Les Mémoires très Libertines de Sophie
La Comtesse et son premier gang bang
Le taxi vient stopper au 18, rue des Herbiers, devant les baraquements du chantier de son mari. D’étroites planches servent de passerelle mènent aux différents préfabriqués. Elles disparaissent par endroits dans le sol rendu boueux par les incessantes pluies de la semaine précédente. La porte s’ouvre, et Astrid, stupéfaite, voit son mari lui tenir la porte
Sans un mot, il la prend par le bras, et passe à son cou un collier de chien, clouté de strass. Puis il fixe une longue laisse au collier de chien qui lui ceint le cou. Astrid, médusée, n’ose protester. Il l’entraîne à sa suite sur les planches bancales en direction d´un hangar de tôles Elle trébuche sur les planches instables. Finalement, ils entrent enfin dans le hangar, accueillis par un homme trapu, le contremaitre du chantier.
« Vous voilà enfin ! Je veux bien donner du bon temps à mes gars, mais faudrait pas qu´ils prennent trop de retard dans le boulot. »
Plusieurs ouvriers sont entrés dans le local. L’homme trapu les interpelle :
« Approchez, messieurs ! Venez tâter la marchandise ! »
Les hommes s’avancent, presque timidement, ils sont maintenant une vingtaine, noirs, magrébins, en combinaison de travail. Cinq, plus hardis, commencent à palper le corps d’Astrid, frissonnant de crainte. Elle ne s’attendait pas à une telle punition. Maintenant, elle a vraiment peur…
Leurs mains calleuses et pas toujours très propres, caressent la peau couverte de chair de poule. Leurs gros doigts, bientôt, s’insinuent entre les fesses rebondies. Ils écartent fermement les cuisses de leur victime, morte de honte. Ils fouillent sans ménagement son entrecuisse dépourvu de toute pilosité, tandis que d´autres malaxent avec délectation les gros seins aux aréoles durcies par une excitation qu’elle ne s’explique pas…
Les commentaires salaces commencent à fuser avec l’excitation qui monte :
« Putain ! Quels nichons elle a ! »
« Et ce cul ! Je vais la défoncer cette salope »
« T’as vu sa chatte complètement rasée ? Et elle mouille, la garce ! »
« Bordel ! J’lui ai mis un doigt dans le trou du cul ! Ca rentre tout seul ! »
« NOOON, PITIE ! Laissez-moi tranquille ! »
Le visage maintenant noyé de larmes, Astrid, humiliée, mortifiée, supplie, tandis que les mains qui explorent ses orifices lui arrachent un cri de douleur.
Edmond, son mari, vient tempérer l’ardeur grandissante des ouvriers.
« Attendez, les gars ! Vous allez pouvoir tous la baiser, mais avant, il faut que je fasse les présentations ! Astrid est ma femme, Elle a voulu me tromper. J’entends la punir par là où elle a péché.
Elle est à vous messieurs ! Prenez là par tous les trous, elle adore ça ! »
Déjà, deux hommes se sont précipités, et ouvrent fébrilement leurs combinaisons de travail pour en extirper leurs verges congestionnées. Saisissant sans ménagement Astrid par les hanches, l’un d’eux la met à quatre pattes et s’agenouillant derrière elle, la pénètre d´un grand coup de reins en poussant un cri de victoire.
Une deuxième bite vient de la bâillonner. Une main crochée dans ses cheveux, l´homme, un arabe, grand et maigre, lui pistonne la bouche, enfonçant sa verge sombre et cambrée jusqu´aux testicules. Ils jouissent rapidement et presque simultanément en poussant des grognements de plaisir. Immédiatement, deux autres les remplacent et un troisième présente lui aussi sa verge devant le visage d’Astrid.
Petit à petit, une vague de plaisir l’envahit, complètement passive quelques instants plus tôt, elle commence à lancer ses fesses au devant du dard qui la pénètre, ses cris deviennent râles, alors qu’elle passe d´une queue à l’autre, la bouche dégoulinante de salive.
De façon très surprenante, l’humiliation d’être traitée comme un objet et exhibée comme une bête, la précipite vers un orgasme formidable que rien ne peut endiguer.
Elle se met à crier et à ahaner de plus en plus fort. Lorsque les deux hommes devant elle éjaculent ensemble en longs jets épais sur sa figure, et que le troisième se retirant de son vagin détrempé lui englue littéralement la raie des fesses avec sa semence, elle jouit en poussant un long cri rauque qui se termine en violents sanglots.
Les hommes agglutinés autour d’elle s’écartent brusquement pour laisser passer un colosse noir, entièrement nu qui s’avance la bouche ouverte sur un large sourire. Son sexe, semblable par sa taille et sa forme à une massue préhistorique, bat contre son ventre proéminent au rythme de sa démarche lourde.
« Regarde ce que tu vas prendre dans le cul, ma belle », lance un des ouvriers.
Un concert d’exclamations enthousiastes accueille la hideuse proposition. Astrid, toujours agenouillée, coudes au sol, redresse la tête. Quand elle aperçoit la monstrueuse mantule, elle se met à trembler de tous ses membres. Alors que le géant vient se placer derrière elle, Astrid, rassemblant ses forces, bondit entre les ouvriers surpris, mais elle est stoppée net dans son élan par son mari qui la ramène à sa place, sur le sol dur.
Le noir, un instant contrarié, saisit fermement les hanches rondes de ses mains puissantes et ployant les genoux, il tente de glisser son sexe démesuré entre les fesses désespérément crispées d’Astrid, qui hurle de douleur. Cette fois-ci, elle a réellement mal.
« Nooooon ! Edmond, il est trop gros, il va me déchirer !
- Eh bien, ma chérie, ainsi, tu serras peut-être définitivement guérie de tes turpitudes ! »
Soufflant et suant, l’homme tente en vain de forcer le passage. Sous l’acuité de la douleur, Astrid oublie de crisper ses muscles fessiers. Profitant de l’occasion, le black franchit la résistance illusoire avec un cri de triomphe.
Le gland hypertrophié force le sphincter anal qui s’ouvre brusquement sous la formidable poussée. Un hurlement fantastique résonne dans le hangar, la tête violemment renversée en arrière vient cogner l’épaule de l’homme qui la socratise. Les muscles tendus à se rompre, Astrid, dont le corps s’est couvert de chair de poule, tremble convulsivement en hurlant à se déchirer les cordes vocales.
La brute, les mains solidement crochées dans les hanches de sa victime, marquant une pause, se délecte de sentir l’anus distendu à la limite de la rupture, palpiter autour de son membre monstrueux. Puis, glissant une main sur la vulve d’Astrid, il pince de toutes ses forces le clitoris rendu sensible par les pénétrations précédentes.
Encore deux ou trois poussées sauvages, et les lourds testicules viennent frapper les fesses brûlantes d’Astrid, qui crie sans discontinuer. Edmond reste impassible. Sa femme lui en veut à mort.
Les insultes fusent :
« Enculée à fond la salope ! »
« Vas-y Mamoud, ramone-la, cette pute. »
« Putain ! Quelle bite il a ce salaud »
Lentement, à coups de reins puissants, le sombre athlète commence à aller et venir dans les reins d’Astrid, faisant redoubler ses cris. La verge noire luisante des sécrétions intestinales se fore un passage, et lorsqu´elle se retire, le sphincter semble aspiré vers l’extérieur. Telle une corolle rendue livide par l’étirement, elle glisse le long du membre comme une bouche. Au fil des minutes, les hurlements d’Astrid se transforment en cris rauques, alors que l’homme, dégoulinant de sueur a augmenté l’amplitude de ses va-et-vient. Il retire entièrement son sexe pour l’enfoncer à nouveau avec un « han » de bûcheron. Et puis, pour aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré ses traits marqués par une terrible douleur, Astrid commence à lancer ses fesses au devant de l’énorme mantule, faisant claquer les masses élastiques de son postérieur contre le ventre proéminent.
