Les Mémoires très Libertines de Sophie
L'entorse de la cheville
J'ai prêté mon garage à un collègue, pour qu'il retape une voiture. Quand je suis rentrée pour le déjeuner, il y était avec un copain, que je ne connaissais pas.
Un rapide salut, et je suis allée dans la piscine, nue comme d'habitude. J’ai bien vu que deux ou trois fois, le copain, Steeve, tendait son cou pour me voir. Ca m'a fait sourire, d'autant qu'il n'était pas trop mal.
Quand je suis sortie de la piscine, il m'a interpellée, sous le prétexte de se laver les mains. Souriant intérieurement, je l'ai fait rentrer. Il a lavé ses mains, son regard était éloquent. Mais en présence de mon collègue, je préfère m'abstenir de quoi que ce soit. Je dois garder mon image de femme « sérieuse » limite coincée que je me suis forgée.
Il est donc ressorti, me disant à voix basse qu'il voulait revenir. J’ai acquiescé, et suis allée vers la salle de bains.
Et là, patatras, j'ai glissé sur le sol humide. Je me suis étalée en beauté, en criant, car ma cheville a franchement tourné dans un sens pas très normal.
Hugues, mon collègue a demandé ce qu'il se passait, et Steeve est revenu dans la maison. J’ai tenté de cacher ma nudité comme je pouvais dans ma serviette.
Ils m'ont aidée tous les deux à me relever, mais la douleur était vive. Sur mes indications, Steeve a trouvé une pommade pour que je me masse. Mais ce dernier a demandé à la faire. Je ne pouvais pas refuser une telle offre !
Mon collègue a du retourner dans le garage, car il était déjà en retard sur son travail.
Je me suis bien calée sur le canapé, ma cheville posée sur la cuisse de Steeve. Il a commencé à me masser, avec beaucoup de douceur. De toute façon, je sautais en l'air à chaque passage, tant j'avais mal.
Petit à petit, la douleur s'est un peu estompée, et nous parlions de tout et de rien.
Soudain, sans transition avec le sujet précèdent sur la cherté de la vie ici (9.50 euros les 4 petits pots de danette), il me lance :
« Tu étais sacrement belle, nue dans l'eau. Tu m'as vraiment excité ! »
Ces seules paroles m'ont donné très chaud...
Comme je ne savais pas quoi répondre, je restai silencieuse. Je mouillais déjà, mais mon collègue était proche de nous…
Steeve a vite compris ce qui me tracassait :
« Tu sais, je suis marié, et si Hugues le sait, il risque d'en parler à ma femme. Je ne veux pas courir de risques. »
Ce genre de discours m'arrange, car je sais qu'il se taira.
Je lui ai donc dit qu'il pouvait être assuré de ma discrétion, tout comme je comptais sur la sienne. Il a alors commencé à remonter sa main de ma cheville vers mon genou, et ma cuisse.
Il était toujours très doux, presque tendre. Sans hésiter, il a atteint ma petite fleur toute humide. Il n'a eu aucune peine à écarter les chaires excitées...
J'ai basculé mon genou, pour lui offrir une vue plongeante sur mon intimité.
Je sentais bien moins la douleur de ma cheville !!!
Il a franchement écarté mes cuisses, pour enfoncer avec délicatesse son majeur dans ma chatte. Ainsi, il a très vite atteint mon point G, le massant fermement. De son pouce, il titillait mon clito bien bandé. J’étais de plus en plus excitée, mais nous devions faire attention à ce qu’Hugues ne vienne pas s’enquérir de ma blessure…
Après un rapide coup d’œil dehors, Steeve s’est penché vers moi, a retiré son majeur de mon vagin, pour écarter franchement la vulve. Ainsi ouverte, offerte, impudique, j’étais au bord de l’extase. Il a maintenu ses mains écartées, et a littéralement plongé sa langue dans ma grotte béante.
Sous la poussée chaude, j’ai retenu un cri de plaisir. Avec une grande maitrise, il m’a copieusement dévoré les petites et grandes lèvres, fourrageant aussi dans ma chatte, n’oubliant pas de s’aventurer vers ma petite rosette tout frémissante. Il ne lui fallut que –trop- peu de temps pour ma faire jouir. Moi, l’habituée des grands cris, je dus mordre le coussin pour me retenir de hurler, et il m’écrasa la bouche d’un profond baiser.
Il était tout sourire :
« Ca va mieux, tu as moins mal ?
- Euh, oui, ca va, mais je sais que j‘aurai mal plus tard !
- Alors, tu n’auras qu’à me rappeler. J’adore jouer au docteur !
- Mais, ta femme ?
- Ne t’inquiètes pas, elle ne lit jamais mes sms. Mais reste soft dans ce que tu dis.
- Pas de soucis, je resterai neutre. Mais toi, je dois m’occuper de toi…
- Non, la blessée, c’est toi. Une autre fois, tu t’occuperas de moi. »
Sur ces paroles, il m’a encore embrassée, et est ressorti comme si de rien n’était.
Visiblement, Hugues ne s’est aperçu de rien, et est venu me saluer cordialement avant de partir. Comme je grimaçais en tentant de poser le pied à terre, il dit à Steeve :
« Mon pote, ton massage n’a pas été efficace, elle a encore mal ! »
Nous avons souri tous les deux, sachant très bien de quoi il en retournait !
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Qu'elle est belle...
en choquer certains.
Bon, en effet, au début, je l'avoue, peut-être est-ce que j'ai abusé. Peut-être que j'y ai été trop rapidement, trop fort, trop... Peut-être ai-je dépassé les bornes... Peut-être. Parce qu'elle a aimé ça; la salope, elle a vraiment aimé ça ! Et bon, quoi ? C'était bien ce qu'elle voulait ! Et moi, était-ce aussi ce que je voulais ? En tout cas, je l'ai eue, cette petite garce... quoique... bon, messieurs les policiers, vous voulez vraiment que je vous dise tout ? Mais vraiment tout ? … D'accord...
Je raconte. Anna travaillait avec moi, au bistrot. C'était une petite brunette, aux seins pointus et aux cuisses chaudes. Elle s'habillait toujours de manière sexy, vraiment, elle mettait toujours son corps en valeur, pour qu'on mate son décolleté ou bien ses cuisses. Ses jupes de jeans moulait ses petites fesses rondes, ses chemisiers éclataient toujours aux boutons, ses seins semblaient durs et lourds! Vraiment, cette petite Anna, je voulais la baiser. Mais comme nous n'étions pas souvent ensemble sur le même quart de travail, je ne pouvais la travailler au corps. Elle était nouvelle en ville, allait à l'université je crois, en Haute Études...
Mais il y a eu un party d'employés, nous nous sommes retrouvés assis l'un à côté de l'autre, au bistrot. Je sentais son odeur, elle rigolait et bougeait sur sa chaise comme si elle avait le feu au cul, et je ne faisais que la reluquer. Je voulais lui mordre la clavicule, lui déchirer sa petite chemise de soie, relever la jupe de salope et la baiser à fond ! Et dans le cul en plus.
J'étais certain qu'elle crierait de plaisir, et qu'elle en redemanderait ! Mais les conventions sociales ne me permettaient pas d'agir de la sorte. Nous parlions. Nous nous apercevions aimer la même musique, et que j'avais un album d'un groupe du musique qu'elle n'avait pas. Elle me dit, si je voulais bien, qu'elle passerait chez moi le lendemain chercher l'album...
« Ça marche », j'ai répondu.
Je l'avais ferrée, et c'était elle qui avait ouvert la porte, la garce. Son sourire était encore plus beau et plus coquin avec ses fossettes qui se creusaient. Elle semblait une gentille fille, distinguée, un peu « fille-à-papa », une femme dans un corps d'ado, mais quelle corps !
