Les Mémoires très Libertines de Sophie
L'enterrement de la vie de garçon
Je m'appelle Bastien, j'ai vingt huit ans. Il est vendredi, et je rentre plus tôt que prévu, d'une longue semaine de déplacement. J'ai hâte de retrouver ma ravissante épouse, Barbara, vingt-six ans, professeur de danse à la plastique irréprochable. Je suis fier, quand nous allons faire du shopping, de la voir pendue à mon bras, malgré les regards coquins et dragueurs de certains hommes.
Il est vingt heures quand je lui téléphone, pour la prévenir de mon arrivée.
« Chouette, me dit-elle, quelle agréable surprise mon amour, je suis impatiente de te voir ! »
A peine le seuil de la porte franchi, Barbara me saute au cou. Elle est simplement vêtue, comme il en est convenu entre nous, de sa jupe ultra courte, sans culotte dessous, et d'un haut plus que décolleté. Elle me saisit par le revers de la veste, et m'attire sur la canapé.
Dans le mouvement, la jupe remonte sur les hanches, et mes doigts se perdent vite dans le duvet blond du pubis, caresse la fente, excite le clitoris.
« J'ai une petite faim ma chérie, si nous passions à table ?
- Je pensais que mon corps te suffirai, répond-elle en me prenant la bouche. J'espérais prendre un petit coup de queue avant le diner... Je plaisante mon chéri, allez, assieds-toi, je mets le couvert. »
On sort de table vers onze heures et passons directement a la chambre. Nous allons faire l'amour pendant deux heures. Barbara s'avère très gourmande, vicieuse, s'offre sans retenu, après ces quelques jours de restrictions.
Nous remettons ça au petit matin, avant de prendre une bonne douche.
« Tu sais que tu enterre la vie de garçon de Tony, ce soir, dit Barbara. J'espère que tu vas rester sage.
- Mais enfin ma chérie, je réponds, il n'y a que des mecs. Puis j'ai ce qu'il faut à la maison….
-Taratata...on dit ça.. Mais, je rigole mon chéri.. Mmoi, je vais en profiter pour inviter mes copines. »
Étant en déplacement toute la semaine, je n'ai pu participer à l'organisation de la soirée. On s'est cotisé pour louer un salon dans une boite branché de la ville, et d'après les échos, la fête réserve beaucoup surprises. J'arrive au rendez- vous vers vingt-deux heures. Je m'approche de la table, copieusement garni de bouteilles et de toasts, où se trouvent d'anciens copains, notamment Didier, avec qui j'ai eu une relation torride, faites de sodomie, de pipes et de féroces baisers, justement la nuit où j'ai enterré ma propre vie de garçon…
« Salut, je lui dis, tu vas bien, depuis le temps ? Alors ça y est, Tony se passe la corde au cou ?
- Ben oui, répond-il, et toi, ca va ? C'est vrai que ça fait un bail, et Barbara, toujours aussi belle et amoureuse ? »
Après quelques jeux de groupe, Bruno, le boute-en-train du groupe, prend la parole :
« Allez les gars, dit-il, on va faire un jeu en l'honneur du futur marié. Tout le monde à poil, chacun une chaise.
Je regarde autour de moi, et vois les gars ôter leurs vêtements. Je mets de côté ma pudeur, et me déshabille. On se retrouve tous nus, et nos regards fixent un endroit précis de nôtre anatomie, à titre comparatif.
Bruno distribue à chacun de nous un tour de cou en tissu rouge. Seul celui de Tony est noir.
Soudain, les lumières se tamisent, et les enceintes diffusent une musique digne des meilleurs cabarets. Du fond de la pièce, surgit alors une superbe créature brune, le visage en partie caché par un masque rouge reproduisant une tête de chat, un soutien gorge rouge, et d'une jupette à paillettes, laissant apparaitre un string rouge également. Seul les yeux bleus, et des lèvres pulpeuses sont visibles. Une stripteaseuse, c'était donc ça la surprise….
« Connasse, me souffle Didier, tu as vu comme elle est carrossée... Whoua, j'en ferai bien ma nuit ! »
La danseuse entame un déhanchement langoureux au rythme de la musique. Dans un geste précis, elle dégrafe son soutien gorge, le fait tournoyer en l'air, et le jette en direction de Tony. Puis d'une démarche féline, elle se dirige vers la première chaise. Elle fléchit sur ses jambes, et frotte ses seins sur le visage de Daniel, glisse une main entre les cuisses de Fred, caresse les bourses pleines de Cyril, frotte son entre-cuisses sur mon genou, et ainsi de suite, jusqu'à Tony.
Là, elle ôte la jupe, et le string. La jeune danseuse est entièrement nue. La bite en érection, nous sommes tous pendus aux faits et gestes de la stripteaseuse. Elle se penche en avant, campée sur se hauts escarpins, et saisit l'énorme pieux en érection du futur marié, qu'elle décalotte d’un geste sûr. Tony ne se démonte pas. Il saisit la jeune danseuse par les hanches, la fait pivoter, pour la placer dos à lui. Malgré le faible éclairage, je distingue la chatte épilée de la jeune femme.
Étonnamment, elle me semble familière, même si celle de Barbara garde une fine toison dorée…
Petit à petit, il la force à descendre. C'est avec un grand soupir que sa chatte coulisse sur la hampe raide de Tony, pour son plus grand plaisir. Les mains derrière la tête, elle commence des va et vient sur la bite tendue. Tony lui prend les seins, roule les bouts durcit entre le pouce et l'index. En fille expérimentée, la danseuse sent la sève du jeune homme monter. Elle se retire, et se tourne face à lui. Elle fléchit sur ses longues jambes, absorbe entre ses lèvres carmin le gland violacé, et le suce, juste au moment ou Tony lâche de longs jets de sperme.
« Ah, quelle pipe... Vas-y salope, avale, souffle Tony. Whoua !!! »
Le futur marié lance une main entre les cuisses de la danseuse, lisse la fente, ouvre les lèvres intimes, libère le clitoris. Un doigt, plus curieux que les autres, va plus loin, jusqu'au petit trou. Là, la jeune fille se pique au jeu, appuie ses mains sur les épaules Tony. Celui-ci lui fait signe qu'une goutte de foutre est resté sur ses lèvres.
Elle sort sa langue pour la récupérer, en gloussant de plaisir. Le spectacle est hallucinant.
Je suis surpris de l'attitude soumise da la stripteaseuse, normalement habituée à ce genre d'activité. D’habitude, on a à peine le droit de les effleurer… et là, ell efait la totale !
« Hé les gars, sourit Tony, regardez comme elle bouge son cul... Elle est pleine de mouille la garce.
- C'est ta faute salaud, gémit-elle. Tu m’excites...Oh putain, comme tu me doigtes... hum... hum... vas-y...fais-moi jouir... Ca y est, je jouis, ouiiiiiiii... je jouiiiiiiis ! Que c'est bon...
- Ben dis donc, sourit Tony. La pute avait une grosse envie ! Quel cadeau... C'est la première fois qu'on te doigte ?
- Comme ça, oui, soupire-t-elle. Regarde comme tu m'as écartée... »
Je me sens mal, la voix ne m’est pas inconnue. Mais où ?... sans doute une ex petite amie qui a « mal tourné » !
La stripteaseuse donne ses derniers coups de reins sur les doigts vicieux de Tony, puis, rouge de honte ramasse ses effets, prend l'enveloppe que lui tend Bruno, et se sauve.
Dans un élan, j’ai envie de l’arrêter, d’en avoir le cœur net... Et puis, elle m’a tant excité, que je lea prendrais bien aussi… Mais je me retiens, les autres me regardent un peu de travers. Logique, je ne joue pas le jeu ! La pute, c’est uniquement pour le fiancé !
Je me retourne vers l’intérieur du salon. Il est en surchauffe. Les bites sont dressées au plafond. Les jeunes loups se regardent, des couples se forment. Pourtant aucun n’avouerait jamais baiser un jour avec un autre homme ! Mais ils sont trop excités, les couilles pleines ne demandent qu’à juter.
Un jeune maghrébin prend Daniel par la taille et l'enveloppe dans ses bras musclés. Une main joue avec les couilles, pendant que l'autre branle la bite. A côté, c'est Bob qui se fait prendre en levrette par le Mika, tout en taillant une pipe à Fred.
