Les Mémoires très Libertines de Sophie
Mon diner très particulier chez ma cousine, la Comtesse.
Il y a quelques jours, je vous ai raconté comment ma cousine, Astrid, comtesse Meillac de Laulne s’était dévergondée avec ses deux ouvriers agricoles… Visiblement, elle y avait pris goût. Un soir, elle me réserva une belle surprise !
Elle m’avait invitée à une soirée en l’honneur de son mari, pour fêter son succès professionnel. Je m’y rends pour lui faire plaisir, car ce genre de soirée m’ennuie profondément…
Je sonne à la grande porte de la demeure comtale.
Le majordome qui m'ouvre la porte a l'air d'apprécier le tableau qui s'offre à lui car une lueur de convoitise brille au fond des yeux lorsque ceux-ci se posent sur ma silhouette. J'ai revêtu pour la circonstance une petite robe de soie noire très courte qui met en valeur mes jambes et laisse deviner mes seins, nus sous le tissu. Il fait encore très chaud et même si le mois de septembre approche, les soirées restent très estivales. Les invités sont répartis en petits groupes dans un immense patio où des tables disséminées offrent alcools, jus de fruits et amuse-gueules à volonté. Des garçons circulent avec des plateaux de coupes de champagne, un orchestre joue en sourdine dans un coin de la pièce. Astrid n’a pas fait les choses à moitié, comme à son habitude.
Je navigue d'un groupe à l'autre, saluant les uns, souriant aux autres et finis par rencontrer cousin Edmond Meillac de Laulne, entouré d'un petit nombre de personnes. Il s'interrompt lorsqu'il me voit et, se prête aux civilités d'usage.
Il me présente son assistante, Laure. Grande, blonde, elle semble avoir entre 35 et 40 ans. Une silhouette fine et élégante, des cheveux mi-longs, des yeux bleus très clairs, le nez fin et petit, la peau bronzée. Il émane de sa silhouette une élégance et une sensualité troublantes qui agissent aussitôt sur moi. Un ventre plat et de longues jambes complètent un tableau déjà parfait. Elle porte un tailleur gris à rayures avec une veste longue et une jupe très courte comme le veut la mode actuelle. J'ai du mal à m'en remettre et il me semble bien qu'elle s'en rend compte lorsqu'elle me serre la main.
Pour masquer mon trouble, j'attrape une coupe de champagne et me laisse entraîner dans un autre groupe d'invités par une Astrid toute gaie de voir sa belle soirée si bien organisée…
Plus la soirée avance et plus j'ai du mal à tenir debout : je ne supporte pas bien l'alcool et le majordome qui annonce le repas tombe vraiment à pic. Nous nous retrouvons placés autour de tables octogonales, disposées près de la piscine, dans le jardin. Un subtil jeu de lumières met en valeur la végétation et l'eau bleue du bassin. Le cadre est joli et m'aide à supporter une conversation technique assez pénible. Je me suis en effet retrouvée à la table d'honneur, face au collaborateur direct d’Edmond et son épouse, avec des chimistes du service de recherche avancée.
On y parle de molécules, de décantation et de plein de choses ennuyeuses. Je me contente de hocher la tête quand il le faut.
Le repas se prolonge, je m'ennuie. L'alcool aidant, je commence à avoir des pensées très osées. La voix de Laure me semble chargée de promesses sensuelles, son décolleté profond m'attire de plus en plus. J'ai souvent eu un faible pour les femmes, même si je ne peux me passer de l'âpreté et de la vigueur du sexe masculin.
Les regards qu'elle me jette m'encouragent à oser. Masquée par la nappe, je retire discrètement mes chaussures et tends une jambe vers elle. Mon pied nu entre en contact avec un de ses genoux. Comment va-t-elle réagir ? Elle me regarde avec un petit air amusé et continue à parler comme si de rien était. Mon orteil remonte doucement en dessinant des arabesques sur la peau satinée de sa cuisse. Mon cœur s'affole un peu, mais, l'alcool aidant, je continue dans ma progression. D'ailleurs ses jambes s'écartent un peu, comme si elle appréciait... J'ai la bouche sèche lorsque j'atteins le tissu de sa culotte. La situation m'excite et je sens une vive chaleur se répandre dans le bas de mon ventre. Soudain une de ses mains saisit mon pied ! Je réalise en un clin d'œil la situation dans laquelle je me suis mise. J'ai peur, je veux le retirer, mais non : Laure le caresse un instant puis le plaque contre son pubis. Je reste une bonne minute immobile, continuant à faire semblant de m'intéresser à la conversation, attentive en fait à ce qui se passe sous la table. La chaleur du sexe de Laure traverse son slip. Je me mets à le caresser avec mon orteil, tout en essayant de m'insinuer sous la dentelle de ses dessous. J'y parviens sans difficulté et plonge dans la moiteur de ses lèvres intimes qui s'écartent à mon passage.
Bien heureusement, personne ne s'est rendu compte de ce qu’il se passe. Les hommes discutent toujours parfum, Laure se tait et paraît concentrée par le contenu de son assiette. Je continue mon manège. Mon orteil s'enfonce maintenant profondément dans son vagin puis remonte doucement vers le haut de son sexe, pour dénicher son clitoris.
Elle sursaute, ses yeux se troublent légèrement, je sens qu'elle a beaucoup de mal à feindre l'impassibilité. J'accélère impitoyablement mes mouvements. Mon orteil caresse son petit bouton, le contourne avant de replonger dans ses chairs trempées. C'est au moment où l'on sert le fromage que l'irréparable se produit. Laure sert brutalement ses cuisses sur mon pied, laisse tomber son verre qui se renverse et pousse un cri. Cet enchaînement masque son émoi. On s'affaire autour d'elle, le majordome éponge, emporte la vaisselle. Laure rassure Edmond : « Excuse-moi, je suis vraiment maladroite ! »
Une goutte de sueur perle sur sa tempe. Je retire mon pied doucement et réintègre mes chaussures. Laure me regarde, mais je ne parviens pas à décrypter le message contenu dans ses yeux bleus.
Le repas est terminé. Discours, cadeaux, on a droit à tout, puis les invités s'éparpillent dans le jardin, l'orchestre se remet à jouer et des couples dansent autour de la piscine. Laure reste aux côtés d’Edmond, et je ne peux l'approcher. Je refuse plusieurs fois de danser, le petit intermède de tout à l'heure m'a émoustillée, mon slip est trempé et je n'aspire plus qu'à rentrer chez moi, retrouver mon amant, et assouvir mes envies. Toutefois, il faut que je mette un peu d'ordre dans ma tenue et me passer un peu d'eau fraîche sur le visage me fera le plus grand bien.
Astrid me rejoint alors que je quitte le salon : »alors, ma chérie, tu passes une bonne soirée ? Je coirs que tu as provoqué le trouble de notre chère Laure…. »
Je rougis un peu et lu réponds : « Mais que vas-tu chercher, nous avons juste parlé un peu…
-Rassure-toi, je sais comment est Laure. C’est bien pour ça que j’accepte que cette très belle femme travaille avec mon mari. Elle n’aime que les femmes ! Toi y compris… Je te connais, je sais que tu as très envie de sexe ce soir… Alors, tu vas être servie, ma chère cousine lubrique… »
Elle part d’un grand éclat de rire, et me laisse plantée là, comme une âme en peine.
J'erre dans la maison. Je suis si troublée que je ne trouve pas la salle de bains. Je dérange plusieurs couples enlacés au hasard de mes déambulations. La musique assourdie continue de me suivre au gré des couloirs. Je tâtonne dans une pièce plus sombre, pousse une porte et découvre un bureau. Au moment où j'amorce mon demi-tour, je sens un frôlement et je manque de crier : Laure se tient face à moi, sur le seuil de la petite pièce. Avant que je ne puisse bouger, elle me repousse contre le mur, saisit mes deux poignets, les plaque au-dessus de ma tête et son corps se colle au mien. Ses lèvres s'appuient violemment sur les miennes, sa langue investit ma bouche et son baiser me fait complètement fondre.
Je suis à sa merci, elle s'en rend compte très vite. Ses mains délaissent mes poignets et descendent le long de mon corps, effleurant mes seins dont les pointes se durcissent. Je ne peux retenir un gémissement lorsqu'elle atteint mon bas-ventre. Mon sexe est déjà ouvert, complètement trempé. Pourtant elle ne se précipite pas, lentement sa bouche se promène dans mon cou, caresse le lobe de mon oreille puis descend vers ma poitrine où elle excite au passage les pointes de mes seins qui tendent la soie de ma robe. Mes deux mains se posent sur ses épaules, ma tête bascule en arrière dans l'attente de caresses plus précises. Je suis, les yeux fermés, la progression de sa bouche vers mon slip. Elle l'écarte d'un doigt et sa langue pénètre dans mon sexe qui l'attend. Je me mets à geindre sous la douceur de la caresse. Elle s'attarde sur mon clitoris, descend le long de ma fente, remonte encore et je ne peux m'empêcher de jouir à n'en plus finir...
