Les Mémoires très Libertines de Sophie
Comment ma femme est devenue une salope - 2ème partie
Laly et moi nous étions sans un mot, assez désemparés, il faut bien le dire.
Je comprenais qu’il fallait dire quelque chose pour débloquer la situation. Je me hasardais à lance le sujet :
« Je suis confus, enfin tout mon esprit et confus et je ne sais plus que penser, tout est allé tellement trop vite !
- Trop vite, oui c’est ça, trop vite, confirma mon épouse, tête baissée.
- Je crois que tu devrais parler, expliquer ton état, maintenant, comme chez le psy, en quelque sorte.
- Non je préfère que tu parles le premier, toi aussi tu dois avoir à dire. »
C’est vrai, mais je suis coincé, comme paralysé... Je ne sais pas par où commencer... Je me lance :
« Tout est si confus en moi. En fait, c’est comme si j’avais rêvé, tu es là devant moi et je ne sais plus si c’est réellement arrivé. J’ai vu ma femme se donner à un autre homme pour résoudre une situation financière difficile, mais j’ai aussi observé qu’elle y avait pris beaucoup de plaisir et j’ai aussi été très excité de la voir ainsi prise par cet homme.
C’est vrai, au début j’étais dans une sorte de dégoût envers toi et moi, puis le sexe a prit le dessus et je n’ai plus pensé qu’au sexe. Mais je ne savais pas que toi aussi, tu aimais…
Et tu es allée très loin, tu lui as donné plus que tu ne m’a jamais accordé ... »
Elle resta silencieuse après ma longue tirade, puis admit :
« C’est vrai aussi, je ne sais pas pourquoi mais je n’étais plus moi-même, je vivais ces moments de sexe, il faisait de moi ce qu’il voulait…
- A quoi bon maintenant se poser ce genre de questions, je constate que tu es plus sensuelle qu’on pouvait l’imaginer !
- C’est plus que vrai, je me suis révélée être une sacrée pute, tu devrais dire, sourit-elle.
- C’est exactement ça, tu t’es comportée comme une pute !
- Tous les hommes aiment les putes parait-il….
- Sans doute, mais lorsque c’est leur femme, comme c’est le cas, ça passe mal !
- Eh bien tu as une pute à domicile, de quoi donc te plaindrais-tu ? Repondit-elle, moqueuse.
- Que ma pute est aussi celle d’un autre et que c’est cet autre qui l’a faite pute, ça me reste en travers de la gorge !
- Des mots, des mots tout ça, siffla-t-elle entre ses dents.
-Ok, mais maintenant ?
- Maintenant, on verra ! »
Dans notre chambre, nous étions allongés sur le lit, côte à côte, dans la pénombre, sans bouger, sans parler.
Je revoyais ma femme se faisant prendre et surtout se faisant enculer, sur ce même lit, sur le lit conjugal. A quoi pensait-elle ?
« A quoi penses-tu, demanda-t-elle soudain, lisant dans mes pensées.
- A toi... Et à lui…
- Moi aussi.
- Je vous vois, j’ai tout vu, tout ce que vous avez fait, dans le salon, dans le jardin et ici, sur notre lit.
- Je me doutais bien que tu nous regardais ! »
Elle se lova contre moi et m’embrassa. Puis elle prit mon sexe et le branla. Il était dur.
« C’est vrai qu’il est petit, comparé à celui de Jacques…
- Et ça te fait quel effet ?
- C’est drôle, cette énorme différence. »
Elle me suça brièvement.
Je la basculai sur le lit et n’y tenant plus, je la pénétrais. C’était inhabituel, elle mouillait considérablement et j’entrais en elle comme dans un gouffre béant.
Mon sexe nageait dans son vagin. Elle soupirait. Je m’efforçais de donner de grands coups de reins. Mais excité comme je l’étais, je ne tins pas longtemps et je jouis en elle avec un plaisir comme je n’en avais jamais eu.
Nous n’avions pas parlé.
Elle me caressa les cheveux et murmura :
« C’était bon, et toi ?
- Je n’ai jamais ressenti pareil plaisir. Je pensais à la queue de Jacques. Et aussi physiquement, je ne t’ai jamais sentie aussi accueillante et douce !
- Moi, même si je n’ai pas jouis, c’était très bon, c’était cérébral, je pensais aussi à Jacques et à toi que j’avais fait cocu avec lui, à son sperme et à ton petit sexe... c’était très bizarre… »
Nous nous sommes endormis et n’avons plus reparlé de ça durant quatre jours.
Puis alors que nous rentrions de promenade, le téléphone sonna. Laly décrocha. C’était Jacques. Il lui demandait de venir chez lui ce soir. Elle lui dit non .. Puis qu’elle le rappelait dans un moment.
Elle m’informa de sa demande et me demanda ce que j’en pensais.
« C’est à toi de décider., lui répondis-je.
- Non, toi aussi tu as ton mot à dire, bon il y a le loyer prochain qui arrive et aussi je suis ta femme…
- Oui, le loyer... Mais sincèrement, si je fais abstraction de cet avantage financier, j’ai très envie que tu ailles avec lui, je suis tout excité à l’idée que tu te fasses prendre encore par Jacques.
- Je dois avouer que j’en ai aussi très envie… »
Je ne le savais pas encore, mais je venais de tomber pour de bon dans le candaulisme pur et dur…
Elle se prépara, elle mit une de ses nouvelles tenues. Une mini jupe évasée, très courte et un T.shirt moulant ses gros et beaux seins. Je voyais bien qu’elle n’avait pas de soutien gorge.
Je la regardais en l’admirant.
« Je ne mets pas de culotte, dit-elle en souriant.
- Oui, c’est mieux sans.
« Aaahhh, mon chéri est un cocu volontaire, alors !!!
-Je suis très excité, j’ai hâte que tu sois déjà rentrée..
- Patience, je ne suis pas encore partie… »
Elle quitta la maison à vingt heures trente. J’attendis jusque vers trois heures du matin, mort d’excitation. Je finis par me branler, en me souvenant des images de la dernière fois, et puis je m’endormis.
Au matin je me réveillais à neuf heures. Laly n’était pas rentrée.
Je m’occupais comme je pouvais mais j’étais très énervé. Puis les heures passèrent, je m’excitais de cette situation, imaginant Laly avec Jacques. Je bandais comme un turc, en permanence.
Le soir arriva et la nuit, toujours pas de Laly. Le dimanche matin, puis le dimanche soir. J’étais à la fois fou de rage, de désir et d’excitation. Jamais je ne me suis autant branler en quarante-huit heures !
Je fus réveillé le lundi matin... par une main sur mon épaule. J’ouvris les yeux. Laly était à coté de moi. Allongée, nue.
« Quelle heure est-il ? demandai-je, à moitié endormi. Tu m’as manqué, beaucoup manqué !
-Je t’aime, Alain.
-Moi aussi je t’aime Laly. »
Elle se mit à genoux sur le lit et vint poser sa chatte sur mes lèvres. Je senti une odeur forte de sexe.
« Lèche moi, lèche ma chatte pleine de sperme de mon amant, il m’a prise encore ce matin de bonne heure. »
Cette situation aurait dû m’humilier, mais bien au contraire, elle m’excita intensément.
Je léchais et je reçu un choc. Je goûtais à ce mélange de mouille et de sperme. C’était bon, c’était bandant. Tout me coulait maintenant dans la gorge et je buvais comme un assoiffé..
« Suce mon cocu de mari, suce le sperme de celui qui a pris ta femme, suce cocu, suce bien bois, avale !
- Hummm, hummmm, pouvais-je seulement articulé, honteux et excité à mort en même temps.
- Oh si tu savais, si tu savais…. »
Elle me libéra de son emprise, se mit à genoux et me dit :
« Viens baise moi. »
Je me précipitais et je la pénétrais d’un coup, sans aucune précaution. Après tout, cette pute ne mérite aucun égard !
« Alors, c’est comment aujourd’hui ? me provoqua-t-elle ?
- Large, très large et d’une douceur extrême…
- C’est normal, il m’a prise six ou sept fois depuis vendredi soir.
- C’est bon de baiser ta chatte dans cet état, j’imagine sa queue dans cette place…
- Si tu savais comme j’ai jouis avec lui, comme j’aime sa queue... il m’a remplie de sa queue et de son sperme des heures durant…
- J’imagine, oui, tu es une vraie salope, maintenant et je t’adore…
- Attend, tu n’as pas encore visité mon cul, tu vas voir, viens dans mon cul… »
Je me retirai, à regret, de sa chatte et poussais mon sexe à l’entrée de son cul. Je fus surpris et j’y entrais presque sans forcer. Il était ouvert. Je m’y engouffrais en entier, sans aucune résistance.
« Tu m’encules toi aussi, mon amour, mais tu m’encules après mon amant, c’est lui qui m’a dépucelée le cul, avec son énorme bite qui me fait jouir du cul !
-Tu m’excites, ma pute chérie, tu m’excites et je vais jouir !
- Oui, c’est ça jouis. Tu sais Alain, je crois que lui aussi ne peut plus se passer de moi, tu sais ce qu’il m’a dit...
- Noonnnn.4
- Il m’a dit qu’il n’avait jamais baisé une jeune femme de dix-neuf ans et que dorénavant, si je voulais, je serais aussi sa femme et que je lui appartiendrais, qu’il me ferait découvrir les choses du sexe.
- Tu lui as répondu quoi ?
-J’ai dit OUI, oui, oui, que je serais à lui, que je me donnais à lui et que s’il voulait de moi, je serai sa femme et que je lui appartiendrai avec plaisir !
- Ahhhhhh, je jouis, mon amour, je décharge !
