Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le garagiste coquin
La semaine dernière, j’ai eu un pépin mécanique avec ma voiture. Je me suis rendue en urgence dans mon garage habituel, dirigé par un ami. J’ai l’habitude de le payer « en nature », mais pas ce que vous imaginez, bande de vicieux… Je lui fais une heure de secrétariat, contre une heure de mécanique. Ca nous arrange tous les deux.
Mais vendredi dernier, pas de Greg. Un autre homme est là. A mes interrogations, il me répond que mon copain a du partir en France, et qu’il ne sera pas là quelques jours. Comme ils viennent de s’associer, il assure le remplacement. Il me dit se nommer Olivier.
Je ne peux m’empêcher de le regarder en coin. C’est un bel homme, aux bras musclés comme je les aime. Les bras comme ça m’ont toujours attirée ! Il me dit qu’l faut changer les supports moteurs. Et il envoie son apprenti les acheter chez le revendeur.
Il se tourne vers moi et me dit : « Greg m’a parlé de votre petit arrangement…
- Ah bon, il t’a raconté ça ?
- Oui, comme on ne peut pas se payer une secrétaire, c’est une bonne chose.
- Oui, je sais. D’ailleurs, si tu as un job à me faire faire… Donne-moi les consignes. »
Il semble embarrassé. Il ne peut pas rougir, il est noir…
« Disons que pour ce matin, je n’ai rien pour toi… Par contre, Greg m’avait caché quelle belle femme tu es…
- Tu es trop gentil, je suis comme les autres…
- Non, tu es très belle, et j’ai toujours rêvé de coucher avec une blanche… »
Les créoles ici sont toujours très directs…. Ces quelques mots sans équivoque ont immédiatement allumé un feu dans mon bas-ventre. Une chaleur me prend, et je sens une humidité naissante imbiber mon string.
Sans hésiter, je m’approche de lui, lui saisis la nuque, pour l’embrasser à pleine bouche. Il me rend un baiser passionné, puis me repousse. Je reste bouche bée ! En fait, il veut juste se laver les mains….
Il m’entraine dans un recoin du garage, où dors une vieille 404. De ses bras si puissants, il me soulève et me bascule sur le capot. D’un geste autoritaire, il écarte le string humide et enfourne son pouce tout en attaquant vigoureusement mon clito. Le plaisir à l’état pur ! Il bande tellement, que je vois un gros gland brun sortir de la ceinture de son bleu. Il se courbe et me pénètre de sa grosse langue baveuse. Il me lèche partout, pointe sa langue dans mon petit trou, il me dévore comme si sa vie en dépendait… Il grogne parfois : « Mhumm, putain, c’est bon une chatte de blanche, c’est doux, c’est lisse, ca sent bon… J’aime ta moule claire… je veux la bouffer toute ma vie… »
Sous un tel traitement, il ne me faut que quelques trop brèves minutes pour jouir dans sa bouche, et exploser dans un grand cri qui résonne sous les tôles du garage… Le temps d’un éclair, je me dis que tout le voisinage doit être au courant !!!!
Il se relève, le visage éclaboussé de ma cyprine, et vient à nouveau m’embrasser à pleine bouche. J’ai le gout sucré salé de ma chatte sur mes lèvres… J’adore ces baisers profonds, gourmands, où l’on peine presque à respirer… Ca m’excite à mort. Il sort sa bite, impressionnante, je dois bien dire. Je veux le branler, mais il refuse : « Doudou, j’ai trop envie de te baiser, ta chatte me fait trop envie.
- Fais comme tu veux, baise-moi, j’ai envie de ton gros pieu ! »
Il est massif, assez long, sans doute vingt centimètres mais très large, il en fait à peine le tour avec ses doigts. Je me cale contre le pare-brise, ouvre mes jambes en grand, prête à l’assaut. Je le veux brutal, pour une fois. Je suis vraiment assoiffée de sexe ! Il pose un genou sur le capot, et appuie son gros gland violacé contre mes lèvres. D’une forte poussée, il m’enfile le formidable engin. Il cogne au fond, me faisant crier de douleur. Je ne m’attendais pas à une telle pénétration ! Mais la douleur passe vite, et il me lime à fond, ses couilles butant contre mon petit trou… Il me besogne à fond, comme j’aime.
D’un coup, je sens une présence !
Mon instinct ne m’a pas trompée : c’est le jeune apprenti qui est là, les pièces à la main, les yeux exorbités… Je lui fais signe : « Approche, viens sucer mes seins… branle mon clito... »
Comme un automate, il obéit, avance, soulève mon haut et aspire un tétin durci. Il les tête comme un bébé le sein de sa mère. Il a laissé tomber les pièces détachées au sol, et branle mon clito quand la grosse queue d’Olivier lui laisse la place. De son autre main, il sort sa jeune bite, plus petite que celle de son boss, et se masturbe avec application…
J’ai pitié de lui, et entreprend de le branler. Il n’en peut plus, il jouit très vite dans ma main. Alors, je lui donne mes doigts à lécher… Il faut bien qu’il nettoie ce qu’il a lâché dans ma main !!!
Ensuite, je lui ordonne de lécher mon petit bouton, entre deux coups de queue. Je vois bien qu’il lèche aussi la racine de la bite qui me pilonne… Cette vision me fait jouir encore plus fort que tout à l’heure. J’explose en hurlements, tandis qu’Olivier, surexcité, lâche son foutre dans ma chatte martyrisée… Le jeune apprenti en prend plein la bouche aussi !!!! il grimace, mais n’ose rien dire…
Je lui ordonne : « Lèche, nettoie le sperme de ton patron. Après tout, tu es apprenti, tu es là pour apprendre ! »
Il me regarde d’un air de chien battu, mais obtempère… Sa langue est douce, timide, mais efficace… Olivier nous regarde, sa bite bande à nouveau…
Il s’approche de moi, et je finis de le faire durcir en le branlant assez fort. J’ai peine à le contenir, tant il est épais ! Au moins autant qu’une cannette ! Il s’adresse au jeune : »t veux une bonne appréciation pour ton stage ?
- Oui, Monsieur, bien sur.
- Déjà, tu auras la moyenne, tu as bien donné du plaisir à Madame.