J'ai du mal à refaire surface. Laure s'est relevée et me contemple pensivement. Je voudrais lui parler, nichée dans le creux de son épaule, dans le frisottis de ses cheveux blonds, mais elle ne m'en laisse pas le temps. Elle se retourne vers la porte d'entrée et crie : « François ! »
Le majordome entre tout de suite, et je commence à comprendre. Astrid avait dit vrai : elle a tout manigancé !
Il tient dans sa main son sexe érigé qu'il est en train de masturber. Ses dimensions sont impressionnantes.
« Oui, Madame ? «
Laure se tourne vers moi, me regarde droit dans les yeux et lui dit : « Baise-la ! »
Je reste pétrifiée, mais je mouille encore plus…
Laure me prend par le bras et me fait pivoter face au mur. Juste à la hauteur de mes yeux, j'ai un petit tableau représentant une nature morte, avec comme signature un minuscule papillon bleu. Je suis très excitée, et je tremble dans cette délicieuse attente….
Enfin, je sens François qui approche et ne peux m'empêcher de sursauter lorsque le bout de son sexe se promène dans le sillon de mes fesses. Son membre est gros, très gros mais il n'a aucun mal à me pénétrer, tant ma cyprine coule entre mes jambes, détrempant mon abricot brûlant de désir…
Il commence à bouger, doucement, accroché avec ses deux mains à mes hanches. Laure vient se placer à ma gauche. Je tourne la tête vers elle, elle se penche et m'embrasse tendrement. Sa langue s'enroule autour de la mienne, ses mains enserrent mes seins qu'elle se met à pétrir. C'est bon, je sens une grande chaleur envahir à nouveau mon sexe, les coups de boutoir de François se font plus rapides. Soudain le pilon s'arrête et glisse hors de ma fente humide : il remonte plus haut et s'immobilise sur l'anneau resserré de mon anus...
Je proteste pour la forme : depuis que j’ai vu de pieu géant, j’ai envie de le sentir dans mes entrailles…
La langue de Laure, ses mains dont une qui descend vers mon clitoris, c'est trop fort, je ne résiste pas. Elle enroule sa langue sur mon petit bouton durcit. Elle joue sans répit avec lui, le mordillant, le suçant, l’aspirant sans faiblir…
François, lui, appuie sur ma rosette frémissante, et sans difficulté, s'introduit dans le fourreau étroit et soyeux. Les sensations deviennent extraordinaires, Il me predn, me défonce en lents va et viens puissants et forts. Ses couilles tapent contre ma vulve, laure les gobe au passage de temps en temps. Je jouis une première fois sous l'effet des doigts de Laure et aussitôt après lorsque je sens François se répandre en moi… Son foutre inonde mes entrailles. Le liquide s’épanche hors de mon anus, et Laure vient le récupérer de sa langue experte.
Je suis là, pantelante de tout ce plaisir ressenti, quand j’entends quelqu’un qui applaudit : c’est Astrid. Cachée dans l’encoignure de la fenêtre, derrière un rideau, elle a tout vu…
« Eh bien ma chérie, tu es douée pour les choses du sexe ! Nous devrions un jour jouer ensemble… »
Je rougis un peu, la remercie, et lui dis que je lui laisse la place... Je préfère rentrer, avant que mes démons ne me reprennent… Arrivée à la porte, je me retourne, et je vois ma chère cousine, penchée en avant, la jupe déjà relevée, Laure entre ses cuisses, sa bouche sur la fente épilée, et la bite de François entre ses lèvres…
Visiblement, ils vont bien s’amuser cette nuit !
Il sentait bon le sable chaud, mon légionnaire....
Hier, c’était journée sportive et festive pour les jeunes d’une ville voisine. J’étais chargée de l’intendance. L’après-midi, différents ateliers étaient proposés aux jeunes : échecs, fooutsal, hand, etc, et enfin, combat rapproché, animé par les légionnaires, pour cette dernière activité.
Dans la courant de l’après-midi, alors que la chaleur était intense (35° à l’ombre), certains esprits se sont échauffés, et des jeunes se sont battus. Les animateurs n’arrivant pas à les séparer, ce sont les légionnaires qui sont intervenus. Avec beaucoup de maitrise, ils ont su séparer les belligérants. A la suite de cet incident, le coordinateur leur a proposé un boisson, ils sont donc venus vers moi.
Et là, ce fut le choc. L’un deux est arrivé, crane rasé, bien sur, mais surtout, un regard bleu acier à couper le souffle. Il a plongé ses yeux dans les miens, et ce fut comme si j’étais transpercée par une lame glacée et brulante à la fois.
Je bafouillais, je tremblais, comme une vraie gamine. Rarement dans ma vie, j’ai été aussi troublée.
Ils sont repartis très vite, trop vite, mais l’homme se retournait, et me regardait en partant, ses yeux bleus dur toujours aussi pénétrants dans les miens…
Je ne savais plus que faire. J’étais une poupée molle, ma tête tournait, j’avais un besoin impératif de lui, de son corps, de ses mains. Ma transpiration s’est accentuée, se mêlant entre mes cuisses à une autre humidité bien plus parlante.…
Par bonheur, si je puis dire, les ados ont remis ça, et une nouvelle bagarre a éclaté. Les militaires sont donc revenus ventre à terre. Une fois le conflit calmé, l’organisateur leur a demandé de rester à proximité, pour la demi-heure qui restait. Les quatre hommes sont donc revenus vers notre stand, pour rester à l’ombre.
« Mon » légionnaire s’est approché de moi, et nous avons commencé à parler. Il a un fort accent de l’est. Mais il m’est impossible de lui demander d’où il vient, ca ne se fait pas dans la Légion. Nous échangeons des banalités, mais nos regards disent tout à fait autre chose. Je tremble de plus en plus, je mouille aussi beaucoup, j’imagine ses grandes mains sur moi, son corps écrasant le mien… Il a 42 ans, il s’appelle Yohann.
L’air de rien, il sort son portable, et me demande d’y composer mon numéro. Je le fais, juste à temps avant qu’il ne quitte le stand, avec ses collègues.
Je remballe avec les ados, le cœur en vrac, le sexe en feu. Je ne sais pas ce qu’il va faire. Ou pas ! J’ai a peine fini, que téléphone sonne ; je sais que c’est lui. Il me dit assez laconiquement : « Je t’attends à 17h30, sur la plage, après le haras. »
J’ai à peine le temps d’articuler un pauvre « oui », qu’il a raccroché. Là, c’est sûr, je ne maitrise plus rien. Rarement je me suis sentie dans un tel état d’excitation, de fébrilité totale.
Enfin, j’arrive à la plage. Il est là, en tenue civile.
Le plus naturellement du monde, il ne m’a pas fait de bise fraternelle. Il a posé ses lèvres sur les miennes, dans un baiser léger comme une plume, mais d’une intensité incroyable.
La tête m’a tourné, j’ai failli tomber, il m’a retenue.
Et là, le monde autour de nous a disparu, la plage, les enfants qui jouaient, les cavaliers, plus rien n’existait. Il m’a embrassée passionnément d’un baiser sans fin, long, éperdument amoureux…
Nous étions soudés l’un à l’autre, par une force invisible, qui nous a submergés, envahis, emportés loin de toute raison, loin de toute réalité. L’odeur de la mer, du sable chaud contribue à ce sentiment fort et puissant qui me prend toute entière.
Un enfant nous a bousculés, nous ramenant brusquement sur terre. Nos yeux se sont accrochés, pour ne plus se quitter.
Comme des automates, nous avons rejoint la voiture, pris la route. Je ne sais même plus comment nous sommes arrivés à la maison. Nous ne parlions pas, nos mains se pétrissaient, se cherchaient, ne se quittaient plus. Il passait les vitesses pour moi, de sa main droite, pour ne pas que je lâche sa main gauche.
L’arrivée à la maison... l Délivrance….
La porte à peine ouverte, il m’a prise dans ses bras, m’a attirée à lui, et m’a de nouveau embrassée. Sa façon de faire est merveilleuse, douce, forte, tendre à la fois. Sa langue harcèle la mienne, il me mange, m’avale, m’aspire, je fonds entre ses bras. Je sens un désir brutal, sauvage, animal qui monte en moi. Un désir comme je n’en n’ai jamais connu avant. Le désir profond intense d’être possédée par l’homme que j’aime. Car oui, là, juste à cette minute, je sais que je l’aime, en dépit de toute logique, de toute raison.
Possédée… Pourtant, j’ai toujours clamé haut et fort que personne n’appartient à personne, qu’on ne peut pas s’approprier une personne. Que jamais je n’appartiendrai à un homme. J’ai tenu parole plus de quarante ans.
Eh bien maintenant, je veux appartenir à cette homme, être sa propriété privée, sa femme, son amante, sa confidente.