- Jouis, oui jouis, sale cocu ! »
Je n’en pouvais plus et je m’écroulais sur le lit d’avoir trop eu de plaisir et la tête pleine de ce que venais de me dire Laly. Nous avons dormi...
Dans l’après midi nous avons reparlé de tout ça.
« C’est vrai tout ce que tu m’as dit ce matin ?
-Absolument, et si tu veux, je suis prête à jouer le jeu avec lui et toi.
- Comment ça, explique ?
- Je ne te cache pas qu’avec Jacques, je m’éclate, je n’ai jamais été prise comme il me prend. Il faut dire qu’il a... le matériel et qu’il sait y faire. Et que sincèrement, j’ai très envie de vivre autre chose, sexuellement et amoureusement. C’est très excitant cette situation. J’ai envie de la vivre à fond.
- Jusqu’’où ?
- Sans limite !
- Tu penses que nous ne risquons pas de nous perdre ?
- Non, j’en suis certaine, mais c’est toi qui devras être fort et me faire confiance.
- Je te fais confiance... Et de toutes les façons, si je n’étais pas d’accord, c’est ça qui nous perdrait.
- Je ne sais pas, mais je t’avoue avoir envie de cet homme en permanence…
- Alors, essayons.
- Il nous invite dans sa maison de près de Montpellier au bord de la mer.
- Nous ?
- Oui moi et toi. Il veut que ton humiliation soit complète, que tu nous observe jouir et jouir encore, sans toi.
- Ah, quand ?
- Nous partirions ce week-end pour 15 jours ‘
- Tu es d’accord ?
- Moi oui, et toi ?
- Oui.
- Tu es sur ? Tu crois que tu es prêt ?
- Oui, moi aussi je veux vivre cette aventure… »
La semaine a passé très vite et nous avons fait et refait l’amour en nous excitant de tout ce qui nous attendait.
Samedi matin Jacques est venu et nous avons bu un café avant de prendre la route.
Jacques a précisé le contexte de notre séjour...
« Laly sera ma femme... et toi Alain, tu seras sera son frère, dès que nous aurons franchis la porte... ce sera le jeu. Vous êtes d’accord ?
- Oui répondit Laly sans hésiter.
- Oui, moi aussi », dis-je, tremblant un peu, malgré tout…
Nous avons pris la route. Je vis le panneau barré, nous sortions de notre petite commune du Val d’Oise. Laly était devant avec Jacques et j’étais à l’arrière. Laly avait une mini robe légère, décolletée, lui serrant ses seins volumineux et la taille, et légèrement évasée à partir de la taille. Ses cuisses étaient largement découvertes. Ses seins gonflés sortaient à moitié. Je la savais nue en dessous.
Qu’elle était belle... légèrement bronzée. Sa jeunesse était resplendissante. Jacques conduisait, une main sur la cuisse gauche de Laly, comme pour marquer sa possession.
Nous sommes enfin arrivés, après un voyage très agréable et sympathique. Nous avons passés ces quelques jours dans une ambiance amicale et extrêmement érotique.
Jacques et Laly étaient... un couple et moi le frère et beau frère.
Les connaissances de Jacques le complimentèrent pour la beauté de sa jeune épouse. Ils dormaient ensemble, bien sur, et moi dans la chambre d’amis. Durant tout le séjour, je n’ai eu aucune attention particulière de Laly. Elle était toute à son jeu d’épouse de Jacques.
Je me masturbais tous les jours d’entendre leurs jouissances dans leur chambre. La journée, ils étaient toujours nus et étaient très amoureux.
Au retour, Jacques nous a laissés devant notre maison.
« Quelles merveilleuses vacances, dit Laly.
- Une expérience très bizarre et excitante à la fois…
- C’est vrai, je me suis comportée comme sa femme à lui en t’abandonnant complètement à ton rôle, tu as dû en souffrir ?
- Non, j’étais moi aussi dans ce jeu, j’en ai profité au-delà de ce que je pouvais imaginer, c’était terriblement excitant !
- Tant mieux je me faisais quelques reproches…
- Tu étais parfaite, mon amour.
- Viens laissons les bagages et allons dans la chambre... »
Je la suivis. Elle s’allongea sur le lit, nue. Je la léchais de partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps. Mes doigts pénétraient ses orifices que je constatais ouverts. Elle m’attira et j’entrais en elle. Je découvris combien elle était ouverte et disponible.
« Alain, je ne sens plus ta petite bite... c’est fou...
- Pour moi c’est toujours aussi bon, tu sais, je me sens encore plus cocu, par le fait de constater que tu es si large de lui, ouverte par lui. Je me dis qu’il a formé ton vagin à sa queue et c’est follement excitant.
- Tu as raison, moi aussi, j’ai l’impression de lui appartenir en constatant que tu ne me fais plus aucun effet sexuel, sa queue me manque et ça m’excite de te savoir cocu à ce point.
- Et ton cul ?
- Il m’a enculée, je crois, presque autant qu’il m’a baisée, alors maintenant il m’encule avec autant de facilité... »
Je fis pénétrer un doigt dans son cul et constatais effectivement son ouverture et sa souplesse.
« Ah oui, tu es bien ouverte ! »
Je la baisais avec passion et amour, excitation et tendresse, rage et désespoir...
« Tu aimes que je sois salope et pute ?
- Oui, je te le demande.
- Tu aimes que je me donne à Jacques ?
- Oui, mon amour.
- Tu aimes que je lui appartienne ?
- Oh oui, chérie.
- Tu voudrais que je sois sa femme autant que la tienne, sinon plus ?
- Oui, oui, j’aimerais que tu sois sa femme, rien qu’à lui.
- Rien qu’à lui ?
- Oui je voudrais vivre cette expérience terrible.
- C’est ce que tu veux, vraiment ?
- Je le veux ! »
J’étais sur le point d’éclater ma jouissance, mais je me retenais autant que possible.
« Alors je vais lui dire que c’est d’accord.
- Quoi ?
- Jacques veut que je vienne chez lui tous les vendredi soir jusqu’au dimanche soir et les jours fériés et toutes les vacances.
- Oui, chérie oui, c’est super.
- Oui, mais il exige aussi que je ne fasse plus l’amour avec toi.
- Pourquoi, pourquoi ??? Ohhhh que c’est bon, je t’aime.
- Ben... parce qu’il veut que je sois enceinte de lui...
- Oooooohhhhhh oui, oui, oui, ma chérie, oui je le veux aussi, enceinte, oui, de lui, oui Ohhhhh, jeeee jjjjooooouiiiiiiis Ahhhhhh !!! »
J’éjaculai en elle, comme jamais avant !
Quelques minutes plus tard, elle me dit :
« Tu as bien saisi ce que je t’ai dit ?
- Tu veux dire que Jacques veut que tu sois sa femme et qu’il veut que tu sois enceinte de lui.
- Oui.
- Oui j’ai bien compris et si tu le veux alors, je le veux…
- Oui je le veux...
- Et que tu ne me touches plus.
- Je jouerais le jeu… »
En prononçant ces paroles, je ne me reconnaissais plus. J’étais définitivement un cocu volontaire et humilié.
« Alors soit, on commence dès aujourd’hui, tu sais... j’attends mes règles demain et vendredi je serais avec Jacques.
- Je suis d’accord, mais au fait, pourquoi pas en semaine...
- C’est moi qui ai dit qu’il fallait que je sois aussi avec toi...
- Ah bon !
- Pourquoi, tu voudrais que je vive avec lui même en semaine... Donc tout le temps ?
- Au moins jusqu’à ce que tu sois enceinte.
- Et tu le supporterais ?
- J’ai très envie de vivre cette situation de cocu, de cocu content et la vivre pleinement en souffrant.
- Mais ça peut durer longtemps, car il veut aussi me pervertir avant que je sois enceinte et aussi pendant et après.
- Je ne comprends pas..
- On va faire une chose : Pendant un certain temps on va faire comme ça, je serais ici en semaine et après on verra... Selon notre désir de telle ou telle situation, d’accord ?
- D’accord. »
La semaine passa et le vendredi soir, Laly me dit :
« Bon je vais chez .... Mon mari, à dimanche ! »
Elle m’embrassa et partie. Le dimanche soir, elle revint et je voulus la prendre.
« Non, Alain, pas question, j’ai promis et je respecte la promesse faite à mon mari.
- Mais j’ai envie de toi, chérie !
- Non, tu dois accepter ... J’appartiens dorénavant à Jacques, plus à toi ... ‘
- C’est vrai mais c’est dur.
- Tu le savais et ça ne fait que commencer, alors contrôle-toi !
- Je suis dans un tel état d’excitation en pensant à ce qu’il a pu te faire ...
- Oh Oui... et tu ne peux même pas imaginer... Il est infatigable, il me fait l’amour en continu. Je dis bien l’amour. Il me fait voir les étoiles, lui.... Il me prend au moins quatre fois par jour, de tous les cotés. Je suis son vide-couille. Il veut que je sois nue toujours. Je suis toujours à poil, même quand il reçoit, tu te rends compte...
- Laly... comment quand il reçoit ?
- Oui, il reçoit des amis et je dois être nue devant eux. Tiens justement, hier, le voisin, d’ailleurs nous le connaissons, c’est le boucher de xxxx, est venue il a été très surpris, il m’a bien regardée, puis il a souri ‘
- Oh là là !
- Et encore ce n’est pas tout... hier il a pris des photos de moi, nue et il les a mises sur Internet dans son site amateur voyeur. Je ne sais plus l’adresse mais je vais lui demander et je te la donnerais. Eh oui... je suis aussi sur Internet…
Je finis par m’endormir ....
Cette semaine j’ai enfin trouvé un travail intéressant. J’ai signé mon contrat. Laly est heureuse. Je lui ai donc dit qu’elle pouvait tout arrête ...
