Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les échanges sur Docti mènent à tout.. Suite et fin.
Les jours qui suivirent furent marqués par le doute. Et durant quelques semaines, je n'eus aucune nouvelle d'Hélène.
Elle se reprochait fortement d'avoir joué avec le chien. Oh, certes elle même n'avait pas joui, ne s'était pas laissée léchée (encore avait-elle essayé) et encore moins pénétrée... Mais elle avait eu ce sexe entre ses mains, et de ses doigts, elle l'avait fait jouir.
L'éjaculation du chien l'avait beaucoup marquée : elle était si abondante par rapport à celles de son mari. Elle voulait recommencer, mais cette fois-ci recueillir tout le sperme et le liquide séminal de l'animal... dans un verre ! Juste pour mesurer à quel point le chien était supérieur à l'homme dans ce domaine.
Mais au bout d'un moment, Hélène revint à moi. Plus que jamais enfiévrée par des désirs les plus fous. Je la sentais évidemment troublée par son expérience avec le chien. Mais je sentais aussi qu'elle désirait -contre sa propre morale- aller au delà.
J'étais moi-même bouleversé par ce qu'elle m'écrivait. Elle flirtait désormais avec un des tabous fondateurs de l'humanité... Rien que ça!
Et puis, comment dire ? Au fil de tous ces messages échangés, à mesure que nous nous sentions si semblables, tellement sur la même longueur d'onde... des sentiments naissaient en moi pour elle. C'était absurde et je mettais cela sur le compte du désert sexuel qu'était ma vie de couple depuis des années. Je ne l'avais jamais vue, Hélène ! Ce n'était pas de l'amour évidemment, mais une profonde affection, et l'envie de se tenir dans nos bras, de ressentir un peu de chaleur...
J'ai toujours pensé que la zoophilie pouvait être destructrice chez des gens comme Hélène. Elle ne saurait jamais se distancier d'elle même et se dire qu'un telle acte n'était que purement physique comme de tenir une salière dans sa main: tu la reposes, et 10 minutes après qui y repense?
Alors, comme je la sentais chaude tout de même, je décidais d'orienter nos discussions vers des thèmes non-zoo, comme dérivatifs.
Je sais qu'Hélène a des désirs de soumissions parfois. Alors le fantasme que je lui soumis, portait sur ces couples exhibitionnistes.
Je lui fis lire plusieurs textes. Dans l'un deux, un couple racontait comment dans un quartier bien précis de Paris, l'on pouvait se donner en spectacle devant des voyeurs. Il suffisait à cette femme d'écarter ses jambes pour se caresser, pour qu'une dizaine d'inconnus surgissent de nul part et se masturbent devant elle... Ou encore un autre couple entrant dans un sex-shop. Des hommes se mirent à entourer la femme, à la toucher, les plus habiles passaient leurs mains sous sa culotte... et beaucoup éjaculaient sur elle, etc...
Cela semblait énormément plaire à Hélène, alors évidemment je lui parlais de ça... Je trouvais même une histoire où un couple illégitime vivait ce genre d'aventures. Les deux étaient mariés de leurs côtés, mais se refusaient à consommer charnellement leur relation. Enfin, cela ne dépassait jamais les caresses réciproques... qui ne débouchaient que très rarement vers la jouissance. Hélène aima beaucoup ce texte, en me disant que ce couple, finalement nous ressemblait un peu.
Je lui répondis, que ce qui nous différenciait vraiment par rapport au couple de l'histoire, c'est que nous ne nous étions jamais rencontrés, ni même vus...
Et cette réflexion sur le fait que nous ne nous étions jamais vus n'était pas venue par hasard. D'une part, je sentais que notre relation et nos échanges plafonnaient, et d'autre part, je sentais Hélène désireuse de faire quelque chose de fou, de se laisser exploser. Moi aussi d'ailleurs, j'avais envie de me mettre en danger, de prendre la tangente.
Comme je savais qu'Hélène passait relativement souvent à Paris, je lui proposais de nous rencontrer, mais juste pour nous voir enfin, nous découvrir, papoter. Un mois avant, jamais Hélène n'aurait accepté. Je le savais, comme je la savais en roue libre et changée.
Entre le moment de ma proposition, et notre rencontre, il avait bien du se passer un mois pendant lequel nous avons cherché une date, annulé à plusieurs reprises, puis enfin c'est arrivé.
C'était l'été, nous nous étions donné rendez-vous près de la porte Dauphine. Je travaillais peu ce jour-là. Elle m'était apparue vraiment divine, fine et presque de ma taille. Elle était plus blonde que je ne l'imaginais et ses yeux verts furent la surprise finale.
Pour elle comme pour moi, il s'agissait de la première rencontre "réelle", et cela faisait quelque chose. Même s'il n'était absolument rien prévu entre nous, j'étais nerveux.
La discussion s'engagea sur des banalités, qui de fil en aiguille nous menèrent aux difficultés de nos couples... nous convenions qu'elles étaient peut-être toutes relatives par rapport à notre devoir d'élever nos enfants respectifs. Est-ce que nos frustrations respectives nous donnaient le droit de remettre en cause de façon aussi radicale leurs cadres familiaux ? De faire peser un risque aussi grand à l'unité de nos familles ? Pour des fantasmes ? Nous convenions que tout cela était effectivement dérisoire...
... mais il était évident que l'un et l'autre étions ravagés par le désir et l'envie de transgresser, de s'abandonner. Comment, quoi, nous n'avions pas d'idées précises.
Nous marchions le long des boulevards et nous remémorions nos échanges par internet, nos scenarios inventés... Hélène me confia que leur seule évocation mettait le feu en elle. Je sentais du coup une certaine excitation monter en moi.
Nous approchions du boulevard Lannes, là il y a une rue où des couples s'offrent au voyeurisme d'inconnus...
« Tu veux y aller ? » lui demandais-je.
Elle sembla quelque peu désarçonnée... d'un regard je lui fis comprendre que nous y allions pour voir ces couples, essayer de capter de leur adrénaline. Et non en tant que couple, quoique notre comportement était ambigu.
L'obscurité commençait à nous entourer, et l'air était chaud. C'était l'été. Plus nous nous rapprochions, moins nous nous parlions. La tension était palpable, car nous quittions les discussions oiseuses pour une réalité bien concrète de chair et de sang. Et d'autres substances encore.
Nous arrivâmes derrière l'ambassade de Russie, dans une petite rue tranquille... Mon cœur commençait à battre de plus en plus fort, et Hélène aussi s'était tue, elle semblait comme concentrée.
Je ne sais pas s'il était un peu trop tôt, mais il n'y avait que 3 ou 4 types qui aussitôt nous accueillirent, pensant que nous venions nous exhiber. Je sentis Hélène effrayée et je passa mon bras autour de ses épaules et leur fis "non" de la tête. Ils comprirent parfaitement et nous laissèrent tranquilles.
Ce qui était frappant, c'est qu'ils semblaient totalement anonymes. J'entends par là, qu'aucun d'entre eux ne portait son vice sur le visage... ni aucun d'entre eux n'avait de prestance particulière.
Cela faisait dix minutes que nous attendions, nous disions que ce n'était pas le jour et que tant pis... un des hommes rompit le silence pour nous dire d'être patient.
Et effectivement, une voiture arriva. Une Renault Laguna... la voiture s'arrêta et nous furent stupéfaits Hélène et moi de voir les voyeurs sortir instantanément leurs engins ... et leurs lampes torches !
La femme était assise à la place du passager, elle était nue mais assez grosse et vulgaire. Nous étions déçus. D'autres hommes continuaient d'arriver et Hélène se tenait contre moi pour bien signifier qu'elle était là en voyeuse également.
Assez rapidement arriva une autre voiture, et là, la femme était vraiment belle. 45 ans environ, très très élégante. Comment une femme de cette classe pouvait-elle atterrir ici ?
Elle et son chauffeur ne semblaient pas vraiment habitués à ce genre d'exercice. Cela se voyait, et cela m'excita d'emblée. Cette peur mêlée d'excitation dans leurs regards.
La femme s'effeuilla... et son sexe nous apparut à travers les vitres fermées de la voiture. Les hommes autour de nous commençaient à s'astiquer frénétiquement... Hélène était captivée. Je la voyais regarder ces queues raidies, qui commençaient à luire de présperme dans la lumière du couchant.
Plusieurs hommes se présentèrent à Hélène, J'étais derrière elle et elle se recula contre moi. Je posais mes mains sur ses épaules et dis à nouveau que nous n'étions là que pour voir, et non pour montrer. Je fus surpris de leur docilité.
Nous étions tout près de l'action. Les voyeurs n'économisaient pas leurs mots crus... cela me mettait mal à l'aise mais ne semblait pas indisposer Hélène qui était comme hypnotisée par cette décadence.
