Les Mémoires très Libertines de Sophie
Amuse-bouches surprise !
Tout à l'heure, à la caisse du supermarché, un homme me regarde avec instance, me fait un clin d'œil. Son visage ne m'est pas inconnu, mais je ne le "remets" pas du tout !
Visiblement, il m'attend près de l'accueil, mais un collègue m'intercepte pour me saluer. Je vois l'homme s'éloigner... Dépitée, je vais à ma voiture. Et par bonheur, je me retrouve derrière lui pour sortir du parking.
Je le suis, puis le double sur la 4 voies. Il me fait un signe depuis sa voiture. Il y a une station essence tout près, je décide d'y aller. Je verrais bien s'il s'arrête derrière moi...
Et bingo, il entre aussi dans la station.
Nous sortons tous les deux de nos voitures. Décidément, je connais cet homme.. Mais où ???
Il s'approche de moi, et me fait un baiser très appuyé à la commissure des lèvres... Moi qui suis si sensible aux baisers, je commence déjà à fondre sous le soleil de midi...
D'entrée, il me dit :
"Alors, tu se souviens de nos coquineries ? "
Et oui, là, ca me revient. il y a huit ans, nous avions participé aux mêmes soirées très très privées...
Il continue : " Tes pipes m'ont laissé un souvenir sans égal à ce jour."
Je rougis sous le compliment....
"On recommence ? On va derrière, je te lèche, tu me suces...."
Cette simple évocation me fait mouiller comme une folle. Déjà que son baiser m’avait rendue semi-liquide…
Nous partons derrière la station, sous le regard intrigué du pompiste. Eh oui, ici, il y a encore des pompistes qui servent l'essence à tout le monde ! Il y a un tas de palettes, mal cachées par un buisson. Il m'y installe, j'écarte mes jambes, écarte mon string, et il plonge sa langue dans ma chatte que j'ouvre à deux mains.
Putain, que c'est bon !!!
Il me fourrage le clito, mes lèvres intimes avec sa bouche, me dévore littéralement. D'une main, je le vois qui défait son pantalon et commence à se branler. je me souviens de sa belle bite, courte, mais très épaisse. Selon mes souvenirs, un pur régal !
Il me caresse de son autre main, fouillant ma grotte trempée en même temps qui mordille mon clito bien bandé.
J'entends un bruit de feuilles.
C'est le pompiste, les yeux hallucinés, qui nous regardent. Patrick, pas gêné, le regarde et sourit.
Il me lâche un peu et lui dit :
"Viens voir de plus cette belle chatte. t'as même le droit de te branler dessus !"
Il ne se le fait pas dire deux fois, et s'approche tout près, la queue à la main. iI se branle avec vigueur. Je le fixe, hyper excitée. Dire que dix minutes plus tot, je faisais mes courses...
Être ainsi exhibée, léchée, et mater ce mec qui se masturbe, je jouis en étouffant mes cris.
Le temps de reprendre mes esprits, je glisse au bas des palettes, et me penche pour sucer Patrick. Le pompiste en profite pour me doigter ma grotte trempée.
Divine sensation d'être ainsi doigtée, bien caressée, et de sucer cette belle queue appétissante ! Il ne lui faut que -trop- peu de temps pour jouir. Je garde tout dans ma bouche, pour aller ensuite l'embrasser... Je me suis souvenue qu'il aime ça.
J'enfourne ma langue chargé de sa crème dans sa bouche, pour un baiser de feu.
J'avais oublié le pompiste, j'entends un râle de plaisir, il crache son foutre sur l'herbe sèche.
Les jambes tremblantes, je suis retournée à la voiture, et nous devons nous revoir ce soir... Sans doute avec sa copine, très libertine, et un de mes sex-friends. Rien que d'y penser, là, tout de suite, je mouille encore à mort !!!!
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Histoire multiple - chap.4
Chapitre IV
Olivier finit par décharger sur le ventre de Sophie. Son sperme se mélangea à un reste de confiture de fraise.
Contemplant le tableau, Sophie pensa que cela ressemblait un peu à son yaourt matinal.
Elle trempa son doigt dans la mixture, le porta à ses lèvres et gouta le mets improvisé par dame nature et le vice de son initiateur.
« Ma foi, pensa-t-elle, ce n’est pas si mauvais, je vais en reprendre un peu. »
Une fois avalé son en-cas, elle se leva et s’en fut prendre une douche. Elle était « pégueuse » et avait besoin de se refaire une beauté.
Ne connaissant point la demeure, elle inspecta toutes les pièces du rez-de-chaussée. Ne trouvant pas l’objet de sa recherche, elle s’aventura dans l’escalier monumental qui menait à l’étage.
Trois portes se présentaient à elle.
Elle prit le parti d’ouvrir celle qui était en face d’elle, et se retrouva nez-à-nez avec le beau brun inconnu.
Surprise, elle eut un petit sursaut, et bafouillant, lui dit « bonjour euhhhhhh, enfin euhhhhh, rebonjour, je cherche une douche. »
- Tou cherché oune douché, ma il n’y a pas dé problèmé. Jé m’appellé Marco et toi ?
- Moi c’est Sophie.
- Viens, souis moi, jé vé t’accompagner à la douché et si tou veux jé té savonnerais lé dos. »
Elle pensa, à juste titre, qu’il devait être italien.
Marco la fit entrer dans une chambre et de la dans une salle de bain. Rien de bien luxueux, mais un carré de douche fonctionnel et propre. L’eau chaude mit un certain temps à arriver. Dans les grandes demeures la chaudière est souvent éloignée des bains.
Ils en profitèrent pour faire connaissance.
« Tu es italien ?
- Oui, jé souis de Roma et toi, tou es parisiené ?
- Non, moi je suis des Charentes, mais cela fait dix ans que je vis ici. »
- Céla fait longtemps qué tou ez avec Olivier ?
- Disons que je ne suis pas vraiment avec lui, c’est un ami, enfin, tu vois ce que je veux dire...?
-Si, jé comprends. Bon l’eau mé parait chaude mainténant. »
Ensemble, ils se placèrent sous le jet. Sophie était impressionnée par le corps svelte et puissant de son beau courtisan. Des regards et des sourires s’échangeaient pendant qu’ils se savonnaient mutuellement. Peu à peu, le sexe de Marco gonflait, preuve de l’intérêt qu’il portait à notre héroïne.
Elle s’en rendit compte et lui dit :
« Ben dis donc tu es increvable toi ! »
Dans un grand éclat de rire il lui répondit :
« Dé la ou jé viens, il vaut mieux être incrévable ! »
Il la saisit avec vigueur par la taille, la souleva, tel un fétu de paille, l’embrassa à pleine bouche fougueusement et plaqua contre son sexe son membre turgescent. Sophie avait bien le souvenir d’une queue de bon calibre, mais elle se rendit compte que l’engin avec lequel elle était en contact était nettement plus gros que ce qu’elle avait perçu.
Le gland de Marco limait doucement ses lèvres, et elle le sentait peu à peu s’introduire en elle.
Elle était subjuguée par son bel étalon, mais en un éclair, elle lui dit :
« Non, pas comme ça, pas sans capote » !
Il la reposa au sol et répondit :
« Ma jé n’ai pas de capoté moi.
