Les Mémoires très Libertines de Sophie
Baise à la crique
Hier, il faisait encore très chaud dans notre beau pays. je décidais d’aller me baigner dans une crique, pas très loin de chez moi. En Guyane, une crique, c’est un petit fleuve, une rivière. On peut s’y baigner sans danger, même si nous sommes au cœur de l’Amazonie. L’eau y est plus fraiche que dans la mer ou les piscines, elle oscille entre 25 et 26°. Pour ici, c’est frais !
Je m’y rends donc, avec un peu la crainte qu’il y ait beaucoup de monde. Mais divine surprise, pas une voiture à l’entrée du layon (le chemin d’accès.)
En effet, en arrivant sur place, je constate que les grandes pierres plates qui servent de plage sont désertes. Je pose mes affaires, dans un coin un peu plus reculé, pour être tranquille, au cas où…
Je me baigne avec bonheur dans l’eau verte. Des poissons glissent entre mes orteils. Je goute le plaisir de me balancer à une grande liane, et de me jeter dans l’eau. Contrairement à mon habitude, j’ai mis un maillot. Mais vu qu’il n’y a personne, je l’enlève, le passe à mon bras, et continue ma baignade totalement nue. Après tout, il n’y pas âme qui vive !
Après un bon moment de baignade, je vais m’allonger sur les pierres. Je sens leur chaleur tiédir mon corps, à travers la serviette. Le soleil est fort, mais tamisé par les feuilles des ficus géants. Ici, ils mesurent au bas mot trente mètres de haut.
Et comme souvent quand je me sens bien, je finis par laisser glisser main vers mon intimité. Mes lèvres sont gonflées d’un désir latent, pas encore très fort, mais bien présent. Je laisse mes doigts caresser mon petit bouton, qui durcit vite sous ma caresse. Le désir s’amplifie, mais je n’ai pas mon petit gode, qui me sert en cas d’urgence. Tant pis, je ferai avec main !
J’en suis là de mes pensées, quand j’ai la nette impression qu’on m’observe. J’ouvre légèrement les yeux, et je vois à quelques mètres de moi, sur l’autre rive, un homme, éclairé par le soleil qui décline. Il me fixe, debout. J’ai un mouvement de pudeur. Je le vois mal. Mes yeux se réhabituent à la lumière, et je constate qu’il tient entre ses mains un objet long et raide.
Non, je ne rêve pas, il bande. Et il tient son sexe dans sa main. Je ne crois pas en ma chance ! Alors que j’ai une envie de plus en plus furieuse de baiser, un bel homme est là, devant moi. Il n’est pas très grand, râblé, les bras bien musclés. Il est taillé en V, le crane rasé, et semble dépourvu de tout poil. Le rêve pour moi !
Il me sourit, je le lui rends avec complicité. Je me tourne un peu vers lui, de façon à ce qu’il me voie mieux. Enfin, qu’il voie mieux ma chatte excitée. Il acquiesce d’un mouvement de tête, et commence à faire glisser sa main sur sa queue, que je devine bien épaisse. Elle n’est pas immense, mais elle me fait déjà saliver.
Je ne suis pas en reste. J’écarte d’une main mes lèvres bien humides, et de l’autre, je me caresse, passe mes doigts du clito à l’intérieur du vagin, mes mouvements d’accélèrent, les siens aussi, il se masse les couilles d’une main, de l’autre, branle vigoureusement sa belle bite, astique copieusement son gland décalotté et brillant.
Ce spectacle, un de ceux que je préfère, ne tarde pas à faire son effet. Je jouis sous mes propres caresses, inondant mes doigts de ma liqueur. Mon voyeur ne manque pas de le voir, et me lance : « Dommage d’avoir perdu ce précieux liquide… je peux venir vous rejoindre ? »
Sa voix est grave et profonde, elle me charme encore plus. Je fais « oui » de la tête, encore incapable de parler, sous le coup de mon, orgasme.
Il saute dans la crique, la traverse rapidement, le chibre toujours bien serré dans on poing. En quelques secondes, il est là, près de moi. Je ne m’étais pas trompée : c’est un beau mec, en tout cas, selon mes critères. Ses yeux rient de plaisir.
« Marco, ravie de vous rencontrer, belle dame. Ce n’est pas tous les jours qu’on voit une belle femme nue dans cette crique. Et avec une aussi belle et grosse coucoune (chatte, en créole.) »
Je rougis un peu sous le compliment et le lui retourne : « Marco, c’est un plaisir de faire la connaissance d’un homme qui aime mater et s’exhiber. Nous sommes faits pour nous entendre ! »
Nous rions tous les deux, mais je ne peux m’empêcher de fixer son bel engin, toujours raide de désir. Il me dit alors : « Tu as joui une fois, mais toute seule, je veux te faire jouir, moi… Que veux-tu que je fasse pour ça ? »
Quel homme, un vrai fantasme vivant ! Je lui réponds que je veux sa langue, sa langue dans ma coucoune. Prestement, il s’allonge sur le coté, pour ne pas blesser sa belle queue, et sans hésiter le moins du monde, écarte mes lèvres en grand, et enfourne sa langue au plus profond de mon vagin. Son organe semble immense. Il me fouille, ne laisse aucun endroit non visité, s’aventure sur mon petit trou, qui frémit de plaisir sous cette divine caresse. Décidément très attentif à mes réactions, il enfonce délicatement un doigt lubrifié dans ma rosette, qui s’ouvre sans peine face à cet intrus. Et il continue avec le geste que j’attendais : il insère son pouce dans ma chatte. Il me fait ce que je nomme une « pince : un doigt dans chaque trou.
Il les bouge en rythme, me labourant gentiment les deux orifices. Et comme s’il répondait à ma dernière attente, il enroule sa langue sur mon clito dressé. Ce traitement de choc ne tarde pas à faire effet : je jouis, sans me retenir cette fois. Au diable d’éventuels intrus. Je crie mon plaisir à la cime des arbres. Une foule de colibris prend son envol, sans doute affolés par mon vacarme !
Je jouis tant que ma serviette est trempée d’un flot de cyprine comme j’en ai rarement eu. Il faut dire que tout est réuni pour ça : le cadre, le soleil, l’eau, le voyeur, qui devient mon baiseur, baiser avec un inconnu bien membré…
Tout y est pour une excitation maximale !!!
Il se redresse, toujours aussi bandé. Je m’assieds, et me penche vers cette belle bite qui me nargue depuis tout à l’heure. Je l’embouche brusquement, sans prévenir. Il m’emplit la bouche, son gland aplatit ma langue, et me coupe la respiration. Il est vraiment massif. Je sens que je vais adorer me faire prendre...
En attendant, je l’aspire, le lèche, le déguste comme une glace... Je mordille son frein, le gros gland rouge… Je gobe ses grosses couilles bien pleines, je masse le gros sexe avec fermeté.
Mais Marco suspend mon geste : » T’as une capote ? Je veux te baiser ! »
J’acquiesce, le lâche à regret et attrape mon, sac. J’ai toujours des capotes sur moi. J’aime me faire sauter, mais je ne veux pas être malade !
Il la prend, la déroule prestement, l’enduit du gel à ma demande.
« Mets-toi à quatre pattes, je veux voir ton cul bien offert. »
Je ne me fais pas prier, j’adore cette position. Je roule une autre serviette sous les genoux, pour ne pas avoir mal sur les pierres dures. Et surprise, quand je me mets en levrette, je vois juste devant moi, dans les herbes aquatiques, un autre mec, qui nous mate tranquillement. Je me tourne vers Marco, qui me dit sans attendre que j’ouvre la bouche : « C’est mon pote Thierry. Il aime mater. Tu veux bien ? Si tu veux, il te caresse aussi. Mais bon, comme il bande difficilement, tu ne lui feras rien… »
Comment refuser une telle proposition ???
Le Thierry en question s’approche, et c’est vrai qu’il ne bande pas. Sa bite pend, flasque sur ses cuisses. D’une main, il tente pourtant de lui donner de la vigueur, de l’autre, il saisit mes un de mes seins, et le malaxe fermement. Mes pointes durcissent, et cela accroit encore mon excitation…
Marco se met derrière moi, me pénètre avec force, mais sans me faire mal. Depuis le temps que j’attends de me faire prendre…. Il commence ses va et viens doucement, puis plus rapidement. Ses grosses couilles lisses battent contre mon clito. Je demande à Thierry de me branler en même temps. Il obéit aussitôt. Marco lui ordonne d’un ton sec : « Masse aussi mes boules, pédé ! »
Je suis un peu surprise par la teneur de son propos. Thierry obtempère, et je sens ses doigts agiles qui me titillent le clito. Marco me tient fermement les hanches, me besogne la chatte bien profondément. Je ne peux m’empêcher de lui crier : « Vas—y, baise-moi, défonce-moi, déchire ma chatte, j’en crève… »
Pour toute réponse, il accélère le mouvement et enfonce à nouveau un doigt dans mon cul offert à lui. Thierry me branle aussi de plus en plus vite. Pour la troisième fois en quelques minutes, je jouis à m’en rompre les cordes vocales.
Mais Marco n’a pas joui… Je continue donc à danser sur son pieu. J’ouvre les yeux, et je constate que son copain bande maintenant un peu.
Mais sans que je m’y attendre, Marco sort de ma chatte, ôte la capote, se lève, et va enfourner sa bite encore plus grosse dans la gorge de son copain !
J’hallucine, là !!! Thierry ne bronche pas, il doit avoir manifestement l’habitude. Il lui baise la bouche comme il me défonçait il y quelques secondes à peine. Thierry se branle, il bande de plus en plus. Je vois le corps de Marco s’arquer, ses abdos en tablettes de chocolat se contractent, il enfourne sa queue jusqu’a la garde dans la bouche qui suffoque. Cette dernière se crispe sur le membre qui le force, et il a un hoquet. Le foutre qui lui a rempli la gorge suinte de ses lèvres. « Avale, tout, lopette, avale ma crème »
Marco est brutal avec son ami.