Je suis de plus ne plus troublé, et j’ai aussi envie d’une bonne bite…
A ce moment-là, je me sens tiré en arrière, et basculé sur les genoux de Didier. De suite, celui-ci saisit ma queue en érection, fait rouler le prépuce entre ses doigts, et me décalotte lentement. Il se rappelle comme j'aimais ça…
« Ca te remémore pas une certaine vie de garçon ? sourit-il. Comme on s'était amusés... Whoua... On devrait recommencer plus souvent, tu ne crois pas ? »
J’acquiesce d’un regard, et d’un coup de rein, pour qu’il me branle plus fort.
Du coup, sa main va plus bas, machinalement, ou volontairement, j'écarte les jambes pour qu'il puisse me saisir les couilles incroyablement grosses et dures.
« Vas-y, dis-je en soupirant. Caresse-moi... »
Doucement, il me soulève la tête, et m'ouvre les lèvres avec sa langue. J'adore sa façon d'embrasser, je réponds farouchement au baiser. Nous glissons au sol, Didier et s'assied sur ma poitrine, se penche avec souplesse, et me suce le gland. Petit à petit, cette caresse se transforme en pipe de légende. Ma bite en érection est avalée par la bouche gourmande de Didier. Je pousse un long soupir de plaisir. Comme il est placé, j'ai sa bite et ses couilles à porté de lèvres. Je m'apprête à honorer mon copain de la même façon, quand une bite énorme accompagnée d'un belle paire de couille frôlent mes joues.
C'est Tony.
« Alors les gars, dit-il, je vois qu'on s'amuse sans penser au futur marié... Pas très sympa ça... »
Il tient son calibre dans la main, et l'approche du petit trou de Didier. Il pose son gland contre l’orifice bien fermé. Il force, force encore, et la rosette brune finit par s’ouvrir sous la poussée. Je suis fou de désir de voir cela à quelques centimètres de me yeux. Le gland dilate enfin le petit orifice, et entame une lente progression. Je n’y tiens plus, et suce les grosses bourses, puis la partie visible du gros pieu...
Ma salive favorise la pénétration dans l’anus de plus en plus ouvert. Enfin la hampe disparait entièrement dans les entrailles de mon copain. Je vois le membre coulisser dans le cul de Didier, qui est pris de soubresauts, je vois les couilles balancer, frapper contre les fesses. Je me soulève pour les gober, les aspirer. Elles me font trop envie !
« Whoua, gémit Didier. Vas-y, encule-moi enfoiré, bien profond, comme j'aime... »
Tout se passe à dix centimètres sous mes yeux, jamais je n’ai vu cela de si près. Mon excitation est maximale. Les va et viens s'accélèrent, jusqu'à ce que Tony se retire. Je prends la bite odorante de plein fouet sur le visage. Tony la guide, et force mes lèvres. Je renacle, en sentant l’odeur peu mène, et le gout âcre qui s’en dégage. Mais je suis bloqué par le poids des deux hommes sur moi. Inexorablement, le calibre prend sa place dans ma bouche.
Puis le dégout passe, et comme une lopette, je ne le rejette pas, mieux, je lui taille une pipe. Je gobe come msi ma vie en dependait.
Deux minutes plus tard, je sens l'épaisse semence envahir le fond de ma gorge, presque en m'en étouffer.
« Ah, ah, râle Tony. Vas-y, avale pédé... Mais c'est qu'elle est doué la salope ! Elle sait sucer ! Ah, ahhhhhh… »
J'essaie de me dégager, mais Tony me maintient fermement.
« Attends mon ami, tu es bien pressé... Tu n'as pas le temps ? Il m'en reste encore un peu de réserve... Il faut tout vider, la pute de tout à l’heure ne m’a pas purgé à fond. Tu vas finir le travail ! »
Tony reprend ses va et viens dans ma bouche, certainement pour éliminer le surplus. Au bout de cinq minutes, il m'envoie la deuxième couche de purée, que je ne peux cette fois avaler. Je sens le sperme couler sur ma joue. Il se retire lentement, un sourire radieux. Il stabilise son gland entre mes lèvres.
« Allez, fais la toilette au petit bébé... Gentil, bien, tu m'as régalé petite salope... »
Comme un automate, je nettoie goulument le nœud du futur marié. Je me suis à peine rendu compte, que j'avais craché dans la bouche de Didier, pendant que celui-ci se branlait.
Il est six heures du matin quand le rentre chez moi. J'espère que ma ravissante épouse dort. Il faut que je me douche avant qu’elle ne sente l’odeur si caractéristique du foutre sur moi. Je pénètre dans hall sur la pointe des pieds. Je vois le répondeur clignoter.
« Tiens, un message que Barbara n'a pas du effacer. Il a l'air récent. »
J'appuie sur le bouton.
« Ma chérie, c'est Tony, je t'envoie ce message avant que ton mari rentre à la maison. C'est pour te remercier de m'avoir autorisé à te mettre un bon coup de queue, et de m'avoir taillé une super pipe devant mes copains, pour ma vie de garçon, en présence de ton mari. Tu étais magnifique en stripteaseuse. La nuit s'est très bien terminée. Je me suis même permis de me vider les couilles à deux reprises dans la bouche de ton cher époux. Il a adoré. Allez, bisous et encore merci. »
Je ne réagis pas immédiatement à ce message. Je fais le tour de la pièce, et là, je découvre stupéfait l'impensable.
Un masque représentant un chat, une perruque brune, et une enveloppe. Je l'ouvre. Cinq cent euros. J'ai l'impression que le plafond du salon me tombe sur la tête.
D'un bond, je me lève, j'ai encore un truc à vérifier. Je vais à la chambre, où mon épouse dort à poings fermés, Elle est entièrement nue. Je m'approche sans bruit, et glisse une main entre
Ses cuisses. La chatte est fraichement épilée, alors qu'hier, je me rappelle avoir joué avec son fin duvet blond.
Aucun doute, la stripteaseuse de cette nuit, c'était bien elle.
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Les stagiaires du bout du monde
Aujourd’hui, je publie l’histoire torride de Nico. Il me fait la grâce de m’autoriser à vous distraire avec. Elle est publiée en cinq chapitres, un tous les deux jours…
Une stagiaire à l'autre bout du monde
Chapitre I
C’était pour un voyage d’affaire que j’avais atterri dans ce bel hôtel. En un mot, le rêve. Tout sauf le boulot. Un lagon, des palmiers, du sable fin, des bungalows grand luxe. Même depuis les salles où se tenaient nos longues réunions de travail, je voyais un paysage de rêve. Ce qui rendait la peine encore plus difficile.
Chaque jour, je me disais que c’était une chance que de bosser dans une boite traitant principalement avec les grands groupes hôteliers à travers le monde. Il n’y eut qu’une après-midi de relâchement. J’en profitai, comme à mon habitude, pour fausser compagnie à mes collègues. Non pas qu’ils me déplaisaient mais ils étaient casaniers. Ils pouvaient passer leur journée off au bord de la piscine, dans l’hôtel, comme de simples touristes. Or moi, j’aime explorer, découvrir, fouler de nouveaux lieux, m’aventurer en terre inconnue. Grand bien m’en prit ce jour là…
Une belle plage courait au pied de l’hôtel et se prolongeait sur des kilomètres. Je pris une bouteille d’eau, de la crème et une serviette pour partir à la découverte de cette belle étendue de sable blanc. Après un quart d’heures de marche, je vis une petite rivière qui se jetait dans la mer. En suivant son lit du regard, je me pris à imaginer une cascade, de l’eau fraîche, une vasque creusée dans la pierre.
En un mot, la baignade de rêve.
Je n’avais pas les chaussures adéquates donc je ne pouvais m’avancer trop avant. Heureusement, je n’eus pas à le faire. La baignade de mes rêves s’offrit à moi rapidement. Avec, pour compléter cette vision, des jambes de femme disparaissant derrière un rocher. M’approchant silencieusement, je crus reconnaître une tache sur la cheville, une tâche que j’avais aperçue en détaillant une stagiaire de l’hôtel, à la direction. Une grande et fine brune, aussi féminine que sexy. Le genre à lunette avec un tailleur. Le genre moins de vingt cinq ans et déjà femme. Le genre qui me fout le feu aux poudres très rapidement. Le pas suivant me fit avoir une vision de rêve.
Le rocher me dévoila la simple étoffe blanche de son petit slip de bain avec, l’animant, deux doigts glissés dessous. Je ne voyais pas plus haut. Simplement ce bikini et ces jambes, tous appartenant à une jeune femme se donnant du plaisir. Là, typiquement, j’étais en plein fantasme : une sirène sur une plage.
