Les Mémoires très Libertines de Sophie
Une blonde inconnue
A plat ventre sur mon lit, de la bave au coin de la bouche, je me réveille encore sonné par une nuit très mouvementée, sans me souvenir réellement de ce qu’il s’est passé.
En ouvrant un œil glauque, je vois sur le tapis une bouteille de vodka couchée, une paire de baskets qui ne sont pas les miennes, car elles sont petites et rose.
Puis je perçois un tas d’habits qui je crois, contient, un survêtement à l’envers bleu ciel extensible, puis dépassant, des courroies d’un soutien-gorge blanc en dentelle.
« Merde mais qu’est qui s’est passé ici ? » me dis-je m’accoudant et voyant un cendrier contenant plusieurs mégots écrasés ou pas finis. Pourtant, je ne fume pas.
Enfin, je vois mon paquet de capotes taille xxl ouvert, mais toujours rempli…
Soudainement, des flashs érotiques m’apparaissent :
« T’aime ça grosse salope, t’aime ça la grosse bite !!! » dis-je donnant de fortes fessées sur une fille qui me tourne le dos, reins cambrés avec un cul exceptionnel et qui rebondit sur moi.
- Ouiii je l’aime !! Ouiiiiiiiiiiiiiiii j’adore çaaaaa !!! » crie-t-elle secouant sa longue chevelure blonde et s’enfonçant avec rage sur ma grande bite, que je n’ai jamais eue aussi dure.
Puis je m’adosse contre le lit, frottant mes yeux, et je vois une superbe culotte fine en dentelle blanche de marque Aubade qui doit être assortie au soutien-gorge. Malgré le mal de crâne qui résonne, je la saisis me donnant involontairement des frissons dans l’entrejambe. Je distingue qu’elle est déchirée dans l’endroit le plus fin, l’entrecuisse et des flashs reviennent encore :
« Whao ! T’as encore mis une petite culotte qui me rend dingue !! » criai-je, hargneux, derrière cette blonde qui agite son cul en ricanant avec son survêtement baissé aux genoux. Je déchire cette dentelle qui me fait saliver alors que je suis toujours habillé et la bouteille de vodka est à moitié vide.
Toujours adossé au lit, avec maintenant une pleine érection qui suinte de sécrétions odorantes, je vois maintenant contre le mur, une valise ouverte, mais inconnue.
Soudain ma porte s’ouvre.
« Dépêche-toi ! Maman va arriver dans peu de temps ! » dit cette blonde totalement nue à la chatte blonde assez dense, qui se frictionne les cheveux dans une petite serviette. Elle me montre enfin son visage, qui porte un grand sourire, et qui s’avère être celui de ma sœur Estelle.
« Quoi ! On dirait que tu vois une morte ! Allez dépêche-toi maintenant ! » dit-elle jetant bêtement sa serviette sur moi.
Et elle se retourne pour entrer dans la salle de bain en secouant son beau cul cambré et rond. Est-ce moi qui l’ai rougi ainsi, des fessées que j’ai vues dans mon esprit pervers ?
« Non c’est pas possible !! » murmurai-je en me levant.
J’entourai ma taille de mon drap froissé, pour dissimuler mon érection matinale, et j’entre dans le salon. Stupéfait, je vois Estelle tenir son enfant de six mois dans ses bras. Elle l’allaite goulûment avec son grand sein qu’elle palpe elle-même.
« Tu veux me la cacher maintenant !! » dit-elle fixant son entrejambe caché du drap fortement bombé.
- Mais Barbara ! Que s’est-il passé cette nuit ? » répondis-je en revoyant la scène où je l’embrasse.
- T’as saisis ta chance ! Tu m’as sautée… Et comme il faut !! Merci !! » dit-elle, semblant très heureuse.
Soudain la sonnette de la porte d’entrée retentit, et chacun va vite s’habiller nerveusement avant d’ouvrir la porte à notre mère.
« Merci de bien vouloir héberger ta sœur aînée pour quelques temps ! » dit notre mère alors qu’Estelle a pris l’air le plus triste que j’ai jamais vu sur son visage.
Puis tout me revient.
« Aucun problème, ma chère sœur et mon neveu peuvent rester le temps qu’ils veulent ! » soufflai-je.
Je me souvenais soudain qu’elle venait de se faire plaquer par son mec, et qu’elle avait emménagé hier soir chez moi. Elle était arrivée dans sa main, une bouteille de vodka qu’elle me tendait en souriant…
J’hésitais entre honte et plaisir. Ma sœur avait été un super bon coup, mais elle était ma sœur !... Allons, au diable les convenances, je ne l’avais pas forcée ! C’était même plutôt l’inverse. Je voyais s’ouvrir devant moi une longue période de plaisirs ardents et intenses, d’autant plus qu’ils sont interdits…
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Fantasme zoo
J'imagine... cela... parfois... au milieu d'autre pensées pas forcément sur le même sujet... Ma partenaire est (serait donc) dans l'attente de mes envies... de toutes mes envies...
Et :
Je lui donne rendez-vous, tel jour telle heure. Elle est ponctuelle, toujours bien femelle.
Elle est tout sourire, habillée d’une robe fleurie légère mi-longue avec un généreux décolleté, d’un boléro de cuir prune et de chaussures à talon ouverte mais enserrant ses chevilles. Je ne dis rien, j'ouvre mon coffre et lui fais signe d'entrer là.
Petit temps d'arrêt, pose un genou au sol et s'incline. Je lui pose son collier.
Elle monte et se love tremblante dans ce volume restreint.
Je lui tends un foulard :
« Mets cela devant les yeux. »
Je roule avec douceur, transportant une beauté de perversité qui sera bousculée plus tard...
Après un long moment, je suis arrivé à destination. Je sors de la voiture en lui annoncant que je reviens. Le propriétaire du lieu m'attend avec un sourire jusqu'aux oreilles.
Il me dit :
« Nous vous attendions. Le couple dont je vous ai parle est là aussi et tous mes mâles sont en pleine forme.
- Je vous remercie Monsieur, ma femelle est en attente dans le coffre. Elle ne sait pas de quoi, mais elle est en attente. »
Il rigole tout en se retournant, je le suis. Nous entrons dans cette magnifique grange presque vide avec une grande litière de paille au centre formant un rond. Deux canapés et un fauteuil sont installés autour en demi-cercle.
En face, au bord de la grande litière, une cage en acier brut est posée à même le sol
De chaque coté, deux jeunes hommes se tiennent aux garde à vous avec des tabliers de cuir. Un couple est présent, me regardant.
Je les salue. Je m’approche, la femme se courbe. Elle est séduisante la quarantaine brune, cheveux au carré, habillée classique, chemisier brun, jupe droite brun foncé et bottes cuir moyen.
L'homme très corpulent est habillé en chasseur...
Il dit doucement :
« Dis lui bonjour, Lise. »
La femme prend délicatement ma main droite et l’amène à sa bouche et l’embrasse langoureusement. Agréable sensation...
Les invités s’assoient, le couple sur un des canapés et moi sur l’autre.
Ou plus exactement, la femme se place à genou au coté de son chasseur.
Notre hôte, debout au centre, nous présente les deux jeunes hommes et dresse un rapide exposé (sans utiliser les vrais mots) de notre présence ici. Tout est ok.
J'annonce que je vais chercher ma femelle de ce pas. J'entends deux voix bien épaisses me répondre :
« Avec joie. »
J'ouvre le coffre, elle attend, sage, un brin peureuse et en même temps, joyeuse...
« Allez, viens ! »
Je l’aide, la guide.
Je pousse la porte de cette grange, je remarque son grincement sinistre. Elle se raidit et ralenti brutalement son pas.
« Viens, il s’agit de notre baptême sur un versant pervers que nous voulons tous les deux. »
On entre. Silence...
Je la place au centre de la litière et lui intime :
« Reste ici debout, cambrée et bien fière d’être ma chose. »
Elle se met en position, l’ouïe à l'aguets.
