Les Mémoires très Libertines de Sophie
La mère et la fille
Mes fidèles lecteurs commencent à me connaître, et connaître mes habitudes libertines. L’histoire que je vais vous conter aujourd’hui remonte au début des années 90. Cela commence à dater, mais je conserve de la brève liaison que j’ai eue avec Martine, d’excellents souvenirs et une envie que je n’ai pas pu assouvir.
J’avais rencontré Martine dans un des clubs échangistes du centre de Paris dans lesquels j’avais mes habitudes. A 50 ans, j’avais des goûts simples, et la fréquentation des clubs me permettait de baiser sans complications… Les femmes plus ou moins jeunes qui les fréquentaient ne s’embarrassaient pas non plus ! Elles étaient là pour la même chose…
Un peu plus jeune que moi, Martine était une jolie femme (une « couguar » comme on les appelle maintenant). Grande, avec des formes bien arrondies, elle avait une poitrine opulente comme je les aime, avec des tétons proéminents et des globes d’un blanc laiteux avec de fines veines bleutées. Une taille étroite toujours ceinte d’une chaîne en or, des hanches larges et des fesses rondes bien galbées. Elle avait des yeux gris avec des rides d’expression, un nez un peu large et des lèvres qui appelaient le baiser et dont elle savait se servir pour sucer les bites qui s’offraient à elles. De longs cheveux gris cendré descendaient jusqu’au milieu du dos. Bref une belle femme qui était avide de sexe…
Le premier soir où nous nous sommes rencontrés, elle était au milieu d’un groupe de trois hommes d’une trentaine d’années et d’une femme dans une des salles du club. J’avais joué les voyeurs, regardant comment elle se faisait prendre en double pénétration après que la femme ait préparé son anus par une série de baisers plus ou moins profonds. Le troisième homme était dans sa bouche et la femme se caressait le minou en les matant elle aussi. C’était chaud ! En effet, son sodomite et celui qu’elle suçait sont venus cracher leur jouissance sur son dos pendant que celui qui lui prenait la chatte jouissait.
J’en avais assez vu et j’étais suffisamment excité par le spectacle que ce groupe m’avait offert si bien que j’ai coincé une jeunette dans le jacuzzi et je l’ai baisée en levrette, à moitié dans l’eau… Je l’avais remarquée au bar lorsque j’étais arrivé et elle m’avait attiré aussitôt. Nous nous sommes séparés rapidement et errant dans les différents salons, j’ai retrouvé Martine avec qui j’ai plaisanté en la félicitant de sa performance ! Cette coquine m’a dit alors :
« Je n’ai pas fini ma soirée ! J’en veux encore !
- OK ! Si un vieux te convient, je suis ton homme !
- Pas de problème ! A ce que je vois, une bite bien trapue mais pas trop longue, ça va être bon ! »
C’est vrai que depuis que j’étais sorti du jacuzzi, j’étais nu, retrouvant dans le club mes habitudes de nudité. Il n’y avait pas de soleil, mais cela ne me gênait pas… et je n’étais pas le seul à déambuler dans le plus simple appareil. Nous avions envie d’être seuls aussi avons-nous cherché une alcôve qui soit libre pour nous y refugier.
En fait, il s’agissait de celle où il y a deux fauteuils club et cuir qui font face à une sorte de siège avec des étriers, un siège un peu semblable à celui des gynécologues mais rembourré aux bons endroits pour être confortable. Ce siège a des utilisations variées ! Une femme peut s’y masturber à son aise devant les voyeurs assis dans les fauteuils, elle peut aussi se faire baiser, l’homme debout entre ses cuisses largement ouvertes… Mais nous ne l’avons pas utilisé, préférant un des vastes fauteuils où je me suis installé, Martine en travers de mes cuisses pour nous embrasser et nous cajoler jusqu’à ce que ma bite soit au maximum de sa bandaison.
Martine s’est placée d’elle-même en levrette, à genoux sur l’assise d’un des fauteuils et les bras en appui sur le haut du dossier. J’avais une vue imprenable sur ses fesses très fendues avec quelques poils qui folâtraient dans la raie et sa taille étroite bien marquée avec deux fossettes à la hauteur des reins. Elle avait encore le sphincter un peu dilaté de la double pénétration qu’elle avait subie quelques temps plus tôt, mais la prendre par la porte de service ne m’intéressait pas !
Ce que je voulais, c’est la baiser normalement, comme j’aime ! La levrette a toujours été une de mes positions préférée et là, je n’allais pas laisser passer cette opportunité de prendre cette belle femme dans la plénitude de ses 40 ans, une femme pour autant que j’en ai jugé, très chaude, ardente baiseuse. J’ai pris un préservatif se trouvant sur une petite table et dès que j’ai été couvert, j’ai glissé ma bite entre les cuisses de la belle, allant et venant sur sa fente humide avant de l’embrocher d’un coup sec qui a fait claquer mes cuisses contre son cul. Waouh ! Qu’elle était chaude ! Je sentais la chaleur de sa chatte au travers du préservatif et elle savait se servir des ses muscles intimes qui malaxaient mon gland chaque fois que j’arrivais tout au fond.
Même si j’avais déjà baisé quelques temps auparavant, là, je savourais et je voulais profiter le plus possible de cette quadra appétissante. Si je ne dédaigne pas faire l’amour avec une femme bien plus jeune, à mon âge, il est préférable de tomber sur une femelle expérimentée, suffisamment patiente pour accepter une montée plus progressive de la jouissance pour bien s’éclater.
Mes mains autour de sa taille, j’allais et venais dans sa chatte, parfois doucement, parfois plus vite et d’une manière plus virile en faisant claquer mon ventre contre ses belles fesses bien rondes qui se logeaient dans le creux de l’aine. Tantôt Martine inclinait sa tête vers l’avant comme pour regarder par en dessous les va-et-vient de ma bite dans son vagin, tantôt elle la relevait et en la faisant tourner dans tous les sens, elle balayait son dos de ses longs cheveux ! C’était très érotique et très stimulant à la fois ! On aurait dit, une cavale en colère alors qu’elle savourait tout autant que moi ce que nous faisions.
Je sentais la jouissance monter doucement dans mes reins et je crois que cela devait être la même chose pour Martine qui se ruait de plus en plus fort au devant de la pénétration de mon sexe. Je ne me retenais plus et je copulais de plus en plus vite si bien que soudain, je me suis lâché au fond de la capote, remplissant le bout de plusieurs jets généreux, et là, c’est Martine qui a joui à son tour ! De me sentir gicler au fond de sa chatte, elle s’est mise à jouir, poussant un feulement rauque, expression de son plaisir.
Quand nous nous sommes désunis, elle s’est tournée vers moi en disant :
« Tu me fais un sacré coquin ! Je t’ai vu baiser vite fait avec une jeunette mais là, tu as su m’emmener au 7ème ciel. Tu m’as baisée comme j’aime !
- Tant mieux ! C’était aussi très bon pour moi ! Je peux te retourner le compliment : tu es un bon coup ! »
Après nous être essuyé le sexe, nous avons trouvé deux paréos que nous avons noués autour de notre taille et nous sommes allés au bar où nous avons pris un pot tout en bavardant. L’un et l’autre, nous étions libres de toute attache sentimentale et nous avons convenu de nous revoir pour d’autres sorties en club. L’un et l’autre, nous savions que ces soirs là, nous n’aurions pas d’exclusive et cela ne nous gênait pas ! Nous serions là pour baiser, ensemble ou séparément avec des partenaires de rencontre… Puis nos relations ont évolué. Martine a accepté de venir finir la nuit chez moi et au moins une fois par semaine, elle venait désormais me retrouver pour passer la nuit et nous ne nous privions pas de nous envoyer en l’air… pour notre plus grande satisfaction.
Cela a duré jusqu’aux vacances estivales. La dernière fois où nous sommes sortis en club, Martine est arrivée avec un jeune couple à plus de minuit. Je l’avais attendue depuis près d’une heure. Elle s’est excusée de son retard et m’a présenté sa fille Marina et Serge, son copain du moment :
« Ces deux coquins ont envie de découvrir le libertinage ! Quoi de mieux qu’une première sortie en club avec des personnes qu’on connait ?
- Je suis tout à fait d’accord ! »
Nous avons pris un pot tous les quatre au bar avant de déambuler en couple dans les divers locaux où les activités coquines étaient bien lancées en ce samedi soir ! Martine avait glissé son bras sous celui de Serge, et j’étais avec Marina. Cette dernière ressemblait beaucoup à sa mère, les mêmes cheveux noirs longs et ondulés naturellement, le même visage ovale éclairé par des grands yeux bleu foncé, des lèvres pulpeuses, qui si elles étaient aussi bonnes que celles de Martine devaient bien sucer ! Aussi grandes l’une que l’autre, la seule différence résidait dans les formes qui étaient plus menues : une jolie poitrine se devinait sous le haut de la robe bustier et des hanches rondes assez peu marquées sous la taille.
Quand nous eûmes terminé notre visite des lieux, nous nous sommes séparés. Avec Martine, nous sommes allés dans le coin balnéo où, après nous être déshabillés entièrement, nous nous sommes glissés dans un jacuzzi. Nous avons été rejoints par un homme d’une trentaine d’années et chacun d’un côté de Martine, nous avons entrepris de la caresser, l’un s’occupait de la poitrine pendant que l’autre fourrageait dans la fourche des cuisses parcourue par les bulles et les remous du bassin. Martine masturbait doucement nos membres qui bandaient déjà bien.
Soudain, elle s’est redressée et elle est sortie du bassin pour aller s’allonger sur un des matelas de plage étendus à proximité en nous disant :
« Venez ! Rejoignez-moi ! »
Comment résister à pareille invitation ? Martine avait envie d’avoir deux hommes pour la contenter, et bien, c’est ce que nous avons fait ! Pendant que Manuel, notre compagnon lui faisait un cunnilingus, Martine me suçait comme elle sait si bien le faire. Puis, elle a fait coucher Manuel sur le dos, la bite dressée comme un mat. Elle a couvert ce sexe long et fin avec un gland proéminent et s’est empalée le cul sur ce sceptre de chair en me disant :
« Viens, prends-moi devant ! »
Je me suis placé entre ses cuisses et celles de Manuel et je me suis introduit dans sa chatte accueillante ! Elle était bouillante et humide si bien que j’ai entré sans difficulté ma queue courte et trapue. Nous avons accordé nos mouvements jusqu’à ce que tous les trois nous partions dans une jouissance de folie qui nous a arraché des grognements de plaisir.
Manuel nous a quittés rapidement en nous disant qu’il allait retrouver sa femme qui devait avoir terminé son premier gang bang ! Quand j’ai dit à Martine que je me ferais bien sa fille, elle m’a rétorqué que cela m’étonnerait qu’elle accepte car elle n’aimait que les jeunes hommes.
Bref, je suis resté sur ma faim et après les vacances, je n’ai plus revu Martine, et dans le club que nous fréquentions habituellement, personne n’avait de ses nouvelles…
J’avais rencontré Martine dans un des clubs échangistes du centre de Paris dans lesquels j’avais mes habitudes. A 50 ans, j’avais des goûts simples, et la fréquentation des clubs me permettait de baiser sans complications… Les femmes plus ou moins jeunes qui les fréquentaient ne s’embarrassaient pas non plus ! Elles étaient là pour la même chose…
Un peu plus jeune que moi, Martine était une jolie femme (une « couguar » comme on les appelle maintenant). Grande, avec des formes bien arrondies, elle avait une poitrine opulente comme je les aime, avec des tétons proéminents et des globes d’un blanc laiteux avec de fines veines bleutées. Une taille étroite toujours ceinte d’une chaîne en or, des hanches larges et des fesses rondes bien galbées. Elle avait des yeux gris avec des rides d’expression, un nez un peu large et des lèvres qui appelaient le baiser et dont elle savait se servir pour sucer les bites qui s’offraient à elles. De longs cheveux gris cendré descendaient jusqu’au milieu du dos. Bref une belle femme qui était avide de sexe…
Le premier soir où nous nous sommes rencontrés, elle était au milieu d’un groupe de trois hommes d’une trentaine d’années et d’une femme dans une des salles du club. J’avais joué les voyeurs, regardant comment elle se faisait prendre en double pénétration après que la femme ait préparé son anus par une série de baisers plus ou moins profonds. Le troisième homme était dans sa bouche et la femme se caressait le minou en les matant elle aussi. C’était chaud ! En effet, son sodomite et celui qu’elle suçait sont venus cracher leur jouissance sur son dos pendant que celui qui lui prenait la chatte jouissait.
J’en avais assez vu et j’étais suffisamment excité par le spectacle que ce groupe m’avait offert si bien que j’ai coincé une jeunette dans le jacuzzi et je l’ai baisée en levrette, à moitié dans l’eau… Je l’avais remarquée au bar lorsque j’étais arrivé et elle m’avait attiré aussitôt. Nous nous sommes séparés rapidement et errant dans les différents salons, j’ai retrouvé Martine avec qui j’ai plaisanté en la félicitant de sa performance ! Cette coquine m’a dit alors :
« Je n’ai pas fini ma soirée ! J’en veux encore !
- OK ! Si un vieux te convient, je suis ton homme !
