Les Mémoires très Libertines de Sophie
Comment je suis devenu bi, par André
Chapitre 1 - Débutant
Je vais vous raconter comment je suis devenu adepte de l’homosexualité, et maintenant très pratiquant de l’amour entre hommes. Les plaisirs que j'éprouve, et mes expériences de la première à la plus récente, je ne vous parlerai pas bien entendu des rapports ordinaires, mais plutôt de ceux qui ont été des étapes importantes pour moi.
Certes, pour beaucoup d'entre vous, mon histoire paraîtra banale, mais j’ai besoin de partager mon bien être actuel avec quelqu’un. Cette histoire est déjà publiée sur mon blog, et j’ai trouvé amusant d’en faire un semblant de bouquin. Loin de moi l’idée de me prendre pour un écrivain, et surtout pas un philosophe. Les textes ci-dessous sont plus tôt du genre érotico-porno, alors bons fantasmes et pourquoi pas le lire d’une main ?
Je suis d’origine hétéro - plutôt coquin et très porté sur le sexe, amateur de belles filles à gros seins, de films hards, de sex-shop et même quelques rares fois, de dames de petite vertu. Je ne prétends pas tout connaître du sexe, mais j’ai eu envie d’explorer d’autres voies, le sexe en groupe notamment. J’avais découvert dans ma petite ville de province l’existence d’un sauna pour couple libertins, et cela pourrait être intéressant de participer, ou essayer de participer, à des jeux à plusieurs. Mais il me faudrait surmonter mon peu de timidité et oser me montrer nu devant des inconnus, d’autant que j’ai un sexe d’une taille très ordinaire, ce qui me donne plutôt quelques complexes.
Contrairement à ce que je pensais, mes premiers contacts se sont très bien déroulés, et côté taille de mon sexe, je n’avais pas à en rougir. Après avoir comparé avec d’autres mâles, j’étais heureux de voir je suis dans une moyenne tout à fait acceptable. J’ai participé à des ébats torrides avec des couples en folie. A ces occasions, j’ai été amené à toucher, subrepticement et involontairement, des sexes masculins qui se trouvaient à ma portée. Ces contacts m’ont beaucoup troublé à chaque fois. Alors, je me suis enhardi, et je ne manquais pas d’appuyer mes gestes dès que je sentais une faible résistance. Je vous passe les soirées parfois calmes parfois chaudes, parfois spectateur et voyeur, parfois acteur,– qui se terminaient invariablement par des jouissances collectives ou solitaire.
Je me suis rendu compte petit à petit que j’avais de plus en plus de désir, et de plaisir à toucher des pénis en érection, aussi, un samedi après midi en pleine période estivale, je décide de m'isoler dans une grande cabine pourvue d’un lit deux places, j’enlève la serviette autour de mes hanches, puis confortablement installé je me mets à me caresser en regardant le film, j’avais comme de juste laissé la porte grande ouverte.
Le lieu est calme, presque désert, pas de couples à l’horizon, que des hommes. La situation est parfaite pour tenter quelque chose. J'avais évidemment une petite idée derrière la tête, oserais-je ou un homme oserait-il m'approcher ? Que ferais-je, quel serait ma réaction ? Et lui ? En généralement les homosexuels ne fréquentent pas ce genre d’endroit pensais-je, soudain inquiet.
Panique !! Un mec est entré doucement dans la cabine. Il me regarde bien en face en train de me branler, il ôte sa serviette et il commence aussitôt à se masturber en regardant le film et surtout en me matant du coin de l’œil. J’ai les yeux fixés sur sa queue qui durcit rapidement. D’une main, je continue de m’activer, et de l’autre, je commence à me caresser sur tout le corps, à me titiller les tétons, à passer entre mes cuisses légèrement écartée.
Mon compagnon de jeux s’est rapproché doucement de moi, il ne quitte plus ma pine du regard. Au bout de quelques minutes, il est tout près de moi, sa cuisse touche mon épaule et j’ai sa queue tout près de mon visage, à hauteur des yeux. Je m’en saisis doucement, ma main prend la place de la sienne et le branle sur toute la longueur, en décalottant bien.
J’ai vite vu que cette caresse ne lui suffisait pas, et qu’il attendait autre chose de moi. Il ne se doutait pas que j’avais aussi très envie d’aller plus loin... Sans plus réfléchir, je l'ai pris en bouche. Me voilà en route pour ma première fellation !
Pour une première fois, j’y mis tout mon cœur et énormément d’ardeur. Je n’étais toutefois pas très sûr de donner le plaisir attendu à mon partenaire. Les minutes qui suivirent me montrèrent que je procédais de la bonne façon. Plus je le suçais, et plus j’éprouvais moi-même un plaisir immense. Son vit m’emplissait la bouche, j’en appréciais le goût, la vigueur, la dureté et en même temps la souplesse. Ma langue tournait en tout sens sur son gland, je léchais goulûment son pénis et ses couilles. Un instant, il a posé une main sur mon sexe, et s’est mis à me caresser. Mon cœur battait la chamade…
Quelques sensations fortes de ce moment si intense et si soudain que je n’oublierai jamais ! La dureté et la chaleur du sexe en érection, la douceur et la lourdeur des couilles, la saveur du gland, les soupirs au fur et à mesure que son plaisir montait, ses grognements quand il a éjaculé dans ma bouche. Pour la première fois de ma vie, j’avais le sperme d’un autre dans ma bouche, je m’en rappelle encore le goût.
Mon bel inconnu, après avoir pris son plaisir, m’embrassa tendrement, me remercia, et s’esquiva comme il était venu. Je me retrouvais seul avec mon érection, et une jouissance inassouvie, que je me dépêchais de me procurer d’une main experte. Je ne t’en veux pas, bel inconnu de ne pas m’avoir donné le plaisir que j’attendais, car sans le savoir, tu m’as donné bien plus.
Je me souviens encore du trajet de retour chez moi, la confusion et la joie dans ma tête : je l'ai fait !!! C'était trop bon !!! J'ai envie de recommencer !!! Le plus tôt possible !!!
J'ai passé la soirée à me branler en « cam to cam » sur le net avec des gars bien membrés..
C'était il y a trois ans.
J’étais à un tournant de ma vie, et je venais de découvrir un truc terrible : j'appréciais d’avoir des rapports sexuels avec un homme ?
Pour m'en assurer, le mieux était de recommencer, et le plus tôt serait le mieux ! J'avoue que j'avais surtout très envie de sentir encore une queue dans ma bouche.
Le sauna pour couple m'apparaissait trop « hétéro », et les rencontres entre mecs trop rares, donc direction un sauna pour hommes…
J'ai donc trouvé l’endroit désiré, exclusivement masculin, dans ma petite ville de province. Un endroit sympa, propre, bien organisé pour faciliter les rencontres et certainement une ambiance torride propice à favoriser mes desseins.
Me voilà, par un bel après-midi d’été, pénétrant dans l'arène, avec des mecs autour de moi qui savent ce qu’est le sexe entre hommes . Et moi novice, pas rassuré du tout, et timide. Mais pas pour longtemps ! lol
Je m'installe devant une télé qui diffuse un film sympa et me donne pleins d'idées, d'envies et je ne peux m'empêcher de me caresser sous ma serviette. Soudain une petite voix derrière moi : « C'est bon ? Ca te dirait de continuer à côté ?
Pas le temps de réfléchir :
-Oui, ok » , fis-je comme si j'étais un habitué !
On se retrouve donc dans un box. L’inconnu sympa et souriant, me prend dans ses bras et me roule une pelle en me prenant le sexe. Mumm… Superbe entrée en matière !
Je me mets à genoux et prends sa queue dans ma bouche. Et je commence à le pomper avec gourmandise, et un plaisir non dissimulé. Je peux dire maintenant que je me lâche vraiment ! Cette bite est un délice, et je voudrais bien goûter son foutre. Son pénis n’est pas très long, mais large et puissant, avec un gland bien rond qui me remplit la bouche.
J'ai la tête à l'envers, il me relève et me prend dans ses bras, s’agenouille à son tour, et avale mon membre, tout en glissant un doigt entre mes fesses pour finir par le rentrer dans mon anus.
Sensation nouvelle et ô combien délicieuse. Voilà une nouvelle voie à explorer !
Je suis en train de découvrir des réactions nouvelles de mon corps.
Cependant l'après midi est loin d'être finie § Nous sommes très excités tous les deux, et après force caresses en tout genre (... j'apprends vite), nous partons faire le tour des autres box pour trouver des compagnons de câlins à plusieurs. Et ça ne manquait pas, ce qui permit encore de nouvelles expériences pour moi.
Et me voilà, avec une queue dans chaque main, pendant qu'une bouche avale mon sexe, et que j'avale une langue gourmande et inconnue,. Pendant ce temps, mon compagnon de tout à l'heure s'est isolé avec un beau mâle en rut, et je les entends gémir dans le box voisin.
Inutile de vous dire qu’après quelques minutes de ces caresses, j’avais du foutre plein les mains et j’avais éjaculé sur le visage de mon suceur.
Après cette première expérience réussie, je n'ai bien sûr pas manqué de retourner dans cet endroit de perdition, pour pousser un peu plus loin mon exploration de cet aspect délicieux de ma sexualité.
