Les Mémoires très Libertines de Sophie
La Décadanse
Il fait nuit, la route encore humide de la dernière pluie reflète la lumière de la lune. Le taxi avance doucement dans l’allée de gravillons de la propriété. Deux gardes attendent devant la grande porte. Leurs tenues sombres leur donnent des airs d’ombres se détachant à peine de l’obscurité. Leurs masques dorés brillent dans la lumière des phares de la voiture qui s’arrête au bas des marches. Le chauffeur descend et ouvre la porte, la
Marquise en descend.
Son ample manteau d’une couleur indéterminée semble briller sous les rayons de lune. Elle gravit les marches avec une élégance royale. Elle semble voler jusqu'à la porte que les deux cerbères lui ouvrent sans un mot.
A l’intérieur, ses invités l’attendent. Dix hommes tous différents, mais réunis dans l’antre de la marquise. Une grande pièce Drapée de tentures rouge, au centre une arène au milieu de laquelle trône une couche recouverte de satin noir, contrastant avec le carrelage aux reflets de marbre rose.
Les hommes attendent tous derrière une balustrade que la marquise s’installe. Sous son manteau qui est en fait en velours pourpre, elle cache un léger ensemble noir et très près du corps ne cachant rien des délices de son corps. Chaque couture dessine amoureusement ses courbes et formes généreuses.
Son bustier souligne ses seins lourds et imposants, ses tétons dressés annoncent son désir, leurs aréoles roses et parfaitement circulaires sont comme des appels à la luxure. Ses hanches arrondies attirent les yeux de ses dix vaillants chevaliers, invités pour son unique caprice.
La Marquise aime se donner du plaisir sous les yeux de spectateurs et ainsi les exciter jusqu'à jouir de les voir se masturber. Elle adore cette domination et le pouvoir dont elle abuse, cette puissance hypnotique la met en transe. Ce soir, tous ont rendez-vous dans l’antre de la marquise, une scène où elle peut se donner en spectacle et combler ces valeureux gaillards qui dressent leurs dards comme des épées lors d’une haie d’honneur.
Elle s’allonge sur sa couche, les jambes écartées, commence à faire glisser ses doigts sur son ventre, et glisse doucement sur son pubis vierge de tout poil. Son index dessine des cercles autour de son clitoris, son autre main pince son téton. La tête penchée en arrière, les yeux mi-clos, elle s’envole doucement.
Ses dix voyeurs se rapprochent et forment un cercle autour d’elle et commencent à masser leur partie virile. Ce délicieux spectacle la ravit et les effluves de senteurs de mâles en rut la transportent. Ses gémissements se mêlent aux râles des hommes et rebondissent contre les murs.
Les moins valeureux d’entre eux crachent rapidement et se retirent de la place. Les cinq derniers sont invités à se rapprocher, et à caresser à leur tour le corps de la marquise. Elle est au bord de l’extase. Elle glisse sa main sous le satin noir et en sort un magnifique jouet, un sexe d’ébène strié pour plus de sensations, et l’enfonce profondément dans sa fleur. Chaque strie provoque en elle des secousses, ses mouvements de va et vient finissent d’achever les hommes restants. Ses derniers cris de spasmes la secouent, elle est parcourue de frissons et des tremblements de l’orgasme. Le dernier guerrier debout jouit lui aussi à ce moment.
Elle se lève de sa couche, se tourne vers le dernier debout et lui dit :
« Reviens demain. »
Sur ces mots, elle remet son manteau et se dirige vers la grande porte qui se referme derrière elle, laissant ces cavaliers du soir se rhabiller et revenir au monde réel.
Maxx
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Les routiers
Les klaxons des trente cinq tonnes retentissent dans de la vallée, tel un chalutier qui sort de la brume, comme pour avertir Simone, la gérante du relais routier de préparer à boire. Certes, ce n'est pas un canon, mais elle a su garder un corps superbe, qu'elle n'hésite pas à mettre en valeur, pour le plus grand bonheur de ses fidèles clients. La CB a fonctionné toute la journée entre chauffeurs, pour fêter un événement exceptionnel.
En effet, c'est aujourd'hui qu'Hervé, quarante ans, reprend le travail, suite à son voyage de noces. Il a promis à ses copains de route, de leur présenter sa jeune et ravissante épouse, âgée de vingt-quatre ans.
Hervé se vante de cadences infernales au lit, et que la jeune fille n'a pu résister à ses avances. Les chauffeurs, accoudés au comptoir, attendent avec impatience l'arrivée des nouveaux mariés.
Et là, les bras leurs en tombent en voyant la superbe créature rousse qui accompagne Hervé. Ils se demandent comment un mec, qui n'a rien d'un jeune premier, a pu séduire une telle femme ! C'est donc vrai, qu'il doit être performant au lit…
« Salut, dit Hervé, je vous présente Margarita, mon épouse... Chérie, mes collègues de travail.
