Les Mémoires très Libertines de Sophie
Femme de chambre, ou la vie intime d'une famille bourgeoise
CHAPITRE 7
Caroline s’assit face au jardin. Et certainement pour regarder les quelques beaux ouvriers. Je m’assis en face d’elle, les jambes repliées en chien de fusil, une tasse de café à la main.
« Après votre départ, j’ai été trouvé ce fameux Jean. Il me plaît. Beau gosse mais quel con ! J’ai discuté avec lui de choses et d’autres comme doit le faire une parfaite maîtresse de maison. Il bavait en regardant avec insistance mes seins. Je le quittai et demandai à ma secrétaire d’échafauder un petit plan vite fait. Elle téléphona à deux copains qui lui devaient un petit service. Bref, elle est partie chauffer à blanc ce blanc bec. Ce fut rapide ! Et je les vis partir vers la petite cabane dans le fonds du jardin.
- Elle sert beaucoup, répondis-je en souriant.
- Oui, je sais qu’Emma l’emploie assez régulièrement. Bref, la soirée se termina. Les derniers invités partis, je me suis dirigée vers la cabane. Catherine, ma secrétaire, était à quatre pattes, le pieu de l’autre dans son cul. C’est vrai qu’il s’est s’en servir car vu la grandeur, il doit compenser ! »
J’éclatai de rire.
« Ben oui ! Bon, il n’a pas un dé à coudre comme sexe, mais disons que cela frise le minimum syndical. Et quoi que toutes ces bonnes femmes disent, j’affirme qu’il vaut mieux avoir une belle et grosse entre les jambes qu’une petite travailleuse. »
Le fou rire me gagna. Elle attendit que je reprenne ma respiration.
« Catherine gémissait quand même. Son gsm retentit et tout en étant enculée elle répondit comme si de rien n’était. Elle interrompit la chevauchée au grand dam d notre cher ami.
- J’ai invité deux copines, cela te dérange ? »
Il était aux anges ! Il acquiesça. Catherine lui demanda de mettre un bandeau sur ses yeux et qu’elle l’enlèverait lorsque ses deux copines seraient là.
« Ce sont deux super salopes. Jamais satisfaites ! De vraies chaudasses. Tiens, je vais attacher tes mains à ce crochet. »
Tellement excité, il se laissa faire. Il était ainsi lié et aveugle. Catherine lui fit respirer un poppers.
- Un quoi ?
- Un poppers ! Cela sert à désinhiber la personne. Cela provoque une euphorie et surtout à aider à relaxer le sphincter anal et de faciliter la pénétration. Il ne s’en rendit pas trop compte. »
Elle sortit nue de la cabane et me vit.
« Tiens, fais-moi des plans supers ! J’aimerais bien tout revoir en rentrant chez moi. Je vais chercher mes deux copines. »
J’ai pris son gsm et attendit. Elle revint vite, accompagnée de deux superbes mecs. Musclés, grands, un sourire carnassier, bref, deux apollons.
« Je te présente Marc et Pol. Hommes ou femmes, même combat pour eux. N’est-ce pas mes petites salopes ? »
Je ne sais pas ce qu’elle leur avait fait, mais ils firent oui de la tête. D’ailleurs, je ne les jamais entendu parler. Bref, ils rentrèrent dans la cabane et Catherine alla se blottir contre l’autre con. Les deux mecs se dévêtirent, et mazette ! Ils étaient montés comme deux étalons. Catherine se mit devant la victime et entreprit de le sucer. Le poppers avait rendu à son microbe une taille plus ou moins respectable. Mais toujours pas question de faire gorge profonde ! Il demanda si les copines étaient là.
« Oui, elles sont complètement nues. Elles s’embrassent juste devant toi. Elles aiment la bite. Tu ne vas pas être déçu. Je vais aussi te bâillonner car tu vas tellement jouir que je ne veux pas que tu réveilles tout le quartier.
Il se laissa bâillonner et Catherine reprit sa pipe. Pendant ce temps, un des deux mecs faisait de même avec son copain. Je mouillais comme une fontaine et posa le gsm sur la position film. Ainsi, je me mis à poil et je me branlai. Rien qu’à y penser, j’en ai envie.
Caroline glissa une main entre ses jambes et sans retenue imprima un léger va-et-vient.
Après quelques temps ils changèrent de position et ce fut deux beaux braquemarts fiers et arrogants qui se présentèrent devant Catherine.
« Et maintenant, dit Catherine, mes deux petites salopes vont te faire connaître des sensations que tu n’as jamais connues.
Elle le détacha, le coucha sur une table et attacha les mains.
« C’est pour mieux profiter de toi. T’aimes ?
Il fit oui de la tête.
« Et maintenant, je vais te présenter mes deux bonnes copines.
Les deux apollons se mirent juste en face de lui. Catherine enleva le bandeau et là, je vis le regard de ce petit mec s’ouvrirent en grand. Il s’affola mais le bâillon l’empêcha de parler.
« On fait moins le fier ! Comme cela, tu insultes mes copines en les traitant presque de putes ? Mes deux bonnes copines sont des amies très proches de Florence. Elle t’a dit que des amis gays à elle aimeraient t’initier ? Ben voilà, ils sont là devant toi. Tu aimerais qu’ils t’apprennent deux ou trois trucs ? »
Il fit non de la tête et pour le punir, elle lui mit le poppers de nouveau sous le nez. Il bandait toujours.
« Pourtant, je vois que tu bandes encore ma petite fiote. Je crois que tu adorerais cela. Tu veux essayer ? Montrez-lui ce que vous lui feriez ! »
Un des deux apollons se baissa et l’autre, sans ménagement, s’engouffra dans le cul offert. Je n’avais jamais réellement vu deux mecs s’enculer, mais je te jure que cela m’a excitée à mort. T’en as déjà vu ?
