Les Mémoires très Libertines de Sophie
Mon week-end avec Jean-Claude (bi)
Je vous ai déjà parlé de Line et Jean-Claude, ce couple de libertins bisexuels avec qui nous formons un trio et avec qui j'ai l'immense bonheur de faire l'amour sans capote lorsque nous sommes seuls tous les trois. Samedi soir dernier, on approchait des vingt heures quand je reçois un coup de téléphone. C'était Jean-Claude.
Il venait de faire une longue randonnée dans le Quercy avec des amis. Il était à une trentaine de kilomètres de chez moi et me demandait l'hospitalité. Bien entendu j'acceptais avec le plus grand plaisir. Je suis alors sorti acheter de quoi faire un repas sympa. Une fois de retour, j'ai chauffé la maison un peu plus qu'à l'habitude, car, tout comme moi, Jean-Claude adore vivre nu chez lui, et « Mossieur » est frileux, donc...
Il est vingt heures trente lorsqu'il sonne à ma porte. Je le fais entrer. Il demande à prendre une douche, sa rando l'a épuisé et il est en nage. Je le conduis à la salle d'eau et en bon camarade je l'aide à se laver. Ce sont des choses qui se font entre gens de bonne compagnie. Ne croyez-vous pas ?
Bien sûr je me charge du dessous de sa ceinture. A l'aide d'un gant savonneux je lave ses fesses et son petit trou. Bon je confesse que je m'attarde beaucoup sur son anus, je n'y suis pour rien, c'est ma main qui y va toute seule, elle a dû reconnaître un trou qu'elle a souvent visité. Je constate avec plaisir qu'il se dilate toujours aussi facilement dés lors qu'on s'occupe de lui.
Je prends sa queue en bouche. Elle commence à grossir, je fais en sorte qu'elle bande encore plus. J'adore sa queue. Elle est parfaitement droite et toute chaude. Je parcours sa grosse tige, doucement comme il aime. Je m'attarde sur son gland que j'enveloppe de ma langue puis que je mordille délicatement. Je l'entends gémir. L'eau de la douche continue de couler et me mouille, heureusement que je suis à poil. Cette petite séance dure un bon moment et Jean-Claude finit par jouir. Il explose dans ma bouche. J'avale tout sans en perdre une goutte. Mmm !!! quel délice !! Je me régale.
Nous nous séchons et allons nous installer pour prendre un apéro et discuter un peu. Il m'explique qu'il est venu seul car Line son épouse est partie s'occuper de sa mère malade. Personnellement je le regrette car j'adore quand elle entre sa main dans mes fesses, elle le fait avec délicatesse et me fait jouir à chaque fois. Pour compenser je pourrais peut-être jouer avec la queue de Jean-Claude cette nuit. Je dis peut-être car il a l'air épuisé par sa eando. Il a besoin de récupérer. Nous dinons et allons nous coucher.
Quel plaisir de sentir un corps nu contre le sien. C'est excitant au possible. Nous nous endormons assez vite chacun de nous tenant la bite de l'autre un peu comme les mômes tiennent quelque chose en main pour s'endormir en paix.
Et puis au petit matin, il devait être 5 h environ, une sensation étrange, une impression d'être envahi par une vague de plaisir. C'est bon, on a envie que ça ne s'arrête pas. Je ne me demande même pas ce que c'est, je sais que c'est bon ça me suffit. Mais est-ce que je fais un rêve érotique à cause de la présence de Jean-Claude dans mon lit ? Ben non et là je comprends le pourquoi de cette sensation de plaisir.
Je suis couché sur le côté. Jean-Claude aussi. Il est derrière moi, contre moi, tout contre et il m'encule doucement. Je gémis et tourne la tête vers lui, encore à moitié endormi. Tout en continuant ses mouvements de va et vient, il m'explique qu'une envie de baiser l'a réveillé, et qu'il s'est mis à me caresser l'anus, puis à le lécher. Moi, j'ai le sommeil très lourd, il en faut beaucoup pour me réveiller. Il m'explique que je remuais mon bassin légèrement quand il me léchait, en grognant légèrement.
Puis, sachant que j'avais mon sphincter anal assez souple, il savait qu'il pouvait me pénétrer sans douleur et sans que je sois réveillé d'une manière brusque. J'étais encore un peu pris par mon sommeil, mais tout ce dont j'avais conscience c'est que j'avais un beau sexe d'homme bien droit et bien dur dans mon ventre et que ça me donnait un plaisir incomparable.
Jean-Claude m'enculait comme il aime le faire parfois, doucement, lentement pour que le plaisir dure et augmente progressivement. Il est d'ordinaire très endurant et quand il fait ça aussi lentement le jeu peut durer un bon moment. Et moi ça me convient parfaitement je ne connais rien qui soit aussi délicieusement bon que de sentir la bite de Jean-Claude, douce et chaude me parcourir l'intérieur.