- Félicitations, arrivent à dire en cœur, les routiers... Venez trinquer », poursuit l'un d'eux.
Il est évident que ces mâles, qui ont des heures de route, se bousculent pour savoir qui aura l'honneur d'offrir le premier verre, et peut être, les faveurs du premier baiser. Et le veinard se prénomme Émile, un vieux de la vielle âgé de cinquante ans. Ne voulant pas être en rade, Roger, son compagnon de route, lui emboite le pas.
Les coups à boire vont bon train, et si Margarita reste sobre, il n'en est pas de même pour Hervé, que ses copains alimentent copieusement.
« Mon amour, dit-elle, allons nous coucher, ou alors tu me donnes la clé du camion...
Puis-je avoir un thermos de café ?
- Mais bien sur ma poulette, avec plaisir, sourit Simone, t'inquiète pas, on prendra soin de ton mari.
- Il fait un temps pourri dehors, aucune visibilité, je peux vous raccompagner ? propose Émile.
- Je veux bien, merci », répond Margarita.
Pour ses compétences, mais aussi pour qu'il est plus d'espace, sachant qu'il allait embarquer sa jeune épouse, Hervé s'est vu confier un camion dernier cri, flambant neuf, reluisant de chrome, mais surtout équipé d'une grande cabine.
Margarita et Émile traverse le parking faiblement éclairé, pour rejoindre le bahut. Margarita tourne la clé, et lève haut la jambe, pour atteindre la première marche. Dans le mouvement, la mini-jupe remonte sur la cuisse. Seul l'épais collant de laine protège son intimité. Émile fait mine de l'aider à gravir la dernière marche, en passant une main entre les jambes de la jeune femme. Celle-ci marque un temps d'arrêt, comme pour inviter son accompagnateur à continuer.
Émile frotte l'entrecuisse ainsi offert à sa convoitise, et semble entendre un gloussement de la part de la jeune mariée.
« Vous montez prendre un café ? dit-elle, ça nous réchauffera.
- Mais avec plaisir, jolie dame », accepte Émile déjà en train de bander comme un jeune homme…
Et les voilà montés dans la cabine, légèrement chauffée par le groupe électrogène du camion. A peine installée, Margarita fait sauter son chandail de laine par dessus sa tête, projetant ses seins volumineux aux bouts tendus, au visage d'Émile, qui n’en espérait pas tant. C'est ensuite au tour de la minijupe et du collant de suivre le même chemin.
« Ce n'est pas un café qu'il me faut pour me réchauffer, mais un bon coup de queue d'un mâle, d'un vrai », souffle-t-elle.
Émile est ahuri d’une telle aubaine : une gamine superbe comme ça, qui s’offre à lui comme un cadeau ? Il en bande encore plus fort !
De ses mains maladroites, elle s'emploie à déshabiller le routier, sortant d’un caleçon usé une bite poilue mais bien raide. Elle lui caresse les couilles, jusqu'à le faire crier, puis se penche, lui coince la queue en érection entre ses seins, le bout à portée de bouche. Après l'avoir excité avec la langue, elle parvient à décalotter le gland du bout des lèvres.
« Ah... râle Émile, taille-moi une pipe, petite garce, vas-y... Ton mari sait que le fais déjà cocu ? »
Margarita n'est pas à son coup d'essai, elle maitrise ce genre d'activité. Elle enrobe le gland de salive, excite le frein du bout de la langue, joue avec le méat, fait coulisser le prépuce. Puis elle rampe sur son partenaire, en le léchant, pour enfin s'empaler sur l'énorme bite en érection, aidée en cela, par l'abondante mouille de sa chatte.
Margarita se cambre pour tendre sa magnifique poitrine durcit par le désir, aux bouts proéminents.
Émile lui, retrouve la vigueur de ses vingt ans, ses coups de reins sont dévastateurs dans le ventre de la jeune femme.
« Oh putain, soupire-t-elle. Ca faisait longtemps que je n’avais pas eu un calibre pareil dans la chatte... Nique-moi à fond... Salaud, vas-y... bourre moi ma chatte de salope ! »
Margarita est-elle en manque de sexe ? Toujours est-il qu'elle ne tarde pas à jouir dans un cri de plaisir.
« Oui, c'est bon... Mais c'est trop rapide mon chéri, on va faire l'amour maintenant, le vrai... »
Pris dans la spirale de la jouissance, ils n'entendent pas la porte de la cabine s'ouvrir. Un intrus certainement attiré par les plaintes du couple, qui rentre sans bruit. Il se place derrière Margarita, et lui saisit les seins à pleine mains.
« Oh putain... c'est pas Hervé », se dit-elle.
Surprise malgré tout, elle se retourne d'un bloc, reconnait Roger.
« Con...ça va pas ? Tes mains sont gelées...
- Mais je demande qu'à les chauffer mon chat, entre tes cuisses par exemple. Je suis sur que ton clitoris est bouillant.