« Ah non, ce n’est plus une question d’argent, c’est notre vie maintenant... Moi je veux continuer... Et toi aussi d’ailleurs !
- Moi je suis d’accord avec toi... »
Ce vendredi soir là, Laly quitta la maison avec encore plus de joie. Moi aussi j’étais beaucoup mieux, lundi j’allais travailler.
A suivre...
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Comment ma femme est devenue une salope
J’avais de gros soucis financiers et je venais d’être licencié depuis une semaine.
Laly travaillait, elle est secrétaire dans une boite de moyenne importance.
Moi je suis informaticien... au chômage.
J’ai vingt-huit ans et ma femme a dix-neuf ans.
Cette dispute est venue du fait qu’elle venait de s’acheter quelques vêtements sexy. Le matin je ne l’avais pas vue, j’étais resté au lit. Elle revenait de son travail et je fus surpris de ces nouveaux habits. Une mini jupe à mi cuisses, en cuir bleu et un haut en soie bleu clair, presque transparent.
Laly est une très belle jeune femme. Grande, un mètre soixante-dix-sept, mince avec un jolie fessier magnifique et des seins à faire damner un Saint, 95D, larges, ronds et lourds.
Ses cheveux blonds et ses grands yeux verts, la rendent très attirante.
Mais là, habillée ainsi, elle était vraiment... trop splendide.
Je lui en fis le reproche et lui reprochant aussi de ne pas m’avoir montré ses fringues ce matin.
Elle me sourit... bêtement en me disant qu’elle avait aussi acheté 2 autres tenues tout aussi sexy pour l’été.
Alors, je lui demandais combien avait coûté le tout ...
« 600 euros me dit-elle naturellement et ajouta
- Sans compter les chaussures et les sacs, sinon 990 euros en tout. »
Je crus défaillir. 1.000 euros de fringues, alors que je suis viré et que les traites vont être impayées, sans compter le loyer.
J’entrais dans une colère folle et la dispute commença.
Et tout y passa... Mon boulot, mes finances, mon caractère depuis quelques temps, mon abstinence sexuelle, etc. Et aussi, sa désinvolture, sa non solidarité, ses tenues, ses dépenses, son look de pute, etc.
Et encore, tout ce que nous ne pensions probablement ni l’un ni l’autre, mais que la colère et l’orgueil nous faisait dire.
Bien trente minutes plus tard, nous nous sommes calmés, pour repartir de plus belle, lorsque je m’aperçus qu’elle était nue sous ses vêtements.
Alors, elle remit les mêmes vêtements, me regarda dans les yeux et me dit :
« Alain, tu sais, tu n’es qu’un pauvre con ! »
Elle sortit et claqua la porte de la maison.
Quelques heures plus tard, je l’appelais sur son portable, mais il était fermé. Sans cesse j’appelais mais sans résultat.
Elle rentra tard dans la nuit.
Le dimanche matin, elle me dit :
« Alain, ne recommence jamais plus ça, je te préviens, jamais ! »
Je m’excusais et lui promis de ne plus recommencer.
Mais de ce jour, Laly changea totalement. De presque soumise, elle devint non pas autoritaire mais c’est elle qui « décidait ».
Elle était maintenant toujours habillée sexy.
Un mois passa et arriva le moi d’août. Elle était en congés. Inutile de dire que nous ne pouvions partir en vacances. Nous n’avions pas payé le loyer de juillet et le propriétaire avait été aimable d’attendre.
Le 5 août, alors que nous étions dans le jardin à faire la sieste, le propriétaire vint.
Laly était les seins nus avec un string.
Je le fis entrer dans la maison et lui expliquais que mes indemnités de chômage me seraient payées que début septembre.
Il ne voulut rien savoir et exigea un paiement immédiat et argua qu’il était, en plus, très inquiet d’apprendre que j’étais licencié.
Je réussis à le faire patienter jusqu’’au lendemain.
Affolé, nous ne pouvions obtenir de crédit du banquier qui voyait nos prélèvements de crédits et connaissait notre endettement.
Je pris donc la voiture et partis chez mes parents pour essayer de leur emprunter de l’argent.
Mais arrivé chez eux, j’appris par les voisins qu’ils étaient partis quelques jours.
Je rentrais bredouille et avec Laly, nous étions très stressés.
Nous ne savions comment faire.
Laly dit :
« Il ne faut pas qu’il te trouve ici, je lui dirais, justement, que tu es parti chez tes parents pour leur demander de l’argent et comme ils habitent loin, tu ne seras de retour que dimanche soir… »
Je fus ravi de cette idée.
Le Samedi matin, vers onze heures, nous étions dans le salon, en tenu d’été, elle en robe légère et moi en caleçon, quand il sonna au portillon et je me dissimulais vite dans le bureau. Elle le fit asseoir dans le salon et lui expliqua exactement ce qui était prévu.
Mais il entra dans une colère telle que les voisins durent entendre.
Il me traita de tous les noms et de fainéant, demandant à Laly ce qu’elle faisait avec un idiot pareil.
Il sortit son téléphone portable et dit qu’il allait appeler son ami huissier pour pratiquer une saisie conservatoire et l’exécuter dans le même temps.
Laly le supplia de n’en rien faire, qu’elle ferait ce qu’il voudrait pourvu qu’il ne lui inflige pas pareil déshonneur.
C’est alors, qu’il dit froidement :
« Écoute petite, si tu es d’accord, on peut s’arranger, tu es jolie et tu me fais sacrément bander, alors si tu veux faire tout ce que je veux ... pas de problème, je suis prêt à tirer un trait sur les deux mois de loyer à certaines conditions…
- Lesquelles, dit Laly apeurée.
- Simple... tu acceptes de baiser avec moi ces deux jours, en attendant ton con de mari et tu ne me dois plus rien.
- Mais...
-Y a pas de mais, c’est ça ou l’huissier dans une heure ! »
Je pestais, je voulais sortir et lui casser la figure, mais il était grand et fort. La cinquantaine, il semblait un colosse, c’est vrai qu’il était ex militaire.
Laly qui réfléchissait vit la porte du bureau entrebaillée. Elle me devina plutôt qu’elle me vit.
Elle me regarda, froidement, puis se retourna :
« Je n’ai pas d’autre choix, j’accepte.
- C’est un bon choix, jeunette, allez alors déshabille-toi, fais-moi voir ce que je viens d’acheter… »
Laly obtempéra et se trouva nue devant l’homme.
« Va m’attendre dans le jardin.
- Nue ?
- Oui nue, salope. »
Elle sortit et le propriétaire enleva aussi tous ses habits. Il était nu et bandait à moitié. Je voyais tout, et sa queue me parut énorme. Probablement le double de la mienne, tant en longueur qu’en épaisseur. Ses couilles étaient grosses comme des oranges.
Il caressa son appareil génital et sortit dans le jardin.
J’ouvris doucement la porte et j’allais épier derrière un rideau.
Il avait déjà pris Laly dans ses bras et l’embrassait à pleine bouche, ses mains la caressaient sur tout le corps, les fesses et les seins.
Puis il s’allongea à même le gazon et dit :
« Viens me sucer, petite. »
Hésitante, Laly s’y résolu mais dit :
« Les voisins, ils peuvent nous voir...
- Je me fiche des voisins et s’ils voient, tant mieux, ils sauront… »
Alors Laly s’agenouilla entre ses cuisses, regarda le sexe de l’homme et protesta :
« Mais il est énorme, il est trop gros !
- Ah ça te change de celui de ton mari, n’est-ce pas ? »
Elle ne répondit pas.
Elle prit l’engin dans sa main gauche et emboucha un bout de la bite tendue. De sa main droite elle malaxa les couilles. Elle suçait la queue avec avidité, je m’en rendis compte.
Je pleurais doucement. Je voyais ma femme se vendre pour payer le loyer.
Je regardais ma femme sucer une queue qui n’était pas la mienne.
Trois minutes durant, elle s’activa avec passion... et je me rendis compte que je bandais du spectacle. Je me caressais sur le caleçon.
Le propriétaire fit mettre Laly sur le dos, écarta ses cuisses et lui enfonça un doigt dans la chatte...
« Mais c’est qu’elle mouille la salope, elle est toute excitée de m’avoir sucé la bite ! »
Il retira son doigt et sans autre préparation positionna son gland sur la vulve de Laly.
Il poussa et le gland pénétra le vagin. Laly poussa un cri étouffé. Il poussa encore et entra totalement jusqu’aux couilles. Laly cria cette fois franchement.
Ma femme était prise, ouverte par la queue énorme de son amant.
Sa tête allait de gauche à droite et ses râles étaient bruyants. L’homme se retira et commença de la baiser de toute sa puissance. Je voyais très bien le sexe entrer et sortir. Il était vraiment énorme et Laly ne tarda pas à jouir fortement.
« Ah la petite pute, elle jouit comme une jeune salope… »
Il la prit longuement ainsi, la faisant jouir trois fois avant de s’enfoncer en elle pour libérer son sperme au plus profond de ma femme. Ils restèrent soudés l’un à l’autre puis Laly le repoussa et s’enfuit.
J’eus juste le temps de regagner mon bureau sans qu’elle me voit. Le sexe à l’air je me branlais et je jouis dans un mouchoir.
Je devinais qu’elle se lavait.
L’homme entra dans le salon et appela Laly :
« Viens ne t’habille pas, reste nue et sers-nous des boissons. »
Ils discutèrent dans le salon.
« Alors, jeune Laly, tu vois c’était pas la mer à boire, et c’était bon, non ? Ah au fait, je m’appelle Jacques. »
Laly le regarda en fronçant les sourcils et avec une mimique de la bouche.
« Quoi, tu as pris ton pied trois ou quatre fois, tu rigoles ! »
Laly ne parlait toujours pas.
