langue, je goûte mon sperme âcre et salé qui lui reste dessus.

Elle me dit juste : « Tu as une super queue, et j'adore qu'on me gicle dans la bouche... Mais évite de me tirer les cheveux la prochaine fois… »

 

- Oups ! pardon, mais tu m'as rendu fou ! Je suis navré de ne pouvoir te rendre la pareille avec ma bouche... »

Nous nous câlinons encore un peu, puis elle décide de partir Après quelques baisers langoureux, nous nous quittons, nos numéros respectifs notés, avec la ferme intention de se voir le plus vite possible...

Je me retrouve seul, complètement vidé. Mon gland est essoré, jamais on ne m'avait pris comme ca dans ma jeune sexualité.
S'ensuivront plusieurs mois de sexe débridé... Mais c'est à suivre plus tard !

 

 

TheX

 

 

http://jesuislaloi.erog.fr

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Manuel de domination - partie 3

Chapitre 5 : Les grandes questions - Quelle domination ?

 

A ce stade de votre lecture plusieurs questions vous sont certainement venues à l'esprit.

 

Doit-il être soumis de façon permanente ? La soumission est-elle synonyme d'humiliation et dégradation ? Quelle est la durée maximum d'une période de totale chasteté ? Quels symboles de soumission devra-t-il porter ? Quelles relations envisager avec des personnes extérieures ? Où se situent les limites des pratiques raisonnables ?

 

Il ne m'appartient pas de donner à ces questions des réponses valables pour chacune d'entre vous, car votre attitude face à ces questions dépendra de la conception que vous avez de votre couple, de votre relation de domination avec votre mari, de vos désirs et de vos goûts : les vôtres et ceux de votre mari aussi. Une relation même de domination se vit toujours à deux.

 

Je ne vous ferai donc part que de ma propre expérience en vous indiquant et vous expliquant mes réponses à ces questions, elles n'ont d'autre valeur que celle de l'expérience vécue d'un couple nécessairement confronté à ces questions.

 

 

24 / 7 ?

 

Dans les codes de la domination anglo-saxonne, 24/7 ne désigne pas une fraction mathématique mais signifie 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et ce 365 jours par an.

 

En d'autres termes, doit-il devenir votre soumis à vie, sans trêve et sans interruption ? Chacune répondra comme elle l'entend à cette question mais pour ma part ma réponse est non. Une telle relation fondée sur sa chasteté et sa soumission est lourde à gérer, tant pour lui que pour vous. Pour que cette situation soit satisfaisante pour les deux parties, Et croyez moi, elle l'est, au delà même de ce que vous imaginez, il faut que le quotidien ne vienne pas trop s'immiscer dans la relation.

Or, il y a les boulots respectifs, les problèmes de santé des parents, les études et les peines de coeur des enfants, les impôts, les factures à payer, la voiture qui est en panne, etc.  Avec de tels envahisseurs, pas facile de conserver en permanence l'esprit tourné vers une relation aussi forte et prenante que celle que vous avez entreprise avec votre mari. Il est possible, pour une période de temps limitée, notamment si on y englobe les vacances, de gérer le quotidien en repoussant les problèmes peu urgents et en ne traitant que le strict indispensable. Sur une longue durée, le quotidien finit par vous submerger.

 

Il existe aussi, à mon avis, une autre raison forte pour ne pas tenter le 24/7 : le risque de banalisation, de routine, direz-vous ? Oh non ! Sûrement pas ! Vous constaterez par vous même que, bien au contraire, une telle relation est un remède absolu contre la routine et la banalité. Non, l'autre raison se situe plutôt au niveau de vos relations avec votre mari : quand vous arrêterez, vous constaterez alors que vous aurez vraiment beaucoup de mal à en sortir, c'est un vrai déchirement !

 

Vous courrez donc le risque de ne plus pouvoir vous en passer, par contre, ce qu'il est capable d'accepter sur une période de temps qu'il sait par avance limitée, même s'il en ignore la durée, il risque de ne plus l'accepter si cela devient entre vous une relation 24/7. C'est donc une raison qui me paraît suffisante pour faire des pauses, car, je vous le rappelle, il ne s'agit que d'un jeu destiné à pimenter votre relation conjugale. C'est du moins ma conception de la chose.

 

Et puis, pour être vraiment franche avec vous, même si le retour sur terre est quelque peu difficile au début, j'apprécie beaucoup la relation que j'ai avec mon mari quand il reprend son statut de mâle dominant, il m'arrive même parfois d'être sa soumise ! Mais oui ! Si je le domine, c'est parce que j'aime ça, si je me fais parfois dominer, c'est aussi parce que j'aime ça.

 

En ce qui nous concerne, l'année est donc généralement rythmée par trois périodes bien distinctes : sa période de chasteté/soumission qui dure environ trois à quatre mois, ma période de soumission qui dure entre un et deux mois, le plus souvent en deux fois, et le reste de l'année, où notre relation redevient « normale. »

 

Tout cela est très personnel, à vous de décider ce que vous voulez faire.

 

 

Soumission : humiliation et dégradation ?