- Merci, Monsieur.
- Mais si tu veux plus, suce-moi ! »
Le jeune a soudain l’air désespéré… mais je l’encourage, je lui dis doucement qu’il va aimer, que je le branlerai aussi…
L’apprenti s’assied sur une chaise, sa tête est juste à la hauteur du mandrin immense. Il commence à lécher le gland, s’enhardit, suce la grosse pine sur toute sa longueur… Je le branle, je malaxe sa jeune bite, qui durcit très vite. J’ai sous mes yeux mon spectacle préfère : un homme qui en suce un autre… J’apprenti prend de l’assurance. Il pompe de plus en plus fort la queue d’ébène. D’une main, il malaxe les grosses couilles déjà pleines, et de l‘autre, vient à tâtons titiller mon clito toujours humide. Une fois de plus, je jouis sous les doigts pourtant malhabiles. Je retombe assise, exténuée, mais les yeux rivé sur la bouche qui pompe avec entrain le pieu massif. Il en avale plus de la moitié !
Olivier gémit, crie, et finit par se répandre dans la gorge juvénile. Le foutre coule sur le menton du jeune… Nous nous regardons, un peu effarés par l’ampleur qu’à pris cette séance de baise improvisée…
Oliver reprend la parole le premier :« Ben ma belle, tu es une sacrée baiseuse… Et tu sais y faire avec les petits jeunes ! On recommence quand tu veux ! Je répare ta voiture à vie gratos !!!
– Moi aussi, je veux bien faire tout ce que voulez, Madame, dit le jeune d’une petite voix…
-Même sucer des hommes devant moi ?
- Tout ce que vous voulez, pourvu que je vous baise aussi… »
Je vous assure que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde ! Ils m’ont réparé ma voiture, mais nous n’avons pas pu recommencer, des clients arrivaient…
Dommage, mais je sais que ma voiture va avoir très vite besoin d’une réparation !!!!
Le candaulisme... Philippe nous explique cette pratique sexuelle particulière...
Philippe nous explique le candaulisme, et comment il pratique cette « philosophie » au quotidien avec son adorable femme Olga. Vous retrouverez l’intégralité de ce texte, avec ses photos d’origine, sur leur splendide blog : http://philetolga.erog.fr
Merci à eux, à Hassan aussi, de nous offrir leur histoire hors du commun, si particulière, si intime…
Le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Le candaulisme est caractérisé par un fantasme bien précis : voir son épouse faire l'amour avec une ou plusieurs personnes étrangères à son couple.
Le candaulisme se distingue de l'échangisme car il est une activité sexuelle "mono-active", une pratique à sens unique. Seul un des deux membres du couple a une totale liberté sexuelle pour son plus grand plaisir et celui de l'autre. Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme.
Il se distingue aussi du voyeurisme, qui fait que l'on est excité par la seule vue de scènes sexuelles, même avec de parfaits inconnus. Dans le cas du candaulisme, il faut un sentiment fort, affectif, amoureux, avec l'objet du fantasme, son conjoint.
Pas de candaulisme sans amour conjugal.
Le candaulisme se distingue aussi du cuckolding par l'absence de besoin d'humiliation du partenaire voyeur.
Dans l'article paru le 18 octobre, nous avons expliqué l'origine historique ou mythique du terme, qui se rattache à Candaule, un roi de l'Antiquité grecque, et à la légende qui s'attache à sa femme Nyssia, qu'il aurait offerte à un de ses officiers, Gygès.
Il s'agit dans la plupart des cas d'un fantasme masculin. Seul l'un des partenaires a une liberté sexuelle pour son plaisir et surtout celui de l'autre. Très cérébral, le candaulisme n'est pratiqué qu'en couple très amoureux l'un de l'autre, et jouissant d'une grande complicité. Sans ces deux conditions, toute la saveur en est totalement perdue. Car en règle générale il n'y a aucun plaisir et aucun intérêt à partager ce genre d'émotions lors d'une aventure d'un soir.
L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du Candaulisme. Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple de partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement. Même si, pour le réaliser, ils doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, certains me jugent sévèrement, mais personne ne peut nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga.
J'ai détaillé dans le second article, paru le 19 octobre, les différentes formes de candaulisme, qui sera qualifié de complice, d'humiliant, possessif ou de passif. On parlera aussi de candaulisme visuel, auditif.
Avec Olga, nous avons pratiqué ces différentes formes de candaulisme.
Il a été complice, puisque je l'ai poussée à cette pratique. Je dois dire qu'elle a "résisté" longtemps mais ce qui s'est passé depuis deux ans montre que j'avais raison, que j'avais bien deviné ce qu'il lui fallait.
Oui c'est moi qui ais poussé Olga à me tromper, et d'abord dans les bras de Rachid, son premier mâle. Rachid m'a dit qu'il raconterait en détails le complot qui a fait tomber Olga dans ses bras. Olga sait tout et ne m'en veut pas, bien au contraire !
Il a été humiliant, car je n'ai plus que le titre de mari, que seuls ses mâles successifs, Rachid puis Hassan, ont désormais le droit de se vider dans sa chatte et que Rachid l'a fécondée. Et même le titre de « mari » m'est de fait contesté aujourd'hui par Hassan.
Mais j'ai accepté ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.
Il a été passif, puisque mon premier et principal plaisir est d'assister à ses ébats, de la prendre en photo dans ces moments de bonheur.
Olga m'a déjà dit combien elle a du plaisir quand je l'observe dans ses ébats, nous nous regardons dans les yeux, son regard, voilé par la montée du plaisir veut dire : « Merci chéri pour ce que tu m'as fait découvrir, pour l'amour que tu me portes. »
Quant au candaulisme possessif, il a plutôt été du côté de Rachid, puis de Hassan, qui ont éprouvé le plaisir rare d'offrir à d'autres une femme qui pouvait être exclusivement à eux, la mienne. Car c'est Rachid qui a ouvert la boite de Pandore, qui a poussé Olga à s'offrir à d'autres, au départ elle se serait volontiers contenté de lui, dont elle était follement amoureuse.
J'ai connu toutes ces situations que je décris.
