Les Mémoires très Libertines de Sophie
New York, un soir de pluie...
Un soir sombre de cet hiver 2009, dans une station du métro de New York, y’avait une très belle fille avec un beau visage europeen, des yeux bleus, cheveux chatains, et une jolie silhouette. Il me semblait qu’elle etait perdue, mais surtout triste.
Curieux de savoir ce qui’il ne va pas chez elle, je me suis rapproché d’elle, et je lui ai lance:
« Can I help You ? It seems you’re lost.
- Yes a little bit, I had a bad day, and I’m tired (avec un accent qui me semblait français)
- Are you French?
- Yes
- Parfait alors (avec un sourire), tu vas où ?
- Je ne sais pas encore, je viens d’arriver dans cette ville et je n’ai pas encore trouvé l’hôtel.
- Puis-je t’héberger chez moi ? Y’a vraiment aucun problème.
- Oui, pourquoi pas, t’as l’air gentil et sincère, et je peux te faire confiance », me dit-elle avec un sourire coquin…
Le metro est arrivé, et durant tout le trajet, elle a dormi en mettant sa tete sur mon epaule.
Arrivée chez moi, elle me demande l’autorisation de prendre une douche, ce que je lui ai accordé avec plaisir. En même temps je préparais le diner…
A sa sortie de la douche, j’étais excité par son corps couvert d’une serviette légère qui laisse voir son string rouge et son corps doux.
Apres le diner, on a bu un coup, discuté un peu de tout et de rien…
Ensuite, elle me demande gentiement de lui montrer où elle va passer sa nuit. Dans la chambre des invités, j’avais installé quelques semaines avant, un systeme intelligent qui, dès l’ouverture de la porte, lance une musique douce, et des lumieres légères illuminent la chambre. Cette atmosèhere agréable a poussé mon inconnue invitée à me serrer dans ses bras et me remercier pour ma generosité.
« Merci beaucoup, t’es tres gentil, mais ce coin me donne envie d’avoir un tendre massage, dit-elle avec le meme sourire coquin que dans le métro.....
- Alors mademoiselle, j’ai tout ce qu’il faut, et en plus j’aurai du plaisir de te faire un bon massage... »
Je la mets sur le ventre sur le lit en ôtant sa serviette, laissant seulement son string. Puis je verse lhuile de massage à la noix de coco sur son corps doux, je lui masse la nuque, les epaules, le dos, la colonne, les cuisses, les mollets, et les pieds sans les chatouiller.
Ensuite, je verse lhuile sur les fesses couvertes par ce fin string, et je les massais comme il le faut, car c’ets là que s’accumule la fatigue. Je les massais avec douceur et fermeté, en lui donannt des fessées douces et tenderes…
J’essuie son corps, et je lui demande de se mettre sur le dos. Elle obtempère, et ferme les yeux, grâce à la belle musique et aux lumières tamisées. Je verse encore huile sur le corps de ma mystérieuse invitée. Avec application, je lui masse les lobes des oreilles, le cou, les épaules, les bras, les mains et les doigts, le ventre, les cuisses et les jambes.
Par mégarde, je verse trop d’huile sur sa poitrine pour lui masser, car les seins sont sensibles et nécessitent un traitement spécial. Alors, je me fis un devoir de les lécher jusqu’à ce qu’ils prennent forme. Je lèche son sein droit, pendant que ma main huilée caresse le sein gauche. Sans relâche, je le tête avec amour et tendresse, ainsi que le téton…
Lorsque le sein droit prend de l’ampleur, je passe au sein gauche et le traite ainsi jusqu’a que la poitrine soit bien montée, les tétons bien durs.
A nouveau, je verse huile, et je les pétris comme il le faut. Elle mordillait les lèvres tant elle semblait trouver ça bon. Elle gémissait, elle bougeait ses hanches aussi…
Alors, j'enlève le string de ma princesse, et je prends de l’huile de massage, pour la déverser délicatement sur son sexe. Elle se mélange avec sa mouille, en formant un liquide parfumé que j’avais très envie de le boire... Sans hésiter, je massais son entre-jambe, les cuisses et le ventre avant d’écarter doucement ses jambes, me mettre au centre et me pencher pour lui lécher la chatte douce et bien épilée.
Je lui léchais la chatte, pendant que mes mains lui caressaient les seins bien durs, ainsi que ses cuisses et son ventre, je la dévorais avec amour, en buvant tout le liquide féminin qui ne cesse pas de sortir de sa chatte… Mhmm….
Elle bougeait les hanches de plus en plus, mettait sa main sur ma tète pour que je n’arrête pas de lui sucer sa fleur trempée. Et là, je sens qu’elle ne veut pas seulement une langue qui lui boit tout son jus d’amour, mais bien autre chose !
Alors la je me suis déshabillé, et je me suis mis a coté d’elle sur le lit, nos corps qui glissaient bien grâce à son corps huilé, mes mains qui la caressaient partout, les siennes aussi, d’ailleurs. Ma langue la léchait partout, je lui mordillais le lobe des oreilles, les joues, le cou…
Et là, nos yeux se fixent, nos et nos lèvres se collent, on s’embrassait tendrement, doucement comme si ses lèvres allaient fondre contre les miennes, nos langues dansaient la valse, nos salives se mélangeaient pour ne former qu’une seule entité au gout de miel et que l’on buvait en entier…
Je fermai les yeux, nous continuons à nous embrasser, nos mains parcourent nos corps mutuellement comme si c’était la première fois que nous découvrions un corps de l’autre sexe, puis je lui léchai les seins, le ventre et la chatte qui ne cessait pas de mouiller.
Je me suis mis dos, elle vient contre mon corps, commença par gouter ma grosse bite, et moi sa chatte en faisant un joli et doux 69. Je léchais sa chatte, comme si j’avais soif, elle me suçait doucement en mettant ma grosse queue de plus en plus profond dans sa bouche…
Je mis un doigt dans son vagin alors que mes lèvres lui lèche le clitoris sans répit...
Après le 69, je l’ai allongée sur le lit, on s’embrassait encore, elle mouillait de plus en plus, ma bite était bien bandée... Alors, elle écarta les jambes pour m’inviter à explorer son jardin secret. Avec ma bite, je caressai sa chatte mouillée, avant de m’introduire doucement, bien au fond dans son vagin.
Là, je restai immobile, je me penchai pour encore embrasser et caresser ses seins. Seules ses hanches bougeaient un peu, comme pour me donner le coup d’envoi pour commencer mes va et vient… Effectivement, ça ne tarde pas, et je commençai par des allers et retours doux et tendres, afin qu’elle sente bien ma belle tige dans son vagin.
Mes coups de boutoir commencent à devenir de plus en plus forts, et de plus en plus rapides. Elle mouillait de plus en plus, elle me caressait les fesses, et les cuisses alors que mes mains lui caressaient les seins et les tétons. Elle mordillait ses lèvres, gémissait de plus en plus fort, et mes coups devenaient aussi encore plus forts, et encore plus rapides.
Je sortis ma bite de son vagin, et je la mis en levrette, ma position preferée, d’ailleurs.
J’enfonçais ma bite dans sa chatte et la pénetrai d’un seul coup ferme et doux, je continue mes va et vient, jusqu’à ce que nous jouisions ensemble. J’ai ejaculé sur son dos et etalai tout mon sperme comme un peintre qui dessine un joli tableau....