« Alors, c’était comment ?
- C’était bien.
- Bien seulement ?
- C’était bon.
- Tu regrettes ?
- Non, mais j’espère que vous tiendrez parole… »
Il se leva, fouilla dans sa sacoche et sortit les quittances des loyers qu’il remit à Laly.
« Non seulement, je tiens parole mais je te fais confiance, j’espère que toi aussi tu tiendras parole jusqu’à demain soir.
- Et si mon mari rentre avant ?
- Tu te débrouilles pour qu’il ne rentre que dimanche soir »
Laly apporta les boissons, elle se promenait nue comme naturellement devant ce quinquagénaire qui aurait pu être son père.
Après un moment, il ordonna :
« Viens me sucer, chérie »
Sans rien dire, Laly le leva et s’agenouilla entre ses jambes. Elle le suça immédiatement. Elle y mettait du cœur et de la volonté. J’en fus étonné et même jaloux.
Il l’arrêta et la fit asseoir sur le fauteuil, il était face à elle, la queue à bonne hauteur de sa bouche.
Il introduisit son sexe démesuré. Elle prenait ses couilles dans ses mains. Il baisait sa bouche et s’y enfonçait régulièrement au plus profond, manquant de l’étouffer.
Soudain, il stoppa et ne laissa que quelques centimètres de sa bite dans la bouche de ma femme.
« Je décharge, salope, je jouis, j’éjacule dans ta bouche de pute, avale mon sperme, avale tout ! »
Il râla et Laly reçu toute la quantité de sperme. Elle suça la bite en se retirant et avala d’un seul coup. Puis elle reprit le sexe en bouche et le suça encore.
La salope, elle en redemandait. Elle qui avait toujours refusé que je jouisse dans sa bouche, elle avait permit à cette homme de le faire et avait même avalé son sperme.
J’enrageais, je ne comprenais plus rien.
« Formidable ma jeune amante, tu suces très bien et tu te comportes comme une vraie professionnelle. Ton mari est un homme heureux.
- Mon mari n’a jamais eu droit à ça. »
J’en restais scié, pourquoi disait-elle ça ?
« Ah bon ... et alors, pourquoi moi ?
- J’en avais envie, c’est tout.
- Parfait, parfait, je suis donc privilégié et en avance sur ton cocu de mari…
- Oui, on peut voir les choses comme ça… »
Je les voyais entrer et sortir de la maison pour le jardin et vice et versa.
Ils discutaient de choses et d’autres et semblait bien s’entendre.
Je crevais de jalousie et m’impatientai de questionner Laly. Mais je savais que je devais rester planté dans mon bureau...
Le soir, ils dînèrent dans le jardin et j’entendais leurs rires.
Laly se rendit plusieurs fois à la cuisine mais n’eut aucun regard vers la porte du bureau.
Toujours nue, elle vaquait à ses occupations.
Enfin ils entrèrent, lui derrière elle, la serrant contre lui, lui pelotant les seins. Dans ses bras, elle semblait une petite poupée fragile. Elle le guida vers notre chambre...
J’attendis un moment et j’osais ouvrir délicatement ma porte du bureau.
Je m’avançais dans le couloir qui mène aux trois chambres. La porte était largement entr’ouverte. Par chance la lumière du couloir n’était pas allumée, mais la veilleuse de la chambre oui.
J’attendis ainsi quelques minutes, et aussitôt, que je compris qu’ils étaient en action, je me risquais dans la chambre d’amis juste en face de la notre, dont je laissais la porte entre baillée. J’avais une vue complète sur le lit.
Le spectacle était hallucinant pour moi !
La tête dans les coussins, Laly était possédée par notre propriétaire qui la prenait en levrette. Il la prenait fortement à grands coups de reins. Les mains sur les hanches de ma femme, il la prenait.
Jacques râlait en permanence et criait ses jouissances continues.
Ils durèrent ainsi au moins trente minutes.
L’homme s’arrêta et suça le cul de Laly un long moment. Puis il la prit de nouveau, la faisant encore jouir. Je voyais qu’il enfonçait son pouce dans le cul de Laly.
Il s’arrêta de nouveau et guida son sexe sur l’anus offert.
« Non ! cria Laly, non pas par là ! »
Je fus rassuré de cette négation.
« Tu es à moi pour ce week-end et tu ne dois rien me refuser.
- Mais je ne savais pas que...
- Pas de limite, tu m’appartiens, ton corps m’appartiens.
- Je vous en prie, non pas ça, je ne l’ai jamais fait, pas même avec...
- Avec qui ? Ton con de mari, ça ne m’étonne pas, mais tu vas y passer. »
Il tenait Laly fermement d’une main et de l’autre il guidait sa bite.
Il appuya fortement et l’anus bien préparé s’ouvrit non sans mal pour Laly. Le bout était dans le cul. Laly le suppliait d’arrêter. Mais, lui pressait doucement, il savait qu’il avait gagné. Il s’enfonçait sans écouter les gémissements de l’enculée.
Quand il fut bien à fond, il demeura ainsi sans bouger. Laly pleurait. Mais le bougre savait y faire, il fit un retour de moitié de s’enfonça de nouveau très lentement.
Il sortit totalement et pénétra la chatte toute mouillée. Puis il l’encula à nouveau, et cette fois, pour y rester.
En quelques minutes seulement, il avait réussi à enculer ma femme avec son sexe énorme, alors que j’avais toujours été refusé avec mon petit sexe.
Doucement, il permettait au cul de Laly de s’adapter à son enculage et à la grosseur de sa bite. Tant et si bien que j’entendis des soupirs de plaisirs sortir de la bouche de Laly.
C’est elle d’ailleurs qui parla la première :
« Oh ! Jacques, je n’aurais jamais cru... c’est bon, c’est si bon, continue, OUI, encule-moi, encule-moi comme une putain, comme ta pute que je suis !
- Dis que tu aimes ma bite, salope !
- Oh ! Oui, oui, je l’aime ta bite dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche !
- Tu ne pourras plus t’en passer, je viendrais te prendre souvent, si tu veux.
- Oh ! Oui, tout le temps, tout le temps, Jacques…
- Et ton mari ?
- Mon mari sera cocu par toi, continue, encule moi ! »
Il l’encula encore longtemps avant de crier :
« Je vais jouir dans ton cul ma chérie, je vais t’inonder le cul !
- Ouiiiiiiiii, viens, viens dans mon cul. »
Ils crièrent ensemble, Laly jouit encore de se faire enculer et il envoya tout son sperme dans le cul de celle qui était, il y a encore quelques heures, ma fidèle épouse.
Je regagnais vite mon bureau ...
Le lendemain, ils petit-déjeunèrent dans le jardin, ils étaient toujours nus.
Je remarquais que Laly était tout à son aise. Elle l’embrassait d’elle-même et attrapait souvent sa bite au passage.
Je l’entendis même dire :
« Qu’est-ce que tu m’as mis ce matin, j’ai la chatte ouverte, et ton sperme colle mes poils !
- Et c’est pas fini…
- Oui, oui, j’en prendrais bien encore ! »
Effectivement, après une sieste réparatrice, il la prit dans le jardin, puis l’encula encore une fois. Il dura encore plus longtemps que la veille. Il l’enculait sans ménagement. Il avait enduit son cul de beurre et il pouvait pénétrer son cul sans problème.
Laly se déchaînait et implorer son enculeur de se retenir de jouir.
Mais il jouit. Il se planta au fond de ses entrailles pour y déverser son sperme.
Laly hoquetait de plaisir :
« Jacques, Jacques, je suis à toi, tu m’as révélée, je ne pourrais plus me passer de toi, maintenant.
- Je viendrai souvent t’en mettre un coup, rassure-toi.
- Oui, ouiiiiiiiiiiii !!! »
Vers dix-sept heures, Laly attira son amant dans la salle de bain. Elle savait que je devais arriver. Je sortis donc de ma cache et à dix-huit heures, et j’entrais. Ils étaient au salon. Nus.
Je pris mon air le plus étonné, le plus offusqué :
« Mais enfin qu’est-ce que cela signifie ???
- Eh bien ça signifie, pauvre idiot, que ta femme a payé les loyers que tu es incapable de payer, voilà ce que ça signifie !
- Comment, je ne comprends pas…
- Explique à ton mari nos accords, continua Jacques.
- Alain, Jacques a accepté d’annuler les loyers dus, j’ai d’ailleurs les quittances, contre un week-end avec moi.
- Avec toi ???
- Oui, nous avons eu des rapports sexuels contre les loyers, tu vois, dit-elle, d’un ton agacé.
- Mais enfin et moi dans tout ça ?
- Toi, repris Jacques, tu économises les loyers, Laly a fait ce qu’elle pensait devoir faire et moi je suis satisfait de m’être envoyé une si jolie jeune femme. Tout le monde est content.
- Content, content, vous en avez de bonnes, vous, c’est de ma femme qu’il s’agit !
- Oui et donc tu es cocu et content.
- Alain, il faut bien reconnaître que Jacques a été un gentleman et pour tout te dire, j’y ai pris beaucoup de plaisir ‘
- Quoi ?
- Ta femme te dit qu’elle a aimé que je la baise !
- Ah bon, elle a aimé ?
- Oui, Alain j’ai aimé et si tu veux savoir, j’ai joui plus qu’avec toi, Jacques a une queue énorme, et il faut aussi que tu saches que je lui ai tout donné de moi…
- Qu’est-ce que ça veut dire ?
- Je l’ai sucé et j’ai avalé son sperme et il m’a enculée.
- Qu’est-ce que tu dis, il…
- Oui tu as bien entendu… »
Je m’effondrais dans un fauteuil et fis semblant d’être atterré.
« Maintenant que… soufflai-je.