- Pas de problème ! A ce que je vois, une bite bien trapue mais pas trop longue, ça va être bon ! »
C’est vrai que depuis que j’étais sorti du jacuzzi, j’étais nu, retrouvant dans le club mes habitudes de nudité. Il n’y avait pas de soleil, mais cela ne me gênait pas… et je n’étais pas le seul à déambuler dans le plus simple appareil. Nous avions envie d’être seuls aussi avons-nous cherché une alcôve qui soit libre pour nous y refugier.
En fait, il s’agissait de celle où il y a deux fauteuils club et cuir qui font face à une sorte de siège avec des étriers, un siège un peu semblable à celui des gynécologues mais rembourré aux bons endroits pour être confortable. Ce siège a des utilisations variées ! Une femme peut s’y masturber à son aise devant les voyeurs assis dans les fauteuils, elle peut aussi se faire baiser, l’homme debout entre ses cuisses largement ouvertes… Mais nous ne l’avons pas utilisé, préférant un des vastes fauteuils où je me suis installé, Martine en travers de mes cuisses pour nous embrasser et nous cajoler jusqu’à ce que ma bite soit au maximum de sa bandaison.
Martine s’est placée d’elle-même en levrette, à genoux sur l’assise d’un des fauteuils et les bras en appui sur le haut du dossier. J’avais une vue imprenable sur ses fesses très fendues avec quelques poils qui folâtraient dans la raie et sa taille étroite bien marquée avec deux fossettes à la hauteur des reins. Elle avait encore le sphincter un peu dilaté de la double pénétration qu’elle avait subie quelques temps plus tôt, mais la prendre par la porte de service ne m’intéressait pas !
Ce que je voulais, c’est la baiser normalement, comme j’aime ! La levrette a toujours été une de mes positions préférée et là, je n’allais pas laisser passer cette opportunité de prendre cette belle femme dans la plénitude de ses 40 ans, une femme pour autant que j’en ai jugé, très chaude, ardente baiseuse. J’ai pris un préservatif se trouvant sur une petite table et dès que j’ai été couvert, j’ai glissé ma bite entre les cuisses de la belle, allant et venant sur sa fente humide avant de l’embrocher d’un coup sec qui a fait claquer mes cuisses contre son cul. Waouh ! Qu’elle était chaude ! Je sentais la chaleur de sa chatte au travers du préservatif et elle savait se servir des ses muscles intimes qui malaxaient mon gland chaque fois que j’arrivais tout au fond.
Même si j’avais déjà baisé quelques temps auparavant, là, je savourais et je voulais profiter le plus possible de cette quadra appétissante. Si je ne dédaigne pas faire l’amour avec une femme bien plus jeune, à mon âge, il est préférable de tomber sur une femelle expérimentée, suffisamment patiente pour accepter une montée plus progressive de la jouissance pour bien s’éclater.
Mes mains autour de sa taille, j’allais et venais dans sa chatte, parfois doucement, parfois plus vite et d’une manière plus virile en faisant claquer mon ventre contre ses belles fesses bien rondes qui se logeaient dans le creux de l’aine. Tantôt Martine inclinait sa tête vers l’avant comme pour regarder par en dessous les va-et-vient de ma bite dans son vagin, tantôt elle la relevait et en la faisant tourner dans tous les sens, elle balayait son dos de ses longs cheveux ! C’était très érotique et très stimulant à la fois ! On aurait dit, une cavale en colère alors qu’elle savourait tout autant que moi ce que nous faisions.
Je sentais la jouissance monter doucement dans mes reins et je crois que cela devait être la même chose pour Martine qui se ruait de plus en plus fort au devant de la pénétration de mon sexe. Je ne me retenais plus et je copulais de plus en plus vite si bien que soudain, je me suis lâché au fond de la capote, remplissant le bout de plusieurs jets généreux, et là, c’est Martine qui a joui à son tour ! De me sentir gicler au fond de sa chatte, elle s’est mise à jouir, poussant un feulement rauque, expression de son plaisir.
Quand nous nous sommes désunis, elle s’est tournée vers moi en disant :
« Tu me fais un sacré coquin ! Je t’ai vu baiser vite fait avec une jeunette mais là, tu as su m’emmener au 7ème ciel. Tu m’as baisée comme j’aime !
- Tant mieux ! C’était aussi très bon pour moi ! Je peux te retourner le compliment : tu es un bon coup ! »
Après nous être essuyé le sexe, nous avons trouvé deux paréos que nous avons noués autour de notre taille et nous sommes allés au bar où nous avons pris un pot tout en bavardant. L’un et l’autre, nous étions libres de toute attache sentimentale et nous avons convenu de nous revoir pour d’autres sorties en club. L’un et l’autre, nous savions que ces soirs là, nous n’aurions pas d’exclusive et cela ne nous gênait pas ! Nous serions là pour baiser, ensemble ou séparément avec des partenaires de rencontre… Puis nos relations ont évolué. Martine a accepté de venir finir la nuit chez moi et au moins une fois par semaine, elle venait désormais me retrouver pour passer la nuit et nous ne nous privions pas de nous envoyer en l’air… pour notre plus grande satisfaction.
Cela a duré jusqu’aux vacances estivales. La dernière fois où nous sommes sortis en club, Martine est arrivée avec un jeune couple à plus de minuit. Je l’avais attendue depuis près d’une heure. Elle s’est excusée de son retard et m’a présenté sa fille Marina et Serge, son copain du moment :
« Ces deux coquins ont envie de découvrir le libertinage ! Quoi de mieux qu’une première sortie en club avec des personnes qu’on connait ?
- Je suis tout à fait d’accord ! »
Nous avons pris un pot tous les quatre au bar avant de déambuler en couple dans les divers locaux où les activités coquines étaient bien lancées en ce samedi soir ! Martine avait glissé son bras sous celui de Serge, et j’étais avec Marina. Cette dernière ressemblait beaucoup à sa mère, les mêmes cheveux noirs longs et ondulés naturellement, le même visage ovale éclairé par des grands yeux bleu foncé, des lèvres pulpeuses, qui si elles étaient aussi bonnes que celles de Martine devaient bien sucer ! Aussi grandes l’une que l’autre, la seule différence résidait dans les formes qui étaient plus menues : une jolie poitrine se devinait sous le haut de la robe bustier et des hanches rondes assez peu marquées sous la taille.
Quand nous eûmes terminé notre visite des lieux, nous nous sommes séparés. Avec Martine, nous sommes allés dans le coin balnéo où, après nous être déshabillés entièrement, nous nous sommes glissés dans un jacuzzi. Nous avons été rejoints par un homme d’une trentaine d’années et chacun d’un côté de Martine, nous avons entrepris de la caresser, l’un s’occupait de la poitrine pendant que l’autre fourrageait dans la fourche des cuisses parcourue par les bulles et les remous du bassin. Martine masturbait doucement nos membres qui bandaient déjà bien.
Soudain, elle s’est redressée et elle est sortie du bassin pour aller s’allonger sur un des matelas de plage étendus à proximité en nous disant :
« Venez ! Rejoignez-moi ! »
Comment résister à pareille invitation ? Martine avait envie d’avoir deux hommes pour la contenter, et bien, c’est ce que nous avons fait ! Pendant que Manuel, notre compagnon lui faisait un cunnilingus, Martine me suçait comme elle sait si bien le faire. Puis, elle a fait coucher Manuel sur le dos, la bite dressée comme un mat. Elle a couvert ce sexe long et fin avec un gland proéminent et s’est empalée le cul sur ce sceptre de chair en me disant :
« Viens, prends-moi devant ! »
Je me suis placé entre ses cuisses et celles de Manuel et je me suis introduit dans sa chatte accueillante ! Elle était bouillante et humide si bien que j’ai entré sans difficulté ma queue courte et trapue. Nous avons accordé nos mouvements jusqu’à ce que tous les trois nous partions dans une jouissance de folie qui nous a arraché des grognements de plaisir.
Manuel nous a quittés rapidement en nous disant qu’il allait retrouver sa femme qui devait avoir terminé son premier gang bang ! Quand j’ai dit à Martine que je me ferais bien sa fille, elle m’a rétorqué que cela m’étonnerait qu’elle accepte car elle n’aimait que les jeunes hommes.
Bref, je suis resté sur ma faim et après les vacances, je n’ai plus revu Martine, et dans le club que nous fréquentions habituellement, personne n’avait de ses nouvelles…
A trois sous la douche - la fin
Samedi vingt heures, je frappe à la porte de Naima et Gilles. De la musique couvre imperceptiblement les conversations qui semblent aller bon train entre les divers convives. Dès mon entrée, Naima m’enlace et plaque un baiser langoureux sur mes lèvres, dardant une langue pointure qui s’insinue brièvement dans ma bouche puis elle me présente :
« Voici Agathe ! Ma voisine du dessous ! Vous verrez, elle a des talents cachés… »
Que veut-elle dire par là ? Je n’ai pas le temps de dire un seul mot et je me retrouve avec une coupe à la main. L’homme qui semble le plus âgé s’exclame alors :
« Puisque tout le monde est arrivé, c’est le moment de souhaiter son anniversaire à Gilles ! Bon anniversaire mon coquin ! »
Aussitôt, les compagnes des autres hommes se précipitent sur Gilles pour l’embrasser à tour de rôle sur la bouche puis, comme si elles s’étaient donné le mot, elles entreprennent de le déshabiller, ne lui laissant que son boxer dans lequel sa queue est déjà à moitié dressée. Naima me dit alors :
« Viens, nous allons nous occuper de leurs hommes ! À toi Jérémie, à moi Frédo ! »
Vous le savez, je ne suis pas prude et quand il s’agit de jouer les coquines, je ne suis pas en reste. Naima m’a réservé le « beau gosse ». Jérémie est bâti en athlète, grand, les épaules larges, un visage carré aux yeux bleus rieurs et une tignasse blonde comme les blés murs, et une bouche, je vous dis pas, elle me fait littéralement baver tant ses lèvres sont sensuelles ! Au fur et à mesure de son déshabillage, je découvre un corps aux muscles bien dessinés et lorsqu’il ne porte plus que son mini slip, j’ai comme un choc : je n’ai jamais vu un sexe aussi long et gros même au repos. Qu’est ce que çà va être lorsqu’il va être bandé !
Naima n’a pas perdu de temps ! Elle est en avance sur moi d’une bonne longueur : Frédo est complètement à poil, et ma copine a entamé une fellation qui a l’air de satisfaire son partenaire. En même temps qu’elle le suce et tenant la bite d’une main, elle caresse les couilles de l’autre. Quant à moi, il y a déjà quelques minutes que Jérémie a fait passer ma robe par-dessus ma tête et je n’ai plus qu’un minuscule string pour masquer mon intimité. En fait, elle n’est masquée que par un morceau de dentelle à peine plus large que ma main ! Je me doutais un peu de ce qui allait se passer… aussi, il était inutile de s’embarrasser de vêtements superflus !
En moins de cinq minutes, nous étions sept hommes et femmes pratiquement nus ! Catherine et Véronique, les compagnes respectives de Jérémie et de Frédo avaient déshabillé Gilles et elles se partageaient sa queue dans une fellation à deux bouches. Gilles semblait aux anges, il savourait sa fellation les yeux clos et un sourire béat sur les lèvres. Les quatre femmes, nous faisions monter la pression en suçant les mecs mais celui qui m’a le plus surpris, c’est Jérémie. D’un seul mouvement, il m’a fait basculer si bien que nous nous sommes retrouvés dans un 69 vertical, où il me maintenait par la taille de ses bras puissants. J’avais sa bite à bonne hauteur et lui, il avait ma fourche intime à déguster. Waouh c’était chaud si bien que j’ai rapidement perdu de vue ce que les autres faisaient pour savourer le cunnilingus et m’appliquer sur ce merveilleux bâton de chair…
Mais Jérémie arrête de manger ma chatte, il me fait basculer à nouveau et m’allonge à même le sol couvert d’une épaisse moquette. Il se couvre rapidement et plante son estoc au plus profond de ma chatte. Il est tellement long et gros que j’ai l’impression de manquer d’air, mais quand il commence le va et vient, je commence à délirer aussitôt tant il me baise bien, sortant et entrant alternativement de mon sexe pour mieux me reprendre sur un rythme lent au début mais qui s’accélère peu à peu !
En tournant la tête d’un côté, j’aperçois Gilles couché sur le dos et Véronique est empalée en amazone sur son sexe. Catherine, quant à elle, elle est à cheval sur la tête de Gilles qui lui mange la chatte. Les deux filles se font face et s’embrassent en se caressant mutuellement la poitrine ou le pubis ! De l’autre côté, c’est Naima qui est prise en levrette par Frédo qui la baise à longs traits !
Quand ma voisine m’avait dit quelques jours auparavant que la soirée d’anniversaire de Gilles risquait d’être chaude, elle ne se trompait pas ou alors, ils étaient habitués au libertinage. Ce n’était qu’halètement de plaisir, de cris de jouissance quand la délivrance arrive, ce qui ne tarde pas à m’emporter à mon tour. Lorsque Jérémie se tétanise dans ma chatte au moment où le plaisir le prend, je sens les abondants jets de sa semence frapper le fond du préservatif. Il se déverse dans un râle puissant. Waouh ! Qu’est-ce qu’il m’a mis !