- Et si Hervé se pointe, on dit quoi ?
-T'inquiète, répond Roger, Simone l’a monté dans sa chambre, elle va bien s'occuper de lui. Il lui faut aussi son cadeau de noces ! »
Roger force Margarita à se pencher sur Émile, et glisse une main par derrière, entre les fesses, saisit les bourses de son copain.
« Oh là, mais c'est que les glaouis sont pleins Milou, sourit Roger, et le petit trou de la belle, qui s'en est occupé ?
- Enfoirés... soupire Margarita...heu...non...faut dire que c'est pas la tasse de thé de mon époux... Vas-y, mouille le un peu, et fait sauter le verrou... »
Roger n'en espérait pas moins. Il mouille deux doigts afin de lubrifier la rosette de la jeune femme pour mieux la dilater. La bite tendu et décalottée au maximum fait le reste, pénètre lentement le petit orifice.
« Ha...salaud...doucement...ha...j'ai pas l'habi... ha.... ha...
- C'est vrai qu'elle est étroite la pute, dit Roger, ton mari t'encule jamais ?
- Non, souffle Margarita...pourtant... c'est tellement bon... vas-y... profites-en salaud... »
Margarita sent les couilles du chauffeur qui butent contre ses fesses, tandis que les deux queues se mettent en mouvement dans une double pénétration. De par sa position, Roger est le mieux placé, plus productif. A chaque coup de boutoirs, il arrache un cri à Margarita.
« Tu te régales, hein ? Salope...Ton mec t'encule pas comme ça ! C'est dommage qu'il n'y ait pas de toilettes à ce relais, on t'aurait bien prisz sous la douche, la prochaine fois peut être ?
- Oh oui...oui... Vous me ferez tout ce qu'Hervé ne me fait pas... Je me laisserai faire, je vous promets d'être sage...
- C'est très bien, poursuit Emaile, tais toi maintenant, laisse-nous vider nos couilles à notre aise... tiens, mal baisée... prends ça !
- Oui, oui... Allez-y... Faites-moi connaitre autre chose que ma nuit de noces... Je jouis... oui.... enfoirés... Remplissez-moi de foutre... »
Les orgasmes de Margarita se succèdent aux rythmes des coups de reins, et des giclées de sperme, jusqu'au petit matin. Tout le corps et le visage de la jeune épouse en sont couverts.
Émile a la judicieuse idée d'aller remplir une bouteille au point d'eau du parking pour que la jeune femme puisse se rincer... L'eau est glacée, ce qui à pour effet de faire cambrer le superbe corps de Margarita.
C'est grelottant de froid, et nue sous la couverture, qu'Hervé trouve sa femme dans la cabine du bahut.
« On s'arrête au prochain relais ma chérie, je crois que tu as besoin d'une bonne douche bien chaude.
- Oh oui, avec plaisir, savoure déjà Margarita, justement, il y a tes cop.... Heu... non, rien... suis-je bête... »
Dans la vallée, les trente-cinq tonnes d'Emile et de Roger font entendre leurs sirènes, comme pour dire à leur conquête d'une nuit : « à bientôt » !
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Magali et Broxo
Je me décide à écrire mon histoire après avoir longuement hésité…
Je m'appelle Magali, j'ai trente-quatre ans, et je vis dans le sud-ouest de la France. Avec mon mari, on a un fantasme qu'on pensait laisser pour toujours au rang de fantasme, jusqu’à ce jour-là.
C'était un vendredi, je rentrais du travail un peu fatiguée, Stéphane mon mari m'accueille avec un sourire inhabituel. Je lui demande ce qu'il a, et il me répond :
« Ce soir on sort. », avec une expression que je reconnais bien.
Il a une petite idée derrière la tête !
On est un couple libertin, alors direct, j'imagine qu'il veut qu'on aille en club. Je lui fais comprendre que je ne me sens pas vraiment d'attaque à aller en boite ou sauna échangiste.
« Rassure-toi, c'est pas ça, on va chez quelqu'un que je veux te présenter, et puis... je t'ai préparé une surprise », qu'il me répond.
Un petit peu émoustillée par l'inconnu, je file me doucher et me préparer, je mets une petite robe noire près du corps et mes jolies chaussures à talon.
Nous partons en voiture peu de temps après, et pendant le trajet, je presse mon chéri de questions :
« Mais qui c'est au juste ? Et comment tu le connais ? »
- C'est un couple d'amis que j'ai connu par internet, je ne les ai jamais rencontré en vrai, mais ils sont... spéciaux, ça devrait te plaire, » dit-il avec un clin d'œil
Je ne suis qu'à moitié rassurée, sur internet on trouve de tout, et parfois loin du meilleur... Ce sont peut être des fans de SM. Mais non mais non, Steph sait très bien que je n'aime pas ça. Au début, quand il a parlé de surprise j'ai pensé que c'était un gang bang, il sait que j'adore les soirées avec plein de mecs autour, rien que pour moi. Mais ça ne peut pas être ça, puisqu'il dit que c'est un couple... Mon esprit est en ébullition de ne pas savoir. Je suis à la fois intriguée, excitée, et j'ai un peu peur... Si ça se trouve, ce sont des détraqués qui vont nous attacher et nous découper en morceaux ! lol...