Mon cœur s’emballa avant que je n’en tire les rênes pour garder le contrôle. Je ne pouvais me permettre de laisser filer cette occasion. J’agis à l’instinct, rapidement. En poussant un sifflement ébahi par la beauté du site. En lâchant un discret « c’est beau » comme si je me parlais à moi-même.
Ses jambes bougèrent. Elle se redressa, une main sur les seins, essoufflée, désirable. Et là, elle me sourit. Un sourire lascif, tentant. Le sourire d’une femme interrompue dans un moment d’intimité mais qui n’en éprouve aucune honte.
« Bonjour mademoiselle. La vue est belle, dis-je en plantant mon regard dans le sien. »
Elle dut sentir que mon propos était à double sens car elle eut un second sourire mystérieux.
« Vous êtes client de l’hôtel, n’est-ce pas ? Le groupe Parksons, non ?
Je hochai la tête.
« Et vous, vous êtes la stagiaire que j’ai vu hier dans un tailleur beige très sexy ? »
Toujours le même sourire, avec cette fois-ci une nuance flattée par le compliment.
« Et bien, si je puis me permettre, mademoiselle, vous êtes aussi belle en tailleur qu’en monokini.
- Mais avec la différence que je ne peux pas être en monokini à l’hôtel.
- Donc vous venez ici pour être peinarde et bronzer nue ?
- Je ne suis pas nue, monsieur.
- C’est vrai. Rien de plus qu’un tout petit slip de bain. Mais ne vous gênez pas pour moi si vous voulez vous mettre à l’aise…
- Je n’aime pas bronzer nue !
- Vous aimez avoir les traces du maillot sur les fesses ?
- C’est cela. Je trouve cela sexy.
- Moi de même…
- Mais par contre, je me baigne toujours nue, me coupa-t-elle avant que je ne puisse achever ma phrase. »
Joignant la parole au geste, elle fit glisser dans un déhanchement fabuleux, son petit bikini à ses pieds, me révélant un pubis lisse et une chute de rein délicieuse.
Et puis elle me tourna le dos pour aller se baigner. Son cul… Il me rendit fou.
Dans un réflexe, je pris son maillot pour le porter à mon visage. Il sentait le plaisir, la fraîcheur… Mon érection fut immédiate et vigoureuse.
« Je ne vous gêne pas, monsieur, fit-elle, provocatrice et amusée.
- Oh pardon mais… je… c’était trop tentant… cette odeur… votre beauté… Vous pouvez en voir la preuve de là où vous êtes, d’ailleurs. »
En effet, elle avait pleine vue, sur le relief de mon short de bain, relief éloquent.
« Une belle vue pas complètement dégagée, hélas.
- Oh mademoiselle, si j’étais vous, je n’exigerais rien de plus. Le danger est trop grand.
- Ah oui ? Dites m’en plus ?
- Il y a que cette vue provoque souvent une irrésistible envie de sucer chez certaines femmes et je ne suis pas sûr que vous ayez le droit de sucer les clients de l’hôtel.
- En effet, la situation peut-être délicate mais bon, je ne suis pas sûre, vous savez. »
J’adorais ce dialogue, qui était un délicieux préliminaire, très excitant. Elle jouait à merveille son rôle. Je bandais comme un taureau.
« Vous êtes stagiaire. Au pire, vous pourrez plaider la méconnaissance.
- Tout à fait. J’ai beaucoup à apprendre. Je débute.
- Alors si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je pourrais vous montrer certains désirs que peuvent avoir les clients.
- Oh merci beaucoup. J’aime apprendre sur le tas. »
L’instant d’après, j’étais les pieds dans l’eau, assis sur le rocher au bord du petit gourd alors cette belle stagiaire, dont je ne connaissais pas encore le prénom, me prenait en bouche, jouant quelques instants avec mon gland du bout de sa langue avant de m’aspirer de toutes ses lèvres.
« Débutante dans l’hôtellerie, peut-être mais pas dans l’art de sucer, on dirait, mademoiselle. »
- Je fais bien ce que j’aime faire.
- Cela se sent que vous aimez sucer, dis-je en descendant mes mains pour aller attraper les pointes de son délicieux bonnet A. »
Elle s’arrêta un instant de me sucer alors que je faisais rouler ses pointes entre mes doigts.
Elle s’en mordit les lèvres de plaisir. En la voyant ainsi s’épanouir, j’eus très envie de jouer avec elle, de voir jusqu’où une si élégante jeune femme avait envie d’aller, était capable d’aller avant de trouver les gestes trop crus. Je mis deux doigts dans sa bouche, en laissant l’autre main sur son sein droit.
« Sucez mes doigts mademoiselle et fermez les yeux. »
Elle happa avec avidité mes doigts.
Elle joua avec du bout de sa langue alors que je titillais toujours plus avant sa pointe. En la tirant doucement, en la faisant rouler, en la pinçant avec délicatesse et fermeté. Je la sentais s’abandonner au plaisir.
« Laissez-vous faire, mademoiselle.
- Avec plaisir, dit-elle dans un souffle. »
Là, je mis une main sur sa tête pour la guider vers ma queue et poursuivre la pipe arrêtée il y a peu. Je voulais la reprendre mais différemment, en dirigeant cette belle bouche, en imprimant moi même le rythme de cette fellation. Ma stagiaire se laissa faire, toujours les yeux fermés. Mes mains enserraient sa tête avec assurance. Je faisais aller et venir sa bouche autour de ma queue. D’elle-même, elle jouait avec sa langue.
« Une stagiaire qui suce à merveille. C’est le pied ! Cela va être un vrai plaisir que de baiser cette petite chienne, dis-je, en espérant que ce mot n’allait pas la bloquer dans son élan. »
Certes, elle avait envie de voir les désirs des clients mais je ne savais pas si ce mot, si les jeux allant avec ce mot étaient parmi les envies de cette jeune femme…
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Un strip-tease qui dérape..
Je me rappelle bien de cette soirée ou nous avions invité un couple de nos amis dont l’origine de nos contacts remonte aux années-collège. La soirée s’était passée de façon très agréable, et l’alcool aidant, nous nous retrouvions après le dîner, au salon, plus ou moins affalés les uns les autres à discuter de nos anciens camarades d’école et autres copains de classe. Nous voilà donc tous les quatre a parler de cette fameuse année du Bac, lorsque je ne sais trop comment, entre Ryan et moi monta un désaccord justement sur l’année en question, où lui dit qu’il s’agissait de 1989 et que moi j’affirme sous le regard amusé de nos amis que non pas du tout, et qu’il s’agit bien de 1990 ! Les effets du vin me donnaient de l’assurance, et je n’en démordais pas, jusqu’à lancer “ Je veux bien danser a poil sur la table devant vous tous, si tu me prouves que notre Bac, c’était en 89 ! “
J’étais sûre, et assez fière de moi sur ce coup là, car connaissant mon homme, je savais qu’il n’avait aucune mémoire des dates. Il n’y avait donc aucun risques que je finisse a poil, debout sur une table, a danser… ça ce serait n’importe quoi ! Ryan ne démordait pourtant pas de l’année 1989 paraissant anormalement sûr de lui, et j’avoue qu’au bout d’un moment, les sourires discrets de nos amis, qui commençaient à ne pas être discrets du tout, finissaient par m’énerver un peu.
Le ton calme que prenait Ryan ne me disait rien qui vaille non plus, et le temps passant je commençais a perdre de ma superbe. En plus, il commençait à me parler de la Chèvre de Mr Seguin qui était trop sûre d’elle et que si je continuais a m'entêter, au petit matin le loup me mangerait, et cet humour là ne me plaisait pas du tout. C’est à ce moment là que Valérie se leva et clama qu’elle allait mettre tout le monde d’accord parce que elle, elle détenait la vérité !
Puis elle se dirigea vers la tablette où était posé son sac à main. Valérie était une jolie femme brune aux yeux bleus de taille moyenne, elle avait une plastique parfaite pour son âge, ce qui faisait rager bon nombre de femmes de notre entourage y compris moi. Le fait qu’elle ait ôté ses chaussures lui donnait une démarche souple, et sa robe légèrement transparente montrait bien la finesse du fil de son string. Je la regardai promener son mètre soixante cinq jusqu’à l’entrée pour sortir de son sac le document qui tue…
Ryan trouvait cette femme sans saveur, sans odeur ni couleur, et l’expression qu’il prenait quand il la regardait avait le don de me faire rire, d’habitude… mais pas forcément ce soir là. Un ange passa, lourd et pesant, laissant à Ryan le temps de se lever, et de mettre un fond musical en disant que pour un strip-tease, il fallait absolument l’ambiance adéquate… !