- Alors ce n’est pas possible »
- Ecouté tou aimes les soirées romainés ?
- Oui, c’est amusant, mais sans préserv... »*
Marco lui mit l’index sur la bouche avant qu’elle n’ait fini sa phrase.
« Si tou aimé les soirées commé cellé la, fais moi confiancé, viens souis moi. »
Il la prit par main, ferma le robinet et l’entraina ruisselante dans la chambre. Elle lui dit : « Marco, il faut se sécher, on ne peut pas sortir comme ça.
- Questo non è un problema, souis moi. »
Ils sortirent de la chambre, et une fois dans le couloir, il dit :
« On court et quand jé té lé dis, on sauté en fermant les yeux. ».
Sophie pensa qu’elle avait encore rencontré un olibrius. Cela lui était déjà arrivé plusieurs fois. Elle se disait même qu’elle avait le don de les attirer. Le dernier en date avait été un australien fondu d’aquariophilie. Il avait fait construire un grand bassin dans sa maison et l’avait entrainé pour des étreintes amoureuses dans l’eau. Le comble de l’horreur fut atteint lorsqu’en pleine fellation, elle s’aperçut que des bébêtes à la nageoire dorsale teintée de noir tournaient autour du matelas gonflable sur lequel monsieur était étiré.
Marco la tenait fermement par la main et elle ne pouvait s’en défaire. Entre réticence, crainte et curiosité, elle se laissait aller toute entière sous la domination de son amant.
Il commença à trottiner, puis à courir et dit :
« Fermé les yeux et sauté ! »
L’instant d’après, elle les ouvrit et se découvrit vêtue d’une « stolla ». Une fibule ornée
d’un rubis de la taille d’un ongle de pouce maintenait le tissus. Ses campagus (chaussures) étaient de fils d’or et d’argent entremêlés. Une chaine faite de corail et de nacre enserrait sa taille et donnait un relief sans pareil à sa taille de guêpe. Son index droit portait une bague extravagante. Toute d’or, elle avait la forme d’un boa enserrant une proie.
Marcus était à ses cotés. Une toge bordée de deux bandes larges de pourpre montraient sa qualité de sénateur. Sa ceinture était d’or et une tète de lion avec deux yeux en lapis-lazuli servaient de boucle. Sur son torse pendait un collier représentant un soleil à tète d’humain.
Ils étaient dans un long couloir et elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
« Marco, c’est quoi ça » ?
- Tu voulais une fête romaine, tu vas en avoir une, une vraie, car ici tu es à Rome en l’an 58 après JC. Ici on me prénomme Marcus. Toi, tu seras Poppée. Viens je vais te présenter mes amis. »
Il l’entraina tout le long d’un immense couloir et la fit entrer dans un salon gigantesque.
« AVE CESAR » ! dit-il en entrant.
- AVE MARCUS » ! répondit Néron. Je croyais que je ne te verrais pas ce soir !
- Tu sais bien, César que j’aime voyager. J’ai ramené de Gaulle une nouvelle conquête,
Poppée qui m’accompagne. Elle voulait connaitre les plaisirs de Rome et la grandeur de notre dieu vivant oh mon maître !
- Tu as bien fait Marcus, la chair fraiche nous plait toujours et quand elle est exotique encore plus. Montre-nous donc ta gauloise, que l’on voit si elle a la cuisse ferme et les seins pleins. »
Marcus, puisque c’était son nom, dit à Sophie en chuchotant :
« Avance, présente-toi devant César, évite les commentaires et fais ce que l’on t’ordonne. »
Interloquée, elle obéit.
« Sacrée belle femme que tu nous amène Marcus. Elle me plait et j’en ferai bien un festin si tu ne la considères comme ton épouse ».
- Néron, Poppée ne m’appartient pas. Elle sera ce que tu voudras en faire ! »
Sophie frémit, autour d’elle, tout n’était que fornication. De plus, on ne la prénommait plus par son prénom.
Sur une estrade, enfermés dans une cage de fer, un immense noir sodomisait une petite femme d’origine asiatique. Il devait mesurer plus de deux mètres de haut et son membre au moins trente centimètres de long. La pauvre fille hurlait de douleur, car, toute menue, son postérieur ne pouvait recevoir avec plaisir cet énorme morceau de chair.
Tout à coté, Lucius, qui tenait plus de l’hippopotame que de l’être humain, se faisait sucer par deux jeunes berbères, esclaves elle-aussi. Elles l’avalaient jusqu’à la bourse à tour de rôle. Elles paraissaient heureuses et devaient l’être puisque sorties d’une vie de travail certainement plus pénible que leur emploi du moment.
Burrus, pilonnait sans précautions la maitresse officielle de Lucius. Celle-ci grognait au moins autant que son amant. A quatre pattes, elle offrait son sexe et paraissait insatiable.
Plus loin, le vénérable sénateur Pripius se faisait chevaucher par ce qui semblait être une courtisane. Telle une walkyrie, elle sautait sur son membre en gémissant « ouinnnnn, ouinnnnnn, ouinnnnnn ».
Il lui pressait les mamelles comme le paysan trait la vache, mais visiblement, au contraire de la déranger, cela lui plaisait.
A coté d’eux s’agitait Fabricius, il avait pour compagnon de jeu Amplicius. Celui-là avait bien trouvé son prénom, car Fabricius était richement doté et l’enfournait par derrière sans ménagement. Son dard entrait et sortait de son fondement comme le boulanger enfourne la pâte dans le four pour faire le pain.
Le cul d’Amplicius ressemblait à une auberge de mauvaise vie : toujours ouvert et avec des couleurs mordorées tirant sur le Bordeaux. Il en tirait grand plaisir car au-delà des hurlements de la petite asiatique on l’entendait grogner à gorge déployée. Plusieurs eunuques les entouraient et profitaient de chacune de leurs pauses pour leur sucer ardemment la bite.
Au fond de la salle, Anglicus se faisait fouetter par des compagnons de plaisir. Visiblement, il appréciait son traitement car il demandait :
« Par Jupiter, mais tapez plus fort, tapez plus fort ! »
Angelicus, lui aussi s’agitait. Il possédait sans retenue aucune Caprizzia.
Elle en appelait aux dieux sous les coups de queue de son amant :
« Par Janus, je m’en vais vers Saturne », criait-elle.
Sophie était angoissée. Elle venait de quitter une soirée bien chaude pour un monde irréel, bien qu’il exista.
Néron l’appela.
« Poppée, viens ici. »
Comme hypnotisée, elle obéit et se planta devant lui.
Le César était étendu sur sa couche et, entouré de Claudia, sa maitresse et d’une esclave libyenne ou numide, se laissait caresser langoureusement.
Elle s’avança, sans réticence.
« On m’a dit, belle gauloise, que vous êtes rebelles et il ne se passe pas une calende sans que l’on ne me rapporte une révolte de ton peuple contre mon autorité»
- Oh Néron, j’en suis confuse. Mon peuple est certainement revêche, mais il est inculte. Ne crois pas que nous soyons tous ainsi.