On s’est embrassé, et je lui ai laissé dans sa chambre pourr qu’elle dorme comme un ange.
Le lendemain, à mon reveil, je ne l’ai pas trouvée. J’ai juste aperçu un petit mot “Merci”…
Shyman
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Une Saint -Sylvestre d'exception
Imad, puissant industriel libanais de soixante ans, est propriétaire d'une grande société, "Sud Énergie".
A l'occasion du Nouvel An, il invite une vingtaine de collaborateurs, et leurs épouses dans un chalet suisse, loué pour la circonstance. Il est accompagné de ses deux fils, Isaac et Habib, âgés d'une trentaine d'années.
Parmi les invités, il y a Mikael, vingt six ans, et France, sa ravissante épouse âgée de vingt-quatre ans. Est présente aussi Sara, secrétaire de vingt-cinq ans, célibataire, fille d'Imad, que France soupçonne d'avoir une relation avec son mari... et à juste titre !
Ce n'est pas le grand amour entre elles, mais France est prête à pardonner un écart de son mari, comme il lui a pardonné, il y a quelques années, de s'être donnée à son pire ennemi, dans une relation sulfureuse, et qui s'est terminée de façon tragique. Elle se remémore le dernier après midi passé entre les mains sadiques du couple maudit, de l'humiliation…. Elle ne veut pas revivre ce qu'elle a vécu, ça laisse forcément des traces.
A part Sara, France ne connait personne. Mikael fait les présentations, et s'aperçoit que les convives des deux sexes n'ont d'yeux que pour son épouse. Il est vrai que France est assez sexy ce soir, jupe en cuir à mi-cuisses, petit haut brillant, et escarpins rouge très tendance. Pas de collant.
La lumière se tamise, et le DJ envoie un slow, pour inviter les couples à danser, en attendant les douze coups de minuit. France éclabousse la piste de par sa beauté.
Minuit sonne enfin… Le couple se donne un baiser interminable.
« Meilleurs vœux mon amour, dit Mikael.
- Bonne année mon chéri, répond-elle. On se couchera pas trop tard, j'ai envie d'être cochonne cette nuit. D’ailleurs, je ne porte rien sous mes vêtements… »
France se colle contre la joue de son mari, et lui murmure à l'oreille.
« Non, dit Mikael, c'est vrai ? Mais tu es folle, pas de soutien-gorge, ni de culotte ? Et si quelqu'un s'en aperçoit ?
- Mais non, rit-elle, et puis je prends le risque, pour toi mon chéri. »
Mikael et France font le tour des tables, adressent leurs vœux. Les bises sont à la limite du raisonnable. France remarque des scènes pour le moins étranges. Des mains qui s'égarent sous les jupes des femmes, ou dans les braguettes des hommes. Mieux, en se penchant, elle sent une main monter entre ses cuisses, jusqu'à sa chatte.
« Oh ! » dit une voix de femme.
France n'ose rien dire, pour ne pas attirer l'attention, mais se sent rougir de honte. Elle se demande ce qu'il se prépare. Ils arrivent enfin à la table du grand ponte. Isaac. Le plus séduisant des fils, fixe France d'un regard perçant qui la met mal à l'aise. Elle est sauvée par le DJ qui enchaine une série de slows, juste au moment où Mikael sort des toilettes, suivi de Sara. En épouse jalouse, France le saisit par le bras, l'entraine d'autorité au milieu de la piste, et se plaque à lui.
« Dis moi, c'est une blague ?... »
Après quelques pas, elle sent une présence derrière elle, des bras qui lui enserrent la taille, des lèvres qui lui baise le cou. Elle tourne la tête, et reconnait Sara.
« Alors ma chérie, dit la secrétaire, tu ne m'embrasse pas moi ? Ce n'est pas gentil. Allez, donne-moi tes lèvres.
- Mais enfin ! Ca ne va pas ? Mikael, interviens, fais quelque chose...
-Cool mon amour, c'est la fête ce soir, amuse-toi, laisses-toi aller. »
France se tait, n’ose plus protester. Elle ne sait pas si cette situation lui plait, ou pas…
Sara fait pivoter son visage, passe sa langue sur ses lèvres, qui, par réflexe, s'ouvre légèrement. Puis, la jeune secrétaire remonte ses mains sous le petit haut, prend les seins.
Avec la complicité de Mikael, le trio se décale vers un endroit plus obscur. Sara en profite pour glisser une main sous la jupe. Le majeur effleure la fente déjà humide.
France perd pied, mais ne veut pas se soumettre à cette fille, même si la situation l'excite, mais se connaissant, va-t-elle résister longtemps ?
« Mais c'est vrai, sourit Sara, pas de culotte, et le minou bien épilé. C'est pour moi que tu as fais ça, ou peut être dans l'intention de te faire mettre un bon coup de queue... ou les deux ? Allez, avoue. »
Mikael fixe sa femme. Elle voit dans son regard qu'il attend une réponse, et elle est prête à tout pour lui.
« Heu...oui, souffle-t-elle, les deux... »
Tout cela se dit par balbutiements, les lèvres des deux jeunes femmes toujours en contact. France se prend au jeu, cède aux propos vicieux, et sa langue va goulument à la rencontre de celle de Sara. Pendant ce laps de temps, deux doigts ont ouvert les lèvres intimes, et extrait le clitoris de sa capuche.
« Il faudra qu'on se gouine, un de ces jours, poursuit la jeune libanaise. Viens, allons nous faire offrir une coupe à la table de mon père.
- S'il te plait, demande France, ôte tes doigts de ma chatte, et sors tes mains de dessous ma jupe.
- Non, je veux t’emmener comme ça à la table de mon père… Qu’il voit ta jolie chatte… »
Et sans lui laisser le temps de protester, elle entraine France, un bras autour de sa taille, l’autre, avec la main s’enfonçant dans sa chatte trempée. La jupe est relevée haut sur les cuisses… tout le monde les regarde, et France est de plus en plus excitée par cette situation. Elle qui avait des idées cochonnes pour la nuit, elle est servie au-delà de ses espérances !
Arrivée à la table, France découvre des scènes peu ordinaires, pour une soirée de réveillon, elles sont vraiment hallucinantes.
Habib est en train de se faire tailler une pipe par un jeune cadre, pendant qu'une jolie blonde, la jupe retroussée sur son ventre, glousse de plaisir, assise sur les genoux d'Isaac. D'un simple regard, elle s'aperçoit que le scénario se répète à toutes les tables. Elle était tellement obnubilée par les doigts qui la fouillaient, qu’elle n’avait pas observé ce « détail »…
Les femmes se doigtent entre elles, se font lécher, les hommes se sucent, se sodomisent.
L'orgie, avec un grand O.
France se tord sur les doigts qui continuent de la caresser au plus profond d’elle. Son abricot est juste à la hauteur des yeux d’Imad. Mais celui-ci reste imperturbable :
« Je vous en prie Madame, prenez place, dit galamment Imad. Une coupe peut-être ?
- Je veux bien, merci. »
La main toujours fichée dans les chairs de sa nouvelle amie, Sara se penche sur l'épaule de son père :
« Elle est prête papa, mouillée à souhait, comme tu les aimes, amuse-toi bien. Bon, je vous laisse, à tout à l'heure.
- Mais où est Mikael ? finit par demander France.
