Les Mémoires très Libertines de Sophie
La pendaison de crémaillère
Voilà quinze jours que la piscine est terminée. Sylvie, ma ravissante épouse, et moi-même, décidons d'organiser une soirée, pour pendre la crémaillère. Au total, une vingtaine de personnes, dont Marc un copain d'enfance, venu sans sa femme, Rébecca, et surtout Gérard, témoin de mon mariage.
« Damien, demande ma femme, comme fait-on pour héberger tout ce monde ? Il y en a qui ne sont pas en couple, on ne peut quand même pas les mélanger !
- On s'arrangera, lui dis-je en souriant. Je peux dormir avec Gérard, toi avec ta cousine. Marc, bien sur, il faut le mettre tout seul, pour les autres, on envisagera, ce n’est pas la place qui manque. »
La soirée se passe dans une ambiance chaleureuse. Mon épouse est d'une beauté, à couper le souffle. Les amis se bousculent pour la faire danser. Malheureusement pour eux, sa fidélité est sans faille. La petite fête se termine vers minuit, et tous les invités regagnent leur coin pour la nuit.
Tôt le matin, je quitte ma chambre pour aller calmer un mal de crâne, reste d'une soirée un peu trop arrosée. Arrivé dans le hall, j'entends des voix provenant de la cuisine. Certainement mon épouse qui prépare le petit déjeuner. Je m'approche sans bruit, et la découvre, entièrement nue, sous sa courte nuisette. Collé derrière elle, Marc, le gland décalotté dépassant d'un mini slip ne cachant rien de son anatomie, la tient par la taille, lui caresse les seins, tout en l'embrassant dans le cou.
« Whoua... quelle nuit, souffle-t-il. Tu sais que tu es un bon coup au lit ? On ne peut pas dire que tu sois fainéante.
- Je sais, répond-elle, je suis insatiable, mon mari me le dit chaque fois qu'on fait l'amour. Pourquoi, Rébecca, ta connasse de femme, elle ne bouge pas son cul au lit ? Depuis que j'ai envie de lui mettre une rouste à celle là.
- S'il te plait, ne soit pas méchante avec elle. Parle-moi plutôt de toi, as-tu d'autres amants ?
- Je n'ai pas d'amants, et n'en aurai jamais. Tu es le premier, et Damien me suffit amplement.
- Whoua, quelle honneur, reprend Marc. J'espère avoir été à la hauteur, et te l'avoir fais oublier, ne serait-ce que le temps d'une nuit. A t'entendre crier, je pense y être parvenu.
- Heu...franchement, non. Il a une façon de se servir d'une femme, que tu n'as pas, et ça, ça ne s'invente pas. Quand aux cris, ce sont ceux d'une femme qui a quand même joui.
- Ah bon, message reçu, je vais réfléchir à ça, ce sera mieux la prochaine fois.
- Honnêtement, je pense qu'il n'y aura pas de prochaine fois. J'aime mon mari, alors mettons ça sur le fait que l'ambiance était un peu chaude. »
Ma femme se retourne, lui caresse la joue, et lui prend tendrement les lèvres.
« Allez, sans rancune. »
Elle entre dans le salon, le plateau à la main, suivi par son amant d'une nuit. Je suis campé au milieu de la pièce, mains derrière le dos, face à eux.
« Mais, bafouille mon épouse... tu es là ? Tu as...
- Tout entendu ? Oui, répondis-je. Laisse-nous Marc, il faut que je parle avec ma femme. »
Nous nous asseyons sur le canapé. C'est Sylvie, le visage livide, qui rompt le long silence.
« Laisse moi t'expliquer chéri, me dit-elle, ce n'est pas ce que tu crois. Marc a insisté, et j’avoue que le champagne aidant, j'ai succombé. Que puis-je faire pour réparer tout ça ?
- Mais tout se négocie ma chérie, dis-je. Justement, je cherche une hôtesse pour mes soirées coquines, et tu rentres parfaitement dans le moule que je recherche. Qu'est-ce que tu en dis ?
- Tu sais que je ferai n'importe quoi pour toi, me dit Sylvie, mais là, tu me fais peur. Mon travail consisterait en quoi ?
- Mais à ce que tu sais faire le mieux ma chérie : la pute, comme tu l’as fais cette nuit avec Marc. »
Mon épouse accuse le coup, ferme les yeux. Elle sait qu'il n'y à pas d'autre alternative.
« Je vais prendre rendez-vous à la boutique de Rébecca lundi, entre midi et deux, c'est fermé. il faut que tu sois super sexy pour ma soirée de samedi.
« Rébecca, bégaie Sylvie. Mon dieu, mais... tu sais bien que...
- Quoi ? Que tu la détestes ? Oui je sais... Il faudra t'y faire ma chérie, elle risque de participer aux ébats, d'autant qu'elle adore les femmes. »
Midi pétante, nous rentrons dans la boutique. Rébecca, sculpturale brune, nous attend. Elle m'embrasse amoureusement, mais reste totalement indifférente à la présence de mon épouse.
« Cabine numéro neuf, lui dit-elle sèchement, je prépare tes affaires et j'arrive. »
Bien sur, la cabine est là pour pimenter la situation, puisque il n'y a personne dans la boutique.
Je promène entre les présentoirs, quand j’entends des cris venant de la cabine. C'est Sylvie qui est en train de prendre une fessée.
« Alors comme ça, tu voulais me mettre une rouste, gronde Rébecca, c'est pas gentil ça.
- Assez, assez, se plaint mon épouse. J'ai dit ça suffit comme ça ! Arrête, s'il te plait.
- Tu préfères ça peut-être, salope ? »
Je m'avance de la cabine, et découvre ma femme, appuyée contre la paroi de la cabine, nue, les reins cambrés en arrière, croupe offerte, en train de se faire chatter. Je vois nettement sa fente se faire pénétrer par les doigts vicieux de la vendeuse. Petit à petit, les râles de douleurs se transforment en râles de plaisir. Elle sort sa langue, et lèche le miroir.
« Mais c'est qu'elle mouille la pute, elle se régale, dit Rébecca en me regardant. Tu sens ce que je fais à ton clitoris ? Mhum... c'est bon ça, hein ?
- Oh oui, gémit mon épouse. Vas-y, gratte-le... Fais-moi jouir... Oh oui... doigte-moi... Oh, hou... »
Jamais, dans mes rêves les plus fous, je n’aurais imaginé ma femme se faisant doigter par une autre femme. Je la découvrais de plus en plus salope, et j’adorais ça !
Après avoir fait lécher ses doigts par ma femme, Rébecca me rejoint, satisfaite.
« Tu vois qu'elle aime les femmes, dit-elle, tu l'as entendu gueuler ? Dommage que je ne sois pas libre cet après midi, je me serai bien amusée avec elle. La prochaine fois peut être.. Allez, récupérez vos paquets à la caisse. Par contre, il faut que sa petite chatte soit bien épilée. Allez, à samedi. »
No sortons sans mot dire de la boutique. Sylvie n’ose pas me regarder.
« Tu as honte, ma chérie ? tu n’as pas aimé jouir sous les doigts de ton ennemie ?
- Euh. je.. je.. sais pas, bégaie-t-elle, rouge come une tomate.
- Je sais que tu as aimé. Mais tu vois, ce n’est que le début. Tu vas me servir à finaliser des commandes que je n’arrive pas à conclure. AU moins, le fait de te comporter en pute me servira à quelques chose !
-Mais tu ne peux pas.. pas comme ça, pas des clients.
-Tu obéis, ou c’ets la porte. »
Sylvie ne dit plus rien, muette de stupeur. Elle n’imaginait pas que son cher imari la traiterait ainsi. Mais pourtant, elle a encore plus honte en sentant la chaleur qui irradie son bas-ventre quand elle s’imagine en pute…
La samedi, j'invite donc deux futurs clients et amis du club de golf. Rémi, quarante-cinq ans, cheveux grisonnant, très séduisant, et Malik, un jeune nouveau venu dans la profession. Tout les deux sont des fervents du sexe, capable de baiser une nuit entière.
Rébecca est là aussi, assise sur le canapé, toujours aussi belle dans ses tenues extravagantes.
