Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une soirée au sauna bi
Line et Jean-Claude sont deux coquins très libertins et bisexuels. Eux et moi sommes amis de longue date. La vie a fait que nous ne nous voyons plus aussi souvent qu'auparavant. Nous obéissons à une règle essentielle. Lorsque nous avons des rapports avec d'autres personnes que nous trois, nous utilisons toujours des capotes.
De plus nous faisons plusieurs fois par an un test HIV. Ainsi lorsque nous jouons tous les trois ensemble on a l'immense bonheur de baiser « nature l». Quel plaisir extraordinaire de pouvoir enfin sentir une queue déverser son sperme en nous.
Ce samedi 31 juillet, ils sont venus me chercher pour aller passer la soirée au Sauna mixte de la ville voisine, à trente-cinq kilomètres de chez moi. Aller dans un sauna libertin est une loterie. Nous ne sommes jamais certains d'y trouver du monde et du monde intéressant, bien entendu. Aussi, ne vais-je jamais dans un sauna mixte lorsque je suis seul. Dans ces cas-là, je vais en sauna gay. Là au moins, on est certain de pouvoir s'amuser.
Mais, ce samedi, Line et Jean-Claude sont là, ainsi nous savons que s'il n'y a personne qui vaille le coup, nous pourrons nous éclater tous les trois ensemble.
Nous arrivons donc dans ce Sauna, il est vingt deux heures trente. Nous passons par le vestiaire revêtir l'uniforme du lieu, à savoir le corps nu, seul le bassin est ceint d'une serviette. Une femme grande blonde et très mince était là en train de se dévêtir.
Curieusement, elle prend d'infinies précautions pour ne pas laisser apparaître un sein ou son pubis. Mes amis et moi nous échangeons un sourire. Je me demande ce qu'une Mère la Pudeur peut bien venir faire en un lieu où règne la débauche. Nous sommes curieux de voir la suite des évènements .Au sortir du vestiaire, nous sommes au coin bar. Au comptoir, deux hommes sont accoudés, dans les fauteuils, on peut voir une femme.
Et trois hommes. Nous nous saluons et nous échangeons un grand sourire. Notre première impression est qu’aucune de ces personnes ne nous plait vraiment. Mais bon ne soyons pas difficile. Tout le monde ne peut pas s'appeler Sophie de R, n'est-ce pas ? (plaisanterie qui me permet de faire un compliment à notre Belle Sophie)
Mais ne préjugeons pas du futur de notre soirée.
Fidèles à notre habitude Line Jean-Claude et moi faisons une visite du Sauna afin de voir comment il est peuplé ce soir. Nous visitons chaque pièce et chaque recoin. Certains boxes sont fermés à clef. On entend des gémissements à travers la porte. Curieux tout de même, de venir dans un sauna pour baiser en s'enfermant à double tour. Pourquoi ne pas aller à l'hôtel alors ?
Nous continuons notre visite en échangeant des commentaires. Enfin nous arrivons devant le sauna « finlandais ». La pièce est vaste, toute tapissée de bois. Les banquettes font le tour complet du lieu. Une seule personne est là, une femme. Nous avons toutes les peines du monde à la reconnaître. Il s'agit de notre si pudique voisine de vestiaire.
Étrange le comportement de cette femme tout de même. Contrairement au vestiaire, ici elle a étendue sa serviette sur la banquette. Juste à un angle, elle est assise sur sa serviette et chacune de ses jambes sur la banquette de manière à former un angle droit.
Ainsi installée, sa chatte toute épilée est visible, la chaleur du lieu et son excitation font que ses lèvres semblent écartées. Cette jeune femme nous gratifie d'un grand sourire que nous lui rendons bien entendu. Nous approchons d'elle. Pour lui présenter nos hommages libertins.
Mais elle n'accepte que ceux de Line. Elle nous dit le plus gentiment du monde : « Excusez moi, Messieurs, mais je ne joue qu'avec les femmes ! »
Nous nous inclinons devant son souhait et Jean-Claude dit à Line :
« Ma chérie, nous te laissons avec madame. Bruno et moi continuons notre visite. »
Nous continuons notre visite et entrons dans le hammam. La pièce est saturée de chaleur humide. Et la vapeur est si épaisse que les trois veilleuses du mur n'éclairent rien du tout. Pour savoir s'il y a du monde il nous faut explorer à tâtons. C'est d'ailleurs à mes yeux un des agréments de cet endroit, voir avec ses mains. Deux personnes sont là, nos doigts curieux nous ont appris que c'était des hommes.
D'un accord aussi tacite que commun, Jean-Claude et moi nous attaquons chacun à un de ces inconnus. Ils caressent nos bites et nos couilles, et s'agenouillent pour nous sucer. « Le mien » suce avec douceur, mais assez maladroitement, mais la sensation est agréable. Cela dure un long moment. Et soudain, la porte s'ouvre, et quelqu'un entre, une puissante torche électrique à la main. C'est le responsable du Sauna qui vient mettre aux endroits idoines quelques pastilles de désinfectants. Aussitôt, nos deux suceurs nous abandonnent et sortent en courant hors du hammam, telles des vierges effrayées par l'arrivée d'une bande de soudards.
La situation est trop drôle, le responsable, Jean-Claude et moi partons dans un grand fou-rire. Quand enfin nous pouvons parler le gérant nous explique que ces deux hétéros viennent régulièrement ici pour assouvir leur fantasme homosexuel, mais qu'ils ne le font que dans les endroits sans lumière. Line toujours à l'affût de tout ce qui est cocasse aurait apprécié ce qui vient de se passer. Aussi nous partons à sa recherche, mais on entend un long rugissement qui se répand dans tout le Sauna.
Jean-Claude et moi savons ce que sait. C'est notre Line qui jouit. Cette femme est un spectacle à elle toute seule. Ses goûts sexuels et son comportement n'ont rien à voir avec son aspect physique et sa profession. Line est petite, cheveux très courts, des hanches rebondies. Et sur le nez une paire de lunettes qui lui donnent un air très sévère. Air qui va tout à fait avec sa profession. Elle est professeur de Latin et de Grec. Et il m'arrive parfois de me demander quelle serait l'attitude de ses élèves, s'ils savaient.
Derrière l'aspect très strict et sévère de cette femme, se cache une « sacrée belle salope », que rien n'arrête dés qu'il s'agit de recevoir et donner de la jouissance.
Ses hurlements, presque des rugissements nous guident, nous la retrouvons allongée sur une banquette dans les bras ou plutôt dans les cuisses de l'inconnue du sauna finlandais.
Elle est en train de rendre la monnaie de sa pièce à sa partenaire. Beau spectacle assurément, Jean-Claude et moi nous nous installons confortablement pour les admirer. La bouche de Line semble faire des miracles en s'occupant de la chatte de sa copine d'un moment car celle-ci soupire et gémit de plus en plus fort. Line insiste et continue de plus belle. La blonde inconnue se raidit soudain, et a quelques convulsions accompagnées de gémissements. Line s'écarte alors et tourne son visage vers nous. Il est ruisselant car la jeune femme est une formidable femme-fontaine. Jean-Claude et moi regrettons que cette femme refuse des relations avec nous, car les femmes-fontaines ne sont pas si nombreuses.
Line, épouse et maîtresse aimante, s'approche de nous et tend son visage que nous nous empressons de lécher comme les affreux gourmands que nous sommes. Le jus de plaisir que nous goûtons est à la fois acre et presque sucré. J'adore. Jean-Claude un peu moins, mais sachant ce qu'il lèche, il apprécie.
La belle inconnue refuse gentiment de se joindre à nous trois. Aussi, Line Jean-Claude et moi continuons notre visite à la recherche de partenaires de jeu. Nous avons beau chercher, mais rien ni personne ne nous tente. Les hommes sont trop poilus, d'autres beaucoup trop peu membrés. Il y en a même un qui est si velu qu'on pourrait croire qu'il a enfilé son manteau de fourrure.
Un seul trouve grâce à nos yeux. Il est plus jeune que nous, quarante-cinq ans. Pas grave, cela lui passera ! Il a le poil et le cheveu très rares. Mais ce qui pend entre ses jambes est particulièrement tentant. Nous jetons notre dévolu sur lui. Il s'appelle Joseph et il est black.