Mon candaulisme complice va très loin, puisque j'ai accepté qu'Olga soit amoureuse de Rachid (mais aussi de Nicolas et aujourd'hui de Hassan. Elle a aussi été amoureuse de Christine, de Cindy et d'une façon particulière, de la redoutable Marie) et qu'il lui fasse un enfant. J'ai accepté qu'elle se « marie » dans son rite avec Hassan, qui est aujourd'hui son vrai époux.
Nous pratiquons le candaulisme auditif, moi « dormant » sur le canapé ou dans une pièce voisin de la chambre conjugale, Olga et son mâle dans le lit conjugal. Ils laissent la porte ouverte pour que j'en profite et j'en prends plein les oreilles, y compris en pleine nuit, car Rachid comme Hassan savent reprendre vite des forces et ne se lassent jamais du corps de mon épouse.
Entendre est un plaisir autant qu'un divin supplice car la tentation est forte d'aller mater la scène qui se déroule dans l'autre pièce. C'est encore plus dur quand les amants ont volontairement laissé la porte ouverte. Les cris de plaisir de l'épouse sont sans équivoque et les amants en ajoutent même parce qu'ils savent que le mari n'en perd pas une miette, il en aura pour son argent.
Ce que je préfère naturellement, c'est le candaulisme visuel. Car le vrai plaisir du candauliste est d'imaginer, d'entendre ou de voir sa chérie prendre du plaisir avec un autre homme. Le vrai plaisir candauliste pour moi est naturellement d'assister, de ne rien perdre de ces moments exceptionnels où Olga se fait baiser. Ce plaisir doit être long, profond, intense.
J'aime aussi voir Olga "habillée" de façon sexy, voire provocante ou indécente,
J’aime lire le désir dans le regard des hommes ou dans la barre qui déforme leur pantalon (ou leur maillot sur la plage).
Oui j'aime que ma femme porte des dessous les plus sexy, qu'elle s'exhibe sur la plage ou au bord d'une piscine, qu'elle s'exhibe devant ses amants, les mettant en condition pour la saillie qu'elle attend avec impatience
J'aime voir ensuite ma salope être déshabillée, puis lovée dans les bras de son amant, que celui-ci la caresse et qu'ils s'embrassent amoureusement, la voir branler la queue de son amant qu'elle prendra en bouche, impatiente d'être saillie, la voir sucer à fond ce mâle qui vante devant moi les talents de fellatrice de mon épouse,
Il me faut voir cet amant lui imposer toutes ses envies, y compris les plus hard comme celle de lui fister sa chatte et voir cette main disparaître dans les fondements de ma belle épouse,
voir cet amant préparer le cul de votre épouse, elle qui a vous a toujours refusé la sodomie, avant qu'elle ne supplie l'amant de lui casser le cul, la voir enfin se faire mettre, (et c'est encore meilleur quand c'est sans capote), baiser, niquer, et écouter, pendant un coït qui doit durer, ses cris de plaisir et d'amour, ses "oh oui, vas y mon amour, oui comme ça plus fort oui, bien à fond", ses gémissements, ses plaintes de plaisir, qui deviennent des cris, des hurlements.
Ca tourne quelquefois à l'humiliation quand l'amant lui demande si : « c'est meilleur qu'avec ton cocu », qu'elle répond : « évidemment », et qu'ils échangent des paroles d'amour, sans se soucier de ma présence.
Imaginer peut aller très loin, reposer sur une vraie complicité, en l'aidant à se préparer pour l'autre, en choisissant ses dessous, ses vêtements, en la conseillant sur son maquillage, sur son parfum.
Ca peut aller jusqu'à conduire la femme infidèle sur les lieux où elle va se faire baiser. Le plaisir est ensuite de l'imaginer, de voir en rêve ce que son amant ou ceux à qui il l'offre lui font. Et puis attendre qu'elle rentre enfin, épuisée par ses excès, découvrir sur son corps la trace de ses ébats. Le bonheur est alors d'obtenir un récit détaillé de ceux-ci pendant qu'elle autorise le mari bafoué à la déshabiller, à la nettoyer, à la masser, à la caresser, à boire à sa source la semence que le ou les mâles y ont déposé. Quelquefois, le mari candauliste a le plaisir de succéder dans la chatte de l'épouse aux autres hommes et de mêler sa semence à celle de l'amant de Madame.
Le mari candauliste a une image de la femme comme complice, égale, active et féminine. Le candauliste n'éprouve pas de jalousie, un sentiment qu'il réprouve car ce sentiment ne permet pas une générosité spontanée et naturelle sans concession.
Or quelle plus grande générosité que d'offrir la plus complète liberté sexuelle à la femme qu'on aime?
Le candauliste a des pratiques amoureuses qui visent la complicité amoureuse totale, ainsi que la recherche et la réalisation prioritaires des désirs de l'autre et de son plaisir. Tout ce qui me préoccupe, au delà du plaisir que j'ai de voir Olga se faire baiser, c'est son plaisir, sa jouissance, son bonheur.
Au fond, peu m'importe qui la baise, pourvu qu'elle jouisse, qu'elle ait du plaisir.
Depuis deux ans, Olga a eu des amants en titre, des mâles, comme Rachid ou Hassan dont elle a été amoureuse, qui ont vécu à notre domicile, qui m'ont remplacé dans le lit conjugal, avec qui elle se promenait amoureusement dans la rue.
Poussée par ses mâles, Olga s'est offerte à beaucoup d'autres, dans beaucoup d'endroits : dans notre immeuble, dans mon bureau, dans la nature, sur la plage, dans la mer. Il n'y a guère de possibilité de plaisir qu'Olga n'ait pas explorée.
Olga est aussi devenue profondément bisexuelle et j'éprouve le même plaisir candauliste à la voir avec ses maitresses, en particulier en 69. Dans ses relations saphiques, Olga est déterminée, elle prend beaucoup plus d'initiatives, elle est plus active. Souvent elle est l'homme avec ses conquêtes féminines.
Mon seul regret c'est que son attrait pour les femmes la rende vulnérable envers Marie, qui la déteste (le mot est faible), et qui pousse Olga vers les pires excès : nymphomanie, pratiques sm, soumission, prostitution. Elle lui a pris Rachid mais n'a pas réussi à la séparer de Hassan.