Nous arrivons devant un chemin de pierre qui serpente pendant quelques dizaines de mètres, pour donner sur un portail en métal à ouverture automatique.
Nous étions visiblement attendus, car le portail s'ouvre aussitôt lentement, et je vois au loin une grande demeure type maison de pays basque, à la fois grande et rustique. On dirait une ferme qui a été refaite, avec un grand terrain qui ne sert que de pelouse. Nous nous garons dans la cour, et à peine descendus de voiture, nous sommes accueillis par un couple qui se tient devant nous.
La femme est plutôt jolie, elle doit avoir la trentaine, peut être un peu plus, elle a de longs cheveux bruns et des yeux très coquins. Par contre, son mari ne me semble pas vraiment excitant... Il a une drôle de tête et un peu de bide, c'est pas vraiment mon type. Ils nous invitent à passer a l’intérieur, et nous offrent un verre.
Il y a deux grand canapés en cuirs recouverts d'un grand drap bleu chacun, je m’assois à coté de mon mari et le couple fait de même en face de nous. Et la je me rends compte qu'en fait, ce monsieur est charmant. Il s'appelle Pierre. Il me dit que sa femme est notaire, et lui est dresseur éleveur. Il m'a tout de suite mise a l'aise, sa voix est suave et ferme en même temps, il sait parler aux femmes.
Isabelle son épouse, au contraire est plutôt timide et ne m'adresse pas vraiment la parole directement.
La soirée commence avec un petit peu de questions habituelles dans le milieu, depuis combien de temps vous faites du libertinage, qu'est ce qu'on recherche d'habitude, tout ça... Nous buvons un deuxième verre, je reprends un whisky-coca. Et puis Stéphane rentre dans le vif du sujet :
« Alors pierre, dites moi, vous avez préparé tout ce qu'on avait dit sur msn tout à l heure ?
- Oh on peut se tutoyer, hein, mais oui pas de soucis, d’ailleurs je vais le chercher maintenant. »
Pierre s'éclipse un instant par la porte derrière nous. J'entends un peu de bruit et je vois la porte se rouvrir avec un gros beauceron, un chien énorme, qu'il tient en laisse.
Par réflexe je regarde mon mari, et il doit voir sur mon visage une expression effrayée, mais me rassure aussitôt :
« Ne t’inquiète pas tu n'es obligée de rien, et tu vas juste regarder si tu préfères. »
Le chien s'approche d'Isabelle et moi, guidé par son maitre. Sa truffe vient se coller sur les genoux de sa maitresse, qui se tourne vers moi en me disant :
« Je vais te montrer ce qu'il faut faire avec Broxo, tu vas voir c'est très facile… »
Elle écarte les jambes et le chien comprend aussitôt que c'est le signal. Sa langue se jette sur la chatte que je vois offerte à quelques centimètres de moi. Isabelle commence à se tortiller à chaque passage de la langue du chien sur son petit clito, que je peux voir se durcir d'ici.
Le chien s'applique incroyablement. Il lèche lentement mais avec application, comme seuls les chiens savent le faire, et cette langue est si large et si longue, si musclée, il ne force vraiment pas….
Puis Broxo colle sa truffe sur le clitoris, et change son mouvement, je comprends qu'il est en train d'enfoncer toute sa langue à l’intérieur du vagin de la jeune femme qui ne retient même plus ses gémissements de plaisirs.
Pierre commente :
« Elle aime ça, tu vois, s'il y a un point où les chiens sont meilleurs que les hommes, c'est bien en lèche ! » lance t-il à Stéphane.
Il acquiesce, et me dit de m'approcher pour bien voir.
J'avoue que la situation me trouble au plus haut point. Mais je n'ose pas vraiment regarder de plus près. Je me sens à la fois gênée et honteuse, pour cette fille et aussi pour moi.
Pierre se rend compte de ma gêne, et il s'approche de moi pour me réconforter :
« Ne t’inquiète pas ma belle, personne ne juge personne ici, tu peux te détendre, allonge toi je vais te masser. »
Stéphane lâche un moment des yeux le spectacle du chien qui l'hypnotisait jusqu’à maintenant, pour venir contre moi. Il me dit qu'il veut me lécher ma chatte lui aussi. Quelque part, ça me soulage un peu, qu'on fasse une baise entre nous. J'en viens même à espérer qu’il sorte sa bite, ce Pierre, et qu'on fasse ce que je sais faire, ça me rassure plus que ce truc avec le chien...