A tes pieds je m’assieds,
À tes désirs, je me plie
Et jamais, non jamais
Ne refuserai ton ambroisie. »
A ces mots, le >César prit les deux femelles qui l’entouraient par les cheveux. Les soulevant de sa couche il les en projeta disant :
« Voyez, femmes comme j’aime que l’on me parle ! Poppée, viens me rejoindre sur mon sigma, je sais que les gaulois, vous avez grande bouche et que vos langues répandent des serpents que mes légions ne savent ni contenir. Viens me montrer ce que tu sais faire avec la tienne puisque de l’empire il semble que vous soyez les plus douées. »
Sur cet ordre, Poppée avança et s’agenouilla devant la couche de Néron.
Elle prit l’empereur en bouche et s’affaira de manière à lui procurer le maximum de jouissance.
Marcus, légèrement en retrait, ne tarda pas à les rejoindre.
Il s’assit au coté du dieu vivant et commenta :
« Elle suce bien ?
- Par Janus, elle est divine !
- Pourquoi n’en fais tu pas ta femme ?
- Elle n’est que de passage divin Néron, je ne saurai l’attacher puisqu’elle n’est de notre monde.
- Comment cela ? répliqua-t-il.
- Je l’ai ramenée d’un long voyage, et ce n’est qu’une conquête, elle est éphémère comme la rosée du printemps et ne durera, comme les belles fleurs, qu’une saison. »
Sans crier gare, il avait prit place sur le triclinium de César, il lui caressait doucement les hanches et promenait son membre sur ses fesses pendant que Propée s’occupait de la queue du rex imperator. Peu à peu il s’introduisit. Néron appréciait ce genre de pénétrations.
Les vas et viens de Marcus associés à la douce langue de Poppée et aux caresses de Claudia sur ses testicules étaient pour lui pur délice. Il jouit dans la bouche de la gauloise sans la prévenir.
« Mon frère, tu es revenu me faire du bien, et en me prêtant ton amie, tu me donnes plus que personne ne m’a jamais donné, dit Néron. Je t’octroie une rente de 100 000 sesterces à prélever sur mes terres de tarraco et quant à toi, belle Poppée, il suffit de me dire ce que tu souhaites pour l’obtenir. ».
Sophie se creusa la cervelle. Que pouvait-elle bien demander.
« César, j’aimerai que tu m’offres cet esclave noir », dit-elle en montrant l’homme d’ébène enfermé dans la cage.
Néron partit d’un grand éclat de rire.
« Tu veux ça ? Hahahahahahahahahahaaha !!! Mais ça ne vaut rien ! Dis moi Marcus, quel genre de personne est cette femme qui me demande de lui donner un esclave promit aux lions de demain ?
- Néron, mon roi, Poppée est fille de prince Pictave et si son caprice est cet esclave...
- Bien, qu’il en soit ainsi Marcus Aemilius. »
Et il claqua des mains pour donner l’ordre que l’on libère l’africain.
« Je suis las, dit Néron. Que l’on me laisse maintenant, nous nous verrons demain ! »
Sur cet ordre, les hôtes se revêtirent et après avoir tiré une révérence au dieu vivant se retirèrent.
Sophie demanda à Marcus :
« Et la petite chinoise, qu’est ce qu’il va lui arriver ?
- Bahhh, demain elle servira d’apéritif aux lions. Ton grand noir, tu penses en faire quoi ?
- Je pense qu’il va me servir pour pas mal de choses », répondit-elle malicieusement.
Main dans la main, les complices s’en allaient dormir, suivi de Boubakar, esclave de Sophie, au palais de Marcus. Le lendemain, il était convenu qu’ils assisteraient à la 2123ème session des jeux du cirque.
Le César avait ordonné et il n’y avait aucune échappatoire.
Thierry
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Un après-midi de chien. Ou de chienne...
Attention, ce texte peut choquer certains d’entre vous. Une fois n’est pas coutume, il s’agit d’une histoire zoophile.
Nous sommes en pleine saison des pluies. Et ici, quand il pleut, il pleut ! De vrais murs de pluie, qui empêchent de sortir, tant les averses sont violentes.
Nous étions donc là, à regarder vaguement la télé. Virginie était à moitié allongée sur le canapé du salon. Au bout de quelques instants, Lobo, son labrador, vint placer sa tête sur ses cuisses en la regardant d’un air triste.
Virginie commença par lui caresser la tête puis, me regardant droit dans les yeux, elle me dit dans un petit rire :
« Avec un tel après-midi de chien, ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter et je me sens d’humeur joyeuse tout à coup !!! »
Quelques instants après, Virginie souleva son derrière du fauteuil et s’appliqua à faire glisser son string le long de ses longues jambes fuselées...
Elle se réinstalla dans le fauteuil, tout en prenant bien soin de placer au préalable une serviette sur l’assise. Après avoir bien remonté sa minijupe, elle s’installa en plaçant ses pied sur l’assise, et en écartant bien ses genoux au maximum, dévoilant ainsi toute son anatomie au museau et à la langue de Lobo.
’étais quelque peu étonné ! Virginie avait donc des relations avec son chien ! Jamais je n’avais vu une femme se faire baiser par un chien !
Le brave chien comprit aussitôt les attentes de sa très chère maîtresse et commença à lécher allégrement la chatte de Virginie de haut en bas en n’oubliant pas le moindre repli. Il faisait pénétrer sa langue au plus profond qu’il le pouvait. Virginie gémissait déjà, et elle commençait déjà à être détrempée de sa liqueur de plaisir et de la bave de Lobo. L’animal la léchait dans un bruit de succions étonnant. Ces bruits couvraient les petits soupirs de bien-être de Virginie... Le labrador lui léchait désormais frénétiquement la vulve, et Virginie écartait de ses deux mains ses grandes lèvres pour que l’animal accède bien à son petit bouton. À chaque fois que l’animal passait un coup de langue râpeuse sur son clitoris, elle gémissait de plus en plus fort, et les yeux clos, elle ne cessait de lui répéter :
« C’est bien mon chien, continue, lèche-moi bien, encore plus fort, plus profond, là... Rentre bien ta langue là, dans ma chatte !!! »
Je finis par m’installer dans le fauteuil en face d’elle. J’avais moi aussi mon anatomie tendue tel un arc prêt à se rompre, et je commençais à me masturber en regardant cette belle et délicieuse « chienne/humaine » en train de se faire bouffer le minou par son chien.
Virginie releva un peu son derrière, et elle le fit descendre un peu plus du fauteuil, permettant ainsi à Lobo de pouvoir accéder à son anus. Virginie inonda sa main de salive et humecta son petit trou avec.
Le chien poussa son museau vers l’endroit fatidique et recommença à lécher de plus belle et de plus en plus frénétiquement !
Virginie gémissait de plus en plus fort et elle se mit à hurler de plaisir sous les coups de langue de plus en plus dévastateurs pour son petit trou.
Elle me regardait en gémissant et elle tentait de me dire entre deux gémissements haletants :
« Comment ne pas adorer cela ??? Quel homme serait capable de me lécher aussi fort, aussi profondément ? Quel homme accepterait d’introduire sa langue ainsi au plus profond de mon anus ??? Tu comprends à présent pourquoi je préfère, et de très loin, l’Amour Canin ??? »
Virginie finit par fermer les yeux et je la vis secouée d’orgasmes multiples...