Nous restons ainsi de longues minutes à savourer le plaisir qui nous a emporté quand Naima s’adresse à nous :
« Alors, je te l’avais bien dit qu’Agathe était une bonne ! »
Alors que Frédo baise toujours Naima qu’il a déjà fait jouir une première fois sans se lâcher, cette coquine nous embrasse tour à tour, passant de ma bouche à celle de Jérémie… puis, quand ce dernier sort de ma chatte, il se tourne vers elle pour qu’elle ôte la capote. Naima se délecte des sucs mélangés, léchant la hampe et tétant goulument le gland si bien que Jérémie est de nouveau bandé à mort, prêt à baiser la prochaine femme qui s’offrira à lui ! C’est Catherine qui, ayant déjà joui une fois sous la langue de Gilles, s’approche de lui avec un air lubrique et lui dit :
« Ma chatte ou mon cul ! Tu choisis ! »
Jérémie lui rétorque :
« Ton cul bien sur ! Mais tu vas me sentir passer ! »
Catherine s’agenouille sur le tapis, se baisse et plaçant ses mains sur ses globes fessiers comme pour mieux s’ouvrir elle dit à la cantonade :
« Venez voir comment je vais absorber la belle bite de Jérémie ! Ça fait des mois que je rêve de la prendre dans mon cul ! »
Naima couvre la queue de Jérémie d’un nouveau préservatif et injecte du gel dans l’antre interdit de Catherine en disant à celui qui m’a si bien fait reluire quelques instants auparavant :
« Vas-y doucement ! Même si cette garce dit qu’elle est prête, je sais pour avoir déjà goûté à ta bite dans mon passage arrière, que tu vas la défoncer ! »
Jérémie saisit la taille de Catherine entre ses mains puissantes, approche sa queue de la fente du cul qui s’offre à lui et place le gland à l’entrée du sphincter. Quand il pousse doucement, l’anneau plissé s’ouvre lentement et bientôt c’est la bite entière qui est entrée. Pour y avoir goûté quelques temps plus tôt dans mon vagin, j’imagine ce que peut ressentir Catherine qui est fourrée à fond ! Mais je ne suis pas prête à accepter un tel engin dans mon cul ! Avec Naima, nous regardons les deux partenaires et si cela était besoin, observer cette sodomie savante nous excite encore plus si bien que nous caressons nos chattes respectives devant eux…
Cette salope de Catherine encourage Jérémie en lui disant de la prendre plus fort, plus à fond, les traitant de tous les noms… quand nous entendons Véronique dire à Gilles et Frédo :
« Je me prendrais bien une double ! Êtes-vous partants ? »
Ces deux coquins acceptent instantanément et c’est Gilles qui s’y colle en premier. La bite dressée sur son pubis, il s’allonge sur le dos pour que Véro s’empale sur sa queue. Dès qu’il est bien ancré au fond de son cul, il prend les seins opulents dans ses mains et couche Véro sur lui ! Ainsi Frédo va pouvoir lui baiser la chatte. A ce moment là, je l’envie de se faire prendre ainsi sans imaginer que plus tard dans la soirée, je vais avoir le plaisir de goûter à la bite de Gilles dans mon cul et à la queue de Jérémie dans ma chatte.
Nous avons partouzé ainsi une bonne partie de la nuit, toutes les femmes ont été baisées ou enculées à plusieurs reprises. Les mecs étaient vraiment endurants, mais cela ne nous à pas empêchés de nous écrouler un peu partout sur les tapis et canapés, repus de jouissances et de fatigue…
« Voici Agathe ! Ma voisine du dessous ! Vous verrez, elle a des talents cachés… »
Que veut-elle dire par là ? Je n’ai pas le temps de dire un seul mot et je me retrouve avec une coupe à la main. L’homme qui semble le plus âgé s’exclame alors :
« Puisque tout le monde est arrivé, c’est le moment de souhaiter son anniversaire à Gilles ! Bon anniversaire mon coquin ! »
Aussitôt, les compagnes des autres hommes se précipitent sur Gilles pour l’embrasser à tour de rôle sur la bouche puis, comme si elles s’étaient donné le mot, elles entreprennent de le déshabiller, ne lui laissant que son boxer dans lequel sa queue est déjà à moitié dressée. Naima me dit alors :
« Viens, nous allons nous occuper de leurs hommes ! À toi Jérémie, à moi Frédo ! »
Vous le savez, je ne suis pas prude et quand il s’agit de jouer les coquines, je ne suis pas en reste. Naima m’a réservé le « beau gosse ». Jérémie est bâti en athlète, grand, les épaules larges, un visage carré aux yeux bleus rieurs et une tignasse blonde comme les blés murs, et une bouche, je vous dis pas, elle me fait littéralement baver tant ses lèvres sont sensuelles ! Au fur et à mesure de son déshabillage, je découvre un corps aux muscles bien dessinés et lorsqu’il ne porte plus que son mini slip, j’ai comme un choc : je n’ai jamais vu un sexe aussi long et gros même au repos. Qu’est ce que çà va être lorsqu’il va être bandé !
Naima n’a pas perdu de temps ! Elle est en avance sur moi d’une bonne longueur : Frédo est complètement à poil, et ma copine a entamé une fellation qui a l’air de satisfaire son partenaire. En même temps qu’elle le suce et tenant la bite d’une main, elle caresse les couilles de l’autre. Quant à moi, il y a déjà quelques minutes que Jérémie a fait passer ma robe par-dessus ma tête et je n’ai plus qu’un minuscule string pour masquer mon intimité. En fait, elle n’est masquée que par un morceau de dentelle à peine plus large que ma main ! Je me doutais un peu de ce qui allait se passer… aussi, il était inutile de s’embarrasser de vêtements superflus !
En moins de cinq minutes, nous étions sept hommes et femmes pratiquement nus ! Catherine et Véronique, les compagnes respectives de Jérémie et de Frédo avaient déshabillé Gilles et elles se partageaient sa queue dans une fellation à deux bouches. Gilles semblait aux anges, il savourait sa fellation les yeux clos et un sourire béat sur les lèvres. Les quatre femmes, nous faisions monter la pression en suçant les mecs mais celui qui m’a le plus surpris, c’est Jérémie. D’un seul mouvement, il m’a fait basculer si bien que nous nous sommes retrouvés dans un 69 vertical, où il me maintenait par la taille de ses bras puissants. J’avais sa bite à bonne hauteur et lui, il avait ma fourche intime à déguster. Waouh c’était chaud si bien que j’ai rapidement perdu de vue ce que les autres faisaient pour savourer le cunnilingus et m’appliquer sur ce merveilleux bâton de chair…
Mais Jérémie arrête de manger ma chatte, il me fait basculer à nouveau et m’allonge à même le sol couvert d’une épaisse moquette. Il se couvre rapidement et plante son estoc au plus profond de ma chatte. Il est tellement long et gros que j’ai l’impression de manquer d’air, mais quand il commence le va et vient, je commence à délirer aussitôt tant il me baise bien, sortant et entrant alternativement de mon sexe pour mieux me reprendre sur un rythme lent au début mais qui s’accélère peu à peu !
En tournant la tête d’un côté, j’aperçois Gilles couché sur le dos et Véronique est empalée en amazone sur son sexe. Catherine, quant à elle, elle est à cheval sur la tête de Gilles qui lui mange la chatte. Les deux filles se font face et s’embrassent en se caressant mutuellement la poitrine ou le pubis ! De l’autre côté, c’est Naima qui est prise en levrette par Frédo qui la baise à longs traits !
Quand ma voisine m’avait dit quelques jours auparavant que la soirée d’anniversaire de Gilles risquait d’être chaude, elle ne se trompait pas ou alors, ils étaient habitués au libertinage. Ce n’était qu’halètement de plaisir, de cris de jouissance quand la délivrance arrive, ce qui ne tarde pas à m’emporter à mon tour. Lorsque Jérémie se tétanise dans ma chatte au moment où le plaisir le prend, je sens les abondants jets de sa semence frapper le fond du préservatif. Il se déverse dans un râle puissant. Waouh ! Qu’est-ce qu’il m’a mis !
Nous restons ainsi de longues minutes à savourer le plaisir qui nous a emporté quand Naima s’adresse à nous :
« Alors, je te l’avais bien dit qu’Agathe était une bonne ! »
Alors que Frédo baise toujours Naima qu’il a déjà fait jouir une première fois sans se lâcher, cette coquine nous embrasse tour à tour, passant de ma bouche à celle de Jérémie… puis, quand ce dernier sort de ma chatte, il se tourne vers elle pour qu’elle ôte la capote. Naima se délecte des sucs mélangés, léchant la hampe et tétant goulument le gland si bien que Jérémie est de nouveau bandé à mort, prêt à baiser la prochaine femme qui s’offrira à lui ! C’est Catherine qui, ayant déjà joui une fois sous la langue de Gilles, s’approche de lui avec un air lubrique et lui dit :
« Ma chatte ou mon cul ! Tu choisis ! »
Jérémie lui rétorque :
« Ton cul bien sur ! Mais tu vas me sentir passer ! »
Catherine s’agenouille sur le tapis, se baisse et plaçant ses mains sur ses globes fessiers comme pour mieux s’ouvrir elle dit à la cantonade :
« Venez voir comment je vais absorber la belle bite de Jérémie ! Ça fait des mois que je rêve de la prendre dans mon cul ! »
Naima couvre la queue de Jérémie d’un nouveau préservatif et injecte du gel dans l’antre interdit de Catherine en disant à celui qui m’a si bien fait reluire quelques instants auparavant :
« Vas-y doucement ! Même si cette garce dit qu’elle est prête, je sais pour avoir déjà goûté à ta bite dans mon passage arrière, que tu vas la défoncer ! »
Jérémie saisit la taille de Catherine entre ses mains puissantes, approche sa queue de la fente du cul qui s’offre à lui et place le gland à l’entrée du sphincter. Quand il pousse doucement, l’anneau plissé s’ouvre lentement et bientôt c’est la bite entière qui est entrée. Pour y avoir goûté quelques temps plus tôt dans mon vagin, j’imagine ce que peut ressentir Catherine qui est fourrée à fond ! Mais je ne suis pas prête à accepter un tel engin dans mon cul ! Avec Naima, nous regardons les deux partenaires et si cela était besoin, observer cette sodomie savante nous excite encore plus si bien que nous caressons nos chattes respectives devant eux…
Cette salope de Catherine encourage Jérémie en lui disant de la prendre plus fort, plus à fond, les traitant de tous les noms… quand nous entendons Véronique dire à Gilles et Frédo :
« Je me prendrais bien une double ! Êtes-vous partants ? »
Ces deux coquins acceptent instantanément et c’est Gilles qui s’y colle en premier. La bite dressée sur son pubis, il s’allonge sur le dos pour que Véro s’empale sur sa queue. Dès qu’il est bien ancré au fond de son cul, il prend les seins opulents dans ses mains et couche Véro sur lui ! Ainsi Frédo va pouvoir lui baiser la chatte. A ce moment là, je l’envie de se faire prendre ainsi sans imaginer que plus tard dans la soirée, je vais avoir le plaisir de goûter à la bite de Gilles dans mon cul et à la queue de Jérémie dans ma chatte.
Nous avons partouzé ainsi une bonne partie de la nuit, toutes les femmes ont été baisées ou enculées à plusieurs reprises. Les mecs étaient vraiment endurants, mais cela ne nous à pas empêchés de nous écrouler un peu partout sur les tapis et canapés, repus de jouissances et de fatigue…
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A trois sous la douche - la suite
Quelques jours plus tard, je trouve une nouvelle fois un papier scotché sur la porte palière : Naima me demande de monter la voir dès que je serai rentrée. C’est un billet un peu « cochon », car la signature est recouverte de l’empreinte d’une bouche au rouge à lèvres brillant.
Comme aujourd’hui il faisait très chaud, je n’ai mis aucun sous vêtement sous ma jupe courte. J’ai la chatte toute nue, d’autant que deux jours avant, je suis allée dans un institut de beauté pour me faire épiler la touffe ! Je dépose ma veste dans mon entrée, je me regarde brièvement dans la glace tout en tirant sur mon T-shirt. Je me plais, malgré mon soutif, on voit les tétons de mes seins pointer.
