Les Mémoires très Libertines de Sophie
Ma cousine et mon chien
Il semblerait, au vu du nombre de fréquentations, que les histoires zoophiles vous plaisent beaucoup ! Ces textes battent des records de lecteurs !
Je vous en livre donc une nouvelle ce soir, afin de vous exciter… Dites-moi ce que vous en pensez !!!
Je me présente, Sylvie, jeune fille de vingt-six ans, qui aime le sexe, mais sans plus.
L’an dernier, je revins passer les vacances au calme, dans la maison de famille, où j'avais encore ma chambre. Je pouvais ainsi me ressourcer et penser à autre chose.
Mes parents possèdent une grande maison, ainsi qu’un terrain d’un hectare, isolé, à plusieurs centaines de mètres du premier voisin.
J'étais donc arrivée deux jours auparavant, et ce matin-là, je faisais une grasse matinée, étant seule à la maison pour toute la journée. Mes parents étaient partis toute la journée.
J'étais nue sous mon drap, m'étant laissée aller à la masturbation la veille au soir en repensant à mon ancien copain, pour qui j'avais encore une attirance physique. Je m'étais donné beaucoup de plaisir avec mes doigts.
J’étais encore dans endormie lorsque, me tirant de mes rêves, je sentis un frisson de plaisir me traverser de part en part, je sentais comme une langue entre mes cuisses, je mis quelques secondes à émerger et je fini par m'apercevoir que c'était Pirate, notre labrador noir qui me lapait, sa langue parcourait toute mon intimité.
Je sursautai, le repoussant vivement de mes deux mains. Je restai sur le coup de l'émotion un instant, assise sur mon lit, puis je repris mes esprits, j'enfilai une culotte et un tee-shirt, et je descendais à la cuisine préparer mon petit déjeuner. Ma mère avait m'avait laissé du café, je m'en servais une tasse avec du lait et je m'asseyais à table. Pendant que je portai la tasse à ma bouche, Pirate revint à la charge, il colla sa truffe sur ma culotte et me renifla.
« Pirate, va t'en ! » m'écriais-je.
Je le repoussai une nouvelle fois, puis je me demandais pourquoi il était aussi excité alors qu'il m'avait vue des dizaines de fois. Je me disais qu'il sentait peut-être l'odeur de ma masturbation de la veille et que ça lui donnait des envies. Mon petit déjeuner fini, je n'y pensais déjà plus, je me levais de table pour aller prendre une douche rafraîchissante devant Pirate qui était toujours assis dans la cuisine et qui me fixait.
La douche me fit un bien fou, je restais sous l'eau ruisselante pendant un long moment.
Je sortais de la douche, une serviette autour de moi, que je fis glisser par terre, puis je remis ma culotte et mon tee-shirt.
Je regardais au loin par la fenêtre de ma chambre, le jardin donnait sur un bois dont la lisière était à cent bons mètres de la maison, je vis au loin Pirate couché au soleil, juste à côté de Cartouche, le tout jeune berger allemand du voisin qui venait souvent jouer avec son copain.
Plus tard dans la matinée, je me suis mise devant la télévision, je zappais sur toutes les chaînes pour finir par m'arrêter sur une chaîne musicale. Assise sur le canapé, j'étais perdue dans mes pensées.
Le passage d'un clip à un autre me sortit de mes songes. Face à moi, je vis Pirate, je ne l’avais ni vu ni entendu arriver, il était assis et me fixait, je baissais le regard vers son ventre, je vis son sexe en érection, il était tout rouge, d'une taille... impressionnante ! Je n’aurais jamais pensé pas qu'un chien pouvait avoir un sexe si gros, comparable à celui d'un homme. Je repensais à ce qu'il m'avait fait ce matin, et sans que je ne puisse m'en empêcher, un tas d'images me venait en tête, me voyant faire des choses avec mon chien. Je tentais tant bien que mal de me sortir ces idées de l'esprit, je me levais prestement et je filais à la cuisine, laver ma tasse à café, je n'avais pas vu que Pirate m'avait suivie.
Alors que j'étais au dessus de l'évier, je sentis à nouveau le museau du chien venir se poser sur ma culotte, il l’enfonça et huma fortement mon odeur. Je le repoussais une nouvelle fois et il passa un grand coup de langue sur ma culotte. Je me retournais vivement, Pirate se coucha sur le côté, son sexe toujours en érection, toujours en me fixant. Je le regardais un court moment, les images revenant dans ma tête, je me décidais à m'accroupir à côté de lui.
Je caressais son poitrail, et je descendais lentement, puis, après un moment d’hésitation, je passais doucement mes doigts sur son sexe. A nouveau, je saisis son fourreau entre mes doigts et je me mis à faire des va et vient. Le chien ne bougeait pas, hormis son bassin qui faisait de légers mouvements, il se laissait faire. Je continuais de le branler lorsque très vite, il éjacula. Une bonne quantité de sperme gicla de sa bite si fort que j’en avais sur mes doigts, sur le pied, sur le mollet et même sur la cuisse sans compter ce qui avait atterri sur le carrelage. J’eu un instant de dégoût, puis je retournais à la salle de bain me laver la jambe laissant Pirate où il était.
Toute la journée des pensées honteuses me vinrent à l’esprit, je me revoyais masturber mon chien et le faire jouir. Du coup, je l’imaginais même en train de me faire jouir également. J’étais complètement déconcertée et j’avais honte de voir qu’en réalité, je n’avais pas vraiment de regrets. Je me demandais même si je n’avais pas un peu perdu la tête.
Le soir, mes parents débarquèrent juste pour le dîner, je tentais tant bien que mal de cacher mon trouble.
Ils me demandèrent si ma journée s’était bien passée, je ne savais pas quoi leur répondre de peur qu’ils ne se doutent de quelque chose. Pourtant, il était impensable qu’ils s’en doutent vraiment.
Je vérifiais régulièrement du regard l’endroit où se trouvait Pirate et la plupart du temps il était assis ou couché à quelques mètres mais toujours en train de me regarder.
Exténués par leur journée mes parents allèrent se coucher assez tôt. Moi, j’étais allongée sur mon lit, je regardais un jeu à la télévision tout en me caressant par dessus ma culotte. Je ne pus m’empêcher de repenser à cette journée, je me touchais doucement en m’imaginant caresser mon chien. Puis j’écartais ma culotte et glissais un doigt à l’intérieur de ma chatte, rapidement rejoint par un second. Je fermais les yeux et en quelques caresses bien appliquées, je me fis jouir gentiment.
Le lendemain matin, je me réveillais relativement tôt. J’étais déjà pleine de pensées malsaines, je fis le tour de ma chambre du regard, Pirate n’était pas là.
Je me levais après avoir rêvassé un moment, pour aller illico m’affaler sur le canapé, mes parents étaient déjà partis travailler.
Pirate arriva quelques minutes plus tard, il s’élança vers moi et me fit la fête quelques dizaines de secondes comme il le faisait souvent. Son museau se dirigea d’un seul coup vers le bas de mon ventre, il reniflait mon odeur avec insistance. Assise sur le canapé, je repliais mes jambes contre ma poitrine, j’enlevais ma culotte que je jetais à terre et je présentais mon sexe au chien. J’écartais mes lèvres de mes doigts et Pirate vint y poser sa langue sans hésiter. Il me lécha à fond, m’arrachant un gémissement, sa langue parcourait tout mon abricot affolé, allant même jusqu'à frotter mon petit trou.
