Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une discussion sur Docti mène à tout....
Avec Hélène, une profonde complicité s'était installée, au fil des semaines et des mois. Bien au-delà de nos fantasmes, nous échangions sur nos vies, nos frustrations et nos joies aussi.
Mais, surtout ce qui était de plus en plus saillant, c'était une attirance mutuelle qui grandissait. De confidents, nous plaisantions en nous projetant sex-friends... Tous deux, nous avions nos familles respectives, que nous aimions, et nos conjoints, auxquels évidemment nous tenions également malgré les difficultés. Mais tous deux avions une soif d'interdit, de recherche de jouissances nouvelles... d'évasion à travers une relation secrète et convenue.
Nous nous poussions l'un l'autre à pousser nos limites, à réviser nos définitions de ce qui était réalisable et non réalisable.
J'avoue que je travaillais d'arrache-pied pour pousser Hélène dans deux directions :
- d'une part mettre en pratique ses désirs de soumission,
- et d'autre part à tenter tout de même quelque chose dans le fantasme le plus puissant chez elle, une expérience avec un chien.
Je savais pertinemment que ce dernier désir la rongeait, et qu'à un moment le déclic se produirait. D'autant qu'ayant un chien, elle jouirait d'une discrétion totale assurée.
De son côté, je sentais bien qu'elle m'attirait vers des fantasmes moins softs, surtout moins censurés. Et de préférence envers elle. Pas si rarement, elle m'écrivait au détour d'une discussion qu'elle s'imaginait prendre mon sexe dans sa bouche, ou me demandait si je m'imaginais m'enfoncer en elle, sentir ses entrailles se contracter autour de mon membre... Cela en restait là la plupart du temps.
Une étape fut néanmoins franchie lorsqu’Hélène accepta de se soumettre à un petit jeu, une forme de défi de ma part. C'était un moment où je la sentais prête à basculer de l'autre côté de la vertu. Un moment où à force d'échanger sur nos fantasmes les plus hardis, à longueur de MP, et bien ceux-ci commençaient à nous paraître normaux, ordinaires.
Avant notre correspondance, nos fantasmes respectifs étaient très exactement les garants de notre morale. Je me souviens bien d'un échange avec elle à ce sujet: c'était ces fantasmes par leur caractère tabou qui définissaient les champs du possible, la morale. Et non le champ du possible qui, par ses limites, traçait la ligne de démarcation avec le fantasme. Nous en étions au stade où cette ligne même disparaissait. Nous en convenions tous deux.
Comme la situation me plaisait, je décidais alors de concrétiser certains de mes désirs. Par exemple j'ai toujours un peu fantasmé à l'idée de voir ma femme s'exhiber ou faire des choses avec un autre homme. Et bien je projetais un peu Hélène dans ce rôle...
Je lui proposais de prendre les transports en commun, habillée sexy et surtout sans culotte... Quelle affaire ! et rien de plus en fait. Mais pour nous, quel pas en avant ! Surtout je voulais qu'elle me raconte toutes ses sensations.
Je ne fus pas déçu. Elle me fit part de son hésitation et de son appréhension, car elle sentait bien qu'en acceptant cela, elle entrait dans une spirale qu'elle ne contrôlerait pas forcément.
Très mal à l'aise au début, elle finit par oublier la situation et décroisa puis recroisa ses jambes. A ce moment un homme plutôt agréable physiquement aperçu le plus improbable : sa vulve une fraction de seconde. Sa toison délicatement frisée lui apparut en flash ! Consciente de l'effet, Hélène lui fit don de quelques flashs encore avant qu'elle ne doive sortir du bus. Elle se rendit compte qu'elle aussi n'avait pas été épargnée par les effets de son exhibition : son ventre était serré et une flamme chaude dansait en elle. Humides ses lèvres se décollaient et s'était légèrement éloignées l'une de l'autre. Hélène était juste excitée, une profonde envie de sexe, un désir de se sentir envahie par un membre étranger la taraudait. Cette sensation ne devait plus la lâcher de la journée.
Et c'est à ce moment que je décidais de lui soumettre la lecture d'un récit érotique, à son poste de travail. Au fur et à mesure qu'elle progressait dans le récit, je voulais qu'elle me fasse part de son état, de la cyprine qui s'échappe de son minou... bref je voulais tout savoir. Le récit provenait du site revebebe.free.fr et s’appelait : « Dans le noir, tout est permis »... Un récit comme je les aime, en biais, progressif.
Ce que je voulais, c'est que sa main descende vers son minou et que ses doigts y plonge. Je ne guettais qu'un mot dans ses MP : orgasme!
Je savais qu'Hélène ne devait pas être trop occupée aujourd'hui à son travail, donc j'avais bon espoir qu'elle lise le texte. Il faut battre le fer tant qu'il est chaud ! Et chaude, elle l'était, malgré le désarroi que lui inspirait son expérience dans le bus.
Elle arriva donc au bureau avec l'envie impérieuse de me raconter ce qu'elle avait fait, la jupe, les Dim up, ce jeu avec cet inconnu... et cette chaleur dans son ventre.
Habitée par le désir, elle était rougissante d'embarras et son regard fuyait celui de ses collègues. Elle se vissa devant son PC et me fit un compte rendu de la situation. Peu détaillé, mais je savais qu'elle l'avait fait et qu'elle mouillait abondamment désormais. Elle accepta immédiatement de lire le récit tout en correspondant avec moi.
Je voulais rester moi-même, et ne pas me transformer en une sorte de pervers on line, mais je rêver de la pousser un peu plus loin. Je lui demander si son état n'appelait pas une jouissance immédiate ? Pour la soulager ?
Je parvins à la convaincre de jouer ce petit jeux: son esprit lisait le récit, sa main était la mienne et devait obéir. Maitre de la situation, je la faisais se promener sur sa poitrine, son ventre... se rapprocher de la source de son nectar.
Mais Hélène se ressaisit. Non pour interrompre notre jeu, mais pour lui donner une dimension supplémentaire.
Elle me demanda si je bandais ?
Réponse : oui.
Si de la savoir si chaude et humide m'excitait ?
Réponse : oui.
Alors elle me demanda de jouir avec elle.
Réponse : ….
J'étais à mon bureau, plutôt tranquille, mais avec un certain passage autour de moi. J'étais en feu mais je me demandais si le feu en valait la chandelle.
Réponse OUI. Je me jetais à l'eau.
Je savais que la poche de mon costume était trouée, alors j'y enfouis ma main et mon index vint au contact de mon caleçon et passa derrière le textile. Mon sexe était lui aussi mouillé de désir.
Le doigt lubrifié de présperme, je faisais de discrets petits cercles sur le frein. J'avais choisi mon mode opératoire pour m'amener à la jouissance, mais je savais que ce serait assez long d'y parvenir de cette manière.
De son côté Hélène avait écarté ses jambes et ses doigts, eux aussi, étaient trempés de son jus... ils progressaient irrésistiblement vers ses entrailles. Hélène devait se soulever de plaisir et d'excitation. Le monde n'existait plus.
Mais Hélène se ressaisit. Non pour interrompre notre jeu, mais pour lui donner une dimension supplémentaire.
Hélène m'écrivait où elle en était dans le récit... qu'elle s'imaginait être à la place de cette fille... et qu'elle m'imaginait à la place de ce garçon... Tout s’entremêlait : les références au texte, ses sensations, et la besogne de ses doigts, de sa cyprine qui coulait abondamment...
De mon côté, chaque MP reçu faisait battre mon cœur un peu plus vite, et j'exerçais une plus grande pression de mon index sur mon frein. Je remontais vers le méat chercher un peu de lubrifiant, et redescendais vers des zones plus sensibles.
Alors que tu me disais sentir ton minou se resserrer sur tes doigts, je ressentais également les premières contractions de mon membre indiquer que j'entrais dans une zone proche de l'orgasme.