 

La notion de pratique humiliante ou dégradante est par essence très subjective : certaines femmes refusent la fellation ou la sodomie au motif que ce sont des pratiques humiliantes et dégradantes, d'autres à l'inverse s'exhibent dans des films pornos en le faisant avec fierté. Entre les deux, il y a toutes celles qui le font par plaisir exclusivement avec leur mari. Comment trancher ?

 

Il en est de même de la soumission et de tout ce qu'elle implique pour votre soumis. Humilier et dégrader le corps ne signifie pas nécessairement humiliation et dégradation de l'esprit de son partenaire. C'est donc l'état d'esprit dans lequel votre couple évoluera lors de ces pratiques qui déterminera s'il y a ou non véritable humiliation et dégradation de la personne. Rassurez vous, si cela devient le cas, il y aura suffisamment de signes manifestes pour que votre relation cesse rapidement et je ne parle pas seulement de votre relation de domination.

Pour ma part, je pense aller très loin dans les pratiques que je lui impose. Mais en toutes circonstances, je garde pour lui toute mon admiration. Pendant les périodes où je le domine, c'est plutôt sa capacité à m'aimer sans limite que j'admire. Le reste du temps, c'est de l'admiration tout court. Et quand il me domine, c'est encore beaucoup plus que cela, mais ce n'est pas le sujet de cet article…

 

 

 

Chasteté : durée maximum ?

 

Honnêtement, je n'en sais rien. J'ai lu sur Internet des choses contradictoires à ce sujet. Certains prétendre qu'au delà d'un mois il y a des conséquences physiques. Est ce vrai ? J'en doute mais il n'est pas facile de demander cela à un médecin ! On trouve sur Internet aussi des conseils pour « traire la prostate ». Ce serait une technique évitant l'orgasme, donc l'éjaculation Mais la semence est libérée, permettant ainsi aux glandes de continuer à travailler.

J'ai essayé plusieurs fois de suivre les conseils détaillés dans différents articles, sans résultats ! Pour autant que je me souvienne de ce que j'ai lu un jour, je crois savoir que le sperme est fabriqué en continu et que l'excédent non utilisé s'écoule dans l'urine. Il n'y aurait donc aucun risque d'engorgement ou de mise en sommeil des glandes. Mais je n'ai aucune certitude absolue.

 

Je ne peux donc donner que le fruit de mon expérience personnelle : les séances de soumission/chasteté que j'impose à mon mari sont, comme je l'ai dit, généralement de trois à quatre mois. A quelques exceptions près, où sa chasteté a duré un peu plus de trois mois complets, ces périodes ont souvent été entrecoupées par une jouissance.

 

Nous n'avons constaté ni l'un ni l'autre de conséquence physique à la suite de ces périodes de chasteté prolongées. C'est tout ce dont je suis sûre.

 

Précision qui n'est pas sans intérêt. Si, en cours de période de domination, vous décidez de le laisser jouir tout en voulant continuer pour une nouvelle période, veillez à ce qu'il soit soigneusement attaché. Faute de quoi, vous aurez peu de chance de pouvoir lui faire réintégrer sa ceinture de chasteté. Comptez également qu'il lui faudra bien deux ou trois jours au minimum pour se remettre dans l'ambiance et redevenir le soumis docile et discipliné qu'il était précédemment. Profitez-en pour lui donner quelque repos, mais pour ne pas écorner votre autorité et votre aura. Faites vous rare, et évitez les occasions de punitions pendant deux ou trois jours, car il aura tendance à mal les accepter.

 

A vous donc de gérer la durée de sa chasteté comme vous le pensez. Le seul conseil que je vous donne est de le maintenir toujours dans l'incertitude. Ne fixez pas ensemble à l'avance la durée, variez les durées pour qu'il ne sache jamais à quoi s'attendre.

 

 

Le port de symboles de soumission

 

Ces symboles peuvent se ranger en deux catégories : les symboles extérieurs c'est à dire visibles et les symboles cachés.

 

Les symboles extérieurs :

 

Pour une femme soumise, il est assez facile d'envisager des signes extérieurs de soumission par l'utilisation de bijoux plus ou moins signifiants, et également à un degré moindre par les tenues vestimentaires. Par contre, cela est beaucoup plus difficile pour un homme, compte tenu que les bijoux qui leur sont destinés sont plutôt rares et peu usuels et compte tenu du classicisme vestimentaire auquel les hommes sont tenus dans la vie quotidienne.

 

En ce qui me concerne, comme je n'aime pas qu'un homme porte des bijoux, mon mari ne porte donc jamais de signe extérieur de soumission.

 

Les symboles cachés :

 

Le choix est vaste, la seule limite est l'imagination, votre imagination.

 

Laissons de coté ce qui est une évidence, la ceinture de chasteté bien sûr, mais aussi les marques qui subsistent après les punitions... Encore que ce point soit assez décevant car les marques ne durent jamais très longtemps.. A moins bien sûr d'aller assez loin dans ce que vous lui infligez…

 

Vous pouvez lui faire porter un collier de chien en cuir, il se dissimule très bien sous un col roulé ou un foulard, vous pouvez en plus y adjoindre une laisse que vous pourrez faire apparaître quand vous le jugerez possible.

