Les Mémoires très Libertines de Sophie
Ma nouvelle chienne, Lisa
Afin de mettre en pratique de façon plus concrète mes envies de domination, j'ai enfin trouvé la chienne qui m'obéira. Je vous la laisse se présenter elle-même... Vos avis sont les bienvenus !
Bonjour à toutes celles qui liront cette présentation.
Un bonjour révérencieux spécialement servile pour Madame Sophie de Rawensky.
Je suis Lisa, une travestie amateur, homme en extérieur, femme sexy dés que je le peux. J'habite Cayenne en Guyane française. J'ai 50 ans et je crois aimer être femme soumise depuis toujours.
J'adore me soumettre aux plaisirs d'une femme sévère aimant être perverse et sans tabous. Je suis sincèrement et profondément soumise (non synonyme de masochisme) mais pas adepte de la violence physique pouvant toucher l'intégrité physique de mon corps de chienne.
Je crois que dans ce domaine j'ai quasiment tout pratiqué, même les actes les plus perverses tels que ur…, sc…, il me reste à assouvir les plaisirs de la zo… En effet j'aimerais connaître le plaisir en présence de Ma Maîtresse d'être une "vraie chienne".
Voilà en quelques mots ma présentation.
Servilement Vôtre,
Lisa
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Le voyage - épisodes 1 et 2
Je l'avais suivie toute l'après-midi sous le soleil de cette ville inconnue. Nous avions traversé les quartiers les plus chics, les squares les plus secrets et les avenues commerçantes les plus bruyantes sans nous perdre de vue, mais sans nous adresser la parole.
Ce petit jeu avait commencé par hasard, et nous l'avions accepté tous les deux sans déplaisir. Elle marchait devant moi jouant les ingénues, provocante et malicieuse. Parfois, le vent m'offrait ses parfums. On eût dit la cour sauvage d'un cerf et d'une biche dans les sous-bois...
La promenade nous conduisit au port de cette ville dont je ne retiendrais que la douceur de sa peau, et au bout du quai, l'hôtel pour marins dans lequel elle pénétra. Je la retrouvai dans le hall. Une odeur de rance prenait le nez. Les murs jaunis par le mauvais tabac n'inspiraient guère confiance et sur le comptoir la crasse accumulée ne provoqua que du dégoût.
Elle saisit une clef sur le tableau, et lentement, empruntant l'escalier étroit et sombre qui conduisait aux chambres, elle m'invita du doigt à l'accompagner. Chambre numéro 7.
J'eus une hésitation. Elle entra dans cette pièce humide et aux vapeurs lourdes laissant entrouverte la porte. Le jeu se poursuivait.
Avant de pénétrer à mon tour dans cette chambre éclairée par un simple rayon de soleil filtrant des volets cassés, je regardai par l'embrasure cette fille insolente qui jetait les clefs sur un lit déjà défait. Je la regardais retirer cette petite robe d'été que j'avais suivi tout l'après-midi.
Elle ne portait rien.
Elle était nue devant moi, dévoilant des fesses rondes sous des hanches terriblement voluptueuses. Lorsqu'elle s'allongea sur le lit, n'y tenant plus, je franchissais le seuil de la porte. Je traversai la chambre lentement. Je la regardais. Elle se caressait doucement les yeux fermés. Le mouvement de sa main sur son sexe était tendre et vulgaire à la fois. Je restai debout, immobile devant ce spectacle.
Elle cessa sa caresse pour s'approcher de moi.
Sans marquer la moindre émotion, sa main saisit la boucle de ma ceinture pour la dégrafer, déboutonna mon pantalon, et faisant glisser la braguette, sorti mon sexe déjà bandé.
Sa main me branlait lentement, sa paume moelleuse et ses doigts habiles était une pure merveille. Elle me décalottait en douceur pour jouer avec mon gland tendu et rougi par le désir. Du bout de la langue, elle l'excitait avant de refermer sa bouche sur mon sexe.
Le va et viens de cette jeune inconnue entre mes cuisses était aussi inattendu que divin.
Je me contentai de profiter de ce moment, sans rien oser entreprendre.
Episode n°2
La belle amante dont je ne connaissais même pas le son de la voix, cessa sa caresse pour finir de me déshabiller. Elle ôta mon pantalon, d'abord puis d'une main toujours aussi experte, déboutonna ma chemise entrouverte. Ses caresses sur mon torse étaient puissantes et langoureuses à la fois. Toujours debout devant elle, immobile, mes jambes tremblaient de plaisir. Mes lèvres cherchaient désespérément les siennes. Notre premier baiser enfin fut d'une gourmandise inoubliable. Nos langues dans une danse folle se mêlaient. Ses seins ronds pressés contre ma poitrine m'attiraient et m'excitaient à chacun de nos gestes un peu plus.
Je sortis enfin de ma torpeur pour la saisir par la taille et la coucher sur le lit. Mes mains enserraient son visage impassible. Mes lèvres caressèrent d'abord sa nuque encore chaude de notre promenade de l'après-midi. De la naissance de sa chevelure brune aux creux salés de ses épaules tannées par le soleil, je baisais avec avidité son cou et son souffle qui s'accélérait. Nos sens se mélangeaient à présent, eux qui n'avaient faits que s'épier, se poursuivre et s'attirer.