La fois suivante, je me suis installé dans un box, porte ouverte. Je n'ai pas attendu longtemps avant de voir une queue apparaître par un trou dans la cloison. Cette fois, j'avais affaire à un énorme pénis long et large qui donnait l’impression d’une réelle puissance. Je dus ouvrir grand mes mâchoires. Maintenant, j'avais la bouche bien pleine ! Une pensée me vint : et si je devais l'introduire ailleurs ?
Ouf quelle taille ! Je ne me sentais pas encore prêt…
Toujours est-il que cette bite monstrueuse, douce, dure et chaude, vibrait dans ma bouche et je sentais ses testicules lourdes et bien pleines dans mes mains.
Sentant son propriétaire bien excité, je me suis vite déplacé dans son box pour continuer sans l'obstacle de la cloison, ce que j'avais commencé, et bien décidé à l'amener au plaisir.
Je me retrouvais à genoux devant un jeune et beau mec, et je reprenais vite là où je m'étais interrompu.
Quel délice cette queue que j'enfonçais au fond de ma gorge , en va et vient lents et passionnés. Je pouvais caresser ses fesses fermes et musclées, titiller ses tétons.
Je me sentais bien, détendu, avec l'envie de le faire jouir.
Doucement, j'ai glissé un doigt entre ses fesses et caressé son anus avant de l'introduire.
Là, j'ai senti son corps se cabrer et son foutre chaud remplir ma bouche. J'ai aussitôt couvert ses couilles de son jus, ma tête entre ses mains. Nous restâmes un long moment sans bouger, le cœur battant.
Je me rends compte petit à petit que je deviens accroc aux hommes, je rêve de corps dénudés, de sexes bandés, de regards tendres, de caresses, de baisers langoureux, de coulées de foutre. Mais oserai-je aller plus loin que les baisers, les caresses et les fellations ? J'ai déjà senti que mon anus réagissait agréablement à des gestes appuyés.
Malgré tout ce passage à l'acte m'obsédait...
Au diable la peur, j'avais trop envie de belles queues.
A suivre,
Signé : André
L'ambulancière-stagiair e...
Elle s'appelle Valy. Elle a vingt ans, brune, admirablement proportionnée. Un quart de sang antillais dans les veines lui donne une allure folle. Quand elle se déplace, on a l'impression qu'elle danse, elle respire la sensualité. Elle arrive un matin dans la boîte où je travaille pour y faire un stage pratique, avant cet examen qui lui permettra de devenir ambulancière.
La direction décide que Valy fera son stage avec moi, dans mon véhicule. Je suis ravi de cette chance, et lui souhaite la bienvenue. Pour toute réponse, elle me sourit. Bon sang ! Quel sourire ravageur ! Des dents d'une blancheur immaculée qui tranche avec le café au lait de sa peau. Tout cela donne la sensation qu'elle aime croquer la vie à pleines dents.
Il est neuf heures du matin. Il faut aller chercher quelqu'un à l'hôpital pour le conduire en maison de repos à trois cents kilomètres de là. Cette course me plait, je vais rester avec « ma » stagiaire au moins durant huit heures. Ainsi, nous aurons le temps de bien faire connaissance…
Le voyage aller se passe normalement, je constate que Valy est très humaine dans son contact avec notre client. Sans exubérance, elle parle et sourit, pour distraire l'alité. Du coin de l'œil, elle veille à ce que rien de grave n'arrive. Enfin, une fois rendus à destination et totalement libres, nous nous mettons en quête d'un endroit où déjeuner. Il fait beau, je lui propose d'acheter ce qu'il faut et d'aller manger à l'air libre. La campagne est belle, je trouve facilement un coin tranquille. Nous nous installons sur l'herbe au pied d'un arbre.
Elle est assise au sol, adossée à l'arbre, nous avons quitté nos blouses. Je peux admirer Valy à loisir, sa taille est bien prise, hanches rebondies, j'adore ça. Sa poitrine, à vue d'œil doit tourner autour des 90. La bouche est pulpeuse et gourmande. Ses yeux sont vert émeraude. Je ne sais pas ce que deviendra notre relation, mais quoi qu'il en soit, j'aurai eu une belle compagnie durant son séjour chez nous. Nous parlons de tout et de rien mais pas boulot.
Nous rions aussi beaucoup. Je ne dis rien, mais je remarque que ses yeux se portent très souvent sur ma braguette, et que ce qu'elle devine ne semble pas lui déplaire. Je vous rappelle que je suis ennemi des sous-vêtements. Je n'en porte donc jamais, mon pantalon est relativement étroit, et j'avoue que la nature m'a un peu « gâté». Ma braguette est toute gonflée. Et les regards qu'elle jette dessus n'arrangent rien, au contraire, je commence à bander.
L'espace d'un instant nos regards se croisent, elle sait que j'ai vu où elle posait ses yeux. Un silence bref se fait, nous nous regardons, et je lui fais un grand sourire dans lequel elle lit ce qu'elle a envie d'y trouver. De son côté, elle me fait aussi un sourire, mais le mouvement de ses sourcils me disent qu'elle apprécie le spectacle.
A peine une demi-journée qu'on se connait. Je ne veux pas brusquer les choses. C'est pas parce qu'elle a un regard plein de promesses qu'il faut lui sauter dessus. Et puis, j'ai vingt-cinq ans de plus qu'elle, et sa mère travaille dans ma boîte. Valy se trouve être une jeune femme pleine de vie et d'esprit. Elle est intelligente, et on ne s'ennuie pas un instant. Mais ce que nous avons dans la tête ressort malgré nous, aussi la conversation aborde vite le sujet "Q".
C'est d'ailleurs Valy qui démarre. Avec un air presque détaché elle me dit soudain :
« Mais dis-moi, Bruno, t'as mis du coton ou quoi dans ton futal ?
- Ma petite Valy, tu m'as l'air bien curieuse, mais comme tu es sympa, je te dirai que non j'ai pas mis de coton. Et mon pantalon est un peu étroit ! »
Et nous éclatons de rire.
Nous reprenons la route pour rentrer sur Paris. Prés quelque minutes à rouler en silence, Valy me dit :
« Excuse-moi pour tout à l'heure, Bruno, mais je n’ai pas pu m'empêcher de t'en parler. Quand je croise un mec, je regarde toujours sa braguette. J'adore ce machin que vous avez là. Mais, va pas répéter ça, hein ?
- T'as ma parole, Valy ! Tu es tellement mignonne que je ne pourrais pas te vouloir du mal ! »
Et puisque les choses avaient pris une nouvelle tournure, j'ai poursuivi sur le sujet. Elle m'avoua alors qu'elle adorait les jeux du sexe, et que depuis l'âge de seize ans, elle était bisexuelle.
Tout en roulant, je caresse sa main gauche, puis la prends et la pose sur ma braguette. Elle me regarde avec un petit sourire en coin, ne dit rien. Malgré l'épaisseur de mon jean, je me mets à bander. Valy me dit alors :
« Ben dis donc, tu bandes ! Tu permets que je vérifie ?
- Vas-y ma chérie, fais ce que tu veux, d'avance je suis d’accord ! »
Valy sort alors ma bite :
« T'as pas de slip ? Et t'as pas de poil ? C'est génial ça !
- Heureux que cela te plaise ! »
Elle laisse alors aller sa main sur ma hampe, et me branle avec une délicatesse telle que je suis encore plus excité, et que j'ai envie de juter. Je le lui dis, alors elle cesse aussitôt sa branlette pour me prendre en bouche. Ses lèvres effleurent à peine ma queue et sa langue joue avec mon gland avec agilité. Je n'en peux plus, je suis obligé de m'arrêter sur le bord de la route, je ne peux pas jouir en roulant, trop dangereux ! Ouf ! Il était temps, je jouis et explose dans sa bouche. Elle n'en perd pas une goutte. Elle se penche alors vers moi, et me roule une pelle. Décidément, j'adore mon sperme moi. Valy aussi apparemment, qui se lèche les babines avec de la coquinerie dans l'œil.
Il y a une règle d'or dans notre métier, ne pas perdre de temps quand « on fait une province », car si on traine trop, les prochaines risquent de nous passer sous le nez. C'est ce que j'explique à Valy pour justifier que nous devons, pour l'instant, arrêter de jouer ensemble.
Le retour se passe en conversation ordinaire portant sur le métier qu'elle apprend. Nous arrivons dans des délais tout à fait normaux. Quand vient l'heure de fin de journée, je propose discrètement à Valy de venir prendre un verre avec moi dans un bistro à l'écart du bureau. Nous nous installons au fond de la salle pour être plus tranquilles, et allons plus loin dans nos confidences sur nos goûts sexuels. Elle m'avoue qu'elle aimerait faire une soirée avec un couple. Je lui propose alors de venir avec moi chez un couple ami. Ils sont tous les deux bisexuels et seront ravis de jouer avec elle et moi. Je leur téléphone immédiatement, rendez-vous est pris pour le samedi suivant.
En attendant ce moment, Valy me propose de venir diner chez elle. J'accepte avec plaisir, espérant qu'on pourra faire plus ample connaissance. Un apéro, un repas léger, et elle me quitte en disant :
«Jje nous fais un café et pendant qu'il passe, je vais changer de tenue, je ne suis pas à mon aise comme ça ! »
Elle revient un moment après, le plateau à la main. Et je suis ébloui, car elle est entièrement nue. Décidément, cette petite m'étonne de plus en plus ! C'est une splendide et sympa petite salope. Elle pose le plateau sur la table basse et éclate de rire, je dois faire une drôle de tête. Les premières secondes d'étonnement passées, je me rappelle qu'en remontant sur Paris, nous nous sommes avoués certains de nos goûts, entre autre nous avions ce plaisir commun de vivre nus autant que nous le pouvions. Il était donc logique que je la retrouve dans sa tenue préférée.