 

Vous pouvez le faire sortir avec un plug anal dan

s les fesses, ni trop gros, ni trop longtemps tout de même ! Dîner avec lui au restaurant quand il est ainsi « équipé » est un excitant plus puissant qu'un café !

 

Mais, venons en maintenant à ce qui pose beaucoup plus question : les tatouages et les piercings intimes.

 

Marquer son soumis d'un signe permanent d'appartenance est terriblement gratifiant, c'est évident. Réfléchissez néanmoins longuement avant de passer à l'acte : un tatouage est définitivement définitif. Ne croyez pas aux publicités qui prétendent les effacer au laser. Si cela vous tente, et si vous êtes certaine, qu'il est vraiment d'accord, alors pourquoi pas ? Lorsque vous choisirez le motif, la taille et l'emplacement, pensez seulement que votre mari se met parfois en maillot de bains, et que de temps en temps, il devra subir des visites médicales !

 

Il existe aussi une solution temporaire : ce sont les tatouage

s au henné, qui peuvent être renouvelés aussi souvent que l'on veut. C'est une excellente formule que j'ai personnellement adoptée. Elle permet d'oser des inscriptions plus signifiantes : je vous conseille fortement d'assister à la séance où l'esthéticienne lui tatouera votre prénom ou « propriété de… »

 

Les piercings constituent un acte sans doute plus fort mais ils présentent l'avantage d'être temporaires, il suffit en effet de ne plus mettre l'anneau pendant quelque temps pour que la peau cicatrise et de plus ils peuvent être temporairement enlevés en cas de besoin, visite médicale par exemple. Pour ce qui concerne mon mari, je n'y ai pas encore succombé, mais un petit piercing à la base de son sexe me tente terriblement. La prochaine fois sans doute !

 

Pour le tatouage définitif, soyez certaine de son accord avant de le réaliser et quand je dis accord je parle d'un accord " à froid " c'est à dire obtenu dans une discussion qui doit avoir lieu en dehors des périodes de domination-chasteté.

 

Pour les autres tatouages et les piercings, je vous conseille de lui faire la surprise, c'est plus excitant.

 

 

Deux . et plus si affinités

 

Existe-t-il quelqu'un qui, ayant trouvé un superbe trésor, n'ait pas envie de le montrer ?

 

Si vous êtes parvenue avec succès à ce stade de votre relation, il serait douteux que vous n'ayez pas quelques envies de montrer au reste du monde la perle rare qui partage votre vie ? Ce qu'il vous donne, ce qu'il fait pour vous est si exceptionnel que ce petit péché d'orgueil est bien pardonnable.

 

Comment réaliser votre envie, et probablement la sienne aussi, interrogez-le, je suis sûre que l'idée lui sera venue bien avant vous !) ? Vos parents, votre belle-sœur, vos voisins, vos amis ou votre patron étant à l'évidence exclus, il reste bien sûr les boites spécialisées, mais elles sont généralement fréquentées par des cohortes d'hommes seuls et l'ambiance est plutôt tristounette, et puis vous risquez d'y rencontrer des gens de connaissance et alors là.. !!

 

Pour l'exhiber, ou comme on dit aujourd'hui faire votre coming-out, choisissez donc plutôt les grandes soirées annuelles de fétichisme organisées par des boites de réputation internationales situées bien loin de chez vous. A Paris éventuellement, seulement si vous habitez en province et si vous avez très peu de relations en région parisienne. Mais aussi Bruxelles, La Nuit Impossible, Amsterdam, Wasteland, et Londres ( Rubber Ball, Torture Garden, constituent le meilleur choix. Consultez les dates sur Internet par exemple sur le site www.demonia.com.

 

Dans ces soirées, le « dress code » est impératif. Ce qui signifie que vous pourrez donner libre cours à tous vos fantasmes vestimentaires. Pour lui, collier de chien et laisse, menottes, pantalon découpé, ou tout autre accoutrement de soumis que vous choisirez. Pour vous, une tenue de dominatrice provocante que vous ne mettriez que dans l'intimité. Je vous conseille néanmoins le port d'une perruque et pour lui d'un loup sur le visage. Il y a peu de chances que vous soyez reconnus mais malgré tout les Français y sont nombreux.

 

Ces soirées sont d'une excellente tenue. Vous n'y serez obligée à rien. Personne ne vous demandera rien et vous pourrez faire ce qu'il vous plaira, sauf des relations sexuelles, c'est interdit. C'est vous qui déterminerez le degré d'exhibition auquel votre mari sera soumis Sachez que vous pourrez aller assez loin si vous le souhaitez. De plus, pour ne rien gâcher, ces soirées de Bruxelles et de Londres ne sont vraiment pas chères, ni en droit d'entrée ni en prix des consommations.