Nos vêtements ont quitté nos corps comme par magie, nous sommes nus, debout, face à face. Il y a comme une très petite hésitation, un instant de tranquillité absolue, de silence. Le calme avant la tempête. Nous tombons allongés sur le lit, il effleure ma peau du bout de ses doigts. Il parcourt mon corps de la racine des cheveux à la pointe des pieds, le fait frissonner sous ses caresses aériennes. Je vois son sexe massif, épais, dur, dressé le long de son ventre. Il a un corps splendide, de jeune homme, malgré ses 42 ans. Je referme mes doigts sur ses bras, sur son torse, je m’agrippe à lui. Ses yeux qui m’ont tant troublée quelques heures plus tôt me fouillent jusqu’à toucher mon âme.
Le désir me ravage les entrailles, il est si intense, si profond…. Cette envie est insensée. Je n’ai pas envie de lui, j’ai BESOIN de lui, de le sentir me posséder de tout son être…
Il touche à peine mes lèvres intimes, humides de lui. Cela me fait sursauter. Je le guide vers moi, il s’allonge sur moi, écarte avec une douceur infinie mes jambes. Je sens son sexe dur contre le mont de vénus. Nos yeux ne se quittent pas.
Sans un mot, sans un son, il me pénètre lentement, d’une telle lenteur que c’en est une torture. Je me sens envahie, par cette belle verge aimée. Il est là, enfin, tout au fond de moi. Il bouge à peine, j’enserre ses hanches de mes jambes. Sas mouvements sont lents, intenses, profonds. Ce sont des vagues de plaisir qu’il m’envoie avec ses gestes doux, lents, et pourtant puissants. Nous ondulons au rythme de notre amour naissant. Nous sommes littéralement soudés l’un à l’autre. Nos regards se noient l’un dans l’autre. Jamais je n’ai vécu une telle intensité de sentiments, de sensations mêlées.
L’orage arrive, je sens des vagues de plaisir m’envahir, alors que d’habitude, une simple pénétration vaginale ne me fait pas grand-chose. Je jouis d’une façon intense, ultra profonde, inconnue jusqu’à ce jour… C’est si fort qu’un spasme me soulève la poitrine. Les larmes arrivent, elles embuent mes pupilles... Je pleure. Je pleure du bonheur de lui appartenir, de l’aimer, de le sentir en moi.
Enfin.
Comme si j’avais attendu cet homme toute ma vie. Il se penche vers moi, murmure à mon oreille : « Laisse-toi pleurer, tu es encore plus belle, tu pleures des larmes d’amour… »
Il s’enfonce encore plus profondément en moi, maintient fermement la pression, ne bouge plus. Ses yeux me pénètrent au plus profond de mon âme et de mon cœur.
Alors, sans prévenir, un nouvel orgasme fou me secoue. Je suis comme électrisée. Un immense choc électrique me fait me soulever, et pousser un cri dans la chaleur moite de l’après-midi : je hurle son nom, je hurle : « je t’aime ! »
Ces mots si galvaudés, si souvent prononcés à tort et à travers, prennent une dimension nouvelle à cette minute.
Je retombe sur le lit, vidée, mais lui continue son mouvement de va et vient, rallume mon désir en quelques secondes. Il accentue ses mouvements de bassin, puis stoppe net, et je vois son visage se crisper. Il jouit en moi, dans un râle étouffé, je sens son précieux liquide brûlant m’envahir, me remplir, m’inonder.
Il s’allonge sur le coté, m’entraine contre lui. Je ne veux pas qu’il sorte de moi. Sa seule place est là, fiché dans mon sexe qui lui appartient désormais.
Malgré la passion, son érection retombe, il sort de moi. Le vide qu’il laisse est incroyable. Réellement, il me manque comme une partie de moi-même.
Par bonheur, cet homme vigoureux a beaucoup de ressources… Il est là, couché près de moi, ses doigts courent sur la peau, glisse entre mes jambes… Il cueille un peu du sperme qu’il a laissé, et vient le déposer sur mes lèvres. Je goute son liquide précieux, j’apprécie sa douceur un peu salée. Il vient m’embrasser à nouveau, dans un baiser profond et tout aussi brulant que le premier. Il n’en faut pas plus pour rallumer illico la flamme qui s’était mise quelques secondes en veilleuse.
Sa main vient à nouveau fureter entre mes cuisses, les écarte. Il effleure mon clito, qui se dresse telle une petite bite dure et avide. Pour mon plus grand plaisir, il se penche, et vient titiller de sa langue mon bouton raidi. Il ne lui faut qu’un trop bref moment pour me faire jouir à nouveau, de façon intense, presqu’animale. Sa bouche avale mes lèvres, ma chatte est en feu, sa salive attise ce feu, au lieu de le calmer. Il enfonce sa langue au plus profond de mon abricot en furie. Je me tords sous ses caresses, il s’aide de ses doigts, qui fouillent mes orifices, il s’attaque avec douceur et fermeté à la fois, à mon petit trou. Il s’ouvre avec docilité. Je suis là, allongée sur le dos, jambes écartées au maximum. Il mange mon clito, et pénètre avec ses doigts à la fois mon vagin et mon anus, dans un geste de pince que j’adore. Pour la énième fois, il m’envoie au septième ciel, dans un orgasme puissant et tout aussi violent que les autres. Cet homme est un démon, le diable en personne. Je hurle mon plaisir, on doit m’entendre à 500 mètres à la ronde !
Il rampe sur moi, son torse écrase ma poitrine. Il retire sa main, pour mieux enfoncer d’un coup sec sa belle queue dure. Une lame me transperce, littéralement. Une lame de feu me laboure le sexe, lentement, puis de plus en plus vite. Brusquement, il se retire, me retourne comme une crêpe, et me fait mettre à genoux. En levrette, il agrippe mes hanches, et de nouveau, son sabre me coupe en deux.
Cette fois il va plus profond, butant sur mon utérus. Je crie à chaque poussée violente. On dirait qu’ne rage nouvelle l’anime. Il enfonce aussi son majeur au plus profond de mon conduit anal. Il me baise, me besogne, me ravage les deux orifices. Je ne suis plus qu’un jouet sous ses poussées brutales, mais que j’adore. Ses coups de boutoirs sont violents, ses cuisses tapent contre les miennes. Heureusement qu’il me tient fermement les hanches, sinon, je m’affalerais sur le lit !
Cette-fois-ci, je me sens possédée comme jamais avant. Cet homme me domine comme personne ne l’a fait avant lui.
Le dernier orgasme m’envahit, me fait hurler comme une bête blessée. Je pleure, je crie, ma gorge est déchirée. Les dernières vagues de plaisir ne sont pas encore apaisées, que je sens une coulée de lave au fond de ma chatte dévastée. Le liquide brulant gicle au fond de moi, et ressort sur mes cuisses, pendant que Yohann continue plus doucement ses va et vient.
Nous tombons, épuisés, sur le coté, toujours soudés l’un à l’autre. Il enserre ma poitrine de ses bras puissants. Il devient calme, doux, caressant, je sens son cœur battre fort contre mon dos. Enfin, les lois de la nature aidant, son sexe sort de ma fleur dévastée.
Alors, je me retourne vers lui, il m’enlace, m’embrasse, me caresse. C’est un moment de pur bonheur, de plaisir intense. Il s’excuse de sa brutalité, me dit qu’il n’a jamais eu autant envie de faire l’amour.
Nous restons de un long moment ainsi, comme de vieux amants amoureux.
Mais le retour à la réalité sonne avec le retour des mes enfants à la maison. Il doit partir. Hélas.
Ca y est, il est parti. Il reviendra, je l’espère, même s’il ne m’a rien promis. Mais le vide est immense, un puits sans fond, où j’ai envie de noyer le chagrin de son départ.
J’ai passé la nuit comme un animal blessé et perdu, ne sachant pas s'il reviendra. Je cherche son odeur partout, dans les draps, sur mon paréo, dans lequel il m'a serrée si fort avant de partir, dans les draps, là où nous nous sommes couchés, enlacés, aimés…
Tout cela peut vous sembler invraisemblable, mais je ne sais pas comment expliquer cette passion qui nous a emportés, ravagés, et pour moi, laissée sans force, mais avec un immense, besoin de lui !
La vie de Julia - Découvertes
Cette année est donc mon année de découvertes.
Découverte du plaisir dans les bras de ma copine, qui est devenue mon amante. Découverte du plaisir de se sentir désirable, des jeux de séduction, de la conscience d’une allure sexy. Découverte comment ce style sexy peut être sujet de frissons à différentes occasions. Frissons provoqués bien sur, mais ressentis surtout. Frisson en sentant ces regards appuyés sur mes jambes, quand mes jupes sont courtes, sur mon buste de plus en plus arrogant sous mes tee-shirts ou chemises. Frisson quand je parade un peu dans mes tenues de tennis que je choisis dans ce sens, et qui font ressortir ma cambrure très prononcée, et dont je suis très fière.
Le spectateur le plus assidu de mes matchs, c’est papa. Sur un banc, il me dévore autant qu’Agnès assise à ses cotés. Et souvent accompagnés de mes copains de tennis qui, et j’en suis heureuse, suivent mes progrès avec beaucoup de passion. Surtout Cédric, un copain de longue date qui me dévore des yeux. Et quand je gagne un match important, je suis entourée au club house comme la reine du jour. J’en joue.