Lobo lapa avidement la liqueur qui inondait désormais sa chatte ainsi que la serviette… Puis il commença à monter sur le fauteuil pour rejoindre sa maîtresse, et pour lui enfiler son sexe qui était à présent tout rouge et gorgé de désir.
Je regardai ce spectacle hallucinant et je finis par dire à Virginie :
« Quelle chienne tu fais !!! Tu ne trouves pas cela un peu injuste ??? Ce pauvre chien te donne tout le plaisir du monde et toi, que lui donnes-tu en échange ??? »
Virginie, qui reprenait tant bien que de mal ses esprits, me regarda avec de grands yeux étonnés et me dit dans un souffle : « Mais, je lui permets de me prendre tout de même ! Ce n’est pas rien et il a plutôt l’air de bien m’apprécier, non ? Tu ne trouves pas cela suffisant, toi ? »
« Si, lui dis-je, l’air moqueur et vicieux à la fois. Mais ce que je voulais dire, c’est que tu n’as jamais songé à lui faire une petite fellation ? À le sucer ? »
Virginie resta un moment interloquée puis, dans un sourire, elle me souffla que oui, elle y avait déjà songé mais qu’elle n’osait pas et qu’elle avait peur que cela ne la dégoûte un peu…
« Cela doit avoir un drôle de goût, sans parler de l’odeur qu’elle doit avoir ! J’ai un peu peur de ne pas y arriver », dit-elle en baissant les yeux.
J’insistai encore un peu sur le fait qu’elle aurait du essayer au moins juste une fois pour voir, que si elle n’aimait pas, tant pis, que ce n’était pas grave, elle serait ainsi fixée. Par contre, si elle aimait cela et que si elle y prenait goût, j’aurais pu la prendre par derrière tandis qu’elle sucerait son chien, que cela aurait été totalement à l’inverse de ce que nous faisions d’habitude, puisque généralement c’est moi qu’elle suce et c’est le chien qui est derrière elle en train de la prendre bestialement...
Virginie me regarda avec son petit sourire qui en disait long... Je connaissais ce sourire, je savais que si elle souriait de la sorte, c’est qu’elle y réfléchissait, qu’elle n’était plus contre cette idée et je savais d’ores et déjà que j’avais gagné ! Ce sourire voulait dire « Je n’ai peur de rien ! On ne me met pas au défi ainsi, je vais relever ce défi, je vais le faire ! »
« D’accord, gloussa-t-elle, mais d’abord je vais me prendre un bon whisky, histoire de me donner du courage et du cœur ! »
Virginie se servit un grand whisky et elle le but en regardant Lobo... « Sans blagues, j’te jure, qu’est-ce que tu ne me fais pas faire, toi... »
Elle fit installer Lobo sur le dos et commença à jouer avec. Sa main glissait sur le ventre de l’animal et s’attardait sur son fourreau. Elle commença à le branler tout doucement, puis lentement elle fit sortir son sexe. Il était redevenu petit, rouge, et la forme qu’il avait était vraiment très différente du mien.
Virginie resta quelques petits instants à l’examiner, puis elle prit une profonde respiration et posa ses lèvres sur la bite de ce chien. Elle fit couler un long filet de salive dessus puis elle commença à faire un va-et-vient tout le long de cette bite. Ses lèvres jointes coulissaient tout du long de ce sexe si différent. Apparemment, cela n’avait pas l’air de la dégoûter plus que cela. Au bout de quelques minutes, je dirais même qu’elle en retirait elle aussi un certain plaisir à la façon dont elle gémissait en frottant ses lèvres sur ce sexe qui devenait de plus en plus rouge et de plus en plus saillant !
À présent, le sexe de Lobo était tendu et prêt à craquer !
Tout comme le mien... Cela faisait déjà deux fois que cette foutue chienne de femme me faisait jouir en un rien de temps !
Virginie entreprit de le mettre en bouche, elle commença doucement à le pomper puis de temps à autre, elle lâchait un filet de salive pour bien humecter ce sexe rougeâtre et elle y faisait glisser ses lèvres jointes tout du long...
A ma grande surprise, ce spectacle qui s’offrait à moi était des plus jouissifs et sensuels…
Voir Virginie en train de gémir, les yeux clos, ses lèvres tantôt coulissant sur ce sexe, tantôt l’enfournant goulûment... C’était diablement excitant !
Elle le suçait à présent délicatement, en fermant les yeux et en gémissant... Nul doute qu’elle appréciait le contact de ce sexe... Elle ouvrit les yeux et me dit en souriant :
« C’est tellement bon… Son sexe est si doux, si chaud… Il est bien plus chaud que le tien ! »
Puis, avant de le reprendre goulûment en bouche, elle me dit :
« Tu n’avais pas parlé tout à l’heure de me prendre par derrière comme une bête tandis que je serai en train de le sucer ? »
Je ne me fis pas prier deux fois et je me mis derrière elle illico... Je me mis à la prendre par derrière en levrette et jamais au grand jamais je n’avais tenu une telle forme...
Jamais encore je n’avais été aussi excité ! La dernière fois que j’avais ressenti une telle excitation, c’était lorsque j’étais avec un pote, avec Virginie en train de se faire lécher la chatte, tandis qu’elle était à quatre pattes en train de me faire une fellation...
Je ne pus retenir mon flot de foutre. Entendre les gémissements de Virginie, la voir en train de sucer ce chien, les yeux clos de plaisir, voir ses mouvements de va-et-vient, ses joues qui se creusent lorsqu’elle prend ce sexe en bouche, la voir en train de prendre en bouche ce sexe long et si fin ! Voir sa langue tourner et courir le long de ce sexe, la voir titiller le bout de cette bite si rouge, si fine, si pointue... La voir en train d’aspirer en creusant de nouveau ses joues et cette pine qui pénètre à l’intérieur de celles-ci telle une épée dans un fourreau... Ce spectacle était bien au-dessus de mes forces et je mets au défi quiconque qui lira ce récit de tenir lui aussi dans une telle position, si un jour la chance lui est donnée de vivre une telle expérience !
Après avoir joui au plus profond de son sexe, j’eus la joie de constater que ma bite était toujours aussi dure. Ce que je voyais sous mes yeux valait bien tout le viagra du monde, Je sortis donc ma queue de son sexe inondé de mon foutre et, me plaçant correctement, je lâchais un filet de bave en direction de son petit trou que je me mis à titiller avec mon index.
J’humectais donc son anus de salive et y tendis mon pieu toujours en érection...
Virginie gémissait de plus en plus fort et me supplia bientôt d’y aller plus fort, plus vite et plus loin !
Elle finit par lâcher le sexe de Lobo pour jouir de plus belle dans un grand râle.
Une fois ses esprits revenus, elle reprit le sexe en bouche et le pompa frénétiquement.
Je vis que Lobo commençait à osciller du bassin, puis je vis Virginie en train d’avaler le plus profondément possible la bite de ce chien. C’était sa technique pour pouvoir avaler le sperme sans faire de haut-le-cœur...