J'avais toujours mes mains sur ses épaules pour la maintenir hors de ce manège. Elle s'appuyait contre moi. Nous étions collés l'un à l'autre et... elle ne pouvait pas ignorer mon état. Mon sexe était raide et collé contre la raie de ses fesses.
A la demande insistante des hommes, l'homme de la voiture ouvrit la fenêtre de sa femme. Elle se malaxait frénétiquement la chatte tandis que les premières éjaculations et râles de plaisir apparaissaient. La femme ne cachait pas son orgasme imminent et miaulait sa jouissance. Soudain un homme passa la main à l'intérieur et lui attrapa le sein qu'il se mit à pétrir... effrayée, la femme s'exclama mais ne fit rien pour se libérer.
Je serrais) ma bite contre tes fesses le plus fort possible et te tenais fermement par les épaules. Je te demandais si tu étais mouillée...
Tu me répondis « oui », d'un hochement de la tête. J'aurai pu descendre mes mains vers ton minou pour le constater, que tu ne l'aurais pas empêché. Je ne le fis pas. De même que tu ne passas pas tes mains dans ton dos pour saisir mon sexe.
La femme laissa exploser un énorme orgasme. A ce moment-là son "masseur" lui éjacula sur elle une quantité phénoménale de foutre. Un autre sur le tableau de bords, et la voiture repartit en trombe.
C'était fini. Nous étions sonnés, KO par ce que nous venions de voir. Et moi, j'étais enivré de ton parfum, gorgé de la douce chaleur de ton corps.
SIgné : Tony Blair
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Comment j'ai baisé ma belle-mère, par Chris
Sophie, je viens te raconter ce soir mon aventure avec mon ex-belle-mère, pour que tu la publies. Elle était la mère de mon ex-femme
Quand j’ai rencontré celle qui allait devenir ma future femme, c’était super. On discutait beaucoup, tous les soirs, et souvent très tard.
Un soir, elle me demanda de venir chez elle. Bien sur, j’étais d’accord !
Elle m’a précisé que son père était très malade, et que sa mère n’était pas une sainte. Mais en réalité, je m’en fichais complètement ! Ils ne m’intéressaient pas…
Nous sommes donc allés chez elle. En arrivant, elle me présenta à sa mère, une femme au caractère très possessif. Après les présentations, nous sommes montés dans sa chambre.
A peine entrés, elle me dit : « ce soir, je veux voir ta queue ! »
Un peu surpris de la rapidité de sa phrase, j’ai obéi et sortit ma bite de mon pantalon. Sans hésiter, elle l’a prise dans sa main, et a commencé à me branler… J’étais dans un état second, tout près du paradis.
Soudain, la porte s’ouvre en grand. La mère est là, sur le seuil Mon amie a voulu se cacher, en criant : « Mais Maman, sort de là ! »
Mais trop tard, elle avait tout vu. Elle a refermé la porte sans rien dire.
Pourtant, je soupirais : « Pffttt, ouf, elle n’ rien du voir… »
Ma copine me répond : « Je savais qu’elle viendrait ! Quelle vieille salope ! »
Je suis un peu surpris par la violence de ses propos, et le lui dit. Elle me répond d’un ton sec : « Oh, elle n’a pas du niquer depuis un bout de temps ! »
Mon amie reprend là où elle en était et a fini de me branler jusqu’à ce que je jouisse dans sa main. Je n’ai pas revu sa mère ce soir-là.
Nous n’avons jamais reparlé de cet incident.
Plusieurs mois plus tard, j’ai emménagé chez elle, mon beau-père étant décédé depuis trois mois.
Un soir, mon amie était allée bosser à l’hôpital, comme d’habitude. J’étais là, tranquillement installé sur le canapé. Sa mère m’a demandé de venir manger, pour le diner. Le repas se passe tranquillement, nous parlons de tout et de rien. A la fin du diner, je lui dis que je vais prendre une douche.
Mais sans trop savoir pourquoi, je lui dis : « Ce serait sympa que tu me laves le dos… »
C’est quand elle accepte, que je me rends compte que j’ai sans doute été trop loin. Pour la provoquer, je lui dis qu’elle n’est pas capable de venir. J’ai pensé que ca la découragerait… En effet elle n’a rien répondu. Je file donc dans la douche. A peine l’eau ouverte, je sens comme un courant d’air dans mon dos. Pourtant, je suis sur d’avoir bien fermé la porte. J’en suis là de mes réflexions, quand le rideau de douche s’ouvre brusquement. La « vieille » est là, devant moi.
Un peu interloqué, je la regarde dans les yeux. Elle me réclame le gant de toilette, pour me frotter le dos.je le lui tends, et lui offre mon dos.
Elle a un petit murmure quasi inaudible.
Je lui demande : « Qu’est-ce qu’il y a ?
- Rien
- Tu as dis quoi ?
- Rien, je te dis ! »
Et là, je sens le gant passer sur mes fesses. Comme je suis jeune et très vigoureux, je commence à bander illico. C’est le moment qu’elle choisit pour me dire : « Tourne-toi, et ne fais pas le timide, j’en ai déjà vu d’autres !!! »
Sans mot dire, je me suis retourné, la bite droite comme un i. Elle s’est mise à rire en voyant mon état… « Oh, mais tu es un coquin ! Tu bandes dur, et en plus, ta queue est très belle ! »
Elle continue de me laver, et branle ma bite avec le gant, comme si de rien n’était. Et elle s’arrête net, pose le gant et me dis de sortir de la douche.
Je suis très énervé, et j’ai une foutue envie de baiser !
Elle m’a essuyé avec une serviette, de haut en bas, et me dit subitement : « Chris, tu sais, ca fait un bon bout de temps que je n’ai plus vu une belle queue. Ca m’a fait plaisir de te caresser un peu…
- Ah bon ?
- Oui, je suis sincère, et je voudrais bien venir la toucher pour de bon.
- Ok », lui dis-je en tremblant comme un gosse.
J’avais envie de baiser, mais c’était quand même ma belle-mère !
Alors, elle a pris ma bite dans sa main, très doucement, elle y prenait visiblement du plaisir. Elle me pelotait aussi les couilles. Elle caresse tout ma colonne de chair, je gémis de plaisir sous cette bonne caresse.
Pourtant, subitement, elle s’arrête et sort de la salle de bains. Je ne la verrais plus de la soirée, ni de la nuit. J’ai du me branler tout seul, me fair jouir en attendant que ma copine rentre.
Le lendemain soir, pendant le diner, à nouveau en tête à tête, je lui demande pourquoi elle s’est arrêtée de me branler la veille. >Comme elle me répond qu’elle ne voulait pas, je lui en demande la raison. Elle me répond que je suis son gendre, et que ca ne se fait pas. La discussion fut close.
Le week end arriva, et ma belle-mère choisit de tout raconter à Sandy, ma copine . Elle a minimisé les faits, pour que ca passe mieux.
Sandy lui dit alors : « Mais Maman, ce n’est pas grave, ca peut arriver que tu entres dans la salle de bains, et sur Chris est tout nu ! »
Je suis un peu surpris de la façon dont elle a tourné la chose, la vieille ! Le dimanche soir, pour une fois que Sandy était là, on a baisé comme des sauvages. J’étais super excité depuis l’épisode de la douche.
Avant de dormir, elle et moi avions échafaudé un plan pour voir si sa mère était vraiment en maque de sexe. Je devrais tout lui raconter le mardi matin.
Le lendemain, Sandy me rappela de ne pas oublier notre petite mise en scène.
Le diner s’est passé sans encombres, comme si de rien n’était. Je suis allé me doucher, seul. Elle a pris ma suite dans la salle de bains, sans mot dire. Je me suis donc installé sur le canapé, devant la télé, avec seulement une serviette autour de moi. J’ai fait semblant de dormir, avec ma bite qui pointait entre les plis de la serviette.
Quand elle est sortie de la sale de bains, elle est venue dans le salon. Elle m’a vu entrain de dormir. Elle a posé ses yeux sur ma queue, elle la fixait comme un objet précieux. Tout doucement, elle a pris le bout de ma bite et l’a décalottée. Elle s’est penchée vers elle, et a commencé à laper le gland…
Alors, j’ai fait comme si je me réveillais. Elle m’a lâchée pour aller s’assoir dans son fauteuil, et je me suis assis, la queue dure, pointée devant moi, comme si je le savais pas.
Elle s’est exclamée : « Chris !!! Ton sexe, il est sorti, et tu bandes !!!
- Ben, j’ai du rêver de choses érotiques…
- Tu es un vrai coquin. Tu sais que tu as vraiment une belle queue ? »
Je bandais comme un fou, avec une énorme envie de me branler, ou de la baiser. Ma belle-mère reprit : « Chris, va donc te passer de l’eau froide sur ta bite. »
Ce n’était pas la réponse que j’attendais ! je me suis levé, pour regagner ma chambre, et, une fois de plus, me branler à fond. Elle m’excitait de plus en plus !