- Maintenant je rentre chez moi et tu n’as plus de problème de loyers… »
Il remit ses vêtements et partit.
Seuls avec Laly nous avions beaucoup à nous dire.
A suivre...
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Deux excitées...
C’était hors période de vacances scolaires, et cette station du Queyras était plutôt tranquille. J’avais pris pension dans un grand chalet-hôtel avec restaurant, piscine, sauna, bref, je pouvais trouver tout ce que je voulais pour passer un séjour agréable et décontracté.
Les installations de la station me permettaient de monter un peu en altitude pour profiter de l’air vivifiant et du soleil dans les refuges de haute montagne.
En milieu de semaine, il y a eu une soirée fondue où la plupart des vacanciers se sont retrouvés autour des tables disposées de part et d’autre d’une piste de danse improvisée.
En face de moi, j’avais deux jeunes femmes d’environ trente ans qui étaient déjà passablement excitées quand elles sont arrivées.
Plus par politesse que par envie, je les ai invitées à danser lorsque le D.J. a commencé à passer une musique appropriée. Lors d’une séquence disco, elles sont venues toutes les deux face à moi et ont entamé une danse lascive au son de la musique, se déhanchant plus que la normale, se frottant tantôt l’une à l’autre tantôt contre moi.
Sabrina et Caroline m’allumaient littéralement ,et j’étais réceptif. Je n’avais pas eu d’aventure depuis mon arrivée, sans l’avoir chercher, il me semblait que c’était mûr pour cette nuit !
A minuit, lorsque la musique s’est arrêtée, nous avons quitté tous les trois le patio pour regagner les étages. Ces deux coquines étaient de plus en plus excitées, un peu grisées par le vin rosé servi généreusement à table.
Assez semblables, grandes brunes toutes les deux, elles avaient de belles rondeurs moulées par un pullover et un fuseau très ajustés. Les cheveux d’un noir de geais tombaient librement sur leurs épaules.
Dans le couloir menant aux chambres elles marchaient devant moi en se tenant par la taille. Sans le savoir, nous étions voisins de chambre. Avant ce soir, je ne les avais jamais vues.
Lorsque j’ai ouvert la porte, je n’ai pas eu à choisir, Sabrina est entrée d’office dans ma chambre. Avant de refermer la porte, j’ai souhaité une bonne nuit à Caroline.
« Ne t’inquiète pas, elle sera bonne ! » me dit-elle en s’esclaffant. La porte refermée, j’ai enlacé Sabrina qui s’est collée moi de tout son corps.
Je sentais ses seins durs contre mon torse et son bassin qui roulait en face du mien dans une danse savante qui a fait dresser ma bite dans mon boxer. Ne laissant qu’un éclairage discret, nous nous sommes déshabillés mutuellement.
En quelques secondes, j’avais devant moi une fille splendide à la peau légèrement hâlée avec des seins comme je les aime, ronds et généreux, sa taille mince s’évasait vers des hanches bien galbées et un pubis nu. Le nombril était orné d’un piercing avec un strass et une petite chaine dorée. Elle portait un discret tatouage (une tête de Bunny) sur la fesse droite.
« Viens, baise moi vite, j’en ai envie et toi aussi ! » me dit-elle en s’allongeant en travers du lit.
Ma queue était déjà bien bandée. Je me couvris rapidement et d’une seule poussée, j’investis sa chatte toute brûlante et humide. Sabrina referma ses jambes sur mes reins pour mieux me sentir en elle. Sous mes mouvements de va-et-vient, ma belle roucoulait.
Je sentais ma jouissance monter. Celle de Sabrina survint brusquement et je me lâchai aussi, jouissant brutalement en déversant mon sperme au fond du préservatif.
Nous étions encore enlacés quand j’entendis un léger bruit et perçu la sensation qu’une troisième personne montait sur le lit.
Je ne me trompais pas. Caroline venait de nous rejoindre. Il faut croire que dans la précipitation j’avais du mal refermer la porte. Intégralement nue elle aussi, elle repoussa Sabrina sur le côté.
« Ecarte toi un peu, je veux me faire manger la chatte ! »
Elle enjamba mon visage et m’offrit la vision rapprochée de sa vulve aux lèvres étroites ornées d’un petit anneau doré. Par contre son clitoris était très développé et sortait de son capuchon.
Je remontai mes bras pour lui saisir les hanches et, relevant ma tête, je commençai à lui lécher la chatte comme elle le souhaitait, suçant de temps à autre son clitoris que je prenais entre mes lèvres pour le mordiller.
J’étais encore fiché dans la chatte de Sabrina qui roulait des hanches pour me faire bander à nouveau. Elle s’était relevée et faisait face à Caroline qu’elle embrassait à bouche que veux-tu. J’étais tombé su deux coquines bisexuelles. GENIAL.
Bientôt, comme dans un ballet bien réglé, les deux copines changèrent de place. Caroline vint s’empaler sur ma bite dressée pendant que Sabrina venait m’offrir sa chatte ruisselante à étancher.
Sabrina et Caroline continuaient de s’embrasser et de se caresser les seins. D’elle-même Caroline faisait les mouvements alternatifs sur ma bite. Elle était étroite et savait y faire avec ses muscles intimes qui me malaxaient le gland chaque fois qu’il arrivait au fond de sa chatte.
Heureusement qu’elle assumait sa baise car Sabrina était déchaînée. Elle n’arrêtait pas de gigoter et j’avais de plus en plus de mal à lui faire son cunnilingus d’autant que j’avais introduit facilement deux doigts dans son cul.
Aussi soudainement que quand je la baisais, la jouissance de Sabrina est arrivée. Elle l’a exprimé bruyamment.
« Ouiii ! Ouiii ! Oh que c’est bon ! »
Dans le même temps elle m’arrosait le bas du visage de plusieurs jets de cyprine. Presque aussitôt la jouissance de Caroline et la mienne arrivèrent simultanément. J’avais éjaculé deux fois dans le préservatif et j’avais la queue noyée dans le sperme.
Nous nous sommes désunis et mes deux coquines se sont empressées sur ma bite. Dès que Sabrina a retiré la capote, Caroline a commencé à me faire une toilette à coups de langue. Elle a été rejointe aussitôt par Sabrina et elles se sont partagé les rôles.
Pendant que l’une gobait mon gland, l’autre léchait la tige maintenue verticalement. Je pensais que la nuit se terminerait calmement entre les deux filles, couchées dans le même lit.
Je me trompais lourdement ! Elles n’en n’avaient pas encore assez.
Sabrina me dit soudain :
« Tu n’as titillé la rondelle mon coquin. Et bien tu vas pouvoir en profiter ! »
Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Caroline harnachée d’un gode ceinture. Tout avait été prémédité par ces deux belles garces.
Caroline se coucha sur le dos pour que Sabina vienne s’empaler la chatte sur le gode. Après quelques mouvements de va-et-vient, Sabrina dit comme une furie :
« Prends-moi le cul mon salaud ! Encule-moi ! Tu en as envie ! »
Je pris place entre leurs cuisses et après m’être couvert une nouvelle fois, je présentai mon gland devant l’anneau plissé. Je n’ai pas eu à forcer beaucoup. Le passage était bien ouvert et c’est sans difficulté aucune que je glissai ma bite jusqu’au fond du cul de Sabrina.
Nous avons accordé nos mouvements et au bout de quelques minutes, la belle commença à jouir. J’étais aussi sur le point de non retour. D’un coup de reins, je sortis de son sphincter, je retirai rapidement le préservatif et je crachai mon sperme sur le bas de son dos et ses fesses. J’avais bien pris mon pied et mes deux excitées aussi.
Nous avons effectivement fini la nuit dans le même lit. Au petit matin, Sabrina et Caroline se sont esquivées pour regagner leur chambre après m’avoir gratifié en double d’une fellation aboutie, « pour me remercier », dirent-elles.
Sans le savoir, j’avais passé la soirée et la nuit en compagnie de deux danseuses qui faisaient ensemble un spectacle érotique dans un célèbre club libertin de Genève, et qui faisait relâche pendant une semaine. J’avais été là juste au bon moment !
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La soeur de ma copine
Ce jour-là, à la veille des vacances d’automne, nous avons assisté avec deux de nos professeurs à la projection d’un film des années 50. Nous devons analyser et restituer en travail de groupe après la semaine de vacances. Cela fait partie de notre formation aux métiers du cinéma
Agnès et son frère jumeau, qui habitent à proximité du lycée dans une grande maison, ont demandé à leur mère de nous préparer un repas de pâtes à l’italienne de façon à ce que, avec un groupe de six autres élèves, nous puissions entreprendre notre travail au cours de la soirée.
Personnellement, j’habite chez mes parents à une vingtaine de kilomètres et je dois prendre le train matin et soir pour le trajet. Avant le repas, nous commençons le travail en nous répartissant en binômes pour que chacun analyse le film selon un schéma que nous établissons à ce moment-là.
Nous étions organisés depuis l’année précédente. Nous avions à notre disposition chez Agnès tout le matériel nécessaire y compris la disposition de plusieurs ordinateurs connectés en réseau.
Aussitôt le repas terminé, nous reprenons notre travail et nos discussions. Soudain, je me rends compte que l’heure de mon dernier train était passée et je n’ai pas de possibilités pour rentrer chez moi. Voyant mon embarras, Caroline la sœur ainée d’Agnès, propose de me reconduire en voiture. C’est la solution. Les vacances commencent le lendemain, je ne veux pas rester en ville inutilement jusqu’à la mi-journée. Nous poursuivons nos discussions entre garçons pendant que les filles aident la mère des jumeaux à ranger.
Vers 23 heures 30, Caroline et moi avons prenons la route dans sa petite Smart. En un peu plus de trois quarts d’heure, elle aura fait l’aller et le retour.
