Les Mémoires très Libertines de Sophie
Lydie, baisée par deux inconnus
« Je m'appelle Lydie et je suis mariée à un homme pas comme les autres !
En effet, mon mari est un gros pervers qui prend son pied à me voir en compagnie d'autres hommes que lui !
Il aime me voir soumise aux désirs de ces hommes. Il veut que je me retrouve à quatre pattes en train de sucer une bite tout en me faisant baiser par un autre type. Il faut quee j'écarte mes cuisses pour laisser une bite inconnue me pénétrer et me baiser à souhait, que je tende mes petites fesses pour qu'une queue bien raide vienne se nicher dans mes fesses et m'offrir ainsi une bonne sodomie bien profonde...
Bref, mon mari aime me mater en train de baiser, de sucer, de branler...
Mais de préférence avec au moins deux hommes !
Alors depuis le temps que je suis mariée à ce gros pervers, je suis devenue exactement la femme de ses rêves !
J'ai appris à devenir très salope et à aimer me faire baiser devant mon mari par des inconnus.
Ce soir-là, mes deux beaux inconnus, choisis par mon gros cochon de mari, n'ont pas perdu de temps. A peine arrivés chez nous, ils m’ont très vite retirer mes vêtements et notamment ma petite culotte, obstacle incontournable à une bonne baise profonde.
Je commençais déjà à mouiller en sentant les mains de ces hommes glisser sur mon corps nu. Des frissons de plaisir m'envahissaient lorsque ces mains masculines passaient sur mes seins. Leur la pointe se dressait comme pour appeler un petit pincement sur mes tétons tout gonflés.
Ma petite chatte s'humidifiait très rapidement lorsque l'un de deux hommes a fait pénétrer ses gros doigts pour bien fouiller mon antre d'amour.
Mon clito se dressait fièrement, et j'écartais très largement mes cuisses pour que ces hommes me caressent mon petit bouton du plaisir...
Hummm.... nous voila maintenant dans le vif du sujet :
LA BONNE BAISE BIEN PROFONDE !
Je me suis mise à quatre pattes sur le canapé en cuir, et j'ai tendu fièrement mes jolies petites fesses à l'inconnu du soir. Il s'est empressé de bien me les écarter et de m'enfouir violemment sa grosse bite déjà toute raide !
Sans aucuns préliminaires, il m’a enculée à sec. Malgré la brève douleur ressentie, j’étais aux anges lorsque cet homme me limait profondément ! Je sentais ses mains s'accrocher à mes hanches et il m'enfonçait sans aucune tendresse son énorme pieu au plus profond de mes entrailles.
Je jouissais déjà et dans un sursaut de plaisir intense, je m'emparais de l'énorme bite de son copain et je me mis à la sucer avec rage et passion !
Je sentais vibrer cette grosse queue dans ma bouche alors que l'autre me baiser bien profond… Je vibre d’autant plus lorsque je sais que mon mari nous filme, et se branle, bien caché dans la pièce d’à coté.
Totalement cernée par tout ce plaisir, j'obtenais orgasme sur orgasme.... je savais que mon gros pervers de mari ne perdait pas une seule miette de sa salope de femme en train de se faire ramoner le cul par un mec, tout en taillant une bonne pipe à son pote ! Et cette situation me plaisait à outrance !
J'étais folle d'excitation, le plaisir me gagnait totalement. Je me délectais comme une folle de cette énorme bite vibrante dans ma bouche très gourmande. Je suçais, je léchais, j'aspirais son énorme gland, je lui branlais bien son manche... J'étais sa petite pute du moment qui lui taillait une pipe de rêve !
Pendant ce temps, son copain continuait de s'activer en moi : il me baisait très fort et il m'emmanchait de solides coups de reins qui me défonçait totalement mon intimité...
Je savais que mon pervers de mari prenait son pied en matant sa femme jouir entre ses deux belles et grosses queues !!! J’en jouissais de plus en plus fort.
Bien calé dans le fauteuil, l'un des deux hommes me levait les jambes pendant que son copain avait glissé sa bite dans ma chatte totalement détrempée de plaisir.
J'étais leur bonne petite salope de l'après midi et ils me baisaient sans tendresse : juste du sexe et rein que du sexe ! De la baise et rien de plus !
J'adore ça !!!
Comme je l'ai dis précédemment, mon gros cochon de mari m'a totalement pervertie et depuis, je suis sa bonne petite salope qui se soumet à tous ces caprices !