J’ai chois une sorte d’alcôve, un peu retirée, faite pour les repas d’affaires. Là où nous sommes, les autres membres du club ne peuvent pas nous voir. Mes deux amis et moi, sommes installés à la table, quand ma femme apparait, magnifique. Rébecca a choisi des vêtements « d'appel d'urgence », une mini-jupe au ras de la moule, et un petit haut, dont on peut voir, en dessous, la naissance des seins. Tout est réuni pour passer une agréable soirée. Rébecca invite Sylvie à s'asseoir à côté d'elle. Celle-ci obéit, sans un mot, intimidée, elle serre les jambes, pose timidement ses mains sur ses genoux.
Aussitôt, Rébecca essaie d'insinuer une main entre les cuisses fermées, en vain.
Un sourire aux lèvres, mes clients et moi, reprenons le fil de nôtre conversation. Je ne m’aperçois pas de suite que ma femme a quitté la table.
Soudain, de faibles gémissements envahissent le salon privé. Je me retourne, et vois ma femme, avachie sur le canapé, largement ouverte, se faire doigter par Rébecca, parfaite en meneuse de revue.
« Enfin, sourit-elle, je savais que j'arriverai à t'avoir, salope. Fais voir que je te sorte le clito. Voilà, il est dur ce salaud. Je vais bien te faire mouiller la chatte, Ok ? Tu me diras quand tu es prête à te le faire mettre. »
Sylvie se tord de plaisir sous les caresses de sa rivale. Elle mouille abondamment, je le vois de ma place. Je l’ai rarement vue aussi excitée.
Je vois ma femme murmurer à l'oreille de Rébecca.
« Quoi ? dit celle-ci. Damien… c'est vrai, elle n'a jamais été sodomisée ? On va combler ce vide ma chérie. »
Je n’en reviens pas !!! Sylvie, qui refuse toute pratique hormis la pénétration vaginale, et à peine la fellation, vient de demander une sodomie ! Je n’en crois pas mes oreilles.
Pendant ce temps, à ma demande, mes deux invités se mettent en tenue d'Adam. Ils obéissent très vite, commençant à dire des insanités :
« Dis donc, on ne savait pas ta femme aussi salope... Quelle belle garce bonne à baiser… on va te la défoncera, tu vas voir... On peut faire tout ce qu’on veut d’elle ?
- Oui bien sur, tant que vous n’utilisez pas la violence, elle est votre pute ! »
Impressionné, je vois leurs membres de dimensions imposantes balancer entre leurs jambes, les couilles bien pleines. Mon épouse stupéfaite par les mensurations, les découvre aussi.
« Vas-y, Rebecca, implore Sylvie. Branle-moi, bien profond... Fais-moi bien mouiller, bien baver pour que ces bites me perforent à fond ! Ca y est, je suis prête. J'ai envie de coups de queues... »
Rebecca la lâche, et Sylvie en profite pour se faire fourrer quatre doigts dans sa chatte baveuse par Malik, qui n’en revient pas de a bonne fortune. . En un tour de main, Rébecca fait disparaitre la mini jupe et le petit haut. C'est complètement nue que Sylvie se présente à Rémi.
Celui-ci s’agenouille devant elle, et caresse la fente, lui fait faire un demi-tour, le cul offert sur le canapé.. Il la saisit par les hanches, et d’un unique coup de rein, fait coulisser sa chatte baveuse sur son imposante hampe, entièrement décalottée. Ma femme ouvre grand la bouche en poussant un long soupir. Rémi fait rouler le bout des seins, prêt à exploser, entre ses doigts. Il les malaxe les triture, les maltraite, en même qu’il baise plus fort ma femme.
Elle s’arque sous les coups de boutoir, pour accentuer la pénétration. Une vraie chienne en chaleur ! Je bande comme un fou, de la voir ainsi… Je n’en peux plus, je défais mon pantalon, pour me branler devant ce superbe spectacle.
C'est maintenant Malik qui s'avance, et qui place sa bite, qui n'a rien à envier à celle de Rémi, devant la le visage de mon épouse. Sylvie la saisit à pleine main, libère le gland du bout des lèvres, et l'avale. Elle le pompe avec une vigueur que je n’aurais jamais soupçonnée. La garce arrive même à avaler les vingt-et-un centimètres en gorge profonde. Et dire qu’elle renâcle devant mes quinze centimètres. Elle me le paiera plus tard, la salope !
Elle aspire, malaxe les grosses bourses pleines, Malik baise sa bouche. Il a l’air d’oublier que ce n’est pas un vagin. Dans une poussée plus forte, qui manque de faire étouffer ma femme, il gicle fort et puissant ; je vois le sperme s’écouler de la commissure des lèvres de Sylvie. Cette crème est indécente ! D’autant qu’elle retire le pieu de sa bouche, pour mieux se pourlécher les lèvres de cette sauce gluante.
Malik ne débande pas d’un poil !
Au bout de cinq minutes, Rémi soulève ma femme, dans la visible intention de changer de trou. Je vois la rosette se dilater, avant absorber l'énorme pieux dans un cri de douleur, étouffé en partie par la queue du jeune maghrébin.
« Ah... arrive à dire Sylvie. Il m'encule avec sa grosse bite... Il me dépucelle le cul ce salaud ! Hou... hou... »
Avec une souplesse de chat, Malik se couche sur le canapé, sous ma femme, et de son membre raide comme l’acier, il perfore le vagin dilaté de Sylvie. Elle cire de sentir remplit aisni. Je n’y tiens plus, et présente ma propre bite devant sa bouche, par-dessus l’accoudoir. J’ai un peu de mal à l’atteindre, mais elle gobe sans rechigner ma queue.
Pour la première fois, je vois ma femme en double, puis en triple ! Une vraie chaudasse de porno ! Cette pensée, cette vision m’excite tant que je jouis bien trop vite, inondant la gorge de mon épouse de ma purée épaisse. Je me retire juste à temps pour qu’elle reprenne son souffle, au moment où ils jouissent tous les trois, presqu’ensemble. Dans un souffle, je m’affale sur le siège voisin.
C'est dans un cri simultané que se confondent l'orgasme de Sylvie, et l'éjaculation des deux hommes.
Je ne me rends même pas compte que mes doigts fouillent la chatte de Rébecca, installée, jambes écartées sur mes genoux, en train de se tordre comme un ver.
« Enfoiré, gémit-elle. Vas-y, ça t'excite de voir ta femme se faire niquer ? Branle... Fais-moi couler la chatte ! »
Ma femme va se faire maquer, saillir jusqu'à quatre heure du matin, par tout les trous, dans toutes les positions par ces deux étalons avides de sexe. Rébecca, qui n'a rien raté de la soumission de Sylvie, se tourne vers moi. A ma grande surprise, elle prend sa défense :
« Arrête ça Damien, c'est ta femme, ne la détruit pas. Dis leur d'arrêter, je vais les emmener avec moi. Ok ? »
Je me rends compte que j’ai sans doute été trop loin. D’autant que je suis vexé de la voir jouir encore et encore, alors qu’en fait, elle devait juste être humiliée…
A mon regard, mes invités comprennent qu’il leur faut partir. Ils se rhabillent vite, et me remercient en me tapant sur l'épaule.
« Pour tes contrats, c’est ok. Passe lundi les faire signer, » me glisse Rémi à l’oreille.
J’acquiesce d’un signe de tête. Rébecca quitte le club, accompagnée par les deux vicelards. Je pense que c'est à elle maintenant, d'assouvir leurs fantasmes. Elle en a les compétences. Et je sais qu’elle en meurt d’envie !
Je regarde avec tristesse mon épouse allongée sur la moquette. Les paupières sont à demi fermées, le maquillage coule sur son visage, comme le sperme et la mouille dégoulinent entre ses jambes. Je sens sa respiration secouée par des sanglots.
Rébecca à raison. Méritait-elle tout ça ? N'ai-je pas fait payer trop cher cet écart d’infidélité ? Après tout, il m'est bien arrivé d'avoir des relations torrides avec Rébecca. Je me sens un peu coupable moi aussi…
Je l’aide à se rhabiller, et nous rentrons, sous le regard curieux des derniers clients. Je réalise qu’ils ont du tout entendre. Et même voir… J’en suis à la foi honteux et fier…
Dès notre arrivée à la maison, je me dirige sans un mot à la salle de bains, et remplis le jacuzzi de bain moussant. Puis, je m'approche d’elle, et la soulève dans mes bras. Elle se pend littéralement à mon cou.
