Les Mémoires très Libertines de Sophie
Valy et son frère...
Nous avons enfin réussi à nous mettre d'accord, Valy, son frère François et moi. Ce ne fut pas chose aisée, d’abord avec Valy nous avons un travail extrêmement prenant et fatigant. François, de son côté, poursuit des études de médecine et compte bien les rattraper et pour cela, il travaille beaucoup. Il nous a bien fallu trois mois pour trouver une soirée commune.
Enfin elle est là. Bien que mon appartement soit légèrement moins spacieux que celui de Valy, j'arrive à la convaincre que nous serons mieux chez moi. C'est que j'ai toujours ma petite idée en tête, faire baiser le frère et la sœur qui ont souvent joué avec leur corps et n'ont jamais osé faire vraiment l'amour. Et dans ma petite tête, je me dis que s'ils se retrouvent dans un lieu qui ne leur est pas commun, j'arriverai à peut-être à leur faire franchir le pas.
Valy était arrivée assez tôt chez moi pour préparer un petit repas sympa, fait essentiellement de plats antillais très relevés. De mon côté je prépare les apéritifs assortis de ce que l'on appelle chez nous les Pieds-Noirs de la Kemia, équivalent en plus épicé, aux tacos espagnols. Bref, de quoi nous mettre tous les trois en grand appétit. Voilà, tout est prêt, Valy va dans la salle de bains se faire une beauté et se changer.
Quand elle me rejoint, elle est éblouissante. Pour tout vêtement, elle a une robe légère et courte, très décolletée, retenue par des bretelles très fines nouées sur sa nuque. Le tissu de cette robe est si fin qu'on peut admirer son corps à travers lui et constater qu'elle est entièrement nue dessous. Ses pieds (elle en a deux) nus sont décorés de fines lanières qui leur permettent de reposer sur une fine semelle cuir. Une petite bague à un orteil finit d'embellir ses jolis petons.
« Ma chérie, tu es belle ainsi et tellement bandante, tu es irrésistible. Ça va être dur de résister pour ton frangin.
- Maïs j'espère bien que ce sera difficile pour lui. La soirée n'en sera que plus excitante. Et puis tu sais, ça fait longtemps que je le suce, et j'ai trop envie qu'il me baise. Je sais que ce n’est pas bien, mais j'ai vraiment trop envie ! » me répond Valy avec ce sourire formidablement sensuel dont elle a le secret.
J'étais heureux, car je sentais que Valy allait, sans le savoir, beaucoup m'aider à réaliser mon rêve de la voir baiser avec son frère. Et la connaissant, je savais qu'il serait plus que très difficile à François de résister aux assauts de sa sœur.
En attendant l'arrivée du frangin, nous nous câlinons, et c'est au moment où j'allais faire subir à Valy des outrages qui, grâce à Éros, seraient loin d'être les derniers, que l'on sonne à la porte. Valy rajuste sa robe et se précipite pour ouvrir.
C'est son frangin, il est presque à l'heure, il tient dans sa main une bouteille de champagne. Valy lui saute au cou et l'embrasse à pleine bouche. Je m’approche, lui serre la main, récupère sa bouteille, le fait entrer et ferme la porte.
« Salut mon p'tit frangin, bienvenue chez Bruno », dit Valy à François en l'entrainant dans le salon.
Nous nous asseyons sur la moquette dos appuyé au canapé. Ainsi, l'apéritif est à portée de mains. Ma belle amie est assise entre son frère et moi. Nous buvons nos verres tout en dégustant ma kémia, particulièrement épicée, ce qui a pour avantage d'aiguiser un peu plus nos sens, et dans le même temps de nous donner soif. Ainsi, très vite nous sommes assez gais et plein d'envie de câlins. Valy devient de plus envie excitée et m'embrasse à pleine bouche, puis en fait autant à François tout en caressant nos queues pardessus nos pantalons, qui font une grosse bosse au niveau de la braguette. Notre affaire démarre bien. Mais il nous faut passer à table. Malgré ses envies, Valy ne se fait pas prier, car elle a hâte de nous voir manger les petits plats des Antilles qu'elle nous a amoureusement préparés.
Le repas se passe en rires et plaisanteries cochonnes. Le vin consommé nous rend suffisamment gais pour que nous n'ayons plus qu'une envie : BAISER !!
Les plats terminés, Valy s'en va dans la cuisine nous chercher le dessert. Elle en revient avec un plateau où il y a de la crème chantilly et de la crème au chocolat. Elle est entièrement nue. Bon sang qu'est-ce qu'elle est belle. Son frère et moi la regardons avec admiration et envie. Elle respire la sensualité. Elle arbore un sourire provoquant, pose son plateau sur la table, la débarrasse, s'allonge sur la nappe nous regarde et nous dit d'une voix rauque
« Mes chéris le dessert ce sont les crèmes et............moi. Bon appétit !!! »
Sacré Valy, cette fille est vraiment étonnante. Elle a droit une à récompense, aussi je débouche la bouteille de champagne et remplis un verre. François et moi y trempons nos queues et les donnons à sucer à Valy. On répète l'opération à plusieurs reprises, la belle mérite bien ça... Puis je demande à Valy de s'installer de manière à ce que sa chatte soit en l'air et nous serve de coupe. Je ne connais pas de meilleur récipient pour boire du champagne, sans compter que les bulles provoquent des picotements excitants dans sa chatte.
Valy est prête, jambes écartées et chatte assez relevée, j'y fais couler un peu de champagne. La belle émet des gloussements de plaisirs. Le liquide très frais et pétillant au contact de ses muqueuses lui donne du plaisir. François se met à lamper la chatte de sa frangine, après quelques hésitations.