Plaisir décuplé par la chance que nous avons de pouvoir baiser sans capote quand on est entre nous. Je donne de légers mouvements à mon bassin pour accompagner ceux de mon ami pour qu'il entre encore plus profond en moi. Au bout de quelques minutes j'ai une sorte d'orgasme sans que j'éjacule, une sorte de frisson qui envahit tout mon corps.
Puis Jean-Claude sort complètement son membre et me le donne à sucer. Je le prends complètement dans ma bouche, il est vraiment tout chaud, et doux A son odeur s'ajoute l'humidité de mon intérieur, j'adore. Il arrête vite ma pipe pour m'enculer à nouveau mais cette fois-ci sans précaution, il entre d'un coup et fait claquer son ventre sur mes fesses.
Et là il commence une autre manière de baiser, il alterne ses mouvements au gré de son inspiration, mouvements doux, puis brusques, puis ressort entièrement pour entrer à nouveau et rapidement. Par moments il joint ses deux pouces à sa queue. Ça augmente la sensation d'épaisseur c'est hyper bon, ce truc. Plus ça va, plus j'ai envie qu'il jouisse en moi, mais ce salop prend tout son temps, il aime faire durer le plaisir. Moi j'en peux plus c'est presque intolérable comme plaisir, par moments. Je gémis, ce que je fais rarement.
Et puis enfin il se laisse aller, il augmente la cadence de ses va et vient et en rugissant il explose en moi. Quel super pied !!! Et quelle jouissance de sentir son sperme envahir mon ventre. Saleté de SIDA qui empêche ce plaisir là. Jean-Claude se vide complètement, il s'accroche à moi pour que sa queue reste bien en moi. J'adore ce moment là, on a envie de rester l'un dans l'autre pour longtemps.
Hélas, il débande, lentement mais il débande et sa queue sort de moi malgré nous. Je m'empresse de me retourner et de la prendre dans ma bouche pour la nettoyer. je fais ça soigneusement, ce que je sens sur ma langue me plait trop. Je sens que petit à petit il commence à rebander. Je continue de le sucer mais Jean-Claude m'arrête me retourne à nouveau pour recueillir son sperme qui s écoule de moi, lui et moi adorons ce petit jeu.
Enfin nous nous levons et après une bonne douche nous prenons un copieux petit déj'. Le temps a passé vite il est déjà 9 heures, il doit partir dans une heure et je n'ai pas encore fait jouir son cul ni ma queue. Nous retournons vite sur mon lit et nous nous jetons l'un sur l'autre comme des morts de faim, et nous entamons un 69 goulu, puis je le retourne pour passer ma langue entre ses fesses. Elles sont vierges de tout poil.
Son trou est bien dessiné. Comme le mien il est assez souple, aussi je fais pénétrer trois doigts facilement et le sodomise un moment ainsi. Je le sens qui remue, il adore ça. J'ai la bite toute raide et dure. Je me place bien derrière lui et le pénètre doucement. J'entre je ressors et j'entre à nouveau en poussant chaque fois plus loin. Enfin mon ventre et contre son cul. On reste immobile un instant puis je le martèle à grand coup de rein avec moins de délicatesse que lui quand il m'a enculé.
Jean-Claude adore quand on le brutalise un peu. Mais à ce rythme là, excité comme je le suis depuis ce matin je ne tiens pas longtemps et juste avant d'exploser je sors ma queue et je jouis dans sa bouche. Il prend garde de n'en perdre aucune goutte puis entreprend de me la nettoyer avec sa langue, mon gland est sensible et la douleur se mêle au plaisir, j'adore ça. A mon tour je lui lèche l'anus pour le nettoyer. Nous avons toujours aimé nous faire cette sorte de toilette. Enfin, il prend sa douche, s'habille et s'en va chercher sa femme et rentrer chez lui.
C'est dans des moments de plaisirs comme celui-ci que je bénis Éros et Venus mes bons maîtres de m'avoir fait naître bisexuel.
Signé : Bruno Bi
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Histoire multiple - Chapitre 2
Chapitre II
Samedi, dix-sept heures.
Sophie prend la parole…
Comme me l’a demandé Olivier je l’attends sur le trottoir, entièrement nue sous mon manteau, il m’avait prévenue que n’aurai pas besoin de vêtement. En route, il me demanda d’ouvrir mon manteau afin de m’exhiber pendant le trajet auprès des camionneurs. Il me dit que cela me stimulerai, je lui répondis que déjà, seule l’idée de la soirée que nous allons passer m’excite.
De temps à autre, à hauteur d’un camion, il ralentissait. Si je voyais le conducteur me regarder, je me laissais aller à quelques caresses suggestives. Quand nous repartions, nous avions droit à un coup de klaxon ou un appel de phares.
Après une petite heure de route, il me demanda de refermer mon manteau, car nous allions arriver à destination. Il prit une petite allée, passa devant un lac et un grand parc, avant de s’immobiliser devant un petit château.