De mes mains, je liais ses poignets, et partis à la découverte de son corps. Je voyais avec délice ses seins enflés par le plaisir, et ses tétons se tendre vers mon désir. Je ne résistai pas longtemps à l'appel envoûtant de ses fruits rougis par les morsures de mes dents. Ses soupirs étaient divins. Je posais ma tête sur son ventre doux et chaud pour écouter le chant sucré du sexe qu'il me murmurait. Les yeux clos enfin à son tour elle profita de mes caresses.
J'avais sous les yeux son sexe déjà légèrement ouvert et humide. Je respirai ce parfum adoré avant de goûter à pleine bouche cette fleur que seule une petite toison brune couronnait. Le sucre de ce cœur vibrant me remplissait tout entier. D'un doigt doux et décidé à la fois, avant de lui délier les mains, je fini de découvrir le petit bouton qui s'offrait à moi. Son sexe appelait le mien. Cette attention plus directe la fit se cambrer davantage, et lorsque le bout de ma langue le caressa, je sentis les vibrations de ses cuisses qui me tenaient le visage prisonnier.
Ses mains caressaient mes cheveux fébrilement.
Je me dégageai pour présenter à l'entrée de sa chatte brûlante mon sexe tendu comme jamais. Ma belle amante prenait plaisir à regarder mon membre caresser son intimité avec le bout de mon gland.
A suivre..
SIgné : Julien Zarka
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Les p'tites sucreries
Un jour, nous promenant dans les rues étroites de Paris, nous entrons tous les deux dans une boutique de lingerie fine dont le nom appétissant sonne comme un prélude aux délices, « Les p’tites sucreries ». Tu souhaites acheter de nouveaux dessous sexy pour épicer nos rapports (mais en ont-ils besoin ?) et mettre en valeur ce corps délicieux qui n’appartient qu’à toi.
C’est l’après midi, la boutique est vide, et nous avons la vendeuse à disposition juste pour nous. Tu veux que je t’aide à choisir les plus mignons et excitants des dessous.
Comme d’habitude, mes yeux brillent d’amour et de désir pour toi, ma petite Squaw. Tes yeux sont si finement dessiné que je m’y noie dedans et ta bouche est si belle que je ne peux jamais m’empêcher d’embrasser ce perpétuel sourire…
Tu choisis un monceau de dessous : strings, soutien gorges, bustiers, porte jarretelles… aux modèles très variées : Lycra, soie, latex, avec des broderies, des lacets, des bijoux, des paillettes…
Tu demandes l’avis de la vendeuse sur les matières et les tailles. C’est une charmante blonde avec de longs cheveux et un très joli sourire, très classe et très chic comme toutes les vendeuses peuvent l’être dans ce genre de boutique. Le prénom Lola est inscrit sur le badge qui épingle sa voluptueuse poitrine. Je ne l’ai pas encore vraiment remarqué, mes yeux étant attirés par ta merveilleuse silhouette et la joie de te voir essayer ces nouveaux jouets.
Tu te rends ensuite dans la cabine pour essayer tous ces sous-vêtements avant de les acheter. Tu prends ma main et me dis :
« Suis-moi mon amour, seul ton avis m’importe. »
La cabine est située au fond du magasin, ce qui fait que nous sommes seuls et que personne ne peut nous voir. Tu me demandes d’entrer avec toi dans la cabine afin que je puisse t’admirer confortablement.
Tu te déshabilles donc.
Tandis qu’un par un tes vêtement tombent sur le sol, mes yeux me picotent, je sens la sueur venir et mon cœur commence à s’accélérer. Quel corps ! Quelle merveilleuse silhouette ! Tu portes encore ton string et ton soutif, mais je ne peux m’empêcher de sentir mon excitation de monter.
Tu enlèves d’abord ton soutien-gorge, laissant apparaître une poitrine somptueuse et majestueuse aux rondeurs lourdes et fermes, la plus douce et excitante que j’ai jamais touché. Deux seins ronds et parfaits. Tu m’invites à les toucher :
« Tu sais qu’ils sont à toi, tu peux les toucher quand bon te semble… »
Alors, je les presse doucement, très doucement, les prenant à deux mains (j’en ai bien besoin car cette poitrine mérite toute mon attention), les caressant jusqu’à ce que tes tétons durcissent et pointent. Je ne peux m’empêcher de t’embrasser, glissant ma langue dans ta bouche, la mélangeant à la tienne, mêlant nos salives puis je prends tes tétons dans ma bouche, ma langue s’enroulant autour d’eux pour mieux les caresser et les sucer.
Tu enlèves ton string et me supplies de te mettre un doigt. J’obéis à ce doux ordre et plonge un doigt dans ta chatte déjà coulante, immédiatement aspiré par cette grotte en fusion. Tu passes ta langue sur tes lèvres comme une petite chienne en chaleur et me réclame un deuxième doigt.