Les mois ont passé, sans nouvelles provocations. L’été est arrivé.
Nous avions des champs, et il fallait faire les foins. Il faisait très chaud ce jour-là. Nous avons coupé le foin, et commencé à les rentrer à l’arrière de la maison, dans le petit hangar à foin.
Je transpirais comme un malade, tant il faisait chaud.
Soudain, la vielle me dit : « j’ai un besoin urgent de pisser, om tout va partir dans ma culotte ! Je ne tiens plus ! »
Elle sort du hangar, fait deux pas, et m’interpelle pour que je vienne tenir la porte, de façon à ce qu’on ne la voie pas. Mais moi, je la vois très bien !
Elle était accroupie, les jambes bien écartées, et je voyais son liquide doré commencer à couler. Voir ça m’a bien excité. Je voyais sa chatte pour la première fois. Elle a soupiré d’aise, et m’a dit : « Allez, on continue, on rentre dans le hangar ! »
Elle a pourtant remarqué que je transpirais comme un bœuf. « Chris, ca ne va pas ? Tu transpires beaucoup, je trouve !
- Ca va, mais quand tu as pissé, j’ai tout vu, et ca m’a bien excité ! J’ai trop envie de te sauter !
- AH bon, à ce point ? »
Et sans cirer gare, elle m'a donné un coup de poing sur la poitrine.
Je suis tombé à la renverse dans le foin. Sans rien dire, elle a tiré sur mon short, pour me l’enlever. Elle a fait de même avec mon slip. A la vue de ma bite dure, elle me dit : « Tu es un vrai cochon, regarde comme tu bandes ! »
Elle est venue se mettre au-dessus de moi, à califourchon... La salope, elle n’avait pas de culotte ! Elle avait du l’enlever quand elle avait fini de pisser.
Elle approcha sa chatte de mon visage. « Si tu veux me sauter, tu dois d’abord me lécher ma chatte. »
Elle gémissait sous mes coups de langue, mais j’étais mal positionné. Alors, elle s’est tournée, pour bien s’assoir sur ma bouche. Je continuais de lui fouiller le con avec ma bouche. A ce moment-là, elle a pris ma bite entre ses lèvres, pour me pomper à fond. Nous avons fait un super 69, qui lui arrachait des cris de plaisir, à moitié étouffés par ma queue dans sa gorge. Son jus coulait dans ma bouche, elle a joui une première fois, inondant mon visage de cyprine à l’odeur de pisse.
Alors, elle s’est relevée, et a repris sa position initiale. Elle est venue s’empaler sur mon chibre dur. Mais comme ma queue est grosse, elle n’est pas entrée du premier coup. D’un coup de reins, j’ai achevé de lui planter mon pieu au fond de son vagin. Elle a crié de surprise, et un peu de douleur.
Mais ensuite, elle n’arrêtait pas de gémir, de me supplier : « Vas-y baise-moi, enfonce-moi tout, je veux ta bite bien au fond !!! »
Je la besognais avec violence, heureux de la baiser enfin, depuis tout ce temps. Pour une vielle, elle était sacrément bonne !
Je prenais un super pied, et je sentais que j’allais jouir bientôt. Elle me crie : « Attends, jouis pas dans ma chatte ! »
Elle de pencha sur le coté, pour sortir ma queue de son vagin. Elle la goba d’un coup, couvert de sa mouille odorante. En quelques trop courtes secondes, je jouissais en lâchant de gros jets de foutre au fond de sa gorge. Je l’insultais en même temps : « Tiens salope, grosse cochonne, prends ma bite, bouffe-là, mange ma crème !!! »
Elle me suçait vraiment comme une déesse. Elle semblait adorer mon sperme. En tout cas, elle a tout avalé, n’en laissant pas une goutte !
Nous avons fini de ranger le foin, comme si de rien n’était… Nous avons recommencé plus tard, mais ça, c’est une autre histoire !
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Sofia, l'insatiable...
Sofia est une jeune femme d'une trentaine d'années, méditerranéenne et plus précisément sicilienne. Brune à la peau légèrement mate. Ses yeux sont gris clairs. Elle a une allure follement sensuelle. Son physique est semblable à celui des belles filles des années cinquante, époque bénie où, pour être belle, il ne venait à l'idée d'aucune femme de ressembler à des squelettes décharnés et faméliques. Elle n'est pas très grande, 1,65m environ et une silhouette à damner un saint, alors, imaginez un amateur de luxure comme moi.
Valy l'avait rencontrée dans une société d'ambulances de la banlieue sud de Paris, alors qu'elle y était venue s'informer sur la marche à suivre pour devenir ambulancière. Les deux jeunes femmes avaient tout de suite sympathisé. Elles étaient sorties quelques fois ensemble, jusqu'au jour où Valy, fidèle à elle-même, au cours d'une soirée où elle avait invité Sofia à diner chez elle, l'embrassa à pleine bouche.
La jeune femme, bien que surprise, répondit à ce baiser avec fougue, et le diner se transforma en jeux lesbiens torrides. Au cours de cette soirée, elles se trouvèrent de nombreux goûts communs en matière de sexe. Étant toutes deux et gourmandes et bisexuelles, elles décidèrent de partager les aventures quand elles leur sembleraient intéressantes à être réaliser ensemble.
C'est ainsi qu'au retour de notre escapade en Sauna, Valy me proposa de rencontrer sa copine dont elle me fit quelques compliments. A son sujet, elle me dit, le regard plein de malicieux sous-entendus :
« Je ne t'en dis pas plus, tu verras par toi même ! »
Effectivement, je fus surpris, très agréablement d'ailleurs. Nos contraintes professionnelles communes et des obligations dans nos familles respectives nous ont obligés à attendre six semaines avant de rencontrer cette Sofia dont Valy me parlait tant.
Enfin le jour arriva. C'était un dimanche fin de matinée, nous étions en été.
Valy et moi nous nous sommes rendus chez Sofia. Elle vivait seule dans un joli petit pavillon. La façade arrière donnait sur un petit coin jardin composé d'une pelouse ourlée de fleurs.
Quand nous arrivons, Sofia nous ouvre, très légèrement dévêtue. Une sorte de poncho extrêmement fin, blanc cassé l'enveloppe du cou jusqu'à mi-mollet, un petit nœud sur les côtés pour donner un semblant de pudeur à l'ensemble. Il est si fin qu'il en est transparent et laisse voir qu'elle est nue dessous.
Les chevilles fines sont toutes deux décorées d'une chaine comme on en trouve en Inde.
Sans être fétichiste je suis très sensible à la beauté d'un pied féminin. Les siens sont bien cambrés, les doigts sont longs et fins. J'adore. Sofia a un corps magnifique, je lui en fais compliment. Elle me remercie en souriant. Cette fille me fait craquer. Elle a un corps musclé, sans que ce soit laid.
Valy, qui me voit la détailler, et semblant lire mes pensées, me dit que Sofia fait énormément de body building et lui arrive même de faire des compétitions. Je comprends mieux maintenant sa silhouette. Elle nous conduit dans son petit jardin, sur une table l'apéritif nous attend. Pendant que Sofia remplit les verres, Valy s'éclipse un instant, et elle revient juste vêtue d'un string minuscule.
Décidément, je ne peux me lasser d'admirer son corps et cette démarche qui laisse croire qu'elle ne marche pas, mais qu'elle danse. D'ailleurs, fière de l'effet qu'elle fait sur Sofia et moi, Valy esquisse un pas de danse plutôt lascif hérité sans doute de ses ancêtres antillais.
Et s'adressant à son amie elle dit :
« Ma chérie, je te trouve bien pudique tout d'un coup ! C'est Bruno qui t’intimide ? Et puis dis donc, toi, enlève ta chemise et ton pantalon ! Enfin ! Quoi ! »
Nous nous exécutons aussitôt, et au spectacle que me montre Sofia je ne peux m'empêcher de bander. En effet, le body building qu'elle pratique lui a donné des muscles longs qui affinent sa silhouette Et elle doit sans aucun doute utiliser des hormones pour aider son développement car son clitoris est très développé. Il doit mesurer environ un centimètre et demi. Et il est d'autant plus visible qu'elle a la chatte complètement glabre, comme tout le reste de son corps. Sa chatte a belle allure, elle aussi. Les grandes lèvres sont bien ourlées et charnues, et mettent en appétit.
Sofia prend mon érection pour un compliment,, et elle à raison, ma queue a dit bien mieux que moi ce que je pensais du spectacle. Pour me remercier, elle s'approche de moi et me câline la queue tout en me prenant la bouche. A l'apéritif c'est le meilleur amuse-gueule que je connaisse !