A la fin de la soirée, nous nous sommes dit au revoir, nous nous sommes embrassés sur les joues, mais la commissures de ses lèvres étaient trop proche des miennes. Elle était chaude, la Anna, et voulais se faire prendre, j'en étais certain. Elle partit, donc, et ses fesses sous sa jupe me saluaient en dansant.
Elle était belle, je vous l'ai déjà dit, messieurs les policiers, menue, presque fragile; ses seins enchantaient le paysage, et son visage encadré par ses beaux cheveux brun ne méritait que de se faire embrasser avec la langue... Ooooh... Je la désirai terriblement ! Et le lendemain de la soirée d'employés, elle cogna à ma porte... supposément pour venir cherche un CD de musique...
Malgré ce que je dirai, messieurs les policiers, vous voyez bien, hein, ma bonne foi ? Et voyez-vous comment je suis maintenant ? Hein ? Ne l'oubliez pas, par la suite...
Donc, cette sauterelle a cogné à la porte. Je lui ai ouvert, elle sourit, elle était encore en jupe la petite pute ! Et en chemise noire sans manche. Son décolleté était embelli par une longue chaîne qui descendait sur ses seins. Sa peau était belle. Elle semblait gênée :
« Salut.
- Salut! »
Je l'ai fais entrer. J’ai fermé la porte. L'ai verrouillée. Elle se retourna, ses cheveux volant dans l'air. Qu'elle était belle !
« Ca va ? Qu'elle m'a dit, souriante.
- Oui. »
J'attaquai. M'approchai d'elle, lui enlevai son sac à main. Elle me regarda, incertaine. Trop tard. Je la poussai par les hanches vers le divan, elle se débattit un peu :
« Mais qu'est-ce que tu fais ?
- Tu vas aimer, je te dis.
- Mais arrête ! »
Elle s'assied en tombant lourdement sur le divan sous la pression de mes mains, et je la maintenais assise. Elle dit mon nom :
« Arrête, c'est pas drôle !
- Anna, que je lui répondis, tu n'es pas venue pour rien... »
Mes hanches étaient au niveau de son visage, elle me regarda en essayant de se relever, je la maintins par les épaules et elle perdit un peu l'équilibre.
« Hey! qu'elle cria, je suis juste venue chercher un CD ! »
- Oh non ! »
Elle tenta encore de se lever, je raffermis ma prise en prenant ses cheveux et en tirant un peu. Elle ferma les yeux et sa tête suivit la direction que prenait ma main tenant ses beaux cheveux bruns. Je vis tout ce que je pouvais faire avec elle. Est-ce que les tétons de ses seins durcirent ? J’en étais certain. Je bandais dur. En lui tirant ses cheveux, et en l'amenant à se coucher, elle souleva une jambe et j'en profitai pour y glisser une main. Je touchai sa culotte, mais ne pouvais pas affirmer qu'elle mouillait. Pourtant...
« Non !
- Anna, détache ma ceinture sinon je te fais mal...
- Non ! »
Je tirai ses cheveux, elle cria et ferma ses yeux sous la douleur.
« Aye ! Arrête !
- Oh non... »
J'insérai quelques doigts sous sa culotte; et tentai de la pénétrer. Ça n'a pas marché.
« Détache ma ceinture ! »
Elle ne répondit pas, et tenta de se dégager de l'emprise de ma main dans ses cheveux, et gigota ses jambes pour ne pas que je m'insinue en elle. J'ai cru avoir le temps, j'en ai profité. Je la lâchai et rapidement, détachai moi-même ma ceinture. Anna, qui n'était plus maintenue par ma force, se redressa. Elle était toujours assise et hop, se retrouva avec ma queue bien dure devant son visage. Elle s'en rendit compte, tenta à nouveau de se dégager en disant, me semble, un autre « Arrête, non! », mais je repris ses cheveux en main, et de l'autre, mis ma queue sur son visage.
Elle ferma la bouche et les yeux, la tête tirée par derrière. Oh, image de rêve que de voir mon pénis sur un si beau visage! Je lui donnai quelques coups de pénis sur ses lèvres et sur les joues tout en lui tirant les cheveux.
« Suce ! »
Elle n'ouvrit pas la bouche, je tirai ses cheveux.
« Suce ! »
Je tirai encore, elle cria :
« Ah! » et j'insérai mon pénis dans sa bouche.
Ah, que c'est bon, c'est chaud, c'est doux ! Elle aspira, je fis coulisser ma queue entre ses lèvres, je fis sûrement un râle de satisfaction, puisqu'elle leva les yeux vers moi. Oh, nouvelles images de rêve, ses yeux de biche m'implorant je ne sais quoi, de la satisfaire seulement sûrement. Je m'enfonçai un peu plus et elle tenta de se retirer. Ma queue sortit de sa bouche et je n'étais pas content, je voulu y retourner le plus tôt, le plus vite possible. Elle respira un coup, pas question d'arrêter ça.
« Suce ! »
Elle ouvrit elle-même la bouche, la salope, et ma main força sa tête à avancer vers ma queue, pour qu'elle m'englobe au complet, ooooh, oui, je lui baisai la bouche, c'était bon ! Je lui donnai des coups de hanche, sa tête, sa bouche n'étaient plus que des objets, oooh, oui... Elle tenta, de ses deux mains, de retenir mes hanches, mes cuisses, elle me caressait la petite pute, je savais qu'elle en voulait, qu'elle en veut, et qu'elle en voudrait !
Je la regardai. Ma queue entièrement dans sa bouche, Anna pleurait, elle pleurait de désir et de plaisir, oooh la garce ! Je sortis de sa bouche, elle se retira, elle s'affaissa sur le divan, le dos au dossier, elle repris son souffle, oh oui, elle pleurait vraiment ! Et maintenant, elle me regardait implorant je ne sais qui, respirant avec difficulté. Elle s'est recroquevillée sur le divan, elle dit mon nom, puis :
« Je ne veux pas... je.. non ! »
J'ai enlevé mon pantalon au complet, et je tenais toujours ma queue mouillée par sa salive. Qu'est-ce qu'elle a dû en sucer des queues, la Anna ! Je grimpai sur le divan, debout, elle assise, et lui remis la queue en bouche, elle la prit comme si c'état tout ce qu'elle désirait, tout ce qu'elle savait faire. Je la baisai à nouveau, je sentis sa langue sur mon membre, ses lèvres l'englobant merveilleusement bien. Je sortis et lui mis les couilles en bouche, elle les lécha par habitude ou envie, je ne sais, ou peut-être par « obligation ».
« Lèche, continue à lécher ! »
Je pris sa tête et l'obligeai à se pencher. Elle descendis un peu sur le divan, ses cheveux enchevêtré sur le dossier, et toujours la tenant, je lui mis mon anus sur sa bouche.
« Lèche je t'ai dit ! »
Et elle lécha ! J'ai toujours aimé me faire lécher mon trou de cul, et je me masturbai devant le mur, alors qu'une des plus belles filles de la ville laissait aller sa langue autour et dans mon anus. Oooooh !!!
Mais bien que je la tenais bien, peut-être dans un petit moment d'inattention de ma part, Anna en profita pour se glisser entre mes jambes, et elle couru en direction de la porte. Mais je suis habile et rapide, je me retournai et la rejoignis. Je la fis tomber, elle cria, je lui agrippai le pied, le mollet, ses jambes étaient douces, elle tenta de me donner de coups de pieds, mais je l'évitai, et je relevai sa jupe, je vis enfin ses petites fesses rondes, et sa culotte de salope, c'est rien, presque pas de tissu, je tirai dessus, Anna cria encore, se débattit, je baissai tout de même sa culotte maintenant à ses genoux, qu'est-ce qu'elle est belle! Je grimpai sur elle, et lui fis une clé de bras, elle cria, elle pleura, oh la geignarde !