« Tu sais Bruno, Valy m'a sucé quelques fois mais je n'ai jamais léché sa chatte. Elle est douce, et avec le champagne c'est un vrai nectar ! » me dit François comme pour s'excuser.
Il n'empêche que tout hésitant qu'il soit, François se régale et continue de lécher sa sœur alors qu'il y a longtemps qu'il a bu le champagne. Malgré mon envie de boire à mon tour, je le laisse faire. Je trouve très excitant qu'un frère et une sœur se fassent plaisir. Sans compter que nous sommes tous les trois un peu gais à cause des boissons et, ajouté à l'excitation, je suis à peu prés sûr que je vais réussir à les faire baiser, ces deux-là. Durant qu'ils se régalent de lécher et se faire lécher, je m'occupe de la belle grosse queue de François. Elle m'a laissé un très bon souvenir. Il bande déjà bien dur, c'est dommage, j'aurais aimé le sentir grossir dans ma bouche, j'adore cette sensation quand on sent une verge prendre de plus en plus de place dans la bouche.
Mais bon, telle qu'elle est, elle me plait je la déguste avec application et gourmandise. De temps en temps, je mordille très légèrement son gland. Je sais par Valy que ça excite beaucoup son frère. Effectivement, il remue son bassin comme si ma bouche était un sexe à baiser. J'entends ces grognements de plaisir un peu étouffés par la chatte de Valy. Celle-ci est à son affaire, elle a orgasme sur orgasme, et hurle son plaisir par des :
« Oh ! Oui ! Vas-y, continue mon François, continue c'est tellement bon ! »
Par expérience, je sais que dans ces cas-là, elle mouille abondamment, et que le goût à la fois acre et sucré est particulièrement bon. Aussi, je ne m'étonne pas que François redouble de coups de langues sur sa chatte. Tel que je suis placé tout en suçant François, je vois le joli cul de Valy, et je glisse ma main entre ses fesses pour pénétrer son délicieux petit trou si sensible au toucher. Le résultat ne se fait pas attendre, elle redouble de cris, elle n'en peut plus et enfin après un long moment de ce traitement elle craque et hurla presque :
« Oh ! Putain !! C’est trop bon, j'ai besoin d'une bite en moi, vite ! Baise-moi François, je t'en supplie ! »
François, qui ne sait plus où il en est lui non plus, ne réfléchit pas une seconde. Ce n'est plus sa sœur qui s'adresse à lui, mais une belle femme folle de désir, il change de position et embroche Valy d'un seul coup. Celle-ci crie un :
« Enfin !! » où l’on sent bien que cela fait longtemps qu'elle attendait ce moment.
Devant ce spectacle, je me recule et m'installe dans un fauteuil pour assister au spectacle. C'est un moment important, cela faisait si longtemps qu'ils se retenaient à cause de ce foutu tabou de l'inceste, qu’il aurait été criminel de m'immiscer et ainsi casser la magie. Et puis, ils sont beaux tous les deux et plein d'amour l'un pour l'autre, un amour fraternel certes, mais aussi un amour physique, une attirance profonde l'un pour l'autre. Il est fort possible que ce soit la seule et unique fois où ils baiseront ensemble. Je dois donc les laisser profiter de cet instant au maximum pour qu'ils s'en souviennent toute leur vie.
Ils ont fait l'amour ainsi un très long moment avant qu'ils atteignent l'orgasme quasi ensemble. Le plaisir et l'émotion aussi sans doute font qu'ils restent ainsi allongés l'un dans l'autre, sans autre mouvement que celui de leurs lèvres jointes en un baiser à la fois chaud et tendre. Et enfin, ils se séparent, s'allongent l'un à côté de l'autre en silence les yeux dans les yeux.
Enfin, François réagit le premier et en caressant tendrement la joue de sa frangine lui dit :
« Pardonne-moi ma petite sœur, je ne sais pas ce qui m'a pris, tu es si belle et si excitante !
- Tu sais mon François, je ne t'aurais jamais pardonné si tu ne m'avais pas baisée, je t'en aurais vraiment voulu, ça fait tellement longtemps que j'en avais envie !
- Moi, aussi tu sais, j'en avais envie, mais ce n’est pas facile à dire, et surtout à faire, ces trucs là, ce n’est tout de même pas très autorisé.
- Ne te fais pas de soucis, p'tit frère, on l'a fait chez Bruno, ici ça ne craint rien, il n'ira pas le crier sous les toits, n'est-ce pas mon chéri ?
- Parole d'homme, ma Valy. Et puis d'ailleurs je ne sais même pas de quoi vous parlez, alors !!! »
Et nous sommes partis tous les trois d'un grand éclat de rire c'était nécessaire car l'atmosphère était devenu un peu lourde pendant un bref instant. Il fut suivi d'un long silence durant lequel seul le bruit de nos verres résonnait. Puis François nous demanda la permission de se retirer prétextant une excuse vaseuse. Je le laissais s'en aller à regret. Valy m'empêcha de protester. Je lui obéis car elle connaissait bien son frère. Quand nous nous sommes retrouvés seuls elle me dit :
« Ne t'inquiète pas pour lui, il a toujours été très sensible. Et ce que nous venons de faire le touche plus que moi, mais il recommencera sois-en sûr !»
Et le fait est qu'une quinzaine de jours plus tard, il revint chez moi. Il y avait donné rendez-vous à Valy pour refaire l'amour avec nous et bien entendu avec elle. Il lui avait fallu tout ce temps pour digérer ce qu'il avait fait et admettre que dans le fond sa sœur et lui s'aimaient d'un amour profond et qu'il n'y avait aucun mal à se le prouver.
