Les Mémoires très Libertines de Sophie
Un déjeuner inhabituel
Hier jeudi, je suis allée, une fois n’est pas coutume, acheter un plat tout préparé chez le traiteur chinois.
A mon arrivée, je vois le camion de la société qui entretient le réseau électrique dans ma boite. J’ai une pensée fugace pour deux des employés, qui passent souvent dans mon bureau. Un est vraiment top, comme j’aime !
Mais nous échangeons juste les données strictement nécessaires à leur mission. Après tout, je suis cadre sup dans cette société ! Et je préfère autant ne pas mélanger les genres…
Je rentre dans la boutique, et je les vois tout de suite, ils sont trois. Dont celui que j’apprécie, mais sans la tenue réglementaire. Ils me saluent, et une brève conversation s’engage :
« Bonjour Messieurs, vous allez bien ?
- Oui Madame, mais moi, je ne fais plus partie de l’entreprise, me répond celui sans uniforme.
- Ah bon, mais pourquoi donc, vous travailliez bien !
- Oui, merci madame, mais je viens de me mettre à mon compte.
- C’est bien d’avoir l’esprit d’initiative ! Comme cela, je saurai qui demander en cas de panne électrique chez moi ! »
Intérieurement, je pense déjà : « il ne bosse plus pour ma boite… yèèèh…. »
Notre petite conversation se poursuit à deux, car ses collègues partent du restaurant.
« Alors, comment je vous joindrais, au cas où ?
- A ce numéro, madame, me dit-il en me tendant une carte de visite. Il a un sourire d’enfer.
- Je fais du dépannage 24/24, vous pouvez m’appeler quand vous voulez », poursuit-il, plantant ses yeux dans les miens.
Là, je n’ai plus aucun doute : je lui plais autant qu’il me plait !
Mon plat est prêt. Il me demande alors :
« Vous allez le manger où ?
- Dans ma voiture, près de la plage, comme d’habitude.
- C’est vrai, je crois que vous ai déjà vue par là-bas, mais je n’osais pas venir vous parler. Vous êtes un chef…
- Je suis chef au bureau, pas dans la vie dehors !
- Oui, mais moi, je ne suis qu’un ouvrier. Enfin, un artisan, ajoute-t-il en bombant le torse.
- Je vous en félicite. Allez, je vous laisse, j’ai peu de temps », et je quitte la boutique à regret.
Il me suit, et pose alors sa main sur mon bras.
« Ca vous dirait de manger avec de la clim ? Il fait très chaud aujourd’hui…. »
Je ne réponds rien, tant la chaleur qui envahit aussitôt mon bas-ventre est intense.
« Allez, venez, j’habite à cent mètres d’ici… »
Sans pouvoir articuler un mot, j’acquiesce d’un signe de tête.
Je remonte en voiture, il s’assied de l’autre coté « je suis à pied… »
Comme un automate, je mets le contact, et suis ses indications. Je suis liquide, tant depuis quelques minutes j’ai une furieuse envie de baiser. En moins de trois minutes, nous sommes devant un petit immeuble blanc et orange. Nous sortons ensemble de la voiture, et il m’ouvre la porte de l’immeuble. Second étage. Quatre portes, il tourne à gauche.
J’entre, ôte mes chaussures comme c’est la tradition ici, il met la clim à fond.
(Je rappelle à ceux qui ne me connaissent pas que je ne vis pas en France, mais dans une ville côtière du Nordeste du Brésil. Il y fait entre 30 et 32° toute l’année…)
Quand je ne suis pas chez moi, sur mon territoire, je suis un peu désarçonnée. Dans mes multiples aventures avec des inconnus, il est rare que je les suive chez eux... Question de prudence ! Enfin, ils ne viennent pas chez moi non plus, mais je choisis « mes endroits ».
Bref, je pose mon plat chinois sur la table.
Il se met alors devant moi, immobile. Nous restons face à face sans dire un mot, avec moins de vingt centimètres entre nous. Le souffle glacé de la climatisation balaye mon dos. Pendant ce moment qui semble durer une éternité, nous nous fixons droit dans les yeux, presque gravement, sans un mot, sans un geste. Je frissonne, autant de désir que du froid sur moi. C’est pour lui comme un signal :
« Tu as froid ?
- Non, j’ai juste…. »
Impossible de finir ma phrase, il a clos ma bouche de ses lèvres très épaisses. Il entoure mes épaules, je le serre à la taille. Le baiser est intense, passionné, dévorant, nos langues dansent une sarabande infernale… Je pense déjà qu’il doit bien savoir en jouer…
Sans presque m’en rendre compte, je n’ai plus ni chemisier, ni jupe, lui a ôté aussi son polo et son jean.
Nos mains parcourent nos corps pour nous découvrir. Il a la peau douce, ses bras sont musclés et saillants, tout comme j’aime… Un tatouage cerne son biceps. Sa peau noire est si lisse…. Je sens son sexe durcir contre mon ventre. Mon désir s’intensifie encore plus.
Il m’entraine sur la terrasse, et me fait coucher en travers du hamac. Ma jambe extérieure par rapport à lui remonte naturellement sur le bord, pour écarter la toile du hamac. Ainsi, mon string apparait bien en vue… Il en repousse le bord, laissant apparaitre ma courte toison et mon clito bien dur.
Il est resté debout. A hauteur de mes yeux, je vois son boxer déformé par une bosse prometteuse. Je la caresse doucement. Il vibre sous ma main... Il y a encore un moment de quasi immobilité….
Et brusquement, il écarte franchement la dentelle, dévoilant ma chatte trempée. Il a une mine gourmande, et sans plus hésiter, j’abaisse son boxer pour voir enfin l’objet de mon désir. Il jaillit, fier et insolent, raide comme la justice, le gland brillant de sa mouille… Instantanément, j’ai envie de le gober… Mais il me devance, en se penchant sur moi pour manger ma fleur qui n’attendait que ca…
Je sursaute sous la caresse douce et forte à la fois. Je ne m’étais pas trompée ! Sa langue est d’enfer. Il lape mon clito à tous petits coups très rapides. J’enserre sa belle bite entre mes doigts, j’en fais à peine le tour. Mon rêve ! Il ne doit guère mesurer plus de quinze centimètres, mais son diamètre me fait rêver…
Un doigt inquisiteur se glisse dans ma fente, et comme s’il devinait mes pensées, il en insère un second pour m’offrir bien profond à sa vue. Il recule un peu, regarde mon inimité profonde… Je suis en extase : j’aime être ainsi ouverte exhibée. J’imagine que le voisin nous regarde. Mais seul le soleil vient darder mes chairs ouvertes.
Il m’écarte encore plus, je me dilate sous ses mains expertes. Et il le faut, vu son diamètre ! Il enfonce sa langue aussi loin qu’il le peut, son nez venant branler mon clito.
Quel amant ! Je sais déjà que celui-là, je le reverrai ! Il devine mes pensées les plus intimes, mes envies les plus torrides. Il me glisse à l’oreille :
« Tu aimerais que mon pote Gary, tu sais, le petit chabin, vienne te perforer pendant que je te tiendrais ouverte comme ça ?
- Oh oui », ai-je peine à articuler…
Cette simple évocation agit comme un détonateur, et je jouis une première fois, étouffant mes cris dans la toile de coton.
« T’inquiète, me dit-il. A cette heure, il n’y a personne dans l’immeuble ! Tu peux crier tant que tu veux ! »
Pour toute réponse, je me relève un peu, pour enfin emboucher cette belle queue épaisse.
Je la gobe comme je peux, mais le gland pénètre à peine dans ma bouche, tant il est large. Je l’aspire, puis décide de le lécher sur toute la longueur, d’enrouler ma langue autour. II se met à gémir doucement, ce qui me donne du cœur à l’ouvrage…
Je continue une savante fellation sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, les couilles bien pleines. Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir-faire et bientôt, j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude.
Je continue le massage buccal jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme. Visiblement, il a la forme, pour rebander aussi vite !
Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est enfin à point.
Il me dit doucement :
« Viens, j’ai envie de te prendre à fond !
- Oui, mais vas-y doucement, tu es si large… »
Il m’aide à m’extraire du hamac, pour rejoindre sa chambre. La position sera plus confortable, pour enfourner son bel engin.