Gourmand et tant tenté par ma belle tentatrice, je frôle de la main son clito. Aussitôt Sofia a un sursaut et me dit :
« Non Je t'en supplie arrête sinon je ne me contrôle plus, on verra cela après le déjeuner, tu veux bien ? »
Valy assise et déjà un verre à la main rit de bon cœur devant le spectacle que nous lui donnons. Elle me regarde et me fait un clin d'œil comme pour me rappeler qu'elle m'avait dit que sa copine était pleine de surprise. Nous nous installons donc nus comme des vers pour déguster un repas frais délicieux et propre à nous mettre en forme. Le dessert se composait d'esquimaux que nous avons consommés allongés sur la pelouse. Valy grande gourmande vicieuse s'approcha de Sofia et lui caressa la chatte avec son esquimau. La fraicheur fit tressaillir Sofia qui écarta un peu plus ses cuisses. Valy comprit ce que cherchait son amie et effleura le gros clito de Sofia qui poussa un « AAAAAHHH ! Oui ! » de plaisir. Puis elle consomma son esquimau que le soleil attaquait.
Les évènements prenant une tournure comme je les aime. Je m'approchais de Sofia et entrepris à mon tour de caresser la chatte de notre hôte, mais je me suis appliqué à bien enduire tout son entrejambe. La belle était ravie, si j'en juge par les soupirs d'aise qu'elle poussait. Entre la chaleur du soleil et celle de Sofia, je me trouvais vite avec le bâton d'esquimau tout nu. Valy me rejoignit entre les jambes de Sofia, et nos langues la nettoyèrent consciencieusement. Comme nous sommes très méticuleux, nous avons continué à lécher la splendide chatte de Sofia.
Celle-ci gigotait tant et plus, et poussait des cris de jouissance particulièrement sonores. Elle n'était pas femme fontaine, mais mouillait abondamment, Valy et moi avions le visage barbouillé. Nous nous sommes nettoyé le visage à grands coups de langue, oubliant dans le même temps Sofia qui n'en pouvait plus, et en voulait encore. Aussi, elle se jeta sur ma queue pour la déguster.
Contrairement à Valy qui faisait des pipes si douces que je les appelais « des pipes papillons », Sofia était acharnée comme si ma queue devait disparaître. Ce n’était pas désagréable du tout, juste différent. Cette situation était si excitante que je n'ai pas pu me contrôler, et j'explosais dans la bouche de Sofia.
Gourmande, elle se garda bien de partager mon sperme avec Valy, elle avala tout et continua à me sucer. Ce fut à la fois douloureux et très jouissif, et elle réussit à me faire bander à nouveau. Elle s'empressa de s'empaler sur ma queue et s'agita sur moi comme une morte de faim en criant des :
« Ah ! Putain c'est bon ! Ah ! Putain ! C’est bon ! »
Valy, quant à elle, vint s'assoir sur mon visage. Sa chatte sur ma bouche, elle commence à bouger son bassin d'avant en arrière en gémissant, elle aussi. Contrairement à Sofia, tout ce qu'elle fait est douceur et délicatesse. Donc, ses mouvements du bassin me font déguster sa chatte plus longuement, car la montée du plaisir est lente et progressive chez Valy. Mais tout à coup, elle me dit :
« Bruno ! J'ai envie, je peux ? »
Je savais ce qu'elle voulait dire, aussi je lui fais signe qu'elle pouvait y aller. Je commençais à la connaître, ma Valy, et je savais que parfois l'excitation extrême lui donnait envie d'uriner. Et comme j'ai un faible pour ces jeux-là, j'étais ravi de l'aubaine. Elle se laissa aller tout en continuant à se faire jouir sur mon visage. Je ne m'occupais que d'elle. Sofia de son côté se baisait sur ma queue comme si sa vie en dépendait. Je n'avais même pas à me retenir, venant d'éjaculer il y a peu de temps, je savais que je ne risquai pas de partir avant elle.
Je gardai le peu de lucidité qui me restait pour me concentrer sur Valy. Celle-ci, après s'être soulagée, avait changé de position pour venir me nettoyer le visage avec sa langue. Puis elle se mit à genoux à côté de moi pour que je la doigte, pendant qu'elle encourageait sa copine qui se déchainait tant et plus.
Mais je sens ma jouissance qui arrive, je ne peux plus me retenir, j'explose dans le préservatif, Sofia le sent, elle se déchaîne, ses « AH ! Putain ! » redoublent et elle jouit. Elle s'écroule sur moi, nous nous embrassons goulument, avec avidité. Je suis toujours en elle, je m'y sens bien. Ma queue a sûrement besoin d'air car, ayant diminué de volume, elle se dégage seule de la chatte de Sofia. Valy toujours à l'affut de quelque chose à déguster, m'embouche pour profiter de ce qui enduit ma queue. Visiblement elle se régale, et moi aussi, elle fait cela avec tant de délicatesse.
Le traitement que m'a fait subir Sofia, aussi jouissif qu'il soit, m'a épuisé, j'ai besoin de me reposer un peu. Ce n'est pas le cas des deux jeunes femmes. Sofia a encore « faim », et Valy, quant à elle, n'a pas eu son comptant de plaisir.
Aussi, spectateur privilégié, je peux assister au show très X que m'offrent mes deux amies. C'est Sofia qui saute sur Valy. Celle-ci l'accueille à cuisses ouvertes. Elles sont l'une sur l'autre, étroitement enlacées, s'embrassant à bouche-que-veux-tu. Leurs mains semblent multiples tant on les voit parcourir leur corps. Soudain Sofia se lève et entre dans la maison en disant :
« Attends j'ai oublié le principal, je reviens tout de suite ! »
Effectivement, elle réapparait très vite, mais elle est harnachée d'un superbe gode-ceinture de belle taille. Le sourire qui illumine son visage laisse présager des moments de plaisirs intenses. Valy a les yeux qui brillent, elle se passe la langue sur les lèvres tout en se caressant la chatte.
Je suis affalé sur un Transat, et je sens monter en moi une vague de plaisir, de ce plaisir incomparable que l'on ressent au spectacle de deux femmes qui se font l'amour. A mes yeux, c'est le plus beau spectacle érotique qui soit. Maintenant que Sofia est plus prés de moi, je me rends compte que son gode-ceinture est un « spécial double pénétration ». Je comprends mieux maintenant l'excitation qu'on peut lire dans les yeux de Valy.
Celle-ci se met à quatre pattes sur un banc, et en remuant son délicieux arrière-train, elle signale son impatience à se faire prendre. Sofia se place bien en prenant soin que chacun des glands soit au bon endroit, elle lubrifie les deux trous et fidèle à son habitude, elle entre d'un seul coup en Valy. Elle pousse un grand cri assez bref, suivi très vite d'un grand « AHHHHH » de plaisir, car elle adore aussi se faire prendre sans précaution.
Commence alors une cavalcade pleine d'énergie, on pourrait presque croire que Sofia était dans sa salle d'entrainement. Elle a un corps vraiment magnifique, ses muscles longs et fins bougent harmonieusement, et le mouvement cadencé de ses reins met du feu dans les miens. Elle adore vraiment ce qu'elle est en train de faire subir à Valy. Celle-ci, si j'en juge par ses cris de plaisirs, est à son affaire. Elle donne des coups de reins elle aussi, comme si Sofia n'était pas assez violente dans ses mouvements. En même temps, elle remue la tête de droite à gauche. Elle prend un plaisir fou, et moi qui jouis quand je me fais sodomiser je me prends pendant un instant à envier les femmes qui ont deux orifices à faire pénétrer en même temps.
Son clito proéminent permettait à Sofia de prendre du plaisir elle aussi, car il frottait sur la base du gode. Ainsi on pouvait voir deux belles gourgandines faisant l'amour avec un accompagnement musical très particulier.
Écroulé sur mon Transat, je me sentais devenu mélomane, le duo de mes deux jolies affamées devenait presque harmonieux. Pour la première fois depuis très longtemps, j'avais été capable de baiser sans débander, deux fois de suite. J'en avais donc pour un très long moment avant de câliner ces deux jeunes femmes sans flancher.
Autrement dit, c'était fini pour ce dimanche. En effet, Valy et moi ne pouvions nous éterniser. Le lendemain, lundi nous devions être opérationnels avant l'aube pour transférer quelqu'un d'un hôpital parisien dans une maison de repos dans les Pyrénées.
Aussi, je profitais pleinement du spectacle que m'offraient Valy et Sofia. Elles étaient déchainées. Elles se rendaient « coup pour coup », si j'ose dire. Elles donnaient l'impression d'être seules au monde. Elles se dévoraient la bouche, elles se caressaient et se doigtaient puis se godaient. Elles n'étaient qu'un orgasme, Sofia était la plus débridée. Il faut dire que son clitoris proéminent et ultrasensible ne la laissait pas en paix une seconde. C'est Valy qui la première demanda grâce.