Et comme il avait trouvé en moi un complice parfait, ils utilisèrent mon appartement pour abriter leurs amours et me faire participer car la queue de François me plaisait énormément. Le départ de François n'avait pas calmé les ardeurs de Valy qui me sauta dessus et nous fîmes l'amour comme des fous tout le reste de la soirée.
Je vous raconterai bientôt une de ces soirées où François, enfin libéré de son cas de conscience, put donner la pleine mesure de sa queue...
Signé Bruno Bi
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Les surprises du métro Bir Hakeim
1990. Paris, dimanche fin d'après-midi, je prends le métro à Bir Hakeim je sors de ma boîte, je suis ambulancier, j'étais de garde depuis la veille au matin. A peine installé sur un strapontin, je remarque trois jeunes femmes blondes. L'une d'entre elles doit avoir quarante ans, les deux autres flirtent avec les vingt ans. Elles sont debout face à moi et parlent joyeusement. Je ne les écoute pas mais je les regarde, et mes yeux sont contents car elles sont fort agréables à voir. Cela me fait un bien fou, après ces trente-six heures où j'ai eu à manipuler des corps mal en point. Ce joli spectacle dure le temps de quatre stations. A la cinquième, elles descendent de la rame, mais la plus âgée maintient les portes ouvertes, me regarde avec insistance et à ma grande surprise me lance :
« Mais ! Alors ! Vous ne nous suivez pas ? »
Il n'y a ni reproche ni ironie dans ses propos, elle a juste l'air étonné que je ne vienne pas avec elles. Elle m'avoua plus tard que je les regardais avec tant d'insistance qu'elle ne trouvait pas normal que je ne les suive pas.
Les sous-entendus que laisse supposer l'expression dite en français à travers le monde « Ah! Les petites femmes de Paris ! » ne sont pas une légende. Alors, bien qu'un peu surpris par la manière cavalière de cette femme, je m'efforce de prendre un air dégagé, me lève et suis le charmant trio sur le quai de la station. Là un moment de silence normal s'installe entre nous car c'est une chose de réagir comme elles et moi l'avons fait et il en est une autre de poursuivre sur un mode intelligent et courtois.
Et puis, alors que nous nous regardions dans le blanc des yeux, une idée lumineuse me traverse le neurone : « Présentons-nous, le reste suivra automatiquement. »
La plus âgée se nomme Patricia. L'une des deux autres est Léa, nièce et filleule de Patricia. La troisième est Claudine. Léa et elle sont toutes deux étudiantes à l'école d'architecture et sont les meilleures amies du monde et ne se quittent pratiquement jamais. D'ailleurs, j'avais remarqué dans le métro que ces-deux là devaient être bien plus que meilleures amies, elles avaient des manières de se frôler et de se regarder qui ne trompent pas. Patricia, une fois ces préliminaires terminés, me demande avec un grand sourire qui illumine son visage :
« Si vous n'avez rien de prévu ce soir et que personne ne vous attend, venez chez moi. Nous faisons une petite soirée informelle entre nous. »
Si là, je ne viens pas de me faire draguer, c'est que vraiment je ne connais plus rien à rien moi. J'accepte avec enthousiasme son invitation et nous nous dirigeons vers son domicile. En chemin elle m'explique que Léa est sa nièce et sa filleule mais qu'en réalité elle est bien plus pour elle depuis longtemps. Tiens, tiens ! Si ce que je pense est vrai, la soirée risque d'être amusante.
Nous arrivons enfin chez elle. C'est un vaste duplex, luxueux et moderne. Nous entrons dans son salon. Pas de fauteuil. Juste un immense canapé et, lui faisant face, une montagne de coussins multicolores sur lesquels Léa et Claudine se vautrent et se caressent sans même se demander si je vais être choqué. Patricia s'approche de nous, faussement scandalisée et les rappelle à l'ordre. On ne sent d'ailleurs aucune conviction dans son propos, et même je dirais qu'il y a quelques sous-entendus :
« Allons, mes chéries ! Voulez-vous être sages un peu ? Nous avons toute la soirée devant nous. »
Puis elle dépose des flutes à champagne sur une table basse, me tend une bouteille de Brut et me demande :
« Bruno, veux-tu bien déboucher la bouteille, je te prie? J'ai quelque chose à faire, je reviens. Euh... tu permets que je te tutoie ? » me dit-elle sans même écouter ma réponse.
Elle quitte le salon, j'adore sa façon de se déplacer, elle ondule des hanches d'une manière plus que suggestive, et ça me fait bander. Pour penser à autre chose, je débouche la bouteille et remplis les 4 verres. Je m'abstiens de tendre leurs verres à Léa et Claudine. Ayant oublié les conseils de Patricia elles se bécotent à bouche que veux-tu. Dom Pérignon lui-même me reprocherait de les interrompre tant le spectacle est beau.
Patricia revient enfin. Elle s'est changée. Et pour du changement, c'en est un. Elle a un chemisier si fin qu'on pourrait se demander si elle en a un. Il laisse apparaître une paire de seins pas menus que rien ne soutient. Elle a enfilé une jupe si courte qu'on pourrait la confondre avec une ceinture très large. L'ensemble ne protège pas un corps mince et bien fait. Sa démarche est souple et sensuelle. Bref, une fort jolie femme parfaitement à l'aise dans cette tenue et qui, visiblement, s'amuse de constater que je suis moins à l'aise qu'elle. Patricia s'assied à mes côtés je lui tends son verre.