Dès que j’arrive sur le palier de l’étage supérieur, la porte s’ouvre. Naima me fait entrer et referme aussitôt. Elle m’enlace et ses lèvres cherchent les miennes. Et c’est un baiser à en perdre le souffle ! Immédiatement nos mains partent à la redécouverte de nos corps ! Je glisse mes mains dans le dos de Naima, l’une remonte sous son sweat-shirt et fait sauter l’agrafe de son soutif, pendant que de l’autre, je plaque son corps contre le mien en emprisonnant une de ses fesses dans le creux de ma paume. De son côté, Naima glisse difficilement une main entre nous deux, et remonte ma jupe pour atteindre ma chatte dans laquelle elle introduit directement deux doigts…
Ça promet d’être chaud. Toujours enlacées, nous nous dirigeons vers la chambre où, avant de nous affaler sur le lit rond qui nous tend les bras, nous nous déshabillons mutuellement en échangeant baiser et caresses. Immédiatement Naima me domine, elle me plaque sur le dos, enserre mes cuisses entre les siennes et se penche sur ma bouche qu’elle envahit de sa langue pour un baiser langoureux comme le ferait un amant. Puis elle descend sur mes seins qu’elle caresse de ses doigts fins avant de sucer successivement les bourgeons qui sont dardés et sensibles…
Elle s’écrie soudain :
« Je veux te faire l’amour ! Laisse-moi t’aimer ! Je veux te lécher, sucer ton clitoris, le faire rouler entre mes dents… »
Oh oui, je suis prête à me laisser emporter par ce tourbillon charnel dans lequel Naima veut m’entrainer. Elle m’embrasse encore et encore dans des baisers savants tout en frottant une de ses cuisses entre les miennes si bien que je sens mon sexe ruisseler ! Que c’est bon ! Mes tétons sont de plus en plus sortis, et elle les fait rouler entre ses doigts, et je suis partagée entre douleur et plaisir…
Peu à peu, sa bouche descend, de mes seins, elle passe au nombril, et je sens une langue pointue tourner dans ce lieu qui chez moi est ultra sensible. Elle descend encore, embrasse mon pubis glabre puis je sens la pointe de la langue ouvrir mes lèvres intimes, y faire quelques aller-retour avant de pointer à l’entrée de mon vagin…
Naima s’est déplacée tout d’abord entre mes cuisses puis elle se met en 69 au dessus de mon corps. Des deux mains, elle maintient ma fourche ouverte et sa langue va de plus en en plus vite dans ma fente intime, léchant et aspirant la cyprine qui, désormais, suinte abondamment de ma chatte. Au dessus de mon visage, je vois la vulve de Naima avec ces lèvres épaisses, gorgées de sang qui pendent un peu, largement ouvertes et découvrant le pistil de son clitoris qui bande hors de son capuchon…
Je ne peux m’empêcher de relever la tête pour venir coller ma bouche à cette bouche intime qui m’attire comme un aimant. Je sors ma langue, et je lape comme un jeune chat le suc douçâtre qui s’en écoule. Pendant ce temps, Naima me lèche toujours la chatte, faisant aller et venir plusieurs doigts à l’intérieur, l’ouvrant de plus en plus au fur et à mesure que ma cyprine s’écoule, mouillant mon périnée et humidifiant mon petit trou ! Oh que c’est bon !
Mais c’est encore meilleur quand mon amante introduit dans mon sphincter un gode vibrant qu’elle fait bouger alternativement dans mon antre interdit qui s’est ouvert dès la première sollicitation. Je sens la jouissance monter en moi, je sens cette boule chaude qui envahit mon ventre quand le plaisir est sur le point de déferler ! Oh que c’est bon quand il arrive brusquement, provoqué par ce double assaut que Naima me fait subir ! Sa main est presque entrée entièrement dans ma chatte, qui est prise de convulsions au moment de ma jouissance, si bien que j’expulse le gode qui occupait ma gaine anale.
Lorsque je retrouve mes esprits, Naima est toujours au dessus de moi et dit :
« Je n’en ai pas fini avec toi ! Je te veux encore et encore ! »
Nous nous enlaçons de nouveau, allongées dans les bras l’une de l’autre au milieu de ce lit qui m’accueille une seconde fois à quinze jours d’intervalle. Nos seins sont en contact. La poitrine un peu opulente de mon amante est collée contre la mienne, beaucoup plus menue (je ne fais qu’un 85.B) mais c’est doux. Nos cuisses sont emmêlées et nos pubis sont en contact. Nos mains libres courent dans le creux des reins de sa partenaire en une douce caresse qui nous remet le feu au ventre ! Nous avons encore envie de baiser, d’autant plus que Naima est restée sur sa faim…
Lorsqu’elle se redresse, elle sort de sous les oreillers un gode à double tête et introduisant une des extrémités dans sa bouche, elle mime une fellation et me regarde avec des yeux pleins d’amour et d’envie :
« Viens, nous allons nous aimer ! Nous n’avons pas besoin de Gilles ! Ce gode va nous donner beaucoup de plaisir ! »
Nous nous mettons dans la position du papillon et Naima introduit une extrémité du double dong dans ma chatte et en fait autant avec l’autre. Waouh que c’est bon ! Que c’est chaud ! Le gode m’emplit bien la chatte et lorsque nous commençons à bouger en me tenant pas les mains, le sexe factice coulisse en nous comme si c’était Gilles ou un autre homme qui nous baisait.
Je divague en disant des mots d’amour à Naima, puis avec l’excitation qui monte en nous, les termes deviennent de plus en plus crus : Baise-moi salope ! Défonce ma chatte ! Etc.… Bref, nous cherchons à nous donner et à prendre le plus de plaisir possible en faisant l’amour de cette manière, à la fois sensuelle et triviale.
Lorsque la jouissance nous emporte presque en même temps, c’est pour moi un déferlement de sensations comme je n’en n’avais jamais connu lors d’étreintes masculines ou féminines. Cet accès de plaisirs sexuels nous laisse pantelantes, essoufflées, apaisées…
Ce n’est que tard dans la soirée que je redescends chez moi, rhabillée à la va-vite mais repue de jouissances. Je suis invitée samedi prochain à l’anniversaire de Gilles et Naima m’a prévenue qu’il y aurait trois couples et moi… et que ce serait très « SEXE ». J’ai hâte d’être à la fin de la semaine…
A suivre !
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A trois sous la douche
Je m’appelle Agathe. J’habite seule dans un appartement situé au dernier étage d’un petit immeuble de la périphérie lilloise. Je suis une jolie jeune femme de vingt-deux ans, qui mord la vie à pleines dents. Blonde aux cheveux longs avec des formes agréables à contempler et à caresser, j’ai des tendances bisexuelles que j’assume pleinement ayant sans aucun complexe des amants ou des maîtresses.
Cet été, une jeune couple a emménagé à l’étage au dessous du mien, et tout de suite, j’ai sympathisé avec la femme, un peu plus âgée que moi. C’est une brune un peu typée maghrébine avec de longs cheveux noirs ondulés. Lui à l’entendre parler, c’est un chti pour souche. Ils sont sans complexes, se bécotant dans l’ascenseur même s’ils ne sont pas seuls, elle se balade souvent sans soutif, laissant ses seins balancer doucement quand elle marche. En plus, elle est très souvent habillée très court ou avec des jeans qui lui collent littéralement à la peau, moulant ses fesses bien rondes...
Depuis ces quelques mois, je pense souvent à elle et je me dis que j’aimerais beaucoup avoir une aventure coquine avec elle. Je la trouve très à mon goût… Et bien, c’est arrivé alors que je ne m’y attendais pas ! Et en plus, je n’avais rien fait pour cela ! Je vais vous raconter comment c’est arrivé !
Donc hier en rentrant du boulot, je trouve scotché sur ma porte un petit billet mis là par ma voisine du dessous. Elle veut a-t’elle écrit me montrer une tache de fuite d’eau qui provenait apparemment de chez moi dans sa salle de bain. Je dépose mes affaires dans mon appartement et pour voir ce dont il s’agit exactement, je redescends à l’étage en dessous. Après tout, elle peut me raconter n’importe quoi ! Je veux voir par moi-même.
Quand nous entrons dans la salle de bains, j’ai eu le choc de ma vie ! Je ne suis certainement pas prude mais je ne m’attendais pas au spectacle de son mec, à poil sous la douche qui nous regarde d’un air goguenard, masturbant doucement une bite de taille respectable.
Waouh ! Quel morceau ! Pas très gros mais long, je vous dis pas ! Au moins 20cm ! Mais je ne suis pas au bout de mes surprises quand Naima m’enlace pour prendre mes lèvres dans un baiser sensuel et commence à me déshabiller.
Si la tache au plafond existe vraiment, je viens de tomber dans un traquenard sexuel et ce qui s’annonce n’est pas pour me déplaire.
Selon sa bonne habitude ma voisine était nue sous son sweatshirt et sa minijupe et, une fois déshabillées, nous nous sommes glissées dans la cabine heureusement assez vaste pour rejoindre Gilles. Ce dernier m’a dit en riant :
« Bienvenue Agathe ! Depuis le temps que tu reluques ma femme, profitons-en ! »
Et là, il me roule une pelle, entrant sa langue dans ma bouche où elle tournoie avec la mienne. Naima est derrière moi, collée contre mon dos, je sens ses seins contre mes omoplates et ses mains sur ma poitrine où elles triturent mes tétons. Entre mes cuisses, je sens la queue de Gilles qui va et vient mais ne cherche pas à me pénétrer. Waouh c’est chaud et ce n’est pas l’eau de la douche ! J’ai la sensation que ma chatte ruissèle comme une fontaine et ma cyprine se mêle à l’eau tiède qui s’écoule toujours.
Si j’avais eu envie de ma voisine, là, je ne peux m’empêcher de me mettre à genoux devant son homme pour emboucher sa bite tant elle me fait envie aussi, mais Naima me rejoint dans la même position et nous offrons à Gilles une pipe à deux bouches comme je suis à peu près sure, il n’en a jamais eu. Quand l’une suce le gland en faisant tournoyer sa langue sur le bout, l’autre lèche la hampe ou les couilles rasées et inversement jusqu’au moment où Gilles nous envoie sur les seins une dizaine de giclées de sperme qui s’étalent rapidement et disparaissent avec l’eau de la douche.
Puis la douche s’arrête. Nous nous essuyons avec des serviettes chaudes qui nous attendaient ! Séchés tous les trois, Gilles nous enlace, une de chaque côté, il nous conduit dans la chambre où un lit rond, immense, nous attend !
Naima s’allonge sur le dos, les cuisses ouvertes dans une invitation non équivoque. Je me précipite sur cette belle chatte dépourvue de toison mais aux lèvres proéminentes gorgées de sang. Je veux la déguster après avoir dégusté la bite de son homme mais, Naima me fait mettre en 69 au dessus d’elle pour me rendre ma caresse. Je lève les fesses bien haut et ma voisine remonte sa tête vers mon entrejambes, Gilles glisse un gros coussin sous sa nuque. Prévenant ! Comme cela elle n’aura pas à se forcer pour aller laper ma fente qui s’offre à elle !
Gilles contourne le lit et je sens son souffle sur mes fesses, puis c’est sa langue humide qui parcourt ma raie, passant alternativement de l’orée de ma chatte à celle de mon œillet plissé ! Waouh ! Que c’est bon ! Deux langues agiles s’occupent de moi si bien que de temps à autre je perds le cunni que je fais en même temps…
Mais bientôt, ce n’est plus la langue de Gilles qui s’occupe de mon cul ! Il introduit un doigt puis deux qu’il fait aller et venir dans mon sphincter qui s’ouvre facilement :
« Dis donc ma salope ! Tu as le cul bien ouvert ! Tu dois aimer te faire enculer !
- Oh oui ! J’aime me faire prendre le cul ! »
J’avoue cela sans honte dans un souffle tellement j’aime çà ! Et là, je vais avoir une bite d’une bonne longueur dans mes entrailles. Gilles injecte du gel dans mon orifice et je sens sa queue entrer en moi, lentement, comme s’il avait peur de me faire mal alors que je n’aspire qu’à une chose, qu’il m’emplisse mon boyau étroit jusqu’au plus profond et qu’il me lime, qu’il me lime à fond pour m’envoyer en l’air.
Pendant ce temps Naima continue son cunni et de temps à autre, elle lèche rapidement la base de la queue de son homme ! Je suis tombée sur un couple de baiseurs savant et inventif et je sens, je sais que je vais bien prendre mon pied ! Ce qui ne tarde guère tant ces deux coquins savent y faire ! Au moment où j’inonde de cyprine la bouche de Naima, son homme gicle au fond du préservatif. Je sens les jets au fond de mon antre secret et cela me fait presque partir une seconde fois !
Nous nous désunissons et dès que Gilles est à genoux au centre du lit, Naima se précipite sur sa queue, arrache presque la capote et se délecte du jus qui nappe cette bite encore à moitié bandée. Je la rejoins dans cette fellation nettoyante pour recueillir dans ma bouche les ultimes gouttes du plaisir.
Quelques heures plus tard, je ramasse mes vêtements et je remonte chez moi ! Gilles a bien profité de moi car il m’a baisée copieusement la chatte pendant que Naima se faisait plaisir elle-même avec un beau jouet vibrant.
Le lendemain matin en partant au boulot, je me retrouve dans l’ascenseur en même temps que Gilles… et alors que sa langue fouille ma bouche, une de ses mains s’aventure sous ma jupe pour tâter ma chatte au travers de ma culotte. Mon sexe s’est liquéfié instantanément… mais nous étions déjà arrivés au rez-de-chaussée. Chacun est parti de son côté.
Je sais déjà que je retrouverai certainement Naima et Gilles pour d’autres parties à trois ! Nous n’avons pas exploré toutes les façons de baiser et je VEUX Naima pour moi seule au moins une fois ! Après tout, cette fuite d’eau est un bon prétexte pour aller les retrouver quand l’expert de l’assurance passera et sera reparti....
A suivre...
Cet été, une jeune couple a emménagé à l’étage au dessous du mien, et tout de suite, j’ai sympathisé avec la femme, un peu plus âgée que moi. C’est une brune un peu typée maghrébine avec de longs cheveux noirs ondulés. Lui à l’entendre parler, c’est un chti pour souche. Ils sont sans complexes, se bécotant dans l’ascenseur même s’ils ne sont pas seuls, elle se balade souvent sans soutif, laissant ses seins balancer doucement quand elle marche. En plus, elle est très souvent habillée très court ou avec des jeans qui lui collent littéralement à la peau, moulant ses fesses bien rondes...
Depuis ces quelques mois, je pense souvent à elle et je me dis que j’aimerais beaucoup avoir une aventure coquine avec elle. Je la trouve très à mon goût… Et bien, c’est arrivé alors que je ne m’y attendais pas ! Et en plus, je n’avais rien fait pour cela ! Je vais vous raconter comment c’est arrivé !
