Les Mémoires très Libertines de Sophie
Acheter ses pneus à bon prix !
En début de mois, vous vous souvenez, j’avais été « dépannée » par un homme très laid, mais très « serviable ». Comme il avait mon numéro de portable, communiqué par l’Assistance pour me retrouver sur la route, il n’arrête pas depuis de me relancer, pour recommencer.
Mais comme je le dis souvent, pour moi, c’est une fois, et puis, basta.
Toujours est-il qu’il m’a encore appelée hier. J’ai profité de cela pour lui demander où trouver les pneus les moins chers de la place. Il a réfléchi, et m’a proposé de me rappeler plus tard.
Ce qu’il a fait une heure après.
Il m’a indiqué un garage et m’a demandé :
« Es-tu prête à payer de ta personne ?
- Ca dépend, du lieu, de qui demande quoi…
- Tu verras, si tu es ok, fais un signe au patron. Il saura de quoi tu parles. »
Bon, je savais à quoi m’attendre, et cette possibilité me faisait déjà mouiller... Je compte bien profiter de mes trois derniers jours de liberté pour continuer mon overdose de sexe.
Je me rends donc dans le garage indiqué. Là, tous les volets roulants sont clos, sauf un. Je rentre, cinq hommes sont là. Tous des mécanos, au vu de leurs tenues et de leurs mains bien noires de graisse…
Ce que je vois me convient. Ils ont des bonnes tètes. Je me fais peut-être des idées, mais je suis sure d’en voir un bander…
La patron s’approche, me demande de le suivre près de la voiture, pour la taille des pneus. Il me glisse à l’oreille :
« Pour vous, c’est gratuit, Jo m’a parlé de vos talents. Vous me proposez quoi ?
- Je m’exhibe, vos ouvriers me matent, se branlent, mais ne me touche pas. Ou juste de la langue. Leurs mains sont trop sales. Je ne les touche pas non plus. Pour vous, on fait la totale. Devant eux ou sans eux, comme vous voulez. Mais tenez-les !
- Ok, pas de soucis, ils obéiront. Je vous prends devant eux.
- Et aussi, j’exige la plus grande discrétion sur ce marché. Si un de vos mecs parle, je dis que vous m’avez violée…»
Il rentra, ordonna d’un ton sec de changer mes pneus. Jamais je n’ai vu cette opération se dérouler si vite !!!
Puis il prit une planche, un coussin trouvé dans le bureau, et les posa sur le pont.
Je compris où il voulait en venir. Je m’assis dessus, et il leva l’engin. Il le stoppa quand la planche fut à hauteur des yeux de tous. Je portais une jupe noire, ample, sans culotte dessous. Pas la peine, vu ce qui m’attendait !
J’étais assise à la hauteur de ces inconnus, et je devais leur en donner pour leur argent ! Le parton leur rappela brièvement les conditions, ils acceptèrent tous.
Alors, j’ouvris mes jambes, pour leur exposer ma chatte épilée trempée. Ils s‘approchèrent, et en baissant les yeux, je voyais qu’ils commençaient à se branler.
Jolie brochette de bites…
De voir leurs yeux exorbités m’a excitée à mort, tout autant que de les voir se masturber à fond. J’en ai fait autant, titillant mon clito, ouvrant largement ma fente à deux mains. Je coulais bien, trop excitée par la situation. J’ai toujours adoré m’exhiber comme ça.
Un des mecs, un chabin, se passait la langue sur les lèvres, je lui demandais donc de venir…
Il obéit immédiatement, et bonheur de la situation, avait sa langue pile à la hauteur de ma grotte. J’ouvris à nouveau bien grand ma chatte, et il plongea dedans, avec une langue puissante et bien dure.
Du coup, les autres se branlaient encore plus fort. Un premier n’y résista pas, et jouit. Je vis le sperme blanc s’écraser mollement sur le sol noir du garage.
Moi non plus, je ne résistais pas. J’eu un premier orgasme, assez fort, sous la bouche experte du mécano.
Du coup, il but mon liquide intime avec avidité. Ce qui le fit jouir, lui aussi.
J’en avais déjà achevé deux…
Soudains, je vis la lumière du soleil apparaitre. Un peu inquiète, j’ai rabattu ma jupe. Fausse alerte, ce n’était que le dépanneur, bien décidé à profiter aussi de la situation.