Il m’allonge sur le lit, en travers, me regarde un moment, un sourire coquin au coin de l’œil :
« Toi, tu mérites que l’on soit deux à t’honorer ! »
Je frémis de désir à cette nouvelle évocation d’un trio avec son voisin.
Il s’écroule sur moi, fait glisser son chibre sur mon pubis vierge de toute pilosité et mon ventre, je sens la masse raide et ses poils frotter contre mes chairs.
Il embrasse mes seins, les pétrit sans cesse, il prend ma bouche dans un baiser infernal de sensualité. Puis il se met sur ses avant-bras, écarte de ses épaules mes jambes. Il glisse doucement sur mon bas ventre où je sens passer son membre arrogant jusqu'à l'entrée de ma grotte en feu.
D'un petit mouvement des reins, il place son gland turgescent sur ma chatte en feu, et, d'une poussée lente mais inexorable, introduit son mandrin dans mon con. Je le sens s’étirer sous l'assaut. Il reste en équilibre un instant pour que mon corps s'habitue, puis d'un puissant coup de reins, prend entièrement possession de moi.
Je ne peux que pousser un :
« Oh ! ouiiii » de plaisir intense.
Il agite lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre et me lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au devant du mâle, l'empalant à fond. Je m'enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, à cet amant hors-pair :
« Oui ! Vas-y à fond, bourre-moi, cogne à fond. Crache ton jus ! »
Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne et me prend en levrette, m'arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et large que sur le dos. Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. Je crie tant et plus, sans me soucier de quelque voisin que ce soit…
Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos avec des grands coups de boutoir, et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater dans la capote. Il se retire de moi et s'allonge à coté.
Reprenant chacun notre souffle, il me caresse d'une main pour affirmer sa possession. Il ne semble pas vouloir me quitter et je crois qu'il en veut encore.
Mais l’heure tourne, et je dois retourner travailler.. Je me relève, il m’indique la douche. Je me lave rapidement, pendant qu’il en profite pour caresser sous l’eau ma chatte dévastée par ce membre si épais…
Je ne peux résister à cette caresse, et il le sent bien ! Alors, il se met à genoux, et entreprend de laper mes lèvres encore gonflées. Il ne lui faut que quelques secondes pour m’arracher ma troisième jouissance en moins d’une heure…
C’est presque à genoux que je sors de chez lui, pour retourner travailler.
« Tiens, je n’ai même pas mangé mon repas », me dis-je en reprenant le volant. Mais quelle pause !
Je sais que celui-là, pour une fois, je le reverrai. Pas question de laisser passer une tell bête de sexe !
- Commentaires textes : Écrire
La vie de Julia - Agnès
« Dis maman ? On peut être sœurs avec Agnès ? »
Cette question, c’est moi qui la pose à ma mère. Je dois avoir cinq ans. Agnès, c’est ma nouvelle amie de classe depuis la rentrée en maternelle, et on est devenue tellement copines qu’on ne comprend pas pourquoi nous ne sommes pas des sœurs. Il y en a autour de nous, alors pourquoi pas nous ?
Ca fait rire Maman, mais moi, ca me fait pleurer. Bon il est vrai qu’après, j’ai fini par comprendre, mais je doutais un peu quand même. Bref, Agnès c’est ma copine, depuis cette année là, et ensuite, nous ne nous sommes que très rarement éloignées. Le primaire, pendant deux ans nous ne sommes pas dans la même classe, ce qui nous a fait bien couiner, et même quelques moments on était plus copines, na ! Puis ensuite, même collège, et même lycée.
Petites, c’est déjà très fréquent de dormir chez l’une ou chez l’autre, comme toutes les petites filles. Puis vers l’âge de douze ans, comme nous sommes inséparables, elle commence à venir avec nous en vacances, dans notre maison en Espagne. C’est l’âge où l’on commence à se faire de gros bisous tendres le soir avant de s’endormir. Aussi, on se tient toujours par la main et on se fait des câlins, très gentils, et encore des bisous toute la journée.
A cette époque, et pendant presque deux ans, dans cette maison de vacances, mes parents ont abandonnés, et à regret, cette habitude que l’on avait tous de vivre nu dans notre maison de vacances. Pour ne pas trop choquer Agnès. Mais nous continuons malgré tout d’aller sur les plages naturistes du coin, où les premières fois, elle n’osait pas se mettre sans maillot, et je faisais de même pour ne pas la gêner. Pour nous c’était depuis toujours une habitude, mais pour elle, non. Elle regardait les gens autour de nous avec curiosité et observait mes parents aussi. Pas du tout gênée, juste curieuse et étonnée. Puis petit à petit, elle s’y est habituée, et à quatorze ans, dés le premier jour de nos vacances, c’est devenu naturel.
Son premier petit déjeuner, nue sur la terrasse. Je la tiens par la main en sortant de mon petit studio, et mes parents, sans un mot, rentrent vite à la maison se mettre comme nous, et ressortent nus, de façon à ce que cela soit naturel.
Du coup nous avons tous repris notre façon de vivre, et sur la plage, et dans la maison, c'est-à-dire pratiquement nus du lever au coucher. Elle m’avoue très vite combien elle trouve cela agréable, même si au début, voir mon père dans cette tenue lui fait un peu « drôle », sans pour autant la choquer.
Sa première matinée, elle la passe à nous regarder évoluer ainsi, et le midi, complètement conquise, elle rigole en nous expliquant que pour elle le plus amusant c’est de se retrouver autour du barbecue et de la table dans cette tenue, si naturelle. Elle rit aussi en avouant ne pas imaginer son père, réparer et bricoler un vélo, nu dans le jardin, comme papa l’avait fait ce matin. Elle nous demande simplement de ne pas le dire à ses parents, pour qui le moindre sein nu ou mes jupes déjà beaucoup trop courtes de l’époque les faisaient réagir. Promesse tenue.
C’est l’âge où nous avons déjà bien changé aussi. Je grandis beaucoup, plus qu’elle, qui m’a rattrapé, ou presque, depuis. Une poitrine bien dessinée toute les deux. Moi déjà ferme et ronde, et elle une jolie poitrine « en poire ». Poitrines que l’ont porte fièrement sous nos petits hauts déjà très sexys. J’aime la vision de mes seins moulés dans un teeshirt, ou pointant sous une brassière. Et la vision de la poitrine d’Agnès, nue sous ses petits hauts, me fait un peu d’effet déjà. Le cadre de vacances nous permet de nous promener dans des tenues bien plus légères qu’on ne peut le faire par chez nous, et en ville, quand des yeux se portent avec insistance sur nous… On ne cache pas trop notre satisfaction.
Alors on s’amuse, déjà un peu coquines, à porter des choses de plus en plus sexys. Shorts moulants, et surtout des petits hauts dans dessous. Je commence à prendre un vrai plaisir aux regards des autres, et les sourires amusés et complices de la plupart des gens que je croise, me rassurent et me donnent de plus en plus envie d’être ainsi observée. Se faire belle et sexy n’est pas considéré comme un mal, surtout dans ces lieux de vacances ou la liberté semble être le but de tous. Alors j’apprécie et j’en joue. Ma collection de mini jupe grandit de jour en jour. J’aime bien me promener ainsi et aller le soir « parader » aux terrasses du bord de mer.
C’est déjà à partir de cette année que nous restons parfois des heures dans le jardin, à essayer de bronzer parfaitement, tous les quatre, et qu’on observe papa aller et venir, nu, et que l’on se chuchote des bêtises à son sujet. Maman et moi, sommes épilées déjà. Elle m’avait autorisé et aidé à le faire un jour où je l’avais regardée dans la salle de bains et que je lui avais posé pas mal de questions à ce sujet.
Elle m’avait simplement expliqué que pour elle c’était devenu une habitude, pour se sentir mieux, et aussi que, à son avis, cela était plus hygiénique. Du coup, avec sa permission et son aide, je m’y suis mise, et entre le coté agréable et doux, et le coté esthétique de la chose, j’ai adopté du premier coup. Agnès profite de ces premières vacances où elle vit nue, pour le faire aussi. Elle adopte aussi très vite et se trouve également plus jolie ainsi, même si à cette époque, nous n’étions pas trop ennuyées par les poils. Habitude qui ne nous lâchera plus. D’autant que papa le fait lui aussi depuis très longtemps, et que nous trouvons cela bien plus joli aussi comparé à tous ces messieurs sur la plage qui promènent des sexes poilus qui nous paraissent être moins hygiéniques et moins esthétiques.