Ses cris sont devenus des râles sourds, entrecoupés de sanglots hystériques, elle jette sa tête en tous sens, roulant des hanches au rythme de la pénétration.
Redoublant d’ardeur le noir se met en devoir de la pistonner de toutes ses forces en grognant de plaisir. Astrid, comme prise de folie, crie de douleur et de plaisir confondus.
Rendu fou par l’injure et le plaisir, le colosse noir délaissant les hanches de la fille, empoigne à pleines mains les gros seins et saisissant les tétons, il les presse sauvagement entre ses gros doigts. Le pincement qui lui ravage les mamelons fait franchir le pas à Astrid, vers un orgasme démentiel. Tandis que le noir pousse frénétiquement sa verge monstrueuse dans ses entrailles, il éjacule en rugissant
Et Astrid se met à jouir en hurlant à tous son plaisir obtenu dans des conditions terribles.
Les derniers jets de foutre jaillissent dans les intestins d’Astrid, qui se tortille convulsivement en criant qu’elle en veut encore. Le gros membre encore palpitant, se retire du rectum enflammé en glissant grassement. L’homme administre une claque retentissante sur les fesses de sa partenaire et s’éloigne vers ses compagnons d’un air triomphant, sa verge lui pendant jusqu’à mi-cuisses.
Tournant un regard chaviré vers les hommes qui l’entourent, elle lance d’une voix rauque : « Encore... j’en veux encore ! Baisez-moi, bande de salauds... Donnez-moi vos bites ! Remplissez-moi de foutre ! Venez ! »
Pour la première fois depuis cette terrible expérience, Edmond semble ébranlé et inquiet... Il ne s’attendait pas à ce que sa femme soit aussi avide de sexe, même dans ces conditions si dures…
C’est alors le début d’un délirant gang-bang. Aussitôt, un autre black, équipé lui aussi d’une verge impressionnante bien que plus modeste que celle de son comparse, s’accroupit au dessus des fesses d’Astrid et l’empale d’un coup jusqu’aux testicules. Un autre homme s’agenouille derrière elle, et force de son gland massif le sexe luisant de mouille. Doublement embrochée, elle pousse un feulement de plaisir. Trois autres mâles s’agenouillent devant elle pour lui frapper le visage de leurs queues congestionnées.
Comme hystérique, elle engloutit alternativement les trois membres, criante, hoquetant et le souffle court, tandis que les deux hommes derrière elle, la pistonne comme des sauvages.
Elle hurle, emportée par un premier orgasme, puis un deuxième et aussitôt après un troisième, tandis que les hommes éjaculent les un après les autres sur son visage en jets épais et gluants. Le sperme poisse ses cheveux, s’accroche à ses longs cils, englue ses joues, son front et dégouline de sa bouche mêlé à sa salive. Le noir se retire brusquement des fesses de la jeune femme et la saisit sauvagement par les cheveux pour l’obliger à tourner la tête vers sa grosse queue, formidablement tendue, qu’il empoigne pour se branler frénétiquement en insultant la fille.
« T’es un vrai sac à foutre ! Tiens grosse salope, je vais te cracher ma purée à la gueule ! »
La main crispée sur sa verge, il jouit en râlant, lâchant une quantité de foutre impressionnante en giclées interminables, recouvrant littéralement la figure d’Astrid qui hurle de plaisir embrochée par le deuxième homme qui a abandonné sa vulve pour se planter dans son anus et l’inonder de sa semence. Délivrée de ses partenaires, à genoux, tremblante, le regard planté dans celui du black qui vient de la sodomiser, elle passe ses mains sur sa figure et étale le sperme sur ses seins en les massant sensuellement. Trois hommes la saisissent par les bras et les jambes et l’emmènent vers une sorte d´établi sur lequel un arabe est déjà allongé, nu, le sexe dressé. Ils l´allongent à plat dos sur l’homme qui plante sans difficulté sa verge dans l’anus d’Astrid qui râle de plaisir.
Un autre magrébin monte sur le meuble et s’agenouille de part et d’autre des jambes de son compagnon. Il pose les chevilles de la jeune femme sur ses épaules et la pénètre d´un grand coup de reins.
Un troisième ouvrier enjambe son buste, et glisse sa verge entre les gros seins pour se branler. La tête d’Astrid, complètement renversée en arrière, dépasse de l’extrémité de l’établi. Deux mâles en profitent pour enfoncer chacun leur tour leurs bites dans sa bouche, la faisant hoqueter.
Embrochée par tous ses orifices, elle a encore la ressource de saisir les queues de deux autres gaillards qui s’étaient placés de chaque côté dans l´espoir de se faire sucer. Bientôt, ce n´est que grognements, ahanements, hurlements de plaisir, râles de jouissance, sanglots hystériques. Les hommes éjaculent les uns après les autres dans sa bouche, sur sa figure, entre ses seins.
Dès qu’un à jouit, un autre le remplace. L’arabe qui la sodomise a déjà joui, mais il bande toujours et continue de la pistonner, pendant que trois autres se sont succédés dans le sexe gorgé de sperme. Un quatrième plonge furieusement sa queue dans la vulve écarlate et dégoulinante faisant littéralement gicler le trop plein de foutre qui, mélangé à la cyprine coule sur les testicules des deux hommes. Tous les mâles se sont soulagés au moins une fois, mais certains toujours excités. N’ayant pas eu de femmes depuis des mois, ils reviennent une seconde fois profiter de cette femelle offerte.
Le black à la verge monstrueuse de nouveau formidablement dressée, vient aussi s’agenouiller entre ses cuisses, et la pénètre lentement, lui écartelant les cuisses au maximum. L´énorme gourdin qui la dilate à l´extrême, la fait hurler de douleur et de plaisir. Encore une vingtaine de minutes de pénétrations violentes, de sodomies sauvages, de fellations forcées, puis les hommes quittent un à un le hangar.
Astrid, abandonnée, bras en croix, cuisses écartées, gît sur l’établi, gémissante, tremblante d’épuisement. Elle n’a jamais subi de telles épreuves, et jamais autant joui.
Le contremaitre s’adresse à Edmond, tout de même écœuré par ce que sa femme a subi. Il ne sait pas si c’est parce qu’elle a été littéralement violée, ou si c’est parce qu’elle y a trouvé un plaisir certain… Tel est pris qui croyait prendre…
« Vous en avez de la chance, Monsieur. Je n´ai jamais vu une salope pareille et en plus elle est gaulée comme un top-modèle !»
- Oui, elle m’étonne chaque fois un peu plus, rétorque Edmond, vaguement mal à l’aise.
Il aide Astrid a se relever, son mari la ramène à la voiture, toujours avec son collier de chien autour du cou, sous le regard amusé de quelques ouvriers qui ont repris le travail à l’extérieur. Ils échangent quelques mots en ricanant.
Arrivée à la maison, délivrée de son collier et de s sa laisse, la jeune femme se plonge avec délice dans un bain parfumé que lui à préparé son fidèle majordome, compatissant, mais silencieux. Elle et va ensuite se glisser dans les draps de son immense lit, dans lequel elle va dormir une journée et une nuit complète, rêvant de pseudo viols, de partouzes gigantesques.
Deux jours plus tard, Edmond entre dans la chambre conjugale.
« Astrid, tu m’as vraiment surpris. Je suis effaré par ce que tu as accepté, enduré. Et surtout, je suis sidéré par le plaisir que tu sembles y avoir pris…
- Mon chéri, tu sais, depuis quelques mois, j’ai découvert les joies du sexe que tu me refusais… J’ai alors pris mon plaisir où il se retrouvait.. Sans toi !