Le candaulisme de notre couple est donc bisexuel.
Sous l'influence de Rachid et de Marie, il a rapidement dérivé vers d'autres pratiques, Olga étant offerte à d'autres, y compris dans des partouzes et gang bang dont elle était la vedette. Mon plaisir candauliste a été d'être généralement associé à ces parties pour ne rien perdre du plaisir de ma chérie.
Le candauliste vit un amour profond qu'il ne dissocie pas de la communication culturelle et affective, de la tendresse et du plaisir physique. Le candauliste fait souvent preuve de tendresse et d'une grande sensibilité physique et morale. Le candauliste, dans les relations quotidiennes, refuse des valeurs et attitudes de rivalité/domination qu'il estime non progressistes, il préfère ainsi les valeurs consensuelles.
Le candauliste cultive l'amitié totale et généreuse avec les partenaires qui composent sa sphère. Le candauliste privilégie en premier lieu le sentiment d'attirance mutuelle. Les mâles d'Olga, ont été mes amis et, même dans mon cas, mes amants. J’ai poussé la complicité avec eux jusqu'à la bisexualité. Même si ce n'est pas automatique, le candauliste a en lui une part de féminité, que pour ma part j'ai assumée. La relation d'un couple qui pratique le candaulisme est fusionnelle.
Il s'agit d'une recherche commune du plaisir et de l'épanouissement. Ainsi l'époux éprouve une profonde excitation à voir son épouse dans des situations érotiques avec d'autres que lui et celle-ci, en paix avec son corps, s'épanouit aux travers des différentes sensations que lui procure la variété des situations.
Le plus grand plaisir d'une épouse est surtout l'idée d'avoir l'exclusivité de l'excitation de son homme. Cela peut passer du simple slow lors d'une soirée, à faire l'amour devant son mari.
Oui, Olga et moi sommes un couple fusionnel, ce qui explique que nous sommes toujours ensemble et qu'elle n'a toujours refusé qu'une seule chose, que j'étais tout prêt à accorder si elle l'avait demandé : le divorce.
Pour Olga, son plaisir, son bonheur ne serait pas identique, sans ma présence, sans mon regard amoureux et excité sur elle quand elle fait l'amour devant moi. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des « aveux physiques » lors de leur intimité retrouvée.
Dans la plupart des cas, la complicité du candauliste avec les amants ne va pas jusqu'à participer aux ébats de sa femme en la partageant avec d'autres. Dans ce cas, ce serait plutôt du triolisme, des partouzes, ou de l'échangisme. D'autres encore poussent très loin la situation et font partie du jeu des amants : ils sont humiliés par eux, attachés, assistant impuissants aux ébats de l'épouse et de l'amant.
J'ai enfin expliqué dans l'article paru le 22 octobre les points communs entre le cocufiage et le candaulisme. Car je l'assume, je suis les deux. Quand il réalise son fantasme, le mari candauliste est forcément cocu. Surtout si on considère que l'on est cocu à partir du moment où son épouse a un amant.
On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une infortune, comme une disgrâce ou comme une honte. Il est un cocu qui non seulement sait ce qu'il lui arrive mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat et qui en tire un grand plaisir.
Alors oui le bonheur du mari candauliste que je suis est de voir Olga baisée encore et encore, jusqu'à ce que les deux amants s'effondrent, en particulier quand Rachid ou Hassan lui inondaient le vagin de leur semence abondante. Je ne m'en lasse pas.
Quelquefois, j'ai droit d'embrasser ou de caresser Olga pendant qu'elle se fait prendre. Mais mon vrai plaisir de candauliste est d'assister, je jouis sans même me toucher. Nous pratiquons surtout, à mon grand bonheur, le candaulisme visuel et je ne m'en lasse d'autant moins que Rachid, puis Hassan n'ont cessé de varier les situations en offrant ma femme à d'autres…
Oui, je suis cocu et je n'en ai pas honte. Mais je revendique ma particularité de candauliste.
Le mari candauliste ne peut exister que s'il y a un amant qui accepte une telle situation et une femme adultère complice. Rachid, Hassan et Olga ont été avec moi les acteurs heureux de cette aventure candauliste, où chacun a trouvé son compte.
Oui les choses ont été beaucoup plus loin que je les imaginais au départ. Je voulais que mon épouse prenne un amant, des amants, que je puisse mater. La voir devenir gouine m'a réjouit. Je voulais aussi qu'elle pratique sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist.
Oui, je voulais voir Olga dans des partouzes et des gang bang. Je ne pouvais rêver aux milliers de rapports, aux centaines d'amants qui m'ont "déshonoré" depuis deux ans. Et bien j'espère, si Olga le veut, qu'il y en aura encore beaucoup d'autres.
C'est vrai que je ne pensais pas qu'elle tomberait amoureuse de certains de ses amants (et de ses maitresses), qu'elle tomberait sous la coupe de la redoutable dominatrice qu'est Marie, que Rachid se vengerait sur elle de sa haine de la bourgeoisie de sa ville. Je ne pensais pas non plus aux dérives que je n'ai pas su empêcher, comme la nymphomanie, la prostitution à l'étranger, comme les partouzes sm voulues par Marie et ses amis. Mais nous avons réussi à arrêter ça, Hassan et moi.
Je ne pensais pas que le résultat de cette aventure serait qu'un autre que moi aurait conçu un enfant avec mon épouse. Car je l'ai accepté tout de suite, j'ai assisté à la conception, c'était beau et cet enfant est aussi le mien, il n'aurait jamais été conçu sans notre aventure candauliste.
Je n'aurai pas pensé non plus que, par le biais d'un mariage dans son rite, son amant actuel se considérerait comme son vrai mari.