- Il m'attend dans ma chambre pour jouer, t'inquiète pas ma chérie, on va bien s'occuper de toi. »
France reste scotchée, à tel point qu'elle ne remarque pas le riche industriel en train de se mettre à l'aise, ni que sa jupe en cuir glisse le long de ses magnifiques jambes. Par contre, elle sent une main ferme la saisir par la taille, et la tirer en arrière. Elle se retrouve, jambes écartées, sur les genoux du puissant homme d'affaires.
« Non, s'il vous plait, pas ça. »
Elle tente de se soulever pour échapper à l’impressionnante bite libanaise qui se dresse sous elle. Mais ce mouvement ne fait que faciliter la pénétration. D’un bref coup sur les épaules, Imad la fait s’empaler sur son membre hors-normes.
Et d’un coup, l'énorme queue coulisses entre les cuisses, lime la fente, accroche le clitoris. France est prise dans une tourmente incontrôlable. Elle prend la bite, se soulève et pour mieux s’ancrer dessus, dans un râle de plaisir. Imad fait passer le petit haut par dessus la tête, libérant une superbe poitrine aux bouts proéminents. France, entièrement nue, totalement offerte, se cambre et ondule sur la hampe qui la fouille au plus profond d’elle…
Vaincue par le désir et l’excitation, elle gémit :
« Ha...vas-y salaud...baise moi à fond ! »
Excité par la scène, Isaac se lève, la queue en érection pointée vers la bouche de la jeune femme. Sans se faire prier, France la décalotte du bout des lèvres, et l'aspire. Habib ne veut pas être en reste, et se place de l'autre côté, pour recevoir le même traitement que son frère. France ne se maitrise plus, elle est prise dans la spirale de l'orgie. Elle accélère ses va et vient sur le puissant calibre du libanais, en gémissant de plaisir. Sa bouche passe d'une queue à l'autre, ses mains froissent les testicules de ses partenaires. Elle pompe comme si sa vie en dépendait, excitée par la situation : baisée par le père, et sucer en même temps les deux bites des deux fils… Inhabituel, et fort plaisant…
C'est Habib qui lâche le morceau en premier, juste au moment de prendre son tour. La semence épaisse arrose le palais de la jeune femme. Elle le rejette pour prendre son frère, qui à son tour, balance son foutre au fond de sa gorge. Les spermes mêlés dégoulinent sur son menton, elle n’a pu absorber les deux jets différents…
Puis, c'est au jus du PDG de tapisser sa chatte dévastée par la pénétration hors-norme...
Quand elle sent le liquide chaud envahir sa grotte, elle atteint l'orgasme dans un cri de plaisir, se moquant de ce que vont penser ses voisins de table. Son visage, ses seins, son ventre sont couvert de sperme.
Le jeune cadre qui a suivi la scène, tombe à genoux devant elle, et tel un chien affamé, et se penche entre les cuisses du couple. Dans une série de gestes désordonnés et avides, il gobe les énormes testicules de son patron, aspire le clitoris de la jeune femme, lèche le ventre, les seins, lui prend furieusement les lèvres.
Il sort la queue d'Imad du fourreau plein de mouille, lui suce le gland, puis pousse le vice jusqu'à caresser le petit trou de France avec la bite humide. Le patron n’a pas débandé. A son âge, cela relève du miracle !
Sous la caresse inattendue, elle se tend en avant, jette ses mains en arrière pour saisir la nuque du libanais. Jamais elle ne se serait crue capable de prononcer les mots qu’elle a pourtant dire :
« Vas-y, je suis prête, encule-moi. »
Le libanais ne se fait pas prier. Il ordonne au jeune cadre de lécher la rosette de France, pour bien la lubrifier. Il obtempère, et elle se tord de plaisir sous cette langue qui fouille son petit anneau brun. Il finit par insérer le bout de sa langue pour dilater un peu le conduit anal. A deux mains, il entreprend, d’écarter les chairs brunes, Un doigt, puis deux, puis quatre écarte l’ouverture cachée. Le cadre suce goulument la bite de son boss, puis entreprend de la guider dans les entrailles de France.
D’une seule poussée, sans plus se soucier de son amante du moment, Imad la pénètre. Elle crie de douleur, les intestins envahis par l’énorme mandrin.
Il donne de puissants coups de bassin, pour baiser au mieux le cul de France. Elle finit par s’habituer à la douleur, et commence à y prendre un certain plaisir…
Les pénétrations avec divers partenaires vont s’enchainer sans qu’elle ne sache plus qui la baise…
Après une heure de débats érotiques, Mikael et Sara rejoignent la table d'Imad. Celui-ci est entrain de sodomiser profondément son cadre assistant. Mikael aperçois la jupe en cuir, et le petit haut de son épouse gisant lamentablement au sol.
« Ou est ma femme ? » demande-t-il, vaguement inquiet, et un peu jaloux…
Un invité lui fait signe de la tête. Mikael se retourne et voit son épouse enroulée dans un manteau en fourrure, regagner une chambre, en compagnie des deux frères libanais. Un peu désemparé, il ne dit rien... Après tout, c’est lui qui a voulu ça…
France réapparait quatre heures plus tard, et rejoint Mikael assis à une table, en train de prendre son petit déjeuner. Il remarque les cernes sous les yeux de son épouse, signe d'une nuit sulfureuse.
« Alors ma chérie, tu as passé une bonne nuit ? »
Amoureusement, France prend la main de son mari entre les siennes.
« C'est quoi ce plan foireux ? Tu aurais pu m'en parler. Je me le suis fait mettre de façon féroce toute la nuit par ces trois mâles. Comme ils ont joué avec moi ces salauds ! Infatigables au lit ! Ils m'ont fait hurler de plaisir.
- Le principal, c'est que tu te sois bien amusée, tu veux qu'on rentre ?
- Je vais chercher mes habits, dit France, j'espère que je vais les trouver.
- Ah oui, au fait, c'est Sara qui les a, elle a dit que tu les récupères dans sa chambre. »
France se retourne, passe une main dans les cheveux de son mari, et l'embrasse tendrement sur les lèvres.
« C'est quoi la suite de votre plan ? sourit-elle, il faut que je me fasse gouiner maintenant ?
- Prends ton temps ma chérie, finalement, on n’est pas pressés. Par contre, tu pourrais fermer ton manteau, on voit toute ta chatte.
- Franchement, tu es trop fort mon chéri... Rassure-moi, tu ne vas pas me faire une crise de jalousie ? Mon dieu que je t'aime toi !... »
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Rleations anales interdites
Mise en garde : cette histoire est particulièrement « trash », mettant en scène une histoire entre un père et sa fille majeure, ainsi que quelques éléments scatologiques…
Âmes sensibles et mineurs s’abstenir…
Quand sa petite fille est revenue de sa première année dans l'université, elle n'était plus la petite fille de son papa, mais une jeune femme ronde et délicieuse de dix-huit ans. Elle est toujours très fraîche et innocente. Il est stupéfié de voir que son cul s'est développé, à la manière dont elle aime porter de petits pantalons moulants, comme si elle ignorait l’effet que provoque son cul avantageux.
Cela fait une semaine environ qu'elle est revenue, et elle le fait bander avec ses shorts courts moulants, qui lui dévoilent ses cuisses, sa chatte et ses fesses rebondies. Elle est encore tendre et innocente, mais avec une pointe de sensualité et de sexualité nubile sans prétention. Il en a honte, mais sa propre fille l’excite à mort !