 

En fait, devant un vaste public, il est assez facile de s'exhiber. Plus problématique est la participation d'un étranger aux pratiques de votre couple. L'idée m'en était venue quelquefois mais j'avais rangé cela au rayon des fantasmes que l'on ne réalise pas. C'est sous la demande répétée de mon mari que j'ai commencé à envisager de le soumettre devant une autre personne. Une femme bien sûr, car l'humiliation devant un autre homme aurait trop de conséquences psychologiques sur lui. De plus, se poserait la question de ma fidélité. Or notre couple évolue dans la fidélité réciproque, même sans ceinture de chasteté, et il n'est pas question de changer cela.

 

 

Après une longue gestation faite de beaucoup d'hésitation, j'ai fini par placer, sans l'en informer, une annonce dans un magazine. Je souhaitais trouver une femme qui voudrait assister, sans participer, à une séance de domination d'un homme porteur d'une ceinture de chasteté. Une dizaine de réponses, quelques contacts téléphoniques, deux rencontres et finalement une séance dans un hôtel où elle nous a rejoints.

 

 

Mon mari a gardé les yeux bandés pendant toute la séance. Quant à elle, elle avait déjà assisté à des séances de domination, mais était surtout fascinée par la ceinture de chasteté qu'elle voyait pour la première fois. J'étais beaucoup trop intimidée pour que la domination de mon mari prenne un tour vraiment sexuel. Je me suis donc contentée de quelques attouchements, de le contraindre à quelques comportements de soumission et de punitions diverses.

 

 

Pour dire vrai, j'étais plutôt mal à l'aise. Au fil du temps, c'est à dire sur plusieurs années, j'ai renouvelé l'expérience quelques fois, avec des partenaires différentes chaque fois. J’y ai pris de l'assurance et du plaisir. Tout naturellement, certaines de ces partenaires ont été amenées à dépasser leur simple rôle de voyeuses. Je n'avais jamais pensé avoir un jour des relations homosexuelles, mais je dois dire qu'un jour, prise par le climat du moment, j'ai franchi le pas.

 

 

Pour être tout à fait franche, je dois dire que si je l'ai fait c'est aussi et surtout pour mon mari : comme tous les hommes, son fantasme était bien sûr de me voir faire l'amour avec une autre femme. Après tout, avec ce qu'il fait pour moi, je pouvais bien lui donner cette satisfaction. Ce d'autant plus qu'une fois passé la –grande- difficulté du premier contact, c'est loin, vraiment très loin, d'être désagréable !

 

Mes pratiques ne constituent ni une norme ni un exemple. Mais je crois tout de même devoir insister sur le fait que la présence d'un tiers lors de vos ébats est à manier avec beaucoup de précautions. A mon avis, à proscrire absolument en ce qui concerne les hommes, sauf si votre infidélité fait partie du quotidien de votre couple, et encore !

 

 

Les limites à ne pas franchir

 

Difficile de fixer des limites, c'est avant tout une affaire personnelle. Néanmoins, je vous conseille fermement de ne jamais entrer dans les pratiques dangereuses telles que la strangulation. On dit que les pendus bandent, c'est peut être vrai, mais… pas pour longtemps ! L'asphyxie est à proscrire, même si dans les cours de récréation des écoles on dit qu'on éprouve une certaine ivresse ! Je vous conseille plutôt de lui faire boire un grand cognac !

 

N'oubliez pas simplement que vous êtes deux et ce dans les deux sens. Ne lui imposez pas des pratiques si vous n'êtes pas certaine de son envie de les réaliser. Mais inversement, ne vous laissez pas entraîner à des pratiques que vous rejetez car vous risqueriez alors de perdre le goût de l'ensemble de ces jeux… Avouez que ce serait dommage.

 

Pensez aussi que, si certaines pratiques vous, ou le, rebutent, vous pouvez vous engager sur le chemin sans pour autant aller jusqu'au bout du trajet. Par exemple, je sais que mon mari souhaiterait passer aux jeux d'urologie. Pour ma part, je n'y suis pas tout à fait disposée, mais je prends néanmoins plaisir à me faire lécher après avoir uriné.

 

On peut donc toujours trouver des solutions à tout.

 

Plus vous y irez loin dans les pratiques de votre relation de domination avec votre mari, plus il est essentiel, comme je l'ai expliqué précédemment dans le paragraphe 24/7, que la relation ne soit que temporaire. Vous courrez en effet le risque de franchir un jour la ligne blanche. Vous en serez d'autant moins consciente que cela se produira certainement sur un point de votre comportement que croirez anodin, alors que lui le percevra comme intolérable.

Ce serait dommage de tout gâcher après avoir construit patiemment tout cela. Si vous alternez les périodes de domination avec de longues périodes de relations normales, vous vous donnerez ainsi toutes les chances de réparer les morceaux que vous pourriez avoir cassés sans même le savoir.

 

Après une session de plusieurs semaines ou plusieurs mois, votre mari a besoin de se reconstruire, d'être certain qu'il bénéficie toujours de votre considération et de votre admiration : il faut que vous vous laissiez de larges plages de temps pour le lui prouver.

La suite bientot...

