Les Mémoires très Libertines de Sophie
Ta touffe m'etouffe
Pour changer un peu, quelques textes de chansons plus que coquines…
Ta touffe m’étouffe
Je suis sorti avec une meuf |
La tête coincée façon James Bond
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Les Trois Orfèvres
Refrain : |
Les orfèvres non contents de ca
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La complainte de la Marie-Salope
Marie était si salope, si salope, si salope,
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La pauvre Marie-salope, si salope, si salope,
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Coup de foudre en avion
Il y a quelques années, je suis allée à l’étranger, dans la Caraïbe, pour mon boulot. Et dans l’avion à peine assise, je vois un superbe gars, assis à deux sièges de moi. Je suis comme hypnotisée par ses yeux. Je le regarde tant qu’il finit par lever les yeux. Nos regards ne se lâcheront plus pendant une heure, le temps d’arriver à une escale.
Et là, bonne surprise, les deux voyageurs qui nous séparaient quittent l’avion. Je suis à l’envers, ce mec me plait, comme rarement avant. Il me chavire le corps et le cœur. Il s’appelle Muss. Je ne l’ai jamais vu avant, et c’est comme si je le connaissais depuis toujours. A peine assise à coté de lui, il m’embrasse à pleine bouche, comme si c’était naturel, normal. Coup de foudre en plein vol !
Très vite, c’est comme si nous étions seuls au monde, nos baisers sont de plus en plus passionnés. Nous devons finalement faire appel à toute notre raison pour ne pas faire l’amour devant tout le monde, au milieu de l’avion. Mais nous n’allons pas au même endroit. A l’escale suivante, il doit descendre. Il faut faire vite.
Nous ouvrons les deux pochettes contenant une micro couverture, pour cacher nos hanches et no jambes. Il ouvre son pantalon, je remonte discrètement ma jupe très ample à la taille, et j’arrive à ôter mon string. Il est tard, la majorité des passagers dort.
J’écarte mes cuisses, et sous la couverture, Muss insère ses doigts entre mes lèvres intimes. Je suis tellement trempée qu’il entre avec une facilité déconcertante. Il roule entre son pouce et l’index mon clito, douloureux tant il est excité. Je ne suis pas en reste. J’ai réussi à faire sortir sa bite bandée de son boxer. Je le branle vivement, engluant mes doigts de son excitation qui humidifie son gland. J’écarte rapidement al couverture pour regarder l’objet de mon désir. Belle queue, pas très longue, au gros gland très rouge… j’en mangerais !
Nous nous masturbons l’un l’autre en rythme, nous laissant aller à nos sensations qui montent de plus en plus. Soudain Muss se relève un peu, regarde tout autour de lui. Personne à l’horizon, il se penche très vite, arrache la couverture et plonge entre mes cuisses. Sa langue est une délivrance, Elle apaise le feu qui me dévore, elle est d’une douceur incomparable. Il l’enroule sans répit sur mon clito dardé. Je n’en peux plus, et je jouis très vite, en contenant difficilement mes cris de plaisir.
Je suis comme assommée par cette jouissance rapide et intense. Mais lui n‘a rien eu.. Je me reprends, regarde à nouveau autour de nous. L’hôtesse arrive. Elle passe sans un regard pour nous. Dès qu’elle a tiré le rideau de séparation, c’est à mon tour de me jeter telle une affamée sur sa bite bien dure. J
e fais si vite que je l’enfourne en entier d’un seul coup. Il m’étouffe presque, son gland envahit mon arrière-gorge. Je dois me retirer pour respirer, et j’entame une longue succion de ce membre que j’aime déjà à la folie. Je le dévore comme si ma vie en dépendait. Je pompe, j’aspire, je lèche, je mordille, je branle tout en même temps….
Rarement j’ai autant aimé sucer une queue comme la sienne.
Sous mon traitement, il ne résiste pas très longtemps. Il se lâche dans ma gorge dans un soubresaut et un cri étouffé. Inutile de réveiller les autres passagers. J’avale son précieux liquide, mais il me redresse, et m’embrasse à pleine bouche. Nos salives st son foutre se mêlent dans un baiser qui dure une éternité.
Pendant la dernière heure de voyage, nous allons nous embrasser sans cesse, nous murmurant des paroles de sexe et d’amour. Le pilote annonce la descente sur Fort de France, son lieu d’arrivée à lui. Il se lève, et va demande à l’hôtesse de prolonger son voyage. Elle refuse, malgré son offre de payer le double du billet. Et moi, je ne peux absolument pas descendre de l’avion, j’ai un rendez-vous professionnel que je ne peux rater le lendemain.
La mort dans l’âme nous échangeons nos derniers baisers, nos mails et numéros de portables. Il me jure un amour eternel. Le pire est que j’en fais tout autant… J’ai l’impression d’aimer cet homme de toute mon âme…
Quand il quitte l’avion, c’est un vrai déchirement, comme si je quittais mon amour de toujours. Il ne doit pas encore être arrivé dans la zone bagage que j’ai déjà reçu un sms. Pendant l’heure d’escale nous nous parlons par téléphone, échangeons nos fantasmes à réaliser dès nos retrouvailles.
Nous décidons de nous écrire tous les jours. Ce sont quelques extraits de ses mails que je vous livre maintenant. Le dernier est de moi.
« J’espère te voir rapidement...! Je pense trop à toi, à tes formes, à ton cul splendide…
C’est vrai, quand je pense à tes caresses dans l'avion, j'ai hâte de te voir et te faire l'amour non-stop !!! Tu ne passes que ta langue sur ma queue bouillante ?
J'aimerai tant que tu la suces goulûment, que tu descendes entre mes cuisses en aspirant mon gland humide et chaud !!!
J'aurais tant aimé te coller dans l'avion contre la paroi, te soulever ta jupe et me frotter jusqu'à ce que ma tige disparaisse.... Te demander de te mettre à genoux et te présenter mon sexe, voir ta bouche me la réclamer..... tu me dis :
« Je suis ta cochonne, laisse moi te pomper bien à fond !!! »
Hummm... j'arrête car je vais encore devoir me branler.... Je t'embrasse tendrement et partout
à très très bientôt envie de te lire. »
« A défaut de pouvoir te prendre de partout, je nous imagine, et même si c'est frustrant, c'est bon de se branler et de penser à toi !
De t'imaginer à genoux et moi devant, je me branle de plus en plus fort et toi, tu me regardes… Tu te glisses un puis deux doigt dans la chatte. J'approche mon sexe de plus en plus proche de ta bouche... Viens me la gober, me l'aspirer, me la sucer... C'est trop bon de t'imaginer !!!
Après, je te prends par les hanches et mes grands coups de queue de plus en plus fort te font crier, gémir et hurler de plaisir.... J'ai envie de mettre mon sexe dans tous tes trous.... AAAAHHHHH j'en bande de te l'écrire, j'en salive... J'ai trop envie de jouir partout... Dis-moi où... sur tes fesses, dans ta bouche...?
J’en peux plus.... »
« J’ai encore envie de me caresser, moi aussi j'ai des envies de toi qui montent, qui montent.... J'en ai la queue en feu, prête à te faire tous les supplices.... Prête à te grimper dessus pour ne plus te lâcher, et de pousser pour aller au plus profond de toi....!