Je gémissais de plus en plus et je mouillais abondamment, je me cambrais à chaque fois qu’il titillait mon clitoris, Ses coups de langue s’insinuaient partout, jusque dans ma fente que j’ouvrais des mes doigts.
Le chien se régalait de ma cyprine qui coulait de ma chatte sur mes fesses, n’en laissant pas échapper une goutte.
Ses vigoureux coups de langue eurent raison de moi, et je jouis en criant sous cette caresse indécente, mais si bonne. Jamais je n’aurais cru qu’une langue de chie soit si bonne, si puissante, mais caressante. Elle est bien plus longue que celle d’un homme, et elle ma pratiquement baisée la chatte…. Mais je n’en n’avais pas encore assez. Je me relevais et me baissais à côté de Pirate qui se coucha sur le côté. Je saisis sa pine entre mes doigts et je recommençais à le branler. Bientôt, j’eu envie d’y goûter… AU point où j’en étais, je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin !
J’approchais alors prudemment ma bouche, je déposais ma langue sur le bout rouge vif que mes lèvres vinrent ensuite encercler. La bite de mon chien était presque entièrement dans ma bouche, je m’appliquais à lui prodiguer une fellation comme je le ferais pour un homme, aspirant bien son membre.
J’étais à genoux près de lui son sexe maintenant au complet dans ma bouche autour duquel je serrais bien mes lèvres. Il ne mit encore que très peu de temps à jouir, sans que je le sente venir, son liquide se déversa à flots dans ma bouche, j’en avais tellement que j’en avalais une partie pendant que le reste dégoulinait de mes lèvres. Je dois bien avouer que la chose me plut, ainsi que le goût que j’avais maintenant dans la bouche.
De plus en plus folle d’excitation, je restais à genoux en posant mes mains sur le sol et je me présentais comme ça face au chien, il ne mit pas longtemps à comprendre ce que j’attendais de lui, il remit sa langue un instant sur mon sexe et s’éleva pour poser ses pattes sur mes épaules. Je tournais ma tête pour le regarder, il faisait des petits mouvements de bassin dans le vide, d’une main, j’attrapais son pénis que je guidais jusqu’à mon vagin. Dès l’instant où il sentit mon trou devant son sexe, il entama de grands mouvements, il me pénétra d’un seul coup et s’enfonça jusqu’au plus profond qu’il pouvait. Sous la poussée brusque, je hurlais mon plaisir, à tel point que je crains d’avoir alerté le voisinage !
J’étais devenue une chienne, une vraie ! La femelle du chien… Pirate me limait à une cadence infernale, il me faisant crier bruyamment à chaque aller et retour. Je mouillais comme jamais, j’étais tellement lubrifiée que son pénis sortait plusieurs fois de mon antre pour s’y renfoncer toujours plus fort à chaque fois.
Son sexe était encore plus gros que la veille, écartant bien mes parois vaginales à chaque passage et me procurant probablement le plus grand plaisir que je n’ai jamais eu. J’atteignis l’orgasme au moment où il déchargea tout son sperme chaud à l’intérieur de mon vagin. Il expulsa encore une quantité impressionnante de liquide qui remplit mon ventre. Il eut un peu de mal à se retirer après avoir éjaculé, et lorsqu’il y parvint le liquide s’échappa de mon sexe et coula par terre, moi je roulais sur le côté et m’étendit au sol, complètement nue, après m’être offerte à mon chien, un filet de sperme coulant encore de mon sexe que Pirate vint nettoyer de sa langue pour finir le travail.
Je me relevais et ramassant ma culotte, je prenais la direction de la salle de bain pour me nettoyer, une main sur mon sexe pour ne pas laisser tomber des traces douteuses au sol.
Après la douche, je m’étendis sur mon lit puis je m’endormis pour me réveiller en début d’après midi.
Lorsque je redescendis, Pirate était couché dehors, Il courut vers moi lorsqu’il me vit et se coucha sur le côté à mes pieds qu’il lécha, visiblement il n’était pas rassasié.
Je me baissais à ses côté et mis ma main sur son fourreau, son sexe n’était pas encore en érection, mais le contact de ma main refit émerger cet énorme pénis rouge.
Je le branlais lentement, je voulais qu’il tienne un peu plus longtemps sous mes caresses. Je me mis à genoux et j’avalais délicatement sa bite, que je me mis à sucer lentement.
Je sentis tout à coup une autre langue se poser sur ma culotte, prise par surprise, je me suis mise à pousser un cri, en me retournant je vis que c’était Cartouche, le chien du voisin qui à son tour était venu, probablement par attiré par l’odeur du sexe.
Sans même y réfléchir, je fis descendre ma culotte jusque sur le bas de mes cuisses et retournais à la fellation que j’avais entreprise.
Le berger allemand ne perdit pas une seconde pour me monter, il s’écrasa de tout son poids sur mon dos, ses griffes me faisant mal sur les épaules puis il commença à avancer son bassin lui aussi dans le vide, jusqu’au ce que seul, il trouve mon entrée déjà prête à l’accueillir.
Je me rendis vite compte que son sexe était encore plus gros que celui de mon chien, Cartouche me pénétrait de son long et épais membre, il me faisait jouir comme une dingue, pendant que j’avais le pénis de Pirate dans la bouche.
Mon vagin était tellement lubrifié que la queue de Cartouche sortait sans arrêt. Lorsqu’il entreprit de me pénétrer à nouveau, c’est contre mon anus qu’il buta. Sans faire la différence, il s’appuya une fois puis une deuxième fois sans succès, la troisième fois, quand il appuya plus fort, mon petit trou céda et libéra le passage à ce gros pénis.
Je relevais d’un coup ma tête, hurlant de douleur, je tentais de faire descendre Cartouche en le repoussant de mes mains, en tentant de me redresser, mais rien n’y faisait, il était trop lourd et il s’accrochait. J’avais si mal, mon anus n’avait encore jamais été visité, et le dépucelage était violent, je criais encore de douleur, commençant même à pleurer en continuant à essayer de faire descendre le chien.
J’abandonnais finalement et acceptais ma soumission, je le laissais me sodomiser, sa queue s’enfonçant entièrement dans mon petit trou beaucoup plus étroit que cette dernière. Il faisait de puissants va et vient, poussant à chaque fois sa queue aussi loin que possible, ses testicules butant sur mon vagin.
Peu à peu, je cessais de crier, la douleur commençait à disparaître, je recommençais à sucer Pirate qui n’attendait que ça, Cartouche me prenant toujours par derrière à une cadence infernale ce qui commençait à me donner un léger plaisir.
Pirate fut le premier à jouir, malgré tout ce qu’il avait lâché comme liquide auparavant, il remplit une nouvelle fois ma bouche, suivi peu de temps après par Cartouche qui déversa tout son sperme dans mon anus, limant encore quelques coups dans mon conduit anal. Après quoi il descendit de sur mon dos.
Je mis ma main sur mes fesses, examinant les dégâts, mon anus était bien ouvert, laissant échapper du liquide blanc, j’en recueillis un peu sur mes doigts que je portais à ma bouche pour voir si le goût était différent, ensuite je remis ma culotte et je filais dans ma chambre examiner une nouvelle fois mon petit trou. Je fus rassurée car il avait commencé à se resserrer. Je glissais un doigt à l’intérieur, ce qui me procurait un plaisir jusqu’alors inconnu et ce qui malgré la douleur récemment ressentie, me donnait envie de recommencer.
