Les Mémoires très Libertines de Sophie
Le contrat de dominatiion sur ma chienne Lisa
CONTRAT DE PROPRIETE
LIANT
CHIENNE LISA
A
MADAME DE RAWENSKY
Entre les soussignés :
Madame de Rawensky, de mon plein gré et mue par mon désir d'exprimer ma volonté de posséder en toute propriété un esclave, j'accepte de prendre possession de la chienne Lisa.
Et
La chienne Lisa, de mon plein gré et mue par mon désir d’exprimer mon Amour et ma dévotion envers la Femme que j’Idolâtre, je m’offre en esclavage à Madame de Rawensky.
I - INFORMATIONS GÉNÉRALES
DURÉE DU CONTRAT
Le contrat signé ce jour prendra effet dès la signature de celui-ci et se terminera suivant les modalités suivantes :
Commun accord des deux parties.
A la demande d'une des deux parties, si l'autre ne respecte pas le présent contrat.
LIEU ET EXÉCUTION DU CONTRAT
La chienne Lisa sera l'esclave à plein temps durant la période ci-dessus mentionnée.
Elle devra se consacrer entièrement et totalement à satisfaire le plaisir et les désirs de Madame de Rawensky sans hésitation ni considération pour elle-même, éventuellement dans le cadre d'un planning prédéfini de disponibilité de chienne Lisa à Madame de Rawensky.
Pour préserver une vie familiale et une vie professionnelle normales à chienne Lisa, l’application du contrat d'esclavage sera limitée pour les deux situation suivantes :
En famille et au travail
Dans ces deux cas, il ne sera pas demandé à la chienne Lisa de respecter le contrat d'esclavage et elle aura une liberté de mouvement et de décision totale. Par contre si la chienne Lisa manque de respect dans ce contexte à Madame de Rawensky, celle-ci pourra prendre les sanctions et les punitions adéquates lorsque le contrat reprendra effet c’est à dire dans un cadre privé.
En lieu public
Madame de Rawensky aura la possibilité de soumettre la chienne Lisa dans des conditions particulières, la soumission ne devra pas se voir en public, mais elle pourra lui demander de porter des accessoires qui ne seront pas visible en public et dans la condition ou personne ne pourra voir ou se douter de la soumission de la chienne Lisa.
Le port de sous-vêtement féminin et de plug, ainsi que le bondage du sexe pourront être réalisé avant d’aller dans des lieux publics.
II - RÔLES DE MADAME DE RAWENSKY
La chienne Lisa, qui accepte de devenir sa chose, sa soumise, sa chienne, doit en retour pouvoir vivre sa relation en toute confiance, ce qui signifie que Madame de Rawensky s’engage à respecter le contrat et à prendre soin de sa soumise, s’assurer de sa sécurité et de son bien-être.
Madame de Rawensky accepte de traiter la chienne Lisa comme elle se doit, de la dresser, de la punir, de l’aimer et de l’utiliser au gré de sa volonté, mais toujours dans le souci de :
- La dresser pour en faire une soumise parfaite, c’est à dire docile et perverse.
- La respecter, dans son intégralité physique et morale, sa vie familiale et professionnelle.
- De vérifier l’état de la chienne Lisa lorsqu’elle est contrainte, toute responsabilité en cas de problème sera dû à Madame de Rawensky.
- D’humilier sa soumise le plus souvent possible et toujours dans le cadre de ce contrat.
- De la féminiser totalement en privé.
III - BASES D'EXIGENCES ET DROITS DE MADAME DE RAWENSKY
Refus de certaines pratiques.
Madame de Rawensky ne permettra jamais certaines pratiques dans le cadre des relations qui la lie à la chienne Lisa :
- la pédophilie, de façon permanente et non négocialble.
- toutes marques de sang et dégradation importante du corps de la soumis, sans l'accord préalable signé par chienne Lisa.
Supériorité de Madame de Rawensky.
La chienne Lisa reconnaît la supériorité de Madame de Rawensky dans quelques domaines que ce soit. La chienne Lisa reconnaît être inférieure à Madame de Rawensky et accepte donc toutes les décisions que Madame de Rawensky lui dictera.
La chienne Lisa devra toujours avoir une posture de soumission et devra se sentir inférieure à Madame de Rawensky.
Si Madame de Rawensky le veut,
- la chienne Lisa devra se présenter devant elle à genoux, la tête baissée.
- Lorsque la chienne Lisa souhaitera quelque chose, elle devra se déplacer comme une chienne, c’est à dire à quatre pattes et supplier sa Madame de Rawensky.
- La chienne Lisa pourra être attachée, bâillonnée, avoir les yeux bandés,…
Toute contradiction ou remise en cause de la supériorité de Madame de Rawensky entraînera des sanctions disciplinaire importantes (voir paragraphes sur les sanctions)
La chienne Lisa accepte d’être punie si :
- elle remet en cause Madame de Rawensky en public,
- Madame de Rawensky donne des ordres discrètement en public et que la chienne Lisa ne les applique pas.
Madame de Rawensky même dans un domaine public garde sa suprématie et pourra faire ce qu’elle veut de sa soumise dans les conditions évoquées au niveau du paragraphe « lieu et exécution du contrat ».
Politesse
La chienne Lisa devra s’adresser à Madame de Rawensky en utilisant les règles de politesse de la soumission. La chienne Lisa devra toujours s’adresser à elle en tant que « Madame ». La chienne Lisa devra vouvoyer Madame de Rawensky aussi bien oralement que par écrit. La chienne Lisa devra toujours demander l’autorisation de parler, seule Madame de Rawensky lui donnera cette autorisation.
Madame de Rawensky appellera la chienne Lisa de tous les surnoms qu'elle souhaitera en particulier des surnoms humiliants tels que « pétasse », « chienne Lisa », « sale chienne »,
« salope »,…
Humiliation
La chienne Lisa devra accepter toutes les formes d’humiliation que Madame de Rawensky lui fera subir. Madame de Rawensky pourra se faire plaisir de trouver toutes les humiliations journalières que pourra subir la chienne Lisa. Ces humiliations seront diverses et variées telles que des humiliations verbales, psychologiques et physiques.
Collier et laisse
En privé la chienne Lisa devra accepter de porter un collier en cuir ou autre avec un anneau pouvant porter son nom. Ainsi Madame de Rawensky pourra promener son esclave en laisse là où elle le souhaitera. La chienne Lisa devra éventuellement le soir porter son collier.
Châtiment
Les châtiments devront rester dans l'espace défini au III – 1)
La chienne Lisa acceptera tous les châtiments que Madame de Rawensky lui fera subir. La chienne Lisa devra subir les coups de fouets et autres que Madame de Rawensky lui donnera quelques que soit le nombre. La chienne Lisa devra être fière des marques temporaires non visibles en extérieures que sa Madame de Rawensky lui aura faites pour son éducation.
Besoins urinaires
La chienne Lisa pourra ne plus être autorisée à faire pipi dans les toilettes mais dans une bassine comme une chienne. Madame de Rawensky se réserve le droit de demander à sa chienne de laper sa pisse dans la bassine. La chienne Lisa devra accepter que Madame de Rawensky puisse uriner dans sa bouche. La bouche de la chienne Lisa devra pouvoir servir d'urinoir à Madame de Rawensky. Ceci étant une forme d’humiliation comme citée précédemment.
Lavement anal
Si Madame de Rawensky le veut, la chienne Lisa devra tous les matins et soirs effectuer par elle-même un lavement anal profond afin qu'elle soit toujours propre et disponible pour Madame de Rawensky ou toute autre personne. Madame de Rawensky se réserve le droit de lui en imposer d'autres à tout moment suivant ses désirs.
Ceci implique indirectement avec le " 7)" que la chienne Lisa n'aura plus accès aux toilettes, sauf cas exceptionnel avec l'autorisation de Madame de Rawensky.
Dilatation anale
Madame de Rawensky pourra dilater l’anus de la chienne Lisa et y introduire tous les objets qu’elle désirera (doigts, godemichés, plug, œufs vibrant, concombre, etc.…) et ceci pendant la durée que souhaitera Madame de Rawensky, (10 min, 1h, 1 nuit, 1 jour). La chienne Lisa devra aussi d’accepter de subir des fist par Madame de Rawensky ou toute autre personne.