 

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Questionnement sur la zoophilie

Sur un forum de Doctissimo consacré la sexualité, j’ai posé la question de savoir ce que les lecteurs pensaient de la zoophilie, qui semble être si attirante. En effet, au vu des statistiques de fréquentation, ce thème est le plus suivi.

 

 

Après un début de dialogue passionnant avec une personne répondant au pseudo d’ « écrits », je lui ai demandé si, à son avis, un chien avait le choix de la relation, et s’il ressentait du plaisir dans un acte sexuel avec un être humain.

 

Ce matin, je vous fais part de sa réponse.

 

 

Alors tes questionnements soulèvent une question fondamentale : est-ce que l'animal a le choix ? Et si on parle de choix on parle donc fatalement de conscience (sous le sens raisonnement) et l'animal a t il une conscience ??? On en vient à un principe philosophique digne du bac. Bien que d'actualité, je n'ai pas envie développer avec thèse, antithèse etc. Mais j'ai tendance à penser que non. Là, je suis passé à la conclusion directe   <formulas> ...
 
L'animal a-t-il une forme de plaisir ?  Sans doute et encore quoique... Mais un plaisir fait de stimulation sexuelle mécanique pour arriver à l'aboutissement animal et primitif, instinctif de ce besoin créée ? Car ici, ce besoin est bel et bien créé, incité, provoqué car naturellement absent...

Chaque espèce éprouve en principe, de manière général (ce qui implique des exceptions) de l'attirance sexuelle pour ces semblables de l'autre sexe dans des périodes définies par la nature, et cycliques pour la plupart du temps...  Ce n'est pas eux qui décident qu'il serait sympa d'avoir une relation sexuelle pour le plaisir. Ces rapports existent bel et bien dans un but précis : que ce soit de procréation ou de rites sociaux (calmer les tensions)....
 
Les conséquences pour l'animal ? Fatalement dans la mesure où l’on perturbe un cycle naturel, c'est source de conséquences plus ou moins grave, suivant, je pense, l'animal et les pratiques sexuelles imposées avec douceur ou cruauté.. Donc, plein de paramètres sont à prendre en compte.

Mais on bouscule la hiérarchie de la nature : l'homme se met en concurrence direct avec le chien (par exemple), donc il peut perdre ses repères et devenir agressif envers l'homme voulant devenir chef de meute…

Sans parler de son désir d'appliquer ses nouvelles pratiques sur d'autres personnes non averties : adultes mais aussi enfants...
 
Jouer à bousculer l'ordre des choses n'est jamais anodin !
 
Et pour finir je dirais que si l'animal ne peut exprimer un accord clair ? On ne peut pas partir du principe « qui ne dit rien consent »... Et donc imposer à l'animal ses choix sexuels par une stimulation qui implique forcément une réponse, mais qui n'est pas pour autant un assentiment à l'accouplement.  
 
C’est en vertu de ces principes que le législateur a décidé de légiférer en rendant légalement interdit de telles pratiques.

 

Maintenant comme je te disais, je ne suis pas contre la zoophilie à l'état de fantasme, là où tout est, justement, permis, tout est ouvert à toutes les pratiques sans tabous, ni restriction....
 
Oui mais certains petits malins viendront alors me poser la question : faut-il réaliser tout ses fantasmes ??? 

 

Je vous invite à réagir aussi à ces réflexions, que vous approuviez ou non la pratique zoophile…

 

 

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Astrid, Comtesse de Laulne, decouvre le saphisme

Aujourd’hui, je vous dévoile une nouvelle facette de ma chère cousine, Astrid, comtesse de Laulne….

 

Astrid a comme très bonne amie, une jeune femme de la bonne bourgeoisie locale, Mélanie. Edmond, son mari, la laisse fréquenter cette amie, même s’il avait des réticences au début. En effet, chez les nobles, on ne fréquente pas les « bourgeois », ces parvenus qui ne cherchent qu’à –mal- copier la vieille noblesse française.

Il est de tradition de dire que les nobles sont là pour servir les autres, mais que les bourgeois, eux, sont là pour SE servir des autres ;

D’où une ancienne rancœur tenace qui a toujours court de nos jours, en 2010.

 

Edmond a fini par se laisser convaincre, persuadé du caractère simple et inoffensif de Mélanie. Il est certain qu’elle ne mener pas sa femme sur les chemins de le débauche, qu’elle a juré de ne plus emprunter sans lui…

 

S’il savait !