Je ne laissais rien transparaitre de mon état, mais pour cela, j'étais en quasi apnée de peur que ma respiration ne me trahisse. Cela décuplait d'autant le plaisir. Mais le plus dur était de reprendre sa respiration de façon silencieuse...
Puis Hélène me dit qu'elle avait fini. Fini quoi ?
« Le récit, répondit-elle...
- Et alors, as-tu joui en te caressant ? » lui demandais-je.
Pas de réponse.
Hélène avait bien compris mon jeu, et le renversa à son avantage. C'est elle qui reprit alors les rênes de l'échange et me demanda où j'en étais. L'incertitude quant-au fait de savoir si oui ou non elle avait jouis rendait la situation troublante.
Elle m'écrivit qu'elle voulait que j'éjacule maintenant. Je me demandais si je devais m'exécuter. Le plaisir était tellement pressant que je toute manière je me dis, allons-y!
Un coup d'œil circulaire pour vérifier que personne n'était susceptible de me déranger -et surtout de me surprendre- et j'accélérai mes cercles sur mon frein comme une femme exciterait son clitoris.
Cette masturbation durait depuis près d'une demi-heure, et elle se déboucla en une puissante éjaculation. Mais du fait de la durée, l'orgasme fut long et linéaire. Je sentais mon sexe pulser abondamment dans mon caleçon... c'était un orgasme fantastique !
Je l'en informai. Hélène semblait très satisfaite. Elle me dit qu'elle-même avait fini par jouir...
Dans ce genre de situation, pour un homme, la suite est un peu moins érotique. Eh oui ! passé l'orgasme, l'on sent le « précipité » de notre masturbation refroidir et souiller notre caleçon... Il faut alors cheminer rapidement, en crabe, vers les toilettes afin de nettoyer tout cela et d'empêcher le sperme de percer à travers le pantalon.
Nous n'avons repris contact qu'une heure après.
Une heure après donc, chacun avait bien repris ses esprits et analysé la situation. Nous avions bien conscience d'avoir fait quelque chose de « pas bien ». Mais en toute franchise, ce jugement portait surtout sur le fait de l'avoir fait au bureau et de s'être mis en danger professionnellement. Nous étions bien loin cependant de trouver cela condamnable moralement.
Là où Hélène avait évolué finalement, c'est qu'elle relativisait cela en considérant que ceci n'avait été que purement virtuel. En aucun cas, nous ne considérions cela comme une incartade et encore moins une relation.
Cela dit, nous avions bien conscience que cet événement avait quelque chose de « fondateur » dans notre relation l'un à l'autre. Que nous le voulions ou non, nous avions interagit l'un sur l'autre. Et cela avait débouché sur du plaisir sexuel. Était-ce si neutre ? Jusqu'où cela pourrait-il nous mener ?
Depuis cette journée, quelque chose d'irrépressible semblait s'être mis en branle, comme si nous avions décidé d'aller au bout de nos fantasmes. La frustration que nous avions l'un et l'autre accumulée dans nos vies respectives était telle, qu'elle se libèrerait par un phénomène de catharsis, peut-être limité dans le temps, mais certainement intense.
Je cherchais un angle, quelque chose d'intéressant à proposer à Hélène et qui lui paraisse réalisable. Dans ma tête, j'avais mille idées pour elle. Laquelle lui suggérer ?
Cette indécision dura un certain temps, pendant lequel nous échangions quotidiennement sur nos premières expériences, premiers orgasmes, découverte de la masturbation, etc. Bref, des discussions assez adolescentes, en fin de compte.
Tout de même, je lui avais fait lire plusieurs récits zoophiles mettant évidemment une femme bien sous tous rapports, et qui se mettait à avoir des relations avec leurs chiens. Cela ne manquait pas de l'exciter et Hélène me racontait avec force détails - et à ma demande - l'effet que cela lui produisait.
Nous tchations ensemble, et au détour de la discussion Hélène me dit qu'elle était seule chez elle. Je lui demandais alors si le moment n'était pas venu pour elle d'essayer quelque chose avec le chien ? Elle me dit qu'elle ne savait pas... qu'elle ne savait pas quoi faire... résistance molle face au fantasme : elle ne savait pas quoi faire, mais faire, oui ! J'étais aux anges et terriblement excité. D'ailleurs ces dernières semaines, je ne bandais guère que pour elle...
Hélène se décida donc à sauter le pas. Ce qu'elle fit, c'est simplement d'ôter sa culotte et de remonter sa jupe. Affalée sur le canapé, elle offrait son sexe à la vue du chien. Les jambes légèrement écartées, j'imaginais son minou recouvert d'un tendre pubis, se grandes lèvres ouvertes laissant apparaître les petite lèvres, si finement ciselées. Elle souleva alors son bassin, pour mieux présenter son entrejambe à son chien. Ce dernier approcha sa truffe de la chatte d’Hélène qui était tout tremblante d'excitation.
Le chien ne s'intéressa pas réellement à son fruit, et finit par s'éloigner. Hélène était soulagée, car elle ne se voyait pas encore le faire. Elle resta un certain temps seule sur le canapé, le sexe à l'air et un filet de cyprine perlant le long de sa cuisse. Mais elle ne s'avouait pas vaincue, mue par une force, un instinct archaïque qui lui viendrait du fonds des âges : elle entreprit de s'intéresser au sexe de l'animal.
Hélène se redressa sur le canapé, les jambes toujours écartées, si un homme avait eu la chance et l'honneur de se trouver en face, il aurait à ses yeux "l'origine du monde" dans sa plus belle expression...
Depuis toutes ces années, Hélène ne s'était jamais posé la question de savoir à quoi pouvaient ressembler les organes génitaux de son chien. A vrai dire, elle était à des milliers de kilomètres de s'imaginer qu’une femme puisse prendre du plaisir avec un animal. Mais elle avait changé.
Il y avait encore quelques mois, Hélène était une jeune mère de famille prude et presque naïve. Son horizon se limitait à son couple, ses fantasmes les plus fous... n'allaient pas bien loin. Avec tristesse, elle se rendait compte que cette époque était révolue. Les incartades de son mari avait fêlé cette harmonie et peu à peu, comme un virus, se répandaient en elle des idées impures.
Hélène était désormais initiée. Initiée à ce que la nature humaine peut renfermer de plus sombre. De ses vagabondages sur l'Internet elle avait appris que des hommes donnent leurs femmes à d'autres et s'adonnent au spectacle. Elle avait lu les confidences de femmes adultères, s'était laissée griser par les avances d'hommes masqués derrières les pseudonymes les plus secrets.
Elle avait fait le tour des perversions, et celles-ci coulaient imperceptiblement dans ses veines, et gagnaient son système nerveux, commandaient son bas-ventre, diffusaient une suave chaleur là où cela fait du bien. Sans qu'Hélène ne s'en aperçoivent, elle se rapprochait du miroir... et sans qu'elle ne puisse revenir en arrière, elle finira par passer de l'autre côté. Le virtuel s'était immiscé dans la réalité des choses.
Et ce moment où Alice passe de l'autre côté du miroir était là. Il était venu à elle. Et j'en étais le témoin à travers ses messages. Il parait qu'un homme qui se noie voit toute sa vie passer en quelque secondes. C'était un peu ce sentiment qui l'habitait au moment où elle s'apprêtait à explorer l'intimité de son chien. C'est tout le cheminement qui l'avait amené au fantasme zoophile qui défilait dans son esprit.
Elle hésita, puis s'accroupit sur ses jambes de coton au-dessus du chien. Il était joueur et se mit sur le ventre à la recherche de caresses.