Et ça me permet de constater qu'elle a oublié de mettre une culotte. Sa chatte est finement ciselée et glabre. Voyant la direction de mon regard, elle écarte un peu plus ses jambes et m'octroie un sourire en stéréo du plus bel effet, ses quatre lèvres sont souriantes. Je suis tendu comme un arc elle s'en aperçoit et en caressant la bosse de ma braguette elle me dit :
« Mets-toi donc à l'aise. Regarde Léa et Claudine, elles n'ont pas attendu mon autorisation pour le faire. »
Dans mon émotion, je les avais oubliées, ces deux-là. Elles sont maintenant à poil et font un 69 très excitant. Deux filles qui se grignotent est un spectacle féérique.
« Vois comme elle est belle, ma nièce chérie ! Et puis tu sais, sa mouille est délicieuse, légèrement sucrée. Je l'ai initiée elle avait quatorze ans. Ce n'est pas bien je sais, mais elle et moi adorons ça. Je n'ai aucun interdit. »
Comme pour me le confirmer, elle joint le geste à la parole et retire mon pantalon. Elle a une légère surprise muette en constatant que je n'ai pas de slip mais cela ne semble pas la perturber. Seconde surprise plus flagrante celle-là mon absence totale de poil. Cette anecdote se passe il y a vingt ans, et à cette époque, c'était quelque chose de rare chez les hommes. Aussi elle interrompt les ébats des deux copines pour leur montrer mon entrejambe. Léa s'approche elle passe la main partout. Claudine la suit et plus dévergondée que sa copine embouche ma queue et la titille d'une langue mutine. Elle fait cela si bien que je lui rends la politesse. Nous voilà dans un 69 très chaud.
Je m'aperçois aussitôt que Léa avait vraiment chauffé Claudine car elle est toute mouillée. J'apprendrais dans un petit instant et pour mon plus grand plaisir que c'est une jeune femme fontaine. Léa voyant qu'elle n'a rien à attendre de sa copine se dirige vers sa tante la dénude entièrement et laisse courir ses mains sur son corps. Rapidement Patricia se met à gémir, les mouvements de son bassin montrent qu'elle aime ce qu'on lui fait. J'aime ce genre de femme qui aime aimer et qui le manifeste sans aucun complexe. Claudine, quant à elle, mouille de plus en plus, mon visage est tout mouillé d'elle, je me régale. Elle est sucré-salé dans ses épanchements, et son petit bouton se dresse encore un peu plus.
Patricia, chauffée à blanc par sa nièce, l'abandonne et vient vers moi, écarte Claudine pour s'empaler sur ma queue. Elle donne à son bassin les mêmes mouvements que lorsque Léa la léchait. Extraordinaire sensation, et ses gémissements qui grandissaient, de quoi entrer en éruption. Je sens que ça va arriver, je préviens Patricia qui change aussitôt de position et me prend en bouche. Elle me tète doucement pour retarder mon explosion. Mais celle-ci ne tarde pas à arriver, je pars, Patricia n'en perd pas une goutte. Elle me quitte pour retrouver les deux copines et partager avec elles mon sperme.
Amusante cette scène, on croirait voir deux oisillons recevant la becquée. Et elles aiment ce petit jeu des trois gourgandines. Leurs yeux pétillent, elles sont à leur affaire. Tout en me remettant de mes émotions, je remplis à nouveau nos verres. Les trois jeunes femmes sont sur le canapé, seule Patricia est assise, les deux autres continuent à se lutiner sans vergogne, visiblement pas encore repues. Sur une table basse était un gros mortier en bois d'olivier Léa prend le pilon et s'en sert comme d'un gode pour sodomiser Patricia.
Mes yeux papillonnent et je sens que doucement mon énergie revient. Mais j'ai envie d'uriner, je demande à Patricia où je peux aller me soulager. Elle interrompt aussitôt sa nièce :
« Viens je vais te conduire. »
Primesautière en diable, elle me précède et pour me guider me tire délicatement par la queue. Ce geste est tout de même amusant, et je souris de la situation en rendant grâce par la pensée à l'inventeur du métro sans qui je ne serais pas là ce soir. Nous arrivons dans une salle d'eau vaste et lumineuse, Patricia entre dans la baignoire et m'invite à l'y rejoindre. Elle s'allonge et me demande de pisser sur elle. Je suis heureux, cela faisait longtemps que je n'avais pas trouvé quelqu'un qui aime cela. J'ai une grosse envie et j'essaie de freiner mon débit pour que le plaisir dure. A la demande de Patricia je dirige un moment le jet vers sa bouche pour qu'elle me boive ,puis vers sa chatte dont elle écarte les lèvres, elle aime qu'on pisse en elle.
Uriner est comme bailler, cela donne envie aux autres, Claudine et Patricia nous rejoignent dans la grande baignoire, Patricia s'allonge sur sa tante pour lécher son corps tout mouillé. Claudine, qui a envie de pisser, vient sur moi et s'accroupit au dessus de mon visage et bouche grande ouverte, je la bois avec délice. Nos esprits échauffés nous font à nouveau baiser dans la baignoire. J'ai le plaisir de sodomiser Léa et Claudine durant que Patricia, à ma demande m'encule avec le pilon en olivier qui servait il y a peu à Claudine.
Après une bonne douche réparatrice, et un petit repas bienfaiteur, j'ai fini la nuit avec les filles sans rien faire d'autre que dormir, cette séance après mes longues heures de travail m’avait épuisé.