Stéphane relève ma robe et montre à Pierre que je n'ai rien d'autre en dessous, mais surtout que ma chatte est trempée d'excitation...
Mon mari enfonce sa langue dans ma chatte mielleuse, tandis que Pierre me masse les épaules, puis descend sur ma gorge. Il me caresse mes seins lourds à présent… Puis remonte dans mon dos et ma nuque... Brrr, c’est terriblement délicieux...
Stéphane sait divinement me faire venir avec sa langue qui titille mon clitoris sans cesse... Pendant tout ce temps, je ne peux m’empêcher de jeter par moment un coup d’œil à Isabelle qui s'occupe du chien a présent. Puis les hommes s’arrêtent et me disent :
« Regarde, elle s’ennuie pas, elle non plus. », en désignant Isabelle qui est en train de branler le chien.
Je peux voir alors le gland bien rouge du chien se décalotter, et il est de taille imposante, son sexe est presque aussi gros que celui d'un homme !
Isabelle descend du canapé, d'une tape de la main, elle fait signe au chien de mettre ses deux pattes avant sur le canapé. Elle passe sa tête sous le corps de Broxo pour bien avoir son sexe devant sa bouche. Le pénis du chien est turgescent et luisant, je mentirai si je disais qu'à ce moment-là, je n'ai pas envie de sentir la sensation d'avoir ça sur mes lèvres ... Je l'envie... Mais aussitôt, je me reprends, et je détourne les yeux. Stéphane l'a vu et il fait signe a Pierre.
Il m'aide à m'allonger complètement sur le canapé, les jambes vers le chien. Broxo ne met pas longtemps à comprendre, et je sens sa truffe s'approcher de mes jambes, puis de mes genoux, et remonter vers mes cuisses...
« Non ! » dis-je, dans un soupir.
Mais c'est un non qui transpire le ouiiiiii, et le chien enfourne sa truffe sur mon pubis pour lancer sa langue à l'assaut des replis de ma chatte. Bon sang ! C’est Divin ! Mon mari vient juste avant de me faire jouir avec un cuni dont il a le secret, mais la, c'est complètement différent. C'est à la fois plus doux et plus profond, c'est plus long et plus appuyé, c'est une extase...
En plus, quand je baisse, les yeux je vois que sa maitresse ne perd pas une minute, car maintenant elle avale goulument le sexe rougeoyant du chien qui envoie du sperme par saccade, dont elle se régale sous mes yeux en me fixant.
Elle se redresse justement pour empoigner son chien qui lui lèche alors le visage. Broxo se lèche son sexe pour se nettoyer. Elle me regarde, je suis sur le dos les jambes écartées et de la bave de son chien plein la chatte, elle a l'air de se régaler de cette vision de luxure.
Elle me dit :
« Tu veux essayer de le sucer ? »
Je ne réponds pas, mais au fond de moi, j'en meurs d'envie. Elle a bien du le voir, car elle fait signe à son chien de monter sur moi, les pattes avant sur l'accoudoir du canapé et le sexe droit érigé vers mes lèvres. Je sens une odeur très agréable de shampoing, il a été lavé récemment, ce gros chien...
Isabelle s'approche de mon oreille et me susurre :
« Tu dois l'embrasser délicatement, c'est très sensible et fragile. Et avec ta langue, tu poses la pointe sur son gland, ça va le faire durcir encore plus. »
Silencieusement, je m'exécute, et je trouve ça enivrant de plaisir.
Pendant ce temps mon mari et Pierre ont fait le tour, et se sont postés chacun à coté de moi. Ils branlent leur bites dures comme jamais, pour l'approcher du gland du chien. Je reconnais le sexe de mon homme que j'avale aussitôt pour ne pas montrer que je préfère celui du chien.
Puis je découvre la bite large et épaisse de Pierre que je suce alternativement. Mais sa femme me redirige vers le sexe de Broxo, que j'avale goulument. C'est alors que je remarque que son sexe forme une grosse boule à l’arrière, qui est maintenant complètement sortie. J’entreprends de lui lécher... mmmmhh c'est un tel régal que bientôt, je ne suce plus du tout les bites des deux hommes autour de moi pour me régaler, uniquement celle du chien.
Pierre me prend par les épaules, et me dit qu'il est temps de passer aux choses sérieuses.
Il me fait pivoter, et je comprends qu'il veut que je me mette en levrette. Je m'installe de telle sorte que maintenant, mon cul est bien cambré et complètement offert au chien. Il me lèche même mon petit trou avec avidité.
Pierre fait une tape sur mes reins, et Broxo comprend alors qu'il doit me monter... Avec frénésie, il s'agite derrière moi, tandis que ses pattes lourdes me griffent les avant-bras.
Mais le chien rate son coup, et je sens qu'il lime entre mes fesses, mais dans le vide. Sa maitresse vient d'une main habile le rediriger vers ma chatte qui perle de mouille, je suis trempée comme une chienne en chaleur, c'est vraiment le cas de le dire.