Une nuit, sa magnifique fille est rentrée ivre à la maison, et s’écroule sur le divan. Il la pousse du coude plusieurs fois pour la réveiller, mais elle ne bouge pas. Elle porte un short incroyablement court et serré, son cul charnu et ample se trouve devant ses yeux.
Hésitant un moment, il touche ses cuisses d'adolescente lisses et pleines, les caresse lentement, il remonte le long de sa jambe nue jusqu’à la limite du short. C’est un cul dodu. Doucement, il le tâte et regarde pour voir si elle se réveille. Il la pince, elle n'a aucune réaction.
Il empoigne ses fesses fermes et merveilleuses et la secoue. Il pose les deux mains sur son arrière train d'adolescente et écarte ses fesses. Alors, il laisse courir ses doigts le long du sillon, masse entre ses jambes. Avec son autre main, il sort sa bite et la branle pendant qu’il va à tâtons entre les fesses de sa fille.
Il est effaré quand elle écarte un petit peu ses jambes, mais est rassuré quand elle les ouvre simplement un peu plus largement, permettant un meilleur accès à sa main entre ses jambes.
Il masse son petit trou du cul et sa chatte par dessus son short et malaxe son cul potelé.
Elle commence à gémir avec plaisir, elle sort légèrement du sommeil pendant qu'il continue à la pétrir. Alors il sent quelque chose de chaud et humide sur son gros gland. Sa fille vient de mettre sa bouche sur sa bite. Il n’en revient pas !
Ceci l'encourage, et il déboutonne son short et le baisse. Il écarte ses grosses fesses et jette un coup d'œil à son magnifique œillet dénudé. C’est une grande fossette dans une crevasse profonde, totalement épilée qui lance un appel à être perforé. Il lèche un de ses doigts et lui frotte l’anus pendant qu'elle continue à sucer son pieu. Il pousse un doigt dedans assez facilement et l’enfonce entièrement dans le conduit étroit de sa fille. Son cul ample et potelé est gracieux. Non sans surprise, il l’entend le prier :
« Papa, encule-moi ! »
Il quitte son pantalon et vient sur le divan avec sa fille. Il mouille sa grande queue avec sa salive et la plaque contre son petit trou du cul. Il sent que son Estelleau serré s’ouvre et resserre son gland, alors que sa fille s'étale un peu plus, plus assoupie qu'éveillée. Son cul est assez lâche, probablement parce qu'elle est ivre, mais également peut-être parce qu'elle n’a plus son mini short.
Quoi qu'il en soit, sans une once d’hesitation, il plonge sa bite dans son rectum lisse plutôt facilement. Il se sent bien. Son cul enserre bien le pieu, il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu'il ne commence à sentir ses couilles bien pleines prêtes à décharger. Il est profondément enfoncé dans ce conduit serré quand sa bite décharge son sperme à l'intérieur des entrailles lisses. Il garde son pieu dedans pendant un moment, s'allonge sur sa fille.
Alors il se lève, écarte ses fesses et regarde son bel œillet ouvert. Il place son pénis mollet devant son visage pour voir si elle va le nettoyer à fond. Quelle grande fille ! Elle prend sa bite en bouche et lèche toute la tige, avale toutes les sécrétions pour la laisser bien nette.
Le père enfile son pantalon et porte sa fille jusqu’à son lit, la couche pour la nuit.
Le matin suivant le père est en train de lire le journal sur la table de cuisine quand son petit ange descend. Elle se sent mal avec un grand mal de crâne et toujours dans un état semi-comateux.
« Papa bonjour.
- Bonjour ma petite chérie
- Oh, je me sens effroyable. »
Elle regarde dans le réfrigérateur pour chercher quelque chose à manger, portant juste un long t-shirt qui couvre à peine ses cuisses et sa petite culotte.
Le père baisse ses lunettes sur son nez et admire ces belles cuisses.
« Tu as dormi sur le divan la nuit passée et j'ai dû te porter au lit. »
Elle lui répond tout en fouillant dans le frigo.
« Ce n'est pas tout… rappelle-toi... je me rappelle qu’autre chose s’est produit.
- Oh ?
- C’était peut-être juste un rêve.
- Était-il agréable, ma puce ?
- C'est le rêve le plus merveilleux, papa, et tu y étais.
- Peut-être ce n'était pas un rêve, Estelle. Peut-être que cela c'est vraiment produit.
- Bien je veux qu'il se produise de nouveau, dit-elle debout, une bouteille de jus de fruits dans la main. Le père pose le journal sur la table.
- Viens… Assieds-toi sur mes genoux, mon Poussin. »
Bien qu'elle soit une jeune fille de dix-huit ans qui va à l'université, elle aime toujours s'asseoir sur les cuisses de son père. C’est après tout un adulte beaucoup plus grand et plus fort qu'elle. La drôlesse pose ses fesses sur une de ses jambes, de sorte que sa moule frotte sa cuisse. Le père peut sentir la chaleur de la chatte de sa fille sur sa jambe et lui place ses deux mains sur ses cuisses grassouillettes.
« Dis à papa ce qui s'est produit dans ton rêve.
Elle chuchote :
- C’était un vilain rêve. Papa, promets-moi que tu ne seras pas fâché ?
- Promis.
- Je me rappelle de m’être éveillée et avoir senti tes grandes mains sur mes fesses. J'étais si heureuse te sachant avec moi et je me suis sentie si bien et en sécurité.
- Bien.
- Alors j'ai senti ton doigt fouiller mon petit trou du cul, tu le faisais coulisser, et alors je me rappelle avoir ouvert mes yeux et avoir vu ton pénis devant mon visage.
- Ensuite que s'est-il passé ?
- Je l'ai mis dans ma bouche pendant que tu enfonçais tes doigts profondément à l'intérieur de moi. »
Estelle met sa main sur la fourche de son père et lui donne une pression. Son grand pieu est dur comme la pierre.
« Ensuite tu es monté sur moi, tu as mis ta bite à l'intérieur de mon cul et tu as éjaculé profondément en moi. »
Tout en parlant elle malaxe avec une certaine dextérité son pénis.
« Comment était cette impression ?
- Je l’ai aimée ! Je l’ai aimée ! Tellement et je veux la sentir encore ! »
Fermement, elle ouvre sa braguette et retire sa grosse bite.
« Poussin… D’accord. Lève-toi et montre-moi ton cul.
- Waouh ! »
Elle se met debout et roule sa chemise au-dessus de ses fesses. C'est un cul serré, rond, jeune, et enflammé.
« Bien, tu te penches en avant maintenant et tu écartes tes fesses. »
Dans cette position Estelle peut regarder son père à l'envers tout en lui montrant son cul.
« Veux-tu que je pelote tes fesses ?
- Oui ! »
Son père place fermement ses mains sur les fesses rondes de sa fille et sent sa petite culotte lisse. Il met un doigt et doucement entoure son anus.
« Là Poussin, je peux ?
- Oui Papa ! »
Doucement il frotte son gland par dessus ses culottes, et commence à le serrer fortement contre son anneau. Elle se repousse contre son doigt, riant nerveusement. Il attrape sa grande bite et la dirige vers elle.
« Viens ici Bébé. »
Il place une main sur ses fesses dodues pendant qu'elle soutient le sexe de son père. Elle se frotte contre son gland, s’agite et s’assied là-dessus.
« Papa je veux encore sentir ta bite à l'intérieur de mes entrailles !