Très vite, en habitué, il vint aussi me dévorer l’abricot, prêt à éclater. Les mots crus ont commencé à fuser, et dans cette situation, j’adore ça…
« Putain, la blanche, elle est bonne !
Quelle salope, elle en veut !
Je veux bien la baiser à fond, lui défoncer la chatte !
Une garce comme ça je veux la planter avec mon pieu, etc… »
Je jouis encore, plus fort cette fois. Le patron s’approcha, avec un morceau de gros tuyau, recouvert d’une capote. J’attrapai ce gode improvisé, et me l’enfonçai sans problèmes dans ma chatte avide… Après deux orgasmes, j’avais trop besoin d’un gros machin pour me labourer un peu.
En me voyant me pistonner toute seule, deux autres explosèrent. Un lâcha vraiment pas mal de foutre. Je suppose qu’il n’avait pas éjaculé depuis longtemps !!!
Seuls le patron et le dépanneur n’avaient pas joui.
Le boss fit descendre le pont. Il l’arrêta à la hauteur de son bassin, juste un peu plus bas.
D’abord, il me fait allonger sur le dos, les jambes posées sur ses épaules. Il avait les mains propres, et avait enfilé une capote. D’un seul coup de rein, il me pénétra, assez fort. Mais j’avais besoin de cette poussée, besoin d’un gros pieu chaud et vivant. Le tuyau n’était pas le mieux…
Il saisit mes hanches pour leur imprimer un puissant mouvement de va et vient. Les ouvriers se sont approchés pour mieux voir comment il me baisait. Du coup, je les ai tous vus rebander illico !
J’étais bien, là, bien pistonnée, et avec sous les yeux de jolies queues prêtes à jouir. Le dépanneur passa sous le pont, et me présenta sa bite à sucer. Je le fis pour le remercier de m’avoir offert cette superbe partie d’exhib. Il éjacula très vite, comme la dernière fois. Je laissais sa crème couler de mes lèvres.
A ma grande surprise, je vis le patron cueillir cette semence, et la manger… Jo était aussi ahuri que moi !!!
Alors, il redoubla son pilonnage intensif, ce qui me provoqua mon quatrième orgasme. Il jouit aussi, si fort que je sentis le liquide chaud à travers le latex.
Épuisée mais comblée, je me relevais, et descendis du pont. J’allais m’assoir dans la voiture, pendant que les mécanos me demandaient tous de me voir seul, ou à plusieurs, mais pour un vrai gang bang. Je ne sais pas encore si je vais dire oui.
Ce matin, j’y réfléchis encore !
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Massage tarifé
Il y a quelques mois, j’avais trouvé une annonce d’un jeune homme proposant des massages à domicile, massages « érotiques ». Après plusieurs mois de réflexion, je me suis décidée de passer à l’acte. Il est vrai que ca me semble un peu incongru de payer pour une chose que j’obtiens quand je veux gratuitement.
Mais comme j’aime bien les expériences nouvelles, je me suis lancée…
Nous avons pris rendez-vous, et échangé quelques mails, pour savoir comment se déroulait sa prestation.
Il est donc arrivé vers dix-sept heures, jeune homme de trente-cinq ans environ. Comme nous en avions déjà parlé par mails, et discuté un peu au téléphone, il savait ce que je voulais : un massage « intégral », et lui, nu pour me masser.
Nous sommes allés directement dans ma chambre. J’avais déjà posé une grande serviette, il m’a demandé de la mettre au milieu du lit. Nous avons parlé de ses huiles essentielles, et j’ai préféré lui donner les miennes, dont une de menthe, pour les lèvres intimes.
Le tout était très naturel. J’étais en paréo. Une fois qu’il a été prêt, je me suis allongée nue, sur le vente. Lui s’est déshabillé aussi. Il a commencé par me masser le dos, la nuque, les bras. Parfois, je sentais son sexe contre ma cuisse. Visiblement, je ne le laissais pas indifférent. Un moment, je l’ai brièvement caressé, pour mieux le « sentir ».
Puis il s’est mis « à cheval » sur moi, et a commencé à me masser le dos avec son torse. Il effectuait un mouvement de reptation très excitant. D‘autant que je sentais sa bite se glisser entre mes fesse à chaque mouvement. Je n’ai pas résisté, et je l’ai accompagné, me cambrant au rythme de ses caresses pour mieux le sentir bien dur.