Marquage
Marquage temporaire
La chienne Lisa devra accepter d’être marquée à l’aide de rouge à lèvres, de crayon sur le corps. Au niveau du sexe, un marquage pourra être effectué au henné ou au feutre pour indiquer sa soumission.
Les ongles des pieds vernis en permanence peuvent être comme marquage temporaire.
Marquage définitif
Si la chienne Lisa peut dans le cadre de sa vie familiale et professionnelle, la chienne Lisa acceptera un marquage définitif à un endroit discret de son corps (tatouage ou tout autre marquage indélébile).
Le droit à l'orgasme
Madame de Rawensky gérera le droit à l'orgasme de la chienne Lisa.
La masturbation lui est interdite, sauf si Madame de Rawensky lui ordonne.
Si Madame de Rawensky autorise la chienne Lisa à jouir, cela peut être de façon humiliante comme :
- Se frotter sur une surface rugueuse, comme un lit.
- Se masturber lui-même avec nettoyage oral
- A travers des actes d’homosexualité ou tout autre partenaire, y compris animal
Madame de Rawensky pour s'assurer de la chasteté de la chienne Lisa pourra lui faire porter une ceinture de chasteté temporairement ou en permanence.
Prêt de la chienne Lisa.
La chienne Lisa accepte d’être prêtée sous la surveillance de Madame de Rawensky à couple, femme, homme pour tout type de service que seule Madame de Rawensky lui ordonnera. La chienne Lisa acceptera d’obéir qu’à Madame de Rawensky sauf si Madame de Rawensky lui en donne l’ordre. Les orifices de la chienne Lisa reste à disposition de Madame de Rawensky et des personnes à qui elle pourrait être prêtée avec les protections nécessaires.
Location de la chienne Lisa.
Madame de Rawensky pourra la louer à titre gracieux à couple, femme ou homme dans les conditions de prêt vu ci-dessus comme une simple prostituée soumise. Les locations seront dédommagées en matériel pour Madame de Rawensky, pour un encore meilleur dressage de la chienne Lisa.
Pour humilier chienne Lisa, elle sera autorisée à voir les échanges monétaires entre les différentes parties.
IV - LA SUPPLIQUE DE LA CHIENNE LISA
La supplique de chienne Lisa concerne sa féminisation sans obligation d'usage d'hormones féminines, cet usage ne pouvant qu'être optionnel avec l'accord de Madame de Rawensky et de sa chienne Lisa.
Soins du corps
La chienne Lisa supplie Madame de Rawensky de l'aider à prendre soin de son corps comme une femme en n'utilisant pour sa toilette que des produits féminins (déodorants, shampoings, lait corporel,…).
La chienne Lisa supplie Madame de Rawensky de l’accompagner si elle lui demande d'aller dans un salon de beauté pour des soins corporels ou épilation.
Épilation à la cire
La chienne Lisa supplie Madame de Rawensky de la faire épiler entièrement à la cire (même sur les parties intimes) pour que sa peau soit douce.
Lorsqu'elle le pourra la chienne Lisa pourra effectuer une épilation totale et définitive au laser.
Maquillage
La chienne Lisa supplie Madame de Rawensky à l'aider à bien se maquiller, à bien soigner ses ongles et bien les vernir, la chienne Lisa ayant appris le maquillage seule.
Comportement
La chienne Lisa supplie Madame de Rawensky à l'aider à se comporter comme une femme, comme par exemple :
Apprendre à adoucir sa voix.
masquer son sexe de sous-mâle que son pubis soit aussi plat que celui d'une femme.
croiser les jambes comme une femme lorsqu'elle s'assoit.
s'assoir comme une femme pour uriner, même au travail.
lire des magasines féminins pour s'inspirer des femmes.
Tenue
La chienne Lisa supplie Madame de Rawensky de pouvoir continuer à vivre en femme en son intérieur. Madame de Rawensky pourra choisir les vêtements et sous-vêtements nécessaires à la soumission de la chienne Lisa qui aura cependant l’autorisation de proposer des idées d’achats.
Madame de Rawensky peut imposer à la chienne Lisa le choix des habits à porter et le port de sous-vêtement féminin pourra être obligatoire en permanence.
IV - PUNITIONS AUTORISÉES
Justification.
La chienne Lisa accepte de recevoir toute punition que Madame de Rawensky décidera de lui administrer, dés qu'elle aura fautée. La notion de faute sera jugée uniquement par Madame de Rawensky
Forme et intensité.
La chienne Lisa accepte qu'une punition sévère puisse lui être administrée pour toute infraction à la lettre ou à l'esprit du présent contrat, et acceptera cette correction gracieusement. La forme et l'intensité de la punition seront laissées à la discrétion de Madame de Rawensky. Il pourra évidemment s'agir de châtiments corporels : fessée, cravache, martinet, badine... Mais aussi de punitions psychologiques, des contraintes, des obligations, des humiliations publiques, des exhibitions, des gages dans les conditions évoquées au niveau du paragraphe «lieu et exécution du contrat».
Date et lieu.
Madame de Rawensky devra faire clairement savoir à la chienne Lisa qu'elle est punie et ce, quand la punition lui sera infligée : en sa présence immédiatement, ou ultérieurement lors d'un rendez vous, dans le lieu et à l'heure qu'elle aura choisi.
Intensité.
Madame de Rawensky s'engage à ne causer aucune blessure corporelle irrémédiable à la soumise la chienne Lisa. Néanmoins, la chienne Lisa s'engage à endurer toutes les punitions, que ce soit sur les fesses, les seins, le sexe ou toute autre partie du corps que Madame de Rawensky aura envie de frapper. L’intensité dépendra de la faute commise. La chienne Lisa accepte d’être très sévèrement punie, en particulier dans le cas de fautes graves et d'importants manques de respect.
V - PROPOSITIONS DE CHIENNE LISA
Ménage et taches ménagères
La chienne Lisa devra effectuer les tâches ménagères habillée en soubrette suivant ses disponibilités. La chienne Lisa devra laver, repasser, passer l’aspirateur, nettoyer, effectuer toutes les taches ménagères. Pendant ce temps, la chienne Lisa pourra en plus avoir des contraintes tels que des plugs, des chaînes ou toutes autres idées de Madame de Rawensky.
La cire chaude avec bougie
La chienne Lisa devra accepter de recevoir sur son corps (même sur les parties intimes) de la cire chaude à en être couverte totalement, à résister à la douleur du chaud de cette même cire quand Madame de Rawensky le voudra.
La nouvelle niche.
Madame de Rawensky pourra avoir des exigences sur l'aménagement du nouveau lieu de résidence de chienne Lisa pour faciliter le dressage de chienne Lisa.
La surveillance.
Madame de Rawensky pourra obliger chienne Lisa à être sous sa surveillance avec sa cam branchée en permanence et connectée.
Le dressage à distance.
Madame de Rawensky pourra obliger chienne Lisa à obéir via sa cam branchée et connectée et se montrer masquée à d'autres internautes connus ou inconnus.
Préparation culinaire
Madame de Rawensky pourra obliger chienne Lisa à remplacer le micro-onde pour la décongélation de certains produits par le cul de la chienne Lisa.
Madame de Rawensky pourra obliger chienne Lisa à remplacer les épices pour la préparation de certains produits par un passage le cul de la chienne Lisa.
Comportement de vraie chienne
En tant que chienne Lisa je vais apprendre à me comporter comme une vraie chienne :
Seule ou avec par Madame de Rawensky :
- Marcher à 4 pattes,
- Manger dans une gamelle, avec sa seule gueule, des produits pour chiens.
- Apprendre à laper pour s'hydrater.
- Apprendre à faire ses besoins naturels comme une vraie chienne
Avec par Madame de Rawensky :
- Faire la belle sur ses 2 pattes arrières.
- Lécher à la demande la main,…
- Manger le sucre en récompense,…
Avec un( e) chien(ne) en présence de Madame de Rawensky :
Sous ordre de Madame de Rawensky, chienne Lisa devra prouver que c'est une vraie chienne en se comportant comme une vraie chienne et encore plus comme li renifler et lécher le cul, l'embrasser avec la langue, le caresser totalement ( y compris ses parties intimes), le sucer bien à fond et accepter dans sa gueule l'éjaculation et avaler son jus, se faire saillir à 4 pattes par le chien ou dans toute autre position.