Et pourtant je suis toujours à côté d'Olga. J'aurai pu la perdre. Certains diront: "Imbécile, à part un lien légal, Olga n'est plus à toi" J'aurai pu la perdre vraiment si son amour pour un de ses mâles l'avait conduit à vouloir reconstruire un couple exclusif avec lui. Au fond, en l'offrant à d'autres, Rachid, qui n'a jamais été amoureux d'Olga à la grande différence de Rachid, a peut-être évité que les choses n'en n'arrivent là. Olga a toujours refusé le divorce. Pas seulement parce que ma présence, lors de ses ébats, l'excite tout particulièrement. Mais tout simplement parce qu'il y a entre nous deux un amour si fort, qui échappe à toutes les normes, qui dépasse l'amour physique. Rien ne pourra désormais nous séparer, dans l'équilibre très particulier que nous avons trouvé.
Ma récompense, c'est le plaisir que je lis dans les yeux d'Olga quand elle se fait prendre devant moi.
Belle année 2011
Une nouvelle année commence….
Merci à vous de la débuter avec moi.
Votre fidélité et vos visites quotidiennes me font un immense plaisir, et je souhaite pouvoir continuer à vos apporter autant de plaisir que vous en attendez en venant lire ces lignes !
Que cette année soit belle, heureuse, douce et tendre, que vos voeux les plus chers se réalisent enfin, que vos envies les plus secrètes soient comblées...
Mes baisers les plus câlins sont pour vous aujourd’hui…
Sophie d'Arbreuse, Marquise de Rawensky
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Initiation douce....
C'était un début d'après-midi de l'une de ces chaudes journées d’automne, une sorte d’été indien…. Je marchais à l'ombre des maisons, et je me dirigeais chez mon ami Thomas, camarade de fac, avec qui je m'étais lié d'amitié l'année passée. Il m'avait invité à venir chez lui ce jour là.
Thomas vivait chez sa mère, Elise, 43 ans, divorcée. Je connaissais déjà Elise puisque je m'étais rendu chez Thomas durant l'été à plusieurs reprises. C'était une femme que je trouvais très belle, élégante, et j'étais quelque peu troublé en sa présence.
Mais j'avais remarqué les fois précédentes qu'elle me souriait souvent, et j'avais noté quelque chose d'étrange, d'indéfinissable dans son regard. Je me disais que je fantasmais, que je prenais mes rêves pour une réalité.
J'avais l'insouciance de la jeunesse et mes vingt ans tout neuf ne m'empêchaient pas d'admirer le paysage qui s'offrait à mon regard, à la manière d'un petit enfant qui découvre le monde. Mes yeux allaient et venaient entre les murs des maisons, se posaient sur les vignes jaunissantes qui encerclaient le village, pour aller se perdre dans les collines nantaises. Un léger vent marin soufflait et ramenait quelques nuages de l’Océan, venus tempérer l'ardeur des rayons du soleil.
Puis, perdu dans mes rêveries, j'arrivais chez Thomas. Je montais l'escalier puis sonnais à la porte. Elise m'ouvrit. Elle me dit :
« Entre, Philippe, je t'attendais. »
Elle était vêtue d'une jupe droite bleue, surmontée d'un petit chemisier blanc en dentelle. Elle me fit entrer et m'invita à m'asseoir dans le salon. Nous parlâmes quelques minutes puis je lui demandai : « Thomas n'est pas là ? »
- Non, dit-elle, mais il ne va pas tarder.
Puis elle m'offrit une tasse de café. Quand elle tendit le bras pour me la donner, je vis comme une marque à son poignet. J'en fus surpris mais ne dis rien. Toutefois, elle avait croisé mon regard, et compris que j'avais vu la marque. Elle n'en fut pas gênée. Elle s'assit à côté de moi et la conversation reprit. Puis, au fil des phrases, nous abordâmes ma vie privée.
Elise voulut savoir si j'avais une copine. Je fus un peu embarrassé. En effet, je n'avais jusqu'alors eu que quelques aventures sans lendemain. Je lui avouai la vérité. Elle parut surprise, et en guise de réponse passa sa main dans mes cheveux en disant : « C'est étonnant, un beau garçon comme toi ! »
Je rougis un peu. Puis elle prit ma main gauche et la guida, d'abord sur ses cuisses, puis la fit glisser sous sa jupe. Je sentis alors sa peau douce, chaude. Mon cœur se mit à battre. Je n'osai rien dire. Puis, subitement, elle me demanda :
« Cette marque que tu as vue tout à l'heure, veux-tu savoir d'où elle me vient ? »
Je n'osai répondre oui, mais voulais en savoir davantage. Sans attendre ma réponse, elle se leva et me suggéra de la suivre. Elle me conduisit dans sa chambre. Je commençais à avoir des sueurs froides, mon cœur s'emballait dans ma poitrine.
Puis elle ouvrit un tiroir, et je vis à l'intérieur deux paires de menottes, une cravache ainsi que d'autres objets que je ne parvenais pas à identifier. Elle me regarda alors et me lâcha brutalement :
« Philippe, aimerais-tu me dominer ? »
Je restais interloqué, muet, immobile. J'avais bien compris ce à quoi elle faisait allusion. J'avais quelque peu entendu parler de ce genre de pratiques, mais jusqu'à ce jour, il ne s'agissait pour moi que d'une théorie lointaine.
« Mais Thomas va arriver d'un instant à l'autre, rétorquais-je.
- Non, dit-elle. Tout à l'heure, je t'ai menti. En fait, je l'ai envoyé faire une course sur Nantes. Il ne rentrera pas avant une bonne heure. Alors, tu acceptes ?
- Oui », dis-je, étonné moi-même par ma réponse positive.
Puis je la vis s'agenouiller devant moi et prononcer ces paroles qui résonnèrent dans ma tête comme un tonnerre : « A présent, tu es mon maître. Ordonne et je t'obéirai… ».
Je ne savais pas trop quelle attitude je devais adopter, mais j'entrepris de rentrer dans son jeu et de lui donner des ordres, étant persuadé qu'elle allait se relever et se mettre à rire de ce que je croyais être une plaisanterie.