Après cela, comment ne pas dire : « Vive les transports en commun ! »
La Hollande, paradis de la soumision et de la zoo... (dernière partie)
La femme de l’inconnu, restée relativement passive jusque là, prit la main de mon épouse pour la faire sortir de ce cinéma où il ne faisait plus bon traîner. N’ayant pas d’autre choix que de la suivre, je partis à leur poursuite. L’inconnu semblait se désintéresser de nous, tout occupé à se rhabiller. Elles partirent en courant vers le quartier rouge. Cela n’était pas pour m’étonner ,compte tenu de ce qui s’était passé au cinéma ,ni pour me déplaire car j’avais vraiment été excité au cinéma sans pouvoir jouir. Deux femmes rien que pour moi, si toutefois elles m’acceptaient dans leurs jeux.
Elles rentrèrent dans une de ces maisons avec vitrine, et le temps que j’arrive, le rideau était déjà tiré. Je frappai à la porte. Enfin, elle s’ouvrit et une femme en vinyle et cuissardes apparut sur le seuil et me demanda :
« Que veux-tu ?
- Ma femme vient de rentrer avec une inconnue, puis-je entrer ?
- Entre, mais tu vas peut être le regretter. »
J’entrai sans réfléchir, sans avoir vraiment entendu la fin de la phrase, inquiet d’avoir perdu ma femme dans une des capitales du vice.
Elle referma la porte à clef, enleva la clef de la serrure, tira le rideau.
« Suis-moi, désormais tu m’appartiens, toi aussi. Je vais vous apprendre les règles de cette maison. »
Sans réfléchir à la portée de ses paroles, je la suivis avec pour seul objectif de retrouver ma femme que je ne voyais, ni n’entendais.
Le couloir était long et sombre. Elle me fit rentrer dans une pièce, et avant que je ne me rende compte de quoi que ce soit, elle ferma la porte. Je me trouvais plongé dans l’obscurité sans savoir où j’étais, sans savoir où ma femme était, un comble !!!
Je commençais vraiment à m’inquiéter. Je regrettais presqu’être allé dans ce cinéma et d’avoir rencontré ce couple d’inconnus qui nous avaient embarqué dans une aventure que je maitrisais pas du tout. J’essayais de tendre l’oreille pour entendre ma femme. Pas un bruit. J’étais plongé dans l’obscurité et je ne voyais absolument rien dans cette pièce. Je me mis à faire le tour à tâtons… La pièce était petite, de forme carré, trois pas de chaque côté et pas un seul meuble.
Elle me faisait penser à un cachot, à une chambre de mitard même si je n’en avais jamais visité. Il n’y avait pas d’odeur désagréable non plus. Après un temps qui me parut interminable, 30 minutes au minimum, j’entendis une clé dans la serrure. La porte s’ouvrit, la lumière me faisait presque mal aux yeux après avoir été plongé dans cette obscurité.
« Veux-tu rejoindre ta femme ?
- Oui, naturellement !
- Mets-toi à genoux, et les mains dans le dos. »
Tel un prisonnier en garde à vue, je m’exécutai sans douter de ce qui allait m’arriver. Elle passa derrière moi et m’attacha les mains avec des menottes. J’étais de plus en plus inquiet
« Que faites-vous ? lui demandais-je
- Tais-toi. Je vais te donner quelques règles de vie si tu veux revoir ta chère et tendre. »
Je ne la voyais pas car nous étions dans la pénombre, je devinai juste ses cuissardes de cuir noir avec des talons aiguille d’une dizaine de centimètre. Cette odeur de cuir ciré était vraiment très agréable.
« Première règle : m’appeler Madame K.
Deuxième règle : ne jamais me tutoyer.
Troisième règle : ne parler que si je te donne la permission de le faire.
Quatrième règle : écouter scrupuleusement mes instructions.
Cinquième règle : ne jamais me désobéir sinon c’est ta femme qui sera punie.
Elle égrenait les règles du jeu, et j’étais vraiment inquiet car je n’avais pas l’impression de participer à un jeu entre amis. Pourtant, nous avions l’habitude de pratiquer certaines mise en scène en France, entre libertins consentants dans des clubs que nous fréquentons depuis des années avec des amis.
Dans le même temps, je ne voyais pas comment j’allais refuser de prendre part à ce que j’avais de la peine à définir. Jeu sm sans danger, ou piège tendu par cette femme inconnue avec la complicité d’une prostituée parlant parfaitement la langue de Molière ?
Dans tous les cas de figure, nous étions à sa merci….
Madame K se plaça derrière moi, puis me passa un collier de chien. Pendant qu'elle accrochait ma laisse, elle me dit :
« Dorénavant, tu ne marcheras plus qu’à quatre pattes.
- Euh… oui, Madame K.
- Toi, c'est la première fois que tu viens ici ?
- Oui Madame, répondis-je aussitôt d'une voix timide.
- Pas Madame, Madame K. me fit-elle avec un sourire.
- Bien, alors on y va le chien, ta Maitresse et femme t'attend ! Contente-toi de bien obéir, et tu verras, tout se passera bien. »
Je suivis la jeune femme jusqu'à la porte. Une fois ouverte, la musique arriva jusqu'à mes oreilles. On changeait de décor. Je fus assez heureux pour mes genoux de découvrir de la moquette assez épaisse. On arriva bientôt dans un grand hall, où plusieurs personnes conversaient, visiblement en m'attendant. On fit le tour d'un petit comptoir, et je reconnus immédiatement les chaussures de ma femme. J'étais d'un coup plus rassuré. Elle était bien là.
J'avais soudainement une envie folle de me jeter à ses pieds, d'embrasser et de frotter ma joue contre ses chaussures pour lui montrer mon amour, comme un bon chien fait la fête à sa maîtresse quand il la retrouve. Néanmoins, je me rappelai vite les consignes. Je restais sage, et m'assis aux pieds en gardant une position bien soumise. Madame K tendit la laisse à ma femme :
« Tenez, Mademoiselle.