Celui là il commençait vraiment à m'énerver grave, et chèvre ou pas chèvre, je lui aurai bien donné deux ou trois coups de corne sur les champs, à ce Monsieur Seguin là. Le silence assourdissant du mari de Valérie commençait à me rendre moins sûre de moi, surtout qu’à l’air de Merlan frit qu’il prenait tout en ayant le même sourire que le camembert que j’avais en ce moment même au fond du frigo, je voyais bien que le vent tournait en ma défaveur.
Valérie revint, une photo à la main, qu’elle posa sur la table du salon, repoussant les verres d’un revers de main. On pouvait clairement y voir notre bande de joyeux lurons le soir de la remise des diplômes, les regards éméchés, et les mouvements incertains qui montraient bien que la Tequila avait fait bien des ravages à ce stade de la soirée. Nous sourirent en revoyant ce petit monde, ce qui ne m'empêcha pas de m’exclamer :
« Et alors, ça prouve quoi ? »
Valérie me dit qu’il y avait une date derrière… La retournant, je pus y lire, écrit d’une écriture d’écolière studieuse “1989”. Je tempêtais ! : « C’est une erreur, tu t’es trompé ! »
Je savais qu’il ne fallait absolument pas compter sur le soutien du camembert souriant, et encore moins du Monsieur Seguin mort de rire au fond de son fauteuil.
Le mari de Valérie s’était saisi de la photo et l’air pensif mais toujours souriant, dit doucement :
« Vous avez une loupe, dans cette maison ? »
Ne voyant pas très bien le rapport, je lui dis de tendre le bras jusqu’à ce tiroir où était justement cet accessoire dont se servait souvent Ryan. Il s’en empara et après examen de la photo il explosa de rire en me disant qu’il était très content de cette soirée avec nous. Là, je fus carrément inquiète et me rapprocha de lui. Il me montra le calendrier accroché au mur de notre chambre d’étudiant de l’époque, arborant un fier “1989”… Jamais je ne trouvai une année aussi déprimante que celle de 1989, et un immense moment de grande solitude s’empara de moi…
J’avais sur moi maintenant, posés trois paires d’yeux rayonnant et malicieux dont les regards lubriques montraient bien que je n’avais désormais aucune chance de me sortir de ce guet-apens. Bon. Je n’étais pas non plus fille à me dégonfler. Donc, changement d’ambiance, et « À cœur vaillant, rien d’impossible », ou quelque chose de ce genre là. De toute façon, peu importait à ce stade que la citation fut exacte, je sus qu’il fallait que j’aille au bout de ma provocation, après tout c’est bien moi qui avais lancé ce défi.
C’est donc en ondulant doucement que je débarrassai la table carrée et basse du salon, enlevant en dansant tout ce qui pouvait s’y trouver. Je claquai des doigts vers Ryan afin qu’il abaisse la lumière jusqu’à ne laisser que nos deux petites lampes allumées, puis j’ôtai moi aussi mes chaussures. La musique était lascive a souhait, et Ryan me tendit un verre de vin en guise d’encouragement. Je le but lentement, tout en dégrafant un bouton du bas de mon chemisier blanc.
Fermant les yeux, et d’un mouvement des hanches je montai sur la table tout en dansant en rythme lent sur cette musique tout a fait adéquate que Ryan avait lancée voilà quelques minutes. Je passais le revers de mes mains tout au long de mon corps depuis mes hanches jusqu’à mon ventre, remontant ensuite a l’entour de chacun de mes seins, sur lesquels je m’attardais, les laissant poursuivre leur chemin en une véritable caresse sur le haut de ma poitrine.
Je continuais à onduler ainsi, et ma jupe noire et courte aidant, je m'accroupis légèrement tout en dansant et en faisant couler mes mains a plat sur l’intérieur de mes cuisses, depuis mes genoux jusqu’au haut de celles ci. Les yeux fermés jusque là, je les entrouvris pour voir un peu l’effet produit, et je vis que l'intérêt de mon public n’était pas feint du tout. L’ambiance avait changé du tout au tout.
Valérie s’était accroupie au pied de la table, à un peu moins d’un mètre. Sylvio, lui, s’était un peu relevé de son fauteuil, juste avancé un peu le buste. Seul Ryan me regardait de loin, me caressant du regard, depuis le bas de mon corps jusqu'à mes yeux entrouverts. Je savais la force de l’observation du détail que possédait Ryan, et le fait qu’il m’observe ainsi avait pour effet de m'électriser légèrement. Je lui souris tout en continuant ma danse et en ôtant le deuxième bouton de mon chemisier.
Mon regard à ce moment balaya dans la pénombre créée, le sol où se trouvait Valérie. Elle était assise, les jambes croisées, sa robe remontée très haut montrait maintenant le devant de ce string que j'avais décelé quand elle s'était levée tout a l’heure ; ses mains fines et longues étaient posées sur ses chevilles, et elle me regardait un très léger sourire au coin de ses lèvres. De là où elle était placée, elle pouvait voir le haut de mes cuisses jusqu'à ma culotte blanche dont le détail de la fine dentelle ne pouvait être vu dans la pénombre. Je défis le troisième des quatre boutons de ce chemisier, lui laissant apparaître le bas de mes seins, qui ce soir là, avaient oublié de se munir d'un soutien-gorge. Le regard de Sylvio prit une allure fixe a ce moment, et je senti que l'ambiance de mon salon n'était plus vraiment au ludique maintenant.
Les mouvements ondulés de mon corps auxquels s'ajoutaient les caresses de mes mains me mettaient moi même dans une sorte de transe dans laquelle l'alcool me chavirait un peu. Je ressenti une atmosphère agréable, et me disais que je pourrais continuer a danser ainsi sans que jamais cela ne s'arrête.
Être ainsi l'objet de tous les regards animait mes sens plus que je ne l'aurais cru, le contact de mes propres mains sur moi ne devenait plus innocent. Le passage de mes doigts sur le bas de mon ventre, remontant vers ma poitrine a demi nue maintenant, ne se protégeant des regards que d'un seul bouton avait pour effet de m'exciter doucement, de manière très insidieuse.
Mon regard balaya à nouveau le sol et distingua les chevilles nues de Valérie, sur lesquelles seule une main était restée. Je vis clairement que sa main droite était sur le haut de sa cuisse qui m'apparaissait, elle bougeait lentement, se rapprochant de son entrejambe. Les yeux à demi fermés dans cette pénombre, seule moi savais que j’avais le regard fixé sur ce mouvement de sa main, le reste de mon corps ondulant au rythme lent de la musique Cette danse était pour moi devenue une transe, et c’est lentement que mes mains se posèrent sur mes cuisses, se déplaçant vers leur intérieur, puis remontèrent vers mon basin, relevant ma jupe noire en dévoilant le contraste de ma culotte blanche un instant.
Mes mains ne s'arrêtèrent pas, poursuivant leur lent chemin jusqu’au haut de mon chemisier, dégrafant le dernier bouton, et libérant ainsi ma poitrine. Cette ambiance avait attisé mes sens, et les pointes fermes de mes seins étaient comme une sorte de provocation aux regards sans mouvement de mon public restreint. Je plaçai mes mains au dessous de ma poitrine, la soulevant légèrement, puis caressant leurs pointes du bout de mes doigts en un geste empreint de volupté.
Valérie bougeait lentement son bassin, maintenant. Je pouvais voir clairement sa main posée entre ses cuisses fuselées et ses doigts qui s’appuyaient sur le devant de son string, sans bouger vraiment, comme apposant une légère pression, simplement. La position de sa main sur son intimité et l’idée que mon corps pouvait l’exciter produit un effet secondaire sur moi, et je senti curieusement ma tension monter d’un cran. Je tournai le dos a mon petit groupe, et donnai à mes gestes un mouvement fait de larges arabesques se terminant sur mon buste et libérant mon chemisier que je laissai négligemment tomber au sol.
Le buste maintenant parfaitement nu, ne cessant de me caresser et les yeux mi clos, mon imaginaire m’emporta complètement, et c’est sans vraiment m’en rendre compte que je déboutonnai le haut de ma jupe pour la faire glisser très lentement à mes chevilles.