Je suis un peu désarçonnée, mais le spectacle m’excite. Je ne peux m’empêcher de me branler encore. Marco sort son sexe encore raide de la bouche de l’autre, et me regarde en souriant : « Tu n’en n’as pas encore eu assez ? Alors, avec moi, et lui, tu es bien tombée ! »
Et, se tournant vers celui qui est visiblement son soumis, lui ordonne : « Va la lécher, tu verras, elle est bonne, et tu as intérêt à la faire jouir. Sinon… »
Ce dernier mot est menaçant…
Je m’allonge sur le dos, Thierry entre mes jambes. Il me suce, me lèche avec application, il est doué… Marco se branle à coté de moi. Puis il me dit : « Il te fait du bien chérie ? »
Je hoche la tête pour confirmer. Alors, il saisit la bite de Thierry, et la branle sans ménagement. Ce dernier se tortille sous l’assaut brutal. Il jouit très vite, projetant un faible jet de foutre sur la pierre chaude.
Marco, toujours aussi méprisant lui crie : « Tu jouis même comme un pédé impuissant. Je vais te donner ta leçon. Fais la jouir, et lève ton cul. »
Thierry se met à genoux très vite, et mon amant du jour lui enfonce la queue dans l’anus, comme ça, sans préparation. Thierry étouffe un cri de douleur puis ondule de la croupe, pire que moi ! Il aime ça, le salaud !
Me voilà dans l’une de mes positions préférées : bien léchée, et par un homme qui se fait enculer… Le rêve absolu. Pour la quatrième fois de l’après-midi, je jouis comme une folle. Marco jouit aussi, en criant des injures, cette fois-ci. Il sort des entrailles de Thierry, et lui présente sa bite à sucer : « Nettoie, et ne laisse rien ». Une fois de plus, ce dernier obéit.
Je les regarde, cette fois-ci, je suis assouvie... Enfin, je le pensais. C’est la première fois que je vois un deux hommes, maitre et esclave sexuel. Ca ne m’attirait pas vraiment comme scénario, mais là… ça m’excite diablement !
J’en fais part à Marco, qui ne perd pas le nord : « Si tu veux, chérie, on continue chez moi… » Comment refuser une telle proposition. ? Nous levons rapidement le camp, d’autant que des voix d’enfants nous arrivent : nous l’avons échappé belle ! Nous partons très vite, en croisant une belle famille qui vient se baigner…
Le reste de la journée, et une bonne partie de la nuit, nous avons baisé comme des sauvages, Marco était déchainé, moi très avide de sexe, et Thierry, très obéissant.
J’ai adoré !
Yasmine
Yasmine était la secrétaire d'une société d'ambulances en Ile de France, rivale et néanmoins amie de celle qui m'employait. A ce titre, il m’a été souvent donné de la rencontrer. Comme son prénom l'indique, elle est méditerranéenne. Elle avait à cette époque-là 30 ans. Brune au teint hâlé, deux superbes perles noires lui permettaient d'enflammer toute personne sur qui elles se posent. Un corps qui avait cette formidable qualité d'attirer irrésistiblement les mains. Comme l'aurait dit le commissaire San Antonio : « Elle avait un cul à transformer la main de l'homme en louche à potage. »
Ajoutez à cela une façon de marcher qui n'était que sensualité…
Ne se sentant pas du tout concernée par les interdits de la religion de ses parents, elle était totalement libérée et comptait bien profiter de tous les avantages que son corps lui offrait. Comme tout le monde, je la draguais et nous avions fini par bien sympathiser. Cependant, pour des raisons diverses, nous n'avons jamais pu concrétiser. Lorsque j'ai pris ma retraite, nous avons continué à correspondre. Et enfin le hasard et la chance firent qu'elle venait à Majorque pour ses vacances, au moment où je devais y passer ma dernière semaine. Nous sommes donc convenus de passer ces quelques jours ensemble.
Voilà cinq ans maintenant que nous ne nous sommes pas revus. J'ai hâte de la voir et enfin, de pouvoir lui faire l'amour. Je suis à l'aéroport de Palma pour l'accueillir. Le temps me paraît très long, mais c'est de ma faute : j'ai la foutue habitude d'être toujours en avance. Enfin l'avion atterrit. Dans le flot des passagers je la reconnais, elle est toujours aussi belle et bandante, seule sa coiffure a changé, elle a maintenant les cheveux très courts et cela lui va à ravir. Elle m'aperçoit et me fait un grand sourire, elle est belle ainsi quand son visage s'éclaire. Nous nous étreignons et nous embrassons très sagement. Nos bouches s'effleurent sans ouvrir nos lèvres.
Après tout, jusque-là, nous avions beaucoup parlé de ce que nous aimerions faire sans jamais faire quoi que ce soit. Mais j'ai plus qu'un bon espoir car c'est Yasmine qui a posé ses lèvres sur les miennes, en me regardant droit dans les yeux. Comme elle s'était collée contre moi, ma tenue légère n'a pu l'empêcher de constater qu'elle me faisait bander et l'éclat rieur de ses yeux m'a montré que cela lui plaisait.
Je la conduis à son hôtel et l'aide à défaire ses bagages. La chaleur est intense, aussi décide-t-elle de prendre une douche. Elle se déshabille sans gêne aucune dans la chambre. A-t-elle oublié que j'étais là ? Le fait-elle volontairement ? Toujours est-il que je suis en admiration devant son corps. Sa peau est naturellement hâlée. Elle est entièrement épilée, sa silhouette semble un violoncelle. Elle pousse la ressemblance jusqu'à avoir une fossette au dessus de chacune de ses fesses, semblant être ces « esses » qu'on voit sur l'instrument.
C'est un spectacle formidable auquel j'assiste. Je la regarde se diriger vers la salle d'eau, son déhanché me fait rêver. Dans mon short, « mon archet » est prêt à jouer avec ce violoncelle. Je dois y penser très fort car, comme si elle lisait en moi, elle se retourne et avec un sourire qui en dit long elle me dit:
« Le spectacle te plait-il, Bruno ?
- Je suis aux anges ma chérie. Je te savais belle, mais pas à ce point !
- Je vois ça ! Ton short est devenu trop court tout d'un coup ! » me dit-elle en se moquant gentiment de moi.
De face, elle est superbe, elle a des seins lourds, les aréoles très foncées sont larges, son ventre a un très léger rebondi et sa chatte glabre a des lèvres charnues formant comme des parenthèses pour mieux mettre en valeur un clitoris qui semble assez long. Cerise sur le gâteau, elle a un tatouage sur le ventre. Il est réalisé par un véritable artiste. Il représente un tigre prêt à bondir sur sa proie. Sa queue part du nombril dont elle fait deux fois le tour et sa gueule ouvert et babines retroussées encadrent son clito. Tout ça transpire la sensualité, tout en elle sent l'érotisme et l'envie de jouir de la vie.
Et sans attendre ma réponse, elle entre dans la douche et fait couler l'eau sur elle. Les gouttes coulent le long de son corps comme autant de caresses, ses mains caressent sa peau, plus pour le plaisir que pour se laver. Je l'ai suivie dans la salle d'eau, et appuyé contre le chambranle, j'admire le spectacle qui m'est offert. Je bande de plus en plus. Je ne peux pas rester comme ça sans rien faire, aussi je me déshabille et la rejoint sous la douche, sans même me demander si elle va accepter mon intrusion ou m'envoyer paître.
Comme elle me tourne le dos, elle ne m'a pas vu faire. Je me colle contre elle et la prends par la taille. Elle a un léger sursaut de surprise vite réprimé puis se cambre un peu, penche sa tête en arrière et la tourne vers moi, je comprends ce qu'elle veut et lui prends la bouche. Nous nous embrassons comme ça un bref instant puis elle se retourne pour me faire face. Son baiser m'embrase elle a une langue vive et agile, elle est partout à la fois dans ma bouche. Nos mains parcourent le corps de l'autre comme si nous étions des morts de faims, de faim d'amour bien sûr. C'est que sans nous le dire nous avions envie de nous baiser depuis que nous nous connaissons. On pourrait croire que nous voulons rattraper le temps perdu.
Yasmine est souple comme un serpent, son corps épouse le mien se frotte contre lui, je me demande si j'ai pu bander aussi fort qu'aujourd'hui. Je sens que je vais jouir tant elle m'excite :
« Non ! Arrête ! Arrête ! Je t'en prie, tu vas me faire jouir trop vite ! »
Yasmine au contraire continue à se frotter contre moi tout en descendant, prend ma queue en bouche, sa langue est vraiment agile et rapide j'ai la sensation qu'elle a complètement enveloppé ma bite, contraste, ses lèvres vont et viennent doucement le long de ma hampe. Cette façon de faire me fout des frissons et me fait gémir, et je ne tarde pas à sentir monter mon sperme. Je le lui dis, mais elle ne se retire pas et aspire de plus en plus vite, elle a hâte de me sentit exploser, ce qui arrive d'ailleurs immédiatement.
Yasmine, gourmande, n'en perd pas une goutte. Elle se relève tout en se frottant contre moi, et quand enfin elle est debout, elle me regarde un instant avec un sourire dans les yeux, colle ses lèvres aux miennes et nous partageons mon jus, ce jus qu'elle a su faire naître de la belle manière.
« Dis-moi, Bruno, tu ne trouves pas qu'on a été cons de rien faire tous les deux il y a quelques années ?
- J'te l'fais pas dire ma chérie, aussi j'te propose de faire comme si on voulait rattraper un peu du temps qu'on a perdu d'accord ?
- Ah, ça oui, alors !! »
Nous sortons de la salle d'eau, nus et trempés de l'eau de la douche. La baie vitrée de la chambre est grande ouverte. La vue est splendide. Yasmine et moi, nous approchons du balcon pour profiter du spectacle. La belle est blottie contre moi, sa peau, douce et chaude, me fout de l'électricité dans tout le corps, je sens des fourmillements dans mes extrémités, toutes mes extrémités. Peut-être le sent-elle qui me caresse le corps d'une main espiègle et douce.