Hélène le flatta et sa main arriva enfin au contact de son fourreau. Elle avait lu de ne pas toucher ses testicules, ce qu'elle ne fit pas. A travers la fourrure du chien, ses mains faisaient des vas et viens sur sa tige et, miracle le bout pointu, rose vif, émergea.
Son cœur se mit à battre la chamade soudainement, elle réalisait ce qu'elle faisait... déjà le chien commençait à suinter un liquide translucide, elle passa son autre main sentir le nœud se former. Ce qu'elle avait lu était donc vrai...
Elle était tellement prise, qu'elle n'avait pas l'impression d'être excitée sexuellement, pourtant lorsqu'elle passa sa main sur sa fente, elle réalisa qu'elle ruisselait de mouille... elle fut prise de tremblements, sa fébrilité était à son comble. Ses mouvements s'accéléraient et le chien, la langue pendante, respirait bruyamment. Désormais le présperme coulait abondamment et de façon continue, quelle quantité !
Elle ne put résister à la tentation de s'en humecter les doigts... pour en tester la consistance visqueuse... et puis elle hésita, et amena sa main à son minou... elle appliqua de ce nectar tout le long de sa fente. En se retirant, sa main était plus mouillée de son jus que de celui de son chien.
Elle recueillit dans la paume de sa main un peu plus de ce liquide, puis l'appliqua à nouveau à son sexe....
Enfin le chien se mit à éjaculer, le sperme était plus épais... il pulsait sur la poitrine de l'animal. Au comble de son excitation, elle le recueillit à nouveau et malaxa brutalement sa chatte avec.
Elle aurait aimé jouir sur le champ, mais le temps pressait, et elle se rendit compte qu'il ne lui restait qu'une dizaine de minutes avant qu'elle ne soit plus seule chez elle. Il fallait qu'elle nettoie le chien.
A suivre...
Signé : Tony Blair
- Commentaires textes : Écrire
Baise express sur le parking...
Sur un forum consacré aux baises express avec des inconnus, un participant m’a demandé si cela m’arrivait souvent. Vous, vous le savez, car vous avez déjà lu certaines de mes histoires.
Mais la semaine dernière, il m’est arrivé une nouvelle aventure totalement inattendue.
Certains le savent, il n’y avait plus de net dans ma région depuis le 7 juillet. Il fallait donc parfois échanger certains documents « en vrai » avec des clients, le net ne permettant plus de le faire.
Il y a quelques jours donc, j'ai eu un rendez-vous pro avec un homme inconnu, pour le compte de mon boss. Pour plein de raisons, on a du se retrouver pour échanger nos dossiers sur un parking. Désert, le parking, car il était 18 heures 30. Je précise qu’ici, à cette époque, il fait nuit à 19 heures…
J’arrive en voiture de mon coté, lui aussi. Le mec était banal, pas mon genre.
Il a commencé à pleuvoir, et nous sommes montés dans sa voiture. Vu ma position en travers du siège, quand je me suis tournée vers lui pour continuer notre discussion, j'ai eu le sein qui a jailli de mon décolleté. Il l'a bien sur remarqué, malgré la pénombre. La nuit était presque tombée. J’ai voulu me rajuster, mais il a arrêté mon geste en attrapant mon poignet vigoureusement. Surprise, j'ai voulu protester. il m'a dit aussitôt :
« Vous portez un string, et vous êtes épilée, je me trompe ? »
Je ne pus que dire faiblement : « Non, vous ne vous trompez pas. »
Et sa question, plus sa main qui enserrait mon poignet, mon sein presque entièrement à l'air... Ça m'a subitement excitée. J'ai baissé les yeux vers lui, et j'ai vu qu'il bandait sous la toile fine de son pantalon.
Là, je me suis sentie liquide.
il a lâché mon bras, et fini de sortir mon sein. Le téton était dur d'excitation. Il s'est penché et l'a aspiré. Je mouillais comme une folle. Pourtant, je ne connaissais ce type que depuis dix minutes à peine, et il n'était même pas mon genre de mec !
D'une main, il a malaxé mon autre sein, de l'autre, il a soulevé ma jupe ample pour glisser très vite un doigt sous mon string. Il a poussé un grognement animal, et a voulu se pencher pour me lécher. Gêné par la position dans la voiture, il s'est subitement levé, sorti de la voiture, et a ouvert ma porte. Il m'a fait pivoter, une jambe sur le dossier, l'autre sur le tableau de bord.
Il s'est reculé, visiblement satisfait du tableau totalement impudique je lui offrais... j’avais les jambes grandes ouvertes, le string de coté, mon abricot bien gonflé et affamé à l’air
Et soudain, il s'est mis à genoux, et a dévoré ma chatte à grands coups de langue, de dents, de lèvres baveuses. Il m'a littéralement mangée. J’ai joui très vite, trop vite, une première fois.
Mais le comble de l'extase a été atteint quand un vigile qui surveillait le bâtiment voisin s'est approché, sans doute alerté par mes cris. Il s'est mis juste à côté de l'aile. Comme il frottait son pantalon, fidèle à moi –même, je lui ai dit : « Branle-toi".
Même pas surpris, il a obéit et a sorti sa bite de taille honorable de son pantalon d’uniforme. Il s'est branlé en regardant mon inconnu me lécher la chatte à fond.
Il murmurait de temps autre : « Putain, la blanche, elle est bonne, elle est trop bonne à baiser… »
Ce genre de phrase a le don de m’exciter d’avantage encore ! J'ai à nouveau joui en lâchant pas mal de cyprine dans la bouche du gars.
Il m'a alors dit : « je vais te baiser à fond ! »
Il a sorti rapidement une capote de son portefeuille, m'a fait me retourner en levrette, à quatre pattes sur le fauteuil passager, les bras sur celui du conducteur. Il m'a enfilée sans ménagement. Mais j'étais tellement trempée qu'il est entré comme dans du beurre. Le vigile, qui n'a pas perdu son temps, est venu devant moi. Il a pointé sa belle queue devant ma bouche. Tout naturellement, Je l'ai sucé au rythme des coups de boutoir de mon baiseur. Il a fini par jouir par terre, pendant que l'autre déversait son foutre dans la capote. Il a joui si fort que je l'ai senti à travers le latex.
J'ai demandé au vigile de venir me « nettoyer », d'avaler toute la mouille qui collait sur ma chatte et mes cuisses. Il a accepté, et il m'a fait jouir encore.
Le tout a duré trop peu de temps, mais c'était intense et hyper jouissif.
Voilà, ce mec ne m’inspirait pas plus que ça… Mais la situation a tout fait… Je ne pensais à rien avec lui, et enfin de compte, il m'a super bien baisée !!!
Par contre, je n'ai pas envie de le revoir. C’est la situation qui m'a fait avoir envie de lui...
- Commentaires textes : Écrire
Une orgie improvisée de fellations
Ma soirée du samedi 16 octobre...
Mon homme est parti tôt le matin, pour aller voir un match de rugby en Irlande. Étant Toulonnais de naissance, il avait mis au point cette escapade irlandaise avec ses amis d'enfance de Toulon, et ne rentrerait que tard dimanche soir.
Profitant de ce célibat forcé, nous avons convenu avec mes deux amies de nous octroyer un petit resto pour la soirée.
Audrey, qui est mariée à un fana de foot, était elle aussi seule, et elle avait récupéré Magali, qui malgré plusieurs tentatives de vie commune, était encore célibataire, avant de passer me prendre à la maison.
Une fois les bises joyeuses échangées, direction le centre ville, où Audrey avait eu des échos élogieux sur un resto asiatique.
Magali, comme à son habitude, était vêtue avec gout une petite jupe légèrement ample, longueur juste au dessous de la mi-cuisse, un chemisier blanc assez cintré, les jambes gainées de voile noir, et de fins escarpins lui donnait une allure vraiment féminine que terminait un petit blouson de cuir.