Lorsque je me retournai d’une oscillation, je pus voir, en présentant mon corps presque nu aux regards de mon public qu’une certaine tension flottait. Ryan, impassible était littéralement en admiration, l’attitude empreinte de sérénité, une lueur de fierté montrée par son port de tête malgré son attitude détendue. Sylvio s’était approché un peu, les mains jointe et très attentif au détail de mes courbes, tandis que Valérie se caressait doucement, la tête inclinée.
J’esquissai alors un geste de mes deux mains qui s’accrochant a ma culotte, commença à la faire descendre de ma taille, dégageant totalement mes fesses et mon pubis, mais restant à danser comme cela quelques minutes, faisant s’étirer le temps et croire que j’allais ôter ce qui me restait d’habit. Puis me ravisant, je la remis à sa place, jouissant de la déception de mon public.
Je fis un geste complice à Ryan, lui réclamant un autre verre qu’il me servit de la main gauche, mettant son autre main sans ambages sur mon sexe, passant ses doigts entre le haut de me cuisses.
Cela irradia d’un coup mon bas ventre déclenchant une vague de désir. Il se rassit paisiblement tandis que je buvais ce si bon vin frais qui me chavirait peu a peu. Cela dura un moment, et je sentais l’ambiance changer au fil de mes mouvements lascifs, chargée d’érotisme Tout en dansant, je tendis a Valérie mon verre vide. Elle mit quelques secondes à réagir, alors, dansant toujours, je m'accroupis jusqu'à poser mes genoux au contact de la table, le bras tendu.
Elle me le prit des mains, le regard vide, un sourire aux lèvres, que je ne lui connaissais pas. Je renversai mon corps en arrière, écartant les cuisses fasse à elle, tout en donnant a mes hanches une ondulation très suggestive. Elle n’y tint plus. Sans relever la tête, je sentis ses deux mains sur le dessus de mes cuisses, posées, sans bouger.
Elle s’était relevée, s’approchait de moi. Je relevai doucement mon buste, entrouvrant les yeux pour voir Sylvio qui abaissait la fermeture éclair au dos de sa robe. Valérie me caressait l’intérieur des cuisses, juste du bout de ses doigts. C’était tout léger. Sylvio, après avoir ouvert complètement le dos de sa robe, avait introduit ses deux mains vers le devant de son corps et devait lui caresser les seins. Ryan de son coté, complètement affalé sur le canapé ne regardait que moi, une main sur son entrejambe, qu’il bougeait très doucement.
Sylvio continuait de caresser les seins de Valérie en se collant a elle, de derrière, me regardant de très près lui aussi, cuisses écartées fasse a eux. Lorsqu’ elle fit glisser ses mains a l’intérieur de mes cuisses, je me levai, toujours en dansant, la laissant les mains vides. Je la vis se défaire tendrement des mains de Sylvio en se levant elle aussi, faisant alors tomber sa petite robe sur le sol, elle se retrouve en un simple geste presque nue, simplement couverte de ce string que j’avais remarqué depuis le début de la soirée.
Elle me rejoignit sur la table, puis ondulant en parfaite synchro avec moi, nos corps se touchèrent, ou plutôt non…s’aidant de son bras qu’elle avait passé autour de la taille, elle se colla à moi, plaçant le haut de sa jambe droite entre les miennes, elle m’attira contre elle doucement tout en dansant. Le bas de mon corps s’appuyait maintenant complètement sur le le sien, et le haut de sa cuisse, au rythme lancinant de la musique, caressait littéralement mon sexe au travers du tissu léger de ma culotte.
Je collai ma poitrine à la sienne, me laissant envahir par le parfum de son corps que je ne connaissais pas, glissai ma main sur ses reins, palpant du bout des doigts le haut de ses fesses fermes, alors qu’elle se saisit de ma culotte, comme furieuse qu’elle existe encore, la tirant a elle, simulant le fait de l’arracher.
Cela pressa le tissu contre ma vulve, entrainant un léger coup de reins de ma part pas tout a fait contrôlé. Je me laissai tomber très doucement à ses pieds, parcourant ainsi de mes lèvres tout un chemin, celui du haut de sa poitrine, de la pointe d’un sein durcie sur laquelle je ne m’attardai pas, de son ventre qui ondulait, du haut de sa cuisse. Puis, comme un peu fatiguée, je m’assis simplement sur la table, la voyant à son tour danser au dessus de moi. Je m’allongeai cette fois-ci, en parfaite diagonale de la table, glissant mon corps entre ses jambes, regardant le mouvement du haut de ses cuisses depuis le bas, quelques secondes seulement, car elle aussi descendit son corps.
S’asseyant à moitié sur le mien, elle se pencha vers moi et me couvrant le visage de ses cheveux, je sentis les pointes de nos seins s’effleurer car elle bougeait son corps sur le mien sans s’y appuyer, nos seins se frottant les uns aux autres. Puis elle se recula, mettant ses mains d’abord sur ma poitrine nue, et faisant glisser ses doigts sur mes flancs lentement, jusqu’à s’accrocher à ma culotte, et l’abaissant, m’incitant à relever mon bassin, ce que je fis.
Elle l’ôta alors complètement d’un trait, me laissant totalement nue, en diagonale de cette table, la tête un peu légère de cet alcool qui me troublait, les jambes de part et d’autre du coin de cette table. Offerte. Je sentais qu’il ne s’agissait plus d’un strip-tease, et je ne comptais pas me relever de suite. Mon corps était excité de cette ambiance, de ces attouchements, de cette musique, et du contact du corps de Valérie. Je ne savais pas exactement de quoi j’avais besoin en cet instant, mais je me sentais, me voulais donnée comme un cadeau, me ressentais en attente.
Plein d’idées follement érotiques me traversèrent, me voyant nue, debout, sentant entre mes doigts un sexe d’homme très dur, ma main se déplaçant entre mes jambes voulant sentir le haut de mon clitoris devenu ferme lui aussi, tandis que ma bouche s'humidifia du désir de ressentir Ryan sous ma langue. Cela n’était pas la réalité, comme un songe, mais à la fois un besoin réel, bien plus qu’une envie. Un sursaut de ce qui restait de volonté me fit vouloir rester encore en conscience avec la réalité, et je me relevai le haut du corps, m’asseyant sur le bord de la table.
Ryan et Silvio s’étaient déshabillés, eux aussi, et Valérie qui finissait de lui enlever le slip se retourna vers moi, s’accroupissant et se rapprochant de mon entrejambe. Son visage, ses cheveux, si près de moi, m'enflammèrent le bas du ventre, je me cambrai et écarta mes cuisses davantage, m’offrant à sa bouche, désirant ses lèvres, réclamant sa langue. Elle le comprit, et appliqua son visage très doucement entre mes cuisses ouvertes. Son parfum, le contact de sa tête sur mon ventre, sa bouche sur mon sexe me fit comme une déflagration qui fit plus que me rendre humide. Valérie posa sa langue sur le haut de mon clitoris, puis sans la bouger vraiment, la fit descendre doucement vers son bout tendu.
Mon corps était maintenant arqué, tandis qu’elle m’appliquait une indescriptible caresse de sa bouche, tantôt d’une langue vive sur mon sexe mouillé, tantôt enserrant mon clitoris entre ses lèvres, faisant bouger son visage de gauche a droite doucement. Ses lèvres me délaissèrent un instant, sa langue longeant l’intérieur de mes cuisses, laissant le bas de mon ventre irradié de désir. C’est sans doute là que mes mains se mirent en mouvement, plongeant les doigts dans ses cheveux, murmurant un “encore” dont je ne sais s’il était perceptible.
Du bout des lèvres d’abord, sa bouche s’empara alors de mon clitoris, puis je senti sa langue, très vive… qui se plaça là où étaient mes doigts dans mon songe d’il y a quelques minutes, pour y faire le même mouvement, tandis que malgré moi je replaçais ma main sur mon sexe, sentant tour a tour mon clitoris et sa langue qui me pénétra légèrement, mes doigts la suivant dans ce chemin voluptueux. Je ne savais plus si c’était mes doigts ou sa langue qui s’activaient en moi maintenant.
Ces quelques minutes qui se passèrent ainsi, sous le regard des autres , achevèrent de me troubler encore davantage, les yeux fermés, jusqu'à ce que je sente la main de Ryan sur l’intérieur de ma cuisse droite, en même temps qu’une autre main se plaçait au même endroit sur mon autre cuisse, me caressant alors doucement, remontant vers le haut de mon corps. Valérie se recula, laissant la place à Ryan qui s’approcha de moi, debout.