Après un moment de ce traitement, il a commencé à masser mes jambes, mais glissant ses mains très parfond à la racine de mes cuisses. Ce qui fait qu’il touchait mes grandes lèvres à chaque fois. Là, je devenais liquide !
Je reconnais qu’il a légèrement bâclé le massage de mes jambes, pour me faire me retourner sur le dos. Je me suis retrouvée allongée face à lui, les jambes écartées. Il s’est agenouillé entre mes cuisses, pour me masser les seins à pleines mains. Là, j’étais plus qu’excitée. Il mettait vraiment beaucoup de cœur à l’ouvrage. Comme en plus, je voyais sa queue bien droite devant mes yeux, j’étais aux anges !
Alors, il a pris de l’huile de massage et de la menthe, et a commencé son massage « intime ». Il m’a caressée, ouverte en grand comme j’aime l’être. Il a bien traité mon clito, qui est devenu hyper sensible, il a tout fait pour me faire jouir... Et bien sur, il y est arrivé ! En jouissant, j’ai enfourné sa main dans ma chatte, pour sentir une chose dure au fond de moi… L’orgasme et le froid de la menthe, je vous assure, c’est dévastateur !
Il m’a proposé une pénétration, mais comme il avait utilisé de l’huile pour me masser l’intérieur et l’extérieur du vagin, ca rendait inefficace le préservatif. Nous en sommes donc restés aux jeux « externes ».
Je lui ai demandé de se branler, et de continuer à me « masser ». Il a obtempéré sans problème. Il a fini par jouir, en me provoquant aussi un nouvel orgasme. Il a gentiment fini par m’en offrir un troisième…. En suivant à la lettre mes indications.
Ce fut une expérience fort agréable. Je l’ai ensuite réglé, quand il est parti.
En terme de bilan, je te dirais que ça m’a plu, mais que je ne recommencerai pas. Pourtant, c’est assez jouissif de ne rien faire du tout pour l’autre, de ne penser qu’à son plaisir personnel et exclusif. J’ai aimé le diriger et lui donner des ordres. D’autant qu’il obéissait immédiatement.
Un vrai sex-toy vivant, en somme.
Il m’a quand même manqué sa langue… ;-)
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Un après-midi au sauna gay
Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas rendu au sauna gay de Limoges où j'avais mes habitudes il y a encore trois ans, déménagement oblige. Séjournant pour quelques jours dans un petit village à côté de cette ville je me suis rendu dans ce sauna le vendredi 8 juillet, le soir plus exactement. A ce moment de la semaine il y a toujours beaucoup de mecs donc plus de chances de trouver... Euh… euh.. Bites à mon cul.
Je ne me suis pas trompé, il y avait beaucoup de gars de tous âges et de tous poils. Ce sauna comporte des pièces de toutes tailles, dans lesquelles un grand matelas se montre le plus accueillant possible afin de nous inviter à nous allonger sur eux, il y a aussi trois « glory holes » assez tentants.
On voit des bites bien droites qui attendent une bouche. J'aime cet endroit, j'y passe chaque fois un bien agréable moment. Ma langue et mes lèvres parcourent ces engins de tailles diverses. Le fait de ne pas savoir à qui ils appartiennent ajoute au plaisir de la pipe. Ici, les glory holes sont placés sur une sorte de petite estrade. Celui qui veut se faire sucer a devant lui un film X et gay bien entendu pour entretenir son érection. Nous les suceurs sommes donc en contrebas et n'avons pas besoin de nous accroupir pour être à bonne hauteur.
Ce vendredi soir, les trois « glory holes » sont admirablement garnis au moment où je passe. Bien sûr j'y fais une halte. Il y a une queue blanche de taille moyenne au gland bien dessiné et deux queues longues une blanche et une noire assez épaisse. Toutes les trois sont prises en bouche. Je décide pour attendre mon tour d'aller m'aventurer dans le labyrinthe juste à côté. Le noir le plus absolu y règne, les parois des murs sont étroites et si l'on ne se heurte pas à un mur c'est un corps nu qui fait obstacle.