Je n'ai plus vingt ans depuis un moment, pourtant j'ai déjà envie de recommencer avec elle. Et sa main qui a pris « mes choses en main » ne fait rien pour arranger les choses. Ma queue est en pleine croissance. Du coup, Yasmine pose ses yeux dessus, ce qu'elle voit lui semble plus intéressant que le spectacle que nous donne ce coin des Baléares au mois de juillet. Sa jolie main prend de plus en plus d'initiative. Alors, plus rien ne compte pour moi que de m'allonger sur elle et la prendre. Je la conduis vers le lit et l'allonge.
Je m'agenouille, écarte ses jambes. Elle m'aide en faisant presque le grand écart. Mes mains caressent ses cuisses, mes yeux contemplent sa chatte. Elle est belle. Ses lèvres charnues semblent me faire un sourire coquin. J'aime ce spectacle. Et j'ai envie de lui prouver que je la trouve à mon goût. J'approche ma bouche de sa chatte. Ma langue fait connaissance de chacune de ses lèvres. L'endroit est de plus en plus humide. Sa mouille a un goût acre que je trouve fort agréable.
Ma bouche attaque son bouton qui durcit. Je le mordille un peu puis je le suce comme je le ferais d'une queue. Yasmine remue de plus en plus son bassin en gémissant. Elle prononce dans sa langue maternelle des mots dont je comprends le sens et qui sont particulièrement hard. Ça me fait plaisir, je suis sur la bonne route pour la faire jouir. Le bas de mon visage est de plus en plus humide tant elle mouille.
Alors je la pénètre de mes doigts en crochet pour bien faire la cour avec son point G. Apparemment, lui et moi sommes bons amis car il me répond assez vite et le corps de Yasmine se raidit, ses reins se cambrent et elle pousse un grand rugissement tout en m'arrosant le visage de sa jouissance. Un peu sadique, je continue à « crocheter » sa chatte et sucer son clito. Elle hurle de plus en plus. Ma tête est prise entre ses cuisses comme dans un étau tant elle bande ses muscles. Finalement, j'obéis à ses suppliques et cesse ma caresse.
Je me redresse et m'allonge à côté d'elle, mes mains caressent doucement son corps et je la couvre de baisers pour l'aider à s'apaiser un peu. Et enfin, elle refait surface me regarde et me sourit, ses yeux qui brillent sont légèrement embrumés comme si elle n'avait pas encore refait complètement surface. Je lui souris à mon tour tout en me couchant sur elle pour la pénétrer. Moment de pur bonheur, c'est quelque chose que j'attendais depuis très longtemps.
Ma queue bien au fond de son corps, je ne bouge plus, je profite de l'instant. Yasmine aussi d'ailleurs qui marque son plaisir en contractant en cadence les muscles de sa chatte comme pour faire des tapes amicales à ma queue. Ce petit moment de tendresse ne peut pas durer car nous avons du feu dans les reins. Je ne saurai jamais lequel de nous deux fit le premier mouvement, toujours est-il que nous baisons enfin. Mais nous le faisons, lentement sans nous hâter pour profiter pleinement de chaque seconde qui nous mènera vers ce que les anciens appelaient « La Petite Mort ». La lenteur de nos mouvements n'enlève rien à notre excitation, bien au contraire. Yasmine bouge son bassin autour de ma queue tel un serpent avalant sa proie.
Quel pied je prends là nom d'Éros de nom d'Éros ! Et sa peau est si douce et si chaude qu'elle donne des envies d'éternité... Je fais des efforts surhumain pour me retenir d'exploser pour faire durer le plaisir, sous moi Yasmine feule comme le tigre tatoué sur son bassin. D'un commun accord, nous cessons un moment de bouger, pour nous calmer et nous caresser et nous embrasser.
Mais l'envie de jouir est la plus forte, Yasmine jette soudain son bassin en avant en criant un mot ordurier, mot magique qui nous fait jouir instantanément. J'explose en elle et inonde sa chatte de mon sperme. Car notre désir de baise nous avait fait oublier la capote. Je la rassure en lui disant que je suis sain et je lui montre un peu plus tard mon « Certificat de bonne santé », Yasmine, m'assura de sa bonne santé et dés son retour à Paris m'en envoya la preuve. Ouf !!! (Petit accident à ne pas reproduire, sous aucun prétexte ! ndlr)
Yasmine me propose de sortir déjeuner, car elle est à jeun depuis le matin très tôt. C'est une sensuelle, qui aime faire plaisir à tous ses sens, et bien manger est pour elle important. Et comme si cela était un aphrodisiaque, après un bon repas, elle se sent prête à toutes les folies. C'est du moins ce qu'elle me dit pour justifier sa décision. Les désirs d'une jolie femme étant des ordres pour moi qui meurs d'envie de lui faire encore l'amour, je ne peux que m'incliner et nous sortons.
Je la conduis dans un petit restaurant qui ne paie pas de mine, situé dans une ruelle du village. Ce n'est pas un restaurant à touristes, l'ambiance est sympa, bruyante et parfois musicale mais très sympa. On y sert des plats copieux et presque familiaux. C'est simple et convivial, j'adore ça, ça m'évite de manger crispé. Et puis Yasmine est un spectacle à elle toute seule. Sans jamais être vulgaire et sans jamais manger et boire comme un goret, elle dégage une telle gourmandise sensuelle qu'elle aiguise tous les appétits.
Les autres clients de ce restaurant, qui sont d'ailleurs tous majorcains, la regardent avec de la gourmandise dans les yeux. Sa tenue vestimentaire y est pour beaucoup. Elle a un chemisier orange, très fin à travers lequel on aperçoit distinctement sa superbe poitrine rehaussée d'aréoles foncées et larges. Le bas est revêtu d'une minijupe qui effleure la mi-cuisse. Ses chaussures ne cachent rien de ses pieds. A chacun d'eux, un orteil est décoré d'un bijou. Au cours du repas, Yasmine me demande de me pencher sous la table et de regarder.
Je m'exécute, elle écarte ses jambes et je m'aperçois qu'elle n'a pas mis de culotte. Le spectacle est ravissant et très excitant. Je me rends compte alors que cette jolie femme a ceci de commun avec un iceberg que sa partie visible n'est, sans doute, aucun rien du tout à côté de ce qu'elle cache. C'est le, le seul point commun, parce que pour le reste elle est chaude bouillante. Le repas se poursuit dans les rires et les allusions égrillardes qu'elle n'est d'ailleurs pas la dernière à faire. Assez exhibitionniste elle ne cesse de se remuer sur sa chaise ce qui permet à de nombreux hommes de la salle de se rincer l'œil. Les yeux de Yasmine brillent de plus en plus. Elle prend un plaisir fou à exciter les autres. Et j'espère que j'en profiterai au maximum.
Repas terminé nous sortons du restaurant sous le regard admiratif des clients. Main dans la main, nous nous promenons dans ce petit bourg pittoresque. Femme jusqu'au bout des ongles, elle s'arrête devant les vitrines. Soudain, une boutique de chaussures attire son regard et elle me dit :
« Attends, je vais m'acheter quelque chose. »
Je ne vois rien dans cette boutique qui soit plus intéressant que dans les précédentes. Je constate que celle-ci est bien achalandée. Il y a du monde. Je comprends alors pourquoi Yasmine a fait son choix sur celle-ci. Cela va lui permettre de poursuivre le petit jeu d'exhibition qu'elle a commencé dans le restaurant. Aussi je la laisse se promener dans les rayons et reste un peu à l'écart pour assister au spectacle. Et effectivement, cela en est un. Elle jette, bien entendu, son dévolu sur les rayons les plus bas et se penche pour admirer les chaussures, mais elle le fait en prenant son temps et sans s'accroupir, montrant ainsi sa souplesse.
Sa jupe, très courte et légère remonte suffisamment pour qu'on puisse admirer son bel entrejambe nu. De temps en temps elle se retourne vers moi et me fait un clin d’œil. Elle s'amuse comme une petite folle. Elle finit par cesser son petit jeu et sort sans finalement avoir acheté quoi que ce soit. Elle me prend par le bras, nous nous regardons et éclatons de rire. Sacrée bonne femme tout de même !
Voilà qui me fait regretter de n'avoir jamais poussé assez loin ma drague quand j'étais en activité. Que de bons moments nous aurions alors passés !
Nous retournons à l'hôtel pour que Yasmine enfile un maillot, je ne connais, pas de plage naturiste aux Baléares. Elle a vite fait d'enfiler les deux minuscules bouts de tissus qui n'ont même pas honte de s'appeler maillot de bain, et nous filons à la plage, celle justement qui est tranquille et où mon rêve m'avait conduit, il y a deux jours.
Effectivement, elle est déserte, si l'on excepte deux couples assez éloignés l'un de l'autre pour pouvoir se croire seuls. Nous faisons comme eux et nous mettons à l'écart. Affalés sur nos serviettes nous profitons du soleil encore haut et toujours agréablement chaud. Nous ne pouvons pas faire l'amour ici, mais je vais tout de même lui donner du plaisir. Je glisse ma main dans le minuscule string et caresse son con.
Yasmine a un léger sursaut accompagné d'un petit gémissement de plaisir, elle me dit:
« Oh ! Oui! Caresse-moi bien ! »
Un moment, je câline ses lèvres charnues et lisses qui deviennent de plus en plus humides. Deux doigts que je glisse en elle me le confirme. En même temps, nous nous regardons. Ses yeux noirs brillent, et dans le même temps semblent se voiler, comme si elle se trouvait dans un autre monde. Son bassin ondule légèrement.