Par conséquent, je lui dis sèchement en passant au tutoiement : « commence par retirer mon pantalon ! »
A ma grande surprise, elle s'exécuta et je compris alors que ce n'était pas un jeu. Je sentis ses mains remonter le long de mes cuisses avant de se poser sur ma braguette. Je fus parcouru d'un léger frisson. Pendant qu'elle m'enlevait le pantalon, je retirais ma chemise. Puis, elle ne bougea plus, attendant probablement de nouvelles instructions. Je lui ordonnais : « relève-toi et toi, toi aussi. »
Elle obéit docilement, et je pus alors découvrir ses charmes intimes. Sa poitrine généreuse, recouverte d'un soutien-gorge ocre à balconnet s'offrit à mon regard curieux et admiratif. Ensuite, ce fut au tour de ses jambes et de ses cuisses de captiver mon attention. Je me sentais gonfler dans mon slip. J'eus ensuite l'idée de m'amuser un peu avec les menottes et la cravache.
Je la fis se mettre à quatre pattes devant un fauteuil de cuir, disposé à proximité du lit, et lui menottai les poignets aux pieds du fauteuil. Toujours aucune résistance de sa part. Je m'assis sur le fauteuil en écartant légèrement les jambes. J'entrepris de faire passer la cravache entre ses seins. Au contact de l'objet sur sa peau, Elise se mit à frémir. La cravache descendit entre ses cuisses et les frémissements s'accentuèrent.
Mon sexe se sentait de plus en plus oppressé dans le slip et de ce fait, j'entrepris de l'en libérer. Elise fixa ma bite et mes couilles gonflées avec attention. Je l'interrogeai alors :
« Elle te plait ?
- Oh oui, maître !
Un nouveau frémissement parcourut mon corps et je ne pus m'empêcher de lui demander : voudrais-tu la sucer ?
- Oui, maitre.
Et moi de répondre : Alors, fais-le ! »
Elle redressa un peu la tête, ouvrit sa bouche. Mes mains s'enroulèrent autour de sa nuque et l'aidaient à se rapprocher. Je sentis le bout de sa langue effleurer l'extrémité de mon gland.
Je fermais les yeux et ne pus réprimer un gémissement de plaisir. Puis, Elise absorba consciencieusement la totalité de mon vit, et je sentais ses lèvres y appliquer de légers massages dans un mouvement de va-et-vient. Je ressentais le plaisir et l'excitation monter en moi, mon cœur s'emballait et ma respiration était accélérée, irrégulière.
Mon corps était comme tétanisé, agité de violents soubresauts. Je ne pouvais m'empêcher d'exprimer ces sensations et lâchai, entre deux soupirs :
« Oh, oh ouiii, c'est bon, encore… Oh, oh, je vais jouiiir !!! »
Malgré la confusion qui régnait dans mon esprit, j'avais un peu honte de me comporter de la sorte, mais la sensation était si voluptueuse que je ne pouvais plus contrôler ma volonté. Puis le plaisir atteignit son apogée et l'orgasme arriva. A ce moment, j’ouvris les yeux et j'eus l'impression que la pièce était illuminée d'éclairs.
L'orgasme fut si intense que ma vue se brouilla, et je crus même que j'allais mourir, terrassé par ce plaisir si violent. Puis mes muscles se relâchèrent, et mon corps retomba sur le fauteuil. Je restai alors inerte jusqu'à ce que la voix de Elise vienne me sortir de cet état de semi-inconscience :
« Vous avez aimé, Maître ?
- Oh oui j'ai aimé, dis-je en lui souriant, et même adoré ! »
Elle sourit à son tour. Cette expérience m'avait tellement troublé que je ne savais plus que faire à présent. J’aurais bien pu m'arrêter là mais je me disais qu'il ne serait pas correct de laisser Elise sans « récompense ».
J'entrepris donc de la détacher et la fit s'allonger sur le lit. Celui-ci possédait des barreaux et tout naturellement j'eus l'idée de lui rattacher les poignets. Une fois Elise allongée et attachée, je lui enlevai son soutien-gorge très délicatement et me mis à lui téter les seins. Elle se mit à frémir. Puis mes mains retirèrent son slip qui avait commencé à s'humidifier. Elle était nue, devant moi, soumise à ma volonté.
J'avais observé, quand elle avait ouvert le tiroir pour me montrer les menottes et la cravache, une sorte de cylindre qui ressemblait étrangement à un pénis. J'eus l'idée d'aller le chercher et d'effleurer le bord de ses lèvres humides avec l'objet. Ensuite, j'enfonçai ce dernier un peu plus profondément. Elise ne pouvait s'empêcher de manifester son plaisir à son tour. Quand je sentis que sa jouissance atteignait un niveau proche du zénith, je mis fin brusquement à la stimulation.
Elle s'immobilisa, se tut. Ses yeux me regardaient et semblaient m'implorer de la mener jusqu'à l'orgasme. Cela me faisait une drôle d'impression de savoir que je contrôlais son plaisir à ma guise mais, bien que trouvant cette situation agréable et valorisante, je ne voulais quand même pas trop la faire attendre.
Je me rapprochai de son visage et lui dit gentiment, mais fermement : « Pas encore, encore un peu de patience… »
Ma main se posa sur son front et descendit sur sa joue, jusqu'à son menton, avant de remonter sur ses lèvres. Puis je me baissai, et posai ma bouche sur la sienne, avant de lui communiquer un baiser passionné et fougueux. J'entendis alors ses menottes cliqueter contre les barreaux du lit. J'en déduisis qu'elle aurait voulu passer ses mains autour de mon cou mais ses liens l'en avaient empêchée. Elle me murmura alors :
« S'il vous plaît, Maître, permettez- moi de jouir moi aussi…
- Oui, dis-je, en lui collant un autre baiser sur le front. Tu peux, je t’y autorise. »
Je revins à hauteur de son sexe et repris l'objet longiforme . J'écartais ses lèvres, à présent très humides, avec mes doigts. Je vis son clitoris et y posai l'extrémité du gode dessus.
L'objet lui titillait le clitoris, tantôt lentement, tantôt rapidement, avant de pénétrer plus intérieurement dans son intimité. Les gémissements d’Elise reprirent et allèrent en crescendo jusqu'à l'orgasme. A ce moment là, elle eût une contraction qui fut suivie d'une décharge sur la fausse bite. Elle poussa un dernier soupir et me dit d'une voix faible :
« Merci, Maître. »
Puis je m'assis à côté d'elle, sur le lit, et la regardai sans mot dire.