éNon !
- Tu devrais, » dit-elle en se caressant le sexe.
Jean avait le visage en sueur, essayant de se libérer de ses liens, mais Catherine experte en nœuds de toute sorte, l’avait solidement attaché. Elle siffla un coup et sans rien dire, les deux mecs changèrent de rôle. Au bout d’un moment, Catherine prit la pine de la victime et comme une vache elle l’a trait.
« Je suis sûre que tu voudrais que je te fasse jouir ?
- Oui, dit-il simplement.
- A une seule condition ! Soit tu deviens le jouet de ces deux mecs pendant le reste de la soirée, soit je te fais un cadeau, et tu devras le porter tout le temps sur toi tout le reste de la nuit. »
Elle lui enleva le bâillon.
« Quel cadeau ? demanda-t-il ?
- Je te le dirai après ! Choisis ? Ces deux belles queues pour toi tout seul, ou mon petit cadeau ? »
Le choix fut vite fait ! Il prit le cadeau.
« Et c’était quoi ?
- Un beau et gros plug ! »
Catherine le détacha et lui ordonna de se le mettre dans le cul. Il refusa d’abord, mais les deux impressionnants braquemarts juste en face de lui eurent raison de son manque d’élasticité. Le plug mit, Catherine lui mit un collier et l’attacha à une laisse.
« En fait mon cadeau est en plusieurs parties. Il y a le plug que tu devras garder dans ton cul, ce collier, et cette laisse de chienne. Et tu vas me suivre dans un club très privé. Je peux juste te rassurer que personne ne te touchera. Et si tu me désobéis ou si tu émets le moindre son sans que je ne te l’aie demandé, ces belles bêtes viendront remplacer le latex que tu as en toi ! Compris ? »
Il opina du chef.
« Et elle partie où avec lui ?
- Dans un club de SM. J’ai reçu un sms juste avant que tu n’arrives déjeuner. Elle me disait qu’elle aimait cela, car rien qu’à voir les autres soumis, il s’est mis à bander comme un âne.
- Et les deux mâles sont aussi allés avec elle ?
- Oui mais juste les déposer ! Ils sont revenus ici et j’ai pu assouvir quelques fantasmes que je te raconterai peut-être une autre fois ! Mon Dieu, quel pied ! Bon, je vais aller m’habiller dignement car les parents de ce cher Rodrigue nous invitent à dîner. Je vais me raser toute la journée mais je crois que mes deux orifices ont besoin d’un peu de repos ! »
Elle se leva et m’embrassa sur la bouche. Je restai là seule à siroter mon café froid.
Les deux semaines qui suivirent furent routinières. Emma disparut avec son fiancé de façade pour un voyage exotique, cadeau de fiançailles. Steve, toujours fidèle à lui-même, se branlait gentiment dans les strings que je laissais volontairement dans la buanderie. Il me touchait un petit peu car je le sentais très mal dans sa peau. Jacques partit les deux semaines à Paris pour son boulot. Le gros point noir était Florence dont je n’avais pas eu de nouvelles. Juste un sms me disant qu’elle avait beaucoup de boulot et n’avait pas le temps de me voir.
A suivre....
SIgné : un Mari Heureux
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Les toilettes de Roissy (gay)
Je suis arrivé à Roissy deux heures d'avance, et l'embarquement sera certainement retardé. Je décide d'aller diner au restaurant rapide sur la mezzanine du Hall 4. Avant de m'asseoir devant le comptoir, je fais un détour par les toilettes.
Tiens, il n'y a pas de dame pipi ! Très souvent dans ce cas, il est possible de faire des rencontres intéressantes. Je me surprends à espérer ! Il faut dire que je suis à Paris depuis plusieurs jours, et que la drague n'a pas bien fonctionné. J'y ai pourtant mis du mien : saunas, sex-shops, bar, métro et même dans la rue, j'ai tout essaye. Rien ou presque !
J'entre donc chez les hommes, et je vois un mec devant un urinoir. De dos, il me parait pas mal du tout. Je choisis de me placer juste à coté de lui. Je me dis que si ca ne marche pas, j'aurais au moins vu sa bite, car depuis longtemps, je ne me gène plus pour regarder pisser les mecs dans les urinoirs. Certains n'apprécient pas et me jettent des regards décourageants. Mais assez souvent, j'assiste à un spectacle que j'apprécie, et quelque fois ca se termine dans une cabine.
La, le mec à coté ne s'est pas contenté d'ouvrir sa braguette. Il a défait aussi la ceinture et tout sorti, même ses couilles.
Bon présage. Je fais la même chose et tout en massant ma queue qui commence à réagir, je mate mon voisin. Celui-ci, tout en semblant m'ignorer, commence lui aussi à jouer avec son sexe. Nos regards se croisent enfin. Il est pas mal du tout. Il me sourit, puis referme son pantalon.
Je pense qu'on va hélas en rester la.
Dommage.
Mais au lieu de sortir, il entre dans un WC et ferme la porte sans la verrouiller. Si ce n'est pas une invitation, ca y ressemble fort. Je rince mes mains au lavabo, puis j'ouvre la porte du WC et il est la, debout, il m'attend.
Aussitôt, nous nous déshabillons et chacun s'occupe du sexe de l'autre. J'ai pris sa queue à pleine main et le caresse doucement. Je la sens se raidir. Et sa taille devient plus qu'honorable. Moi, je bande aussi sous ses caresses.