En cours de route, je la remercie encore une fois et nous commençons à bavarder, de tout et de rien puis la conversation a dérivé sur ma relation avec Agnès.
« Tu sais, ma relation avec ta sœur est sérieuse. Je ne comprends pas pourquoi elle se refuse à moi de cette manière.
- Oui, je sais, elle m’en a parlé mais elle est assez coincée de ce côté !
- Elle accepte tout juste quelques caresses sur les seins et des baisers profonds. Je voudrais bien aller plus loin, par exemple qu’elle me masturbe ou me fasse une fellation.
- Alors là, je serai surprise. Chaque fois, ce sera NON ! Elle n’est pas prête à aller plus loin, elle se trouve trop jeune. »
Caroline me dit que sa sœur lui avait parlé de mon insistance, et elle lui avait répondu que si elle n’acceptait pas d’aller un peu plus loin, elle risquait de me perdre. Si elle tenait vraiment à moi, elle devait faire des concessions. Bref, Caroline était allée, sans le savoir, dans mon sens.
Soudain, alors que nous approchons du village dans lequel habitent mes parents, Caroline prend un petit chemin à l’écart de la route et s’arrête. Elle éteint les phares de sa voiture. Nous sommes juste éclairés par la pleine lune.
Elle se tourne vers moi et commence à masser mon entrejambes. La conversation précédente et cette caresse avaient fait monter la pression dans mon slip où ma bite avait commencé à bander.
Puis elle fait glisser le zip de mon pantalon pour aller y chercher mon sexe et le prendre en bouche. Cette coquine allait m’offrir ce que sa sœur me refusait depuis quelques semaines, et elle savait y faire. Mon sceptre a atteint rapidement sa taille maximale et elle le faisait coulisser entre ses lèvres, le faisant entrer jusqu’au fond de sa gorge et elle aspirait en gonflant et dégonflant ses joues. Whaaouuuh ! Que c’était bon ! Je passais ma main dans les cheveux de Caroline et je ne pouvais rien faire d’autre en raison de l’étroitesse de l’habitacle.
« Ouvre ta portière, je vais faire le tour, ce sera plus facile ! »
Elle fait le tour de sa voiture pendant que je me tourne et pose les pieds au sol, la bite à l’air dans la braguette ouverte. Elle dégrafe la ceinture de mon jean. Elle fait glisser le pantalon et le slip jusqu’à mes chevilles avant de s’agenouiller devant moi sur un coussin et de me reprendre en bouche. J’avais à peine débandé. Elle reprend sa fellation de plus belle, faisant de longues aspirations et en sortant ma queue pour sucer le gland et agacer le méat.
Même celle qui m’avait initié ne m’avait jamais aussi bien sucé. C’était vraiment un pied d’enfer ! Alors que je pose mes mains sur ses épaules, Caroline se redresse, fait passer son pullover par-dessus tête et ôte son soutif. J’ai devant moi une jolie petite poitrine avec des seins menus et un téton légèrement saillant au centre de l’aréole.
« Tu peux les caresser ! » me dit Caroline en me reprenant en bouche.
Je ne me fais pas prier. Là, j’atteins rapidement le point des non retour. Elle doit le sentir car au moment où j’éjacule, elle dirige ma bite vers sa poitrine sur laquelle je crache quelques bonnes giclées de sperme. A part deux ou trois masturbations, depuis l’été je n’avais plus baisé ! Elle prend quelques gouttes sur ses doigts et elle les suce !
« Tu as bon goût, mon cochon ! »
Elle se relève, enfile son pull sans remettre le soutien gorge (elle peut s’en passer). Elle reprend le volant. Je l’embrasse sur la bouche où j’ai retrouve mon odeur.
« Merci Caroline ! C’était merveilleux !
- Ce sera notre secret ! » me répond-elle en lançant le moteur.
Deux minutes plus tard elle me dépose devant la maison et je regagne discrètement ma chambre, bien décidé à garder ce secret….
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Elodie, la femme mure, son jeune baiseur et le voyeur
Dix-sept heures sonnèrent à l’horloge de la mairie. Elodie quitta le bureau avec soulagement. La journée avait été longue, et elle avait hâte de rentrer chez elle, s'installa au volant de sa Fiesta. Là, avant de démarrer, elle prit le temps de bloquer les portières de l'intérieur. Elle avait pris cette habitude après avoir vu un reportage à la télévision, où de jeunes voyous n'hésitaient pas à ouvrir les portières des automobiles. Ils dérobaient ainsi par la force les sacs à main des automobilistes féminines.
Puis elle prit la route pour rejoindre sa maison, distante d’une dizaine de kilomètres, où l'attendaient sans doute Georges son mari, Virginie et Matthieu, ses enfants.
Mais comme elle passait devant la piscine, elle reconnut une silhouette qui, son sac de sport posé à ses pieds, téléphonait à l'aide d'un portable. Son cœur s'emballa soudain, tandis que sa respiration se bloquait. En ce jeune homme vêtu d'un short de sport et d'un maillot aux couleurs de l'équipe de natation, elle avait reconnu Hervé, son jeune voisin si désirable….
Stoppant la voiture au niveau de l'adolescent, elle fit descendre la vitre, coté passager.
« Hervé ! Appela-t-elle. Monte !... Je te ramène ! »
Reconnaissant en la conductrice de la Fiesta la voisine de ses parents, Hervé sentit à son tour son cœur battre la chamade. Elle l'avait si voluptueusement initié aux jeux amoureux un mois auparavant, qu’il en avait encore le cœur et le corps chavirés.
Sans hésiter, tout heureux de cette rencontre, il lança son sac de sport sur le siège arrière avant de s'installer à coté d’elle.
Elodie, les mains tremblantes d'émoi redémarra, la gorge nouée :
« Que fais-tu ici ? Demanda-t-elle d'une voix sourde, afin de briser le silence un peu lourd.
- J'étais à l'entraînement de natation, répondit Hervé, aussi ému que sa compagne... J'appelais mon père pour qu'il vienne me chercher. »
Tout en conduisant lentement, Elodie songeait que, si elle voulait profiter de la chance inespérée qui s’offrait à elle en la rencontre d’Hervé, il fallait qu'elle fasse le premier geste, le garçon étant très timide. Cet adolescent avait depuis un mois inexplicablement éveillé en elle des désirs sexuels de plus en plus incontrôlables…
« Tu as un peu pensé à moi ? Demanda-t-elle d'une voix émue.
- Oui, reconnut Hervé qui, depuis un moment, fixait les longues jambes bronzées de la conductrice, dévoilées par sa coute jupe.
- Moi aussi, avoua Elodie dont le corps commençait à se couvrir d'une sueur érotique. J'ai souvent pensé à toi et à notre après-midi... Ça été un moment merveilleux non ?
- Oui, » acquiesça Hervé, de plus en plus excité par la vue des cuisses à demi nues.
S'apercevant de la direction du regard de l'adolescent, Elodie ressentit une soudaine chaleur se propager dans le bas de son ventre et à l'intérieur de son sexe. Instinctivement elle resserra ses jambes, autant que lui permettait la conduite du véhicule. Elle pressa ses cuisses l'une contre l'autre pour tenter d'atténuer le désir qui humectait sournoisement sa vulve affamée. Voyant que les kilomètres défilaient et qu'ils allaient bientôt arriver à destination, Elodie décida qu’il lui fallait à tout prix prendre l'initiative, ainsi qu'elle l'avait fait un mois auparavant.
Otant sa main droite du volant, elle la posa sur la cuisse nue de l'adolescent. Aussitôt une troublante émotion la saisit, de sentir cette chair ferme, musclée, frémir sous ses doigts. Le désir qui, déjà, lui crispait le bas-ventre et lui incendiait la chatte, s'accentua encore un peu plus…
Quand elle le toucha, Hervé tressaillit de surprise et de plaisir. Tout son être se tendit dans une avide attente. Comme la douce main féminine lui effleurait la cuisse d'une manière affolante, en frôlant insensiblement son entrejambe, il sentit son membre viril se gonfler inexorablement.
Excité par cette affolante caresse, il s'empressa d'écarter ses jambes, espérant que la femme vienne le toucher plus intimement. Il attendait fébrilement quelle caresse son membre qu'elle avait, par ses attouchements, tiré de sa torpeur.
Percevant sous sa main les frémissements qui agitaient la cuisse du garçon, Elodie en éprouva un intense plaisir. Tandis qu'une nouvelle onde sensuelle la submergeait, elle laissa ses doigts errer au hasard sur cette chair douce et ferme à la fois.
Tout en fixant la route devant elle, elle ne put s'empêcher de revoir en songe le corps nu de l'adolescent : son torse lisse, son ventre dur, et surtout sa verge longue et épaisse qui l'avait si bien comblée.
Une envie folle de sentir sous ses doigts cette virilité massive, qu'un mois auparavant elle avait découverte pour sa plus grande satisfaction, la saisit. Elle laissa alors sa main remonter en direction de l'entrecuisse du garçon. Le cœur battant, elle réussit à glisser ses doigts sous la jambe du short. Et lorsqu’elle sentit à travers le tissu du slip, la raideur de la jeune bite, une boule de désir lui obstrua la gorge, tandis qu’une chaleur intense se propageait dans son bas-ventre. Au fond de son vagin, un véritable brasier lui irradia les entrailles. Entre ses cuisses, ses lèvres intimes s'écartaient en humidifiant sa légère culotte : « Tu as envie de moi ? Demanda-t-elle émue devant sa découverte.
- Oh, oui ! Grogna Hervé, au supplice.
- Moi aussi, j'ai très envie de toi, » lui répliqua-t-elle dans un souffle.