La star sexy du club ! L’occasion pour beaucoup de m’embrasser, en posant une main sur une épaule ou sur une hanche. Les plus osés, assis au bar du club, ou sur un banc, posent une main sur ma cuisse. Je ne repousse que rarement, et même, je me donne un peu dans ces moments-là.
Électrique.
Il m’arrive d’arbitrer un match de copains, assise en haut de la chaise, avec une jupette, et ils sont aux anges quand ils passent devant la chaise et regardent le haut de mes cuisses, surtout si j’ai mis un petit string à la place de la culotte de sport. Les moments dans les vestiaires sont parfois des instants amusants aussi, quand les garçons me suivent et que je ne fais pas grand-chose pour me cacher. Cédric en profite quelques fois.
A nouveau nos vacances en Espagne. Agnès nous rejoint plus tard. Ses parents la gardent avec eux du coté de Montpellier et ils la laissent chez nous avant de remonter. Donc huit jours seule. Il me tarde.
Et cette année, découverte particulière : le « sans-dessous-dessous ». Expression du papounet pour dire : « sans culotte ».
C’est un des petits jeux favori des parents. Maman sans dessous-dessous pour leur plus grand plaisir. Ils doivent « jouer » de cette façon depuis bien longtemps. Et surtout, pendant les vacances, ici déjà, en Espagne, mais aussi en d’autres circonstances. Mais ici, c’est un peu entre eux comme un contrat. Pas une culotte dans les valises.
Et moi, j’ai entendu qu’ils en parlaient entre eux, la veille du départ. J’ai compris assez vite de quoi il s’agissait, surtout quand lui insistait : sans-dessous-dessous ! Ca m’a intrigué un peu. Comment fait-elle pour que l’on ne s’en aperçoive pas plus que ça ? Quelle sensation ? Quel plaisir pour elle ? Pour lui, j’ai vite compris le plaisir. Et en fait, pour elle aussi, après coup.
Je voyage donc seule à l’arrière de la voiture. Et pendant le voyage, je ne pense qu’à ca : maman est donc sans dessous-dessous… Je m’imagine ainsi et j’en tire une agréable émotion.
Quelque part cela me fait drôle, et en même temps je me dis que ce doit être une sensation forte agréable… Etant déjà un peu coquine et très curieuse, curieuse de plaisirs, d’envies multiples, de découvertes, je me plais à penser à cette tenue…
Donc, sur mon siège, derrière maman, je pense à ça et j’en ressens des petits frissons… Je passe régulièrement mes doigts sur mon petit minou, déjà humide et très réceptif à ces petits gestes. Je glisse ma main sous mon string pour bien me sentir, sentir cette chaleur, cette humidité. Je me dis que si ma petite chatte est encore plus accessible à mes caresses ce doit être encore bien plus agréable. Je porte ma jupette en jeans, très courte, que je porte le plus souvent possible en dehors des cours, un petit haut blanc, style « marcel » à même la peau. Pas de soutien-gorge. Les rares moments où j’en porte, c’est footing et tennis.
Le reste du temps ce n’est pratiquement jamais. Alors en été et en vacances… ce n’est jamais ! Et là, avec ce marcel près du corps qui épouse bien ma poitrine, on distingue parfaitement mes tétons qui pointent très facilement, surtout quand je pars dans ce genre de pensées. Dans cette tenue, ma jupe très courte remonte au plus haut. Ma position très décontractée en voiture, fait que l’on voit facilement mon string, en coton rose qui épouse la forme de mon minou. Je me regarde avec plaisir. Je me scrute dans le reflet de la vitre. J’imagine ma petite chatte encore plus offerte à mes yeux, alors je resserre mon string pour qu’il pénètre et se cache entre mes lèvres. Il est nu mon minou ainsi. Je sens mes fesses nues sur le siège et l’excitation monte de plus en plus.
Sur le parking, pour la pause café, assise sur un banc, les messieurs arrêtés là, me regarde aussi. Je laisse voir ma culotte avec le même plaisir. Contente de penser que si j’étais nue… Papa en voiture, quand il se retourne pour me parler, a lui aussi les yeux attirés par le spectacle. J’ai arrangé mon string pour qu’il ne soit à peine plus large que mon minou. Je suis offerte. Juste un petit bout de tissu, fin, étroit. De plus en plus excitée de jouer avec moi-même. Je me trouve désirable et j’en ajoute en passant mes doigts dessus. De plus, avec ces sensations de plus en plus fortes, mes seins pointent beaucoup sous le teeshirt, et sont également très gonflés. Je me sens nue et accessible. Un délice.
Du coup, sur mon siège, je ne résiste pas. J’ai trop envie de nouveaux plaisir. Je fais glissé mon string le long de mes jambes, je le quitte et je le range au fond de mon sac en me disant : sans dessous-dessous pour toutes les vacances ! Comme Maman ! Chiche ! Je tremble un peu d’émotion mais je finis par apprécier cette sensation. Excitante.
Et là, sans même me toucher, juste en regardant mes cuisses, le bas de ma jupe cachant à peine mon sexe, je ressens un plaisir immense ! Pas fort, mais un plaisir indéfinissable. Une immense bouffée de chaleur. Plaisir d’être visible, d’être nue là ou on ne l’est pas habituellement. En me laissant glisser en avant, mon sexe humide apparait, et je me retrouve nue quasiment. Je suis nue !
Un nouveau plaisir dans ma collection toute neuve ! Je commence à en connaître pas mal. C’est une jouissance douce, longue, délicieuse. Sentiment de me donner, de me découvrir. Je me regarde et selon mes positions, je vois un peu ou beaucoup mes lèvres, ou bien mon sexe entier. Tout beau. Toute lisse. Tout fraichement épilé de la veille.
Je me vois nue dans le reflet de la vitre. Je le suis, sans l’être. Juste ma jupe très courte et un teeshirt très léger. Je peux m’offrir ou me fermer selon la position de mes cuisses. Je peux, selon mes positions me montrer ou me cacher. Je m’excite seule avec mon reflet. Je suis humide. J’ai envie de moi. Je peux me toucher, naturellement, comme si j’étais seule, et pourtant visible de tous. Je coule par moment, en effleurant mes cuisses, remontant ma main doucement, jusqu'à passer sur mon sexe ouvert, qui réclame son câlin. Je glisse furtivement un doigt en moi, découvre mon bouton, le caressant légèrement. Juste ce qu’il faut pour entretenir mon envie sans jamais la calmer. Je regarde ma main courir d’une cuisse à l’autre, avec une pause à chaque fois pour relancer le feu qui me vient des reins. Un régal. Cette sensation extraordinaire d’être nue, offerte, avec si peu de vêtement, va devenir pour moi un de mes plus grands plaisirs. Et se faire désirer, montrer mes trésors, ou simplement me savoir accessible. Un bonheur intense. Cela ne me quittera plus…
Ce plaisir revient très souvent pendant le voyage. Surtout quand on s’arrête pour une pause et que je me dégourdis les jambes sur les parkings, sous le regard de ces gens arrêtés là, et que j’ai cette sensation qu’ils voient que je suis nue ! J’ai même envie de leur dire ! En voiture, quand quelqu’un passe à coté, et qu’il regarde mes cuisses découvertes avec déjà un œil coquin, j’ai une envie très forte qu’il en découvre encore plus, c’est si facile, si tentant…
Et encore un grand frisson dans les reins. Un voyage pendant lequel je ne cesse de penser à cette nouveauté. Heureuse ! Je m’imagine dans toutes sortes de situations, en ville, au lycée, au cinéma, restaurant… Bref je comprends totalement le plaisir de ma mère, et évidement je devine très vite ce que ca peut apporter à papa. Je me caresse fréquemment durant ce voyage. J’écarte mon sexe en passant 2 doigts dessus, de chaque coté, et je me vois, rose, humide, ouverte, prête ! Je veux m’offrir.
Depuis, c’est devenu également un rituel : dans ma valise pas de dessous, si ce n’est évidement mes maillots de bains dont j’utilise quelques fois le bas pour une situation particulière ou parce que je ne veux pas trop tenter.
Ni papa ni maman ne se sont aperçu de ma nouvelle façon de porter mes jupettes. Sauf… sauf papa ! Pas tout de suite, mais au deuxième jour de vacances…
Nous sommes encore que tous les trois, et ce soir là nous allons comme assez souvent, faire un tour au bowling. On y va à pieds, c’est à dix minutes. Papa sur le chemin, passe régulièrement sa main sur les fesses de maman pour vérifier pour la millième fois qu’elle est bien nue sous sa robe. Il ne se doute pas que moi aussi sous ma jupette, je suis aussi nue que possible et cela depuis deux jours. Pour ce soir j’ai choisi une jupette rose, plissée, légèrement volante. Jupe taille basse.