Éventuellement, si Madame de Rawensky le désire pour rappeler que chienne Lisa, n'est plus dans l'intimité un homme mais qu'un être vivant servile, lui faire faire la saillie avec une chienne, chienne Lisa devant lécher le sexe de la chienne avant de la prendre comme un chien.
Avec un autre animal en présence de Madame de Rawensky :
Je fais confiance à Madame de Rawensky pour avoir ainsi l'occasion de m'humilier encore plus et me prouver encore plus ma soumission totale à ma très haute bienfaitrice Madame de Rawensky
Sortie en extérieur
En pays étrangers ou en Métropole, Madame de Rawensky pourra sortir la chienne Lisa en femme à son gré.
VI - OBJECTIFS ET MODIFICATIONS
Ce contrat a pour but de fixer les limites, les attentes les devoirs de chacun aussi bien pour la chienne Lisa que pour Madame de Rawensky. Ce contrat permet d’indiquer les objectifs de chacune.
Les objectifs de ce contrat est d’éduquer la chienne Lisa pour qu’elle devienne une bonne esclave et une bonne soumise.
Les objectifs de ce contrat d’augmenter la soumission de la chienne Lisa afin d’amplifier sa dépendance vis a vis de sa Madame de Rawensky.
Les objectifs de ce contrat de donner à Madame de Rawensky toutes latitudes à ses plaisirs avec la chienne Lisa.
A tout moment, ce contrat pourra être modifié par les deux parties dans le cas ou celles-ci sont d’accords.
VII - SIGNATURE
la chienne Lisa accepte d’obéir à sa Madame de Rawensky à tout égard.
la chienne Lisa précise que son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent.
la chienne Lisa maintiendra son corps disponible pour Madame de Rawensky à tout moment.
la chienne Lisa reconnaît que Madame de Rawensky peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités
la chienne Lisa servira sa Madame de Rawensky.
Par ma signature ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus ainsi qu’à toutes autres que ma Madame de Rawensky choisira d’ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à Madame de Rawensky, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée.
La chienne Lisa le dimanche 29 mai 2011
J’accepte le désir de la chienne Lisa de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de la discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté.
Madame de Rawensky le dimanche 29 mai 2011
- Commentaires textes : Écrire
Baisée au bureau par trois ouvriers...
Il y a quelques années, j’étais encore célibataire, et même si je baisais souvent avec des hommes différents, quelques fois trois ou quatre à la suite dans une même journée, je n’avais que rarement eu plusieurs hommes à la fois…
Ce soir-là, j'étais restée un peu plus tard au bureau, j’avais des devis à finir. Fatiguée, je voulais me reposer un peu. Je suis donc allée dans la salle des employés pour me reposer. Il y avait des chaises longues, qui jouxtaient les vestiaires des ouvriers de la société.
Je m’allongeais, un casque sur les oreilles pour me couper un peu du monde. Je pensais que j’étais seule. Mais je sentis une chose inhabituelle, et j’ouvris les yeux : trois mecs entraient dans la salle, vêtus seulement d’un boxer moulant…
J'étais plutôt surprise mais cela m'a excité, et j'ai senti ma chatte se mouiller…Les ouvriers m’ont regardées fixement, et je m’aperçus alors que j’avais ma jupe relevée au-dessus des genoux. Ils devaient avoir une vue plongeante sur mon string…
Le résultat ne se fit pas attendre, et je vis les boxers se déformer sous leurs érections naissantes. L’un deux fit mine de se cacher le sexe. Et là, l’idée de me faire enfin prendre par trois belles bites s’imposa à moi : « Baisse tes mais, il ne faut pas cacher les belles choses…. »
Il rougit un peu, et écarta ses mains. Je relevais un peu plus ma jupe, et passais ma main sous mon chemisier, pour me caresser lascivement un sein. L’invitation était évidente, et ils la comprirent immédiatement… Ils se sont approchés et l'un deux a commencé à me doigter en écartant mon string déjà bien mouillé, tandis que un autre m'embrassait... Le troisième entrepris de finir le déboutonnage de mon haut, et m'ôta le soutien gorge. Il commença à me caresser les seins et titiller mes tétons durcis par l’excitation. Celui qui me doigtait m'enleva le string et commença à me lécher, caresser, mordiller le clito. Ca y était, j’étais avec me trois hommes… Celui qui m’embrassait enfonçait sa langue dans ma bouche, me léchait la luette, j’adore ces baisers hyper profonds, ils me font fondre littéralement. Sous leurs caresses combinées, je mourrais d’excitation. Il m’en fallait bien plus : je voulais de la bonne bite bien dure !
Je leur criais presque :
« Baisez-moi, je veux vos bites partout. Remplissez tous mes trous ! »
Je devenais une vraie salope !!!
Alors, le deuxième, sans hésiter, poussa le gars qui me doigtait et fourra son dard brutalement dans ma chatte… Après m’avoir accordé quelques poussées bien profondes, il me mit en levrette, le cul en l’air. Le troisième, qui me pelotait les seins auparavant, introduisit un doigt humide dans ma rondelle bien exposée à leurs regards. Il s’enfonçait de plus en plus, au rythme de la queue qui me labourait le ventre. Il ajouta un autre doigt, et je finis avec trois doigts plantés dans mon conduit anal. Je jouis en hurlant mon plaisir intense. Le troisième vint devant, se faire sucer. Sans hésiter, je l’enfournais au plus parfond de ma gorge, pour le pomper au maximum.
Celui qui me doigtait la rosette ne resta pas inactif. Il vint se positionner derrière moi, sa bite au gland turgescent contre mon œillet. Comme il m’avait bien ouverte et lubrifiée, il rentra sans problème, déplissant en douceur mes sphincters. J’avais une bite dans le cul, une dans la chatte et j'en suçais un dernier… J’étais au septième ciel ! J’eus un nouvel orgasme, dévastateur… je criais sans ma soucier que d’autres employés soient encore dans la société. Je me contorsionnais tant sous cette violence, qu’ils sortirent de moi…
Alors, ils se mirent tous les trois en ligne pour que je leur suce l'un après l'autre la bite. Je léchais bien leur gland, je leur tenais la bite pour bien l'enfoncer dans ma bouche. Plus leur bite gonflait, plus ça m’excitait. Puis, l’un après l'autre, ils éjaculèrent tous sur mon ventre, lâchant des jets épais de foutre chaud et crémeux… Quelle vision géniale ! Pendant que j'étalais tout le sperme sur moi, l’un se mit à genoux près de moi, et commença à lécher tout ce sperme étalé. Il faisait là ce que j’aime vraiment !!! D’ailleurs, il avait à peine fini, qu’il se tourna vers son pote le plus près de lui, et il goba sa queue en demi-érection. Il voulut se retirer, mais je l’encourageai :
« Allez, laisse-toi faire, je suis sure qu’il fait des pipe d’enfer… Offre-moi ce plaisir ! »
Il sembla convaincu et se laissa pomper le dard à fond, sous mes yeux émerveillés…
Le troisième se pencha, et ôta mes doigts qui caressaient mon clito boursouflé. Il recommença à me lécher le clito, me passait le doigt dans la craque … Celui qui se faisait sucer se retira, vint près de moi, et bouscula mon lécheur. Il m'enfonça sa bite luisante de salive à fond dans la chatte. Il faisait d’intenses et profonds mouvements de va-et-vient. Plus il s’enfonçait loin, plus je jouissais. C’était un plaisir indescriptible !!! Un se mit à me doigter la rosette, et je sentais bien son doigt dans mon conduit anal, et ça m'excitait à nouveau comme une dingue. Plus j’avais de sexe, plus j’avais envie de baiser… L’un d’eux a commencé à m’insulter. Quand c’est dans le feu de l’action, ca le don de me procurer des sensations encore plus intenses.