- Merci, il a été sage au moins ?
- Un bon toutou ? Il a l'air un peu perdu, mais il est bien élevé.
- Oui, c'est la première fois que je l'amène, mais il est plein de bonne volonté, j’en suis sure. Je suis certaine qu'il va être parfait.
- Alors bonne soirée, Mademoiselle.
- Merci », fit ma femme, alors qu'elle prit la direction d'une double porte.
Je découvrais ma femme dans un rôle totalement inconnu pour moi. On dirait qu’elle avait très bien préparé son coup !
Une autre Femme, habillée exactement comme celle qui m'avait reçu, nous ouvrit la porte. La musique se fit plus forte, mélangée à des voix qui s'amusaient. Mais bien entendu, il n'y avait que des voix féminines, car j'entrais sans le savoir encore, dans le royaume des Femmes. Je suivais donc ma femme devenue ma Maitresse, en faisant bien attention de rester bien à la hauteur de ses pieds. Il ne fallait pas que je la gène d'aucune manière. Je l’avais vite compris ! Je me pris au jeu que je découvrais…
J'étais donc très attentif à la vitesse de son pas. Je marchais à sa droite, et le plus délicat était justement les virages à droite. Je devais anticiper, sentir ce changement de direction. Je découvrais ce royaume, et il y avait plein de choses à observer. Pourtant, je restais concentré uniquement sur ma tâche. Un virage à droite sans que j'y fasse attention, et c’est ma maitresse qui me rentre dedans et perd l'équilibre.. Ca aurait été une catastrophe !
Et justement, nous allions vers la droite, vers un bar tout en longueur. Ma femme s'installa sur un haut tabouret. Je m'assis donc à ses pieds, les fesses sur les talons, les mains dans le dos, la tête légèrement baissée. Elle commanda une coupe de champagne, et moi je pouvais tranquillement observer cet endroit idyllique. Ce monde merveilleux où la Femme est reine, enfin à sa place, respectée, aimée, libre d'être enfin heureuse. Je sentais ma Maitresse et femme complètement épanouie, nageant dans le plus grand bonheur. Elle me caressait la tête, me gratouillait la nuque avec ses ongles, comme on le fait avec son chien assis à ses cotés.
Le vrai bonheur de toutes ces Femmes, était qu'ici, il n'y avait pas d'homme.
Ces Femmes avaient compris où était leur bonheur. Ici, il n'y avait que des mâles soumis, des petits chiens, des esclaves. La nudité était de rigueur. Il fallait ramener l'homme dans son plus simple appareil, dans son état le plus primaire, à sa place. Les habits et toutes les jolies choses, étaient exclusivement réservés aux Femmes. Même si mon champ de vision était assez bas, j'avais pu lire à l'entrée, sur une jolie petite plaque, que les mâles devaient obligatoirement être tenus en laisse. Aucune exception n'était tolérée. Ici, un mâle en liberté était inconcevable.
C'était une grande salle avec des petits salons entourés de fleurs, une piste de danse, et tout au fond, une large scène éteinte. Sur la gauche, à quelques mètres d'où nous étions arrivés, il y avait un autre vestiaire. Quand les maîtresses voulaient être tranquilles pour s'amuser, danser, où discuter entre amies, elles pouvaient alors ranger leurs mâles dans ce vestiaire, adapté pour la circonstance. Une jeune Femme, habillée toujours de la même façon que celle qui m'a accueilli, se chargeait de nous récupérer dans la salle pour nous ranger ensuite, tant que la Maitresse n'avait pas besoin de nous. On m'expliqua qu'au départ, tous les mâles étaient dans une même pièce. Libres. La générosité et la bonté des Femmes nous avaient autorisé un peu de liberté.
Il y avait beaucoup de monde de soir là. Les Femmes étaient toutes très belles. Les mâles tous aux pieds. La jeune Femme qui m'accueillit avait raison. Chaque Maitresse avait ses habitudes, ses préférences. Je pouvais voir des petits chiens comme moi marcher à quatre pattes. D'autres marchaient debout derrière elle, les mains menottés dans le dos, la tête basse. Ils s'agenouillaient alors dès que leurs Maitresses s'arrêtaient.
Chaque soumis avait une identité différente. Je pus voir passer devant moi un très joli chien. A quatre pattes bien sûr. Il avait une muselière. Il n'avait plus de main, mais de vraies pattes. Une sorte de gant passé à chaque main, mais au bout, c'était de vraies pattes rembourrées avec leurs petites griffes. Il avait aussi une magnifique queue en panache. C'était une fausse bien sûr, fixé sur un gode qui était correctement planté dans l'anus du soumis. J'avoue qu'il était très beau.
Il y avait ceux qui portaient des chaînes, reliant leurs chevilles entre elles, ou leurs mains, parfois relié au collier du cou. Certains étaient tatoués, percés. D'autres avaient des baillons boules, des mors, des rosebub très jolis.
Pour le sexe, il y avait deux conceptions qui parfois étaient sujet de discordes parmi les Maitresses. Il y avait celles qui préféraient que leurs mâles aient un sexe en érection, bien droit, fier, afin de montrer à tous le monde le désir qu'il éprouve pour leur Maitresse.
Et puis il y avait celles qui trouvaient cela vulgaire. Certaines s'étaient plaintes, mais la direction voulait laisser le libre choix aux Maitresses d'exhiber leurs mâles comme elles le souhaitaient. Par contre, il était demandé que chaque mâle soit rasé, symbole de soumission. Pour les mâles velus, une belle toison sur le torse était tolérée à condition qu'elle soit correctement entretenue.