Un homme bien bâti, vêtu à peine d’une petite tunique autour de la taille, m’ouvrit la porte de la voiture et m’aida à en descendre. Olivier me prit la main en montant le perron, et arrivés devant l’entrée, nous fûmes accueillis par « L’Empereur » des lieux. Il nous pria d’entrer dans le grand hall et d’y attendre les derniers arrivants, le début de la soirée commençant à dix-huit heures trente. Je remarquais dans le magnifique hall, que toutes les femmes étaient en manteau, sûrement nues comme moi. Il y avait du très beau monde, et j’étais excitée à l’idée de ce qui allait se passer.
Dix-huit heures trente.
Les portes se ferment et L’Empereur s’adresse à nous en disant :
« Les femmes passent dans la pièce de gauche, et les hommes dans celle de droite. Quand vous serez prêts, revenez ici. »
Je me demandais bien ce qui allait se passer. Je regarde Olivier qui me rassure. Arrivée dans la pièce, il avait une immense penderie avec des tuniques romaines de diverses couleurs. Je pris une dorée, j’ôtais mon manteau me retrouvant ainsi nue comme toutes les autres femmes d’ailleurs, également en train de se vêtir de ces tuniques. Nous sommes ensuite retournées dans le hall où nous avons attendu nos compagnons. Ils sont arrivés quelques minutes plus tard, élégamment habillés en romains.
L’Empereur nous invita ensuite à passer dans la grande salle afin de nous restaurer.
Olivier me dit que je suis superbe dans cette seule tunique, et il m’embrasse. Tout en mettant sa main sur mes fesses, nous avançons et rejoignons les autres dans la salle. Nous nous installons, nos voisins, deux beaux couples, la trentaine, nous saluent. Il me semble connaître l’un des hommes, il est grand, blond, bien bâti. Mais oui !!! C’est l’homme de la salle de sport ! On dirait qu’il ne m’a pas reconnue, ou alors ne le veut-il pas ?
Soit.
Les mets arrivent les uns après les autres, et nous mangeons. Les conversations sont diverses, et au fil du repas, dévient de plus en plus sur le sexe.
« Et vous ma chère, me dit mon voisin en me posant sa main sur ma jambe, c’est votre première orgie romaine ?
- Oui lui répondis-je.
- Vous verrez, vous allez bien vous amuser », me sourit-il.
Je remarque que petit à petit, le comportement des certains gens change. Ils commencent à se laisser aller. Olivier qui avait fait connaissance avec sa voisin, lui propose des raisins tenus entre ses dents, et l’invite à venir les prendre.
Elle ne se fait pas prier, et à chaque raisin, s’en suit un baiser profond. Mon voisin me voyant intriguée, me propose de d’essayer, ce que j’accepte. Arès tout, je suis là pour me dévergonder dans la luxure et tous ces plaisirs. Je prends du bout des lèvres les raisins de mon voisin dans sa bouche, et nous nous embrassons. Il en profite pour laisser trainer ses mains sur mes cuisses. L’une d’elle remonte tout doucement vers ma chatte.
Olivier caresse la généreuse poitrine de sa voisine, tout en continuant de l’embrasser, en ayant oublié les raisins à présent. Mon voisin me demande si j’apprécierai de jouer à autre chose, et que je n’aurai rien à faire. J’accepte avec une légère crainte.
« Déshabille-toi », m’ordonne t-il.
J’obéis, et pendant ce temps, il débarrasse grossièrement la table et m’invite à m’y allonger. Il m’aide à monter sur celle-ci et je m’y installe. Tout le monde autour de nous me regarde, puis l’homme commence à déposer des fruits qu’il écrase et me verse du vin sur tout le corps. J’ai bien compris que j’allais servir d’assiette humaine…. Des mains se perdirent, Olivier vint m’embrasser, des langues me passaient sur les seins, d’autres me léchaient le ventre et le nombril.
Il y avait des femmes et des hommes tout autour de moi, venant chercher leur pitance sur mon corps sans cesse ravitaillé. D’un coup, je frissonne : une langue me lèche le clitoris et deux mains que j’imagine puissantes, me serrent les fesses. La langue me fouille l’intérieur de la chatte, puis descend vers mon anus s’y attardant quelque peu.
Je suis toute excitée.
« Est-ce que cela te plait ? me demande Olivier.
- Oui, bien sur, mais je veux te sucer, » lui répondis-je en l’embrassant.
Tout à coup, la langue s’est retirée. Je redresse la tête, et m’aperçois qu’il s’agit du gars de la salle de sport. Il relève sa toge, et sans que je puisse l’apercevoir, il introduit son sexe sans délicatesse dans ma chatte. Il commença de puissant va et vient en me soulevant la taille.