« Tu es pressé ? me dit-il.
— J'ai presque une heure devant moi, lui dis-je.
— Moi aussi. On va pouvoir s'amuser un peu. »
A l'extérieur, on entend les bruits des mecs qui entrent dans les toilettes. Ca m'excite et lui aussi. Je suis maintenant assis sur la cuvette lui est devant moi et j'avale au plus profond sa grosse queue. Que c'est bon ! Je l'entends qui respire de plus en plus bruyamment. On doit certainement l'entendre de l'extérieur. Tant pis.
Il se retire, on échangé nos places, et maintenant, c'est lui qui avale ma bite. J'adore et le lui montre.
Ce jeu a duré un bon moment. Puis mon compagnon occasionnel fouille dans une de ses poches et en sort une boite de préservatifs.
« Tiens, il veut aller plus loin », pensai-je ravie de la bonne aubaine !
Va-t-il mettre la capote sur ma queue ou sur la sienne ? Les deux solutions me plaisent. Il la déroule sur sa queue. Je vais donc m'en prendre plein le cul... Je suis de plus en plus excité.
Il me prend par la taille et me fait pivoter. Je me penche en avant, les mains posées sur la cuvette, les jambes écartées au maximum lui présentant mon cul déjà presque dilaté.
Décidément, il a tout prévu car il déchire un sachet de gel dont il m'enduit la rondelle. Enfin, il m'introduit un, puis plusieurs de ses doigts bien au fond de mon cul. Je suis aux anges et mon cul s'ouvre grand pour recevoir son pieu qu'il a déjà enduit de gel.
Soudain, je sens entre mes fesses écartées son engin qui cherche le passage et ne tarde pas à le trouver. Enfin ! Que c'est bon, il est au plus profond de mon corps. Je fais des efforts pour ne pas jouir trop vite. Je veux que ca dure longtemps. La sensation de plaisir que me procurent les va-et-vient de ce sexe ne doit pas s'arrêter. Pourvu qu'il ne jouisse pas maintenant.
Je râle de plaisir et lui aussi. Il a pris ma queue et mes couilles dans ses mains et me branle tout en continuant ses coups de butoir qui claquent sur mes fesses. J'en peu plus de bonheur. Soudain il se redresse, Il jouit. Je sens les jets puissants de sperme qui emplissent la capote. Je me laisse aller et à mon tour, j'atteins le plaisir suprême en vidant ma semence dans sa main qui continue de me branler. Il s'est retire mais j'ai la sensation qu'il est encore en moi. C'est comme ca à chaque fois, et j'adore ce moment aussi. Voila, c'est fini. Quel pied !
Nous nous rhabillons puis nous écoutons l'extérieur car il serait préférable que les toilettes soient désertes lorsque nous sortirons. Il semble qu'il n'y ait personne, nous sortons l'un après l'autre. En fait, il y a un mec devant un urinoir. Il a certainement tout suivi de l'extérieur. Je suis un peu gêné, mais je crois, au regard qu'il nous jette, qu'il a bien aimé lui aussi.
Je regarde l'heure et m'aperçois que je n'ai plus le temps d'aller diner. Mon compagnon d'un moment est toujours la.
« Tu prends quel avion ?
— Le prochain pour Madrid.
— C'est vrai ? Moi aussi. On voyage ensemble si tu veux ?
— OK. »
Nous sommes restes assis à coté l'un de l'autre, avons parlé de nous, puis échangé nos téléphones en se promettant de se revoir chez l'un ou l'autre très bientôt. Nous avons même réussi à nous branler l’un après l’autre sous une couverture…
J'ai souvent pesté contre les retards des avions, mais pas cette fois.
Signé : Anonyme...
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L'inconnue de la gare
Jour de semaine, sortie de fac à onze heures, beau temps, j'me demande bien qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire. A la sortie de la gare, je l'aperçois. Cette fille, je la connais, il me semble qu'elle était lycéenne dans le même établissement que moi.
Je ne lui jamais adressé la parole pour autant. Il me semble qu'elle a grossi. Pris des fesses. Elle doit mesurer dans les 160 cm, et elle a, ce qu'on dirait vulgairement, un gros cul. La voyant marcher dans la même direction que moi, je décide de prendre un peu de recul pour mater. Je ne suis pas spécialement fana des grosses fesses mais des pensées perverses affluent de toutes parts.
Fessées, levrette, pipe, encore fessées. Un malin sourire se dessine sur mes lèvres tandis que je la suis toujours. Quelques regards éparts m'indiquent que de rares personnes se trouvent dans la rue où je suis, je peux donc m'intéresser pleinement à la vision de ce fessier et aux pensées les plus abjectes sans risquer d'attirer des regards étonnés. Je suis à quelques mètres d'elle, elle toujours tête baissée les mains pleines de sacs de courses.
Je la suis tranquillement l'air de rien. Arrivés à un carrefour, j'espère de tout cœur qu'elle continuera de marcher tout droit (menant à chez moi). Oh seigneur, oui, elle continue sa marche droit devant elle. Je continue donc mes regards lubriques, remarquant qu'elle porte une culotte façon cartoon, qui ressort un peu de son jean, elle porte un haut blanc dont je ne sais si décolleté il y a, ce que je suppose néanmoins.
J'imagine alors mes mains sur ses seins, ses yeux bleus à travers ses lunettes se retrouver plein d'émoi, d'envie... Hum ... Je suis un obsédé, et puis je pense aux pulsions des violeurs, en ai-je une à l'heure actuelle ? Serai-je capable de la violer si elle se refuse à moi ? Quoi que je pense, je la rattrape sans m'en rendre plus compte, et lui rentre dedans alors qu'il n'y a bien personne dans la rue, ni sur aucun des deux trottoirs.