« Lève-toi ! »
Elle obéit, coincé les bras dans le dos, le corps penché vers l'avant, ses cheveux tombant par-dessus ses épaules. Je la ramenai vers le divan, le divan qu'elle n'aurait jamais dû quitter et la poussai, elle s'effondra, couché sur le ventre, elle essaya d'avancer, mais tout ce qu'elle a réussi à faire, c'est de se mettre à quatre pattes.
Je lui enlevai entièrement sa culotte, lui empoignai les fesse, elle tenta de se dégager, mais je la maintenu par les hanches, puis par les cheveux, et son cul m'était offert comme je l'avais tant désiré. Et je forçai, je bougeai, je forçai, je bougeai, et sentis mon gland pénétrer ses grandes lèvres, je sortis, revins, et je sentis mon gland pénétrer ses petites lèvres, je lui tirai les cheveux à la Anna, qui en fait ne bougeait plus, pleurait seulement, et je la baisai.
Et vlan et vlan et vlan, je la maintenais par les cheveux et m'enfonçai dans sa chatte bien chaude et bien humide et oooh, que j'étais content, comme j'étais bien à l'aise ! Vision de rêve de la voir à ma merci, ma queue dans sa chatte, elle encore habillée, la jupe de jeans relevée, sa chemise en désordre, ses cheveux en bataille, et moi, vainqueur de ce corps si menu, si fragile, si rêvé et désiré.
Et vlan et vlan et vlan, j'éjaculai en elle, et donnai un dernier coup de rein, restai un peu en elle, avant de me dégager... repu.
Alors, je suis parti dans la cuisine, fumer une cigarette et me faire un café. Je la reluquai un peu. Elle était effondrée, gémissait, je crois qu'elle pleurait un peu, elle a tellement aimé ça ! Elle était belle ! Mon appareil photo n'était pas loin et je la pris en photo, dans une telle position de soumise, que je rebandai un peu.
Lorsque je vais regarder cette photo, je pourrai me remémorer de cette baise extraordinaire qu’Anna recherchait tant, en venant ici... ah, le disque aussi ! Le café fut prêt.
« Tu veux un café ? »
Elle leva un peu les yeux vers moi, elle pleurait encore.
« Non ? Alors, prend le disque que tu voulais, il est sur la petite table et dégage ! Je te rappellerai! »
Je me retournai vers le comptoir pour préparer mon café, elle, elle bougea, je me retournai, juste assez pour la voir prendre son sac, baisser sa jupe et remettre sa chemise en place et quitter mon appartement. Oh ! La salope, elle n'avait même pas pris le disque de musique et elle a laissé sa culotte. La petite pute, elle voulait seulement se faire tringler, elle ne voulait même pas de musique ! Je bus mon café à petite gorgée, et je me masturbai, sa culotte autour de ma queue, que c'était doux et excitant.
Au moment de l'éjaculation, l'idée m'est venue :
« J'ai peut-être violée, Anna... »
Mais la jouissance était si forte que j'ai oublié immédiatement cette pensée. Puis, je léchai mon sperme sur ma main, et fis passer le tout par une gorgée de café...
* * *
Deux-trois jours ont passé. Je ne suis pas retourné travailler. J'avais un peu honte, je dois dire. Un collègue m'a appelé, je lui ai fais savoir que j'étais un peu malade. Nous avons parlé, il m'a dit qu'au bistrot, ça allait vraiment pas, que les patrons manquaient de personnel
« Je suis malade et Anna n'est pas rentrée travailler non plus ! On ne l'a plus revue depuis la soirée des employés ! »
Nous avons raccroché. J'ai continué à me masturber avec la culotte de Anna en écoutant l'album du musique qu'elle n'avait toujours pas, et en regardant la photo prise. La prochaine fois, je l'enculerai. J'attendais son appel de femme soumise qui veut seulement se faire baiser. Il ne venait pas... j'allais l'appeler pour l'obliger à venir chez moi (j'avais besoin de la mettre) mais non, c'est elle qui m'a appelé. Au bout du fil, elle a dit mon nom, puis :
« Tu veux venir chez moi?
- Tout de suite?
- Oui.
- D'accord, mais quand j'arriverai, je veux que tu sois en sous-vêtement. Uniquement en sous-vêtement... et arrange-toi pour que je puisse les déchirer...
- D'accord, c'est comme tu veux... »
C'était comme je voulais ! Oooh la salope ! Elle m'a donné une adresse, et un numéro d'appartement, c'était dans le quarter chaud de la ville. Elle a dû arrêter de travailler au bistrot pour reprendre sa vie de prostituée, ça devait être ça !
Je me suis précipité chez elle. J'ai cogné à la porte, mais je n'ai pas attendu qu'elle m'ouvre, je suis entré.
Aaaaah ! Vision de rêve que de la voir, cette ravissante Anna, sur un lit au centre de la pièce principale. Et aux deux extrémités du lit, des barres de bois. Anna était à genoux, en soutif noir, et en petite culotte noire aussi, en dentelle presque transparente. Ses cheveux descendaient sur ses épaules, ses seins étaient gonflés comme ma queue qui déjà se pressait de sortir de mon pantalon. Elle me souriait la Anna, malgré ou à cause de l'incroyable baise que je lui ai fais subir... et elle tenait des menottes... ooooh, elle était à moi !
Je m'avançai rapidement, enlevant mon pantalon durant la marche, Anna recula un peu, toujours souriante, petite coquine.... Et... alors que j'enlevai mon t-shirt, que je le lançai à travers la pièce, que j'enlevai aussi mon boxer et que je mis mon premier genou sur le lit, Anna sauta en bas de ce lit, et moi, je me sentis pousser contre le matelas.
J'étais à poil, et une force incroyable me maintenait immobile. Je tentai de bouger, mais quelqu'un s'était assis sur moi et m'empoigna le bras droit. J'entendis le cliquetis des menottes. Je criais : « Non non non! ! »
Mais trop tard, on m'avait bel et bien attaché, premier bras, deuxième bras ! Ce n'était pas possible ! Je sentais un genou dans mon dos, on m'a relié une jambe et on l'a menottée aussi, puis la deuxième jambe. Je criais, je voulais me dégager, mais j'étais véritablement pris au piège, complètement à la merci de cette salope qui s'approchait de moi, de mon visage... Elle s'était accroupie, je sentais sa chaleur sexuelle, et son intention. Elle me souriait... et j'étais couché sur le ventre, mains et pieds liés. Je la regardai, en lui demandant de me détacher... mais non, au contraire :
« Alors, tu te sens bien comme ça ? C'est comme ça que tu voulais me tenir hein ?
- Anna, arrête, libère moi !
- M'as-tu écoutée, la dernière fois, lorsque je te demandais la même chose...? »
Je n'ai pas répondu, je savais alors que, peut-être, avais-je été trop loin. J'aurais pourtant juré que c'était ce qu'elle désirait !
« T'es con tu sais ? Si tu n'avais pas agi comme tu l'as fait, en m'obligeant, j'étais prête à faire l'amour avec toi, tu sais ? Tu aurais même pu m'enculer, parce que j'aaaaadore ça... Mais non, t'as voulu faire le con, et voilà ce qui t'arrive ! Luc, viens ici... »
Je vis un homme en slip. A l'intérieur de ce slip, sa queue semblait bien dure. Je ne voyais pas son visage, seulement ses jambes, son torse et sa queue bien bandée...