Je te branle donc de plus en plus fort, de plus en plus vite, sentant alors des coulées de mouille qui s’écoule le long de tes cuisses que je m’empresse de boire. Puis je glisse de nouveau trois doigts dans ton puits d’amour, te masturbe de nouveau et viens glisser ces doigts dans ta bouche. Tu t’empresses de les sucer tout en me regardant droit dans les yeux avec un air de défi.
« Mmmmm… quelle ravissante salope », pensai-je.
Ma bite devient de plus en plus dure dans mon pantalon, et je suis embarrassé car la vendeuse pourrait nous surprendre d’un instant à l’autre.
« On s’en moque, je veux juste goûter à cette délicieuse bite. Je suis si mouillée et excitée que je n’en ai vraiment rien à foutre de cette petite pute », dis-tu sur un ton péremptoire que je ne te connais pas.
Tu t’agenouilles donc, dégrafes les boutons de mon jean, sors ma bite de mon boxer et commence à l’embrasser. Tu la suces comme un sucre d’orge, léchant le gland, soufflant dessus, crachant sur le sommet et la suçant entièrement. La pipe la plus excitante que j’ai jamais eue. Tu me suces avec tant de sensualité, ta langue s’enroulant autour de ma bite et la léchant de bas en haut et de haut en bas, l’enfonçant ensuite profondément dans ta gorge tandis que tu mes malaxes les couilles, doucement puis plus fort. Il fait vraiment très chaud et mon excitation est à son summum.
Tu prends ma queue et me masturbe entre tes seins, la malaxant très fortement tandis que tu suces le bout de ma queue chaque fois qu’elle s’approche de ta bouche. C’est si excitant que je crève d’envie de venir. Je te demande donc de t’arrêter afin que je m’occupe de toi.
C’est donc à mon tour de m’agenouiller, la vue est superbe, ton joli sexe attend que je le cueille tel un fruit mûr. Avec ma langue je fouille les moindres plis de tes lèvres, passant et repassant leur chair délicate puis immisce ma langue dans ta fente mignonne pour m’y abreuver. Je te bois, je te lape, je te lèche, sans répit, sans fatigue, sans discontinuer. Je sens tes flots de mouille qui coule sur mon visage comme des larmes chaudes. Dieu qu’il est bon de te faire pleurer…
Pour cette fois, je délaisse ton clitoris, j’ai trop envie de te baiser.
Tandis que tu gémis, je te lève et te tourne contre le mur pour te prendre par derrière. Je mets ma bite à l’entrée de ta chatte et ne rentre que le gland, jouant avec tes nerfs jusqu’à ce que tu me hurles :
« Baise-moi salaud, baise-moi maintenant ! »
Je pousse donc ma bite à l’intérieur de toi, en parfait contrôle, heureux de l’effet provoqué et je commence à te baiser très très fort en te tenant par la taille. Mes mouvements sont brefs rapides et saccadés car je veux que tu montes fort très rapidement. Je te chuchote :
« Je vais te baiser jusqu’à ce que tu jouisses mon amour ! »
Pendant que je te baise, j’entends un bruit derrière moi, un petit gémissement, je tourne la tête très surpris. La vendeuse se trouve aussi dans la cabine, nous matant, sa jupe et son string à ses chevilles, une main caressant son clitoris puis se glissant des doigts à l’intérieur de sa jolie petite chatte que je découvre toute épilée. Et de l’autre main caressant ses magnifiques nichons.
Je t’informe de la situation et tu tournes ta tête. La cabine est en ébullition, avec nos trois corps remplis de désirs et d’excitation. Elle s’approche tout en poursuivant sa masturbation. Toujours en toi, je tourne ton corps vers elle, et continue de te pénétrer en te caressant les seins. La tension est si sexuelle, elle s’approche de toi et pendant que je te baise, elle commence à t’embrasser sur le cou et puis sur les lèvres, pressant mes mains sur tes seins. Je les retire pour la laisser jouer avec à sa guise…
Je me dis que tu vas t’énerver et la repousser mais tu laisses l’excitation de la situation t’envahir et tu lui rends ses baisers, caressant ses seins aussi. Hmmm quel bonheur, je suis aux anges, je n’en demandais pas tant… Je vous vois vous rouler de longues et délicieuses pelles. Je continue à te baiser mais en ralentissant le rythme car il ne faut jamais présumer de ses forces en pareille situation. Elle te tête puis te pince les tétons ce qui te laisse échapper un gémissement rauque.
Alors je m’arrête et t’allonge sur le dos. Elle se glisse entre tes cuisses, enfonce deux doigts dans ta chatte dégoulinante de plaisir, et te masturbe tandis que je me mets à lécher tes seins à mon tour, gobant et mordillant tes tétons que j’ai rarement vu aussi tendus.
Puis elle se met à te lécher ton clito tout en continuant à te pénétrer avec ses doigts. Tu appuies sa tête contre ton sexe en ébullition, tire sur ses longs cheveux soyeux, puis tu hurles ton plaisir avec tant de bonheur. Deux personnes rien que pour toi, pour s’occuper de ton corps, tu vis le plus délicieux des moments !