J'aimais ça de me faire traiter comme une salope… Je demandais à un mec de s’allonger sur la chaise longue, et vint me mettre au-dessus de lui. Je tins sa bite dure, et m’empalait dessus d’un coup vif. Sa pine me perfora. Je me relevais, m’accroupissais en prenant appui sur ses mains, augmentant rapidement la cadence de pénétration. Ses seins ballottaient dans le vide, et un des mecs vint les saisir fermement, les malaxer durement. J’adore ça…. Il en profita pour se mettre devant moi, pour que le suce à nouveau. Ce que je fis sans me faire prier. Bien évidemment, ainsi, mon cul se soulevait vers le haut. Ce que ne manqua pas de remarquer le troisième larron... Et c’était parti pour ma deuxième double de la soirée. Une fois de plus, me voilà embrochée par trois grosses bites de gars que je ne connaissais pas trente minutes avant ! Ils me limaient en cadence, qui le cul, qui la chatte, qui ma bouche grande ouverte. Je jouissais à nouveau, par saccades désordonnées. Je n’en pouvais plus, et en même temps, j’en voulais encore !
Le premier à "capituler," fut celui qui m’enculait bien profond. Il éjacula son sperme épais au fond de mes entrailles. Quand il se retira, le liquide coula sur les couilles de celui qui perforait ma chatte. Cela accentua la lubrification, il me baisait comme un marteau-piqueur, me laissant sans souffle. Il jouit aussi, me balançant sa purée au fond de l’utérus. Je restais assise sur lui, pour continuer ma pipe au dernier.
Grâce à la belle vue qu’il avait sous le yeux, il ne tarda pas à inonder ma gorge de sa crème blanche. Je gardais la semence dans ma bouche, et me penchait sans prévenir sur celui qui me baisait toujours le con. Je l’embrassais sans crier gare, et lui envoyais le foutre de son pote dans la gorge. Il eu un sursaut de dégout, qui me fit beaucoup rire !!! Après tout, ils m’avaient fiat subir les pires outrages je devais bien me venger un peu…
Nous sommes allés tous les quatre sous la douche, nous rafraichir, évacuer tout le sperme que j’avais sur et en moi. Bien sur, les mains baladeuses ont continué à œuvrer. Ils m’ont même offert un petit orgasme, à sentir les six mains partout sur mon corps, et dans mes orifices dilatées et gras de leurs foutre…
Mais la société devait fermer. Nous avons promis de remettre ça très bientôt !
Après sa belle-mère, Chris se fait sa belle-soeur !
Un mercredi soir, je rentre tranquillement du boulot, et ravi, car mon patron m’a donné une semaine de congé, pour récupérer des RTT. Du coup, je suis passé chez ma belle-mère, Janine, pour lui annoncer que nous pourrions aller à la pêche. Bien évidemment, elle était d’accord. C’est souvent l’occasion de baiser tous les deux comme des fous…
Quand Sandy est rentrée, elle a cassé mon enthousiasme. Quand elle a su que j’étais libre, elle m’a demandé si je pouvais aller faire des réparations dans l’appartement de sa sœur.
Nous avons convenu qu’elle irait pendant le week-end, pendant que je serais à la pêche, avec sa mère, et que je continuerai les travaux le lundi matin. Quand je suis rentré, j’étais bien chaud, car avec ma belle-mère, on n’avait pas arrêté de copuler. Mais je fus bien déçu, car ma femme était indisposée. Ce n’était que partie remise, mais j’étais quand même bien excité…
Je préparais mes affaires pour le lendemain, mais Sandy vint me dire de préparer un vrai sac, car je serai obligé de rester la nuit. Elle devait garder la voiture pour son boulot, et elle travaillait aussi de nuit. J’étais condamné à rester chez ma belle-sœur. Je n’étais pas vraiment heureux !
Le lundi donc, Sandy m’accompagne chez Nicole. Nous discutons un peu, elle me remercie de venir l’aider, et de rester au moins deux jours. Ma belle sœur se met à rire :
« Je veux bien que tu restes dormir, mais il faut faire la chambre d’amis, alors, elle ne sera pas libre !
- Pas grave, je dormirais avec toi, lui répondis-je en riant.
- Sois sage, je te connais », me rétorqua Sandy en riant.
Au moment de partir, j’ai embrassé ma femme en la serrant fort dans mes bras. Rien que ça, ça me donnait la trique ! J’avais vraiment une grosse envie de baiser depuis trois jours. Ca n’arrangeait rien !
Quand elle est partie, Nicole m’a montré tout ce qu’il ya avait à faire. Et le moins que l’on puisse dire est que j’avais du boulot !!! Il fallait déjà décaper toutes les portes et les repeindre, puis faire la chambre d’amis.
Le soir venu, j’ai demandé à Nicole un drap pour fermer la salle de bains, pour que je ne la voie pas se laver. Nicole me répondit :
« Chris, quand même tu es assez grand ! Tu ne vas pas me mater à ce moment-là !
- Tu sais, je ne suis qu’un homme, je suis faible !
- Et moi, je suis une femme sans mec depuis deux ans ! »
Nous avons pris notre douche à tour de rôle, mais quand elle est sortie, je n’ai pu m’empêcher de la regarder. Elle avait juste une serviette sur elle. Elle était vraiment bien foutue ! Elle est entrée dans sa chambre, pour en ressortir à peine vêtue d’une tenue très légère.
Et moi, je l’imaginais très bien nue ! Elle a bien vu que je la matais de la tête aux pieds, mais elle a fait semblant de rien. Nous sommes allés nous couchés chacun de notre coté.
Le lendemain matin, je suis rentré très vite dans la salle de bains. Mais Nicole y était déjà. Je me suis excusé, elle était toute nue. Je suis ressorti très vite, mais je me suis mis dans un angle où je pouvais la mater sans qu’elle me voie…
Elle était vriament bien faite, avec des beaux seins, un peu plus petits que ceux de Sandy. Mais pas aussi beaux que ceux de la vieille ! Je bandais déjà bien dur, rien qu’à la regarder. Je ne pouvais pas rester là, je suis allé dans ma chambre pour me branler un peu. J’ai joui très vite, et je suis allé dans la salle de bains enfin libre, pour me laver.
Nous avons travaillé toute la journée, comme si de rien n’était.
Nous étions en train de finir une tapisserie quand j’ai raconté une blague à Nicole. Elle s’est mise à rire beaucoup. Tellement qu’elle m’a implorée :
« Arrêtes, Chris, ou je vais pisser dans ma culotte ! »
Elle serrait les jambes très fort, et a fini par y mettre sa main, comme pour mieux se retenir. Elle s’est levée en titubant, pour aller aux toilettes.
En sortant, elle me dit : « Regarde, Chris, tu m’as fait pisser dans ma culotte !
- Je ne crois pas !
- Mais si, regarde, même mon jean est humide ! Je changerai ça ce soir.
- Ah bon, tu gardes ta culotte mouillée ?
- Non, juste le jean. Je n’ai plus rien en-dessous… »
J’étais tout troublé de savoir ça… Nous avons fini le travail, et sommes allés nous doucher. Mais je n’avais pas prévu de rester une nuit de plus, et je n’avais pas de vêtements propres. Alors, je suis sorti de la salle de bains juste avec ma serviette.
Quand je suis sorti, Nicole m’a interpellé : « Eh Chris, ben dis-donc, tu sens bon ! »
Et elle s’approche de moi, pour me renifler du bas de la poitrine jusque vers le cou. Insensiblement, elle tourne la tête, et son visage s’approche du mien.
Ses lèvres étaient maintenant tout près des miennes. Je n’en pouvais plus, et j’ai posé une main sur ses fesses. D l’autre, je lui tenais l’épaule. Je la pelotais de plus en plus fort. Nicole a voulu enfin me repousser, mais dans son geste, elle a fait tomber ma serviette. Là, elle a vu comme je bandais dur : « Chris, on ne peut pas faire ça ! Mais putain, t’es super bien monté ! »
Alors, elle s’est assise sur le canapé, et continuait de fixer ma bite bien dure. Elle l’avait maintenant à hauteur de visage.
« Humm, elle est grosse comme j’aime, me dit-elle en rougissant un peu.
-Elle te plait ?
-Oh oui, je peux la toucher ? »
Comment dire non ? Alors, elle a levé ma main pour toucher mon gland décalotté. Rien que ca, j’ai bandé encore plus fort.