Elle descend juste sous les fesses. Pas plus. Je sens le courait d’air me passer sur le minou et jouer avec… Je me dis d’un coup, arrivée dans la rue, que je suis folle d’aller jouer dans cette tenue. Au point de vouloir rentrer vite me changer. Puis en marchant, le vent me donne une superbe sensation. Délicieuse sensation. Je porte un petit haut à fines bretelles, qui descend à mi-ventre, style brassière, assez moulant sur les seins et comme ils pointent de plus belle... Du coup entre le ventre et les cuisses, très peu de tissus. Je porte ca assez souvent mais la ! Je m’y sens bien. Je me sens nue. Nue et encore humide.
Mon entrée au bowling se fait remarquée. On me regarde et on doit me trouver désirable. Ce qui ne me calme pas, bien au contraire. Maman me chuchote que j’ai fais très fort ce soir, et que je suis la plus jolie. J’en suis d’autant plus heureuse. On me scrute. On me désire. On me déshabille avec les yeux. S’ils savaient…
Nous faisons une première partie et j’avoue ne pas être hyper concentrée sur mon jeu, mais beaucoup plus sur ma façon de bouger. Cette jupette, si je n’y fais pas attention, peut me dévoiler très facilement. Elle est déjà très courte et les joueurs présents ce soir, me dévorent suffisamment des yeux pour que je n’en rajoute pas. Très tentant pourtant, je l’avoue, mais non. Un couple de quadra à la piste voisine me scrute et je leur retourne un sourire complice, ce que le monsieur apprécie au point de louper son jeu. Il ne rate aucun de mes déplacements.
Ma jupette semble l’affoler. Je vais au bar chercher des boissons et en traversant les tables, les têtes se tournent sur mon passage, les yeux me suivent, me scrutent. J’ai un succès fou. J’accentue mon déhanchement et je sens ma jupe voler. Et de plus, le fait d’être nue sans que les autres le sachent est un plaisir immense. J’ai des idées folles dans la tête. Surement de savoir que je suis entièrement accessible, je ressens des frissons de plus en plus forts, comme avec les mains et la bouche d’Agnès. Elle me manque d’un coup.
Entre 2 parties, je vais aux toilettes, plus en fait pour me caresser légèrement et calmer un peu mes envies. Je peux même me passer un peu d’eau sur le minou sans difficulté tellement il est facile d’accès et je suis chatte à l’air dans les toilettes, lèvres ouvertes, humide. Je viens aussi pour profiter des miroirs et vérifier à quel point ma tenue peut devenir incendiaire !
Hop un mouvement rapide et ma petite fente toute lisse et brillante me saute aux yeux ! Et de dos ! Le dessous de mes fesses nues ne demande que ca pour se dévoiler ! Quel plaisir ! Je me penche, et mes fesses apparaissent dans le miroir, ainsi que mon abricot entre le haut de mes cuisses, comme un fruit superbe. Je me désire seule dans la glace. Je reste un petit moment entre mon image et quelques caresses appuyées. Je fais monter une chaleur délicieuse en moi, en me masturbant, face au miroir.
De retour sur la piste, je suis de plus en plus excitée, et cela doit se voir. Les autres me regardent encore plus je trouve. Le monsieur me regarde revenir avec les yeux brillants. Maman, avec un œil interrogateur, me demande si je vais arriver à jouer ce soir ? Si je suis très motivée ? Et papa semble aussi se demander.
Lui, il va se le demander, mais plus très longtemps en fait. Je prends une boule, il est assis derrière moi, je vais lancer ma boule, et je sais que cette fois ci, je me suis laissé aller un peu dans mon geste. Volontairement. J’ai senti le tissu se soulever et flotter un moment. Quand je me retourne, je vois la tête de papa ! Figé ! Eberlué ! Pas de doute : il a bien vu ! Je tremble. De plaisir. J’ai osé ! Découvrir mon trésor dans cette tenue si sexy !
Il me regarde, regarde mes jambes, me regarde à nouveau. Il a pris un coup. Il est tout rouge !
Bah oui papa ! Moi aussi « sans dessous-dessous » !
Il est tout chamboulé le papounet. C’est à son tour de jouer. Il prend une boule. Il s’en débarrasse et au retour me scrute au mieux. Du coup, l’air de rien, je laisse un peu de jeu entre mes cuisses pour qu’il n’ait plus aucun doute. J’ai envie qu’il voit. Oui ! Je suis nue aussi. Comme maman. Ca lui fait un choc. Moi, ca m’excite comme jamais. Je viens de faire un truc que je n’aurais jamais imaginé : je prends un vrai plaisir à me montrer excitante envers lui ! Mon premier spectateur de mon nouveau jeu. Je suis toute humide en deux secondes. Je suis assise à même le siège, et je sens mon plaisir couler. J’excite volontairement mon papounet.
C’est indéfinissable comme sentiment. Différent de notre intimité dans je jardin. Il me voit très souvent nue, et sur la plage aussi, mais ce sont des situations assez classiques. Très libres et sans pudeur. On parle sexualité sans en être gênés. Mais ici ! Au bowling ! Nue et offerte à ses yeux ! Provocante ! Du coup, à chaque fois que je joue, je sais qu’il est fixé sur mes cuisses. Je le sens. Je m’arrange pour qu’il doute de moins en moins, et qu’il voit de mieux en mieux. Ma jupe vole de plus en plus. Je m’offre avec un sentiment étrange, d’interdit, délicieusement sexy, volontairement coquine. Un plaisir fou !
On a réussi à terminer notre partie. Il n’a pas cessé de chercher à voir. Moi à me cacher ou me montrer selon mes envies. Je m’amuse. Il est très nul ce soir papa, au bowling. Maman se marre de nos prestations. On va pour sortir. Je suis assise sur la banquette à l’accueil pour changer mes chaussures. Il est devant, accoudé au comptoir. Il me regarde. Cette fois, je pose un pied sur la banquette pour dénouer mes chaussures, ce qui découvre totalement mon minou et écarte largement mes cuisses. Il a une vue très dégagée sur mon sexe offert à ses yeux. Je suis ouverte.
Il n’arrive pas à ne pas « mater ». Je suis sa fille, certes, mais bon, il doit trouver le spectacle trop beau pour ne pas en profiter malgré lui. A sa tête, je vois qu’il est entre deux sentiments. Sa fille, ca le dérange énormément, mais le spectacle, la situation le fait réagir. Il doit regarder ou ne pas regarder ? Il doit apprécier ou non ? Sa fille est nue sous sa jupe au bowling et dans une tenue qui, de sexy et mignonne, devient excitante et affolante.
On est rentré à la maison. Il est avec SES femmes. Elles sont nues et sexys comme on ne peut imaginer. Heureux surement ! Mais déboussolé le papounet.
A la maison, on s’installe pour un verre sur la terrasse comme tous les soirs. Maman s’est changée. Pas plus habillée, mais avec grand tee-shirt qui ne lui sert que pour ce moment là. Moi non. J’ai gardé ma jupe. Seins nus. Juste ma jupe. Comme un accessoire indispensable à cette soirée. Je suis très excitée de mon nouveau jeu. Et je m’arrange pour jouer encore un peu avec les nerfs de papa. Je sais que cette tenue est bien plus sexy que si j’étais nue comme je le suis ici en général. Lui a gardé un short, contrairement aux habitudes.
Il ne doit pas pouvoir le quitter. Surement que l’excitation est trop forte. Il ne sait jamais si il doit regarder, tourner la tête, partir se coucher… Il reste. Momifié. Sa fille sans dessous-dessous ! On reste un moment à discuter. Moi à me montrer. Lui à mater. Mes seins donnent une indication de mon émotion. Je suis demi-nue, arrogante, et incendiaire. Mes seins sont gonflés, excités, et ca se voit. Mon minou aussi est gonflé, humide. Je ne peux pas me toucher la, mais l’envie est forte. Mon sexe appelle du plaisir. Et je sais aussi que s’il à gardé un short ce soir, c’est qu’il doit avoir une belle érection. A cause de moi. Ou plutôt grâce à moi.
Puis nous allons au lit. Moi dans mon « studio ». Eux dans leur chambre. De ce que je peux entendre (on entend beaucoup, mais je ne l’ai jamais dis) papa se calme avec force, et surtout avec maman. Moi je suis couchée, mais j’ai gardé ma jupe. Je suis installée sur mon lit et je me caresse. Longtemps ! Sous ma jupe ! Seins nus et mon minou offert ! Sentiment de l’offrir à tous ces gens que je croise. Je le caresse ! Je l’ouvre pour qu’on me voie plus encore. Je fouille, je me caresse devant des yeux imaginaires ! Devant les yeux de papa. Ceux qu’il avait tout à l’heure. Une main masse mes seins, l’autre ouvre, triture, s’enfonce. Je goute mes doigts trempés. Un délice. Qui veut me regarder ? Qui veut me gouter ?
J’ai connu d’immenses plaisirs depuis, mais cette masturbation la! Forte ! Jouissive ! Des images dans la tête ! Ma jupe ! Les gens ! Papa ! Tout ! Sublime !!!