Je choisis ce moment pour enfoncer ma bite dans ta bouche et tu me pompes comme une affamée, une sangsue. Mon bâton de chair effectue de violents va et vient dans ta gorge profonde. Je me retire je me retire car Lola entend bien s’occuper encore de toi.
Elle te relève un peu et vient en ciseaux contre toi et vous commencez à bouger vos sexes l’un contre l’autre en rythme, lèvres contre lèvres, clito contre clito, ce qui te diffuse des ondes de plaisir et de chaleur comme tu n’en as jamais connu et inimaginables quelques minutes plus tôt…
Vous vous embrassez à perdre haleine, pleines de passion et de rage érotiques. Vous vous caressez de nouveau les seins, vous triturant les pointes.
Soudain, un plaisir électrique te saisit et ton corps tremble de plaisir et de jouissance et tu obtiens un fabuleux orgasme. Tu laisses quelques secondes passer puis tu te glisses entre les cuisines de la divine blonde et commence à lui bouffer la chatte. Ah si on m’avait dit !!!
Tu tends ton cul vers moi n’entendant pas en rester là, je te prends en levrette tandis que tu dévores la chatte crémeuse de Lola. Tu me cries de te défoncer comme jamais ! Et je te baise à fond, te tenant par les hanches, j’entends les cris de Lola se mêler aux tiens et mon excitation est à son maximum. J’entends des flics, des flocs, des flaques tellement tu dégoulines. J’accélère mes coups de boutoir jusqu'à ce que je vous entende venir toutes les deux en même temps, vos corps se serrant l’un contre l’autre au moment de la jouissance.
La cabine est emplit de chaleur, de sueur, de divines odeurs et de cris orgasmatiques (je sais le mot n’existe pas mais c’était fort à ce point là ! )
Puis tu viens pour me finir en me suçant à fond très rapidement, et me branlant énergiquement avec tes mains. Il ne me faut pas longtemps pour vibrer sous le plaisir de tes douces lèvres plein de la liqueur de Lola et au moment ou je viens, tu m’enfonces un doigt dans le cul. Mon corps est pris de spasmes et j’inonde ta bouche avec mon jus !
Je m’écroule, vidé mais heureux. Tu embrasses Lola avec mon sperme dans la bouche jusqu'à ce qu’il disparaisse dans vos gorges de velours….
Nous nous embrassons ensuite longuement avec plein d’amour et d’attention, des petits câlins, des caresses sur la joue. Lola nous sourit et nous offre un joli bustier de soie pour nous remercier. Nous promettons de nous revoir très vite.
Nous rentrons ensuite à la maison, surs de ne jamais oublier ce pur moment d’intense amour…
Signé : les Squaws.
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Prise devant son mari consentant
Yves, vingt quatre ans, et son épouse Marion, vingt ans, rentrent de vacances. Marion est une magnifique brune d'un mètre soixante dix, avec des seins haut perchés.
Ce soir, ils invitent des amis à prendre un verre. Ils habitent un deux pièces sous les toits, et même si le salon est un peu exigu, l'appartement est assez coquet
Yves invite Ange et Jérôme à s'asseoir sur le canapé à côté de lui, Didier est une chaise avec sa copine Clarisse assise sur ses genoux. La chaise qu'il reste est occupée par Morgan, âgé de trente ans, le seul célibataire de la soirée...
Du coup, Marion, qui s'occupe du service, se retrouve debout.
Depuis quelques temps, Yves a un phantasme : celui de voir sa jeune épouse se faire prendre par un autre homme devant lui. Marion a toujours repoussé farouchement cette proposition, tout comme elle a toujours refusé la sodomie. Même les pipes la répugnent.
Devant cette situation, une idée germe dans la tête d’Yves.
« Mince, ma chérie, il n'y a plus de place, dit-il. Assied-toi sur les genoux de Morgan si tu veux. Cà ne te dérange pas Morgan ?
- Pas du tout, si Marion est d'accord, pas de problème. »
Marion foudroie son mari du regard, se sent rougir. Surtout que de tous les invités, c'est celui qu'elle connait le moins, et il n'est pas le moins séduisant... Marion est vêtue d'une minijupe, et d'un chemisier assez moulant. Le bout ses seins tendent le mince tissu. Les boutons sont prêts à craquer.
Un peu à contre-cœur, elle s'installe sur les genoux de Morgan., essayant de cacher ses cuisses en tirant sur sa jupe. Peine perdue. Elle est vraiment gênée, et Morgan le remarque…
Quelques verres plus tard, l'attitude de Marion change. Elle est plus détendue, allant même jusqu'à passer un bras autour du cou de Morgan. Elle ne repousse pas non plus la main qui lui caresse le dos, et qui lui donne des frissons le long de l'échine. Elle ne porte pas de soutien gorge.
Soudain, elle sent quelque chose de dur qui s'agite contre ses fesses. Elle devine tout de suite ce que c'est.