Je m’assoie sur un fauteuil :
« Voici Anna, elle est racée, n’est ce pas !? »
L'assemblée masculine, silencieuse, approuve en hochant la tête tout en scrutant ma femelle. À voix haute, j’annonce :
« A vous de jouer Messieurs ! »
Elle se raidie...
Notre hôte se lève et se rapproche d’elle de très près, la frôle. Il sort des menottes et annonce :
« Mains derrière la nuque. »
Frêle, elle agit... Il lui attache les poignets à son collier. Il se rassoit en faisant signe à notre chasseur.
Celui ci se penche à l’oreille de sa femme et lui tend un objet. Elle se lève doucement, et s’approche du centre. Elle embrasse délicatement la bouche de ma femelle, puis elle se place à genoux devant elle. L'objet, une paire de ciseau, entre en action, coupant du bas vers le haut le tissu fleuri.
Une fois la paire de ciseau au chômage, le chasseur tonne :
« Tourne-toi Anna ! »
Saccadés sont ses gestes. Je la fixe et prends plaisir... La paire de ciseau fend à nouveau l’arrière de sa robe.
« Ecarte les cuisses et penche toi en avant ! »
Une fois en position, Lise enfonce son visage entre les fesses et s’aide de ses mains pour être sure d’atteindre son but.
Ma femelle rejette sa tête en arrière et fait glisser sa langue sur sa lèvre supérieure.
Nous profitons silencieux des respirations et des légers soupirs de ces femelles.
L'hôte m’ayant demandé d’être récompensé à l’avance pour son accueil, je lui fis signe d’agir. J'ai bien vu que déjà, il a du mal à se contenir d’intervenir.
Il se lève, et rapidement, écarta Lise pour lui donner un préservatif. Elle lui sortit sa verge bien tendue, plaça le latex. Il se retourne et s’enfonce fiévreux entre les fesses d’Anna.
Lise lui caressait l’entre jambe. Anna cria puis gémit doucement...
Une fois sa fièvre passée, notre hôte fait signe à l’un des jeunes hommes.
Celui-ci s’en va.
L'hôte claque la croupe d’Anna, détache ses menottes et crie :
« A quatre pattes toutes les deux, côte à côte ! »
Les voilà jumelles, une nue et déjà écartée, et l’autre encore secrète.
Aussi je me lève, prends la paire de ciseau, regarde le chasseur qui acquiesce.
Je fends le tissu de la jupe et du chemisier. Nue en dessous, j’en finis ou presque.
J'ai envie de vérifier l’état de Lise... Je lève un doigt, le bon et regarde le chasseur qui sourit. Puis, je sonde sa fente, et lève mon pouce en direction de son patron.
Le jeune arrive avec un des sujets de cette rencontre: un chien, un beau mâle, un Dogue allemand de soixante kilos. Le chasseur se lève, attrape les cheveux de sa femelle, la place dans la cage et l’enferme.
« Retourne-toi et regarde ! »
Le chien est lâché. Il se précipite vers ma femelle. Il semble joyeux et aussitôt lui lèche le visage. Anna crie, surprise, et se met à trembler...
Je m’approche d’elle, et lui pose ma main sur sa tête et lui dis :
« Bien sur tu as compris, nous voici devant la réalité. Je veux être fière de ma femelle n’est ce pas ?...»
Elle approuve de la tête. Et me souffle :
« J’ai peur, aidez-moi à être celle dont nous avons parlé ensemble..
- Je suis là tout près ma bonne femelle, je ne te lâche pas.
- Merci Monsieur », souffla-t-elle...
Je fais signe au dresseur de venir. Je caresse le dos puis la croupe d’Anna.
« Montre-moi ta nature de chienne… »
Le dresseur montre le cul offert au Dogue. Il s’approche et le renifle avec force. Des courants d’air font tressaillir Anna. Puis il lèche avec envie voir même avec frénésie.
« Braky adore ça ! » déclare notre hôte.
Tandis qu’il lèche sans cesse, je remarque que Lise se pourlèche les babines... elle semble connaitre... Ma femelle commence à gémir et à onduler... Cela perdure, et nous nous rinçons les yeux !
Braky est excité et sa verge rose rouge toute pointue est prête à besogner. Le dresseur me regarde, je fais signe qu’il peut commencer la saillie.
Il siffle et le Dogue monte ma femelle aussitôt et trouve la fente avec précision et fornique comme un lapin !
Ma femelle gémie et crie en alternance. Les soixante kilos la malmène... elle est toute branlante sous les soubresauts frénétiques du chien...
Son excitation semble lui faire perdre le contrôle de ses mouvements. Je vois bien son dard quitter la fente pour fendre l’air puis y revenir, en sortir et même s’installer dans l’anus d’Anna. Elle bondit, et aussitôt s’écroule épaules à terre en poussant un râle fort et profond. Le Dogue lui ramone la croupe et vide ses bourses. Il est très très généreux...
Le dresseur le saisit et l’éloigne...
Je m’approche d’Anna, elle est toujours sous le règne de ses sensations.
« Te voilà vraiment femelle, ma femelle. Ce chien t’a inondé ! »
Lise en face se frotte la croupe aux barreaux et bave littéralement.
Le chasseur :
« Calme-toi ! »
Anna me souffle :
« Ooooh merci mon Mâle. »
Je me redresse satisfait :
« Continuez, je vous en prie ! »
L’hôte fait signe au deuxième dresseur qui revient avec un autre Dogue, plus petit mais plus épais, plus vieux.
« Que chienne Anna le fasse jouir, il le mérite, cet ancien. »
Anna se recroqueville, mais quand le chien s’approche, elle le caresse et très vite le masturbe avec douceur. Le dresseur le fait se coucher. Anna s’occupe de son sexe et de ses testicules avec zèle.
Je lui claque la croupe :
« Laisse toujours ça bien en l’air et le plus écarté possible. »
Le sperme de Braky est partout... il sort de son anus, coule le long de ses lèvres, de ses cuisses... Le vieux chien sort son appendice, Anna le branle franchement.
« Mieux que cela », je tonne.
Elle se rapproche et hésite puis avale la pointe et l’enfonce profondément, l’aspire.
Le chien en miaule presque, tout en faisant de paresseux coups de reins. Anna se déchaine.
Lise bave de plus en plus. Le chasseur rigole en la voyant faire. Le canidé éjacule remplissant la gueule de ma femelle qui se retire et reçoit les giclées suivantes sur le visage et les cheveux.
Notre hôte applaudit. Ma femelle doit être efficace... Le chien est emmené à son tour.
Je flatte la croupe d’Anna et détache le foulard. Elle ferme les yeux.
« Regarde-toi, bonne à chien ! »
Elle tremble. Je sais que ce n’est pas de froid.
Le chasseur :
« Excusez-moi, mais me permettez vous de lâcher mon affolée ?
- Bien sur ! »
Lise se précipite à quatre pattes et se met à lécher le visage, les cheveux d’Anna. Elle est gourmande ! Puis elle se lance à l’assaut de la croupe, de la fente, des cuisses.
Elle se glisse en dessous d’Anna en 69. Anna me demande l’autorisation de la lécher, que je lui accorde. Et nous, nous observons le spectacle.
Puis je me lève vers la table en inox plus loin et prend quatre spéculums.
« Vous permettez Messieurs ? »
Étonnés, ils annoncent :
« Bien sur. »
J'attrape les cheveux d’Anna :
« Stop ! »
J'enfonce le premier spéculum dans le vagin de chienne Lise. Il est très accueillant !
Le deuxième dans l’anus, qui se laisse bien moins faire et génère un cri étouffé.
Je les ouvre doucement et les bloque. Je fais de même pour ma chienne qui en frétille ainsi équipée.
Au jet d’eau, j’entreprends de nettoyer. L'eau est froide, elles hurlent et se crispent.
« Ne bougez pas ! »
Je me rapproche, diminue la force du jet et commence à remplir Anna qui s’écoule sur Lise et reçoit le trop plein.
J'arrête le jet.
« Redresse-toi ! »
Elle achève de se vider.