Elle dépose le plateau de café sur la table basse et se redresse. Je lui demande de ne pas bouger un instant afin de pouvoir l'admirer.
Cette fille est superbe. 165 centimètres de sensualité enveloppée dans une peau couleur caramel au lait. La taille est fine, les hanches arrondies, silhouette de violoncelle. Sa chatte est mise en valeur par une absence totale de poil. Les lèvres sont charnues mais fines, sans doute sculptées par un artiste. Une amusante sorte de petit chapeau surmonte le tout qui cache son clito.
« Bon sang Valy, que tu es belle ! Et tellement bandante ! » lui dis-je en levant la tête.
Son visage est éclairé par un grand sourire. Pour toute réponse, elle se penche vers moi et m'embrasse. Puis, tout en remplissant nos tasses, elle plante ses yeux émeraude dans les miens, et me dit :
« Bruno, tu n'as pas l'impression que quelque chose ne va pas ? » Je comprends aussitôt ce qu'elle veut me dire. Je suis habillé. Ma surprise et mon émerveillement m'ont fait oublier de me mettre à poil. Je retire mes vêtements. Nous buvons notre café en silence, mais je vois ses yeux glisser vers mon pubis sans aucun poil. Enfin, elle me demande de me lever pour mieux voir ça. Je dois être un des rares hommes à cette époque à me raser l'entrejambe. Elle passe la main sur ma peau, me caresse le pubis, puis les couilles, sa main glisse entre mes jambes et va jusqu'à mon anus où là aussi il n'y a aucun poil. Elle est ravie. A son air je sens que j'ai réussi mon examen
.
Elle a un avantage sur moi, elle a déjà goûté à mon sexe et moi pas au sien. Il faut absolument que je rétablisse l'équilibre, je veux déguster sa jolie chatte. J'ai du le penser très fort car Valy m'attire à elle, m'allonge sur le divan et s'assoie sur moi sa chatte sur ma bouche. Elle est déjà toute humide, l'odeur qui se dégage est un mélange de sa mouille et d'urine, j'adore ça !
La belle prend toutes les initiatives, ça me convient bien, j'adore quand une femme sait ce qu'elle veut et qu'elle le prouve. Valy fait bouger son bassin de telle sorte que je peux lécher sa chatte d'un bout à l'autre. Elle danse une sorte de lambada de plus en plus folle en poussant des gémissements bruyants et elle s'écroule sur moi. J'ai le visage barbouillé de sa jouissance. Valy semble déchainée, elle me lèche les joues et la bouche puis nous nous bouffons la langue comme des affamés. Cette fille a le don de mettre le feu à ce qu'elle touche.
Et puisqu'elle m'a mis le feu, elle entreprend, c'est logique, de l'éteindre. Pour cela, elle disparaît un instant et revient vers moi toujours allongé. Sans un mot elle se penche vers ma queue et l'enfourne dans son joli bec. Et là ! Surprise, je sens un drôle de sensation. Un mélange de la tiédeur humide de sa bouche et d'une fraicheur étrange.
Cette gourgandine avait un glaçon dans sa bouche. On ne m'avait jamais fait ça. Super délicieux ce truc. Décidément elle est pleine de ressources cette jolie salope. Et elle n'a que vingt ans. Ça doit être inné ces choses-là.
Bien entendu, cette pipe très particulière est irrésistible, et je ne tarde pas à exploser dans son joli bec. Mais gourmande, elle avale tout. Elle remonte vers moi et prend ma bouche.
Sur sa langue reste un peu de mon sperme, elle me l'offre généreusement. Si elle avait vécu dans une tribu Sioux cette fille aurait eu pour nom Langue Agile. Difficile de décrire ce qu'elle fait avec, mais c'est particulièrement excitant. Pour un peu, je rebanderais aussitôt, comme à vingt ans. J'ai envie d'elle, très.
Je le lui dis, elle me conduit à sa chambre. Elle a un grand lit dont la tête a des barreaux. Elle me demande de m'allonger, elle veut s'occuper de moi à sa manière. Elle ouvre un tiroir de sa commode et en sort une paire de menottes. Tiens ! Encore un truc que je n'avais pas fait. Je suis curieux de voir la suite. Elle s'approche de moi avec un sourire assez vicieux qui la rend encore plus attirante. Elle grimpe sur le lit et s'assoit sur moi en me chevauchant et m'attache les poignets aux barreaux du lit. Sur sa table de nuit était posé un petit seau à glaçons isothermique.
Elle en prend un entre ses lèvres, et entreprend de parcourir mon corps en l'effleurant de sa bouche armée de cette fraicheur. Elle fait ça lentement, centimètre par centimètre, et comme si cela ne suffisait pas, elle fait onduler son cops sur moi. Complètement affolant ce qu'elle me fait. Je bande tellement que cela me ferait presque mal.
Enfin, ma jolie salope se relève, elle est assise au pied du lit et me regarde visiblement fière de l'effet qu'elle m'a fait. Ses Yeux émeraude brillent de satisfaction et semblent chercher une autre chose à faire. Je sens qu'elle a trouvé. Elle approche son pied nu de mon visage. Elle a un joli pied, les orteils sont longs et fins comme j'aime. Elle me fait lécher ce pied, je le fais avec plaisir, j'aime m'occuper ainsi des choses que j'aime.
Visiblement, elle apprécie mes léchouilles accompagnées de petites morsures légères. Elle me caresse le corps avec son pied tout en le ramenant doucement vers mon entrejambe. Ces jolis orteils magiques sont doués de vie. Avec eux, elle me caresse la queue, et avec ses dix orteils, me branle un moment. Puis, elle décide de rendre visite à mon anus. Ses longs doigts de pieds se faufilent et trouvent l'entrée. Du gros orteil, elle titille mon sphincter. Je suis tellement excité que je suis tout humide là. Alors, elle le fait entrer en moi, et m'encule un instant ainsi. Enfin, elle y glisse deux autres doigts. Elle constate qu'elle ne sent aucune résistance et me dit :
« Oh ! Toi je sens que je vais pouvoir faire quelques petites choses avec ton cul ! Mais plus tard… »
Valy semble plus désireuse de se faire baiser. Il est vrai que depuis le matin que nous nous allumons sans complexe, il est plus que temps de faire quelque chose. Elle se remet à califourchon sur moi, et s'empale sur ma queue et elle se déchaine. Elle monte et redescend en remuant du bassin. Je n'ai qu'une chose à faire, me concentrer pour ne pas exploser trop vite. Valy veut jouir, elle est si belle en ce moment, je ne peux pas lui interdire de prendre son pied.
Ses gémissements se font de plus en plus forts et bruyants, elle va craquer. Alors, je me laisse aller, et je jouis dans mon préservatif. Elle le sent, et atteint l'orgasme. Elle est en sueur et épuisée, mais avec un sourire radieux aux lèvres. Elle s'allonge sur moi, mon sexe toujours en elle commence à diminuer, mais il le fait doucement, comme s'il quittait à regret cette jolie chatte. Cette journée forte en émotion et en plaisir nous a épuisés. Nous nous endormons comme ça jusqu’au lendemain.
Valy est de plus en plus d'accord pour rencontrer mon couple ami samedi soir. Et durant les cinq années qui suivirent, nous avons eu l'occasion de vivre seuls, tous les deux, ou avec d'autres, quelques aventures jouissantes que je vous raconterai.
Bruno bi
La bande des quatre
Nous entamons à la fac le second semestre cette année qui sera mémorable pour moi. Il commença avec sa cohorte de travaux pratiques pendant lesquels nous devions être en binôme. J'avais réussi le premier semestre à force de travail acharné. Je ne devais pas faillir car étant boursier, je ne pouvais pas redoubler. De plus, j'avais l'ambition d'avoir une autre vie que celle de labeur pénible et abrutissante de mes parents, et les diplômes étaient un moyen pour s'en sortir.
Accaparé par mes études, enfermé dans une solitude pesante, je ne m'étais lié d'amitié avec aucun de mes congénères. Pourtant, il y avait les soirées fréquentes dans la résidence, et de nombreux d'étudiants croisés dans l'amphithéâtre. J'avais peur qu'on sache que j'étais homo, et j'avais tenu les autres à distance. Je ne laissais personne s'approcher. Je fuyais toute invitation et toute conversation un peu personnelle. Les seules personnes « à savoir » étaient le professeur d'informatique, et mes trois amants de passage rencontrés furtivement sur le campus. Ils ne faisaient pas partie de mes connaissances. Ces rencontres auxquelles je m'étais abandonné n'étaient pas allées plus loin que d'agréables soirées.
Quand il a fallu trouver un binôme, je ne savais pas comment m'y prendre et j'en voulais quelqu'un qui ne serait pas un boulet à traîner. Un peu tardivement, j'ai démarché plusieurs étudiants, sans succès, car la plupart des binômes étaient déjà constitués. Un peu pressé par les impératifs estudiantins, je repérai un groupe de trois copains qui avaient le même problème que moi. Après une courte discussion et alors qu'on nous pressait de boucler la liste, Nicolas, l'un des trois, devint par défaut mon binôme.