« C'est fini ma chérie, dis-je en la déshabillant. Tu vas prendre un bon bain et te reposer. »
Elle me regarde tristement. Est-ce parce qu’elle regrette d’avoir été traitée en moins que rien.
« Je pourrai dormir dans tes bras, pleure-t-elle, s'il te plait.
- Mais bien sur mon amour », réponds-je.
Après une matinée de sommeil agitée, mon épouse fait enfin surface vers quinze heures. Elle ôte son peignoir, apparait nue, et me rejoint dans la piscine. Même si je lis des cernes autour des yeux, elle reste toujours aussi belle. Sa magnifique poitrine s'écrase sur mon torse, je sens ma queue se raidir sous la pression de son bassin.
« Tu ne peux pas quitter ce maillot ridicule, me dit-elle, j'ai envie que tu me prennes là, tout de suite... »
Comment résister à une telle proposition ? On va faire l'amour dans l'eau, sur les dalles du jardin, sur la terrasse, se souciant peu des éventuels regards des voisins.
« Et si on allait passer quelques jours dans le chalet de tes parents ? me demande Sylvie.
- Ah bon, et pour quoi faire ?
- Ben je ne sais pas... Un bébé...pourquoi pas, ça te dis ?
- Viens ici petite vicieuse… »
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Sonia, sa belle-mère, et ses chiens...
Aujourd'hui, nous sommes samedi, et je dois aller prendre le train avant huit heures. Je vais rejoindre mes ex beaux-parents, qui ont gardé une bonne relation avec moi, surtout avec mon ex belle-mère.
Je m’assois, seule, sur un banc, pour attendre le train. Un inconnu s’approche près de moi. Et moi qui suis tellement timide de nature, je me surprends à lui parler. Il me dit :
« Bonjour ! Je vous ai vue lorsque vous êtes arrive à la gare. Et je peux même vous dire qu'il était 7 heures 54 bien précise, c'était l'heure de l'achat de votre billet. »
J'ouvris son sac pour prendre mon ticket pour avoir la preuve de l'heure, et lui répondis : « Effectivement, c'est vrai ! Pourquoi m’avez-vous observée ainsi ?
- Depuis votre entré dans la gare, je ne vous ai pas quittée des yeux.
- Mais comment se fait-il que je ne m'en aperçoive pas qu'un beau mec comme vous me regardait ? Pourtant, je sais qu'un homme comme vous ne passe pas inaperçu. Je sais de quoi je parle, je les collectionne.
- Je me doute… Ce qu’il s'est passé, c'est que vous pensiez à votre chéri ! Laissé à la maison, sans doute ! Ou peut-être que vous allez rejoindre en toute hâte ?
- Ho la ! Ho la ! Vous allez un peu vite, pour moi ! Surtout que ce n'est pas du tout pas ça, je vais chez des amis de longue date.
- Nous pourrions faire un bout de chemin ensemble, dans ce cas…
- Ça tombe bien ! J'ai une faim de loup, suivez moi ! »
Sans plus attendre sa réponse, je pars devant, en direction des toilettes, ne lui donnant aucune chance de me poser de questions. Il me suit. Une fois à l’intérieur, je ne fais pas de chichi. Je le fais se mettre debout sur la cuvette et lui ordonne :
« Maintenant, je vais te dévorer la queue !
- Quoi ? Ca ne va pas !
- Ne vous inquiétez pas ! Je sais y faire, j'ai un grand palmarès à mon actif, sans échec. »
Il semble convaincu, et se laisse faire. Après avoir dénudé ce qui m'intéresse, je fais comme les oiseaux. Je me suis mise à engloutir son grand et gros ver, jusqu'à ce qu'il dégouline dans ma bouche gloutonne...
J'avais dis que son manche était gros et grand ! Il portait un morceau, comme j'avais rarement vu, malgré mes trente-six ans. Je suppose qu'il mesurait au minimum vingt huit centimètres ou plus, sur cinq de large ! Quel casse croute !
Une fois bien déchargé, je ne lui ai pas laissé de répit pour recommencer. Je l'ai pompé jusqu'à sa pleine forme. Elle était bien dure et juteuse à souhait... Comme je n'étais pas rassasié, je le fis se mettre debout sur le sol, et moi, je pris sa place sur la cuvette lui tournant le dos.
Ainsi positionnée, il avait une vue parfaite sur ma rosette bien offerte. Il me prit par mon tout petit trou sans hésiter. Il enfila une capote sur son sexe et m'a graissé la rondelle avec ma mouille. Il a gentiment titillé mon clitoris un moment avant de me perforer avec son pieu, pour me ramoner le trou du cul. J'avais les jambes un peu pliées, et à chaque fois qu'il me bourrait, il me les redressait presque. Je sentais le bout de son mat toucher presque mon cœur. Et mon cœur lui même était au septième ciel avec tant de pression. J'ai joui une fois, puis une deuxième fois, avant qu'il ne décharge dans mes intestins. Il a crié si fort, que, j'avais peur que les passagers entendent...
Il y a qu'une seule chose que je regrette, c'est un baiser. Vous vous rendez compte ! J'ai fais un mec me ramoner le cul à fond, je l'ai même sucé, et tout cela sans un bisou, sans rouler un patin, sans l'embrasser…
Bien sur, il voulait, mais je lui ai dit que je ne voulais pas garder trop de souvenir... Pourtant, pourtant, jusqu'à maintenant, je me souviens de ce super amant, que j'ai laissé sur le quai de la gare de Limoges-Bénédictin en Haute-Vienne. Bien sur, en toute sympathie... mais avec plein de regrets…
A mon arrivée à la gare, j'ai pris un taxi qui m'a déposé devant un libre service, j'ai fais quelques courses, pour donner quelques denrées à mon arrivée chez Mylaine, mon ex belle-mère. Je me dirige enfin dans la rue qui mène vers sa maison. Je rentre sans cogner, comme me l'avait demandé Mylaine. Ne voyant personne, je l'appelle. Elle me répond :
« Dans la cuisine ! hoooo ! Mais c'est Sonia ! »
Nous avons fait toutes les civilités de rigueur. Nous nous somme mises à préparer une de ces super recettes dont je raffole tout en parlant de choses et d'autres.
Elle m'a surtout précisé qu'elle vit seule dans sa grande maison, que son mari et ses enfants sont partis laissant la maison pour elle seule.
A ma grande surprise, la journée fut riche en évènements inattendus. En entrée, ce fut le déjeuner.
Après, nous sommes passées au plat de résistance. Pour cela, elle a amené un de ses chiens qui s'appelle Foxy, un Beauceron Royal de trois ans et demi.
Je la savais portée sur le sexe, mais pas zoophile ! Devant mes yeux ébahis, sans hésiter, elle sortit la bite rouge du chien de son fourreau. Il devait avoir l’habitude, car il a bandé tout de suite !
Nous avons commencé par déguster sa belle tige. Nous buvions du jus de Foxy de temps en temps.
Nous dégustions avec avidité une belle queue de chien bien juteuse, bien dure et bien active. Pendant que je bouffais la bite du chien avec toujours plus d’ardeur, Mylaine me dégustait la moule jusqu'à me faire avoir des orgasmes successifs.
Elle plantait sa langue au fond de ma chatte, mordillait mon clito, m’arrachait des cris de jouissance... Je pensais à la grosse bite que j’avais eu dans le cul quelques heures plus tôt, et je jouissais encore plus fort. La Mylaine, elle était douée pour gouiner une femme bien comme il faut…
De mon côté, la consommation du sexe de Foxy me rendait folle de désir et pendant que je buvais du jus canin par la bouche, je donnais par la même occasion de la mouille à Mylaine. Je décidai de lui laisser la place, pour la dégustation du morceau de Foxy et moi, je me plaçais pour la récupération de son jus canin.
Ce plat de résistance, devenait de plus en plus agréable. Je lui dévorais la moule avec application, me régalant de son jus bien odorant de femme mure. Elle a joui sous ma langue gourmande. Je glissais aussi un doigt dans son cul, pour bien la préparer à ce qui arriverait surement plus tard…
Nous avions joui à plusieurs reprises chacune. Après avoir bien dégusté de la bouche la bite de Foxy, bouffé l'une et l'autre nos chattes avides, nous passons à l'étape suivante, pour arriver au bonheur plus que parfait.