Jeu d’observation sur la plage aussi. Et jeu de « comparaison » par rapport à tout ces corps nus qui passent devant nous. Observation portant aussi bien sur les femmes que les hommes. A notre âge, observer les gens, nous permet de répondre à pas mal de questions. Comme un cours supplémentaire de sciences naturelles. Et un cours de la vie aussi. Nous en tirons quelques émotions très agréables. Et puis un jeu de gamines, qui s’amusent à noter les gens, avec des critères un peu aléatoires. Critères de beauté propres à nous.
Rien de méchant. Il nous arrive de nous promener sur le bord de l’eau, à la recherche de celle mais surtout de celui, qui sera élu « notre Monsieur plage » du jour. Cachées derrière nos lunettes, nous scrutons tout ce que la plage nous propose, regrettant parfois que certains ne soient pas nus. Et il nous arrive de rester un moment assis dans l’eau quand nous avons repéré un superbe athlète. Si en plus celui-ci nous retourne notre sourire… nous repartons avec une certaine émotion.
Nous avons encore en mémoire deux ou trois messieurs très musclés, très bronzés avec des corps tout lisses, tout huilés et avec des outils de taille et d’allure qui ne laissaient d’ailleurs peu de monde insensible. Maman remonte souvent ses lunettes de lecture pour admirer avec nous ces athlètes qui passent près de nous, ou même elle fait un détour en remontant de la baignade, pour aller voir de plus près les « merveilles » de la plage.
Nous faisons le même détour, et avec une joie à peine dissimulée quand ces sublimes créatures nous suivent du regard. Et de rajouter souvent un peu de déhanchement dans la démarche, innocentes, quand ces regards nous accompagnent jusqu'à notre serviette. Et même d’en rajouter un peu dans la façon de s’allonger et de se poser. Coquines un peu. Joueuses déjà.
Il va de soit que les jolies filles aussi, nous les notons, et que souvent, je le fais remarquer à papa, qui s’empresse d’ajouter un point à notre note, quand l’élue le séduit plus que nous. Certaines le séduisent tant, que maman lui fait signe de se mettre sur le ventre… pas utile de montrer à quel point elle est jolie la nouvelle élue du jour…
C’est aussi à partir de cette année, même avant les vacances d’ailleurs, qu’Agnès et moi, osons avoir des gestes plus doux et plus tendres qu’avant. En fait, nous hésitons sur notre conduite à tenir. Nous nous aimons comme de très bonnes copines, mais en plus nous sommes attirées par nos corps, nous avons besoin de nous toucher. Surtout au coucher bien sur, moment où le bisou se fait de façon plus appuyé. Les douches, nous les prenons ensemble. On se lave mutuellement, sans encore de gestes ou de pensées érotiques, mais tout de même des sensations fortes quand les gestes deviennent caresses. Quand nous nous lavons les seins et qu’ils gonflent tous seuls. Et si une main se perd entre les cuisses de l’autre… Chaque contact nous provoque une belle bouffée de chaleur, et nous recherchons cela en permanence. Se toucher, se provoquer ces petites chaleurs trop agréables…
Notre premier plaisir, c’est de dormir nues toutes les deux, et cela déjà depuis un petit moment. Mais maintenant, nous sommes nues mais surtout enlacées pour nous endormir. Nos corps chauds, l’une contre l’autre, sans encore parler de véritable sexualité, nous amènent quand même un certain plaisir. Une forte sensualité, accompagnée de chaleur au creux des reins, et cette humidité agréable entre les cuisses. Belle émotion. Déjà aussi, en discutant au lit, souvent nos mains se promènent sur nos ventres, nos seins. S’endormir seins contre seins, et une jambe de l’une entre les jambes de l’autre. Sentir son sexe humide sur le haut de la cuisse et s’endormir ainsi. Sans chercher autre chose qu’une sensation agréable à partager.
Nous avons pris l’habitude aussi depuis cette année, de nous embrasser sur la bouche et non plus la bise de simples copines. Et de bises, nous passons au baiser, tendre, amoureux où nos langues se mêlent et nous provoquent des frissons dans le ventre, des vibrations dans tout le corps. Notre premier baiser langoureux devant quelqu’un, c’est ici, en vacances, et devant mes parents. Debout sous la douche du jardin, nues et enlacées, sous leurs regards étonnés. Etonnés, mais accompagnés d’un sourire comme une approbation. Ce qui nous donne confiance et nous permet d’assumer notre désir. Nous savons que souvent, pour des parents, voir leur fille choisir cette voie féminine n’est pas très bien perçue et du coup, nous somme heureuses de voir à quel point notre choix leur convient. Déjà une forte complicité qui s’installe entre nous tous. Nous en parlons ouvertement à table, et la conclusion est simple : être ensemble toutes les deux comme nous avons envie de l’être.
Complicité aussi quand, dans le jardin, sur les transats, nous nous passons l’huile l’une à l’autre. C’est un jeu qui devient vite un rituel, et le restera encore aujourd’hui. Un moment privilégié. Un instant bien à nous, rien qu’à nous. Souvent, celle qui se laisse enduire, se positionne déjà sur le ventre et l’autre lui enduit tout le corps avec un geste plus proche de la caresse que du massage. Les fesses ont droit à un traitement particulier et si nous n’osons pas encore descendre complètement sur le bel abricot offert au regard, l’envie en est assez forte, et nous portons l’une comme l’autre, un regard très appuyé sur ce merveilleux fruit.
Puis elle se retourne, pour continuer l’opération « huilage » sur le devant, en n’oubliant pas d’être très tendre avec la poitrine et le ventre aussi. Attention particulière au pubis, plus blanc souvent, et l’intérieur des cuisses. Nous nous regardons dans les yeux avec déjà une réelle envie de faire de ces jeux, quelque chose de plus sensuel. Ce petit jeu n’échappe à personne évidement, et même provoque quelques réactions, naturelles, au seul mâle présent dans ce jardin. Réaction qu’il camoufle au mieux et qui déclenche souvent un fou rire complice. Cette ambiance de vacances et de nudité nous donne des petits frissons. Nous en tirons un plaisir aussi fort que nos caresses au lit
Puis ce jeu est presque devenu une habitude. Un moment à part. Une confiance et une complicité dans ce jardin et à ces heures de bronzette s’est installé, et eux aussi se passent de l’huile réciproquement et avec des gestes tout aussi tendres que nous, et aussi parfois avec une vrai sensualité. Il n’y a qu’à ce moment et à cet endroit que nous partageons cette intimité. Et parfois les réactions visibles quand la main de maman s’applique à huiler le sexe qui se tend naturellement nous amusent et lui, doit vite se cacher pour rester présentable.
Et puis l’année de nos quinze ans.
Depuis notre retour de vacances, nous sommes encore plus proches. Nos jeux de séduction avec nos tenues légères, le naturisme avec elle, et aussi les moments complices avec mes parents sur nos transats, tout ces petits secrets rien qu’a nous, nous amusent, nous donnent des frissons quand nous en parlons, surtout dans nos moments d’intimité.
Ces moments d’intimité sont de plus en plus forts. Nous continuons de prendre nos douches ensembles, de nous laver mutuellement mais avec des gestes plus appuyés. Moments très intenses. On s’embrasse aussi désormais. Tendrement. Et on ne se cache plus. On a des envies dans la tête, mais sans trop savoir quelles envies. Avec nos amis, et amies, nous affichons nettement notre complicité. A la maison aussi.
Papa nous regarde nous embrasser avec un petit sourire, et toujours aussi ravi. Maman aussi. Les parents d’Agnès eux sont outrés. Et comme nous en faisons une sorte de provocation, pendant quelques temps elle a du mal à venir dormir à la maison. Moi je ne vais plus chez elle. Pour eux je suis celle qui détourne leur fille du droit chemin. Je ne savais pas qu’il y en avait un. Je découvre.