 

Mélanie invite Astrid pour la soirée. Comme leurs maris n'étaient pas là, elles avaient décidé de passer la soirée ensemble. Astrid s’était résolue à raconter à sa meilleure amie ses aventures sexuelles. Le gangbang auquel elle avait été « contrainte » avait laissé des traces. Elle était à la fois heureuse d’avoir été rassasiée à la hauteur de ses envies, et très honteuse de savoir que son mari « savait » et avait organisé cette situation humiliante pour elle…

 

Astrid est persuadée que Mélanie va la comprendre. En effet, cette dernière lui a souvent fait part des ses aventures libertines. Avec son éducation bourgeoise, moins stricte que celle des aristocrates, elle a toujours assumé ses envies coquines…

« Bonsoir Mélanie.
- Bonsoir Astrid, tu vas bien ?
- Un peu fatiguée, mais très heureuse d'être là.
- Entre, et pose ton sac dans ma chambre. »

Mélanie laisse Astrid poser son sac dans sa chambre et se mettre un peu à l'aise, puis elle retourne dans le salon pour la rejoindre.
« J'aime bien ton ensemble. Cette jupe grise à mi-genoux avec tes bottes et ce petit pull rose, te va très bien.
- Je l'ai achetée l'autre jour, en faisant un peu de lèche-vitrines. Moi aussi, j'ai bien aimé. Et toi, elle est sympa ta robe longue à volants. Ce style, un peu comme celle que l'on trouve en Andalousie, doit être très agréable à porter.
- C'est vrai quelle est agréable à porter, et en plus, comme elle est large, tu te sens libre.
- Je t'offre un verre ?
- S'il te plaît, oui »

Mélanie va chercher dans la cuisine un plateau avec l'apéritif.
«  Tiens, j'ai un ami qui vient de me rapporter du rhum blanc de Guyane, alors ce soir, c'est ti-punch avec du citron vert.
- Eh bien, je pense que la température de la pièce commence déjà à monter !!!

 

Elles rient en cœur, heureuses de se retrouver.
Les deux jeunes femmes en boivent trois assez rapidement. Il faut bien cela pour qu’Astrid ose se lancer dans le récit détaillé de ses turpitudes. Pendant une heure, Mélanie l’écoute sans broncher, ponctuant parfois le récit de son amie, de « continue, tu as eu raison… »

 

Enfin Astrid se tait. Un long moment de silence s’installe entre les deux femmes.

Mélanie rompt le silence la première :

« Ma chérie, tu as du pas mal souffrir... Même si tu as eu beaucoup de plaisir. Je ne sais pas si j’aurais osé, à ta place… Comment te sens-tu ?

- Lasse, mais avec encore plus d’envie de sexe qu’avant... Tu sais, j’ai vraiment honte ! Je ne suis qu’un salope, une dépravée de la pire espèce. Je fais honte à mon nom, à ma famille…

- Mais non, tu es une femme qui a de gros besoin, tu as raison de les assouvir.

- C’est ce que me dis aussi ma cousine, Sophie. Elle était la seule à tout savoir. Elle aussi, est hypersexuelle. Elle pouvait tout à fait me comprendre…

- Ma chérie, pour te remettre de tes émotions, je te propose un petit jeu entre filles…

Tu as déjà essayé ?

- Non, mais tu sais, ça ne m’inspire pas plus que cela…

- Ne t’inquiète pas. Tu as besoin de douceur, après ce que tu as vécu... Tu peux dire stop à tout moment, je respecterai ton choix…

- Eh bien, allons-y... Mais avant, je voudrais aller au petit coin.
- Non, plus tard. Pour le reste, c'est très simple, tu t'allonges sur la table, après avoir ôté ta jupe et ton pull.

- Mélanie, tu sais, j’ai promis à Edmond qu’il serait toujours là maintenant, quand j’aurai des aventures extra-conjugales..

- Mais ce n’en n’est pas une… Tu ne le trompes pas. Je suis ta meilleure amie... Et nous allons nous faire du bien… Où vois-tu que tu le trompes ? Et si tu as envie de recommencer, dis-lui juste que c’est un fantasme. La prochaine fois, on le fera devant lui… »

 

L’idée séduit fort Astrid. Elle acquiesce avec un sourire.

Puis elle se dirige vers la table du salon. Elle enlève son pull, puis fait tomber sa jupe sur ses pieds. Elle porte juste un string noir et un soutien-gorge en dentelle assorti.
« Maintenant, allonge-toi sur la table », ordonne son amie.

Astrid s'exécute, et monte sur chaise avant de s'allonger sur la table. Mélanie s'approche de son visage et commence par lui faire un bisou des plus coquin.
« Je vais t'attacher les bras et les jambes, mais avec un lien souple. Tu verras c’est très excitant… »

 

Astrid a envie de refuser. Elle ne souhaite guère être entravée. Mais le sourire enjôleur de son amie lui impose de se laisser faire.

Mélanie commence par les bras, qu’elle lie à l’aide d’une fine cordelette de soie. Ensuite, elle se dirige vers de l'autre côté de la table pour s'occuper de ses jambes.
« Je vais me changer. Lève ta tête que je te mette un petit coussin pour que tu n'aies pas mal. »

Mélanie part dans la chambre, et reviens après plusieurs minutes.
« Alors comment me trouves-tu ? »

Mélanie avait une guêpière tout en latex, avec une petite ouverture au niveau de chaque téton. En dessous, un slip en latex ouvert et une paire de bas, aussi en latex, maintenus par les jarretières de la guêpière. Elle portait une paire de botte en vinyl noir.
« Je dirais simplement que tu ressembles une fille très chaude. Une vraie fille de show porno…
- Toi aussi, tu es excitante, dans cette position, ma chérie… Alors voyons, quelle est la température ? » fit-elle avec un sourire lubrique.