« Le salaud, se dit-elle, mais il bande ! Il a l'air d'avoir un sacré calibre ! »
Elle prétexte une petite envie pour sortir de cette situation gênante. Yves la rejoint aux toilettes. Sans autre forme de procès, il glisse une main sous la minijupe, et caresse la chatte de sa femme. Elle a un clitoris assez proéminent.
« Arrête-çà, gronde-t-elle, çà va pas ? Voilà, je commence à mouiller… il faut que je me change maintenant !
- Tu n'as qu'à rien mettre », sourit Yves. Morgan s'en plaindra pas.
Décidément, toutes les opportunités lui sont bonnes pour que sa femme se fasse prendre….
Quand ils reviennent au salon, chacun reprend sa place. Marion s'aperçoit que la queue de Morgan est toujours en érection. Heureusement qu'il y à la jupe. Mais tout çà commence à l'exciter. Machinalement, elle bouge ses fesses. Elle sent le souffle de Morgan sur son cou qui s'accélère.
D'un coup, un liquide chaud traverse la minijupe. Le cochon, il vient d'éjaculer ! La tuile. Il faut vite trouver une solution.
Marion ne se démonte pas, malgré son trouble. Elle prend son verre sur la table basse, et, en se retournant, fait mine de perdre l'équilibre, et renverse volontairement le contenu sur le bermuda de Morgan.
« Oh mon dieu, que je suis maladroite, dit-elle, excuse moi, je suis confuse, qu'elle idiote..
- Hé bien, fait Yves, passe lui un de mes caleçon. Il ne peut pas rester comme çà. »
Pendant que Morgan se change, Marion met ses vêtements à sécher. D'ici qu'il parte, ils seront secs.
Ils se croisent dans le petit vestibule, et se lancent un regard coquin, voire vicieux. Ils reprennent leur position sur la chaise. Mais il n'y a plus de string, ni de slip. LKa soirée se passe dans une délicieuse excitation sournoise pour Marion, mais sans plus aucun accident…
Vers une heure du matin, Yves raccompagne les invités sur le pas de la porte. Morgan attend ses habits. Marion n'a pas bougé d'un poil, comme si elle attendait un geste de la part de Morgan. Il va faire plus qu'un geste. Il lui tourne légèrement la tête; la fixe droit dans les yeux, et l'embrasse tendrement.
« Vas-y, murmure-t-elle, j'ai trop envie de toi.
- Mais tu es folle, la repousse Morgan... Si Yves nous surprend ?
- Tu seras peut être surpris de sa réaction, sourit-elle.
Elle enroule ses bras autour de son cou. C'est elle maintenant qui force ses lèvres avec sa langue. le baiser est sulfureux. Les boutons du chemisier volent en éclats. Les petits seins, très durs, sont provoquant en diable. Les bouts, durcit par le désir, vibrent entre les doigt de Morgan. L'autre main part entre les cuisses, remonte la jupette
autour de la taille. Marion est totalement écartée, son clitoris entièrement décalotté, est dressé telle une petite bite. On entend le bruit des langues qui se fouillent. La main de Marion fait des mouvements de branle sur la queue en érection de Morgan.
« Faut pas vous gênez, dit Yves, je vous dérange pas au moins? Salauds !!
- Oh mon chéri, ne te fâche pas. En fait, j'assouvis un de tes phantasmes. Tu voulais bien que ta femme se fasse niquer par un autre homme en ta présence ? Regarde comme il a une belle queue, comme il a frotte bine contre mon gros clitoris...
- Allez Yves, poursuit Morgan, tu peux bien offrir un moment de plaisir à ta gentille épouse. C'est pas pour çà qu'elle t'aime pas. Elle a juste besoin d'un bon coup de queue. Regarde comme je la fait mouiller.
- Heu...c'est vrai que j'en ai toujours rêvé… Mais là, je suis un peu pris de court. Mais si çà te fais plaisir, vas-y ma puce.
- Oh mon chéri, tu es un amour. Je pourrai lui tailler une pipe aussi ? »
La queue, d'environ vingt centimètres, ouvre déjà les lèvres intimes de Marion. C'est elle qui fini de l'avaler en s'y empalant dessus. Elle ondule du bassin pour bien la mettre en place.
« Ah ! Regarde ta petite femme comme elle se fait niquer… Oh putain, que c'est bon ! Depuis le temps que j'ai envie de me le faire mettre par une grosse queue... tellement envie, que je ne vais pas tarder à jouir ! »
Morgan prend du plaisir aussi. D'une main, il joue avec le bout des seins, de l'autre, il saisit le clitoris, qui maintenant, atteint deux bons centimètres, et le fait rouler entre ses doigts.
« Hou... si tu savais comme il est doué, ce salaud ! Oui...Yves, regarde comme il s'amuse avec moi…Viens mon amour, allons au lit. »
Yves accuse le coup. Il ne dit rien quand Morgan entraine sa femme à la chambre. Après tout, c'est ce qu'il voulait. Il colle son oreille à la porte, tant pis si çà fait mal. Pour enfoncer d'avantage le clou, les deux amants laissent la porte ouverte, pour qu'li puisse bien assister aux ébats amoureux de son épouse.