Contrairement aux bons usages « en société », ici quand on se cogne contre un corps, on ne s'excuse pas, mais on insiste et des mains parcourent la peau de l'inconnu. C'est une sensation plus que très agréable que j'adore. Je ne suis pas le seul, car je n'ai jamais senti un homme ne pas bander dans le labyrinthe.
Durant cette petite balade dans l'inconnu, au détour d'un couloir, je me trouve bloqué par un homme qui me fait face et qui gémit, son corps a des soubresauts. Il est entrain de se faire saillir. Mes mains caressent son corps et je constate qu'il bande. Aucun poil, c'est trop tentant, je me penche pour le sucer. Bien entendu mon cul sert de butoir à celui qui était derrière moi. Je sens deux mains écarter mes fesses et un gland caresser mon anus, très vite remplacé par deux doigts fureteurs.
Ce petit jeu dure quelques secondes, et tout le monde reprend son exploration à tâtons. Quelques petits accrochages excitants ont lieu encore jusqu'à la sortie. Puis je retourne au glory hole. La grosse queue blanche est libre, je me dépêche de lui rendre hommage. Peut-être n'était-ce pas la même que tout à l'heure, mais l'important est qu'elle soit de bonne taille. C'est une queue circoncise, le gland est plus large que la hampe, j'aime beaucoup ça, cela donne une belle allure à une bite. Ma langue glisse autour de ce gland puis descend doucement le long de la hampe, le contact est doux et tiède, de temps en temps je gobe ses couilles, ma bouche est pleine, ce petit jeu m'excite vraiment, j’ai mon petit trou qui palpite.
De temps à autres, je jette un œil sur la bite noire toujours occupée, j'ai envie d'y gouter aussi. Mais hélas pour moi le Black à qui elle appartient jouit et asperge le visage de son suceur en de longues giclées d'un sperme épais. Je continue à sucer ma grosse queue blanche mais je m'arrête, quelqu'un d'autre va vite me remplacer car moi j'ai trop envie de me faire prendre pour rester là.
Je descends au sous-sol où se trouvent le hammam et le sauna finlandais. J'entre dans le hammam, mes mains qui me servent d'œil me disent vite qu'il est vide, je vais dans le sauna. Il n'y a qu'un homme, il est allongé sur la banquette supérieure.
Comme à mon habitude, ma grande serviette n'est pas autour de ma taille, mais sur mon épaule et quand je pénètre dans cette pièce c'est ma bite toute raide qui me précède. L'homme voit ça, il me sourit nous nous saluons et je m'allonge sur la banquette inférieure en me positionnant à l'envers de mon voisin du dessus.
Très vite, il laisse pendre son bras et sa main me branle en douceur. La sensation est agréable mais j'ai envie d'autre chose aussi je me couche sur le ventre et cambre un peu les reins. Il comprend vite ce que je veux et me caresse les fesses, ses doigts s'aventurent sur mon petit trou, je me relève un peu pour qu'il puisse aller plus loin.
Deux doigts me pénètrent et bougent en moi. C'est super bon ce truc, je me laisse emporter un moment par le plaisir puis je me redresse, me mets à genoux sur la banquette et suce sa queue. Je la sens grossir dans ma bouche elle n'est pas très longue mais très épaisse. L'homme sort un préservatif et me le tend, j'en garni sa queue, je monte sur la banquette, me tourne pour faire face au mec et m'empale sur son engin. Une petite douleur au moment où le gland entre en moi, mais vite réprimée par le plaisir que donne cette impression d'être bien rempli, tant elle est épaisse cette bite.
Enfin je me fais prendre ! Cela faisait quinze jours que cela ne m'était pas arrivé et ma séance au Glory Hole m'a passablement excité. Aussi, je monte et descend vite sur cette queue, comme s'il y avait urgence. Et c'en est presque une, tant j'ai envie de ressentir ce plaisir extraordinaire d'être sodomisé.
Mais l'homme finit par me saisir les hanches pour freiner mes élans, c'est qu'il a envie de faire durer le plaisir. Alors nous changeons de position pour laisser mon « agresseur » m'enculer à son rythme. Je me rends compte que c'est lui qui a raison, c'est bien meilleur ainsi, le plaisir envahit tout mon corps.