Je ne le regrettais pas. Nicolas était sérieux et travailleur. Après avoir fait notre premier T.P. ensemble, j'ai appris à les connaître, tous les trois. David et Stéphane se connaissaient du lycée et formaient un binôme. Ils avaient rencontré Nicolas à la fac au début du premier semestre. Je fis partie rapidement de leur cercle d'amis.
Je commençais à sortir un peu le soir et les week-ends où je restais sur le campus, tout en veillant à ne pas mettre en danger mes études. J'avais besoin « de musique, de lumière et de futilité … et aussi des autres » comme dit le chanteur. Il fallait relâcher la pression. Je pensais, sans doute à raison, que d'être moins tendu cela profiterait à mes études.
Je n'éprouvais pas d'attirance particulière pour l'un ou l'autre. Ils étaient agréables à regarder. Tous les trois étaient sportifs et se donnaient du mal pour leur apparence. Mais ils avaient l'air de parfaits hétéros, et cela étouffa dans l'œuf le désir qu'ils auraient pu m'inspirer. Ils étaient juste assez canailles et potaches pour m'amuser, et pas assez pour m'éloigner. J'avais l'impression de respirer à nouveau.
Quelques semaines après, David m'invita à son anniversaire le samedi soir suivant. Cela devait se passer chez ses parents, puisqu'il vivait encore chez eux. Il profitait d'un de leurs nombreux voyages pour faire la fête. A ma question pour un cadeau éventuel, il me répondit qu'il n'en voulait pas, et que je devais juste amener une bouteille d'alcool. Je songeai avec un peu d'ennui que cela serait une grosse beuverie, et que je pouvais d'ores et déjà, rayer mon dimanche du calendrier. Je le passerais sans doute effondré dans mon lit, en train de cuver et tenter d'oublier la cohorte de marteaux piqueurs qui allaient squatter ma conscience et mon crâne. Je n'étais pas un habitué de ce genre de soirée même si chez mes parents, sans toute fois exagérer, on aimait bien faire la fête.
La soirée se passa gentiment et très gaiement. Nous étions une vingtaine d'étudiants des deux sexes. L'alcool coulait à flot, la musique était forte mais elle n'arrivait pas à couvrir les rires un peu gras et absurdes des fumeurs de haschich. N'étant pas fumeur moi-même, je jetai mon dévolu sur des madeleines qui semblaient persillées aux petites herbes afghanes ou turques. Il y avait le choix ! Je me détendis et bientôt je riais aussi fort que les autres pour des blagues carambar et des jeux de mot digne d'un animateur de télé homo. La fête battait son plein, je fus invité à danser par des filles et je m'amusais aux jeux idiots inventés dans l'instant. C'était bon de lâcher du lest et d'oublier mes études et mes tourments sexuels.
Vers quatre heures du matin, il ne restait plus que nous quatre. Nous étions avachis sur le canapé, fourbus, alcoolisés et drogués, à des degrés divers. La salle à manger était jonchée de cadavres de bouteilles, de papiers et d'assiettes à moitié remplies de restes plus ou moins identifiables. Une odeur de sueur, de fumée froide, d'alcool rance, et de nourriture de moins en moins fraîche assaillait nos narines. David avait mis la radio sur la chaîne et nos esprits vagabondaient au gré de la musique nocturne, douce et apaisante.
Donna Summer commença à susurrer « I feel Love ». David prit Stéphane par la main et ils dansèrent enlacés l'un contre l'autre. Je les regardai, amusé. David avait la tête posée sur l'épaule de Stéphane pendant que celui-ci lui caressait les cheveux. Ils restèrent un moment dans les bras l'un de l'autre. Stéphane caressait le dos de David que je vis ondoyer. Leurs pubis se frottaient l'un contre l'autre et leurs mains caressaient leurs reins et leurs fesses. Je les regardai de plus en plus intéressé, et aussi intrigué.
Leurs mains enlevèrent leur tee-shirt, et les firent voler à travers la pièce. Ils reprirent la pose, peau contre peau et leurs caresses se firent de plus en intenses. Je sentis une légère raideur encombrer mon pantalon. David se retourna. Stéphane l'enlaça par derrière et l'embrassa dans le cou puis sur l'oreille. David tourna la tête et l'embrassa d'un baiser profond et langoureux. Les mains de Stéphane passèrent sous la ceinture et écartèrent les pans du jean pour faire sauter le bouton à la recherche du pubis.
Je compris alors pourquoi je me sentais bien avec eux : eux non plus ne s'étaient pas étalés sur leur vie sentimentale, et ils n'étaient pas très curieux de la mienne. Jusqu'à présent, je n'avais rien remarqué de particulier, même pas une trace d'accent gay ou d'allusion graveleuse et ambiguë. Tout comme moi, tous les trois restaient fondus dans la masse majoritaire des hétéros sexistes.
Je sentis Nicolas à coté de moi. Il me demanda si cela me gênait, en me désignant les deux jeunes hommes s'embrassant à pleine bouche et qui ondulaient sur la scène improvisée du salon. Je répondis un peu amusé par la négative.
Je détachai mon regard du couple enlacé. Nicolas se caressait l'entre jambes et je vis une bosse révélatrice se former. Je voulus en faire de même, mais il ne me laissa pas faire. Il malaxa mon paquet en même temps que le sien. Il me regarda dans les yeux et je rougis. Il s'approcha et déposa sur mes lèvres un doux baiser qui devint plus sauvage à mesure que nos langues se mélangeaient. N'y tenant plus, je le soulevai son tee-shirt, puis le fit rejoindre les deux autres. Il était poilu, les tétons proéminents et dressés. Il me débarrassa de mon tee-shirt qui disparut je ne sais où. Nous étions peau contre peau, lèvre contre lèvre, langue contre langue. Le goût de nos salives était un peu sure et acide mais j'en fis abstraction.
J'étais maintenant à demi-allongé, Nicolas était sur moi, sa main pétrissant mon sexe à travers le jean. Mes mains voyageant de la nuque à la naissance du pubis. Il défit le bouton du jean et fit glisser la braguette. Sa main chercha mon sexe dans cette jungle de vêtements. Je sentis ses doigts toucher ma verge en pleine érection. Il écarta mon jean et la fit sortir pour me masturber. Sa bouche descendit par bonds successifs vers mes tétons qu'il mordilla ensuite avec ferveur. Je caressais ses cheveux bouclés et je m'abandonnai.
Je tournai la tête vers David et Stéphane. Ils étaient sur le tapis, complètement nus dans un soixante-neuf trépidant. David était sur le dos et avalait goulûment le sexe qui me semblait énorme de Stéphane. La jambe gauche de David était pliée et je vis une des mains de Stéphane disparaître dans les fesses de David, en même temps qu'il enfournait sa hampe au plus profond de sa gorge.
La bouche de Nicolas reprit ses sauts successifs pour atteindre mon chibre durci. Il le caressa de ses lèvres et il le décalotta délicatement, afin de faire apparaître mon gland luisant. Ses lèvres se posèrent sur mon bout et je pénétrai dans sa bouche chaude et humide. Sa langue y bataillait avec cet intrus, et des vagues de plaisir intense se déversèrent en moi. Ses mains faisaient rouler la peau de ma verge et me massaient mes testicules. Il prit à deux mains mon jean et le fit glisser d'un coup. Il l'enleva rapidement ainsi que mon slip. Il m'écarta les jambes, libérant enfin mon bas-ventre. Il fit aussi disparaître son pantalon en un tour de main. Il ne portait pas de sous-vêtement. Il s'agenouilla et reprit mon sexe dans sa bouche recommençant un va-et-vient rapide. Le plaisir monta rapidement. Je me contractais pour éviter de jouir tout de suite. Un orgasme sec se déchaîna dans mon corps.
David était à quatre pattes et Stéphane lui léchait son anus avec délectation, si j'en jugeai par les petits gémissements qu'il poussait. Les mains de Stéphane enserraient et pétrissaient les fesses charnues de David. Je voyais la main de ce dernier se masturber dans une cadence assez rapide. Stéphane saliva et mouilla son index. Il l'introduisit sans plus de ménagement dans l'anus de David. Puis sa bouche se plaqua sur ses testicules et il les goba et les massait avec sa langue tout en doigtant David. Les gémissements de David retentirent de plus en plus fort.
Nicolas se leva et monta sur le canapé. Il me présenta son sexe bien proportionné et circoncis devant mes lèvres. Bien qu'elle sentait un peu, j'empoignai sa verge bien dure et suçai son gland comme une sucette. Une de mes mains lui caressait la hampe, les testicules et j'atteignis sa rondelle. Mon majeur s'enfonça sans plus de cérémonie. Je le doigtai au même rythme que j'avalai son sexe. Nicolas cracha dans sa main et se tartina l'anus. Puis il s'accroupit, changea de position et s'empala sur ma verge bien dressée. Son sexe frotta contre mon ventre et il ondula son bassin. J'étais en lui et je pouvais voir son plaisir sur son visage. Il avait les yeux mi-clos et respirait fort. J'accompagnai ses mouvements en lui tenant le bassin avec mes mains. La volupté envahit ma conscience et je me concentrai sur les ondulations parfaites de son corps qui déchargeait en moi des déferlantes de plaisir.
