Les Mémoires très Libertines de Sophie
Quand deux couples sont très très amis... - la fin !
Après ce week-end d’amour partagé, nous ne cessons de nous remémorer les souvenirs de ces aventures entre nous quatre. Nos maris sont les meilleurs amis du monde, ils ne se quittent plus. Nous projetons une nouvelle soirée avec des nouveautés que nous mijotons, Monique et moi.
Quelques jours plus tard, la soirée commence comme d’habitude avec un repas au resto pour nous libérer, et se retrouver dans l’appartement de nos voisins. Nos maris nous ont fait beaucoup de compliments sur notre beauté. Monique et moi complimentons à notre tour la galanterie de nos hommes, qui eux même se font des éloges sur la beauté de leur verge.
Guy soutient que c’est Philippe qui a la plus belle et vice versa. Monique demande :
« Il n’y a qu’à faire voir votre matériel pour que l’on serve de jury ! »
Voyant la tournure des événements, Monique nous entraîne à la chambre à coucher, on s’installe confortablement sur le lit, et nos deux compères font un strip-tease. Ils se retrouvent nus, après quelques pitreries qui nous font bien rire. Nos amants ne sont pas dans une forme où l’on peut réellement juger l’ampleur de leur anatomie sexuelle.
De plus nos éclats de rire n’arrangent pas les choses et nous ne désirons pas intervenir pour ne pas fausser les règles du jeu…
Guy use d’un autre stratagème, il pose une main sur l’épaule de Philippe, lui prend la verge de l’autre main et la manipule doucement, mon mari se laisse aller sous la caresse.
Monique me dit à l’oreille :
« Je crois que l’on va avoir du spectacle. «
On se détend en se collant l’une à l’autre pour se préparer à recevoir une bonne dose d’excitation. La verge de Philippe prend des proportions importantes, on se demande comment nos chéris vont poursuivre leur désir. Philippe, qui était passif, devient entreprenant grâce la douceur que lui procure son ami. A son tour, il prend le biscuit plus ou moins mou pour entamer une masturbation. Le spectacle revêt un aspect beaucoup plus chaud, les verges grossissent à vue d’œil ?
Nos amants expriment de petits sourires de satisfaction en nous regardant, ils ne pensent plus qui a la plus belle, complètement envoûtés par ces impulsions novatrices.
C’est encore Guy qui prend l’initiative, il s’agenouille devant Philippe, le prend dans sa bouche avec beaucoup de tendresse. Monique et moi mouillons abondamment, de plus en plus serrées l’une contre l’autre, une main entre nos cuisses ouvertes, jamais nous aurions imaginé voir de tels fantasmes se réaliser aussi vite !
Philippe a posé une main sur la tête de Guy pour l’accompagner dans sa sucette. Guy se dégage en disant :
« Je ne sais pas si c’est la plus belle, mais je suis sûr que c’est la meilleure ! »
Il reprend le morceau en plaquant ses mains sur les fesses pour l’attirer et maîtriser les mouvements, il dévore la tige raide et luisante. Philippe, emporté par le tourbillon, se laisse tomber sur le lit à nos pieds. On se retire pour laisser la place, nos maris se retrouvent en soixante-neuf. Les deux hommes se sucent mutuellement et goulûment.
Nous nous régalons du spectacle, j’ai la chatte complètement imbibée, Monique est dans le même état, ma main fait un clapotis entre mes cuisses. Nos chéris adorés sont bien exposés, nous contemplons tout, ils sont très mignons dans cette position. Ils n’hésitent pas à passer leurs langues entre les fesses.
N’y tenant plus, on se bouge pour rejoindre le couple déluré, Monique se place entre les jambes de son Guy, moi entre celles de mon Philippe, je soutiens la tête de Guy de mes mains, ce qui fait redoubler son activité sur Philippe. Je me mets à genoux pour qu’il pose sa tête sur mes cuisses, ce qui me permet de masturber son goupillon pendant que Guy lui suce le petit trou.
Je prends un coussin que je place sous la tête de Guy, et me mets entre les deux hommes pour téter mon Philippe, pendant qu’il se fait faire une feuille de rose. Je sens les vibrations de mon homme qui doit avoir la bouche pleine. Il se met à crier comme une bête en rut. Monique accélère son action sur son Guy qui fond lui aussi.
Nous les embrassons sur la bouche où on retrouve des odeurs de sperme familières.
Pendant ces quelques minutes qui servent de repos à nos amants, on échange quelques baisers pour se retrouver à notre tour tête bêche sous les regards admiratifs de nos époux.
Très vite, nos maris sont déjà là, les attributs en ordre de marche, quelle santé ! C’est un mélange incroyable de quatre corps… Soudain, je vois Guy derrière Philippe, je fais signe à Monique en se demandant s’il ne va pas le pénétrer… Nous n’avons jamais pensé à une pareille éventualité, mais curieusement ça ne nous rebute pas. Le temps de quelques secondes, nos regards se croisent, on admire nos hommes.
Sans rien se dire, dans un synchronisme parfait, Monique se place devant Philippe et moi derrière Guy, on les câline avec notre douceur habituelle pour faire monter encore plus l’adrénaline, Monique embrasse mon Philippe à pleine bouche en le masturbant, Guy est placé derrière Philippe lui caresse le torse et moi derrière Guy lui frottant mes seins dans le dos.
Je triture sa verge hyper tendue, et tente de l’insérer entre les fesses rebondies de mon Philippe. Monique a bien compris mon stratagème, elle se baisse doucement en tirant Philippe sur elle pour qu’il se courbe en avant, afin que mon travail soit plus aisé. Mon mari est à genoux, la tête dans les seins de Monique et les fesses offertes.
Je crois que c’est le plus beau spectacle de ma vie, c’est quelque chose d’exaltant ! Je prends l’objet précieux de Guy, le promène de haut en bas entre les parties charnues de mon mari, je suçote le gland baveux, le porte à l’entrée de l’orifice qui a tendance à s’ouvrir de plus en plus.
Philippe se prête aux mouvements que j’occasionne, je suce la pastille plissée au plus profond de ses entailles, il s’ouvre comme une fleur. Guy lui caresse le dos, on dirait que tout est coordonné, que les choses doivent évoluer ainsi... J’aimerais savoir si Monique est aussi heureuse que moi.
Le membre de Guy pénètre le cul de Philippe, c’est vertigineux ! Cette chose raide et bien dure s’introduit progressivement dans ce fondement. Guy s’active vivement derrière son giron.
Monique est venue me rejoindre et s’extasie de la réalité de la scène, ses yeux scintillent comme mille étoiles. Nous nous jetons sur nos amours avec un acharnement sans précédent, nous les bouffons de la tête aux pieds, je suce mon Philippe en accusant les coups de boutoir de Guy qui s’éclate dans mon chéri, qui à son tour se lâche dans ma bouche.
Les deux hommes sont abattus l’un sur l’autre dans une totale plénitude. Monique se jette sur ma chatte, je prends la sienne, nous sommes parties dans une série de spasmes incontrôlés, on se serre à s’étouffer pour tomber complètement épuisées à notre tour, victimes consentantes d’un orgasme qui nous a dévastées !
Nous avons passé de nombreuses soirées de ce type et nous ne sommes pas prêts à nous arrêter !