« Fais-toi sucer, lui dit Anna.
Il répondit :
- Mmm, je ne lui fais pas confiance, j'aurais peur qu'il me morde... »
Et Anna de répondre :
« Je comprends... alors mets-toi derrière lui...
- Je préfère cela, Anna... »
Le Luc en question fit le tour du lit, et grimpa dessus. Je vis Anna s'attacher un gode-ceinture noir autour de la taille, sourire et se toucher. Qu'elle était belle, on aurait dit une trans, avec une queue noire... Elle gémissait en feignant de se masturber et elle s'approcha de moi... tandis que dans mon dos, Luc se mit à cheval sur mes cuisses et jouait avec mes fesses.
Il claqua sa queue contre ma raie. Je tentais de crier, je me trémoussais, tentais de me libérer mais non, j'étais vraiment pris. Luc m'écarta les fesses de ses deux mains, avec ses pouces à l'intérieur, près de mon anus. Je levai la tête, et Anna m'enfonça son faux pénis dans la bouche. Elle était déjà ouverte de peur, ma bouche, et là, elle était pleine. J'ai salivé, et Anna me baisa comme je l'avais baisée :
« Vas-y Luc, vas-y... »
Et lui de me pénétrer. Ah... quelle humiliation pour moi! Il s'enfonça en moi, avait dû enduire sa queue d'huile ou de gel, car je le sentis loin en moi. Et il bougea, et elle bougea et les deux bougèrent en rythme et en cadence. J'étais violé à mon tour et je sentis un feu grandir en moi... Pour moins avoir mal, je soulevais mes hanches et Luc m'encula de plus belle...
« Oooh la petite pute, qu'il dit à Anna, il aime ça regarde, il tente de jouir par le cul ! »
Et oui, je bandais ! Et j'appréciais ce qu'ils me faisaient!
« Allez, maintenant on change, » que Anna lui répondit.
Elle sortit son gode de ma bouche, lui aussi sortit de mon cul et ils changèrent de position. Quand il arriva devant moi, la queue de Luc puait et Anna me dit :
« Ne t'avise pas de le mordre... car moi je ne contrôle pas tout à fait ma queue... et je peux te faire très mal... »
Elle partit à rire et j'ouvris la bouche... Luc y mit son gland et fit des va et vient dans ma bouche. Il se retira et Anna s'introduisit dans mon cul en faisant des Hi-Ah ! de cow boy, de cow girl, et elle bougeait vite, rapidement. Luc revint dans ma bouche et je jouis du cul, une sensation incroyable, messieurs les policiers... vraiment... et lui, il a éjaculé sur mon visage en riant et en disant :
« Que c'est bon Anna, je t'aime ! »
Bon, j'ai peut-être été trop loin au début... oui, d'accord, mais elle ! Elle !
Je me suis réveillé plus tard, bien plus tard. Ils ont recommencé. Ils ont aussi baisé devant moi. Ooooh vision sublime que de voir Anna se faire enculer par Luc... Je leur ai demandé de me détacher, je leur ai dit que je ferais ce qu'ils voudraient... ils ont accepté, et Anna s'est bien amusée avec mon cul, elle m'encula deux à trois fois par jour. Luc aussi...
Ils partaient travailler, je les attendais dans cette prison... et quand ils revenaient, ils s'amusaient de moi. J'ai bien essayé de fuir, mais Luc était trop fort, et Anna bien protégée...
Ils sont venus à quatre, une fois. J'y suis passé. Hommes et femme se sont amusés... C'est comme ça que vous m'avez trouvé, messieurs les policiers... Le cul en sang, plus ou moins content de vous voir arriver... je ne sais combien de temps je suis resté dans cette pièce...
Mais qu'est-ce que vous faites ? Non, non, pas vous aussi ? Remettez vos pantalons, messieurs ! Vous êtes... vous êtes... six ?
Martine
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Isabelle, la bourgeoise
L’année passée, j’étais invité à passer le Nouvel an chez Arnaud, un ami qui habitait dans un quartier aisé de Marseille. Bien que très bourgeois, il savait rester simple. Il n’en allait pas de même pour tous ses amis, et je ne m’étais jamais vraiment senti à ma place dans leurs ambiances BCBG, étant donné mes origines populaires.
Nous nous étions tous connus par l’intermédiaire d’une association de jeunes à laquelle nous avions activement participé de nombreuses années auparavant. Faire la fête avait toujours été un objectif commun à tous, et je gardais un excellent souvenir de nos sorties partout dans le pays.
Avec deux amis de mon quartier, nous fîmes une arrivée remarquée dans la luxueuse villa. Dans le patio, je reconnus certains de nos anciens amis, mais beaucoup semblaient avoir perdu leur sens de la fête, tant ils s’étaient enfermés dans leur monde bourgeois. Les conversations tournaient autours des fluctuations boursières ou des stratégies partisanes. Pourtant, il parait que ce devait être la fête…
J’allai vite retrouver les autres et Arnaud pour boire et parler un peu de ce que nous étions tous devenus. De mon côté, j’avais terminé avec succès mes études de médecine. Lui avait entrepris une carrière artistique, et commençait à faire parler de lui en temps que peintre génial. Il donnait également quelques cours.
- Tiens, mais qui nous fait l’honneur de sa présence ?
Cette voie sarcastique provenait d’une femme, plutôt belle, qui s’était jointe à notre groupe.
- A qui ai-je l’honneur ?… Mais soudain je la reconnus.
C’était Isabelle, qui avait également fait partie de notre association. A l’époque, j’avais été attiré par elle, mais elle m’avait repoussé. Il faut dire qu’en ce temps-là, j’étais plutôt timide et manquait d’assurance.
Elle jouait les saintes nitouches inaccessibles, se cachant derrière des vêtements de vieille bourgeoise et des lunettes qui lui donnaient un air sévère. Pourtant, j’avais toujours senti « quelque chose de plus » chez elle. Elle avait de très longs cheveux blonds qui lui donnaient un air sauvage. J’avais toujours cru lire dans ses yeux clairs une libido débordante qui ne demandait qu’à être libérée…
Elle n’avait pas tant changé, excepté pour ses formes. Elle avait gagné de la poitrine et ses hanches s’étaient élargies. Ses fesses avaient l’air toujours aussi fermes, moulées dans la robe de soirée qu’elle portait.
Alors qu’à l’époque elle s’était contentée la plupart du temps de m’ignorer d’un air hautain, elle commençait maintenant à se moquer de moi ouvertement sur de vieilles histoires du passé, puis à railler sur le fait que nous ne venions pas du même monde.
Elle finit par s’en aller plus loin.
- Elle est toujours comme ça ? Demandai-je aussitôt à mon ami Armand.
- Elle est froide comme la glace. Elle se comporte comme ça avec tous les hommes qui tentent de l’approcher. Mais toi, elle doit t’en vouloir personnellement…
Je m’énervai un peu. J’avais moi-même peu de souvenirs, mais je me rappelais maintenant que cette fille avait souvent fini par m’énerver de la sorte. A l’époque, j’avais eu tendance à reporter cette colère sur moi-même.
Oubliant le passé, je retrouvai ma bonne humeur et allais visiter un peu l’intérieur de la maison. Il y avait d’innombrables couloirs et des portes partout, je me demandai comment mon ami faisait pour ne pas se perdre chez lui. A un moment je m’agenouillai pour refaire mon lacet et je sentis quelqu’un s’approcher de moi.
C’était Isabelle. Elle jeta sa veste sur ma tête. Je me relevai.
- Oh pardon je croyais que c’était un porte manteau ! Me dit-elle avec un sourire ironique.