... Quel con. Regard interrogateur de la demoiselle qui a l'air de se réveiller, elle devait être plongée dans ses pensées, tout comme moi. Je m'excuse poliment, lui demande si elle va bien. Je me rends compte que son haut blanc façon tricot est bien un décolleté, pas non plus resplendissant, elle n'a pas une poitrine de folie mais bon, heureusement pour moi, elle ne remarque pas ce regard inquisiteur. Un des sacs étant tombé, je l'aide à le ramasser et lui demande si elle souhaiterait que je lui porte.
Elle me répond par la négative que ça ira, alors je lui demande tout à coup si elle n'était pas au lycée G. Ce à quoi elle me répond oui. Alors je prends le sac et lui fait signe de continuer sa route à mes côtés. Je commence à lui parler de ce fameux lycée (ni plus ni moins qu'un lycée de banlieue, réglo, et assez bien côté). Ce faisant, elle ne cherche pas à reprendre son sac et répond simplement à mes questions. Toujours tête baissée.
Arrivés devant une petite ruelle, elle me remercie et me demande de lui rendre ses courses. Moment fatidique. Je dois faire quelque chose, et vite avant de paraître con ou trop louche...
Je la regarde, lui demande pourquoi elle reste tête baissée quand elle marche, ne lui laisse pas le temps de répondre, que je m'approche d'elle, lui relevant la tête et l'embrassant.
Surprise, elle lâche ses sacs, mais ne me repousse pas. Je m'arrête, recule la regarde, dans les yeux, et lui dit qu'elle n'a pas à être étonnée, puisqu'elle est jolie et que j'en avais envie. Un frisson paraît lui parcourir l'échine. Ses yeux claires restent interrogateurs, elle ne me demande ce qui m'a pris, ramasse ses sacs et part dans la ruelle. Je reprends moi aussi le sac à mes pieds et la suis.
Elle laisse la porte du portail entrouverte après y être entrée. Je rentre donc, en refermant bien soigneusement cette porte. Je monte les marches du perron, entre dans la maison, je découvre le salon à ma gauche, un petit vestibule avec des escaliers au bout devant moi, et la cuisine à ma droite, cernée d'un mini bar. Elle s'y trouve et commence à ranger ses courses. Je m'approche d'elle quand tout à coup elle se retourne et me fustige du regard.
« Qu'est-ce qui t'as pris ? Qui t'es ? Pourquoi t'as fais-ça ? »
Je reste interloqué, pourquoi ça maintenant, et pas dehors dans la rue ? Y'avait personne, rien à craindre en somme.
Attendant une réponse ne venant pas, elle reprend son rangement. Elle s'accroupit à un moment donné, pour ranger des surgelés au congélateur. Ce qui me laisse pleinement une vue dégagée sur cette culotte cartoon. Lorsqu'elle se relève, je lui mets alors une main au cul. Elle se retourne et me gifle.
Aïe, ça commence mal. Elle reprend son rangement, cette fois je lui prends les hanches et lui fait bien comprendre que j'aimerai quelque chose. Elle me repousse. Alors j'essaie de la taquiner, de la chatouiller, ça marche, un sourire se montre sur son joli minois. Je l'embrasse une fois, puis deux. Elle a compris mon jeu, se laisse faire. Alors, j'insère mes mains entre son jean et sa culotte et commence à lui caresser les fesses. Elle a l'air d'apprécier, je sens l'excitation monter.
Alors je lui demande où se trouve sa chambre. Situation assez extrême, je l'avoue, un inconnu s'invite chez vous et vous dit implicitement qu'il va vous baiser, y'a de quoi déranger. Mais elle réajuste ses lunettes et me prends la main. Je dois être à son goût.
Arrivés dans sa chambre, elle retire ses lunettes et son chignon, laissant tomber ses cheveux sur sa nuque. Je lui dis que ses lunettes ont un côté excitant de secrétaire (j'vous en reparlerai par la suite). Mais sans plus attendre, me dirige vers elle, l'embrasse à pleine bouche, lui caresse la poitrine, son entrejambe à travers l'épaisseur du jean, enfin, je fais le pressé.
Lui retire son haut-tricot et remarque qu'elle ne portait rien en dessous, la coquine, alors j'entreprends de lui retirer son jean, la couche sur le lit puis le fais glisser le long de ses jambes. Je découvre Titi qui me fait coucou sur sa culotte cartoon.
Je découvre aussi que la coquine mouille déjà, je relève la tête et vois qu'elle se caresse les seins avec véhémence, déjà. Elle me demande de me presser. Le jean une fois ôté, je lui touche sa culotte mouillée. Elle gémit. Merde alors, elle l'a pas fait depuis combien de temps ? C'est la situation du parfait inconnu qui l'excite autant ?
Pas le temps de réfléchir qu'elle se relève et m'embrasse tout en me pressant de me déshabiller. En caleçon, je lui demande où est-ce qu'elle a mis des préservatifs, elle me désigne un des tiroirs d'une commode. Je l'ouvre, fouille un peu entre les sous-vêtements, au fond m'a t'elle dit, et en trouve une paire. Plus quelque chose de long, et dur. Sûrement pas un string ou un sous-tif... Je prends et découvre dans ma main, un gode rose...
Vraie coquine, celle-là. Je me retourne face à elle tout en faisant attention qu'elle ne remarque pas ma découverte, ainsi, la main gauche dans le dos, je m'approche du lit où elle est allongée, à demi-nue.