Mélanie fait le tour de la table et s'arrête du côté gauche de la table. Elle entreprend des caresses très douces avec sa main en partant du bras et en remontant jusqu'à sa poitrine. Elle se place en suite de l'autre côté de la table, et fait la même chose. Astrid frissonnait, indiquant la monté de son plaisir. En même temps, elle voulait bouger pour permettre de caresser aussi Mélanie, mais les liens tenaient bons.
«  Ne bouge pas, tu es totalement à ma merci. Le jeu est très excitant, n'est ce pas ?
- Excitant, d'accord, mais ne pas pouvoir répondre est très frustrant….
- La suite va te plaire, tu vas voir… »

Mélanie se positionne en haut de la tête d’Astrid, et commence par sortir ses seins lourds de leur prison. Puis elle s'incline par-dessus sa tête pour aller mordiller ces tétons qui pointaient au maximum. Astrid pouvait faire la même chose à Mélanie, qui s'arrangeait pour que ses tétons passent au niveau de la bouche. C’étai une impression nouvelle pour elle, de téter des seins de femmes. Elle appréciât le velouté de la peau, la pointe qui dardait sous sa langue…

Un peu plus tard, Mélanie prit une chaise pour monter sur la table. Elle est debout sur la table, un pied de chaque côté de Astrid, et lui tourne le dos. Elle s'accroupit pour venir honorer la chatte de son amie. Par la même occasion, elle positionne ainsi l'ouverture de son slip de latex au niveau de la bouche d’Astrid.

Au contact des lèvres, celle-ci sortit sa langue pour mieux lécher sa partenaire. Pour augmenter les sensations, Mélanie bouge son bassin en décrivant un petit cercle et en appuyant de temps en temps afin de bien sentir la pression exercé sur les lèvres de sa partenaire.

Astrid se débrouille bien. Elle aime la découverte de ce gout inconnu, légèrement salé... Mélanie mouille de plus en plus.

« Astrid, je ne sens pas bien ta langue me pénétrer. Applique-toi, sinon je vais me fâcher, dit-elle d’un ton amusé…
- Huummm, je fais ce que je peux, mais l'ouverture de ton slip n'est pas très grande.
- Bon, ce n'est pas grave. Nous allons voir si tu as bien travaillé… »

 

Sous les yeux ahuris d’Astrid, elle sort de dessous la table un énorme gode dont la base est dotée d’une grosse ventouse. Elle stupéfaite à la vue de cet objet si imposant.
« Voici. Comment te trouves-tu ?
- Il est énorme ce gode !
- Long de trente-cinq centimètres et de huit de diamètre, j'ai eu du mal à en trouver un si gros, mais c'est ce que je recherchais.
- Même les hommes ne sont pas si grandement membrés ! Le grand noir qui m’a sodomisée à fond n’était pas aussi gros ! »

Mélanie se relève et se tourne. Elle se met accroupie, ventouse l’énorme engin sur la table, entre les jambes d’Astrid. Elle positionne sa vulve au niveau du gode. Astrid reprend :

« D'où je suis, je te confirme que le gode est très gros. Tu penses qu'il va rentrer ?
- Nous allons savoir cela très vite. Si tu m’as bien excitée, ca va rentrer tout seul… »

Mélanie appuie doucement afin de s'enfoncer le gode, puis commence un va et vient pour permettre la pénétration le plus doucement possible. A force de mouvements de balancier, elle s’enfourne la moitié du gode.
« Alors Mélanie, c'est comment ? demande Astrid, un peu inquiète... Mais très excitée de voir son amie ainsi empalée.
- Très bon ! Tu sais, se sentir pénétrée par une telle taille est assez douloureux, mais aussi extrêmement fort en sensation. Je vais augmenter la vitesse pour aboutir rapidement à ma jouissance. »

 

Dans le même temps, elle se penche en avant, et enfourne sans ménagement ses doigts dans l’abricot humide d’Astrid. Elle sursaute sous la caresse. La main se fait plus douce… Elle ressort, caresse son clito, fait le tour des petites lèvres, les écarte un peu... Astrid mouille de plus en plus. Elle est très excitée par la vue de son amie baisée par ce monstre, et les doigts qui la caressent habilement. Un premier orgasme lui soulève le bassin. Elle crie fort, lâchant un flot de cyprine dont son amie se délecte aussitôt. Mélanie passe une langue gourmande sur les doigts souillés…

 

Du coup, comme stimulée par la jouissance d’Astrid, elle remonte et descend beaucoup plus vite et beaucoup plus fort. Le gode réussi à pénétrer encore plus à chaque mouvement.

« Oui, oui, que c'est bon, Astrid. Tu vas le prendre aussi, tu verras…
- Continue, ma chérie, continue….
- Ouuuuiiiiii !!!! Oouuuuiiii !! »

Astrid lui donne le coup de grâce en branlant fort le clito bandé, qui darde devant le gode de plastique. Mélanie jouit très fort, et appuie de tout son poids sur le gode. Comme à bout de force, Mélanie se relève et descend de la table.