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Quand deux couples sont très très amis... 2ème partie
Un mois après ce week-end sulfureux, nous décidons de se refaire une soirée chaude, c’est ainsi que ce samedi soir le dîner se passe normalement, bien arrosé, pour se prolonger au salon. Sur une musique douce et lumière adéquat, nous dansons avec nos maris respectifs, puis on change de partenaire en continuant de se caresser en regardant nos maris évoluer vers de nouvelles aventures.
Guy prend ma bouche, ce baiser réchauffe mes sens, on se rapproche de Philippe et Monique, les vêtements tombent un à un. Complètement nus, nous continuons de danser, nos caresses se précisent, nous formons un cercle où les verges sont dirigées vers le centre, n’y tenant plus Monique se penche pour sucer son mari, je fais la même chose sur le mien. Après quelques instants de fellation douce, nous changeons de sucette, la saveur de Guy est appétissante pour la suite de la soirée….
On se retrouve tous les quatre couchés sur l’épais tapis, dans un mélange torride. Les spermes giclent, les cris fusent, tous les quatre jouissons en cœur. Allongés, nous nous détendons en buvant quelques verres et prendre une légère douche.
Monique et moi sommes jamais rassasiées, on se paluche en s’embrassant et peut-être redonner un peu de vigueur à nos hommes. Nous nous retrouvons en soixante-neuf pour montrer à nos amoureux combien leurs épouses s’aiment. Ma langue pénètre la pastille dilatée, je tente de pénétrer mon index, le suce sous les yeux excités des hommes.
A suivre...
Monique se déchaîne, elle me fait la même chose, sa langue et son doigt transperce mon orifice secret. Les hommes sont de chaque coté de nous en se masturbant et ne pas perdre une miette de ce spectacle. On se décide de nous occuper de nos chéris, ils sont chauds maintenant, nous les couchons sur le dos, la verge pointée vers le plafond. Nous entamons une masturbation savante, Monique sur mon mari et moi sur Guy.
Philippe caresse mon visage alors que je m’applique sur Guy, il effleure mes lèvres de ses doigts que je suce comme une petite bite puis je prends sa main et très très tendrement, je la pose sur la verge tendue de Guy.
Philippe marque un temps d’arrêt, tous les trois, nous interrogeons du regard pour savoir ce qu’il va faire. Monique à bien compris mon idée, Philippe réfléchit à ce qu’il doit faire, il n’a sûrement jamais pensé à une pareille éventualité ! Je sais qu’il m’aime comme un fou, il ne peut pas reculer !
En effet, il referme sa main sur la verge de Guy, et commence une masturbation lente. Pour l’accompagner, je caresse les roustons de Guy d’une main, et le visage de Philippe de l’autre. C’est un grand moment très excitant. Notre fantasme commence à se concrétiser, Monique manifeste sa joie en suçant mon Philippe, pendant que Guy se détend sous les caresses de mon mari et des miennes.
Soudain, Guy se déplace pour aller rejoindre la bouche de sa femme, qui cède sa place émerveillée par son audace. En effet, il s’est emparé de la verge de Philippe, il la suce comme un gourmand. On se regarde avec Monique, nos yeux sont remplis de joie…
Nos hommes sont tête bêche et maintenant, mon Philippe a pris la tige de Guy entre ses lèvres, ils se sucent tous les deux, nous sommes comblées par nos hommes. Nous nous installons derrière nos maris respectifs, je lui mordille les fesses, les écarte pour lécher la raie poilue. Je sens l’excitation monter de mon mari, j’enfonce mon doigt dans l’étui chaud et serré pour lui donner un maximum de plaisirs. Son orgasme est violent, il accélère ses mouvement sur Guy, ils avalent l’abondante giclée.
A cette minute précise, on voit bien jusqu’où le désir peut nous mener….
Les hommes se regardent en souriant, une nouvelle source de bonheur est née dans cette ardeur tonifiante… Pour manifester notre joie, nous nettoyons avec notre bouche les verges ramollies. Nos maris se tiennent par la main, ils sont très charmants dans cette position, nous les embrassons tour à tour.
Monique et moi sommes de vraies sorcières !!!
Nous nous reposons tous les quatre, nous parlons de cet événement nouveau qui nous a émoustillé tous les quatre, et d’un commun accord, nous sommes prêts à recommencer cette expérience.
Guy et Philippe sont l’un à coté de l’autre, à la suite de cette conversation, ils ont une main posée sur le sexe de l’autre dans un geste amical.
Nous prenons une douche les uns après les autres, on boit une coupe et je décide d’amener ce beau monde dans notre chambre.
Nos maris sont assis les jambes étendues, Monique est couchée sur le ventre entre les jambes de son homme. Je me mets dans la même position entre les jambes de Philippe. Guy caresse le torse légèrement velu de mon mari pendant que je m’amuse avec son service trois pièces, juste à ma disposition.
La bête commence tranquillement à reprendre des formes prometteuses,
Je m’aperçois que Monique suit mon exemple, nos hommes savourent nos hommages,
Nous les prenons en bouche, mon index titille la rondelle plissée, je sais que c’est son pêché mignon. Au bout d’un bon moment, nous changeons de place, me voilà entre les jambes de Guy pour lui administrer les mêmes gestes que sur Philippe.
Guy apprécie particulièrement mon index dans son fondement, sa verge est dure comme de l’acier, je ne peux plus attendre, je me positionne sur la tige bien droite et l’enfile directement dans ma chatte. Quel bonheur ! Je commence un va et vient, Monique fait exactement le même chose avec mon mari, nous nous enlaçons en nous embrassant sur un rythme de yoyo extravaguant. On se caresse, s’embrasse, jusqu’au moment où nous explosons, nos chéris nous soutiennent dans des cris de joie qui doivent surement alerter les voisins !
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La maquilleuse cochonne
J'étais là comme l'homme à tout faire. Lors d'une journée de tournage il y a toujours besoin d'un ange gardien pour subvenir aux imprévus et aux aléas, de la logistique à l'accueil des figurantes. Depuis huit heures du matin, je n'arrêtais pas. L'avantage, c'était que j'avais le pass pour aller partout, passer de la scène aux coulisses, en passant par les loges, le parking et partout où ma présence était ponctuellement indispensable.
C'était une scène de concert, et la majorité de la figuration présente pour remplir la salle était constituée de jolies jeunes filles à la tenue sexy et à l’œil malicieux. Mais je n'avais pas le temps de flirter ni de séduire qui que ce soit, à peine avais-je le temps de les accueillir et de les guider dans le Zénith, que l'on m'appelait ailleurs. Mon seul plaisir était de conduire les actrices et les danseuses dans les loges maquillages et habillages. La plupart de temps, elles étaient remplies de jeunes filles en petites tenues que je matais allègrement sous la chaleur étouffante des spots, et en échangeant quelques regards complices.
A mesure que la scène -du concert- prenait forme, et que la foule des figurantes sexy, se massait au bas de la scène, on se rapprochait du clap du tournage, ce qui voulait dire pour moi un peu de répit. J'allais enfin pouvoir prendre quelques photos, car en tant qu'homme à tout faire, j'étais aussi photographe de plateau. Grimpant sur la scène, j'avais la place idéale pour photographier les figurants, et derrière le viseur de mon appareil photo, défigurer au plus près l'érotisme de chacune.