Audrey, portait un ensemble veste pantalon qui épousait son fessier, attirant le regard, sur un petit pull fin décolleté en v.
Quant à moi, j'ai choisi une petite jupe courte tout au plus m'arrivant à mi-cuisse, un sous pull moulant manches longues en voile noir ras de cou, une veste noire façon spencer, fermée par trois boutons me faisant un joli décolleté profond, sans trop montrer ma poitrine. Enfin, comme dessous juste un petit string noir en tulle brodé une paire de dim up noir et des escarpins ouverts, talons fins et hauts et une fine semelle.
Le repas a été excellent, et à la fin du repas Audrey nous propose, vu l'heure, d'aller prendre un verre dans un bar musical, il n'est à peine vingt deux heures, et son mari ne rentrera pas du match de foot avant une heure du matin. Nous voila parties dans les petites rue du centre-ville. Nous rions du regard de quelques hommes croisés. Il faut dire que nous sommes tout près du quartier chaud, rien de comparable avec celui de Pigalle, mais on y trouve quelques sex shop, des bars un peu chauds, des clubs échangistes et quelques prostituées officient dans ces ruelles, ainsi que quelques boites où le client est accueilli par des entraîneuses.
En remontant la rue, nous arrivons devant l'enseigne d'un café concert. Aucune de nous connaissant cet établissement, nous décidons d'entrer, Maga et Audrey laissent blouson et veste et sac à main au vestiaire. Moi, je me déleste juste de mon sac, mon sous pull étant trop transparent pour que je puisse me séparer du spencer. À l'intérieur un grand comptoir avec tout le long des tabourets hauts, devant un espace vide pour danser et autour des tables rondes hautes et tabourets hauts. On s'installe à l'une d'elle. Après le tour d'horizon de la petite quarantaine de clients, je remarque qu'il y est essentiellement masculin, et dans sa majorité à connotation des iles. La musique le confirme puisqu'il s'agit de reggae.
Audrey va nous chercher les consos au comptoir, punch pour Maga et moi et jus d'orange pour Audrey qui ne boit jamais d'alcool et qui de plus conduit.
Nous passons un moment à discuter et échanger nos points de vues sur les personnes présentent dans le bar aussi bien homme que femme, comme le dit le dicton, « certains sont habillés pour l'hiver ».
On en était là quand deux antillais, l'un métis et très bel homme, viennent nous demander si ça nous dérageait pas qu'ils s'assoient à notre table et nous offrir un cocktail. C’est Maga qui répond de façon collégiale en acceptant l'offre. Faut dire que ce métis nous avait déjà pas mal fait user nos salives…
Quelques minutes après ce n'est pas deux, mais cinq antillais qui viennent s’installer à nos cotés, une table et chaises sont rajoutées à la nôtre et en deux temps trois mouvements, nous nous retrouvons chacune entourée par deux gars. Les cocktails sont devant chacune, du jus de fruits pour Audrey et alcoolisé pour Maga et moi. Le joli métis s'est assis à coté de Maga. nous faisons connaissance et ainsi Francky et Manu (le métis) entoure Maga, Joe est à coté d'Audrey, Charly et Gus (Gustave) du mien.
Le cocktail est délicieux, mais certainement traitre, c'est ce que me dit Gus en prétendant que les cocktails antillais rendent les filles insouciantes, belles et heureuses.
Je lui réponds en souriant : « Et pour qu'elles vous tombent plus facilement dans vos bras ! »
Nos compagnons sont de bonnes compagnies, nous rions de bon cœur à leurs plaisanteries. De temps en temps, un bras passe dans mon dos, pour me prendre la taille quand j'éclate de rire. Il doit en être de même pour mes deux amies, car je vois Audrey chasser la main audacieuse, Maga, tout comme moi, ne semble pas dérangée par ces gestes.
Audrey, propose d'aller danser, certainement seul moyen qu'elle a trouvé pour se soustraire à la fougue de son prétendant. Pour lui rendre service, mais aussi je vois là le moyen de pouvoir m'approcher de Manu, qui je l'avoue ne me laisse pas du tout insensible, loin de là !
Aussi sec, je me lève, et suivie de mes deux chevaliers servants qui entraînent le reste de la tablée vers la piste de danse. La musique un genre de hi-pop reggae, ce n'est pas ma tasse de thé mais ça fera l'affaire. Tout en dansant, je m'approche de Manu, je suis tout près de lui de dos et lentement je viens me coller contre lui, mes fesses bien plaquées contre son bas ventre. j'ondule du mieux que je peux et comme le permet le rythme de la musique. mais contrairement à ce que je m'attendais, il ne pose pas ses mains à ma taille, reste impassible hormis la grosseur que je sens croitre contre mes fesses, je me frotte de plus belle contre lui, ce manche qui prend du volume me fait de plus en plus envie. je pose mes mains sur ses hanches, je le tiens fermement appuyé contre moi. mais toujours aucun geste de sa part, et pire le morceau se terminant, je le sens se dégager...
un autre morceau s'enchaine et je le vois se placer derrière Maga, l'attrapant par les hanches la guidant au rythme de la musique. il s'en rapproche pour finir par se coller à elle. je dois me faire à l'idée que je suis moins à son gout que ma copine... tant pis peut être plus tard j'aurai ma chance, je ne compte pas laiser tomber. après quelques minutes de plus passées sur la piste durant lesquelles Charly et Gus se collèrent plus ou moins à mes fesses, on retourne s'asseoir. les verres sont à nouveau remplis de cet excellent breuvage dans lequel l'alcool se dissimule derrière les saveur de jus de fruits.
je remarque que le chemisier de Magali est bien plus largement ouvert, la dentelle de son soutien gorge est en partie visible, et cela ne semble pas la déranger. Manu à ses cotés est de plus en plus entreprenant.
Gus n'est pas en reste, il a passé son bras à ma taille et me rapproche de lui pour trinquer en croisant nos verres. J’ai du, pour cela, un peu tourner mon buste et se mouvement fait bailler un peu plus ma veste. je remarque son regard qui plonge sous le revers. le verre terminé il me dit :
« Très charmant ce que vient de montrer l'échancrure de ta veste !
- Ah bon ? » je lui répond dans un sourire.
Alors, je vois Manu en train d'embrasser en pleine bouche Maga qui a l'air de bien apprécier. La main de Manu glisse sous le chemisier et emprisonne un sein dans sa main, se trouvant certainement gêné par le vêtement, il défait deux boutons de plus du chemisier dévoilant aux yeux de la tablée et de quelques clients dans la bonne perspective, le sein de Maga juste voilé de la fine dentelle transparente du bonnet de son soutif. La main revient aussitôt sur le mamelon le caressant avidement.
Ce qui vient de se passer incite Gus à plus de témérité et tout en soulevant le revers de ma veste me dit :
« c'est vraiment dommage de cacher de si jolis seins. »
Avec un brin d'ironie je lui répond :
« Ils ne sont pas si bien cachés que cela, puisque tu as pu les voir… »
Toujours la main de mon voisin bien calée à ma taille, mon autre voisin me dit :
« j'ai remarqué que tu ne détestais pas danser collé-serré, dès qu'il y aura un morceau de biguine, je t’emmène danser. »
Je n'ai pas eu à attendre bien longtemps un morceau genre lambada raisonnait dans les enceintes du bar. Me voila aussitôt entraînée par Charly vers la piste. Je me retrouve collée à lui, sa cuisse passant entre les miennes, une main au bas de mon dos les doigts débordant sur le début d'une fesse, seins écrasés contre son torse, le menton sur son épaule. Il me guide bien, j'ai pas vraiment de mal à suivre ses pas. Tout en dansant il dépose de petits baisé sur mon cou. Je ne lui oppose aucune résistance, je le laisse faire, cela m'amuse autant que ça me plait.