Il est sympathique et amusant. Seul petit défaut, il est ce que certains appellent « bisexuel léger ». Ce terme m'amuse, car, on est « bi » ou on ne l'est pas, non ? Pour Joseph, être « bi léger », c'est accepter de sucer une verge. Et en ce qui concerne, la sodomie, il veut prendre un homme, mais pas se faire prendre, « car vous comprenez, un cul d'homme ou un cul de femme, c'est la même chose ! » nous dit-il le plus sérieusement du monde.
La manière qu'ont beaucoup de gens de qualifier leur comportement sexuel me laissera toujours rêveur. Ainsi par exemple, ces nombreux hommes qui se disent hétéros mais qui font l'amour avec un travesti.
Mais enfin bon, mes deux amis et moi apprécions la compagnie de Joseph, et surtout sa queue qui, au repos, semble déjà conséquente. Nous nous installons tous les quatre sur un grand matelas installé dans une pièce éclairée comme en plein jour.
Honneur aux dames, nous laissons Line entreprendre Joseph, tandis que Jean-Claude et moi nous nous caressons et nous suçons. Il est tout comme moi, très sensible du petit trou, aussi nous aimons bien nous faire des feuilles de roses. Rien de tel pour nous mettre en "grande" forme.
Tout en suçant la queue de Joseph, Line nous regarde du coin de l'œil car elle aime bien nous voir faire l'amour, mais sa séance avec la femme-fontaine l'a bien excitée, aussi elle a envie d'une double pénétration. Je suis un peu mieux "armé" que Jean-Claude aussi elle guette le moment où je banderai assez fort pour se faire prendre par Joseph et moi. Quand elle juge que nous sommes à point, elle me fait m'allonger sur le lit. Puis, me tournant le dos, elle s'empale sur moi. Joseph pénètre sa chatte. Il est épais le bougre. Le gémissement de Line me prouve qu'elle est "comblée" dans tous les sens du terme.
Le démarrage cafouille un peu. Il faut que Joseph et moi synchronisions nos mouvements. Nous y arrivons assez vite, et alternant nos coups de reins, nous prenons plaisir à être en Line. C'est tout chaud et tout mouillé en elle. Elle est vraiment très excitée. Elle soupire et gémit en permanence et de plus en plus fort. Et soudain elle se met à rugir puissamment, comme à son habitude quand l'orgasme est là. Joseph est surpris et s'arrête presque inquiet. Jean-Claude intervient pour le rassurer et lui dit : " Elle est en train de jouir, ne t'arrête surtout pas, elle va jouir comme cela 2 ou fois de suite.»
Effectivement, Line hurle son plaisir pendant un long moment. Nul ne sait quand un orgasme se termine et quand commence l'autre. Les quelques personnes présentes au Sauna arrivent pour assister au spectacle. Ces hommes se branlent, d'autres sont aux mains des quelques rares femmes présentes ce soir.
Quant à moi, je n'en peux plus, j'explose dans le ventre de Line, mais je reste en elle, pendant le temps où Joseph continue à la baiser. Il est endurant, ce gars ! Jean-Claude et moi espérons bien nous faire prendre par lui à notre tour. Une queue grosse et endurante ! Juste ce que nous aimons.
Enfin Joseph finit par jouir en poussant un grand " AHHHHH !». Il se retire de Line, et retire sa capote. Bon sang ! Elle est pleine, dommage qu'on soit obligé de mettre des préservatifs. Line s'allonge sur le ventre pour récupérer, elle est épuisée, heureuse mais épuisée. Jean-Claude prend grand plaisir à voir sa femme jouir par d'autres mais aimant le sperme, il s'empresse de lécher le petit trou de sa femme pour récupérer mon sperme, puisque tous 3 ensemble nous baisons "sans emballage". Une fois qu'il eut pris son petit dessert et par la même occasion fait la petite toilette de Line, nous nous dirigeons tous les quatre vers le bar pour prendre une boisson fraiche.
Line est épuisée, elle ne fera sûrement plus rien ce soir. Il n'en est pas de même pour Jean-Claude. Le pauvre, il n'a encore rien fait lui. Nous nous détendons dans nos fauteuils en buvant et riant, jusqu'à ce que Joseph retrouve la forme. Nous retournons donc dans la pièce où nous avions joué tous les trois. Jean-Claude à bien mérité d'avoir du plaisir, lui aussi, c'est donc son cul que Joseph va visiter. Jean-Claude est comme moi, il tire la plus grande jouissance de sa bisexualité par une certaine passivité et donc se faire sodomiser. Il se met à quatre pattes pour se faire prendre en levrette. Line et moi somme assis sur un bord du lit, face à son visage. Line est blottie dans mes bras. Quand Joseph entre en Jean-Claude, celui-ci pousse un grand :
« AÏE ! AÏE ! »
Suivi très vite d'un non moins grand : « Oh ! Putain ! Il me remplit bien ! Qu'est-ce que c'est bon ! »
Ce spectacle nous a excité Line et moi, aussi nous n'avons pas résisté à nous faire plaisir. Je me suis glissé sous Jean-Claude pour sucer sa queue toute raide. Line, quant à elle, a glissé sa main entre mes fesses. Avec toute la délicatesse dont elle a le secret, elle a rentré un à un ses doigts en moi, pour arriver finalement à entrer sa main jusqu'au poignet et me sodomiser ainsi.
Quel pied, cette main en moi !
Joseph, après avoir limé Jean-Claude longtemps, finit par jouir faisant du même coup exploser mon ami dans ma bouche. En bon camarade, j'ai bien entendu partagé cette bonne crème avec Line dans un long baiser bien cochon.
C'est ainsi que nous avons terminé notre soirée dans ce sauna pour rentrer bien sagement.
Signé : Bruno bi
- Commentaires textes : Écrire
Marie et Xénos - chapitres 4 et 5
Chapitre 4
Je laisse ma proie. Xénos qui avait tendu l’oreille au premier retentissement de la sonnerie se redresse sur ses quatre pattes en grognant un peu. Je lui intime l’ordre de se calmer. Il cesse de grogner, mais sa bite toujours en érection pend, toujours aussi écarlate au milieu de ses pattes arrière.
Je me recompose à la hâte une tenue décente, me couvre de mon long tee-shirt de nuit, mais reste nue dessous, avec la ferme intention de me débarrasser rapidement de cet importun. Je souhaite reprendre au plus vite mes jeux avec Xenos. Ce dernier, toujours sur le qui-vive, me suit jusqu’à la porte d’entrée, bien décidé à identifier la menace. À mon grand soulagement il semble s’être un peu calmé sexuellement, sa bite a réintégré son fourreau de poils.
J’ouvre brusquement la porte, un peu excédée. Ma voisine est plantée sur le perron de notre villa, un large sourire aux lèvres. Elle a comme un mouvement imperceptible de recul en voyant Xenos. Heureusement, sa bite a disparu. Je me vois mal expliquer l’état d’excitation du chien à ma visiteuse.
« Excuse-moi de te déranger Marie, j’ai besoin d’un conseil... Tu as du monde ?
- Non, non, je suis seule. Entre, si je peux t’être utile, il n’y a pas de problème Nicole.
- Il est à vous ce chien ?
- Non. Entre, n’aie pas peur, c’est le compagnon de mon amie Catherine.
Elle hésite encore alors que Xenos s’approche d’elle pour la renifler. Cette fois cependant, elle ne recule pas.
Ma voisine Nicole est une belle quinquagénaire, fort bien conservée, tout aussi « oisive » que moi. Son mari, directeur d’une agence bancaire lui permet de se laisser vivre sans trop de soucis matériels. Elle ne s’en prive pas. Mais je la soupçonne de s’ennuyer un peu à la maison. Secrètement, elle trompe cette inactivité avec des jeunes gens bien trop jeunes pour elle. Je ne vais pas lui jeter la pierre, il faut bien que le corps exulte. Nicole n’a guère de difficultés pour assouvir ses penchants.