Olivier se mit à genoux devant moi sur la table afin que je puisse le sucer. Je voyais pendant ce temps qu’il s’occupait toujours de sa belle voisine, des mains se perdaient sur mes seins, le grand blond ne cessait de me pilonner avec son sexe relativement gros, je me sentais prête de la jouissance lorsque…
Soumise Célia
www.soumise.celia.erog.fr
Un bon p'tit chien
Ce jour là, j'ai rendez-vous avec un ancien amant. J'ai tout organisé au téléphone avec lui, et Pat n'est au courant de rien, si ce n'est du rendez-vous ! Il doit me servir de chauffeur, et me dépose donc devant le café où nous devons nous retrouver. Je le renvoie, tel un chauffeur, pour aller garer la voiture, lui laissant entendre que s'il ne se dépêche pas, nous ne serons peut être plus là... Il part, sans trop savoir s'il nous retrouvera...
Devant le café, je retrouve F. Il m'embrasse en pleine rue, possessif. Nous nous installons à une table, il m'embrasse de nouveau. J'ai vraiment l'impression d'être une femme infidèle, guettant l'apparition probable de son mari... la situation est excitante... Mon amant est visiblement ravi de me revoir, et tout à coup, je sens sa main qui, sous la table, se glisse entre mes jambes, son doigt rencontre ma petite chatte chaude, toute humide, il me caresse...
Puis, je vois passer Pat le long du café, je l'aperçois grâce à la porte fenêtre ouverte. Il se poste en face, assis sur un rebord de trottoir, il est là, espionne, nous prend en photo, pendant que je parle et ris avec mon amant. L'air insouciant, je le regarde du coin de l'œil, je tourne mon regard vers lui, pour l'humilier, le rabaisser, avec l'air de lui dire :
« Tu vois, je te cocufie à ta barbe, je te nargue et j'aime ça ! »
Nous sortons pour nous rendre chez lui, sans nous occuper du cocu, bras dessus, bras dessous. Je sais qu'il est derrière nous et de le savoir là, nous suivant, avec, sans aucun doute une pointe de jalousie, me satisfait pleinement.
Là, mine de rien, mon amant glisse une main sous ma robe où je ne porte strictement rien, la soulevant, laissant apparaître mes fesses en pleine rue, histoire de bien montrer au cocu à qui j'appartiens à cet instant... Il nous suit jusque dans l'immeuble, attrapant au vol les portes à code pour ne pas rester coincer derrière ! Nous l'ignorons, continuons de nous enlacer et prenons l'ascenseur, l'obligeant à prendre les escaliers, à la recherche du bon étage...
Arrivés dans l'appartement, nous l'ignorons toujours royalement, le laissant dans le couloir... Mon amant me caresse, je sens ses mains chaudes sur mes cuisses remonter lentement...
J'aime me donner totalement à lui, sans un regard pour mon cocu. Je ne sais pas où il est, ce qu'il fait, mais nul doute que sa jalousie doit s'éveiller à la vue de sa femme se donnant ainsi ! Pourtant, je sais qu'il me regarde alors que F. savoure la douceur de mon sexe, je suis sûre qu'il lit l'extase sur mon visage au moment où sa langue se promène sur mes lèvres !
Mais je lui ai réservé une petite surprise à mon cocu. Je le fais entrer dans la pièce et l'oblige à se dévoiler à mon amant : je lui ai fait mettre une petite nuisette transparente et un string. Je m'approche de lui et, le regard dominateur, lui passe au cou son collier de chien et sa laisse, puis je l'attache comme un bon toutou à la chaise ! Ca, il ne s'y attendait pas !
C'est la première fois que je l'exhibe ainsi devant l'un de mes amants et la situation me plait énormément ! Je sens l'excitation me gagner de plus en plus. Il est cocu, humilié, à quatre pattes, tenu en laisse par sa Maîtresse...
Mon amant nous sert du champagne et, magnanime, en sert... une écuelle au cocu qu'il lui pose par terre, lui ordonnant de laper sa gamelle !
Et il lape, le petit chien, mais il en renverse, alors je suis obligée de le corriger et devant son cocufieur, je lui assène des coups de laisse sur les fesses...
Préférant laisser le cocu à sa condition, mon amant se tourne vers moi et reprend possession de mon corps. Il m'enlace, m'embrasse et ses mains se promènent partout sur moi. Je m'exhibe fièrement, savourant ces instants de douceur et d'acrobatie !!
Histoire de rabaisser un peu plus le cocu, mon amant se tourne vers lui, s'assoit sur lui, posant sa queue sur ses reins afin qu'il sente bien la chaleur de ce sexe qui bientôt prendra possession de sa femme ! J'oblige alors le cocufié à sucer cette queue, je lui ordonne de bien la lécher, de bien la préparer pour moi, afin qu'elle soit fin prête !
Puis alors que son rival tient fermement la laisse, la lopette à genoux s'exécute. Il suce bien, il s'applique le cocu pour plaire à l'amant de sa femme... Tel un maître tenant son chien, F. entraîne le cocu vers la chambre. Maintenant c'est moi qui prends les photos. Je mitraille ma lopette suivant docilement son cocufieur, à quatre pattes, tortillant son petit cul...