Magali et Audrey m'ont rejointe sur la piste la première dans les bras de Manu, la seconde dans ceux de Joe, je vois que Manu a carrément posé sa main sur les fesses de mon amie, alors que Joe semble plus timoré que son copain.
Les doigts de Charly glissent juste un peu plus sur mes fesses. dans le faisceau de mon regard j'ai la vision de Maga et Manu entrain de s'embrasser avidement, leur lèvres semblent comme soudées. C’est alors que Gus vient vers nous en demandant à Charly de lui laisser sa place. Complaisant, il accepte, et me voila dans les bras de Gus, il me serre contre lui encore plus que Charly, mes seins sont carrément écrasés contre son torse, sa cuisse vient profondément entre les miennes, et sa main se plaque sur mes fesses, bien au milieu.
Tout en dansant, j'observe Maga. Elle laisse son cavalier la caresser, devant mes yeux ils s'embrassent en plein bouche, un baiser passionné, tant ils en oublient de danser. Tous sont deux immobiles, la main de Manu s'activant sur les fesses de ma copine, et son autre main emprisonnant un sein.
Mais cette vision ne me laisse pas insensible, je sens ce fourmillement familier et au combien plaisant prendre forme au bas de mon ventre. Pour augmenter cela, je sens les lèvres de Gus sur mon cou déposant de petit bisous électrisant, c'est alors que je vois Magali s'approcher de nous, son chemisier grand ouvert laissant à la vue un sein juste voilé de la dentelle de son soutif qui me dit du bout des lèvres façon cinéma muet :
« on revient.....»
Je ne réponds même pas, je cligne seulement des yeux avec un tout petit hochement de tête. Elle fait demi tour et rejoint son compagnon, ils traversent la salle, elle son sein toujours aussi découvert, certainement direction les toilettes. Je l'envie de ce qu'elle va y faire. C’est alors que Gus me souffle à l'oreille :
« Elle va pas être déçue ta copine, tu l'envies pas ? »
Mais il ne me laisse pas le temps de répondre, que déjà sa bouche est sur la mienne. nos langues s’emmêlent, tourbillonnent... c'est bon ! La main de Gus sur mes fesses s'est faite plus audacieuse, je sens les doigts qui glissent sur ma raie, et ce baiser qui dure qui nous coupe le souffle. Enfin nos lèvres se désunissent et Gus me dit :
« Viens allons nous asseoir. »
Une fois assis, nous nous embrassons à nouveau, sa main glisse dans mon décolleté, empaume un sein, le caresse doucement, un doigt joue avec mon téton tendu. Certainement par manque d'aise, il défait les boutons de la veste et écarte les pans offrant à la vue ma poitrine à peine voilée par le tulle du tee shirt, et me dit en décollant juste ses lèvres des miennes :
« Franchement c'était vraiment dommage que tu caches de si jolis seins. »
Et il ressoude sa bouche à la mienne. Notre baiser est interrompu par l'arrivée de Charly qui revient les mains chargées de verres pleins. Après les avoir déposés sur la table, il s’assoit, et d'un air consterné il dit :
« Voila c'est toujours pareil, c'est moi qui fait les avances, et c'est Gus ensuite qui en profite ! »
Je me tourne vers lui, me rapproche, je lui prends sa main que je pose sur le haut de ma cuisse tout en lui disant :
« Mais je vais réparer cela, je ne déteste pas être partagée ! »
je soude ma bouche à la sienne, nos langues s'enroulent et se déroulent, je pose ma main sur sa braguette pour constater que le Charly n'est pas du tout insensible à ma personne. Je masse la protubérance qui grossit, je décolle mes lèvres pour lui souffler juste avant de réunir nos lèvres :
« Caresse-moi la chatte, j'en ai envie. »
La main qui semblait jusqu'à présent timide, se fait du coup bien plus audacieuse, la main remonte à l'intérieur de ma cuisse retroussant au passage ma jupe, les doigts frôlent mon entrejambe, découvrent certainement l'humidité dont se sont gorgées les mailles de mon string. Puis, il suit les contours de ma fente au travers du fin tulle du string. Je ne peux retenir quelques petits soupirs. Que cette caresse est agréable et déclenche dans mon ventre une onde de plaisir !!!
Je me force pour quitter la bouche de Charly et reprendre une attitude plus décente, mais tout en buvant le verre apporté par Charly, j'embrasse alternativement mes deux prétendants qui ne cessent de caresser cuisses poitrines et bien sur sans oublier ma chatte. Je dois avoir une position pour le moins impudique avec les cuisses ouvertes, veste écartée sur mes seins, et ces mains qui ne cessent de me peloter.
Magali et Manu reviennent de leur escapade intime, le visage de Maga reflète le plaisir qu'elle a pris. Audrey qui, entre-temps, était revenue s’asseoir suivie par ses deux cavaliers, annonce la levée du camp. Maga dit que les bons moments passent toujours trop vite et regrette de ne pouvoir prolonger ce bon moment.
Juste avant qu'on se lève, Maga me tend son verre que je finis avec plaisir ce cocktail étant divin, même si je sais que j'ai pas mal bu déjà ressentant quelque peu les effets de l’alcool. je traverse la salle du bar entre mes deux « amants », la veste ouverte qui laisse voir plus qu'il n'en faut de ma poitrine. Je sens d'ailleurs pas mal de regards et le feu dans mon ventre ne fait que s’amplifier. J'ai très envie de caresses, de sexe viril tendu bien droit, de sucer, d'être prise.... Nous retrouvons la fraîcheur extérieure, le sol brille il a du faire une belle averse, mais la toute petite brise marine apporte une vrai douceur automnale.
Les garçons essaient encore de persuader mes amies de rester, elles leur expliquent une fois de plus que cela leur est impossible. Mais pour autant, elles ne repoussent pas les caresses et autres bisous. Je vois même Audrey qui laisse une main caresser son entrejambe, quant à Magali elle se laisse embrassée par Manu et ne repousse pas les caresses de Francky.
Mes deux hommes me tiennent par la taille, je sens une main descendre sur mes fesses, c'est la main de Charly qui me les caresse. La main de Gus quitte à son tour ma taille, descend sur mes cuisses jusqu'en dessous de la lisière de ma jupe, et remonte lentement dépassant la bande de dentelle des bas, la vola à présent au pli de la fesse, la main remonte encore soulevant toujours la jupe, aidée à présent par celle de Charly, j'ai la jupe troussée jusqu'à la taille, mes fesses sont mises à nu, visibles de tous ceux qui passent dans la rue. Les mains me massent les fesses, des doigts se glissent parfois entre mes cuisses. je sens mon intimité s'humidifier de plus en plus, j'ai de plus en plus envie de baiser.
Les trois garçons proposent à mes amies de les accompagner jusqu'à la voiture. J’abonde dans leur sens en disant :
« c'est la moindre des galanteries. »
Maga vient me faire la bise et me souffle à l'oreille :
« Manu est un très bon coup, il a une belle queue et sait fort bien s'en servir.... tu vas te régaler ! »
C'est ensuite Audrey qui me fait la bise, elle me demande encore si je ne souhaite pas rentrer avec elles, que je suis inconsciente de partir avec des inconnus... je lui réponds de ne pas s'inquiéter.
Mes amies parties avec leur escorte, je demande :
« Quel est le programme maintenant ?
- A ton avis ! me répond Gus.
- Vous allez me baiser !
- Gagné ! » répond Charly en riant.
Nous avançons dans la rue, j'ai toujours ma veste ouverte et les mains de mes prétendants passent sans gêne sur mes fesses, soulevant ma jupe très haut parfois pour me caresser mes fesses nues. On tourne dans une autre rue, et après quelques minutes on entre dans une toute petite ruelle qui vite débouche sur un cul de sac en forme d'un rectangle d'une cinquantaine de mètres carrés.