La pauvre était épuisée, c'était loin d'être le cas de Sofia qui en voulait encore. Il nous a été difficile de lui faire admettre qu'elle ne pouvait plus compter sur nous ce jour-là. Elle nous a laissé repartir à regret, en nous soutirant la promesse que nous reviendrions la voir.
Pour plus de commodités, Valy est venue dormir chez moi, et j'ai bien dormi. Durant les jours qui suivirent Valy me proposa de rencontrer quelques uns de ses copains avec bien entendu Sofia en prime.
La petite soirée promise se produisit plusieurs semaines plus tard...
La surprise de Vera
Il est quinze heures, nous sommes en plein mois de Juillet 2009. Je suis en vacances et je me prélasse à la terrasse d'un café face à une splendide plage proche de Palma de Majorque aux Baléares. Un arbre immense étend ses grandes branches et forme une sorte de dais et tamise ainsi la lumière du soleil. Un tee-shirt et un short sont mes seuls vêtements. Aux pieds, rien. J'adore vivre et marcher les pieds nus. Le contact direct avec le sol a pour moi quelque chose de très sensuel. J'adore.
Bravant la chaleur, je tente le suprême effort de mettre en contact mon verre de jus d'orange frais et mes lèvres, quand soudain, une apparition de rêve entre dans mon champ visuel, et arrête mon geste. Il serait extrêmement désobligeant que je boive, alors qu'un spectacle de toute beauté s'offre à moi.
De longs cheveux bruns et soyeux encadrent un joli visage aux traits réguliers, que deux yeux vert émeraude illuminent Une bouche aux lèvres qu'un léger rose met en valeur. Un chemisier blanc transparent laisse voir deux seins moyennement volumineux. Une mini-jupe en jean couvre des jambes minces. Et cette vision se déplace grâce à des pieds (elle en deux, vous savez!) aux orteils longs qui flirtent avec le macadam, car la belle est pieds nus elle aussi.
Vous pouvez alors comprendre qu'il aurait été désobligeant de ma part que je boive au lieu de rendre hommage à cette beauté avec un regard admiratif.
L'apparition s'installe à une table voisine de la mienne.
Elle commande une boisson et fouille un moment dans sac pour enfin en sortir un paquet de cigarettes blondes. Elle en sort une. Sans hésiter je lui tends mon briquet allumé. Geste vieux comme le monde qui est à la fois galant et permet dans le même temps d'engager une conversation sans paraître importun. Cela me donne droit à un «Muchas gracias Senor» prononcé d'une voix rauque que rehausse son sourire. A mon tour, je lui souris et en profite pour me présenter :
« No me llamo Senor, me llamo Bruno, buenos dias! (Je ne m'appelle pas Monsieur, je m'appelle Bruno, bonjour).
- Yo soy Vera, buenos dias. »
De ce rapide préambule découle une conversation où j'apprends que Vera travaille dans une agence de publicité à Madrid et qu'elle est venue à Palma pour une semaine. Nous sympathisons d'autant plus vite que mon mauvais espagnol et son mauvais français donnent à notre conversation un côté fort amusant. Nos phrases sont entrecoupées de rires. Et tout le monde sait que le rire détend les corps mais aussi les esprits. Nous décidons très vite de continuer notre conversation ailleurs, à savoir sur la plage.
Par malchance, elle a un côté foire aux jambons assez déplaisant. Nous partons donc à la recherche d'un coin tranquille en contemplant tous ces corps allongés en train de rôtir. Je remarque que Vera regarde avec insistance les femmes les plus jolies. Je ne peux m'empêcher de le lui faire remarquer. Ce à quoi elle me dit comme si c'était la chose la plus naturelle du monde, qu'elle est bisexuelle. Je suis ravi d'entendre ça, et lui dis que moi aussi, je le suis, bisexuel.
Sa réaction spontanée me surprend car elle me dit :
« Bienvene Compadre ! »
Et me saute au cou, me prend la bouche, puis me dit pour se justifier quelle ne sait pas ce que sera notre avenir proche, mais que je risque d'avoir une surprise. J'ai beau insister, elle ne veut rien me dévoiler. Après tout, comme elle me le dit de sa belle voix rauque : « una sorpresa es una sorpresa ! Guapo ! »
Je me creuse l'esprit en vain, je ne vois pas ce que cela peut être. Il s'agit de sexe, sans aucun doute, mais le sujet est vaste. Bon attendons, nous verrons bien.
Nous arrivons en bout de plage, elle se termine par une pointe rocheuse. Je regarde ce qu'il y a derrière et je vois une petite crique où il n'y a qu'un couple. Et elle est moins exposée au soleil. Je prends Vera par la main et l'emmène dans cette petite crique. Nous nous allongeons sur le sable où nous reprenons notre conversation entrecoupée de rires joyeux. Je retire mon tee-shirt et elle son chemisier. Sa poitrine est de taille moyenne et ferme. Les aréoles sont larges et bien plus mates que sa peau, j'aime beaucoup ce contraste, j'y vois de l'érotisme, allez savoir pourquoi. Brusquement, n'y tenant plus je tends la main vers ses seins tout en lui disant :
« Permites, Bonita, es demasiado tentador ? » (Tu permets, ma belle, c'est trop tentant).
Je n'attends même pas sa réponse et pose ma main sur un de ses seins. Je ne m'étais pas trompé, il est ferme, la peau est douce. Vera semble sensible car sa peau frissonne et son téton se durcit.
« Excusa yo, Vera, era mas fuerte que yo (excuse-moi, Vera, c'était plus fort que moi) lui dis-je.
- Cual tunante eres Bruno ! » (Quel coquin tu es Bruno)
Ce reproche qui n'en est pas un finalement, me met en joie, car elle me laisse présager d'un proche avenir plutôt sympa.
Mon réflexe spontané et sa réaction pas forcément pleine de reproche nous fait éclater de rire. Mais nous cessons brusquement et je la prends dans mes bras pour l'embrasser. Non seulement elle ne me repousse pas mais encore elle se couche sur moi et fait danser son corps sur le mien. Je ne sais pas si c'est ce qu'elle cherchait à obtenir, mais je bande plus que dur. Elle s'en rend compte et son sourire me dit qu'elle est assez contente d'elle. Et pour mieux me le faire sentir, elle remue son bassin en l'appuyant contre le mien. Je n'en peux plus. A cet instant je regrette que nous ne soyons pas sur une plage du Cap d'Agde car là au moins nous aurions pu baiser sans que cela choque quelqu'un.
Vera continue son petit jeu jusqu'à ce qu'elle se rende compte que je viens de jouir dans mon short. C'est le moment qu'elle choisit pour s'arrêter, s'écarte de moi et contemplant ma braguette ornée d'une belle tache éclate d'un rire joyeux et moqueur.
Visiblement elle est satisfaite de la réussite de son petit jeu. Je ne tarde pas à l'imiter et éclate de rire à mon tour. Comment faire autrement ? Nous venons de passer un moment formidable. Puis je vais au bord de l'eau nettoyer la tache qui orne ma braguette. Je rejoins Vera qui a encore sur le visage le sourire de satisfaction de « sa victoire ».
Je m'allonge à ses côtés et nous parlons gentiment en attendant que mon grand pote le soleil ait fait sécher mon short. Cela se fait rapidement. Je propose à Vera que nous allions prendre un verre dans ma chambre d'hôtel. Elle accepte avec plaisir se lève d'un bond et me tend la main pour m'aider à me mettre sur mes deux pieds.
Elle me dit alors :
« buena idea, tengo ganas de beber ...tambien ! » (bonne idée, j'ai envie de boire...aussi).
Elle garde ma main dans la sienne et c'est ainsi que nous rejoignons mon hôtel. A la réception je commande une bouteille de boisson fraiche à livrer dans m a chambre et nous montons. J'ai à peine le temps d'ouvrir la baie vitrée et descendre le store pour nous faire un peu d'ombre, que le room-service apporte notre boisson. C'est une bonne chose ainsi nous pouvons Vera et moi nous lancer l'un contre l'autre pour nous faire l'amour.
Mais auparavant nous devons nous désaltérer. La chaleur et les émotions aidant nous a mis le gosier à sec. Confortablement installés sur le transat nous sirotons nos verres en silence. Silence vite troublé par Vera qui se lève soudain et me dit :
« Bruno, me voy a ducharme ! » (Je vais me doucher)
Et elle se dirige vers la salle de bain en ondulant des hanches d'une manière plus que provocante. Mais très vite, elle m’appelle :
« Bruno ! Ven conmigo ! » (Viens avec moi).