Je me mets sur elle, en position missionnaire bien qu'ayant nos sous-vêtements, sa culotte est vraiment trempée, je le sens à travers mon caleçon, l'excitation est là mais cela me dégoute un peu. Je souris, l'embrasse et de la main gauche je presse le gode contre son sexe.
Surprise, elle gémit. Je continue, la faisant gémir de plus belle. Je prends plaisir à être maître du désir qu'elle éprouve.
« S'il te plaît, vas-y, baise moi, je n'en peux plus d'attendre. Et tu m'excites tellement avec mon gode ...
- Chaque chose en son temps...
- Hein ? »
Je lui retire sa culotte, et lui rentre le gode dans sa chatte entrouverte, elle pousse un petit cri de plaisir, me prend par le cou et cherche mes lèvres. Je décide d'accélérer le va-et-vient du gode entre ses cuisses, ma main droite sur son sein droit, je lui titille le téton durcit par le plaisir. Cette coquine n'est pas pleinement satisfaite puisqu'elle met sa main dans mon caleçon et commence à me branler furieusement.
J'ai du mal à me retenir, alors j'arrête tout, la regarde durement, et lui dis de se mettre à quatre pattes sur le lit. C'est moi qui contrôle nos plaisirs, j'y ai pris goût en lui procurant du plaisir quand je voulais avec le gode, elle ne va pas se procurer le plaisir de contrôler le mien, voire d'y mettre fin.
Alors comme j'y pensais tout à l'heure, je lui donne une première fessée, puis deux, puis trois, ça claque, et ses fesses prennent bien les coups. Et ça n'a pas l'air de lui retirer son plaisir, au contraire. Elle mouille toujours autant. Je lui remets le gode dans sa chatte trempée et pendant qu'elle gémit, mes yeux tombent sur son second trou.
Son anus, son rectum, son trou du cul, putain, ce trou-là m'a toujours fasciné. Il m'a l'air fermé, alors sans lui poser de question j'essaie d'y insérer un doigt. Bizarrement, elle ne dit rien, ne me reproche pas ma tentative échouée. Je ressaie, y met une phalange, c'est vraiment serré... Elle hoquète un peu. Puis je sors le gode trempé de sa chatte doucement, le remonte jusqu'à son second trou, et commence à faire pression pour qu'il y rentre. Etant trempé, j'm'attends à de meilleurs résultats.
« Oh s'il te plaît, pas ça, je n'ai jamais essayé, je veux ta bite dans ma chatte, rien de plus ... S'il te plaît... »
Un tel aveu ne me laisse pas de marbre, je m'exécute alors, et sors mon sexe gonflé de sa cache. J'enfile une capote, et commence l'entrée dans son antre. Elle mouille tellement que je rentre sans problème. Par contre, le gode est toujours pressé contre son autre trou, je le pose à côté d'elle et commence alors à la baiser en levrette.
Elle apprécie, et mes va-et-vient se font plus intensément, plus profonds. Ses seins toujours aussi gonflés entre mes mains. Elle me dit qu'elle va jouir, c'est le moment où je reprends le gode. Attendant sa jouissance, je continue mon affaire, et represse le gode contre son rectum fermé. Elle me dit que ça vient, que ça y est…
Alors je continue plus doucement mon va-et-vient dans sa chatte, je n'arrive pas à jouir dans une chatte, je ne sais pas pourquoi...
Et puis, alors qu'on reprend le rythme, je sens le gode commencer à s'introduire dans son anus. Sans crier victoire, je continue de l'enfoncer doucement. Elle me demande d'aller plus profond.
Où ? De quel trou elle parle ?
Je décide d'enfoncer ma bite un peu plus dans sa chatte, elle gémit et je pense alors que c'est de celui-ci dont elle parlait. Mais j'enfonce le gode toujours un peu plus, et elle gémit toujours un peu plus fort. La coquine, elle en veut.
Ce trou m'attire d'autant plus qu'elle y prend du plaisir. Je me retire alors de sa chatte, retire la capote utilisée, et enfile la seconde, je retire doucement le gode de son anus doucement.
« Qu'est-ce que tu fais ? C'était bon... »
Je me place alors à l'entrée de son anus, et commence à appuyer ma bite contre ce second orifice. Elle comprend et vient m'ouvrir la voie en tirant sur ses fesses pour agrandir le trou, mon sexe étant plus épais que le gode.
Je lui demande si ça va au fur et à mesure de ma progression. J'enfonce ma bite dans ce trou si mystérieux, si excitant pour moi. Elle gémit alors :
« Hinnn, vas-y, ne t'en fais pas si j'ai un peu mal, le plaisir viendra après... »
Hochant de la tête, je rentre alors pleinement dans cet orifice. Elle pousse un cri, halète un peu, puis se calme, je commence alors à imprégner un rythme à son gros cul qui m'a tant fait saliver. Je saisis ses seins et commence à les malaxer, elle me demande d'y aller plus fort, d'augmenter son plaisir. Je me redresse alors, les mains sur ses hanches et intensifie mon va-et-vient, ses fesses bientôt viennent à moi, c'est incroyable !
Je commence moi aussi à gémir, et mon plaisir s'accroît au sein de son trou de cul. J'en viens bientôt au point de rupture, elle me crie alors de jouir, et dans un dernier coup de rein de ma part, je jouis.
« Je sens un truc chaud dans mon ventre... Hummm, c'est bon... »
Je me retire et m'aperçois que la capote a craqué. Elle s'étend sur le lit, me regarde avec compassion, et remet ses lunettes. Je commence à remettre mon caleçon lorsque qu'un liquide blanc coule doucettement de son trou du cul, se mélangeant au fluide incolore provenant de sa chatte.