Deux jeunes étaient en train de soulager leur vessie dans le coin opposé. Les ignorant, Gus m'enlève la veste qu'il suspend à un crochet. Charly caresse mes seins, et, presque en même temps ils ouvrent leur braguette. Je m'accroupis, prends un sexe dans chaque main que je branle lentement. Ma bouche avale le méat de Charly qui est d'un beau calibre sans être d'une taille exceptionnelle. Le gland est trapu, et je le lèche comme je ferai d'une glace, avant de faire coulisser ma bouche le long de la colonne de chair.
Je change et prends en bouche celle de Gus, qui est plus fine et un peu plus longue. Tout en branlant la queue de Charly, je me délecte de la bite de Gus que j'avale entièrement. Ce que je peux aimer sucer !
Ma langue joue avec le gland tandis que je branle cette bite palpitante. Puis je l'enfourne à nouveau autant que je peux, avant de faire coulisser mes lèvres sur toute la longueur. Je reprends ensuite celle de Charly que je branlais, en lui faisant subir la même punition de ma bouche. Après cinq bonnes minutes à produire mes soins buccaux, Gus me fait me relever.
Charly s'appuie dos au mur, j'écarte mes jambes, me plie en deux, et reprends ma succion de sa queue. Gus, me soulève la jupe jusque sur mon dos, écarte mon string, et place son gland à l'entrée de ma chatte. Il promène de bas en haut sur ma fente son gland, avant de s'enfoncer d'un coup puissant, tout au fond de ma grotte dégoulinante.
Malgré le bâillon qui occupe ma bouche je lâche un fort gémissement, Gus me tient par les hanches, et me lime avec virulence durant trois bonnes minutes. Puis ils échangent leur place, c'est là que j'aperçois à deux pas de nous les deux jeunes qui se soulageaient à notre arrivée.
Charly guide son sexe à l'entrée de mon vagin et pousse, son gland m'écarte les chairs, progresse en moi pour me posséder entièrement. Il se met à aller et venir en moi à grands coups de reins. Entre deux succions, je feule comme une chatte, je sens ma chatte se liquéfier. Une main se pose sur chacun de mes seins, en reprenant mon souffle d'un regard, je m'aperçois que les deux jeunes, un de chaque coté, ont pris cette initiative. Mais où leur a-t-on donné l'autorisation de le faire ??
« Tu aimes te faire prendre hein salope !
-.... hhhummm
- Dis le je veux t'entendre !
- Oui j'aime ça d'être baisée !
Ma pipe doit être efficace, car je sens la tige de Gus gonfler, palpiter, pour finir par exploser dans ma bouche, je me délecte du nectar que je reçois, je le garde en bouche, pour ne rien perdre. Charly sort de ma chatte pour que je le suce, je m'applique sur sa queue empreinte de mes sécrétions, lui aussi ne résiste pas longtemps, et explose au fond de ma bouche me provocant quelques hoquets.
Pendant que je suçais Charly, les deux jeunes n'avaient cessé de me caresser la poitrine, pinçant, vrillant parfois mes tétons. Tout en me mettant à genoux sur le sol mouillé je dis aux deux jeunes :
« Sortez vos bites que je vous suce ! »
Pendant que je suçais et branlais alternativement les deux jeunots qui devaient avoir tout de même plus de vingt ans, j'entends Gus qui téléphone et quelques unes de ses paroles arrivent à mes oreilles.
« Ouai, on a rencontré trois meufs, deux sont rentrées et une est restée avec Charly et moi.
- .....
- Tu parles une super chaude, et en plus canon !
- ....
- Elle adore la bite, elle se fait ne pas prier, la salope !
- ....
- Bon ok, on t'y retrouve, tu es avec Sonia alors ?
- ....
- Allez tout de suite... »
Celui que j'ai en bouche est mur, je sens qu'il va se vider, il explose en de multiple jets qui m'arrose le palais, j'avale tout ce que je peux, je ne veux rien laissé perdre. Un instant plus tard, le second qui me tient par les cheveux jouit à son tour, et j'avale encore une fois tout le nectar masculin.
Ils me remercient, et s'en vont heureux de s'être soulagés la vessie et d'avoir eu droit à une bonne pipe.
Je remets ma veste que je laisse ouverte, et nous retrouvons la rue, direction un petit bar musical.
Signé : Nadette
- Commentaires textes : Écrire
Les stagiaires du bout du monde - Chapitre II
Je la fis sortir de l’eau en lui prenant les mains et en la soulevant. Elle était légère mais ce qui attira mon attention furent ses seins. Ils étaient plus généreux que ce que je n’avais vu. En les voyant rebondir quand je soulevai son corps hors de l’eau, je vis un bonnet b plus que a. Ce qui n’était pas pour me déplaire.
Quand elle fut debout devant moi, je vins doucement mordiller le lobe de son oreille avant de lui dire à voix basse :
« L’idée est de ne pas se gêner, n’est-ce pas ? »
Elle approuva dans un souffle avant de pousser un soupir en sentant un doigt s’aventurer dans sa chatte. Elle était humide et moite. C’était bon de la doigter alors qu’elle était debout à côté de moi.
Poursuivant le jeu, je me mis à marcher en l’entraînant à ma suite, avec à présent deux doigts dans sa fente. C’était excitant et cru de sentir le frottement de son sexe sur mes doigts alors que nous avancions.
Sa chatte était tellement trempée que mon excitation redoublait à chaque instant.
Je la conduisis jusqu’à sa serviette où là, je sortis mes doigts de son sexe pour les lui faire lécher. Elle le fit avec application et envie. Elle avait envie de ces doigts luisants de sa cyprine. Elle avait envie de goûter sa chatte.
Alors qu’elle s’occupait de mes doigts, j’en mis deux autres, de la main gauche, dans son sexe.
« Elle lèche mes doigts et elle se fait doigter. C’est un très bon début, cela. Elle m’excite de plus en plus cette belle petite chienne. »
Puis je pris sa natte dans une main pour basculer sa tête en arrière.
« La suite à présent, mademoiselle la stagiaire ?
- La stagiaire l’attend avec impatience.
- Alors à quatre pattes, les épaules au sol, s’il vous plait. »
Elle s’exécuta en silence.
Elle m’offrit une pleine vue sur son cul, sur son entrejambe, sur sa croupe. Elle était aussi belle qu’excitante ainsi offerte, les fesses en l’air sur sa serviette de bain.
Cette stagiaire était à la croisée de tant de fantasmes que je voulais en profiter le plus possible. Elle était la jeune femme en tailleur, elle était la cadre sup à lunette, elle était la nana qui bronze seule sur un petit coin de paradis désert. Et elle était, pour l’instant, partante pour mes jeux, soumise à mes désirs.
Pour conclure ses réflexions, je mis mes mains sur ses fesses pour les ouvrir et contempler son intimité, ses deux orifices, sa fente et son trou. Sa fente luisante de plaisir, son petit trou qui m’attirait beaucoup.
« A table, dis-je. »
Puis je me mis à laper ses deux orifices d’un grand coup de langue, à titiller son clitoris et son anus, avant de la lécher, de l’explorer de ma langue. Elle ne disait plus rien, toute entière à son plaisir alors que je m’aventurai en elle de ma langue et de mes doigts.
« Une bonne chatte bien trempée et un petit trou excitant. C’est bon de bouffer le cul d’une stagiaire comme vous, mademoiselle.
- Surtout ne vous arrêtez pas monsieur. Je suis trop bien là.
- Aucune envie de m’arrêter, n’ayez crainte. Plus je goûte à ces deux petits trous, plus j’ai envie de bien baiser cette belle petite salope à quatre pattes devant moi… »
N’étant pas sûr que ce nouveau mot cru lui plaise, je fis une pause, déposant même un baiser sur ses fesses. Chaque geste ou mot cru était, comme toujours, à quitte ou double. Un refus et tout pouvait s’arrêter ; une acceptation et le plaisir était magnifié. Elle n’eut aucune réaction, gardant les yeux fermés et la respiration haletante.