Pour l'heure, j'étais parfaitement bien baisée ! Je me sentais chienne, je sentais ces deux inconnus prendre leur pied à me baiser devant mon mari excité à mort.
Ils me labouraient bien mes chairs... Putain, quel pied !
Décidément ces deux salauds aiment mon cul ! Me revoici de nouveau à quatre pattes avec les fesses en l’air, en train de me faire baiser très intensément par cette grosse bite sans tendresse. Pourtant, elle me procure de nouveau orgasme sur orgasme... Je n’en peux plus de jouir.
De mon côté, je m'active sur la bite de son copain que je suce avec envie. Je veux qu'il m'envoie son sperme dans la bouche, je veux qu'il explose sa jouissance sur ma figure afin que mon mari voit bien le sperme jaillir de cette queue qui a baisé sa femme, que sa chienne de femme a sucé, a branlé... Je sais qu’il viendra me nettoyer de sa bonne langue avide.
Je veux que mon mari voit tout ces flots de foutres chauds s'abattre sur tout le corps brulant de plaisir de sa bonne salope de femme !
Humm… Je prends encore mon pied lorsque je sens les premières goûtes de sperme sortir du gland de cet homme que je suce avec une passion ravageuse....
Plus sa bite vibre sous les spasmes des premiers jets, et plus je m'évertue à lui sucer sa bite comme une vraie grosse salope...
J’en ai encore plein le visage, que mon mari sort comme un diable de sa boite, et vient me lécher le visage. Il a la bite du mec juste sous le nez. N’y tenant pas, je lui lance « Suce ! Je t’ai fait plaisir, fais-moi plaisir ! »
L’inconnu a un mouvement de recul, mais trop tard. Mon mari a happé le gros gland d’où sort encore du sperme chaud. Il finit par se laisser faire. Il faut dire que mon mari est très doué pour pomper les mecs.
Celui qui me ramone le cul explose aussi dans mes entrailles. Alors, mon homme lâche la bite du premier, pour se jeter sur celle de l’autre. Il la nettoie comme il faut, avant de se goinfrer du sperme qui dégouline dans ma chatte.
Les deux inconnus s’en vont, pour nous laisser baiser comme des fous le reste de la nuit… »
La confession de Julie
« Quoi ? Tu l'as fait avec… ? Naaaaannn ???
- Siiiiiiiiii !!! Hihihi !
- Attends Julie, j'peux pas croire que t'aies fait ça !
- Oh, eh, Charlotte, me dis pas que t'y as jamais pensé…
- Mais bien sûr que non ! Enfin… bon, O.K., ça m'a peut-être déjà traversé l'esprit… mais de là à le faire… franchement, moi j'aurais jamais osé !
- Ben tu sais, c'est une question de circonstances, hein… J'étais toute seule au domaine avec lui et j'me faisais trop chier, tu vois… Du coup je m'étais installée pour une séance de bronzing sur la pelouse et je sais pas trop pourquoi, je me suis aperçue que j'arrêtais pas de le mater, en fait. Et en matant plus précisément à un certain endroit, j'ai vu qu'il était en érection. Tu sais, ça se voit, quand ils bandent…
- Carrément !
- Je commençais à me sentir toute chaude, tu vois… à imaginer des trucs… J'essayais de penser à autre chose, mais c'était même pas la peine. Je me suis caressée un peu, la main dans le string… mais je savais que ça me suffirait pas : il fallait que je me le fasse. Alors je me suis levée, je me suis approchée de lui et je lui ai mis la main au paquet.
- Comme ça ? direct ?
- Direct ! et j'ai commencé à le caresser.
- Et il s'est laissé faire ?
- Ben au début il a commencé à reculer, mais je ne l’ai pas laissé partir. Je lui ai dit des choses gentilles, pour le rassurer et puis… ce que je lui faisais devait lui plaire, je pense.
Son engin gonflait de plus en plus, ça devenait vraiment énorme ! Je lui ai caressé un peu les couilles aussi… elles étaient balaises, toutes chaudes et toutes gonflées, tu sentais que ça bouillait là-dedans. Et moi aussi, je bouillais… J'ai commencé à lui lécher les couilles, et puis je remontais le long de sa queue, en prenant bien mon temps, jusqu'à arriver au gland.
Il était super tendu, il bandait vraiment à mort ! Je ne me contrôlais plus du tout, tu sais, j'étais trop trop excitée. Je me suis mise à le sucer, j'étais obligée d'ouvrir bien grand la bouche et je ne pouvais pas tout faire rentrer. Je le suçais de plus en plus vite, tout en continuant à caresser sa queue, tu vois, comme ça, là, de plus en plus fort… Je devenais complètement folle d'excitation, je mouillais comme une truie, je te jure, mon string était complètement trempé !