Dans un profond soupir, elle se laissa retomber sur le coté puis elle me regarda tendrement en me disant :
« Whaouuuuu… C’était géant ! Divin ! Tu tenais la grande forme, dis-moi ? Cela t’en donne des idées de me voir faire la chienne comme ça ! Tu as drôlement l’air d’aimer me voir dans ces situations ! Au fait, je te remercie de m’avoir un peu poussée à faire cette nouvelle expérience... C’est tellement... BON ! Sucer ce sexe est tellement différent de quand je te fais une fellation... Là, ce sexe est si doux, si chaud ! Non pas que je n’apprécie pas la tienne, loin de là, mais là c’est tellement « différent » ! Je pensais qu’il aurait eu un goût, une odeur que je n’aurais pas aimé, mais NON ! C’est tout le contraire ! Sentir cette petite bite si fine entre mes lèvres est si jouissif ! De plus, c’est vraiment bizarre, du moment qu’elle commence à durcir, elle ne cesse de couler ! Et contrairement à ce que l’on pourrait bien croire, son liquide n’est pas dégoûtant, loin de là, et il n’est pas aussi épais que du sperme ! J’ADORE tout simplement et elle est si douce lorsque je frotte mes lèvres contre elle ! »
Je l’écoutai, ébahi par son enthousiaste et de la voir ainsi aussi heureuse et épanouie faisait plaisir à voir.
Virginie était tout simplement, « rayonnante » de bonheur et de joie. La voir ainsi m’enivrait presque autant qu’elle...
Venant se blottir tout contre moi, elle me dit avec un sourire : « La prochaine fois, j’aimerais bien que tu m’aides... »
Je la regardais étonné et lui dis, surpris : « t’aider pour faire quoi ? »
En positionnant sa tête au creux de mon épaule, elle me dit dans un souffle de béatitude : « J’ai bien envie d’essayer que Lobo me sodomise, mais pour l’instant, seule, je ne suis jamais parvenue à lui faire choisir ce trou et je ne suis jamais parvenue à placer sa bite assez rapidement contre ma petite rondelle pour qu’il puisse me pénétrer... De plus, avec son nœud, j’ai un peu peur... S'il parvient à me l’introduire, je risque fort de dérouiller. De plus, je serai liée à lui durant pas moins de 20 à 30 minutes... Dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit d'autre que de prendre du plaisir et d'attendre que son nœud ne ressorte. Donc une petite aide extérieure serait la bienvenue. Dis, tu m’aideras, hein ? »
Je la regardai médusé par ses propos et étonné aussi. Elle venait tout juste de sortir d’une expérience qu’elle pensait déjà à la prochaine... Je lui souris et finis par lui dire gentiment : « Bien sur que je vais t’aider ma petite chienne adorée... Je ferai tout ce que tu voudras tant que je puisse participer aux jeux moi aussi ! »
Nous nous partîmes dans un grand éclat de rire, en nous serrant très fort l’un contre l’autre en pensant à notre prochaine séance...
Virginie allait pouvoir gémir de nouveau et prendre un pied incontrôlable comme elle aimait si bien le dire...
L'éveil des sens...
On se demande parfois pourquoi notre sexualité est tellement différente des autres. Pourquoi nous sommes attirés par tel type de pratique, ou pourquoi nous ressentons ou fantasmons sur telle situation ou tel événement.
En ce qui me concerne, j'ai découvert le plaisir avant même de savoir ce que c'était. J'avais remarqué, dès l'âge de 11 ans, que quand j'étais dans mon lit, allongé sur le ventre, et que je pensais à des filles, mon zizi grossissait. Et quand je me frottais sur mes draps, au bout d'un moment il se passait un truc bizarre qui me faisait du bien et me permettait de m'endormir rapidement. Je venais de découvrir la masturbation sans le savoir.
Dans les années qui suivirent et avec l'aide des copains, j'appris très vite comment avec la main on pouvait remplacer efficacement les draps. Mon imagination débordante, me mit très rapidement face à mes fantasmes. Les histoires les plus invraisemblables prenaient corps dans mon esprit et je me faisais un malin plaisir à les conter à ceux qui voulaient bien les écouter. Je ne sais pas si c'est mon talent de conteur ou la perversité de mes récits, mais il n'était pas rare que mon auditoire finisse par se branler, tellement leur désir était exacerbé.
Un peu avant mes 15 ans, et durant les vacances, nous avions pris, mon cousin et moi, l'habitude de monter au grenier pour y manger des bonbons, mais aussi et surtout pour se branler devant les magnifiques photos d'un magazine célèbre de l'époque « LUI ». Bien sûr, ces filles sur papier glacé avaient encore leur culotte, mais leurs attitudes étaient très équivoques et mon imagination faisait le reste. C'était aussi le temps des premières éjaculations, signe de notre maturité naissante.
Cette maison de vacances étaient le lieu des retrouvailles de toute la famille. Aussi, un jour, alors que nous regagnions notre repère secret, trois de nos cousines décidèrent de nous suivre. Deux étant à quelques mois près dans nos âges et une autre déjà plus âgée, arborait l'insolence d'une jeune femme de 18 ans.
Une fois dans le grenier, nous ne savions plus quoi faire à cause des filles. Finalement elles étaient là, mais elles nous empêchaient de faire ce pour quoi nous étions habituellement dans ce grenier. Comme par hasard, la curiosité féminine fit qu'une des cousines mis la main sur une revue. Immédiatement nous nous sommes sentis, mon cousin et moi, comme pris en flagrant délit. Elles commencèrent à se moquer de nous et devant les pages maintes fois tournées et retournées, elles comprirent très vite à quoi pouvaient ressembler nos escapades.
« Vous vous branlez en regardant les photos » lança la plus âgée. Je tentais de la contredire, mais très vite je compris que c'était inutile. Alors le débat s'engagea sur ce sujet, et là j'appris que les filles se caressaient aussi. Du coup ma curiosité naturelle, me donna envie d'en savoir plus. La plus âgée me dit : « si tu te caresses, je fais la même chose que toi ». Je sentis le rose aux joues m'envahir à la simple idée de voir un sexe de femme devant moi. Après quelques négociations et quelques hésitations, j'acceptais.
Nous nous sommes installés face à face, les trois autres autour de nous, pour nous regarder. Elle ouvrit son chemisier et je vis son haut de maillot de bain et sa poitrine gonflée et arrogante. Je n'avais jamais fait attention à ces seins avant ce moment là. Puis elle retira son chemisier et commença à se caresser la poitrine. De mon côté je sentais ma queue se durcir dans mon maillot et mon gland commençait à flirter avec l'élastique autour de la ceinture. Je retirais mon t-shirt. Elle dégrafa son soutien gorge laissant apparaître deux seins superbes. Elle se leva et retira son short, d'un coup elle m'apparut comme ces pin-ups de magazine sur lesquelles je m'étais si souvent branlé.
Vas y ! commence me lança t'elle. Je sortis ma queue et je l'empoignais à pleine main. Elle s'assit à nouveau face à moi, les cuisses écartées. Elle fit glisser ses doigts sur sa culotte de maillot, j'étais comme hypnotisé. Pour ma part j'avais commencé un va et vient sur ma queue et je ressentais déjà mes premiers émois tellement la sensation était forte et violente. Son slip de couleur sombre laissa apparaître une tâche humide, signe de son plaisir. Elle écarta son maillot et ses doigts continuèrent leur petit manège.