De belle taille, plus que la moyenne féminine, svelte et sportive, blonde aux cheveux mi-longs, une poitrine que ne renierait pas Monica Bellucci, un sourire ravageur à faire péter les boutons de braguettes. De plus, elle cache fort bien son jeu. Madame l’hypocrite est assidue à la messe, fait régulièrement le catéchisme pour les gamins du quartier, fréquente la bonne société bien pensante de la ville. Je pense qu’elle repère ainsi ses futures « victimes », des petits puceaux catholiques de bonne famille à déniaiser sans tarder, dans la plus grande discrétion.
Depuis que nous avons fait connaissance, il y a maintenant quelques années nous sommes devenues peu à peu des amies, je dirais même des confidentes, malgré nos dix années de différence. En fait, c’est plutôt elle qui me livre ses turpitudes qui tournent invariablement autour du sexe. Ce ne fut pas évident au début. La dame ne se livre pas aussi facilement en public qu’elle écarte les cuisses en privé. Mais j’ai su la mettre en confiance. Petit à petit, elle m’a laissé accéder à son petit monde secret. Si tous ceux qui la fréquentent savaient !!! Nul doute que le curé du coin lui retirerait la charge du catéchisme !
Ce matin, elle est vêtue d’une courte jupe écossaise, d’un haut très fin, qui moule bien ses deux gros seins, qui me paressent libérés de tout soutien-gorge. Je distingue parfaitement ses deux pointes érigées. Il faut dire qu’elle n’a nul besoin de sous-tif, en plus ce serait vraiment dommage… J’espère qu’elle ne fait pas le caté dans cette tenue sinon les aspirants à la première communion de la paroisse risquent d’éjaculer dans leurs slips Petit-Bateau !!!
Xénos, un peu curieux glisse sa truffe sous le tissu écossais, en remontant vers le haut de ses cuisses. Nicole devient cramoisie. Elle plaque brusquement sa jupe pour empêcher une plus indiscrète investigation.
Je saisis le vilain fouineur au collier :
« Allons Xenos, en voilà des manières !!! »
Nicole bredouille :
« Je suis désolée, il doit sentir que je suis… comment dire… indisposée… »
Pour la rassurer, je rétorque innocemment, un léger sourire au coin des lèvres :
« Ah oui, c’est fort possible. Il a un odorat assez développé, rien ne lui échappe ! »
Je tire Xenos en arrière, puis invite une nouvelle fois Nicole à entrer. Elle s’exécute sans perdre le chien de vue. Comme il semble plus calme, je le libère. Il nous suit sagement jusque dans le salon. Nicole s’installe sur le canapé, le regardant craintivement. Le chien s’allonge voluptueusement à mes pieds près de la chauffeuse où je me tiens. Cette attitude rassure un peu ma visiteuse.
Je reviens au but de sa visite :
« Dis-moi comment vas-tu… Au fait, tu voulais un conseil ?
- Oui, voilà… Ce n’est pas facile à dire… Comment t’expliquer ?
- Vas-y Nicole, ne tourne pas autour du pot. Nous sommes de vieilles copines, lâche-toi…
- Bien… c’est à propos de Nicolas, tu sais, le fils de nos voisins…
- Oui je vois bien, un petit blond mignon, que lui arrive-t-il ?
- A lui rien, ou pas encore. Tu sais que je fais le caté…
- Oui, oui cela m’a toujours un peu étonné, mais…
- Comment cela « étonné » ?
- Excuse-moi Nicole, laisse tomber cette remarque idiote. Je t’écoute…
- Bon. Nicolas fait partie de mes élèves. Tu ne vas pas me croire, dans son cahier de catéchisme, j’ai trouvé une photo cochonne…
- Et alors ? Ce n’est pas la fin du monde !
- Non… je sais. Mais sur la photo, il y a un jeune homme en train de prendre une femme qui doit avoir le triple de son âge…
- Ne me dis pas que tu es choquée ?!
- Non, ce n’est pas la photo qui me choque. Mais Nicolas a écrit son prénom sur le front du gamin et le mien sur celui de la femme… Tu te rends compte ? Il n’a pas encore douze ans, il fait sa communion en mai prochain ! »
J’ai envie de rire, mais je ne veux pas la froisser. Elle est tout de même un peu hypocrite ma voisine. Je souris malgré tout.
« Voilà une déclaration originale ! Au moins, tu es fixée sur les « sentiments » du petit Nicolas à ton égard !!!
- Ne ris pas Marie… Je ne peux tout de même pas laisser passer ça ?
- Si tu veux mon avis, le mieux serait de faire comme si tu n’avais jamais trouvé cette photo. Dans trois ans, le petit Nicolas sera majeur, en tout cas, sexuellement… Tu verras bien à ce moment-là…
- Tu as peut-être raison en fait. Je vais feindre d’ignorer et surveiller son comportement. »
Je me demande si Nicole n’a pas trouvé ce prétexte foireux pour venir me voir seule à la maison, car elle enchaîne :
« Tu es seule avec le chien ?
- Oui, toute seule, enfin la journée. Catherine mon amie est partie en vacances, elle me l’a laissé en pension… J’ai toujours eu un peu peur des chiens. C’est pour cela que nous n’en avons pas. Mais celui-là, je le trouve très beau, très soigné. Je t’avais vu hier avec lui dans le jardin. Je me demandais si vous l’aviez adopté. »
Nous y voilà, la curieuse Nicole est venue aux nouvelles !
J’enchaîne :
« C’est un Golden retriever. Cathy le fait toiletter régulièrement. C’est préférable d’autant qu’il couche dans sa chambre.
- Tu ne penses pas qu’il couche dans son lit tout de même ?
- Ah ça… je ne sais pas, elle ne m’a pas fait de confidences… Je ne pense pas, elle est si maniaque !
- Moi je serais bien trop stressée de savoir cette grosse bête dans la même chambre que moi. En plus, ça doit laisser des poils partout… Tu parles d’un boulot ! »
Le chien est toujours à mes pieds, ignorant la conversation dont il est l’objet. Il a posé son museau sur mon pied nu. Nicole m’en fait la remarque :
« En tout cas, il a l’air de bien t’apprécier !
- Oui, il est très affectueux, bien plus qu’on ne peut l’imaginer au premier abord. »
Nicole le regarde, pensive.
Je romps le silence :
« Dis-moi Nicole, prendrais-tu un thé en ma compagnie ?
- Oui je veux bien… »
J’ai très envie de me retrouver seule avec le chien, mais mes devoirs de bons voisinages m’empêchent de mettre Nicole à la porte trop brusquement.
Je me lève pour me diriger vers la cuisine. Xénos m’imite. Je lui intime l’ordre de rester dans le salon. Il m’obéit, mais en profite pour se rapprocher de Nicole, qui n’en mène pas large.
Je la rassure :
« N’ai aucune crainte, il sait que nous sommes amies maintenant. Il veut simplement une caresse, il adore ça. En plus, il a horreur de rester seul. »
Timidement Nicole passe la main sur la tête de Xenos qui, ni une ni deux, pose sont museau sur sa cuisse.
Voyant que tout se passe bien, je les laisse faire plus ample connaissance pour aller préparer le thé.
Ma cuisine ouverte me permet de surveiller tout ce qui se passe dans le salon.
Par contre, Nicole qui me tourne le dos ne fait plus vraiment attention à moi.
Je sors le thé, la théière et les tasses. Je pose la bouilloire sur son socle et attends que l’eau chauffe. Dans le salon Nicole caresse toujours la tête de Xenos, mais de moins en moins timidement ! Sa main progressivement parcourt son encolure, caressant longuement les poils soyeux… Je me demande si elle ne s’est pas foutue de ma poire en me disant avoir peur des chiens !
« Tout va bien Nicole ?
- Oui, oui, ne t’inquiète pas Marie, nous faisons connaissance. C’est vrai qu’il est gentil ce chien… »
Je fais un peu trainer les choses, juste pour voir.
Nicole caresse maintenant le dos jusqu’à s’enhardir vers les reins du chien qu’elle flatte longuement, sans oser plus. Je ne vois que le train arrière de Xenos, mais il semble ravit de cette nouvelle amie, son fouet bat la mesure de son plaisir.
Chapitre 5
Sans bruit, dès que le thé est prêt, chargée de mon plateau, je retourne vers les deux nouveaux amis.