- D’accord ma Chérie. Enlève tes sous-vêtements et écarte bien tes fesses pour moi. »
Elle quitte sa culotte et passe son grand tee-shirt au-dessus de sa tête. Elle se tourne, le dos face à son père ; aussi il ne peut apercevoir ses petits mamelons gonflés, et ses seins pratiquement inexistants.
« Que c’est un joli petit cul que tu me montres.
- Merci beaucoup Papa ! » dit-elle, le regardant entre ses jambes.
Il coupe un morceau de beurre, en enduit partout son petit œillet fripé pendant que sa fille rit nerveusement. Son premier doigt glisse très facile et lui fait pousser un gémissement de plaisir. Ensuite il entre deux gros doigts dedans et les fait coulisser dans son petit trou du cul graisseux.
« Tu aimes cela ? Aimeras-tu que je te doigte jusqu’à l’orgasme ?
- Oui Papa ! C’est si bon ! »
Il fouille son conduit avec ses doigts pendant qu'il frotte son grand pieu entre ses cuisses
« Tu penses faire entrer ton grand pénis à l'intérieur ?
- Oui… Je vais y mettre un peu plus de beurre ! Ça sera bon mon Ange. »
Il coupe un autre morceau, et tartine son trou autour et au fond.
« Viens sur moi. Repose-toi sur ma grande saucisse. Laisse-moi la voir s'adapter à ton joli petit cul ! »
Estelle se recule et écarte les jambes sur les cuisses de son père. Elle se cambre en arrière et abaisse son beau cul au-dessus de son poteau. Du beurre suinte de son petit trou contre son gland palpitant. Le père sent la pression des sphincters de sa petite fille essayant de s'ouvrir pour le prendre dedans. Lentement, son anus étroit se serre de plus en plus autour de son pieu jusqu'à ce que le gland soit dedans. Sa fille descend son gros cul sur sa bite et l’enfonce plus profondément. Quand elle est suffisamment en elle, commence un lent mouvement de bas en haut de son arrière-train. Ses sphincters saisissent étroitement toute la tige, elle continue et l’enfonce au plus profond de son conduit. Elle baise dans de longues et lentes courses avec son cul.
« Voilà que tu es une bonne fille. Tu aimes avoir ton cul empli ?
- Oh Papa oui ! J'aime ton vit à l'intérieur de mon cul ! »
Elle claque maintenant son avantageux cul d'adolescence contre ses cuisses, gémit rauquement de plaisir anal. C'est en étant en haut de son gland qu’elle annonce :
« Je veux la goûter. Je veux goûter mon cul sur ta bite, Papa ! »
Elle se retire avec le bruit d’une bouteille que l’on débouche, se tourne et se met à genoux et rampe entre ses jambes. Elle prend son élan et prend le membre dans sa bouche et suce de tout son cœur le pieu maculé. Le père aime observer sa petite fille qui mange la bite bandée après qu'elle se soit profondément enfoncée dans son anus, plantant sa tête entre ses jambes et sur son pubis.
« Papa, éjacule sur mon visage ! »
Elle le suce vraiment bien, bavant et salivant sur son gland. Alors, il la repousse et la frotte plusieurs fois pendant qu'elle a son joli petit visage devant lui. Le père grogne et lance une longue giclée épaisse de sperme qui lui macule le nez. Un deuxième et troisième grand jet de foutre jaillissent de son pieu et couvrent sa bouche, son nez, et son menton. Elle prend le sperme avec son doigt, le met dans sa bouche et le suce jusqu'à ce qu'il soit propre, le reste dégouline de son visage.
« Tu es une bonne fille. Tu m’as fait jouir très fort.
- Mmmm, j’ai aussi beaucoup aimé !
- Papa, je veux que tu continues à jouer avec mon cul ! dit-elle en montrant le sperme la bouche couverte.
- Ma petite Chérie… bien. Tu va t’asseoir sur le tabouret et mets ton cul prêt pour moi. »
Elle se lève et ne prend même pas la peine de nettoyer le sperme de son visage, elle se met sur le tabouret de la cuisine et cambre son ample fessier sur le bord. Le père admire le cul dodu et accueillant de sa fille. Il s’agenouille au-dessous d'elle et prend ses fesses, regarde l’œillet profondément élargi. Elle a un anus merveilleusement mignon et rose, difficile à l’imaginer évacuant la merde.
Estelle sent la bouche humide et chaude de son père sur son cul et sa langue pénétrer l’anus. Elle gémit de plaisir pendant que le père mange son gros derrière. Il commence à glisser ses doigts en elle quand il lui demande :
« Pourquoi ne pas regarder ce que nous avons dans la cuisine et les mettre dans ton cul mon Poussin.
- Papa oui ! S’il te plaît ! Attrape ces grands hot-dogs, et les œufs durs aussi ! »
Le père prend ces choses et les pose sur le plan de travail.
« Les hot-dogs sont un peu froids. Passe-les quelques instants au micro-onde. »
Cela prend seulement quelques secondes et il a trois gros hot-dogs pour sa fille. Il passe derrière elle et pousse le premier dans son petit trou. Il le bouge plusieurs fois, puis l'enfonce de toute sa longueur dans ses entrailles avec son pouce.
« - Papa… Oh ça alors ! Que c’est bon ! »
Il saisit deux hot-dogs et en pose un sur le sillon de ses fesses.
« Tu penses pouvoir en prendre deux Poussin ?
- Papa, je veux prendre tout ce que tu me demandes de mettre dans mon trou ! »
Il saisit le deuxième hot-dog et utilise ses doigts pour étirer le trou. Alors, il prend deux hot-dogs et les serre dans son passage béant jusqu'à ce qu'elle les ait tous les deux dedans. Il la baise avec deux hot-dogs fichés au fond de ses entrailles, il enfonce les deux au fond puis le troisième. Il se relève et regarde sa semence sur sa fille.
« Garde tout en toi jusqu'à ce que je te le dise Bébé, d’accord ?
- Oui Papa... » gémit-elle.
Le père fait un saut et attrape un œuf dur. Il prend du beurre sur la table et en enduit l'œuf. Il se tient à côté de sa douce petite fille sur le tabouret, il plaque l’œuf contre son anus. Sa lèvre supérieure bouge pendant qu'il pousse l'œuf au fond de son cul. Il s’écrase. Son père se penche derrière elle et jette un regard à son fondement. Il peut apercevoir le blanc de l'œuf quand elle plisse son œillet.
« Quelle sensation ressens-tu Mon Bébé ?
- Mmmm, c’est extra… tellement bon ! Mais je ne sais pas combien de temps je peux tenir. »
Le père masse ses amples fesses en cercles. Il avance sa bite le long du sillon, se branle doucement entre les deux monts fermes et dodus. Il la passe entre les cuisses et cherche le contact de ses lèvres vaginales. Bien qu’il préfère la sodomie, il est tenté de baiser sa fille. Il caresse doucement son Mont de Vénus, puis descend ses doigts dans la fente. Elle a un léger sursaut, mais écarte un peu plus les jambes pour lui faciliter le passage.
Encouragé, il enfonce sa bite dans la petite chatte humide. Il commence de lents va-et-vient dans le conduit étroit. Il lui semble plus serré que son cul. Se sentant sur le point d´éjaculer il se retire.
« Tu as aimé mon Bébé. Quand tu veux, pousse tout c’est vraiment bon pour moi.
Elle grogne et son cul ploie dans les deux sens. Le blanc de l'œuf essaie de sortir de son trou.