À hauteur de mon visage se tenait son sexe en érection, se dressant tout près de mon visage. J’achevai de le mettre a nu, tandis qu’il recula , lui aussi sans que je ne sus pourquoi. Sans doute voulait-il connaître ainsi mon degré d’excitation, savoir si je le suivrai sur cette courte distance, ou si j’étais encore capable d’attente. Le contact du sexe de mon homme me rendit folle d’envie, et je ne lâchai pas ce membre devenu dur du désir de moi. Cette chaleur qui irradiait ma main, ce besoin de le mettre dans ma bouche, cette envie de le caresser de ma langue, étaient si fort, si impérieux que c’en était insupportable.
J’avançai mon corps, descendant de la table qui m’avait soutenue jusque là, et sans attente englouti le sexe de Ryan en m’accroupissant devant lui, sentant mon sexe ouvert, mouillé sous mes doigts qui le caressaient, s’introduisant au rythme de la fellation que je faisais en cet instant. Ryan me prit la tête entre les mains et se déplaça en arrière, sans que mes mouvement ne s'arrêtent, il s’assit sur le canapé. Je pensai un instant que Valérie et Silvio devaient aussi s’adresser quelques tendres échanges, et jetai un rapide regard sur ce qui m’entourait.
Valérie était assise sur le fauteuil, regardant la scène que Ryan et moi formions. Elle se caressait, fermant parfois les yeux, tandis que Silvio était tout près de moi. C’est sans y penser vraiment que je tendis la main vers lui, me saisissant de son sexe tendu. Il gémit de plaisir en se rapprochant encore. Je serrai ma main gauche sur lui, tandis que je me concentrai sur Ryan qui se laissait aller à ce plaisir offert. Il était loin de se douter que je ressentais moi-même d’indescriptibles sensations au contact de son membre entre mes lèvres, longeant cette virilité de ma langue. Je le parcourais sans cesse, l’introduisant à nouveau dans ma bouche d’un mouvement de va et vient dont la cadence variait au gré de mon désir.
Silvio se déplaça à ma droite, passant sa main sur mes reins, puis sur mon flanc, comme un appel qui me fit me relever un instant. Je plaçai ma main sur le bas de son ventre, la laissant doucement tomber sur son sexe, puis finalement l’enserrant de mes deux mains, tandis que je sentis Ryan glisser une main entre mes cuisses.
Il s’était levé du canapé et de ses main fermes m’écartait littéralement et m’ouvrant à la perverse caresse de ses doigts tandis que je ne cessais de toucher Silvio. Ce dernier s’assit a son tour sur le canapé, et je pris son sexe dans ma bouche en même temps que Ryan positionnait mon corps selon son désir.
Mes reins se cambrèrent lorsqu’a nouveau sa main circula sur l’intérieur de ma cuisse du bas vers le haut. Je crois que mon corps n’en pouvait plus d’attendre, et Ryan le savait. Je savais le façon dont il allait me prendre. Il positionna son sexe précisément contre mon sexe mouillé de désir, me caressa un moment comme cela, mes reins malgré moi se reculant vers lui jusqu'à sentir son gland, me pénétrant très légèrement sans encore s’enfoncer en moi, me faisant gémir malgré moi.
Puis il me pénétra d’un coup, me faisant relever la tête en poussant un cri de plaisir, de désir de cela, de cette sensation de la première pénétration après une longue attente, avant de sentir son sexe chaud coulisser en moi de ses va et viens d’abord lents, générant des vagues de volupté d’une indescriptible force.
J’entendais Valérie qui depuis un moment maintenant se caressait en gémissant de manière de plus en plus régulière, je savais ainsi que ses mouvement sur elle s’étaient accordés au rythme des reins de Ryan qui dans ses mouvements faisait glisser mes lèvres sur le sexe de Silvio que je sentais approcher du plaisir extrême.
Ryan avait pris une cadence régulière, et la pénétration qu’il m’infligeait m’amenait au bord de l’orgasme, ce qui rendait ma fellation très irrégulière, tant les vagues de plaisir qui me parcouraient devenais fortes. Puis je sentis le plaisir de Silvio monter sous mes mains, il se tendit en jouissant bruyamment dans un râle de plaisir tandis que son sperme chaud coula sous mes doigts. Je vis cela se faire sans vraiment le vivre tant mon corps était maintenant sous l’entière dépendance de Ryan qui rendait son rythme plus rapide ou ralentissait, selon qu’il sentait mon plaisir monter, et voulant visiblement faire durer cet ébat.
Silvio s’écarta un peu, laissant ma tête se poser sur le canapé tandis que je m’agrippais à un coussin. Les sensations étaient devenues fortes et Ryan savait jouer de cette limite jamais atteinte ou il m’emmenait, puis me ramenait. Il me surprit en se retirant doucement pour s'asseoir sur le canapé. Je n’y tenais plus, et c’est sans attendre que je me retournai a mon tour, le regardant tenir son sexe entre ses doigts.
J’avançai vers lui en écartant les jambes, puis, lui posant les mains sur les épaules, je m’empalai sur son sexe dressé, décidée cette fois à imposer ma cadence. L'érection de Ryan était forte, et je sentais la chaleur de ce membre en moi, comme un doux pieu me pénétrant a chacun de mes mouvements que je commandais.
Valérie s’approcha de nous par derrière moi, et pendant que je donnais à mon corps ce mouvement montant et descendant, elle passait son doigt sur l’entour de mon sexe ruisselant maintenant, m’électrisant à chacun des passages de sa main.
Elle faisait cela en alternant le fait de prendre le sexe de Ryan à pleines main,s le faisant bouger latéralement, puis dans un léger mouvement circulaire qui s’ajoutait au contact du va et viens en moi. Je sentais l’orgasme monter, mon ventre se durcir, les vagues de spasme se faire sentir jusqu’à m’envahir complètement et se saisir de mon corps, libérant des ondes de chaleur dans le bas de mon ventre. En même temps, je sentais le plaisir de Ryan s’étendre au fond de moi, ajoutant à mon extase sous l’effet d’un plaisir extrême.
Les mains de Valérie caressant mes flancs me parurent d’une extrême douceur alors que je m’affalais sur le torse de mon homme avec cette impression de totale destruction mélangée d’épuisement. Je ressentais toujours le sexe de Ryan, encore ferme en moi et prolongeant ce plaisir indéfinissable. La musique était toujours là, et j’en fus surprise, ayant eu l’impression qu’elle s’était arrêtée tout ce temps. Brouillage total de mes sens, rupture de l’espace et du temps, c’est telle une feuille morte que je m’oubliai dans les bras de l’homme que j’aime. J'eus aussi la pensée qu’il fallait se méfier de certains strip-tease, et que lancer des défis pouvait avoir du bon.
Signé Ryan
Note de l'auteur : Celui-ci autorise la copie et la publication (web uniquement) de ses textes à la condition expresse de mentionner dans ces pages web le nom de l'auteur : Ryan, et l'adresse de ces Blogs :
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Céline au chantier
Voici mon aventure d'hier soir...
Suite au visionnage d’un film X, j’ai eu une forte envie de me faire prendre... Mais pas n’importe où ! Il me fallait du glauque car je voulais rejouer à ma manière le rôle de l’héroïne de la vidéo.
Je suis donc sortie dans la tenue adéquate : en mini-jupe de salope, bottines noires et un chemisier très ouvert sur ma poitrine nue. Sans culotte, sans soutien-gorge, j’étais prête à me faire mettre rapidement.
Je me suis dirigée vers un quartier proche du mien, où j’avais repéré la veille le chantier de construction d’un petit immeuble résidentiel. Il était presque vingt et une heures, et les ouvriers devaient se reposer dans le cabanon qui leur servait de logement. J’étais bien décidée à les réveiller et à mettre un peu d’ambiance dans leur piaule.
En arrivant sur place, je me suis tout de suite approchée du baraquement. Je n’ai pas hésité, ayant trop faim de grosses queues pour me faire tringler la moule et le cul. Je n’ai pas frappé, me contentant de pousser la porte et d’entrer.