Parfois, quelques regards s'échangeaient, laissant présager la possibilité d'une étreinte. Mais j'étais ici pour travailler avant tout, le temps nous était restreint, et je ne pouvais me laisser aller à la rencontre de ces demoiselles dans mon viseur, même si leur yeux me demandaient de venir. C'était aussi l'endroit idéal pour plonger mes yeux dans les décolletés plus ou moins érotique.
Je ne pouvais pas occuper la scène trop longtemps, le tournage aller débuter. Je me dépêchai pour bouger pour continuer à shooter la foule, mais cette fois si pour le film. La musique jouait fort des accords de hard rock des années soixante-dix, et la foule explosait comme le souhaitait le réalisateur. J'avais les muscles tendus et le corps en sueur, je savais qu'ainsi, je n'avais rien d'excitant.
Alors, je décidais d'aller me poser un peu, assis dans un coin pour profiter de la scène comme un spectateur en direct. Je me rappelai soudain les paroles d'une amie dont la sœur connaissait la maquilleuse qui travaillait sur cette scène, et dont il se disait que c'était une cochonne.
Je n'ai jamais eu l'occasion de baiser avec une cochonne, et cette idée me traversa l'esprit. Surtout que je l'avais vue dans la loge, et j'avais été séduit par cette rousse aux cheveux longs, mince et discrète. Mais je ne pouvais me débarquer auprès d'elle en lui disant : « Alors c'est vrai que t'es une cochonne ? »
C'est même plutôt rare que l'on emploie « cochonne » comme adjectif pour désigner une fille. De nos jours, il me semble que la salope, voire la pétasse ou la pute, est bien plus répandu, et cette idée que cette fille soit cochonne excitait ma curiosité autant que ma bite.
Il me fallait un prétexte que j'ai rapidement trouvé. J'allais dans la loge où elle se trouvait en prétextant avoir quelque chose dans l'œil. A vrai dire, c'est derrière la tête que j'avais une idée. Elle me demande de m'installer sur le siège où venaient se faire maquiller les actrices, j'avais les spots dans les yeux qui m'éblouissaient, et elle est venue se poser entre eux et moi, à quelques centimètres de mon visage pour ausculter mon œil.
Je sentais son souffle frémissant sur mes lèvres, elle posa les mains sur mes épaules. Elle avait passé la mâtinée à flirter, effleurer tous ces corps de jolies filles et de mâles. Cela ne devait pas la laisser indifférente. Elle posa une autre main sur mon visage pour écarquiller mon prétexte oculaire. J'étais en sueur, et dans ma tête, je n'arrivais pas à savoir si pour une femme, je représentais une chose dégoûtante, ou si j'étais un nuage de phéromone très attirant attisant les sens et les pulsions charnelles de cette fille !
Quand nos lèvres s'effleurèrent, et qu'elle laissa ma langue glisser dans sa bouche mon avis était fait. J'attrapais sa taille fine et légère pour qu'elle s'assoie sur mes genoux. Dans ce face à face intime, ce baiser était torride, débridé, sa langue virevoltait entre mes lèvres. Moi, je dégustais ses lèvres parfumées par son maquillage. Je caressais sa nuque, ses épaules osseuses, et je glissais mes mains le long de ses flans minces et fermes pour arriver jusqu'à sa taille de guêpe.
Tout cela se passait de parole. Elle était avide sans être affolée, et j'aimais sentir sur moi ses mains caresser mon corps, mon torse, ma tête rasée, mes épaules. Ses caresses étaient fermes, douces mais intenses, elle ne caressait pas simplement ma peau, mais elle savait caresser en profondeur mes désirs érotiques et mes pulsions sexuelles.
Nous avons été interrompus dans ce baiser intense par une figurante qui venait faire retoucher son maquillage. Je ne savais même pas le nom de cette cochonne qui, un instant avant, se pendait à mon cou en me laisser lui dévorer la bouche. Pendant qu'elle reprenait le maquillage de la demoiselle, la figurante a eu une réflexion plutôt flatteuse, du genre « Eh bien tu ne t'embête pas ! »
Ou : « Tu as choisi le bon ! », je ne sais plus. Elle est repartie en nous faisant un clin d'œil. Je m'étais levé, et j'attrapais ma maquilleuse par derrière, plaquant son bassin contre moi, qu'elle puisse sentir à travers mon short l'intensité raide de mon érection. Elle se mit à onduler et frotter son cul contre mon sexe, j'en profitais pour remonter les mains vers sa poitrine plutôt généreuse pour une fille si mince.
J'attrapais ses seins vigoureusement, et pendant que je caressais cette délicieuse poitrine, elle se tourna un peu de façon que nous puissions nous embrasser. J'aimais qu'elle frotte son cul contre mon sexe, je trouvais cela terriblement excitant.
On ne pouvait pas rester plantés là au milieu de la loge, et comme il était clair qu'elle et moi avions les mêmes envies, il nous fallait trouver un endroit moins exposé pour s'adonner à un corps à corps endiablé. Ayant pu aller partout dans ce Zénith, je savais que juste au-dessus d'ici, dans la coursive tout en haut, nous pourrions nous installer à notre guise, et dévoiler nos sexes pour qu'ils s'emboîtent rapidement et que nos mouvements se muent en va et vient. Je lui glissais donc de me suivre et je m'engageais dans l'escalier métallique.
Arrivés en haut, derrière un lourd rideau noir, se trouvait un grand espace, des chaises, des miroirs, et des tissus en vrac. La musique de la scène en court de tournage raisonnait dans tout l'espace. Je prenais un tas de tissus pour disposer par terre d'un nid pas trop inconfortable. Pendant ce temps-là, elle retirait son débardeur et son short. Sous ces vêtements, elle portait un ensemble, string soutien gorge vert. J'aime quand une femme coordonne ses dessous. Pour ne pas être en reste, je me retrouvais en slip. C'était la première fois que je me retrouvais nu devant une femme depuis que j'avais perdu du poids.
De nouveau l'un contre l'autre, nous nous embrassions. Je sentais sa poitrine frotter contre mon torse, je lui caressais les fesses qu'elle avait fermes, mais je n'avais qu'une envies c'est lui écarter le string et sentir sa chatte sous mes doigts. Je glissai alors en bras entre nous pour plonger la main sous le minuscule bout de tissu qui lui couvrait la chatte.
Sous mes doigts, je sentais sa peau lisse. Elle était donc entièrement épilée. Et mon majeur trouvait sa fente déjà trempée. Qu'il est agréable et excitant de glisser sa main dans la culotte d'une femme et que son sexe soit déjà humide et ses lèvres ouvertes !
J'aime quand mers doigts pénètrent sans barrière, profondément, dans une chatte inconnue. Je me retrouvais donc avec la main dans sa culotte, en train de la doigter profondément. Sa chatte était douce et large. Elle ne restait pas inactive, et faisait sortir mon queue décalottée en dehors de mon slip, et me branlait avec savoir faire.
La musique couvrait le bruit de nos ébats. Moi, je lui disais des mots crus, lui expliquant que ma bite aimait l'emprise de ses mains de salope, et que je voulais la baiser avec fougue. Je la traitais de salope, de pute et je lui lâchai dans le creux de l'oreille qu'une cochonne comme elle devait aimer se faire sodomiser par de belles et grosses queues.