Quelle n’est pas ma stupeur de constater que le museau de Xenos est une nouvelle fois entre les cuisses de Nicole ! Sa truffe disparait très loin sous sa jupe, bien plus loin que la fois précédente. Mais cette fois, ma blonde voisine n’a manifestement fait aucun geste pour l’en empêcher !
Par contre, quand elle m’entend arriver, elle repousse Xenos en rabattant prestement sa jupe.
« Je vois que vous avez fait plus ample connaissance tous les deux ! »
Nicole, un peu troublée, me répond brusquement :
« Oui, mais ce chien est vraiment très indiscret…
- Je ne te le fais pas dire ! Mais dis donc, tu es moins choquée que tout à l’heure, il me semble !
- C’est vrai, j’aurai dû lui interdire de me renifler. J’avais surtout un peu peur qu’il se rebiffe. »
C’est cela oui… Elle me prend vraiment pour une truffe ! J’ai bien flairé son manège… Elle est curieuse de tout cette Nicole, rien ne l’arrête !
« En tout cas, il avait l’air d’aimer ton odeur, il me semble.
- Euh… tu plaisantes, Marie ? Je ne crois pas qu’un chien puisse être attiré par une odeur de femme !
- Détrompe-toi !
- Non ? Ce n’est pas possible !!!
- Si, si !!!
- Tu penses que certaines femmes qui ont des chiens chez elles… ?
- Je ne pense pas Nicole, j’en suis sûre !
- Mon Dieu… quelle horreur !! Mais c’est contre nature ! En plus, c’est interdit par la loi !
- La maltraitance est interdite par la loi… Nicole, pas l’affection entre un humain et son animal !
- Attends… attends… il y a affection et affection ! Là, tu me parles carrément de sexe !
- Ben oui… Généralement une grande affection mène parfois dans un lit !
- Mon Dieu… Je ne te crois pas ! Pas chez nous. Pas dans nos civilisations. Chez les primitifs, je veux bien, mais pas ici…
- Bien plus que tu ne penses, tu sais.
- Tu crois que ton amie Catherine… ?
- Écoute, je la reçois de temps en temps, elle et Xenos, j’ai bien vu qu’il y avait comme… comment dire ? Comme une certaine osmose entre eux !
- Mon Dieu… !
- Arrête de dire « Mon Dieu » à tout bout de champ !
- J’ai du mal à le concevoir !
- Moi si…
- Non ???
- Si !!!!
- Non ??? Depuis qu’elle te l’a laissé, il t’a manifesté de l’intérêt ?
- Bien plus que de l’intérêt !
- Non ???
- Si !!! »
Nicole me regarde bizarrement, le teint un peu rouge, les yeux brillants. Son regard va de moi au chien, comme une petite partie de ping-pong interrogative. Elle semble pour le moins interloquée.
Soudain le téléphone sonne.
Je m’éloigne vers le vestibule pour aller décrocher, je disparais à la vue de Nicole qui reste seule, une nouvelle fois avec Xenos. C’est ma belle-mère… Que veut-elle, cette emmerdeuse. Zut, en général, j’ai un mal fou à m’en défaire.
Je réponds poliment et évasivement à la mère de mon mari, qui m’expose un nouveau problème qui vient de surgir dans sa vie. Un homme en l’occurrence, et qui souhaite me consulter avant toute décision irrévocable.
« Mais oui belle-maman, je vous écoute… Expliquez-moi ! »
Je me penche un peu tout en écoutant mon interlocutrice, pour voir ce que manigance Nicole avec le chien… Elle est penchée sur lui, je ne vois que son dos et l’arrière-train de Xenos. Cette fois sa queue ne bouge plus…
P… je suis sûre que cette hypocrite est en train de branler le chien de mon amie… J’en mettrais ma tête à couper ; elle va me le piquer, si je ne fais rien !
Non, je dois rêver, la voilà qui se rassoit correctement. J’ai juste le temps de me reculer avant qu’elle ne jette un regard inquiet dans ma direction.
Après le long monologue de ma belle-mère, je lui sors quelques banalités, lui donne rendez-vous pour le lendemain, pour que nous parlions de son problème sans témoin, car j’ai une visite à la maison, que je ne veux pas la laisser seule, etc.
Pour une fois elle n’insiste pas et clôt le coup de fil par un sonore :
« Bien Marie, comme tu voudras, à demain ! »
Je raccroche.
Je retourne dans le salon, j’y retrouve Nicole, le cheveu en bataille et Xenos ravi, les deux pattes sur ses cuisses. Il lui lèche les lèvres.
« Eh ! Bien… De mieux en mieux !!! Je ne peux pas te laisser une seule seconde avec ce chien sans que cela ne vire au scabreux !
- Scabreux ! Il ne faut tout de même pas exagérer ! Il est affectueux, c’est tout. Après ce que tu m’as laissé entendre, nous sommes bien innocents… N’est-ce pas mon Xenos ?
- N’est-ce pas mon Xenos » ? Non, mais je rêve ! »
- Dis donc Nicole, tu ne serais pas intéressée par ce chien, bien plus que tu ne veux bien le dire, espèce de cachotière ?
- Euh… Non… que vas-tu imaginer, c’est n’importe quoi !?
- Je n’imagine rien. Je constate simplement ! Tu me dis avoir peur des chiens et en quelques minutes, tu te laisses rouler une pelle par Xenos…
- Il n’est pas comme les autres ce chien, avoue-le !
- Ca je le sais qu’il n’est pas comme les autres. Regarde-moi dans les yeux Nicole, quand j’étais occupée au téléphone, tu n’aurais pas profité pour le caresser ?
- Si un peu… Mais ce n’est pas un crime ?
- Où ?
- Que veux-tu dire par « où » ?
- Où l’as-tu caressé ?
- Sur la tête…
- Et ?
- Le dos…
- Et ?
- Un peu… le ventre…
- Ensuite ?
- Entre les pattes…
- Avant ?
- Euh… non… arrière…
- Tu as touché son sexe ?
- Juste un peu… par curiosité…
- Et alors ?
- Ben… C’est tout doux… Comme il avait l’air d’aimer… j’ai un peu insisté…
- Et alors ?
- Ben… au bout de quelques secondes, son bout rose est sorti lentement… J’ai craint de lui faire mal… J’ai arrêté.
- Tu plaisantes non ?
- Non. Je pensais être allée trop loin, j’ai eu peur.
- Est-ce qu’il donnait des signes de douleur ?
- Non… Pas vraiment, au contraire.
- Tu vois, il n’y a donc pas maltraitance, puisque le chien a aimé que tu le touches. Tu veux que je te fasse une confidence Nicole ? Je peux te faire confiance, n’es-ce pas ?
- Bien sûr Marie, je suis ton amie…
- Et bien, quand tu es arrivée, j’étais en train de le masturber… »
D’un bon Nicole se lève, blême, me regarde sans comprendre.
« Ce n’est pas possible Marie, je ne te crois pas !
- Non… Je te jure que j’étais en train de le caresser. Je peux même dire qu’il aimait rudement… Tu ne me crois pas ?
- Euh… Je m’attendais à tout de ta part, mais là, je suis sans voix !
- Avoue que ça t’excite !?
- Et bien…
- Avoue !!!!
- Oui…
- Tu vois, tu es en fait comme beaucoup de femmes qui fantasment sans oser l’avouer, ni concrétiser.
- Marie, tu es folle, je crois…
- Pas du tout, tu serais étonnée de découvrir le nombre de pratiquantes… secrètes !
- Je suis sidérée…
- Et excitée ?
- Oui, un peu…
- Un peu ?
- Beaucoup en fait. J’ai peur des chiens, mais j’ai toujours regardé leurs sexes à la dérobée.
- Seulement celui des chiens ?
- Non… tous en fait. Un cheval qui bande dans un pré, j’avoue honteusement que je regarde avec intérêt, si personne n’est témoin bien sûr. Je sais que ce n’est pas bien…
- Je te rassure Nicole, c’est mon cas également. Mais nous sommes victimes de notre trop belle éducation.
- Il n’empêche, j’en ai un peu honte.
- Tu serais étonnée de savoir le pourcentage de femmes qui se font au moins lécher par le chien de la maison, en cachette de la famille bien évidemment.