Cette vue de mon sperme s'écoulant de son rectum m'excite, et alors qu'elle se touche le clitoris pour un ultime orgasme, elle sent ce liquide chaud couler entre ses fesses.
Ma bite se raidit de nouveau, et cette coquine ne perd pas une miette de ce qui se trame dans mon caleçon, elle se relève alors et se met à genoux devant moi.
« Pour le plaisir que tu m'as procuré, et pour m'avoir sodomisée comme un roi, je te dois bien ça. »
Alors, elle prend mon caleçon et le descend jusqu'aux chevilles. Sa langue vient se poser sur mes couilles, puis elle remonte le long de mon sexe, avant de le mettre en bouche, elle me malaxe gentiment mais assidument les couilles. Elle s'y prend bien la coquine...
Elle commence à me sucer doucement, puis je vois avec étonnement qu'elle est en train d'engloutir ma bite. Cette sensation... Je ne pourrais m'empêcher de venir si elle continue comme ça...
Et elle continue. La vache, je sens ma bite grossir, je sens que ça va venir.
Je me retire alors de sa bouche, et à peine le temps de me branler que j'éjacule sur son visage. J'lui en fous partout, ses lunettes, sa bouche, même ses seins reçoivent une petite giclée. J'ai l'impression de m'être branlé sur une secrétaire comme on en voit dans les films pornos, avec ses lunettes pleines de sperme.
Je la quittais alors une demi-heure plus tard, échangeant nos numéros pour se revoir dès que l'envie se présenterait.
Signé : David 78
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Joyeux anniversaire
Mon frère est marié depuis maintenant plusieurs années. Il est plus âgé que moi et vit à quelques kilomètres de mes parents. Nous sommes très proches. On se voit souvent les week-ends pour différentes activités, sportives ou de loisir.
Lorsqu’on se voit, cependant, c’est uniquement tous les deux. Sa femme, Solange, ou ma copine du moment, ne sont jamais présentes.
Solange, d’ailleurs est une femme relativement « banale ». D’un physique agréable mais pas extraordinaire, gentille, intelligente… vous voyez le style : passe-partout.
Ce vendredi soir, mon frangin me téléphone et m’invite à venir manger chez lui le lendemain midi. Il me dit qu’on se fera un repas rapide et qu’on partira se faire du VTT dans l’après-midi.
Ravi, j’accepte immédiatement. Il faut savoir que mon anniversaire est dans moins d’une semaine et je le soupçonne de vouloir m’emmener pour faire la fête…
Le lendemain, vers 11h30, je me pointe chez lui. Il habite un grand appartement au dernier étage d’un immeuble assez « classe ».
Comme je suis plutôt un habitué, je connais le code pour entrer. Je me retrouve devant chez lui. Je sonne.
Personne ne vient m’ouvrir. Pourtant j’entends du bruit, la radio ou la télé… Je sonne à nouveau. Rien ne se passe. Je commence à m’inquiéter. Mon frère doit m’attendre et j’entends du bruit.
Je me souviens alors qu’il m’a dit un jour conserver un double des clés caché dans la gaine technique du palier, derrière son compteur d’eau.
Je me dépêche, récupère la clé et ouvre la porte. Effectivement, la télé est allumée sur une chaîne musicale. Je rentre dans le salon : personne.
« Il y a quelqu’un ?
- Euhh…. Oui….
- Solange ? T’es où ?
- Dans le bureau… »
-
Intrigué, j’entre dans le bureau. La surprise est de taille !!!
Contre le mur au fond de la pièce, j’aperçois Solange…
Elle a les bras relevés, et les mains attachées à une barre fixée dans le mur, par une chaîne…. Autour de son cou, un collier en cuir. Pour tout vêtement, elle ne porte qu’une ceinture et des bas résilles blancs. Elle semble très gênée et essaye de dissimuler son corps du mieux qu’elle peut…. sans grand succès, je dois l’avouer.
Elle se tortille, essaye de se retourner….Mais j’ai une vue imprenable sur ses seins. Ils sont énormes !!! Je ne m’en étais jamais rendu compte auparavant. Ils sont lourds, blancs avec des auréoles gigantesques et des tétons proéminents… Quelle paire !!!
Son ventre, légèrement rond, est orné d’un tatouage en forme de soleil autour du nombril. Mon regard descend encore… Malgré ses jambes croisées, j’aperçois sa toison. Solange est donc une vraie blonde… Son pubis est taillé mais les poils sont très longs et la toison semble du coup très fournie.
Elle ne m’a jamais attiré physiquement, mais la voir attachée ainsi m’excite. Ma bite gonfle…
« Euhh Franck ? Tu peux m’aider s’il te plaît. C’est assez gênant. Paul m’a laissé en plan depuis ce matin…
- B…B…Bien sûr. »
J’essaye de me ressaisir et je m’approche pour tenter de la libérer.
« Les clés sont sur le bureau. »
Je vais pour prendre les clés et je vois qu’elles sont posées sur une enveloppe marquée de mon prénom.
Je regarde Solange, puis l’enveloppe, puis à nouveau ma belle-sœur. Elle ne rougit plus vraiment, et se tortille moins, beaucoup moins…
Je suis perplexe. J’ouvre l’enveloppe et trouve une lettre :
« Franck,
Je sais que c’est bientôt ton anniversaire et je voulais te faire un cadeau spécial. Donc…
Bon anniversaire !!!
Si tu ne l’as pas encore deviné, ton cadeau est attaché au mur. Fais-en ce que tu voudras… Elle est ouverte à toutes propositions…
Tu peux la détacher sans risque, elle est bien dressée et restera obéissante.