Mais dis moi, pour tes envies à 4 avec un couple, je te prendrais bien par derrière et demander à la femme de me bouffer les couilles pendant que son homme lui bouffe la chatte...Et de temps en temps, je sortirai ma queue de ta chatte pour lui donner à sucer et à malaxer…
Tu peux continuer la suite, sauf si tu préfères 3 mecs, raconte-moi les points forts qui t'excite, ma cochonne... Ca y est, je vais me caresser en pensant très fort à toi et à tout ce que tu vas me faire....
Des bisouxx par milliers et partout.... où tu veux ma chérie....!!! »
« Tu m'invites à une soirée où tes amis sont prêts à tout… Ca m'excite tellement, j'ai des idées cochonnes plein la tête… Je vois une autre femme avec toi. Viens me sucer avec elle pendant que vous êtes toutes les deux accroupies et que le mec vous bouffe à tour de rôle la chatte... Je vous sens gémir, ma queue dans votre bouche... A mon tour, je vous bouffe la chatte...
Allongée, la femme suce son mec pendant que tu lui manges le minou et moi derrière toi, je te défonce de plus en plus fort... Tes cris sont entremêlés avec le bruit de tes léchouilles... Tu te retournes pour me dire : « chéri, encore... continue... défonce-moi comme ta salope... »
Ca décuple mon envie et ma queue est énorme dans ta chatte... J'en profite pour te titiller le petit trou que j'humidifie entre chaque coup de bite.... Je crois que le mec veut baiser sa femme !!
A son tour, elle se met à quatre pattes et côte à côte, on baise... Je me retire pour te montrer l'effet que tu me fais, et je te prends légèrement par les cheveux et je guide ma queue à ta bouche... Vas-y pompe la queue de notre jus... avant que je revienne te défoncer !!!
A moins que tu ne veuilles que je baise la femme un peu, pendant qu'à son tour le mec veut te faire ta fête...
Dis-moi la suite de l'histoire, et rien que de savoir que tu vois un couple ce vendredi, je crois que je vais me branler en pensant à ça, ma chérie... Et si tu m'envoyais des photos d'eux et surtout de toi ? Ou pourquoi pas de vous ?
Réponds-moi vite, chérie, tu m'excites terriblement… Dès que je me lève, J'ai envie de te prendre de partout !!! »
Pour finir, un mail que je lui envoyé…
« Tout l'après-midi, j'ai en plus supporté les gémissements et cris de plaisir de Patricia ma copine, qui a profité de la maison pour se faire un mini gang bang... avec trois mecs pour elle toute seule. Je n'ai rien voulu faire avec eux quatre, même si je t'avoue que j'en mourrai d'envie. C’était « sa » journée, et je ne veux le faire qu'avec toi, si je dois recommencer ce genre de partouze.
J'ai pourtant parfois jeté un coup d'œil... Juste pour la voir se faire prendre en double pénétration, avec une autre belle queue dans la bouche... Prise par tous les trous... par trois blacks très bien montés... J'en devenais presque dingue...
J'ai pris mon gode et je suis retournée dans le salon, avec dans la tète cette image, et celle de toi me faisant faire la même chose...
Je repensais à tes mots, à tes phrases et je me suis fait jouir en pensant à toi, en pensant à ta queue me défonçant la chatte au maximum. J'aurais voulu que tu me prennes, sous les yeux envieux des autres mecs, leur bites aussi à la main, se branlant en nous regardant, en te regardant me prendre à fond, ta belle queue dans ma chatte, tes doigts dans mon cul, ou mon gode, bien enfoncé...
Qu'ils viennent juter sur moi, Ils auraient juste le droit de venir me lécher... Seul toi pourrais me prendre. Je mouille, si tu savais, en repensant à tout ca.
Quand je me branlais avec mon gode, l'un des blacks m'a surprise... J'étais sur le transat, les jambes écartées au maximum, mes doigts tenant très écartée ma chatte trempée. Totalement indécente !
Il m'a proposé ses "services", que j'ai refusés. Mais quand il s'est mis en face de moi, pour se branler en me regardant.... Ca m'a fait jouir très vite.
Et en plus, comme je continuais encore avec le gode, il a posé son doigt sur mon clito trempé, et avant que j'ai dit ouf, sa langue pointue et très très agile... Mon amour, je n'ai vraiment pas pu le repousser. Mais il s'est arrêté là, après m'avoir encore fait jouir. Il est reparti à l'assaut de Patricia. J'ai fini par sortir, pour moins l'entendre. J'aimerai que l'on fasse ça ensemble. Avec elle, et au moins trois ou quatre mecs... en plus de toi, bien évidemment ! »
L'histoire multiple
Il y a quelques semaines, je vous avais invité à rediger une histoire à plusieurs mains. Aujourd'hui, je commence la publication de ce récit. Comme il n'est pas encore achevé, vous pouvez y participer si vous le souhaitez . Bonne lecture à vous, et n'oubliez pas de laisser vos commentaires !
Introduction
Sophie est une jeune libertine, avide de tout apprendre en matière de sexe. Depuis qu’elle est adolescente, elle rêve d’étreintes multiples, de plaisirs orageux, de désirs fous et indicibles…
Elle se rêve en déesse de la luxure, en princesse du stupre et de l’indécence.
Par un de ces miracles que la vie nous réserve parfois, elle rencontre Olivier. Très vite, il décèle chez elle son avidité sexuelle hors norme, ses fantasmes les plus inavouables.
Aussi, lors d’un diner pourtant très romantique aux chandelles, dans un restaurant luxueux et feutré de la ville, il lui propose ses services :
« Ma chère Sophie, je te connais un peu maintenant, tu as envie de tout, et tu en sais peu... Acceptes-tu que je sois ton initiateur dans le monde du libertinage ? Je ferais de toi la Scandaleuse, celle qui a tout osé, tout essayé, tout appris. Les hommes ne penseront plus qu’à toi, et tu en feras perpétuellement tes jouets sexuels… »
Elle écouta la tirade sans mot dire, laissa un instant sa réponse en suspens, et les yeux brillants, lui souffla un : « Oui, je le veux », comme l’aurait fait une mariée devant son époux.
Les dés étaient jetés. Olivier allait TOUT apprendre à Sophie, son élève assidue.
Sophie
Chapitre I
Sophie a vingt deux ans. C'est une brune aux cheveux longs fins et soyeux. Son corps est mince, admirablement bien fait, elle s'épile soigneusement tout le corps et l'entretient régulièrement en faisant de la gym en salle, ce qui lui permet de faire admirer son corps par toutes les personnes présentes, revêtue pour l'occasion d'un collant qui moule tout son corps.
Elle est très vite humide et la transpiration n'est pas seule en cause. S'exhiber ainsi tout en admirant les autres quel que soit leur sexe l'excite au plus haut point. Son entrainement lui parait moins fastidieux ainsi. Entretenir sa forme, ses formes et sa musculature tout en fantasmant sur le plaisir qu'elle pourrait avoir avec celui là, beau blond bien bâti ou avec cette ravissante rousse qui la regarde avec des coquineries plein ses yeux verts.