« À quatre pattes ! »
Je vérifie et fignole le travail. Puis je m’attaque à Lise qui semble réticente. Le chasseur crie :
« Sage ! »
Elle obéit... je suis plus confortable pour la remplir, donc ! Ensuite je nettoie le visage d’Anna et lui frotte les cheveux. Les deux femelles deviennent bleues de froid. J'arrête.
Je prends du foin un peu plus loin et frotte ma propriété, laissant le chasseur s’occuper de son bien. Des couvertures sont disponibles, j’en place une en carré au pied de mon canapé et appelle ma femelle en tapant au centre de ce carré.
Elle s’avance à quatre pattes, frigorifiée.
« Couche-toi là ! »
Je place une autre couverture sur elle... Le chasseur ne s’occupe pas vraiment de sa femelle et déclare :
« A elle ! »
Les dresseurs reviennent avec trois chiens. Lise se place aussitôt à quatre pattes !
Et les chiens s’occupent de Lise et vice versa...
Anna me regarde.
«Tourne-toi, observe, et apprends. »
Elle assiste au spectacle. Elle regarde cette femelle expérimentée videuse de chien.
Ma chienne se serre un peu plus contre moi, glisse une main jusqu’à mon mollet et le caresse, signe qu’elle est satisfaite de ma perversité....
Signé : Paulot
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La Comtesse ma cousine, et les maçons
Astrid, Comtesse Meillac de Laulne, que vous connaissez bien maintenant, s’est définitivement dévergondée. L’expérience avec ses jardiniers, puis avec son majordome, l’a définitivement convertie au sexe sous toutes ses formes. Elle va bientôt devenir pire que moi !!!!
Son mari est parti pour quelques jours en déplacement, et c’est à elle de superviser les travaux de ravalement de sa grande et belle demeure comtale.
Vous devinez déjà ma suite des évènements, que je lui laisse vous raconter…
« Ma chère Sophie,
Si tu savais comme je suis soulagée de pouvoir enfin me confier à une personne qui ne me juge pas ! Mieux, qui me comprend ! Notre secret restera bien gardé, mais au moins, nous pouvons nous confier l’une à l’autre… Tu sais mieux que moi que si nos familles étaient ou courant de noa délires libertins, nous serions bannies sans pitié…
Je vais te conter mon histoire avec les ouvriers venus faire le ravalement de la demeure familiale.
Après avoir fait établir quelques devis, mon mari a donc choisi une entreprise de maçonnerie qui est venue refaire notre façade. Ils sont arrivés le lundi matin, avec leur matériel : ils avaient une journée complète pour installer leur échafaudage. Ils n’avaient pas besoin de moi, et je suis donc partie faire une balade toute la journée. A mon retour, ils avaient terminé et étaient partis. J’étais tout de même un peu contrariée d’avoir des étrangers chez moi alors que j’étais en vacances, mais il valait mieux tout de même être présent. Aussi, je décidai le soir même, que je resterai à la maison jusqu’à la fin des travaux. Ca ne devait de toute façon durer que cinq jours, alors ...
Le lendemain matin, mon mari étant parti de bonne heure, je décidai de traîner un peu et ne prenais mon petit déjeuner que vers neuf heures. Je n’avais pas entendu les ouvriers. Je me disais en moi-même qu’ils commençaient mal leur chantier et me demandais comment ils comptaient faire pour le terminer en si peu de temps…
Convaincue de leur absence, je descendais donc en déshabillé de soie à la cuisine afin de prendre mon café. J’étais en train de petit-déjeuner, lorsque la sonnette retentit.
Oubliant ma tenue, j’allai ouvrir. Il s’agissait d’un des maçons qui me demandait s’il pouvait utiliser ma salle de bain. Visiblement, ma tenue lui fit de l’effet, car son regard avait du mal à se détacher de mon décolleté. Tournant les talons, je l’invitais à me suivre, lui montrant le chemin. Je sentais son regard sur mes fesses à peine dissimulées par la fine étoffe très moulante. C’est à ce moment que je réalisai que j’étais en train de l’exciter.
Une bouffée de chaleur m'envahit, semblable à celle qui m’avait traversé le corps lors de ma première aventure avec mon jardinier. J’ai bafouillé, cherchant mes mots, lui indiquant la salle de bain et la salle d’eau et suis repartie presque en courant, le laissant seul. Je ne voulais pas que mes démons me reprennent, aussi je courus à ma chambre afin de m’habiller. L’ouvrier ressortit et parut déçu lorsque j’apparus vêtue d’un jean et d’un tee-shirt, cachant toute mon anatomie.
La journée fut absolument abominable. J’étais troublée par leur présence. Ils étaient trois, deux jeunes d’une vingtaine d’années assez musclés et bronzés et un plus vieux, probablement la cinquantaine avec un ventre assez important, pas très beau. J’ai du changer de culotte dans la journée tellement je mouillais. Je ne savais plus que faire : les souvenirs des deux queues de mes jardiniers me défonçant la chatte et le cul me hantaient. Ce chantier devait encore durer trois jours. Ca risquait d’être dur de résister.
Excitée au plus haut point, je sautais sur mon mari, afin de satisfaire mes envies et faire retomber la pression. Malheureusement fatigué, celui-ci me laissa sur ma faim et mes désirs.
Le lendemain matin, ma décision était prise. Je ne pouvais pas risquer quoi que ce soit avec ces hommes. J’avais échappé au discrédit quelques mois plus tôt, je ne souhaitais pas risquer à nouveau ma réputation. Aussi avais-je décidé de m’habiller vers huit heures avant l’arrivée des ouvriers.
Réveil à huit heures moins le quart, je descends à la cuisine prendre mon café avant de remonter à ma chambre. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis les trois maçons dans ma cuisine ! J’avais oublié que mon mari leur avait mis la cuisine à disposition pour leurs cafés du matin et leurs pauses. J’étais comme la veille, en déshabillé très moulant. La soie dessinait précisément chacune de mes courbes…
Les trois hommes, déjà torse nus, s’arrêtèrent de parler lorsqu’ils aperçurent ma poitrine et mon string. Tétanisée, j’étais à la fois paniquée parce que j’avais décidé de rester prude et excitée parce qu’à nouveau des hommes à moitié nus me voyaient également déshabillée !
La seule chose dont j’ai alors été capable a été de fuir de la cuisine laissant ces hommes la tasse à la main. Du couloir je pouvais entendre leur commentaire :
« Tu as vu cette salope ? Tu crois qu’elle a fait exprès ? Moi je la baiserais bien ! Elle a une paire de seins énormes !
- Déconne pas, c’est une comtesse, quand même ! »
J’étais dans un état second. Sans plus réfléchir, mûe par mes pulsions, j’ai fait demi-tour et suis retourné à la cuisine. Je suis allée me servir un café comme si de rien n’était. Ils s’étaient à nouveau tus. Le seul qui a osé bouger, c’était le bedonnant. Il s’est approché de moi, dans mon dos, a relevé un peu mon chemise de soie grège, et voyant que je ne bronchais pas, il a glissé sa main dans mon string assorti.
S’apercevant que j’étais trempée, il s’est retourné vers ses collègues et leur dit :
« Elle mouille cette garce, les gars ! Comtesse ou pas, c’est une femelle en chaleur ! Je crois qu’il va falloir trouver une excuse pour son mari. On ne va pas beaucoup avancer sur le chantier aujourd’hui ! »
Et joignant le geste à la parole, il a ôté ma culotte, m’a fait asseoir sur la table. Jamais on ne m’avait parlé ainsi ! Pourtant, instinctivement j’écartais les cuisses et leur dis crument : « Baisez-moi comme une chienne ! »
Il ne leur en fallait pas plus pour se débarrasser de leurs pantalons et caleçons et c’est à poil qu’ils se jetèrent sur moi. Un des jeunes décida de me dévorer la chatte pendant que les deux autres se disputaient ma bouche. L’autre jeune avait une queue très fine et de taille moyenne, mais l’autre, le gros, avait un véritable pieu à la place de la bite. Très grosse et très longue, avec une énorme veine qui courrait tout le long. C’est simple, j’éprouvais les plus grandes difficultés à enfourner ce monstrueux engin dans ma bouche !