Je jouis sur mon lit comme ca.
Je m’endors ainsi et me réveille au matin dans cette tenue : nue avec ma jupe. Je ne peux pas m’empêcher de me caresser à nouveau avant de sortir.
Voila pourquoi il me comprend, mon papounet. Pourquoi on se comprend. Mes tenues, il les connait. Il sait quand je suis sans dessous-dessous. Il n’a pas besoin de vérifier. Comme maman. Il sait. Ca fait maintenant cinq ans que je le fais. Alors… Il sait aussi que j’ai entrainé Agnès dans cette pratique. Moins souvent que moi, mais il le sait aussi ca. Il l’a vu aussi. Et il apprécie énormément.
On se regarde. On n’a pas besoin de beaucoup parler pour se comprendre. Il lit dans mes yeux, mes sourires et moi de même. Je sais quand il a lui aussi un frisson dans les reins et que ce frisson lui déclenche un petit plaisir. Que son sexe frémit. Je lui déclenche moi aussi à papa. Et j’en tire un plaisir. Un vrai. Notre complicité silencieuse. Et j’aime bien. NOTRE jeu. Et notre équilibre à tous n’en souffre pas. N’en a jamais souffert. Ils sont libertins mes parents. Ils ont une fille libertine. Filiation logique !
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Ma soirée chez Léa
Léa est l'ancienne assistante du département ou je travaille. Elle a été mutée récemment à sa demande dans un autre service, elle a maintenant un travail plus intéressant et sans doute aussi un meilleur salaire.
Nous nous côtoyons moins que lorsque nous travaillions ensembles, mais nous avons néanmoins souvent l'occasion de prendre le café ou de déjeuner ensembles au restaurant d'entreprise.
Léa est une jolie femme d'environ quarante ans. Ses cheveux bruns tirant sur le roux sont mi-longs, légèrement ondulés. Elle a de très jolis yeux verts, très souvent pétillants de malice. Elle est mince sans être maigre avec de jolies formes juste la ou il faut. Elle est en plus, ce qui ne gâte rien extrêmement sympathique.
J'avoue que j'aime bien être en sa compagnie, et que j'ai souvent pensé que cela serait sans doute très agréable d'aller plus loin avec elle qu'une simple relation entre collègues. Mais il ne s'est jamais rien passé entre nous, je ne mélange pas la vie professionnelle et la vie sentimentale et de plus elle est mariée, amoureuse de son mari et donc fidèle.
Nous n'avions donc jamais eu l'occasion de nous côtoyer en dehors du boulot.
L'autre jour, en prenant un café, elle me dit que cela faisait longtemps qu'elle voulait m'inviter à diner chez elle avec son mari :
« Maintenant que nous ne travaillons plus ensemble, il n'y a plus aucun risque de mélanger vie professionnelle et vie privée. Qu'en penses-tu ? »
Son argument me parut fort convainquant et j'acceptais son invitation.
Quelques jours plus tard, vers vingt heures, je sonnais chez elle. J'avais avec moi quelques roses pour Léa, et une bouteille de bordeaux pour son mari.
« Bonsoir Léa
- Bonsoir Gérard, je te présente mon mari Jacques,
- Enchanté Jacques !
- Nous allons passer au salon pour l'apéritif », dit-elle.
Je la suivis, et ne pus m'empêcher de lui dire que je la trouvais particulièrement en beauté ce soir. Elle portait une petite robe légère beige clair, qui mettait joliment en valeur sa fine silhouette.
« Tu n'es qu'un vilain flatteur, me répondit elle en souriant.
- Pas du tout ajouta Jacques. Je crois que Gérard est un homme de gout tout simplement. »
Une fois installés au salon, Jacques nous proposa de prendre une coupe de champagne en apéritif.
« Pas de problème pour moi, dis-je.
- Et pour moi non plus, ajouta Léa. Tu connais parfaitement mes goûts, mon chéri. »
Nous trinquâmes à une santé qui, finalement nous était très chère : la nôtre.
Le ton de la conversation était donné. Légère décontractée. Beaucoup de sujets de conversations, un peu de boulot, des loisirs, des vacances.
Après la deuxième coupe de champagne, Léa nous proposa de passer à table. Proposition qui fut acceptée à l'unanimité !
Le diner se révéla succulent.
« Franchement Jacques tu es un homme comblé. Tu as une femme ravissante et qui en plus est une excellente cuisinière.
- Et en plus Gérard, tu ne sais pas, mais elle a aussi d'autres innombrables talents.
- Tu rougis Léa ! Cela te va à ravir. Je ne voudrais pas être indiscret, mais dis-moi Jacques, quels sont ces innombrables talents que possède Léa ?
- Et bien devine donc Gérard dit elle. On va voir si tu es perspicace !
- Ca se complique, je ne suis pas très doué pour les devinettes.
- Alors si tu en as pour longtemps à deviner, nous allons passer au salon, nous y serons mieux pour continuer à bavarder ! »
Jacques et moi suivons donc l'invitation de Léa, et nous dirigeons vers le salon.
« Gérard, viens t'asseoir à coté de moi sur le canapé, Jacques se mettra en face de nous sur le fauteuil.
- Maintenant que nous sommes bien installés tous les trois, je vais essayer de deviner quels sont tes talents cachés, dis je en souriant. Mais il faudrait peut être me mettre un peu sur la voie..
- Pas du tout, tu dois trouver tout seul comme un grand garçon que tu es, n'est ce pas Jacques ? »
Jacques acquiesça en souriant
« Bon je vais me lancer. Je parie que ce sont des talents bien cachés que tu ne dévoiles pas vraiment, sauf à ton chéri.
- Effectivement tu es sur la bonne voie !
- Et que tu ne dévoiles vraiment que sous la couette… »
Elle éclate de rire en rougissant un peu.
« Très souvent sous la couette, oui mais pas forcement que là !
- Et dans beaucoup d'autres endroits ?
- Oh oui un peu partout, lorsque j'en ai l'occasion… »
Pendant cet échange, Jacques nous regarde simplement en souriant.
Quand à moi, je sens que la conversation prend un tour très particulier, mais qui n'est pas forcément malgré tout pour me déplaire.
« Alors je pense chère Léa que tu dois être très douée pour les câlins !
- Ah tu vois que tu n'es pas si mauvais que ça pour les devinettes. Tu t'approches à grands pas. Mais il faudrait que tu trouves de façon un peu plus précise. Jacques a parlé d'innombrables talents ! »
Et elle éclate à nouveau de rire
« Alors je vais être un peu plus direct !
- Vas-y nous verrons bien si tu trouves…
- Et bien pour commencer, je pense que tu dois être très douée pour… les fellations ! »
Jacques acquiesce :
« Tout à fait je confirme. Et elle est très inventive sur le sujet … »
Léa rougi un peu :
« Mais c'est tout simplement mon chéri que j'adore te faire plaisir comme ça.
- Et je dois dire que tu y réussi très très bien ! »
A cet instant, je pense que la conversation a pris un tour assez coquin, et que toute la fin de la soirée va se poursuivre ainsi.
« Mais dis-moi Léa, comment arrives-tu à être aussi inventive sur le sujet ?
- Tout simplement parce que j'adore jouer avec son sexe, que je trouve très beau.
- Et comment joues tu avec ?
- Je le caresse doucement du bout des doigts. J'adore lécher lentement son gland, le prendre entièrement dans ma bouche. Je me caresse aussi le visage et les seins avec son gland, c'est super. Il a aussi des boules très douces, et c'est un vrai plaisir aussi de les caresser et de les lécher. Il faut te dire aussi qu'il m'a fait l'immense plaisir depuis pas mal de temps de se raser régulièrement le sexe. Je n'aime pas beaucoup les poils à vrai dire.
- Alors tu es épilée aussi ?
- Oui bien sur. Il me reste juste un petit timbre poste pour ne pas faire petite fille. Et toi Gérard ?
- Ben moi, pour faire plaisir à une amie, il y a quelques temps, je me suis aussi rasé le sexe. Et finalement je trouve ca très agréable.
- Tu as bien fait, car en général les femmes qui soignent leur corps aiment bien que leur partenaire le fasse aussi.
- Mais dis-moi Léa, tu vas jusqu'au bout de la fellation ?
- Que veux-tu dire par aller jusqu'au bout ?
- Et bien est ce que tu… avales ?
- Bien sur ! J'adore le gout du sperme de mon chéri. Et je lui ai même déjà fait gouter en l'embrassant alors que je n'avais pas tout avalé !!!
- Oh ! Et tu as aimé ç,a Jacques ?
- Bien sur ce mélange de sperme et de salive était très bon.
- Je comprends maintenant quand tu disais qu'elle était très inventive…
- Alors je suppose que tous les deux vous devez pratiquer des 69 d'enfer!!
- Pas vraiment, tu sais. Lorsque Jacques s'occupe de ma chatte, je suis toute a mon plaisir et me sens incapable de lui en donner. Alors je le laisse faire. Et il fait ca super bien, » dit-elle en riant.