- Je me rends compte de mon erreur. Je ne pensais pas qu’une femme telle que toi, élevée dans les principes d’une éducation stricte et religieuse, pouvait se dévergonder ainsi…
- C’est arrivé par hasard, avec nos ouvriers jardiniers. Depuis, je n’arrive plus à m’en passer. Mais toi, tu restais sourd à mes tentatives de séduction… Alors, je me suis résignée à prendre des amants.
- Ca n’arrivera plus. Jure-moi que tu ne me tromperas plus jamais, ou c’est le divorce assuré ! En échange, je te promets tous les plaisirs que tu veux. Mais j’en serai toujours soit l’initiateur, soit le spectateur !
- Comme tu veux, mon chéri. Je te le jure », répondit Astrid, se coulant amoureusement dans les bras de son mari…
Une rencontre torride
L’été dernier, je passais mes vacances en compagnie de Kassandra, une amie libertine, au village naturiste du Cap d’Agde. C’est un des lieux incontournables pour tous les libertins, et mondialement réputé pour son côté sulfureux et glamour…
Dans ce lieu de paradis, se côtoient des gens de milieux divers et chacun vient y trouver le rêve, ou tout du moins, espère secrètement y réaliser ses fantasmes !
Je venais également y réaliser les miens, malgré mon handicap moteur ! Ah oui c’est vrai… j’allais oublier… je suis atteint d’une maladie génétique depuis ma naissance, qui paralyse une grande partie de mes muscles, et m’empêche ainsi de marcher…
Heureusement pour moi, mes fonctions sexuelles fonctionnement très bien, et je les exploitais au maximum !
Je me déplaçais donc dans une bécane à quatre roues, plus communément appelé « fauteuil électrique ». Oui, je suis bien d’accord avec vous, tout ça n’est pas très sexy, mais faut bien parler des personnages de l’histoire. Et puis promis, après vous n’en entendrez plus parler, et finirez j’espère par oublier ce genre de détails…
Je disais donc, que je pilotais un splendide cabriolet une place… très pratique puisque la passagère n’a plus qu’à s’assoir sur mes genoux ! Je me promenais cheveux au vent, presque nu, aux côtés d’une non moins splendide jeune femme, prénommée Kassandra.
L’après midi, nous allions nous promener sur le bord de mer, vêtus simplement d’un paréo à la taille, et laissant subtilement entrevoir notre anatomie…
Kassandra était une vraie blonde, à la silhouette fine et élancée d’un mètre soixante-douze, sa longue chevelure descendant en cascade jusqu’au creux des reins, soulignait sa magnifique cambrure, et lui conférait une sensualité naturelle à laquelle nul homme ne pouvait être insensible…
Ses seins en forme de poire, étaient de taille généreuse et balançaient légèrement quand elle marchait.
Nous avions l’habitude de passer une partie de notre après-midi dans l’un des bars de plage, et Kassandra aimait s’étendre sur un transat dans la partie mi-ombragée de la terrasse, sa peau d’une blancheur nacrée devant être protégée du Soleil.
Nous prîmes chacun une consommation au bar, puis elle me fît signe du regard qu’elle désirait s’allonger, et nous nous dirigeâmes vers les transats abrités d’un parasol.
D’une main, elle dénoua son paréo, et le fit tomber à ses pieds nonchalamment, laissant apparaître ses magnifiques fesses fermes et rebondies. Elle posa son verre, prît l’huile solaire dans mon sac à dos, et s’étendît sur le transat.
Je prenais toujours beaucoup de plaisir à la regarder s’enduire le corps d’huile…
Après s’être occupée du visage et des bras, ses mains caressaient son ventre et remontaient vers ses seins, sur lesquels le geste se faisait plus lent… Sa main s’attardait sur le mamelon en le massant délicatement par dessous, le soulevant avec fermeté, puis continuait sa course vers le téton, en contournant l’aréole dans une légère pression des doigts…
Puis, lorsque ses seins avaient reçus suffisamment de caresses, ses mamelons raffermis et les tétons dressés, ses doigts redescendaient discrètement vers son bas ventre. Ils faisaient une courte pause autour de son joli nombril et, se dirigeaient tout droit vers son jardin des délices. Puis ses doigts vinrent caresser le Mont de Vénus. Enfin, glissant à travers la douce toison dorée, elle parvint au merveilleux calice, qui était encore endormi, mais ne demandait qu’à se réveiller, et offrir en cadeau de bienvenue, son délicieux nectar…
Ses doigts massaient à présent ses grandes lèvres, leur pression se faisait de plus en plus forte, et une douce chaleur commençait alors à l’envahir…
Sa bouche esquissa un sourire et son visage se détendit, laissant apparaitre la plénitude de l’instant, qu’aucun homme n’aurait eu l’audace de vouloir troubler.
Un vent léger vint effleurer sa peau, et un rayon de soleil filtrant du parasol, illumina son corps nu et luisant, la rendant resplendissante de sensualité et de désir !
Elle ouvrit les yeux, sorti lentement de sa torpeur, et satisfaite du petit moment d’intimité qu’elle s’était accordée, m’adressa un regard complice qui me réchauffa le cœur. Elle caressa ses longues jambes, et termina tendrement de les couvrir d’huile de sa main douce et attentionné.
Nous vîmes arriver un couple, italiens, la trentaine, physique très agréable, lui beau brun à la peau mâte d’un mètre quatre vingt cinq environ, torse et corps épilé, très belle musculature…
Elle, très jolie brune à la peau dorée, de la même taille que Kassandra, aux seins légèrement plus volumineux d’un bonnet, environ 95 D, un visage doux et satiné dominé par des yeux vert émeraude, de longues jambes à rendre fou un homme, terminées par des cuisses accueillantes et des fesses fermes qui mettraient tout un régiment au garde à vous !
Ils prirent un verre au bar, et jetèrent un regard dans notre direction.
Après s’être concertés ils se dirigèrent vers nous, et après nous avoir salués d’un large sourire, nous demandèrent s’ils pouvaient s’installer à côté de nous.
Nous acquiesçâmes avec un plaisir non dissimulé, et ils se présentèrent aussitôt, elle s’appelait Graziella, lui Valentino, et passaient chaque année deux semaines de vacances au Cap d’Agde, car ils adoraient l’esprit de convivialité et de fête, qui régnait au Village !
Nous nous présentâmes à notre tour comme des amis en couple libre, et qu’ainsi, nous partagions les meilleurs moments ensemble…
Ils dévoilèrent à leur tour, leur goût pour le libertinage et nous échangèrent nos avis sur les différents clubs que nous fréquentions.
Notre intérêt mutuel était de plus en plus visible à travers nos regards, nos sourires, notre bonne humeur et l’intérêt commun que nous portions aux jeux de l’amour !
Après avoir passé deux heures de farniente, nous les invitâmes à dîner le soir même, dans la villa que nous avions loué pour notre séjour, situé à Héliopolis juste à coté du Glamour. Ils acceptèrent l’invitation, et nous nous quittâmes sur un baiser libertin plein de promesses…
Kassandra et moi étions très excités à l’idée de recevoir ce couple à la beauté peu commune, et nous comptions tout faire pour que cette soirée soit réussie …
Le dîner pour commencer, devait inspirer la sensualité et le désir, depuis l’apéritif jusqu’au dessert.