- Tu crois vraiment qu’il y en a tant que ça ?
- Bien sûr Nicole, c’est fatal. Une femme qui est seule toute la journée, délaissée par un mari qui travaille trop, qui la néglige sexuellement finit par se faire chier à cent sous de l’heure, excuse-moi d’être vulgaire.
- C’est vrai que moi aussi, par moment, je m’ennuie un peu. Heureusement que j’ai mes petits dérivatifs.
- Tu vois, toi aussi tu l’admets. Encore toi, ton mari te laisse liberté de faire ce que tu veux et tu es motorisée. Il y a des femmes qui n’ont pas de permis. Elles restent seules du matin au soir, dépendantes de leurs maris pour tout ! Il est fatal qu’un jour ou l’autre, elles finissent par regarder d’un autre œil le chien de la maison. Surtout quand il est en chaleur et le manifeste ouvertement.
- Oui, j’admets que cela doit être troublant pour une femme normalement constituée ;
- Et un beau jour, madame finit par craquer. Elle se laisse renifler les cuisses. En présence d’un tiers, bien sûr, elle repousse le chien en rigolant trop fort ;
- C’est vrai que souvent les chiens sont pénibles à te renifler sans cesse.
- Oui, mais un jour ou l’autre, seule avec le chien, elle ne repoussera pas cet assaut flairé… Juste par curiosité.
- Oui ce doit être troublant de le laisser faire…
- Si l’odeur plait au chien, il y a fort à parier qu’il finisse par passer la langue sur le tissu de la culotte… Et là dis-moi Nicole, quelle femme peut résister à pareille politesse ?
- Pas moi en tout cas, Marie, tu me connais…
- Oui Nicole, je te connais. Je sais que nous avons toutes les deux les mêmes besoins.
- En plus, c’est tellement bon…
- Oui. Mais une langue de chien ce doit être autrement efficace !
- C’est sûr. C’est plus gros, plus long, plus fort ! Je te jure, c’est à mourir sur place !
- Hein ? Ne me dis pas que tu as déjà essayé !
- Si, juste avant que je masturbe Xenos, il m’a léchée…
- Tu plaisantes Marie ?
- Pas du tout. Je te dis la vérité… Je peux te dire que j’ai même pris un pied d’enfer ! Tu veux essayer ?
- Jamais !
- Comme tu veux… Je garde Xenos pour mon usage personnel jusqu’au retour de Catherine.
- Tu oserais ?
- Et comment ! Mais comme tu es mon amie et que tu sembles prête à de nouvelles expériences, je l’aurai bien partagé avec toi, en toute discrétion, bien évidemment.
- Bon… écoute, juste pour voir. Mais s’il me saute dessus, tu le retiens, d’accord ? »
Sans lui répondre, je file vers la porte d’entrée que je verrouille. Je sais confusément que la partie est gagnée. Si Nicole se laisse lécher, je ne me fais plus aucun doute, elle va succomber. Nous serons tranquilles, il nous reste deux bonnes heures avant le retour de mon mari.
A suivre...
Xénos69
Marie et Xénos - chapitre 6
Chapitre 6
À mon arrivée dans le salon, Nicole me lance :
« Tu sais Marie, je dois te faire un aveu. Si je suis venue te voir, ce n’est pas pour l’histoire du petit Nicolas… C’est surtout que ce week-end, je t’ai vue dans le jardin avec Xenos. Je voulais le voir de plus près, il est trop beau !
- Dis-moi petite cachotière, ça fait longtemps que tu fantasmes sur les chiens ?
- Depuis mon adolescence… La première fois que j’ai vu un chien qui avait un début d’érection, j’ai été très troublée. J’ai été très honteuse des idées qui me sont venues à l’esprit… Cela me trotte dans la tête depuis si longtemps, mais j’en ai toujours eu peur. »
Je m’installe sur le pouf, face au divan. J’appelle Xenos, redevenu sage entre temps. Il s’assoit à mes pieds, me regarde comme pour chercher une réponse à une situation qu’il ne comprend pas. Je le retiens momentanément par son collier. Il ne bouge pas, attentif.
« Bon assez bavardé, enlève ta culotte Nicole !
- Là… tout de suite ?
- Ben oui, tu veux bien qu’il te lèche non ?
- Oui… oui, mais je trouve cela abrupte, trop précipité. »
Nicole s’exécute cependant. Elle se lève, passe les mains sous sa jupe, sans la soulever, un reste de pudeur amusant, fait glisser un joli tanga noir le long de ses jambes. Au moment où elle s’apprête à la jeter sur le divan, je le lui prends des mains pour l’examiner. Il présente une large tache humide.
« Dis donc, il y a un moment que tu penses à Xenos toi ! Allez, installe-toi sur le divan et écarte les cuisses petite cochonne ! »
Sans un mot, Nicole s’installe. Je la sens encore très nerveuse et subitement intimidée, elle semble toutefois soumise à mes exigences. Bizarrement cette petite domination envers ma voisine me plait bien. Je pense que je vais bien m’amuser avec elle. Je profite de mon avantage pour être encore plus autoritaire :
« Remonte ta jupe et écarte les cuisses ! »
Je suis moi aussi troublée, bien plus que je ne l’imaginais. C’est la première fois que je vois le sexe de Nicole. Il est fort bien entretenu. Je ne suis pas trop attirée par les filles en général, mais que ce soit ma voisine ainsi ouverte, le cul à l’air dans mon propre salon, j’en suis toute humide de joie.
Je lui demande :
« Si tu as une protection, il te faut la retirer.
- Zut, j’avais oublié.
Elle écarte les lèvres de son sexe et sort de son vagin un tampon à peine souillé. Comme une explication elle se croit obligée de préciser :
« C’est le premier jour, en plus, elles sont de moins en moins abondantes.
- Dans quelques mois tu seras débarrassée de ce problème Nicole.
- C’est vrai que c’est chiant… Mais bon, ça veut dire aussi que j’approche de la vieillerie !
- Tu es bête Nicole, tu es encore très bien… Tu vois, si je n’étais pas une femme, de te voir le cul à l’air dans mon salon pourrait me donner des idées !
- Nan nan… Marie, je ne mange pas de ce pain là !! Moi je suis là pour le chien ! »
Je profite de cet aveu révélateur pour me lever, tenant toujours Xenos par son collier. Nous nous approchons de Nicole qui soudain ferme les yeux. Comme si le fait de ne plus rien voir atténuait sa culpabilité.
Xénos doit avoir senti l’odeur de la femme en chaleur, car il approche sa truffe, renifle longuement, mais sans plus. Nicole toujours les yeux fermés et les cuisses ouvertes demande :
« Alors ? J’ai juste senti son souffle !
- Tu n’as pas l’air de l’inspirer !
- Zut ! Dis donc, il est hyper vexant ce chien ! On fait quoi dans ce cas ?
- Ne bouge pas, je vais à la cuisine chercher le nécessaire. »
Je les abandonne quelques instants, juste le temps de trouver un reste de miel dans un pot entamé. Je le passe brièvement au four, teste la chaleur du miel qui me semble parfaite. Je rapplique au salon et découvre Nicole les yeux grands ouverts en train de caresser Xenos, sans aucune retenue, entre les pattes arrière.
« J’essaie de le stimuler…
- Je constate qu’en dehors de ma présence, tu es bien plus spontanée !
- Oui, je suis stupide parfois… Excuse-moi. Tu fais quoi ?
- Je vais enduire ta chatte avec du miel, il adore…
- Tu en mets dedans aussi ?
- Bien sûr…
- Hum j’ai honte, mais c’est très excitant ! »
Je graisse largement son sexe. Cela me fait tout drôle de tripoter ma voisine. Je n’aurai jamais imaginé me trouver ainsi accroupie entre ses cuisses écartées. J’en profite un peu pour bien insister entre ses lèvres. Elles gonflent encore sous mon massage de miel. Malgré ses dires, elle semble fort apprécier. Comme une sale gosse vicieuse, j’en profite au passage pour dégager et caresser son clito, lui arrachant un long soupire de bonheur.