Au bout d'un instant, je la sentis remuer les bras et pousser un petit gémissement de douleur. Elle devait commencer à avoir mal à force de garder ses bras écartés et attachés aux barreaux. Je lui enlevai donc les menottes. Elle se redressa, et posant sa main sur mon ventre, oublia le vouvoiement :
« Philippe, as-tu apprécié cette expérience ? »
- Bien sûr, dis-je. Elle sera inoubliable pour moi ! »
Puis nous nous rhabillâmes et retournâmes au salon. J'étais un peu gêné par tous ces évènements qui venaient de survenir, ma tête était encore emplie de tous ces moments intenses en émotion et en plaisir... et je ne savais trop que dire. Elise le comprit et respecta mon silence. Un instant après, un bruit de porte se fit entendre. Thomas était rentré de ses courses à Nantes.
Il nous rejoint et nous eûmes une conversation comme si de rien n'était. Je me remis à vouvoyer Elise et nous reprîmes nos distances.
Seulement, avant que je ne reparte, elle me glissa à l'oreille : « Revenez quand vous voulez, Maître. J’ai hâte que nous renouvelions l'expérience... »
Je lui fis un sourire pour lui signifier mon accord.
Sur le chemin du retour, je revivais par la pensée l'expérience que je venais de connaître. Tout ceci paraissait si irréel, si féerique à tel point que je me demandais si je n'avais pas rêvé. Quelques jours après, un mardi après-midi, je n'avais pas cours à la fac et, après en avoir avisé Elise, j'entrepris de quitter Nantes pour aller la rejoindre. Thomas étant à l'Université pour toute la journée, nous avions quartier libre.
De nouveau, elle se soumit à moi et m'apprit à la dominer de manière, disons plus experte. Depuis, Elise et moi sommes amants, mais il existe toujours ce rapport de domination/soumission. Je lui ai proposé d'avoir une relation que l'on pourrait qualifier de plus conventionnelle, de plus classique. Pourtant, j'ai l'impression qu'elle apprécie ce rapport d'autorité où elle devient, l’espace d'un instant, totalement soumise à ma volonté et à mes désirs les plus secrets.
Je pense que beaucoup de garçons de mon âge se vanteraient de vivre une telle situation, au demeurant très valorisante, mais je garde cette liaison secrète. C'est un secret qu'Elise et moi sommes seuls à partager…
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Trio bi, comme je les aime tant !
Le week end dernier, j’ai pu à nouveau réaliser mon sport favori : un trio avec deux hommes bi…
Nous étions donc trois, dans une belle maison isolée, près de Matoury. Nous nous sommes retrouvés sur la terrasse. Nous n’avons pas perdu de temps en discussion inutiles… Karl et Laurent étaient près à tout ! En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je me suis retrouvée entourée des deux hommes. Karl était en train de me lécher et Laurent caressait mes deux seins. Laurent s'en donnait à cœur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons. Karl caressait ma chatte toute poisseuse d'excitation dans laquelle il introduisit un, puis deux doigts.
Comme si c’état le signal du vrai départ de la fête, je commençai à masser leurs sexes durcis à travers leurs pantalons, tout en écartant plus largement les cuisses. Je savais que Karl obéissait toujours aux ordres de Laurent. Je n’allais pas être déçue !
« Tu me parais vraiment bonne, Sophie, » me dit Laurent »
Il s'agenouilla alors devant moi, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, il me déshabilla complètement, ne me laissant que mes bas noirs et mes escarpins vernis.
« C'est pour nous exciter que tu as mis des bas de cochonne ? » demanda Laurent.
« Bouffe-moi la chatte pendant que mon Karl mate », me contentai-je de lui répondre…
Ne se faisant pas prier, Laurent enfonça sa langue entre mes lèvres ouvertes et commença à me lécher consciencieusement la chatte.
Mes tétons pointaient comme des torpilles, et Karl les triturait avec délectation.
Je repliai alors les cuisses sur mon ventre en écartant très largement les jambes, afin que Laurent puisse la fouiller au plus profond de mon sexe. Ce cochon en profitait également pour me soulever légèrement les reins afin de titiller mon petit trou.
« Penches-toi en avant et offre-lui ton cul» m’ordonna Karl.
Je me mis à quatre pattes et me cambrais au maximum, présentant ainsi mon cul dans toute sa splendeur aux deux hommes. Je glissais une main sous moi, et commençais à me caresser, tout en tortillant de la croupe.
M’écartant les fesses à deux mains, Laurent m’enfonça la langue dans l'anus. Dans le même temps, Karl se glissait sous moi, et commençait à me lécher le con. J’étais tellement excitée de me faire ainsi bouffer les deux trous en même temps, que mon jus d'amour dégoulinait littéralement dans la bouche de mon lécheur.
Pendant ce temps, Laurent s'était enfin complètement déshabillé. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland était violacé par le désir.
« Mets-toi à genoux » m’ordonna- t-il.
« Alors petite pute, tu l'aimes, ma bite ? T’aimes ça hein ! Te faire mettre par des grosses queues ! »
Il força ma chatte d’un violent coup de rein. Je basculais en avant sous la brusque poussée. Mais Karl me retint. Il dit à Laurent :
« Baise-lui le cul, moi je vais m’occuper de sa chatte. »
Laurent sortit sa grosse queue de ma chatte toujours aussi affamée. Il entreprit de me lubrifier la rosette avec ma cyprine. J’étais tellement excitée que ses doigts sont rentrés tout seuls ! Quand il m’eut bien ouverte, il commença à enfoncer lentement son nœud raide dans mon anus. Celui-ci s’est immédiatement distendu. Je me tordais de plaisir sur ce membre qui m’envahissait. Quand il fut bien en place, je descendis m’empaler sur la bite dressée de Karl. Ca y est, j’étais bien remplie par ces deux bonnes queues…
Je criais mon plaisir…
« Oh ouiiiii j'aime ça ! Bourrez-moi bien ! »
« T'aime ça quand on te démolit la chatte, t'es une vraie salope et t'aime qu'on baise ton petit cul de pute en même temps hein !!! ».