Elle gémissait de plus en plus fort au rythme de mes doigts dans sa chatte, qui, parfois, venaient étaler sa cyprine tiède sur son clitoris gonflé. Nous avons fini par nous retrouver sur le sol, elle allongée. J'avais retiré son string, et maintenant, elle écartait impudiquement les cuisses en exhibant sa chatte qu'elle offrait à mes caresses. C'est maintenant trois doigts que je lui fourrais dans le vagin, écartant ses lèvres roses et mouillées. Le hard rock galvanisait nos corps.
La cochonne se cambrait et accompagnait mes caresses vaginales de mouvements du bassin. C'était une invitation à la prendre comme une chienne. Je me plaçais donc entre ses cuisses ouvertes, présentant mon gland rouge et turgescent vers son vagin ouvert.
Elle m'a soufflé d'attendre un instant, elle attrapait son short pour sortir un capote de sa poche arrière. En bonne cochonne, elle devait toujours avoir un préservatif au cas où elle trouverait un homme à son goût ! J'enfilai le latex sur mon sexe, et je venais frotter mon gland décalotté sur sa fente baveuse et son sexe bien épilé.
Lui attrapant les hanches, j'enfonçais d'un coup violent mon sexe au fond de sa chatte, mes couilles claquaient sur son petit cul. En la tenant ainsi je lui ramonais le sexe de longs et profonds va et vient. A mesure que je lui baisais la chatte, elle s'agitait, agrippant le tissu, et gonflant sa poitrine appétissante. Elle était si légère que je la prenais dans mes bras, elle enserrait ses jambes autour de moi les serrant dans mon dos. On était collé l'un à l'autre, elle s'empalait littéralement sur mon érection bien dure. Je pouvais sentir sur la base de mon sexe ses grandes lèvres s'écraser et étaler sa mouille dans mes poils pubiens. Cette pénétration profonde était parfaite pour elle, je la sentais contracter son vagin autour de ma bite, m'offrant des plaisirs nouveaux. Elle se tenait à mon cou, me griffant le dos et les épaules au moment où je prenais son téton dans la bouche.
Il était bon de la baiser comme cela ! Elle remuait son basin, et stimulait mon sexe qui avait déjà envie d'exploser. Au bout d'un moment de cette étreinte chaude où nos corps l'un contre l'autre se stimulaient de partout, j'ai eu envie de voir son cul, de l'enculer en glissant mon sexe entre ses fesses fermes. Alors, j'aventurai une main dans son dos, glissant vers son fondement. Je trouvai du bout du majeur le chemin poisseux et chaud de sa raie des fesses, qui me conduisait directement vers son anus.
Quand j'entrepris de lui caresser la rondelle, elle me mordit l'oreille en gémissant :
« Oui… par là... »
Dans cette position, son petit cul n'était pas très facile d'accès. Alors, à contre-cœur, je retirai mon sexe de son vagin chaud pour la mettre à quatre pattes. J'avais ainsi une vue parfait sur son cul et sa chatte béante. Je lui frottai la chatte pour étaler sa mouille lubrifiante vers son petit trou, et je pressai légèrement mon index sur l'anus qui céda sans résister. Un doigt dans son cul, puis rapidement un second pour masser et malaxer ses chaires intimes préparant la venue de ma verge bandée.
J'avais besoin d'être en elle. Rapidement, ma bite pressa l'entrée de son cul qui m'aspirait avec délice. Son anus était plus serré que sa chatte, ma bite était à l'étroit et c'était bon. Je besognai avec saveur ma jolie rousse en la sodomisant virilement, lui provoquant des râles et des gémissements de plaisirs. Elle aimait ça, la cochonne, et ça se sentait. Il ne lui fallut pas longtemps pour mettre une main entre ses cuisses pour se caresser le clito. Parfois, en se penchant un peu plus vers moi, elle arrivait à me toucher les couilles. Dans ces moments-là, je restai profondément pénétré en elle, et je lui laissai me malaxer les couilles en lui doigtant la chatte.
En fourrant deux doigts dans sa chatte trempée, je sentais la présence de ma queue dans son cul, c'était excitant ! Alors, en lui prenant les fesses, je me remettais à l'enculer de plus belle. Nous étions dans les coursives de la salle, tout proche du septième ciel, et je ne pouvais plus me retenir de jouir.
Ma bite explosait en elle, répandant tout mon foutre dans la capote. Elle s'écroula sur le ventre pendant que j'essayais de retirer mon sexe encore raide de son cul défoncé. Son anus semblait m'aspirer la bite, mais je parvins à me retirer d'elle pour m'allonger près d'elle. En se tournant vers moi, elle me regarda avec le sourire et me disait :
« Merci, ça fait du bien de se faire bien baiser ! »
Et elle étendit les mains pour retirer la capote sur ma queue. Avec naturel, elle se pencha sur moi, se proposant de me nettoyer la queue. Je sentais alors sa bouche et la langue légère et brûlante courir sur mon sexe, mon gland. Après ce petit instant de bonheur, il était temps de nous relever, nous rhabiller. Pour la première fois, nous parlions un peu, comme deux amis, deux amants, comme si nous nous connaissions depuis longtemps.
Elle remettait son string vert et son soutif, pendant que je glissai mon érection amollissante dans mon slip. Nous sommes ensuite descendus, on se foutait de savoir si les gens savaient ou pas ce que nous venions de faire. Nous avions joui, et c'était là l'important.
Je fus rapidement rattrapé par mes différentes, tâches tandis que la maquilleuse approchait ses mains qui, quelques instants avant, dansaient sur ma queue et dans sa chatte, sur le visage des figurantes ou des acteurs à remaquiller. Nous n'avions plus eu l'occasion de parler avant la fin du tournage, elle me laissait son numéro avant de disparaître.
Signé : Kukaman
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Quand deux couples sont très très amis...
Ma vie sentimentale et sexuelle a vraiment commencé lorsque j’avais une vingtaine d’années, soit deux ans après mon mariage. Philippe mon époux, a trois ans de plus que moi et avait la prétention de tout connaître, hélas, il en était rien. Philippe est un garçon très séduisant, grand brun, toujours élégant, représentant de commerce. Je l’aime énormément, il gagne bien sa vie, ce qui me permet de ne pas travailler et de faire un peu ce que je veux.
Deux ans après notre mariage, nous avons changés de résidence pour un appartement plus grand et plus luxueux.
Pour ma part, je suis brune de taille moyenne et mince, très peu de poitrine, avec malgré tout des fesses importantes. Je pense plaire aux hommes, mais c’est surtout Philippe qui m’intéresse. J’ai beaucoup de chance d’avoir connu ce garçon aux idées très larges, pas jaloux et qui me laisse faire tout ce que je veux.
Quelques temps après notre aménagement, j’ai fait la connaissance de Monique, ma voisine de palier, la chance ne m’a pas quittée, c’est grâce à elle que notre vie s’est transformée.
Monique à le même emploi du temps que moi, son homme est pilote, ce qui l’amène à s’absenter très souvent. Monique, blonde avec un visage radieux, de ma grandeur, un peu plus forte surtout de la poitrine, disons qu’elle a de bonnes formes. Monique m’a plu tout de suite par son caractère et sa joie de vivre, sa gaîté, son esprit et son éternel sourire. Nous sortons très souvent ensemble au ciné ou au resto, on s’amuse à se faire draguer et à allumer les mecs. On s’invite pour un café, un thé ou une petite bouffe.