Les deux femmes se regardent en souriant.

 

Mélanie s’approche d’elle, et tendrement, glisse sa langue entre les chairs intimes de son amie. Astrid se cambre sous la caresse. C’est la première foi qu’une femme la lèche. Et cette coquine se débrouille plutôt bien !

A deux mains, elle écarte la vulve congestionnée, et enfonce sa langue au plus profond du vagin. Elle la baise comme une petite bite. Astrid crie de plus en plus. Elle jouit à nouveau, emporté par un flot de sensations nouvelles…

Mélanie sourit, et lui dit doucement :
« Tu es prête, ma chérie. Maintenant, c'est à toi d'être pénétrée.
- Tu plaisantes, je n'ai jamais utilisée de gode.
- Je sais, mais tu vas voir, c’est divin de sentir une bonne queue, sans avoir un mec qui te souffle dessus et ‘impose son rythme !

- Tu sais, le gangbang de l’autre soir m’a laissé des traces. Un si gros engin, je ne sais pas si je pourrais…

- Ne t’inquiète pas, j’irais doucement... Et tu es si trempée que ca va rentrer comme dans du beurre… »

Mélanie se lève, et va prendre dans un tiroir de la commode une ceinture. Elle transforme alors le gode en gode-ceinture. Elle l’attache autour de sa taille, et le positionne. Elle le serre bien fort pour une bonne tenue. Elle sort aussi du tiroir un gode chromé de quinze centimètres et de trois centimètres diamètre.
« Alors que me disent tes parties intimes ? Je vais jouer l'exploratrice.
- Oui, mais vas-y doucement, je t’en prie…
- Pour commencer, voyons si tu es suffisamment trempée… »

Mélanie position le gode chromé au niveau de la vulve et le fait pénétrer doucement, mais entièrement d'une traite.
« Tu mouilles beaucoup, il est rentré tout seul.
- Oh oui, Je sais.
- Un peu de va et vient ?
- Oh oui !
- Comme tu es surexcitée, voyons la suite. »

 

Mélanie sort le gode et le descend sur son petit trou, qui s’ouvre presque naturellement. Elle se penche, et lèche doucement l’orifice brun. Il frémit sous la délicieuse caresse.
Pourtant Astrid proteste :

« Ah, non, je ne veux pas.
- Pourquoi ? Tu as eu trop mal les autres fois ?
- Exactement.
- Décontracte-toi, tu vas voir c'est très bon, quand c’est fait par une femme ! »

 

Elle continue doucement la pénétration et arrive finalement à le faire entièrement rentrer. Astrid gémit doucement, sans pourvoir dire si c’est de plaisir ou de douleur…

Mélanie remonte sur la table et s'allonge sur Astrid, et prend la position pour la pénétrer.
« Tu as oublié d'enlever le gode de mes fesses, Mélanie.
- Non, je veux te faire une double pénétration.
- J'ai déjà mal, tu vas complètement me déchirer… »

 

Inexorablement, Mélanie enfonce l’énorme mandrin dans le con hyper dilaté d’Astrid. Elle se tord, bouge le bassin pour accueillir le phénoménal engin. Elle finit par en engloutir une bonne moitié. Il coulisse en elle, tel un monstrueux pieu.

 

« Alors, c'est bon ? » s’enquit son amie.

Pour toute réponse, elle obtient le cri de jouissance d’Astrid. Elle hurle à s’en rompre les cordes vocales, empalées par ceux deux objets inertes.

A bout de souffle, Astrid lâche :

« Mélanie c'était très nouveau pour moi, mais j'ai rarement atteint un tel niveau de sensation.
- Je te dirais que moi aussi.
- Pourrais-tu le détacher, car il faudrait que je soulage rapidement.
- Attend, je suis bien sur toi.
- Oui mais je ne plus me retenir. »

Astrid ne pouvant plus se retenir, se libère et inonde la table. A sa grande surprise, Mélanie se penche, et lape l’onde claire qui a coulé de la jeune comtesse. Cette dernière est stupéfaite.

Mélanie en sourit : « Mais ma chérie, tu as fait beaucoup de choses ces derniers temps, mais tu es loin d’avoir tout expérimenté… Un jour, je te boirais à la source… »

 

Les deux amies vont se laver, non sans profiter de l’occasion pour multiplier les caresses, les baisers fougueux…
La soirée continua aussi chaude, avant que les filles se dorment ensemble dans le même lit.

 

La vie d’Astrid, Comtesse de Laulne, a pris un nouveau tournant ce soir-là… Elle a gouté aux femmes, elle ne s’en passera plus !

 

Quelques jours plus tard, elle fait part à son mari de son envie de tenter une expérience lesbienne. Edmond semble enchanté de cette idée, et lui promet de belles surprises…

 

Pour Astrid, la vraie vie commence, celle où elle pourra assouvir toutes ses envies, tous ses fantasmes, en y faisant participer son mari. Jamais elle n’aurait cru qu’il entrerait dans la débauche aussi facilement, lui l’aristocrate coincé !

 

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