Je m'étais mis debout et j'avais retiré mon maillot de bain. Une main tenant mes bourses et l'autre imprimant un mouvement plus fort et plus rapide sur ma queue. Elle retira sa culotte, et je vis sa petite chatte, qu'elle s'empressa de bien écarter ses cuisses. J'eus comme un soubresaut, et je compris qu'il me fallait faire une pause avant de ne plus rien pouvoir contrôler. Je m'attendais à voir ses doigts s'enfoncer profondément dans son sexe, mais au contraire je l'a voyais caresser le haut de son minou et cela semblait très excitant car elle gémissait. Je me mis à genou devant elle pour voir de plus près ce qu'elle faisait. Son sexe était trempé, rose et luisant, parfois elle laissait glisser un doigt à l'intérieur avant de le remonter sur ce que je venais de percevoir comme une petite boule. Intrigué, je lui demandais ce qu'elle faisait. Elle me parla de clitoris et du plaisir que ça pouvait procurer. Elle me dit « donne ton doigt ». Elle le fit glisser le long de ses lèvres humides et chaudes, puis l'enfonça doucement dans son vagin. Une fois mon doigt bien lubrifié, elle le guida sur son clitoris et commença à me guider sur le mouvement à imprimer.
J'étais comme une éponge, j'absorbais toutes les sensations et je retenais chaque instant de ces moments si précieux. Après quelques secondes, elle me laissa agir seul, ses mains s 'égarèrent sur son ventre puis retrouvèrent ses seins qu'elles se mit à pétrir tout en agaçant ses petits bouts. Les soupirs avaient laissé place aux gémissements et les gémissements commençaient à ressembler à de petits cris. Mon doigt s'activait sur son clitoris, j'étais stupéfié de voir l'interaction entre ce que je faisais et ce qu'elle ressentait. Selon que j'accélérais ou que j'appuyais sur ce petit bouton rose, son ventre et ses cuisses semblaient s'animer de mouvements plus ou moins incontrôlés. Je me sentais maître de son plaisir et fier de profiter ainsi de ce spectacle. J'étais acteur et les autres spectateurs.
Je regardais cette petite chatte trempée, et l'envie me pris d'y glisser un doigt tout en continuant de l'autre main à caresser le clito. La réaction fut immédiate, le corps de ma cousine se cambra et un râle s'échappa de sa gorge, je la pénétrais activement et je sentais son sexe se dilater, alors je mis un deuxième puis plus tard un troisième doigt. Mes doigts formaient un petit cône que j'enfonçais de plus en plus brutalement dans ce sexe que je sentais à moi. J'étais terriblement excité, ma tête n'était qu'à quelque centimètres de sa chatte, je sentais son odeur, j'entendais le cargouillis de mes doigts qui fouillaient son sexe, je voyais mes doigts s'enfonçaient profondément, je ressentais tout son désir. Je sortis ma main toute mouillée et je saisis ma queue, me caressant avec sa cyprine qui me lubrifiait. J'avais accéléré le mouvement de mon autre main sur son clito.
Et d'un seul coup, je sentis ma cousine se redresser, elle prit ma tête et me cria « ta langue, lèche moi avec ta langue » j'eu un moment de recul, mais sa force semblait décuplée, elle me plaqua le visage entre ses cuisses. Ma bouche entra en contact avec ses lèvres humides, elle appuyait fort sur ma tête. Alors timidement je fis glisser ma langue dans sa fente, elle se relâcha, ma tête se libéra. Je trouvais ça bon, j'étais comme enivré. Ma langue glissa le long de sa fente de bas en haut, puis je l'introduisis plus profondément. Je la léchais et elle criait à chaque coup de langue. De mon côté j'étais affolé par toutes ces sensations que je ressentais, « le clito, vas y, lèche moi vite !!!!! ». Ma langue s'enroula autour de ce bouton de chair, je durcissais la pointe de ma langue tout en donnant de petits coups rapides. Ces lapements eurent un effet immédiat, un cri plus fort que les autres suivi d'un long râle, puis des soubresauts, des tremblements et enfin un apaisement. Inutile de vous dire que pour moi il y avait déjà longtemps que j'avais senti mon sperme couler entre mes doigts. Ce fut une expérience magique.
Nous avons passé nos vacances à nous découvrir ainsi mutuellement tous les cinq. Caresses intimes, fellations, poses indécentes, jeux pervers ... etc ... Je crois que c'est depuis ce jour que j'ai développé cette hyper sensorialité, le plaisir de regarder et d'être vu, les jeux libertins, comme quoi rien n'est anodin.
L'année d'après en Juin, je faisais l'amour pour la première fois à une copine de lycée. Contrairement à beaucoup, ce fut une expérience merveilleuse pour elle comme pour moi. J'avais su être patient, et surtout je l'avais caressé comme personne ne l'avais jamais fait, bien sûr la pénétration fut courte mais le plaisir avait déjà été consommé.
Signé : Silver
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La partouze de Valy
Quelques mois se sont écoulés depuis que Valy m'avait fait passer un bel après-midi chez sa copine Sofia. Un travail de forçats nous avait empêchés de faire l'amour de temps à autres avec d'autres partenaires. Nous baisions ensemble tous deux, ce qui était déjà formidable, Valy étant un trésor d'inventivité, de créativité dans la recherche de la jouissance.
Enfin, nous sommes fin octobre, il fait encore très beau. C'est un lundi soir, Valy m'avait demandé de rester chez elle le soir. Nous dinions quand elle reçoit un coup de téléphone. Un beau sourire éclaire son visage.
« François, mon p'tit frère chéri je suis contente de t'entendre, ça fait un moment, que tu ne m'avais pas appelée, tu me faisais la tête ou quoi ? »
S'en suit une longue conversation ponctuée de gros rires, conversation à laquelle je ne pige rien, car elle se fait en créole. Valy a beau n'avoir qu'un quart de sang antillais, elle a tenu à apprendre la langue de sa famille des îles. Comme beaucoup de personnes dans ce cas, je ris. Je ne sais pas pourquoi, mais je ris de la voir rire. Et puis elle me fait des signes signifiant que «les affaires» reprennent, alors je piaffe d'impatience.
Enfin elle raccroche son appareil et s'approche de moi en ondulant des hanches, un sourire coquin aux lèvres, nous sommes nus comme d'habitude. Elle m'excite toujours cette petite vicelarde. Elle s'assoit sur mes genoux en me faisant face, et me prend la bouche comme si elle voulait me la manger. Pas désagréable du tout, ce traitement. Elle s'y prend de telle manière que je ne peux prononcer un mot. Je suis partagé entre mon désir de savoir et celui de déguster nos langues. Mais l'homme est ainsi fait qu'à un moment s'il ne peut plus respirer, il se sent très mal. C'est ce qui nous obligea à arrêter de nous bécoter.
« Alors, ma Valy raconte-moi ton coup de fil ! Avec qui tu parlais d’abord ? Et qu'est-ce que nous allons avoir d'intéressant à faire ?
- Mon Bruno chéri, c'est François mon frangin il me disait qu'il organisait une partouze et qu'il m'y attendait. Je lui ai parlé de toi et il m'a dit que tu étais très bien venu , surtout quand je lui ai dit que tu étais bisexuel. Car lui l'est aussi et sera présent un de nos cousins qui est homo. Ils te plairont, tu verras, et ils sont bien montés.