- Et t'es allée jusqu'à le faire gicler ?
- Ben oui, tiens !
- Et t'as pris son sperme dans ta bouche ?
- Pas tout à fait… Il s'est reculé juste un peu et du coup, je me suis tout pris sur le visage et sur les seins. Mais c'était la douche, hein, la lance à incendie haute pression. Sans déconner, il m'a carrément recouverte de son jus ! Heureusement que je portais juste mon string, sinon, je te raconte pas la galère pour nettoyer ça !
- T'en n'as pas avalé, alors…
- Ben si… J'ai quand même goûté, hein, tant qu'à faire…
- Et alors, ça a quel goût ?
- Oh je ne saurais pas trop te dire… un peu salé, sans doute, c'est spécial… Mais t'as qu'à essayer, Charlotte, si veux savoir… Tu pourrais bien aimer ça, toi aussi.
- Je ne sais pas, mais en tout cas, rien que de t'entendre me le raconter… ça me fait quelque chose. Tiens, je crois que t'as réussi à me faire mouiller ma culotte. Nan mais tu te rends compte Julie ? T’es trop une folle de la bite, toi ! … quand même… faire ça avec un cheval !!… »
John Priape
Un après-midi au parloir
Cela fait un an que Marylou, jeune et jolie fille de vingt-deux ans, se rend au parloir de la prison, pour s'entretenir avec son copain Sony, qui a pris cinq ans ferme. Le couple est séparé par une cloison de verre, et communique par un hublot. Il est évident que Sony est sevré en ce moment, en manque de sexe.
Aussi, n'hésite-t-il pas à demander à se compagne, de s'habiller sexy, pour l'émoustiller un peu. Il n'est pas rare qu'à la fin de l'entretien, Sony est la main dans son jogging, en train de se masturber.
Marylou aussi est en manque de relations sexuelles. D'ailleurs, elle s'est procuré une paire de godes, bien calibrés, et autres objets qui donnent du plaisir, achetés dans un magasin spécialisé à Nantes, lors d'une visite chez sa grand mère.
Aujourd'hui, Marylou décide de frapper un grand coup. Elle se présente au parloir dans une tenue vestimentaire à faire bander un mort. Mini jupe, chemisier largement ouvert, escarpin de huit centimètres. Même le gardien ne la quitte pas des yeux.
« Alors mon chérie, dit-elle langoureusement, ça va ?... »
Sony parcourt des yeux le corps de la superbe créature qui est devant lui, comme s'il la voyait pour la première fois.
« Heu... bof, comme quelqu'un qui est au trou », bégaie-t-il.
Marylou est venue dans l'intention de faire plaisir à son copain. Elle joue de ses charmes, emploie des termes coquins. Tout pour faire monter Sony en température.
« Ouvre ton chemisier, demande-t-il, s'il te plait. »
Marylou hésite, car les gardiens ne sont pas loin. Et ils interdisent de faire cela. Pourtant, elle déboutonne le vêtement, et libère une poitrine à damner un saint. Sony commence à s'agiter sur sa chaise.
« Ecarte tes jambes, poursuit le détenu, je veux voir, je t'en prie... »
La jeune femme sait que, même virtuellement, elle tient son copain par les couilles, qu'il ne pourra pas résister. Elle ouvre largement ses cuisses, et, surprise. Elle n'a pas de culotte.
« C'est ma petite fente que tu veux voir mon amour, sourit-elle. Regarde ma chatte, elle n'attend que toi pour la caresser. »
Sur sa chaise, Sony s'agite de plus en plus, demande à Marylou de se reculer pour qu'il puisse mieux voir. Il regarde autour de lui, et baisse même son jogging, libérant une bite en pleine érection.
Marylou, provocatrice, excite son copain, le fait monter en ébullition.
« Oh, le pauvre chéri, il va être obligé de se soulager à la main, alors que je pourrai lui tailler une pipe. T'as pas un copain de cellule qui pourrait te faire ça ? A moins que ce soit toi qui t'y colles, c'est bon tu sais, et un peu de sperme n'a jamais empoisonné personne. »
Sony commence à baver, frappe du poing sur la vitre sécurisée qui les sépare.
« Sale pute... Jamais je ne sucerai un mec !!! »
Deux gardiens se précipitent, et le prennent chacun par un bras pour le maitriser.