Mais elle croyait quoi ? Que je me soumettais toujours à elle, attendant qu’elle daigne me faire l’honneur de s’intéresser à moi un jour ?
Cette fois j’étais hors de moi. J’avais un regard de tueur. J’allais dire quelque chose, mais elle m’envoya une gifle.
Elle me regardait d’un air de défi. C’était trop. Toute ma rage contenue depuis des années contre elle se réveillait, surgissait en moi comme un diable sort de sa boite.
Je la poussai violemment contre le mur, et la bloquant contre, derrière elle, je lui envoyai une fessée sonore en lui mordant le cou. Elle remonta la jambe comme pour me laisser meilleur accès à sa croupe, puis soudain se débattit. Elle me poussa à son tour contre la porte derrière moi qui s’ouvrit à la volée, je tombais sur le dos sur la moquette d’une pièce sombre. Elle semblait être une chambre d’ami. Je n’eus pas le temps de me relever que Maria me sauta dessus, claquant la porte derrière elle. Elle m’arracha ma chemise et me griffa le torse, tout en mordant mes lèvres. Elle était accroupie sur moi. Je la fis tomber d’une gifle et après lui avoir arraché le haut de sa robe fragile, je l’immobilisai à terre en m’appuyant sur son dos, et en lui tirant les cheveux. Elle tenta un instant de se débattre, puis finit par se relâcher. Elle remonta ses fesses d’un air de soumission et me dit d’une voix ronronnante :
- Vas-y, qu’est-ce que tu attends ?
Méfiant, je préférai lui attacher les mains derrière le dos avec ma ceinture. Ceci fait, je lui arrachai sa robe au niveau du cul et lui baissa la culotte qu’elle portait dessous. Je jubilai, voyant ces fesses dont j’avais toujours rêvé, ainsi, à ma merci. Je me mis à lui administrer des fessées. Elle rugissait :
- Vas-y, frappe-moi ! Tu sais que je le mérite !
Elle avait tout à fait raison. Je lui appuyai la tête dans l’armoire, au milieu des couvertures de rechange, et la flagellai encore plus violemment. J’entendais ses cris étouffés et cela m’excita. Je voulus la sodomiser. Avec violence je tentai de lui pénétrer l’anus. Le chemin semblait ne jamais avoir été pratiqué. Je fus pris d’un doute.
- Vas-y, défonce-moi ! Pouvais-je entendre de l’intérieur du placard.
Et je repris donc mon intrusion violente dans le cul de cette chienne. Lui ayant finalement dilaté suffisamment l’anus, je pus y fourrer mon organe hypertrophié. L’appuyant toujours pour la soumettre, je la détruisis de l’intérieur par des allers et retours rythmés.
Je la sortis du placard pour mieux l’entendre crier, et elle s’en donnait à cœur joie. Il semblait ne pas y avoir de frontière entre douleur et plaisir chez cette fille. Ses mains toujours attachées se crispaient à chacun de mes passages. Je finis par sortir, je voulais la maîtriser d’une autre manière. La poussant sur les genoux contre le barreau du lit, je lui pris la tête et l’obligeai à prendre ma queue dans sa bouche.
Puis je bougeais violemment son visage à deux mains, d’avant en arrière, comme si j’avais été en train de la baiser, tapant contre le fond de sa gorge à chaque fois. Ses lèvres, légèrement pulpeuses, sa bouche chaude et humide, ses gémissements plaintifs, c’était trop. Je commençais à lui éjaculer dans la bouche. Je sortis pour lui asperger le visage puis la poitrine, tout en frottant ma queue contre ses seins durcis. Sans raison, peut-être parce que j’étais encore furieux d’avoir joui si vite, je lui envoyai une dernière claque. Je la détachai croyant l’avoir vaincue. Erreur !
Elle attrapa ma ceinture, et me frappa le visage. Elle me poussa sur le lit et, profitant de ma tranquillité post orgasmique, m’attacha les mains aux barreaux du lit avant que j’ai eu le temps de me débattre. Elle me maintenait le corps fermement sur le lit de tout le poids de son corps. Ceci fait, elle approcha sa chatte de ma bouche, m’attrapa la tête et me tira vers elle, m’obligeant à la lécher de toute mon âme. Après lui avoir léché et mordillé le clitoris je lui enfonçais ma langue au plus profond de sa chatte. Elle ne me résisterait pas. Je la ferais jouir comme jamais, j’en avais la certitude.
Elle me maintenait fermement contre elle, m’étouffant presque de ses cuisses. Elle se mit à agiter ma tête au gré de son plaisir, me frappant violemment de son pubis. Du peu que j’entendais avec ses cuisses contre mes oreilles, elle criait très fort.
Elle finit par jouir fortement, me frappant à me faire perdre connaissance. Elle s’enleva mais me laissa attaché et nu.
- Si tu avais été plus réceptif, on aurait pu faire ça bien avant ! Me susurra-t-elle à l’oreille.
Elle sortit nue et je crus la voir mettre son manteau et s’en aller. Reprenant mes esprits, je réfléchis à son sujet. Evidemment, elle s’ennuyait dans son milieu. Aucun homme n’était en général capable de lui rendre sa violence, elle leur faisait peur… Cette petite garce m’en avait voulu tout ce temps, de ne pas avoir eu le cran de la baiser comme elle le méritait.
Quant à moi, je ne m’étais jamais senti aussi repu sexuellement, mais j’avais mal partout. J’espérais que quelqu’un viendrait me détacher avant le mois de janvier…
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Un stagiaire bien lubrique !
Ce matin, comme tous les lundis, je reçois les stagiaires de l’entreprise pour laquelle je travaille.
Amusée, j’entends mon assistante dire à celui du jour :
« Fais gaffe avec Madame de Rawensky, elle n’est pas tendre avec les stagiaires. Ca chauffe souvent pour eux ! »
Elle avait oublié d’éteindre l’interphone…
La porte s’ouvrit, et je vis entrer un jeune homme, très joli garçon, mais visiblement plus âgés que les autres. Je jetais rapidement un œil sur son dossier, et constatais en effet qu’il avait vingt-neuf ans. Il était en reconversion professionnelle.
Lorsqu’il s’avançait vers mon bureau, je vis très bien son œil s’allumer. Il était clair je lui plaisais. Ca tombait bien. Ile me fallait rester pro, d’autant que je tiens à ma réputation de femme rigide, quasiment mal baisée que je me suis astreinte à donner de moi.
Il posa son rapport sur mon bureau :
« Bonjour Madame, voici mon rapport sur la situation commerciale de la région.
- Très bien, mais vous allez m’en citer les grandes lignes.
- Bien, mais je ne suis pas très sur…
- Si vous avez travaillé dessus, vous devez savoir, » le coupai-je assez sèchement.
Intimidé, il rentra la tête dans les épaules et commença son rapport oral.
Cela me permit de le détailler tout à loisir. Métis, pas très grand, mais bien carré, le crâne rasé, et des bras comme j’aime, bien dessinés, qui sortaient de façon sexy de son polo. Il avait surtout d’incroyables yeux bleus, qui contrastaient avec sa peau brune. Les métissages que l’on voit ici nous offrent parfois de fabuleux mélanges, avec des personnes à la peau plus ou moins noire, mais avec des yeux verts ou bleues lagon. Je ne m’en lasse jamais…
Je le laissais débiter des poncifs. Pas très original comme travail, pour un homme de cet âge ! Je m’attendais à mieux, mais c’était quand même correct. Pourtant, ma préoccupation était ailleurs. Je n’avais pas fait l’amour depuis le lundi dernier, et là, j’en avais une furieuse envie. Il me plaisait bien. Plus que bien. Je réfléchissais à la façon de procéder…
Quand il eut fini, je laissai un temps de silence, avant de lui lancer, la mine boudeuse :
« Pas terrible. Vous n’avez pas creusé plus loin ? Je m’attendais à mieux. Comment puis-je valider votre stage dans ces conditions ?