Elle a écarté les cuisses, et j’ai senti son odeur de femelle me chatouiller les narines… j’en avais la tête qui tournait. Je m suis penché ver elle. L’odeur de sa mouille était de plus en plus forte. Je ne résiste pas à cette odeur de femme en chaleur…
Pourtant, elle me dit, avec un mouvement de recul : « Non, on ne peut pas faire ça ! Tu es mon beau-frère ! Je ne peux pas faire de mal à Sandy !
- Ne t’inquiètes pas, elle sait que j’aime le sexe… Et confidences pour confidences, je couche déjà avec ta mère !
- Comment tu peux faire ça ! Et Sandy alors ?
- Ta sœur ? Mais elle est d’accord. On baise même tous les trois ensemble, parfois !
- Vous êtes de sacrés vicieux, quand même !
- Et toi, alors, à vouloir toucher ma bite, tu es quoi ??? »
Elle baisse la tete, ne sachant plus que dire.
A défaut de parler, elle agit : elle se laisse glisser au sol, et se met à genoux devant moi. Une main passe derrière ma cuisse, l’autre remonte vers mes couilles. Elle les attrape doucement, et commence à les malaxer doucement. Je bande vraiment dur…
Enfin sa seconde main vient se poser sur ma bite raide. Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle me gobe le chibre d’un coup. Bon sans, elle suce bien ! Ce doit être de famille !!!!
Elle gémit, murmure des mots incompréhensibles pour finir par articuler : « Tu sais Chris, ca fait deux ans que je n’ai pas vu de bites ! »
Elle avale de nouveau ma queue en entier, et je lui presse ma tête contre le pubis quand je sens que je vais venir. J’éclate dans sa bouche en gros jets épais. Elle avale tout, la garce
« Mhum, Chris, tu jouis comme un cheval ! J’aime ta crème…
- Ta mère aussi, elle aime mon sperme. Elle veut toujours tout manger ! »
Même si j’ai joui, je bande toujours. Je la culbute par terre, elle écarte grand les cuisses. Je vois cette superbe chatte trempée, et je ne peux m’empêcher de me jeter dessus. Je la dévore avec passion, m’enivrant de ses effluves de femelle en chaleur. Je presse mon nez dans sa vulve ouverte. Je lape sa mouille odorante.
J’étais à fond dans ma caresse, et voilà qu’on sonne à la porte.
Nicole se lève en râlant, et va ouvrir. C’est sa voisine Sylvie. Sidéré, je vis la voisine plaquer sa main sur la chatte de ma belle-sœur !
Elle entre, me fait la bise. Elle me renifle : « Dis-donc, toi tu sens la mouille. Vous faisiez quoi, avant que je n’arrive ?
- Euh, ben…
- Te fatigue pas, j’ai compris. »
Elle fait signe à Nicole de partir. Celle-ci obéit à regret. Et moi aussi, j’étais déçu. Je me serais bien fait les deux lesbiennes !!!
A peine la prêt fermée, elle est venue se mettre à quatre pattes devant moi. Sa vulve ressortait de façon indécente.
« Allez, Chris, ramone bien mon trou. J’ai trop envie de ta queue ! »
Sans perdre une seconde, je la pénètre doucement, et la besogne de plus en plus vite. Mes couilles cognent contre son clito… Elle était très étroite, et elle me serrait bien.
J’ai laissé ma bite ressortir et je me suis penché pour la lécher à nouveau. Son odeur de chatte plus celle de ma queue, j’étais super excité !!! Je sentais sa mouille couler sous ma langue.. Quel nectar !
Elle me demanda à nouveau : « Chris, défonce encore ma chatte, baise-moi à fond ! »
J’obéis et me remis à la pilonner. Pendant que je la besogne à fond, elle branle son clito. D’un coup, elle se laisse tomber, se retourne, et me crie : Je vais jouir, bouffe ma chatte !!! »
Je me jette comme un affamé sur cette moule détrempée. Je l’ai léchée de partout. Elle commença a pousser des petit cris et de me dire plein de cochonneries. Soudain, elle hurle un grand ouuuiiiii
Elle a écarté sa chatte avec ses deux mains. Je lui ai enfoncé ma langue au plus profond de sa chatte. Alors, un nouveau « ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiii » envahit la pièce, et un fort jet de mouille est parti. J’en ai eu dans la bouche et sur mon visage. Elle hurlait de plaisir comme une salope et jouissait sur moi. Je n’en revenais pas. Elle était comme une femme –fontaine.
Mais moi, je n ‘avais pas joui. Je lui ordonnais : « Couche-toi, que je te baise comme une bonne salope ! »
Elle s’est bien allongée sur le dos, écartant ses cuisses à deux mains. J’ai plongé ma bite dans ce vagin dilaté. A chaque coup de rein, la mouille giclait à l’extérieur. Je l’ai baisée comme une chienne, elle en redemandait encore.
Enfin, je me suis vidé dans sa chatte, de toute ma semence en réserve. Ma sauce blanche coulait sur ses cuisses, mêlée à sa cyprine.
Nicole s’est presqu’aussitôt endormie comme ça. Je la regardais, et je ne pus m’empêcher de venir renifler cette chatte pleine de nos fluides. C’était gluant et visqueux, juste comme j’aime ! J’avais à nouveau la trique ! je me suis penché pour pou la lécher un peu. Elle s’est réveillée en souriant :
« Tu es un gros cochon, Chris ! Mais j’aime ça. Baise-moi encore. Je n’en n’ai pas eu assez !
- Si tu veux, ta chatte est trop bonne ! Ca doit être de famille ! »
Elle s’est mis à nouveau en levrette, m’offrant sa voulue gonflée. Je m’y suis enfoncé d’un coup, tant nous étions excités tous les deux.
En la baisant à fond, je voyais sa rosette d’ouvrir un peu. Alors, j’y ai enfoncé mon pouce. Elle a crié : « Oh oui, c’est bon, ouvre mon cul !
- Tu en veux encore, ma salope chérie ?
- Oh oui, prends-moi le cul ! »
Je l’ai dilatée en cadence, et quand elle a été bien ouverte, j’ai enfoncé mon gland, puis ma bite entière dans son conduit anal. Là, elle me serrait encore plus ! C’était trop bon !
Mais je n’ai pas tenu longtemps, et mon foutre est parti lui gainer les intestins en quelques minutes.
Elle jouit aussi en criant très fort, et en martyrisant son clito.
Nous venions à peine de finir, qu’on sonne à la porte. C’était Sandy. Quand elle m’a embrassé, elle m’a reniflé un peu : « Mhum, Chris tu sens bizarre… Tu ne sentirais pas la mouille ??? »
Elle a souri et nous sommes partis.
Voilà une histoire qui finit bien. Décidemment, les femmes de cette famille sont de belles salopes ! Et je les adore !
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Ma nouvelle vie de chienne
Quelques mots de présentation. Je me prénomme Jack, j’ai soixante et un an. J’ai toujours été attiré par le sexe dit « hors-normes », et je vais vous conter comment ma femme m’a obligée à pratiquer du sexe pour le moins inhabituel dans un couple…
Grâce a une collègue et amie de ma femme Coralie, qui a su percer à jour la personnalité cachée de mon épouse, cette dernière est devenue libertine, puis ma maitresse.
Voilà comment tout a commencé et évolué/jusqu'à présent :
Mon épouse Coralie, vingt-neuf ans, a dû changer de service, il y a a deux ans et demi, suite à une restructuration, au sein de la grosse société d'assurances qui l'emploie, et où elle était entrée il y a six ans.,
Elle est devenue l'adjointe d'une avocate de trente-deux ans, chef de ce service. Très vite, les deux femmes ont sympathisé, et Coralie, quelque temps après, l'invita un samedi après-midi à la maison.
Elle arriva pour prendre le thé, et mon épouse me la présenta sous le prénom de Victoria. Je constatais très vite que ma femme était sous l'emprise de sa belle supérieure hiérarchique. Coralie n'avait d'yeux que pour elle, buvant ses paroles, riant à chaque occasion de ce petit rire de séduction qui me fait craquer...