Ce soir-là, ma tante et ma cousine arrivèrent à l’improviste, peu après que mes parents ne rentrent du boulot. J’avais déjà en tête ma journée du lendemain que je comptais bien passer avec les chiens, mais mes plans étaient maintenant contrariés puisque je ne serais pas seule à la maison. Le soir, ma cousine entra dans ma chambre alors que j’étais assise sur mon lit.
« C’est moi Sylvie, je peux entrer ?
- Bien sur, Valérie, entre. »
Elle me rejoignit et s’assit sur mon lit. Nous commençâmes à discuter de tout et de rien, de nos copains, de nos boulots, jusqu'à ce que la conversation en vienne au sexe.
« Depuis combien de temps tu n’as plus couché avec un garçon ? Me demanda Valérie.
- Plusieurs mois, depuis que je me suis séparée de mon mec et toi ?
- Ca fait juste quelques jours, j’avais rencontré un mec au boulot, il m’a invité à boire un verre et il m’a ramené à son appartement. Et sinon, qu’est ce que c’est le truc le plus fou que t’aies fait sexuellement ? »
Je me gardais bien de lui révéler mon secret, pour la peine, je lui en avouais un autre.
« Le truc le plus fou, je ne sais pas trop, mais une fois j’ai couché avec un prof qui m’avait mis une mauvaise note, et pour ne pas rater mon examen je suis rentrée dans la salle quand il était seul, et il m’a sautée sur le bureau.
- Ah pas mal, et il a remonté ta note ?
- Bien sûr, j’ai même du être un bon coup puisqu’il m’a mis un 20. Et toi qu’as tu fait ?
- Une fois, j’ai recouvert mon sexe de miel qu’un mec à léché, j’ai aussi laissé deux mecs me sauter dans un train, en rentrant un soir. Et aussi, au boulot, j’avais emmené un gode et je me suis masturbée alors qu’un collègue était assis en face de moi. Tu as déjà essayé la pénétration anale ?
- Non jamais, j’ai peur que ça fasse mal…
- Crois-moi, si le mec s’y prend bien ça ne fait pas mal, ou alors juste un peu au début et après tu prends ton pied, c’est super. »
Bien qu’elle soit encore assez jeune puisqu’elle venait à peine de fêter ses vingt ans, elle avait déjà beaucoup d’expérience, plus que moi même.
Nous avons continué à discuter pendant une partie de la nuit, jusqu’à ce que nous finissions par être trop fatiguées. Valérie devait dormir avec sa mère dans la chambre d’amis, mais finalement elle est restée dormir dans ma chambre, mon lit étant suffisamment grand pour toutes les deux.
Quand je me suis réveillée, Valérie dormait encore, je me suis levée doucement pour ne pas la réveiller, puis j’ai enlevé ma nuisette et ma culotte. Pendant que je m’avançais pour prendre mes sous vêtements dans ma commode, je sentis une drôle de sensation. En me retournant je vis que Valérie était éveillée, elle me regardait attentivement.
« Je ne t’ai pas réveillée ?
- Non ne t’en fait pas. Tu sais que tu as un très beau corps.
- Merci. »
J’étais tout de même un peu gênée, même si elle m’avait déjà vue nue auparavant c’était il y a longtemps, quand nous étions encore petites filles.
J’enfilais mes sous vêtements quand elle me dit : « Tu as de super belles fesses, les mecs doivent être dingues que tu ne les laisse pas en profiter. »
Je souriais toujours en étant gênée. Valérie s’est ensuite levée et nous sommes allées prendre notre petit déjeuner dans la cuisine, ma tante était déjà là.
« Alors les filles, bien dormi ?
- Oui très bien. Lui répondis-je.
- Vous avez encore bavardé toute la nuit je suppose ? »
Nous la regardions en souriant, même pas la peine de répondre tellement c’était une évidence.
Alors que je prenais mon café, je vis Pirate qui passait dans le jardin, je ne pus m’empêcher de jeter un regard sur sa bite, rangée dans son fourreau. Décidée à ne pas changer mes plans, je dis à ma tante : « Je vais aller voir une amie au village tout à l’heure, j’en aurais pas pour longtemps.
- D’accord, je vais aller me laver, me répondit ma tante. »
Je remontais dans ma chambre, et enfilais un petit short en jean ainsi qu’un tee-shirt, ma cousine était derrière moi à ce moment là.
« Je peux t’accompagner ?
- Oh non, tu va t’ennuyer, c’est une vieille dame chez qui je passe de temps en temps pour lui faire des courses.
- Ok, je vais rester là », me répondit Valérie visiblement déçue.
Mon mensonge semblait marcher, je ne pouvais vraiment pas l’emmener mais peut-être que je lui raconterai un jour mon secret. Je mis mes chaussures et sortis de la maison, je m’avançais dans le jardin en direction du bois, j’appelais Pirate qui me suivit immédiatement. Bientôt, nous fûmes rejoints par Cartouche que je n’avais pas vu arriver. Je pensais dans ma tête qu’il avait du apprécier la fiesta de la veille…
J’arrivais à la lisière du bois vers lequel je m’enfonçais, déjà la tête à mes pensées cochonnes.
Je ne voyais plus la maison, avançant toujours dans le bois, je choisis de m’arrêter sur une petite parcelle d’herbe au milieu de nulle part où je ne risquais pas d’être dérangée.
A peine assise par terre, les deux chiens tournèrent autour de moi, je caressais leur pelage puis mes mains descendirent chacune sur une bite. Les deux chiens se couchèrent au même moment, chacun d’un côté, mes mains faisaient leur travail, les deux sexes étaient déjà bandés bien durs.
Je m’arrêtais un instant, le temps d’enlever mes habits, que je déposais au pied d’un arbre.
Pour la première fois, j’étais complètement nue dehors, je m’abaissais alors à côté des chiens et reprit la branlette que je leur faisais.
J’approchais lentement ma bouche de Pirate que je commençais à lécher tout en continuant de branler Cartouche. Puis je me tournais de façon pouvoir sucer Pirate pendant que j’offrais mon sexe aux coups de langue de Cartouche. Il ne tarda pas à se mettre au travail, et fourra sa langue entre mes cuisses me faisant encore trembler de plaisir.
Un bruissement m’interrompit. Je relevais ma tête, persuadée d’avoir entendu un bruit, terrifiée à l’idée que quelqu’un me surprenne. Je fus incapable de bouger, prise de panique lorsque je vis ma cousine sortir d’un bosquet en souriant. Elle venait de me surprendre, la queue d’un chien dans la bouche pendant qu’un autre me faisait un cunnilingus.
« Ah ben ça, c’est un truc que j’ai jamais fait ! me dit-elle en rigolant.
-Je… Je…, pitié… Ne dis rien, je t’en supplie… »
J’étais complètement abattue, la tête basse, je n’attendais que ses moqueries, ou pire qu’elle coure prévenir tout le monde.
« Tu me montres comment on fait ? »
Je relevais la tête, elle avait déjà posé sa main sur le sexe de Cartouche, je repris le sourire immédiatement et je la laissais faire en la regardant quelques instants.
« Quel goût ça a ? me demanda t’elle
- Tu peux essayer, tu verras ce n’est pas désagréable, » lui répondit-je, tout en mettant ma main sur sa nuque et en dirigeant sa tête vers la queue du berger allemand.
Arrivée à quelques centimètres, elle sortit sa langue, puis elle lécha timidement le bout du sexe.
J’appuyais une nouvelle fois sur sa nuque, l’invitant à prendre le bout entier dans sa bouche, ce qu’elle fit immédiatement.