Je n’imaginais même pas qu’il puisse me pénétrer la chatte, et encore moins le cul.
Le troisième me léchait avec application, mais c’est de queue dont j’avais besoin, aussi, je le stoppai dans son travail : « C’est ta bite que je veux, met-là moi maintenant ! »
Il ne se fit pas prier et me la rentra d’un coup. Je n’avais pas eu le temps de la contempler, mais à en juger par ce que je ressentais, elle devait être de belle taille. Il allait et venait en moi, ressortant presque complètement pour rentrer jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon cul. J’étais aux anges. Et lui aussi, visiblement ! Je commençais déjà à venir quand je le vis se contracter. Il se retira et éjacula sur mes seins trempés de sueur.
Ma chatte n’eut pas un moment de répit, puisque le deuxième jeune y prit place. C’est quasiment quand il est entré en moi, que j’ai joui pour la première fois. Je criais mon plaisir haut et fort… Tout étonné de ma réaction, et sans doute stimulé par les contractions de mon vagin et mes cris, il se laissa aller dans mon ventre. Il avait visiblement très envie de moi, car je sentais les jets de sperme s’écraser au fond de ma matrice. Il resta encore en moi quelques secondes, et le troisième larron lui demanda de lui laisser la place :
« Sors de là que je la défonce cette chienne. Tiens nettoie-le, toi ! » m'intima-t-il crûment.
Sans protester, je m’exécutais et lui nettoyais son chibre de ma langue. Je trouvais le troisième vraiment laid et gros, mais sa queue me fascinait. J’avais envie de la sentir en moi et c’est en ondulant du bassin que mon sexe vint à la rencontre de son gros pieu. J’étais dégoulinante de sperme, aussi il n’eut aucune difficulté à entrer bien à fond. Il me lima pendant plusieurs minutes, pendant que je suçais alternativement les autres afin qu’ils reprennent vigueur. Quand ils eurent à nouveau une bite bien raide, le gros me souleva sans sortir de ma grotte et me transporta jusqu’au salon. Je sentais qu’il maîtrisait bien son sujet, puisque toujours sans sortir de moi, il s’assit sur le canapé. Ainsi assise, je me trouvais sur lui, la croupe exposé aux deux hommes qui me mataient, la queue à la main.
Toujours embrochée sur le membre raide, l’un d’eux commença à m’introduire un doigt puis deux dans l’anus. La pénétration était largement facilitée par le sperme qui avait coulé sur mon petit trou. Sous l’effet de ses doigts, je jouis une deuxième fois. Mais juste après mon orgasme, alors que je me relâchais complètement, il positionna son gland contre mon anus et poussa d’un coup. Je ressentis une douleur très vive et très fugace : il était entré en force, d’un coup, et ses couilles tapaient déjà contre mes fesses. Il resta un moment dans cette position, et les deux hommes commencèrent à me ramoner en rythme.
Il ne me fallut que très peu de temps avant de jouir une troisième fois, tout aussi bruyamment. Je n’en pouvais plus, mes jambes ne me portaient plus, les deux hommes m’imposaient un rythme de folie, jusqu’à ce que le jeune m’inonde l’intestin. Il ressortit aussitôt et l’autre prit la place. Le gros ne bougeait plus, mais la nouvelle queue dans mon anus faisait tout : il me labourait littéralement le cul en m’insultant :
« Tu aimes ça salope, te faire bourrer par trois maçons pendant que ton mari est au boulot !!! »
Quelques secondes plus tard, il m’inondait lui aussi l’intestin et se retirait aussitôt. Mes doigts allèrent à la rencontre de mon petit trou dilaté. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses. Le bedonnant n’avait encore pas joui. Il me fit mettre à quatre pattes et tenta d’introduire sa queue dans mon cul. Je ne pensais pas cela possible, mais il réussit, non sans difficulté à m’enculer, grâce au traitement de ses deux collègues. Bien calé au fond de mon cul, il me pistonnait sans ménagement, ressortant sa queue totalement et la rentrant d’un coup sec. J’eus encore un orgasme avant de m’affaler définitivement sur le canapé taché de foutre. Il me lima encore quelques secondes et ressortit pour présenter son gland à ma bouche. Il était un peu sale de mon cul, mais il ne me laissa pas le choix : « Avale ma queue pétasse, c’est ta faute si elle sale comme ça ! »
Et je pris sa queue dans ma bouche avide. Il jouit alors quasi instantanément, d’un sperme très épais, en si grande quantité que je ne pus tout avaler…
Ses dernières giclées atterrirent sur mon menton et glissèrent sur mes seins et le canapé. Les trois hommes s’assirent alors et prirent un de repos bien mérité. L’un d’eux attrapa un miroir qu’il mit face à mon anus afin que je voie dans quel état il était. Il était béant, et dégoulinant de sperme. A ce moment, je pensais vraiment qu’ils m’avaient abîmée tellement le trou était dilaté. Reprenant peu à peu mes esprits, je les complimentai et leur demandai de garder tout cela pour nous. Ils étaient d’accord à une condition : pendant toute la durée des travaux, je devais être à leur disposition quelque que soit le moment dans la journée pour eux et pour les autres ouvriers susceptibles de venir les aider. J’acceptai bien sûr, en me disant que jamais plus je ne prendrai de résolution de fidélité.
Mais mon envie de sexe pur et dure est plus que jamais exacerbée : je veux de la bite, tout le temps, n’importe laquelle ! Je veux être fourrée à fond, baisée, enculée, je veux jouir sans entraves et le plus possible !
Le chantier n’est toujours pas fini. Et pourtant d’autres ouvriers sont venus prêter main forte aux trois premiers. En revanche, je suis exténuée. Il n’y a pas une pièce où je puisse aller sans qu’un homme vienne m’y sauter. Même le patron des ouvriers est venu voir. Il ne comprenait pas pourquoi pas il y avait autant de retard. Il a compris et a même promis de revenir superviser de plus près « mon » chantier. Il faut dire que ce n’est pas tous les jours que des ouvriers peuvent se taper une dame de « la Haute », à bon compte !!!
Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Logiquement, l’échafaudage sera enlevé mardi prochain. Ca fera douze jours de « travail » contre cinq de prévus. Mon mari les a trouvés très professionnels : ils se sont excusés du retard auprès de lui et ils ne lui factureront pas de supplément. Il en était même étonné.
S’il savait… »
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Le livreur de canapé
Mercredi, je me suis rendue dans une célèbre enseigne acheter un canapé, un clic-clac. Ici, ils ne livrent pas. Il faut s’adresser à l’un des multiples petits livreurs qui attendent devant l’enlèvement des marchandises. On les accoste, on leur demande le prix de la livraison.
Ce que je fis pour mon canapé. Je me suis ainsi permis de choisir celui que je trouvais le mieux physiquement. Rendez-vous fut pris pour le lendemain à dix-huit heures chez moi.
A l’heure pile, il arrive. C’est plutôt rare ici ! Comme à mon habitude dans la maison, je suis uniquement vêtue d’un paréo, avec rien en-dessous. Il fait trop chaud pour porter des vêtements quand on est chez soi…
Je le noue au-dessus des seins. Mais avec l’alizé, il vole souvent quand je suis dehors…
Je tire le portail, le laisse manœuvrer. Je sais bien que mon léger vêtement vole et s’ouvre un peu. Je fais comme si de rien n’était, mais j’ai vu son regard pétillant…
Je l’aidais à descendre le meuble, et à le positionner. Tout en travaillant, il me demanda :
« Vous êtes seule ici ? Où est votre mari ?
— Je n’ai pas de mari, mais je vis avec mes enfants. Ils sont chez des copains. »
— Ah bon ? Alors, vous êtes seule... Ce n’est pas très prudent, avec un homme comme moi…
— Que dois-je craindre ? dis-je en riant.
— Quand je vois une belle blanche comme vous, j’ai des envies qui me passent par la tête… »
Coupant court à la conversation, je lui proposais une boisson. C’est la coutume ici, vu la chaleur ambiante. Il accepta un jus de mangue.
« Il faut bien essayer le canapé, me dit-il en riant.