- Uggghhh !! »
Elle lâche un long grognement. Elle prend ses fesses à pleines mains et les écarte largement. Alors avec une autre poussée l'œuf passe par ses sphincters et tombe sur le plancher. Le père regarde son trou béant et peut voir le hot-dog faire sa sortie. Il glisse rapidement dehors comme une grande merde, et le deuxième hot-dog suit. Elle chie toutes les choses que son père a mises dans son cul. Enfin le dernier hot-dog sort et il y en a partout. Ses entrailles semblent se vider, excepté que son gémissement lui laisse entendre qu'autre chose arrive.
« Papa, je dois aller aux toilettes.
- C’est bien ma Puce, montre-moi et lâche tout dehors pour moi. »
Son visage tordu et un petit morceau foncé tombe, puis un long morceau brun s’échappe rapidement de son anus et s’écrase sur le plancher. Son père observe sa fille en chier un autre. Elle le regarde quand elle a fini. L'observation de tout ceci suffit pour faire bander son père encore plus, et Estelle est très heureuse quand elle le sent glisser son gros gland sur ses fesses. Le père prend le cul élargi de sa fille sur le tabouret.
« Papa oui ! Je suis ta salope. C’est si bon, ta bite dans mon cul. »
Il se tient derrière sa fille, bite dressée contre ses fesses, pinçant ses mamelons gonflés.
« Qui est ma petite salope ? As-tu aimé tous ces hot-dogs au fond de tes entrailles ?
- Papa oui, je l'aime. Et j'aime ton pénis fiché dans mon cul en ce moment !
- Bien, ma Puce. Maintenant je vais te former pour traire mon pieu avec ton cul. »
Il l’encule à fond ; sans aucun ménagement. LA garce est is ouverte qu’il y entre avec une facilité déconcertante…
« Papa, j’écoute.
- Serre ma queue avec tes muscles, mon Poussin. Presse-la vraiment fort. »
Il laisse sa bite immobile dans le rectum de sa fille et sent son sphincter la serrer légèrement. Avec chaque pression il la gonfle, étirant son anus. Ils tiennent le rythme et partent tous les deux de cette façon. Elle gémit.
« Oh, Papa, oui... Ça y est… je pars…
Il retire son pieu avec un bruit, et fait un pas de côté pour le montrer à sa fille. Elle descend du tabouret et se met à genoux à côté du tas d’excréments et goûte le relent de son cul sur sa bite.
La petite fille avance sa tête et suce sa chair. Son corps ferme et hanches larges sont appétissants vus sous cet angle. Le père ôte tous ses vêtements pendant que la fille suce avidement sa queue.
« Tu aimes et tu es un peu salope sur les bords. Que veux-tu que je te fasse après ? »
Soudain elle se relève et lui saute dans les bras, enroule ses jambes autour de lui. Il la tient les mains sur son fessier dodu. Elle lui dit dans une mignonne voix d'adolescente.
« Ta bite juste dans tous mes trous ! »
De façon convenable il positionne son pieu toujours en érection entre ses fesses rondes et le blottit contre son rectum. Il tient son adolescente de fille, regarde ses doux yeux, tout en l’enculant d’un seul coup. Elle est prise par le poteau de son père, le tenant par son cou.
« Ton cul se sent-il bien mon Bébé ?
- Papa oh oui, j'aime ta bite. Baise-moi. Encule-moi ! »
Ils baisent en cette position jusqu'à en être fatigués, puis elle jouit et elle se met à ses genoux sur le plancher levant bien haut ses fesses. Son trou est juteux et béant, un trou charnu, rose. Son père y colle trois doigts.
« Veux-tu mettre ces hot-dogs dans ta délicieuse bouche, ma Puce ? »
Elle saisit les trois saucisses sur le plancher à côté d'elle et enroule ses lèvres autour d'elles. Son père écarte les jambes de sa fille et commence à plonger son pénis dans son rectum pendant qu'elle gémit et suce les hot-dogs.
- Je parie que tu penses que c’est un sexe dans ta bouche ?
- Hmmm Mmm. »
Elle gémit.
« Tu veux encore plus de bite mon Bébé ? Si tu veux, un de ces jours, j’appellerai un ami pour baiser ton cul et ta bouche ?
- D’accord, marmonne-t-elle, suçant toujours ses hot-dogs. »
Son père sort son pieu du cul de sa fille.
« Bien, ma Puce. Nettoie-moi bien et quand il viendra, tu ne seras pas déçue.
- Oh, merci Papa ! »
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Une amitié particulière
Mon épouse Sophie*, moi, Viviane une amie d’enfance, et son mari Jean, nous nous voyons souvent. Il règne entre nous une grande complicité. Tout les quatre sommes bisexuels, nous aimons nous regarder baiser entre personnes de mêmes sexes ou de voir nos compagnes prises par d’autres hommes. Jean et moi sommes soumis aux volontés de nos épouses.
Déjà, quand on était gosse, Viviane me faisait baiser mon pantalon devant ses copines pour qu’elles voient à quoi ressemble un sexe masculin (internet n’existait pas à l’époque). J’aimais ces petites séances du jeudi après-midi, où elle et ses amies me touchaient le sexe, les testicules. Bref, des jeux de mômes.
Elle a toujours exercé une forte ascendance sur moi. Cela a continué par la suite.
Quand nous étions à la fac, Viviane a eu l’occasion de fréquenter intimement des hommes mûrs.
Durant nos études, nous partagions le même appartement. Après une rencontre, Viviane changeait de sous vêtements. A son insu, je récupérai dans la corbeille de linge à laver son slip, le fond duquel était recouvert de sperme de son amant séché ou à peine pour me masturber avec.
A partir du jour où elle s’en est rendue compte, elle a pris pour habitude de me donner ses petites culottes qui avaient servies. En échange, elle m’ordonnait de me mettre nu, de me passer sur le visage sa petite culotte et de lécher le fond en me masturbant devant elle. Quand j’avais éjaculé dans celle-ci, elle me demandait de la porter. Cela m’excitait terriblement de faire ce qu’elle me demandait. Elle a rapidement pris conscience du plaisir que cela me procurait. Par la suite, elle devint plus exigeante dans ses demandes.
Désormais, après chaque rapport sexuel quand elle rentrait, je devais me mettre nu et m’allonger sur le sol. Elle se mettait à califourchon au dessus de mon visage et posais son sexe sur ma bouche pour que je le lèche. Elle me regardait me masturber pendant que je lui faisais un cunnilingus.
J’avais terriblement envie qu’elle prenne mon sexe dans sa bouche pour me sucer. Plusieurs fois je lui ai demandé qu’elle le fasse. Tout au plus, elle me malaxait les couilles en me disant que je devais me contenter de ce qu’elle m’offrait et parfois elle me suçait. Pour augmenter ma frustration, elle me racontait dans les moindres détails sa rencontre. Ce qui m’excitait encore plus.
Pour m’humilier et accroître d’avantage sa domination sur moi, de temps en temps Viviane me payait une passe avec une prostituée qu’elle choisissait toujours pour moi.
Généralement, son choix se portait sur une femme mûre fin de quarantaine, début cinquantaine à la poitrine opulente et aux hanches larges. Jamais une fille de mon âge. En donnant une gratification conséquente, Viviane pouvait monter avec nous. Elle nous regardait sans jamais participer. Viviane sa jupe relevé sur son ventre, son slip baissé sur les chevilles et les jambes largement ouvertes se masturbait en nous regardant.