Nous comprenons que nous sommes attirées d’une façon différente. Nos copines sont attirées par les garçons, nous pas vraiment. Nous nous aimons toujours de la même manière, mais en plus toujours cette envie de nous enlacer, nous toucher, nous embrasser. Nos corps nus au lit s’attirent de façon plus évidente et beaucoup plus forte. Tout est prétexte pour qu’’une main se promène sur un sein, une fesse, ou mieux, entre les cuisses de l’autre. Nos corps brûlent. C’est un véritable besoin. Et en plus, l’envie de le montrer, de provoquer puisqu’apparemment c’est provocateur notre façon d’être. Et ces jeux de provocation attisent encore plus nos envies. Les regards sur nous, renforcent nos désirs.
Et cette année, nous changeons encore. Je grandi toujours. Le tennis me fait des jambes assez musclées, fuselées, des fesses fermes. Une cambrure naturelle donne à mon allure et mes postures un coté très sexy que je suis fière de développer. J’abandonne quasiment tous mes jeans pour ne porter que des robes et surtout des mini jupes. Elles sont courtes, très courtes pour certaines.
J’aime le regard que ces tenues attirent. Ces yeux qui me suivent quand je descends de la voiture en ville, dans la rue quand les garçons se retournent sur mon passage, ou ces messieurs quand je suis à la terrasse d’un café ou au cinéma. Au collège, quand, assise en cours je croise mes jambes et qu’elles sont nues et que les autres attendent un mouvement qui me dévoile encore plus. Les profs aussi. J’aime le jour ou je suis en jupe très courte, me mettre sur le bord de l’allée. Je sais que je suis admirée et cela me donne des frissons.
Quand nous sommes dans le parc du château, le long du canal, un endroit de rendez-vous de tous les collégiens et lycéens, assise dans l’herbe, pour manger ou réviser, et que des touristes me tournent autour pour vérifier nos tenues. Assise en tailleur dans l’herbe, on peut, si je ne laisse pas un livre ouvert sur mes genoux, découvrir la couleur de mon string. Il en devient souvent humide. Je reste assise ainsi en attendant qu’ils passent et repassent parfois, en faisant semblant de rien. Petit jeu excitant. Les garçons qui viennent discuter et qui fixent, parfois en rougissant le haut de mes cuisses… Les copines aussi. Je découvre le plaisir de me sentir admirée. Et le plaisir d’en jouer. Les frissons…
Agnès me suit dans mes jeux, mais elle un peu moins provocante que moi. C’est moins son style qu’elle trouve. J’ose me trouver jolie et attirante. Puis mes copains me le disent aussi. Les regards dans la rue également. J’ai décidé d’assumer cette allure, ce coté « jeune et jolie jeune fille sexy » qui fait plaisir. J’assume et j’en joue. Dans mes tenues, j’ai aussi décidé de ne porter des soutiens gorges que si nécessaire. Et à voir mes seins pointer sous mes vêtements cela me fait monter quelques frissons très agréables. Le regard des autres me fait frissonner aussi. Je suis contente de moi. Je m’arrange pour montrer cette poitrine dés que je peux, dans la rue, en cours, partout. Agnès à une jolie poitrine, mais plus lourde que moi et de ce fait moins a l’aise pour m’imiter. Elle le fait aussi, mais pas tous les jours. Mais elle raffole de me voir ainsi.
A la maison, nous avons parlé de mon attirance pour Agnès qui ne laisse plus de doute. Mes parents, à l’inverse des parents d’Agnès, trouvent cela tout à fait normal, naturel, mignon, et papa a même ajouter : « très beau » !
Ma mère m’avoue qu’elle a eu elle aussi des rapports avec des amies, quand elle avait dix-huit ans, au point de rester avec une copine une année entière, et qu’elle pensait que vu notre complicité avec Agnès, cela ne pouvait difficilement en être autrement et que si nous étions amoureuses, ou même simplement attirées, il ne fallait pas trouver cela « anormal ». Elle conclue en disant que si ma sexualité est ainsi que je la vive sans tenir compte de la soi-disant « normalité ». Ma vie et mon plaisir avant tout. Elle ajoute que le plaisir est une question de bien être, de personne, qu’elle soit homme ou femme. Et que beaucoup ont autant de plaisir avec l’un qu’avec l’autre… J’y pense encore très souvent aujourd’hui.
Nous avons évoqué aussi mon changement de tenues, mon coté sexy et séductrice. Ils m’ont mise en garde tout de même sur les limites à ne pas franchir, surtout à mon âge, et surtout au lycée. Les limites entre être sexy et être vulgaire. Papa m’a même avoué qu’il trouvait que j’étais fortement jolie, mais que beaucoup d’autres que lui le trouveraient aussi, et souvent me le diraient avec peu d’élégance, et qu’il me fallait être méfiante pour ne pas aller trop loin dans ces jeux de séduction. Encore un sourire de sa part en m’avouant cela, qui me donne un nouveau frisson. Année de plaisir…
Donc avec Agnès, nos rapports évoluent, et de complices, nous devenons progressivement amantes. Les soirées que nous passons ensembles sont de plus en plus tendres. Nous écourtons nos sorties pour nous retrouver plus vite toutes les deux. De plus en plus de gestes intimes. Mes parents s’en amusent à nous voir nous embrasser en flirtant, nos langues emmêlées, nos mains partout et souvent sous les hauts, à nous toucher les seins.
Puis au lit, progressivement nous osons. De longs moments à nous embrasser, nues, corps contre corps, et nos mains plus expertes de jours en jours. Maintenant, nos caresses sont plus précises. Le corps, les seins, et nos sexes, que depuis peu, nous fouillons avec plaisir.
Nous découvrons quelque chose que l’on ne pensait possible qu’avec un garçon : DU PLAISIR ! Elle me guide dans mes gestes et je fais de même. Plus de complexes. On se dit tout concernant les ressentis, et de ce fait nos gestes sont très efficaces, très étudiés. Des jouissances au début, un peu retenues, et de plus en plus fortes. Nous essayons, nous tentons. Nous nous endormons souvent brûlantes de désirs. Trempées de plaisirs. Agréables sensations qui durent et qui reviennent au matin, au réveil, et que nous entretenons à nouveau avant de nous lever.
Et puis nos bouches sur nos sexes, nos langues de plus en plus agiles, précises. Plus de retenues dans nos plaisirs. De la gourmandise. Un régal que d’ouvrir le minou de l’autre, y glisser un doigt puis enfouir la langue et gouter en sentant l’autre tressauter sous les coups de langues de plus en plus précis. Des heures à jouer avec nos corps entiers. A nous gouter, nous savourer.
Des face à face, sexe contre sexe, dans des positions de plus en plus expertes. Nous savons faire venir des douceurs inouïes, avec nos petits boutons que nous savons titiller de plus en plus. Et maintenant on se lâche sans soucis. Je m’offre, elle me prend, elle se donne, je la dévore. Nous passons des moments très longs à nous fouiller, nous masser, triturer nos sexes avec énergie ou avec tendresse. Sans oublier nos seins qui sont depuis peu très réceptifs aux caresses et sucions. Nous restons au lit des après midis à nous donner des plaisirs, à jouir de nos caresses.
Notre plaisir intense, c’est l’une assise, ou presque, sur la bouche de l’autre. Dans cette position, celle de nous qui se trouve au dessus peut guider au mieux l’autre pour son plaisir. Offrir son bouton, ou l’intérieur de son minou, bien ouvert et réceptif dans ce cas là. C’est un baiser d’une chatte à une bouche. Cette langue qui fouille, cette bouche qui avale la chatte de l’autre, qui mange, qui boit, qui dévore et aspire, là où l’on a envie ! On se fait l’amour. On jouit ensemble. Dans « notre » lit.
Cette étape franchie avec beaucoup de plaisir, s’affiche aux yeux de tous. Nous sommes un couple maintenant. Certains se demandent, d’autres nous dédaignent, et en fait nos amis et amies les plus proches sont heureux de nous voir ainsi. Y compris les amis masculins qui avaient l’idée de nous draguer. Notre image de filles à l’aise et qui ont trouvé leur bonheur est installée, avouée, reconnue. Appréciée aussi par certain.
Afin d’être tranquille, nous ne nous cachons uniquement des proches d’Agnès. Il est devenu impensable de ne pas passer une nuit ensemble un weekend. Nous avons un besoin de faire l’amour, et ce, de plus en plus souvent. Donc éviter au mieux de choquer ses parents et qu’elle soit tenue de rester chez elle.