Pendant ce temps, je recommençais à branler Pirate, en prenant un certain plaisir à voir Valérie sucer l’autre chien.
Il se passa moins de deux minutes lorsque Cartouche éjacula, Valérie recula de dégoût et recracha le liquide par terre.
« Tu dois bien faire les pipes, il a joui rapidement !
- A toi, essaye sur l’autre ! » me dit elle.
Je baissais ma tête et pris le pénis de Pirate d’un seul coup dans ma bouche, puis j’aspirais son sexe, une fois sa bite dans ma bouche je la léchais avec ma langue.
Pirate aussi mis moins de deux minutes à jouir, il lâcha une rasade de liquide blanc dans ma bouche, en me relevant je montrais à Valérie que j’avalais tout.
« Enlève tes affaires, ils vont te lécher si tu veux ! »
Valérie s’exécuta sur le champ, laissant tomber ses habits un par un sur le sol, en finissant par baisser un joli string noir, qui cachait sa chatte fine, arborant un joli buisson de poils noirs bien taillés.
Elle se coucha sur le dos, je saisissais ses jambes que je relevais légèrement puis je les écartai.
Sa vulve était complètement offerte, in décente, rouge, brillante de mouille. Pirate s’approcha et enfourna sa langue entres les cuisses de Valérie, il se mit à la lécher comme une friandise, la faisant gémir fortement. Elle se tordait dans tous les sens à chaque lapée, elle finit même par expulser un puissant jet de cyprine qui mouilla la tête de Pirate. J’en profitais pour caresser ses seins, qui étaient magnifiques, deux beaux obus bien fermes que je malaxais avec plaisir. Je la fis pivoter légèrement sur le côté, ce qui mit son anus juste en face de la truffe de Cartouche qui ne perdit pas une seconde pour passer sa langue dans la raie de ma cousine.
Je regardais la scène avec envie, ma cousine sur le côté, léchée des deux côtés par les chiens, prenant un plaisir monstre.
Je m’allongeais à mon tour sur le dos, jambes repliées, Pirate approcha immédiatement et colla sa langue sur mon sexe, et le parcourut en entier. Pendant que mon chien me faisait du bien, je regardais ma cousine, aux anges, pendant que Cartouche lui faisait un anulingus de folie.
Elle était en train de se caresser en même temps, insérant ses doigts dans sa chatte et le donnant à lécher au chien.
Valérie se releva, et vint s’agenouiller à côté de moi alors que Pirate était toujours occupé à me lécher. Tout naturellement, elle glissa un doigt dans ma vulve excitée, puis elle le ressortit et le lécha.
Elle reprit la même opération plusieurs fois, puis elle s’approcha de ma poitrine, qu’elle caressa à son tour.
Elle n’avait pas remarqué qu’elle était en position idéale pour Cartouche, à quatre pattes, comme la veille. Une fois de plus, il ne manqua pas l’occasion présente, je le vis s’approcher, se relever sur ses deux pattes et s’appuyer sur Valérie.
« Ah !! Mais qu’est ce qu’il fait ! Dis-lui de descendre, il est trop lourd !
- Non attends tu va voir c’est bon. »
A peine ai-je dit ces mots que Cartouche enfourna son pénis dans le vagin de ma cousine qui couina de plaisir. Elle se laissa prendre, comme une petite chienne et elle semblait adorer, tout en faisant monter mon envie de me faire prendre également. Je me mis également à genoux, la tête posée sur l’herbe et j’invitai Pirate à venir me prendre. Je n’eu pas besoin de guider son sexe qui trouva l’entrée immédiatement.
Les deux chiens étaient en train de prendre leurs femelles, toutes deux jouissant à l’extrême, faisant un bruit pas possible.
« AH ! AH ! OH, c’est bon! Mhummm, le bon chien, encore, baise-moi ! »
Valérie exprimait vraiment son plaisir !!!
Elle fut la première à avoir un orgasme géant, elle se crispa au sol et expulsa une nouvelle fois du liquide vaginal. Les deux chiens déchargèrent leur semence presque au même moment au fond de nos vagins.
Valérie s’allongea dans l’herbe, sa belle touffe engluée dans le mélange de sperme et de mouille, que je vins lécher, puis elle fit de même avec moi et nettoya tout le contour de mon sexe.
« Oh, c’était vraiment trop bon ! Je regrette pas, me dit Valérie.
- Oui, j’ai adoré aussi !
- J’ai déjà envie de recommencer !
- C’est vrai ? Remets-toi à quatre pattes, c’est Pirate qui va te prendre ! »
Valérie s’exécuta, une fois offerte, j’appelais Pirate qui approcha rapidement, il comprit aussi vite ce qu’il devait faire et d’un mouvement vif du bassin, s’enfonça dans son sexe en entier.
Il la lima de longues minutes lui faisant prendre beaucoup de plaisir, puis je mis ma main sur le bassin du chien pour l’arrêter, je pris son pénis en main afin de le diriger droit vers l'anus de ma cousine.
« Non, Sylvie p... »
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, le sexe de Pirate s'enfonça dès qu'il sentit la résistance du petit œillet qui cédait facilement ! Le sexe anal était certainement pratiqué plus d'une fois par Valérie.
Le pénis allait jusqu'au bout, quasiment sans difficultés. Je voyais Valérie prendre son pied comme une folle, elle haletait, donnait des petits coups de bassin vers l'arrière pour faciliter la pénétration.
Le chien ne tarda pas à déverser son jus dans le cul de Valérie, il se retira et s'éloigna, laissant ma cousine dans sa position, l'anus plein de sperme bien chaud.
« Oh Sylvie, si tu savais comme j'ai aimé !
- Ne t'en fais pas, j'ai vu ça. Et les chiens ont aimé aussi !
- A toi, mets-toi par terre qu'il te sodomise !
- Non, Cartouche me l'a fait hier, c'était ma première fois et j'ai encore mal.
- Alors la prochaine fois promis ?
- C'est d'accord. »
Nous nous rhabillâmes puis nous nous mîmes en route vers la maison.
« Tout va bien les filles ? Nous dit ma tante.
- Oui, très bien !
- Allons qu'avez vous encore fait, c'est quoi ces mines réjouies ?
- Oh rien, on s'est juste promenées... »
Nous nous sommes regardées toutes deux d'un air malicieux et nous sommes montées jusque dans ma chambre.
Inutile de vous dire que la fin des vacances s’est passé dan une orgie perpétuelle, avec nos deux chiens, baiseurs sans fatigue, qui nous ont donné un max d’orgasmes, comme peu d’hommes savent le faire !!!!
Le cadeau de Julia
Un beau cadeau…
Nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit, et ce matin, Agnès m’a réveillé en douceur en sortant du lit. Elle doit être ce midi dans la famille, et c’est Cédric qui s’est proposé de l’accompagner. Lui aussi doit nous abandonner. Elle se blottit contre moi, me câline et se laisse câliner par Cédric le temps qu’il se réveille. Je l’embrasse longuement, et nos langues ont du mal à se quitter. Ce qui me provoque à nouveau des frissons. Elle dans mes bras, Cédric derrière elle qui la caresse gentiment sans chercher à la détourner de moi. Je sens la jambe de Fabien entre les miennes. Il ne se réveille pas vraiment, mais se tourne sur moi et ouvre un œil pour nous regarder nous embrasser comme si nous allions nous quitter pour une longue période… Elle rentre ce soir…
Je me lève quand ils sortent de la douche pour embrasser Cédric et l’enlacer tendrement. Le remercier d’emmener ma belle. Un dernier gros baiser amoureux à ma tendre, et je retourne me blottir dans les bras de Fabien. A la fois un peu triste de laisser partir Agnès pour la journée, et en même temps contente de me remettre au lit avec lui. La journée ne devrait pas être ennuyeuse…
Il est à demi endormi. Je me blottis sur son torse. Rassurant.