Ce lieu offrait aux Femmes tout ce qui était possible pour leur confort.
Les rapports sexuels n'étaient pas autorisés dans la salle. Il y avait néanmoins une petite tolérance. En étant discret, dans certains petits salons où la lumière était plus tamisée, les Maitresses pouvaient faire venir les mâles entre leurs jambes pour se faire prodiguer un petit cunnilingus.
Pour les Maitresses qui voulaient davantage, il y avait à l'étage des petites chambres spécialement étudiées pour que chacune puisse jouer avec leurs soumis, selon ses désirs. Avant de gagner les chambres, il y avait une petite pièce où une Madame K K travaillant dans l'établissement fournissait tous les instruments pouvant agrémenter le jeu des Femmes.
On pouvait y retirer des martinets, cravaches, pinces, gode ceinture, chaînes de longueur diverses.
Dans chaque chambre, il y avait un lit, des anneaux au plafond et aux murs. Il y avait aussi une grande chambre commune, ou plusieurs Madame K Ks pouvaient s'amuser ensemble en accouplant leurs mâles entre eux, afin de les humilier davantage.
Au sous sol, Il y avait cinq Maitresses, spécialisées dans le dressage des mâles soumis. Pour diverses raisons, les Femmes pouvaient donc inscrire leurs soumis pour une ou plusieurs séances, ou alors pour un dressage complet.
J'entendis la Femme qui discutait avec ma nouvelle Maitresse au bar, lui expliquer qu'elle avait préféré confier son mari à des mains expertes. Ainsi, chaque vendredi soir, elle amenait son mari au dressage. Elle confiait à ma Maitresse que les résultats étaient surprenants. Son mari était un ancien directeur de banque, macho à souhait. Et depuis un mois qu'il avait commencé à être dressé, ses progrès étaient saisissants et prometteurs. La transformation de mari en mâle soumis ravissait la Femme. Ma Maitresse ne fit que l'encourager à poursuivre, lui vantant avec bonheur la joie de posséder un bon chien obéissant et docile.
Il y avait parfois des ventes de soumis pour les Femmes seules désirant acquérir un mâle. Le prix était raisonnable. Ce n'était pas pour gagner de l'argent. Ici, le bonheur des Femmes était prioritaire. Mais le prix servait à couvrir les frais de recrutements et de dressage. Et le cercle garantissait une soumission la plus totale, sélectionnant avec soin les mâles les plus soumis.
On pouvait assister à une séance de punitions collectives, ou d'humiliation publique.
Mais le cercle offrait encore davantage. Il possédait deux immenses propriétés, toujours pour le bonheur des Femmes.
Une, dans le sud de la France, était spécialement conçue pour recevoir les Maitresses pendant des séjours de vacances. Là aussi, tout était prévu pour qu'elles puissent venir librement avec leurs mâles soumis.
L'autre propriété se situait au sud de la Hollande. C'est là notamment que le cercle transformait les hommes en bons petits chiens.
Je fut tiré de mes observations quand ma Maitresse me présenta à deux nouvelles connaissances qui venaient d'arriver.
« Marco, je te présente de très bonnes amies à moi. Maitresse Carole et Maitresse Sandrine.
- Tu le gardes avec toi ?
- Oui, il est sage. Et pour la première fois je préfère le garder avec moi. Il se couchera aux pieds. »
Je suis resté une bonne heure couché aux pieds de ma Maitresse pendant qu'elle s'amusait avec ses amies. Elle avait retiré une de ses chaussures afin que je puisse m'occuper avec ma langue. Je lui léchais amoureusement, tétant l'un après l'autre chaque doigt de pied. Nous sommes restés encore une petite demi-heure, les mâles couchés aux pieds de leurs Maitresses respectives. Puis nous sommes partis.
Je refis le chemin inverse de mon arrivée. Je repassai donc avec Madame K qui m'avait accueilli. Je pus me rhabiller et sortir.
Quelques minutes plus tard, ma femme et nouvelle Maitresse, sortit à son tour par la grande porte, heureuse, épanouie. Elle avait enfin trouvé le monde qui lui convenait. De retour à l’hôtel, elle m'ordonna immédiatement de prendre une douche, et de l'attendre sur le lit, couché sur le dos. Ma femme arriva peu après, vint sur moi, et se fit l'amour sur mon sexe plein de désirs.
Quand elle eut crié son plaisir, vaincu par la fatigue de toute cette merveilleuse journée, elle m'ordonna de gagner ma nouvelle place aux pieds du lit….
Si j’avais su à quoi je m’exposais quand j’ai suivi ma femme dans cette « vitrine »… Je ne sais pas si je serai entré ou pas ! J’ai découvert un nouvel univers qui me plait et me fascine…
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La Hollande, paradis de la soumision et de la zoo...
Une année, lors d'un voyage en Hollande avec ma femme, nous étions allés un soir faire une sortie coquine à Amsterdam. C’est un lieu incontournable quand on se trouve dans ce pays et qu'on est un tant soit peu ouvert aux plaisirs du sexe.
Nous faisions la tournée des sex-shops dans le quartier rouge et mon attention a été arrêtée par un panneau invitant à rentrer dans un cinéma projetant des films avec des animaux. Ma chérie, voyant que je marquais un temps d'arrêt devant ce panneau, me demanda si je voulais entrer, je lui répondis que c'était un vieux fantasme et que je serais ravi de rentrer voir ça !