Notre refuge, c’est à la maison. Là nous pouvons vivre tout cela en totale liberté. Agnès passe des weekends entiers à la maison où nous vivons comme pendant les vacances précédentes. Libres et complices. Petites folles courant nues en sortant de la salle de bains et croisant un père nu, surpris mais amusé. Déjeuners du dimanche matin en très petites tenues, ou sans tenues selon le temps, avec des parents hilares de nous voir comme des amoureuses et partenaires très enjoués.
Nous faisons « nos belles ». On ne parle pas ouvertement de nos nuits agitées, mais on les évoque à demi-mots, et ils comprennent. Nous ne nous cachons pas pour rejoindre ma chambre et y faire l’amour, et surement que certains petits cris n’échappent à personne. Aux beaux jours, nous revivons nos jeux de transats, et cette fois nos gestes sont plus provocateurs.
Et c’est ainsi qu’avec Agnès nous avons connu nos vrais grandes émotions. Et que nous connaissons toujours, et avec toujours autant de passion.
Grandes émotions d’amour, et de plaisir sexuels.
A suivre…
Signé : Julia B
- Commentaires textes : Écrire
Ma femme baisée par des vigiles (et moi aussi...)
Je me présente, Yann, trente-neuf ans, brun. Je suis marié à une jolie femme de trente-cinq ans, Mathilde, brune, un joli corps et surtout une superbe poitrine. Elle a de très gros seins qui attirent les regards, et j'avoue que ça me plaît. Voilà comment j'ai mis ma femme dans les bras de deux hommes…
J'ai un grave problème : dans les magasins, je ne peux m'empêcher de voler. Je me suis déjà fait prendre et emmener chez les flics. On m'a dit qu'à la prochaine récidive, je risquais de graves ennuis. J'ai arrêté un moment, puis un jour j'ai replongé : dans une grande surface, j'ai volé des CD.
Deux surveillants m'ont emmené dans leur bureau, où je leur ai remis les disques. Alors qu'ils allaient appeler la police, je fus pris de panique, et sans espoir, je les suppliai de me relâcher. Je n'avais pas assez d'argent sur moi pour payer, mais je leur montrais mes papiers en leur disant qu'ils les gardent et que j'irais chercher l'argent pour payer les disques.
En ouvrant mon portefeuille, je fis tomber quelques photos au sol. Sur l'une, on voyait ma femme en tee-shirt et minijupe. Son maillot contenait avec peine son opulente poitrine, et je vis l'un des vigiles la regarder avec intérêt.
Il dit à l'autre :
« Regarde un peu ces seins, j'adore les gros nichons, et elle a l'air d'avoir un joli cul ! »
Ce type m'agaçait, mais je préférai me taire. Il était bedonnant et laid. Son collègue était plus jeune et mieux physiquement. Il regarda la photo de Mathilde, et me dit que lui aussi aimait les gros nichons. Ils me demandèrent si c'était ma femme, je leur dis que oui, et que j'avais une autre photo d'elle en maillot de bains, prise cet été.
Je la leur montrais, en espérant gagner leur clémence. Mathilde, sur cette photo, était dans l'eau jusqu'aux genoux. Elle portait un maillot de bains deux-pièces et ses seins débordaient généreusement du maillot. Elle était super bandante. Les deux types furent d'accord à ce sujet. Je leur dis alors : « Gardez la photo et laissez moi partir ! »
Ils se mirent à rire en disant qu'il leur en fallait plus.
« Si ta femme se montre à poil devant nous et qu'elle nous suce, alors d'accord ! » me dit le gros vigile.
Sans savoir s'il plaisantait ou non et sans réfléchir, je leur dis :
« OK, je téléphone à ma femme pour lui expliquer et nous allons chez moi. »
Les vigiles me dirent alors qu'ils remplissaient une fiche de renseignements réglementaires suite au vol, fiche où figure mon identité, et que si tout allait bien, ils me la donneraient, sinon ils la transmettraient aux flics.
J'appelai alors Mathilde. Le gros prit l'écouteur. J'expliquai à Mathilde que je m'étais fait épingler et ce que je souhaitais d'elle. Elle refusa d'abord. Je lui dis alors qu'étant fiché et récidiviste, je risquais gros. Je lui promis que si elle faisait un strip-tease ça suffirait.
Les deux types me firent signe que non, alors je lui dis :
« Chérie, fais ça pour moi, je risque de perdre mon boulot et qui sait, peut-être le tribunal et plus. Je te promets que jamais je ne le referai ! »
Mathilde aime faire l'amour. Elle n'est pas spécialement prude, car je sais qu'elle apprécie les regards sur sa poitrine. Elle m'a déjà avoué que, plus jeune, elle en était complexée, mais que maintenant elle la met exprès en valeur pour exciter un peu les types que nous croisons dans la rue. Mais jamais nous n'avons connu autre chose que l'amour entre nous. Je sais que je lui demandais beaucoup. Elle me dit :
« Je t'aime, mais tu mériterais que je te laisse à ton sort, c'est la première et dernière fois que tu me fais faire cela. Et puis après tout, ce sera une punition pour toi aussi ! »
Le gros me murmura alors :
« Dis-lui qu'elle mette des bas, j'adore cela et qu'elle s'habille sexy. »
En rouspétant, elle me répondit :
« D'accord, je vais me transformer en pute, et cela à cause de toi. J'espère seulement que tu ne me le reprocheras jamais car là, ce serait vraiment trop ! Je vais les exciter, ces types, et j'espère qu'au moins ils tiendront parole ! »
Je restai une demi-heure avec les vigiles, et à leur fin de service, je les emmenais chez moi, inquiet et soulagé à la fois. Mathilde nous ouvrit la porte et me murmura avec dégoût :
« Le gros, qu'il est laid ! »
Apparemment, le deuxième lui convenait mieux. Je remarquais alors qu'elle portait son déshabillé noir et dessous sa nuisette, noire également, qui lui arrivait sous les fesses. Elle avait mis dessous des bas coutures et des hauts talons. Elle me dit alors :
« Ça te va ainsi ? Je vous fais bander, j'irai plus vite à me déshabiller et vous partirez plus vite ! »
Je réclamai le papier aux vigiles qui me dirent :
« Tu l'auras après. »
Ils mataient Mathilde comme des fous. Ils s’assirent sur le canapé, et moi dans le fauteuil. Mathilde leur dit :
« Alors je fais quoi ? »
Le gros répondit :
« Déshabille-toi pour commencer. »
Mathilde retira son déshabillé. Sa nuisette ultra courte et transparente ne cachait ni ses gros seins nus, ni son string.
Le gros lui dit de tout retirer sauf les bas. Mathilde obéit et se retrouva nue face à nous, son cul rebondi, ses deux gros seins et sa chatte à la fourrure noire abondante, offerts à nos yeux. Je bandais et les deux vigiles aussi. Ils avaient ouvert leur braguette et se branlaient doucement. Leurs bites étaient très grosses, surtout celle du gros. Mathilde me dit :
« Branle-toi aussi, chéri, au point où nous en sommes ! »
J'en avais envie et je le fis. Le gros attira alors Mathilde et l'assit entre lui et son ami. Mathilde protesta mais à ma demande, se laissa faire. Ils la caressaient sur le corps en s'attardant sur ses seins, ils en suçaient chacun un. Le gros caressa ensuite la chatte de ma femme, le jeune lui caressant les fesses.
Mathilde changeait peu à peu d'attitude. Elle semblait y prendre du plaisir. J'étais trop excité pour protester en voyant les deux types ôter leurs pantalons et leurs slips. Leurs queues étaient énormes, j'en étais envieux. Ils s'assirent à nouveau, faisant mettre Mathilde à genoux sur le sol face à eux.
D'où j'étais, je voyais le cul de Mathilde tout rebondi. Il remuait lentement, et je savais qu'elle mouillait à cet instant. Les types lui prirent les mains et y déposèrent leurs queues. Mathilde caressa alors ces deux bites. C'était fou, je me branlais, mon cœur cognait ! Voir ces deux gros sexes dans ses mains m'excitait.