Leurs relations se développèrent rapidement, et bientôt, elles devinrent des copines quasi inséparables, s'invitant l'une chez l'autre très souvent et courant les magasins, restos, expositions... Elles passaient ensemble tout leur temps libre. Mais j'étais loin d'imaginer la réalité des choses.
Victoria était de plus en plus souvent chez nous. Un soir, je suis rentré plus tôt que prévu, et stupéfait, je stoppe net sur le pas de la porte : juste en face de moi, sur le canapé du salon, les deux femmes s'embrassent à plein bouche. Aucun son ne peut sortir de ma bouche, tant je suis ahuri. Mes rêves les plus fous sont en train de se réaliser : voir ma femme faire l'amour avec une autre.
Mais Victoria m'aperçut, et se recula brusquement. Je protestai :
« Mais non, continuez, vous êtes très belles, ainsi... Vous me plaisez beaucoup... »
Du coup, elles reprirent leurs baisers, leurs caresses. Je vins m'assoir près d'elles et les observais, déjà très excité. Mais brusquent, Victoria se leva et annonça :
« Je dois partir, nous recommencerons un autre jour ! »
Dépité, je ne dis rien, et regardait Coralie raccompagner sa supérieure à la porte, non sans un dernier baiser passionné.
A partir de ce jour-là, les deux femmes ne se gênaient plus pour se câliner devant moi, se tenant par la taille se faisant des bisous pour un oui ou un non. Parallèlement, ma femme devint distante avec moi, puis froide, et elle commença à me donner des ordres …
« Jack, va me faire un café et apporte-le moi ! »
« Retourne me chercher le sucre, du lait... Tiens, va rapporter ma tasse dans le lave-vaisselle et donne un coup de torchon sur la table basse où la tasse a laissé un cercle, dépêche-toi avant que ça tache etc... »
Intrigué par ce changement d'attitude, j'obéissais sans rechigner, elle accentua alors son autorité sur moi, prenant tous les prétextes pour me donner des ordres divers d'un ton sec et dur.
Et un soir devant Victoria, elle me traita carrément comme son domestique. Victoria, les yeux brillants, suivait son manège, paraissant l'encourager à me maltraiter, m'humilier, et s'enhardissant, elle s'adressa à moi en m'ordonnant :
« Jack, va donc me chercher mes cigarettes qui sont dans mon sac. Je l'ai posé sur la console de l'entrée en arrivant. »
Interloqué, j'hésitais. Aussitôt, ma femme intervint brutalement :
« Qu'attends-tu, nigaud, pour obtempérer ? Dépêche-toi voyons ! »
Muet de surprise, j'allais donc chercher les cigarettes et les remis à Victoria. Ma femme me murmura, les lèvres pincées de colère :
« Alors, qu'attends-tu pour lui donner du feu ? Va donc prendre mon briquet dans ma chambre ! »
Quand je revins avec le briquet, Victoria me remercia, et s'adressant à ma femme elle lui sourit :
« Bravo chérie, je vois que tu l'as déjà bien conditionné à être obéissant, mais il faut accélérer son dressage, laisse-moi faire. »
Et comme Coralie ne répondait rien, elle se leva et me dit sèchement :
« A poil, déshabille-toi, allez tout nu... »
Je ne bougeais pas, ahuri de tant d’audace et de détermination. Alors, ma femme se leva à son tour et me cria :
« Eh bien quoi ? Tu n'as pas entendu ? Enlève tes vêtements, tout, et fais vite, minable ! »
Comment pouvait-elle me traiter ainsi de minable, et devant sa supérieure ? Ma douce femme avait bien changé en très peu de temps... Je ne savais plus si je devais en être heureux ou contrarié ! Etre dominé n’avait jamais fait partie de mes fantasmes !
J’en étais là de mes réflexions, toujours immobile.
Ce qui contraria grandement Victoria.
Elle s’approcha de moi, et me donna une paire de gifles de toutes ses forces. Le choc fut si violent que j'en eu les larmes aux yeux. Coralie me dit avec un sourire vicieux :
« T'en veux une autre ou quoi ? Ne reste pas là sans rien faire, allez à poil ! »
Un peu honteux mais de plus en plus excité, je me déshabillai docilement, et quand je fus nu devant les deux copines, Victoria s’empara de mes couilles et de ma bite molle. Elle les serra dans une main en déclarant :
« Tu avais raison ma chérie, il a vraiment des petites noix et une petite nouille molle, c'est un sous homme… »
Quoi ? Ma propre épouse avait dit ça de moi ? Mais elle ne s’était jamais plainte de mes attributs !
Elle continua a me tripoter en serrant mes testicules très fort et en tirant sur la peau de mon sexe, me faisant grimacer de douleur. Cependant, très étonné, je sentis ma verge durcir Elle ria et elle constata :
« Mais ça le fait bander ! Mhum… elle est quand même d’une bonne taille en érection. Enfin y a mieux mais c'est un minimum acceptable… »
J’étais soudain soulagé de son commentaire. UD coup, je me laissais aller et espérais qu'elle continuerait à me branler à fond. Mais elle me lâcha et s'assit dans un fauteuil en face du divan sur lequel ma femme se posa doucement.
D’un ton péremptoire, elle m’ordonna :
« Fais le chien ! Ah tu ne sais pas, et bien mets-toi à quatre pattes, et lèche mes pieds ! »
A la fin de sa phrase, elle enleva ses chaussures et me tendit ses pieds que je léchais docilement, nu, les fesses en l’air. J’étais humilié, mais aussi très excité. Et je bandais de plus en plus fort. Je suçais consciencieuses les orteils de ma nouvelle maitresse, et léchait la cambrure blanche… Je ne stoppais que lorsqu’elle m’intima :
« Maintenant, va te frotter sur la jambe de ta femme et bouge-toi comme font les chiens. Branle-toi sur son mollet, gicle sur elle, allez, obéis ! »
De plus en plus surpris par ces ordres, je m’exécutais. Victoria vint s’assoir près de ma femme et commença à l'embrasser et lui peloter les seins. Non seulement ma femme se laissa faire, mais lui répondit avec ardeur. Je m'activais sur la jambe de Coralie, en faisant des pauses de temps en temps pour ne pas éjaculer trop vite, pour faire durer mon plaisir... Car je prenais un véritable plaisir à branler ma queue contre sa jambe, et à la regarder embrasser Victoria à pleine bouche si près de moi…
Leurs mains quittèrent les seins qu’elles se malaxaient mutuellement avec ardeur, pour glisser sous leurs jupes remontées haut sur leurs cuisses. Surprise, aucune de deux ne portait de culotte ! Chacune remonta une jambe vers le dossier, afin de d’ouvrir le plus possible. Halluciné, je voyais ces deux chattes épilées à quelques centimètres de mes yeux. Mon rêve devenait réalité !
« Ca t’excite, grosse chienne ? Tu aimes hein, eh bien pas touche ! »
Sans plus se préoccuper de moi, les deux femmes se doigtaient mutuellement. Elles gémissaient de plus en plus fort. Je crevais d’envie de les lécher l’une après l’autre. Mais leurs caresses les amenèrent à un fort orgasme, quasiment simultané…
Victoria expulsa une belle quantité de liquide, qu’elle recueillit du bout des ses doigts :
« Tiens, bois, comme un gros porc que tu es ! Bois ma mouille de femme ! Tu aimes ça, hein le cocu ? »
En même temps, elle mit son pied nu sur ma bite tendue et me caressa. J'accélérais mes mouvements, et me frottais de plus en plus vite sur mon épouse. Je finis par gicler sur sa jambe et sur le pied de son amie. Un beau jet de foutre épais glissa sur sa peau lisse.
Les deux femmes, d’un commun accord, m'ordonnèrent de les nettoyer avec ma langue. Je le fis malgré une certaine répugnance. Je ne devrais pas être dégouté ! Après tout, il s’agit de mes propres secrétions…
Puis ma femme me repoussa du pied et m'ordonna de me rhabiller, et de faire chauffer du thé, comme si de rien n’était.