Jacques confirme :
« Oui j'adore sa chatte, elle est douce, chaude et très humide. Elle mouille beaucoup et j'adore boire sa liqueur, introduire lentement ma langue et titiller doucement son clito du bout de ma langue.
- Voila, et quand il m'a bien fait jouir je prends le relais. Je lui fais une superbe fellation. Et souvent j'ai un nouvel orgasme lorsqu'il jouit dans ma bouche.
- Bref vous pratiquez le 69 avec option chacun son tour !
- C'est exactement ca ! Et moi je suis une petite privilégiée, puisque j'arrive à jouir deux fois !!
- Et bien je ne pensais pas que tu étais aussi coquine ma petite Léa.
- Et encore Gérard tu ne sais pas tout…
- Alors là Léa, tu me mets vraiment l'eau à la bouche. Tu disais tout à l'heure que tu ne faisais pas ça seulement sous la couette !
- Bien sur que non ce serait trop monotone ! Partout ou l'envie nous en prends. Déjà, dans toutes les pièces de la maison, de la cuisine au salon. Tu sais que le canapé sur lequel nous sommes assis en a vu de toutes les couleurs !
- Ca, je m'en doute !
- Et aussi sur la table de la cuisine et celle où nous avons diné tout a l'heure.
- Et sur la machine à laver aussi, en position essorage bien sur ! Vous avez essayé ça ?
- Tiens non ! Chéri il faudra qu'on essaye ça ! Je pense que les sensations doivent être géniales ! »
Et nous éclatons de rire tous les trois.
« Mais dis-moi Léa tu as une position favorite ?
- Non j'aime des tas de positions ! Ca dépend de l'endroit et des circonstances.
- Et dans des endroits très insolites ?
- Des tas bien sur. Ce serait beaucoup trop long de te les citer tous.
- Tiens, dit Jacques, raconte-lui la dernière fois dans le petit chemin.
- Tu veux vraiment ?
- Oui je suis sur que ça va lui plaire.
- Et bien nous étions en voiture dans un petit chemin à la recherche d'un endroit pour s'arrêter et aller se balader un peu en foret. Mais avant que Jacques ait trouvé à s'arrêter, j'ai eu envie de le caresser. Alors, pendant qu'il conduisait, j'ai ouvert sa braguette et sorti sa verge.
- Mais c'est un peu dangereux non ?
- Rassure-toi, je conduisais doucement, et le chemin était désert, dit Jacques.
- Et bien sur, je me suis penchée sur lui, et j'ai commencé à le prendre dans ma bouche.
- Heureusement, j'ai vite trouvé une place pour m'arrêter !
- Jacques m'a relevée, et glissé sa main sous ma robe. Et il est aussi très doué avec ses doigts. Cela m'a terriblement excitée. J'ai eu envie qu'on sorte et qu'il me prenne contre un arbre. Je lui ai dit mais il n'y avait pas vraiment d'arbre accessible à proximité. Nous sommes sortis de la voiture. Il a baissé mon string, m'a couchée à plat ventre sur le capot les jambes écartées et m'a pénétrée. Ca a été un vrai délice. J'étais tellement excitée que j'ai joui presque instantanément et lui aussi d'ailleurs. C'était une levrette d'enfer.
- Heureusement que personne n'est arrivé a ce moment là !
- Oui mais le risque de se faire découvrir augmente encore l'excitation…. »
La conversation était ainsi devenue de plus en plus chaude, mais visiblement aucun de nous trois n'avait envie qu'elle s'arrête. J'étais évidement assez excité mais en regardant mes amis je constatai qu'il en était de même pour eux
Les joues de Léa étaient légèrement rouges, elle avait le souffle un peu court. Elle croisait et décroisait très souvent les jambes faisant remonter sa petite robe sur ces cuisses, sans qu'elle juge utile de la baisser.
Quant à Jacques sa braguette semblait un peu gonflée, tout comme la mienne d'ailleurs.
« Je vais encore être très indiscret, ma petite Léa.
- Oh vas-y ! Au point où nous en sommes, on ne risque plus rien, dit elle en riant.
- Beaucoup de femmes n'aiment pas la sodomie. Et toi ?
- Et bien Jacques m'a fait découvrir ça il y a déjà pas mal de temps. Il a su m'y amener avec beaucoup de douceur. Et j'aime beaucoup ça. Je pense que si certaines femmes n'aiment pas ça c'est que leur partenaire n'a pas su leur faire aimer en voulant aller trop vite.
- Alors je ne dois pas vraiment savoir faire, dis je en souriant. Explique-moi comment il est arrivé à te faire aimer ça.
- C'est très simple je pense ! La première fois, il m'avait beaucoup excitée, j'étais trempée. Il m'a doucement caressée en insistant de plus en plus sur mon petit trou et en profitant de ma mouille pour me lubrifier. Il a lentement introduit un doigt puis deux de façon a élargir le passage.
Pendant ce temps, il me rassurait en me murmurant des mots doux et en m'embrassant sur la nuque et le dos. Et à un moment, il a retiré ses doigts et j'ai senti sa verge me pénétrer lentement sans forcer. C'était super agréable, il a commencé de doux va et vient, et j'ai fini par jouir assez rapidement.
- Et c'est la même jouissance que par… la voie normale ?
- C'est différent ! Mais je ne sais pas trop l'expliquer. Il faut le vivre tout simplement.
- Ok merci de tes conseils. Je tacherai de m'en servir a bon escient la prochaine fois que j'en aurai l'occasion. Mais bon comme en ce moment je suis seul, il faut déjà que je trouve la partenaire.
- Je te le souhaite ! Il y a longtemps que tu n'as pas fait l’amour ?
- Oui deux mois !
- Ca doit te manquer terriblement
- Oui bien sur…
- Je suppose que tu compenses, dit elle en riant.
- Bien sur, sinon ce serait intenable. Mais toi tu ne dois pas avoir besoin de ça.
- Détrompe-toi, ça m'arrive aussi. Même quand Jacques est là. C'est encore un plaisir différent quand on se le donne soi même. Et d'ailleurs, il m'arrive même de le faire devant lui.
- C'est vrai, dit Jacques qui participait peu à la conversation, mais n'en perdait pas une miette. Et ça m'excite beaucoup de la voir faire. »
Léa me paraissait de plus ne plus excitée par cette conversation. Sa robe était largement remontée sur ses cuisses qu'elle croisait et décroisait de plus en plus souvent. Jacques en face d'elle, semblait beaucoup apprécier ce spectacle. Et j'avoue que je regrettai un instant de ne pas être à sa place. Mais elle commençait aussi par ses mouvements a se rapprocher de moi.
« Mon chéri, j'ai l'impression qu'il n'y a pas que me voir me caresser qui t'excite. C'est quoi ce gonflement de ton pantalon ?
- Tu t'en doutes bien ma chérie ! »
Elle se tourna vers moi :
« Mais dis donc, Gégé, toi aussi, tu as une belle bosse a ton pantalon !
- Ben oui tu ne veux quand même pas que toute cette conversation m'ait laissé de glace.
- Oui ça aurait été dommage pour toi.
- Et j'ai l'impression douce Léa que tu n'es pas vraiment indifférente non plus !
- Tu as raison Gégé je ne suis pas de marbre ! »
Et en disant cela, elle posa sa main sur ma braguette. Je restai sans voix quelques secondes. Je ne pensais pas qu'elle irait jusque là. Je regardais Jacques qui me fit un petit sourire amusé, une sorte d'encouragement.
« Écoute Gégé, tu ne peux pas rester comprimé comme ça ! Ça va te faire mal !
- Ben…. »
Et sans attendre plus de réponse de ma part elle dégrafait ma ceinture, faisait descendre la fermeture éclair et glissait sa main dans mon pantalon.
Je n'ai pas pu retenir un petit gémissement qui visiblement lui fit très plaisir.
« Tu as l'air de bien aimer ça, mon Gégé.
- Tu as déjà vu un homme qui n'aimait pas ce que tu es en train de me faire ?
- Bien sur que non ! »
Et pour confirmer elle glissa la main dans mon caleçon ce qui me fit réagir une nouvelle fois.
« Tout ceci est beaucoup trop à l'étroit Gégé… »
Et la elle me baissa carrément pantalon et caleçon. Je ne résistais évidement pas et je l'aidais plutôt en me soulevant légèrement. Je me retrouvais donc avec le pantalon sur les chaussures.
« Il faut que tu enlèves tout ça. Tu te sentiras beaucoup plus libre après. »
Heureusement qu'on était en été. J'avais eu la bonne idée de mettre des mocassins sans chaussettes. Je les enlevai rapidement et elle fini de m'ôter pantalon et caleçon. Je me retrouvai juste vêtu de ma chemise que la coquine vraiment très experte en effeuillage m'enleva en moins de deux.
Je me retrouvai donc complètement nu.
« Tu vois Gégé que tu te sens beaucoup mieux ainsi !