Mylaine a voulu être la première à passer sous la bite du chien. Elle s'est placée le cul au bord du lit et s'est couchée sur le dos en disant :
« J'aime bien sentir les poils sur mon corps ! »
Puis elle se fit monter par le chien qui ne demandait que ça ! Il grimpa sur elle, et s’enfonça d’un violent coup de queue dans la chatte trempée.
Il commença à se balancer simultanément en avant en arrière, bien plus rapidement qu'un être humain ne pourrait jamais le faire. Mylaine était tant excitée, qu'elle poussait des grands gémissements de bonheur. Elle embrassait de ses bras pour bien se mettre en contact avec les poils, tout en tenant la langue du chien entre ces lèvres, elle l'embrassait à pleine bouche, elle le languait, c'était beau à voir.
Pendant ce temps, le chien lui ramonait le con de toutes ces forces. Puis, il s'arrêta. Mylaine ne voulait pas être collée trop longtemps à Foxy, elle fit sortir sa bite de sa chatte et la fit rentrer à nouveau. Le chien se remit à la baiser aussitôt. Il jouit rapidement et abondement dans sa chatte, lançant une grosse giclée de foutre !
Il a éclaboussé en partie ses cuisses et ma main qui caressait en même temps la boule du chien. Profitant de l'occasion, j'ai graissé mon anus avec un peu de cyprine mêlée à la jouissance de Mylaine. J'ai mis un doigt, deux doigts, puis un troisième dans mon petit trou, qui était enfin prêt à être fourré à son tour.
Lorsque mon tour est venu d'engloutir le sexe du chien par la chatte ou le cul, je me suis mise à quatre pattes tout de suite pour la pénétration. Le chien est venu vers moi, il a commencé par me lécher la chatte avec sa grande langue qui me fouillait au plus profond de moi. C’était trop très bon, bien meilleur qu’une langue humaine, beaucoup plus petite et moins agile…
Après, il est monté sur moi, tout hésitant quant à l'endroit où il devait me défoncer. Tantôt la chatte, tantôt le cul. Je ne voulais pas qu'il me prenne par la chatte, j'ai dit à Mylaine :
« Pas ça ! Pas la chatte ! Fais-le renter dans le cul pour moi ! Je ne veux pas dans la chatte !
- Ne t'inquiète pas ! Tu l'auras bien au milieu du cul ma chérie ! »
Une fois guidé, le chien m'a introduit sa grosse bite dans mon petit trou, qui heureusement pour moi avait déjà été graissé, ramoné par l'inconnu du train et par moi avec mes trois doigts. Tout cela facilita grandement le passage d'un sexe que j'avais un peu peur d'engloutir complètement.
Le chien m'a enculée avec une petite sensation de douleur. Vint enfin le moment tant attendu du plaisir. J’étais comblée de tous les cotés. Le chien me trifouillait les entrailles, et Mylaine me branlait le clito et ma chatte hyper gonflée. J'étais tout au fond de moi en ébullition, j'étais si excitée que j'ai joui une première fois dès le début des coups de boutoir du chien. J’ai inondé la main de ma belle-mère de jus abondant et odorant.
Pour mieux avoir les meilleures sensations de Foxy en moi, je me suis mise la tête sur la couverture entre mes deux mains. Dans cette position, j'étais pénétrée au maximum, enculée comme une chienne. Quand le chien se mit à grossir du pieu et me souder à lui, j’étais enfin enculée à fond par cette bite infatigable... Les doigts de Mylaine faisaient des merveilles.
J'ai joui plusieurs fois, et même juste avant qu'il dégonfle pour nous libérer d'un scellage canin parfait. Le chien m'avait fait gonfler le ventre de sperme qui se libéra à la sortie du membre phallique, pour s'étaler sur la couverture et en partie sur mes cuisses, pour mon plus grand bonheur.
Hélas, Mylaine me dit qu'elle doit aller chez une voisine pour lui faire une piqure et qu'elle serait de retour dans très peu de temps.
Maintenant qu’elle est partie, je me sens atrocement seule dans sa grande maison, moi qui suis venue pour lui tenir compagnie, je suis servie !Pour combler un manque, je me dirige dans le couloir juste après son départ, pour aller me caresser un peu… Soudain j'entends un bruit bizarre venir de l'une des chambres. Je me dis :
« Sonia la maison n'est pas hantée ! Ok, il peut avoir quelqu'un ! Et si ce n'est pas une personne, c'est quoi ? »
Je fais la curieuse, j'entrebâille la porte, très doucement pour ne pas être surprise par un éventuel danger, dans la fente de la porte. Et que vois-je, mais ce n'est pas croyable ! Elle m'a caché le meilleur morceau ! J'ouvre franchement et le très grand Bulldog Allemand blanc tacheté de noir vient jouer avec moi, comme si j'avais libéré un fauve qui avait faim sur un morceau de viande.
Vous pensez que j'aurais abandonné l'affaire parce que je n'aurais pas eu le temps avant le retour de Mylaine ? Ou que je l'attendrais pour en profiter toutes les deux ? Moi Sonia, je vous dis bien que je suis égoïste… Je mange avant dans ce cas, et je réfléchis après ! Comme j'ai passé la journée en peignoir, je n'avais qu'à me baisser pour récolter la bite qui, on pourrait le dire, était là pour moi.
Sans l’ombre d’une hésitation, j'ai relevé le peignoir au dessus de mes fesses et j'ai fait un nœud devant pour me faire sauter par ce mâle en rut qui ne demandait que ça. Je me suis tout de suite mise à quatre pattes pour que Bluff soit à son aise. Je l'ai surnommé ainsi à cause d'un bruit qu’il a produit quand il me broutait le minou. Je me mets à quatre pattes, Bluff n’hésite pas.
Il commence son œuvre, un premier coup de langue qui me surprend tant elle était délicieuse, langue experte à souhait, il continu, ce n'est pas croyable ! Je suis restée immobile grâce aux coups de langue que Bluff me passe sur le clitoris, sur et dans la chatte et même sur l'anus. A chaque coup de langue, mon clitoris, ma chatte et mon anus avaient droit à un merveilleux léchage. Hooo ! Quel merveille ce chien avec sa langue ! Sa grosse langue baveuse enveloppait et pénétrait bien ma chatte, la bourrait à fond. Je la sentais même contre mon utérus ! C’était bien mieux qu’une bite !
Je sens qu'il abandonne à un moment. Je ne dis rien, je sais ce qui doit m'arriver et se fut sans détour. Le chien s'est mis à me grimper, il m’a enculée avec au moins deux fois plus de vigueur que Foxy. J’étais aux anges. J’avais une bonne bite dans le cul pour la troisième fois de la journée !
Il m'a introduit son gros morceau jusqu'au fond de ma chatte pour la première tentative. Mais je l'ai guidé pour qu'il me ramone le cul, qu'il me défonce, qu'il m'explose l'anus. Et oui, par l'anus, ce merveilleux anus qu'est le mien et que j'aime par dessus tout, ce fut magique. Après avoir bien limé mon trou d'anus, il s'arrêta, puis il se mit à jouir à torrent au plus profond de moi. Une fois terminé, il se mit à grossir du sexe. Plus il grossissait, plus j'avais mal, je voulais même m'arrêter à un moment tant j'avais mal. Mais à ma grande surprise, le plaisir surgit à grande vitesse. J'étais obligée d'y rester jusqu'à ce que sa bite diminue de volume, pour nous libérer mutuellement. Quel bonheur ! Ho oui, quel bonheur, d'avoir découvert ce si beau, et grand, je dirais même ce super chien pour me soulager.
J'ai eu le temps de nettoyer la chambre avant le retour de Mylaine, parce qu'à notre libération mutuelle du chien et moi, le sol a été sali de foutre canin.
Une fois bien nettoyée, je continuais mon inspection de la maison. Je suis un peu intriguée, car Mylaine aurait du rentrer depuis longtemps !
Je continue dans le couloir, quand tout à coup, j'entends parler dans le salon !
Je l'avoue, j'ai un peu peur, mais j'avance doucement dans l’espoir d'une bonne surprise, comme avec le bulldog. Et pourtant mon idée obscure me fait penser à des mauvaises choses, peut-être pour rien. Mais je suis dans le doute et ça, ça me fait trembler, j'ai les mains toutes moites ! Que faire ?