Les ébats vont être torrides, sulfureux. Ils vont baiser come jamais avant pour Marion.
Morgan est allongé sur les dos, la queue en érection. Après l'avoir bien excité avec la bouche, elle l'enjambe, frotte sa grosse queue contre ses lèvres humides pour la couvrir de mouille. Elle la fait coulisser dans sa chatte en poussant un "haa" de plaisir.
Elle passe une main en arrière, et lui saisit les couilles.
« Oh putain ! Cà c'est de la bite ! Tu vas voir comme je vais te sucer après... comme je vais tout avaler...
- Calme toi ma chérie ! On a toute la nuit… je suis pas assez chaud encore.
- Je vais t'échauffer… Et t'éteindre, bandit, gémit-elle. Tu vas ressembler à une carpette. »
Pauvre Marion. Elle ne sait pas sur qui elle est tombée. Un amant particulièrement vicieux, performant, dominateur. Yves ne perd rien des scènes extra conjugales de son épouse. Elle ne s’est jamais donnée comme çà à lui, il ne l’a jamais faite crier comme Morgan le fait.
Abattu, il s'allonge sur le canapé, et s'assoupit.
Les deux amants, ignorant sa souffrance, vont passer à la vitesse supérieure. Morgan est phénoménal. Marion ne peut pas suivre. Elle se fait prendre dans toutes les positions. Sa chatte devient une antre béante, où l’énorme pieu glisse sans efforts. Elle n’en peut plus de jouir encore et encore. Son clito brule, tant il a été caressé, astiqué, branlé, mordu et sucé…
Il ne manque que le petit trou, une lacune qui va être vite comblée. D'autant que c'est l'endroit préféré de Morgan. Il dit qu'une femme qui se fait prendre au petit, est une femme toute acquise.
Marion est proche de l'épuisement, mais elle ne veut pas abandonner, l'orgueil féminin, sans doute. Elle se met en place et attend le mâle en rut.
Morgan promène deux doigts dans la chatte pleine de mouille de Marion, et humidifie le petit orifice. Elle est écartée au maximum. Il ouvre les fesses de sa maitresse comme un melon, à pleines mains. Le petit trou est là, ouvert, offert, indécent…
On voit son clitoris dressé entre ses jambes. Morgan travaille l’étroit conduit à l’aide de ses deux doigts lubrifiés de liqueur. Marion bouge tellement son cul que les phalanges pénètrent sans difficulté.
Alors, Morgan se redresse, et pose son gros gland contre la rosette distendue. D’un seul coup de rien, il déflore le cul de Marion, toujours vierge de ce coté-là… Sous la brusque poussée, elle hurle de douleur.
Yves, entendant les cris de son épouse, reprend sa place de voyeur.
« Ah, comme tu m'encules, salaud... tu vas me déchirer !
- Ton mari te fait pas ce que je te fais, hein ? Il te nique pas comme çà… Pourtant, tu aimes te le faire mettre, petite pute !
-Vas-y, défonce-moi, maintenant, ta queue est bonne dans mon dos ! Baise-moi à fond, mon salaud ! »
Morgan fait dire ce qu'il veut à sa maitresse, l'oblige à humilier son mari sur ses performances. Elle est à la merci de cet homme qu'elle connait à peine, mais qui la rend tellement heureuse et une vraie folle de sexe hard.
« Oh oui, j'aime çà.. Et puis ta queue est bien plus grosse que la sienne ! Dis salaud, tu te vides les couilles, là ! Ha… Moi aussi je viens… C’est la quatrième fois ! Assez... »
Il est six heures du matin quand Marion et Morgan vont prendre une douche. Yves entend les soupirs de son épouse, et les rires narquois de son amant. Ils sortent de la salle de bains, entièrement nus. Morgan porte Marion dans se bras, comme une mariée. Ses jambes sont légèrement écartées. Yves aperçoit l'énorme queue qui fait des va et vient dans la chatte de sa femme.
« Mon chéri, gémit-elle, regarde dans quelle position il me prend… Si tu savais comme il a joué avec moi cette nuit ! Tu m'as entendu gueuler ? C'est un vrai mec tu sais… Avec une belle paire de couilles !
Marion bouge tellement son cul, que la queue de Morgan sort de sa chatte.
« Oh non… Pas çà ! Pourtant je te serrais fort, là... Yves, mon chéri, tu peux la remettre dans mon con, s'il te plait… Maintenant que çà devenait intéressant… »
Yves, comme hypnotisé, saisit l'énorme bite, et la place contre le petit trou de sa jeune épouse, après l'avoir trempée de cyprine au bord de sa chatte. Le petit orifice s’ouvre comme une fleur.