Je caresse son corps musclé, pour oublier ma petite peine passagère. Il s’étire. Et je descends ma main pour le saisir tendrement.
Son membre est chaud, doux, tendre. Je le sens qui frémit sous ma main. J’aime ces réveils entre tendresse et envies. Et nous nous réveillons un peu plus.
Nous papotons quelques temps. Blottis. Et me monte cette envie de lui. Envie de me faire plaisir. Mais pas envie de faire l’amour. Envie de LUI faire mon cadeau. J’appelle
« cadeau » ce plaisir que j’aime donner, sans demander autre chose en retour. Lui le connait bien, mon cadeau, il sait quand j’ai envie de le faire, et ne cherche pas à me contrarier. C’est aussi un immense plaisir pour moi.
Je l’installe en relevant les oreillers que nous avons malmenés tous les quatre cette nuit. D’y penser me fait venir des images et des chaleurs. Ma belle avec lui, avec Cédric, moi dans leurs bras etc.…
Je passe ma main sur ce sexe que je sais être à ma merci, à qui j’ai très envie de me consacrer, de lui faire « mon cadeau ». Je le survole de mes doigts, je l’ausculte, pour bien le connaître. Ses boules sont tendres, douces, et bougent mollement dans ma main... je me mets au dessus de lui. J’embrasse et lui caresse les cuisses, le torse, le ventre, et de mes seins aussi. Et son engin qui se dresse encore un peu. Je passe ma main dessus. Il réagit. Il se dresse. Il retombe. Il est dans une petite érection mais pas au mieux de sa forme. Je l’aime ainsi.
Il ne bouge pas... je descends un peu, et je m'installe nez à nez avec ce sexe qui me réclame. Mes mains sur son ventre, son torse et ses fesses. Je l'embrasse doucement. Je pose mes lèvres sur ces boules qui remontent doucement et je l'embrasse tout du long... petits bisous doux et humides... et je le lèche encore.
Je joue de ma langue sur le bout qui se redresse... et je reprends de le lécher comme un fruit... mes mains restent à caresser son ventre. Je lèche de toute la longueur. Des boules au gland. Des petits coups de langues en douceur ou avec énergie. Elle sursaute. La pointe de ma langue fait le tour de son gland. Pointue et tendue pour le chahuter un peu.
Puis je prends doucement ce gland dans ma bouche, je l'enferme, joue dessus de ma langue... dans le petit trou aussi... sa queue reprend du volume... je descends en serrant mes lèvres et je l'engloutie doucement toujours. Elle semble me remercier. Je l'enroule... la mâche un peu... la serre... la relâche... et la libère doucement tout en aspirant comme pour la faire grandir encore... elle retombe sur son ventre. Je la lèche de nouveau... la mordille... elle trouve ma bouche toute seule... s'y glisse. Je joue avec ma langue et mon piercing... elle sursaute... et je l'enfouis a nouveau toujours en douceur très lentement en pressant bien... pendant que mes mains caressent son torse ses fesses... elle vit dans ma bouche... des petites gouttes salées par moment... et je la remâche a nouveau... fort... puis la relâche encore... et a nouveau la lécher sur toute la longueur…
Je joue avec un bon moment ainsi. Recommencer encore, plus ou moins doux, plus ou moins fort. Ma bouche s’habitue à elle, et elle me réclame. Elle vit. Un petit animal qui joue sur ma langue. Sensation extra que de sentir ce sexe vivre sur ma langue et dans ma bouche.
Je joue avec la langue pour la faire un peu bouger... Elle se dresse... elle veut retourner au chaud... Un gros baiser du bas en haut pour la reprendre encore... et la faire entrer très loin très doucement très serrée.. Elle me fait comprendre qu'elle est bien la... et je recommence de cette façon encore et encore... l'engloutir, la manger... la câliner de la langue, la presser et la relâcher en aspirant fort... Et chaque fois qu'elle retombe, elle me regarde pour pas que je la laisse...
Jamais je n’ai besoin de ma main pour qu'elle retourne sur ma langue... et encore... et encore... et plus je la mange et plus elle vit et plus elle réclame...
Maintenant, elle vibre elle tressaute quand je la relâche... tu voudrais arrêter ? Tu ne sais plus trop ? Les boules une par une dans ma bouche... un gros baiser sur la longueur et de nouveau elle se cambre pour venir se mettre la ou il fait bon.
Cette fois en la prenant je sens qu'elle bouge... tes fesses se contractent sous mes mains... aurait tu envie d'arrêter le supplice ? Elle vibre de plus en plus... elle me demande ma langue de partout. Je la relâche une dernière fois je crois... elle réclame fort cette fois... un baiser encore... et elle retrouve son nid rapidement... elle me prend la bouche maintenant.
Elle rentre, ressort nerveusement comme dans mon sexe. Il est trempé mon sexe... je sens que ca coule sur mes cuisses. Maintenant elle s'agite... je la reprends bien en douceur... la serre... presse de ma langue le canal qui prend du volume. Je monte... redescend... ma boule sur le frein... c'est trop... elle se dresse encore... elle veut en finir... elle me supplie. Je presse encore plus, je tourne un peu autour... les sursauts là... un signal un peu plus fort... elle veut... tu te figes entièrement... il n'y a plus qu'elle qui vibre… qui vit... je lâche la pression de ma langue... un très long jet chaud au fond de ma bouche. Je le sens passé par le canal... et un autre.
Elle a des sursauts... encore un petit... je la relâche un peu. Du jus partout ma bouche... j'en avale... encore un jet très chaud... moins fort... elle se calme. Je la relâche très doucement. Je la laisse un peu tranquille. Je monte sur toi pour t'embrasser avec ton jus. Nos langues... ton jus... je l'avale... et je retourne pour l'embrasser et la reprendre encore en bouche. Tendrement... je l'aspire... la titille... l'absorbe... elle se détend... et je la garde au chaud... juste ma langue autour pour la calmer... la nettoyer... petit sursaut... petites gouttes encore... comme un « merci ».
Je la relâche... elle retombe... épuisée mais propre... et brillante. Je remonte me blottir... mes cuisses sont trempées… un peu de calme… on redort.
Signé : Julia
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Ma sœur et moi…
J’ai enfin le temps d’écrire mon histoire qui se déroule actuellement en 2008, je me nomme Ricci, j’ai vingt-cinq ans, grand châtain et plutôt sportif, sans aucune prétention, la nature m’a bien doté, ma bite atteint vingt-deux centimètres pour une largeur de cinq. Lorsque je suis très excité, elle peut être plus épaisse. Pourtant, ma bite ne plait pas particulièrement à toutes les femmes, ce qui me vaut d’être encore célibataire depuis quelques temps.