Normalement je suis toute seule dans la maison, il n'y a pas raison d'avoir peur ! Il ne reste plus que deux pas pour arriver à voir dans le salon ! J'avance encore de deux petits pas, et si je me penche, je peux au moins voir le canapé et une grande partie du salon. Mon cœur bat très fort. J'avance la tête. Ahhh, ce n'est pas croyable ! Il y a quelqu’un sur le divan ! On dirait bien un homme ! Comment a-t-il fait pour entrer sans appeler, sans que je le l’entende ? À moins qu'il n’ait appelé et qu’étant trop occupée, je n'ai pas entendu.
Je prends mon courage à deus mains, et je me permets de le déranger. Depuis la porte, je l’interpelle : « Bonjour ! »
Il tourne la tête dans ma direction et ne dis rien. Coiffé d'un chapeau Borsalino blanc, des lunettes de soleil et une veste noire, une chemise blanche, cheveux châtain clair, barbe épaisse d’un centimètre, bien taillé,, bien propre. Depuis la porte du salon, j'aperçois la pointe de ses chaussures, blanches et noires, style années 60. Sa seule tenue pourrait faire tomber n’importe qui à la renverse. Mais moi, je ne sais pas pourquoi, d'un coup, pour me donner la peur de ma vie, je pense à un truand, un bandit. Toujours un peu apeurée, je répète à nouveau : « Bonjour ! »
Une nouvelle fois pas de réponse… Trop c'est trop ! Je ne peux me ridiculiser de la sorte, je prends la sage décision de faire un pas en arrière, dans le but de partir sans perdre de vue ce monsieur qui me fait une peur à me glacer le sang.
Je disparaissais du salon quand j’entendis deux fois d’une voix d’homme, et une fois la voix de Mylaine qui m’appelait. Surprise, je fais demi-tour et je vois toujours le même homme dans la position où il était. Il se lève et me parle : « Coucou, Sonia ! C’est moi, c’est moi !!!! Tu ne reconnais plus ta Mylaine ? »
Je reste quelques secondes, à me demander si elle était bien partie. Comment a-t-elle fait pour se changer ? Mais il est vrai que j’étais bien occupée avec le chien ! Donc, elle aurait pu rentrer dans la maison sans que je m’en aperçoive. Je me suis même mis à penser : « Pourquoi me fait-elle ça ? Je ne mérite pas, qu’elle me fasse une si grande peur. »
Elle enlève le chapeau, la fausse barbe, la petite moustache et me dit en souraint : « C’est moi ma chérie ! C’est bien moi, Mylaine. Viens t’asseoir près de moi ! Tu verras quelque chose de bien… »
J’avance en rigolant, tout en lui disant : « Tu n’es pas bien ? Pourquoi tu m’a fais ça ? Qu’est-ce que je t’ai fais ? »
Elle ne répond rien, mais une fois près d’elle, elle me tient la main, elle allume la l’ordinateur qui était en veille et me dit : « Regarde bien ! Tu es superbe, regarde ! »
Totalement ahurie, je me vois sur l’écran qui vient de s’allumer C’est bien moi qui suis là ! Comment est-ce possible ? Où étaient les caméras ? Je me vois dans l’ordinateur, je suis baisée par le Bulldog Allemand !
J’étais entre deux émotions, fâchée et contente de me voir posséder par ce super chien dans une vidéo. Selon Mylaine, c’était un beau cadeau pour moi. Nous avons regardé la vidéo en totalité et Mylaine a bien pris le temps de tout m’expliquer. Elle m’a fait comprendre, qu’elle aimait faire semblant de partir, pour filmer ses invités en plein défoncement sexuel avec Ma-lov son chien.
En fait, j’avais passé une bonne journée, à me faire défoncer le cul à plusieurs reprises. J’en voudrais tous les jours des comme ça !
La nuit équatoriale
Il est plus de vingt-deux heures
Cela fait des mois que je suis seul et affamé de sexe.
J’aurai tant aimé être rassasié, comblé.
Et, j’ai pensé à toi !
Car, qui d’autre que toi pourrait répondre à mes besoins ?
À part toi, Sophie, prêtresse du sexe, guide des nuits libertines, Vénus avide des joies érotiques !
Bien loin de la France, par une chaude nuit équatoriale, je m'imagine avec toi sur un lit, te léchant le clitoris, insufflant de l'air froid tout autour, replongeant ma langue dessus, le suçant tout doucement, puis activant le mouvement, de bas en haut, de gauche à droite, le soulevant de la pointe de la langue.
Tu laisses alors échapper des petits cris de plaisirs qui aguichent sans cesse mon appétit. Des frissons électrisent ton bassin et remontent vers le haut de ta poitrine. Par le toucher, je m’aperçois que tu as la chair de poule.
Ah! Ma petite chatte adorée! Ce n’est que le début.
J’accélère alors la cadence de rapides mouvements circulaires, puis j’effectue des zig-zag. J’aspire ton bouton d'amour, je le suce et le soulève encore, il est prêt à éclore.
Tu me caresses la tête, ravie, comme pour mieux m’encourager.
Une ultime succion, et c’est l’éclosion !
Des cris déchirants percent l’obscurité…
Je te cisaille et bois à belles lapées ton sirop d’amour qui se déverse.
Je pourrai continuer ainsi toute la nuit, jusqu’à m’en bloquer la mâchoire tant ton euphorie est intense. Mais, je veux t’offrir autre chose.
Aussi, sans hésiter, je glisse ma langue dans cette fente qui me titille à un tel point, que j’en frémis ! C’est le lieu de tous mes fantasmes. J’inspecte soigneusement les contours rosés de ta fleur et lèche le tout, tel un chien qui ne veut pas être arrêté dans son élan, tant qu’il n’aura pas étanché sa soif.
À cet instant précis, cette zone est mon domaine, j’y fais ce que je veux, j'en suis le propriétaire.
Je veux te donner en cette soirée, tout le bonheur possible, faire de cette rencontre un moment unique, comme s’il ne devait jamais y avoir de lendemain.
Et là, devant tant de plaisirs décuplés, tant de jouissance ruisselant à mes yeux, n'y tenant plus, je m'introduis en toi, en force, presque maladroitement, car manquant de finesse. Telle une bête en furie, je m'empare de toi, je m'enfonce au plus profond de toi à grands coups de gland. Mon sexe large, lourd et suffisamment long, rabote puissamment les parois de ta grotte.
Je te pénètre sans scrupules ! Je te veux, je t’ai tant désirée, tant attendue…
Tu es en émoi...
Je sens toutes les aspérités de ton intimité. J’en découvre toutes les anfractuosités.
Je pourrai même les décrire.
Des sillons jalonnent ta cavité et massent voluptueusement mon organe, et les parois internes sont d’une telle douceur, qu’on ne peut imaginer un meilleur endroit pour garder un sexe d’homme.
Un confort digne d’un roi !
Je m’y sens bien.
Ton sexe est chaud, moelleux même, et si généreux, il n’aspire qu’à recevoir. D’ailleurs, il aspire mon pieu, se déforme sous l’effet de mes coups de boutoir, pour se nouer autour de ma verge. Je sens toute son élasticité. C’est un pur régal. Et je crois comprendre que les nervures qui parcourent mon membre gonflé à bloc, dur comme du béton, ne semblent pas t’incommoder, non plus. Bien au contraire.
Ton minou, surexcité, mais insatisfait, invite le mien à aller jusqu’au bout de sa visite.
Je m’exécute avec joie ne voulant point l’offenser. Seul le col de l’utérus met un frein à mon ardeur d’explorer encore plus loin.
Des bouffées de chaleur te saisissent, tu es, je le sens bien, brûlante, ouverte, et paradoxalement mouillée, lisse.
La volupté a pris possession de toi, de moi. Ensemble, nous dansons la danse de l’amour.
Le contentement se lit sur ton visage, dénaturé par tant d’émotions.
Tu jouis…
Quel plaisir que de t’offrir du plaisir !
Des effluves de concupiscence embaument délicieusement la chambre.
Il y règne une atmosphère d’intense sensualité qui galvanise l’action.
Une douce fraîcheur, venant de la fenêtre entrouverte, annonce une pluie qui ne saurait tarder. Cette douce caresse sur nos physiques dénudés nous surprend un peu, mais est loin de nous déplaire.