Sa main étreint mon bras jusqu'à faire mal. Son souffle se fait rapide. Ma main déguisée en exploratrice, attaque le clitoris. Déjà long, il a bien durci, je le masturbe délicatement. Yasmine gémit de plus en plus, entre en transe, son bassin remue de plus en plus. Elle émet des grognements sourds de plus en plus rapides et soudain elle se contracte et pousse un rugissement sonore et bref, ma main est inondée puis elle devient soudain toute molle. Quelques secondes durant lesquelles elle semble dans un autre monde.
Enfin, elle se colle à moi et me prend la bouche. Nous nous embrassons goulument et nos mains en profitent pour nous caresser. Cette fille est brûlante et ne cache ses désirs. Elle se lève et me tirant par la main me demande de venir dans l'eau avec elle car elle a besoin de se rafraichir.
L'eau est délicieuse nous nous y plongeons. Nous nous sommes éloignés suffisamment pour avoir de l'eau jusqu'au cou. Je prends Yasmine dans mes bras et l'enlace. De ses bras, elle me fait un collier, et m'enserre la taille avec ses jambes, aucun discours n''est utile, j'écarte alors le confetti textile qui ne cache pas sa chatte et la pénètre. Ma queue dressée est bien au fond. On reste un moment comme ça sans bouger tant ce qu'on ressent est formidablement bon.
Ses jambes me serrent un peu plus la taille, le collier de ses bras se fait plus ferme et Yasmine commence à monter et descendre sur ma queue. Mes mains sur lesquelles reposent ses fesses l'aident. A chaque descente, mon gland touche le fond de sa chatte. Yasmine apprécie qui gémit à chaque fois. Elle me crie son plaisir, mais elle le fait dans la langue de ses parents, je ne comprends pas mais je sens que ce doit être des mots particulièrement crûs, du genre à attiser le feu de son partenaire.
Ses gémissements s'accélèrent en même temps que ses mouvements. Le moins observateurs des étourdis devinerait ce que nous sommes en train de faire, et les deux couples de « notre » plage ne semblent pas particulièrement offusquer de ce que nous sommes en train de faire. Cette situation excite beaucoup Yasmine, qui a un orgasme puissant. Il se traduit par des frémissements de tout son corps, ses jambes et ses bras se serrent encore plus fort autour de moi et elle émet une sorte de rugissement sonore, puis finit par se détendre et elle me prend les lèvres, presque amoureusement.
Tout ça m'excite vraiment moi aussi, et je sens que je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps, je le dis à Yasmine qui aussitôt reprend ses mouvements et s'agite de plus belle sur moi.
J'aurais voulu faire dure ce plaisir encore plus longtemps mais j'explose en elle ce qui lui donne encore un orgasme sonore. Nous restons ainsi, l'un dans l'autre, nous nous embrassons et chacun de nous caresse l'autre, à la fois pour nous apaiser et nous remercier de ce que nous avons vécu. Ensuite nous nageons un moment avant de ressortir de l'eau et regagner nos serviettes. Lorsque nous passons devant le couple le plus proche, la femme nous fait un sourire tandis que l'homme nous fait un clin d'œil complice. Apparemment, le spectacle leur a plu. Heureux, Yasmine et moi nous nous regardons et échangeons un long baiser.
Il était onze heures ce matin quand Yasmine a débarqué à l'aéroport, depuis nous avons eu beaucoup d'activité. Nous aspirons à un peu de repos. Moi en tout les cas c'est sûr, pour Yasmine je n'en suis pas certain au point que je me demande si elle acceptera que nous restions sages au moins jusqu'à ce soir après le diner. A ma grande surprise, elle abonde dans mon sens. Pour fêter ça, nous commençons une longue séance de farniente, allongés sur le sable sous ce beau soleil mon meilleur ami.
Notre seule activité : papoter gentiment en nous tenant la main. Nous sommes si bien ainsi que nous en avons oublié le temps qui passe et sommes surpris par le soir qui tombe. Nous nous rhabillons. Et allons nous promener dans le bourg. L'Espagne a ceci d'agréable que la vie est très animée et festive le soir jusque tard dans la nuit et que l'on ne dine jamais avant vingt et une heures. Cela nous laisse le temps de faire les boutiques, comme tout bon touriste qui se respecte.
Yasmine repère un restaurant qui dispose d'une grande terrasse. Un petit groupe y distille de la musique, espagnole bien entendu. Voilà qui a le don de lui plaire, elle insiste pour que nous dinions là. Après tout pas? Nous nous installons dans un coin bien éclairé, car Yasmine ne résistera pas au plaisir de faire une petite exhibe. Autant donc qu'elle soit sous les spots, comme une star. Le serveur nous apporte des «cuba libre» avec quelques tapas appétissants. Nous dégustons tout cela avec délices. Au second «cuba libre» , les yeux de Yasmine commencent à pétiller étrangement.
Son désir de faire admirer son anatomie devient plus pressant. Je n'ai rien du tout contre une petite séance d’exhibition, mais le lieu où nous nous trouvons ne se prête qu'à du soft discret. Nous sommes dans un lieu public où on trouve des touristes de tous poils parmi lesquels des yeux chastes ou facilement effarouchables. J'ai toutes les peines du monde à la raisonner. Finalement elle accepte de montrer de la discrétion.
Durant notre repas, elle ne cessera pas de remuer, de changer de position, de manière à ce que son entrejambe croise la ligne de vision de tel ou tel homme qui ne manque pas d'admirer ce joli brin de femme. Je remarque qu'une femme qui, visiblement, n'a dépassé la cinquantaine que tout récemment, regarde le manège de Yasmine avec un œil brillant. Elle semble trouver cela à son goût, et lui adresse des sourires discrets. Ses yeux parlent pour elle.
Ma petite camarade ne s'en aperçoit pas, et continue à attiser les regards masculins. Lorsque, dessert terminé, nous nous levons pour quitter la terrasse du restaurant que la femme nous fait un signe de la main. Yasmine et moi nous nous approchons. Elle nous tend un petit mot sur lequel est noté l'adresse de son hôtel et le numéro de sa chambre.
Yasmine paraît gênée par cette proposition et décline l'offre car, dit-elle, « elle est exclusivement hétérosexuelle. »
Et nous partons vers mon hôtel. En chemin, Yasmine me dit qu'elle aurait volontiers accepté, mais cette femme n'était pas du tout à son goût. Dommage pour moi, j'aurais adoré voir ces deux femmes ensemble.
Arrivés dans ma chambre, Yasmine m'arrache les vêtements, se dévêt et se jette sur le lit en m'entrainant. Je la sens onduler sur mon corps tel un serpent. Sa reptation me fait bander. Il se dégage d'elle un parfum d'eau de mer auquel s'ajoute sa transpiration. Sans oublier ce parfum de femme excitée qui sourd de sa chatte et vient à la rescousse.
Comment ne pas réagir devant un tel aphrodisiaque ? Comment ne pas réagir quand Yasmine rampe sur moi en ondulant de tout son corps? Aucun centimètre de ma peau n'est négligé. Je bande comme jamais et suis prêt à exploser quand sa langue câline mes couilles, ma queue et s'arrête un instant sur mon gland qu'elle tète avec la gourmandise et la délicatesse d'une petite fille heureuse de se voir offrir une sucette. Mais le summum faillit être quand elle glissa deux doigts entre mes fesses. Après une seconde sans mouvement, elle pianota en moi.
L'idéal pour me faire décoller si je me laisse aller. Aussi, je l'arrête et inverse les rôles. C'est que depuis ce matin nous avons bien joué tous les deux, mais je ne me suis pas encore attardé sur ses fesses. Elles sont sublimes. Fermes et rebondies, on n'a qu'une envie les câliner, les caresser, les embrasser, les écarter. C'est ce que je fais. Yasmine adore ce traitement si j'en juge par ses petits gémissements. Mais quand enfin j'écarte ses fesses, un superbe spectacle m'attend. Elle a une aréole ronde, brunâtre, presque lisse qui encercle un petit trou bien net qui palpite montrant l'excitation de ma petite camarade.
Du bout du doigt, je frôle l'endroit, c'est doux au toucher. Mais quand je lui fais une feuille de rose Yasmine cambre ses reins et de ses deux mains écarte bien ses fesses me montrant ainsi qu'elle aime et qu'elle veut que je continue. J'adore lécher et caresser un petit trou surtout quand comme le sien il est humide et qu'il dégage une odeur à peine acre qui me titille le bas du ventre et me fait bander, et comme je suis un grand gourmand je m'attarde longuement à faire ce petit jeu. Yasmine gémit de plus en plus et finit par me dire:
« Encule-moi ! Je t'en supplie, Ouiii ! Encule-moi ! »
Et voyant que je voulais prendre du lubrifiant elle ajoute :
« Non, non, comme ça, à sec, c'est comme ça que j'aime qu'on m'encule ! Vas-y sans précaution ! »
C'est demandé si gentiment… Comment refuser n'est-ce pas ? Bien que je préfère de très loin la douceur, je procède comme me le demande Yasmine. J'approche mon gland de son anus pour faire les présentations:
« Joli cul de Yasmine, je te présente mon gland !
- Mon cher gland, ami fidèle, je te présente le bel anus de Yasmine ! »
Chacun d'eux semble ravi de connaître l'autre. Le petit trou de Yasmine est bouche bée tandis que mon gland bave d'admiration. Nul doute que ces deux-là se plaisent infiniment, aussi il serait cruel de les faire attendre. J'appuie donc mon gland contre son anus et entre d'un seul coup jusqu'à ce que mon ventre claque sur ses fesses. L'endroit est serré et chaud, je m'y sens bien. Yasmine pour sa part pousse un hurlement :
« WOUAAH !!!!! PUTAIN QUE C'EST BON !!! »
Fort de ses encouragements, je la pilonne sans ménagement mais sans pour autant aller trop vite, je veux nous faire plaisir longtemps, nous aimons ce que nous faisons autant l'un que l'autre, il serait sot de précipiter les choses. Yasmine ondulait d'une manière délicieuse ponctuant ses mouvements de gémissements plutôt stimulants.