Quand d'un coup, je sens quelque chose de dur et de chaud me pénétrer. Ça y est. Il est dedans et sa bite de chien ramone mon vagin... mmmhhh c'est vraiment bon... Une sensation si différente de la peau d'un sexe d'homme... Puis le chien accélère, et je sens même que sa bite va tout au fond de mon vagin. Elle tape contre mon col d’utérus, et je ne peux retenir des cris de plaisir.
Ces gens doivent me voir comme une moins que rien qui se laisse baiser par leur chien, mais après tout, eux même sont zoophiles, ils peuvent bien comprendre... Je sens que je viens, l'orgasme monte en moi, et je commence juste à m'habituer à la cadence si particulière du chien, quand d'un coup, je sens que ça force, quelque chose se passe et ce n'est pas normal.
Je pousse un petit cri, il y a une douleur à l'entrée de mon vagin, voilà qu'il est rentré en entier ! Sa grosse forme à la base de sa queue vient d'entrer en moi ! Et je sens que ça gonfle, mmmmh que c'est bon ! Ça me prend tout la forme de mon vagin, je suis complètement remplie par ce truc...Le chien ne bouge plus, il halète de plus en plus, il est en train de prendre son pied lui aussi, c'est évident...
Je sens une grosse vague de chaleur monter en moi des pieds à ma tête, et ça se concentre dans mon bas ventre pour exploser : je hurle un cri d'orgasme ! Le chien se retire ensuite d'un coup, et je sens plein de sperme me couler le long de la chatte et sur mes cuisses... Je n'ai pas le temps de réaliser car je perds un peu le fil des choses, je vois juste des flashs d’Isabelle en train de lécher la queue de son chien, en même temps que Pierre le flatte et le récompense en caresses :
« Ouiiiii c'est un bon chien ça... oui... Bon chien. »
Quelques secondes plus tard, je reviens un peu à moi. En recouvrant mes esprits, je constate que Stéphane a éjaculé sur mon visage, et il joue avec mon sperme qu'il étale tantôt sur mon visage et sur celui d’Isabelle qui vient le lécher aussi. Décidément, elle aime autant le sperme humain qu'animal cette fille !
« Alors ça t'a plu ? me demande mon mari.
- Je ne vois pas comment prétendre le contraire, oui c'était trop bon... »
Il se fait tard et Stéphane aimerait qu'on rentre, il remercie nos hôtes qui nous remercient également. Comme je ne vois plus Broxo, et je demande à Pierre s'ils l'ont enfermé, il me dit que non, d'habitude ses chiens sont tout le temps à l’extérieur, mais aujourd’hui ils l'avaient baigné et nettoyé et ne voulait pas qu'ils sortent pour qu'il reste propre le reste du week-end... Avec un clin d’œil malicieux, ils m’expliquent que demain ils risquent de remettre ça avec un mec seul, et nous demandent si l’on voudrait assister. Mais nous déclinons l'invitation, et nous repartons chez nous avec un fantasme de plus de réalisé.
Je ne sais pas si on refera un jour une expérience similaire, mais si l'occasion se présente, qui sait ?
Signé : Magali
Magali
On ne peut pas désobéir à sa patronne...
A cette époque, j’avais vingt ans, et ma patronne, quinze de plus. Elle est brune, menue, fragile comme une porcelaine. Moi, je suis une vraie blonde, bien charpentée, et avec des rondeurs affirmées.
Pour seul point commun, nous avions toutes les deux le même tempérament explosif qui nous donnait le besoin de jouir plusieurs fois par jour. Respectivement insatisfaites par nos compagnons, nous avons souvent profité des heures creuses du magasin pour nous donner quelques plaisirs lesbiens dans la cabine d'essayage. C'était bon, mais nous n’avions pas assez d’espace. Nous nous sentions frustrées. Nous avons alors décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à nos compagnons que nous allions faire du sport dans un club privé, nous sommes allées régulièrement nous gouiner ans un petit studio que ma patronne avait loué spécialement à cet effet.
Elle était bien plus expérimentée que moi. Elle m'a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minou en règle à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j'ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d'aller toujours plus loin dans ces découvertes de sexe pur.
Ma patronne avait de l'imagination et un sens prononcé de la domination. Un soir, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J'étais légèrement déçue, mais je n'ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m'a présentée et très vite aussi j'ai eu la sensation de devenir une marchandise.
Devant les deux hommes, elle m'a déshabillée en faisant valoir mon corps généreux, ma poitrine opulente, et mon postérieur rebondi. J'étais gênée, d’autant plus que le mari de ma patronne me glaçait, par sa façon d’être, assez hautaine. Heureusement, il n'a pas été long à se débrider, le monsieur. Après m'avoir bien observée sous toutes les coutures, il s'est approché de moi et m'a palpée en connaisseur.
Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s'est enfilé son gode bien lubrifié dans le vagin. Elle mouillait tellement qu’il est entré tout comme dans du beurre. Elle avait un regard tellement lumineux qu'il me faisait presque peur.
Son mari m'a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et l’anus. Vérifier pourquoi ? Je n’en n’avais pas la moindre idée ! Après avoir eu l'impression d'être un animal, j'ai eu l'impression d'être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l'ami, contrairement à ce que je m'attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, en lissant ses doigts dans ma fente et l'approfondissant avec tendresse.
Mon aventure avec ma patronne m'avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n'ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller des hanches pour que les doigts atteignent mon clitoris. L'ami a déclaré d'une voix de docteur :
« Mon cher Paul, votre femme a raison... c'est une occasion rare ! Elle part au quart de tour, et elle huile déjà ! »
Quel langage ! Je n’y étais guère habituée, malgré mes plongées de plus en plus fréquentes dans les endroits les plus sombres de la luxure à tout prix.
C'est vrai que je mouillais, et j'en avais même un peu honte. J'ai regardé ma patronne qui m'a renvoyé un regard dur et qui m'a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j'étais toujours en levrette, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n'osant m'arrêter pour ne pas la fâcher. Je me branlais le clito avec application, pour ne pas faire retomber mon excitation. La voir se branler avec ce monstrueux gode m’aidait aussi pas mal…
Elle a exigé que son mari s'allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à me lécher la moule. Et elle m'a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirai monter l'orgasme. Je ne savais plus trop si l’aimais ou pas me sentir ainsi dominée. Je saurais ensuite que ce fut la première et dernière fois, en tout cas, à ce jour !
Dans les situations extrêmes comme celle-là, je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m'envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, je n’ai pas pu résister longtemps. J'ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j'ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J'en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s'est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son gode gros comme mon avant-bras. Elle demanda à leur ami de m'enculer. Je n’adore pas, mais je me laisse faire… Au point où j’en suis…
Elle savait aussi que j'aimais sucer les queues bien dures. Elle s'est levée pour m'introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l'autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’ouvrait déjà bien. Je m'étais trop retenue. J'ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j'ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux, a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s'est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J'ai senti qu'elle voulait me faire dérailler à force de jouir.
J'aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n'était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n'avais qu'une envie m'éclater dans un orgasme sans fin. La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j'étais tombée sur des baiseurs infatigables, qu'une bonne pipe remettait vite d'aplomb.
Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissait dans son rôle de voyeuse, n'intervenait que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J'ai alors compris que j'étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne aimait me voir enfiler par ses deux amants.
Je l'ai compris et j’aurais pu rester. Ils étaient de très bons baiseurs. J’aurais eu de superbes expériences avec eux. Mais je ne voulais pas rester dans un rôle de soumission qui ne me convent guère…
J’ai démissionné, et plus jamais retrouvé d’employeurs aussi bons !
Ma soumise
19h32
Elle est là, sur le quai de la gare. Je l’ai fait attendre, pas longtemps...
Il fait plutôt frais.
Du parking, je vois le quai, mes phares l’éclaire. Elle me voit, sourit timidement et baisse les yeux.
Personne sur le quai de cette petite gare, je l’attends dans mon véhicule. Elle sait ce qu’elle doit faire. Je la vois hésiter. Puis elle s’exécute. Elle pose son sac à main par terre.
Lentement, elle ouvre son long et chaud manteau, puis l’enlève vivement. Elle est nue dessous, entièrement nue. Je suis satisfait.
Elle place le manteau sous son bras, reprend son sac à main et s’approche de moi en restant dans la lumière des phares. Elle chancelle... Toute nue... Elle reste devant la calandre. Je la regarde en détail. Elle bleuit à vue d’œil.
Il fait chaud dans la voiture.
Je sors, la rejoint, lui prend la main et l’emmène dans la voiture coté passager.
Je lui prends le manteau et le sac à main. Elle se recroqueville sur son siège.
De retour à ma place, après avoir déposé ses affaires à l’arrière, je la caresse, elle frissonne et me remercie avec sa voix douce et tremblante. Elle sait me caresser de sa voix.
Ma main est chaude sur son corps qui commence à rougir. Je lui demande de se redresser. Et de me regarder dans les yeux, elle a du mal... J’insiste, puis lui bloque le visage vers le mien.
« Ouvre la bouche. »
Je viens lui caresser d’un doigt ses lèvres, sa langue, son palais... Elle gémit doucement, et n’arrive pas à soutenir mon regard. Elle cherche a se blottir contre moi. Je le lui interdis.
« Réchauffe-toi pendant que je conduis. »
Après quelques minutes, je sens sa main toucher mon entre jambe. Je décide de la la laisser faire. Je sais qu’elle sait que j’adore ça... Elle a bien suivi mes consignes, elle a droit à une sucrerie.