Tu es toujours allongée face à moi, les jambes fléchies sur mes épaules. Ta vulve, relevée par un oreiller que j’ai pris soin de placer sous tes délicates fesses, s'offrant à ma vue, est le plus grand des plaisirs pour moi, jeune homme quasi-inexpérimenté des choses de l'amour! Je te pénètre, encore et encore, te ramone sans pouvoir m'arrêter. D'ailleurs, je ne le veux pas, tant le délice est exquis. Tu pousses des hurlements d'être prise si violemment, mais surtout d'être autant désirée !!! Je sais instinctivement que je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme! Mais qu'importe. Je veux vivre ce moment comme étant le dernier à vivre sur cette terre, je veux fusionner avec toi, ne former qu'un seul corps, et voler au monde entier un moment infini de pur bonheur.
Ta blanche peau, bien que dans la pénombre, luit au niveau des épaules, sous la clarté de la lune. Elle est en outre, douce comme de la soie. C’est un ravissement pour mes sens déjà en alerte maximale.
Ta jouissance devient alors mienne, je veux te satisfaire comme jamais tu n'as été satisfaite. Oui, je pense en plein effort, à ce bien-être divin qui ferait mourir de jalousie les anges, dont on dit qu'ils n'ont pas de sexe, et qui, en cet instant, absorbés par notre relation, voudraient rien qu'une fois, rien qu'en cette fois, en posséder un et pouvoir goûter à cette allégresse dont ils n'ont aucune idée.
Je réalise qu'à ce moment précis, je te possède ma Sophie, tu es à moi, à moi seul et pour rien d’autre je ne voudrai te partager...
Je rabats tes jambes au dessus de toi, en les écartant un peu, afin de faciliter l’accès à mon python de plus en gourmand, de plus en plus vorace.
Et je continue…
Et tu en redemandes, au comble de l’extase !
Il pleut, soudain, comme c’est souvent le cas dans cette région équatoriale. On entend, dehors, le bruit de la pluie qui résonne sur la toiture en tôle. La fraîcheur se fait sentir de plus belle. Le doux clapotis des gouttes de pluie et l’humidité qui s’en dégage nous rapprochent davantage. Nous profitons de cet état de grâce.
T’as l’air si heureuse.
Des vagues de délectation se dessinent sur ton ventre et te submergent. Tu es ailleurs et pourtant, même dans cet ailleurs, je suis avec toi, n’ayant eu aucun mal à t’y rejoindre. Tu t’accroches comme tu peux à moi, et moi à tes chevilles.
Tu dégoulines, de plus en plus…
Bien qu’au bord de l’explosion, je me contrôle, je ne veux pas en finir, sans avoir pu m’emparer des tes lèvres si fraîches que j’embrasse goulûment, avant de m’attarder sur ton cou, dont je sens le pouls vibrer sous tant d’excitation.
Un sursaut de ta part me confirme tout le bien que cela te fait.
Dehors, quelques batraciens, probablement des crapauds, font entendre leurs chants.
Mais tu n’es pas femme à subir, à rester là, passive. Tu veux également agir. Du coup, tu enroules tes jambes autour de ma taille, et tes bras autour de mon torse. Tes mains balaient mon dos, athlétique, montent et descendent le long de mon épine dorsale. Tu t’attardes sur mes épaules robustes et admirent mes bras, musclés et fermes. Tu es consciente de la vigueur qu’ils dégagent, et tu me presses contre toi. C’est tout mon être que tu veux ressentir.
J’acquiesce.
La chaleur de nos deux corps plaqués l’un contre l’autre, pubis contre pubis nous transporte vers d’autres cieux.
Ton conduit suinte, mais reste si délicieux.
Je sens l’orgasme qui me transporte, j’intensifie une dernière fois mes coups de reins. Cette fois ci, je mets beaucoup plus de force à chaque pénétration. J’écrase mon bassin contre l’entrée de ton vagin, donnant par la même occasion plus d’impact à ma verge qui vient s’écraser lourdement au fin fond de ton intimité. Et j’y marque une pause, d’une ou deux secondes, avant de repartir à l’assaut de ta forteresse dont j’ai fait voler en éclats, depuis longtemps, les systèmes de défense.
Je te lime à fond!
Je te martèle comme il se doit.
Il n’y a pas un coin, une parcelle de ton intérieur que je ne peux pilonner, insatiable.
Tu gémis, hurle à nouveau, m’enlaces le dos nerveusement. Tu sembles vouloir signifier par ces cris d’arrêter, et pourtant je peux lire dans tes yeux qu’il n’en est rien, qu’au contraire tu me supplies de continuer.
Des bouffées de chaleur te saisissent à nouveau, une douleur aigue, mais si agréable te transperce les entrailles. Ton corps est secoué maintenant de spasmes, qui se propagent en ondes ondulatoires.
Tu mouilles abondamment…
La vue de tes seins se ballotant au gré de mes allées et venues, telles deux superbes noix de coco, et la vue de ton regard perdu dans les abîmes de la jouissance sont trop intenses et finissent par me faire lâcher prise et à me faire revenir sur terre.
C'est alors que dans un profond râle, je décharge profondément en toi, une fois, deux fois, puis une troisième fois, le tout secoué de légers tremblements. Ma semence déborde de ton orifice béant. Elle ressemble à du lait de coco, et pour cause, elle en a la couleur et l’odeur.
La pluie a cessé de tomber, presque aussi subitement qu’elle est venue. Un parfum subtil de terre, humidifié, lessivé, parvient jusqu’à nos narines. C’est une sensation étrange. D’aussi loin que se porte le regard, l’on peut voir une vapeur légère qui s’élève au dessus du sol.
L’air est encore frais.
Pendant un temps, je reste à l'intérieur de toi, puis d'un geste du regard, tu me fais signe de me retirer.
C'est avec un certain regret que j'obtempère.
Je voudrai pourtant tellement y retourner, semblable au bébé, expulsé trop tôt qui aimerait rentrer d’où il est sorti.
Mais me serrant très fort dans tes bras, tu me murmures à l'oreille:
« C’aurait pu être plus long, mais Dieu que ce fut bon ! Jamais l’on ne m’a baisé avec autant de désirs ! »
Et je peux le constater, en voyant ton plaisir mêlé au mien, répandu entre tes cuisses, trempant cette partie du drap, lieu de nos ébats amoureux, de notre bonheur liquéfié.
Et là, je suis heureux, car je t'ai arraché plus d'un cri de satisfaction, je t'ai arraché à ce monde.
Oui, le bonheur est parfois simple comme deux amants qui se donnent l'un à l'autre sans autre forme de retenue, sans autre forme de pensée, que celle de la recherche de la jouissance absolue.
Mais, tes yeux fixent à nouveau mon membre, diminué, exténué. La petite moue de tes lèvres en dit long sur tes intentions futures.
Est-ce le signe d’un départ immédiat pour une nouvelle excursion nocturne ?!
Je reviens à moi, troublé par cette vision, qui avait l’air si réel.
Je file sans plus attendre aux toilettes me soulager, l’avant de mon boxer est déjà imbibé de sperme…
Signé : Jean Ph.
Sophie : je n’ai pas l’habitude de répondre aux textes qui me sont envoyés. Mais puisque je suis « mise en scène », avec mon accord, bien sur, je ne peux que te dire : « Bravo. »
Tu as parfaitement décris aussi ce que je pourrais être, comment je pourrais me comporter avec toi. Et tes lignes font monter en moi une excitation lente mais profonde et intense... Quel dommage que tu ne viennes pas passer tes vacances sur ta terre natale, là où je suis pourtant…
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All mighty club
Septembre 1930. Le grand Al règne en maître sur son club. Toujours en retrait maitresse Lola veille, avec sa petite moue amoureuse et son air angélique.
C’est samedi soir, une soirée qui commence à s’installer, l’orchestre s’échauffe, le public attend que l’ambiance monte. Le grand Al fait son apparition. A demi masqué par son borsalino crème, le bedo à la bouche, toujours tiré à quatre épingles, dans son costard noir à fines rayures. Malgré tout, il reste souriant, jovial et sympathique. Crystale danse sur la piste, tous les hommes la regardent, mais les femmes on les yeux rivés sur lui. Lola, toujours en retrait apparait à son tour nous offre un sourire.
Parée de son joli body rose elle pose la main sur l’épaule d’Al qui lance à la foule : « YEPPP !!!!! ça va les gens ? »
A ce cri de ralliement, le chef d’orchestre FRITZ arrête la musique et change de registre. Il mène son orchestre dans une cadence endiablé fleurant bon les rythmes de la caraïbe. Lola entame un déhanché dont elle a le secret, Crystale descend de la piste et la rejoint sous l’œil complice de son vagabond de mari.