Je suis excitée de le voir ainsi rabaissé, humilié devant un tiers et je demande à F. s'il a envie de le baiser ce petit cul qui se trémoussait dans le couloir...
Devant son assentiment, ma lopette obéit, elle se met en position, cul ouvert pour recevoir la queue tendue de son rival. Il fait tout pour me plaire mon petit chien et j'en mouille de plaisir. Je savoure ces instants que j'immortalise en photos. Je suis tellement mouillée que je ne peux plus attendre. J'ai envie qu'on s'occupe de moi et je repousse ma lopette pour profiter à mon tour du sexe de mon amant.
Je me mets en levrette, les reins bien cambrés, mon fessier bien offert. Ma chatte est tellement mouillée que son sexe entre en moi sans difficulté. Je le sens qui me pénètre, prend possession de mon corps, et sa queue dure me procure un plaisir intense. Je pousse un soupir de contentement et mes halètements vont au rythme des coups de reins de mon partenaire.
Nous faisons une petite pause et j'en profite pour sucer cette queue qui vient de me donner tant de plaisir...
Je m'en délecte la suçant telle une bonne glace, ma langue remonte lentement du gland jusqu'à la base, puis ma bouche s'ouvre pour la laisser entièrement entrer...
Pendant que je me repose un peu, c'est ma lopette qui prend le relai ; il s'applique à bien le sucer alors que nous sommes tranquillement allongés corps contre le corps, regardant la lopette s'activer !
Langoureusement, je me redresse pour chevaucher mon amant, je m'allonge sur lui, écartant mes cuisses, sentant ses mains m'enserrer les fesses et me presser contre lui.
Puis je m’allonge sur le dos, cuisses ouvertes et m'offre aux doigts agiles de F. Il me pénètre d'un, deux, trois doigts. Je les sens au fond de moi, me donnant un plaisir fort, intense. Tout mon corps se tend, se cabre sous la force de cette volupté et j'explose de bonheur....
Sophie (une autre Sophie...)
Si vous souhaitez découvrir mes autres aventures, illustrées de photos prises sur le vif !......
Une soirée lingerie très torride...
Après un long silence, revoici les aventures torrides de Chris, et sa jeune femme Sandy.
Il y a quelques semaines, Sandy a assisté à une vente de lingerie à domicile. Comme le principe lui a plu, elle a demandé çà la vendeuse d’organiser une telle soirée chez nous. Bien sur, elle a accepté. Et bien évidemment, moi aussi, j’étais d’accord ! Le samedi suivant, la soirée eut donc lieu.
Sandy avait rassemblé chez nous une vingtaine de femmes, dont ma belle-sœur. Ma belle-mère Janine avait aussi invité une de ses amies. Lorsque la vendeuse est arrivée, nous l’avons aidée à sortir toutes ses affaires. Les premiers invités arrivèrent à dix-neuf heures. C’était Séverine, une fille très excitante, avec Philippe, un de mes potes, qui est aussi son mec. A vingt heures, tout le monde était là. L’ambiance n’était pas top, et pour faire marcher un peu l’ambiance, je servais de la bière, et Sandy alla passer une guêpière.
Elle fit son effet en rentrant. Il faut dire qu’elle était très excitante. Comme d’habitude, je bandais comme un fou en la voyant dans cette tenue. La vieille a du le remarquer, car elle me regardait tout le temps en souriant.
Puis ma femme a emmené Séverine se changer aussi. Elles sont revenues toujours aussi bandantes dans leur guêpière sexy. Pourtant, les invitées commençaient à se lasser de tous ces sous-vêtements féminins, et la vendeuse s’en est aperçue. Elle nous dit alors :
« Vous savez, je fais aussi des sous-vêtements pour homme… Je suis sure que Chris se fera un plaisir de nous les présenter ! »
Impossible de dire non, et je vis que Sandy était d’accord…
Je suivis donc la vendeuse dans la chambre, pour passer un débardeur et un boxer. Ce fut le début d’un long défilé, où je jouais le mannequin sans façon. Les femmes riaient beaucoup, elles étaient un peu saoules. Enfin, Séverine me rejoignit dans la chambre, pour me demander :
« Chris vas-tu vraiment porter CA ?
- Quoi ? Oui bien sur… Euh... Qu’est-ce que c’est ???
- Un string, voyons ! Nos copines vont toutes te sauter dessus, si tu le portes !
- Tu crois ?
- Oh oui ! Surtout la belle-mère qui te regarde sans cesse avec les yeux brillants… »
Sans plus réfléchir, j’ai ôté mon boxer, en oubliant que Séverine me regardait… Elle me souffla :
« Tu es beau, tout nu… »
Illico, j’ai caché ma queue avec ma main.
« Beau morceau, on en mangerait ! »
Je ne savais plus quoi dire, aussi, je suis sorti avec le string, et un top transparent.
J’ai fait un tabac. Dans l’excitation générale, la vendeuse me donna à essayer un string avec une gaine pour le pénis. Incroyable ! Pourtant, avec l’accord de Sandy, je l’enfilais. Elle me complimenta sur ma bite mise ainsi en valeur.