Je regardais derrière Nicolas. David était toujours à quatre pattes et Stéphane le sodomisait tellement fort qu'il décollait à chaque coup de boutoir en poussant des gémissements. Il avait les yeux fermés et il tenait David par les hanches fermement. Les fesses de ce dernier avalaient la grosse verge de Stéphane qui soufflait à chaque mouvement. Je le voyais se tortiller pour changer subtilement de position et je pensais que David devait être copieusement limé. Je changeai moi aussi le mouvement, et me concentrai à nouveau sur Nicolas. J'ondulais mon corps pour qu'il puisse bien s'empaler. Je fis déplacer son bassin pour varier les plaisirs dans son anus. Nos quatre râles de plaisir retentissaient dans la maison. Je calquai mon rythme sur celui de David et de Stéphane. Celui-ci accéléra, et je pris Nicolas par les hanches. Je l'aidais à s'empaler de plus en plus vite. J'entendis et sentis ses fesses claquer sur mon pubis. David et Nicolas poussèrent des grognements simultanément. Toute ma conscience était tendue pour que nous jouissions ensemble.
Je sentis le geyser du plaisir monter du fond de mes entrailles. J'entendis Stéphane poussa un cri libérateur alors que David hurla pendant que Nicolas hoqueta et inonda mon ventre de sa semence qui se propulsa jusque sur mon visage et mes cheveux. Je déchargeai à mon tour dans les entrailles de Nicolas dans un cri animal.
J'étais épuisé par cet accouplement et cette soirée. Nicolas se retira et vint s'allonger contre moi. Il mit la tête sur mon épaule et je lui caressai tendrement la nuque, et les cheveux. Nous nous embrassâmes. David et Stéphane nous rejoignirent. Ivre de plaisir et de fatigue, je plongeai dans un demi-sommeil, enlacé dans les bras de Nicolas.
Je fus réveillé par la sensation qu'on me suçait. Je sentis que je bandai à demi et qu'au fur et à mesure que je reprenais conscience, ma verge se durcissait. J'ouvris les yeux, et je vis David, à quatre pattes, qui caressait ma queue à moitié bandée avec sa langue. Je pouvais lire dans ses yeux une lubricité que je ne lui connaissais pas. Nous nous regardâmes les yeux dans les yeux. Il enfourna mon chibre dans sa bouche et commença à me masturber lentement en me suçant. A coté de nous, Stéphane était couché sur Nicolas et ils s'embrassaient goulûment en se caressant et en ondulant, corps contre corps. David m'écarta les jambes et les souleva. Sa langue et sa bouche descendirent sur mes testicules qu'il lécha et goba. Puis il remonta jusqu'à mon gland. Il me souleva encore un peu et sa langue descendit jusqu'à ma rondelle qu'il lécha. Il y fit pénétrer sa langue. Les vagues de plaisir qu'il provoqua me firent oublier cette position un peu inconfortable. Il lubrifia un doigt et me l'entra dans mes fesses. Alors, je me pris les jambes avec mes mains, en lui offrant mon anus. Il me masturba, me suça, et me doigta tout en même temps, déchaînant des ondes de volupté dans tout mon corps.
Je me retournai pour lui offrir ma croupe. A coté, Nicolas et Stéphane se levèrent. David me pénétra doucement. Puis je vis Stéphane se placer derrière lui. Au mouvement et au bruit que fit David je compris que celui-ci était empalé par Stéphane. Nicolas grimpa sur le canapé, au dessus de moi. David enfourna la bite qui lui était présentée. Alors tous les 4quatre, nous ondulâmes ensemble. David était pénétré par ses deux trous et sa verge était emprisonnée dans mes fesses. C'était son anniversaire, sa fête ! A chaque coup de boutoir de Stéphane, je sentais David me pénétrer un peu plus. Nous râlions tous les quatre ensemble au gré de la cadence imposée par Stéphane. Je sentais la grosse bite de David aller en moi de plus en plus vite. J'étouffai un cri dans un des coussins du canapé.
Nicolas descendit et David se retira. Nicolas se plaça derrière moi et s'enfonça en moi très facilement, mon anus dilaté par David. Celui-ci lécha l'anus de Nicolas alors que Stéphane était encore en lui. Nicolas allait et venait dans mes entrailles, échauffant mes sens. A chaque coup de langue un peu profond, je sentais qu'il me pénétrait un peu plus profondément. David se releva, et Nicolas tourna la tête pour l'embrasser alors que Stéphane mordillait les lobes des oreilles de David. Nicolas se courba un peu et me souleva pour rester en moi. David le pénétra d'un coup. Stéphane continua à empaler David également. Je jetai un œil derrière : nous formions une chaîne de sodomie.
Stéphane commença à aller et venir dans les reins de David. Après quelques hésitations, le rythme des pénétrations entrèrent en phase. Nous gémissions tous les quatre. J'imaginais les sensations de David pris en sandwich entre Nicolas et Stéphane. Stéphane accéléra la cadence. Par répercutions, je sentis Nicolas accélérer et monter le plaisir de mon cul à ma nuque. Nous n'étions plus que plaisir et volupté. J'entendais les coups de boutoir de Stéphane sur les fesses de David et les claquements de Nicolas contre les miennes. Stéphane décéléra et Nicolas me sodomisa différemment car il faisait tourner mes fesses en les malaxant ce qui déclencha d'autres sensations. Puis Stéphane accéléra. La cadence devint rythmée et rapide. Je savais que nous grimpions vers les montagnes du plaisir et que le sommet était proche. Nous ahanions en rythme et Stéphane poussa un cri. Je sentis une onde de choc dans mes entrailles. David et Nicolas crièrent fortement, alors que le plaisir me submergea provoquant un long feulement. Nous effondrâmes sur le sol. Nous restions tous les quatre enlacés, se caressant les uns et les autres. Nous sombrâmes dans un sommeil réparateur.
Pendant les semaines qui suivirent, j'expérimentai toutes les possibilités d'un groupe de quatre garçons. Je fis l'amour avec chacun des trois autres, séparément, en trio ou encore nous recommençâmes quelques fois à quatre. J'avais une préférence pour Nicolas, le plus tendre des quatre. Stéphane était le plus sauvage, et David était la plus salope. J'expérimentai même la double pénétration dans David avec Nicolas. Stéphane ne put pas y participer, car son sexe était vraiment énorme. J'eus du mal à me laisser pénétrer par lui, mais il sut y faire, et les sensations furent intenses.
J'appris que Stéphane et David formaient un couple très libre depuis leur lycée. David avait rencontré Nicolas, par l'intermédiaire d'une annonce dans les toilettes du sous-sol du bâtiment de physique. Je n'étais pas amoureux réellement, je le savais, mais ma libido était rassasiée et apaisée.
Après les vacances de Pâques, une conjonction d'événements a fait éclater le groupe. Nicolas a rencontré un certain Alain, qui était beau et sympathique, mais pas très partageur. David et Stéphane s'étaient fâchés pour une histoire sans queue ni tête, si j'ose dire. Fuyant ce climat un peu délétère, je me replongeai dans mes études en voyant se profiler les examens de fin d'année.
Seul.
Farfalino
Nathalie et Articho - Suite et fin provisoire
Partie 3
Le mois de juillet tirait vers sa fin, et Nathalie rentrait de Paris vers le Havre. Elle avait fait les soldes avec son amie Donatienne.
A partir de Rouen, les wagons étaient plus clairsemés. Elle avait Donatienne en face d'elle, un homme d'une cinquantaine d'année à ses côtés.
La discussion s'était tarie et les deux jeunes filles regardaient le paysage défiler. Les deux repères de Nathalie étaient dépassés. A gauche le golf du Vaudreuil, puis à droite celui de Léry Pose. Puis l'arrêt à Rouen, et la derrière ligne droite vers le Havre.
Nathalie se mit à penser à la semaine dernière, à ce qui était arrivé avec Articho. Elle n'avait pas pu contenir cette vague de désir, cette déferlante qui l'avait poussée à avoir cette relation contre nature. Elle avait pris la décision de ne plus jamais recommencer. Combat au jour le jour pour repousser ces pensées envahissantes.
Alors que le train traversait une zone boisée, elle vit le détour de petits chemins isolés. Combien d'amoureux s'y sont cachés pour faire l'amour ? Son esprit divaguait mais la ramenait vers Articho. Et comme à un aimant auquel on ne résiste pas, elle s'abandonna à ses fantasmes. Elle s'imaginait amenant son chien en forêt pour qu'il la monte. Elle serait à 4 pattes, vulnérable, dans la nature et à la merci de n'importe quel passant...
Alors qu'elle s'imaginant marchant et marchant encore dans la forêt pour trouver l'endroit idéal, Nathalie sentait déjà son ventre se nouer et se réchauffer. Elle rougissait en pensant qu'elle mouillait déjà, pour de simples pensées, mais quelles pensées !
L'envie de sexe la dévorait. Elle serra les jambes, comprima son minou pour mieux l'étouffer. Mais rien n'y fit. Elle se sentait le feu se répandre dans ses entrailles. Elle posa sa main entre ses cuisses, puis resserra. Le plaisir était intense. Elle serrait, desserrait, comprimait, relâchait. Elle était rouge pivoine, mais elle pensait être parfaitement discrète...
Peut-être s'était elle déconnectée un peu de son environnement immédiat ! Desserrant ses cuisses une nouvelle fois, elle laissa échapper un très léger soupir qui, cette fois, n'avait pas échappé à Donatienne.
Donatienne, bien qu'étant très certainement encore vierge, était la plus délurée de ses amies. Elle pouvait se montrer assez imagée dans son langage, et se livrait assez facilement à des confidences.