Le gros lui prit alors la nuque et Mathilde se retrouva avec sa bite à l'entrée de sa bouche. Elle ne fit pas d’histoire et la suça en l'enfournant profondément. Mathilde sait très bien me sucer, et là, elle se surpassa. La queue, pourtant énorme, du gros, entrait presque entièrement dans sa bouche. Il la tenait par les cheveux et lui disait :
« Vas-y, salope, avale ma bite, suce mes couilles, elle te plaît ma grosse queue ? »
Mathilde était comme folle, car pendant ce temps, l'autre type la branlait en lui suçant les seins. Puis il se mit derrière elle. A quatre pattes, elle se laissa manipuler tout en continuant de pomper le gros. Alors le jeune approcha sa longue queue de la chatte de ma femme et, sans ménagements, la pénétra. Elle ne put crier, la queue qu'elle tenait en bouche l'en empêchant, mais elle remuait sa croupe, prenant un vif plaisir à être pénétrée par cette queue qui allait et venait dans son vagin. Pendant ce temps, de ses deux mains il lui malaxait les seins en disant :
« Si tu en as plein la chatte de ma grosse bite, j'en ai plein les mains de tes nichons ! Ils sont gros ; il a du pot, ton mari! Je suis sûr qu'il se branle souvent dedans, c'est peut-être à force de te les faire peloter qu'ils sont si gros ? Tu dois être une drôle de salope ! »
Leurs propos m'excitaient et apparemment, Mathilde aussi. La situation me dépassait, et pourtant je n'avais pas envie que ça cesse, au contraire. Le gros dit alors à son collègue :
« Viens te faire sucer par cette salope, j'ai envie de lui mettre ma bite dans le cul, elle doit aimer cela, cette pute. »
Puis s'adressant à moi : « Tu l'encules souvent ta femme ? Je vais l'enculer devant toi avec ma grosse bite, quand tu l'enculeras, ça rentrera comme dans du beurre ! »
II m'arrive parfois de sodomiser Mathilde, elle y prend du plaisir, mais devant la taille de sa queue, je pris peur qu'il ne lui fasse mal. Je lui dis :
« Tu es trop gros, tu vas lui faire mal ! »
Mais ébahi, je vis Mathilde se retourner, les cheveux hirsutes, et retirant de sa bouche la queue du jeune qui venait de remplacer l'autre, elle me dit :
« Tu l'as voulu, chéri ! Alors laisse-le me la mettre dans le cul ! »
Malgré mon excitation, j'allai dans la salle de bains où je pris un tube de vaseline, dont je me sers lorsque je sodomise Mathilde. Le gros n'avait pas encore pénétré Mathilde, il lui pelotait à son tour les seins d'une main, et de l'autre lui titillait l'anus. Mathilde se trémoussait en gloussant et suçant le jeune. Ce dernier dit alors :
« Je vais te jouir dans la bouche, salope ! Avale tout ! »
Je le vis maintenir Mathilde et éjaculer dans sa bouche une énorme quantité de foutre, car elle eut un haut-le-cœur et je vis du sperme couler de ses lèvres. Le jeune se servit de sa queue pour lui en étaler sur la bouche et le visage. Elle en avait plein la figure. Il me dit alors :
« Viens galocher ta salope de femme, si tu veux ton papier ! »
Je m'avançai alors et sans réfléchir, j'embrassais Mathilde qui me donna sa langue, et par la même occasion le sperme qui y restait. Le jeune, nous tenant la tête, nous dit alors :
« Allez, mes salopes, nettoyez ma bite ! »
Jamais on ne m’avait dit de telles choses ! Jamais je n’avais touché un homme !
Il mit sa queue humide et molle entre mon visage et celui de Mathilde. Cela m'excita pourtant, et Mathilde la reprit dans sa bouche. Puis soudain elle guida cette bite sur ma bouche et me dit :
« Suce le, chéri, vas-y, je veux te voir, ça m'excite ! »
Jamais a femme ne m’avait dit qu’elle voulait me voir sucer un autre mec !
Je pris cette queue et la suçai, étonné d'y prendre plaisir. On se la partagea avec Mathilde et elle devint à nouveau dure. Le gros riait et dit :
« Tu es une salope comme ta femme, mets-lui donc de la vaseline sur le cul que je l'encule, et mets en sur ma queue ! »
Je mis une noisette de vaseline sur l'œillet de Mathilde et une dans ma main, sans me soucier de ses rires, j'en étalai sur sa grosse bite, prenant un plaisir inouï à le branler. Il me repoussa et me dit :
« Arrête, c'est dans le cul de ta femme que je vais jouir ! »
Je le regardai alors pointer sa queue sur l'œillet de Mathilde, et après un léger tâtonnement, il l'encula d'une traite. Elle poussa un cri de douleur, qui devint rapidement du plaisir. Il me dit alors de me branler et de jouir sur Mathilde. Je ne me fis pas prier, et je n'eus que le temps de m'approcher de son visage pour exploser, lui balançant à mon tour un flot de sperme au visage. Elle attrapa ce qu'elle put avec sa langue. Le jeune rebandait et me dit :
« Je vais te faire comme à ta femme, suce-moi ! »
A nouveau, Mathilde guida sa queue dans ma bouche. Je l'enfournai alors et le pompai en lui pelotant les couilles. Jamais je n'aurais pensé y prendre autant de plaisir ! Il se retira au bout d'un moment et, pointant son dard sur mon visage, éjacula en me balançant son foutre en pleine figure. Il dit à Mathilde :
« Salope, lave-le avec ta langue ! »
Mathilde me lécha le visage en avalant le sperme s'y trouvant. Le gros l'enculait, lui donnant des claques sur les fesses. Son cul rougissait, mais elle y prenait plaisir. Il se retira et dit à Mathilde :
« Suce ma queue sortie de ton trou à merde ! »
Je le vis alors retirer sa queue du cul de ma femme, pénétrer sa bouche et jouir immédiatement. Il lui ordonna brutalement :
« Avale et suce ta merde ! »
Comment avions-nous pu tomber si bas. ? Et surtout, y trouver autant de plaisir ???
J'enculai alors Mathilde. Le passage était agrandi, mais elle y reprit plaisir et acheva de nettoyer la queue du gros avec sa langue. Soudain, je sentis un doigt titiller mon anus, et le jeune dit :
« Vous êtes deux enculés, ta femme par ta queue, et toi par mon doigt ! »
Il m'encula avec son doigt et j'y pris un plaisir inouï. Ils nous insultaient, mais je jouis alors dans le cul de Mathilde qui me la suça à nouveau.
Je m'allongeai alors près de ma femme et l'embrassai. Le gros se leva et, pendant que j'embrassais Mathilde, nous pissa dessus en visant nos visages. Sa dernière condition était que nous avalions son urine. Je ne pus le faire, ayant des haut-le-cœur,
Mais Mathilde en pleine jouissance, accepta, elle ouvrit la bouche et reçut le dernier jet d'urine. Malheureusement, le jeune exigea la même chose, pointa sa queue et pissa dans la bouche de Mathilde qui se caressait en criant et en avalant la pisse.
Les types se rhabillèrent, nous jetèrent le papier et partirent. Nous restions étendus, Mathilde soudain honteuse, le visage couvert de foutre et de pisse, moi honteux d'avoir sucé une bite, de m’être fait enculer par un doigt de pervers…
Nous en avons reparlé quelques jours plus tard avec Mathilde, sans regret, au contraire, en en riant car elle a eu mal au cul pendant quelque temps : jamais elle ne s'était pris un tel calibre dans le fion ! Elle m'a avoué qu'elle ne m'en voulait pas du tout, mais elle m'a fait promettre que si je voulais recommencer à chaparder dans un magasin je le fasse obligatoirement dans le même, car ainsi nous serions surs que je ne risque pas d'aller chez les flics. Elle avait un sourire égrillard en disant ça et j'ai bien sur promis.
Je pense que d'ici quelques semaines, le démon de la cleptomanie va me reprendre..!!!!
Première fellation d'un jeune travesti
C'est vraiment quelque chose de pas banal pour moi, je me sens bizarre, et j'ai un peu honte mais j'ai besoin d'un avis parce que j'ai adoré...
Voici donc mon histoire…
Je suis un garçon de vingt ans, timide, mignon d'après ce qu'on dit, et qui adore les filles, 100% hétéro. Jusque là, rien d'anormal. Je suis assez coincé, mais je sors souvent et je profite vraiment.