De l'autre côté de la vitre, un gardien, d'une cinquantaine d'année, a maté toute la scène de loin, excité parce qu’il voyait…
Il s'approche de Marylou en lançant un sourire ironique à Sony, toujours aussi furieux.
Le maton n'y va pas par quatre chemins, il ôte le chemisier et la jupe de Marylou. Celle-ci se laisse faire, autant par peur que par défi. Elle se retrouve entièrement nue, dressée sur ses escarpins. Les mains du gardien caressent l'opulente poitrine de la jeune femme, descendent jusqu'entre les cuisses. Marylou fixe son copain droit dans les yeux, en se passant la langue sur les lèvres.
« Mon bébé, dit-elle, regarde ce qu'il me fait ce vilain... ça faisait si longtemps qu’un vrai mec ne m’a pas touchée... »
En face, les autres gardiens ont du mal à contenir Sony, qui a deviné le complot. Il est furieux en voyant les doigts boudinés pénétrer dans la chatte débordante de mouille de sa copine, pendant qu'un autre doigt lime le clitoris sorti de sa capuche.
« Mais c'est que la petite est en manque, dit le gardien. Un petit coup de queue serait le bienvenu, je me trompe? Devant ton copain, ça te gène pas ?
- Non, non...continuez... Doigtez-moi... Branlez-moi... Oh oui...comme ça !!!
- Je ne pourrai pas m'en sortir tout seul, tu es trop gourmande, poursuit le maton, tu veux que j'appelle des copains ?
- Arrêtez, hurle Sony, laissez la partir, s'il vous plait.
- Oh non mon chéri, souffle Marylou, j'ai trop envie de me le faire mettre... Ok, appelez vos copains... Qu'ils me niquent... qu'ils m'enculent... J'espère qu'ils sont bien montés... »
Sony assiste impuissant, toujours maintenu par ses geôliers, à la prise de sa copine par les matons de la prison. C'est le premier gardien qui à droit aux faveurs de la petite. Assis sur une chaise, il la force à s'empaler sur sa bite décalotté. Marylou entame alors une folle chevauchée sur le pieu ainsi proposé. Le deuxième arrivé est debout à côté d'elle, pantalon aux chevilles, et se fait tailler une pipe, le troisième voit ses couilles rouler dans les doigts de la jeune femme. En lui faisant faire un demi-tour, pour que Sony assiste au siège du corps de sa copine, la bite du gardien s'échappe de la chatte baveuse. Un maton se dévoue pour la remettre en place, caressant au passage les couilles de son collègue.
« Chéri, gémit-elle, quelle bande de cochons...pardonne moi mon amour...c'est trop bon !! »
D'autres gardiens vont se joindre à la partouze. Si les gardiens plus âgés ont de l'expérience, les plus jeunes ne sont pas en reste. Un nouveau venu s'allonge sur le dos à même le sol, et oblige à Marylou à s'embrocher sur son énorme bite, en la plaquant sur son torse. Un deuxième maton s'accroupit derrière elle, lubrifie le petit trou, et le pénètre doucement.
Sony assiste impuissant à la double pénétration de sa compagne. Il entend les couilles des matons frapper contre ses fesses, il devine les jets de sperme gicler dans ses entrailles. Petit à petit, il voit son faciès se déformer sous le joug de ses amants, le maquillage dégouliner sur son visage.
Les gardiens décident de porter l'estocade. L'un d'eux la pousse contre la cloison de verre, l'enserre de ses bras. Une main caresse les seins, deux doigts de l'autre pénètrent profondément la chatte. Marylou écarte ses jambes, glousse de plaisir. Si ce n'était la cloison, Sony pourrai la toucher, caresser ce corps qui lui manque. Hélas, ce sont les autres qui jouent avec.
« Oh oui... gratte moi... bien au fond, » murmure Marylou.
Le maton regarde Sony d'un air ironique, vicieux.
« Regarde ta pute comme elle se régale, sourit le gardien, et attend, c'est pas fini. »
Il montre le majeur et l'index plein de mouille, et fait pivoter la jeune femme d'un demi-tour.
Il écarte les fesses, et enfonce ses doigts dans le petit trou.
« Allez petite, fais voir à ton mec comme tu bouge ton cul. »
En effet, c'est Marylou elle même qui fait des va et vient sur les doigts qui l'enculent.
« Hou...doigte moi le clito aussi, supplie Marylou. Prends-moi de partout ! »
Sony est en rage, se jette contre la paroi de verre, mais est vite maitrisé par les gardes.