Donc hier en rentrant du boulot, je trouve scotché sur ma porte un petit billet mis là par ma voisine du dessous. Elle veut a-t’elle écrit me montrer une tache de fuite d’eau qui provenait apparemment de chez moi dans sa salle de bain. Je dépose mes affaires dans mon appartement et pour voir ce dont il s’agit exactement, je redescends à l’étage en dessous. Après tout, elle peut me raconter n’importe quoi ! Je veux voir par moi-même.
Quand nous entrons dans la salle de bains, j’ai eu le choc de ma vie ! Je ne suis certainement pas prude mais je ne m’attendais pas au spectacle de son mec, à poil sous la douche qui nous regarde d’un air goguenard, masturbant doucement une bite de taille respectable.
Waouh ! Quel morceau ! Pas très gros mais long, je vous dis pas ! Au moins 20cm ! Mais je ne suis pas au bout de mes surprises quand Naima m’enlace pour prendre mes lèvres dans un baiser sensuel et commence à me déshabiller.
Si la tache au plafond existe vraiment, je viens de tomber dans un traquenard sexuel et ce qui s’annonce n’est pas pour me déplaire.
Selon sa bonne habitude ma voisine était nue sous son sweatshirt et sa minijupe et, une fois déshabillées, nous nous sommes glissées dans la cabine heureusement assez vaste pour rejoindre Gilles. Ce dernier m’a dit en riant :
« Bienvenue Agathe ! Depuis le temps que tu reluques ma femme, profitons-en ! »
Et là, il me roule une pelle, entrant sa langue dans ma bouche où elle tournoie avec la mienne. Naima est derrière moi, collée contre mon dos, je sens ses seins contre mes omoplates et ses mains sur ma poitrine où elles triturent mes tétons. Entre mes cuisses, je sens la queue de Gilles qui va et vient mais ne cherche pas à me pénétrer. Waouh c’est chaud et ce n’est pas l’eau de la douche ! J’ai la sensation que ma chatte ruissèle comme une fontaine et ma cyprine se mêle à l’eau tiède qui s’écoule toujours.
Si j’avais eu envie de ma voisine, là, je ne peux m’empêcher de me mettre à genoux devant son homme pour emboucher sa bite tant elle me fait envie aussi, mais Naima me rejoint dans la même position et nous offrons à Gilles une pipe à deux bouches comme je suis à peu près sure, il n’en a jamais eu. Quand l’une suce le gland en faisant tournoyer sa langue sur le bout, l’autre lèche la hampe ou les couilles rasées et inversement jusqu’au moment où Gilles nous envoie sur les seins une dizaine de giclées de sperme qui s’étalent rapidement et disparaissent avec l’eau de la douche.
Puis la douche s’arrête. Nous nous essuyons avec des serviettes chaudes qui nous attendaient ! Séchés tous les trois, Gilles nous enlace, une de chaque côté, il nous conduit dans la chambre où un lit rond, immense, nous attend !
Naima s’allonge sur le dos, les cuisses ouvertes dans une invitation non équivoque. Je me précipite sur cette belle chatte dépourvue de toison mais aux lèvres proéminentes gorgées de sang. Je veux la déguster après avoir dégusté la bite de son homme mais, Naima me fait mettre en 69 au dessus d’elle pour me rendre ma caresse. Je lève les fesses bien haut et ma voisine remonte sa tête vers mon entrejambes, Gilles glisse un gros coussin sous sa nuque. Prévenant ! Comme cela elle n’aura pas à se forcer pour aller laper ma fente qui s’offre à elle !
Gilles contourne le lit et je sens son souffle sur mes fesses, puis c’est sa langue humide qui parcourt ma raie, passant alternativement de l’orée de ma chatte à celle de mon œillet plissé ! Waouh ! Que c’est bon ! Deux langues agiles s’occupent de moi si bien que de temps à autre je perds le cunni que je fais en même temps…
Mais bientôt, ce n’est plus la langue de Gilles qui s’occupe de mon cul ! Il introduit un doigt puis deux qu’il fait aller et venir dans mon sphincter qui s’ouvre facilement :
« Dis donc ma salope ! Tu as le cul bien ouvert ! Tu dois aimer te faire enculer !
- Oh oui ! J’aime me faire prendre le cul ! »
J’avoue cela sans honte dans un souffle tellement j’aime çà ! Et là, je vais avoir une bite d’une bonne longueur dans mes entrailles. Gilles injecte du gel dans mon orifice et je sens sa queue entrer en moi, lentement, comme s’il avait peur de me faire mal alors que je n’aspire qu’à une chose, qu’il m’emplisse mon boyau étroit jusqu’au plus profond et qu’il me lime, qu’il me lime à fond pour m’envoyer en l’air.
Pendant ce temps Naima continue son cunni et de temps à autre, elle lèche rapidement la base de la queue de son homme ! Je suis tombée sur un couple de baiseurs savant et inventif et je sens, je sais que je vais bien prendre mon pied ! Ce qui ne tarde guère tant ces deux coquins savent y faire ! Au moment où j’inonde de cyprine la bouche de Naima, son homme gicle au fond du préservatif. Je sens les jets au fond de mon antre secret et cela me fait presque partir une seconde fois !
Nous nous désunissons et dès que Gilles est à genoux au centre du lit, Naima se précipite sur sa queue, arrache presque la capote et se délecte du jus qui nappe cette bite encore à moitié bandée. Je la rejoins dans cette fellation nettoyante pour recueillir dans ma bouche les ultimes gouttes du plaisir.
Quelques heures plus tard, je ramasse mes vêtements et je remonte chez moi ! Gilles a bien profité de moi car il m’a baisée copieusement la chatte pendant que Naima se faisait plaisir elle-même avec un beau jouet vibrant.
Le lendemain matin en partant au boulot, je me retrouve dans l’ascenseur en même temps que Gilles… et alors que sa langue fouille ma bouche, une de ses mains s’aventure sous ma jupe pour tâter ma chatte au travers de ma culotte. Mon sexe s’est liquéfié instantanément… mais nous étions déjà arrivés au rez-de-chaussée. Chacun est parti de son côté.
Je sais déjà que je retrouverai certainement Naima et Gilles pour d’autres parties à trois ! Nous n’avons pas exploré toutes les façons de baiser et je VEUX Naima pour moi seule au moins une fois ! Après tout, cette fuite d’eau est un bon prétexte pour aller les retrouver quand l’expert de l’assurance passera et sera reparti....
A suivre...
Duos de filles sur canapé
Bonjour à tous,
Vous vous souvenez de moi ? Je suis Mario, gay de soixante-cinq ans. Je vous ai raconté il y a quelques mois mes amours avec mes copains d'école puis de régiments. J'ai envie de continuer à vous en parler. C'est un peu égoïste mais en me remémorant mes souvenirs de cul je suis tout excité et je suis assis devant mon PC avec un plug entre les fesses. J'adore écrire comme ça.
Donc, une fois quitté le service militaire où durant deux ans, entre deux maniements d'armes, j'avais beaucoup joué avec la queue de quelques copains, je suis revenu à la vie civile et je suis resté deux ou trois mois sage, ne m'occupant que de chercher du travail. Une fois cela fait, je me suis mis en chasse pour me trouver des petits amis, gays bien entendu. A Paris, ce n'est pas ce qui manque. Mais j'étais devenu un peu exigeant et je ne voulais tomber sur n'importe quel mec.
Me rappelant de cet homme, Robert, que m'avait présenté Pierre mon premier amour, je repris vite contact avec lui. Pervers et très bien monté, mes fesses en ont gardé un souvenir ému. A l'époque j'avais à peine seize ans. J'en avais dix de plus, j'espérais qu'il ne me trouve pas trop « vieux » maintenant. Un week-end, je retournais donc dans le village où il habitait. Je m'approche de sa maison. Je sonne à sa porte en utilisant le signal qui était convenu autrefois et qui lui permettait de savoir que la personne qui sonnait était là pour du cul.
Au bout de quelques secondes, la porte s'ouvrit laissant apparaître Robert qui fidèle à son habitude était nu. C'est d'ailleurs lui qui me donna le goût de vivre nu. Il était splendide, toujours aussi bien musclé, et toujours cette queue majestueuse qui pendait entre ses cuisses. Il avait maintenant cinquantr-cinq ans environ. Le temps ne l'avait pas abîmé du tout. Il me regarda, ses yeux me disaient qu'il me trouvait à son goût mais il ne paraissait pas me reconnaître.
« Bonjour Robert, tu me reconnais pas? Je suis Mario, je venais chez toi avec Pierre, il y a à peu prés dix ans. On venait baiser avec toi ! »
Quelques secondes de silence, puis :
« Mario! Oui, je m'souviens, oui ! Mario et Pierre ! Entre donc, mon chéri ! »
J'entre, il referme la porte derrière moi, me serre dans ses bras et me prends la bouche. Il sent un peu le tabac, beurk, j'aime pas ça, mais sa langue m'excite au plus haut point, je lui pardonne. Son baiser me chauffe, je prends sa queue dans la main et la caresse. Je meurs d'envie qu'il me saute. Mais je dois attendre car Robert apprécie toujours de mener la danse.
Il nous conduit dans son jardin, sorte d'immense patio dont le sol est une pelouse. Aux beaux jours, c'est là qu'il baise. Il m'abandonne un instant pour aller chercher à boire. Je profite de ce moment pour me mettre nu moi aussi. Il revient avec un plateau qu'il pose sur la table, se recule un peu. Ses yeux parcourent mon corps dénudé et émet un sifflement de...euh...compliment. Il est vrai que durant mes dix ans d'absence, j'ai fini de grandir et mon corps s'est un peu musclé. Comme lui, j'ai le corps entièrement rasé. Il apprécie cela et me le dit. Tout ça, ajouté au spectacle de sa belle et grosse queue, m'excitent beaucoup et je me mets à bander. Cela fait plusieurs semaines que je n'ai pas baisé, et le spectacle que me donne Robert n'est pas fait pour me calmer. Ce salaud semble vouloir faire durer le plaisir. Il me regarde en souriant et se caresse la queue. Je craque :
« Je t'en supplie Robert, encule-moi, vite, j'ai trop envie de ta bite ! »
Je n'attends pas sa réponse et m'approche de lui, m'agenouille, saisit cette superbe queue et la branle doucement. Je la sens grossir sous mes doigts. J'adore cette sensation. Robert me prend la tête à deux mains et me force à le sucer. Je ne résiste pas du tout. Sa bite continue à grossir dans ma bouche. Bon sang comme elle est grosse, je me régale à la sucer, la mordiller, la lécher. Elle a un goût étrange, un peu amer, loin d'être désagréable. Sans doute son alimentation! Je la déguste comme une sucrerie, comme un gamin à qui on offrirait une sucette après une longue privation.
Et trois mois sans baiser, enfin, sans me faire baiser, ça fait très long quand on aime ça. Robert prend ma tête à deux mains et imprime la cadence. Je me régale de sucer son gros engin, mais j'ai envie d'autre chose, j'ai envie qu'il m'encule. J'arrête ma pipe, me relève et vais m'allonger sur la table, jambes en l'air que je tiens bien écartées.
Bien qu'il préfère toujours diriger les opérations, il ne dit rien et me rejoint. Me viennent alors des images de la première fois que j'étais venu chez lui. J'avais 16 ans. Il était mon premier adulte. C'était il y a dix ans mais je m'en souviens comme d'hier. Ce jour-là, il m'avait fait découvrir le fist. Quel pied il m'avait fait prendre, après la première douleur. Que va-t-il faire aujourd'hui ? La même chose j'espère.
Il s'accroupit pour être à la hauteur de mon petit trou et me le lèche, longuement, lentement. Ça me donne des frissons partout. La feuille de rose dure longtemps. Je n'arrête pas de gémir, tant c'est bon. Je lui demande de me baiser, de me prendre vite. Mais, il semble ne pas m'entendre et continue à me lécher. J'en peux plus, moi. Enfin, il cesse de jouer au sadique, se relève, et commence à me doigter. Il entre deux doigts en moi et m'encule comme ça. Je suis tout dilaté par l'excitation, il le sens bien et fait entrer sa main entière. Je suis empalé sur sa main. Qu'est-ce que c'est bon. Je le sens qui ferme son poing et me pilonne fortement. Il me fait un peu mal mais putain qu'est-ce que c'est bon.
Tout en m'enculant avec sa grosse main, il se penche sur moi et me roule une pelle. Je bande comme un fou. Il me fait oublier mon « jeûne ». Il se redresse et se concentre sur le fist qu'il me fait. Je sens qu'il essaie de glisser un doigt de sa main libre dans mes fesses. Il y arrive assez facilement. Ça lui donne une idée. Il retire sa main et me demande de l'attendre une minute. Il entre dans la maison et en ressort assez vite, avec un superbe gode à la main.
« J'ai l'impression que tu as fait des progrès depuis dix ans, dis donc. T'as du t'faire sauter souvent toi. Je vais essayer un truc, là, je suis sûr que ça va t'plaire.! » me dit-il avec son sourire vicieux.
De s'être absenté deux minutes ne l'a pas fait débander. Il traverse la pelouse tout en me disant ça avec sa grosse queue qui le précède, toute raide devant lui. Cette vision m'excite, j'ai envie de lui. Une fois contre la table, il me fait lever les jambes à nouveau. Il place son gland contre mon anus et s'enfonce d'un coup, jusqu'à la garde. Il va et vient en moi presque en douceur. On sent qu'il aime enculer quelqu'un.