Nous voilà donc dans une salle obscure, où tournait en boucle un film dans lequel une jeune femme, plutôt bien de sa personne, profitait des attributs virils de son chien, et même, à un moment, d'un poney.
Nous étions assis dans la même rangée qu'un couple que nous ne vîmes qu'une fois que nos yeux se furent habitués à la lumière.
Une place vide se trouvait entre ma femme et l'homme du couple voisin.
Rapidement, je fus excité par les images de la femme qui, à quatre pattes sur le sol, se faisait vigoureusement baiser par un gros chien. On voyait la grosse bite rouge entrer et sortir de sa chatte toute dégoulinante de sperme canin. Je bandais ferme, et ma femme, dont la main était posée sur ma braguette, me regarda avec un petit sourire. Elle me dit à l'oreille de l'aider à sortir ma queue discrètement pour qu'elle puisse me branler.
Je lui fis remarquer que l'homme non loin d'elle était dans le même état que moi et ne se cachait pas. En effet, il était pantalon défait, la queue bien visible malgré la pénombre, le gland brillant et décalotté, et la main de la femme à côté de lui qui lui caressait les couilles.
Nous vîmes aussi qu'il regardait de notre côté, et particulièrement, qu'il détaillait ma femme avec appétit.
C'est donc sans nous cacher que je me suis mis à l'aise, et que je me suis fait prendre en main par la petite mimine de ma chérie. Dans le même temps, j’envoyais la mienne en reconnaissance sous sa jupe longue, que je fis remonter pour avoir accès plus facilement à sa chatte.
C'est une chatte bien coulante que je découvrai entre ses cuisses et je lui fis remarquer que mon fantasme avait l'air de bien l'exciter elle aussi. Elle prétendit que c'était la situation avec le couple à côté de nous en train de se caresser et de nous mater qui l'excitait. Je découvrais donc ses cuisses largement, lui fis écarter les jambes pour que son voisin puisse admirer ses trésors humides… Ce qu'il ne se priva pas de faire. La femme située à côté de lui, elle aussi se pencha au dessus de lui pour nous regarder nous exhiber devant eux.
Ils nous souriaient et avaient l'air fort avenant. Nous mations et nous exhibions tous les quatre. Mais nous continuons de regarder l'écran, où la femme maintenant était en train de se faire défoncer par un poney. Elle était allongée sur le ventre sur un banc prévu à cet effet, et à la bonne hauteur. Ainsi, elle dirigeait vers son con grand ouvert, la queue monstrueuse, terminée par une sorte de champignon d'où s'écoulait un sperme abondant. De sa chatte sortait aussi un trop plein de sperme animal et dégorgeait jusque sur ses cuisses. L'animal poussait violemment son vit démesuré dans le ventre inondé de la femme dont les quelques gros plans sur le visage laissaient à penser qu'elle y prenait un plaisir intense.
Il était incroyable de voir cette grosseur entrer si facilement dans cette fente humaine ! Il faut dire que la bête coulait abondamment et qu'elle poussait si fort qu'il fallait bien que les chairs s'écartent pour laisser passer son ardeur bestiale ! D’ailleurs, celle-ci était bien dirigée par la main même de la femme.
Cette scène accapara tellement notre attention que nous ne vîmes par nos voisins se rapprocher de nous. C’est seulement quand la main de l'homme vint se joindre à la mienne pour caresser le con gluant de ma petite salope, que nous en prîmes conscience.
Ma femme me regarda, au moment où elle sentit les doigts de l'inconnu la toucher, avec un regard tout chaviré. Je l'embrassais pour l'encourager à se laisser aller à son plaisir. Elle se pencha sur moi pour me prendre dans sa bouche, et se faisant offrir sa croupe dénudée aux mains exploratrices.
Les doigts de l'homme entraient maintenant dans la petite chatte de ma femme adorée lui faisant un bien fou. Elle adore se faire fouiller de la sorte.
Puis je vis l'homme se lever et se positionner pour embrocher ma petite pute, je le vis avec soulagement enfiler une capote sur son vit congestionné, je saisis alors cette bite tendue dans mes doigts, en appréciant la rigidité et la longueur et la fis glisser contre les lèvres vaginales de mon épouse, la faisant attendre pour qu'elle le souhaite en elle le plus fort possible. Jugeant enfin qu'elle avait droit à sa récompense, je le positionnais bien entre ses lèvres juteuses et le poussais à l'intérieur de son ventre.
Je lui murmurais en même temps qu'elle était une chienne, qu'elle se faisait prendre comme une chienne, que je l'aimais quand elle était bien salope comme ça et que je voulais qu'elle prenne bien son plaisir avec la queue qui la labourait maintenant.
Elle serrait ma main avec force me faisant ainsi participer à l'orgasme dévastateur qui montait en elle. De l'autre main, je sentais la bite de l'homme entrer et sortir de ses entrailles, poussée aussi par la main de sa compagne que je sentais par moment se joindre à la mienne.
Puis l'inconnu se jeta contre elle, le ventre collé à son cul relevé. Dans des spasmes fulgurants, il se vida de son jus épais dans le ventre de ma chérie qui hurlait son plaisir. Heureusement le film faisait plus de bruit que nous ! Pourtant, nous avions fini, malgré le fait que nous soyons placés au fond de la salle, par attirer l'attention des autres spectateurs. Aussi, nous dûmes nous sauver rapidement, car un attroupement d'hommes en rut, commençait à se faire autour de nous.
A suivre...
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L'urologie, voila une pratique que j'adore. Sentir la chaleur de la douche dorée inonder la bouche, prendre une douche de la tête aux pieds, j'ai du mal à résister.
Merci pour ce récit