Mais j’ignorais encore ce qu’allait faire la vendeuse…
Quand je suis entré dans le salon, les femmes éraient bouche bée, et ma queue était pourtant au repos. Sandy s’écria :
« Eh les filles, pas touche, c’est mon homme à moi !
Soudain, la vendeuse passa derrière moi, et m’enserra la taille avec ses bras. Elle se saisit de la gaine, et la fit bouger, pour faire apparaitre mon gland…
Interloqué, je me laissais faire… Je savais que si la vendeuse le faisait, c’est que ma femme était d’accord…
De façon plutôt vicieuse, la vendeuse expliquait que c’était pour uriner. Mais en disant cela, elle pressait ma bite de plus en plus fermement. J’étais quand même un peu gêné, surtout quand elle ajouta :« Mesdames, pour une baise express, c’est l’idéal, ca n’empêche pas de bander, comme vous le voyez ! »
C’en était trop pour moi, et je bandais franchement, prêt à exploser ! Du coup, mon gland sortit franchement de la gaine. Visiblement, ce n’était pas prévu… Impossible de le faire rentrer dans la gaine, malgré les efforts de la vendeuse ! Finalement, ma femme et Séverine se sont levées pour m’applaudir, et toutes ont suivi. Je suis rentré dans la chambre, tout gêné, pour me changer.
Les invitées ont passé leur commande, et sont enfin parties avec la commerciale.
Sauf Séverine, Philippe et ma belle-mère. Comme nous étions tous un peu bourrés, je leur ai proposé de dormir chez nous. Ils ont accepté, à condition de pouvoir se doucher. Les plaisanteries ont fusé sur le sujet.
Nous avons donc continué à trinquer, et les filles sont allées passer les sous-vêtements laissés par la vendeuse.
Quand elles sont revenues, nous avons stoppé net notre petite discussion. Elles étaient splendides ! Séverine avait un string blanc et un porte-jarretelles ultra sensuel, ainsi qu’un redresse-seins. Sandy portait une guêpière noire très sexy, avec des petits lacets. Phil et moi étions ébahis. Phil me dit alors :
« Putain ! Sandy a un beau minou ! »
Moi, j’avais à peine vu qu’elle ne portait pas de culotte ! Elles se sont rapprochées de nous, et Sandy prit la parole :
« Alors, on vous fait de l’effet, les coquins ? »
Pas besoin de réponse pour moi, ma sortie de bain était bien bosselée. Phil n’arrêtait pas de fixer la chatte de ma femme. Elle lui parla à nouveau :
« Phil, viens avec moi, que je te montre la salle de bains. »
Comme un automate et sans un mot, il la suivit. Séverine s’est assise près de moi et m’a sourit :
« On vous a bien eus, tous les deux ! Dis-moi, je te plais ?
- Oh oui, ca se voit, non ?
- En effet, tu bandes pas mal… »
Et là, elle posa sa main sur ma bosse, puis sous le peignoir. Je n’arrivais pas à articuler un mot. Ce fut donc elle qui rompit le silence :
« C’est cool... Sandy et moi, nous avons mis ce plan au point. J’ai trop envie de voir ta queue. De toute façon, ta femme va s’occuper de Phil… »
Sur ces mots, elle dénoua ma ceinture, et retira mon peignoir. Je bandais encore plus, si c’était possible. Séverine commença à me branler doucement, comme si elle savourait ma hampe dure. C’était trop bon ! Je lui dis doucement :
« Si tu veux, tu peux la sucer…
- Oui, mais doucement, on a le temps… »
Je me suis rapprochée d’elle, et de sa bouche pulpeuse. J’ai voulu l’embrasser, mais elle m’a repoussée :
« Non, pas ça ! »
J’étais un peu étonné, mais par bonheur, elle changea d’idée, et m’enfonça presque brutalement sa langue dans ma bouche.
De l’une de mes mains, je caressais sa cuisse. De l’autre, je lui masse les fesses avec douceur. Elle saisit la main qui était sur sa cuisse, pour la poser avec autorité sur sa chatte. J’ai poussé sur le coté le string qui me gênait. Ainsi, je pus la pénétrer avec mes doigts. Elle gémissait sans cesse :
« Oh Chris, que c’est bon, c’est bon…. »
$Sa grotte était humide, et moi, je ne tenais plus… je lui ôtais son string, et me mis devant elle.
« Qu’est-ce que tu veux, mon grand ?
- C’était pas prévu comme ça, mais tu me fais trop envie ! »
Je lui écartais grands les jambes, et plongeais ma langue dans sa chatte si appétissante. Je fourrageais à fond dans son vagin, sa mouille me coulait sur le visage. Je voulais la faire jouir à tout prix !
A côté, j’entendais Phil qui prenait du plaisir avec ma femme. C’est à ce moment que Séverine me dit :
« Viens, Chris, j’ai envie de toi, pénètre-moi à fond !