Profites-en bien petit frère !
Pau »
J’en reste coi… Je dois rêver !!??? Je relis la lettre plusieurs fois pour être sûr de ne pas avoir de vision…
Machinalement, je retourne la feuille de papier. Une ligne est écrite au dos :
« PS. Si tu as retourné la feuille, c’est que tu hésites. Je te fais une confidence : C’est Solange qui a eu l’idée du cadeau… »
Le choc. Je me retourne vers elle. Elle me sourit en me regardant droit dans les yeux. Au lieu de honte ou de gêne, je n’y lis que désir et….. Soumission.
Je m’approche d’elle. Ma queue me fait mal, coincée dans mon caleçon.
Je tends une main vers son sein et le saisi délicatement. Sa peau est douce. Elle soupire. J’attrape son joli téton et le serre doucement, le tire vers moi… Ma main droite est très vite imitée par la gauche. Je n’ai jamais participé à une séance de domination/soumission. Je ne sais pas jusqu’où je dois, je peux, aller.
Me voilà avec ses tétons entre les doigts, tirant légèrement dessus.
« Oh Maître. J’ai été vilaine… »
C’est ce qui m’a décidé. Je vais me faire plaisir. Après tout, c’est mon cadeau…
« Tu es une méchante fille. Je vais être obligé de te punir sévèrement…
- Oui Maître… »
Je pince ses tétons et tire plus fort dessus. Elle gémit, mais continues de sourire en me fixant dans le blanc des yeux.
De ma main droite, je l’attrape par la queue de cheval, et tend son visage vers le mien. Je m’approche et glisse ma langue dans sa bouche. Elle se soumet. Je l’embrasse comme un mort de faim, ma main délaisse son téton et je lui pétris les mamelles. Je me laisse aller. Je malaxe sa poitrine comme un dingue, ne cessant de l’embrasser. Je retire ma bouche. Elle halète. Je me jette sur un de ses seins et le mordille méthodiquement. Ma langue remonte vers son cou puis redescend vers l’autre mamelle. Sa poitrine est mouillée, tellement ma langue la parcours et l’explore. Je mords ses tétons de plus en plus fort. Elle crie : Oh Maître !!! Punis-moi !! Ahhhhhh !!!!
Je l’embrasse à nouveau comme un animal. Elle suce ma langue, la lèche. Mes mains pétrissent cette poitrine généreuse. Je m’écarte, prends son visage dans ma main droite et place ma main gauche entre ses cuisses. Je glisse sans ménagement directement deux doigts dans son intimité. Elle est trempée la chienne !!! Mes doigts s’enfoncent si facilement qu’on les croirait aspirer par sa vulve.
« Tu mouilles comme une folle !!! Ca t’excite d’être soumise….
- Oh Franck !!! Maître… »
Je retire mes doigts, imbibés de cyprine, et les pose sur ses lèvres. Sans se faire prier, elle les lèche, les engloutis entièrement, en poussant de longs gémissements de plaisir.
« Tu aimes l’odeur de ta chatte ? Je vais goûter pour voir si c’est bon…
- Mmmhhhhh…. »
Je me mets à genoux et passe ma langue sur sa vulve, chaude et humide. En effet, sa liqueur intime est délicieuse !!! Je bois à sa source. J’aspire son clito, écarte ses lèvres, enfonce ma langue dans son vagin…
« Oui mon Maître…. Mange-moi… Je suis à toi… »
Mon visage est enseveli dans sa chair. Je respire son odeur de chatte en chaleur à pleins poumons, je me gave de son liquide vaginal. Quand je sens que son corps entre en transe, je stoppe ma « dégustation », ne la laissant pas jouir complètement.
Je colle mon visage au sien pour qu’elle le nettoie de sa cyprine. Elle s’acquitte de sa tâche avec délectation.
Je place sa cuisse contre mon entrejambe.
« Tu sens dans quel état tu m’as mis !!! Il va falloir trouver un moyen de me soulager… Retourne-toi !!! »
Elle obéit mais tourne la tête pour continuer à me regarder.
Je me déshabille complètement. Mon membre est dressé vers le plafond, dur comme jamais. Je ne pensais pas me sentir si bouillant en dominant une « femelle » soumise…
« Oommmmmhhhhh, Franck…. Je veux te sentir… profondément en moi… »
Je ne suis plus vraiment moi-même. Emporté par le désir, une idée perverse me vient : je veux la sodomiser.
Je lui donne ma main, la mets dans sa bouche. Elle suce, lèche, gobe. Une fois ma main trempée, j’enduis ma verge de sa salive, la présente devant sa rosette, et pousse… lentement mais sûrement.
Surprise, elle pousse un cri. Je m’enfonce dans son trou de cul. Ma bite force le passage, mais sans violence. Ma queue disparaît progressivement dans son anus sans jamais faire de pause. Elle crie à nouveau, plus fort.
« OOhhhh salaud… OOhhh Maître… Oui prends-moi !!! AAhhhh c’que t’es gros…
- J’aime ton cul Solange….
- JE VEUX TA BITE !!!!!!! FRANCK, DEFONCE-MOI !!! »
Un grand coup de rein, et me voilà entièrement en elle. Je ne m’arrête pas là. Je la besogne consciencieusement… mon pubis venant claquer contre son gros cul.
De ma main droite je lui saisis les cheveux et tire sa tête en arrière. Elle se cambre et vient s’empaler encore plus sur mon pieu de chair. Ma main gauche attrape sa bouche et glisse trois doigts au fond de sa gorge.