Cela fait quelques semaines que j’héberge ma sœur aînée Virginie vingt sept ans, un corps de déesse grecque aux gros seins fermes. Elle est une vraie blonde jusqu’à son entre cuisses, que j’ai aperçu lorsqu’elle sortait un soir de ma salle de bain que l’on partage durant notre colocation imprévue. Ele avait rompu avec son petit ami qui cherchait désespérément à la reconquérir, … il avait osé la tromper…
A vrai dire, je l’observais souvent du coin de l’œil car elle est bonne, très bonne, même si elle est ma propre sœur, elle est super bonne et je me demande toujours comment son ex ami l’a trompée. Je lutte chaque instant pour ne pas l’imaginer dans mes fantasmes, mais elle apparaît soudainement en lingerie coquine car vous vous doutez bien que je ne peux pas ignorer son tiroir de lingerie et quel paradis l’imaginant vêtue dedans. Cela me déclenche de forts orgasmes où j’éjacule très copieux.
Au réveillon 2008, nous avions fait fête à part, je l’avais vue sortir dans une tenue affriolante, une paire de bottes à hauts talons, habillée d’un collant épais noir, d’une très courte jupe serrée en Jean’s délavé tenue par une ceinture en cuire blanche ; son blouson en cuir marron était court, bien fermé, tendu par sa grosse poitrine et ses cheveux étaient tirés dans une magnifique queue de cheval. Elle était vraiment très bandante puis avant qu’elle ne parte rejoindre ses amis, je lui avais dit en riant de ne pas rentrer trop tard, elle avait souri de ma remarque et m’avait répondu d’être sage avant de disparaître.
Après ma soirée plutôt banale, j’étais rentré plus tôt que ma sœur, je m’étais douché rapidement. En me séchant, j’aperçu un tanga en soie et dentelle rose et blanc dépasser de la corbeille à linge, comme un trésor. Je l’avais saisi par le bout des doigts en sentant mon érection se lever, j’en avais frissonné d’excitation.
Le froufrou en soie était ondulé, la dentelle était merveilleuse et la courte ficelle qui allait dans ses fesses était très fine.
Du coup, mon érection était dure, pleine et dégoulinante de secrétions. Je suis allé nu dans sa chambre, son tanga enroulé autour de ma bite et je m’astiquais doucement voulant savourer ce moment délicieux couché sur son lit l’imaginant me monter comme une cavalière déchaînée.
Cela faisait plus d’un quart d’heure que j’astiquais vigoureusement ma bite suintante, créant un bruit audible, « fuuuiiit,fffuuuiittt,fuuiiitt » mon éjaculation gargouillait, mes hanches s’opposaient à mes poignets. Je les variais dans leurs vitesses et leurs vrillages, par mes fantasmes imaginaires et interdits. Je pressentais une grande charge de sperme arriver. Alors j’ôtais son tanga de ma bite pour ne pas le souiller, je le mis sur ma tête, en soignant à installer l’entrecuisses sur mon nez. A ce moment-là, j’ouvris le tiroir de sa commande pour chercher des mouchoirs et je tombais sur son journal intime soigneusement écrit et le dernier en date :
31 décembre 2007, 20h45
« J’espère rencontrer un type qui me fera monter au septième ciel et qui me nettoiera de mes fantasmes interdits car je l’ai encore aperçu sortir de la douche et il ne m’a pas vue. Sa teub était belle, longue, circoncise et il n’était même pas en érection. Cela me rend folle, j’aimerais lui dire de me faire l’amour, de me faire du bien, je l’aguiche mais il ne comprends rien du tout, bref bon réveillon, petite Virginie. »
Son récit était chaud et excitant, je me demandais qui était ce « il », qui était ce veinard. Je lâchais donc ma bite qui tombait sur mon ventre et je lisais son journal en marche arrière.
30 décembre 2007 - 21h15
« Il m’a réveillée ce matin, j’étais couchée sur mon ventre, le drap au sol, avec une jambe repliée. Mon shorty en soie tirait fortement dans mes fesses, et devait bien les écarter. J’ai fait mine de gesticuler lorsqu’il est entré, j’étais prête et consentante, j’ai même gémi doucement, il est resté là sans bouger, me regardant. Moi, je feignais de dormir, j’ouvrais légèrement mes cuisses, je pensais qu’il allait me sauter dessus, mais le bruit de la porte me fit sursauter et soupirer de ras le bol !»
Sa confession me scotchait, je secouais ma tête me disant : « Mais c’est moi !!! »
26 décembre 2007 - 03h10
« Avant de me coucher je suis passée en trottinant dans le salon pour aller dans la cuisine en petite nuisette noire assortie du shorty noir en soie transparente, il ne m’a même pas regardée car il mâtait sa télé, je me suis couchée tristement en suçant mon pouce et me suis faite jouir en mordant mon oreiller »
J’étais abasourdi de ses confessions intimes qui parlaient de moi.
24 décembre 2007 - 08h30
« Il va venir me réveiller car je feins de dormir, je vais m’étendre sur le dos, le drap sous ma poitrine nue avec mon visage tourné vers la fenêtre pour lui laisser le champ libre. J’espère qu’il me sautera dessus… »
Oui, je me souvenais de ce matin chaud dans mon caleçon. Si j’avais su…
Puis j’ai continué à lire ses confessions ; je n’en revenais pas, elle m’allumait volontairement et attendait une réaction de ma part. Je me traitais d’imbécile, je ne bandais plus car je savais maintenant qu’elle désirait mon corps et ma teub comme elle disait dans ses récits.
Je décidais de continuer à ne pas remarquer son attitude et d’attendre le bon moment pour lui sauter dessus comme elle le souscrivait.
Après avoir passé une courte nuit à penser aux multiples rêves incestueux qui pourraient dorénavant se concrétiser, je sortais de mon lit avec une érection du tonnerre qui tirait sur l’élastique de mon caleçon, j’allais dans la cuisine me faire couler un café et j’aperçus son sac à main posé sur la table, elle était rentrée.
J’avançais doucement vers sa porte, je l’entrebâillais, là étendue sur son dos, nue, encore maquillée de sa sortie. Elle était divine et excitante, sa chatte touffue blonde m’appelait, mais je sirotais mon café en la regardant probablement simuler son sommeil. J’étudiais son regard et le pli de ses yeux. Elle jouait bien son jeu. Elle m’excitait vraiment, mais je refermais la porte.
Le soir du premier jour de l’année 2008, elle sortit boire un verre avec son amie et me dit qu’elle reviendrait assez tard. A sa sortie, je filais très excité dans sa chambre afin de lire sa confession.
01 janvier 2008 - 08h55
« Il ne m’a pas réveillée et n’a même pas ouvert ma porte. Dommage pour lui, il aurait pu commencer une bonne année. J’étais totalement nue et étendue sur mon lit, j’avais mis des capotes sur ma table de nuit et j’étais restée maquillée. Quel dommage pour nous deux ! »
Sa confession était hallucinante et je n’avais même pas remarqué les capotes sur la table ! Je faisais beaucoup d’efforts pour ne pas me masturber furieusement sur son lit, et lui laisser une preuve que son petit manège fonctionnait.
Le début d’année était difficile, et je l’avais laissée jouer son petit jeu coquin. Les occasions n’avaient certainement pas manqué, ma sœur était vraiment douée. Je ne peux vous réciter toutes ses confessions tant il y en avait depuis le début de cette année.
13 février 2008 - 13h45 (Nous sommes tous les deux en congés)
« Demain, c’est la saint Valentin, il n’a pas trouvé de petite amie, il doit avoir les couilles et la teub en feu. Moi, je n’ai encore rencontré personne. Au petit matin, je ferai semblant de traîner au lit, habillée uniquement d’un mini string ayant en guise de nœud cadeau, à la naissance de ma raie du cul. J’aurai aussi un oreiller installé sous mon bassin, mon cul sera très aguichant, j’espère qu’il osera ! »
Le jour de la St Valentin, je me lève plein de bonheur. Je bande vraiment dur. Je ne suis jamais resté aussi longtemps à me masturber. La journée est ensoleillée, j’hésite à réveiller ma sœur qui doit m’attendre dans sa petite tenue sexy, car je crains lui sauter dessus.