Je pris cela pour un consentement.
Mon geste suivant fut de la prendre. Ma queue était raide et tendue de désir pour ce beau petit lot à quatre pattes devant moi. Je la pris doucement mais en profondeur, glissant ma queue bien au fond de sa chatte avec de commencer à la limer. Mes mains sur ses hanches, serrant bien cette taille de guêpe, je me mis à sauter ma stagiaire.
Sa chatte était douce et serrée. Ma queue bien dure. Elle ouvrit les yeux pour me regarder. Seul son œil gauche me fixa car l’autre était contre sa serviette.
« Baisez-moi bien, monsieur. Ne vous gênez pas pour votre stagiaire, elle aime tout ce que vous lui faites. »
Après quelques aller-retour en elle, je sortis de son sexe pour me redresser.
« Je me ferais bien sucer par une petite chienne excitée. Vous pouvez m’aider ? »
Souriante, elle se mit a genoux et, sans un mot, vint me prendre en bouche.
« Une queue parfumée à la chatte de stagiaire. Suce-moi bien. »
Et là, en un rien de temps, mes mains furent sur ses tempes. Je me mis à faire aller et venir sa tête autour de ma queue mais plus vivement que tout à l’heure.
« Jouez avec vos pointes pendant que je vous baise la bouche, s’il vous plait ? »
Ne pouvant me répondre par des mots, elle m’envoya un regard éloquent. Du genre qui fit durcir encore un peu plus ma queue. Puis elle saisit ses pointes et joua avec alors que j’investissais sa bouche. Sa bouche allait et venait autour de ma queue. Je baisais ses belles lèvres de suceuse sans me retenir. Elle tirait, pinçait, roulait les pointes de son bonnet b qui m’excitait autant que tout son corps.
« Ah la belle petite salope de stagiaire, elle aime la queue, fis-je au comble de l’excitation, retenant tant bien que mal une première éjaculation. C’est le pied de vous sauter, mademoiselle. »
Puis je la repris en levrette. En tirant ses cheveux, en redressant son buste pour la plaquer contre mon ventre. Je mis trois doigts dans sa bouche pour les lui faire lécher. Je voulais la posséder, jouer avec elle, la rendre ardente et soumise, joueuse et offerte. Je pris son petit slip blanc pour lui passer en travers de la bouche et la retenir contre moi par l’étoffe de son bikini. Ainsi bâillonnée par son maillot imprégné de sa cyprine, elle était proche de l’orgasme, je le sentais.
Chaque coup de queue que je lui donnais nous rapprochait de l’explosion. Et je lui en mis beaucoup. Je sortis ma queue pour aller caresser son clitoris avec mon gland. Son sexe était un puits de plaisir, un volcan en éruption.
Je revins en elle pour la conduire à l’orgasme. Mes mains enserraient avec puissances ses hanches, mes coups de queue dans sa chatte étaient profonds et vigoureux. Alors qu’elle allait exploser, ma main descendit entre ses jambes pour aller caresser son clitoris. J’étais excité et donc mon geste ne fut pas aussi précis que possible mais il suffit à ma stagiaire. Sentir une queue en elle, une main sur son mont de vénus la fit décoller. Elle se cabra, un frisson la parcourut. Elle soupira plusieurs mots que je n’entendis pas car j’étais trop proche de l’extase, moi aussi.
« Viens toi aussi, me dit-elle après avoir repris ses esprits, alors que j’étais encore en elle, doucement, au bord de l’explosion. »
Elle se mit a genoux et ouvrit la bouche.
« Ma bouche est toute à toi. »
Elle se prit les seins pour se les caresser alors que je masturbais avec le gland devant ses lèvres ouvertes.
« Une bonne giclée pour ma stagiaire, hein ? Une bonne giclée de foutre pour cette belle petite…. »
Mon mot se perdit dans un râle de plaisir. Mon éjaculation fut puissante et généreuse, visant sa bouche, ses joues, son cou, ses cheveux. Ma semence blanche macula avec délice sa belle peau bronzée. Puis elle recracha mon foutre sur ses seins avant de prendre ma queue en bouche, pour en savourer jusqu’à la dernière goutte. Elle lécha mon gland, elle m’aspira. Je chancelais sur place.
Je dus m’asseoir mais elle ne quitta pas ma verge. Elle me gardait au chaud dans sa bouche. Une de mes mains étala le foutre sur ses seins, sur son ventre. Elle descendit entre ses jambes. Son sexe était encore moite. Elle pris ma queue entre ses doigts pour me masturber doucement et me regarder.
« En tout cas, les clients ont beaucoup d’idées intéressantes, merci beaucoup pour cette leçon. J’ai beaucoup appris.
- Je peux encore vous apprendre des choses, mademoiselle.
- Oh mais cela m’intéresse monsieur. C’est important pour moi d’en savoir plus sur ce domaine. J’aime apprendre pour mon métier et je veux être une bonne gérante d’hôtel plus tard.
- Votre conscience professionnelle vous honore, mademoiselle. Je me dois de vous apprendre tout ce que je peux. Alors laissez-moi vous proposer deux modules. Le premier, c’est sodomie au bord de l’eau par un client amateur de mots crus et le second, c’est en tailleur et en lingerie dans une chambre d’hôtel avec un client fétichiste de dentelle. Lequel avez-vous envie de suivre ? »
La suite dans deux jours...
La naissance d'une esclave
La naissance d'une esclave (1ère partie)
Cela faisait un petit moment que je désirais voir ma chérie jouer au tennis. Un jour de travail sans intérêt, je demandais une autorisation d'absence à mon chef. Et je quittais le travail pour aller voir ma chérie jouer en double mixte.
Je profitais de ma moto pour arriver par un petit chemin qui dominait le cours. La partie semblait bien engagée. Il y avait peu d'échanges et les services se succédaient assez vite. Mais bizarrement, seuls les hommes servaient. Etonné, je décidais de m'approcher discrètement au travers des petits bois qui bordaient le cours.
La scène semblait irréelle...Son partenaire se préparait à servir pendant que ma femme dans la position de la vraie tennis woman, penchée en avant, sautillant d'un pied sur l'autre, les reins cambrés lui présentait ses fesses quasiment nues la jupette de tennis bien remontée sur sa taille...
J'étais ahuri de ce spectacle. Ma femme s'offrant ainsi à un inconnu... Idiot que j'étais, un inconnu pour moi, mais pas pour elle.
Au changement de service, les joueurs ont tourné, et j'ai vu le même manège avec l'autre paire du double. La femme avait de belles fesses et savait les remuer, à chaque point gagnant le serveur lui caressait ostensiblement l'entrejambe.
Je décidais de m'approcher encore plus, quand je vis un jeune homme caché qui profitait du spectacle. Je le rejoignais en silence et quand il me vit, il me fit signe de me cacher à côté de lui et de faire silence.
J'avais envie de lui arracher son appareil photo, mais le spectacle sur le cours devenait vraiment incroyable.
Je voyais ma femme embrasser son partenaire pendant que celui-ci lui pressait ses fesses. La partie semblait terminée, je voulais me lever pour hurler quand le jeune homme me dit :
« Attendez le plus beau est à venir, ils vont baiser dans la clairière à côté ! Suivez-moi, c'est un spectacle rare, je fais toujours une bonne cinquantaine de photos ! »
Pourquoi je le suivais ? Je ne sais pas, je voulais voir quoi ? Ma femme me faire cocu, baiser avec un inconnu ?
En effet, ils disparurent du court, pour réapparaitre dans la petite clairière indiquée par le voyeur.