La belle aimant être enculée brutalement, je me fis un plaisir de sortir d'elle pour y entrer à nouveau sans précaution, arrachant à chaque fois des « AAAH !!!! » de plaisir. Nous avons ainsi baisé un long moment et soudain, je sens que je ne tiendrai plus longtemps, et je préviens Yasmine que je vais jouir. Aussitôt, elle accélère ses mouvements du bassin et nous jouissons quasiment ensemble.
Nul doute que ma petite camarade a encore des envies à satisfaire. Mais moi, je ne pourrai plus rien pour elle ce soir. J'ai passé mes vingt ans depuis un moment. Je le lui dis et elle accepte d'attendre demain. Nous allons prendre une douche et nous couchons. Je m'endors heureux enlaçant Yasmine et en rêvant à ce que nous ferons demain tous les deux.
Mes vacances en club naturiste
Je passe toujours mes vacances dans des endroits classiques de bord de mer, car je ne peux vivre sans la proximité de l’eau… Mais il y a deux ans, je décidais d’aller dans un centre naturiste. Je sais bien que l’on n’est pas censé y pratiquer le sexe…. Mais je voulais vivre cela au moins une fois !
Ma chambre n’était pas loin de la piscine de l’hôtel. Bien sur, je sortais toute nue de la chambre pour descendre à la piscine, juste avec ma serviette pour le transat. J'étais totalement impudique pour bronzer, quand je voyais les vieux et vieilles ne pas s'en soucier. Je ne faisais pas attention à mes positions…
Mais c'est là que j'ai découvert le regard des hommes et même de certaines femmes. Rien à voir avec ce que l’on me disait de « l’asexualité » des clubs naturistes…
Je les regardais discrètement, les yeux entrouverts, fixer mon corps, mon entrejambe.
Au bout de deux jours, j'y avais vraiment pris goût. Et j'en jouais. Au grand plaisir des hommes et de ces quelques couples.
Quelques jours après, l’hôtel était archi complet, et la piscine surpeuplée. Impossible même s'allonger sur le sol. Je décidais donc de bronzer sur mon balcon.
Seule, nue, le soleil sur ma peau. Personne... C'était parti. Je me caressais mon petit trou, jouais avec ma mouille, me retournais pour me mettre sur les genoux… Et là, surprise, je vois deux hommes sur le balcon d'à côté... Le vis-à-vis ! Je les avais totalement zappés ! Ils me regardaient, leurs bites à la main, bien tendues.
La vision de leurs queues m’a mise en ébullition. Je me suis masturbée comme jamais sous leurs regards vicieux. Ils se branlaient bien comme il faut…! Tout comme j’aime voir des hommes le faire…
Ils disaient des mots vulgaires, mais ça me plaisait. Je regardais, j'aimais voir leurs queues s'agiter et gicler…
L'un d'eux avait des testicules tellement énormes que j'ai figé mon regard dessus. Ils s'en sont rendus compte, puisqu'ils ont arrêté de se masturber pour me demander si je voulais les mettre dans ma bouche.
Comme je ne répondais pas, l'un des deux s'est mis à genoux et a commencé à sucer l'autre. J’étais ravie : mon spectacle préféré, à quelques mètres de moi !
Je continuais de me masturber à fond, pour leur offrir un beau spectacle….
Au bout de quelques minutes, il s'est relevé, puis les deux m'ont regardée, l’air interrogateur. Ils m'ont invitée à les rejoindre.
Ils m’ont demandé de les sucer à tour de rôle. Ils me faisaient passer de l'une à l'autre, Je pompais avec allégresse, d’autant que lorsque j’en lâchais un, l’autre le branlait aussitôt. Puis ils se sont regardés, et celui aux gros testicules m’a demandé de lui purger les couilles... Comment refuser une telle offre ???
J’y ai mis tant d’ardeur, qu’en deux secondes il s'est vidé dans ma bouche...
J’avoue que ce pouvoir de faire jouir un homme à ma guise me plait terriblement.. C’est comme une sorte de pouvoir absolu. Après tout, je tiens entre mes dents la partie la plus précieuse de leur anatomie…
Puis, ils m’on fait allongée sur leur balcon, et ils m’ont léchée partout tous les deux, me caressant chaque parcelle de mon corps, s’attardant sur ma chatte ne feu. J’explosais trop vite sous leurs langues agiles et leurs mains expertes.
Je suis retournée dans ma chambre me doucher avec la promesse de recommencer le lendemain. Malgré tout, je me suis masturbée trois fois encore ensuite.
Le lendemain, ils avaient fait venir deux autres amis à eux. Et un couple, qui regardait, mais qui nous a vite rejoint…
Je me suis laissé faire comme une marionnette. J’étais la reine en soin harem, offerte aux hommes pour qu’ils jouissent de moi, mais aussi pour que j’ai le plus d’orgasmes possibles…
Leurs doigts multiples dans ma chatte, mon cul. Délicieux. On me déplaçait, faisait mettre à genoux, allongée, en levrette, comme avec une poupée de chair. Ils me traitaient comme une sultane, comme si j’étais un bel objet à choyer... Aucune parcelle de mon corps n’a été épargnée.
La femme a divinement dévoré mon abricot ultra gonflé, rouge pivoine des multiples assauts subis, mais jamais rassasié…
J’ai pompé les cinq hommes sans relâche, je les ai sucés, avalés, bouffés, pour qu’ils jouissent sur moi. Les cinq hommes ont déversé leur sperme en une douche chaude et crémeuse, partout sur moi. Deux d’entre eux ont entrepris de me nettoyer tout le corps de ce sperme odorant… Un pur délice… Je jouis encore sous leurs langues baveuses…
J’ai joui un nombre incalculable de fois.
Et pour la première fois de ma vie, j’ai demandé grâce au bout de près de huit heures de baise infernale !
Les trois semaines suivantes allaient être une fête du sexe intense. Ce ne fut que mille et un plaisirs, vices et perversions.
J'allais être invitée sur des plages, amenées dans des soirées très privées, jouir de puissantes pénétrations avec des hommes membrés de larges pieux, comme je les aime tant….
Cet été de folie a été l’un des meilleurs de ma vie, car pour une fois, j’avais ma dose « normale » de sexe, et tous les jours, de surcroit… Ca n’arrive pas souvent en temps normal…
Et dire qu’on prétend qu’il n’y a pas de sexe dans les sites naturistes !!!
Dom et Harry
Je suis toujours à la terrasse de ce café en face de la plage prés de Palma de Majorque, aux Baléares, et nous sommes toujours en Juillet. Je me remets tranquillement de la rêverie où m'a plongé la vue de cet androgyne si troublant. Tout ceci se passe sous l'œil amusé et intéressé d'un couple gay et anglais qui, visiblement semble me trouver à leur goût. Après tout si l'envie leur prend, pourquoi pas ? Je suis en vacances et ce sera une occasion pour moi de vérifier si la fameuse « Entente Cordiale » est toujours opérationnelle.
Histoire de voir si mon pressentiment est bon, je me commande un second verre de jus de fruits bien frais pour justifier le fait que je reste collé à ma chaise. Mes deux dragueurs discutent entre eux dans leur langue. Je ne comprends pas un traitre mot de ce qu'ils disent et ça m'agace, car j'aime bien écouter ce qui se dit autour de moi, ça m'amuse quand je suis seul. Les conversations et les attitudes des gens sont des mines de rigolades pour qui sait observer.
Soudain, l'un des deux hommes se penche vers moi et m'adresse la parole :
« Sorry, I'am Dom ! »
Je l'arrête tout de suite pour lui demander de parler français. Il se reprend aussitôt et avec un accent à couper au knife (Shit ! V'là qu'j'cause english moi tout d'un coup) :
« Pardonnez-moi, je suis Dom, et avec mon ami Harry, on voudrait que vous preniez un verre avec nous, s'il vous plait !
- Moi, c'est Bruno, je vous remercie, c'est avec plaisir ! »
Je les rejoins à leur table, et nous nous présentons un peu mieux. Dom est un grand blond assez costaud, Harry, quant à lui est brun et de taille moyenne. Ils sont d'un abord sympathique. Ce sont des Irlandais, je comprends mieux alors leur comportement ,qui est sans beaucoup de réserve comme l'on peut voir chez les Anglais. Dom tient une agence immobilière à Dublin, Harry quant à lui est kiné. Ils sont là pour faire provision de chaleur, de soleil.......et d'aventures, si la chance en met sur leur route.
Et nous voilà partis dans une conversation où chacun tente de se dépeindre à son avantage, puis on se lance dans quelques généralités sans grand intérêt. Soudain Harry s'adresse à moi et sans prendre de gants, me dit presque crument :
« On t'a vu regarder tout à l'heure cet homme qui ressemblait à une femme et tu as bandé ! Tu es gay ? Parce que nous oui !
- Non,non, je suis juste bisexuel et ce qui est beau m'excite, et cet homme m'a rappelé une transsexuelle que j'ai bien aimé il y a quelques années ! »
Comme il fallait s'y attendre, ils me harcèlent de question sur cette aventure. Je ne peux faire moins que de la leur raconter. Ça a l'air de les intéresser car ils semblent tout émoustillés. Au point qu'ils finissent par m'inviter à diner chez eux. Ils ont loué pour leur vacances un « appart'hôtel ». J'accepte avec plaisir, et nous nous séparons car j'ai quelques petites choses à faire en ville, puis retourne à ma chambre pour me laver. Je n'aime pas aller à une partie de jambes en l'air sans être propre. Et pour une partie homosexuelle, je tiens absolument à m'occuper méticuleusement de mon « petit intérieur » . Je suis très strict sur l'hygiène. J'ai une sainte horreur de ce que j'appelle les mauvaises surprises éventuelles.