Alors elle ouvre mon pantalon et me suce avec empressement. Elle a énormément progressé sur le sujet. On roule plus de quinze minutes lorsque ma jouissance explose !
Elle se délecte consciencieusement... Elle se montre plus maternante avec ma queue et la conserve dans sa bouche.
Une fois arrivés, elle ne sait pas où, je lui passe son foulard, elle sait qu’elle doit se bander les yeux. Nous sommes arrêtés dans une rue, pas loin du rendez vous. Elle ne sait rien. Je me rhabille.
Elle frissonne, pourtant son corps est chaud, et je visite doucement sa vulve. Elle est plus qu’humide... Je souris de satisfaction. Je sors de la voiture. Je reste à la regarder de dehors. Elle cherche à entendre ce qu’il se passe. Je la sens inquiète, cela me plait... Puis elle se rassemble, en boule.
J’ouvre d’un coup sa portière.
« Viens ! »
Elle hésite. La différence de température est violente. Je l’aide en lui prenant la main.
Elle sort, tremblante. Puis, je lui donne son manteau. Elle saute dessus, le ferme. Je lui donne son sac. Je lui serre le bras au dessus du coude.
« Je te guide. »
Nous avançons dans la rue.
« Que se passe-t-il, Monsieur ? »
Je ne réponds pas.
« S’il vous plait, dites-moi quelque chose Monsieur, je vous en prie...»
Je réponds :
« Tu as oublié que je décide de tout, ma femelle ? !
- Oh non mon Maître, j’ai peur de ne pas être à la hauteur…
- Et bien nous verrons cela, je sais que tu es capable, je suis confiant ! »
Elle a du mal à marcher naturellement. Elle ne résiste pas, mais se montre maladroite.
Je l’arrête, lui attrape les cheveux, fais basculer sa tête en arrière et lui roule une longue pelle langoureuse et chaude.
« Allez, on y va...»
Elle marche mieux, je la sens même grandir, se redresser... Un vrai plaisir!
J’ouvre la porte cochère.
« Il y a deux étages à monter et on passe par l’escalier. »
Elle recule presque. Je la saisie fortement par le cou.
« Je suis ton guide, lève ton pied droit, la première marche est là. »
Elle s’exécute de manière mécanique. Mais elle enchaine et prend de l’assurance.
Arrivés sur le palier, je la place au milieu et lui dit :
« Tu attends ici maintenant. »
La porte s’ouvre silencieusement, il nous attendait... Je rentre et referme la porte bruyamment. Notre hôte a pris le temps de la voir et me dit être content de notre venue.
Il est fébrile, c’est une situation nouvelle pour lui... Qu’un homme lui offre une femme ainsi !
Je l’interroge sur les conditions de notre visite, il a tout compris. Je m’assois sur son canapé et lui demande d’aller la chercher sans rien lui dire.
Ma soumise est chancelante, je vois bien qu’elle a senti que ce n’était pas moi qui est venu la chercher.
Je lui dis :
« Reste là, pose ton sac à tes pieds. »
Elle est au milieu du séjour.
Notre hôte est attentionné, les bougies sont allumées, la musique est agréable et la bouteille de whisky est séduisante.
Elle tremble... Sa tête est tournée vers moi.
Notre hôte :
« Je vous sers.
- Volontiers, je vous remercie. »
Elle tremble de plus en plus...
Il fait bon chez lui. Je la laisse se réchauffer
« Et à votre femme, je lui sers quand même quelque chose ?
- Je vous rectifie. »
Je me tourne vers elle :
« Qui es-tu pour moi ?
- Je suis sa chose, sa femelle docile, c’est tout. »
Notre hôte est silencieux à la fois surpris et excité... Il me sert. Je la regarde.
Elle est soumise. C’est bon !
« Comment te sens-tu ?
- Je ne sais pas mon Maître, mais est-ce important ? »
Sa réponse me plait...
Notre hôte commence à baver. Le whisky est délicieux
« Enlève ton manteau ! »
Elle hésite, elle le fait, lentement, maladroitement. Il tombe à terre.
Puis elle se redresse bien droite et je la sens fière.
« Je suis heureuse de vous servir, mon Maître. »
Je souris.
Notre hôte a la bouche ouverte et les yeux tout ronds...
« Ma femelle vous plait ?
- Euh... elle est... Enfin je veux dire, elle n’a pas froid ??
- Vous ne me répondez pas...
- Eumh, elle me plait si si.. »
Je me retourne vers elle et dit :
« Notre hôte traverse une passe difficile, aussi j’ai décidé de lui offrir du plaisir ce soir. Toi, ma femelle. Et je sais que tu seras à la hauteur.
- Comme bon vous plaira mon Maître », dit elle avec un grand sourire.
Je me tourne vers notre hôte.
« Servez-moi un autre whisky et faites tout ce que vous avez envie avec elle… »
A suivre…
Signé : Paulot
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Merci pour ce récit follement excitant, qui reveille en moi tant de fantasmes