Nous sommes debout, je m'appuie sur la banquette, je me fais enculer en levrette, ce n'est pas ma position favorite, mais je sens bien sa queue en moi. Mon excitation fait que je suis tout humide, sa bite glisse bien, elle frotte contre les bords de mon sphincter. Son épaisseur est telle que j'ai presque la sensation d'en avoir deux en même temps. Mon ami d'un moment va jouir je le sens car son rythme s'accélère, il gémit de plus en plus fort. Soudain ses mains se crispent sur mes hanches et il pousse un grand râle. Je sens les saccades de son éjaculation dans sa capote. Quel dommage qu'on ne puisse pas baiser ''en libre'', c'est tellement jouissif de sentir le sperme arroser ses muqueuses. Il débande au ralenti alors il continue à aller et venir en moi, pour faire durer notre plaisir, qu'il en soit remercier.
Nous nous dirigeons vers les douches, besoin de se rafraichir, puis nous allons récupérer devant un café. Ensuite, je retourne dans les couloirs, j'ai encore envie, moi et surtout envie de me faire prendre sans savoir à quoi ressemble celui qui me saillira, alors je vais dans le hammam.
Ici dans ce sauna gay, cette pièce est dans le noir complet, j'adore le mystère. J'entre dans le hammam, comme d'habitude je regarde avec les mains. Je fais le tour, il n'y a personne, je m'allonge alors sur le ventre sur une banquette carrelée et j'attends que les gars entrent. Je n'ai eu que dix minutes à patienter durant lesquelles la chaleur humide a assoupli mes chairs et surtout mon anus. La porte s'ouvre, ils sont au moins deux si j'en juge par les rires échangés.
Comme moi, ils explorent le lieu les mains en avant. Je les sens qui me tâtent. Elles appartiennent à des timides car ils s'excusent, à moins que ce soit un vieux réflexe d'hommes polis, car il en existe encore. Ils s'assoient côte à côte à ma hauteur sur la banquette du dessous. La veilleuse faiblarde et embuée par la vapeur ne permet pas de voir grand-chose, mais moi qui suis là depuis un moment, et qui suis habitué à cette obscurité, je peux entrevoir que mes deux inconnus, tout en bavardant se masturbent, mais chacun s'occupe de sa propre bite.
Je décide de tenter ma chance, je descends de ma banquette et m'agenouille à leurs pieds, et chacune de mes mains remplace les leurs et je les branle doucement, puis alternativement j'en suce une en caressant l'autre. Ce petit jeu leur plait bien car leurs mains me caressent le crâne et les épaules. Puis je sors un préservatif du bracelet qu'on m'a donné à l'entrée et le met dans la main de celui qui a la plus grosse queue et lui dis: ''encule-moi!''. Il enfile son bout de latex et se met debout derrière moi. Je prends appui sur les genoux de l'autre et le suce durant que le premier entre en moi d'un seul coup. Je ne ressens aucune douleur, je suis très excité et mon sphincter déjà souple l'est encore plus à cause de la chaleur humide du hammam.
Mon enculeur est doux, ses va et vient sont lents, parfois pourtant, il se retire complètement de moi pour entrer à nouveau à fond et sans douceur aucune. Il me fait un bien fou, j'adore sa façon de faire. Son partenaire que je suce se penche, il me branle et me caresse les couilles, sa main rejoint la bite de son ami. Il entre un puis deux doigts dans mon anus. Qu'est-ce que c'est bon ça. Ce qu'il me fait semble lui plaire autant qu'à moi si j'en juge par l'ardeur qu'il met dans son geste. Sentir une queue et deux doigts en moi me font gémir plus fort. J'ai soudain envie d'en avoir plus, aussi je demande à mes deux inconnus d'essayer de m'enculer ensemble. On ne me l'a pas fait très souvent, mais à chaque fois j'ai beaucoup aimé.
Ma proposition leur convient alors l'un d'entre eux s'allonge sur la banquette carrelée, je m'empale en lui faisant face, le second se met au dessus de moi sa main guide sa queue vers mon trou, je l'aide en écartant mes fesses de mes mains. Il a un peu de peine à entrer, forcément, mais mon excitation et la grande chaleur humide du hammam a bien assoupli mon muscle anal, aussi je ne ressens aucune douleur. Enfin j'ai les deux queues en moi ! Je les empêche de bouger pendant un instant pour goûter au plaisir de me sentir bien garni.C'est une super sensation j'adore ces moments-là.