En même temps, il suce son gode tout en me regardant. Mais il arrête les mouvements de son bassin, cesse de sucer son gode pour le présenter à mon cul. Je me crispe un peu car j'ai peur de comprendre son envie. Ben oui, c'est bien ce que j'avais supposé, il veut me faire une double sodo. Robert est un artiste en son genre, et sous des airs de brute, il sait être doux. Aussi, à mon grand étonnement il réussit à glisser le gode dans mes fesses déjà garnies de sa grosse bite.
Il se montre très rarement attentionné quand il baise. Il préfère, de loin, y aller carrément. A mon grand étonnement, pour une fois, il a pris soin d'y aller en douceur. D'abord, il avait bien lubrifié le gode. Il l'a fait entrer en moi, sans que je sente la moindre petite douleur. Il reste comme ça, un moment. Sa grosse queue plantée en moi et le gode qui lui tient compagnie. Je déguste le plaisir de me sentir bien plein et sans mouvement. Mais cela ne dure pas longtemps, car Robert retrouve son naturel. Il donne un grand coup de rein et commence à me sodomiser. Il joue avec le gode en alternant les mouvements avec sa bite. Je suis aux anges. Pensez, depuis ma première fois, vers mes quatorze ans, j'ai toujours préféré être passif. C'est tellement bon de se faire saillir.
Ma double sodo dure un long moment. J'avais presque oublié que Robert était très endurant. Je crie mon plaisir. Robert sourit de me voir remuer sous lui et gémir grâce à lui. Il halète comme un bûcheron et ça m'excite un peu plus de le voir et l’entendre. Je bouge mon bassin de plus en plus vite, tant j'aime ce qu'il me fait. Ce petit jeu finit par venir à bout de sa résistance, il explose et se répand en moi. Quel pied de se sentir arroser comme ça. A mon tour, je jouis sur mon ventre. Robert, reste en moi, son gode aussi. Il ne fait aucun mouvement. On est bien comme ça. Sa main gauche caresse mon ventre et le masse avec mon sperme. Curieux la douceur dont est capable cet homme, sous ses airs de brute.
Il sort sa queue de mon ventre, mais laisse le gode en place. J'aime assez. Il me tend sa queue à suce, elle est enduite de son sperme et de ma jouissance anale. Cocktail plus qu'agréable. Je lèche consciencieusement, lentement pour faire durer le plaisir, notre plaisir. Il me demande d'arrêter et va nous chercher à boire. On en a besoin tous les deux. Il revient, plateau dans les mains. Je le regarde avancer en admirant sa bite. Elle est à peine débandée. Toujours aussi tentante. Je meurs d'envie qu'il me prenne encore, là, tout de suite. Je le lui dis.
Ma déclaration le fait sourire. Il remplit nos verres et me tend le mien. Je veux m’asseoir et me redresse. Mais le gode en moi me gène. Je fais mine de le retirer. Robert arrête mon geste et me dit :
« Non garde-le en toi puisque t'as encore envie de te faire mettre. Tu vas voir c'est vachement jouissif de garder quelque chose dans le cul. Moi c'est souvent que j'ai un gode dans le cul, même quand je sors me balader. Tu devrais essayer, toi aussi. »
Comme je lui dis que je n'ai pas de gode, il me propose d'aller avec moi plus tard, ou un autre jour, dans un sex-shop. Il me conseillera. J'accepte avec plaisir et fais comme il me conseille, je m’assois, avec précaution. Le gode s'enfonce encore plus en moi. Qu'est-ce que c'est bon. Tout en sirotant, nous parlons de choses et d'autres. Il insiste pour que je lui raconte mes aventures. Je lui relate, avec détails mes baises avec mes copains de régiments. En m'écoutant, il caresse son corps. Je sens que ce que je lui dis, l'excite. Sa queue se remet à bander. Elle est belle. J'en ai envie.
Mais Robert qui s'était rapproché de moi pendant que je parlais, a la même envie que moi. Il se met à genoux et me fait une pipe. Je suis assis, bien droit sur ma chaise, le gode enfoncé en moi. Ma bite est toute bandée maintenant. Robert se met au dessus de moi en me faisant face et s'empale. Ma queue n'est pas très mince, mais mon amant est dilaté aussi il ne pousse qu'un soupir de plaisir. Il passe ses mains autour de mon cou et monte et descend sur mon sexe. Il ne pense qu'à son plaisir et oublie peut-être, mais sait-on jamais avec lui, que je suis godé. A chaque fois que Robert redescend son poids agit sur mon gode dont le gland tape au fond de mon ventre. Ce qui fait que grâce à ses mouvements Robert nous encule. Je suis moins endurant que lui aussi je finis par jouir dans son ventre. Il a l'air de bien apprécié si j'en juge par son :
« Oh ! Putain Oui c'est bon ! »
Nous restons un moment comme ça, l'un assis sur l'autre et tous deux les fesses garnies. Nous nous roulons quelques pelles bien agréables et nous nous séparons. Direction la douche, que nous prenons ensemble, chacun lavant l'autre tout en nous faisant quelques taquineries aussi salaces qu'agréables. Ensuite nous nous habillons. Robert me propose de sortir. Il veut me conduire dans un sex-shop pour m'aider à choisir le gode idéal pour faire ce qu'il m'a conseillé tout à l'heure. D'ailleurs, avant d'enfiler son pantalon, il a introduit le gode ''spécial promenade'' entre ses fesses suivi aussitôt d'un slip.
« Pour éviter de le perdre en route dans la rue quand tu marches », me dit-il en souriant.
Le fait est que ça ferait désordre. Je lui dis qu'il faut que j'aille acheter un slip. Je n'en ai pas un chez moi. Voilà des années que je n'en porte plus.
Nous partons donc en ville. Après l'étape obligatoire chez un marchand de slip, direction le Sex-Shop. Je n'étais encore jamais entré dans une boutique comme celle-là. Elle recèle des trésors pour qui, comme nous, sont passionnés par le sexe. Accoudé près de la caisse, un jeune homme de vingt-cinq à vingt-six ans, bel asiatique ou plus sûrement eurasien et visiblement gay et même particulièrement efféminé nous gratifie d'un grand sourire et nous salue. Je le trouve vraiment à goût. Par mon sourire et mon regard, je tente de le lui faire comprendre.
Robert lui demande où est le rayon des godes « pour mon ami », croit-il bon d'ajouter en me montrant du doigt. Mon bel asiate me caresse la main et me fait signe de le suivre. Nous nous dirigeons vers le rayon des godes. Le vendeur me demande ce qui m'intéresse. Je lui dis que je veux pouvoir me promener avec ça dans le cul. Il me fait un sourire complice, en prend un et me le tend :
« Tu verras, il est super celui-là. J'ai le même. Aujourd'hui, je ne l’ai pas enfilé, mais c'est super ! »
Je règle mon achat et lui demande s'il n'y a pas de cabines car « je vais le consommer tout de suite », ajoutai-je.
Le jeune homme que je trouve de plus en plus mignon, me fait un large sourire.
Plutôt que de me dire où elle se trouve, il préfère m'y conduire. Il marche devant moi en tortillant du cul. C'est assez excitant, je dois dire. Arrivé à la cabine, il écarte le rideau pour que j'entre et me suit. Il ferme le rideau derrière lui. Ce n'est pas une cabine d'essayage mais une cabine où on peut regarder des films de cul. Bon à savoir pour une prochaine fois. Le caissier me dit se prénommer Claude. Il entreprend de déballer le gode. Pendant ce temps, je retire mon pantalon, sans aucune gène, après tout, nous sommes entre nous n'est-ce pas ?
Claude, me regarde faire et émet un petit sifflement car, je suis tout épilé et ma bite commence à bander. Faut dire qu'elle m'excite depuis un moment cette petite salope que je trouve vraiment très sexy. Il glisse le gode dans sa bouche pour l'humidifier et proteste quand je veux le lui prendre pour me le mettre.
Claude me dit alors : « Non, mon chou, laisse-moi faire, sois gentil ! »
Je me sens incapable de lui résister et je lui obéis. Il s'accroupit derrière moi, écarte mes fesses et me fait une délicieuse feuille de rose. Il glisse le gode dans mon cul. Il lui fait faire quelques va-et-vient. Je pousse un soupir de plaisir. Profitant qu'il est accroupi, Claude me suce un peu la bite, puis se relève.
Il est tout contre moi, nous nous regardons fixement en silence. Je ne résiste pas à la tentation et lui prend la bouche. Il répond à mon baiser fougueusement. Son corps est tout contre le mien, il le fait onduler. Ça m'excite terriblement, je bande comme un fou. J'arrête nos effusions et lui demande son adresse car j'ai envie de le revoir. J'ai flashé sur lui. Il est tout heureux de ma demande. Je me rhabille et nous sortons de la cabine. Claude tient l'emballage vide dans ses mains. Robert sourit en nous voyant revenir. Il me fait un clin d’œil et dit en souriant que ça lui a paru bien long « cet essayage ». Je lui réponds qu'il fallait faire ça sérieusement et que grâce aux talents de Claude tout c'est merveilleusement passé.
Claude me donne sa carte de visite et me glisse un « à bientôt » plein de promesse. Une fois dehors, je propose à Robert d'aller boire un pot. Confortablement installés à la terrasse d'un bistro proche, j'explique à Robert ce que nous avons fait dans la cabine, que j'ai l'intention de revoir Claude car, il me plaît vraiment beaucoup. Robert, pas une seconde ne me dit que j'aurais pu inviter ce garçon à se joindre à nous pour une baise à trois. En effet Robert a horreur de ceux qu'on appelle « les folles ». Il préfère les petits jeunes comme celui que j'étais il y a une dizaine d'années, c'est à dire autour de dix-huit ans.
Je me réserve Claude pour un tout proche avenir. Je suis sûr que nous allons nous régaler. Robert et moi continuons à bavarder, de cul essentiellement. Ma brève séance avec Claude dans la cabine m'a bien chauffé, je le dis à Robert qui me répond qu'il a lui aussi encore envie de baiser. Il m'abandonne un instant pour aller à la cabine téléphonique toute proche. Il passe un appel et revient sourire aux lèvres et pouce levé. A qui a-t-il téléphoné ? Et pourquoi a-t-il l'air si content ? Je ne tarde pas à le savoir. Robert à qui l'envie de baiser a rafraîchi la mémoire, a téléphoné à un garçon qu'il fréquente depuis à peu près un an et sur qui il ne tarit pas d'éloges si bien que j'ai vraiment hâte de le connaître.
« C'est un garçon super, tu sais, il a de belles qualités amoureuses. Il est d'accord pour venir nous rejoindre chez moi tout à l'heure. Il s'appelle Laurent, je l'ai connu il avait tout juste 18 ans. C'est moi qui l'ai dépucelé du cul. Tu verras, il vaut vraiment le coup. Je te laisse la surprise de le découvrir tout à l'heure.»
Voilà qui me met l'eau à la bouche. Ma petite séance avec Claude et ce gode bien installé entre mes fesses, me chauffent au maximum. Il me tarde que nous soyons rentrés et que ce Laurent arrive.
Cela me tarde d'autant plus que ce foutu gode entre mes fesses entretient mon avis de baiser. Avec Robert on rejoint sa voiture et nous rentrons chez lui. Aussitôt rendus, nous nous déshabillons. Le plus délicat est d'empêcher mon gode de glisser et de tomber, aussi je le retire le mets de côté pour ne pas l'oublier quand je rentrerai chez moi ce soir.
Avec Robert nous bavardons de choses et d'autres et comme il est un peu obsédé sur les bords, il me demande de lui raconter mes séances de baise à l'armée. Enfin plus exactement chez Jean avec mon pote de régiment Philippe et un peu plus tard avec José, cette adorable « folle » qui faisait le bonheur des bidasses les soirs où ils étaient de garde. De parler de ce José, me remets en mémoire le souvenir de Claude rencontré tout à l'heure au Sex-Shop. Je me promets de l'appeler demain matin. J'ai envie de faire quelque chose avec lui. Il est superbe et m'a l'air très chaud et câlin. D'y songer me fait bander.
C'est ce moment que choisit le fameux Laurent pour sonner à la porte. Robert va le chercher, ils mettent un petit temps pour me rejoindre au jardin. Quand je les vois apparaître tous les deux, je comprends pourquoi. Laurent a pris le temps de se mettre nu. Je suis très agréablement surpris. Il est très grand, un corps athlétique, et ce qui pend entre ses jambes est un morceau de roi. J'allais oublié de vous dire. Il est black, de Martinique me dira-t-il plus tard.
C'était donc ça, ce que Robert appelait une surprise, ce fameux Laurent est noir et très bien monté. Il s'approche de moi. Nous nous serrons la main et nous embrassons sur les joues. Je songe soudain que Laurent va être le premier black à venir fouiller dans mon ventre. La taille de sa queue me mets l'eau à la bouche. Robert qui commence à me connaître prend les choses en main, si j'ose dire. En effet il prend la bite de Laurent et la porte à ma bouche. Je lèche avec gourmandise cette grosse tige. Elle a un goût de vanille. Je trouve ça tout à fait à mon goût, et commence alors à le sucer, mordiller, lécher, sucer à nouveau. Une de mes mains caresse ses couilles. Je me régale.