- Heu, je ne sais pas... Je peux le refaire ?
- Pas le temps, vous finissez mercredi. »
Moi qui suis plutôt bienveillante dans ces cas-là, je prenais un malin plaisir à être cassante. Et plus je l’étais, plus je sentais une humidité révélatrice envahir mon string.
Je repris la parole, d’un ton toujours aussi autoritaire :
« J’ai mon idée. Mais tu dois n’en parler à personne, ou tu sais que je peux te casser professionnellement à vie ici ?
- Oui Madame, je sais ça.
- Bien. Ton travail est passable. Mais je veux vérifier tes capacités.
- Je fais tout ce que vous voulez, Madame, souffla-t-il en baissant les yeux.
- A la bonne heure, c’est la réponse que j’attendais. »
Je me tournais vers l’interphone : « Sandrine, qu’on ne me dérange plus pendant une heure. Ce jeune homme a encore beaucoup à apprendre ! »
Et je pris soin de débrancher l’appareil pour être sure qu’elle n’écoute pas à mon insu.
Kenny, le stagiaire, était toujours debout, planté devant mon bureau. Je fis pivoter mon fauteuil, et posai un pied sur le plateau. Une légère odeur d’excitation monta à mes narines dès que j’ouvris ainsi grands mes cuisses. Là, j’étais carrément excitée ;
Devant le regard interloqué du jeune homme, je lui ordonnai :
« Viens ici, de ce coté. »
Tel un automate, il obéit, une fois de plus.
« A genoux !
- Mais Madame…
- Tu m’as bien dit que tu ferais tout ce que je veux ?
- Oui Madame, mais là, que voulez-vous de moi ? »
J’écartai de l’index l’échancrure de mon string. Il soupira, perdant d’un coup sa timidité.
« Quelle belle chatte ! Je n’avais jamais vu en vrai la fente d’une blanche. Putain ! Oh pardon !
- Pas grave. Elle te plait vraiment ? souriais-je.
Je savais la partie gagnée. Et en plus, il allait m’obéir…
« Approche-toi ! Défais ta ceinture, que je vois ta bite. »
Toujours à genoux, il défit son jean, et pour mon plus grand plaisir, je vis sa belle queue sombre jaillir hors de la ceinture. Le filou ne portait rien sous son jean… Je constatais que son organe était au diapason de son corps : relativement court et épais. J’adooooooooore !
Je me soulevais pour ôter mon string, qui me semblait de plus en plus inutile. Ainsi libéré, mon abricot pu couler comme il voulait…
A deux mains, j’écartais mes lèvres bien gonflées de désir, et j’intimai à Kenny :
« Mange. Mange-moi, fais-moi jouir. »
Pour toute réponse, il se colla sa bouche, telle une ventouse, sur ma fleur avide. Avec application, comme un bon élève, il entreprit de lécher chaque partie de mon intimité baveuse. Il y mettait du sien, il passait sa langue dure sur mes lèvres, les écartait encore, enfonçait sa langue dans ma chatte que j’ouvrais au maximum…
Je voulais en profiter, ne pas jouir tout de suite. Mais le voyou savait y faire ! Pour lui donner un meilleur accès à ma grotte, je posais mon autre jambe sur l’accoudoir. Dans le même temps, il saisit le marqueur à promo (un gros marqueur triple taille par rapport aux habituels du commerce…) qui était sur le bureau.
Surprise, je le laissais faire. Il sortit de sa poche arrière un préservatif. Un bon point pour lui, il était prévoyant, ce jeune homme !
Il l’enfila prestement sur le feutre, et le lubrifia avec le petit gel de la pochette. Excitée à mort, je me branlai frénétiquement le clito. Sa bite en frémissait.
« Ta chatte est trop bonne ! Tu me fais bander à mort ! »
Il prenait de l’assurance, le gredin !
« Tais-toi, ici, c’est moi qui parle ! »
Il obtempéra, et pour toute réponse, écarta d’une main mes lèvres trempées. Doucement, il introduisit petit à petit le feutre. Malgré la capote, je sentais le froid du métal. C’était divin…
Une fois le marqueur entré en entier, il le fit aller et venir de plus en plus vite, tout en dévorant mon clito. Je ne résistais pas très longtemps à un tel traitement ! Je jouis assez fort, en étouffant mes cris dans le dossier de mon fauteuil.
Le voyou n’arrêta pas pour autant, accentuant même sa succion sur mon petit bouton électrisé. Je jouis une nouvelle fois, en hoquetant mon plaisir. J’avais une telle envie de crier !!! Lui, il faudra que je le revoie « en privé » !
Je pensais en rester là, quand il sortit de mon vagin le feutre, et insinua son pouce dans ma rosette trempée de ma mouille… Je vis le coup venir. Je tentais de protester, mais il enfouit trois doigts dans ma chatte qui n’en n’avait pas encore eu assez. Et de l’autre main, il débuta la lente insertion du feutre dans mon conduit anal. Je me soulevais pour lui donner un meilleur accès.
Enfin, j’eus le marqueur dans mon fondement, bien inséré, avec douceur et doigté… Il continuait de fourrage dans ma chatte. Ainsi empalée de cette façon insolite, il se recula un peu pour contempler le tableau.
Je pus mater à loisir sa bite, qui perlait d’excitation… Ce serait pour un peu plus tard, j’avais déjà une petite idée assez perverse en tête !
Il s’approcha à nouveau de moi, la langue sortie. Une nouvelle fois, il me branla, me fourra, me baisa avec le feutre, avec sa bouche, avec sa main… J’étais remplie, comme si je n’étais plus qu’un sexe, sans rien autour…
Pour la troisième fois, je jouis par saccades, mourant d’envie de faire savoir à la terre entière combien il me faisait du bien !
Lentement, il sortit sa main et le feutre de mes orifices. Ma tête tournait, mais je devais reprendre le dessus. Mon image de femme rigide était sérieusement écornée.
Il s’était assis sur la moquette, la queue en l’air, droite et insolente.
Je lui ordonnai :
« Debout, viens près de moi. »
En avançant de trois pas, il fit descendre prestement son jean à terre. Ses cuisses étaient aussi belles que ses bras. Musclées, fermes, luisantes de sueur… Mhum, j’en salivais d’avance. Son mandrin épais pointait vers le plafond. Son gland était massif, bien décalotté.
Je voyais ses couilles pleines, lourdes. Je les attrapais en premier, pour sentir le poids de ces boules noires. Elles étaient si pleines que la peau était lisse, au lieu d’être fripée, comme d’habitude. Ca promettait…
De l’autre main, je saisis la tige épaisse, pas très longue, guère plus de quinze centimètres. Mais j’en faisais à peine le tour avec mes doigts.
Kenny s’approcha davantage, et je gobais le gland violet d’un seul coup. Il palpita dans ma bouche, tel un corps autonome et bien vivant. J’aspirais l’organe avec plaisir, goutant cette chair ferme et chaude. Il voulut appuyer sur ma tête pour m’imprimer un rythme. J’arrêtai son geste d’un mouvement sec, et le foudroyait du regard.
JE DETESTE QU’ON ME FASSE CA !!!