- Oui, si tu veux. Mais on va dans la chambre, on sera plus à l’aise.
- Oh oui, tout de suite ! »
Nous sommes allés dans la chambre d’amis, mais elle était déjà occupée par Phil et Sandy. Ils étaient en 69. Nous avons donc pris l’autre chambre. Moi, je serais bien resté avec ma femme, mais Séverine semblait ne pas être d’accord. Elle tenait le bout de ma queue comme une laisse, et elle me tira pour aller plus loin.
Là, elle s’est jetée sur le lit :
« Allez viens, me sauter, enfonce-moi ta queue dans ma chatte !
- Oui, mais parle moins fort, ca va réveiller la vieille.
- T’occupes, viens me baiser à fond ! »
Comment résister à une telle demande ???
Je me suis mis à la besogner à fond, coulissant à merveille dans ca vagin trempé. Je lui donnais des coups de rein plutôt fort, et elle couinait de plaisir. Une vraie chienne en chaleur ! Et comme une chienne, elle s’est mise en levrette, pour que je la baise encore plus à fond, et fort. Je donnais des coups de queue si fort que j’ai presque eu peur qu’elle ait mal… Mais elle me disait toujours :
« Encore, encore, vas-y à fond ! »
Sa mouille coulait et éclaboussait nos cuisses. Je sentis que j’allais venir, tout comme mon amante du soir.
« Chris, non, ne jouis pas encore !
- Si tu veux, mais je peux aussi jouir une seconde fois très vite après. Allez, viens me sucer ! »
Je sortis ma queue de sa chatte, et la lui présentais. Sans hésiter, elle la goba d’un coup.
Elle me pompait le dard à merveille. Quand elle réalisa que j’allais jouir, elle aspira mon glaive encore plus fort. Je n’en pouvais plus, et je finis par lâcher toute ma purée dans sa gorge.
Elle recula un peu, et reçu la fin de mon foutre sur sa bouche et ses lèvres rouges. Avec sa main, elle attrapa les dernières gouttes de mon jus et le savoura avec délice.
« Mhumm, Chris, Tu donnes vraiment beaucoup de sperme... Sandy me l’avait dit, mais je ne la croyais pas… »
Sur ces mots, elle planta sa langue pleine de ma crème dans ma bouche. Ce genre de chose m’a toujours beaucoup excité, gouter ma crème dans la bouche d’une femme…
A tel point que je rebandais aussitôt…. Séverine le sentit, et prit ma queue dans sa main. D’un geste sur, elle la guida dans sa chatte… Elle émit un long gémissement de plaisir…
« Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiii, c’est bon, baise-moi encore à fond ! »
Elle était sur le dos, en missionnaire. Elle croisa ses jambes sur mon dos, de façon à rendre la pénétration plus profonde. Elle me serrait le plus possible, et je ne pouvais plus aller aussi fort. Mais ces va et viens plus lents semblaient la satisfaire aussi.
Ensuite, j’arrivais à sortir ma bite presqu’en entier, pour mieux m’enfoncer en elle tout doucement. J’en profitais pour lui exciter les seins.
Je la limais ainsi pendant près de vingt minutes. Elle ne semblait jamais en avoir assez !
Et moi, j’entendais ma femme en train de se faire baiser par mon copain. Ca m’excitait de les savoir dans cette position. Je finis par regretter de ne pas être resté avec eux. On se serait bien amusés à quatre ! A cette pensée j’eus très envie de jouir.
« Séverine, je vais jour !
- Oh oui, remplis-moi de ta sauce ! »
Je ne me le fis pas dire deux fois, et j’éjaculais un gros jet au fond de sa matrice. Je me retirai un peu, et projetai u autre jet sur ses lèvres intimes. Elle se tordait de plaisir…
Les dernières gouttes tombaient sur son minou épilé.
A ce moment-là, je m’aperçus d’une présence…
Sandy nous regardait, la bite de Phil dans sa main,
Elle s’approcha, et posa sa bouche sur la chatte de Séverine. Cette dernière eut un sursaut. Jamais une femme ne l’avait touchée. Ma femme lécha avec soin toute ma crème, allongeant même la langue pour pénétrer le vagin de son amie. Séverine s’ouvrit sans problème à cette caresse inédite.
Putain, je ne m’attendais pas à ça ! Je savais bien que ma femme st une salpe, qu’elle a déjà sucé la chatte de sa mère devant moi, et réciproquement, mais je ne pensais pas la voir faire ça maintenant…
Elle s’allongea sur le lit, tête-bêche avec son maie. Séverine, hésitante, tripotait la fleur bien ouverte de ma femme.
Phil et moi nous sommes un peu reculés, pour mieux voir le spectacle. Et soudain, comme si c’était le signal, elles nous regardèrent, et se mirent à se dévorer la chatte l’une de l’autre ! Quelle surprise magistrale ! Nous n’y tenions plus, et Phil et moi, nous nous branlions comme des fous. Je jetai un œil vars le beau pieu de Phil. Il était aussi bien doté que moi….