Nous tombons d'accord pour nous retrouver vers 21 heures. L'heure des diners en Espagne. Pas certain du tout des qualités de cuisiniers de mes futurs amants anglais, je les informe que je m'occuperai du diner. Je fais donc le tour des boutiques pour leur préparer un repas méditerranéen puis je rentre à mon hôtel.
A l'heure dite, tout frais, tout propre et me demandant comment va se dérouler la soirée, je suis passablement excité et, les victuailles à la main je me rends chez "mes" Irlandais. A mon coup de sonnette, c'est Harry qui vient m'ouvrir, aussitôt rejoint par Dom. Ils me font entrer dans leur salon où nous nous installons dans des fauteuils pour déguster un whisky.
Mais Harry qui semble être dans ce couple l'initiateur de toutes les actions, se lève soudain, s'approche de moi en retirant son short, trempe sa bite dans son verre et me la tend. Poli et gourmand, je réponds à son invitation et entame une petite sucette. Le whisky semble bon et sa queue aussi d'ailleurs. Je le suce quelques instants, et lui fait compliment sur sa queue. Elle est épaisse et circoncise, on peut admirer son gland qui déborde bien de la hampe.
J'aime beaucoup ça. Elle me rappelle celle de Philippe, celui qui m'a initié dans ma jeunesse. Harry a le pubis très légèrement poilu, le reste du corps est parfaitement lisse. Il semble sensible au compliment car il bande un peu plus vite. Dom, ne voulant pas être en reste, imite son chéri, se dévêt, et me temps à son tour sa bite après l'avoir trempée lui aussi dans le whisky. La sienne est plus longue et plus fine et le prépuce cache son gland. Je le suce un peu lui aussi, et il réagit aussitôt en montrant une belle érection.
Mais je me sens un peu gêné, je suis le seul à être vêtu, aussi j'enlève mon short, et leur offre ma bite que j'humecte à mon tour de whisky qu'ils s'empressent de sucer. Nous voilà maintenant nus tous trois et bandant. Nous nous installons à nouveau dans les fauteuils et nous complétons les présentations sommaires faites un peu plus tôt au café. C'est ainsi que j'apprends qu'ils sont tous les deux à la fois actifs et passifs. Ce à quoi je réponds que je suis presque essentiellement passif. Ils me font un grand sourire pour me dire qu'ils apprécient cela.
Mais il me faut préparer le repas, et je leur demande de me conduire à la cuisine. Je commence à m'occuper de la préparation, quand je vois Dom prendre un concombre. Aussitôt, Harry s'allonge sur le dos et sur la table, jambes en l'air bien écartées, et son petit camarade entreprend de le sodomiser avec le cucurbitacée. J'ai toutes les peines du monde à me concentrer sur ce que je fais.
J'ai envie de les regarder jouer. Ils sont excités comme des poux. Et moi, ça commence à me gagner. Je me concentre du mieux que je peux sur ce que je fais, mais pas facile quand dans mon dos, j'entends les gémissements de Harry enculé avec un concombre que Dom fait aller et venir avec énergie.
Enfin, ils s'arrêtent de jouer, et soudain je sens deux mains écarter mes fesses et une langue jouer avec mon anus. J'adore les feuilles de roses, ça me colle des frissons dans tous le corps. Aussi, je cambre un peu les reins pour aider la langue à me faire plus plaisir encore.
Voilà, par miracle, j'ai réussi à terminer mon plat, je vais pouvoir me concentrer sur le plaisir, car la langue de Harry m'excite considérablement, et je bande plus que fort. Je me retourne alors pour faire face à mes deux nouveaux amis et retire mon tablier. Dom semble particulièrement intéressé par mon érection, aussi il m'allonge sur la table, se place sur moi en 69, et nous commençons à nous sucer. Je vois Harry s'éloigner pour revenir très vite avec des préservatifs.
Ouf, je respire, je vais pouvoir sucer Dom en toute tranquillité, je ne risque pas d'être enculé sans protection, je peux « soixanteneuver » . J'apprécie particulièrement la manière de me sucer de Dom. Pas facile à expliquer, mais c'est vraiment formidable ce qu'il me fait. Au point que je ne m'aperçois que Harry est en moi, seulement lorsque son ventre claque contre mes fesses, et pourtant il est vraiment bien monté ! Il faut dire aussi que cela fait un moment que je suis passablement excité et que j'avais envie de me faire prendre.
La science « pipesque » de Dom ajoutée aux va et viens de Harry en moi, m'empêchent de bien me concentrer sur la queue de Dom que je suis en train de sucer. Je suis dans une sorte d'euphorie qui me fait remercier Dame Nature de m'avoir fait naître bisexuel. Comme si tout cela ne suffisait pas, les mains de Harry caressent mes hanches les frôlant doucement ajoutant des frissons supplémentaires à tout ce que je ressens.
Dom ralentit sa sucette pour m'éviter de jouir vite, c'est que je suis à la limite d'exploser. Pour le remercier, je glisse deux doigts dans son anus et le sodomise ainsi, par petits coups de poignet. Lui et moi émettons quelques grognements de plaisirs. C'est que nous sommes entre gens bien élevés, nous ne parlons pas la bouche pleine.
Seul Harry, tout en haletant, prononce quelques mots que je suis incapable de déchiffrer, ils sont en anglais. J'ose croire que ce sont des mots de contentement. Cette séance totalement impromptue dure ainsi un bon moment. Je n'en peux plus, je sens que je vais craquer bientôt. Je le fais savoir en leur criant un « I come » d'alerte.
Cette exclamation semble magique, car elle déclenche notre jouissance à tous les trois. Dom et moi jouissons dans la bouche l'un de l'autre, et Harry explose dans son condom. Je le sens parfaitement, j'ai l'impression, fort agréable, qu'il éjacule une quantité phénoménale de sperme. J'ai encore la queue de Dom dans la bouche, je la suce doucement pour bien la nettoyer, tandis que Harry et lui s'embrasse à pleine bouche pour se partager le jus du Frenchy que je suis.
Voilà nous avons pris l'apéritif et fait connaissance d'une manière très sympa, nous avons ainsi baissé notre tension, nous pouvons nous mettre à table. Je suis assis entre eux deux, le repas se passe d'une manière tout à fait conviviale. J'apprécie beaucoup ces deux gars, ils sont pleins d'humour et ont oublié d'être bête ce qui rend notre relation intéressante. Seul défaut, ils boivent sans cesse, mais cela ne semble rien faire d'autres que les rendre plus prompts à rire de tout sans perdre conscience A leur place je serais en coma éthylique depuis un moment. Mais bon cela n'altère en rien leur envie de baiser si j'en juge par leurs mains baladeuses qui viennent me caresser les cuisses et la queue. La main de Harry est bien plus efficace que celle de son chéri, décidément ce garçon est doué pour les caresses. Ses clients doivent apprécier ses massages.
Je les envie, moi qui en France, n'ai jamais réussi à trouver un kiné qui soit bisex ou gay. J'en tiens un, je vais en profiter, cela me rappellera celui que j'ai connu dans mes jeunes années. Le repas est terminé et comme pousse café j'ai envie de sucer, aussi je me penche vers Harry pour prendre sa queue en bouche. J'ai un faible pour elle, non seulement elle est épaisse mais sa circoncision met bien en valeur son gland qui déborde bien .
Ça lui donne belle allure. Et quand je l'ai dans ma bouche, je titille le tour du gland du bout de ma langue. J'aime bien jouer comme ça avec une queue. Comme je me suis penché sur le côté, j'offre à Dom le spectacle de mon arrière-train. Aussitôt, je le sens qui me caresse les fesses. Il fait cela avec un toucher frôleur et délicat presque féminin. J'aime beaucoup surtout que très vite ses doigts viennent titiller mon sphincter qui frémit et se détend pour faciliter les gestes de Dom.
Je suis heureux, ma gourmandise sexuelle est comblée. J'ai une bite splendide dans ma bouche et une autre qui ne va pas tarder à visiter mon intérieur. Et pendant un très bref instant j'oublie que ces gens-là sont nos ennemis sur un terrain de rugby et qu'ils ont une très mauvaise cuisine. Une seule chose compte maintenant : faire jouir ces deux garçons en moi pour jouir à mon tour. Harry gémit de plaisir, il aime ma façon de le sucer, ses mains me caressent le dos, ça me colle des frissons partout.
Décidément, il va falloir que je me mette en quête d'un kiné homo dans ma région, moi ! Dom a trois de ses doigts dans mon ventre, ça me fait un bien fou. Je l'encourage à continuer, et exerçant une pression sur sa main, je lui fais comprendre qu'il peut tenter de me fister ce qu'il réussit à faire. J'adore vraiment ce truc. Il fait jouer un moment ses doigts en moi, puis les retire pour y glisser son long sexe, la sensation n'est pas la même, mais quel régal de sentir un sexe coulisser en soi, on aimerait que cela dure très longtemps.
Il agit avec moi comme il l'a fait un peu plus tôt avec son ami. Il baise avec énergie, comme s'il avait un train à prendre. Je n'aime pas trop quand on me prend comme ça, je me vois donc obligé de lui dire :
« Cours pas si vite, Dom, tu ne risques pas de louper le train, puisque tu es déjà dedans, c'est le mien ! »
Il me laisse la responsabilité de ma vanne et obéit à ma demande. Enfin, il varie ses mouvements, enchainant les rapides et les lent,s sortant parfois complètement pour entrer à nouveau jusqu'au fond. C'est cette façon de faire que j'aime, c'est comme ça que je prends mon pied. J'ai de plus en plus de plaisir, je le dis à Dom en me risquant à une petite plaisanterie qui échappera sans doute à mon English enculeur et qui ne fera sourire que moi :
« So ! Dom ! Go more ! Go more ! »
Effectivement la seule chose qu'il pige c'est que je veux qu'il continue à me prendre, mais pas grave, je prends un plaisir fou .