Il y avait bien sept à huit mois que l’on se fréquentait assidûment, qu’un après-midi, nous avons décidé d’aller au cinéma. Le temps était à la pluie, je me rends chez Monique pour la prendre. Elle vient m’ouvrir et m’annonce qu’elle n’est pas prête. Elle me propose de me servir un café. En fait, elle n’arrive pas à se décider pour une robe ou une jupe ou un pantalon. Prenant les choses avec humour, je lui propose ma robe, ça va la changer, moi j’enfilerai un de ses pantalons.
« Chiche », me lança-t-elle en retournant dans sa salle de bain pour se déshabiller.
Elle revient en sous-vêtement, une petite culotte blanche et un soutien gorge très, très sexy. Ces deux pièces tranches sur sa peau bronzée, je n’avais jamais vu Monique en sous-vêtement. Mon choc est émotionnel, cette apparition subite de ce corps superbement moulé me donne un frisson. Je reste figée, éblouie par cette vision.
Monique constate mon comportement et me demande si je vais bien, je réponds par l’affirmative. Mais la malheureuse s’approche pour me toucher le front. La chaleur et l’odeur du corps presque nu accentuent mon désarroi. Je suis dans un état second, bien que je ne me sois jamais demandé si j’aime les femmes, là, je suis troublée par cette anatomie, je suis séduite par Monique.
Je me confesse à mon amie de ce qui m’arrive, touchée par mes louanges sur sa grande beauté, elle s’écarte un peu pour faire quelques pas comme le ferait un mannequin et surtout mettre un peu de gaîté pour me remettre de mes émotions. Elle s’amuse à faire des allés et retour dans le salon en bombant le torse pour mettre sa poitrine en valeur, elle prend des pose suggestives, ce qui me déclenche une excitation comme une jeune amoureuse.
Je finis par rire de cette situation qui me dérange en présence de mon amie.
Monique semble prendre plaisir à présenter ses charmes plus près de moi pour augmenter mon trouble. Je suis dans un état second et ambigu, une force me pousse à toucher cette poitrine. Monique s’immobilise subitement au contact de ma main, elle me regarde dans les yeux, je lui dis :
« Tu es la plus belle femme que je n’ai jamais vue. »
Touchée par mes paroles, elle prend doucement ma main et la promène sur son corps. Je me laisse entraîner dans ce chemin tortueux, ma main est collée à la peau chaude du ventre à la limite de la culotte, je ne me reconnais plus. Je caresse ce corps, j’ai un peu honte de moi, je voudrais partir mais la chaleur m’envahit, mon entre-cuisses est mouillé… Même avec mon mari, je n’ai pas connu une telle ferveur. Je suis inconsciente de mes gestes, assise dans ce canapé, je caresse cette femme quasiment nue devant moi.
La douceur de la peau est surprenante, je n’ose plus lever la tête pour regarder Monique. Je fonds littéralement, elle met sa main derrière ma nuque et m’attire contre sa poitrine. J’ai le visage entre ses seins, je sens le battement de son cœur qui court à toute vitesse. Je passe mes bras autour de son corps pour la serrer très fort, nous restons collées l’une à l’autre sans rien dire quelques instants.
Monique me caresse les cheveux, je cherche l’agrafe du soutien-gorge comme me le fait Philippe, j’enlève le minuscule vêtement aidé par Monique, c’est une poitrine magistrale que je découvre. J’enfouis à nouveau mon visage entre ces deux monticules, je respire les odeurs corporelles. Mon amie prend mon visage, et lentement, me présente un sein comme elle le ferait pour un bébé.
Je prends sans hésiter le mamelon dans ma bouche, et le suce naturellement. Monique respire plus longuement, son corps devient plus chaud, je change de sein, Monique plonge sa main dans mon chemisier pour me caresser le dos. Je suce et ressuce ces seins, mon plaisir grandit…
On se détache finalement au bout de longues minutes en se regardant, je la trouve encore plus belle, plus désirable, elle s’approche de mon visage, prend mes lèvres, nos bouches se soudent dans un baiser infernal et interminable.
Monique me ramène à la réalité en disant de sa voix la plus douce :
« Il y a longtemps que je rêvais de cet instant, de t’embrasser, de caresser ton corps, je n’ai jamais osé te le dire et aujourd’hui c’est venu tout seul. »
Un peu surprise par ses paroles, je me recolle contre elle pour approuver son désir, nous étreignons fortement, puis Monique dit :
« C’est bien beau tout ça, mais je veux voir ce que tu nous caches là-dessous », dit-elle en montrant mes vêtements.
- Allez, enlève-moi tout ça, mets-toi à l’aise. »
Terminant sa phrase, elle déboutonne ma robe, je m’abandonne, soumise à sa volonté.
Je me retrouve nue comme elle, on s’admire, je renouvelle mes compliments. Elle me les retourne en disant qu’elle adore mes petits seins et la parfaite rondeur de mon cul proéminent.
Le désir monte, nous nous jetons dans les bras l’une à l’autre, on se laisse glisser sur le tapis épais, nos baisers, nos caresses n’ont pas de fin, nos jambes sont entrelacées. Je frotte ma chatte trempée sur sa cuisse moite et lui demande de se laisser faire. Je descends le long du corps offert pour poser ma bouche sur la petite forêt blonde, et découvre le coquillage qui dégage des parfums inconnus pour moi.
J’écarte les lèvres luisantes pour goûter cette chose sublime. Je dévore la chatte et me découvre une inspiration ignorée, c’est un délice. Monique apprécie mon œuvre, elle se démène pour se mettre en soixante neuf. Elle a mon intimité sous ses yeux, je ne sais plus ou je suis, ni l’heure qu’il est, nous sommes l’une à l’autre, on se lèche, on se mange, on se secoue, on s’exprime bruyamment, les orgasmes se suivent, puis au bout de combien de temps on s’effondre, épuisées toutes les deux.
C’est à partir de ce jour que j’ai commencé à connaître le vrai plaisir du corps, nous avons passées cette première nuit ensemble comme deux amoureux.
Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous renouvelons nos petits jeux favoris, et qui restent pour l’instant notre secret. Un jour nous nous promettons de tout avouer à nos maris.
Quelques mois ont passées, nous décidons Monique et moi de mettre Guy et Philippe au courant de nos relations. Pour ce faire, nous organisons un dîner pour ce samedi soir, nos maris s’entendent bien, et selon la température des conversations, nous essaierons de lâcher le morceau au bon moment.
Le dîner se passe bien comme à l’habitude, après des apéritifs volontairement copieux et pas mal de vin au cours du repas, nous sommes assez gais tous les quatre, des histoires de cul sortent de toutes les bouches. Je fais passer les hommes au salon pour prendre encore quelques alcools sur la table basse. Je mets une musique douce de danse, règle la lumière sombre, afin de créer une atmosphère adéquate, il faut toutes les conditions pour que notre message passe sans trop de heurts.
D’un commun accord, nous entamons un slow, enlacées assez tendrement, Philippe et Guy s’arrête soudainement de parler et de rire, muets, ils nous regardent évoluer. Il faut dire que nous mettons la dose, très serrées l’une à l’autre, joue contre joue, on se caresse le dos, le spectacle que nous leur donnons les à rendu complètement silencieux.