Je vais uriner difficilement tant je bande. Puis je reste à traîner dans mon lit en dégustant mon déjeuner, tout en regardant ma télé. Je bande toujours comme un cerf. Vers le milieu de la matinée, j’entends la douche et la voix de ma sœur qui chantonne dessous l’eau. Je vais vers la porte de la salle de bain, je lutte pour ne pas ouvrir et lui sauter dessus dans la douche. Je vais dans sa chambre, l’oreiller est au milieu de son lit, je pense qu’elle devait être dessus. Alors, je prends son journal intime pour voir si elle a écrit une remarque sur ma non-venue.
14 février 2008 - 9h50.
« Je l’ai entendue pisser et je suis très déçue, je l’attendais excitée comme une puce. J’avais même prévu de la vaseline dans mon chevet en cas de sodomie. Je vais dans la douche en chantonnant du Madonna qui résonne du poste radio situé dans la salle de bain, j’espère que cela le gonflera de m’entendre chanter, et qu’il viendra me le dire. S’il me voit nue, il osera peut-être me sauter dessus car je l’attends »
Pour moi, s’en est trop, j’ôte mon caleçon et me dirige nu, la bite aussi dure que jamais vers la salle de bain. Mes sécrétions gouttent sur mon passage. La voix de ma sœur se fait plus claire, elle chante « Like a Virgin » de Madonna.
C’est trop excitant. Je suis au pied de la porte, je frotte délicatement ma bite débordante d’envie, j’ai très envie de gicler. J’entre, la voix de ma sœur se s’arrête, mais la radio continue, il y a plein de buée dans la pièce. J’avance, très excité comme jamais avant, sur la pointe des pieds vers la porte en verre de la douche, j’ouvre sèchement, l’eau très chaude coule, mais la cabine est totalement vide.
Je reste figé, bouche bée, personne à l’intérieur, je me retourne car je l’entends ricaner dans mon dos et elle me dit
« Et alors, on veut violer sa sœur ??? »
La buée s’évacue, elle était derrière la porte, mouillée, les cheveux trempés tombant sur son torse, elle est magnifique. Elle est habillée d’un porte-jarretelles noir trempé aussi, sans rien d’autre. Elle tient les bas assortis dans ses mains car elle allait sûrement les enfiler, sa chatte blonde ruisselle, ses poils sont plaqués.
« Whaou ! Virginie !!! dis-je la bite toujours dans ma main, et maintenant pointée vers elle.
- WHAOU !! ENORME TA TEUB !!! » crie-it-elle les gros yeux verrouillés dessus.
Elle rougit légèrement de mon étonnement et croise timidement ses jambes, mais laisse quand même un espace entre ses superbes cuisses galbées. J’ai envie d’éjaculer sur place, et même si elle est à trois mètres de moi, je pense que mon sperme l’atteindra. Alors, je me masturbe furieusement car je n’ose pas lui sauter dessus.
Elle est ma propre sœur !!!
« Oh Ricci mais que fais-tu avec ta grosse teub ? » dit-elle d’un ton triste en regardant ma teub comme elle la prénomme.
Ces mots venant de sa bouche m’excitent à un plus haut point, je me masturbe durement en la dévorant des yeux.
« Non Ricci, viens, viole-moi, viens !! » implore-t-elle.
Je ne résiste plus, je me jette sur elle. La plaquant dans l’angle du mur, je lui soupèse et serre ses gros seins que je mène dans ma bouche. Les deux tétons se touchent, et je les grignote en regardant ses émotions sur son visage.
Elle est soulagée et embrasse doucement mon front. Puis je cherche sa bouche pour l’embrasser sensuellement, je sens ses mains me caresser le dos. Je niche ma bite entre ses cuisses, mon gland touche l’angle du mur, les lèvres chaudes de sa chatte épousent ma hampe. Longuement, j’aiguise ma bite, on gémit dans nos bouches scellées.
Ma sœur danse sur ma teub très dure, puis après ce long moment délicieux, elle glisse contre le mur faisant tendre ma bite vers le sol. Je recule, ma sœur s’accroupit et se prend une gifle de ma queue sous le menton. Elle ricane, l’empoigne, la gobe voracement et me suce avidement.
Elle est incroyable, sa pipe est hors norme, elle est surexcitée… Mon gland bute dans sa gorge, mais elle insiste en empoignant mes fesses. J’attrape ses cheveux et baise sa bouche. Elle voulait ceci car elle se laisse faire en me regardant droit dans les yeux.
Je baise tour à tour ses joues qui se déforment, elle glousse, bave, gémit et me griffe les cuisses. J’essaye de faire rentrer plus profondément ma bite dans sa bouche bouillante. Elle tourbillonne sa langue, grandit son cou et glougloute, sa gorge se détend, je donne des va et vient qu’elle encourage, mon gland coulisse dans sa gorge, l’effet est impressionnant, ma sœur se retire, inspire fortement
« On y est presque p’tit frère ! » souffle-t-elle.
Je pousse à nouveau dans sa gorge offerte, j’insiste. Elle force en amenant mes fesses vers son visage et son nez s’écrase dans mes poils. Ma sœur a avalé entièrement ma bite de vingt-deux centimètres !
Je suis aux anges, car elle cligne son œil et se met à me sucer sauvagement et profondément. Je suis appuyé contre le mur, je souffre de plaisir en baisant sa bouche. Ma sauce blanche monte et je le crie de tous mes poumons :
« Je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrrr ! »
Elle dégage ma bite de ses entrailles buccales :
« Giiiicclle sur moi dessus, ggggiiiiiccle !!! »
Son visage exprime une belle furie, elle fait des bisous sur mon gland lorsque je me branle puis installe sa tête dans l’angle du mur et ouvre sa bouche aussi grande que possible et tortille sa langue autour de ses lèvres puis ferme ses yeux au premier jet de sperme.
Mes jambes vacillent tant j’éjacule abondamment. Je lui tartine son visage de petite blonde, elle ricane des jets qui fouettent sa figure. Elle en avale certains qui arrivent dans son palais et se prend d’autres jets sur les lèvres.
Virginie, ma sœur, est peinte de sperme, elle ne peut même pas ouvrir les yeux. Elle me demande de l’aider à se lever, et je la regarde accroupie au sol, elle est trop bonne, je veux la baiser comme jamais.
« Inceste ou pas Virginie, je vais te violer » lui dis-je attrapant ses mains pour l’emmener dans la douche.
« Il serait temps Ricci !!! » répond-elle en rentrant dans la douche.
à suivre
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Histoire multiple - Chapitre 3
Chapitre III
...lorsque l’homme se retira brusquement. Il effectua une rotation, et enfourna son mandrin dans la bouche de la voisine d’Olivier. Elle manqua de s’étouffer sous l’attaque surprise, et Sophie se sentit frustrée d’être ainsi laissé au bord de sa jouissance.. Elle émit un soupir de désappointement.
Olivier, toujours galant, le comprit. Il se leva, et vint se positionner derrière la belle. Avec plus de douceur que le blond, il la pénétra, et avec des coups de reins presque tendres, entreprit d’amener son amie à la jouissance.