Sophie a une allure folle quand elle se déplace. Ses heures de sports, son désir d'allumer sans vulgarité les gens qu'elle croise et bien entendu aussi parce que son corps est ainsi fait, la font marcher avec la souplesse et la grâce d'un félin. Même si elle ne le veut pas, elle attire l'œil et allume les désirs.
Nous sommes aux alentours de midi, Sophie vient de sortir de sa séance de gym. Elle n'arrête pas de penser à la proposition que lui a faite Olivier, hier soir au restaurant. Non seulement elle le trouvait très beau, galant, sachant prévenir les désirs mais en plus ce qui la charmait c'est qu'il avait su deviner les envies les plus folles qu'elle avait depuis toujours en matière de sexe. Comment l'avait-il deviné ? Était-elle si transparente que cela ? Bah ! Après tout, hein ? Il s'en était rendu compte c'était l'essentiel.
Délurée dans sa tête, indécente et luxurieuse dans son subconscient, elle n'aurait pas osé exposer ses fantasmes à cet homme. Elle ignorait que dans seulement quelques mois, elle aurait acquis, grâce à Olivier, cet aplomb et cette audace qui allait faire d'elle La Créature du Sexe, La Scandaleuse, l'obsession de tous, hommes et femmes amateurs des jeux sexuels les plus débridés.
Folle d’impatience, il lui tarde de recevoir un appel d'Olivier qui lui a promis qu'il allait la conduire à une soirée plus que libertine dans la grande propriété d'un de ses amis. Il ne lui a rien dit de ce qui allait s'y passer sinon que ce serait très très chaud. Sophie était excitée et avait besoin de trouver de quoi la calmer. Se masturber ? Oui, elle adorait cela, mais sa tête était trop pleine d'images de corps nus s'adonnant à toutes sortes de jeux sexuels, pour qu'une simple branlette lui suffise.
Elle appela sa copine de toujours, amie d'enfance, presque une sœur, Patricia. Cette fille était bien moins belle que Sophie. Plus petite et moins mince qu'elle, mais douce toujours gaie, un franc-parler et cette chose indéfinissable mais que l'on sent, on ne sait trop comment, sa peau. Très claire presque ivoirine et semblant du satin elle donnait envie qu'on la caresse pour profiter de sa douceur. Les deux copines se faisaient régulièrement l'amour. Patricia répondit par un grand « OUI » à la demande de Sophie de venir la retrouver chez elle.
Elles avaient découvert l'amour lesbien ensemble. Autant Patricia s'était alors rendu compte qu'elle n'était que lesbienne, autant Sophie avait acquis la conviction qu'elle était bisexuelle. Le plaisir infini et infatigable que procure un gode n'apportera jamais la même jouissance qu'un sexe d'homme, à la fois doux et tiède et qui crache en vous tout son plaisir pour la jouissance des deux.
Sophie n'avait encore jamais connu d'autres rapports lesbiens que ceux qu'elle avait avec Patricia.
Celle-ci, bien moins « exploratrice » des jeux sexuels que Sophie se contentait du plaisir qu'elle partageait avec sa copine. C'était toujours Sophie qui tentait une expérience nouvelle.
Elle se rendit chez Patricia presque en courant. une fois rendue dans le petit studio de son amie, elle se jeta sur elle et l'embrassa à pleine bouche puis la déshabilla sans douceur contrairement à son habitude. Ce comportement nouveau n'était pour déplaire à Patricia toujours ravie des initiatives de Sophie. Celle-ci dit à Patricia :
«Ma chérie, prends-moi avec ton gode ceinture, je t'en prie, j'ai besoin de sentir quelque chose aller et venir en moi. »
Sophie était si surexcitée qu'elle eut un orgasme assez rapidement. Elle était encore en train de jouir alors qu'elle disait à Patricia :
« Oh, oui !! Ma chérie, Oui !! Continue, ne t'arrête pas, continue, c'est tr... trop bon ! J'ai encore envie de jouir ! »
Elle avait du mal à articuler tant elle était dans le plaisir. Et bien entendu c'est ce moment que choisit son portable pour sonner. C'était Olivier.
« Coucou Sophie ! Es-tu libre samedi ? Je t'emmène en weekend chez mon ami, il organise une orgie telle qu'en faisait les Romains ?»
- Oh !!!... Oh ! Oh ! Oui.... Romain... Oh!!! Oui, ch’uis d'accord"!!!!
- Que t'arrive-t-il Sophie ?
- Je suis en train de jouir, je me fais enculer par ma copine Patricia avec son gode-ceinture, c'est trop bon...
- Ok ! Alors fais-toi bien plaisir Sophie. Je viens te chercher samedi vers dix-sept heures, la petite fête se passe en Sologne. »
Bruno bi
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Le combat de coqs (gay)
Faire jouir l'adversaire en premier : voilà le défi qu'avaient accepté une vingtaine d'étudiants des clubs de sport de la fac de Toulouse. Chacun de ces mecs, âgés de dix-huit à vingt-deux ans, et bourrés de testostérone, voulait prouver sa force sexuelle en montrant sa capacité à bander le plus longtemps et à retenir son jus, queue contre queue.
Les deux premiers sportifs à mesurer leur force sexuelle étaient Thibault et Seb. Thibault était une des stars de l'équipe de rugby locale, et on sait ce que signifie le rugby à Toulouse...Grand, brun, poilu, Thibault était un mec très sûr de lui, bien foutu bien évidemment, mais qui le savait un peu trop. Il aimait narguer les plus faibles que lui à la fac.
Face à Thibault, le tirage au sort avait désigné Seb. Joueur de Tennis, Seb était loin de dégager la même puissance physique. Seb avait vraiment la tête du garçon sympa, le petit minet blond, bourgeois, poli. En termes de domination sexuelle, la balance ne semblait pas pencher en sa faveur.
Et pourtant, Seb fut le premier, dès le lancement du défi, à s'approcher de Thibault pour lui défaire la braguette, lui baisser jeans et caleçon, et lui empoigner fermement la bite après avoir craché dans sa main. Surpris, Thibault dut rapidement faire de même. Les deux sportifs commencèrent alors à se branler vigoureusement. Rapidement, les deux sexes devinrent plus que rigides. Et le plus grand n'était pas celui que l'on croyait. Alors que la bite du rugbeux dépassait à peine les quinze centimètres, le jeune tennisman affichait fièrement 20 bons centimètres au compteur ! Seb comptait bien profiter au maximum de cet avantage.
Il provoqua alors Thibault :
« Ça alors le rugbeux, on a tout mis dans les muscles et rien dans sa queue ? Viens un peu te frotter à moi pour voir si ta bite peut se retenir de cracher son foutre..." »
Thibault enserra alors vigoureusement Seb de ses bras musclés et colla sa bite contre celle, considérablement plus longue, du joueur de tennis. Malgré ce désavantage, Thibault était certain de gagner. Tout le monde savait qu'il était un des plus gros baiseurs du campus.