« Espèces d'enfoirés, hurle-t-il, vous allez me le payer !!! »
Mais rien n'arrête Marylou qui s'offre un superbe cuni, pendant qu'un autre gardien la sodomise.
Les orgasmes s'enchainent, résonnent dans le parloir.
Les gardiens d'en face ne sont pas vache. Ils finissent de baisser le jogging de Sony, pour libérer sa bite raide comme un gourdin. Ils lui ont même libéré un bras pour qu’il puisse se faire une petite gâterie. Sony, même s'il est en colère, à quand même de fortes pulsions sexuelles. Il se palpe les couilles, puis saisit son pieu tendu, qu'il se met à branler.
Autour de lui, les autres gardiens en font autant. Ce n’est pas tous les jours qu’on assiste à un tel spectacle en direct !
La jeune femme les regarde, et son excitation est décuplée. Elle s’enfonce elle-même encore plus profond le pieu qui la sodomise sauvagement. Elle attrape un petit jeune, se penche et le pompe comme si sa vie en dépendait. Il ne tarde pas à décharger dans la bouche gourmande.
Marylou se retourne juste au moment où son copain éjacule contre la paroi de verre.
« Ah, ah ah... Bande de salauds, je crache ! Ah ah, ah,, je me vide les ouilles !!!
- Oh mon chéri, tu vois que ça t'excite de me voir me faire baiser, vois comme il m'encule celui là. Et regarde... »
Marylou ouvre sa bouche pour montrer à son copain sa langue chargée de sperme.
« J'avais tellement envie, et puis, ils ont été si gentils avec moi, je leur devais bien ça. Tu ne seras même pas puni ! Bon, j'y vais mon chéri, y a un gardien qui m'a proposé d'aller au bâtiment des femmes, prendre une douche avec les prisonnières. Il parait qu'elles sont très vicieuses, mais t'inquiète pas, ça va bien se passer. Je te raconterai…. »
Sonny se laisse tomber, assommé par sa jouissance et ce qu’il vient de voir. C’est alors qu’un gardien lui dit :
« Si tu nous suces, on te laissera la baiser la semaine prochaine… »
Cela fait un an que Marylou, jeune et jolie fille de vingt-deux ans, se rend au parloir de la prison, pour s'entretenir avec son copain Sony, qui a pris cinq ans ferme. Le couple est séparé par une cloison de verre, et communique par un hublot. Il est évident que Sony est sevré en ce moment, en manque de sexe.
Aussi, n'hésite-t-il pas à demander à se compagne, de s'habiller sexy, pour l'émoustiller un peu. Il n'est pas rare qu'à la fin de l'entretien, Sony est la main dans son jogging, en train de se masturber.
Marylou aussi est en manque de relations sexuelles. D'ailleurs, elle s'est procuré une paire de godes, bien calibrés, et autres objets qui donnent du plaisir, achetés dans un magasin spécialisé à Nantes, lors d'une visite chez sa grand mère.
Aujourd'hui, Marylou décide de frapper un grand coup. Elle se présente au parloir dans une tenue vestimentaire à faire bander un mort. Mini jupe, chemisier largement ouvert, escarpin de huit centimètres. Même le gardien ne la quitte pas des yeux.
« Alors mon chérie, dit-elle langoureusement, ça va ?... »
Sony parcourt des yeux le corps de la superbe créature qui est devant lui, comme s'il la voyait pour la première fois.
« Heu... bof, comme quelqu'un qui est au trou », bégaie-t-il.
Marylou est venue dans l'intention de faire plaisir à son copain. Elle joue de ses charmes, emploie des termes coquins. Tout pour faire monter Sony en température.
« Ouvre ton chemisier, demande-t-il, s'il te plait. »
Marylou hésite, car les gardiens ne sont pas loin. Et ils interdisent de faire cela. Pourtant, elle déboutonne le vêtement, et libère une poitrine à damner un saint. Sony commence à s'agiter sur sa chaise.
« Ecarte tes jambes, poursuit le détenu, je veux voir, je t'en prie... »
La jeune femme sait que, même virtuellement, elle tient son copain par les couilles, qu'il ne pourra pas résister. Elle ouvre largement ses cuisses, et, surprise. Elle n'a pas de culotte.
« C'est ma petite fente que tu veux voir mon amour, sourit-elle. Regarde ma chatte, elle n'attend que toi pour la caresser. »
Sur sa chaise, Sony s'agite de plus en plus, demande à Marylou de se reculer pour qu'il puisse mieux voir. Il regarde autour de lui, et baisse même son jogging, libérant une bite en pleine érection.