Le plus souvent, Viviane préférait que je la pénètre par derrière. Après avoir éjaculé dans son cul, elle m’imposait de lécher mon sperme qui s’en écoulait. C’est elle qui m’a donné l’habitude de toujours nettoyer avec la langue l’orifice corporel de ma partenaire dans lequel j’ai joui.
Très friande d’annilingus, elle me faisait mettre à genoux derrière elle, me présentait ses fesses pour que je passe longuement ma langue dans son sillon anal, pendant qu’elle se masturbait.
Pour me récompenser, debout tout les deux, je me plaçais derrière elle. Je glissais mon sexe entre ses cuisses serrées. Ma bitte arrivait un peu plus à mi hauteur de ses cuisses mais bien en dessous de son sexe car plus grande que moi.. Elle commençait un mouvement d’avant en arrière pour me faire éjaculer pendant que je lui caressais les seins.
C’est ainsi au fil du temps qu’une relation entre nous s’est construite, de dominant à dominer.
Viviane ne m’a jamais demandé d’avoir des relations avec des hommes, bien qu’elle y ait pensé quelques fois. Pour parfaire mon éducation de soumis, c’est seulement mon épouse Sophie qui m’imposera des rapports sexuels avec des hommes. Je ne fus pas surpris d’apprendre que Viviane était l’instigatrice de mon éducation bisexuelle.
Voilà comment Viviane a commencé à me dominer. Après mon mariage, elle a continué avec l’accord de mon épouse qu’elle a initié à la domination.
L’un des phantasmes de Viviane, qui se réalisera plus tard, était de nous faire baiser en même temps et alternativement par le même homme. Ce partenaire la pénétrerait, puis ressortirait sa bitte pour me la mettre dans le cul ainsi de suite. C’est son mari Jean qui nous baisera tout les deux en même temps quelques années plus tard. Viviane et moi nous nous accouplons souvent devant lui pendant qu’il baise mon épouse. Aujourd’hui, Jean et moi avons des fréquentes relations homosexuelles entre nous et avec d’autres hommes que Viviane et ma femme encouragent.
Quand nous recevons Viviane et son mari Jean, ma femme me demande de m’exhiber devant eux. Cela l’excite beaucoup de me montrer à d’autres dans les positions humiliantes qu’elle me fait prendre.
Je dois me présenter à eux nu, de dos. Je suis à genoux sur le tapis du salon. Je me penche en avant, jambes écartées, pour exhiber mon cul tout en écartant mes fesses avec les mains pour que l’on voie bien mon anus élargi par les sodomies. Mon sexe est au repos dans la ceinture de chasteté que mon épouse m’a mise, et mes parties génitales pendent entre mes cuisses.
Tout en me regardant dans cette position où je suis offert, Viviane, son mari et mon épouse ne manquent pas de faire des commentaires.
Viviane trouve que je ne suis pas encore suffisamment ouvert par derrière pour pouvoir accueillir deux sexes masculins de belles tailles en même temps. Ma femme partage ce fantasme avec elle, de doubles sodomies pour moi. Elle lui fait remarquer que mes couilles pendent plus bas qu’avant entre mes cuisses depuis qu’elle me fait porter un ballstrecher. Jean suggère que je devrais porter plus souvent des bas, des sous-vêtements féminins….
Mon épouse et Viviane glissent chacune une main sous la jupe de l’autre pour se caresser le haut de l’entre cuisses, tout en se donnant des baisers sur la bouche. Tandis que Jean est en train de faire un cunnilingus à ma femme.
Ensuite, Viviane demande à son mari de me sodomiser. Préalablement, je dois le sucer. Ensuite, dès que je sens le gland de son sexe se presser contre mon anus pour me pénétrer et qu’il enfonce en moi toute la longueur de sa bitte, je commence à vouloir entrer en érection. Mais je ne le peux pas car mon sexe est emprisonné par la ceinture de chasteté.
Une fois que Jean a fini d’éjaculer dans mon cul, Viviane demande à ma femme de me mettre un bouchon anal pour que je garde le sperme de son mari en moi.
Puis Viviane s’approche de moi, me regarde avec un air satisfait et vicieux en caressant mes couilles pleines. Elle constate avec plaisir que ma queue remplit toute la cage de chasteté transparente, excitation provoquée par la sodomie. Un filet de sperme pend au bout de mon gland car je n’ai pas pu éjaculer.
Ensuite Viviane qui porte des bas et un porte-jarretelles, se couche sur le ventre les jambes écartées. Ma femme me retire ma cage de chasteté mais laisse en place le bouchon anal dans mes fesses. Elle m’invite à m’allonger en contre bas par dessus Viviane pour que je frotte ma queue contre son mollet. Les bras tendus, je me tiens au dessus d’une de ses jambes. Pendant de longues minutes, je frotte mon sexe et mes parties génitales contre le bas qui recouvre sa jambe. Mon visage est placé légèrement en dessous de ses fesses. Je peux voir la fente de sa chatte. Je finis par éjaculer sur son bas. Viviane me demande ensuite de lécher mon sperme.
Tandis que ma femme qui nous regarde se fait lécher le sexe par Jean.
Mon épouse qui a fait mon éducation de soumis bi (se reporter au récit : Comment ma femme m’a appris à me faire saillir par des hommes) est ravie que je demande aux femmes que je veux prendre de m’enfoncer dans le cul plusieurs de leurs doigts pour que je puisse bander. Il m’est donc impossible de dissimuler ma bisexualité.
Beaucoup d’entre elles trouvent très excitant d’avoir des rapports intimes avec un homme qui se fait mettre comme une femme. Un peu comme si le fait de me faire sodomiser et faire des fellations, me place dans une position de partage avec elles.
Certaines veulent me voir me faire prendre par un homme avant que nous nous accouplions.
Elles me font prendre la position du missionnaire, jambes écartées, genoux remontés au niveau des épaules, fesses relevées. Elles aiment prendre dans la main la bitte de mon partenaire pour la diriger tout contre mon anus et la regarder s’enfoncer dans mon cul et me limer.
D’autres veulent que je me mette en levrette. Mes partenaires masculins me chevauchent en se mettant à califourchon au dessus de mes fesses, jambes écartées en se penchant au dessus de mon dos, en prenant appui sur mes hanches avec leurs mains.
En se plaçant derrière, cette position offre l’avantage de bien voir la bitte s’enfoncer dans le cul de celui qui se fait sodomiser.
Quand je sors faire des courses avec Sophie, elle aime me dire, lorsque nous croisons des hommes, ceux qui m’ont déjà sailli, ou qui ont l’habitude de le faire. Certains sont mariés. Comme quoi…
Parfois nos épouses nous imposent à moi et Jean de longues périodes d’abstinence hétérosexuelle. Durant lesquelles elles nous permettent seulement d’avoir des relations sexuelles avec des hommes, à condition que celles-ci se passent devant elles et leurs amies, qu’elles invitent pour l’occasion.
Si les hommes aiment voir des femmes faire l’amour ensemble, les femmes adorent voir des rapports homosexuels entre hommes.
Pour nous exhiber devant leurs amies, Sophie nous demande à Jean et à moi de nous mettre debout face à face, de nous rouler des pelles, de frotter nos sexes l’un contre l’autre, de nous caresser le cul, les couilles, de nous sucer les seins….