Et soudain, sans crier gare, Phil saisit ma bite, et entreprit une bonne masturbation…
J’eus un geste de recul ! Jamais un mec ne m’a touché ! Mais il se débrouillait bien, le salaud… Alors, je me le laissais faire…
Il ne manquait plus que la présence de ma belle-mère !
La suite, si vous la voulez vraiment….
Le travesti zoophile
Voici mon récit vécu.
Il y a moins d’un an, des amis m’ont demandé de garder leur chien pendant un week-end. C’était un berger allemand.
Je n’étais pas attiré particulièrement par la zoo, mais un matin, je venais de sortir de la douche, quand ce chien s’approcha de moi de façon insistante.
Je finissai de m’essuyer, lorsqu’il essaya de me monter dessus avec son sexe sorti de son fourreau. Il m’envoyait des jets de sa mouille. Je reconnais que je fus très excité par cette situation sur le moment. Pourtant, vaguement honteux, je finis par le repousser. Mais il était tellement excité qu’il a essayé à nouveau de se frotter à moi. Il le fit de plus en plus violement. Un peu gêné, je l’ai mis dehors dans le jardin.
Deux heures plus tard, je le rentrais à nouveau dans la maison, et il était beaucoup plus calme.
Je m’allongeais donc habillé dans le canapé pour regarder un film, lorsqu’il se rapprocha de moi en étant à nouveau très excité.
En fait, cette situation inédite avait fini par m’exciter à mon tour.
J’approchais ma main entre ses pattes, et pris son sexe à pleines mains. Je le branlais avec beaucoup d’excitation. Sous mes caresses intenses, il m’inondait les mains de sa mouille et son sexe avait triplé de volume.
J’étais en transe et super excité, ma bite était raide et me faisait mal dans mon boxer. C’était à mon tour d’être trempé.
Le branler m’avait tellement excité, que j’ai pris son sexe dans ma bouche et je le suçai pendant plusieurs minutes. Je sentais sa mouille m’envahir la bouche par petits jets, qui, ensuite, coulaient le long de mon cou.
Je finis par me lever pour aller me changer.
J’adore me travestir et je me suis habillé très sexy pour faire plaisir a mon nouvel amant, un string noir, des bas noir et un porte jarretelle noir.
Je me suis allongé dans mon lit et j’ai invité le chien à monter dans ma chambre.
Comme s’il n’attendait que ça, il monta précipitamment sur mon lit. Il essayait de me retourner en sautant d’un coté et de l’autre. Je le calmai pour pouvoir le sucer à nouveau, je sentais son sexe gonfler dans ma bouche et sa mouille m’envahir… Mhumm, c’était tellement bon !
Et là, d’un seul coup, je venais de réaliser que j’étais à lui et qu’il souhaitait que je devienne sa chienne attitrée. C’était une sensation inédite pour moi… Devenir la chienne d’un chien…
Il devenait très violent dans ses gestes, car il était très excité. J’étais à lui, sans conteste…
Je me suis mis à quatre pattes, et avec beaucoup de violence, il m’a pris par derrière.
Je réalisais qu’il était entrain de me violer l’anus, littéralement.
J’étais vraiment très excité, sa bite me défonçait le cul de façon hard. Je sentais ses coups de boutoir me défoncer les entrailles.
Mais d’un seul coup, plus rien. Pourtant, il était en moi et je sentais mon anus ce dilater tout seul sans vraiment comprendre ce qu’il m’arrivait.
Je ressentais qu’il ce passait quelques chose en moi et j’avais l’impression de me faire remplir de liquide chaud.
Cela a duré environ dix minutes. Lorsqu’il se retira, tout son jus coula entre mes jambes et je senti juste après un liquide plus onctueux sortir de mon anus et j’ai compris qu’il avait joui en moi, le salaud !!
J’approchai mes doigts de mon anus. il était totalement dilaté. J’y ai glissé pratiquement mes cinq doigts dedans et je me suis branlé à fond. Je me sodomisais avec ma main pour jouir comme jamais auparavant. C’était vraiment délicieux….
Le chien a finalement passé son temps à faire sa toilette et ensuite à dormir tout comme moi.
En l’espace d’une nuit, ce chien m’a réveillé trois fois en me prenant, et en me violant à son rythme. Je ne pouvais rien faire, je ne contrôlais plus rien. J’étais sa chienne, baisable à loisir, pour de bon.
Ce fut une expérience totalement surréaliste, mais tellement bonne… Oh que oui !!!
Je n’ai malheureusement plus eu l’occasion de réitérer cette expérience mais toujours en attente !!!
A vos propositions !!!
Bizzz à vous
Wilbi - Paris
wilbi1@hotmail.fr
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La suite va venir, ne vous inquiétez pas... ;-)
Lorsque......?
Pourquoi me laissez-vous sur ma faim?????