« Préviens-moi quand tu jouis ! » lui lança-t-elle d'un air effronté, le sourire en coin.
Effroi chez Nathalie qui ne savait plus où se mettre. N'osant même plus parler, elle fronça les sourcilles d'un air aussi réprobateur que faussement ingénu et interrogateur.
Il n'en fallait pas plus pour que l'homme assis à côté relève brusquement son nez de son journal. Coup d'œil furtif vers les deux jeunes filles, puis replonge dans sa lecture. Nathalie était blême et honteuse. Qu'est-ce que Donatienne devait penser d'elle ?
Franchement refroidie, Nathalie regardait les kilomètres défiler lorsque soudainement, elle sentit la main droite de l'homme se poser sur sa cuisse. Elle serra ses cuisses mais restait comme aphone et tétanisée. La main était immobile et lourde.
Les secondes paraissaient des éternités, et devant l'absence de réaction hostile de la jeune bachelière, la main se déplaça vers l'intérieur des cuisses et son poignet reposait sur son mont de vénus. Nathalie était paniquée, et là Donatienne ne se doutait absolument pas de ce qui se passait. L'homme paraissait impassible et absorbé par la lecture.
Ses doigts progressèrent encore très légèrement vers l'intérieur de ses cuisses, et Nathalie commençait à trembler de tout son corps. Elle sentait une boule d'angoisse et de désir se former en elle. Elle sentait sa cyprine perler à nouveau dans son vagin déjà humide.
N'en pouvant, plus elle desserra légèrement ses cuisses, ce que la main ressentit instantanément. Elle descendit immédiatement à l'intérieur, vers ses genoux, là où sa robe s'arrêtait. Puis remonta le textile pour faciliter l'accès à la petite culotte en coton de Nathalie.
Son poignet à nouveau posé sur le mont de Vénus, les doigts se crispèrent sur la vulve de Nathalie lui provoquant une décharge de cent mille volts !
L'homme de cinquante ans caressait fermement cette culotte désormais bien humide, de façon suffisamment experte pour que Nathalie ne tiennent plus sur son fauteuil.
Le souffle saccadé et bruyant, rouge pivoine, Nathalie alerta Donatienne d'un coup de pied, qui comprit sur le champ ce qui se passait. Elle lui adressa un sourire un peu contrarié et étonné. Mais elle aussi resta impassible.
Le petit jeu n'avait pas échappé à l'homme qui s'enhardissant, était passé de l'autre côté de la culotte et faisait évoluer ses doigts dans le nectar soyeux de Nathalie. Ses doigts montaient et descendaient le long de ses lèvres, décrivaient des cercles sur le clitoris, s'enfonçaient dans le jeune vagin, puis chargés de ce jus venait en humidifier le petit bouton.
Nathalie étouffa son orgasme en se mordant les lèvres, puis se relâcha. Donatienne n'avait rien perdu du spectacle.
L'homme, sa besogne accomplie, tapota gentiment sur son minou puis se retira. L'air de rien, il replongea dans le journal, regarda sa montre, puis se leva et quitta le wagon pour un autre.
Les deux filles restèrent quelques instants sans se parler.
« Qu'est-ce qu'il t'a pris ? dit finalement Donatienne. Tu te caresses, puis tu te laisses tripoter par un vieux, mais tu as le feu au cul ou quoi ? »
Nathalie ne savait plus trop quoi dire. Elle balbutia qu'elle n'avait pas pu s'empêcher, que c'était inexplicable. Elle s'empressa d'ajouter que c'était évidemment la première fois que cela arrivait.
« Tu m'as fait sacrément mouiller, dis donc ! lui sourit alors Donatienne.
- T'es folle, toi, tu sais, j'ai pas eu de mec encore, mais je partage quand même mon prénom avec le marquis de Sade ! »
Ces paroles réconfortèrent Nathalie, qui lui confia que c'était la première fois qu'un garçon, enfin qu'un homme la faisait jouir. Qu'elle n'avait eu d'orgasme qu'en se caressant... de temps en temps.
Donatienne lui fit un sourire entendu.
Le train arrivait en gare du Havre et elles en restèrent là dans leurs confidences.
Partie 4
Depuis quelques semaines, Nathalie n'était plus sûre de rien.
D'une part elle pensait toujours intensément à Articho, de l'autre son expérience dans le train montait en puissance en elle et commençait à l'obséder.
Alors animal ou homme ? Une chose était sure : sa libido était débordante, dévorante. C'est simple, Nathalie avait l'impression de toujours mouiller. Elle n'était plus cette jeune fille bcbg, elle qui n'avait plus que le sexe en tête.
Nathalie se décida à mener une expédition dans cette forêt qu'elle avait repérée depuis le train. Un dimanche soir d'octobre, elle fit monter Articho dans sa voiture et prit avec elle des chaussettes pour les pattes du chien, et une couverture.
Le ciel qui était couvert lorsqu'elle partit, se mua en une légère pluie. Lorsque Nathalie sortit de la voiture, elle constata que le terrain était humide, voire franchement boueux en certains points. En outre, elle ne savait pas trop où aller dans la forêt.
L'endroit semblait désert, et la luminosité déclinait rapidement. Peut-être lui restait-il tout au plus une heure de jour avant la pénombre. Après quelques hésitations, Nathalie se lança et emmena le chien avec elle. Elle marcha une dizaine de minutes puis quitta le sentier.
A l'amorce d'une légère descente, la végétation se fit plus sombre avec davantage de résineux. L'odeur d'humus se mêlait à un parfum de résine. Lorsqu'elle arriva à une souche retournée, elle décida que ce serait là qu'elle laisserait Articho la prendre.
Nathalie constata qu'elle avait oublié la couverture à la voiture. Qu'importe. Après un coup d'œil circulaire pour s'assurer de sa tranquillité elle décida de se dénuder totalement. La pluie se faisait plus forte, et le fond de l'air était frais.
Nue, elle enfila les chaussettes sur les pattes avant du chien pour ne pas qu'il la griffe. Mais Nathalie, toute à la préparation de la scène, n'était pas vraiment excitée. Son joli minou blond ne secrétait guère de nectar et elle se demandait comment Articho allait se comporter ? Nathalie mit ses mains à terre, puis ses genoux et présenta son sexe au chien. Celui-ci ne manifesta pas le même intérêt que la fois précédente.
Toujours à quatre pattes, Nathalie flatta donc son chien, caressa son fourreau et l'attira à elle. Le temps passait et le jour déclinait quand le chien daigna donner quelques coups de langue. Nathalie commençait à mouiller, elle était enfin excitée et le chien le ressentait. Sa langue se faisait plus lourde et incisive sur son clito... aussitôt Nathalie sentait son ventre se nouer de désir et lâchait quelques gémissements, mais aussitôt Articho s'éloignait pour aller lécher son dos ou ses seins. La tension retombait, et le chien revenait. Il la montait, la pénétrait à peine, ressortait, léchait, etc. Ce manège rendait folle Nathalie qui de plus en plus était au bord de l'orgasme, et à chaque fois plus frustrée de le voir s'éloigner à nouveau.
Au comble de la crispation, elle saisit à pleine main, feuilles morts, terre, boue et s'en pétrissait les seins et le minou. C'était une sorte de communion païenne avec la terre, la nature, le chien.
Articho s'arrima enfin solidement à ses hanches, elle le guida vers sa fente et prit sa bite dans toute sa longueur. Subitement Nathalie se trouva emplie comme jamais elle ne l'avait jamais été. Sous le poids d'Articho, ses bras plièrent et elle se retrouva face contre terre, avec le chien qui désormais pompait furieusement. Les jappements du chien s'entremêlaient avec ses gémissements à elle, et elle sentit alors le nœud se former en elle, à l'intérieur d'elle. Elle avait ça qui écartait ses parois vaginales, la dilatait... le chien pulsait le sperme en elle.
Un bruit lui fit aussitôt relever la tête et dégriser : un homme se tenait devant elle. La soixantaine passée, pas grand, en barbour. Il la regardait avec stupéfaction lorsqu'il hésita puis sortait son sexe. Nathalie imaginait déjà le pire, le viol, le viol qu'elle garderait pour elle car comment raconter la scène à la police?
Elle vit son sexe court, épais, le gland violacé et gluant, visqueux de pré-sperme. Il se masturba silencieusement devant elle qui était nouée au chien. Et soudain il éjacula abondamment, sur le tas de feuilles mortes à ses pieds. Se remettant de son orgasme, confus, il s'excusa puis partit à travers les bois. Dans le même temps, Articho se retira. Nathalie n'avait pas jouit et la tension était à son comble en elle.
Elle resta interdite quelque secondes, puis à quatre pattes se précipita vers la semence humaine déposée sur ces feuilles. Elle observa qu'elle était presque jaunâtre et grumeleuse. Elle saisit à pleine mains ce foutre pour s'en masturber frénétiquement le clitoris. Remuant comme une salamandre clouée sur planche, elle cherchait désespérément l'orgasme. Il ne vint qu'au bout de longues minutes.
Nathalie se retrouva là, dans la nuit, au beau milieu de la forêt et maculée de boue, d'humus, et de spermes mêlés humain et animal. Elle poussa un long soupir en pensant à ce qui venait de se passer. Clairement non satisfaite, frustrée, elle comprit qu'il lui faudrait beaucoup plus à l'avenir.
Fin provisoire...