« Ma queue est habituée à limer les chattes des plus jolies filles de la fac pendant des heures, ta bite n'est pas prête pour affronter la mienne... Tu n'as pas vu une chatte depuis quand ? «
Les discours de Thibault n'effrayaient pas Seb... Son chibre dépassait la queue du rugbeux de cinq bons centimètres, et c'est bien lui qui donnait le mouvement à leur « frottage ». En même temps qu'il balançait de grands coups de reins pour dominer le rugbeux, Seb n'oubliait pas d'utiliser toutes les techniques possibles pour le dominer sexuellement. Après les suçons dans la nuque, il se mit à mordiller le lobe de l'oreille du brun poilu. Petit à petit, le plaisir montait chez les deux hommes, mais Thibault semblait moins confiant qu'au début.
Alors que Seb le regardait fixement, droit dans les yeux, Thibault détournait souvent le regard. Il sentait la pression de la bite de Seb contre la sienne, et sa résistance faiblissait. La queue du blondinet réussissait à courber celle de Thibault tellement elle s'avérait rigide. Une vraie épée contre laquelle le membre du rugbeux commençait à s'épuiser. C'était un spectacle impressionnant de voir un joueur de rugby hyperviril tenu en respect par la seule force d'une bite plus dure que la sienne. Thibault écarta les jambes et balança son cul musclé pour répondre aux coups de boutoir du tennisman. Mais les muscles ne pouvaient rien y faire : seule la force sexuelle comptait dans le combat bite contre bite.
Seb sentait qu'il tenait le bon bout. Non seulement l'érection de Thibault faiblissait, mais de la mouille commençait à sortir du sexe du rugbeux. En spécialiste de cockfight *, Seb savait qu'une queue qui mouillait n'en avait plus pour très longtemps.
La bite de Seb continuait à coulisser, et Thibault était maintenant quasiment immobile, il n'arrivait plus à rendre coup de rein pour coup de rein face au blondinet à grande queue. Ses gros muscles ne s'agitaient plus, et il semblait se concentrer pour retenir son foutre encore quelques minutes.
Mais ce qui devait arriver finit par arriver. Le rugbeux sentit ses couilles se contracter, jeta la tête en arrière, et ouvrit la bouche en grand, dans un cri silencieux. Son foutre se mit à jaillir de sa queue vaincue. Un adversaire bien moins fort que lui en apparence avait réussi à dominer sa virilité. Pour la première fois de sa vie, sa bite avait touché la bite d'un autre gars, et ce gars lui avait fait cracher son jus.
Les autres joueurs de rugby présents étaient consternés de voir le poireau de leur camarade se rabougrir progressivement contre la queue toujours dure de Seb. Ayant remporté la victoire, ce dernier exigea comme il en avait le droit que Thibault se mette à genoux, et il lui vida le contenu de ses couilles sur la tête. L'humiliation du rugbeux était complète.
Seb pouvait maintenant poursuivre le défi.
Retrouvez cette histoire, et d’autres encore sur :
* cockfight : littéralement, combat de coqs. C’est un sorte de corps à corps assez violent.
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Une soeur amie, une soeur aimante, une soeur amante - chap 21 à 26
Chapitre 20 - Un rêve chasse l'autre
L'épreuve fut terrible pour tous deux. Nous pleurâmes beaucoup tout deux dans les bras l'un de l'autre. Notre couple en souffrit beaucoup et nous prîmes du recul. Cet enfant avait occupé toutes nos pensées, avait rempli nos cœurs, et sa disparition soudaine créa un vide douloureux. Il était aussi devenu un ciment nous unissant, et la secousse nous éloigna. La fin des vacances fut morose. Avec le recul, je me demande comment les parents ont bien pu ne rien voir, mais la rentrée scolaire arriva.
Chloé dut repartir pour sa fac à Aurillac. Moi j'étais au lycée, et l'année de terminale commençait. Ma mère passait son temps à me répéter que c'était la dernière ligne droite et que je devais assurer. Ceci m'alla très bien : beaucoup de travail, rien de tel pour éviter de trop penser. Chloé devait craindre de me croiser parce que ne rentrait pas à la maison, ce qu'elle faisait avant tous les weekend.
C'est du moins ce que je pensais au départ, mais petit à petit le doute me gagna. Avait-elle trouvé un copain ? Son silence radio pouvait traduire bien d'autres choses. Elle avait toujours papa et maman au téléphone mais elle ne me demandait jamais ; était-ce qu'elle m'évitait parce qu'elle m'avait remplacé ? La chose me travailla de plus en plus jusqu'à ce que j'en tourne dans ma chambre comme un noob au cinquième monde de Super Mario Land. Je devais absolument en avoir le cœur net, mais comment... La solution ce fut elle qui me la fournit : elle m'invita pour le second weekend d'octobre. C'était mon anniversaire et elle voulait me faire un cadeau. Évidemment j'acceptai.
L'attente fut interminable jusqu'à l'heure du départ et je trépignai sur le trottoir en attendant le car qui devait m'emmener. J'avais pris deux sacs à dos : l'un des deux était plein d'affaires de rechange, l'autre des jouets que je lui avais fait acheter. Quoi qu'elle décide, ces jouets c'était elle qui les avait acheté, ils étaient donc à elle. Une jolie petite brune s'assit à côté de moi et nous discutâmes sur le chemin. Elle était étudiante en fac, comme ma sœur, et elle passa son temps à lui parler d'une récente déception amoureuse. Je parlais de la mienne aussi, en occultant certains détails comme le fait que mon amante était ma propre sœur. Les gens réagiraient probablement mal s'ils le savaient.
A l'arrêt, elle me dit que j'étais craquant, me fit un bisou sur la joue, et me laissa un bout de papier sur lequel elle avait griffonné son numéro de téléphone. Elle se leva alors pour quitter le bus. J'étais tellement pris par le mouvement de hanches que je mis plusieurs secondes à réaliser que c'était là que je descendais. Elle s'éloignait d'un pas lent, flâneur, le long d'un boulevard. Je regardai fébrilement ma carte. C'était mon chemin ! Je la suivis donc en gardant la même vitesse et une distance raisonnable, qu'elle ne me prenne pas pour un pervers mais tout en profitant du spectacle qui s'offrait à moi. Elle s'arrêta devant l'immeuble de ma sœur, c'était une chance ! Le temps qu'elle fouille dans son sac pour y trouver les clefs, je la rejoignis donc.
« Vous voulez un second bisou ?
- Non, je viens ici voir quelqu'un... Chloé.
- Ma colocataire ? Alors c'est toi son ex ? Et tu es toujours dispo ? »
Son ex ? C'est comme ça qu'elle me présentait ? Alors ça y était, c'était fini entre nous ? Oui ce n'était pas une relation facile, et la blessure de l'enfant était toujours présente, mais être relégué à l'état d'ex, ça me faisait encore plus mal. Un enfant je pourrai en avoir d'autres, mais Chloé était unique ! Je me retrouvai devant sa porte lorsque je sortis de mes pensées. On avait fait le chemin sans même que je ne m'en rende compte et elle ouvrit la porte. Derrière cette porte se tenait ma sœur. Elle était tendue, nerveuse. Qu'allait-elle dire ? Qu'allait-elle faire ?