L’ambiance visuelle et sonore me semblait capitale, et se devait d’être riche en exotisme, sans être baroque… Sur le chemin qui menait à la villa, des petites bougies avaient été disposées afin d’accompagner nos hôtes, et des pétales de roses et de jasmin parsemés, apportaient leur dimension orientale…
Puis en s’approchant de l’entrée, des luminaires diffusaient une douce lumière afin d’éclairer sans éblouir. En franchissant le seuil de la porte, on découvrait une décoration composée de plantes, de fontaines et de statues grecques et romaines, représentant des femmes nues en tenues lascives se baignant pour certaines, se lavant sous une cascade pour d’autres, chacune suggérant l’érotisme et le bien être…
En suivant les pétales de roses, on arrivait dans la salle à manger, plus éclairée, au centre de laquelle une table était dressée, un parfum composé de santal, de bois de rose, et de patchoulis, flottait dans l’air ; En longeant la table, on accédait au salon au centre duquel un large divan circulaire trônait, laissant peu de doute sur l’esprit et les activités de la maison…
Kassandra terminait de se préparer, et nos invités allant bientôt arriver. Je mis un disque de Lionel Ritchie, « I just called to say I love you », remplit la salle de romantisme, et Kassandra arriva derrière moi et m’enlaça de ses bras.
Elle passa devant moi pour me présenter sa tenue. Elle était vêtue d’une robe courte en laqué noir largement ouverte en v sur le devant, un bijou en strass à l’entre seins mettait ainsi ses beaux mamelons en évidence, tout en cachant l’aréole et le téton du regard … Son dos était tout aussi excitant, et formé d’un laçage qui descendait jusqu’à la naissance des reins.
L’ensemble s’attachait en tour de cou, et rendait son corps encore plus éblouissant et désirable…
Ses longues jambes nues, se terminaient par des escarpins ouverts noirs, découvrant son joli pied cambré, et ô combien sensuel, maintenus à la cheville par une lanière avec fermoir à boucles, donnant un petit côté S.M …
Elle s’approcha de moi, me fit un french-kiss langoureux, et se redressant, elle posa son pied sur ma cuisse, releva à peine sa robe, me montra fièrement son entre-jambe … La coquine ne portait pas de string, et les lèvres de sa fleur étaient déjà gonflées de désir !
« Comment tu la trouves ? me dit-elle d’un air mutin …
- Belle à en devenir raide ! » répondis-je, avec malice.
Elle enleva sa jambe, me caressa les cuisses à travers le pantalon de cuir que je portais, et remonta lentement jusqu’à mon sexe afin de vérifier l’effet qu’elle produisait sur moi … Elle constata avec satisfaction que mon membre était déjà bien dur, et tout en le massant, me fit un long baiser amoureux
Le carillon de la porte sonna, et Kassandra accueillit nos invités avec un large sourire.
Graziella et Valentino étaient beaux comme des dieux oubliés sur terre, avec la mission de célébrer l’amour sous toutes ses formes et de convertir les âmes aux bienfaits d’une sexualité libertine…
Valentino était vêtu d’un jean moulant mettant en valeur ses cuisses et ses fesses musclés, et d’une chemise débardeur découvrant des bras puissants et son torse d’éphèbe.
Graziella était parée d’une longue robe rouge en dentelles ajourés, laissant transparaitre ses formes pulpeuses ; une ouverture la fendait sur toute sa longueur, dévoilant une jambe charnelle et ambrée par le soleil. Le regard était capté par la vertigineuse saillie de cette robe, qui partait d’un pied magnifiquement cambré serti dans un escarpin orné de lanières rouges et or, des perles de strass descendant en gouttelettes sur le dos du pied accentuait encore la nudité d’une superbe cheville.
Le regard continuait à remonter le long de cette jambe interminable, caressait le mollet galbé et fuselé puis le genou tendre et délicat, pour atteindre la cuisse, chaude et envoûtante, gardienne du calice si convoité…
Ses cuisses, ses hanches, sa croupe, son ventre, ses seins étaient un appel au sexe et à l’amour criant et brûlant, qui ne demandait qu’à être assouvi.
Sa robe épousait à merveille chaque partie de son anatomie, et appelait à une étreinte des corps sans la moindre équivoque !
Nous échangeâmes de longs baisers libertins, préliminaires à de fougueux ébats !
Valentino glissa une main sous la robe de Kassandra, lui caressa la croupe d’une main ferme et décidée, et s’aperçut qu’elle était nu et offerte, tandis que Graziella penchée sur moi, me dévoilait ses seins si appétissants, que je ne pu résister à l’envie de lui en sortir un du décolleté, et de lui mordiller délicatement le téton !
Nous prîmes l’apéritif dans le salon, et Kassandra servi le champagne et le versa dans les flûtes. Nous trinquâmes à notre amitié naissante, et nos yeux pétillaient autant de désirs, que le champagne que nous allions déguster !
Tout en discutant de nos aventures respectives, Kassandra posa sa main sur la cuisse de Valentino, et lui adressa un sourire complice … Celui-ci reposa son verre et lui répondit en lui caressant la jambe, remontant lentement vers son entre cuisses.
La vue de ce spectacle, décida Graziella à faire de même, et sa main caressa ma cuisse … De l’autre, elle prit une olive dans la coupelle posé près d’elle, et me la mis délicatement dans la bouche ; elle attarda ses doigts au bord de mes lèvres, et ma langue lui lécha chacun d’eux avec délectation.
Elle approcha son visage du mien, m’embrassa passionnément, et remonta de sa main le long de ma jambe, s’arrêtant sur mon membre déjà bien dur … Sa main le massa fermement, ma langue tourna dans sa bouche, et nos salives se mélangèrent dans une douce chaleur.
Je caressai d’une main l’un de ses seins à travers le tissu de sa robe, et le fit sortir en écartant le décolleté… Mes doigts pétrirent son mamelon, et lui attrapèrent le téton en le pinçant délicatement.
Un soupir de contentement s’échappa de sa bouche, sa tête plongea dans mon cou, et elle me mordilla en me chuchotant de continuer.
Je pris son décolleté, le fis glisser afin de découvrir ses deux magnifiques mamelles gorgées de désirs, et attrapa son autre téton avec fougue ! Elle prit ma tête entre ses mains, et soupira d’un léger cri…
Graziella se redressa et commença à me déshabiller.
Elle ouvrit mon débardeur et me remercia des caresses prodiguées, en me mordillant les tétons.
Elle me lécha le torse, et remonta son visage vers le mien. Je lui dis alors :
« Viens, allons sur le divan ! »
Sa robe descendit jusqu’à ses pieds, et dévoila son corps satiné d’or.
Je la pris par le cou, et d’un geste ferme, elle me fit glisser sur le divan, saisissant fermement mon pantalon et l’arrachant fougueusement ! Elle enleva ensuite mon boxer en cuir, découvrant mon sexe turgescent, et attrapa mon membre dans sa bouche avec avidité !
Je sentais sa bouche m’envelopper de la douceur de sa langue, et mon gland s’enfonçant dans le fond de sa gorge.
Après m’avoir prodigué ce délice buccal, elle se lova contre moi dans un body-body torride.
Ses longues jambes enlaçant les miennes, je l’embrassai fiévreusement, et sentais ses seins lourds, rouler sur mon torse chaud ; son ventre brûlant se frottant sur mon sexe bandé, sa chatte brune l’effleurant avec malice.
« J’ai envie de te lécher » lui dis-je, affamé.
Elle s’exécuta et vint s’assoir au dessus de moi, sa fleur était sur le point de s’ouvrir et ses pétales s’écartaient déjà, gonflés de désirs …
Elle me la présenta d’abord, en écarta ses grandes puis ses petites lèvres, découvrant un corail humide, et m’offrit son bouton qui ne demandait qu’à être honoré.
Kassandra et Valentino nous rejoignirent, et nos deux déesses s’embrassèrent avec passion …
Valentino caressa le dos, puis la croupe de Kassandra, lui embrassa le creux des reins, et sa main glissa vers sa chatte blonde.