Ma séance de baise avec Robert plus tôt dans la journée, ma balade en ville avec un gode dans le cul et la perspective de bons moments que je passerai sous peu avec le beau Claude m'ont particulièrement chauffé. Aussi je demande à Laurent de me prendre, là tout de suite. Robert, me demande de me mettre à 4 pattes pour être pris en levrettes. Il a envie que je le suce, et de me sucer tout en regardant de tout près, la grosse bite black aller et venir en moi. Ma foi, je ne dis pas non. En levrette, Laurent me pénétrera plus profondément.
Robert se couche sur la table, je me mets à 4 pattes sur lui et tête bêche. Laurent est derrière moi, sa bite est bien dressée. Il se penche pour prendre du lubrifiant. Je l'en empêche, je veux qu'il me prenne comme ça. Je suis assez souple et dilaté, ça devrait se passer facilement. Robert qui est sous moi est entrain de me doigter. C'est extraordinaire comme cet homme, aux allures d'armoire à glace, peut se montrer doux. Ses doigts me font un bien fou. Il cesse, saisit la bite noire et la présente à mon trou de balle. Laurent me tient par les hanches, et soudain sans précaution aucune, il pousse son bassin en avant et ramène mes hanches vers lui. Je pousse un grand cri. Il m'a fait mal. Il est plus gros que Robert. La douleur est brève. Elle est aussitôt remplacé par du pur bonheur. La grosse matraque noire qui me pilonne est douce et chaude. Chacun de ses mouvements me ferait presque jouir. Grâce à la longueur de son manche son entrée et sa sortie semblent n'en plus finir
Il m'a enculé comme ça un long moment. Robert lui a demandé d'arrêter un instant car il voulait changer de position. En effet, il est venu se mettre à quatre pattes, lui aussi, tout contre moi et fait signe à Laurent de reprendre. C'était un autre chapitre de la surprise dont il m'avait parlé. Ce sacré gaillard de Laurent est d'une endurance exceptionnelle. Il nous a donc enculés alternativement, multipliant ainsi le plaisir de sentir ses pénétrations. On s'est fait emmancher comme ça un long moment. Finalement Laurent s'arrêta et se branla au dessus de nous qui nous sommes partagés son bon jus.
Après ça, une bonne douche, un bon petit repas. Au dessert nous avons enculés Laurent en lui faisant une double sodomie. On lui devait bien ça. Extinction des feux, nous abandonnons Robert. Laurent et moi rentrons chez nous, chacun de son côté bien entendu. Une fois chez moi je m'affale sur mon canapé et me remémore cette folle journée. Je repense à Claude, ce bel eurasien.
Il est vingt-deux heures, il n'est peut-être pas trop tard pour l'appeler. Effectivement il décroche assez vite. Je me présente. Il est ravi de m'entendre et me le dit avec du sourire dans la voix :
« Mario chéri, comme je suis heureuse (sic) que tu m'appelles. Je croyais que tu ne le ferais pas ! »
- Comment aurai-je pu oublier ? Tu m'as plu tout de suite quand je suis arrivé. Et depuis la cabine j'ai envie de toi. On, peut se voir demain soir ?
- Oh ! Oui ! Oh ! Oui ! Je t'attends chez moi vers vingt et une heures.
- Ok, à demain Claude, je t'embrasse partout ! »
Il me tarde d'être à demain soir, moi !
Vous vous souvenez de moi ? Je suis Mario, gay de soixante-cinq ans. Je vous ai raconté il y a quelques mois mes amours avec mes copains d'école puis de régiments. J'ai envie de continuer à vous en parler. C'est un peu égoïste mais en me remémorant mes souvenirs de cul je suis tout excité et je suis assis devant mon PC avec un plug entre les fesses. J'adore écrire comme ça.
Donc, une fois quitté le service militaire où durant deux ans, entre deux maniements d'armes, j'avais beaucoup joué avec la queue de quelques copains, je suis revenu à la vie civile et je suis resté deux ou trois mois sage, ne m'occupant que de chercher du travail. Une fois cela fait, je me suis mis en chasse pour me trouver des petits amis, gays bien entendu. A Paris, ce n'est pas ce qui manque. Mais j'étais devenu un peu exigeant et je ne voulais tomber sur n'importe quel mec.
Me rappelant de cet homme, Robert, que m'avait présenté Pierre mon premier amour, je repris vite contact avec lui. Pervers et très bien monté, mes fesses en ont gardé un souvenir ému. A l'époque j'avais à peine seize ans. J'en avais dix de plus, j'espérais qu'il ne me trouve pas trop « vieux » maintenant. Un week-end, je retournais donc dans le village où il habitait. Je m'approche de sa maison. Je sonne à sa porte en utilisant le signal qui était convenu autrefois et qui lui permettait de savoir que la personne qui sonnait était là pour du cul.
Au bout de quelques secondes, la porte s'ouvrit laissant apparaître Robert qui fidèle à son habitude était nu. C'est d'ailleurs lui qui me donna le goût de vivre nu. Il était splendide, toujours aussi bien musclé, et toujours cette queue majestueuse qui pendait entre ses cuisses. Il avait maintenant cinquantr-cinq ans environ. Le temps ne l'avait pas abîmé du tout. Il me regarda, ses yeux me disaient qu'il me trouvait à son goût mais il ne paraissait pas me reconnaître.
« Bonjour Robert, tu me reconnais pas? Je suis Mario, je venais chez toi avec Pierre, il y a à peu prés dix ans. On venait baiser avec toi ! »
Quelques secondes de silence, puis :
« Mario! Oui, je m'souviens, oui ! Mario et Pierre ! Entre donc, mon chéri ! »
J'entre, il referme la porte derrière moi, me serre dans ses bras et me prends la bouche. Il sent un peu le tabac, beurk, j'aime pas ça, mais sa langue m'excite au plus haut point, je lui pardonne. Son baiser me chauffe, je prends sa queue dans la main et la caresse. Je meurs d'envie qu'il me saute. Mais je dois attendre car Robert apprécie toujours de mener la danse.
Il nous conduit dans son jardin, sorte d'immense patio dont le sol est une pelouse. Aux beaux jours, c'est là qu'il baise. Il m'abandonne un instant pour aller chercher à boire. Je profite de ce moment pour me mettre nu moi aussi. Il revient avec un plateau qu'il pose sur la table, se recule un peu. Ses yeux parcourent mon corps dénudé et émet un sifflement de...euh...compliment. Il est vrai que durant mes dix ans d'absence, j'ai fini de grandir et mon corps s'est un peu musclé. Comme lui, j'ai le corps entièrement rasé. Il apprécie cela et me le dit. Tout ça, ajouté au spectacle de sa belle et grosse queue, m'excitent beaucoup et je me mets à bander. Cela fait plusieurs semaines que je n'ai pas baisé, et le spectacle que me donne Robert n'est pas fait pour me calmer. Ce salaud semble vouloir faire durer le plaisir. Il me regarde en souriant et se caresse la queue. Je craque :
« Je t'en supplie Robert, encule-moi, vite, j'ai trop envie de ta bite ! »
Je n'attends pas sa réponse et m'approche de lui, m'agenouille, saisit cette superbe queue et la branle doucement. Je la sens grossir sous mes doigts. J'adore cette sensation. Robert me prend la tête à deux mains et me force à le sucer. Je ne résiste pas du tout. Sa bite continue à grossir dans ma bouche. Bon sang comme elle est grosse, je me régale à la sucer, la mordiller, la lécher. Elle a un goût étrange, un peu amer, loin d'être désagréable. Sans doute son alimentation! Je la déguste comme une sucrerie, comme un gamin à qui on offrirait une sucette après une longue privation.
Et trois mois sans baiser, enfin, sans me faire baiser, ça fait très long quand on aime ça. Robert prend ma tête à deux mains et imprime la cadence. Je me régale de sucer son gros engin, mais j'ai envie d'autre chose, j'ai envie qu'il m'encule. J'arrête ma pipe, me relève et vais m'allonger sur la table, jambes en l'air que je tiens bien écartées.
Bien qu'il préfère toujours diriger les opérations, il ne dit rien et me rejoint. Me viennent alors des images de la première fois que j'étais venu chez lui. J'avais 16 ans. Il était mon premier adulte. C'était il y a dix ans mais je m'en souviens comme d'hier. Ce jour-là, il m'avait fait découvrir le fist. Quel pied il m'avait fait prendre, après la première douleur. Que va-t-il faire aujourd'hui ? La même chose j'espère.
Il s'accroupit pour être à la hauteur de mon petit trou et me le lèche, longuement, lentement. Ça me donne des frissons partout. La feuille de rose dure longtemps. Je n'arrête pas de gémir, tant c'est bon. Je lui demande de me baiser, de me prendre vite. Mais, il semble ne pas m'entendre et continue à me lécher. J'en peux plus, moi. Enfin, il cesse de jouer au sadique, se relève, et commence à me doigter. Il entre deux doigts en moi et m'encule comme ça. Je suis tout dilaté par l'excitation, il le sens bien et fait entrer sa main entière. Je suis empalé sur sa main. Qu'est-ce que c'est bon. Je le sens qui ferme son poing et me pilonne fortement. Il me fait un peu mal mais putain qu'est-ce que c'est bon.
Tout en m'enculant avec sa grosse main, il se penche sur moi et me roule une pelle. Je bande comme un fou. Il me fait oublier mon « jeûne ». Il se redresse et se concentre sur le fist qu'il me fait. Je sens qu'il essaie de glisser un doigt de sa main libre dans mes fesses. Il y arrive assez facilement. Ça lui donne une idée. Il retire sa main et me demande de l'attendre une minute. Il entre dans la maison et en ressort assez vite, avec un superbe gode à la main.
« J'ai l'impression que tu as fait des progrès depuis dix ans, dis donc. T'as du t'faire sauter souvent toi. Je vais essayer un truc, là, je suis sûr que ça va t'plaire.! » me dit-il avec son sourire vicieux.
De s'être absenté deux minutes ne l'a pas fait débander. Il traverse la pelouse tout en me disant ça avec sa grosse queue qui le précède, toute raide devant lui. Cette vision m'excite, j'ai envie de lui. Une fois contre la table, il me fait lever les jambes à nouveau. Il place son gland contre mon anus et s'enfonce d'un coup, jusqu'à la garde. Il va et vient en moi presque en douceur. On sent qu'il aime enculer quelqu'un.
En même temps, il suce son gode tout en me regardant. Mais il arrête les mouvements de son bassin, cesse de sucer son gode pour le présenter à mon cul. Je me crispe un peu car j'ai peur de comprendre son envie. Ben oui, c'est bien ce que j'avais supposé, il veut me faire une double sodo. Robert est un artiste en son genre, et sous des airs de brute, il sait être doux. Aussi, à mon grand étonnement il réussit à glisser le gode dans mes fesses déjà garnies de sa grosse bite.
Il se montre très rarement attentionné quand il baise. Il préfère, de loin, y aller carrément. A mon grand étonnement, pour une fois, il a pris soin d'y aller en douceur. D'abord, il avait bien lubrifié le gode. Il l'a fait entrer en moi, sans que je sente la moindre petite douleur. Il reste comme ça, un moment. Sa grosse queue plantée en moi et le gode qui lui tient compagnie. Je déguste le plaisir de me sentir bien plein et sans mouvement. Mais cela ne dure pas longtemps, car Robert retrouve son naturel. Il donne un grand coup de rein et commence à me sodomiser. Il joue avec le gode en alternant les mouvements avec sa bite. Je suis aux anges. Pensez, depuis ma première fois, vers mes quatorze ans, j'ai toujours préféré être passif. C'est tellement bon de se faire saillir.
Ma double sodo dure un long moment. J'avais presque oublié que Robert était très endurant. Je crie mon plaisir. Robert sourit de me voir remuer sous lui et gémir grâce à lui. Il halète comme un bûcheron et ça m'excite un peu plus de le voir et l’entendre. Je bouge mon bassin de plus en plus vite, tant j'aime ce qu'il me fait. Ce petit jeu finit par venir à bout de sa résistance, il explose et se répand en moi. Quel pied de se sentir arroser comme ça. A mon tour, je jouis sur mon ventre. Robert, reste en moi, son gode aussi. Il ne fait aucun mouvement. On est bien comme ça. Sa main gauche caresse mon ventre et le masse avec mon sperme. Curieux la douceur dont est capable cet homme, sous ses airs de brute.
Il sort sa queue de mon ventre, mais laisse le gode en place. J'aime assez. Il me tend sa queue à suce, elle est enduite de son sperme et de ma jouissance anale. Cocktail plus qu'agréable. Je lèche consciencieusement, lentement pour faire durer le plaisir, notre plaisir. Il me demande d'arrêter et va nous chercher à boire. On en a besoin tous les deux. Il revient, plateau dans les mains. Je le regarde avancer en admirant sa bite. Elle est à peine débandée. Toujours aussi tentante. Je meurs d'envie qu'il me prenne encore, là, tout de suite. Je le lui dis.
Ma déclaration le fait sourire. Il remplit nos verres et me tend le mien. Je veux m’asseoir et me redresse. Mais le gode en moi me gène. Je fais mine de le retirer. Robert arrête mon geste et me dit :
« Non garde-le en toi puisque t'as encore envie de te faire mettre. Tu vas voir c'est vachement jouissif de garder quelque chose dans le cul. Moi c'est souvent que j'ai un gode dans le cul, même quand je sors me balader. Tu devrais essayer, toi aussi. »
Comme je lui dis que je n'ai pas de gode, il me propose d'aller avec moi plus tard, ou un autre jour, dans un sex-shop. Il me conseillera. J'accepte avec plaisir et fais comme il me conseille, je m’assois, avec précaution. Le gode s'enfonce encore plus en moi. Qu'est-ce que c'est bon. Tout en sirotant, nous parlons de choses et d'autres. Il insiste pour que je lui raconte mes aventures. Je lui relate, avec détails mes baises avec mes copains de régiments. En m'écoutant, il caresse son corps. Je sens que ce que je lui dis, l'excite. Sa queue se remet à bander. Elle est belle. J'en ai envie.