Pourtant, je repris ma fellation, avec un art consommé… D’ailleurs, il ne murmurait plus que « putain, putain, putain, c’est trop bon, t’es trop bonne... Personne m’a pompé comme toi. T’es une vraie femme… »
C’est exactement ce que je voulais. Je sais que les femmes d’ici sucent mal. Je voulais qu’il adore, lui laisser un souvenir impérissable, pour qu’il veuille recommencer, et surtout, se taise. Ce sera la condition sinequanone.
Imperturbable, je l’avalais, le pompais, lui massais ses couilles charnues. Je prenais un réel plaisir à saliver sur ce membre épais. Quelques soubresauts de son joli pieu m’indiquaient qu’il n’allait pas tarder à jouir. Sans qu’il s’en aperçoive, je pris sur mon bureau la tasse à café vide que Sandrine avait oubliée. Et là, je l’en remerciai intérieurement !
J’accentuais mes succions, les va et vient dans ma gorge. Il tapait au fond, et juste quand il jouit, je fermais les lèvres sur sa semence. Je me retenais d’avaler. Diantre, il avait une sacrée quantité à purger !
Quand je sentis le jet mollir, j’ouvris la bouche pour le libérer, et cracher son sperme dans la tasse. Tout d’abord, il ne me vit pas faire, encore étourdi de sa propre jouissance. Puis il dut entendre le bruit de salive que je faisais. Il eut l’air franchement étonné quand il constata que je laissais couler son foutre de ma bouche dans la tasse.
Là, je devenais vriament vicieuse… Ca me changeait un peu !
Pendant qu’il se rajustait, je pris le thermos de café, et versai le liquide encore chaud sur la crème de Kenny…
Là, il était franchement interloqué.
« Combien de sucre ? lui demandai-je en souriant.
- Euh, je ne sais pas… Il était terriblement gêné. Disons, deux… »
Sans hésiter, je mis deux sucres dans la tassé, et la lui tendis :
« Bois, ca va te requinquer !
- Mais Madame, dedans...
- Oui, je sais, dedans il ya ta crème. Un café à la crème, c’est bon le matin, non ?
- Ben, j’sais pas, j’veux pas… j’peux pas… »
Il me regardait totalement hébété. Moi, je riais comme une folle intérieurement !
« Tu obéis, sinon, je crie et je hurlerai que tu as voulu me violer ! »
En tremblant, et sans un mot, il porta la tasse à ses jolies lèvres pleines. Il lapa le café « enrichi » à petits coups de langue timides.
Enfin, il avala la dernière moitié de la tasse d’une seule gorgée, en grimaçant. Je lui souris d’un air satisfait :
« C’est bien, Kenny, tu es un bon stagiaire. Je vais valider ton stage. Mais si tu dis quoi que ce soit, je te casse à vie, tu te rappelles ?
- Oui Madame, je ne dirais rien à personne.
- Très bien, je n’en n’attends pas moins de toi. Tu peux partir. »
Il se tourna et alla vers la porte.
« Kenny, je garde ton numéro de portable. Je t’appelle bientôt. Et si tu as envie d’un autre café, dis à Sandrine que tu as besoin d’une recommandation pour un poste…
- Bien madame, je le ferai, soyez-en sure ! »
Pour la première fois depuis qu’il m’avait vue avec la tasse, il me fit un sourire…
Il sortit sans se retourner.
Maintenait, je prie le ciel que je ne me sois pas trompée, et qu’il garde sa langue experte pour lui ! Pour une fois, je veux faire une exception à ma règle, et revoir cet inconnu. J’ai trop envie de hurler pour de bon sous ses caresses si originales !
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Virginie la gourmande
Virginie est un personnage rare. Elle est à la fois distinguée, presque timide, belle sans ostentation, on lui donnerait le bon dieu sans confession mais derrière cette Virginie-là, existe une femme au tempérament de feu, insatiable sexuellement, elle aime tout ce qui fait plaisir. Jamais cependant elle ne se montrera vulgaire.
Virginie est infirmière. Elle travaille de nuit dans le service de chirurgie orthopédique d'un établissement hospitalier. Quand je l'ai connue elle avait 25 ans. C'est un joli brin de fille de 160cm, aux cheveux longs et bruns. Elle est très sensuellement enveloppée et admirablement bien faite. Elle a une allure folle.
Pour vous la mieux décrire, imaginez une de ces splendides tahitiennes que l'on voit dans les pubs vantant le tourisme en Polynésie, ajoutez-y qu'elle donnait l'impression de danser le Tamouré en marchant. Pourtant, du plus loin qu'elle ait pu remonter, ces racines sont implantées dans un petit village auvergnat. Elle est douce, charmante et arbore un sourire presque timide.
Fait étrange, sous cet aspect idylliquement calme couve un feu ardent que nul jamais n'a pu éteindre. Cette jeune femme est un contraste vivant. Discrète, pas du tout exubérante, polie et douce, tendre et très câline, toujours à l'affut d'un service à rendre. Mais il suffisait de la lâcher dans un lieu ou une soirée à but érotique pour qu'elle révèle son autre visage.
Elle est la version « sexe » de Dr Jekkil et Mr Hyde. Elle nous apparaissait alors une jeune femme d'une impudeur totale mais naturelle sans aucun atome de vulgarité, demandant de l'amour comme on demande de l'oxygène. Elle aime la baise, sans gêne, sans honte et consommait du sexe avec un profond plaisir. Dans ces moments-là elle devenait Le Plaisir. C'est ainsi qu'un après-midi chez elle, deux copains et moi lui avons fait l'amour, longtemps, puis un peu fatigués, nous nous vautrons sur le canapé faisant face au lit de Virginie. Elle par contre, reste allongée, nue et ravissante, alanguie et heureuse. Elle nous regarde avec sur le visage un sourire de reconnaissance. Après cinq minutes, elle ouvre sa table de chevet et en sort un godemiché et se pénètre avec toute la douceur dont elle est capable.
Pas une seconde mes amis et moi n'avons pris ce geste comme un reproche devant une sorte d'incapacité dont nous aurions pu faire preuve. Non, elle était comme ça, notre Virginie, pas facile à rassasier. Dans le sauna libertin de notre ville, elle était connue. Quand elle y venait les soirs où elle n'était pas de service, heureux étaient ceux et celles qui étaient là, car tous chacun leur tour étaient consommés, et pour certains, plus d'une fois, par notre amie Virginie.
Il ne vint jamais à l'idée de quiconque de parler d'elle en termes vulgaires ou irrévérencieux, car Virginie était toute de douceur et de grâce. Jamais de vulgarité dans ses propos ou ses gestes. Non, elle aimait infiniment l'amour et le sexe et quand elle s'y donnait c'était à fond. La première fois que je lui ai proposé de venir avec moi dans un sauna, elle accepta mon offre avec plaisir. Je la savais gourmande, mais j'ignorais encore jusqu'où elle était capable d'aller.
Une fois entrés, elle se sentit parfaitement à l'aise, comme si elle était dans son milieu naturel. Ce qui était d'ailleurs le cas. Dans ce genre d'établissement, on distribue à l'entrée, une serviette que les hommes mettent autour de leur taille et une sortie de bains pour les dames. J'ai toujours trouvé curieux cette forme de fausse pudeur dans un lieu destiné au sexe sous toutes ses formes. Virginie refusa tout net le peignoir de bain et demanda à avoir comme moi une serviette avec laquelle elle ne ceignit jamais sa taille.
Elle préféra déambuler entièrement nue, la serviette négligemment posée sur son épaule. Nous visitions tous les coins et recoins de ce sauna, à la recherche de ceux ou celles avec qui nous pourrions nous amuser. La nudité allait à ravir à Virginie, elle se sentait à l'aise ainsi, marchant sans rouler exagérément des hanches.