Monique me murmure des mots tendre à l’oreille, qu’elle fini par mordiller, voyant encore aucune réaction chez nos hommes, on se regarde dans les yeux puis nos bouches se soudent dans un baiser comme jamais nos hommes ont réalisés, avec nous en tout cas. Les yeux semblent sortir de leur tête, ils doivent se demander s’ils ne rêvent pas. Monique fait descendre le clip de ma jupe qui tombe à terre, je la pousse du pied vers le canapé où sont assis nos bonshommes. Je suis en culotte, mon cul est dégagé sous le regard surpris de Philippe et l’air heureux de Guy.
Monique a posé ses mains sur mes grosses fesses qu’elle pétrit sans timidité. J’en profite pour sortir sa mini jupe qui suit le même chemin que la mienne. Cette fois, c’est Philippe qui apprécie les rondeurs de Monique, les autres vêtements s’envolent au même rythme pour se retrouver nues toutes les deux et poursuivre notre danse comme si rien n’était.
Nos cuisses jouent ensemble, on se caresse les seins, les fesses en regardant nos maris stupéfiés mais un peu plus détendus, allongés dans les canapés, le spectacle doit les satisfaire au plus haut point. Nos caresses deviennent plus précises pour que l’ambiance soit plus chaude, nous mouillons énormément de par cette situation peu ordinaire, notre désir augmente, les minutes qui passent sont épuisantes de se demander comment on va terminer cette soirée, j’ai tant envie de ma chérie !
Soudain, je sens la présence de Philippe derrière moi, il est nu, la verge dressée entre mes fesses, j’ouvre les yeux et vois Guy dans la même tenue derrière Monique. J’ai retiré mes mains du cul de ma chérie par pudeur pour les mettre autour de son cou, on se regarde en souriant et se disant que l’on a réussi notre coup.
Nous voilà prises en sandwich entre nos époux, la dureté inhabituelle de la verge de Philippe me prouve qu’il aime notre petit jeu, ses mains caressent mes seins et par la même occasion ceux de Monique. Je dois me rendre compte que je ne suis pas jalouse et au contraire terriblement excitée, je sens les mains de Guy sur mes hanches, je vais fondre.
Nous restons tous les quatre ainsi à faire du sur-place pendant un bon moment, toutes les mains exploitent sans aucune gêne les corps chauds. Nous nous laissons caresser pour notre bonheur et celui de nos hommes, pendant que nos langues font la fête en appréciant ces moments inoubliables.
Je frémis dans les bras de Monique, j’ai un orgasme dont je me souviendrai longtemps. Ma chérie subit le même sort, secouées toutes les deux, nos maris sont obligés de nous soutenir, encore surpris par l’ampleur de notre pied.
On se détache pour reprendre nos esprits et se retrouver dans les bras de nos époux respectifs, Philippe m’étreint fortement en me disant des mots d’amour, de leur coté Monique et Guy se bécotent comme de jeunes amoureux.
Les hommes ont l’air super heureux, nos amis prennent leurs vêtements en paquet et filent à poil dans leur appartement, il n’y a que le hall à traverser.
Une fois seuls, Philippe ne se tarit pas d’éloges pour moi et Monique, il me couvre de baisers de la tête aux pieds, il me prend d’un seul coup, il devait avoir les couilles pleines à exploser, j’ai pris un super panard.
Notre soirée a dépassée toutes nos espérances, je n’aurais pas imaginé un si bon résultat, je serais très heureuse de renouveler cette expérience.
Nous n’avons pas traîné à nous revoir, c’est le lendemain matin, il était plutôt midi et encore au lit que la sonnette nous sort d’un sommeil long et profond. Philippe va ouvrir, c’est Monique et Guy avec les mains chargées de croissants. Nous les recevons en peignoir, les yeux ébouriffés, Je prépare le café, Philippe installe les couverts. Pendant que nous avalons le petit dèj’, les hommes y vont de bons trains sur cette soirée, ils nous complimentent plus que jamais. Monique et moi échangeons un coup d’œil complice.
Au fur et mesure de la conversation, le température des corps monte, Philippe me caresse la cuisse depuis un moment, je passe ma main dans l’ouverture du peignoir et je dis en m’adressant à nos invités :
« Mais c’est qu’il bande mon Philippe ! »
Pour éviter toute jalousie et pour faire comme moi, Monique porte une main sur braguette de Guy, mais ne pouvant pas faire ce qu’elle veut, elle détache la ceinture, ouvre la fermeture éclair et sort l’objet.
« Comme vous pouvez le constater mon Guy bande aussi.
- Nous ne pouvons pas laisser nos chéris dans cet état, dis-je en m’adressant à Monique avec un rire amusé.
- J’enlève mon peignoir et dis à Philippe :
- Regarde mon chéri comme je mouille ! »
Il n’en fallait pas tant pour que Philippe pousse la vaisselle sur le plateau afin de dégager la table, il quitte son peignoir, me couche sur la table, écarte mes jambes, s’agenouille sous le regard de nos invités et me lèche copieusement la chatte. J’apprécie d’autant plus cette offrande sachant que Monique me désire, je lui tends les bras pour l’inviter à m’embrasser. Elle se penche un peu, ses lèvres trouvent les miennes, ce qui augmente non excitation.
Philippe me pénètre délicatement, nos amis se déshabillent complètement, Monique se couche à coté de moi mais dans l’autre sens, j’ai son ventre sous mes yeux, Guy la pénètre à son tour. Je sens les soubresauts sur son corps, Guy est plus violent que Philippe, je caresse le visage de Monique bloqué contre ma taille. Mon Philippe me travaille plus doucement, c’est sa technique, il me caresse la poitrine ainsi que celle de Monique. Je m’adresse à lui :
« Embrasse-la mon chéri. »
Mon mari me regarde et se penche pour déposer un petit baiser sur la bouche de Monique.
« Mieux que ça mon amour, tu n’as pas envie d’embrasser Monique ? »
Philippe se penche à nouveau vers Monique, qui lui tend les lèvres, et sans quitter ma chatte, ils s’embrassent amoureusement sous le regard de Guy et du mien. Je sens sa verge se durcir dans mon vagin, le baiser de Monique fait son effet. Je caresse les deux visages réunis avec un plaisir inouï et en profite pour caresser les cuisses de Guy. Je parviens à atteindre la verge qui fait son va et vient entre les cuisses de son épouse.
Il s’écarte un peu pour me laisser de la place, j’entoure la verge de ma main comme pour prolonger la chatte de Monique. Je vois que Guy voudrait m’embrasser, mais pas possible dans cette position. Nos hommes me surprennent par leur ouverture d’esprit, hélas les positions ne sont pas très convenables.
Je fais signe à Monique de se lever et de venir dans notre chambre qu’elle connaît très bien. Nous nous détachons et allons directement sur le lit. Je me jette sur ma chérie et la dévore comme nous avons l’habitude quand nous sommes seules, pour montrer à nos maris ce que nous pouvons faire toutes les deux. On se lèche, se suce comme des malades devant nos hommes, trempées de désirs. Nous jouissons plusieurs fois encouragées par l’attention de nos époux.
Je sens des mains qui courent dans mon dos, les hommes s’occupent enfin de nous, le pénis de Guy est à quelques centimètres de ma bouche. Je le prends entre mes lèvres pour la première fois, son odeur est agréable, pas la même chose que Philippe. Je déguste la friandise sous l’œil amusé de mon mari et la présente à l’entrée de la chatte de son épouse.