Ses doigts pénétrèrent sous sa douce toison, et Kassandra poussa un petit cri de plaisir, interrompant à peine le baiser qu’elles se donnaient … Elles continuèrent de plus belle, et leurs hanches ondulaient plus rapidement, témoignant du feu qui les dévorait !
Valentino se glissa entre ses jambes, la lécha quelques temps, puis après l’avoir bien ouverte, il se redressa, passa derrière elle, et s’enduisit les doigts de salive.
Il lui introduisit deux doigts d’abord, puis un troisième … Il courba légèrement les premières phalanges, de façon à augmenter leur pression sur l’entrée du vagin, et surtout afin de bien déceler le point G de Kassandra …
J’excitai le clitoris de Graziella le faisant tressauter en variant les mouvements de ma langue, tantôt réguliers et lents, tantôt irréguliers et rapides, le suçant, le léchant, le mordillant même légèrement …
Sa jouissance se faisait de plus en plus forte, et des gémissements parfois sourds, et parfois plus aigües, sortaient de sa gorge…
Après quelques va et vient, Valentino repéra la petite bosse magique sous son majeur … Kassandra eu d’abord un cri de surprise puis les mouvements des doigts s’accélérant les cris s’intensifièrent ! Son souffle devint court et saccadé, et nos deux partenaires se concentraient à présent sur leur plaisir !
Plus rien d’autre ne comptait, et le volcan de nos partenaires allait bientôt entrer en éruption, de violentes secousses agitaient leur corps, leurs visages se crispaient puis se détendaient, lâchant tour à tour leurs expressions incontrôlées …
Leurs gémissements se faisaient plus forts et Valentino frictionna la zone si sensible et tant convoitée, déclenchant à Kassandra une cascade de cris, rythmé de spasmes à répétitions…
Tout à coup, sa transe devint si forte, son corps soumis à si rude épreuve, qu’elle hurla de plaisir, et dans une ultime secousse, elle resserra ses cuisses, faisant jaillir un magnifique geyser de cyprine !
Graziella haletait de plus en plus fort, son clito brûlant, ne tenant plus, elle remua activement les reins, pressant sa chatte sur ma bouche avec ardeur, ses cuisses se crispèrent autour de mon cou, ma langue et mes lèvres fouillant son intimité avec rage, son nectar se libéra, et arrosa ma bouche et mon visage abondamment !
Dans un dernier cri puissant, tout son être se raidi, le déluge de lave et de feu traversa son corps et ses veines, son visage exprimant d’abord l’intense jouissance, bouche ouverte, yeux clos, instant de grâce où le temps semble s’arrêter ; puis une seconde vague déferla, apportant cette fois, une chaleur d’abord intense, secouant le corps de soubresauts, puis douce et enveloppante, détendant chaque muscle et donnant au visage un air si serein et apaisé …
Graziella me fit un large sourire, et m’embrassa longuement, me remerciant de m’être si bien occupé d’elle …
Elle s’aperçut avec surprise que je n’avais pas encore jouis, en constatant mon sexe toujours en érection !
Elle fut d’abord prise de gêne, puis vit que Valentino était le même état que moi ! Elles éclatèrent de rire, et décidèrent toutes deux de s’occuper de nos membres raides et gonflés de désirs !
Elles étaient à présent calmes et détendues, et pouvaient apprécier nos verges turgescentes, sereine, la tête et le ventre assouvis de leur soif !
Je proposai à Graziella de terminer en 69 avec l’idée de savourer une dernière fois sa chatte trempée, mais aussi de la convaincre ensuite de tenter une nouvelle jouissance, cette fois aidée de nos attributs virils ! Elle accepta la position et encercla de nouveau mon cou, mais cette fois ci, nous nous occupions mutuellement du sexe de l’autre.
Je sentais les va et vient de sa bouche, à la fois suave et serrée, ses dents venants délicatement frotter sur le frein de ma verge, aiguisait encore mon appétit et mon excitation !
Je me délectais de son jus, et glissait au passage quelques doigts dans ses abimes bien ouverts.
Je fus agréablement surpris en constatant qu’elle répondait à mes sollicitations par de petits mouvements des reins et par quelques gémissements encourageants …
Je doigtais Graziella de plus en plus fort, effleurant son point magique avec délicatesse afin de réveiller son volcan encore bouillant … Ses douces chairs palpitaient encore et lorsque j’y introduisis quelques doigts, son vagin me gratifia de belles contractions !
Je sentais son excitation monter de nouveau, et sa bouche accéléra sa cadence sur le corps de ma verge.
Ses fesses se mirent à se dandiner, faisant de petits mouvements circulaires très évocateurs…
Je décidai de donner quelques coups de langue à son bouton de nouveau raidi, et Graziella poussa un petit cri aigüe mêlant la surprise et la joie !
J’insistai de nouveau, et mangeais tantôt son clito dressé, tantôt les lèvres de son calice trempé !
Son sexe remuait de plus en plus, et je vis qu’elle était sur le chemin d’une nouvelle jouissance…
Je n’eu pas besoin de lui suggérer, d’un bond elle se retourna et vint s’empaler sur mon pieu Elle poussa un gémissement sourd et puissant, sa chatte avalant mon membre avec voracité.
Sa pulpe humide et douce enserrait celui-ci avec force, et l’inclinaison de son bassin alternait nos sensations, tantôt mon gland venait frapper le fond de son vagin, lui arrachant un cri puissant, tantôt il venait caresser sa paroi pour se lover en elle, dans un corps à corps des sexes parfait !
J’appréciais particulièrement cet instant où je m’enfonçais profondément en elle, et inclinant son bassin vers l’arrière, mon sexe enfouit jusqu’à la garde, je sentais ses fesses venir masser mes testicules, les ondulations de ses hanches, venant amplifier nos sensations extatiques !
Chaque pénétration électrisait un peu plus nos corps, les rendant hypersensibles à la chaleur de la peau de l’autre ; chaque mouvement, chaque position était ressentie et participait au délice de l’union de nos âmes et de nos chairs.
Nous échangions des sourires incontrôlés de béatitude, enveloppés tous deux des nimbes de l’amour, sensation étrange réunissant la douceur d’une enveloppe soyeuse, et la force brute des émotions charnelles, chassant les démons qui hantent nos vies, faites souvent de manque et de frustrations …
Nos cœurs et nos corps battant à l’unisson, la cadence de notre étreinte, s’amplifia jusqu’à atteindre le point de non retour, où nos chairs trempées de sueur, la poitrine prête à exploser, le sang pulsant dans les tempes, un déluge de feu nous traverse, emportant toutes les souffrances sur son passage, nous affranchissant de nos conditions humaines, pour toucher du doigt l’éternité et le sentiment de plénitude, nécessaire à la résurrection de nos âmes, au renouveau de la vie.
Deux cris puissants déchirèrent le silence, des spasmes d’extase nous secouant de toute part, son vagin palpitant de contractions aux rythmes des vagues orgasmiques !
Puis, lentement la passion brûlante, fait place à l’apaisement, et nos corps repus de bonheur goûtent à la joie d’être en vie dans un corps neuf, apaisé, réceptif à l’amour …
Nos yeux s’ouvrirent doucement, nos regards se croisèrent, et nos visages s’éclairèrent d’un sourire mutuel.
Nous échangeâmes un baiser chaud et profond, dans une communion totale de nos êtres.
Plus rien n’existait, et nous entendîmes les cris de jouissance de Kassandra, avec un certain amusement.
Valentino et Kassandra se rapprochèrent, et nous embrassâmes chacun nos compagnes respectives, encore remplies d’extase, le corps en sueur, et alangui par tous le chamboulement des sens qu’elles venaient de vivre !