Après quelques instants d’attente, je les voyais tous les quatre qui se caressaient mutuellement.
Ma femme retirait un string que je ne lui connaissais pas, elle écartait ses jambes, l'autre femme se mit à lui lécher son sexe, pendant que ma femme s'occupait de deux beaux sexes virils bien tendus. Sa bouche allait de l'un à l'autre, je voyais bien ses lèvres qui suçaient ces sexes avidement.
Mon sexe se mit à durcir à ce spectacle. J'étais un voyeur qui regardait sa femme sucer des hommes, et cela me faisait bander terriblement.
Un homme s'allongeait par terre et je voyais ma femme s'accroupir sur le sexe, sa chatte avalait rapidement le dard, et elle se mettait à bouger ses fesses. L'autre homme lui mettait son pieu dans la bouche et elle, caressait la chatte de l'autre femme.
Je n'en pouvais plus tellement je bandais. Je sortais mon sexe pour me masturber, tant pis pour le jeune homme.
Celui-ci me regardait faire, il s'approcha de moi et se mit à me caresser les couilles, puis il écarta mes mains de mon sexe et doucement le glissa dans sa bouche.
Je ne savais plus où j'étais, ma femme se tapait deux mecs et moi... Sucé par un homme !!! J’étais en plein délire !
Sa bouche était douce sur mon gland, et le spectacle dans la clairière évoluait.
Ma femme s'était allongée sur un partenaire et visiblement l'autre allait la sodomiser. Je pensais que je rêvais... Ma femme en double pénétration !!!
Ah, je comprenais mieux son intérêt pour les doubles en tennis, je devrais dire double en pénis... Je voyais le membre se glisser entre les fesses, et puis prendre un lent va et vient.
Ma femme poussait de petits cris, et puis se mit à lécher le sexe grand ouvert que lui présentait sa partenaire debout devant elle les jambes bien écartées.
Ni tenant plus, je jouissais dans la bouche du jeune homme, qui apprécia visiblement la chose.
J'étais dans un brouillard complet, je venais de voir ma femme se comporter comme une professionnelle du sexe, moi-même sucé par un homme... Je perdais mes repères.
Dans ce brouillard, je voyais le jeune homme qui lui aussi avait sorti son sexe et se masturbait à grande allure. Il ne quittait pas des yeux le spectacle offert par les quatre protagonistes du tennis. Il finit par éjaculer une quantité de sperme qui m'étonnait fortement. J'avoue que je ne savais plus quoi faire.
Au bout d'un instant le jeune homme me donna une carte avec son numéro de téléphone et une clef USB.
« Dans la clef il y a des photos et des films de ces quatre personnes, vous les regardez et puis on se revoit pour que je puisse récupérer la clef ! Et peut-être faire plus ample connaissance ? »
Je suis parti vers ma moto sans un regard vers la clairière, je ne voulais plus voir ma femme, oh non!
J'ai roulé la tête un peu vide, et puis lentement, de manière insidieuse, j'ai trouvé comment profiter du spectacle offert un moment avant. J'ai vu le profit possible de cette aventure, il allait falloir jouer la partie finement.
J'allais pouvoir réaliser tous mes fantasmes sexuels.
Je garais ma moto dans le garage et, en attendant le retour de ma femme, je branchais la cef USB sur mon ordinateur. Quel spectacle ! Le jeune voyeur avait une sacrée collection de photos et films où l'on pouvait voir ma femme s'adonner à des pratiques osées.
Mes sentiments étaient partagés entre colère et désir de voir ces images qui m'hypnotisaient. Quand j'ai entendu sa voiture, je suis allé l'attendre derrière la porte d'entrée. Je voulais la mettre sous pression dès son arrivée. Quand la porte s'est ouverte, elle fut surprise de ma présence et aussitôt annonça son désir d'aller se doucher. Elle ne me demandait même pas la raison de ma présence à la maison. Je lui dis que la douche attendrait, car j'avais quelque chose d'intéressant à lui montrer.
Quand elle vit les photos défiler sur l'écran, elle tomba à genou et resta livide.
« Tu vois, c'est passionnant de voir sa femme en vraie salope, tu vas regarder et m'expliquer. »
Elle restait muette, la bouche légèrement ouverte avec une respiration saccadée.
Je m'asseyais dans le canapé et je regardai ma femme et les photos qui défilaient. On la voyait sucer son partenaire, le lécher, la bouche pleine de sperme, se faire enfiler dans toutes les positions. Et là, une érection me prit, j'avais le sexe tendu, il me faisait mal. Alors j'ai baissé mon pantalon et mon slip, et je lui ai dit :
« Suce-moi pendant que je regarde ces images ! »
Tout allait dépendre de sa réaction, si elle obéissait je savais qu'elle serait alors mon esclave, sinon il ne resterait plus qu'à nous séparer.
Je voyais son visage se tourner vers moi, des larmes dans les yeux, au bout d'un instant elle approcha sa bouche de mon sexe. Avant de commencer, elle dit :
« Salaud ! »
Sa bouche me suçait le gland et je lui énonçai mes règles.
« A partir de maintenant, tu feras tout ce que je veux, sans jamais protester, tu pourras continuer à faire tes doubles, mais en dehors de ces parties, c'est moi qui prendrais les décisions pour le sexe. »
Elle s'arrêta de me sucer, me regarda longuement. Elle devait réfléchir, pesait le pour et le contre... Elle reprit sa fellation. J'avais gagné !
Maintenant qu'elle me suçait, et me sachant le Maître, j'avais envie de plus de choses. Je lui demandai de tourner son cul vers moi. Je relevai sa courte jupette de tennis et je voyai son string. Je passais mon doigt sur ce fin tissu et je le trouvais humide. Je glissai ma main vers sa chatte et je la trouvai trempée. Je ressortai ma main et la portai à mes narines. Cela sentait le sperme.
« Combien de fois, ils t'ont baisé tes partenaires ? Chienne que tu es !!! "
- Quatre fois.
- Et ta chatte est pleine de foutre, ton cul aussi !!!
- Oui, je ne me suis pas lavée…
- Cela m'excite, ma salope de femme. Tu vas profiter maintenant de régimes spéciaux ! »
Je glissai deux doigts dans son sexe et lui massais son clitoris. Quand je retirais ma main, mes doigts étaient poisseux.
« Tu es excitée, ou c'est le sperme des autres ?
-Je suis excitée, je ne comprends pas ce qui m'arrive ! Tu aurais dû me chasser, et là tu me caresses et je te suce…
- Tu comprendras vite ma chérie, tu es mon esclave maintenant. Tu feras tout ce que je veux.
- J'ai peur de toi, gémit-elle.
- Non, ta chatte et ton cul doivent avoir peur, mais ce ne sera que du sexe. Maintenant tais-toi et suce-moi à fond. Ecarte bien tes jambes que je vois ta chatte grande ouverte… »
Pendant qu'elle me suçait, délicieusement, je lui annonçai la première punition. Cela a eu pour effet de l'exciter davantage. Mais je refusais de lui donner du plaisir. Je lui ordonnai de continuer à me sucer. J'ai joui dans sa bouche à grands jets de sperme, elle m'a regardé en laissant couler le liquide le long de ses lèvres, puis elle a sorti sa langue avec une grosse goutte de sperme au bout.
Elle s'est approchée de moi et m'a embrassé. J'ai goûté à mon sperme et j'imaginais trouver aussi le goût de ses partenaires.
« Mon chéri, je serai ton esclave, je serai tienne pour tout ce que tu veux… »
Je l’envoyais à la douche et préparai la première punition.
A suivre...
Signé : Gilles G.
Lire les commentaires textes
TRES BELLE HISTOIRE.VIVEMENT LETE POUR ESSAYER CETTE AVENTURE.