Bien entendu je ne me fais pas prier et cours la rejoindre.
Quel spectacle superbe ! Elle est sous la douche, nue évidemment et me tourne le dos, le spectacle est ravissant, je me débarrasse de mon short, me colle à elle et l'enlace. Elle penche la tête en arrière pour m'embrasser et esquisse dans le même temps un petit mouvement qui a le don de me faire bander immédiatement. Je tends ma main vers son bas ventre, cela fait quelques heures que j'avais envie de caresser sa chatte. Je l'imagine déjà. Totalement glabre bien sûr, des lèvres fines bien que charnues et un clito un peu proéminent, tout comme j'aime. Mais ce que touche mes doigts n'a rien à voir avec ça, j'ai un léger sursaut ponctué par le rire de Vera qui me dit :
« ! He aqui ! Era esto mi sorpresa ! ? Te gusta ? » (Voilà c'était ça ma surprise ! Ça te plait ?)
Vera est une transsexuelle. Son corps splendidement féminin est joliment décoré d'une queue.
Elle se retourne pour me faire face s'éloigne légèrement en écartant les bras, un grand sourire fendant son visage. Je contemple un moment sa queue, elle ne bande pas encore tout à fait elle est longue et fine, le gland recouvert du prépuce semble plus épais que sa verge. Le spectacle est beau. Et pour répondre à sa question, je m'agenouille et prend sa verge en bouche pour la sucer.
Aussitôt elle prend des proportions avantageuses et sans atteindre des dimensions propres à révolutionner le monde du sexe, sa queue est assez grande et épaisse pour donner du plaisir. Je la suce goulument, presque sans douceur comme si j'avais peur que ce mirage disparaisse soudain. Je constate que Vera, tout comme moi avait grande envie de jouir, car elle ne tarde pas à me remplir la bouche de son sperme. Je me relève pour l'embrasser. Nos langues se battent. Ce sera à celle des deux qui récupérera le plus de sperme. Jeu jouissif, s'il en est. Puis nous profitons de l'eau qui coule pour nous frotter l'un l'autre et enfin nous sortons de la salle de bain et nous dirigeons le corps mouillé vers la terrasse.
Vera est allongée sur le transat. Elle est belle ainsi, le reflet du soleil couchant sur sa peau nue fait briller l'eau de la douche et donne l'impression qu'elle est vêtue de perles. Je jouis du spectacle un moment puis lui prends la main. Vera tourne son visage vers moi en souriant puis me dit :
« Entonces ! Decepcionado o feliz de mi sorpresa ? » (Alors ! Déçu ou heureux de ma surprise ?)
- Yo? Feliz ? No ! Muy feliz ! Adoro a las mujeres a poll a!» (Moi ? Heureux ? Non très heureux, j'adore les femmes à bite).
A ces mots, Vera ne se sentant plus de joie ouvre un large bec et avale sa proie. Heu.... je veux dire elle se penche vers mon bas ventre et entame une pipe. (Mon vieux La Fontaine pardonne-moi d'avoir un peu dévoyé ta fable du Corbeau et du Renard). Ma queue se sent bien dans sa bouche. Vera a une langue particulièrement agile qui semble être partout à la fois.
Tu la crois te câlinant la hampe et elle est déjà sur mon gland. Ses lèvres ne sont pas en reste non plus qui me caressent la queue de bas en haut. Elle me suce à la fois vite et lentement, une pure merveille, j'aimerais que cela dure une éternité. Pour ralentir mon envie de jouir je me penche vers la bite de Vera pour la sucer. Ainsi dans ce 69 on peut tous les deux faire durer le plaisir, celui d'avoir une belle queue à sucer et celui de se faire sucer dans le même temps.
Ça donne une petite idée du paradis ce truc. On joue ainsi un long moment durant lequel nos mains caressent et doigtent l'anus de l'autre puis nous explosons presque simultanément dans la bouche de l’autre, et nous échangeons un long baiser pour partager notre plaisir.
« No conozco mejores tapas para un aperitivo ! » (je ne connais pas de meilleur amuse-gueule pour un apéritif) me dit Vera.
- Est-ce verdad ! » (c’est vrai), lui répondis-je.
Et d'un commun accord nous décidons de diner pour reprendre quelques forces. Je commande aussitôt qu'on nous monte un repas.
Ce diner au cours duquel nous avons échangé nos envies et nos goûts en matière de sexe se passa donc le mieux du monde. Une fois terminé, j'entraine Vera sur le lit, car il est grand temps qu'elle est moi passions aux choses sérieuses, car en ce qui me concerne j'ai vraiment grande envie de faire l'amour avec elle. L'ardeur avec laquelle elle se jette sur moi ne me laisse aucun doute, elle aussi en a envie. Allongé sur le lit j'ai la très agréable sensation d'être assailli par plusieurs jolies femmes tant Vera semble se multiplier et avoir encore plus de bras que la déesse indienne dont j'ai oublié le nom. Je sens ses mains partout sur mon corps qui me caressent avec une infinie douceur.
Elle m'assaille de la bouche et des mains avec cette délicatesse que l'on ne rencontre que chez une femme lorsqu'elle fait l'amour. Oui, Vera est née homme mais c'est vraiment une erreur de la nature car elle est vraiment femme au fond d'elle-même. Je n'ai plus rien à faire qu'à me laisser envahir par elle. C'est à ce point excitant qu'à chaque instant je crois que je vais exploser de plaisir. Et comme si sa bouche et ses mains ne suffisaient pas, elle a un façon très particulière de remuer son bassin sur mon pubis c'est une sorte de lambada langoureuse et lente.
Je n'y tiens plus, il faut que je la prenne, je veux jouir en elle. Je tente de le lui faire comprendre en la doigtant. L'avantage des méditerranéens c'est que nous savons parler avec les mains, aussi Vera comprend aussitôt ce que mes mains lui disent et elle s'empale sur moi et reprend sa danse érotique autour de ma queue. J'ai la sensation qu'elle caresse tour son intérieur en même temps. Extraordinaire ce bien-être je fais des efforts surhumains pour me retenir de jouir pour faire durer ce moment de paradis, mais cela devient de plus en plus difficile.
Vera gémit de plus en plus fort et me dit :
« Si, Bruno, si, quiero sentirte gozar en mi !! » (Oui, Bruno, oui, je veux te sentir jouir en moi !)
Je me laisse alors aller et me vide dans son ventre. J'avais tellement envie d'elle que j'ai l'impression que mon éjaculation est sans fin. Nous restons ainsi un long moment, moi en elle, et nous nous prenons la bouche comme des affamés. Pur moment de bonheur.
Vera se laisse glisser jusqu'à mon entrejambe et entreprend le nettoyage de ma bite. Elle fait cela avec gourmandise et aussi un brin de tendresse, cette fille est visiblement amoureuse des queues. Il est minuit passé et il fait encore très chaud. Je nous sers deux grands verres de Cuba Libre que nous allons boire sur la terrasse. Nous sommes appuyés à la balustrade et tout en sirotant notre boisson nous nous caressons. Vera à la peau très douce, la caresser m'excite et visiblement cela lui fait le même effet car elle bande. J'ai une furieuse envie de me faire prendre par sa jolie bite, je la prend en main,la caresse et dis à Vera :
« Guapa ! Dame por el culo tambien, por favor, enseguida ! » (ma belle! Encule moi aussi s'il te plait, tout de suite).
- Con mucho gusto, mi querido…» (avec plaisir mon chéri)
Une petite lumière éclaire suffisamment la terrasse pour que nous soyons vus ,si par hasard il y a des voyeurs quelque part. Personnellement cela ne m'a jamais gêné et Vera ne semble pas du tout embarrassée par cela non plus, alors je pose nos verres sur la table et m'appuie à la balustrade en tendant mes fesses à ma belle copine. Elle est splendide de féminité tout en arborant aussi une virilité fièrement dressée. Ce mélange trouble et pervers m'excite au plus haut point. Elle s'approche de moi, s'accroupit, écarte mes fesses et me fait une feuille de rose de toute beauté, et enfin elle me sodomise avec sa langue. J'en ai des frissons dans tout le corps et j'ai vraiment envie qu'elle me prenne et je le lui demande.
Vera, alors, me titille la rosette avec son gland épais, elle le fait lentement et fait durer le plaisir, presque sadique. Dans le même temps elle plaque de légers baisers sur ma colonne vertébrale. Là il devient de plus en plus urgent qu'elle entre en moi, je n'y tiens plus. Vera a du lire dans mes pensées car elle commence à me pénétrer. Elle le fait très très doucement en prenant tout son temps. Enfin elle est toute entière en moi. Qui n'a jamais été sodomisé ne peut pas connaître le plaisir que l'on ressent au moment où un sexe a pris place en soi. Nous tentons, Vera et moi, de déguster ce moment-là, puis je donne un léger coup de reins comme signal de départ. Ma belle copine commence alors sa chevauchée.