Un week-end chez un copain, on était quatre ou cinq, et après avoir bien bu, (je supporte très très mal l'alcool), on a décidé qu'on irait à l'événement du coin le samedi d'après. C’est juste avant, ou peu après Halloween, une soirée gigantesque à thème mais déguisement ou tenues sexy-hot obligatoire.
Alors évidement, on s'est questionné, parlé pour savoir en quoi on se déguiserait mais finalement on à décider de jouer, faire des paris et imposer un déguisement à chacun. Bref ils ont tous eu quelque chose de plus ou moins potable, sauf moi qui devait me déguiser en : Fille.... Je m'étais engagé à le faire, alors je voulais le leur montrer, mais ils m'ont vraiment bien eu ! Bon, le ridicule ne tue pas !
La femme à barbe étant pas du tout mon truc, je suis plutôt soigné, appliqué et j'aime faire les choses bien ! J'adore les lingeries et la mode féminine. Donc j'ai joué le jeu à fond : perruque, top, maquillage, leggings en cuir, talons… J'ai pris tout ce que je trouvais, soit piqué chez ma sœur, soit à une voisine. Comme mes parents n'étant pas à la maison, ça m'a bien sur conforté et motivé pour le faire finalement.
Et de fil en aiguille ce petit jeu m'a plu, j'avais beaucoup plus d'allure que Batman ou je ne sais qui et ça m'a bien fait marrer ! A Halloween, on fait ce qu'on veut, même si au final je ne faisais pas si peur que ça !
La soirée s'est bien passée, j'ai cloué le bec à mes potes et de nombreux garçons et on a fait la fête un max !!! Je ne me sentais pas très bien vers une heure du matin, et un copain qui ne vit pas loin m'a proposé d'aller me reposer chez lui un moment, et de les rejoindre au cas où j'irais mieux. Il m'a accompagné et m'a demandé de ne pas faire trop de bruit dans l'appartement car il a un colocataire, ou quelqu'un qu'il héberge.
Ah bon ??? Je ne savais même pas...
Quand on est arrivé, le garçon en question était toujours éveillé, mon ami m'a présenté et il est reparti en me priant de faire comme chez moi.
Le coloc en question était un africain de vingt-sept ans, plutôt charmant et élégant, qui venait d'arriver depuis à peine trois ou quatre jours en Europe ; pour la première fois. Je vis dans un village en dehors de toute grande agglomération, alors je n'ai pas beaucoup d'amis black et j'en vois rarement. Alors j'étais trop ravi et curieux en même temps, je voulais faire plus ample connaissance, apprendre plein de choses. Il parlait français, mais pas super bien, ça m'a fait sourire.
Il me matait et me dévisageait de la tête au pied, il avait bien dû remarquer que je n'étais pas une fille ! Il était intrigué et je suis sûr qu'il n'a pas compris pourquoi j'étais comme ça, il était bien amusé. Après une longue discussion je me suis rapidement senti mieux. Il m'a servi à boire quelque chose d'assez fort, il a pris bien soin de s'assurer que j'en avalerais plusieurs verres et ça m'est vite monté à la tête. Moi et l'alcool, mhum....
Il l'a vite remarqué et m’a proposé d'aller dans la chambre qu'il "louait" à mon ami.
Je crois que les africains pour la plupart sont virils, autoritaires et fiers. Ca a du l'amuser de me voir ainsi féminisé et il m'a simplement fait comprendre qu'il voulait quelques photos "souvenir" pour lui et ses potes, j'imagine.
Il voulait qu'on prenne ensemble des photos. Alors j'ai pris des positions bien sexy pour faire de belles photos. J'adore la provoc, ça lui a bien plu !
Après 10-15 min, on avait fini, lui assis sur le lit, et moi par terre à ses pieds. Il m'a demandé de rester à genoux mais d'approcher. Curieux j'obéis timidement. J'ai après coup compris qu'il déboutonnait délicatement son jeans. Abasourdi, je ne comprenais pas ce qu'il faisait. Par naïveté, curiosité et un peu par soumission, je n'ai pas bronché. Sans oublier l'alcool qui me brouillait le cerveau…
Il a commencé à sortir son sexe, doucement et délicatement, pour ne pas brusquer les choses. C’était un gros sexe noir de belle taille, j'avais de la peine à y croire, et en plus j'en avais jamais vu.
Avec beaucoup de mal à réaliser et comprendre ce qu'il faisait, j'en suis resté bouche bée un bon moment, ce qui l'a bien fait sourire, et lui a facilité la tâche. Il m'a fait un exemple de la virilité africaine et ma empoigné par les cheveux, toujours avec le sourire aux lèvres, il m'a abaissé la tête en direction de son membre déjà à moitié en érection.
La bouche grande ouverte pour protester, il lui a simplement fallu un petit coup de bassin pour l'introduire entre mes lèvres pulpeuses, il lâcha un gros râle de plaisir. J’avais la bouche totalement déformée par la grosseur de son mandrin noir. Il me tenait toujours fermement la tête pour m'imposer un rythme de va et vient pendant que ma bouche coulissait le long de son pénis. Ca a duré près de quinze minutes, je me suis surpris à lui aspirer les testicules, lécher le sexe et sucer son énorme gland. Il s'est finalement masturbé sur mon visage pour prendre le soin de m'éjaculer dans la bouche, sur la langue et le visage, pour son plus grand plaisir.
J'ai finalement réalisé un fantasme que je n'aurais jamais osé faire de mon plein gré. J'ai pris un pied d'enfer, sans parler de lui, pour son premier week-end en Europe avoir droit a une fellation de la part d'un blanc va surement lui laisser un gros souvenir...
Je ne me considère pas comme un travesti, quoique je compte bien recommencer !!!
Voilà...Je suis pas encore un écrivain et c'est d'autant plus difficile quand on prend le soin de ne rien n'inventer !..
Merci de m'avoir lu !
Sexy Bitch
Le matin du jour de l'An
Il y a quelques jours, je vous ai livé une histoire "Une Saint-Sylvestre d'exception". En voici la suite ! Belle lecture à vous....
France pousse la porte, et découvre une chambre immense, digne des séries hollywoodiennes.
A droite, un portique où sont accrochés, sur deux cintres mis en évidence, sa jupe et son petit haut.
Dans un coin, un grand lit rond, aux draps récemment changés, et à côté, une table basse ou trône une bouteille de champagne dans un seau à glace, accompagnés de coupes vides.
Au centre de la pièce, un jacuzzi de deux mètres de diamètre.
A l'intérieur, le magnifique corps de Sara, accoudé sur les rebords, semble surfer, soutenu par les remous.
De temps à autre, on voit ses petits seins pointus dépasser de la ligne de flottaison. Dans sa main, une coupe de champagne.
France est fascinée, attirée par cette femme qu'elle hait pourtant plus que n'importe qui. Soudain, le passé d'un certain après midi sadique, ressurgit.
« Sers toi une coupe ma chérie, et vient te détendre », l'invite la belle libanaise.
France hésite, puis se laisse tenter, après tout, elle est venue pour ça. Et l'eau est bien tentante, après les outrages qu'elle vient de subir... Ses chais intimes sont meurtries par les multiples pénétrations subies. L'eau tiède sera surement apaisante pour panser ses blessures sexuelles.
Elle ôte l'épais manteau de fourrure, prend un verre, et se glisse dans les vagues du jacuzzi. Elle replie ses jambes, méfiantes, et pose son menton sur ses genoux.
« Alors ma chérie, sourit Sara, il parait que tu te l'es bien fait mettre cette nuit ? Mes frères m'ont raconté... Ils m'ont dit que tu étais un super coup au lit, que tu acceptais tout, sodomie, pipes, double pénétration... Toute la panoplie. Ils t'ont trouvée tellement top, qu'ils envisagent même de remettre ça un de ces jours.
- Tais-toi, sale pute, répond France. Et toi, connasse, mon mari ne t’a pas satisfaite ?