Nous prîmes le thé tranquillement, puis les deux femmes décidèrent de sortir finir l’après-midi et la soirée au resto en me laissant seul à la maison. Je restai comme hébété par ce qui venait de se passer. Avais-je rêvé ? Comment avais-je pu être excité en me faisant humilier ainsi ? Je découvrais une nouvelle facette de ma personnalité… Et finalement, j’avais envie d’aller plus loin. Après tout, ça faisait des années que je tentais de dévergonder ma femme. Si je devais y parvenir de cette façon…
Les semaines qui suivirent, la domination de ma femme sur moi se fit de plus en plus forte. Elle me parlait sur un ton sec, me donnait perpétuellement des ordres, y compris dans le domaine sexuel. Je devais longuement la lécher, puis quand elle avait joui, me branler devant elle, à genoux. Parfois, j’avais le droit de jouir dans sa chatte. Mais alors, je devais ensuite tout nettoyer avec ma langue, dans tous les replis de son vagin trempé. Si je m’appliquais bien, il arrivait qu’elle jouisse encore. Elle me caressait alors la tête, comme on le ferait pour récompenser un gentil chien… Elle commença aussi à me dilater l’anus à l’aide de godes de plus en plus gros. J’y trouvais de plus en plus de plaisir.
Parfois, je devais satisfaire les deux femmes, les léchant à fond, dévorant leurs minous dégoulinants, pendant qu’elles s’embrassaient à pleine bouche, et suçaient leurs seins avidement… J’attendais de plus en plus ces séances à trois, où pourtant, elles ne se privaient pas de m’humilier de de me traiter plus bas que terre… Elles me godaient avec un gode-ceinture, sans ménagement, laissant mon cul en feu. Mais j’aimais ça de plus en plus.
Un mois après la première séance de domination, Victoria arriva un soir avec un petit homme qu'elle nous présenta comme étant Robert, mon mari.
Nous dînâmes presqu’en silence, les deux femmes se faisant moult mamours devant nous leurs maris. Elles nous donnaient des ordres secs : aller chercher les plats, les servir etc... Visiblement, Robert était aussi obéissant que moi. Il me confia que ça durait depuis deux ans…
A la fin du repas après un café, on se retrouva tous les quatre au salon, les deux femmes sur le canapé et nous les hommes chacun dans un fauteuil.
Victoria sortit d'un sac qu’elle avait amené, deux colliers de chien, deux laisses et deux martinets et elle nous ordonna à moi et à son mari de nous mettre nus. Puis elle nous passa à chacun un coller, auquel elle attacha une laisse. Enfin, elle prit un martinet en donnant l’autre à ma femme. Elles nous firent nous mettre à quatre pattes et nous fouettèrent à coups de martinet. Nous couinions sous les coups, mais alors, elles frappaient plus fort…
Pour continuer leur jeu, elles nous obligèrent à nous frotter sur leur jambe comme des chiens, moi sur une jambe de Victoria et son mari sur une jambe de Coralie. J’y prenais de plus en plus de plaisir, et je giclais le premier. Robert me suivit de près.
Comme c’était devenu l’habitude, elles nous firent lécher nos spermes. Moi, je dus lécher le sperme de Robert sur ma femme, et lui mon sperme sur la jambe de son épouse. Nous pensions en avoir terminé pour ce soir-là.
Grave erreur. Le pire restait à venir…
Comme nous avions bien fini de tout nettoyer ainsi, la sonnette de l'appartement retentit, Victoria sourit :
« Ah ce sont eux, juste à l’heure ! »
Elle partit suivie de ma femme ouvrir la porte. Nous étions vraiment intrigués par cette visite surprise. Nous tentâmes de nous rhabiller, ne voulant pas nous montrer ainsi à des visiteurs inconnus.
Mais elles revinrent trop vite au salon avec, à ma grande surprise, des hommes tous jeunes et bien bâtis. J'en comptais onze !
Chacune des femmes nous présentèrent à ces nouveaux venus de la façon suivante :
« Ces chiens... nos maris, et voici le mien ! »
Nous étions rouges de honte. Je m’étais habitué à être le chien de ma femme et de sa maitresse, mais me retrouver face à ces hommes... Quelle honte !
Très vite, tout le monde fut nu, les hommes, et nos femmes.. Ils les embrassaient à qui mieux-mieux, les pelotaient... Totalement hypnotisés, nous assistions à ce ballet de nos chères femmes caressées, léchées de partout, par tous… Enfin, deux hommes s’allongèrent au sol, et elles vinrent s’empaler sur leurs bites tendues vers le plafond. Elles chevauchaient ces beaux males, pendant que des mains leur palpaient les seins, des bouches les embrassaient, les léchaient sur tout le corps. Deux autres vinrent se mettre derrière elles, les courbèrent, et dans un même élan, pénétrèrent leu anus bien offert. Je me branlais à fond, hyper excité de voir ma femme en double. Elle criait son plaisir… le premier enculeur jouit sur son dos, et laissa la place à un autre.
Stupéfaits tous les deux, nous assistions sans mot dire à ce ballet de mains, de bites dressées, de cors qui s’enlaçaient, se cherchaient, se frottaient sans fin… Les uns après les autres, les onze hommes baisèrent nos femmes… Ils défonçaient à grands coups de queue leurs chattes détrempées, leurs culs offerts et ouverts. Nous assistions à une vraie orgie !
Dans un halètement, Victoria leur cria, de façon très vulgaire :
« Vous voulez des culs à enculer ? Il y a ceux de nos maris ! »
J’eus un sursaut de recul, mais trop tard, l’un des hommes qui était derrière moi en interpella un autre, tout ne me courbant vers le sol.
« Eh, Marco, viens je veux enculer la chienne ! »
Le dénommé Marco arriva, une capote à la main. Il la tendit à l’autre, qui l’enfila rapidement, le temps que Marco me mette à quatre pattes. Je sentis deux mains écarter mes anus sans ménagement, et tentais de protester. Sans aucun succès. Au contraire, on aurait dir que mes plaintes décuplaient leur vigueur !
A coté de moi, Robert avait droit au même traitement. Il était à genoux, avec un gros malabar à la bite énorme derrière lui. Il geignait doucement, mais semblait résigné. Je regardais, effaré, le gros pieu s’enfoncer dans les chairs de mon ami d’infortune. Mais je n’eus pas le temps d’y penser plus, car je me sentis envahi d’un coup par un monstre de chair. Je criais.
Ma femme me foudroya du regard :
« Tais-toi, ou je sors mon fouet ! »
Je me tus, et me laissait prendre par l’enculage qui me ramonait à fond. Petit à petit, je bougeais mon bassin pour accompagner cette défonce inhabituelle. Une chaleur m’envahit le ventre, et le plaisir me faisait bander à nouveau. Je n’eus pas le loisir de réfléchir encore, car une bite vint forcer mes lèvres. Il en était de même pour Robert. Je le regardais, embroché par ses deux trous, et je su comment j’étais moi-même. Cette image m’excita tant que je jouis sur le tapis du salon.
Les hommes se moquaient de moi…
« Regarde, la salope, sa nouille a lâché du jus.. Tu n’es qu’un porc ! »
Celui que je suçais cracha son venin dans ma bouche, j’eus un hoquet de dégout, mais une grande claque sur les fesses m’obligea à tout avaler. J’avais à peine dégluti qu’un autre prenait sa place. Je ne sais plus combien j’en suçais, ni combien m’enculèrent…
Pendant plus de quatre heures, nous avons servi de chiennes à jus à ces mâles en rut, sous les yeux de nos femmes, baisées comme jamais. Et visiblement, elles y prenaient un plaisir intense !
Les hommes finirent par partir au petit matin, non sans promettre de revenir plus nombreux, puisqu’il y avait plein de « trous » à remplir !
A suivre (si j’ai el temps… lol)
Jack Leduc et Sophie
Ma femme m'a fait bi...
Grégory a envoyé son récit sur la découverte de sa bi sexualité qu'il incombe à sa femme dans: « Ma femme m'a fait « Bi ».
J'ai osé sodomiser pour la première fois ma femme à quarante ans. Étonnée, elle n'a pas fait de commentaire, comme si elle attendait ça depuis longtemps, sans vouloir le réclamer.
Et c'est elle la semaine suivante, après une soirée un peu arrosée, qui me tendit son cul « Encule moi, » me chuchota-t- elle à l'oreille.