« Oooh oui….oh oui…oui…. J'aime çaaaaaa…. »
« Dis-nous que t'es une pute »
« Oui Laurent, je suis ta pute…. Et à toi aussi, Karl…. Je suis votre pute à tous les deux… oui oui oui… plus vite… baisez-moi… Oh Karl, ta queue m'écarte la chatte …. C'est boooon !!! Laurent, vas-y fouille-moi le cul !!! Aaaah !!! »
« Baise-moi bien le cul ! Oooooh comme tu me fais du bien ! »
Prise en sandwich, pilonnée en rythme par leurs queues, défoncée comme la dernière des catins, j’eus un orgasme qui me fis trembler de tous mes membres.
« Ouiiiiiiii, ouiiiiii, oui, oui, encooore ouiiiiii, oh ouiiiiii, je me fais baiser comme une pute et enculer comme une salope ! C'est trop bon ! Plus fort, je vais jouiiiiiiiiir…aaaaaaaaahhh ! »
Je n'étast ainsi plus qu'un objet sexuel entre leurs mains, et nous la remplissions ainsi alternativement à tour de rôle, ne quittant son cul que pour mieux lui bourrer la chatte, lui démolissant les deux trous comme des fous furieux.
Brusquement, Laurent se retira, se leva et vint présenter son sexe devant la bouche de Karl, toujours allongé sur le dos, à me défoncer la moule.
A ma grande surprise, il entreprit immédiatement de sucer une bite qui sortait pourtant à peine de mon cul.
« Quelle chien » s’exclama- t-il. « Tu es une vrai pompe à bites, pire qu’une pute ! ».
Très excité par ce que je voyais, je me branlais sur la bite de Karl. Il pompait tant et si bien, que Laurent jouit dans sa bouche : « ah, c’est bon… Karl, tu suces comme une reine ! Mais maintenant, tu vas te faire défoncer comme la lope que tu es… »
Il me fit me relever, et m’embrassa avec force. J’adore ces baisers violents, qui excitent ceux qui les partagent. Laurent dit à Karl de se bouger aussi. Il lui ordonna de venir me lécher la chatte. Je m’allongeais sur le dos, et Karl obéit, il vint à nouveau me dévorer, à grands coups de langue, comme j’aime tant ! Laurent, pour rebander, me dit de le sucer. Ce que je m’empressais de faire. Je savais ce qui allait suivre, et je voulais que ca vienne vite !
J’avalais la bite encore molle. Sous ma langue, elle ne tarda pas à prendre du volume, et durcir comme il le fallait. Il me pétrissait les seins, et en faisant rouler ses tétons entre ses doigts. Quand ilk fut bien bandé, il sortit de ma bouche, et se plaça derrière Karl, qui était en levrette, le cul offert, toujours en train de me lécher furieusement. Il cracha dans son cul, pour lubrifier son petit trou. Mais il ne prit que peu de temps pour le préparer, et lui annonça : « Ma salope ; tu vas en prendre plein le cul ! »
Karl grogna un vague oui, la bouche peine de mon jus et de mon clito. Laurent mit son gland contre la rosette de Karl, et s’enfonça dans l’étroit conduit. Dès qu’il fut en place, il commença à le limer sans ménagement.
« Alors, ma salope, on y prend goût à se faire enculer pendant qu’on suce une chatte ? Hein ! Allez, réponds ! »
« Oh oui, elle est bonne ta queue, elle me remplit bien, ouiii, encore, oh comme ça… des grands coups…que c'est bon une grosse queue… plus fort… je vais jouir du cul… »
D’un coup, il se raidit, et lâchant ma fente, et poussa un long cri d’extase, la bite toujours plantée profondément dans l’anus.
Immédiatement, Laurent qui n’en pouvait plus, joui à son tour et déversa une giclée de sperme au fond des entrailles de Karl.
Quant à mon tour, je dis que j'allais venir, il me dit « Viens, je veux boire ton jus, gicle dans ma bouche… ».
Je jouis en hurlant, tant ce que je venais de voir m’avait excitée !
Mais nous n’avions pas fini... Karl n’avait pas joui. Et Laurent, dans sa grande bonté, lui accorda de prendre son plaisir…
« Tu vas jouir, mais d’abord, suce-moi encore… » Il ne se fit pas prier et avala la grosse queue épaisse dans sa grande bouche. J’étais sidérée ! Comment pouvait-il avaler un aussi gros pieu ?
Laurent me dit de m’assoir sur la table toute proche. Ainsi, il pouvait me doigter, tout en se faisant sucer. Il fouillait ma chatte de ses doigts agiles, me les donnait à sucer, plein de mon jus…
« Toi aussi, tu vas encore en prendre… Karl va te baiser, pendant que je vais encore l’enculer… »
Laurent dit à Karl d’arrêter de le pomper. Il lui ordonna de me prendre en missionnaire, ce qu’il fit immédiatement. Je m’allongeais sur le sol, Karl me pénétra aussitôt. Sa bite était rouge de ne pas voir joui depuis si longtemps !
Laurent se positionna à genoux derrière lui, et lui enfonça vigoureusement deux doigts dans l’anus en la traitant de « sale petite chienne» et de « bouffeuse de queue » ce qui n’était pas usurpé et même en dessous de la vérité, au vu des événements de la soirée.
Karl me baisait au rythme des coups de boutoir de Laurent. Il ne tarda pas à jouir dans ma chatte, tant je le serrais. Cette situation me met dans un état second ! Je louis uasis, presque en même temps que Laurent.
« Maintenant, tu vas tout nettoyer » lui dit Laurent en lui présentant de nouveau sa pine qui n'avait pas encore totalement débandée. Immédiatement, cette petite chienne lécha chaque recoin de son sexe, puis du mien… jusqu'à ce qu'il ne reste plus une trace de mouille ou de sperme.
Ce fut la fin du premier acte. Deux autres ont suivi, dans cette belle nuit étoilée…
Décidemment, j’aime toujours autant baiser avec des hommes bi…
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Je suis nul en mécanique, mais je crois que j'aurais fait un bon apprenti.
Quoi de meilleur que de sucer une bonne qui entre et qui sort d'une belle chatte ?
Surement sucer une belle queue qui entre et qui sort d'un beau trou du cul !