— Bien sur, alors asseyez-vous. »
Ce qu’il fit. Il commença alors à me raconter des anecdotes de boulot. Dans le flot de paroles, il se mit à me tutoyer.
« Oups, pardon je t’ai dit « tu »…
— Ce n’est pas grave, c’est l’habitude ici ! »
La conversation reprit, et je riais franchement à ses histoires de livraison délirantes. Je m’amusais à cambrer mes reins pour faire saillir ma poitrine, je croisais et décroisais les jambes, mon paréo avait déjà glissé très haut sur mes cuisses, mais je faisais comme si je n’avais rien remarqué, lui offrant ainsi de quoi exciter largement sa libido.
Le livreur me déshabillait maintenant littéralement du regard, je sentais monter en moi des envies folles. Mais je voulais être sure que je ne me trompais pas de la réciprocité.
Je me suis levée pour aller chercher un autre verre.
En revenant, je restais debout devant lui, faisant semblant de m’apercevoir seulement maintenant que mon paréo était largement ouvert depuis son arrivée, et ne cachait pas grand-chose de mon corps nu et bronzé. Prenant le parti d’en rire, je lui dis :
« La curiosité est un vilain défaut !
— Peut-être, mais ce que j’ai pu voir est sans défaut, et pas vilain du tout. Donc ce n’est pas de la curiosité mais bien de l’admiration, répondit-il. C’est vrai que je suis curieux pourtant et j’aimerais bien savoir si ce joli paréo est ton seul vêtement !
— Non seulement tu es curieux, mais tu devrais avoir honte de parler ainsi à une cliente, répondis-je en riant.
— De toute façon, je n’aurais rien fait de mal : admirer une belle femme comme toi est plutôt flatteur. »
Plaisantant toujours, mais sentant grandir en moi une folle excitation, je m’enhardis et, cette fois provocante j’ajoutai :
« Si tu veux tout savoir, je bronzais dans la piscine quand tu es arrivé et j’ai juste pris le temps de remettre ce morceau de tissu. Tu es satisfait, ou tu veux peut-être le constater toi-même ? »
La réponse ne se fit pas attendre. Un immense sourire éclatant barra son visage sombre aux yeux de braise :
« C’est vrai, je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois et, en plus, j’ai du mal à croire que tu bronzes totalement nue ! »
C’en était trop, je sentis tout mon corps frémir : mes seins, mes cuisses, mon ventre réclamaient désormais les caresses. Je fis un pas en avant. Debout devant lui, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées, les reins cambrés, le regard plongé dans le sien, je le provoquai cette fois ouvertement :
« Chiche ! Maintenant que tu peux, tu n’as qu’à vérifier. J’ai rarement eu l’habitude de me dégonfler ! »
Immobile, je frissonnai quand les mains sombres se posèrent sur mes mollets. Lentement, elles remontèrent vers mes genoux, caressantes, énervantes, avant de se glisser sur mes cuisses, dépassant le bord du paréo, contournant mes jambes pour atteindre mes hanches libres sous le fin tissu.
« Alors ? Satisfait ? » dis-je en frissonnant.
Il ne répondit pas, ses mains encore sur mes hanches reprirent leur mouvement, glissèrent sur mes fesses rondes et cambrées. Puis, doucement, une main au bas de mes reins, il glissa l’autre sur mon ventre, à la limite de ma toison. J’ai frémi à nouveau :
« Tu pousses la curiosité un peu loin, tu ne trouves pas ? » demandai-je sans pour autant l’empêcher de poursuivre son petit jeu.
Le contact de ses mains chaudes sur ma peau commençait à m’exciter sérieusement. Il passa une langue gourmande sur ses lèvres :
« J’ai très envie de manger une femme blanche », plaisanta-t-il en éclatant de rire.
Sans perdre un instant, sa main s’insinuait cette fois au bas de mon ventre, et son doigt agile venait caresser mon petit bourgeon déjà follement excité.
Gémissante à ce contact délicieux, je m’ouvris doucement pour m’offrir à la caresse que tout mon corps réclamait maintenant. Il m’attira vers lui, toujours assis, son visage se trouvait juste à hauteur de mon ventre qu’il fouillait lentement. Il abandonna un instant sa caresse, dénoua mon paréo qui tomba à mes pieds. Il avait maintenant sous les yeux mon corps totalement nu. Il approcha son visage, les deux mains sur mes fesses rondes. J’ai laissé échapper un petit cri lorsque sa langue souple vint se glisser dans ma grotte en feu.
Je me mis à onduler sous la morsure et, posant les mains sur ses épaules, j’ai levé une jambe, le pied sur le fauteuil pour lui offrir cette fois sans retenue mes chairs ruisselantes. De longues minutes, il me dévora, aspirant goulûment mon clito gonflé de désir, pétrissant des deux mains mes seins lourds, aux pointes durcies et sensibles. Je me suis tordue sous ses caresses, les yeux fermés en gémissant des mots sans suite. Brutalement, j’ai senti le plaisir m’envahir comme une grande vague remontant de mon ventre. J’ai joui en criant, les mains crispées sur ses épaules. Il m’a soutenue lorsque je suis tombée contre son torse, continuant de caresser mon dos, mes reins avec beaucoup de douceur jusqu’à ce que je reprenne mes esprits.
Le contact de son torse contre mes seins, ses mains douces sur ma peau, son parfum vanillé et l’espèce de barre sur laquelle mon ventre était appuyé au travers de son pantalon réveillèrent rapidement le feu qui brûlait en moi. Au point que, dans un nouvel accès de folie, j’ai pris l’initiative du jeu.
« Tu sais, moi aussi je suis curieuse, et j’aimerais bien savoir ce que tu caches là ! » dis-je en fixant la bosse qui gonflait son jean.
Sans attendre sa réponse, je me suis laissée glisser à genoux entre ses jambes. Il n’a pas hésité ! Dégrafant son pantalon, il en fit jaillir un sexe épais, tendu de désir, d’un noir profond. Il était exactement comme j’aime : pas très long, mais bien épais... Un pur délice pour moi….
J’ai effleuré le large pieu, avant de refermer la main sur l’épais mandrin que je sentais vibrer entre mes doigts. Tirant doucement sur la peau, j’ai dégagé un gland rond et luisant de son excitation. Je l’ai à nouveau regardé dans les yeux, ma main coulissant sur sa queue.
« J’ai le droit d’y goûter ? » ai-je demandé.
Puis, sans attendre sa réponse, je me suis penchée vers lui. Il était gros, mais lentement, je suis arrivée à aspirer son gland et un bout de sa tige. Les joues déformées par ma caresse, à genoux devant lui, nue, les reins cambrés et mes seins qui se balançaient doucement au rythme de mes mouvements sur la splendide sucette de chocolat, je devais offrir un spectacle particulièrement excitant.
J’approfondis ma caresse en branlant la hampe de ma main libre. Ma victime saisit mes seins, en caressa les pointes, pétrissant doucement les globes frémissants. Je le sentis se raidir, sa queue semblait encore grossir…
J’ai sursauté, surprise, lorsque ses deux mains chaudes et fermes se sont posées sur mes hanches ! Je me suis cambrée un peu plus. Il m’a fait me redresser, puis allonger sur le clic-clac tout neuf.
Il écarta alors lentement mes fesses, puis sa langue a commencé à glisser tout au long de ma raie, avant de s’insinuer dans mon sexe brûlant, titillant mon clito. Cette fois, j’avais trop envie de me sentir prise, possédée, défoncée. Je me suis mise à onduler des hanches, m’offrant encore plus à sa bouche experte. Il se redressa, son gros mandrin protégé de latex, vint se frotter contre ma vulve bouillante, avant de s’enfoncer lentement, profondément dans mon ventre en folie. Je me suis sentie distendue, écartelée centimètre après centimètre par cette possession. Enfin son gland buta au fond de mon vagin, et il s’immobilisa, m’emplissant totalement.