Une main inconnue vint caresser le bouton d’amour de Sophie. Elle tressaillit sous cette nouvelle caresse. D’autant qu’elle sentait confusément une seconde main près de l’autre. Elle entendit Olivier soupirer : « Vas-y, masse-moi les couilles. »
En se retournant un peu, elle vit un bel homme brun, bronzé, les deux mains enfouies sous elle. Cet homme était donc en train de les caresser tous les deux. Quel plaisir… un nouveau geste de branle sur son clito l’acheva, et elle cria son plaisir pour la première fois.
Elle ne cria pas longtemps, car le beau brun vint lui obturer la bouche de sa bite épaisse. Elle manqua de s’étouffer, mais repris rapidement ses esprits pour aspirer goulument ce membre chaud.
Olivier continuait ses coups de boutoirs de plus en plus forts, imprimant ainsi son rythme à la fellation de Sophie. La vision de la jeune femme embrochée ainsi, couverte de nourriture, caressée et léchée par de multiples personnes, était dantesque.
Des hommes la regardaient, et se branlaient frénétiquement. Une femme, les jambes écartées, posée sur les accoudoirs, se caressait aussi furieusement sa chatte ouverte et trempée. Son voisin de droite finit par s’en apercevoir, et se jeta à genoux, pour lécher goulument l’abricot rouge et congestionné de désir…
Un autre, les matant aussi, finit par s’approcher pour enfoncer sa petite queue dans la bouche ouverte de la dame assise. Elle le dévorait comme si elle n’avait pas mangé depuis des jours !
L’orgie était lancée, plus rien n’arrêterait les participants…
Marine
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Maitresse Sophie
Maitresse Sophie est une délicieuse complice avec qui je m'amuse beaucoup et qui s'affirme de plus en plus dans son rôle de Maîtresse, aussi bien avec moi qu'avec d'autres.
Il y a quelques semaines, nous avons fait une séance à laquelle nous pensions déjà depuis pas mal de temps.
Elle avait préparé le matériel : une cravache, une tapette en cuir, un bandeau et nous étions dans le cadre idéal pour ça, dans les oubliettes de mon club préféré, tout en arcades en pierres et en décor noir et cuir.
Nous étions avec Dame Isabelle, une autre amie qui lui servirait d'assistante en quelque sorte.
Il faut bien reconnaître que j'ai bu un peu plus que d'habitude pour me déstresser et me préparer à la suite, sans pour autant être ivre.
Et puis nous sommes descendus. Beaucoup de personnes nous ont suivis.
Elle m'a bandé les yeux à peine arrivées au sous-sol. Puis m'a guidé vers la croix de Saint-André. Elle me disait où poser les pieds. Puis elle m'a déshabillé et attaché avec l'aide de Dame Isabelle. J'avais les mains et les pieds emprisonnés dans des menottes en cuir fixées par des chaînes aux extrémités de la croix.
Elle m'a donné une règle : je n'avais le droit de rien dire sauf d'exprimer mes sensations douloureuses si nécessaire sur une échelle de 1 à 3. "Deux", c'était très désagréable et "trois", ça n'était plus supportable et je voulais arrêter.
J'entendais des gens qui chuchotaient autour de moi.
C'est drôle, parce qu'à partir de ce moment là, j'ai perdu la chronologie des événements. Il y a certaines choses dont je me souviens très précisément, mais je n'arrive pas à me souvenir dans quel ordre elles sont arrivées, ni comment ni pourquoi. J'avais complètement lâché prise, et ne se sont gravées dans ma mémoire que les sensations et les émotions des séquences les plus surprenantes.
Elle me frappait les fesses et les hanches avec son instrument en cuir qui ressemblait à une raquette et rebondissait cruellement sur ma chair. Elle me faisait ainsi bien sentir que j'étais à sa disposition. Chaque fois que j'essayais de me tourner pour échapper aux battements, je réalisais que je ne pouvais pas bouger et elle frappait du côté où je m'étais tourné. Jusqu'à ce que je réalise qu'il ne servait à rien de bouger et que je dise "3".
Et puis, elle a passé la cravache sur mon gland durci, et mes couilles pleines. C'était une vraie cravache, elle était un peu rugueuse et je sentais les fibres entrelacées qui frottaient avec insistance les parties les plus sensibles de mon sexe. De temps en temps elle l'enlevait et me donnait des petits coups de fouet avec l'extrémité en cuir, contrôlant encore les mouvements de mon corps. Et j'ai dit "2".
J'avais terriblement envie d'un homme. D'autant plus envie qu'attaché, je ne pouvais rien faire. J'avais envie de sentir la bite et l'excitation d'un homme pour me créer un espace de liberté.
J'entendais des chuchotements un peu plus loin. Elle s'est éloignée et est revenue avec un homme. Il m'a caressé. J'ai demandé qu'elle me détache pour que je puisse toucher cet homme. Puis j'ai supplié. Elle m'a encore fouetté, puis a détaché mes mains. Je me suis agenouillé et j'ai commencé à sucer cet homme. Il n'était pas rasé et je sentais son excitation à travers l'odeur qui montait sur son pubis. Ce n'était pas une odeur particulièrement agréable en soi, mais c'était l'odeur de son excitation qui se communiquait à moi. Je crois que je l'ai longtemps sucé. En tout cas, je profitais d'échapper à son emprise dans ce plaisir limité, dans cette autorisation à ressentir du plaisir avec ma bouche. Et je jouissais de cette tension entre cette liberté et mon entrave.
Elle a repoussé cet homme et m'a détaché.
Elle m'a emmené dans une alcôve où elle m'a fait agenouiller sur un lit, elle a attaché mes mains à des cordes suspendues et écarté mes jambes. J'entendais vraiment qu'il y avait des personnes autour de nous.
Elle a continué à choisir des hommes pour que je les suce ou qu'ils me prennent, à un ou deux. Un dans mon conduit anal, un dans ma bouche. J'avais beaucoup de plaisir. Je me laissais complètement aller et porter par ces corps et ces mains sur moi et en moi, toujours attaché par les poignets avec juste un peu de marge pour écarter les jambes.
Un homme a enfoncé ses doigts dans mon cul et a commencé à jouer dedans d'une façon qui m'a fait chavirer et m'a fait jouir.
Elle me glissa à l'oreille que j'avais trempé le dessus du lit. Ma queue sur-bandée laissait échapper pas mal de sperme à chaque jouissance.
J'ai dit "3", non pas parce que j'avais mal, mais parce que le plaisir que j'avais pris avait été tellement fort que j'avais besoin de reprendre le contrôle sur mon corps. J'avais envie d'uriner. Je le lui dis. Elle me dit que c'était normal, et que nous allions continuer quand même. Mais non vraiment, je ne voulais pas.
Alors elle m'a détaché, a écarté les personnes autour de nous et m'a emmené les yeux toujours bandés vers la sortie, me guidant avec ses mains. Je voulais qu'elle enlève le bandeau, mais elle ne l'a enlevé qu'au moment de remonter l'escalier.
Dans la suite de la soirée, bien sûr j'ai dû recroiser certains de ces hommes. Ils savaient qui j'étais et ce qu'ils m'avaient fait. Pas moi. Je ne voulais surtout pas le savoir.
Pour garder cette impression d'avoir été livré dans le pur désir sans visage et sans forme sociale.
Plus le temps passe, plus j’aime être traité en salope soumise, en vide-couilles d’hommes en rut…
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Quel récit passionnant et excitant.
Je viens de le lire, et j'ai du aller me faire jouir dans les toilettes du bureau.
Merci