Cependant, comme ils arrivaient devant un rond point, Elodie retira à regret sa main de l'entrejambe de Hervé pour reprendre le volant. Mais comme elle négociait le virage à gauche, elle sentit les doigts du garçon se poser sur son genou découvert. Puis ils remontèrent doucement le long de sa cuisse droite, s'infiltrèrent sous sa jupe et tentèrent d'atteindre son entrecuisse.
Tremblante d'émoi, elle laissa l'adolescent continuer sa douce progression en direction de son intimité moite de désir.
Hervé, la gorge nouée par ce qu'il avait osé entreprendre, éprouvait un sensuel plaisir à sentir la chair veloutée de la cuisse féminine frémir doucement sous ses doigts fiévreux. Fixant avec avidité les genoux dénudés par la courte jupe retroussée, il tenta d'infiltrer ses doigts fureteurs dans la fourche des cuisses de sa compagne. Il percevait avec émotion la douce tiédeur qui s'en dégageait.
Perdant complètement conscience de la réalité, Elodie songea qu'il fallait à tout prix trouver un endroit suffisamment désert pour s'arrêter et profiter de l'incroyable chance qu'elle avait eue en rencontrant l'adolescent. Comme les premières maisons du lotissement où ils habitaient apparaissaient au loin, elle sentit une angoisse lui serrer la gorge à l'idée qu'elle allait être obligée de laisser partir Hervé.
Soudain, elle se rappela qu'un groupe d'immeubles se trouvait en construction pas très loin. Songeant qu’à cette heure, les ouvriers ne travaillaient plus, qu’il y avait peu de chance que des curieux visitent les lieux, elle engagea la Fiesta dans la direction du chantier désert :
« Tu as bien cinq minutes ? Demanda-t-elle à l'adolescent d'une voix rendue rauque par l'intense désir qui maintenant l'habitait… Tu veux que l'on s'arrête un moment ?
- Oh oui, » approuva Hervé complètement affolé par les courtes bouclettes pubiennes qu'il percevait sous ses doigts.
Louvoyant entre les constructions en cours, Elodie rechercha un endroit suffisamment désert et éloigné de la route, afin que l'on ne remarque pas la voiture. Lorsqu'elle coupa le contact, Hervé avait enfin réussit à glisser ses doigts sous son slip et tentait maladroitement de les enfoncer entre les grandes lèvres de sa faille sexuelle béante.
Le bas-ventre crispé par le puissant désir qui lui ravageait maintenant les entrailles, elle contrôla une dernière fois que les portières de la voiture étaient bien bloquées. Elle rabaissa vivement son dossier afin d'être à l'aise pour subir les caresses malhabiles de son jeune compagnon. Décollant les fesses de son siège, elle retroussa sa jupe jusqu'à la taille pour pouvoir largement écarter ses jambes, et s'offrir ainsi complètement aux attouchements de plus en plus insistants du garçon.
Ayant enfin son amante à sa disposition, Hervé s'activa entre les grandes lèvres qu'il venait de mettre à jour. Maladroitement, il chercha l'entrée du sanctuaire sacré, découvert un mois auparavant. Depuis, il peuplait ses rêves érotiques et embrasait sa virilité.
Sans avoir à tâtonner bien longtemps, son majeur glissa le long de la chatte béante et inondée. Il s'enfonça entièrement dans ce repaire brûlant. Une chaude liqueur lui poissa aussitôt la main. Les yeux fixés sur l'abondante pilosité brune qui moutonnait sur le bas-ventre de sa compagne, Hervé explora avec trouble et curiosité la vulve profonde et chaude.
La gorge nouée, il agita en tous sens son doigt raidi, le laissant longuement aller et venir le long des parois juteuses de l'affolante galerie sexuelle. Il y avait connu, un mois plus tôt, et pour la première fois, un orgasme extraordinaire.
Dans son slip, sa verge terriblement tendue déformait outrageusement le devant de son short.
Bien calée dans son siège, Elodie, les yeux clos pour mieux apprécier les caresses, se laissa emporter par l'extraordinaire plaisir qui envahissait peu à peu son corps, depuis ses reins jusqu'à son bas-ventre.
Dans son corsage, ses seins emprisonnés dans les corbeilles de dentelle, s'étaient douloureusement gonflés, tandis que ses mamelons, enflés par le désir, réclamaient leur part de caresse.
Sous ce doigt malhabile qui la fouillait intimement, elle sentait sa chatte se liquéfier littéralement.
« Oui, continue, gémit-elle à l'intention de son jeune amant… C'est merveilleux… Doucement, va doucement... Oui comme ça… Huumm, c'est bon… »
Grisé par l'ampleur de la vulve à l'intérieur de laquelle son doigt se démenait, Hervé accola son index à son majeur et il continua ainsi à ramoner cette chatte si accueillante.
« Oh oui ! Râla Elodie en s’arquant sous cette nouvelle pénétration... Oui, c'est bon. Branle-moi bien, mon chéri. Tu me rends folle de toi... »
Carlos vivait sur le chantier depuis trois mois, et ce, jusqu’à la fin des travaux. Il se sentait bien seul le soir. Alors qu'il quittait son logement de fortune, Carlos distingua avec surprise une petite voiture garée dans un coin discret du chantier.
Curieux, songeant qu'il s'agissait peut-être d'une voiture volée, il s'en approcha doucement. Mais à peine fut-il à quelques mètres, qu'il s’aperçut que celle-ci était en fait occupée par un couple. Ce dernier semblait simplement occupé à se procurer du plaisir, loin des regards indiscrets. Poussé par une curiosité perverse, il fit encore quelques pas. La première chose qu'il découvrit à travers le pare-brise, fut le visage d'une femme, les traits ravagés par le plaisir, les yeux clos, la bouche entrouverte, la tête reposant sur le dossier rabattu. Et, penché sur elle, le haut d'un crâne, appartenant sans aucun doute à un jeune homme. Alors qu'il aurait dû se retirer discrètement, Carlos, saisi d'une curiosité vicieuse, se pencha afin de ne pas se faire remarquer. Il s'approcha furtivement de la voiture. Ce qu’il vit alors, l'immobilisa, et son souffle s’accéléra.
A l'intérieur de l’habitacle, la femme était allongée sur son siège au dossier légèrement rabattu. Sa jupe, largement retroussée jusqu'à la taille, dénudait son ventre quelque peu arrondi recouvert par une fine culotte noire pratiquement translucide. Penché sur ce bas-ventre, un jeune homme, nettement moins âgé que sa partenaire, avait largement repoussé sur le coté le morceau de dentelle, afin de découvrir le sexe de sa compagne. D'où il était, Carlos put voir au centre d'une épaisse touffe de poils bruns. Les doigts du jeune garçon s'agitaient follement dans la chatte rose de la femme. Jetant de nouveau un coup d’œil en direction du visage de celle-ci, le gardien portugais fut surpris par l'expression d’intense volupté qui le déformait.
Sentant le plaisir s'emparer insensiblement de son bas-ventre, Elodie, les yeux toujours clos, porta machinalement ses mains à sa poitrine douloureuse ; et prise d'une soudaine fièvre érotique, elle entreprit de faire sauter un à un les boutons de son chemisier qu'elle repoussa de chaque coté de son torse. Puis, gémissant doucement sous le plaisir que son jeune compagnon lui prodiguait si généreusement, elle repoussa les balconnets de dentelle de son soutien-gorge, libérant ses seins gonflés par le désir. Empoignant ses lourdes mamelles, elle entreprit de les presser avec une fièvre grandissante, tout en encourageant son jeune partenaire :
- Oh oui, c'est bon, mon chéri… Continue comme ça ! … Oui… Oh oui…. Enfonce bien tes doigts !...
De son poste d'observation, Carlos pouvait contempler avec envie les merveilleux seins de la femme. Sans être trop gros, ces derniers avaient la sensuelle pesanteur commune aux appas des femmes ayant passée la quarantaine. D'une blancheur de lait, ils possédaient de larges aréoles roses, au centre desquelles se dressait un téton d'une étonnante longueur. Mais à contempler pareil spectacle luxurieux, Carlos ne tarda pas à sentir le désir l'envahir peu à peu et sa virilité se gonfla lentement. Alors sans réfléchir à ce que son geste avait d'impudique, il fit prestement glisser le zip de sa braguette.
En se contorsionnant, il en sortit difficilement son membre épais et raidi. Tout en suivant d'un œil allumé le spectacle terriblement excitant qui se passait dans la Fiesta, il entreprit de se masturber d'un poignet souple, habitué qu’il était à ce genre d’exercice.
Cependant, à l’intérieur de la voiture, inconscient du show qu'il offrait à ce spectateur improvisé, Hervé continuait ses fouilles sexuelles à l'intérieur de la vulve débordante de sa compagne. Le visage penché sur le bas-ventre frémissant, fixant l'abondante toison, il continua de fouiller avec ivresse les profondeurs brûlantes du sexe palpitant…
La chatte ruisselante, les tétons durcis, les reins arqués, Elodie se laissa emporter par le plaisir qui lui envahissait inexorablement les entrailles. Mais soudain, comme l'orgasme la saisissait impitoyablement, la faisant se cambrer frénétiquement sur son siège, elle s'empara de la tête de l'adolescent pour l'attirer contre sa poitrine dénudée.
- Oh oui !... Ah, chéri, je viens !... Aaaaahhhhh !
Le visage collé contre les seins, le poignet bloqué dans l'étau des cuisses resserrées, Hervé écouta les sourdes plaintes que sa compagne émettait sourdement, tandis qu'un liquide brûlant lui engluait la paume...