CHAPITRE 21 : La Lune éclipse le Soleil
« Bonjour Marc.
- Bonjour Chloé »
Bon sang ! Bonjour Chloé ? Était-ce là tout ce que j'arrivais à lui dire ? Nous nous regardâmes ainsi et ce fut la colocataire qui brisa le silence.
« Tu sais Clo, même s'il est super craquant et que c'est vraiment mon type, je crois qu'il ne sera pas pour moi : je lui ai fait du pied pendant tout le voyage en bus et me suis penché vers lui, mais il n'a rien remarqué, et n'a pas même jeté un coup d'œil dans mon décolleté. »
Elle avait fait ça ? Enfin... j'avais fait ça ? Mais quel con ! Elle était superbe cette nana. Son visage était vraiment beau, sa chute de rein à tomber par terre, et si sa poitrine était moins grosse que celle de Chloé, elle semblait être tout à fait convenable et bien ferme.
« Ne t'en fais pas Lucie, c'est un geek, je te l'avais dit. Il est souvent dans la Lune, mais tu es tout à fait son genre, n'est-ce pas Marc ? »
La belle inconnue avait acquis un nom, voilà qui simplifierait beaucoup son identification. J'acquiesçai en déglutissant. Alors voilà mon cadeau ? Je dois avouer que c'était là quelque chose d'inattendu. A les entendre je trouvais plutôt que c'était moi le cadeau qu'elle avait fait, mais ce n'était pas pour me déplaire. On m'avait déjà dit que la seule bonne façon de finir une relation était d'en commencer une nouvelle, et voilà qui était fait, ou presque. Ce fut dans un état second que je vis la poitrine se rapprocher et un baiser se faire sur mes lèvres. En réalité c'était Lucie, mais j'étais en train de rattraper le retard.
« Alors Marc, est-ce que ça te dirait de sortir avec moi ? »
C'était rapide, bien trop rapide pour moi. Comment savoir si elle avait des sentiments ? Ma sœur n'avait fait que lui parler de moi, je ne l'avais jamais vue ni inversement. Et la voilà qui me proposait de sortir avec elle ? Elle mettait la charrue avant les beaufs ! Et puis je n'étais pas un objet qu'on se refilait, j'étais un être humain, merde !
« Oui.
- Alors c'est décidé. Nous allons faire un tour. Chloé, je te laisse la maison. »
Oui ? J'avais répondu oui ? Mais pourquoi ? Ce n'était tout de même pas mon entre-jambes qui me commandait j'espère ! Je dois avouer qu'elle était plus qu'attirante, mais ça c'était mal... Et puis qu'allait devenir Chloé ? Pourquoi m'avait-elle fait ça ? Voulait-elle que ce fut la fin de notre relation ? C'est tout en pensant à ces choses que je me retrouvais dans la rue, marchant avec Lucie qui me tenait la main. C'est quelque chose que je n'avais pas pu faire avec Chloé dans mon village, nous nous étions toujours cachés dans la maison. Entre un frère et une sœur personne n'aurait compris, mais avec Lucie je me sentais plus libre que je ne l'avais jamais été. Pouvoir déambuler dans la rue en tenant la main d'une belle femme et afficher à tous la fierté de pouvoir dire qu'elle était mienne, c'était tout nouveau.
Cet après-midi là, nous avons juste marché dans les rues d'Aurillac. Le soleil était fort, une glace à l'italienne nous rafraîchit et nous nous retrouvâmes bientôt à discuter allongés dans un parc à l'ombre d'un chêne massif. Elle me posa mille questions sur moi, sur l'endroit où j'avais grandi, sur ma relation avec Chloé aussi. Elle ne semblait pas jalouse. Je ne mentis pas mais contournais les questions, en répondant par exemple que Chloé et moi habitions le même petit village.
Elle m'apprit qu'elle avait vingt six ans, qu'elle avait pris une année sabbatique pour s'occuper des affaires de ses parents morts dans un accident quand elle avait vingt ans, et que là elle était en stage de fin d'études d'école d'ingénieur. J'étais soufflé : elle était belle, très intelligente, mûre, et nos dix ans d'écart ne semblaient pas la gêner outre mesure. J'aurais pu me sentir écrasé par elle, mais Lucie savait se montrer chaleureuse et je fus à l'aise dès les premiers instants. Chloé s'éloignait de mes pensées.
Chapitre 22 : Un lien nouveau
L'après-midi se passa comme dans un rêve, et je fus presque surpris de retrouver Chloé dans l'appartement à notre retour. C'était gênant d'embrasser ma nouvelle petite copine devant elle, ce que Lucie interpréta comme de la délicatesse envers une ex, et elle se retint de le faire en sa présence. Quelque part il s'agissait effectivement de ça, notre lien de parenté n'ayant guère grand chose à voir. Moi qui pensai être comblé, je reçu de ma sœur un second cadeau d'anniversaire : un téléphone portable avec 6 mois de communication pré-payées. Ainsi j'allais pouvoir communiquer plus facilement avec ma nouvelle petite amie, et surtout ne pas lui donner mon numéro de téléphone fixe. Elle aurait certainement trouvé curieux qu'il s'agisse du même que de celui de Chloé.
Cette lui là je dormis dans la chambre d'amis. Lucie me proposa bien de partager sa chambre, mais avec ma sœur tout proche je n'étais pas très à l'aise. Une fois encore elle prit cela comme un signe de délicatesse, s'excusa auprès d'elle et sembla m'apprécier d'autant plus. Je fis un rêve étrange dans lequel j'étais à un mariage, le mien, mais où il y avait deux banquets, et je ne connaissais personne. J'étais sûr d'être le marié, mais impossible de retrouver la mariée, et j'avais grand peine à bouger, comme si j'étais englué. Le petit-déjeuner à trois fut très agréable et bien plus équilibré qu'à la maison : du thé, du pain frais, du beurre et des fruits. C'était frais du matin et ça donnait beaucoup d'énergie. Mon bus était en milieu de matinée, Lucie me raccompagna jusqu'à l'arrêt et m'embrasse jusqu'à satiété. Je dois pour cela vous dire qu'elle a un bel appétit.
Au cours du voyage du retour, je reçu deux texto de deux numéros de téléphones différents, le premier me disait :
« Bonne journée mon amour, je pense très fort à toi. »
et le second :
« Tu y as échappé pour cette fois, mais la prochaine tu passes à la casserole ! »
Super... je me doutais bien que l'un des deux était à Chloé et l'autre à Lucie, mais que répondre ? J'étais complètement perdu. Si seulement elles avaient pensé à me donner leur numéro... mais moi-même, je n'avais pas pensé à le leur demander, et maintenant j'étais bloqué. Et puis l'un des deux était forcément à Chloé, et cela voulait dire qu'elle n'avait pas renoncé à moi ! Cette pensée me gonflait le cœur de joie, mais Lucie ? Elle ne me laissait pas indifférent, ça c'était certain. J'allais devoir faire un choix entre les deux. Elles étaient trop amies pour que je puisse m'amuser à jouer double jeu, même si l'idée était très tentante. Il me restait une solution.
Arrivé à la maison j'appelai l'appartement de Chloé et Lucie. Ce fut ma sœur qui me répondit.