Lola enlève le pantalon de son homme et commence à lui faire une fellation, Crystale à demi nue lui enlève sa veste et sa chemise, lui embrasse le torse, mordille ses tétons. Une des mains de Lola caresse les fesses de cette dernière invitée qui la rejoint sous le ceinture de l’étalon. Son sexe est dur et rougit de plaisir. Les deux déesses lui sucent le gland tour à tour, des mains parcourent ses fesses et ses bourses. Il est au paradis, un large sourire barre son visage. Il est une fois de plus le roi ce soir, deux belles pour lui seul.
Lola et Crystale s’embrassent et se caressent. Al, aux premières loges de ce spectacle ne peux s’empêcher de caresser les croupes et les seins de ses diablesses. Il prend maintenant en levrette une Chrystale conquise qui lèche en même temps le sexe de lola qui se tortille de plaisir en gémissant lourdement. Les petits cris des femmes se mêlent aux grognements des mâles alentours qui profitent de la vue et qui on sortis leur sexe pour se masturber.
Des sexes de toutes tailles et de toutes formes, dressés comme autant de hallebardes. Lola appréciant ces démonstrations leur tend une langue vorace. Tout excité Al se rassois et invite Lola à s’empaler sur lui, pendant que Chrystale se pose face à Lola, la chatte se le visage d’Al qui se met à lui sucer l’abricot. Lola et Chrystale se tiennent par les épaules et bougent en rythme, leurs seins dessinent des cercles et balancent en cadence. Elles sentent monter en elles les vagues de chaleur de la jouissance, elles poussent ensemble un râle libérateur, et Lola arrose copieusement son homme en serrant sa compagne du moment dans ses bras.
Le Grand Al encore essoufflé de ces ébats à grand peine à se lever, encore étourdi par ce déluge de sensations. En Mâle dominant, son sexe reste encore dur, ce qui ne manque pas d’attirer les convoitises des autres femmes du club. Fier de son succès, notre grand Al lance à cette foule :
« QUAND EST-CE QU’ON BAISE ???? »
Et le Fritz de répondre :
« MAINTENANT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! », en ordonnant à son orchestre de jouer un air sexy dans le genre de Barry qui se fera connaitre dans quelques décennies ( lol ).
A cet appel les femmes se sentent devenir fauves et se dirigent vers lui et……..
Ça, ce sera une autre histoire MDR !!!!!
Signé : Maxx
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Les stagiaires baisent ma femme
Partie 1
Il y a maintenant quelques mois de cela, j'ai fait venir des stagiaires à la maison pour leur expliquer un projet complexe au boulot. Pendant que nous étions dans mon bureau, j'ai sournoisement laissé des photos de ma grosse cochonne à l'écran d'un ordinateur branché sur le web.
C'était un jeu, un peu orgueilleux : je voulais voir ce que ces jeunes gars pensaient d'une femme plusieurs années plus âgées qu'eux. D'une ronde aux gros seins lourds. Ils ignoraient évidemment qu'il s'agissait de ma femme, qu'ils ne connaissaient pas, et leurs réactions en faisant défiler les photos étaient tout ce qu'il y a de plus spontanées. Deux d'entre eux affirmaient ne pas être « attirés par les grosses », mais les deux autres étaient visiblement dans de toute autre disposition.
J'aurais pu arrêter là l'expérience, mais entre-temps je m'étais rendu compte que Maya était elle aussi rentrée. Et c'est ainsi, sans trop savoir vers quoi je m'engageais mais très excité par ce jeu, que j'ai invité mes jeunes collègues à monter prendre un verre au salon.
Lorsque je leur ai présenté ma femme, le trouble s'est rapidement installé. Il faut dire qu'elle ne savait pas que je n'étais pas seul et qu'elle s'était mise à l'aise dans un chemisier servant de tenue d'intérieur, très court et serré à la taille, mais qui avait bien du mal à contenir ses appas généreux. Le fait qu'elle ait gardé les bas noirs qu'elle portait pendant la journée ajoutait évidemment au côté provocant de sa tenue. On pouvait franchement dire que ça faisait très salope de se montrer ainsi.
Et je voyais bien qu'ils ne savaient pas à quoi s'en tenir. Et des œillades appuyées vers son décolleté échancré me montraient leur trouble. Ils commençaient à se douter que la femme qu'ils avaient devant eux était celle qu'ils mataient à l'écran quelques instants plus tôt.
Elle, pendant ce temps, leur servait un verre, découvrant sans le vouloir (hum hum...) ses gros seins dénudés à chaque mouvement.
De plus, lorsqu'elle portait son verre à ses lèvres, le chemisier s'écartait un peu plus, sans compter qu'il remontait, dévoilant largement le haut de ses belles cuisses aux regards très appuyés de ces jeunes types qui n'avaient sans doute pas souvent vu de vraies femmes. De vrais bonnes salopes, même, car l'indécence de Maya n'était pas le fruit du hasard...
Elle était même franchement indécente, assise sur la table de la cuisine pendant qu'on débouchait une bouteille de plus, le corsage largement échancré et ouvert sur une mamelle gonflée de féminité.
C'est à ce moment que je me rendis compte, en voyant ses cuisses croisées, que la coquine ne portait pas de culotte ! J'étais à présent certain que les autres s'en étaient rendu compte aussi.
J'avais très envie de pousser la provocation plus loin encore... Et lorsque, après deux ou trois verres, j'ai invité chacun à s'asseoir, j'ai pris soin d'occuper les sièges individuels pour obliger ma femme à s'asseoir sur le canapé, avec deux de mes invités. Ce qu'elle fit sans se faire prier, comme si elle ne se rendait pas compte du caractère incongru de la situation.
Mais elle avait décidément envie d'être cochonne ce soir-là, car très vite, elle avait négligemment posé sa main sur la cuisse de son voisin, qui ne savait toujours pas trop quelle contenance adopter. Et de plus en plus, Maya se laissait aller sur ce canapé. Sa blouse ne tenait plus que par la ceinture et on aurait dit qu'elle attendait seulement qu'on lui saisisse les mamelles et qu'on écarte ses cuisses.
La discussion se poursuivit ainsi dans ce climat très spécial. Un moment, après un tour sur la terrasse où je n'ai pas manqué de peloter ma cochonne, histoire d'encore exciter et provoquer les mecs, les places changèrent.
En vérité j'avais très bien vu que les deux qui n'étaient pas assis sur le canapé s'étaient arrangés pour piquer la place de leurs copains. Il faut dire que depuis un quart d'heure ils n'avaient pas arrêté de reluquer les seins de ma grosse salope et son jeu de jambes digne de Sharon Stone.
Ils occupaient tellement bien le canapé, d'ailleurs, que ma belle elle-même avait perdu sa place. Joli calcul de la part du plus âgé de mes stagiaires : « Tu sais tu peux t'asseoir sur mes genoux, c'est confortable, lança-t-il avec assurance.
Avec un vrai regard de salope dans ma direction, elle joua le jeu.
- Comme tu veux alors.... » dit-elle en se laissant glisser sur les cuisses allongées du gaillard qui n'en espérait pas tant, l'œil goguenard. Son voisin de canapé semblait paralysé de voir tant de culot !
Dans ce dernier mouvement le chemisier de ma grosse coquine s'était cette fois largement ouvert, et chacun pouvait voir une belle mamelle écrasée sur le torse de l'inconnu.
Cette fois tout à fait désinhibé, celui-ci avait rapidement posé sa main sur la croupe de Maya pour mieux la tenir, remontant par la même occasion la base de son chemisier de sorte que son cul était à présent offert à tous les regards.
« Ma chérie tu n'es plus très couverte, lui dis-je en m'approchant pour glisser ma main sur son gros nibard. Et regarde un peu : tout le monde voit que tu n'as pas de culotte !
- Cela n'a pas l'air de te déplaire, » me répond-elle en caressant devant tout le monde la bosse qui gonfle ma braguette.
C'est vrai qu'elle avait raison et que je bande comme un taureau.
Elle s'avance alors, rampant littéralement sur le mec, pour habilement déboutonner mon pantalon et saisir ma grosse queue tendue.
« Tu vois mon cochon, comme tu es excité ? »
Et tandis qu'elle me caresse les couilles de ses mains, je m'avance vers sa bouche, la bite complètement tendue. Au point où nous en étions...