La pénétration sous mes yeux est sublime, ce spectacle m’excite, on le serait à moins ! Je malaxe les boules poilues, reprends la verge en bouche pour savourer le mélange des deux intimités. Pendant ce temps, mon mari me pilonne tranquillement, je pense que Monique n’en perd pas une miette car je sens son souffle et la douceur de ses doigts sur mes lèvres intimes.
Je replonge la trique dans la foune en lui caressant les fesses. Les hommes poussent des cris de bête dans leurs coups de boutoir synchronisés, ils se répandent dans nos corps. Notre jouissance vient en suivant, Monique me serre de joie, nous sombrons dans un océan de voluptés euphoriques.
Nous avons pris des plaisirs complémentaires inconnus et réussi l’impossible. Tous les quatre sommes extraordinairement bien, les hommes se trouvent de nouvelles amitiés.
C’est ainsi que nous avons appris que nos maris raffolent de voir nous aimer, ce qui nous excite encore plus et voudrions aller plus loin dans nos relations.
Pendant que nos hommes travaillent, on s’envoie en l’air en fantasmant sur d’autres séances d’amusement à quatre.
A suivre
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Le curé Antoine
Décembre, six heures du matin à Paris, il fait nuit et froid. Moi curé Antoine, je prends un café au buffet de la gare d'Austerlitz en attendant mon train. Comme chaque fois que je viens à Paris, j'ai passé ma soirée rue Saint Denis. Les peep shows et quelques prostituées de cette rue me font oublier la morosité de ma paroisse rurale. J'adore voir les filles se caresser et se doigter derrière la glace de leurs cabines.
Après en avoir visité plusieurs, j'ai baisé avec une jeune prostituée : Roumaine ou Bulgare. Elle ne savait que quelques mots de Français, mais avait un sacré coup de reins et m'a fait gicler très vite.
Il y a près de dix ans, j'ai été viré du collège de Sainte Pétronille qui est en périphérie de
Québec. C’était mon premier poste, et j’avais été nommé là comme confesseur. La
Directrice une vieille teigne de sœur supérieure, fut scandalisée par ma brève aventure avec une des pensionnaires. Un certaine Mya qui avait le démon dans sa culotte. Ah son
visage d'ange, son corps fin, ses petits seins à peine formés et sa petite chatte étroite...
Je l'ai reçue en confession quelques jours après son arrivée au collège. Elle ne venait pas pour soulager son âme, mais découvrir le goût du péché avec un homme. C'était la première fois que je dépucelais une fille. Cela m'excitait terriblement, et cette Mya encore lus, elle mouillait beaucoup et jouissait à grand cris.
Mais héla cette garce de directrice en a été informée dans les jours suivants, et me congédia immédiatement.
L'évêque me convoqua et sermonna longuement, mais après m’être repenti il me pardonna ce péché de jeunesse. Il m’envoya alors comme curé d’une paroisse en banlieue de Trois Rivières. Là plus de jeunes pucelles comme Mya, c'était un quartier habité en grande majorité par des retraités. Parmi toutes les vieilles bigotes fréquentant mon église, une grande blonde mince détonnait : tout juste quarante ans, un sourire aguicheur, et laissant voir généreusement ses cuisses gainées de bas noirs. C'était l'épouse d'un vieil avocat alcoolique et fortuné. Plusieurs de mes paroissiennes, aussi vipères que laides, m'ont prévenu à son sujet :
« C'est une ancienne call-girl qui a séduit ce benêt d’avocat. Elle se donne à tous les hommes qui passent chez eux : du facteur aux livreurs de pizzas ! »
.
Je me suis hâté de recevoir en confession cette dame, et pas aux heures habituelles. Elle est venue tout de noir vêtue : long manteau, tailleur en cuir noir, escarpins à hauts talons et bas résille. Elle s'est agenouillée devant moi et après quelques minutes de parlottes, elle a relevé sa jupe. Elle était nue dessous, avait la chatte intégralement épilée avec juste un trait de duvet au dessus.
Profitant de ma surprise, elle a posé son visage sur le haut de mes cuisses et m'a fait une fellation divine. Ah Sabrina, tu m'as quasiment tout appris : sodomiser une femme, usage des godes, poser des boules de geishas, bandés les yeux, attacher les mains avec un bas, etc... Ma bouche se souvient encore du goût salé de ta mouille.3
Notre liaison discrète a duré plusieurs années, et nous baisions généralement dans la sacristie. Parfois aussi dans la cabine du confessionnal, notamment quand une vieille bigote priait dans le fond de l'église.
Sabrina m'a demandé d'apprendre le piano à une
petite-nièce de son mari. Cela me donnait un prétexte pour aller chez Sabrina. Pendant que la petite-nièce fort mignonne répétait ses gammes, nous baisions telles des bêtes dans le lit conjugal Les leçons de piano duraient deux heures, et parfois Sabrina s'absentait. J’en profitais pour « éduquer » ma jeune élève.
Je lui caressais gentiment sa petite chatte et clito, lui apprenais aussi à sucer. Un jour que je giclais dans sa bouche, j'ai enfoncé un peu trop mes doigts en elle. Elle a crié très fort, car j'avais déchiré son pucelage. Sabrina était de retour et a entendu, elle s'est précipitée vers nous !......
Folle de jalousie Sabrina informa la police, et raconta la scène dans toute la ville de
Trois Rivières. Le scandale fût énorme, et le nouvel évêque me convoqua devant une sorte de conseil de discipline. Révoqué de ma paroisse, on me donna le choix entre : aumônier dans un pénitencier militaire en Angola, ou curé d'une bourgade en France. J'optais pour la deuxième solution, et quelques jours après je me présentais à l'archevêché de Paris. Un chanoine semblable à un vieux matou madré, me désigna avec un sourire ironique ma nouvelle paroisse : Flayat, trois cents habitants, dans le sud du département de la Creuse au centre de la France.
Après quatre heures de train et une heure trente dans un vieil autocar, j'arrivais dans mon nouveau presbytère. Mes paroissiens sont une bande de paysans âgés et mécréants. Les hommes n'aiment pas les curés, et se moquent de mon accent Québécois. Seules des femmes âgées fréquentent mon église, et ne risquent pas d'inspirer le désir. Les quelques jeunes femmes ou adolescentes du lieu, elles n’ont que mépris pour la religion et son serviteur.
La seule distraction, c’est le café du village, tenu par un « bouffeur de curé ». L'évêque dont je dépends se désintéresse totalement de moi, cela me facilite la constitution d’une cagnotte avec les recettes des divers cérémonies et dons.
Tous les trimestres, je prétexte des problèmes administratifs avec l'ambassade du Canada pour me rendre à Paris.
Oh ! Six heures trente, mon train va partir dans quinze minutes Je quitte le buffet de la gare et me dirige sur les quais, mon train est déjà là lumières éteintes. Je monte et recherche un compartiment sans occupant, car je voudrais dormir pendant le voyage . Difficile de distinguer avec cette pénombre et de plus nombre de rideaux sont tirés. Après plusieurs vaines tentatives, enfin un compartiment libre. J'entre, referme la porte et les rideaux, et m'allonge à demi sur une banquette.
Mais c'est quoi sur celle en face de moi, un manteau abandonné ? Bizarre, il est quand même bien volumineux ce vêtement.