« Allo ?
- Allo ? Chloé ? C'est Marc ! Dis-moi, c'est quoi ton numéro de téléphone portable ?
- Tu abuses, je t'ai envoyé un texto !
La traîtresse... Il allait falloir ruser.
« Je découvre encore le fonctionnement du téléphone, et je l'ai effacé d'une mauvaise manipulation.
- Bon ok, je te renvois ça, gros bisous. »
Un nouveau texto... Je pouvais mettre un nom sur chacun désormais. Voilà qui était mieux. Ce qui était nettement moins cool c'est que je ne pouvais pas voir ma petite copine avant le mois prochain, vus les contrôles qui allaient me tomber dessus. J'étais reparti pour une nouvelle et bien longue attente, c'était trop dur !
Chapitre 23 : On ne badine pas avec l'amour
Cela faisait deux semaines lorsqu'on toqua à ma porte très tard, me réveillant. Je m'étais endormi depuis peu de temps et me réveillai donc dans un brouillard assez épais. La pièce était plongée dans l'obscurité.
« Oui ? Entrez ! »
Je n'avais pas parlé trop fort, pour ne pas réveiller la maison, mais assez pour que la personne à la porte puisse m'entendre. Était-ce papa ? Maman ? Pourquoi me réveiller ? La lumière de la Lune gibbeuse qui brillait à travers la fenêtre me révéla une forme féminine qui s'approchait. Les courbes étaient pleines et belles, une jeune femme désirable aux seins ronds et fermes. Un rêve ? Peut-être, mais plus réaliste qu'aucun autre alors. La lumière révéla le visage de ma sœur qui me souriait. Dans l'encadrement de la porte apparu Lucie, nue elle aussi, et tout aussi désirable. Elles s'approchaient toutes deux du lit, Chloé en ayant fait le tour. Elle se pencha sur moi, me caressant de sa poitrine nue, et me chuchota coquinement à l'oreille :
« Debout gros paresseux, tu vas être en retard en cours ! »
Ma mère me secouait vigoureusement. Merde ! Une saleté de rêve ! Et pourquoi devait-il y avoir école, j'avais l'impression de m'être endormi quelques minutes à peine auparavant ! On était jeudi matin et il faudrait attendre samedi pour que j'aille voir Lucie. La journée s'annonçait bien difficile, et en réalité elle le serait. Mon rayon de soleil m'arriva à la pause de midi via un texto de ma petite copine :
« j'ai acheté une webcam, rendez-vous ce soir à vingt et une heure précises pour un petit avant goût... »
Je me précipitai le soir sur mon PC comme s'il s'agissait d'un exemplaire dédicacé de Dragon Ball par Akira Toriama. Ce fut terriblement dur d'attendre, mais à vingt et une heures précises, Lucie se connecta, j'étais aux anges ! Presque simultanément Chloé aussi de connecta, et je reçu ainsi deux invitations de webcam.
S'étaient-elles entendues pour m'emmerder ? Après tout il n'y avait pas de mal à accepter une invitation, hein ? Profitant de mes deux écrans, j'ouvris une invitation sur chacune d'elle et prétextai une panne de micro pour éviter les soucis. Chacune était dans sa chambre et j'eus droit à deux strip-tease simultanés. Je ne savais plus où donner de la tête. Mon seul réflexe fut d'enclencher le petit logiciel servant à faire des enregistrements. Ces deux vidéo m'aideraient beaucoup pour toutes les soirées où je serait seul.
Chacun des deux écrans montrait un spectacle magnifique. Toutes deux dansaient à moitié tout en se déshabillant. Leurs seins durs, leurs tétons dressés, leurs yeux brillant, tout montrait un désir très fort. Un élan de modestie me poussa à penser qu'une réaction si forte chez deux si belles créatures n'était pas poussée par mon seul physique, mais aussi par une abstinence prolongée. Elles m'étaient très certainement fidèles. C'était très bien de la part de Lucie, mais Chloé n'était-elle pas libre ? Pourquoi s'offrait-elle ainsi à mes yeux ?
Évidemment, j'appréciais cela au plus haut point, mais j'étais confus. Je sentais au fond de moi que je l’aimais toujours, et la désirais toujours sauvagement, mais elle m'avait rapproché de Lucie, pourquoi ? Toutes deux finirent à peu près en même temps, Chloé avec un tout petit peu d'avance. Elles se déconnectèrent ensemble également, mais Chloé avait laissé un dernier message avant d'éteindre : « fais-moi un enfant ».
C'était la seule chose qui pouvait me plonger plus profondément encore dans la confusion. Après tout ce qui s'était passé, elle en voulait un ? Ce ne pouvait être que du dépit, elle n'avait pas du tirer le trait sur ce qu'elle avait vécu. Avant Lucie et maintenant un enfant, mais à quoi jouait-elle ? Cela fit renaître au fond de moi des sentiments que je croyais déjà enfouis. Des souvenirs remontèrent. La fierté d'être père, la joie de voir ma « petite femme » qui me souriait et caressait son ventre innocemment. C'étaient là des souvenirs heureux qui, tout d'un coup, m'avaient fait terriblement mal. Je ne voulais pas le revivre, mais cette joie, elle me manquait terriblement.
Peut-être m'avait-elle mis à l'épreuve ? Était-ce pour me faire choisir entre Lucie et elle, entre une vie d'adolescent banal et la joie de la paternité ? Non, ce ne pouvait être cela : Lucie pouvait tout autant devenir mère que Chloé... Ou était-ce pour me faire comprendre qu'elle en souffrait encore et qu'elle désirait partager cette souffrance, même si c'était maladroitement ? Mais il aurait mieux fallu en parler, et Lucie, que deviendrait-elle dans tout ça, y avait-elle pensé ?
Ces pensées me tourmentèrent la nuit entière, tant et si bien que je n'en fermais pas l'œil. Le contrôle de vendredi était de mathématiques, heureusement. Il s'agissait d'une matière ne demandant aucune réflexion, qu'un robot pourrait réussir, et c'est en robot que j'y répondis. La journée entière, je fus absent, dans la Lune. Je répondis également mécaniquement aux textos d'amour de Lucie qui m’exprimait son impatience de me voir le lendemain. Ce que je voulais, c'était un message de Chloé, mais elle restait silencieuse, et aucune réponse ne venait à mes demandes d'explications.
Un enfant ? Voulait-elle vraiment un enfant de moi ?
Chapitre24 : Le ruissellement sous le masque
Vendredi soir, de retour de cours, je trouvai Chloé discutant avec papa et maman dans la cuisine. Je restais estomaqué et il me fallu quelques secondes pour réussir à parler. Elle voulait passer le weekend à la maison, en famille, pour tous nous revoir. Évidemment, cela m'arrangeait beaucoup : ça voulait dire que je serai seul à Aurillac avec Lucie. Je sortais avec elle, mais jamais je n'avais pu la caresser, lui faire des câlins ou quoi que ce soit du genre, et ce n'était pas l'envie qui m'en manquait. Je fus très rassuré : elle avait du plaisanter par cam, et elle me laissait vivre mon histoire avec sa colocataire. Après tout ce n'était qu'à trente minutes de voiture, donc la chose n'était pas si gênante. A cause d'elle j'avais vécu l'enfer, ne sachant pas quoi penser, mais là elle était souriante, gentille, comme je l'avais toujours connue. Une page se tournait enfin pour moi.