J’étais comblée, pleine de cette chair dure et souple à la fois, que je sentais vibrer doucement en moi. Toujours sans bouger, il maintenait mes hanches contre son ventre. Pourtant à cet instant j’ai cru suffoquer. Au fond de mon vagin, le sexe épais, immobile, était en train de grossir encore ! Je sentais palpiter et gonfler son gland légèrement rugueux, vivant comme un animal horrible qui se serait débattu au fond de moi. Il n’en finissait pas de m’investir, distendant mon sexe, écartant encore mes chairs, à la limite de la douleur… et de l’extase ! J’ai cru m’évanouir de plaisir dans un orgasme fou.
Je me suis mise à hurler brusquement quand il a explosé en moi. De longs jets brûlants si forts que je les aies sentis à travers le capuchon. Il était d’une violence démentielle et ne semblait pas vouloir s’arrêter de le remplir de sa semence, alors qu’il restait parfaitement immobile.
À demi inconsciente, j’ai senti son pieu se retirer lentement, mais ses mains serraient toujours mes hanches, me maintenant dans cette position affolante. Ouvrant les yeux, je vis que le livreur n’avait pas débandé le moins du monde ! Il retirait calmement la capote pleine de son foutre, et la plia avant d’en ouvrir un autre. En silence, me fixant dans les yeux, il l’enduit de lubrifiant, et se remit derrière moi…
Les reins toujours offerts, j’ai à nouveau crié quand son sexe dur s’enfonça en moi, dans mon abricot déjà bien dévasté. Puis il se retira pour venir forcer mes reins, lentement, puissamment. La douleur s’est très vite transformée en une sensation folle. J’ai recommencé à me tordre sous ses poussées, tandis que les mains de l’homme prenaient une nouvelle fois possession de mes seins, douloureux à force de plaisir.
Pilonnée au plus profond de mes reins, ainsi embrochée, je me suis abandonnée en offrant une nouvelle fois mon corps à tous ces plaisirs,
Je jouis une nouvelle fois, quand il martyrisait mon petit bouton qui en redemandait pourtant encore.
Nous sommes retombés, repus sur le clic-clac, qui n’en demandait pas tant… Il avait reçu un sacré baptême du feu, et ce ne serait sans doute pas le denier.
Il dut me laisser, pour retourner à ses autres clients… Je sais que je ne le reverrais pas. Je ne revois jamais ces amants d’un jour.
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Une soirée orgiaque
Mois de mars 2007, je remonte sur Paris, en TGV depuis la gare du Creusot. Il est environ dix-huit heures en plein milieu de semaine et hors d'une période de congé. Le train, contrairement à son habitude, n'est pas plein. Je me trouve en bout d'un wagon qui forme une sorte de compartiment avec une porte coulissante. Il y a une douzaine de fauteuils dont seuls cinq sont occupés.
Un homme qui, comme moi, frise la soixantaine, s'assied à la place voisine de la mienne. Il s'installe, ouvre son attaché-case et sans aucune gêne (il ne me connait pas, j'aurais pu être un gars coincé) sort une revue d'annonces libertines dont je tairais le nom. Je suis moi-même abonné à cette revue. Mon voisin donc range son attaché-case ouvre sa revue et la lit consciencieusement. A la main un crayon pour noter celles des annonces qui lui plaisent.
Du coup, je ferme ma revue de mots croisés et sans aucune discrétion, j'essaie de voir les annonces qui lui plaisent. Il se rend compte enfin de mon attitude, tourne son visage vers moi, je le regarde en souriant et lui dit :
« Très intéressant ce magazine, j'y suis moi-même abonné. »
Il esquisse alors un sourire. Il m'avouera plus tard qu'il avait craint un moment de tomber sur quelqu'un qui lui aurait fait les pires reproches. Nous nous présentons. Il se prénomme Benoit. Il est marié. Sa femme et lui pratiquent régulièrement l'échangisme ou plutôt le mélangisme, car ils ne leur viendraient pas à l'idée de faire cela chacun de leur côté, sans que l'autre ne participe.
J'approuve totalement sa façon de voir la chose. A sa question je réponds que oui, je suis moi-même annonceur. Je lui donne ma référence. Il feuillette alors en vitesse sa revue pour la trouver. Elle est illustrée d'une photo où je suis avec un couple, en 69 avec Madame tandis que Monsieur m'encule. Et je suis facilement reconnaissable. Benoit lit attentivement mon annonce, se tourne vers moi, me regarde un moment, et avec un grand sourire me tend la main et dit :
« Bienvenue au Club, ma femme et moi aussi sommes bisexuels ! »
Tout le reste du voyage se passa à nous raconter des anecdotes sur « Le » sujet qui nous intéressait. Benoit et sa femme Thérèse vivaient dans une grande maison de Boulogne, en région parisienne, non loin du Stade Roland Garros.
Là, ils organisaient des soirées chaudes.
En nous quittant Gare de Lyon, Benoit m'invita pour la soirée qu'il organisait chez lui dans quinze jours. Bien entendu, j'acceptai avec joie et le remerciai.
Le jour de la soirée, je me rends chez lui, il est aux alentours de vingt heures. Il m'avait informé que cette sauterie, où tout le monde était bisexuel, serait précédée d'un diner. Diner au cours duquel il n'était pas interdit, bien au contraire, de lutiner son ou sa voisine. Cela pimenterait le repas et rappellerait un peu les orgies romaines qui ont fait rêver plus d'une personne libertine.
Thérèse, notre Hôtesse, que je n'avais encore jamais vue, était une femme d'environ cinquante ans, brune, un beau visage souriant et un corps très légèrement enrobé qui dégageait une grande sensualité. Elle était très élégamment dévêtue d'une robe très courte qui, pour vous la décrire, ressemblait à un filet à larges mailles. Elle ne portait aucun dessous.
Son pubis, vierge de toute broussaille, nous permettait d'admirer une fort belle chatte aux lèvres qui semblaient déjà gonflées de désirs. C'est ainsi que je fus accueilli. Avouez que pour être immédiatement dans l'ambiance, on ne peut rêver mieux.
Thérèse me reçoit avec un grand sourire, une bise gentillette sur les lèvres et me fait entrer dans une grande salle où est dressée une table immense. Une vingtaine de personnes des deux sexes se trouve déjà là.
Je m'approche de chacun des invités et me présente. Il y a des hommes et des femmes de tous les âges, au physique d'une normalité très banale. Le sourire et les plaisanteries fusent de toutes parts. Je m'empresse de me mettre à l'unisson en prenant une flûte de champagne. Les festivités démarrent comme dans tous les cocktails dits mondains, où chacun enfonce des portes ouvertes d'un air pénétré devant des gens qui s'en moquent totalement, mais qui font comme si...
Par chance, Thérèse met fin à tout ça en nous priant de passer à table. Le seul protocole étant que chaque femme soit encadrée par deux hommes, par pure galanterie d'ailleurs, puisque tous les invités sont bisexuels. Le repas se déroule dans une ambiance qui va grandissant.
Avant qu'arrive la fin du repas, les convives avaient commencé à se dissiper. Des bouches parcouraient le corps de la personne voisine, des mains faisaient des expéditions de reconnaissance. Si bien que quand arriva le moment du dessert, nous avions tous perdu nos vêtements.
Ma voisine de droite était aussi belle et féline que peut l'être une asiatique quand elle a résolu d'être belle et féline. Sa peau ambrée semblait du satin tant elle était douce. Mes mains lui caressaient le dos durant qu'elle me suçait avec une délicatesse infinie qui augmentait encore mon envie d'exploser. Ce fut difficile de me retenir longtemps car ma « petite fleur de printemps » qui se prénommait Maï sut me faire craquer. J'ai joui dans sa bouche au moment où, justement, les pâtisseries étaient arrivées. Ma jolie pompeuse se pencha, bouche pleine vers son voisin de droite et l'embrassa à pleine bouche, lui faisant partager mon sperme. Il eut l'air d'en apprécier le goût, car il me regarda avec un petit sourire et me dit :
« J'aime beaucoup le goût de votre crème mon cher !
- Mais à charge de revanche, cher ami, nous verrons cela un peu plus tard dans la soirée, lui ai-je répondu .