Des phrases pareilles, ça vous chamboule et on ne se les fait pas répéter deux fois. C'est ainsi devenu assez naturel que je la sodomise en moyenne une fois par semaine, sachant qu'elle éprouvait du plaisir. Ce qui devint nouveau, c'est lors de fellations, qu'elle m'introduise un doit dans l'anus et m’appuie sur la prostate, ce qui me faisait jouir plus intensément.
Plus tard, quand elle me mit deux doigts, j'ai ressentis une petite douleur qui disparut quand mon cul s'ouvrit plus à ses investigations. J'avoue que j'y ai pris goût, et j'ai accepté son petit gode bien huilé. Elle prenait grand plaisir à me le tourner dans le cul en m'invectivant de propos orduriers qui me mettait une trique pas possible, dont elle profitait ensuite.
Je pense avoir le cul comme tous les hommes, à part que j'avais découvert que je pouvais en tirer plaisir. Je me suis doucement fait à l'idée que je devais être « bi » sans pour autant passer à l'acte.
C'est deux ans après mon premier en-godage anal, lors d'un déplacement en province, que je me rendis au sauna de l'hôtel. En entrant, un homme nu, allongé sur un banc, me salua d'un grand sourire. Je restais assis en face de lui, et admirais son corps parfait, mieux entretenu que le mien, plus jeune aussi (je sais ce n'est pas une excuse :)
Imberbe sur le corps, du pubis poilu mais entretenu, sortait un mini sexe comme un petit garçon. Perdu dans mes pensées érotiques, je me mis à bander sans m'en rendre compte, ce qui attira son regard.
Il se leva, et il vint s'assoir à mes cotés pour me caresser le sexe gaillardement dressé. Honteux, je me laissais tripoter sans rien dire, trouvant cette expérience plus qu’agréable. –
« Qui ne dit rien, consent », et mettant en application ce vieil adage, il s’accroupit entre mes genoux. Il prit délicatement ma bite entre ses doigts, il me léchouilla le gland avant d'engloutir mon sexe complètement dans sa bouche. Jamais une femme ne m'avait sucé aussi bien la queue. Mémorable!
Il léchait le gland, passait sa langue sous la couronne, descendait le long du frein, le long de la hampe pour revenir m'avaler entièrement, puis remontait doucement pour me mordiller le gland. Pour calmer mon excitation, il redescendait m'avaler les couilles une à une, en les étirant jusqu'à la douleur.
Il pompait fort. La bouche autour du gland, il aspirait, se creusant les joues comme pour me faire exploser en lui. Pendant toute sa fellation, il me titilla de son index le pourtour de l'anus et exerça une pression comme pour me dire :
« Ce n'est qu'un début, c'est encore meilleur plus tard… »
Il me fit comprendre que c’était mon tour en me présentant son sexe devant la bouche. En érection, ça faisait moins sexe d'ado, mais c’était quand même une verge assez petite, à part les couilles qui pendaient spectaculairement comme deux chaussettes dans lesquelles on aurait mis des boules de pétanque.
La première bite à sucer, ça fait drôle, mais j'ai trouvé agréable cette sucette rigide et vivante qui semblait apprécier ma langue. N’étant pas expérimenté, je recopiai ce qu'il m'avait fait subir cinq minutes avant.
À entendre ses soupirs, il aimait beaucoup. Sa bite était plus grosse et un peu plus longue que le gode que ma femme utilisait pour m'enculer, mais j'estimais faisable une pénétration. J'avais le temps de la fellation avant de me décider, sachant qu'une occasion pareille ne se représentait pas tous les jours.
Un « arrête ou je vais partir » me fit froid dans le dos, de peur de le voir éjaculer dans ma bouche. Il me caressa gentiment allant jusqu'à m'embrasser sur la bouche, ce qui me dégouta un peu. Se faire sucer la bite, ok, mais rouler une pelle à un mec, je n'étais pas encore prêt.
Il me demanda un instant, quitta le sauna pour revenir une minute après avec deux préservatifs, ce qui explicitait son enculage, et je suppose, le mien. Devant le fait accompli, je me résignai à mon sort, et pris position à quatre pattes, le cul offert. Il me prépara longtemps pour m'ouvrir l'anus. Je ruisselais de sueur dans la chaleur moite du sauna. Je sentais la pénétration des ses doigts de plus en plus facile.
Avec ses trois doigts qu'il écartait doucement une fois entrés, il jugea satisfaisant l'ouverture pour un enculage à sec, car nous n'avions pas de lubrifiant. J'ai senti son gland à l'entrée de mon orifice me pénétrer doucement, avant qu'il ne s'enfonce d'un seul coup.
J'ai gueulé un grand coup, plus d’étonnement que de douleur. Il avait été très doux jusqu'alors, mais maintenant, il m'enculait durement, sans concession, malgré mes protestations.
Vaincu, je me laissais faire. J'avais débandé et une chaleur m'irradiait le bas ventre, comme une envie de pisser pressante, et comme on se retient d'une envie de chier quand on est loin de toutes commodités.
J'avais l'impression qu'il s'enfonçait trop loin dans mon cul, et qu'une main cherchait à me fouiller les boyaux. Me voyant soumis, il se fit plus doux et me masturba lentement ce qui me fit rebander. Avec le temps, cette bite, que j’acceptai dans mon cul, me faisait du bien et je senti la jouissance venir. Je ne mis pas longtemps à lui éjaculer dans la main. Il en fut déçu, car il me dit
« Dommage, je voulais te boire… »
Je n'avais jamais envisagé qu'un homme puisse avaler le sperme d'un autre ! J’avais du chemin à faire avant d’être un vrai homo ! Il remuait encore dans mon cul quand je l’entendis souffler comme un phoque avant de se serrer contre mes fesses en un « Putain c'est trop bon » et jouir en tremblant comme une feuille. Il avait joui mais en sortant de mon trou, il bandait comme si rien ne c’était passé.
Retirant sa capote, il voulut que je le suce pour le laver avec ma bouche, mais là faut pas pousser le bouchon trop loin et il n’insista pas. J'avais perdu au moins deux kilos et on ruisselait de sueur. La douche fut la bienvenue, et en remontant dans nos chambres, il me dit que la sienne était la 236. Selon lui, je lui devais une tournée.. Cela sous-entendait la sodomie qu'il n'avait pas eue.
J'avais le troufignon en feu, et je pris un bain de siège dans le bidet de la salle de bain avant de me coucher. Je m’endormis ce soir là avec une sensation de fierté et de honte.
En retrouvant ma femme, on a fait l'amour très classique, et surtout elle n'a pas touché mon cul qui m'a fait mal au moins quatre ou cinq jours. Maintenant, ça passe mieux et en déplacement, c'est occasionnellement que je me fais draguer par un homo. Je ne prends pas le motard musclé, mais plutôt l'androgyne qui m'encule un soir, et puis « ciao ». Je ne fréquente pas les backrooms, même si j'y ai été trainer un soir pour voir mais j'ai failli me faire violer en m'étant aventuré dans les salles reculées et sombres où tout le monde s’emmanchait joyeusement.
J'encule aussi, mais il faut que je sois en bonne condition car j'ai du mal à tenir la bonne érection nécessaire à la pénétration anale que réclame un cul bien serré. « Casser un cul », ce n'est pas donné à tout le monde, ça se mérite.
Je considère maintenant avoir une sexualité épanouie, même si je cache à ma femme mes rapports homosexuels.
Voilà mon témoignage que je pense sincère et qui peut être ouvrira les yeux (et les fesses :) ) de certains hommes.
Signé : Grégory
Source : http://experiences.centerblog.net
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ah bien je me debrouille pas mal dans les differentes tâches de la maison ? tu depends de l'ampleur de tes travaux !! lol
mettre de l'enduit lol
differentes tâches de maison !!!
nettoyage de la piscine !
bref pas mal de choses en faite lol
Avec plaisir, quels sont tes meilleus talents ???
comme j'aurai aimé etre un de ses ouvriers !!
même si je suis nul en bricolage si tu as besoin d'un coup de main pour des travaux je veux bien venir !!lol
Merci pour ce nouveau récit des plus excitant.