Nous n’avions pas encore touché au dîner, et cela nous amusa beaucoup !
Nous nous promirent de le terminer le lendemain et nous nous quittâmes, épuisés mais remplis de bonheur…
Florian A.
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Une esthéticienne très... chaude
Dans mon dernier récit, je vous avais promis de vous raconter mon expérience très... chaude avec une esthéticienne…
Comme vous avez sans doute pu le lire, j’avais vécu une première soirée en club libertin très « hot. » A la suite de cette magnifique expérience, je suis retournée deux ou trois fois là-bas, seule ou accompagnée.
La dernière fois, avant que je ne quitte la métropole, il y avait peu de monde, et j’étais venue seule. Il me fallait en profiter au maximum !
Dès mon arrivée, par le bar et la piste de danse, une femme d’un certain âge, (elle m’avoua plus tard 57 ans) m’avait souri, puis parlé. Nous avions échangé sur nos expériences et envies. Elle me parue bien chaude pour une femme de son âge, et je me suis dit que j’aimerai en faire autant quand j’aurai 55 ans passés.
En fait, elle partait. Elle m’a juste « recommandé » deux ou trois bons coups, des hommes biens faits, et très doués pour les caresses, surtout linguales. En me faisant la bise, elle me dit qu’elle est esthéticienne et qu’elle serait ravie de me voir dans son institut.
Petite parenthèse : elle avait très bon goût, et les hommes dont elles m’avaient parlé m’avaient super bien fait l’amour dans tous les sens possibles. J’étais une vraie fontaine de foutre et de mouille mélangée… Du plaisir à l’état brut….
A l’époque, je ne m’épilais que partiellement, le maillot comme on dit. Je voyais bien les filles totalement épilées dans les films X, mais j’étais un peu réticente. Ce qui me gênait le plus était de me retrouver sur une table, les cuisses grandes ouvertes, avec une inconnue qui m’épilait plus ou moins doucement.
Mise en confiance par Josy (se voir en club échangiste, ca crée des liens…), j’ai pris rendez-vous avec elle.
Lors de ce premier rendez-vous, elle m’a juste épilé la partie que je faisais d’habitude, rien de plus, mais elle insistait pour que je fasse une épilation intégrale.
D’ailleurs, je trouvais qu’elle s’attardait beaucoup très près de mes lèvres intimes, pour me montrer où elle poserait la cire. Elle passait un doigt léger mais bien présent, un peu partout, y compris sur le clito, qui ne demandait qu’à sortir de son capuchon…
Cela provoquait une douceur chaleur qui remontait dans mon minou. Mais il y avait des clientes plein le salon, et j’ai préféré partir très vite…
Quelques semaines plus tard, j’ai repris rendez-vous, décidée à faire l’épilation intégrale.
Lors de mon appel, elle me donne rendez-vous à 18 h, dernière heure dispo de la journée. Avant de raccrocher, elle me dit de venir avec mon ami. Selon elle, il doit vérifier si le travail est bien fait, car ce sera lui le premier bénéficiaire…
Cela me surprend quelque peu, mais finalement, je demande à mon ami de passer. Il me dit ne pouvoir être là qu’à 18h30 passé.
Le jour J, je me rends un peu fébrile dans l’institut. Je me doute que ce ne sera pas un soin ordinaire. Mais comment ? Mystère !
Comme je l’imaginais, j’étais la dernière cliente, et toutes les employées étaient parties.
Elle me fait entrer dans une grande cabine, avec la table pour les soins, un grand miroir face à la table, une tablette dessous, et un grand fauteuil en osier, type « Emmanuelle. »
Elle s’enquiert de la présence ou non de Joël, mon ami. Il viendra dans quelques minutes. Elle décide alors de commencer sans lui.
Elle me demande d’ôter ma jupe et ma petite culotte noire. Je m’allonge sur la table, le dossier légèrement relevé. Elle a mis de la musique un peu zen, et éteint la grande lumière. Ne reste qu’un spot, qu’elle braque sur mon pubis encore bien poilu.
Cela donne une ambiance étrange, bien loin de celle que je connais d’habitude !
Josy me demande de lui raconter ma soirée aux Chandelles. Je lui raconte avec force détails, pendant qu’elle commence son travail minutieux. Elle passe rapidement sur les zones externes. Raconter ma dernière sortie me provoque des picotements le long du dos, mes seins se hérissent et pointent. Bien sur, elle le remarque.
Sans que je m’y attende, elle soulève mon haut et attrape mes tétons, qu’elle effleure et pince. Brève caresse, qui m’électrise. J’ai presque cru rêver !
Cette femme mûre est incroyable… j’en reste bouche bée. Elle prend de la cire comme si de rien n’était, et dépose une fine couche juste sur les bords des mes lèvres. C’est chaud, c’est doux, ça continue de m’exciter. Je sais que je mouille. Elle sourit, et me dit qu’elle s’étonne de voir cette humidité perler sur la toison dorée qui reste encore. Je rougis un peu. Autant d’une petite gêne, que d’envies mal contrôlées…
Mais je reviens brusquement sur terre quand elle arrache la bande de cire. La douleur est vive. Elle la calme aussitôt en posant toute la longueur de son doigt sur la partie à vif. Ce geste apaise la brulure, et fait renaitre mon envie. Pendant quelques minutes, elle s’applique à m’ôter tous les poils, me faisant passer alternativement de la douleur au désir. C’est un rythme d’enfer. Je ne sais plus si j’ai mal ou si j’ai envie de sexe !
Au moment où elle allait s’attaquer à mes fesses, le carillon retentit. C’est Joël.
Elle va lui ouvrir et le fait rentrer. Il reste sur le pas de la porte de la cabine, un peu ahuri par le spectacle de mes jambes grandes ouvertes, de ma chatte toute nue, ouverte et impudique, éclairée crûment par le spot.
Il m’embrasse et son baiser m’électrise un peu plus. Mais Josy lui dit qu’il devra vérifier son travail plus tard, quand elle aura fini.
En attendant, elle me fait lever les cuisses sur la poitrine, et du coup, ma chatte s’ouvre encore plus. Je ne peux cacher mon excitation, d’être ainsi offerte à leurs deux regards bien enfiévrés, voire même lubriques…
Il faut pourtant continuer. Elle pose des bandes de cire tout autour de mon petit trou. A ma grande surprise, quand elle arrache les bandes, ca ne fait pas très mal.
Elle me dit que, pour bien finir il faut me mettre à quatre pattes.
Au point où j’en suis, j’accepte tout !
En me retournant, je vois Joël, les yeux brillants. Je pose mon regard sur son pantalon. Le salaud, il bande comme un taureau !
Me voilà en levrette, je tourne la tête, pour suivre le regard de mon ami, qui s’est allumé encore plus ! Je comprends : dans le miroir qui me faisait face, je vois mon cul, ouvert, rouge de l’épilation, mon abricot ressort, rose et obscène, gonflé de son excitation. C’est bizarre, on dirait que ce n’est pas moi. Le spot lui donne encore plus d’ampleur. Je ne vois que ce cul, qui semble affamé de langue et de bite.
Josy ne se démonte pas et fignole son travail, tout en laissant bien trainer ses doigts tout partout. Elle me met dans un état quasi insupportable. Et en plus, la garce, elle fait ça comme si de rien n’était !!!
Ma chatte palpite, coule, mon vagin se contracte tout seul, de ce désir fou. Je crois que jamais je n’avais ressenti une telle excitation, sans pouvoir –encore- rien faire. C’est démentiel.
L’heure de la délivrance approche, enfin ! Josy me fait allonger sur le dos, et demande à Joël de venir vérifier si elle n’a rien oublié. Il répond qu’il n’est pas sur de se maitriser… Et Josy lui dit qu’elle serait ravie de nous voir nous faire du bien.