- Mais certainement Léa un vrai plaisir d'être nu entre tes mains… »
Elle avait repris ma verge dans sa main et me caressait doucement. Je jetais un œil à Jacques qui semblait beaucoup s'amuser de la situation. Et il me fit signe de m'occuper aussi de Léa.
Ce n'était pas la peine de me le dire deux fois. Je passais mes mains dans son dos et fis glisser la fermeture éclair de sa robe jusqu'en bas. Elle me regarda avec un sourire qui valait tous les encouragements à continuer. La robe glissa sur ses épaules, elle se mit debout et la robe tomba sur ses pieds.
Elle était dans un ravissant ensemble de sous vêtements. Soutien-gorge et string en satin coordonnés. Un vrai plaisir à admirer.
Elle se rassit à coté de moi en reprenant ses caresses. Je ne voulais pas être en reste et lui dégrafais son soutien gorge qui libera deux adorables seins bien fermes, dont je voulus immédiatement vérifier la taille en les prenant dans mes mains. Mais la caresse des mains n'était pas, à mon gout, suffisante. Et je me penchais pour lécher doucement ses tétons qui durcirent instantanément.
Pendant ce temps, mes mains descendaient le long de son corps et très lentement je retirai son string.
« Et toi Léa, est-ce que tu te sens mieux aussi maintenant ?
- Oh oui j'adore être nue et sentir des caresses sur tout mon corps. Et les tiennes sont douces. Continue ! »
En disant cela, elle s'allongea sur le canapé, écarta les cuisses et m'offrit ainsi une délicieuse vision de sa petite chatte.
« Elle t'inspire ma chatte ?
- Oui elle est très belle et sans doute très bonne aussi
- Alors goutes y vite, elle n'attend que ça. »
J'approchai ma bouche de cette vulve offerte, chaude, humide et accueillante. Je commençai à la lécher et à boire son délicieux nectar. Lorsque j'introduis ma langue elle gémit de plaisir et cria carrément lorsque le bout de ma langue caressa son clito. J'avoue que mon régal à cet instant était immense, je ne songeais plus qu'à lui donner un maximum de plaisir en oubliant totalement la présence de Jacques. Mais en levant mon regard, je vis qu'il était là. Il lui caressait les seins et l'embrassait tendrement. Il s'était aussi déshabillé, et elle caressait son sexe.
Elle jouit rapidement sous nos caresses et nos baisers, et nous demanda de la laisser reprendre son souffle. Ce qui fut fait très rapidement.
« Merci mes chéris, vous avez été supers, j'ai adoré ça. Mais rassurez vous ce n'est pas fini. Il faut que vous aussi ayez votre plaisir
- A ta disposition Léa c'était déjà un plaisir de te faire jouir ainsi lui dis je.
- Merci Gégé. Alors je commence par toi !!!
- Comme tu veux Léa. Tu vois que je suis encore très en forme. Ta mouille est un fortifiant génial.
- Alors allons-y, dit elle, mais c'est moi qui prends l'initiative
- Oh, pas de problème.
- Assieds-toi sur le canapé et je vais venir sur toi, j'aime beaucoup aussi être au dessus.
- Pas de problème, jolie Léa… »
Sitôt dit, sitôt fait, je m'assieds, elle vint à califourchon sur moi et doucement vient s'enfiler sur mon sexe dresse. Je lis tout son plaisir dans ses yeux. Elle se mord la lèvre inférieure, comme pour ne pas crier trop vite.
« Tu es bien Léa ?
- Oui Gégé super. On va doucement hein ?
- Oui pour faire durer !
- Oui… »
Pendant ce temps jacques s'est mis debout derrière elle. Il lui caresse les épaules et promène sa bouche sur tout son dos. Et puis ses mains descendent et il commence à lui caresser les fesses. Ses caresses se font de plus en plus précises. Il en est maintenant à lui caresser l'anus. Je sens même ses doigts venir chercher un peu de sa mouille. Je suis à peu prés sur qu'il commence à lui introduire les doigts. Je vois sur le visage qu'elle adore ca. Ses yeux sont emplis de plaisir.
Et d'un seul coup :
« Oh oui Jacques chéri, tes doigts sont bons, mais s'il te plait, viens avec ta queue ! »
Je crois qu'il n'attendait que ça. Il s'approche vraiment d'elle et doucement la pénètre par derrière. Sous cette pénétration, Léa commence à gémir comme jamais encore je ne l'avais entendue ce soir.
Et lorsque Jacques semble être entré à fond elle se met à onduler doucement d'avant en arrière. Je commence moi aussi des va et vient et Jacques semble en faire autant tout en lui caressant les seins.
Léa gémit de plus en plus fort. Ses yeux s'embuent de larmes de plaisir. Et d'un seul coup un long cri de jouissance s'échappe de sa bouche. Ce cri déclenche mon éjaculation et je jouis intensément. Il en est de même pour Jacques. Nous arrêtons nos mouvements. Léa se serre contre moi et Jacques se serre contre elle. Nous restons un long moment enlacés ainsi pour reprendre nos esprits sans rompre le contact de nos corps.
Au bout de quelques minutes, nous commençons à nous séparer. Jacques se retire en premier, s'assied à coté de moi. Léa se soulève, libérant ma verge. Elle s'allonge sur nous, la tête et le haut du corps sur les genoux de Jacques, et le bas du corps sur les miens. J'ai ainsi encore la chance d'avoir sous mes yeux sa chatte et ses jambes. Nous restons ainsi un bon moment sans rien dire simplement pour savourer l'instant présent.
Léa commence à parler la première. Elle s'adresse à son mari :
« Merci mon chéri de m'avoir offert ça. »
J'avoue être un peu étonné de l'entendre dire ça, et je le lui dis.
« Mais non Gégé, ne t'offusque pas.
- Tu sais Léa, après ce que nous venons de faire, et le plaisir que nous avons eu, il serait très mal venu de ma part de m'offusquer.
- C'est très simple tu sais. Faire l'amour avec deux hommes est un fantasme que j'ai depuis très longtemps. Nous en avons souvent discuté d'ailleurs car nous ne nous cachons rien. Et un jour lors d'une de nos discussions, Jacques m'a dit que si vraiment je voulais le faire il voulait bien. Il voulait quand même être l'un des deux.
- Ca me parait normal, dis je !!
- Oui bien sur. Et pour le deuxième il voulait me laisser le choix. C'était à moi de le trouver. Et je t'ai choisi, parce que nous avons toujours eu d'excellents rapports, et que je t'aime bien. Et comme maintenant nous ne travaillons plus ensembles c'était moins gênant. Voila je suis rentré l'autre soir en lui disant que je t'avais choisi, et il a été d'accord.
- Je ne peux que te remercier de m'avoir choisi, car ce fut pour moi un moment intense inoubliable.
- Et moi, je ne regrette pas non plus. Ca a été encore plus géant que je me l'imaginais. Ce fut vraiment un plaisir que je n'avais encore jamais ressenti.
- Et tu avais prévu qu'on ferait tout ce que nous avons fait ?
- Non je n'avais pas vraiment prévu, je voulais laisser les choses arriver. Mais j'avoue que votre pénétration ensemble, c'est vraiment géant. Tout ce que j'avais prévu, c'était de te "chauffer" un peu.
- La "chauffe" a été très réussie. Avec une telle discussion, c'était impossible de la rater !
- Oui, mais tu as été très doué pour ça Gégé… et pour la suite aussi d'ailleurs !
- Merci Léa c'est très gentil de me dire ça.
- Bon ce n'est pas tout ça, dit Jacques, je crois qu'il serait temps d'arroser cet instant. »
Il revint quelques instants après avec une bouteille de champagne et trois coupes. Nous trinquâmes joyeusement en échangeant encore nos impressions sur ce formidable moment.
« Bien Léa et Jacques, il ne me reste plus qu'a vous remercier, mais les mots me manquent pour exprimer ce que je ressens. Il est très tard, il va falloir que je pense à vous quitter.
- Gérard nous avons partagé un moment de plaisir intense pour nous trois, les remerciements sont inutiles. Mais pense quand même à te rhabiller avant de partir ! »
J'éclatai de rire, car nous étions encore nus tous les trois. Nous nous sentions tellement bien qu'aucun de nous n'avait ressenti le besoin de passer un vêtement.
Je me rhabillais, embrassais Léa, serrais la main de Jacques, et rentrais chez moi, en me demandant quand même si j'avais bien vécu ce moment, ou si ce n'était qu'un rêve.
Signé Gérard M.
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Voeux de Noel
En ces jours de fêtes , je vous souhaite un aussi joyeux Noël que possible, tout coquin si tel est votre envie.
Je sais que certains d’entre vous seront seuls ce soir et demain...
Je pense particulièrement à eux…
Mille baisers tout doux et très coquins…
Sophie d’Arbreuse,
Marquise de Rawensky
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c'est une histoire incroyable, j'aimerai tellement qu'une femme s'occupe de moi comme ça, j'en ai mouillé ma p'tite culotte...
Putain, ca c'est une bonne partie ! je vais me faire aussi maitre d'hôtel, si c'est pour baiser des bourgeoises comme ça !