Mais je ne suis pas tout seul, mes deux harponneurs ne sont pas obligés de penser comme moi, aussi je me mets en mouvement de manière à sentir leurs deux bites coulisser en moi. Je fais cela lentement, très lentement pour mieux apprécier la double pénétration. Celui qui est au dessus de moi semble préférer plus de nervosité, aussi il accélère le mouvement de ses reins, ce qui a pour effet de faire gémir celui du dessous qui finit par ne plus pouvoir tenir et jouit dans sa capote.
Putain de VIH qui interdit de mieux apprécier l’éjaculation. Il jouit donc mais sa queue reste malgré tout bien raide et je peux me régaler encore un moment de cette sodo. Celui qui est sur moi se remue de plus en plus vite et ses gémissements qui accélèrent eux aussi m'indiquent qu'il va bientôt jouir.
Effectivement je le sens qui explose. Nous restons un moment, tous les trois emboîtés pour un plaisir plus calme et assez sensuel provoqué par le contact de nos peaux.
Mon intérieur est tout chaud et après que mes amants inconnus se soient retirés j'ai toujours l'impression qu'ils ont oublié leurs bites en moi en quittant le hammam. Je sais que je vais encore garder cette sensation pendant quelques heures et je m'en régale à l'avance. Je reste seul dans l'obscurité du hammam pour me remettre de mes émotions et permettre à mes deux inconnus de prendre du champ. Je finis par sortir et me rend aux douches, elles sont vides. Je laisse longuement couler l'eau froide sur mon corps, ça me ragaillardit. Je monte vers le bar prendre un café. Je m'installe au comptoir. Comme d'habitude ma serviette est sur mon épaule, je n'ai rien à cacher de mon corps.
A côté de moi vient s'installer un petit jeune qui doit avoir tout juste vingt ans. Il est mignon et assez efféminé. Il me fait un grand sourire et nous bavardons en consommant nos tasses de café. Il me dit s'appeler Kevin. En le regardant, je pense soudain que depuis environ deux heures que je suis dans ce sauna, seuls ma bouche et mon cul ont joui, et pas ma queue. Visiblement, ce jeunot a envie de se faire « un vieux », il me fait comprendre qu'il aimerait bien poursuivre notre conversation un peu plus loin. De crainte que je ne pige pas, il me caresse la queue d'une manière si délicate qu'il me fait bander. Aussi je prends mon minet par la taille, et le conduit jusqu'à une pièce libre. Il roule des hanches en marchant comme le ferait une femme.
Nous finissons par trouver une pièce à peu prés libre. En effet elle est assez grande et sur le matelas qui est au sol un couple baise. Nous nous couchons à côté d'eux. Aussitôt allongés, Kévin se débarrasse de sa serviette et s'allonge sur moi, ses mains me caressent le corps sa bouche en fait autant, jusqu'à ce qu'elle rencontre ma queue qui a pris des proportions intéressantes. Kevin malgré son jeune âge suce superbement bien. Je le fais tourner de manière à ce que son entrejambe soit à hauteur de ma bouche.
Ca me permet de constater qu'il a une bite assez petite, aussi je préfère m'occuper de son cul. Il a des fesses fermes et assez rebondies. Je les écarte pour lécher son petit trou. Dés mon premier coup de langue, il pousse un gémissement, je poursuis alors ma feuille de rose, puis je l'encule avec deux doigts, il remue son cul pour me montrer qu'il aime beaucoup ça. Je suis content car je sens que je vais me régaler en l'enculant.
Mais il refuse catégoriquement car il trouve ma bite trop grosse et il a peur d'avoir mal. Comme si mes quatre centimètres et demi de diamètre pouvaient le déchirer.
Mais comme il suce divinement bien, je le laisse faire avec d'autant plus de plaisir qu'il prend tout son temps. Il me fait un bien fou, mais je finis par ne plus pouvoir tenir et j'explose dans sa bouche. Kevin ne m'avait pas senti venir, aussi il prend tout jusqu'au fond du gosier. Il avale tout consciencieusement et si j'en juge par son regard, j'ai l'impression qu'il a envie de me dire merci. Je lui fais un sourire me lève et l'abandonne sans un mot. Je m'en vais prendre un café avant de quitter ce sauna où j'ai passé une très bonne soirée.