Elle avait présenté sa venue comme une envie du moment, les parents n'étant pas prévenus. Ils l'accueillirent cependant très fort, heureux de revoir leur fille qui ne pensait jamais qu'aux études. Je partis faire des courses avec papa pendant que maman et Chloé discutaient. En fait nous n'avions pas grand chose dans le frigo, il fallait le remplir, au moins pour le weekend. Papa était vraiment un amateur de bonne chair, et jamais je n'ai su résister à ses pulsions culinaires.
C'est ainsi qu'avec les courses, nous nous retrouvâmes dotés d'un bel éventail de charcuterie et de pas mal de fromage pour faire une fondue savoyarde. Il ne faisait pas particulièrement froid, mais la fraîcheur était, aux yeux de papa, suffisante pour justifier ce choix de dîner. Maman allait encore râler sur le tour de ventre de papa qui évoquait plus le chanteur bavarois que Tarzan, mais peu importait, le dîner serait festif. Et puis papa aurait droit à une semaine de régime pour compenser... et moi avec puisqu'elle cuisinait toujours la même chose pour tout le monde et dans les mêmes quantités.
Après un repas gargantuesque, nous nous installâmes dans le canapé du salon pour regarder Bambi tous ensemble. Cela faisait partie des rituels familiaux, comme de guetter la larme à l'œil de ma mère au son du coup de fusil, chose qui ne manquait jamais et qui la faisait nous taper à coup de coussin pour ne pas avoir « respecté ce moment d'émotion ». Le film était suffisamment long pour me permettre une bonne digestion.
J'avais évité de trop forcer, je ne voulais pas mal dormir par la suite. Chloé aussi avait été raisonnable, et seul papa avait mangé comme un ogre, suivi en cela par maman à son corps défendant : dès qu'elle tournait la tête il la resservait et elle mettait toujours un point d'honneur à finir son assiette. A la fin chacun regagna sa chambre, et moins de deux minutes après j'entendis de puissants ronflements venant de la chambre des parents. Malgré une capacité thoracique certaine et un embonpoint très honnête, papa n'avait jamais réussi à ronfler plus fort que maman. Une légende familiale voulait que l'absence de souris dans la maison était due à la capacité des ronflements de maman à faire trembler les murs, ce qui ne manquerait pas d'affoler ces petites créatures. Maman désignait plutôt notre chat, Patapouf. Celui-ci portait vraiment bien son nom, autant vous dire qu'il était d'une parfaite innocuité pour quelque rongeur que ce soit.
Je regagnai donc ma chambre pour mettre mon pyjama, qui se résumait en un caleçon, et allai ensuite à la salle de bain pour m'y brosser les dents. Chloé m'y rejoignit, sortant de l'ombre du couloir vêtue d'une nuisette transparente qui la déshabillait plus qu'elle ne voilait quoi que ce fût. Elle me fit un sourire mi-espiègle mi timide avant d'aller à l'autre lavabo pour se mouiller le visage. Elle se redressa ensuite et se tourna vers moi, prenant une pose suggestive, les deux mains jointes sur le rebord du lavabo de façon à mettre en valeur sa poitrine.
« Est-ce que tu me trouves belle ? »
Surpris, je ne sus tout d'abord quoi répondre. Elle était bien venue pour me laisser seul avec Lucie, non ? Mais alors pourquoi m'aguicher comme ça ? Oui elle était magnifique, et je mentirais si j'essayais de le nier ou de nier quelque attirance pour elle. Je bégayai difficilement un « oui ». Totor me faisait déjà comprendre qu'il était à l'étroit et qu'il n'aurait pas été contre un peu de place. Elle s'approcha pour se coller à moi. Mes mains vinrent instinctivement se poser sur sa poitrine. Elle était ferme, les tétons dressés.
« Est-ce que tu as aimé mon cadeau ?
- Oh oui ! Merci pour le portable !
- Je parle de Lucie, là.
- P-pardon ?
- Elle te trouve sincèrement à ton goût et ignore qu'elle est mon cadeau... Mais que tu restes à moi, ce sera notre petit secret... »
J'eus du mal à répondre : Elle s'était glissée contre moi, jusqu'à être à genoux et m'avait libéré le sexe pour entamer une fellation.
« Attends Chloé, qu'est-ce que tu fais là ? »
Elle cessa de me lécher le sexe pour me masturber et ainsi pouvoir parler.
« Tu m'appartiens à moi et à moi seule. Dis-le-moi. »
Dans un moment pareil, je lui aurais dit n'importe quoi. Le plaisir était si fort que je me tenais au rebord du lavabo pour ne pas tomber.
« Ou... Oui !
- Très bien... Jamais tu ne me quitteras, hein ? »
Cette dernière phrase avait un ton étrange. Sous un vernis coquin je pouvais sentir une plainte, un désespoir profond. Elle avait peur, peur d'être abandonnée, elle se sentait seule. Comment n'avais-je pas senti une telle souffrance ?
Chapitre 25 - Orage et ciel pur
J'étais bouleversé par ce qu'elle m'avait dit. Elle avait peur de me perdre, que je l'abandonne. Jamais je ne l'aurais fait, c'était ma sœur après tout. Il y avait autre chose, mais quoi ? Pour le moment il me fallait la rassurer. Si elle m'avait fait subir ça, c'est qu'elle souffrait, j'en étais sûr. Elle n'avait peut-être même pas eu conscience de ce par quoi j'étais passé. Toutes ces pensées je ne les ai eues cependant qu'après. Je vous laisse deviner à quoi peut penser un garçon de seize ans à qui s'offre ainsi une si ravissante créature... Oui, vous l'avez deviné : à rien du tout.
« Jamais je ne te quitterai, tu es à moi. »
J'avais dit ça comme ça, en réponse à sa question. Ses yeux brillèrent alors d'un autre feu. Ce fut un soulagement immense que j'y vis et une gratitude à la même mesure. Après avoir remis mon caleçon en place, elle retira sa nuisette, se retrouvant entièrement nue devant moi. Ce fut d'une voix douce, suppliante, qu'elle me demanda :
« Redites-le moi, Maître. S'il vous plaît.
- Tu m'appartiens. »
Un frisson de satisfaction la parcourut et elle vint se blottir contre moi. Le baiser qu'elle m'offrit alors fut vraiment doux, me rappelant les toutes premières fois. Alors que ce baiser durait, sa main glissa sur moi pour venir sous mon caleçon caresser mes testicules. J'étais plus que tendu et cet attouchement me rappela aussitôt la furieuse envie que j'avais. Elle me prit la main et m'emmena dans le couloir d'un pas dansant et un peu pressé. Nous nous retrouvâmes dans sa chambre dont elle ferma la porte derrière moi, puis elle vint se mettra à quatre pattes, dos à moi, sur le bord du lit, les hanches bien cambrées. Son sexe ouvert et trempé semblait respirer. C'était comme s'il m'appelait, comme s'il n'y avait plus que lui dans cette pièce emplie d'une odeur de femme et de désir. Debout sur le bord du lit je vins la prendre la prendre par les hanches et glisser en elle sans réfléchir. Elle était très prête et la pénétration se fit sans le moindre mal. Ses mains serrèrent les draps quand je touchai la porte de son saint des saints de mon bélier.