« Hum… continue Marie, c’est divin. »
Je poursuis ma caresse en la pistonnant doucement de mon majeur tout collant de miel. Le miel se mêle à sa cyprine qui coule d’abondance. La jugeant à point, j’appelle Xenos. Je lui maintiens la truffe en place, je l’oblige à sentir l’entrecuisse de Nicole. Cette fois, il est bien plus intéressé. Il passe sa large langue rose sur les grandes lèvres. Ma voisine émet de tout petits « ho… ho », très touchants.
Elle est foutue Nicole, elle vient de mettre le doigt dans un engrenage infernal ; ce n’est qu’une étape, mais je ne doute plus qu’elle va en demander davantage.
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Marie et Xénos - denriers chapitres.
Chapitre 7
De mon côté, je trouve le spectacle ravissant.
Ravissant et furieusement érotique. Je relâche mon étreinte sur Xenos. Victime de sa gourmandise, comme tout à l’heure avec le beurre de cacahuètes. Il est maintenant très absorbé par son léchage consciencieux. Le jus de Nicole coule de plus en plus. Je vois une belle trainée brillante couler dans la raie de ses fesses entre sa chatte et son anus qu’il imprègne. Mais ce gourmand ne laisse rien perdre, sa langue fouille de plus belle sans oublier le petit trou de ma voisine, qui n’a toujours pas ouvert les yeux.
Cette fois les petits « ho ! » du début ont laissé place à de véritables gémissements de plaisir qui vont crescendo.
Je m’installe sur le pouf en face d’eux pour mieux les admirer. N’y tenant plus moi-même, je glisse ma main entre mes cuisses pour soulager le trop-plein de tension.
En quelques minutes, Nicole parvient à un premier orgasme libérateur et fort sonore. Mais Xenos ne se laisse pas distraire pour autant. Il ne lâche plus sa proie. On le sent un peu plus fébrile, je pense que l’excitation sexuelle a maintenant pris la place de la gourmandise. Sa langue mène une belle farandole, les fesses de Nicole, ses cuisses, la raie de ses fesses, son anus et sa chatte, rien n’est oublié.
Nicole, les bras croisés sur le visage, s’ouvre à la langue canine avec une délectation évidente. Pour cibler un peu mieux, elle écarte elle-même les lèvres de son sexe pour que le museau de Xenos la fouille plus profondément. Rapidement, agrémenté de petits gémissement et couinement de bonheur, un deuxième orgasme déferle, bien plus puissant que le précédent. Nicole se détend, mais le chien manifestement n’est pas encore satisfait.
Il ne faut pas très longtemps à ma voisine pour reprendre ses esprits :
« Putain Marie, excuse-moi d’être grossière… mais c’est géant ! Jamais je n’ai été léchée comme ça. J’imagine le reste ! »
Elle se lève soudain. Xénos à ses pieds l’observe. Elle se désape complètement, ouvre son top qui est en fait un cache-cœur, libère deux énormes seins lourds, agressifs comme deux gros obus, décorés de deux très larges aréoles. Effectivement, elle a une superbe poitrine. Elle dégrafe sa jupe. Le tout valdingue sur le bout du sofa. Ma belle voisine, qui l’eut cru un jour, enseignante locale de la bonne parole ecclésiastique, est complètement à poil, au milieu de mon salon.
De plus, chaude comme une baraque à frites, elle ne semble plus le moins du monde décidée à refouler ses instincts.
Je suis complètement interloquée par ce très rapide changement d’attitude.
« Aide-moi Marie, je n’en peux plus, j’ai trop envie de lui !
- Que veux-tu faire ?
- J’ai trop envie de me faire sauter Marie ! Mais je ne suis pas prête. Reste près de nous, au cas où. Il me fait quand même un peu flipper ce chien.
- Pourquoi ? Tu as bien vu qu’il est adorable.
- Oui, adorable et très excitant.
- Tu vois, toi aussi tu succombes à son charme !
- Tu sais Marie, j’aimerai beaucoup te voir avec lui…
- Comment ça ?
- Ben tu m’as dit que tu étais avec lui au moment où je suis arrivée. J’aimerai trop vous voir ensemble. »
S’il y a une chose que je n’aime pas, c’est décevoir mes amies. À mon tour, je fais passer mon tee-shirt de nuit par-dessus ma tête, je me retrouve aussi nue que ma voisine. Cette dernière ne se prive pas de me lorgner :
« Hum Marie, je t’imaginais bien foutue, je ne m’étais pas trompée. »
Joignant le geste à la parole elle passe doucement la paume de sa main sur mon sein droit, le soupesant doucement, me faisant frémir.
Sur le coup, j’en oublie presque Xenos tant Nicole soudain, me donne envie de déviances saphiques. J’étais loin, en me levant ce matin, d’imaginer que nous nous retrouverions ainsi toutes les deux, nues dans mon salon et que Nicole me caresserait les seins sans aucune vergogne. Je la laisse faire, les yeux plantés directement dans les siens. Elle se rend compte de mon trouble et me demande :
« Pourquoi ne suis-je pas venue plus tôt te voir lorsque tu es seule ? J’en avais envie, tu sais, mais je n’osais pas.
- Moi aussi Nicole tu me faisais fantasmer, mais je n’imaginais pas que tu aimais les femmes et que tu étais aussi cochonne.
- Je préfère les hommes bien sûr, mais la douceur féminine est aussi très agréable et sensuelle. Mais avec toi, c’est encore mieux, car nous sommes déjà amies et voisines. »
Ses paroles me troublent. Je me colle contre elle, écrasant ses gros seins contre les miens, bien plus modestes. Cette douce sensation me plait particulièrement.
Nos bouches s'ouvrent et nos langues se rencontrent pour la première fois, scellant notre découverte l’une de l’autre et notre commun secret. Doucement je fléchis les jambes, descends doucement jusqu'à ce que ma bouche se trouve à la hauteur de son sexe.
Quand mes lèvres touchent son clitoris trempé, elle jette le ventre en avant pour que je boive son miel qui coule doucement.
Sa jouissance est rapide et les cris qu'elle pousse me font comprendre qu'elle en veut encore.
Tout ne fait que commencer entre nous deux.
Chapitre 8 et fin
Je me relève sans la quitter des yeux, lui donne ma bouche à lécher, puis j'appelle Xenos qui vient immédiatement me renifler les fesses. Pas besoin de lui expliquer très longuement. Je suis intimement persuadée qu'il a compris ce que j'attends de lui et de suite son museau cherche ma fente.
Je suis trempée, tremblante par l'excitation qui me prend le corps. Sans mot dire, je me mets à quatre pattes, puis les reins relevés, les fesses écartées, je lui présente mon sexe affamé et gluant.
Xénos lui aussi semble nerveux, il gémit, me sent puis me lèche. Hum quel délice !
Je tends davantage ma croupe à Xenos. Excité comme il est, le petit coquin ne met pas longtemps pour se mettre sur mon dos, donnant dans sa précipitation des coups de reins dans le vide. Je sens la pointe de son sexe cogner mes fesses et les premières giclées de sperme couler le long de mes cuisses. Je me cambre pour présenter l'entrée de mon vagin face à sa bite. Il s'énerve, saute sur le côté en m'envoyant un jet encore plus puissant sur les fesses.
« Aide-le Nicole. Il ne trouve pas l'entrée.
- Je vais essayer de le maintenir et de le guider. Mais ce n’est pas facile, il gigote tellement… C'est dingue ce qu'il peut gicler !
- C’est tellement bon de sentir son sperme chaud sur mes fesses que j’en jouirais déjà sur le champ.
- Tu es vraiment une salope toi !
- Oui, comme toi, Nicole… Espèce d’hypocrite ! Allez, vite dépêche-toi, j'en peux plus, j’ai vraiment trop envie. »
-
Xénos se replace de lui-même et me monte à nouveau, son sexe cherchant toujours l'entrée de ma chatte.
La tête posée sur mes avant-bras, je regarde entre mes jambes et je vois la main de Nicole attraper le fourreau d'où sort un bout du sexe du chien et le présenter enfin devant mes lèvres gonflées et impatientes. Au contact chaud de mon intimité, Xenos pousse violemment et rentre d'un seul coup toute la longueur de sa hampe en m'arrachant un cri de douleur, de surprise et de bonheur.