Voilà son cul bien dilaté. Ma queue accélère le mouvement. Je l’encule aussi fort que je peux. Je lâche sa queue de cheval et lui assène une énorme claque sur les fesses. Une belle marque rouge apparaît et devrait rester quelques jours. Un grand râle me signifie que ma belle-sœur vient de prendre son pied.
Je me retire, prends la clé et lui détache les mains.
« A genoux. »
Je pose ma bite sur sa bouche entrouverte.
« Ma bite est sale. Nettoie ! »
Elle l’avale d’un seul coup et s’applique à m’obéir.
« En plus de ta chatte, tu aimes le goût de ton cul on dirait… »
Elle redouble d’efforts. Sa pipe est phénoménale. De mes deux mains, j’appuie sa tête contre moi et ma verge vient presque taper le fond de sa gorge. Je la maintiens dans cette position. Elle ne bronche pas. Au bout de quelques secondes, je relâche ma pression. A mon étonnement, elle ne se retire pas et appuie même plus fort. Je sens sa gorge autour de mon membre et sa langue s’activer dans sa bouche.
Je ne tiens plus. Je la tire en arrière et la positionne en face de mon gland turgescent. De grandes giclées de sperme viennent lui recouvrir le visage. Elle ouvre la bouche, lèche ses lèvres…
Je me recule et m’appuie sur le bureau. Elle me sourit, radieuse, et enlève tout le sperme avec sa main et le laisse dégouliner sur sa bouche. En même temps, elle recrache une partie de ma semence, qui vient souiller ses seins. Puis elle récupère le tout, le met une fois de plus en bouche et l’avale en souriant et me fixant de ses grands yeux verts.
Elle se lève alors, s’approche d’une étagère et attrape…une caméra !!!
Je n’avais rien vu !!! Elle sort la carte mémoire, me la tend et me lance en faisant un clin d’œil :
« Joyeux anniversaire Franck !!! Vivement ton cadeau de Noël… »
Franck - kukaman
La vendeuse de parfum
J'achète pas mal d’objets sur e-bay notamment des objets de collection. Il y a trois semaines, je me rends pour la deuxième fois chez une vendeuse privée pour récupérer un parfum SeXeS acheté sur eBay. C’est vrai que le nom du parfum est en soit sexy mais j’ai déjà acheté SeXeS à plusieurs vendeurs sans la moindre anecdote, sauf que là, mon achat va se passer différemment…
C'est entre midi et deux et je suis en uniforme car je suis militaire.
Pour ce que j'ai pu noter lors de ma première visite, Laurence est une belle blonde d'une quarantaine d'années, bien faîte, une belle poitrine et une nature assez vive et enjouée au look classique et même un peu sévère... Elle est mariée et mère de famille.
Elle m'accueille avec sympathie, me fait entrer dans son salon, me propose un café, que je refuse, et semble nerveuse. Nous discutons 5 minutes de banalités pendant que je fais mon chèque. Elle part le lendemain en famille pour un mois faire du naturisme sur la côte d’Azur.
Elle m'invite ensuite à la suivre dans son "atelier" pour récupérer le parfum. Il s'agit en fait d'un coin de son garage aménagé pour son travail. Arrivée en bas, elle farfouille, prend le parfum SeXeS et me le tend. Je remarque ses yeux bleus extraordinairement dilatés et brillants.
Une fois ses mains libres, elle dénoue brusquement la pince qui tenait ses cheveux attachés, s'adosse à son atelier en s'y appuyant avec ses mains de part et d'autre de son corps et me dit d'une voix rauque et tremblante : "prends-moi !" Je crois avoir mal entendu, j'hésite, je ne sais quoi faire tellement ma surprise est grande... Elle regarde le sol sans rien dire... elle tremble comme une feuille.
Je sens en moi une chaleur brûlante monter, ma queue est dure, mes mains ont faim de sensualité. Je pose SeXeS au hasard, m'approche et pose mes mains sur ses épaules avant de me coller à elle...
Tout va alors très vite... Je défais les boutons de son chemisier, remonte sa jupe et découvre par la même occasion qu'elle ne porte rien au dessus de ses bas. Dépoitraillée, troussée, elle gémit et branle nerveusement mon sexe de sa main droite tandis que la gauche s'agrippe à un étau fixé à l'atelier... Je l'y allonge sommairement et j'entreprends de la doigter, elle est trempée, ses cuisses sont relevées et elle m'offre une vue magnifique sur son intimité. Je lèche sa chatte, malaxe ses seins, m'aide du manche d'un marteau pour la pénétrer dans l'anus tandis que je fais virevolter quatre doigts dans son vagin... Elle ne cesse de gémir, de murmurer des mots crus :
« Baise-moi soldat, prends-moi fort et loin, fais-moi bien jouir.... »
Je bande comme un taureau !
Au bout de quelques minutes, après ce que je crois être chez elle un premier orgasme, elle me fait signe d'arrêter, ouvre une boîte et en sort un préservatif qu'elle me tend.
Je la fais descendre de son autel de plaisir, la retourne, descend mon pantalon de treillis sur mes rangers, enfile la capote... et ma vendeuse dans la foulée.
Je la bourre sans ménagement par derrière, debout elle se cramponne comme elle peut et gémit longuement à chaque fois que ma queue arrive en butée au fond de sa chatte en feu. Elle ne cesse de répéter "un gros sexe d'homme au fond..."
Je jouis en elle peu après elle et en hurlant d'une voix sourde de mâle en rut comme cela m'arrive peu souvent.
J'ai racheté d'autres objets sur e-bay depuis sans pour l’instant revivre ce genre d’aventure...
Par Olivier de Puteaux
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J'ai adoré ce récit.
Je me suis mis dans la peau de solange. Quel pied