Bruno bi
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Le strip tease de Chris
Un vendredi soir, au diner, mon ex belle-mère Janine se lève de table et regarde Sandy en disant :
« J’ai une surprise pour ton homme, dit-elle en souriant.
- Ah bon ! Dis quoi, répondit ma femme.
- Comme je sui allée en ville ce matin, j’ai trouvé une très belle culotte pour Chris. »
Janine avait un très grand sourire. Moi, j’étais tout étonné. Elle ne m’avait pas habitué à ce genre de choses…
Nous avons fini de manger, puis nous avons tout rangé. Nous sommes allés au salon, j’ai fermé les volets et me suis assis à coté de ma femme. Janine en fit autant, semblant oublié ses propos lors du diner.
Sandy l’interpella :
« Eh, Maman ! Tu n’as rien oublié ? Tu voulais donner une surprise à Chris.
- Ah oui, j’ai oublié, mais je vais la chercher ! »
Elle se précipita dans sa chambre, et en ressortit avec un petit sachet à la main.
« Tiens, mon cher gendre. Il faut que tu l’essaies ! »
Pour toute réponse, j’ai souri, et je suis allé dans ma chambre l’essayer. Je trouvai dans le sachet un string en résille, avec un bouton pression sur l’arrière. Ca m’a donné l’idée de leur faire un petit strip-tease...
(Pour ceux qui me lisent pour la première fois, il faut vous dire que je couche avec ma belle-mère depuis un moment déjà. J’ai même baisé avec elle et ma femme en même temps ! Tout cela est raconté dans la rubrique « Cris et sa belle-mère »…)
Je suis sorti de la chambre, et me suis dirigé vers la chaine stéréo. J’ai mis une musique très cool, et j’ai baissé le son de la télé. Sous le regard surpris des deux femmes, j’ai commencé à tortiller mes fesses, onduler mon corps en rythme.
Ma chemise est rapidement tombée au sol.
Sandy riait, et Janine meuglait :
« Mhuuummmm, c’est bon, mhummmmmm…. »
Il n’était pas évident de retirer le pantalon en rythme, mais je finis par y arriver. Ma femme souriait encore plus, surtout à la vue du string résille. Elle jeta un coup d’œil à sa mère, qui maintenant, était rouge d’excitation.
Je me suis approché de deux femmes. Sandy vit les pressions, et tira d’un coup sec. Je me retrouvai entièrement nu, la bite à l’air.
Elles se regardèrent d’un air entendu, et sans une once d’hésitation, l’une saisit ma bite, et l’autre mes couilles. Janine, d’un geste expert, me branlait de haut en bas, décalottant bien mon gland de plus en plus gonflé. Ma femme massait mes boules avec art. Elle se pencha la première pour les gober. Ce qui incita Janine à me sucer le dard. J’étais aux anges. Une fois de plus, ma femme et ma belle-mère s’occupaient de moi ensemble. De temps en temps, je les voyais échanger un baiser plein de ma mouille de mâle en rut.
Je ne résistais pas longtemps à ce traitement quasi inhumain. Janine le sentit, et accéléra sa succion. Je saisi sa tête, pour la forcer à me gober en entier. Et là, je lâchais une dose de foutre épaisse. Elle hoqueta, mais continua de me bouffer la bite, pendant que ma femme mordillait mes couilles rendues très sensibles.
Je débandais dans la bouche de ma belle-mère. Elle se retira, et alla embrasser sa fille. Je les vis se délecter de ma crème…
J’étais encore fou d’excitation.
Janine me dit :
« Tu as une trop bonne bite, j’ai très envie que tu me ramones ma chatte !
- Non, pas ce soir. Ce soir, c’est pour ma femme ! »
Elle se leva, dépitée, la main sur son mont de vénus, et rentra dans sa chambre. Je savais qu’elle allait se caresser en nous écoutant baiser avec Sandy.
Ce que nous avons fait. Je l’ai prise dans tous les sens, en levrette, debout, couchée, je l’ai sodomisée, avec d’autant plus de force que je savais que Janine nous écoutait. Je l’entendais gémir de l’autre coté du mur.
Le lendemain matin, Sandy est partie bien avant moi. Je me levais et allais prendre ma douche. J’avais à peine ouvert l’eau, que Janine entra dans la salle de bains. Ce n pouvait être qu’elle. D’un geste brusque, elle ouvrit le rideau. Avant que j’ai eu le temps de dire « ouf », elle avait attrapé ma queue encore molle.