Non, il lui suffisait d'être elle-même pour attirer et attiser les désirs. Nous passons devant le sauna finlandais. Il est assez vaste, on peut y voir six hommes, nus et silencieux, semblant attendre Éros sait quoi. Virginie me saisit le bras et me demande presque timidement :
« Bruno, tu me permets d'entrer et de rejoindre ces hommes, j'ai envie de m'amuser un peu ?
- Je t'en prie ma chérie, fais ce qu'il te plait, je n'ai rien à t'interdire. Et si tu permets je n'entre pas avec toi, je veux juste me régaler de te voir faire ! »
Elle me tend sa serviette, et entre dans le local un grand sourire gourmand aux lèvres. Il y a deux bancs de bois qui sont contre le mur le plus long et l'un des deux autres murs. Les hommes sont tous installés sur le banc supérieur, laissant ainsi celui du bas entièrement libre.
Virginie, une fois entrée, marque un temps d'arrêt, regarde chacun des six hommes dans les yeux, puis s'approche d'eux, et leur fait à chacun une petite bise gentille mais appuyée sur la bouche leur laissant entendre qu'elle n'est pas sauvage pour un sou, puis s'allonge sur le banc du bas. Elle est allongée sur le dos. Les hommes sont un peu surpris comme le sont souvent les hommes lorsqu'une femme fait le premier pas.
Virginie trouve trop longues les secondes qui suivent son arrivée, et décide de brusquer les choses et de réveiller ces grands dadais. L'un de ses pieds va caresser l'entrejambe d'un des hommes, tandis que sa main saisit délicatement et en même temps fermement la queue la plus proche. Et avec son éternel sourire presque virginal et ingénu, elle prodigue des câlins appuyés à ce qui chez l'Homme l'intéresse le plus : Sa Bite.
Cela a provoqué un déclic chez les autres, et Virginie se trouva aussitôt encerclée par ces mâles en rut. La belle était à son affaire, on pouvait l'entendre ronronner de plaisir. Ce ronronnement est sonore. Il surprend d'abord, puis on se rend vite compte qu'elle indique ainsi son plaisir. Je ne sais si cela fait le même effet sur les autres, mais sur moi, c'est particulièrement aphrodisiaque.
Je n'arrive pas à faire autrement qu'être toujours étonné de voir Virginie se donner aux jeux du sexe avec intensité, mais sans aucune once de vulgarité. Elle ne prononce pas un mot. Seuls son ronron et ses gémissements parlent pour elle. De l'œil et de la main, ferme et douce, elle sait guider, laisser faire et en même temps discipliner les hommes qui l'entourent de manière qu'ils ne se comportent jamais comme des charognards.
C'est un spectacle de toute beauté qu'elle nous offre.
Quand enfin elle a achevé ses proies, elle s'échappe du sauna et vient vers moi, sa serviette à la main. Elle est couverte de sueur. Des mèches de ses longs cheveux noirs collent sur ses joues. Ses grands yeux noirs brillent d'un éclat extraordinaire. Elle se colle à moi, me prend la bouche puis me dit :
« Bruno, mon chéri, viens j'ai besoin d'une bonne douche ! »
Une fois rendus dans la grande pièce qui sert de douche commune, je l'aide plus par désir de la caresser que par galanterie. Virginie se colle contre moi en cambrant ses reins et me chuchote à l'oreille :
« Encule-moi, là! Tout de suite ! J'en ai envie ! »
Comme elle ne doute pas un instant que je sois d'accord, elle appuie ses mains sur le mur et me tend son délicieux cul que je m'empresse de pénétrer.
Aussitôt, elle donne la cadence, faisant aller et venir son bassin sur ma queue tout en ondulant des hanches. A la voir faire, on a l'impression que cela fait bien longtemps qu'elle n'a pas eu de rapports. Et pourtant........
Il faut savoir que Virginie adore la sodomie, qu'elle pratique aussi souvent que possible. Étrangement malgré cela, son petit trou est serré, très serré comme celui d'une pucelle. Elle éprouve une douleur à chaque pénétration mais même celle-ci lui plait car elle sait qu'elle est annonciatrice de jouissances à venir.
Alors, là dans la salle des douches, appuyée au mur elle se laisse enculer et me montre son plaisir par ce ronronnement qui là prend de l'ampleur, tant elle est submergée par le plaisir. Un couple et un homme entrent dans la salle, mais au lieu de se laver, ils nous entourent ,Virginie est ravie d'avoir des spectateurs.
Elle leur fait un grand sourire. L'un des deux hommes a la chance d'être à portée de mains de la belle qui tend une main pour s'accrocher à sa bite et l'attirer à elle.
Docile et heureux, celui-ci se laisse faire. Quand elle l'estime à point, de ses deux mains elle prend sa proie par la taille, et gobe sa queue qui aussitôt prend des proportions très avantageuses. Le couple resté là en spectateur semble apprécier la scène.
La femme se place légèrement derrière moi et passe une main entre mes jambes, elle me caresse les couilles puis mon trou de balle alternativement. J'adore ce qu'elle me fait. L'homme quant à lui, caresse les seins de Virginie, ce qui a pour effet d'accroitre son ronronnement si stimulant…
Une femme qui me caresse l'anus, une autre qui se déchaine sur ma queue, il n'en faut pas plus pour me conduire au point de non retour, surtout que j'étais déjà chauffé à blanc par la séance de Virginie dans le sauna finlandais. Je la préviens que je ne vais pas tarder à jouir. Alors elle se déhanche encore plus et accélère ses va et vient et nous jouissons quasiment ensemble.
Je sors, presque à regret de ce délicieux cul. Virginie, quant à elle, prend enfin la douche dont elle avait tant besoin. Mais elle le fait sans quitter des yeux les trois partenaires d'un moment. Elle fait signe à la femme de s'approcher d'elle, la prend par la taille, et l'embrasse à pleine bouche, sans même se demander si cela va lui plaire.
Surprise, la femme se raidit un très bref instant, puis enlace Virginie, et les voilà toutes les deux qui s'embrassent, s'enlacent, se caressent. Un instant, elles se parlent à l'oreille, et semblant être tombées d’accord, se dirigent vers les deux autres hommes que Virginie entraine, en tenant leur queue dans chacune de ses mains, dans une pièce éclairée comme en plein jour et où un grand matelas occupe toute la surface.
Là les deux femmes s'allongent et se gouinent de la belle manière. Bien sûr, leur idée première est des nous échauffer, mais pas seulement, car visiblement, elles veulent se faire jouir et elles y parviennent assez vite.
Les deux hommes et moi, excités par ce show improvisé nous nous jetons sur les deux belles comme des rapaces sur leurs proies. Les proies en question, belles d'autant plus que le plaisir se lit sur leurs visages, nous accueillent bras et jambes ouvertes.
Virginie, égale à elle-même, semble avoir grand hâte de se faire saillir comme après un long jeûne, et pourtant elle vient d'avoir de nombreux orgasmes. Nul ne saura jamais décrire la manière qu'elle a d'attirer ses partenaires ni de leur faire faire ce qu'elle veut. Est-elle capable de nous guider par la pensée ? A moins que peut-être tout soit devenu soudain naturellement naturel. C'est le « mystère Virginie ». Elle laisse dans les corps des souvenirs indélébiles et dans les cœurs, un sentiment voisin de l'amour.
Il faudrait un roman pour parler de cette très jolie jeune femme. Je voulais ici, avec ces quelques lignes lui rendre un hommage discret et lui dire que où qu'elle soit maintenant, je garde d'elle un souvenir impérissable.
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j aimerai beaucoup t enculer en plus tu as l air d aime ça petite salope