Les trois gars que j’avais vus sur le chantier la veille étaient là, occupés à regarder un vieux poste de télévision portable. Je me suis tout de suite dirigée vers l’appareil, l’ai éteins et me suis plantée devant eux :
« Baisez-moi maintenant, tous les trois ! J’ai le feu au cul et il faudra bien trois pompiers pour l’éteindre. Toi, viens dans ma bouche, toi dans mes fesses et toi dans ma chatte. Passez-ça d’abord ! »
Je jetai une boîte de préservatifs à leurs pieds.
« S’il faut que je vous branle un peu avant, approchez ! Je vais me faire un plaisir de vous mettre en condition avec mes doigts. »
Ils ne se le firent pas dire deux fois.
Ceux que j’avais choisis pour enfiler mes petits trous s’approchèrent, la bite à la main. J’appelai le troisième qui restait en retrait :
« Viens ici, toi. Je vais te faire bander avec ma bouche tout de suite »
Sur ces bonnes paroles, je m’assis par terre et ouvrit la bouche, pour me préparer à le recevoir. Il avança et m’enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres. J’avais les deux autres queues dans chacune de mes mains, et je les masturbais avec toute l’habileté dont j’étais coutumière. Je voulais juste les faire durcir assez pour qu’ils puissent me mettre bien profondément leurs membres démesurés dans la vulve et dans le cul.
Quand ils furent prêts, je leur enfilai à chacun un préservatif et me plaçai dans la position adéquate. J’avais choisi de faire combler d’abord mon trou du cul. Aussi, je me mis à quatre pattes, la bouche toujours collée à la pine que je pompais. Le black le plus vigoureux vint se foutre derrière moi. Il m’écarta les fesses, et cracha un peu de sa salive sur mon anus qui attendait d’être fourré.
Je n’avais pas prévu de lubrifiant car je faisais confiance à mon trou de balle pour se montrer accueillant et docile. Il en avait vu d’autres.
Un régal de sentir passer le gros nœud du noir quand il me troua la rondelle.
Après quelques secondes de répit, il commença à me limer pour trouver sa place.
Mais ce que je voulais par-dessus tout, c’était me sentir pleine des deux côtés. Alors, venant coller mon cul contre le ventre de mon enculeur, je l’invitai en reculant à s’asseoir sur un siège qui se trouvait là.
Celui que je suçais me suivit tant bien que mal. Il grimpa sur la table qui jouxtait la chaise pour toujours bien me présenter sa bite. Je n’arrêtais pas de la pistonner avec mes lèvres et de la titiller avec ma langue. J’étais maintenant prête à recevoir le troisième dans ma chatte. Celui-ci s’approcha de moi d’un pas décidé. Il se branlait mollement pour maintenir son érection en attendant de venir m’honorer.
J’écartais largement les cuisses, assise sur la queue qui me bourrait le cul. Ma chatte totalement nue était bien gonflée et s’ouvrait toute seule.
Le black vint placer son gland tuméfié entre mes grandes lèvres et, d’une poussée brutale, m’emplit le ventre de sa grosseur. Il trouva facilement sa place en plus la pine de son collègue. Il profita d’un mouvement de recul de l’engin qui m’enculait pour gagner les quelques centimètres nécessaires au logement de son sexe dans la cavité de mon vagin.
Lentement, les deux mecs s’accordèrent pour me limer en cadence. Quand ils eurent trouvé leur rythme de croisière, je savourai pleinement (c’est le cas de le dire) la prise en sandwich que j’étais venue chercher.
Ce soir-là, je fus comblée au-delà de mes espérances.
Je me félicitai d’avoir apporté avec moi une boîte complète de capotes. En effet, chacun des hommes passa à tour de rôle dans les trois trous que j’avais à offrir. Ils étaient d’une endurance rare et mettaient à profit avec bonheur leurs capacités physiques hors du commun.
Comme eux, j’ai beaucoup hurlé et joui.
Quand je suis ressortie de la petite baraque, très tard dans la nuit, j’étais complètement épuisée, mais heureuse. Mais je savais déjà que je reviendrai faire un tour sur le chantier un jour prochain.
Signé : Céline
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Un après-midi orgiaque
Me voilà donc rentrée de mon après-midi orgiaque ! Et c’est le bon mot…
Je me suis donc rendue au même endroit que l’été dernier, et certains se souviennent peut-être de cette histoire vécue sur une plage réservée aux pécheurs. En effet, elle est difficile d’accès, et n’a presque que des pierres plates, et pas de sable. Par conséquent, peu de familles viennent s’y promener.
Les pêcheurs y sont présents, car ils ont le calme pour leur activité favorite.
En arrivant, première surprise, une jeune femme est déjà là. Seconde surprise, quand je m’approche, je vois qu’elle a exactement la même position que moi quand je veux allumer des mecs. J’y reviendrai plus loin.
Je me demande que faire. Vais-je la laisser là, alors qu’au moins sept hommes sont présents ? Je remarque qu’ils la matent sans vergogne. Au moins, ils sont bien disposés !
Après quelques secondes de réflexion, je décide de rester, et m’approche d’elle. Je lui demande doucement :
« Bonsoir, je peux me mettre à coté de toi ? »
Elle ouvre les yeux, et me sourit :
« Bien sur, je me sentirais moins seule, avec tous ces hommes pas loin… Je m’appelle Valentine.
- Enchantée, moi, c’est Sophie.»
Je ne sais pas encore ce qu’elle sous-entend par ces mots…
Vivement, je dénoue mon paréo, et je déroule ma serviette molletonnée… La pierre, c’est dur ! Je m’allonge près d’elle, et me oberve vers les hommes présents.
Visiblement, mon arrivée n’est pas passée inaperçue : ils regardent tous franchement vers nous. Ca augure bien de la suite !
Je me tourne vers ma voisine, et constate qu’elle reprit sa position d’avant mon arrivée.
Elle a une main posée entre les seins, se caressant avec légèreté le sillon inter-mammaire, d’un geste doux et sensuel. Je fais exactement le même, quand je veux être explicite.
Son autre main est posée sur l’échancrure de sa cuisse, un doigt négligemment posé sur le mont de Venus. D’un mouvement imperceptible, elle se caresse.
La copieuse, elle fait tout comme moi !
Cela me fait sourire. Autant être directe :
« Valentine, dis-moi, pourquoi es-tu venue ici, sur cette plage ?
- A mon avis, pour la même raison que toi…
- C’est à dire ?
- Ne fais pas l’innocente. Ici, il y a toujours des hommes seuls. Et j’aime les provoquer.
- Juste les provoquer ?
- Non, j’aime me faire prendre comme ça, à la sauvage. »
J’en reste bouche bée : j’ai rencontré ma sœur jumelle !!! Elle parle de sexe aussi librement et directement que moi.
« Mais pourquoi tu me dis ça si naturellement ? Je pourrais être choquée !
- Ma cocotte, à peine allongée, tu as pris une attitude identique à la mienne. Je sais ce que ça veut dire !
- Ok, tu as gagné, je suis aussi venue pour ça. Aujourd’hui, je suis libre pour la dernière fois de baiser comme je veux. Demain, ma famille rentre, je serais moins disponible. »
S’en est suive une discussion sur nos expériences respectives, et ce que nous attendions des hommes présents. Se faisant, nous continuions à nous caresser le corps. Valentine avait même inséré un doigt coquin sous son maillot.
En jetant un œil vers les hommes, je constatais que pas un ne regardait plus sa ligne !
Je fis ma première proposition indécente à Valentine :
« Et si nous leur offrions un joli spectacle ?
- Oh oui, je ne suis pas bi à proprement parler, mais on peut les exciter à mort comme ça… »
Nous jetâmes un regard rapide voir si des enfants jouaient dans le coin.
Personne.
Je me relevais, et me mis tête-bêche avec la jeune femme. Nous devions offrir un joli tableau contrasté : elle la brune à la peau très blanche, aux formes généreuses, moi, la blonde mate et bronzée, aux formes tout aussi généreuses. Toutes les deux épilées entièrement.
Le soleil nous chauffait la peau et les sens…
Valentine a posé la main sur mon pubis, décrivant de petits ronds avec son index, de plus en plus rapprochés et descendants... je lui caressais les seins, glissant ma main sous le fin tissu du maillot. Se pointes durcirent aussitôt. Je les pinçais, et pour cela, écartais franchement le haut. Le sein jaillit, dur, insolent d’érotisme.
Je ne pus y résister, et je me penchais pour le happer avec mes lèvres. Je redécouvrais la sensualité de sucer un sein aussi ronds et ferme. Sa réaction ne se fait pas attendre, et elle insinua sa main entière dans mon bas de maillot. Je mouillais déjà pas mal, mais là, elle déclencha une décharge électrique, proche de l’orgasme.