Notre trio se produit sur le balcon de l'appartement. Il est très tard et la chaleur tombe un peu. Nous arrêtons notre jeu un moment pour que Harry et moi changions de position, car il veut absolument que j'entre en lui, je suis surtout passif, mais comment résister au plaisir de pénétrer un cul. Et nous voilà debout tous les trois en train de jouer au petit train, dans ce sandwich érotique c'est moi qui joue le rôle du jambon et je suis le seul à faire bouger mon bassin, de cette manière je peux me faire sodomiser comme j'aime et par voie de conséquence faire goûter à Harry ma façon de faire.
Ce que j'aime par-dessus tout, c'est remuer mes hanches latéralement pour que toute la paroi interne soit titillée. Harry est un grand sensible et n'hésite pas à exprimer bruyamment son plaisir. Nul doute que le voisinage doit profiter de nos petits jeux, au moins en ce qui concerne la partie...euh...musicale. Le risque éventuel que le lendemain nous soyons regardés d'un œil bizarre nous laisse complètement indifférent.
J'adore être pris en sandwich comme ça. Avoir le cul agréablement garni et sentir sa propre queue aller et venir dans un petit trou bien serré, est quelque chose que je conseille à tous les amateurs de plaisirs. Nous baisons ainsi un long moment en variant les mouvements, nos gémissements se confondent, nos mains caressent les corps, puis Dom, qui jusque-là n'avait pas encore été sodomisé, proteste gentiment et nous demande de le prendre, mais il veut que Harry et moi le fassions ensemble.
Chouette ! Jusqu’à ce jour, je n'avais encore jamais pris un homme en double sodo. Harry s'allonge sur la table du balcon, Dom, s'empale sur lui en lui faisant face, et moi, je le pénètre à mon tour. A mon grand étonnement, je n'ai aucune difficulté à entrer, il a l'anus plus souple que le mien qui l'est déjà pas mal. J'adore sentir ma queue coincée contre une autre dans un petit trou chaud et humide, ça ajoute encore à l'excitation.
Harry et moi finissons par exploser presque ensemble. Nous nous retirons, et je prends la queue de Dom pour le sucer et le faire jouir dans ma bouche, Harry, lui, lèche consciencieusement l'anus de son chéri pour apaiser son excitation, mais il m'observe du coin de l'œil. Et dès que Dom a joui dans ma bouche, il plaque ses lèvres contre les miennes, nous nous roulons une pelle goulue pour partager la semence de Dom. Elle a un goût un peu acre, mais bien agréable à consommer.
Il est déjà deux heures du matin. Nous buvons un dernier verre et passons à la douche où chacun lave le corps de l'autre, puis mes deux nouveaux amis me proposent de rester chez eux et partager leur lit, pour dormir. J'accepte, mais à la seule condition qu'au réve,il ils me prennent tous les deux ensemble. Ils sautent de joie et nous nous couchons. Je prends soin de me mettre au milieu, ainsi je ne dormirai peut-être pas profondément, mais je sentirai deux corps nus contre le mien. J'adore sentir une peau nue contre la mienne pendant mon sommeil. Sans compter que s'endormir en sentant un cul contre mon ventre et une queue qui caresse mes fesses c'est un bonheur parfait.
Je suis soudain réveillé par une sensation agréable, comme un frisson qui me parcourt le corps. Qui n'a jamais été réveillé par une bouche s'occupant de son sexe ne peut me comprendre. J'ouvre un œil, le soleil est déjà haut dans le ciel. Et je réalise où je suis en voyant Dom et Harry s'occuper de mon bas ventre. L'un me suce la queue, tandis que l'autre me doigte l'anus. Quel agréable réveil que voilà ! Je leur dis bonjour en caressant leurs cheveux, et change un peu ma position pour qu'ils puissent mieux jouer avec mon corps. Je me couche sur le côté et lève une jambe pour mieux leur ouvrir la route.
Harry met à profit ses qualités de kiné pour me faire un massage anal particulièrement excitant. Par le seul mouvement de ses mains sur mon anus et ses alentours proches, il réussit à me mettre le feu au ventre, ma queue emplit la bouche de Dom, et mon cul a de plus en plus envie d'être visité. Les mouvements de mon bassin montrent à mes deux amis qu'il est temps de me prendre.
Aussi je me sépare d'eux pour les sucer et les mettre en forme. Assis sur le lit entre eux deux debout je les suce tour à tour. Je me régale d'avoir ainsi deux jolies bites à sucer. Je goûte à nouveau le plaisir de sentir une queue dans la bouche, c'est très doux et chaud. C'est pour moi une occasion de plus d'être heureux d'être bisexuel.
Quand, enfin ils sont prêts, Harry s'allonge sur le lit et je me couche sur lui en lui tournant le dos. Dom prend la belle bite de son chéri et pointe le gland vers mon petit trou qui est impatient de recevoir une visite. La grosse queue de Harry n'a aucune difficulté à entrer en moi. Je glisse le long de la hampe pour tout faire entrer. On reste quelques secondes immobiles pour savourer ce plaisir, puis Harry commence ses va et vient que j'accompagne de mouvements du bassin. Pendant ce temps Dom s'est approché de mon visage pour que je le suce, il est déjà assez dure mais ma langue finit de le faire bander, je lèche sa tige du gland aux couilles, elle a un goût étrange qui me plait assez. Le moment est venu de laisser Dom rejoindre Harry en moi.
Nous arrêtons de bouger, Dom lubrifie bien sa bite qu'il a habillée d'une capote, il lubrifie aussi l'endroit où il va entrer. De mes deux mains j'écarte mes fesses tandis que Dom commence à entrer son gland en moi, je grimace un peu car j'ai beau être excité et souple de ce côté-là, Dom a tout de même quelques difficultés. Enfin les deux bites sont en moi. Nous poussons tous les trois un soupir de plaisir immobile afin de savourer cette sensation, puis la machine se met en route. Dom et Harry vont et viennent alternativement.
Bon sang de bon sang, qu'est-ce que c'est bon ce truc, je ne peux m'empêcher de gémir de plaisir, moi d'habitude plutôt muet dans ces moments-là, je comprends mieux les femmes qui expriment leur jouissance quand on les baise. Ça ajoute encore au plaisir. Je peux vous avouer que sans perdre un pouce de ma virilité, je me sens presque femelle dans ces moments-là, avec deux belles bites qui me perforent. J'ai envie que ça dure très longtemps Et en effet, ça a duré un long moment, car ces deux bougres d'Irish gays sont très loin d'être des éjaculateurs précoces.
Mais tout ayant, trois fois hélas, une fin, Dom sort de moi, imité bientôt par Harry. Ils retirent leurs préservatifs et jouissent sur mon ventre où mon jus rejoint le leur. Comme ils sont très propres, ils me lèchent consciencieusement, puis nous nous embrassons à pleine bouche pour déguster nos semences mélangées. Nous restons un moment étendus pour récupérer puis un bonne douche, prise en commun bien entendu, qui nous permet de prolonger un peu notre corps à corps. Puis Harry file à la cuisine nous préparer un breakfast à l'anglaise, copieux et nourrissant donc.
La matinée est bien avancée, aussi nous nous quittons sans promesse de nous revoir car ils rentrent en Irlande en fin d'après-midi. Moi j'ai encore une bonne semaine à passer ici. J'attends d'ailleurs avec impatience l'arrivée de Yasmine, une brune particulièrement sensuelle qui est la secrétaire d'une société d'ambulances concurrente de celle où je travaille. Nous nous sommes promis de faire plus ample connaissance pendant les vacances.
L'assistante sociale
Florence, jolie assistante sociale de vingt-huit ans, très séduisante et très amoureuse du sexe, se rend au pénitencier, dans la cadre de la remise en liberté de trois détenus. Elle s’occupe essentiellement de la réinsertion, et de l’orientation professionnelle de petits délinquants.
Elle est aussi mariée, mais son mari ne la satisfait jamais comme elle en a envie. Il est toujours fatigué, et ne fait pas assez l’amour à son gout à elle.
Mais aujourd’hui, elle est vêtue d’un tailleur noir, avec une jupe arrivant à mi -cuisses, d’un chemisier blanc, et d’escarpins noirs de huit centimètres, la faisant culminer à un mètre soixante dix-neuf. Elle se sait excitante, et c’est ce qu’elle recherche. Elle aime le regard des hommes sur elle. Elle aime encore plus faire l’amour avec n’importe qui, du moment qu’elle satisfait ses pulsions. Elle est souvent troublée par les attentes de ces hommes privés de sexe avec une femme depuis des années. Ils bavent devant elle, et elle, elle mouille de le savoir…
Après avoir traversé de nombreux couloirs, croisé des détenus et des matons qui la détaillent sans vergogne, elle s’installe dans la salle prévue pour les entretiens avec les détenus. Elle sort ses questionnaires, et attend le premier détenu.
C’est Abou, un bellâtre noir d’un mètre quatre-vingt-dix, menotté dans le dos. C’est sur, il doit faire de la musculation dans la salle de sports de la prison. On voit nettement ses muscles tendre le tissu de toile de ses bras.
« Whoua, se dit Florence, ça c’est du mâle, s’il est taillé partout comme ça… J’en ferai bien mon « quatre-heures » ! »
Pourtant, elle doit faire son travail. Elle entame donc ses questions, visant à savoir comment le détenu organise sa sortie.
Plus Florence avance dans le questionnaire, plus les propos du détenu, qui s’orientent systématiquement vers le sexe, la trouble. Elle essaie de soutenir son regard, mais s’aperçoit que celui-ci reluque l’échancrure de son chemisier, légèrement ouvert. Elle est confuse, se sent déshabillée par ce regard perçant, mais attirée aussi. Elle fait mine de s’arranger, mais en fait, fait sauter volontairement un second bouton. Ce regard intense la met quasiment en chaleur. Il faut qu’elle lui parle…
« Alors comme ça, on aime les filles ? demande-t-elle. Et elles, elles vous aiment aussi ?