- Super !!! Tu fais des partouzes avec ton frère, toi ? Et tu baises avec lui aussi ?
- Et puis elle a lieu quand cette touze ? Pas quand on sera de garde quand même ?
- Ça serait vraiment con.
- T'inquiète pas, il est d'accord pour changer la date. Tout ira bien. Et puis non, je n'ai jamais baisé avec mon frère. On s'est embrassés, léchés, sucés, doigtés mais jamais pénétrés. On n'a pas encore osé. »
Dés le lendemain, premier boulot regarder le tableau des gardes. Dans trois semaines, nous avons un weekend complètement libre. Aussitôt Valy appelle François pour lui donner la date où nous pourrons venir. Rendez-vous est donc pris. Je sens que les trois prochaines semaines vont être longues, très longues à vivre.
Enfin le jour de la sauterie arrive. Je vais chercher Valy chez elle. Elle nous conduit chez son frère, qui vit dans une petite maison d'un village de l'Essonne. C'est une maison assez ancienne aux murs épais, une cour intérieure ceinte de murs permet une certaine intimité. Nous entrons sans sonner, après tout Valy est un peu chez elle ici. Personne ne nous voit ni ne nous entend arriver.
Un fond musical, des soupirs et des petits cris explique cela. Ces bruits viennent d'une pièce, le salon. On dénombre approximativement quatre hommes et deux femmes. Tous en train de baiser. Nous nous sentons un peu gênés, aussi nous nous dénudons et rejoignons le groupe.
Un grand gars est debout en train de se faire faire une pipe par un jeune homme. Valy me le présente, il s'agit de François son frère, celui qui le suce est Bastien le cousin homo. François et moi nous serrons la main. Bastien interrompt un instant sa pipe pour, en guise de bien venue, me faire un aller retour de langue sur ma queue puis reprend sa sucette sans plus s'occuper de rien.
Valy ne connait personne d'autres. Nous décidons d'attendre une accalmie pour nous présenter. Nous nous installons sur un fauteuil libre, ou plutôt je m'y assois, et Valy s'installe sur moi en me faisant face. Ainsi, tout en se dandinant sur mon sexe, elle me regarde avec ses beaux yeux où scintillent des éclats de coquineries qui ont le don de m'allumer. Je lui fais un commentaire sur son frère.
« Valy, tu sais que j'aime beaucoup la bite de ton frangin, elle a une belle dimension. Juste comme j’aime !
- Tu as raison, mon Bruno. Il a hérité ça de notre grand-père antillais. J'aime beaucoup la sucer mais c'est dommage que nous n'ayons jamais encore baisé, j'adorerai ça tu sais !
- Écoute, je vais m'occuper de sa bite et je te raconterai, ok ? »
Valy meurt d'envie de me voir jouer avec son frangin, aussi l'appelle-t-elle en lui disant que j'ai envie de le sucer. François se sépare de son cousin, et vient vers nous. Sa bite est toute bandée, elle est superbe, bien droite et assez épaisse, elle me met l'eau à la bouche. Dés qu'il est à notre portée, Valy prend la bite de son frère en bouche et la suçote gentiment, puis la guide vers ma bouche. Elle est vraiment épaisse, toute tiède, humide des lèvres de Bastien et de Valy et elle est très douce. Je sens qu'elle va me faire plaisir.
Valy me voyant entre de bonnes...euh...couilles, m'abandonne pour aller voir le groupe en train de baiser. Les relations au cours d'une partouze n'obéissant pas au même rite qu'au cours d'une soirée « normale ». Il n'y a aucun risque de passer pour un malotru en ne se présentant pas avant « d'entamer une conversation ».
Aussi, Valy caressa l'une, tâta l'autre un peu comme on le fait au marché, pour faire son choix. Elle aperçut un homme dont l'entrejambe était inoccupé. Ce qu'elle vit pendre lui parut tout à fait à son goût aussi se mit-elle à le lécher, comme elle sait le faire, c'est à dire avec douceur.
Je ne connais aucun homme capable de se laisser sucer par Valy sans arrêter ce qu'il est en train de faire, tant une pipe de cette belle gourmande est remarquable. Le garçon, occupé à embrasser goulument une partenaire, s'interrompit, baissa les yeux vers son bas-ventre et fit un grand sourire à Valy qui lui répondit par un clin d'œil. Les présentations étaient faites.
Sa victime était affalée sur un divan, aussi Valy se pencha-t-elle vers sa queue, en prenant bien soin de garder son délicieux cul bien en vue avec le secret espoir que quelqu'un se laisserait tenter. Dés les premiers mouvements de sa bouche, Valy sut que la queue qu'elle suçait n'allait pas tenir bien longtemps. Cela lui était égal, il y avait quelques personnes des deux sexes avec qui elle allait pouvoir jouer.
De mon côté, je continue à faire connaissance avec le frangin de Valy. Sa bite est longue et épaisse. Je la déguste avec gourmandise, je parcoure la hampe en la caressant de mes lèvres et de ma langue tout en lui doigtant le petit trou. Il a l'air d'apprécier mon petit jeu si j'en juge par les mouvements de son bassin. Je n'ai pas envie qu'il jouisse déjà, aussi j'arrête et lui tend une capote pour qu'il me sodomise. J'en meurs d'envie voilà un moment que je n'y ai pas droit avec un sexe d'homme.
Valy aime s'occuper de mes fesses d'une manière très jouissive, mais avec ses godes. François s'assoit sur un canapé et je m'empale sur lui doucement car il est tout de même épais. Un inévitable petit tiraillement me fait grimacer, je m'arrête un instant, puis enfin je me laisse glisser le long de sa queue. Une fois qu'elle est toute en moi, nous marquons un petit temps d'arrêt à nouveau. Personnellement, j'aime ce moment là, où les deux cons (le tenant et le tenu) font connaissance. Puis on démarre notre cavalcade.
Dés les premiers mouvements je sens le plaisir monter en moi. Sa queue me remplit bien c'est bon alors j'accélère le mouvement et bien sûr comme François se faisait sucer avant mon arrivée il n'en peut plus et jouit. Je sens en moi sa capote se remplir par saccade. C'est agréable comme sensation.
De loin Valy, jolie curieuse, qui nous regardait faire, abandonne son ouvrage et nous rejoint, elle se charge de retirer la capote de son frère, et le suce goulument pour ensuite me faire partager sa récolte en m'embrassant. Je dis à François qu'il faudra qu'il vienne un de ces jours à la maison, Valy et moi lui ferons un petit diner. Il est d'accord car il veut prendre un peu plus de plaisir que ce qui vient de se passer. La brièveté ne fait pas bon ménage avec la jouissance.
Nous le laissons reprendre quelques forces, et Valy me prenant par la main, m'entraine vers un petit groupe qui donne plus l'impression d'une mêlée effondrée au rugby qu'à une partie de jambes en l'air. Je trouve bonne l'idée de Valy de se joindre à cet enchevêtrement. Le jeu risque d'être excitant de laisser trainer ses mains sa bouche et le reste pour prendre part à ce festin. Nous prenons elle et moi un côté différent pour nous introduire dans cette mêlée.