D’un coup sec, elle la décalotta.
« Ah c’est mieux comme ça. Mon salaud, tu as bien baisé cette nuit ! Maintenant, c’est mon tour ! »
Elle se pencha, et avala ma bite en entier. Il ne me fallu pas plus de trente seconds pour être dur et raide dans sa bouche ! La salope, elle savait y faire !
Quand j’étais bien bandé, elle s’arrêta, prit le savon et entrepris de me savonner le dard à pleine mains. Ce qui ne fit que m’exciter davantage.
Elle me masturba pendant un long moment. Mes jambes tremblaient. J’avais envie de le baiser, là, tout de suite. Mais sans prévenir, je crachai ma semence dans le fond de la douche.
Janine eut un petit sourire satisfait.
« Maintenant que tu es purgé, on pourra passer aux choses sérieuses !
- Euh oui... Mais…
- Pas de mais. Ah si. Tu sais, on est un peu juste, financièrement. Ce serait bien que tu fasses des strip-teases pour mes copines, et celles de ta femme. »
Et elle tourna les talons, claquant la porte derrière elle. Je restais sans voix !
Deux heures après, je rentrai dans le salon. Janine m’y attendait, un sourire jusqu’aux oreilles :
« Regarde Chris, je t’ai fait un pantalon comme il faut ! »
Elle avait pris un de mes vieux jean’s, et l’avait découpé le long des coutures de coté. Elle avait cousu des pressions. J’avais en main un véritable pantalon de strip-teaseur !
En riant elle me dit :
« Voilà, tu es prêt ! Et tu fais ton premier strip ici pour deux de mes amies samedi soir ! Fais pas de gaffe, elles ignorent que tu es mon gendre... Ah, et j’ai aussi fait un tarif : 100 euros pour le strip avec string, 150 pour le strip intégral, 200 pour te toucher….»
Je n’avais plus qu’à m’incliner, excité malgré tout par cette perspective.
Le samedi soir, à vingt-et une heures, on sonna à la porte. C’étaient les deux amies de Janine : Mathilde et Ingrid.
Elles s’installèrent au salon, la feuille de tarif écrite par Janine sur la table basse, devant elles. Elles se concertèrent à voix basse, sans que je puisse les entendre. Bon sa ng, que voulaient-elles ???
Mathilde posa un billet de 100 euros dsur la table. Je compris, et presque déçu, mis la musique pour entamer mon strip-tease.
Sur une musique lascive, je m’effeuillais, ôtant chaussures, pull, chemise, et enfin le pantalon…
A peine était-il au sol que je vis un billet de 50 euros apparaitre sur la table. Voilà, je devais me mettre totalement nu…
Après uen seconde d’hésitation, je me retournais, et commençais à descendre la ficelle de mon string. Et ce que je craignais arriva : je mis à bander comme un fou !
Il me fallait bien me retourner.. Ce que je fis, et la surprise se lisait sur le visage des trois femmes. Janine étouffa un rire, les deux autres devinrent rouge coquelicot…
Je continuai de me déhancher sur la musique, et sous mes yeux, Mathilde sortit un nouveau billet de 50 euros.
Tétanisé, je m’approchai d’elle. D’une main peu sure, elle commença à me caresser les cuisses. Ingrid s’enhardit, et me caressa les fesses. Je voyais déjà ma belle-mère, la main sur sa motte. Mhumm, elle devait bien mouiller la salope !
Enfin Mathilde se rapprocha de mon dard bine tendu vers elle, et elle le saisit entre deux doigts.
« Fais pas ta timide », susurra Janine, et elle approcha sa main sur celle de son amie, pour lui refermer rapidement les doigts sur ma bite.
J’étais aux anges : trois femmes me dévoraient des yeux !
Mais brusquement, un bruit fort retentit : la porte d’entrée claquait. Sandy rentrait ! De surprise, je débandais aussi sec.
Le temps qu’elle arrive dans le salon, nous avions tous repris notre place…
A suivre (peut-être…)
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Pfffffft, la photo n'est pas passée ! vous la trouverez sur mon autre blog... ;- il y avait un œuf vibrant commandé à distance, un petit canard noir et un concombre...