D’ailleurs, elle recule, et s’assied dans son grand fauteuil.
Joël ne se le fait pas dire deux fois. Il bande tant que son braquemard dépasse de la ceinture de son jean.
Il s’approche de ma chatte détrempée, toujours violemment éclairée par la lumière blanche. Il glisse un doigt, passe partout, trouve à voix haute, que tout est parfait. Son sexe est à hauteur de mon visage. Je n’y tiens plus et défait la braguette. Sa queue raide sort comme un diable de sa boite. Il bande comme je l’ai rarement vu avant. Sa bite épaisse est brillante de sa mouille à lui. Je ne résiste pas, et au moment où je m‘apprête à emboucher ce sexe adoré, il se jette sur mon minou, pour y passer sa langue puissante. Il la passe dessus, dedans, agace ma rosette, s’y glisse pourtant, fouille mon con de ses doigts, fait ce que j’appelle « la pince ». Il glisse le majeur dans mon cul, le pouce s’enfonce dans mon vagin, et il aspire avec ardeur mon clito. Je ne résiste à pas a ce traitement.
J’avais un peu oublié Josy.. Quand j’ouvre les yeux pour voir où elle était. La salope était toujours sur son fauteuil, mais une jambe en l’air, sur l’accoudoir. Elle n’avait pas de culotte. Elle nous fixait du regard, et sa main s’activait sur et dans sa chatte. Grosse chatte, aux lèvres pendantes, avec un clito comme une petite bite, qui dardait en haut de son vagin. Chatte béante, visiblement habituée à être visitée, astiquée, défoncée…
Cette vision me donne un regain d’excitation et je demande à Joël de regarder. Il lève les yeux. Je vois dans le miroir que le spectacle le fascine. Il redouble d’ardeur avec sa langue, me fait reluire comme un cuivre. Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche, à longues giclées de mouille. Josy halète de plus en plus. Joël n’y tient plus. Il me fait allonger au bord de la table, les jambes posées sur ses épaules. Grâce à la table réglable en hauteur, sa bite est juste à la bonne hauteur. Il me gratifie d’un grand coup de langue, au cas où je ne serai pas assez lubrifiée…
Josy se lève, je ne sais pas si elle a joui, elle respirait très fort…
Elle se met près de mon visage, et regarde en se penchant, la queue de mon mec s’enfoncer d’un grand coup de rein au fond de ma chatte qui crie famine. Elle gémit, sa main toujours labourant son con visqueux. Elle y enfourne presque sa main entière ! Je suis fascinée par ce spectacle, à quelques centimètres de mes yeux.
Je n’ai jamais eu de relations avec une femme. Mais comme un automate, pendant que Joël me bourre bien à fond, comme j’aime, à grands coups de bassin, j’avance ma main vers cette grotte frémissante. Sa chatte est bouillante, douce, lisse, trempée… Je passe le bout de mes doigts sur ses grosse lèves dégoulinantes. Jamais je n’ai touché une autre chatte que la mienne. Ca fait tout drôle. Elle avance encore un peu plus le bassin, je décale ma tête et l’impensable se produit : d’instinct, je tends ma langue vers ce trou béant. Je sens la douceur de sa peau intime, et puis, je heurte le clito, vraie petit chibre d’au moins 3 cms de long. Je l’entoure de ma langue, le titille, comme mon homme me le fait. En quelques secondes, elle m’inonde la bouche de son jus sucré-salé. La garce, elle a joui d’un coup, sans prévenir !
Joël a les yeux hors de la tête au vu de ce spectacle inattendu. Je sais qu’il fantasme sur deux femmes ensemble… Il a enfin ce qu’il veut… Il me baise comme jamais, puissant, il heurte le fond de mon vagin. Je suis secouée de spasmes, nous jouissons bruyamment ensemble. Je crie, et je sens son foutre me remplir le vagin.
Mais comme il continue de me baiser puissamment, le sperme coule hors de ma chatte.
Josy le voit, s’avance et vient le ramasser avec ses doigts. Doigts qu’elle porte à sa bouche, elle les lèches avec application… et viens me rouler une pelle. Sa langue me remplit la bouche et je retrouve le gout habituel du sperme…. C’est étrange… Puis elle vient à son tour me lécher le clito, mon sexe toujours bien rempli par cette queue d’enfer. Caresse divine de sa langue pointue sur mon clito, et de la hampe de mon mec qui me baise toujours.
Je sais ce qu’il veut, quand il ne débande pas comme ça… Il a encore les couilles pleines !
Je retire le mandrin turgescent de ma chatte maltraitée, et me retourne en levrette.
Il n’attendait que ça, pour me baiser à nouveau, comme une chienne. C’est ce que j’ai l’impression d’être à ce moment-là : une chienne en chaleur, avide de sexe pur et dur.
Joël ne tarde pas à jouir de nouveau, en longues giclées chaudes. La main de Josy est toute inondée, car elle continuait de me branler pendant que mon ami me tringlait sans ménagement. Je jouis aussi, quand il vient lécher son sperme dans ma grotte déformée par sa grosse bite.
Nous retombons tous les deux sur la table, Josy dans son fauteuil, épuisés.
Brefs commentaires, sourires de plaisirs… Je me rends compte que je n’en n’ai pas eu assez. Nous sommes vendredi. Et le vendredi, les Chandelles sont ouvertes toute la journée… Après une brève concertation, nous décidons d’y aller tous les trois. Josy veut sa dose de bites !!! Euh, et moi aussi, je veux des exhibs, voir des couples copuler, je veux de la baise hard, pour ma vraie dernière soirée de délire en métropole…
Mais ça, je ne vous le raconte pas, à vous d’imaginer la suite...
En tout cas, j’avais eu affaire avec une belle salope excitante, mûre et avide de sexe. Pire que moi ! Je ne souhaite qu’une chose : être comme elle à son âge !!!
Fati, la tunisienne
Attention certains éléments zoo peuvent choquer...
Il y a plus de quatre ans que j’ai des relations sexuelles avec mon oncle Farid. J’ai besoin de sexe souvent, et quand j’en ai envie, je le prends comme je peux, avec qui je peux. Mon oncle ne refuse jamais que je le suce, et tout ça, le plus souvent dans un silence total. Personne ne doit savoir ce qui se passe entre nous…
Depuis longtemps déjà, je le suçais souvent… C’était venu par hasard, et j’adore ça.
Mais en 2006, je dois me marier avec un cuisinier grec de quarante ans. Il m’avait demandée et mariage, et j’avais accepté, après de longues discussions. Je voulais pourtant en parler aussi avec ma famille. Je fis donc ma valise, pour aller voir à la campagne mon oncle Farid.
Arrivée à la ferme, il m’accueillit très bien, et fut satisfait de savoir mon prochain mariage. Il connaissait bien cet homme.
Mais moi, je ne sais pas pourquoi, je voulais autre chose… J’avais très envie de sexe ! Mais en Tunisie, c’est plutôt mal vu !
Alors, je lui dis que je veux lui expliquer quelque chose, et que je souhaite qu’il me suive aux écuries.
Ma grand-mère, et donc sa mère, est chez une voisine. C’est donc le bon moment pour être seuls. Je prends un drap et un grand tapis. Nous allons dans l’écurie, il fait bon, il ya douze chevaux. Je me mets à genoux, je défais le pantalon de l’oncle Farid. Sans un mot, je sors sa queue qui bande déjà bien… Je le suce à fond, comme il aime…
Avant qu’il ne jouisse, je sors sa queue de ma bouche, et je lui dis:
« C’est le moment que j’attendais depuis longtemps…
- Quoi ? Je ne comprends pas, me répondit-il.