En doigtant Jean, je constate que son anus est plus ouvert que le mien car Viviane lui fait pratiquer la double sodomie.
Puis, c’est au tour de Viviane qui nous demande de nous allonger par terre en position de soixante neuf pour nous faire mutuellement une fellation. Nous éjaculons dans la bouche de l’un et de l’autre et à la demande des femmes présentes nous avalons nos spermes.
Plus tard, Viviane fait entrer dans la pièce un homme nu corpulent, le visage recouvert d’une cagoule. Elle lui demande comme à moi de nous allonger sur le tapis tête bêche face à face. Mon visage se retrouve face au bas ventre de cet homme. Il a de grosses couilles. Il décalotte avec sa main le gland turgescent de son sexe imposant en diamètre. Il le passe sur mes lèvres et glisse sa bite dans ma bouche. Puis, elle m’ordonne de le sucer jusqu’à qu’il éjacule et d’avaler son foutre.
Dans mon apprentissage de la bisexualité, mon épouse m’a dressé à me faire prendre même quand je n’en avais pas envie. Pour se faire, elle m’a confié quelque temps à l’un des amis de Viviane, un dominant particulièrement vicieux et imaginatif, spécialisé dans l’éducation des hommes soumis que des femmes ou des hommes lui confient.
Il m’a fait saillir par plusieurs de ses soumis de tous âges, devant mon épouse et Viviane et d’autres personnes. Allongé de côté sur un matelas, ils se sont succédés les uns derrière les autres. Je devais relever une jambe pour que l’on voie bien les bites de ces hommes me pénétrer. J’ai dû me soumettre à plusieurs séances de ce genre.
Sophie et Viviane adorent que Jean et moi les regardions faire l’amour avec d’autres hommes. Nous nous allongeons nus dans le lit à côté d’elles pendant que leurs amants les baisent Nous aimons, l’un comme l’autre, voir nos épouses prises par d’autres hommes et jouir devant nous pendant que nous nous masturbons.
Philémon
*rien à voir, avec moi, hélas….
Merci à toi, de me donner ce récit... Il reprend tous mes fantasmes !
Elle
Sa peau est douce comme celle d’un bébé mais ses épaules sont bien celles d’un homme. Elle le regarde, partagée entre le désir de le serrer tendrement dans ses bras et celui de se rapprocher moins farouchement de son corps : son cou, ses épaules, son ventre, ses cuisses, son sexe… l’attirent comme une douceur trop sucrée ou trop grasse… de celles qui culpabilisent mais qui sont si délicieuses…
S’il connaissait les pensées qu'Elle a pour Lui : elles la mettent dans un état second, lui réchauffent le ventre, lui donnent des sueurs froides et des frissons dans tout le corps... Combien de fois s'est-elle caressée en pensant à lui, à sa langue surement si douce, à ses doigts impertinents et ses cuisses musclées qui l’enserrent pour aller plus profond en Elle.
Elle laisse ses mains découvrir sur son torse… descendre doucement pour découvrir les premières lignes de bataille… Sentir son cœur battre sous son oreille et ses muscles se tendre sous ses caresses. Percevoir son appétit monter doucement, sa respiration s’accélérer, sa chair se réchauffer et son sexe là tout prêt… Elle aimerait alors avoir dix mains, à ce moment, telle la déesse hindoue Kali… Toucher partout, en même temps, glisser ses doigts partout où cela est possible, parcourir chaque courbe, chaque centimètre, connaître par cœur cette carte du plaisir…
Sa bouche aussi le convoite. Sa langue veut aller partout sur ce corps, goûter, lécher, savourer… Son ventre aussi appelle : Elle est à flot, n’en peut plus, prend feu…
Le prendre dans sa bouche, le manger tout entier. Elle n'en n'a pas assez… Voici Shiva, dieu hindoue habituellement représenté par un phallus et symbole de l'énergie sexuelle… Il représente le paradoxe, la transcendance, il est destructeur et créateur, commencement et fin, générosité et fureur, feu intérieur qui dévore les solitaires, temps qui détruit et recrée le monde… Elle sent sa défaillance sous sa langue... Elle aime son goût et son odeur… Mais Elle ne veut pas le sentir couler dans sa gorge, chaud et amer. Elle le veut au fond d'Elle, marquant son empreinte pour toujours.
A ce moment, Elle est à Lui. Du moins se plait-Elle à le croire, écrasée contre lui, la tête calée dans ses bras…
Elle le veut -de plus en plus loin, plus fort... Elle le veut partout à la fois, dans son corps soumis et possédé…
Sa conduite indomptable, sauvage, incontrôlée, la séduit… La pensée de le partager avec d’autres l’excite soudain. Elle aimerait s'écarter de la scène et contempler sans être partie prenante, le regarder mourir de plaisir et se sentir dévorée par l’envie de le toucher, l’observer perdre pied, lâcher prise, perdre enfin son pouvoir, son contrôle, s’effondrer, implorer le plaisir… Le dessiner à ce moment, saisir cette image pour toujours…
Le partager, mais pas le perdre. Ce qu'Elle ressent à ce moment ne doit jamais s'arrêter... Elle le sent l’envahir et Elle s’incline... Ses seules pensées sont de se pencher, s’infléchir, se courber, pour Lui permettre de s’insérer toujours plus loin en Elle. Une chaleur envahit son corps, devenu hypersensible… celle-ci monte, descend, rejoint ses pieds, ses mains, sa tête… Elle n'est pas sous l’eau, mais nage dans un liquide qui l’allège… L’abandon… le décrochage est complet, Ils s’envolent… Tous ses membres ne sont plus qu’occupés à rendre ce moment de plaisir absolu éternel. Son esprit si souvent préoccupé, ses inquiétudes, ses troubles, ses projets… Tout cela s’efface et, enfin, Elle ne vit que l’instant présent. Plus rien d’autre ne compte, mélange d’harmonie totale avec le monde et, en même temps, le plus beau moment d’égoïsme qu'Elle connaisse…
Ils reprennent enfin contact avec leurs corps, ressentent à nouveau leurs organes, leurs cœurs battre de façon absurde et leurs respirations résonner dans leurs oreilles.
Ses yeux bleus -sa folie douce, un oxymore qui rivalise avec « l’obscure clarté tombant des étoiles » de Corneille ... C’est pourtant tout ce qu'Elle ressent… Quand Elle revient à elle, le désir de le serrer tendrement reprend le dessus… Il semble ailleurs, un sourire apaisé sur les lèvres… Mille idées lui traversent l’esprit mais Elle ne peut lui en parler, redeviens pragmatique, raisonne, respire profondément et envisage rapidement d’autres sujets de conversation…
« Surtout ne rien projeter, se dit-elle, cela risque de gâcher ce moment… »
Signé : Marion
Ps : Marion, si tu me lis, impossible de te retrouver su fb… écris-moi !
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Un texte très cochon comme je les aime !
Bisous
Mélanie
http://confessions69.can alblog.com/
La bisexualité est un vrai plaisir. Les hommes qui n'ont jamais osé pensent qu'il s'agit de pratiques déviantes.
OK, ce n'est pas tout à fait naturel, mais quel plaisir de sentir une bonne queue fichée dans son cul, de sentir une bite bien dure limer son anus. Quel plaisir de sentir le sperme exploser au fond de sa gorge.
J'ai beaucoup aimé ce récit, qui me fait penser à certaines choses que je vis avec Maitresse Ollivia