En s'avançant vers ma queue, glissant sur les genoux du gars, Maya offre à tous une vue parfaite sur son cul. Elle a à présent englouti ma queue dans sa bouche, et le mec sur lequel elle était à plat ventre s'en donne à cœur joie en caressant ses cuisses tout en remontant vers sa chatte. La salope écarte d'ailleurs largement les cuisses pour lui faciliter la tâche. Ses deux potes sur le siège d'en face n'en perdent pas une miette, et le timide à côté de lui a perdu toute réserve et s'apprête à sortir son sexe pour se branler.
Pendant ce temps, le mec sur qui ma salope est vautrée, commence à lui titiller la chatte avec ses doigts, écartant ses grosses lèvres bien humides d'excitation.
La garce roule sur le côté, le chemisier maintenant tout à fait ouvert, dévoilant ses grosses mamelles gonflées.
Les seins lourds de Maya se secouent au rythme des caresses de la main du mec, maintenant presque entièrement fourrée dans sa chatte, et des va-et-vient de mon sexe dans sa bouche.
Maya écarte ses cuisses au maximum pour se faire fourrager bien profond dans la chatte. Elle n'en peut plus la salope. La tête en arrière pour bien me bouffer la queue, la poitrine découverte, elle est tellement excitée qu'elle commence elle-même à malaxer ses grosses mamelles de sa main restée libre en râlant de plaisir en pensant à ce qui va venir.
Les deux gars d'en face rigolent d'un air salace en sortant tout ce qu'ils peuvent avoir entendu dans les fils pornos : « Ah la grosse salope... Elle aime la queue hein ? Elle veut de la bite et du foutre dans la chatte et sur les nibards. Dites-donc les mecs, on ne savait pas qu’Aziz avait une femme qui baisait comme une grosse pute ! Ah on reviendra prendre l'apéro... »
Complètement déchaînée, Maya a les tétons rouges et tendus d'excitation. Une main lui fourrage dans la chatte pendant que ma queue entre et sort de sa bouche.
Dans la position où je suis, je me fais sucer tout en caressant son corps de bas en haut : depuis sa chatte bien occupée par la main d'un mec et la langue de l'autre à présent, jusqu'à ses gros nichons que je soulève et pétris des deux mains.
J'ai de plus en plus envie de la baiser sauvagement devant ces quatre types. « Chérie, je pense que tu as trop excité ces garçons en jouant les salopes comme ça. Il faudrait que tu les détendes en les massant, par exemple avec tes seins », lui dis-je en la relevant.
Je me colle derrière elle en malaxant ses nichons et en pressant ses mamelons l'un contre l'autre. Je l'amène ainsi devant les deux gars qui sont toujours sur le canapé. Je suis en train de la tripoter les loches à l'air en la présentant aux gars maintenant complètement à poil. En lui caressant la chatte, je la fais se pencher en avant. Elle prend appui sur les genoux des deux gars pendant que j'écarte ses cuisses en frottant ma queue sur son con aux lèvres bien écartées.
Penchée en avant, ses mamelles qui pendent et se balancent devant ses deux mecs, elle a vraiment l'air d'une salope. Elle gémit comme une chienne au moment où je l'enfile profondément. Sa chatte a été bien mouillée par les deux mecs qui l'ont branlée. Pendant que je la pilonne en cadence, le premier des gars est occupé à se faire une cravate de notaire entre ses seins. De temps en temps, il lui relève la tête pour lui rouler une pelle en enfonçant bien sa langue dans sa bouche et en caressant son ventre jusqu'à sa chatte.
Et tout en le branlant entre ses seins, de la main droite, elle astique la queue du timide. Sous les caresses expertes de ma salope, il s'avère très vite avoir une queue impressionnante...
Pendant qu'elle est continue à l'astiquer, la queue de ce gaillard prend des dimensions incroyables. « Mumm... tu caches bien ton jeu toi ! dit-elle sans retenue. Tu as une vraie bite de cheval dis-donc. Un étalon de sport !... »
Et en effet, sa queue est impressionnante. Moi, ça m'excite de plus en plus de l'entendre parler comme ça, totalement désinhibée. Son voisin aussi : il éjacule entre les nichons de Maya, excité comme il est depuis le temps qu'il la tripote.
Elle n'attendait que ça d'en avoir fini avec lui, car très vite elle se déplace sur le côté pour prendre la grosse queue du timide entre ses mamelles gonflées, pendant que je continue de la bourrer en levrette. A chaque coup de ma bite au fond de sa chatte, ses mamelles s'écrasent autour du sexe du jeune type. Depuis que j'ai vu son attitude provocante dans le cuisine, je sais qu'elle a envie de se faire baiser par lui : elle doit avoir deviné ou senti son sexe hors normes.
Lorsque, après avoir craché mon foutre au fond de la chatte de Maya en lui arrachant un hurlement de plaisir, je lui demande s'il a une capote à sa taille avec lui. Il sort avec un grand sourire un petit paquet de la poche de son pantalon. Ma salope se relève alors et commence à frotter ses nichons contre son visage pendant qu'il enfile le préservatif.
Les deux autres types doivent s'en aller car ils ont un rendez-vous avec leurs copines. Pas de chance me dis-je, sinon je sens qu'elle était partie pour se faire sauter comme une poufiasse par les quatre l'un après l'autre. Au moment où ils vont partir, Maya se retourne à nouveau et leur présente sa bouche, langue en attente comme pour les inviter à lui rouler une pelle. Ce qu'ils font, lui bouffant littéralement la bouche en tripotant ses mamelles qui se secouent lourdement pendant qu'elle est cuisses écartées, à agiter son cul devant l'étalon.
Après s'être fait peloter, c'est maintenant que les choses sérieuses vont commencer pour Maya et la bite de cheval qui l'attend.
Lui, l'attend, assis sur le canapé, la queue dressée. Tandis que les deux qui avaient un rencart amoureux s'en vont, elle leur lance un regard de pute, secoue quelques fois ses nichons en se caressant la chatte et leur présente ses seins comme une salope. Ils n'en profiteront pas cette fois, mais sûr qu'ils voudront y revenir !
Elle pose alors un pied de côté pour bien écarter ses cuisses, se penche en avant, aligne l'entrée de sa chatte sur le gland du gaillard et s'enfile lentement sur ce mat dressé pendant que les deux autres claquent la porte à regret.
Elle est à présent assise sur lui, tortille son cul et son corps comme une anguille sur cette bite qui devait bien faire pas loin de trente cm de long et surtout le diamètre d'un gros concombre, pendant que l'étalon la guide en haut et en bas en la tenant par les hanches.
Voilà donc ma grosse cochonne empalée sur l'énorme queue de notre invité. A chaque aller-retour, Maya pousse un profond gémissement, tandis que la bite rentre un peu plus profondément dans sa chatte.
Pendant ce temps, le voisin qui a déjà giclé une fois son foutre lui pétrit les mamelles et lui tripote le clitoris en écartant au maximum ses cuisses. De la voir ainsi servir d'objet sexuel a ces deux inconnus, je rebande aussi sec et je passe derrière le canapé.
Je lui soulève le menton pour lui rouler un patin et bien voir ses nichons secoués à chaque coup de queue. Elle a une queue énorme dans la chatte, deux mains sur ses hanches rebondies, deux autres qui lui malaxent et lui pétrissent le ventre en remontant de son clitoris à ses seins. Elle tourne la tête sur le côté et avale goulument ma queue dressée. Entre deux râles, elle aspire toute ma bite et pompe à n'en plus pouvoir.
Pendant certainement dix minutes, ma grosse salope jouit ainsi des trois mecs qui s'occupent d'elle. Lorsque l'étalon est prêt à décharger son foutre, elle s'assied à côté de lui et nous présente ses nibards pour une dernière salve de nous trois presque synchro, qu'elle étend sur ses mamelles en soupirant de plaisir.
Au total, elle aura donc pris deux bites en branlette espagnole, se sera fait prendre deux fois par la chatte, mais c'est bien mon jus qui la fait le plus mouiller et ma queue qu'elle préfère sucer !
Je ne manquerai pas de vous raconter la suite…
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Superbe texte, une histoire très excitante.
J'adore ces histoire de femmes qui se font prendre par un chien.
Je dois avouer que c'est mon plus grand fantasme.