Nicole inquiète :
« Il t'a fait mal ?
- Un peu, mais c'est surtout le plaisir total. C'est trop bon : il va falloir que tu essaies aussi Nicole. Tu as vu avec quelle force il m’a enfilée ?
- C'est fou ! Tu me fais mouiller comme une salope avec tes trucs de dingue ! »
Sa bite bien logée dans mon vagin, Xenos entame des va-et-vient frénétiques. Je sens sa barre de chair rentrer en moi, la boule gonfle progressivement à sa base. Je suis trempée par sa semence et ma mouille mêlées. À chaque entrée, il va encore plus loin poussant la pointe de son sexe fine et dure dans ma chatte en feu, son extrémité frappe avec une telle force mon utérus, que j'ai l'impression qu'il le traverse.
Je tremble sous le plaisir regardant mon sexe rejeter le trop-plein de sperme qu'il déverse en moi et qui s'écoule le long de mes grandes lèvres avant de faire de longues trainées brillantes et gluantes le long de mes cuisses. Puis mon amant ne bouge plus : il vient de me faire prisonnière.
Je suis désormais sa chienne, il me possède entièrement. Il vient d'entrer la totalité de son engin en moi, déversant à grands jets brûlants une semence épaisse au fond de mon vagin. Je le sens grossir encore, s'allonger me remplir intégralement le ventre. Je suis prise, collée à lui et la prochaine fois je le laisserais se retourner pour qu'il puisse me tirer de partout. Je sais que Nicole apprécie de me voir dans cette position
Se détendre avant tout, je dois me détendre pour profiter pleinement de cette saillie.
À présent son sexe pousse le pas de ma matrice et je suis totalement prise et pleine de sa chair. Sa boule presse délicieusement les muqueuses sensibles de mon intimité. Je sens à présent mon corps frissonner, trembler, comme pris de spasmes incontrôlables. Je gémis, râle, couine de plaisir. Nicole est éberluée par le spectacle qui lui est donné de voir. Elle se caresse, se doigte aussi vite qu'elle le peut, hypnotisée par la saillie que me donne Xenos.
« Tu ne dis plus rien ! Tu as mal ?
- Non, caresse-moi, vite, je ne vais pas tarder de jouir, lui ordonné-je d'un ton qui n'accepte aucune contradiction. »
Aussitôt elle se glisse sous mon ventre. Elle me gratifie de douces caresses sur les flancs puis entre les jambes, pince au passage mon clito gonflé à éclater.
La joue collée contre le carrelage du salon, je suffoque, je suis en nage. Xénos me fertilise toujours et j'ai l'impression d'avoir des litres de sperme dans le ventre. Le salaud, comme moi il en avait une furieuse envie.
Est-ce l'odeur de Nicole en chaleur ou qui a ses règles et le fait de me saillir simultanément qui le rend aussi vigoureux ? Ou alors simplement, il a pris goût à me monter, le fait est, il me baise royalement comme jamais je ne l'ai été. C'est décidé : j'en ferais mon amant quand Catherine voudra bien me le laisser. Je me promets même de le prêter à Nicole de temps en temps, mais uniquement en ma présence.
Justement, les doigts de Nicole font en ce moment merveille. Je ne contrôle plus rien. Je ferme les yeux, me concentre sur mon plaisir immense, imminent, imparable : je vais jouir, c’est fort. Je sens la déferlante qui grossit… inexorablement.
« Ahhh, ahhh, ouiiiii !!! Nicole... Continue, c’est divin. »
Mon cri déchire le silence qui n'était jusqu'alors rythmé par les halètements du chien. Je sens un voile noir arriver, des mouches dans les yeux, des picotements dans la tête qui descendent le long de ma colonne vertébrale et remontent de mon bas ventre en de longs papillons frissonnants.
Xénos continu de me baiser, en donnant de temps à autre quelques petits coups de reins afin de bien assurer sa prise de ma croupe. Dans ma semi-inconscience, je regarde sa semence suinter de mon sexe et s'écraser sur le sol.
« Lèche-le !
- Qui ? Quoi ? Toi ou le chien ?
- Lèche-moi, je te dis ! Colle ta bouche à mon sexe. »
Comme une bonne soumise, Nicole se penche sous moi, plaque sa bouche contre ma chatte toujours prise, ne pouvant éviter les précieuses gouttes de mon mâle qui lui coulent le long des lèvres. Par dessous, je la regarde laper, avaler le sperme qui dégouline de ma chatte distendue. C'est sublime, elle sait y faire la salope. Je suis à présent persuadée que ce n'est pas la première fois qu'elle lèche une femme.
Ce faisant, par la positon qu'elle a été obligée de prendre pour se glisser sous mon ventre, elle m’offre ainsi une vue imprenable sur sa toison pubienne, fort bien entretenue. Son sexe est ouvert, ses poils gluant de mouille : elle a visiblement aimé la représentation, peut-être même serait-elle prête à y participer ? Je suis persuadée qu'elle n'en restera pas là, qu'elle demandera sa part.
Sa langue titille mon bouton, suçant, léchant aussi les lèvres et sans doute la tige de Xenos toujours plantée en moi. De loin, je sens arriver une nouvelle déferlante de plaisir, les premières vibrations me le disent.
Le sexe fiché en moi excite les parois de mon vagin. Les caresses buccales de mon experte partenaire ainsi que les odeurs musquées de sa vulve dans laquelle je viens de plonger ma langue avide m'amènent sans coup férir à l'apogée de la jouissance.
La précédente vague avait été sublime, mais celle-là s'annonce dantesque.
Xénos toujours imperturbable m'inonde de son jus : Nicole elle, se délecte du trop-plein coulant de long de ma fente et moi je sens que je perds tout contrôle, mon bassin s'agitant frénétiquement à la rencontre du chien. Je le veux encore plus en moi, plus loin.
Sa pointe est fichée au plus profond de ma chatte, son bout tapisse mon utérus de puissants jets de sperme et sa boule écartèle mes lèvres. Mes seins sont tendus comme jamais, mes tétons hypertrophiés. Tout en moi n'est plus qu'une zone érogène.
Je dévore la chatte de Nicole qui me le rend bien. Elle geint comme une possédée. La situation lui a échappé à elle aussi. Les contractions dans mon anus et dans mon ventre précédent l'arrivée proche de l'orgasme dévastateur.
Comme une malade, je souffle, halète, gémis, grogne et crie enfin ma jouissance. Pour la première fois, je jouis grâce à un chien en présence d'une autre femme ! C'est merveilleux. Tout mon être n'est que tremblements, spasmes, frissons de plaisir. Ma jouissance est si forte, que le sexe de Xenos est éjecté, laissant échapper par ma chatte béante, un torrent de sperme sur le visage de Nicole.
Elle n'a jamais vu pareille abondance. Ses cheveux maculés, la bouche gluante d'un mélange de salive, sperme, mouille, elle fixe l'énorme queue qui pend devant ses yeux et continue à déverser les dernières giclées sur sa bouche affamée.
Épuisée, je tombe inanimée sur le sol, parcourue par des décharges résiduelles, c'est à peine si je vois Nicole se précipiter sur Xenos, observer sa tige et la prendre en bouche goulûment.
« Prends-la dans la bouche ! Avale-la, suce-la ! »
Elle n'a pas attendu que je lui dise ce qu'elle a à faire. Sans dégout, elle attrape l’énorme pénis entre ses mains et l’embouche, lui laissant lâcher les dernières gouttes de semence sur sa langue.
La taille de l’engin est toujours aussi impressionnante !
Je la regarde pomper comme si c'était le sexe d'un homme, léchant, glissant sa langue autour de la boule énorme. Je suis heureuse pour elle. Elle vient en moins de deux heures de m'embrasser, de me lécher, de se faire lécher par un chien et maintenant sans aucune gêne, sans aucun dégout, elle le pompe avec avidité.
Nicole lâche sa proie et se tourne vers moi :
« Alors ! Tu as aimé sa bite dans ton ventre ? Et moi, trouves-tu que je me débrouille bien ?