« Mon chéri, tu as vu comme il m’encule ? C’est trop bon, cette grosse barre dans mes intestins ! Je n'ai jamais voulu avec toi… mais là, c’est du délire, je jouis comem une folle de mon cil ! »
A force de grands coup de reins, la queue sort une seconde fois. Mais cette fois, Morgan est en train d'éjaculer. Les jets de sperme giclent en direction du canapé, éclaboussant le visage et le torse du mari trompé. Le couple éclate de rire, et retourne à la salle de bains.
Il est huit heures quand Morgan quitte l'appartement.
Honteuse, Marion, vêtue d'un peignoir, s'approche de son mari écroulé sur le canapé. Elle lui prend tendrement la main.
« Pourras-tu me pardonner mon amour ? C'est pour toi que j'ai fais çà..
- C'est vrai que c'était mon phantasme, répond Yves, mais tu t'es offerte sans retenue, sans penser à moi…. Il t'a régalée, au moins ?
- Oh oui, mon chéri, c'est un bon coup au lit. Il veut te demander si je peux me donner à lui une fois par semaine! Mais c'est toi qui décide. Tant pis si je suis déçue et malheureuse.
- Ah bon ! Et toi, tu crèves d'envie de te faire prendre par lui, et tu veux que je l'entende, hein ? Petite salope. Qu'il te bouffe la chatte, qu'il te suce le clitoris, qu'il te fasse hurler de plaisir, et que je l'entende ? Tu sais bien que j'ai toujours voulu que tu te fasses baiser par un autre devant moi. Tu as mon accord ma chérie.
- Tu es un amour, se réjouit Marion. Il a dit que tu l'appelles pour choisir un jour. On a pensé au samedi. Comme çà, on pourra remettre çà le dimanche, çà t'irait ? Allez, je t’attends au lit mon amour. Je suis un peu fatiguée, mais je tiens à m'amuser avec toi, te faire une petite pour te remercier. Ah oui, autre chose, il faudrait faire installer des glaces sans tain aux toilettes. Une qui donne sur la chambre, l'autre dans la salle de bains. Comme çà, tu pourras mater ta petite femme en train de bien se faire mettre des coups de grosses bites… »
Depuis, Morgan passe tout les week-ends chez eux. Il nique sans relâche la jeune et belle épouse de son copain...
Assis sur la cuvette des WC, Yves fait le voyeur. Au moins, il sait où est sa femme…
Une première experience homosexuelle
Merci pour la participation de Marcel qui a envoyé ce post :
Ca m’a pris soudainement d’avoir envie d’un rapport homosexuel, et j’ai cherché sur internet. N’ayant pas trouvé mon profil, j’ai passé une petite annonce sur des sites gratuits.
« Homme 55 ans ayant petit pénis de 10 cm, cherche homme peu poilu pour premier rapport ayant également petit sexe. Aimerai faire fellation nature sans avaler du moins au début. Caresse et pénétration anale douce ».
Je n’ai eu qu’a choisir dans les nombreuses réponses reçues, et j’ai retenu un homme de quarante ans également, peu expérimenté, qui m’a envoyé sa photo de lui nu. La semaine suivante, il me recevait dans sa maison de banlieue.
Après avoir bu un verre de détente, je suis passé par la douche et enfilé un peignoir avant de le retrouver dans le salon, lieu choisi pour nos ébats. Ceci était moins solennel qu’une chambre avec un lit…
On a tombé nos peignoirs en même temps, et nous nous sommes regardés nos corps mutuellement, lui affichant doucement une érection naissante au fur et à mesure de son auscultation détaillée. Plus musclé que moi, qui commence à être un peu empâté avec mes poignées d’amour, il a la même taille, ce qui nous place sur un pied d’égalité. Il a fait le premier pas, et m’a caressé le corps en partant des épaules et en descendant lentement sur les seins qu’il a pinçouillé légèrement avant d’arriver sur mes fesses.
J’étais en érection moi aussi. Il a voulu m’embrasser sur la bouche, ce que j’ai refusé au début, avant qu’il pose la main sur les couilles. Là, j’ai cédé, et sa langue s’est faufilée dans ma bouche. Il avait l’haleine fraiche, son baiser était doux et je lui ai rendu, oubliant que j’embrassais un homme tellement j’étais pris dans ce jeu de séduction et d’émotion.
Toujours debout, je l’ai embrassé dans le cou et suis descendu lentement sur son torse où pointait les mamelons de ses seins. J’ai continué millimètre par millimètre le supplice en léchant son ventre, et j’ai contourné son sexe que j’effleurai d’un souffle d’air. Il avait aussi une petite bite toute raide, fine, bien décalottée qui n’attendait que ma bouche pour se satisfaire.
En relevant la tête, j’ai vu les yeux d’Albin suppliant que je le suce. Je lui ai proposé :
« nature ?
Et il m’a répondu :
- oh ! Oui ! »
Je l’ai poussé sur le canapé, et à genoux, je lui ai écarté les jambes et pris en bouche cette petite queue que je trouvais splendide. Je tenais ses couilles dans ma main car elles étaient dures et ne formaient qu’une boule. Je les ai avalées, léchées. On était convenu qu’on se couperait les poils et se raserait les couilles.