- Oui, répond Abou, les femmes mariées aussi m’aiment bien. »
La voix est remplie de sensualité. Florence sent une agréable chaleur envahir son ventre. Elle se lève, arpente la salle. Arrivée à la porte, elle marque un temps d’arrêt, et finalement, donne un tour de clé, et appuie sur l’interphone.
« Qu’on ne nous dérange pas », dit-elle d’une voix péremptoire..
Elle passe derrière le détenu, à le frôler. Visiblement, ce corps d’athlète l’attire. Elle ne tient plus. Toutes ses frustrations remontent en elle, et elle sait que dans quelques minutes, elle ne se contrôlera plus. Presque machinalement, elle passe ses bras autour de la taille d’Abou, écarte l’élastique du pantalon, et plonge une main à l’intérieur. Elle rencontre une bite de vingt centimètres, bien tendue. Le prisonnier avait visiblement les mêmes envies qu’elle… D’une main sure, elle saisit les couilles dantesques, fait rouler les testicules, certainement pleins. Elle remonte sur le calibre de chair, le décalotte, lisse le gland de sa paume échauffée.
Aucun des deux ne parle, le silence se fait lourd, la chaleur envahit la salle si triste et grise.
Florence ne lâche pas le membre dur, qui la ravit. De sa main libre, elle entièrement ses magnifiques seins de son chemisier, remonte sa jupe, ouvre ses jambes. Elle sent l’acier des menottes sur sa peau, puis les doigts recroquevillés écarter la culotte.
Bien qu’entravé, Abou fait courir son majeur sur la fente humide de Florence, qui ne peut retenir un gloussement de plaisir. Elle ne reste pas inactive, ses doigts courent sur la queue en pleine érection, la branle, arrachant à son tour des râles de plaisir au jeune black.
Il tend son visage vers la poitrine gonflée, et parvient à ter goulument un téton très érigé. C’est au tour de Florence de pousser un soupir de plaisir. Il aspire tellement qu’elle en a presque mal. Mais c’est si bon de se sentir enfin touchée par un vrai mâle….
L’index d’Abou rejoint le majeur. Les deux doigts jouent avec les lèvres de la jeune assistante, pénètrent la chatte, franchement mouillée maintenant.
« Hou… hou, gémit Florence. Qu‘est-ce-que tu fais salaud ? Comment peux-tu oser…
- C’est vous qui l’avait cherché Madame, répond Abou. Restons-en là si vous voulez.
- Trop tard, vas-y… Branle moi… fais-moi jouir ! Oh… mais tu décalottes bien mon clito là… Ah, gratte-le, oui, comme ça. Elle a perdu le contrôle, la tête, elle n’a qu’une envie : jouir à fond, se libérer enfin de ses tensions inassouvies…
Violemment, Florence envoie des coups de reins à l’encontre des doigts crochetés en elle. Elle colle son visage entre les omoplates, mord la chemise de toile, pour étouffer ses cris.
« Et toi, tu ne viens pas ? Ce n’est pas bien ce que je te fais ? Attends… »
L’assistante sociale se place devant Abou, quitte entièrement le pantalon. Elle continue ses caresses, puis se baisse jusqu’à être à la hauteur de son sexe. D’une bouche avide, elle embouche la queue, pourtant malodorante.. Les effluves de la prison, sans doute. Cette odeur « sale » l’électrise encore un peu plus.
Affamée, elle enroule sa langue autour du gland, parcourt la queue noire de haut en bas, gobe les testicules, puis entame une fellation de légende. L’énorme bite vibre dans la bouche de Florence, les râles du jeune black s’intensifient. Il ondule du bassin, comme pour la forcer à le sucer plus vite, plus loin, plus fort.
Soudain, de puissants jets de sperme giclent au fond de la gorge de la jeune femme. Elle se relève fière d’elle, et lui donne un langoureux baiser, plein de la crème blanche. Abou tente un geste de recul, mais les menottes l’en empêchent...
Mais Florence en veut encore. Elle prend le jeune détenu par la queue, et s’assied sur la table, cuisses totalement ouverte. Petit à petit, la bite se redresse en pieu insolent, et ouvre les lèvres intimes. Lentement, en grossissant encore, il pénètre la chatte.
« Ah, ah… Je comprends que les femmes aiment… Quel coup de queue tu as ! Vas-y, fais-moi plaisir, vide-toi les couilles salaud… Fais-moi jouir encore… Oh oui tu me rends folle mon salaud… Oui, oui.. »
Abou accélère. Ses coups de reins sont de plus en plus violents, il prend plaisir de voir la jeune femme s’agiter au bout de sa bite. Il la sent soumise, prête à tout. Florence hurle de plaisir, se fichant totalement que l’on entende ou pas ses cris. Son corps est pris de spasmes violents. Elle se prend les seins, fait rouler les bouts surdimensionnés par l’excitation entre ses doigts.
Puis, une fois la jouissance terminée, elle se laisse couler sur la table. Florence reprend son souffle, bras et jambes écartés sur la table. Elle croise le regard dominateur d’Abou.
« Salaud, soupire-t-elle, comme tu m’as niquée. Quel dommage que tu es les menottes… Quoi ?
Qu’est-ce que tu as à me regarder comme çà ?
- Je suis déçu, j’espérais une petite sodomie, » répond Abou avec aplomb.
Lentement, Florence se lève, prend le jeune black par le revers de sa veste. Depuis le temps qu’elle n’a pas eu un tel étalon sous la main, son désir est exacerbé.. Elle se retourne, monte un genou sur la table pour mieux s’offrir, sans le quitter des yeux, le défié du regard, tout en lui prenant la bite.
« Viens », souffle-t-elle.
Elle présente le membre d’Abou, qui n’a pas faibli d’un poil, le frotte contre sa chatte pour en mouiller le bout, et le guide à l’entrée de son petit trou. Petit à petit, l’œillet de l’assistante sociale se dilate sous la pression de l’énorme calibre. Le dernier coup de rein lui arrache un cri. Le mandrin du détenu la pénètre jusqu’aux couilles, coulisse dans le petit orifice.
« Enfoiré ! Comme tu m’encules…vas-y… Bourre moi le cul salaud… Pourquoi je t’ai pas enlevé les menottes ?? »
Florence glisse une main sous son ventre, et se doigte violemment le clitoris. Au bout de dix minutes d’un pilonnage intensif, elle a un orgasme terrible. Son corps, couvert de sueur, vibre sous les coups de boutoirs du détenu. Elle sent enfin la semence affluer dans ses entrailles.
Lentement, Abou se retire. Elle le suit, comme si elle voulait le garder en elle. Epuisée, mais heureuse, elle s’affale sur la table, pour reprendre ses esprits. Elle arrange sa tenue, va pour remonter le pantalon du jeune détenu, et s’aperçoit que la bite n’a toujours pas faibli.
« Tu me laisses dans cet état ? dit-il.
- Putain, répond-t-elle, mais tu es increvable, tu veux encore me le mettre ? Oh non, j’en peux plus, là. Je te taille une pipe avant de partir, si tu veux ? »
Florence n’attend pas la réponse, elle se penche, et le prend en bouche. Abou s’y branle carrément dedans, il baise sa bouche sans aucune précaution, comme il vient de baiser sa chatte puis son cul. Enfin, il explose dans la gorge de la jeune femme. Elle avale le foutre épais, se relève et s’essuie les lèvres d’un revers de main, puis réajuste le pantalon du détenu.
« Qu’est-ce-que tu m’as mis salaud, sourit-elle, j’en ai pris pour la journée. Embrasse-moi, espèce de sale voyou… »
La relation a été forte, très forte. Malgré son dévouement, Florence a succombé sous les coups violent du jeune délinquant, qui jusqu’à aujourd’hui, se contentait de gâteries manuelles.
« Quel amant merveilleux tu es, murmure-t-elle. Dommage que je sois obligée de partir, j’aurai bien pris un autre coup de ta bonne bite maintenant. Tu sors demain je crois, as-tu un endroit ou aller ? J’ai un ami qui peut t’héberger quelques jours si tu veux. Tiens sa carte, tu dis que tu viens de ma part.
- C’est gentil, répond-il, mais je ne suis pas seul, mon frère ainé est libéré aussi.
- Mais ce n’est pas grave, sourit-elle. Mon mari est absent ce week-end, je vous invite chez moi, d’accord ? Tu n’auras plus tes menottes. Et ton frère, Il est de ton gabarit ? Allez, c’est réglé, embrasse-moi encore. Je préparais votre cham…heu… la chambre, pardon. »
Florence quitte le pénitencier sans se douter qu’elle vient de commettre une erreur monumentale. Elle n’a pas pensé que, comme dans toutes les prisons, la salle était équipée d’une caméra de surveillance.
Dans la pièce à côté, les deux gardiens n’ont rien perdu des ébats sulfureux de la jeune assistante sociale.
Les attouchements entre eux sont allés bon train. Leurs pantalons sont enroulés à leur cheville.
Une relation gay serait-elle en train de naitre ? Allez savoir. En tout cas, ils se sont fait jouir en se branlant mutuellement..
Et ils ne seraient pas contre une petite visite à l’assistante sociale ce week-end. Après tout, leur silence mérite un encouragement, non ?
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tu ma fais vraiment réver je crois que t'a reveiller le coté PD en moi je me suis meme enfoncé une carotte en me masturbant
hummmm sophie si tu savais le plaisir que tu me procures dommage que ce ne soit qu'avec ma main plutot qu'avec la tienne
bisouxxx
Encore un récit hyper bandant et qui reprend tant de mes fantasmes.
Soumis, j'ai déjà sucé de nombreuses queues, nettoyé des capotes sorties de mon cul. Mais l'idée de nettoyer la queue qui sort de ton cul ,chère Sophie, de me faire enculer sous ton regard, ta chatte dans ma bouche et ta cyprine coulant sur moi, c'est vraiment hyper excitant.
Merci