Mais Robert qui s'était rapproché de moi pendant que je parlais, a la même envie que moi. Il se met à genoux et me fait une pipe. Je suis assis, bien droit sur ma chaise, le gode enfoncé en moi. Ma bite est toute bandée maintenant. Robert se met au dessus de moi en me faisant face et s'empale. Ma queue n'est pas très mince, mais mon amant est dilaté aussi il ne pousse qu'un soupir de plaisir. Il passe ses mains autour de mon cou et monte et descend sur mon sexe. Il ne pense qu'à son plaisir et oublie peut-être, mais sait-on jamais avec lui, que je suis godé. A chaque fois que Robert redescend son poids agit sur mon gode dont le gland tape au fond de mon ventre. Ce qui fait que grâce à ses mouvements Robert nous encule. Je suis moins endurant que lui aussi je finis par jouir dans son ventre. Il a l'air de bien apprécié si j'en juge par son :
« Oh ! Putain Oui c'est bon ! »
Nous restons un moment comme ça, l'un assis sur l'autre et tous deux les fesses garnies. Nous nous roulons quelques pelles bien agréables et nous nous séparons. Direction la douche, que nous prenons ensemble, chacun lavant l'autre tout en nous faisant quelques taquineries aussi salaces qu'agréables. Ensuite nous nous habillons. Robert me propose de sortir. Il veut me conduire dans un sex-shop pour m'aider à choisir le gode idéal pour faire ce qu'il m'a conseillé tout à l'heure. D'ailleurs, avant d'enfiler son pantalon, il a introduit le gode ''spécial promenade'' entre ses fesses suivi aussitôt d'un slip.
« Pour éviter de le perdre en route dans la rue quand tu marches », me dit-il en souriant.
Le fait est que ça ferait désordre. Je lui dis qu'il faut que j'aille acheter un slip. Je n'en ai pas un chez moi. Voilà des années que je n'en porte plus.
Nous partons donc en ville. Après l'étape obligatoire chez un marchand de slip, direction le Sex-Shop. Je n'étais encore jamais entré dans une boutique comme celle-là. Elle recèle des trésors pour qui, comme nous, sont passionnés par le sexe. Accoudé près de la caisse, un jeune homme de vingt-cinq à vingt-six ans, bel asiatique ou plus sûrement eurasien et visiblement gay et même particulièrement efféminé nous gratifie d'un grand sourire et nous salue. Je le trouve vraiment à goût. Par mon sourire et mon regard, je tente de le lui faire comprendre.
Robert lui demande où est le rayon des godes « pour mon ami », croit-il bon d'ajouter en me montrant du doigt. Mon bel asiate me caresse la main et me fait signe de le suivre. Nous nous dirigeons vers le rayon des godes. Le vendeur me demande ce qui m'intéresse. Je lui dis que je veux pouvoir me promener avec ça dans le cul. Il me fait un sourire complice, en prend un et me le tend :
« Tu verras, il est super celui-là. J'ai le même. Aujourd'hui, je ne l’ai pas enfilé, mais c'est super ! »
Je règle mon achat et lui demande s'il n'y a pas de cabines car « je vais le consommer tout de suite », ajoutai-je.
Le jeune homme que je trouve de plus en plus mignon, me fait un large sourire.
Plutôt que de me dire où elle se trouve, il préfère m'y conduire. Il marche devant moi en tortillant du cul. C'est assez excitant, je dois dire. Arrivé à la cabine, il écarte le rideau pour que j'entre et me suit. Il ferme le rideau derrière lui. Ce n'est pas une cabine d'essayage mais une cabine où on peut regarder des films de cul. Bon à savoir pour une prochaine fois. Le caissier me dit se prénommer Claude. Il entreprend de déballer le gode. Pendant ce temps, je retire mon pantalon, sans aucune gène, après tout, nous sommes entre nous n'est-ce pas ?
Claude, me regarde faire et émet un petit sifflement car, je suis tout épilé et ma bite commence à bander. Faut dire qu'elle m'excite depuis un moment cette petite salope que je trouve vraiment très sexy. Il glisse le gode dans sa bouche pour l'humidifier et proteste quand je veux le lui prendre pour me le mettre.
Claude me dit alors : « Non, mon chou, laisse-moi faire, sois gentil ! »
Je me sens incapable de lui résister et je lui obéis. Il s'accroupit derrière moi, écarte mes fesses et me fait une délicieuse feuille de rose. Il glisse le gode dans mon cul. Il lui fait faire quelques va-et-vient. Je pousse un soupir de plaisir. Profitant qu'il est accroupi, Claude me suce un peu la bite, puis se relève.
Il est tout contre moi, nous nous regardons fixement en silence. Je ne résiste pas à la tentation et lui prend la bouche. Il répond à mon baiser fougueusement. Son corps est tout contre le mien, il le fait onduler. Ça m'excite terriblement, je bande comme un fou. J'arrête nos effusions et lui demande son adresse car j'ai envie de le revoir. J'ai flashé sur lui. Il est tout heureux de ma demande. Je me rhabille et nous sortons de la cabine. Claude tient l'emballage vide dans ses mains. Robert sourit en nous voyant revenir. Il me fait un clin d’œil et dit en souriant que ça lui a paru bien long « cet essayage ». Je lui réponds qu'il fallait faire ça sérieusement et que grâce aux talents de Claude tout c'est merveilleusement passé.
Claude me donne sa carte de visite et me glisse un « à bientôt » plein de promesse. Une fois dehors, je propose à Robert d'aller boire un pot. Confortablement installés à la terrasse d'un bistro proche, j'explique à Robert ce que nous avons fait dans la cabine, que j'ai l'intention de revoir Claude car, il me plaît vraiment beaucoup. Robert, pas une seconde ne me dit que j'aurais pu inviter ce garçon à se joindre à nous pour une baise à trois. En effet Robert a horreur de ceux qu'on appelle « les folles ». Il préfère les petits jeunes comme celui que j'étais il y a une dizaine d'années, c'est à dire autour de dix-huit ans.
Je me réserve Claude pour un tout proche avenir. Je suis sûr que nous allons nous régaler. Robert et moi continuons à bavarder, de cul essentiellement. Ma brève séance avec Claude dans la cabine m'a bien chauffé, je le dis à Robert qui me répond qu'il a lui aussi encore envie de baiser. Il m'abandonne un instant pour aller à la cabine téléphonique toute proche. Il passe un appel et revient sourire aux lèvres et pouce levé. A qui a-t-il téléphoné ? Et pourquoi a-t-il l'air si content ? Je ne tarde pas à le savoir. Robert à qui l'envie de baiser a rafraîchi la mémoire, a téléphoné à un garçon qu'il fréquente depuis à peu près un an et sur qui il ne tarit pas d'éloges si bien que j'ai vraiment hâte de le connaître.
« C'est un garçon super, tu sais, il a de belles qualités amoureuses. Il est d'accord pour venir nous rejoindre chez moi tout à l'heure. Il s'appelle Laurent, je l'ai connu il avait tout juste 18 ans. C'est moi qui l'ai dépucelé du cul. Tu verras, il vaut vraiment le coup. Je te laisse la surprise de le découvrir tout à l'heure.»
Voilà qui me met l'eau à la bouche. Ma petite séance avec Claude et ce gode bien installé entre mes fesses, me chauffent au maximum. Il me tarde que nous soyons rentrés et que ce Laurent arrive.
Cela me tarde d'autant plus que ce foutu gode entre mes fesses entretient mon avis de baiser. Avec Robert on rejoint sa voiture et nous rentrons chez lui. Aussitôt rendus, nous nous déshabillons. Le plus délicat est d'empêcher mon gode de glisser et de tomber, aussi je le retire le mets de côté pour ne pas l'oublier quand je rentrerai chez moi ce soir.
Avec Robert nous bavardons de choses et d'autres et comme il est un peu obsédé sur les bords, il me demande de lui raconter mes séances de baise à l'armée. Enfin plus exactement chez Jean avec mon pote de régiment Philippe et un peu plus tard avec José, cette adorable « folle » qui faisait le bonheur des bidasses les soirs où ils étaient de garde. De parler de ce José, me remets en mémoire le souvenir de Claude rencontré tout à l'heure au Sex-Shop. Je me promets de l'appeler demain matin. J'ai envie de faire quelque chose avec lui. Il est superbe et m'a l'air très chaud et câlin. D'y songer me fait bander.
C'est ce moment que choisit le fameux Laurent pour sonner à la porte. Robert va le chercher, ils mettent un petit temps pour me rejoindre au jardin. Quand je les vois apparaître tous les deux, je comprends pourquoi. Laurent a pris le temps de se mettre nu. Je suis très agréablement surpris. Il est très grand, un corps athlétique, et ce qui pend entre ses jambes est un morceau de roi. J'allais oublié de vous dire. Il est black, de Martinique me dira-t-il plus tard.
C'était donc ça, ce que Robert appelait une surprise, ce fameux Laurent est noir et très bien monté. Il s'approche de moi. Nous nous serrons la main et nous embrassons sur les joues. Je songe soudain que Laurent va être le premier black à venir fouiller dans mon ventre. La taille de sa queue me mets l'eau à la bouche. Robert qui commence à me connaître prend les choses en main, si j'ose dire. En effet il prend la bite de Laurent et la porte à ma bouche. Je lèche avec gourmandise cette grosse tige. Elle a un goût de vanille. Je trouve ça tout à fait à mon goût, et commence alors à le sucer, mordiller, lécher, sucer à nouveau. Une de mes mains caresse ses couilles. Je me régale.
Ma séance de baise avec Robert plus tôt dans la journée, ma balade en ville avec un gode dans le cul et la perspective de bons moments que je passerai sous peu avec le beau Claude m'ont particulièrement chauffé. Aussi je demande à Laurent de me prendre, là tout de suite. Robert, me demande de me mettre à 4 pattes pour être pris en levrettes. Il a envie que je le suce, et de me sucer tout en regardant de tout près, la grosse bite black aller et venir en moi. Ma foi, je ne dis pas non. En levrette, Laurent me pénétrera plus profondément.
Robert se couche sur la table, je me mets à 4 pattes sur lui et tête bêche. Laurent est derrière moi, sa bite est bien dressée. Il se penche pour prendre du lubrifiant. Je l'en empêche, je veux qu'il me prenne comme ça. Je suis assez souple et dilaté, ça devrait se passer facilement. Robert qui est sous moi est entrain de me doigter. C'est extraordinaire comme cet homme, aux allures d'armoire à glace, peut se montrer doux. Ses doigts me font un bien fou. Il cesse, saisit la bite noire et la présente à mon trou de balle. Laurent me tient par les hanches, et soudain sans précaution aucune, il pousse son bassin en avant et ramène mes hanches vers lui. Je pousse un grand cri. Il m'a fait mal. Il est plus gros que Robert. La douleur est brève. Elle est aussitôt remplacé par du pur bonheur. La grosse matraque noire qui me pilonne est douce et chaude. Chacun de ses mouvements me ferait presque jouir. Grâce à la longueur de son manche son entrée et sa sortie semblent n'en plus finir
Il m'a enculé comme ça un long moment. Robert lui a demandé d'arrêter un instant car il voulait changer de position. En effet, il est venu se mettre à quatre pattes, lui aussi, tout contre moi et fait signe à Laurent de reprendre. C'était un autre chapitre de la surprise dont il m'avait parlé. Ce sacré gaillard de Laurent est d'une endurance exceptionnelle. Il nous a donc enculés alternativement, multipliant ainsi le plaisir de sentir ses pénétrations. On s'est fait emmancher comme ça un long moment. Finalement Laurent s'arrêta et se branla au dessus de nous qui nous sommes partagés son bon jus.
Après ça, une bonne douche, un bon petit repas. Au dessert nous avons enculés Laurent en lui faisant une double sodomie. On lui devait bien ça. Extinction des feux, nous abandonnons Robert. Laurent et moi rentrons chez nous, chacun de son côté bien entendu. Une fois chez moi je m'affale sur mon canapé et me remémore cette folle journée. Je repense à Claude, ce bel eurasien.
Il est vingt-deux heures, il n'est peut-être pas trop tard pour l'appeler. Effectivement il décroche assez vite. Je me présente. Il est ravi de m'entendre et me le dit avec du sourire dans la voix :
« Mario chéri, comme je suis heureuse (sic) que tu m'appelles. Je croyais que tu ne le ferais pas ! »
- Comment aurai-je pu oublier ? Tu m'as plu tout de suite quand je suis arrivé. Et depuis la cabine j'ai envie de toi. On, peut se voir demain soir ?
- Oh ! Oui ! Oh ! Oui ! Je t'attends chez moi vers vingt et une heures.
- Ok, à demain Claude, je t'embrasse partout ! »
Il me tarde d'être à demain soir, moi !
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Le fantasme de la mère et de la fille, d'autant plus grand qu'il est extrèmement difficile à réaliser. J'en connais pourtant qui sont arrivés à mettre la mère et la fille dans leur pieu, parfois même en même temps. Je connais au moins trois scènes où la filiation est prouvée.