Les hommes commençaient à se rapprocher doucement, comme si de rien n’était. Trois avaient malgré tout posé la canne à pêche.
Je les matais à travers mes lunettes de soleil. Un semblait déjà bien dur, il me semblait bien voir le haut d’un gland rouge foncé sortir de son short.
Nous nous sommes souris, d’un air entendu. Je tétais avec plus de vigueur encore les seins rebondis de Valentine. Elle fit descendre mon bas de maillot, laissant apparaitre mon abricot lisse et bronzé (je suis toujours nue dans ma piscine….)
Là, les quatre autres mecs ont lâché leurs cannes !
Nous venions de gagner la première manche. Valentine leur fit un petit signe d’encouragement, et ils s’approchèrent, un peu timidement. Pour les décider, elle écarta ma fente trempée de désir, et insinua son majeur direct au fond de mon vagin. Du pouce, elle me massait le clito. Je retins un cri de plaisir, mais quand j’ai vu tous les shorts des pêcheurs prêts à éclater, je jouis une première fois.
L’un d’eux, le plus hardi, que je ne nommerais Thierry, a demandé dans un souffle :
« Je peux venir ?
- Bien sur mon chéri, » lui sourit Valentine, d’un air coquin.
D’un bond, il fut près de moi, et plantait son doigt dans ma chatte, avec celui de ma complice. Je sursautai de plaisir… Un autre compère, Mathias, me regarda d’un air interrogateur, et je l’encourageais à venir. Il se jeta sur l’autre sein de Valentine, comme un chien sur un os !
Celle-ci de coucha à plat dos, alors qu’elle avait le bassin tourné vers moi. Un troisième vicieux, Olivier, se rua vers elle, arrachant presque la culotte bleu azur.
Ca y était, les « hostilités » étaient vraiment lancées !!!
Valentine continuait de me doigter, avec Thierry. Il se pencha pour venir lécher mon bouton tout raide. Je tremblais de plaisir. Bruno, le quatrième larron, vint me dévorer les seins. Ils n’attendaient que ça. Du coin de l’œil, je voyais Valentine les jambes relevée sur les cuisses d’Olivier, offrant ainsi une vue imprenable sur sa grotte, tout aussi trempée que la mienne. Il fourrageait avec délice dans ses chairs mouillées. Elle se tordait de plaisir sous les caresses combinées des deux hommes, et ma bouche.
Mais Michel, le cinquième homme, vint près de moi, et me détacha de ma belle amie, pour me soulever un peu. Il voulait que je le suce. En voyant cette belle queue bandée comme du bois, je le gobais rapidement.
Il eut un spasme, lorsque j’aspirais lentement son gland, avant de l’engloutir au fond de ma gorge. Par bonheur, il n’est pas très long. Je veux ainsi bien le pomper.
Les deux autres pécheurs ont sorti leurs chibres raides de leurs caleçons. Ils se branlent avec force, ne sachant plus où regarder.
Valentine sortit son majeur de ma chatte, et Thierry introduisit deux doigts de chaque main d par et d’autre dans ma fente. Il écarta mes lèvres au maximum, laissant pénétrer le soleil au fond de mon vagin.
J’avais là l’une des choses que je préfère : être écartelée, totalement impudique, offerte totalement à la vue de ces mâles en rut.
Christophe, l’un des « branleurs », se positionna face à moi. Prestement, il enfila une des capotes que nous avions sorties de nos sacs, prévoyantes toutes les deux.
(Pour la suite de l’histoire, je ne le préciserai pas à chaque fois, mais ils ont toujours tous mis des capotes pour nous pénétrer…)
Christophe s’agenouilla, et s’enfonça d’un seul coup de rein dans ma chatte ainsi béante.
La sensation était inouïe ! Thierry n’avait pas retiré ses doigts. Comme ça, je sentais la grosseur de ce pieu, et la chaleur d’une peau. Il accompagnait la bite dans son mouvement de piston. Bruno continuait de maltraiter mes seins, les pinçant, les mordant comme j’aime. Je hurlais pour la deuxième fois un plaisir fort et intense.
Mon baiseur jouit une première fois, se vidant dans un grand souffle de sa semence. Dommage qu’elle soit ainsi perdue….
Cela a du inspirer Olivier, qui en fit autant, forçant la chatte trempée de Valentine.
Philippe, le sixième participant, ne pouvait laisser un orifice de libre. Il se mit en appui au-dessus de la jeune femme, comme pour faire des pompes. Il faut dire qu’il était vraiment très musclé, et il proposa sa verge noire devant la bouche ouverte. Elle le happa tout come moi, le pompant avec avidité.
L’orgie était totale, et dans un éclair de lucidité, je priais le ciel que personne n’arrive ! En tout cas, pas d’enfants !!!
Je regardais ma complice du jour, et je constatais que Mathias, tout en lui dévorant les seins, lui massait son petit bouton, accentuant ainsi son plaisir. J’entendis un cri plus fort que les miens déchirer l’air transparent : Valentine hurlait son plaisir, sous les coups de boutoir d’Olivier. Ce dernier poussait des soupirs de bûcheron, ahanant sous la poussée forte qu’il lui imposait. Le jeune homme se retira, laissant la place à une Valentine qui cirait : « Baisez-moi encore, je veux de la bite ! »
Elle était déchainée !
Charles, qui était resté spectateur, ne se le fit pas dire deux fois. Il était le plus membré du groupe, pourvu d’un large organe, long et qui touchait son nombril. Un joli morceau que je souhaitais aussi venir me baiser à fond… Il se protégea et vint illico remplir la place laissée libre pas son copain. Du coup, Elle pompa avec une agilité éprouvée la bite.
Thierry, toujours très « manuel », attrapa le gel de silicone et s’en enduisis la main. Le salaud, il voulait me fister ! Je n’ai jamais fait ça de ma vie.
A la vue de qui se préparait, Michel se lâcha dans ma bouche, déversant une crème chaude dans ma gorge. Aussitôt, je l’attrapais, pour le forcer à m’embrasser. En général, les hommes n’aiment pas trop…
Mais là, il s’est laissé faire de bonne grâce.
Moi, j’adore !
Je ne restai pas la bouche vide très longtemps. Bruno s’agenouilla, me souleva la tête, et me facilita ainsi la fellation. Il était court, mais épais. Je l’enfournai sans autre forme de politesse.
Valentine, besognée par Charles, aspirait toujours goulument Philippe. Sous ce traitement de choc, il jouit à son tour, inondant la bouche de sa suceuse d’un épais foutre tiède.
Surprise, je vis Michel se précipiter pour avaler goulument le sperme juste « tiré ». Je me dis qu’il devait être bi…
Mais j’avais aussi la tête ailleurs, et quand je dis « la tête »…
Thierry avait commencé son fist, m’introduisant progressivement quatre doigts dans ma chatte. Quand il était au fond, il les agitait, et cela me procurait des sensations incroyables ! Il m’écartait de plus en plus. Les hommes qui avaient déjà joui se réunirent pour le regarder commencer son incroyable progression.
A coté, Charles achevait Valentine en la pistonnant en levrette. Ses larges mains noires dénotaient à merveille sur la peau ultra blanche de la jeune femme. Il crispait ses phalanges pour mieux la posséder. Elle donnait de grands coups de bassin, pour mieux se sentir envahie par le gros morceau de chaire rude et brune. Elle jouit encore, s’affalant sur le la pierre, sous l’ultime poussée de son amant de l’instant. Ils crièrent ensemble, à tel point que nous sommes arrêtés net quelques secondes.
Thierry en profita pour attraper le gel de silicone, pour lubrifier sa main… Je me sentais totalement écartelée… Je dus stopper ma fellation, j’avais besoin de me concentrer que ce qui m’arrivait. Bruno, compréhensif, continua de se branler tout seul en s’approchant du spectacle que j’offrais à ces messieurs.
A suivre, si vous le souhaitez !
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Ah ça me rappelle mes vacances au cap d agde
Pal mal. Il y a juste le fait que des pêcheurs aient tous une capote sur eux qui soit louche.
hummm en voila des sacres gourmandes qui doivent pas etre à leur premeire excitation de male ni surment leur derneires vivement la suite de leur aventure en commun
Je ne doute pas qu'il reste des trous à remplir.
Sophie, racontez nous ça