Pseudo : tres_curieux
Mail : vidadelavida@gmail.com
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Femme de chambre, ou la vie initme d'une famille bourgeoise
Chapitre 3 – Les Prémices
Je trouvai rapidement mes marques dans mon nouveau domaine. Grâce à cela, je pus enfin faire des économies. Les jeudis après-midi étaient consacrés au shopping. Les vendredis, eux par contre, étaient réservés à mon corps. J’allais à la piscine, chez le coiffeur ou chez une esthéticienne recommandée par la vendeuse du pressing qui, suite à mes fréquentes visites, avait sympathisé avec moi.
Je revis plusieurs fois le petit film sur l’écran de mon ordinateur et cela me faisait mouiller à chaque fois. Je vis Emma sous un autre regard depuis ce jour.
Steve, quant à lui, toujours aussi hautain avec moi voire même grossier s’exprimait toujours par des grognements. Il m’avait même un jour qualifiée de petite pute de service car selon ses dires, j’étais vraiment trop bien gaulée et qu’en tant que fils de la patronne, il verrait d’un bon œil que je lui fasse une petite pipe. La gifle faillait partir aussi sec mais ce fut Caroline qui, plus rapide, s’en chargea. J’étais contente de sa punition mais cela me restait en travers de la gorge.
Un jeudi après-midi, n’ayant pas trop envie de faire mon shopping hebdomadaire, je décidai de rester dans le jardin, au soleil en lisant un bon bouquin. Au bout d’une heure, les effets de ses rayons sur ma peau se firent sentir. Il fallait que je remette une nouvelle couche de crème solaire. Constatant que mon flacon était vide, je pris mon courage à deux mains et allai dans ma chambre chercher le remplaçant. Voulant aller plus vite, je pris l’escalier principal et passai donc devant les chambres.
La porte de celle de Steve était entrouverte ce qui était bizarre vu qu’il devait se trouver aux cours. J’arrivai, pieds nus, à pas feutrés et regardai par l’entrebâillement de la porte. Steve était devant son portable. Il regardait un film, et ce que je vis me perturba. L’actrice du film, c’était moi ! Il m’avait filmée à mon insu. On y découvrait la naissance de mes seins, mon entrejambe lorsque j’avais mis un de mes micro shorts de sport, des images de mes jambes et sans que je sache comment il avait fait, la tache blanche de mon string. Il m’avait filmée sous toutes les coutures mais le plus hard arrivait. On y voyait sa sœur avec une femme dans un 69 endiablé en train de se lécher mutuellement dans la fameuse cabane du jardin.
J’allais réagir lorsque mon regard s’arrêta sur ce qu’il avait dans une main : un des mes strings. Il l’avait mis sous son nez le reniflant tant et plus. Je me rappelais que la veille, n’ayant pas eu le temps de faire la lessive, j’avais laissé le linge sale dans la buanderie. Il m’avait chipé un de mes strings. Le porc ! Mais cela ne s’arrêta pas là, j’entendis clairement l’ouverture d’une fermeture éclair. Puis, de l’autre main, il dégagea tant bien que mal son sexe raide comme un pieu.
« Qu’est-ce qu’il est bien monté ce jeunot ! » pensai-je avec une certaine envie.
Il prit le string et se branla frénétiquement avec celui-ci. Je l’entendais ahaner assez vite. Ce jeune coq n’avait pas encore appris à se retenir, et rapidement, il éjacula dans mon string. Cela ne le fit pas débander, et de nouveau, le rythme de sa main accompagnait les gémissements des deux femmes à l’écran. Il résista un peu plus longtemps et de nouveau s’épancha dans mon string tout poisseux. Il prit un kleenex, s’essuya le vît, éteignit l’ordinateur et se leva. J’eus juste le temps de me cacher dans l’embrasure d’une porte. Encore troublé par son plaisir, tenant toujours mon string en main, il quitta sa chambre et descendit prestement les escaliers. J’entendis qu’il fermait la porte donnant dans la buanderie puis la porte d’entrée principale.
Vérifiant qu’il était bien parti, je me glissai dans sa chambre et appuyai sur le bouton « start » de son ordinateur.
L’ordinateur s’alluma et comme je le craignis un mot de passe s’afficha. Je réfléchis quelques instants et sans m’en rendre compte, je frapper la touche return. Ce petit con n’avait même pas pensé à insérer un mot de passe. J’ouvris ses fichiers et y trouvai des centaines de mini films ou d’images de cul. Bref, l’essentiel d’un adolescent attardé ! Je trouvai facilement le petit film, car il l’avait tout simplement nommé « Gwen ». Je pris un de ses CDS vierges et enregistrai. Après une recherche d’un autre film du même style me concernant, je fermai l’ordinateur avec mon précieux cd.
Me souvenant du string, je descendis dans la buanderie et trouvai enfoui au milieu de la lingerie, le string gluant de son sperme. Je le pris du bout de doigts et avec mon gsm je le photographiai.
Un début d’idée de vengeance débutait dans mon esprit mais il fallait que je sois patiente.
Bref, au soir, je fus invité par Caroline à venir dans le salon où toute la famille était réunie. Il s’y trouvait aussi un jeune homme bien bâti, le teint hâlé, les dents blanches Pepsodent. Bref, une belle gueule sur un corps bien foutu.
« Qu’est-ce qu’elle fout là ? fit le branleur.
- Steve ! gueula le père.
- Bon, comme tout le monde est là, Emma a une annonce à vous faire. Vas-y ma chérie !
- Papa, Maman, je voudrais que vous écoutiez Rodrigue.
- Madame, Monsieur ! Ce soir est un jour particulier. Vous savez qu’Emma et moi nous nous fréquentons depuis un certain temps et comme il ne lui reste qu’une petite année afin de finir ses études, je vous saurais gré d’accorder une oreille attentive et accueillante à ma requête. »
Je vis Steve souffler tant et plus, et cela me fit sourire. Le père regardait ce Rodrigue comme si il avait vu le Christ en personne. Caroline, les yeux béats, la bouche entrouverte, semblait déjà sous le charme.. Pourtant, je vis que son regard ne portait pas sur le visage du garçon mais juste en dessous de la ceinture.
« … Aussi, j’ai l’honneur Monsieur, de demander la main de votre fille ! »
Il lui demande sa main alors qu’elle s’envoie en l’air avec des donzelles ! Quelle étrange affaire ! Pour la première fois, je vis le père parler sans crier :
« Je vous l’accorde sans aucun problème, mon cher Rodrigue.
- Merci papa, fit Emma en l’embrassant.
- Gwendoline, pourriez-vous chercher le champagne dans la cave à vin ? »
J’acquiesçai et allai chercher les dives bouteilles. Je servis, et Caroline m’intima l’ordre de trinquer avec eux. Pourtant, je ne me sentais pas à ma place, surtout lorsque les yeux de ce Rodrigue se posèrent sur ma poitrine, un peu trop longtemps à mon goût.
Il fut décidé que les fiançailles se dérouleraient le mois suivant. Emma était toute excitée, Steve haussa les épaules en buvant tant et plus du champagne. Le père était fier non pas de sa fille mais d’avoir comme futur gendre ce Rodrigue. Caroline avait les yeux qui pétillaient car plus elle lui parlait plus son corps de manière imperceptible réclamait des caresses. Rodrigue comprit le message et par les yeux, il accepta tout ce qu’elle pouvait demander.
Je pris congé rapidement et montai dans ma chambre. A peine couchée sur mon lit, la télévision allumée, je reçus un coup de téléphone de Florence, mon avocate.
« Salut chérie !
- Bonsoir Florence.
- Je te téléphone pour te donner des nouvelles de notre petite affaire.
- Ah ? Cela va s’arranger tu crois ?
- Oui ! Et encore mieux que tu ne le penses. Mais j’y pense, ce serait mieux que l’on en parle de vive voix. Tu peux venir demain soir chez moi. Je t’invite à dîner.
- Demain ? Ok ! Je viendrai.
- Super ! »
Elle me donna son adresse et raccrocha sans oublier un :
« Bisous ma chérie !
- Bisous », répondis-je troublée.
Je ne trouvai pas le sommeil tout de suite et puis le fracas qu’ils faisaient à l’étage inférieur m’en aurait de toute façon empêchée. Intriguée par tant de bruits, je descendis voir ce qu’il en était. Je vis Rodrigue, sans Emma, porter Steve dans ses bras. Ce dernier complètement ivre gueulait des chansons paillardes. Rodrigue le déposa sur le lit et ferma la porte en sortant. Caroline, le suivant de près, lui dit :
« Vous n’allez pas retourner ce soir chez vous ? Surtout que vous avez bu un petit peu.
- Je crois que cela serait plus raisonnable dit-il d’une étrange voix.
- Je vais vous faire préparer la chambre d’amis. Je viendrai plus tard voir si vous êtes bien installé.
- Ce sera avec plaisir ! Partagé… j’espère.
- Je compte bien partager ces plaisirs, dit-elle le visage à quelques centimètres de celui de Rodrigue. Vous voulez un pyjama ?
- Je n’en porte jamais… Mais n’ayez aucune crainte, les draps protégeront ma décence.
- Parce que vous supportez les draps par cette étouffante chaleur ?
- C’est vrai qu’il fait très chaud ce soir et pas qu’à cause du soleil. Vous avez raison, les draps seront trop chauds.
- Ne prenez quand même pas froid! Je m'en voudrais que vous soyez malade.