Ses boules étaient douces en bouche, et je les chauffais bien pour les voir pendre un peu et les triturer comme j’en avais envie. Albin appréciait beaucoup et se laissait faire, abandonné à son plaisir. Tellement abandonné que le reprenant en bouche, et commençant un pipage plus sévère, je l’entendis éructer que s’était trop bon et sentis dans ma bouche le petit jet de sperme annonciateur du flot qui allait lui vider les couilles.
Une minute après, j’avais la bouche pleine de son sperme qu’il me demanda d’avaler d’un air pleureur de chien battu. Je l’ai fixé dans les yeux et comme par défit, j’ai tout englouti. J’avais déjà avalé mon sperme, et j’ai trouvé celui d’Albin du même gout, un peu salé, neutre, qui donne soif. Partit dans la salle de bain me laver les dents, je trouvais que je faisais fort pour mon premier contact homosexuel.
De retour au salon, je le trouvais impatient de s’occuper de moi et, poussé sur le sofa, il commença une lèche totale de mes attributs. En relevant mes fesses ; il s’aventura dans la raie du cul pour me sucer mon petit trou. Un peu réticent, puis sollicitant plus de caresses, de léchouille de sa langue, refusant le doigt qu’il voulait m’introduire pour le ramener s’occuper de ma bite qui commençait à perler du liquide lubrificateur.
Sa langue chaude sur ma bite, sur mes couilles, était pour moi encore meilleure que celle d’une femme, car il devinait mes envies et réagissait à tous mes soupirs.
« Je veux te boire moi aussi », me dit-il, en enfournant mon sexe entièrement jusqu’à toucher le fond de sa gorge, le faisant tousser et saliver à l’excès.
Je n’ai pas mis longtemps à me vider les couilles dans sa bouche qu’il a tenu ouverte pour que je me vois jouir, le sperme sortant par à-coups comme un flot bouillonnant, blanc, crémeux qui semblait ne pas pouvoir s’interrompre. La quantité était là après une semaine d’abstinence, et j’ai bien cru qu’il allait tout dégueuler en se forçant à avaler. C’était une première pour lui, il ne connaissait pas le gout de la semence masculine. Il avait les larmes aux yeux le pauvre petit.
Nous étions comme deux couillons avachis sur le sofa, essayant de reprendre notre souffle et nos esprits, le sourire émerveillé aux lèvres, béats, encore repu de jouissance. « Social-time », on fait le break et on parle des femmes, et de nos envies de sexe frère, tranquillement assis sur le canapé côte à côte, nus, heureux, sans gêne.
On a ensuite discuté duquel allait se faire enculer le premier, et on a décidé de laisser le feeling. On est parti dans la salle de bain se relaver les fesses et chacun a savonné le petit trou l’autre dans la baignoire au savon de Marseille. On a bien rigolé quand on a pensé que la prochaine fois, il faudrait demander conseil à des spécialistes. Retour dans la chambre, cette fois ci, c’est du sérieux. Nous avons sorti les capotes, le gel lubrifiant et même un petit gode qu’Albin a testé et a trouvé bon.
« Histoire de m’ouvrir le cul car il est drôlement serré et j’espère que tu auras la bite assez dure pour passer le premier barrage ! »
Le défi est lancé : c’est moi qui ouvre les hostilités et qui encule le premier. Préparation minutieuse, je ne veux pas louper mon coup. Je commence par la langue, écartant les poils du cul qu’il n’a pas coupé, petits crachats de salive, et je rentre un doigt. Je m’enduis de gel et lui enfourne deux doigts que je tourne pour bien lui ouvrir l’anus. Il aime.
Je sens le passage étroit s’élargir, et dix minutes après, son trou reste ouvert quand je retire mes doigts. Capoté vite fait, je le pénètre doucement ayant la queue bien raide. Il souffle, pousse, et quand j’ai entré entièrement ma petite bite, il ne bande plus le chou, trop occupé à accepter ma bite qui lui perce le cul.
J’ai gardé toute mon attention à mon érection et commencé mes vas et viens. Il aimait de plus en plus et il fallait que « je le défonce », mais étant limité en longueur comme en grosseur, il a fallu qu’il se contente de ce que je pouvais lui offrir. Il rebandait très fort durant mon enculage, et je l’ai masturbé assez fort comme pour me venger sur sa bite pas plus grande que la mienne. J’ai jouis dans son cul (enfin dans la capote) et au même moment j’ai senti, à ma main toute poisseuse de sperme, qu’il venait d’éjaculer.
Il m’a raconté ses sensations, son bonheur de s’être fait prendre par un sexe d’homme ce qui n’a rien à voir avec un gode dur et froid. Il était épuisé de ses deux éjaculations, je n’ai jamais pu le faire rebander et ayant un rendez-vous, j’ai dû repartir mon petit trou encore intact. On se retrouve la semaine prochaine pour mon dépucelage. Je lui ai emprunté son gode pour préparer le passage pendant la semaine…
Je suis impatient !!!
Signé : Marcel
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Si j'avais été à la place de Yves, j'aurais participé aux ébats des amants.