Difficile d'expliquer comment elle s'y prend mais on croirait qu'elle me baise avec rage mais aussi avec douceur.
C'est une jouissance de chaque instant. Et ce roulement des hanches qui fait caresser mon ventre de sa queue. C'est tellement fort que je bande à nouveau et me branle tout en gémissant. Vera est tout sauf éjaculateur précoce aussi ma sodomie dure fort longtemps. Les voyeurs éventuels ont de quoi se rincer l'œil. Moi j'ai de plus en plus envie qu'elle jouisse alors j'accélère le mouvement et enfin, enfin, Vera explose dans mon ventre en de longs jets. J'ai toujours adoré sentir le sperme couler en moi, c'est un pur plaisir. Vera reste en moi, se colle contre mon dos et nous restons ainsi jouissant de notre jouissance et du plaisir de la nuit chaude qui nous enveloppe…
La musique entrainante d'un orchestre de rue me sort de ma douce tropeur... et de mon rêve...
Il est 15 heures, nous sommes en plein mois de Juillet. Je suis en vacances, et je me prélasse à la terrasse d'un café face à une splendide plage proche de Palma de Majorque aux Baléares. Un arbre immense étend ses grandes branches et forme une sorte de dais et tamise ainsi la lumière du soleil. Bravant la chaleur, je tente le suprême effort de mettre en contact mon verre de jus d'orange frais et mes lèvres quand soudain une apparition de rêve entre dans mon champ visuel et arrête mon geste. Il serait extrêmement désobligeant que je boive alors qu'un spectacle de toute beauté s'offre à moi.
Je viens de voir passer devant moi de longs cheveux bruns qui encadrent un visage aux traits réguliers éclairé d'une paire d'yeux vert émeraude. Des pieds nus, une tenue légère composée d'un mini short en jean et d'un chemisier assez fin. La silhouette androgyne est très attirante cela réveille en moi ce grand désir de renouveler cette belle aventure que j'ai vécu il y a quelques années avec Claude ma belle .transsexuelle.
Ce souvenir est si fort que je bande. Ma tenue vestimentaire n'est pas idéale pour masquer mon érection, d'autant que mon short est assez léger, et que mon slip n'est pas prêt d'être acheté. Mais je m'en fous complètement. Impudique et sans gêne, je me dis que c'est une réaction humaine et naturelle et que celle ou celui qui s'en apercevra saura au moins que chez moi « tout » fonctionne et, qui sait, sera peut-être tenté par une aventure.
Alors, je continue à me désaltérer et jouir du chaud soleil d'été en attendant l'éventuelle drague d'une amatrice ou d'un amateur. Et je me demande si ces deux anglais, visiblement homosexuels, qui me regardent plus que très souvent, ne vont pas essayer de se rapprocher de moi. Surtout qu'à leur petit sourire, j'ai vu qu'ils avaient remarqué que je bandais au passage de l'androgyne. Enfin comme le disent si bien dans leur langue, que je ne parle pas :
« Wait and See ! »
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Le fantasme du viol...
Le train venait de s'ébranler et à mesure qu'il prenait de la vitesse, les gouttes de pluie fuyaient de plus en plus à l'horizontale sur les vitres du wagon.
Hélène serait à Paris dans un peu plus d'une heure. Pourquoi ? Le savait-elle elle-même ? Pour faire des soldes, surtout pour se vider la tête de tous ces doutes qui l'assaillent depuis des semaines, des mois. Le temps est maussade, et son humeur aussi. Hélène était préoccupée par l'espace grandissant que prenait internet dans son esprit. Au delà des fantasmes, elle avait l'impression d'avoir changé, de n'être plus la même. Ses désirs se faisaient omniprésents, nourris en cela par la frustration qu'offrait sa vie de couple actuelle.
Elle se sentait glisser sur une mauvaise pente: non seulement son esprit était infesté de fantasmes de plus en plus extrêmes, mais commandée par un internaute, elle était allée jusqu'à se masturber à son bureau en l'informant en temps réel de sa progression jusqu'à l'orgasme... Ce même internaute essayait maintenant de l'engager à venir à Paris pour s'exhiber devant des hommes.
Ce fantasme n'était pas pour lui déplaire: elle s'imaginait se dévêtir devant des voyeurs surexcités, elle même se caresser et recevoir les mots les plus crus... elle s'imaginait devant ces sexes dressés pour elle, rien que pour elle. Elle s'imaginait des mains qui s'enhardiraient jusqu'à pétrir un sein, se poser sur son minou... L'idée du viol, du dérapage non contrôlé n'étant jamais bien loin non plus. Elle les voyait tous jouir les un après les autre devant elle, ces décharges de foutre... tout ça pour elle. Une quantité de sperme inédite sous ses yeux.
Bien sûr, l'exhibition réelle faisait partie de ces fantasmes qu'il n'était pas question de réaliser. Simplement, la tentation était là, et elle était d'autant plus délicieuse qu'il lui serait si facile de contacter cet internaute à Paris et de le réaliser. En fait Hélène était dévorée de désirs, mais son éducation lui commandait de rester au dessus de ces pulsions animales et de tendre vers une certaine représentation de sa dignité... Voilà l'argument qu'elle se rappelait à elle même pour ne pas céder.
Ce faisant, la simple évocation de ces fantasmes avait réveillé une douce chaleur dans son ventre qui ne la quittera pas jusqu'à son arrivée à Paris.
L'arrivée à Saint Lazare se fit sous le soleil finalement. Tant mieux car Hélène n'était pas particulièrement habillée pour la pluie: bcbg, sexy, un brin Cyrillus sur les bords! Une provinciale pimpante se dit-elle. En tous cas il ne lui échappait pas que les regards de ces jeunes trentenaires pressés s'attardait quelques instants sur elle avant de glisser ailleurs. Elle se sentait belle, parce qu'elle était belle... et puis finalement, plutôt bien dans ses baskets.
Elle décidait de commencer sa journée par un magasin de déstockage dont on lui avait parlé: pour cela, traverser Paris, affronter le métro à l'heure de pointe. Il fallait prendre son courage à deux mains, mais à raison d'une ou deux fois par mois maximum, les transports parisiens ne lui étaient pas encore exaspérants.
Hélène fut la première à monter dans le wagon, ligne 13, derrière elle un flux de voyageurs s'engouffra et la confina dans le coin opposé à la porte. Elle se trouva plaquée contre un homme assez élégant, visage contre visage. Gêné, ce dernier parvint à se tourner légèrement, ainsi Hélène ne le voyait plus que de profil... Tandis qu'elle entendit une voix masculine s'excuser également de la promiscuité des corps. Il aurait fallu se retourner pour voir le visage de l'homme, ce qu'Hélène ne fit pas.
La rame s'élança, comme la plupart des voyageurs elle était en équilibre instable et les secousses l'amenaient à balancer vers l'un et l'autre de ces deux hommes. Elle sentit néanmoins que l'homme qui était derrière elle, et dont elle ne voyait que la main aimantée à une barre chromée, faisait de moins en mois d'efforts pour s'éloigner d'elle. Et à chaque trépidation l'homme s'appuyait de tout son poids contre elle. Sa main était belle, ses habits de grande qualité, Hélène imaginait un homme élégant et distingué... brun et ténébreux! Imperceptiblement elle se cambra très légèrement, pour prolonger chacun de ces mouvements de balancier.
Lorsque le conducteur de métro annonça qu'il faudrait attendre plusieurs minutes pour régulation du trafic, l'inconnu sembla tenter sa chance et se colla contre elle. Hélène accentua la pression, et dès quelques minutes, divine sensation: le sexe de l'homme qu'elle sentait flasque au début, commença à se raidir contre ses fesses... Son ventre se noua instantanément, accompagné d'une bouffée de chaleur. Hélène se sentit aussitôt dépassée! Un parfait inconnu pressait contre la raie de ses fesses son sexe en érection ! Elle aurait voulu tout arrêter, mais elle ne pouvait pas bouger, comment lui signifier sa désapprobation ? Mais au demeurant, quelle désapprobation ? Ne l'avait-elle pas encouragé en envoyant ses fesses à son contact ?
Et puis la situation ne lui était pas si désagréable, et il lui plaisait qu'un inconnu la désirât ainsi. Hélène décida se s'enhardir et de prendre dans sa main ce membre gorgé de sang et de désir... timidement ses doigts n'atteignirent guère que la jambe de l'homme. Suffisamment pour l'inciter à faire d'imperceptibles mouvements masturbatoires contre elle. Hélène se sentit trembler de fébrilité, surtout elle sentit cette chaleur envahir son bas ventre et son vagin s'humidifier à nouveau... Dans le même temps, elle se trouvait également coincée contre l'autre homme : son mont de vénus s'appuyait longuement contre sa cuisse tandis que son sein droit d'écrasait contre son bras. Il n'avait pas l'air d'y être insensible non plus!