Plus légère que moi, Valy attaque par le sommet. Quant à moi, je repère une brèche à la base, et je m'y faufile. Quel plaisir !
J'ai l'impression d'être dans une forêt de sexes. Je m'y sens un peu à l'étroit, mais l'avantage est que j'ai de beaux fruits à portée de mains et bouche. Quel superbe verger où je suis, il y a des bananes de toutes tailles et de belles figues toutes fraiches et humides, à ne plus savoir où donner de la bouche. Et cette envie de tous les gouter en même temps.
Mais soudain, mes yeux voient un superbe entrejambe féminin vierge de tous poils. Le petit trou est délicieusement tentant, quelques petites rides donnent le sentiment qu'il sourit d'aise. On dirait le point du I que forme la chatte. Les lèvres, finement ciselées et légèrement charnues semblent m'appeler. Sa propriétaire doit être très excitée, car le lieu est très humide.
Voilà qui tombe à pique, je meurs de soif. Je la rejoins, et la lape avec gourmandise. Sa mouille est légèrement acre, j'adore. Je la pénètre de ma langue pour la baiser ainsi, elle a l'air d'apprécier si j'en juge par les mouvements de son bassin. D'une main, je discute gentiment avec son clito. La conversation devient animée. De mon côté, je suis dans le même état d'excitation que mon inconnue. En effet, quelqu'un suce ma queue et me sodomise de deux doigts. Le traitement qu'on me fait subir est particulièrement excitant et bandant. La délicatesse avec laquelle on m'entreprend me laisse penser que c'est une femme qui s'occupe de mon cas.
Seule certitude ce n'est pas «ma» Valy, je ne reconnais pas son coup de langue. Mon excitation monte encore, et je m'acharne de la main et de la bouche sur mon inconnue. Et soudain, mes sensations changent, ce n'est plus deux doigts mais la main entière que j'ai dans mon ventre. Que c'est bon de sentir comblé ainsi, et tellement bon que je ne tarde pas à jouir.
Mon sperme n'est pas perdu pour autant car j'explose dans une bouche. Je réussis à pencher la tête vers mon bas-ventre pour voir qui « m'a bu ». C'est une jolie blondinette qui doit à peine avoir vingt-cinq ans. Nous nous regardons et nous sourions. J'ignorerai toujours son nom, mais qu'importe.
J'ai besoin de reprendre mon souffle, aussi je m'extirpe de cet amas de corps pour aller m'affaler dans un fauteuil avec un grand verre d'une boisson fraiche. Je regarde tous ces corps nus qui s'agitent et qui gémissent. Le spectacle est beau et excitant. Et soudain, j'entends Valy qui jouit. Elle chante son orgasme. Elle est belle quand elle jouit, belle et stimulante La preuve, je sens ma queue qui a des soubresauts. J'ai envie de retourner au combat. Je me lève et aperçois, Bastien, le cousin homo, seul dans un coin, allongé sur un canapé. Il a les yeux mi-clos.
Une fois prés de lui, je m'agenouille et prends sa bite toute molle dans la bouche et la suçote doucement. Je titille son gland tout en doigtant son petit trou. Il ne tarde pas à réagir. Je le sens grossir dans ma bouche. Je me rends vite compte que comme son cousin François, il a hérité de ses ancêtres antillais, une fort jolie bite.
Bastien ouvre les yeux et voit que c'est moi qui le suce. Il me caresse le dos et laisse descendre sa main jusqu'à mes fesses, me caresse l'anus puis m'attrapant la cuisse, il me tire à lui. J'ai compris, je m'allonge sur lui et nous nous lançons dans un 69ou chacun de nous rivalise en astuce pour exciter l'autre. Au bout d'un moment, Bastien cesse de me sucer et me dit :
« Encule-moi ! Vite ! Je veux ta bite dans mon cul ! »
C'est si gentiment demandé que je ne peux pas résister, je vais chercher une capote et retourne vers Bastien. Il est déjà en position, à quatre pattes sur le canapé. Si c'est une levrette qu'il veut, il va l'avoir. Son petit trou est tout ouvert tant il a envie. Aussi j'entre en lui sans précaution aucune. Il pousse un grand soupir de plaisir et l'accompagne d'un coup de rein.
Bastien malgré une queue d'une dimension avantageuse a un corps et un air très androgyne. Il a la taille fine et des hanches bien arrondies. J'ai l'impression d'enculer une Transexuelle. Un vrai bonheur. Il a une manière de remuer son bassin pour accompagner mes va-et-vient qui risque de me faire exploser à tout moment. Il accompagne ses mouvements de petites phrases excitantes :
« Oh !..... Oui..... Bruno!!!... Vas-y.... remplis-moi....baise-moi …. fort.... j'adore ça !!!! »
Parfois aussi, il me crie :
« Oui... fouille.... fouille..... tout... est...à... toi !!! »
Valy s'était rapprochée de nous, et à genoux, nous caressait. D'une main, elle branlait Bastien, de l'autre elle me doigtait avec deux de ses jolis doigts ! J'eus beau lui dire et répéter d'arrêter, que je risquais de jouir trop vite, rien n'y faisait.
Gentille, elle freina les mouvements de ses doigts en moi, par contre elle branlait fougueusement son cousin. Elle finit par arriver à ses fins, car Bastion explosa dans ses mains. Voyant que j'allais jouir à mon tour, Valy me cria :
« Ne jouis pas dans la capote, je veux te boire ! »
Je n'en pouvais plus, j'eus à peine le temps de retirer ma capote que j'éjaculais dans le jolie bec de ma copine. En bonne cousine, elle embrassa goulument Bastien pour lui faire partager mon sperme. Tous trois assis sur le canapé avons entrepris de nous nettoyer les uns les autres avec nos langues, ce qui me permit de goûter à la splendide queue de Bastien.
Le temps avait passé, Valy et moi avons pris congé et j'ai demandé à François, le frangin, de passer une soirée avec sa sœur et moi un de ses jours. Il nous dit qu'il nous préviendra quand il pourrait venir. J'étais heureux qu'il soit d'accord, car j'avais une petite idée. Faire baiser François et Valy qui mouraient d'envie inconsciemment de jouer les amants incestueux. J'espère que je réussirai.
Ils sont adultes, il n'y aurait donc pas de mal à ce qu’ils s’aiment complètement.
Signé : Bruno Bi
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TRES ECXITANT
Pour m'être faite lécher plusieurs fois la chatte par le terre-neuve de mes parents je peux vous assurer que les sensations sont extraordinaires ! J'ai aussi eu son sexe en moi, c'est assez étrange je trouve, par contre je n'ai jamais eu envie de le sucer
En ce qui me concerne, j'ai trouvé ce récit très excitant.
J'avoue que si j'en avais l'occasion, j'aimerai bien sucer une bite de chien, et lui offrir mon cul.
Vous trouverez peut-être cela dégoutant, mais moi je fantasme vraiment la dessus.
titou
Comme tu le dis, cher Phoenix, c'est inhabituel... Moi, je ne sais pas si j'oserai !!!
pouahh sa change des autre cas cet virginie a du cran pour se faire un mec et de vide un chien bon gen connais qui se font lécher par des chien mais de sucer un chien bon chaque'un fais comme il veut