- Je pense que j'aurai de quoi me tenir au chaud...
- A ce soir », dit-elle en venant dans ma direction.
Je remontai rapidement quelques marches. Caroline entrouvrit la porte et m’appela discrètement.
« Gwendoline, je sais qu’il est tard mais pourriez-vous faire la chambre d’amis ?
- Pas de problème. J’arrive.
- Merci beaucoup. Euh… comme il fait chaud, enlevez les couvertures et ne laissez qu’un simple drap.
- Bien », fis-je en descendant les marches.
J’allai dans la chambre d’amis et ouvris les fenêtres. Je défis le lit, ôta les draps précédents et les remplaçai par des draps propres sentant bon le parfum de fleurs. Je secouai les couvertures par la fenêtre et remarquai pour la première fois un deuxième balcon contigu. Or, de ce côté, il n’y avait pas de fenêtres mais une porte. Je repérai rapidement l’endroit et conclus que cette porte donnait au bas de l’escalier montant à l’étage supérieur.
La chambre faite, je repris l’escalier, allai chercher une lampe de poche et essayai de découvrir cette porte. Je la vis, cachée en partie par une petite armoire que je déplaçai le plus délicatement possible. Heureusement qu’elle était vide.
La clé se trouva dans la serrure et difficilement, je réussis à ouvrir cette petite porte. Je dus me plier en deux afin de pouvoir passer. J’arrivai au balcon profitant de la douceur de la nuit étoilée.
J’allai quitter mon endroit propice aux déclarations lorsque j’entendis des murmures dans la chambre d’amis. Murmures ou plutôt des gémissements.
« Oh Rodrigue, qu’est-ce que tu es beau.
- Je sais ma chérie, dit-il modestement. Et tu n’as pas encore vu ce que je cache dans mon pantalon.
- Coquin ! Tu sais que j’y ai déjà goûté.
- C’est vrai, mais avec toutes ces bouches qui m’avalaient, je ne savais plus où j’en étais.
- Tu crois que mon père a gobé notre histoire ?
- Je n’en sais fichtre rien, mais je crois que même s’il a des doutes, il les oubliera assez vite. On sait pertinemment bien que nous nous marions pour nos intérêts. Toi, tu deviendras Comtesse tandis que moi, avec l’appui de ton père, je pourrai ouvrir une clinique où le plus petit prix d’une intervention sera trois à quatre fois exagéré. Mais tu sais quel pacte on a conclu !
- Oh que oui ! Tu couches avec qui tu veux, et moi je fais de même de mon côté.
- Et le plus important, c’est…
- T’obéir et servir tes intérêts.
- Parfait ! A propos demain soir, je vais rendre visite à mon banquier. Il me faut des liquidités pour commencer les plans et le début de la construction. Il avait l’air de t’apprécier, l’autre fois. Serais-tu d’accord pour le satisfaire ?
- Tu veux que je lui fasse quoi ?
- Je sais qu’il dîne chaque jour dans un petit restaurant. Il doit bien avoir une salope de tes amies qui accepterait un petit trio ? Et quelques clichés compromettants que tu prendrais seraient le bienvenu.
- Mais il va me reconnaître !
- Déguise-toi ! Je suis certain que tu dois être encore plus bandante en rousse.
- Vilain flatteur ! D’accord, ce sera fait ! Mais à une seule condition.
- Laquelle ?
- Que tu m’enfiles ton engin dans mon cul ! Il brûle d’envie de te recevoir.
- Désolé ma chérie, mais j’attends quelqu’un ce soir.
- Qui ? Quand même pas ma mère ?
- Si ! Elle doit avoir un tempérament de salope, parce qu’elle m’a chauffé comme jamais ce soir. Cela te dérange ?
- Oh non ! Je pourrai bien attendre. Lorsque tu auras fini, envoie-moi un sms. Je viendrai t’entendre me raconter tout en détail, et je serai aussi gentille que tu le voudras.
- Ok. Allez, pars ! Elle ne va plus tarder. »
J’étais littéralement sur le cul. Mais quelle salope, cette fille ! Et lui n’était pas mieux ! J’étais dans une famille de fêlés.
Emma sortit de la chambre, et deux minutes plus tard, Caroline entra, habillée par un peignoir vaporeux qui ne cachait presque rien de son corps.
« J’ai attendu que ma fille parte. Je ne veux pas qu’elle me voie entrer, dit-elle en laissant glisser son peignoir et se trouver nue devant son futur gendre. Mais je crois que tu as chaud ! Laisse-moi enlever ce drap. »
Elle fit glisser le drap et fit apparaître l’énorme braquemart de son gendre. Telle une chienne, à quatre pattes, elle s’approcha de l’énorme vît qui la faisait littéralement baver.
Caroline approcha sa bouche du sexe de Rodrigue et, en ne le quittant pas des yeux, elle le goba entièrement sans faire d’efforts. Il devait aimer cela, car il rejeta sa tête en arrière. Elle remonta et fit réapparaître le vît tout luisant de bave. Puis, de plus en plus rapide, elle l’absorba entièrement. A chaque fois que son nez touchait le pubis glabre de Rodrigue, elle arrivait avec sa langue à toucher ses couilles et à les exciter.
Je sentis mon sexe s’humidifier. Depuis ma position, je pouvais tout apercevoir. J’avais enjambé la rambarde et me trouvais sur le balcon de la chambre d’amis. Les fenêtres grandes ouvertes étaient en partie cachées par de grands buis en pot. La seule chose que je devais faire était de ne pas émettre le moindre bruit.
Sentant sa fin approcher un peu trop rapidement, Rodrigue empêcha Caroline de lui infliger ce traitement. Elle se redressa laissant couler un mince filet de bave, se mit debout dans le lit et vint poser son sexe finement épilé sur la bouche de son futur gendre. Celui-ci but directement au calice. Il lui titilla le clitoris déjà tout gonflé de plaisir. Un doigt inquisiteur vint à la rencontre de son petit œillet. Celui-ci le goba sans aucun problème, si bien qu’un deuxième et un troisième vinrent l’aider à combler le trou trop souple pour ne pas avoir subi des assauts durant la journée.
Caroline haletait de plus en plus. Rodrigue aspirait son clitoris tout en la branlant : deux doigts devant et toujours trois doigts derrière. Il faisait monter et descendre alternativement les mains. Ce fut le troisième doigt dans le sexe qui envoya Caroline au septième ciel. Grâce aux barreaux du lit, elle réussit à ne pas tomber.
J’étais en nage tellement je m’astiquais le bouton. L’effort de ne pas émettre le moindre son provoquait encore plus de frissons. Trois fois déjà, j’avais du ralentir le rythme afin de ne pas jouir sur place. Mes doigts étaient poisseux de cyprine.
Caroline se coucha sur le dos dans le lit. Rodrigue s’agenouilla devant elle, releva les jambes et positionna son gland tout rouge devant l’entrée de service. Il s’introduisit lentement et ne bougea pas. Empalée sur ce membre, Caroline se pinçait les seins. Des gouttelettes de lait vinrent perler son opulente poitrine toujours ferme pour son âge. Rodrigue sans bouger, serrait le clitoris entre ses doigts et s’amusait à le tordre, à l’étirer et à l’agacer. Elle émettait des râles qui provenaient du plus profond de sa gorge. Sa peau était toute ruisselante de sueur. Puis, sans prévenir, elle s’arqua et jouit. Lui n’avait toujours pas bougé d’un centimètre.
A peine remise de son deuxième orgasme, il commença enfin à bouger et là, il devint brutal. Il la sodomisait sans ménagement, toujours plus fort, toujours plus brutal. Le souffle s’accéléra. Tel un piston, il ne cessait d’aller et venir dans les entrailles accueillantes de Caroline.
Je jouis une première fois en lâchant un gémissement le plus étouffé possible. Heureusement, les cris que lançait maintenant Caroline couvrirent les sons que j’émettais.
Rodrigue arrivait au point de non retour et se retirant du fondement de Caroline, libéra sa semence sur le ventre et les seins de celle-ci. Frustrée de ne pas encore avoir joui, elle écarta les doigts de Rodrigue et se branla vigoureusement comme si sa vie en dépendait. Trente secondes plus tard, elle s’écroula sur le lit gigotant sous les spasmes provoqués par l’orgasme.
Remis de ses émotions, Rodrigue en bon amant, lui dit :
« Ce fut super mais, demain, j’ai une rude journée, alors tu pourrais me laisser dormir ? »
Caroline, encore sous les effets des orgasmes, lui répondit dans un état assez comateux :
« T’inquiète ! Je suis vannée ! Vivement la prochaine fois.
- Pas de problème, belle-maman. Le jour de notre mariage, je te baiserai.
- Ok ! J’en mouille déjà.
- Salope ! »
Caroline partit en claudiquant vers sa chambre. Rodrigue se retourna et s’endormit profondément. Moi, j’avais joui encore deux fois et c’est péniblement, car je ne devais pas faire de bruit, que je remontai dans ma chambre.
A suivre...
Signé : un Mari Heureux, sur Doctissimo.
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joile recit qui laisse entrevoir une suite de plus en plsu chaude
En totu cas felicitation d'avori aossez passer à l'acte
Je dois dire que je suis dans la meme phase que toi au debut de ton recit, mais j ai pas encore fais le premeir pa, en tout cas j aitres envie d'explorer d'autre experience que hetero pur.
Bise j attend la suite avec impatience