Lentement, Elodie émergea de son nuage de félicité, revenant doucement à la réalité. Haletante, elle rendit alors sa liberté à son jeune amant qui venait, une fois de plus, de la faire jouir avec telle une violence. Jamais son mari ne lui avait procuré un tel orgasme. Desserrant l'étau de ses cuisses, elle relâcha ainsi le poignet du garçon, qui retira ses doigts poisseux de la chatte détrempée :
« C'était vraiment bon, susurra-t-elle à l'intention de son jeune compagnon… Tu m’as procuré énormément de plaisir… Tu es un amant merveilleux… A mon tour de te faire jouir, tu l'as bien mérité. »
Mais alors qu'elle tentait de se redresser, elle sursauta violemment en découvrant à la vitre de sa portière le visage d'un homme qui la fixait, le regard halluciné. Complètement affolée par la découverte de ce spectateur surgi de nulle part, Elodie songea à remettre en marche le moteur de la voiture, pour s'éloigner au plus vite de ce piège.
Se rendant compte que la femme à l’intérieur de la voiture l’avait découvert, Carlos, se recula précipitamment, apeuré, dévoilant ainsi à la conductrice son sexe outrageusement dressé hors de son pantalon.
Comprenant alors qu'ils avaient à faire à un voyeur, Elodie sentit une étrange sensation s'emparer d'elle : le fait de savoir que son orgasme avait eu un autre spectateur qu’Hervé, provoqua en elle un certain contentement pervers. Cependant, à ses cotés, l'adolescent qui avait aussi aperçu l'homme bandé, s’immobilisa sur son siège, pris de panique.
« Ne t'en fais pas, le rassura Elodie, qui sentait un désir pervers l'envahir, alors que son jeune compagnon semblait tout à coup moins amoureux. Il ne peut rien nous faire, les portes sont verrouillées de l'intérieur... Ce n'est qu'un malade pas dangereux... Tu n'as plus envie que je te caresse ?
- Si », murmura Hervé d'une voix mal assurée, tout en regardant du coté de l'homme.
Ce dernier, comprenant que les occupants de la petite auto ne désiraient pas le pourchasser, il se rapprocha du véhicule pour surveiller ce qui allait se passer à l'intérieur. Il se masturba d'une main plus sure devant l'indifférence des occupants de la voiture à son égard.
Devinant le regard du voyeur sur elle, Elodie sentit une bouffée de chaleur l'envahir. De nouveau, un étrange désir la saisit, lui crispant le bas-ventre. Se forçant à ignorer le regard concupiscent de l'inconnu qui les espionnait, et surtout ce à quoi il était occupé, elle se tourna vers Hervé. L'adolescent semblait figé sur son siège, à cent lieux de tous désirs. Pour le rassurer, et surtout lui redonner cette vigueur qu’elle voyait disparaître avec inquiétude, Elodie posa sa main droite sur le bas-ventre du garçon déconcerté. Ses doigts trouvèrent aisément la protubérance que faisait le membre viril d’Hervé. Pourtant, celui-ci s'était nettement ramolli avec la découverte du spectateur inopiné. Comprenant le désarroi de l'adolescent, Elodie entreprit alors de ranimer son désir défaillant en le caressant doucement par-dessus le tissu du short, pressant tendrement la jeune verge affaiblie.
Puis elle s'empressa de baisser le short du garçon, afin de mettre à jour l'objet de ses envies.
Les seins ballottant hors de son soutien-gorge, elle se pencha sur le jeune membre ramolli. Comprenant qu’il allait lui falloir se montrer experte pour réveiller la jeune verge, elle referma ses doigts autour du membre qui avait perdu de son arrogance. Elle le branla lentement, en un va-et-vient plein de sensualité. Tout en tentant de raviver les ardeurs de l'adolescent, elle jeta un coup d’œil en direction du voyeur qui ,de l’extérieur, suivait tous ses gestes en se masturbant furieusement.
Prise d'un désir pervers, Elodie se recula légèrement sur son siège, afin que l'homme dehors puisse suivre le mouvement de sa main le long de la bite qu’elle branlait. Il pouvait aussi contempler ses seins nus qui se balançaient mollement suivant ses mouvements de son poignet. Elle, qui se montrait si réservée, si pudique, même lors de ses débordements sexuels, éprouvait en ce moment un incontestable plaisir à être épiée par un inconnu. Pourtant, habituellement elle préférait agir en la seule compagnie de son compagnon du moment.
Tout en fixant avec effronterie le voyeur, elle écarta ses cuisses, offrant à l’inconnu la vision de sa vulve abondamment poilue. Le souffle court, éprouvant un plaisir étrange, mais d’une intensité rare, elle fit glisser son majeur le long de son conin mouillé.
Sous le voluptueux massage se son amante, Hervé oublia peu à peu la présence de l’inconnu qui les épiait pour se concentrer sur son plaisir naissant. Lentement, son chibre se gonfla par pulsations, pour bientôt retrouver une raideur majestueuse. Ne voulant pas voir ce qui se passait à l'extérieur, il porta son regard sur les lourdes mamelles laiteuses, qui oscillaient sensuellement au rythme de la sensuelle masturbation.
Sentant la hampe se gonfler en s’allongeant à l’intérieur de sa main, Elodie se pencha alors sur le bas-ventre de l'adolescent. Sans quitter des yeux l'homme qui, penché en avant, le regard halluciné, la fixait avec intensité, elle absorba le gland gonflé entre ses lèvres. Elle l'aspira fortement, l'avalant au plus profond de sa gorge accueillante.
Hervé poussa un faible gémissement de béatitude sous cette absorption en tendant frénétiquement son ventre en avant, à la rencontre de cette bouche chaude et savoureuse.
Alors, lentement, avec douceur, Elodie entreprit de faire coulisser ses lèvres charnues le long de la colonne de chair veloutée, la suçant avec un plaisir décuplé encore, par le fait que sa fellation avait un spectateur assidu. Désirant offrir un maximum de plaisir à son jeune amant, elle cessa son mouvement de succion, ne gardant que le gland dilaté en bouche. Elle le lécha du bout de la langue, excitant un peu plus l'épiderme irrité du bourgeon de chair.
Tout en exacerbant le champignon turgescent et sans cesser de fixer le voyeur, elle infiltra sa main gauche dans le short, à la recherche des couilles qu'elle trouva considérablement gonflées.
Doucement elle les saisit entre ses doigts pour les presser délicatement, recherchant les noyaux durcis blottis dans leurs gaines de chair plissées. Elle les pinça subtilement, faisant se cambrer Hervé de plus belle. Ceci eut pour effet de lui enfoncer le gland qu'elle léchait, au plus profond de la gorge.
A l'extérieur, Carlos sentant le plaisir lui gonfler la queue, s'était redressé et activa sa folle masturbation. Puis il agita furieusement sa main le long de son membre courtaud, en prenant soin de présenter son gland mafflu devant la vitre de la portière par laquelle la femme le regardait.
Tout en continuant de pomper vaillamment la verge dressée de son amant, Elodie ne pouvait détacher son regard du spectacle qui se passait à l'extérieur de sa voiture. Elle fixa avec attention l'énorme bourgeon de chair violacé, qui à quelques centimètres d’elle, semblait la narguer. Une pensée salace lui traversa soudain l’esprit, que pouvait-on ressentir à branler deux membres en même temps ?
Qu’éprouverait-elle à être prise par deux hommes en même temps ? Un long frisson la parcourut toute en s’imaginant, là, à genoux, offrant sa croupe à cet inconnu pour qu’il la prenne en levrette, alors qu’elle pomperait son jeune amant.
La scène imaginée la troubla tellement qu’elle sentit sa vulve se liquéfier subitement. Soudain, du gland congestionné, elle vit jaillir un premier jet blanchâtre qui vint s'écraser contre la vitre de la portière. Un second, aussi copieux que le premier, suivit et puis d’autres encore, de moins en moins importants. Une véritable salve d'artillerie, qui mitrailla la portière et forma un écran blanchâtre sur la vitre.
Extrêmement bouleversée par cette éjaculation et par tout ce sperme qui maculait sa voiture, Elodie accéléra sa succion, avalant la queue palpitante d’Hervé dans sa bouche dégoulinante de bave.
Ce fut alors bref et rapide. Sans que rien ne le laisse présager, la queue qu'elle malaxait entre ses lèvres explosa, lui emplissant si copieusement le fond du palais qu'elle s'empressa d'avaler ce liquide chaud et salé.
Longtemps, elle pompa son jeune amant afin de le vider complètement, ne relâchant le membre que lorsqu'elle sentit ce dernier se ramollir dans sa bouche.
Alors, les lèvres luisantes sur lesquelles quelques gouttes de sperme restaient accrochées, elle se redressa pour jeter un coup d’œil à l'extérieur de la voiture. Tout était désert, leur voyeur avait disparu.
« Le salaud ! Rouspéta-t-elle en rangeant ses seins dans leurs balconnets respectifs, il aurait pu décharger ailleurs ! Il va falloir que j'essuie ça avant de rentrer. »
La montre du tableau de bord indiquait 18 heures. Les deux amants remirent vivement de l'ordre dans leurs vêtements et Elodie quitta rapidement le chantier maintenant désert.
A quelques mètres des habitations, elle laissa descendre Hervé sur un dernier baiser, et pendant que l'adolescent s'éloignait, elle descendit de voiture un chiffon afin d'essuyer les traces blanchâtres qui souillaient la vitre de la portière. Elle éprouvait un certain malaise à contempler tout ce sperme inutilement répandu. Prise d’une envie subite, elle tendit un doigt en direction du liquide crémeux que le gardien avait si généreusement lâché, pour en recueillir quelques gouttes.
Avec un petit frisson de perversité elle porta son majeur brillant de sperme à sa bouche pour le sucer avec curiosité, éprouvant un étrange plaisir à sentir sur sa langue le goût âcre du sperme.
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Elle devrait prendre rendez vous sur le chantier pour le gouter vraiment non !