- Je ne manquerai de vous le rappeler ! »
Cet homme, appelons-le Paul, car il avait l'attitude et le vocabulaire pince sans rire et anachronique de ce formidable acteur qu'était Paul Meurisse. Il aimait par dessus tout conserver une attitude digne et employer des termes ...euh... aristocratiques, dirais-je, pour pimenter les situations les plus étranges, ou comme ici, les plus pornos. Moi, j'adore ces situations-là.
Maï se remit bien en place sur sa chaise, et choisit un gâteau parmi les pâtisseries placées devant elles. Elle prit dans mon assiette l'éclair que j'y avais mis. Avec toujours la même délicatesse et la même grâce qu'elle mettait en toute chose, elle fit entrer le premier quart de mon éclair dans sa chatte dont elle avait écarté les lèvres. Je vis mon gâteau faire quelques aller et retours dans son vagin, puis elle approcha mon éclair de ma bouche en me disant gentiment avec un sourire coquin :
« Pour te remercier de m'avoir donné ton sperme ! »
Attention charmante qui m'a fait rebander aussitôt. La mouille de Maï donna une saveur particulière et fort agréable à mon éclair. Je me promis alors de la retrouver un peu plus tard dans la soirée, bien décidé à la boire. Elle avait la jouissance légèrement sucrée, c'était délicieux. J'allais me lever pour rejoindre un groupe qui un peu plus loin allait s'adonner à un plaisir que j'apprécie beaucoup, les jeux Uros. Je n'eus pas le temps de me lever de ma chaise, car mon voisin de gauche, qui se nommait Étienne, me caressait la queue avec beaucoup de délicatesse.
Comment résister ? Je me tourne vers lui, lui souris. Je vois qu'il bande et que sa queue est une de ces jolies choses qui sont la raison de ma bisexualité. En effet, je vois une verge, bien droite, longue et épaisse où l'on peut voir des veines. Et puis, atout important, il est totalement glabre, comme la mienne. Je me sens vraiment tenu de le sucer, c'est vraiment trop tentant.
J'entreprends alors cette jolie chose qui visiblement n'attendait que ça si j'en crois le soupir d'aise que pousse Étienne.
La délicieuse Maï s'en est allée vers d'autres jeux, et Paul, s'approchant de moi, me dit avec sa façon très particulière de parler :
« Mon cher Bruno, votre sphincter me semble des plus attirants, me permettez-vous de l'occuper un moment, après m'être couvert, bien entendu ?
- Mais je vous en prie mon cher Paul, entrez donc, faites comme chez vous ! » lui ai-je répondu sur le même ton. Puis je ne pus m'empêcher d'éclater de rire, immédiatement accompagné d'Étienne. L'incongruité de la scène était irrésistible.
Alors, je repris sa queue en bouche tandis que Paul m'enculait de la belle manière. Décidément, la soirée s'annonçait bien. Nous avons ainsi joué tous les trois, un long moment, mes deux complices étant particulièrement endurants. Cela me convenait parfaitement, la queue de Paul avait une agréable façon de me limer, et celle d'Étienne avait tout ce qu'il fallait pour que j’aie envie que cela dure.
Étienne finit tout de même par exploser, et je m'empressai de tout garder en bouche et d'avaler sa crème. Paul, quant à lui, n'en finissait pas, je crains qu'il ait eu des difficultés à conclure. Il trouva lui-même un prétexte plausible pour s'arrêter et s'en aller. Je pus ainsi me mettre à la recherche de Thérèse, la maîtresse de maison.
Je me devais de mettre en application l'un des préceptes de la bonne éducation, à savoir présenter mes hommages à notre hôtesse. Mais ma sainte femme de mère n'a jamais donné le même sens que moi au mot « hommage ». Qu'importe, l'essentiel finalement est que cela se fasse, n'est-ce pas ?
Thérèse était dans un salon où le centre avait été vidé de ces meubles pour en faire un vaste baisodrome, confortable puisque de nombreux matelas servaient de tapis. Notre hôtesse était là entièrement nue, debout, bien campée sur ses jambes, semblant une reine dominant des sujets prosternés à ces pieds. Les sujets en question étaient en pleine baise, à ne plus savoir qui prenait qui.
Beau spectacle très excitant, ma foi. Au moment où j'arrive, Thérèse ses mains sur sa chatte, annonce qu'elle a envie de pisser, et propose de faire plaisir à qui aime ça. La chance est avec moi donc, je me précipite vers elle pour la boire.
« Oh ! Tu sais ce n'est qu'une toute petite envie ! » me dit-elle comme pour s'excuser à l'avance de la trop petite quantité à laquelle je vais avoir droit. Je lui dis que ce n'est pas grave, l'essentiel étant qu'elle le fasse dans ma bouche.
Effectivement je n'eus droit qu'à quelques gouttes, mais qui me permirent d'une part de faire connaissance avec notre hôtesse, et d'autre part, de déguster sa chatte. Ses lèvres étaient naturellement gonflées telles une pâtisserie, et donnaient envie de mordre dedans. Moi être grand gourmand, alors moi dévorer belle chatte humide. Et ceci au grand plaisir de Thérèse qui poussait des petits soupirs que soulignaient ses « Oh ! Oui ! Comme ça ! »
Ou alors « Ah ! Non ! C'est trop fort ! Continue ! »
Puis elle se mit soudain à jouir en poussant des cris puissants qui n'étonnèrent que moi, le nouveau petit vicieux de la bande. On me confirma plus tard que Thérèse était connue pour l'étonnante force de ses cris de jouissances. Entendre une femme hurler son plaisir est très flatteur pour notre égo de mâle.
Je me promenais ensuite, butinant de ci delà, caressant un cul bien rebondi, suçant une queue qui n'attendait que ça, broutant une chatte, doigtant délicatement un anus tentant. Je finis par trouver Benoît, notre hôte. Il était allongé sur un matelas de coussins en grande conversation manuelle avec ma voisine de table la délicieuse Maï. Je m'approchais et m'allongeais prés d’eux. Ma petite asiatique avait la bouche occupée à déguster la bite de Benoit Celle-ci était de taille moyenne, mais semblait en parfait état de marche. Je me mis à lécher cette tige en duo avec Maï. Ayant l'expérience toute récente de ses talents de suceuse, je finis par la laisser faire pour m'occuper de sa chatte.
Quel beau petit bijou elle avait entre ses jambes… Sa chatte semblait minuscule, avec des lèvres très fines. Pour un peu, on ne la verrait pas. Mais curieusement, elle avait un clito suffisamment long pour dépasser au dessus de son fendu. Et l'absence totale de poil la rendait encore plus belle et attirante. Il m'a attiré comme un aimant, et je l'ai pris en bouche.
Quand une chatte est belle comme la sienne, j'adore prendre mon temps et la lécher doucement pour en profiter au maximum. Et c'est ce que je fais avec le petit bijou de Maï. Elle a l'air d'apprécier mon traitement, car je la sens frémir et gémir de plus en plus.
Elle pousse son bassin en avant avec des mouvements de plus en plus rapides, et j'ai le museau de plus en plus barbouillé de la mouille de la Belle.
Elle jouit abondamment, et se redresse, change de position et vient s'empaler sur moi. Je suis obligé de la freiner et de la faire se retirer, le temps pour moi d'enfiler une Kpote. Maï semble pressée et se replace aussitôt sur ma queue et se trémousse en gémissant. Thérèse, notre hôtesse qui assistait à la scène, se penche vers moi et avec sa langue, me nettoie le visage de la mouille de Maï. Elle paraît en apprécier le goût, et roule une pelle goulue à ma jolie asiatique, qui lui répond avec frénésie.
Maï et moi continuons notre petit voyage vers le jouissance. Cette fille est d'une souplesse rare et d'une ardeur peu commune. J'ai, il y a peu, joui dans la bouche de Maï, et mon âge me permet de tenir plus longtemps que de coutume au délicieux traitement que ma partenaire me fait subir. J'ai adoré ce moment là, car je sentais le plaisir envahir mon corps jusqu'au moment où j'ai pu exploser et remplir ma kapote de mon sperme. J'aurai pourtant bien aimé le répandre dans le ventre de Maï. Je me retire et m'allonge sur le dos, tenant toujours la belle contre moi. Elle me retire délicatement le préservatif, et de sa langue, me nettoie la bite du jus collé contre elle. Et en bonne copine, elle me prend la bouche pour partager avec moi.