A ce moment-là, j'avais envie d'elle de façon purement animale. Je la pris comme un mâle en rut monte une femelle en chaleur. Grognant de plaisir, je la baisai sans retenue, sans douceur, je donnais de grands coups de bélier en cherchant à aller toujours plus loin pour satisfaire mon désir charnel. Elle dut très vite prendre un oreiller pour étouffer ses cris de plaisir, et c'est elle-même qui vint, à chaque ralentissement, s'empaler sur mon pieu d'un coup de hanches bien senti. Je ne sais plus ce que je dis à ce moment là. Il y eut des gémissements, des demandes de soumission de la part de Chloé et des exigences de domination de ma part.
Je crois que c'était une façon de me libérer de toute cette tension, de me venger sur elle qui était à ma merci. Tout ce dont je me souviens est qu'il avait été questions « d'engrosser ma chienne », et c'est profondément en elle que je jouis. Cela avait été très fort, éprouvant physiquement, et j'en étais sorti vidé de toutes les manières.
Physiquement, évidemment : vidé de toutes mes forces, de ma semence, du reste de mon énergie, mais mentalement également. Je me sentais vide, sans émotion, comme si ce qui m'entourait était étranger. J'étais étranger à tout ce que je regardais, comme s'il s'agissait d'un film impersonnel. Je m'endormis très vite.
Au réveil, la première chose que je vis ce furent les yeux de Chloé qui me regardaient amoureusement. L'étrange lueur avait disparue et elle était redevenue ma sœur adorable... et nue sous les draps tout contre moi.
« As-tu bien dormi, Marc ?
- Comme une pierre, j'étais crevé. Je suis dans ton lit, là ?
- Oui, mais ne t'en fais pas : j'ai expliqué aux parents qu'on avait discuté très tard et que tu t'étais endormi là, comme quand on était petits. Attends-toi à ce qu'ils ressortent les surnoms de quand tu étais gamin, mais ce n'est pas grave, non ?
- Ce réveil en vaut la peine.
Je penchai la tête vers elle et l'embrassai tendrement. Ma main glissa sur sa hanche nue.
Tu peux m'aider à me débarrasser de cette vilaine érection matinale ?
Je crois que c'est jouable.
Son regard pétillait, sa voix était douce et aimante... J'avais retrouvé ma sœur, celle que j'aimais plus que tout au monde. Mon cœur débordait de joie.
Chapitre 26 : Entre Lionne et Panthère
Ce bonheur retrouvé n'aida pas à calmer mon érection, loin de là. Ma main glissa très vite de sa cuisse vers son entre-jambes ou je trouvai une humidité très accueillante, ce accompagné d'un sourire engageant sur son visage.
« T'arrive t-il de ne pas être prête ?
- Allons... tu sais bien que je suis toujours prête pour mon maître. »
Plus que ses mots, c'était le ton de sa voix qui était très excitant. Je n'avais qu'une envie, c'était de lui sauter dessus. Ce fut d'ailleurs ce que je fis dans l'instant. Pour être plus exact, je roulai sur elle, entre ses cuisses, pour la pénétrer d'un bon coup de reins. La réalité est toujours plus cruelle, et ce fut au bout de trois coups malheureux qu'elle saisit mon sexe pour le positionner et me donner accès au paradis.
Nous fîmes l'amour face à face, les yeux dans les yeux. Ce fut un échange de coups de hanches, de mots d'amour échangés à voix basse, et de baisers très tendres. Elle était souriante, les yeux pétillants, toute de bonheur. A ce moment là elle était belle comme aucune femme ne le sera jamais. Elle se retint de son mieux mais laissa échappa de faibles gémissements de plaisir qui me remplissaient d'aise et de fierté. Nous fîmes l'amour dans le silence et la complicité, essayant de ne pas nous faire entendre de nos parents. Alors que l'orgasme était proche, je cherchai à sortir, n'ayant pas de préservatif, mais elle saisit mes fesses et me plaqua en elle me murmurant de ne pas m'inquiéter parce qu'elle faisait ce qu'il fallait. Soulagé, je joui profondément en elle puis me laissai rouler à ses côtés, essoufflé. Après une vingtaine de minutes de repos et de caresses, elle se leva, enfila une culotte et un tee shirt long, et m'emmena petit déjeuner.
Il était déjà neuf heure trente, et le bus était à dix heures. Je dus me dépêcher pour ne pas le rater. J'embrassai toute ma famille et me précipitai, l'attrapant juste à temps. Le voyage me laissa le temps de réfléchir. Elle m'avait dit faire ce qu'il fallait, elle devait donc certainement prendre la pilule. Le petit mot à la webcam n'était certainement qu'une façon de parler, un jeu sexuel, faire comme si. Elle ne pouvait pas vouloir mon enfant, pas après ce qui s'était passé. Cela ne m'expliquait pas pourquoi elle m'avait fait connaître Lucie. Chloé semblait toujours m'aimer, alors pourquoi m'offrir à une autre ? Ce n'était probablement pas pour satisfaire un trop plein de désir sexuel, puisque c'était Chloé qui venait toujours à ma rencontre pour ça.
C'est toujours perdu dans mes pensées que je sonnai à la porte, pourtant ma tête se vida d'un coup lorsqu'elle s'ouvrit. C'était Lucie, bien évidemment, et elle était toujours aussi belle... sauf que cette fois elle était entièrement nue. J'entrai vite et fermai la porte derrière moi.
« Mais... Et si un voisin passait ?
- Nous sommes au dernier étage, et mes voisins de palier sont un couple gay... Je ne m'en fais pas trop pour ça »
Ma main vint se poser distraitement sur l'un de ses seins dont elle caressa le téton tendu. Elle était vraiment très bien faite, et sa poitrine, quoique plus petite que celle de Chloé, me semblait irréprochable. La seule chose qui me gênait un peu était son sexe, où je ne voyais pas la moindre trace de pilosité. Cela donnait étrangement l'impression de reluquer une adolescente pré-pubère, et malgré cela la vision excitait très fortement ma libido. Loin d'être gênée, elle semblait au contraire très satisfaite que je l'observe ainsi.
« Est-ce que tu aimes le spectacle ?
- Je suis fan. J'en redemanderai souvent.
- Profites-en bien, parce que comme je ne sais pas quand ton ex nous laissera à nouveau seuls, je compte bien ne pas en gâcher une miette de ce weekend. »
Son regard gourmand en disait long. Je venais à peine de faire tout ça, il y avait tout juste deux heures... Si elle était aussi demandeuse que Chloé, elles me tueraient à force !
A suivre...
Signé : Sélénime sur Doctissimo
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@bite fraiche ::ravie que ca te plaise !
Désolée je ne connais pas les airs, j'ai juste eu les textes par un ami...
salut on peut trouver les air?
hum tres exitanm.................