Évidemment, il y a quelqu'un allongé dessous. Pourvu que ce ne soit pas un clochard cuvant son vin !... Ouf, cela ne sent pas mauvais et ne ronfle pas ! Un passager m'a devancé, c'est sans importance et je commence à somnoler.
Bruits divers du train qui démarre, secousses pendant les quinze à vingt minutes du début du trajet. Je connais bien, ce sont les aiguillages en sortie de Paris. Je garde les yeux clos et essaye de dormir. Toc toc énergique, « Messieurs dames, contrôle des billets ».
Enfoiré de contrôleur, juste au moment où je commençais à dormir !... J'entrebâille, difficilement les yeux et cherche laborieusement mon billet. Le manteau en face de moi s'est soulevé et son possesseur tend le sien. On dirait un jeune éphèbe, mais cela semble avoir des seins et ce n'est pas une drague queen version ferroviaire !...
Juste une fille, brune, cheveux courts, grande, très mince, environ 23 - 26 ans. Pas ou peu de maquillage, un pull ample et un pantalon ou caleçon noir
Fatigué par ma nuit, j'ai plus envie de dormir que de la confesser. De plus, je ne suis pas habillé en curé, et rien sur moi ne rappelle ma fonction. Somnolence, puis de nouveau secousses des aiguillages. On doit passer Étampes, après ce sera plus calme. J'ouvre à demi les yeux, les lumières sont enfin allumées et le jour se lève.
Sous le manteau, la fille est allongée sur le dos et la tête calée sur son sac de voyage. Ses bottines à lacets sont posées sur le plancher, et du vêtement dépassent ses pieds. Un élastique noir sous chacun, elle porte donc un fuseau, chose peu courante dans cette situation. Mignonne de visage, et bras allongés sagement sous son manteau. Je l’observe et j'ai un choc, son visage me rappelle celui de Mya. Cette jeune pensionnaire que j’ai dépucelé, au collège de Sainte Pétronille.
Dans ma tête, je me repasse cet épisode bien agréable. Cela réveille mon désir et envies. Des années que je n'ai touché, et pénétré une chatte juvénile .... Allons Antoine rêve pas, que ferait Mya ici dans un train Français au mois de Décembre.
Ondulations, mouvements lents et discrets sous cette couverture improvisée. Mais je rêve ou quoi, elle se caresse un de ses seins !... Elle n’a pas le visage de quelqu'un qui dort et ses yeux sont mi-clos. Ne perturbons pas cela, la suite peut s'avérer intéressante. Car aucun arrêt avant au moins une heure trente Je fais semblant de dormir, et l'observe discrètement à travers mes paupières en fentes. La caresse sur son sein se fait plus insistante, bien que discrète. Son visage est impassible, et elle semble m'observer à la dérobée par intermittence.
Le temps est comme suspendu et mon désir est plus qu'éveillé : dur et dressé. Elle doit quand même pas le voir, quoique j'aimerai bien.... Et surtout sentir ses doigts me branler, puis sa bouche me prendre... humm . Le souvenir des délicieuses caresses de Mya me revient.
Antoine le bon Dieu est avec toi ce matin, et je murmure intérieurement « Merci mon seigneur, faites que cela dure... » Tiens, une légère rougeur sur son visage, son souffle parait plus rapide et ses jambes font des mouvements discrets sous son manteau. Ses pieds et chevilles qui dépassent, trahissent bien ce qui se passe. Cuisses qui se croisent, se frottent l'une contre l'autre et se contractent. Ce doit être chaud et humide, tout en haut entre ses cuisses. J'imagine sa chatte étroite, sa mouille qui suinte dans entre ses lèvres et son clito gonflé !... humm....
Mon membre durcit encore plus et mon gland est turgescent. Maintenant, les mouvements de ses cuisses se devinent très bien sous le manteau. Une de ses mains a glissé sur son ventre et le caresse. Oh la salope, elle va se branler devant moi !....
« Oh merci mon seigneur de m'offrir un si beau matin ! Elle veut que je la baise ou quoi ? »
J'allonge bien mes jambes et cuisses, afin de bander confortablement.
Aie aie... elle parait s'arrêter, son visage se tourne légèrement vers moi. Faisons semblant de dormir, ne gâchons pas la suite des événements par précipitation. Mais très
vite, j'entrebâille légèrement mes yeux ... Wouahhh ..... Une de ses cuisses est repliée, sa main a quitté son ventre et farfouille entre son asine et sa hanche. Bizarre cela, puis ses reins se soulèvent un peu. Compris, elle a ouvert le zip sur le coté de son fuseau et fait glisser ce dernier sur ses cuisses. Certainement aussi son string ou brésilien, si elle en a un !
Maintenant, sa main est blottie entre ses cuisses, le mouvement régulier de son poignet ne trompe pas. Elle caresse son clito, ou alors se doigte tout en le massant avec sa paume... Wouahhh.... Sa fente doit être chaude, trempée et sa mouille couler sur ses cuisses. Son clito gonflé doit saillir de son capuchon ! Mhummm.
Ses pointes de seins doivent bander aussi , car son autre main en palpe toujours un....
Antoine, tu fais quoi maintenant ? Tu glisses ta main sous le manteau, rejoins ses doigts dans sa chatte trempée ou/et tu poses ton gland turgescent sur sa bouche ? Elle doit savoir sucer subliment et aimer cela. Non attends un peu, on a encore quarante-cinq minutes de voyage, laisse-la jouir et là elle acceptera tout !
Cela va être géant, je la doigterai et baiserai partout : dans la bouche, la chatte, le cul... Je giclerai tout mon foutre en elle...
Oh qu'est ce qui se passe ? D'un mouvement brusque, elle me tourne le dos, allongée sur le coté et repliée sur elle même. Contractions spasmodiques de ses cuisses. Ouahhh, elle jouit !.... sans un cri, sans un gémissement....
Je me lève une main sur ma braguette, j'hésite un instant : mes doigts rejoignent les siens, et l’a font rejouir avant de la prendre ? Je lui enfonce mon gland au fond de sa chatte trempée et bien chaude ?
Dring.. dring... Sonnerie stridente dans son sac de voyage sous sa tête. Surpris, je reste debout sur place. Elle se retourne brutalement sur le dos et se redresse à demi, comme si elle s'éveillait. D'une voix assurée, ferme et avec un accent prononcé :
« C'est mon réveil qui sonne, dans cinq minutes le train s'arrête à ma gare. »
Oh merde ! J'avais oublié que le lundi, ce train faisait un arrêt là. Je me rassieds, décontenancé et dépité. Je réalise alors qu'elle a parlé avec l'accent Québécois. Pendant que je cherche mes mots pour tenter de prolonger cet échange, elle se rajuste rapidement sous le manteau et s'assoit sur la banquette Elle se penche vers ses bottines posées sur le plancher.
Je les prends, lui tend et ses doigts encore tout mouillés d'elle frôlent les miens. Contact bref, mais plus long que nécessaire. Comme une décharge électrique qui me tétanise, impossible de prononcer la moindre phrase. Très vite elle enfile ses bottines, se lève et revêt son long manteau. Elle prend son bagage, se dirige rapidement vers la porte du compartiment et l'ouvre. Le train freine, elle se retourne vers moi et d'une voix neutre :
« Contente d'avoir dormi avec vous.... bonne fin de voyage mon père »
Mya me fait un sourire salope comme pas permis, et disparaît très vite dans le couloir.
Trkker......
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