Maï est une petite « liane » très souple et très câline. Elle a une manière bien à elle de se lover contre mon corps en imprimant des mouvements qui sont des caresses de tout son corps sur le mien. Ah ! Si tous les supplices chinois pouvaient être comme celui que me fait subir Maï !!! Nous sommes restés un moment enlacés. Nous trouvions tellement plus agréable de récupérer un peu de cette manière.
Nous n'étions pas là pour roucouler, mais bien plutôt pour partouzer. Il fallait que je retrouve Etienne, j'avais dans la bouche le souvenir de sa bite. Un engin comme le sien, long, épais, bien droit aux veines apparentes et à qui l'absence de poils accentuait encore l'impression d'épaisseur. J'avais une furieuse envie de lui faire visiter mon ventre. Je vais de pièce en pièce et finis par l'apercevoir affalé sur un sofa, un verre à la main. Seul et l'air pensif.
« Hello Etienne ! Ca va bien ?
- Oui, oui, Bruno, je te remercie, je viens de me faire sauter et je récupère en solitaire.
- Ah ! OK. Et là tu as la forme, on dirait ! Tu pourrais peut-être me faire ce qu'on vient de te faire.
- Alors là, ça marche ! »
Je me mets alors à genoux aux pieds du sofa je prends sa queue qui repose mollement sur sa cuisse et la branle doucement. Aussitôt, elle commence à réagir. J'arrête mon mouvement pour la prendre en bouche. J'ai toujours aimé sentir une bite grossir dans ma bouche pendant que je la suce. Je trouve cela génial. Et celle d'Etienne bien longue et épaisse, ce fut un régal de la sentir prendre forme. Je l'ai sucée ainsi un long moment, les soupirs qu'il poussait me disaient qu'il appréciait ma pipe.
De mon côté, j'avais l'anus qui palpitait tant j'avais envie d'être sodomisé. Etienne avait envie lui aussi et il arrêta ma sucette. Je le fis alors se relever et j'ai pris sa place sur le sofa. Couché sur le dos et jambes relevées et écartées, c'est dans cette position que j'aime me faire sodomiser. J'aime « faire face à l'ennemi », voir ses mouvement, lire sur son visage la progression de plaisir. Et puis, installé ainsi, je peux aussi voir passer les autres convives.
Et soudain, pendant qu'Etienne visitait mon intérieur, je vois passer un couple. Elle est une jeune fille d'environ vingt cinq ans, rousse, très mince, à l'allure élancée. Elle a un beau visage, et sa bouche est d'une sensualité rare. Lui doit avoir la bonne quarantaine
Vu d'où je suis, il semble grand, et sa bite épaisse et courte repose sur une paire de couilles imposantes. Je les arrête au passage et leur fais signe d'approcher.
La jolie rousse, j'apprendrai plus tard qu'elle se prénomme Lise, paraît émoustillée par le spectacle qu'Etienne et moi lui offrons. Je lui offre ma queue à sucer pendant que j'attrape son partenaire par la sienne pour le prendre en bouche. Il ne tarde pas à bander.
Je ne m'étais pas trompé, sa queue n'est pas longue mais très épaisse. Elle dégage une odeur forte mais agréable. C'est sans doute un mélange de tous ceux et celles avec qui il a baisé ce soir. Ça doit être un peu aphrodisiaque car je me sens un peu plus excité. Et la bouche de Lise n'est pas étrangère non plus à ce que je ressens. Cette fille a l'art de sucer pour donner beaucoup de plaisir et en même temps retarder sa venue... C'est génial comme effet.
Etienne de son côté continue de me ramoner. J'adore ce qu'il me fait, car il est très endurant. Il sort de temps en temps sa grosse queue un peu noueuse de mon ventre, pour y rentrer à nouveau d'un coup sec. J'adore ça. La sensation est un bref instant douloureuse, mais ça disparaît aussitôt pour faire place à la jouissance.
Et Lise qui me suce comme une reine… Sa bouche est aussi délicate qu'un papillon, elle parcourt ma tige en l'effleurant, sa langue de son côté joue avec mon gland. Je me sens d'autant plus au paradis, que dans ma bouche, il y a toujours une bite épaisse. Je m'efforce de faire comme Lise, en tentant d'imiter sa technique. Je ne sais si je l'égale, mais le propriétaire de la bite semble bien apprécier.
Je mets deux doigts de ma main gauche dans son anus, et les fais aller et venir. Mon sucé aime tellement cela que sans que je l'ai senti venir, il jouit. Peur qu'il se recule alors je le retiens pour ne pas perdre une goutte de son sperme. Lise voit ce qui se passe et arrête de me sucer pour mendier un peu du jus que j'ai en bouche. Je partage avec elle, mais ma queue, elle, elle est privée. Je le fais remarquer à Lise.
Elle me quitte alors un bref instant et nous rejoint avec un préservatif qu'elle m'enfile.
Elle s'allonge sur moi pour que je la prenne. Sucer a du l'émoustiller passablement si j'en juge par l'ardeur qu'elle met avec son bassin autour de ma bite. Bien entendu tout ça m'a empêche de me retenir plus longtemps et j'ai joui à mon tour. Lise qui a senti mon éjaculation accélère son mouvement pour prendre elle aussi son pied.
Mon sucé, agréable à pratiquer mais sans une once de gratitude, nous quitte sans un mot. Lise quant à elle, est restée prés d'Etienne et moi. Et tout en le regardant m'enculer, elle retire la capote de ma queue et me lèche avec autant de gourmandise que de méticulosité. Elle dit que ce qu'elle a senti sur sa langue lui paraît agréable alors, elle vide ma capote dans sa bouche.
Au moment où j'allais lui demandais de venir partager avec moi, Etienne la tire à lui et l'embrasse. En embrassant Lise et en dégustant mon jus il se déconcentre un moment et jouit à son tour. Il décharge une grosse quantité de sperme dans sa capote. Il continue encore un moment ses allées retours en moi, au ralenti puis se retire. Lise se hâte de vider la capote dans son joli bec, mais là, je suis plus rapide qu'Etienne et attire Lise à moi pour consommer un peu du sperme.
Décidément, je ne me lasserai jamais de consommer le « jus de couilles ». C'est délicieux.
Puis tous les trois, nous nous dirigeons vers le buffet, pour reprendre quelques forces. Etienne et Lise sont deux charmantes personnes, avec qui il est agréable de converser, « aussi ». Ensuite, je les quitte pour rejoindre mes hôtes, Thérèse et Benoit.
Je dois les saluer et les remercier de cette plus qu'agréable soirée à laquelle ils m'ont permis de participer. Je retrouve Benoit assis sagement dans un fauteuil en grande conversation avec quelqu'un. Je le remercie chaleureusement, et nous nous quittons sur un : « Tu reviens quand tu veux, Bruno ! »
Je poursuis ma recherche et trouve enfin Thérèse. Elle est à la cuisine. C'est une vaste pièce. Elle est là avec deux hommes et une femme. Tous les quatre s'emploient consciencieusement à faire pipi dans un grand récipient à Sangria. Cela me rappelle que j'ai envie moi aussi et me joins à eux. Une fois soulagés et le récipient plein, je dis à Thérèse que je suis venu la remercier car je rentre chez moi.
« Ah ! Mon cher Bruno tu ne partiras pas sans boire le verre de l'amitié…. »
Elle ouvre un placard, sort cinq verres, qu'elle remplit de notre cocktail pipi et nous en tend un. Nous trinquons à l'amitié et aux plaisirs du sexe en sirotant notre liquide commun. J'adore. Ensuite je salue embrasse mes partenaires et les quitte.
Malgré les grèves à répétitions et souvent injustifiées, malgré les retards fréquents sur certaines lignes, j'aurai toujours une tendresse particulière pour les trains. On y fait souvent des rencontres intéressantes.
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