- Mon oncle, je te donne ma virginité. C’était pour toi seul que je la conservais, et tu vas la prendre.
- Ah non Fati, ça, je ne peux pas !
- Si, mon oncle, fais-le sans discussion, s’il te plait ! »
Sans lui laisser le temps de répondre, je me déshabille entièrement, et défait sa chemise et son pantalon. Je m’accroche à son cou, nous sommes nus tous les deux, collés l’un à l’autre.
Sa grosse bite, qui avait un moment molli, redevient dure comme un bâton. Je suis impressionnée, car jamais je ne l’avais vue aussi dure avant ce jour-là !
Je descends doucement vers sa bite, et à nouveau, je l’embrasse et la pompe à fond. Elle me remplit la bouche, elle m’étouffe presque. Que c’est bon….
Oncle Farid gémit doucement : « Ah Fati, c’est bon, c’est bon comme tu me suces… »
Comme j’ai la bouche pleine, je ne peux lui répondre… je me contente de sortir son gros vit de ma gorge, et je m’allonge sur le drap. Je suis sur le dos, les cuisse écartées, J’offre à ses yeux vicieux ma belle chatte vierge.
Il tente encore de protester :
« Non Fati, je ne peux pas, c’est pour ton mari…
- Si, tu vas me pénétrer avec ta grosse bite, Oncle Farid. C’est pour ça que je suis venue te voir, toi, et pas un autre de mes oncles ! »
Il ne me répond pas. Je ferme les yeux, et le tire de toutes mes forces vers moi. Je prends son gros zob solide comme un pieu, et je le pose contre ma chatte.
« Pousse, mon oncle, pousse ! Ne crains rien, je e donne ma virginité »
Et enfin, il fait pénétrer sa bite dans toute sa longueur au fond de ma matrice.
« Ahhhhhhhh ! » Je crie, et un tourbillon m’entraine vers le ciel.
Il souffle fort :
« C’est ça que tu veux, Fati ? C’est toi, la responsable de tout ca…. »
Je ne réponds rien, et je saisis la racine de sa grosse bite, pour le faire coulisser à fond. Quand il est bien ancré en moi, je lui dis :
« Viens doucement, mon oncle, c’est formidable… C’est toi, mon homme. Même si je suis mariée avec le grec, tu seras toujours mon homme préféré… »
Après quelques minutes de divine pénétration, je le sors de mon con, et je le mets dans ma bouche. Je suis gourmande, j’aime sucer sa bite. Je le fais depuis quatre ans, et je devins vraiment experte en la matière ! Elle gonfle encore plus que lros de mes précédentes fellations…
« Ah Fati, vas-y doucement, ou je vais jouir.
- Non, je veux te voir jouir… »
Et il joui dans un grand cri, impressionnant dans le silence total qui régnait. Son jus est délicieux, j’avale tout…
Mon oncle pousse ma tête pour me forcer à le gober en entier.
Je tente de protester
« Aie, tu me fais mal, mon oncle !
- Non Fati, c’est parce que tu me cherches ! »
Il finit par me lâcher, et nous nous couchons l’un contre l’autre, sans dire un mot. Je regarde autour de moi, car les chevaux se mettent à hennir. L’un deux, tout prés de moi, commence à bander ! Elle est immense, elle tape contre son ventre.
Je dis à mon oncle :
« Tu as vu la bite du cheval ?
- Oui, il nous a vus, il doit être excité. Mais il sait garder les secrets !
- Tu crois ?
- Oui, mais Fati, voudrais-tu toucher cette queue énorme ? »
Tout d’abord, je souris sottement. Puis j’accepte, comme hypnotisée. Je me lève et je m’approche de l’animal. Je pose ma main sur la bite monstrueuse.
« Elle est très dure, bien sure…. Et elle est bien plus longue que la tienne, dis-je en riant.
- Allez vas-y, prends le bien par devant. N’aie pas peur Fati, c’est un cheval très gentil.
- C’est bizarre cette énorme bite d’un cheval de trois ans…
- Allez, Fati, embrasse-le, fais-lui plaisir.. ; »
Je reste sidérée qu’il me demande ça. Mais dans mon désir de tout faire pour lui procurer du plaisir, j’embrasse l’énorme pieu chevalin.
C’est doux chaud, enooooooooorme... Plus de cinq fois, je fais glisser mes lèvres sur la bite monstrueuse, sous l’œil excité de mon oncle. J’aime de plus en plus ce contact hors norme, hors règles… Je mouille à nouveau comme une dingue.
« Mon oncle, tu veux encore me baiser ? Je le suce, et toi, tu me baises ? Tu veux bien ?
- Mais Fati, tu es folle ou quoi ? répond-t-il, bien peu convaincant…
- Non, c’est juste pour mon plaisir, aide-moi à me faire plaisir, s‘il te plait !
- Ok, mais vite, si jamais on nous surprenait… »
Il s’approche de moi, me cambre, pour que je lui offre ma chatte bien en vue. Mais je me rends compte avec joie que c’est mon cul qu’il veut !
« Vas-y, dévierge mon cul aussi… »
Je veux tout lui donner, absolument tout !
Il se frotte contre ma chatte pour se lubrifier, et vient ensuite pousser contre ma rosette. Il me masse avec son gland, pour me dilater petit à petit.
« Vas-u doucement, mon oncle…
- Ok Fati, je fais attention. Continue avec le cheval… »
Alors, je prends la grosse queue entre mes mains, et je la dirige vers mes lèvres, pour tenter d’avaler au moins le bout. Il est énorme, et je n’en n’avale que très peu.
Mais d’un coup, mon oncle me sodomise. Il me détruit le cul à grands coups de bite, qui me fait avaler plus loin celle du cheval.
J’ai mal, d’abord, puis je commence à prendre du plaisir à cette situation salace…
Sue suis-je en train de faire, à la veille de mon mariage ? Dépucelée, enculée, et suçant une bite de cheval… C’en est fini de ma virginté !
Mon oncle me parle par saccades :
« Tu n’es qu’une pute, une pite qui se fait enculer et qui pompe un cheval. Tu n’es qu’une salope, je te baiserai tout le temps comme ça. Tu es à MOI ! »
Je prends un plaisir extrême à ses paroles, je ne suis plus moi-même, juste une salope qui se fait défoncer le cul dans une écurie… je jouis pour la première fois, dans un grand cri.
Et presqu’en même temps, mon oncle et le cheval jouissent. Farid m’inonde les intestins de son bon foutre, le cheval m’asperge le visage de sa semence fétide.
Mon oncle saisit les hanches, pour accentuer ses mouvements, s’enfoncer à fond dans mon cul.
« Plus fort, mon oncle, plus fort, défonce-moi à fond !
-prends ca, sa lope !
-Oh ouiiiiiiiiiiiiii baise mon cul, déchire-moi !!!!! »
Il finit par se relâcher, et sort de mon conduit anal. Je me sens béante, le sperme coule sur mes cuisses. Je n’ai pas lâché la bite du cheval, toujours bandée… Elle me plait trop…
Farid prend la parole, après un moment :
« Tu as pris du plaisir, hein Fati ?
- Oui, mon oncle, on recommence quand tu veux… »
Je l’embrasse, attrape les vêtements, et je file avers le hammam pour pendre une douche chaude et me laver de tout ce sperme gluant.
Après avoir vécu cette histoire inoubliable, je me suis mariée avec le grec. Nous sommes partis en voyages de noces en Grèce. Après, je suis allée passer un mois dans la famille de mon oncle Farid. Et devinez à quoi nous avons passés tous nos moments libres ???
Signé Fati
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Ne nous dites pas que c'est la fin du recit de votre cousine???
Le mari a tenu ses promesses???