Hélène était prise entre deux feux : l'homme devant avait établi le contact visuel et savourait le contact de cette femme contre sa jambe, de même que ce sein écrasé contre son bras. Mais il était trop bien élevé pour aller au delà, de son côté Hélène détournait le regard, malgré tout gênée par la situation.
Derrière, l'homme sans visage était au comble de son excitation : son sexe totalement raide était bien installé contre la raie de ses fesses. Hélène réfléchit, et tira la conclusion que celui ci était bien plus imposant que celui de son mari. Elle s'imaginait se retournant vers lui, découvrant un bel hidalgo, laissant ses mains descendre et libérer ce membre fier. Elle se voyait se mettre à genoux devant lui, son visage à hauteur de ce sexe, et déjà le prendre délicatement dans ses mains... enfin poser sa bouche sur ce gland finement sculpté et sentir ces secrétions sucrées qui caractérisent l'excitation d'un homme.
Hélène était désormais totalement excitée et sa cyprine n'inondait pas seulement que son vagin, mais se communiquait à son pubis et sa culotte... Lorsque soudain, elle sentit une main se poser sur son sexe, déclenchant une décharge de 100,000 volts ! Et un peu de panique, car jamais elle n'aurait imaginé qu'un homme autre que son mari puisse un jour atteindre son intimité.
Elle était paralysée... son souffle se fit soudain court... Elle ne voulait pas vraiment de cette situation mais se sentait incapable de réagir. Son cœur battait la chamade lorsque la main prenant des risques inconsidérés parvint à se glisser sous sa robe, atteignit son ventre puis redescendit se glissant entre le tissu de sa culotte et sa peau... roula sur son pubis... les doigts se crispèrent sur sa fente humide de tout son nectar.
La main se retira aussi soudainement... les portes s'ouvrirent et l'homme quitta le wagon sans plus de cérémonie. Hélène sentit un vide immense se créer autour d'elle. Une frustration sans pareil s'empara d'elle, aussi bien qu'un véritable soulagement...
Hélène reprenait peu à peu ses esprits, et l'excitation se dissipait. Le wagon s'est déjà bien clairsemé lorsqu'elle sortit à la station la plus proche de sa destination.
Sur le quai, elle chercha alors le numéro de la sortie à emprunter et opta pour la sortie quatre. Elle prit le couloir qui y menait. Ce couloir ressemblait à tous les couloirs du métro parisien, mais il était froid et désert. Lugubre et dépourvu de publicités. Hélène pressa le pas, lorsque soudain, elle fut violemment poussée en avant, elle se retrouva projetée contre le mur, tandis qu'une main ouvrait la porte du débarras juste à côté.
Hélène se retrouva face contre une table jonchée de bâches en plastique, de gants maculés de peinture, de poussière de plâtre. Sa tête était maintenue par une main puissante si bien qu'elle ne pouvait se retourner. La lourde porte s'était refermée sur eux. Elle voulait crier mais elle ne pouvait sortir un son de sa gorge. Presque aphone, elle put dire à son agresseur :
« Prenez mon sac ! Prenez il est là... »
Mais celui-ci lui répondit qu'il n'y avait pas lieu d'avoir peur, qu'il n'allait rien lui voler. Au contraire il était pour lui donner, pas lui prendre.
Alors que la main libre de cet homme cherchait à lui baisser son collant, Hélène comprit avec effroi qu'il s'agissait d'un viol. Elle chercha alors à dissuader son violeur :
« Arrêtez, je ne voulais pas vous provoquer, ce n'était pas ça... »
Les larmes la submergeaient à présent qu'elle se sentait totalement à la merci de l'homme qu'elle avait pris pour un torride gentleman. L'homme, d'une voix rocailleuse, lui dit alors qu'elle ne méritait que ça et commençait à devenir obscène.
De sa main, il était parvenu à baisser totalement le collant d'Hélène, et de son pied, il parvint à le lui enlever complètement. Le craquement de sa culotte la glaça d'effroi : elle réalisa à quel point elle devait être mouillée de l'instant d'avant et cet homme le savait parfaitement.
La tête maintenue vers le bas, elle voyait son minou. Elle était contrainte de le voir... son mont de vénus, recouvert de son joli pubis... Les mains étaient grosses, lourdes, calleuses, veinées et rugueuses. Ce n'était pas l'homme du train ! Il semblait rablé et sentait le tabac froid. Elle se sentit s'effondrer de l'intérieur, abattue.
Et soudain, elle vit apparaitre dans l'encadrement de ses jambes un sexe court et épais. Un gland noueux et violacé.
Hélène sentit son souffle écarter ses cheveux, et toujours cette main remonter sous sa robe pour pétrir ses seins grossièrement. Le torse poilu de cet homme appuyait lourdement sur le dos d'Hélène, ce qui lui permit de libérer sa deuxième main qui eut pour destination immédiate la fente...
Il se rendit immédiatement compte qu'Hélène était lubrifié,e et s'imagina qu'elle le désirait ardemment... s'en suivit un chapelet de mots crus à nouveau. Hélène était dans un état déjà second, elle voulait se battre mais la peur la paralysait.
Elle sentit surtout le sexe à moitié mou de l'homme se raidir et venir se plaquer contre sa vulve... L'homme passa ses doigts épais sur son intimité, et trouva l'entrée de sa grotte, il les sentit aussitôt enrobés du nectar que secrétait Hélène. Du nectar qu'avait secrété Hélène et qui, à son grand désespoir, était toujours en elle. Pour lui maintenant. Cela l'excita encore plus, et il présenta sa bite à l'entrée de son vagin. Le gland était large et pénétra lentement en elle. Une dernière fois, elle le supplia d'arrêter mais l'homme semblait sourd à toute supplique.
D'un coup, il s'enfonça autant qu'il put en elle. Les yeux rougis par les larmes, elle le sentait s'agiter dans tous les sens en elle et, au bout de deux minutes seulement... elle l'entendit pousser un râle de satisfaction. Il s'immobilisa lourdement sur elle et se retira...
Hélène, observait les lèvres de son sexe largement écartées... s'en échappait lentement le sperme de son violeur...
Elle n'eut pas le temps de reprendre ses esprits qu'un second homme entra. Sa voix était bien plus jeune.
« Gérard, tu es là ? Dis donc mon salaud ! Tu devais m'attendre !
- Regarde ce que je t'ai attrapé ! Allez vas-y, aide moi... Moi j'ai foiré, j'ai tout lâché en deux minutes...
- T'inquiète pas ! Tu vas voir, ouvre les yeux et regarde ton Dédé... »
Le jeune sortit son sexe et le passa sur les fesses d'Hélène. Il ne bandait pas encore, mais il était déjà long et assez fin. Le vieux se dégagea et glissa au sol. Il se positionna entre les jambes d'Hélène et entreprit de lui lécher le minou... son propre sperme souillait sa moustache et sa langue commençait à exciter le clitoris d'Hélène.
Si son viol par le vieux ne lui avait procuré aucune sensation, sa langue commençait à activer ses sens... Hélène sentait ses seins se raffermir... ça la dégoûtait, mais elle se sentait aspirée dans une spirale qu'elle ne maitriserait pas.
Derrière, il était évident que le jeune avait atteint le summum de son excitation. Il trouva directement l'entrée et Hélène sentit alors s'introduire en elle un sexe particulièrement long. D'emblée il la lima consciencieusement, le rythme était soutenu et parfaitement régulier. Chaque coup tapait le point G.
Hélène se sentit prise de panique, car tous les signes avant coureurs du plaisir apparaissaient, et plus elle luttait, plus c'était irrésistible. Son vagin se contracta peu à peu autour de cette bite qui s'activait et pompait en elle.
Le jeune, par ses mouvements, chassait complètement le sperme de son compère, qui mêlé à la cyprine à nouveau abondante, coulait le long des cuisses de la jeune femme. Le vieux continuait d'aspirer, de sucer le clitoris... et ce que redoutait Hélène arriva : elle sentit une déflagration en elle. Un puissant orgasme accompagné de râles de jouissance non dissimulés.
Le jeune se libéra à son tour en elle. Lorsqu'il se retira, Hélène s'effondra, hagarde sur le sol.
Elle reprit ses esprits quelques instants plus tard. Ils avaient disparu. Son regard glissa lentement vers son entrejambe martyrisé... son minou était inondé du foutre de ces deux ouvriers ou marginaux : qui étaient-ils ? Peu importe... elle rassembla ses affaires, puis sortit en titubant dans le couloir.
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hummm je me serais bien joins vous pour cette petite apres midi lubrique.