- Si, bien sur, mais reste polie, s'il te plait, je ne suis pas ta copine moi. Mais revenons à toi, prendre des coups de queues par deux grosses bites toute la nuit, ça ne t'a pas déplu ? Il faut une sacrée santé, avoue. »
Petit à petit, les fesses de France glissent sur le fond de la baignoire, elle veut se retenir, ce qui l'oblige à écarter les jambes. Sara attendait cette opportunité. D'un coup sec, elle détend sa jambe, qui se loge entre les cuisses de France. Celle-ci, surprise, ne peut que constater le piège dans lequel elle est tombée. Elle envoie une main sous l'eau, saisit le mollet pour essayer de le retirer, en vain. Le pied inquisiteur est posé à plat contre la chatte.
Elle n'a d'autre choix que s'écarter, et s'écarter encore.
Un sourire dominateur se lit sur le visage de la jeune libanaise. Les orteils s'agitent, surtout le gros qui caresse la fente vaginale de bas en haut, écartent les lèvres intimes, jusqu'au clitoris qu'il essaie de décalotter. France perd pied, et commence à apprécier de plus en plus la dextérité et l'habileté du pied de sa jeune rivale.
Elle lance sa tête en arrière, se cambre au maximum, pour mieux s'offrir. La main qui maintenait le mollet, guide maintenant le gros orteil, pour qu'il puisse la pénétrer au plus profond de sa chatte.
« Ah, soupire France.. Salope... arrête ça !.
- Mais mon trésor, je ne fais rein, c'est toi qui mène les opérations, lâche moi alors. »
A regret, mais refusant de se laisser manipuler par la jeune femme, France libère le pied de Sara, mais celle-ci ne le retire pas. Bien au contraire, elle joue sur l'articulation du doigt
de pied pour poursuivre sa pénétration dévastatrice. Elle sent que sa proie va succomber à la caresse perverse. Et France, malgré sa tête qui dit non, sens son corps dire , hurler « OUI ».
Confusément, elle a honte, honte d'avoir encore envie de jouir, alors qu'elle vient d'être baisée à fond par plusieurs étalons. Ils ont défoncé tous ses orifices, elle a joui à n'en plus finir, et là, sous la simple caresse du pied de sa pire ennemie, elle a encore envie de sexe, d'un orgasme encore plus fort que les autres...
« Allez, c'est bon, je me retire, dit Sara, connaissant d'avance la réponse.
- Oh non...s'il te plait...pas maintenant...oh putain...qu'est-ce-que tu me fais ? Whoua, continue... Fais-moi jouir... oui...oui... Je t'en prie, vas-y, oh oui ! »
Le corps de France retombe violemment, éjectant de l'eau hors du jacuzzi. C'est un orgasme puissant qui résonne dans la pièce heureusement insonorisée.
La vicieuse libanaise jubile de voir la femme de son amant se tordre de plaisir. Elle se hisse hors de l'eau, et s'assied sur le bord du jacuzzi, jambes écartées, la moule légèrement ouverte. D'un signe du doigt, elle ordonne à France de s'approcher.
« Ici, petite pute, viens me bouffer la cramouille. »
Soumise malgré elle, vaincue par ses envies de baise maximale, France avance dans l'eau à quatre pattes. Elle soulève la tête, et, tout en fixant sa dominatrice, passe sa langue dans le creux du nombril, descend sur la ventre plat, puis glisse entre les cuisses, où l'attend la source pleine de mouille, surmontée d'un clitoris proéminent, qu'elle aspire.
Certes, France n'est pas une experte de ce genre de relation, mais à entendre les gloussements de plaisir de Sara, elle juge qu'elle ne doit pas trop mal s'en sortir. Sa langue fouille copieusement la chatte de la libanaise. Celle-ci la maintient fermement par les cheveux. France est presque étouffée la langue et le nez enfouis au plus profond du vagin dilaté et odorant. Soudain, son corps pris de spasmes, bascule en arrière sur la moquette en hurlant de plaisir.
France pense profiter de l'occasion pour enfin dominer sa rivale de toujours, et décide de lui sauter dessus pour la surprendre. Les corps mouillés roulent sur le sol, les mains s'agrippent aux hanches, essaient d'attraper le bout des seins, les doigts pénètrent les chattes pleines de mouille. <un bref instant, elles restent immobiles, se fixant droit dans les yeux, leurs visages proches de quelques millimétrées. Enfin, les lèvres se frôlent, puis s'ouvrent pour aspirer la langue de l'autre dans un baiser interminable.
Les deux femmes gémissent de plaisir.
Hélas, France n'est pas de taille à lutter dans une catégorie qu'elle ne maitrise pas. C'est encore elle qui va servir d'objet sexuel, subir les sévices infligés par la maitresse de son mari. Sara va jouer avec elle/ Sans crier gare, elle lui mord l'oreille, le bout énorme d'un sein, pince le clitoris mis à nu, frotte les lèvres intimes une contre l'autre.
Aucun orifice ne sera épargné. Elle mord, lèche, suce, aspire, fouille de ses doigts nerveux tout le corps de la femme de son amant. Elle enfonce sans précaution aucune l'anus dilaté par les gros pieux de ses frères...
Presque malgré elle, France va jouir comme jamais, jusqu'à ce que, n'y tenant plus, supplie sa partenaire d'un matin d'arrêter. Sara obtempère, mais sort un gode-ceinture de sous le lit. Interloquée, France craint de devoir encore subir un nouveau viol d son anus...
Mais Sara lui intime :
« Mets-le de fonce ma chatte ». Elle obéit sans réfléchir un seul instant. Sara se positionne en levrette. France, harnaché d'un gode de vingt-cinq bons centimètres, se met derrière elle. Elle observe la chatte ouverte de son ennemie. Elle écarte l'orifice à deux mains, sans ménagement. Sara proteste :
« Eh fais attention, je ne suis pas un morceau de viande, comme toi !
- Ok, je vais être plus douce », dit-elle sans en penser un seul mot.
Et aussitôt, elle pose le bout du gland de plastique contre la fleur rouge d'excitation Sara halète, pleine de désir. France voit le jus qui coule, tant sa rivale est excitée
« Ah ma salope, tu mouilles, eh bien, tu vas pleurer ! » pense-t-elle avec une joie mauvaise.
Comme si elle allait défoncer un mur, elle prend son élan, et enfourne d'un seul coup de rein plein de rage, le gros mandrin au fond du vagin offert. Sara crie de douleur, et tente de se dégager. Mais France, là, est la plus forte. Elle maintient e sexe enfoncé jusqu'à la garde.
« Tu me fais mal, sale chienne ! hurle-t-elle
- Je m'en fiche, tu payes pour tout ce que tu m'as fait subir. Tiens, prends-en encore ! »
A nouveau, elle se retire et s'enfonce encore plus violemment. Sara l'insulte sans répit. Mais au bout de quelques va et viens brutaux, elle se calme, et ondule des hanches pour mieux accompagner la barre de plastique qui la laboure à fond. Elle souffle de plus en plus. France accentue la cadence, sent qu'elle bute sur l'utérus de son ennemie. Cette dernière finit pas pousser un cri animal, tant son orgasme est puissant. Elle retombe telle une poupée de chiffon, et s'endort instantanément sur lit.
Lentement, France se défait de la ceinture, et se couche elle aussi, comme enfin apaisée.
Vers midi, Mikael prend le risque de frapper à la chambre, pas de réponse. Il tourne la poignée, et pousse la porte.
Et là, surprise. Il trouve les deux femmes enlacées, assoupies dans le grand lit rond, juste couvertes d'un drap qui ne cache rien de leurs superbes formes. Il referme doucement et regagne le bar. Dans la clarté crue de ce jour d'hiver, il tombe sur Imad, le grand patron.
« Alors cher ami, superbe nuit, qu'en pensez vous ? Nous projetons, mes fils et moi, d'organiser une soirée dans ma propriété du sud de la France, vous viendrez j'espère.
- Heu...oui, pourquoi pas, bafouille Mikael, mais il faudra que je demande à ma femme si elle est d'accord.
- ne vous n’inquiétez pas pour ça, poursuit l'industriel, nous dinons ensemble ce soir, et mes fils la récupèrent pour la nuit. Demain matin, après une bonne partie de cul, vous aurez son accord, promis. Allez, à très bientôt. »
France et Mikael ne se rendent pas compte qu'en une nuit, ils sont tombés dans le monde de la partouze le plus hard qui soit....
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
Quel pied. Je crois que je vais me mettre à voler dans les supermarchés.
J'ai pris un énorme plaisir à lire ce récit.
Bravo !