- C'était divin ! Je ne sais quoi faire pour te remercier et pour ce qui est de tes prestations : à un moment, je me suis demandé si tu ne t'étais pas déjà servi d'un chien toi aussi.
- Je te jure que c’est la première fois, mais je ne regrette pas ma visite.
Je me lève, mais avant de foncer à la salle de bains, je me retourne vers Nicole et lui demande :
Tu veux bien répondre à deux questions et me parler franchement ?
« Lesquelles ? me répond-t-elle, ne relâchant toujours pas le sexe, le laissant s'écouler le long de ses seins.
- On recommence cette séance demain matin, et cette fois, tu te fais sauter ?
- J'hésite, tu sais, mais si tu m'aides, comme je viens de le faire pour toi, je crois que je vais me laisser tenter ! Tu m'as rendue complètement dingue ! J'ai le ventre en feu maintenant.
- Je t'aiderais si tu en as envie, je te le promets. D'ailleurs, tu peux tout me demander, tu peux faire et essayer tout ce que tu veux avec moi désormais, je serais toujours partante. Même quand le chien ne sera pas là. Dommage qu'il ne puisse te saillir maintenant. Regarde-le, le pauvre, il est complètement vidé…
- Ce n’est pas grave, je dois partir de toute façon. Mais je reviens demain matin, dès que ton mari sera parti.
- Tu ne perds rien pour attendre Nicole, demain, ça va être ta fête ! Allez, viens dans la salle de bain faire un brin de toilette. Je vais m’occuper de toi. Après, il faut que je fasse un peu de ménage avant le retour de Philippe. »
Ma voisine rassemble ses effets et nous nous dirigeons toutes deux vers la salle de bain, main dans la main, abandonnant notre Xenos à un repos momentané mais bien mérité.
Fin
Signé : Xenos68
Virginie : la dernière épreuve - dernier chapitre
Chapitre 6 – La dernière épreuve
Après ma « punition », nous sommes restés plusieurs jours sans nous parler, Paul et moi. Paul de son coté ne faisant aucune allusion à ce qui s’était passé, de mon coté, mon travail m’absorbait suffisamment en cette période d’examen pour ne pas trop y penser.
Un jour, Paul me dit :
« Le réseau souhaite que je te mette à l’épreuve avant de te permettre de retrouver des contacts, c’est moi-même qui doit organiser l’épreuve. »
J’étais dans l’incertitude, devais je refuser, devais-je continuer ce qui au début n’avait été qu’un jeu, et qui aujourd’hui, prenait une autre tournure ? Finalement, j’acceptais en posant cette fois-ci mes conditions : plus d’actes forcés et arrêt immédiat si j’en décidé ainsi.
Face à ma détermination, Paul accepta le marché. L’épreuve que me proposa Paul était assez excitante en soi. Je devais être livrée à plusieurs hommes, à tour de rôle, dans un hôtel, les yeux bandés. C’est ainsi que je me retrouvai un soir dans un hôtel chic de Lyon, les yeux bandés. Paul avait choisi mes partenaires. Pour me rassurer, il accepta de rester dans une chambre contigüe à la mienne.
J’étais nue sur le lit, les yeux cachés par un foulard noir, je ne voyais strictement rien, à peine une lueur. Je restai ainsi quelques minutes, quand j’entendis la porte du vestibule de la chambre s’ouvrir. Je sentis l’homme s’assoir sur le bord du lit à mes cotés. Il se mit à me caresser doucement, avec beaucoup de tact et de douceur. Il me força à ouvrir mes cuisses, je sentis alors sa langue qui cherchait mon clitoris.
Doucement, il se mit à me lécher tandis qu’il introduisait dans mon vagin quatre doigts, deux par main en les écartant en forme de vé. Au bout de plusieurs minutes, je sentis monter en moi un désir violent. Je me répandis sans le vouloir, je suis parfois femme fontaine, et m’abandonna totalement. Quelques instants plus tard, je me mis a jouir par saccade sans aucune retenue. L’homme me fit mettre alors en levrette. Je sentis bientôt son membre qui me pénétrait à la fois avec force et douceur. Je crus reconnaitre à sa façon de faire le premier partenaire que j’avais eu lors de ma mise aux enchères à Megève. Il jouit à son tour toujours en silence. C’est ainsi d’ailleurs qu’il quitta la chambre sans un mot sans un souffle.
Le temps me parut long avant l’entrée du deuxième partenaire. Je compris très vite qu’il n’était pas seul. Il y avait cette fois deux hommes. A leurs paroles, je reconnus les deux hommes qui m’avaient possédée lors de mon initiation, surtout le plus jeune qui avait un accent étranger. Je les entendis dire : « Elle est toujours aussi belle. On se la fait tout les deux en même temps »
C’est ainsi que très vite après avoir été prise en levrette par chacun d’entre eux à tour de rôle, je me retrouver accroupie sur le premier, qui, sans ménagement, me sodomisa. Je poussais un cri de douleur. Je n’eus pas le temps de reprendre mon souffle, que le second pénétrait mon vagin. J’étais prise par mes deux orifices .Ils se mirent à s’activer en l’unisson, et rapidement, ils ont joui en moi. J’entendrai toujours le plus âgé dire en quittant la chambre et en me tapant les fesses :
« Putain tu es toujours aussi bonne ! »
J ’avoue avoir été soulagée de leur départ.
Je restais de nouveau seule plusieurs minutes, je n’avais plus la notion du temps. La porte s’ouvrit, je déduisis au bruit qu’ils étaient de nouveau deux. J’entends l’un dire à l’autre :
« Attends, je m’installe, j’en ai pour cinq minutes, prépare- toi. »
Je ne compris pas tout de suite ce que cela signifiait. Cinq minutes plus tard, l’un des hommes commença à me caresser le corps. J’étais alors étendue nue sur le lit. Celui qui avait parlé jusqu’alors dit :
« Tu la prends dans toute les positions, lorsque je te dis de ne plus bouger, tu ne bouges plus, allez commence. »
L’homme qui avait commencé à me caresser me fit mettre en levrette. Il me pénétra immédiatement. Il avait une verge énorme, pour ne pas dire démesurée. J’entends alors le second ordonner :
« Ne bouge plus ! Putain, c’est beau un black avec une blonde ! »
A ce moment précis, j’ai compris que l’homme qui me pénétrait était un homme de couleur, cela n’était pas pour me déplaire. Au même moment, il y eu comme un éclair dans la chambre. Malgré mon bandeau, j’avais pu le percevoir. Je compris alors qu’il prenait des photos. Je me hasardais à poser une question :
« Que ferez-vous avec ces photos ? »
Celui qui était le photographe me répondit brutalement : « C’est pour les diffuser dans le réseau à tes futurs clients. Allez, remue ton cul, cela va te rapporter du fric avec le cul que tu as ! »
La séance continua durant plus d’une heure Je dus prendre toute les poses possibles et imaginables. Mon partenaire était très doux, même attentionné à mon égard. Le photographe lui demanda de me goder, ce qu’il fit avec beaucoup de délicatesse. A la fin de la séance, il lui intima brusquement :
« Allez baise-là à fond et termine ! »
L’homme s’activa avec force, si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis a jouir une nouvelle fois. J’entends encore le photographe dire : « Superbe, je la prends en pleine jouissance ! »
J’étais honteuse de me donner ainsi en spectacle, mais le plaisir qui parcourait mon bas-ventre était plus fort que tout. Je pris à pleines mains les fesses de mon partenaire pour qu’il jouisse au plus profond de moi.
C’est ainsi que se termina ma dernière épreuve. Nous sommes restés, Paul et moi, à l’hôtel pour la nuit. Pour la première fois depuis ma punition, Paul me fit l’amour divinement bien. Le lendemain matin, il me dit : « Tu as passé cette épreuve avec succès, tu pourras réintégrer le réseau sous peu… »
Quelques semaines plus tard, je reçus mon premier coup de fil. C’est ainsi que je suis devenue, à raison de deux à trois rendez-vous par mois, une pute de luxe occasionnelle, à la fois par plaisir et aussi par amour pour Paul.
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Excusez moi de vous déranger chère Sophie, mais il manque à cette terrible histoire le chapitre 6!
Encore mille excuses pour les dérangement que je vous fait!
Meilleures salutations.