Marylou, provocatrice, excite son copain, le fait monter en ébullition.
« Oh, le pauvre chéri, il va être obligé de se soulager à la main, alors que je pourrai lui tailler une pipe. T'as pas un copain de cellule qui pourrait te faire ça ? A moins que ce soit toi qui t'y colles, c'est bon tu sais, et un peu de sperme n'a jamais empoisonné personne. »
Sony commence à baver, frappe du poing sur la vitre sécurisée qui les sépare.
« Sale pute... Jamais je ne sucerai un mec !!! »
Deux gardiens se précipitent, et le prennent chacun par un bras pour le maitriser.
De l'autre côté de la vitre, un gardien, d'une cinquantaine d'année, a maté toute la scène de loin, excité parce qu’il voyait…
Il s'approche de Marylou en lançant un sourire ironique à Sony, toujours aussi furieux.
Le maton n'y va pas par quatre chemins, il ôte le chemisier et la jupe de Marylou. Celle-ci se laisse faire, autant par peur que par défi. Elle se retrouve entièrement nue, dressée sur ses escarpins. Les mains du gardien caressent l'opulente poitrine de la jeune femme, descendent jusqu'entre les cuisses. Marylou fixe son copain droit dans les yeux, en se passant la langue sur les lèvres.
« Mon bébé, dit-elle, regarde ce qu'il me fait ce vilain... ça faisait si longtemps qu’un vrai mec ne m’a pas touchée... »
En face, les autres gardiens ont du mal à contenir Sony, qui a deviné le complot. Il est furieux en voyant les doigts boudinés pénétrer dans la chatte débordante de mouille de sa copine, pendant qu'un autre doigt lime le clitoris sorti de sa capuche.
« Mais c'est que la petite est en manque, dit le gardien. Un petit coup de queue serait le bienvenu, je me trompe? Devant ton copain, ça te gène pas ?
- Non, non...continuez... Doigtez-moi... Branlez-moi... Oh oui...comme ça !!!
- Je ne pourrai pas m'en sortir tout seul, tu es trop gourmande, poursuit le maton, tu veux que j'appelle des copains ?
- Arrêtez, hurle Sony, laissez la partir, s'il vous plait.
- Oh non mon chéri, souffle Marylou, j'ai trop envie de me le faire mettre... Ok, appelez vos copains... Qu'ils me niquent... qu'ils m'enculent... J'espère qu'ils sont bien montés... »
Sony assiste impuissant, toujours maintenu par ses geôliers, à la prise de sa copine par les matons de la prison. C'est le premier gardien qui à droit aux faveurs de la petite. Assis sur une chaise, il la force à s'empaler sur sa bite décalotté. Marylou entame alors une folle chevauchée sur le pieu ainsi proposé. Le deuxième arrivé est debout à côté d'elle, pantalon aux chevilles, et se fait tailler une pipe, le troisième voit ses couilles rouler dans les doigts de la jeune femme. En lui faisant faire un demi-tour, pour que Sony assiste au siège du corps de sa copine, la bite du gardien s'échappe de la chatte baveuse. Un maton se dévoue pour la remettre en place, caressant au passage les couilles de son collègue.
« Chéri, gémit-elle, quelle bande de cochons...pardonne moi mon amour...c'est trop bon !! »
D'autres gardiens vont se joindre à la partouze. Si les gardiens plus âgés ont de l'expérience, les plus jeunes ne sont pas en reste. Un nouveau venu s'allonge sur le dos à même le sol, et oblige à Marylou à s'embrocher sur son énorme bite, en la plaquant sur son torse. Un deuxième maton s'accroupit derrière elle, lubrifie le petit trou, et le pénètre doucement.
Sony assiste impuissant à la double pénétration de sa compagne. Il entend les couilles des matons frapper contre ses fesses, il devine les jets de sperme gicler dans ses entrailles. Petit à petit, il voit son faciès se déformer sous le joug de ses amants, le maquillage dégouliner sur son visage.
Les gardiens décident de porter l'estocade. L'un d'eux la pousse contre la cloison de verre, l'enserre de ses bras. Une main caresse les seins, deux doigts de l'autre pénètrent profondément la chatte. Marylou écarte ses jambes, glousse de plaisir. Si ce n'était la cloison, Sony pourrai la toucher, caresser ce corps qui lui manque. Hélas, ce sont les autres qui jouent avec.
« Oh oui... gratte moi... bien au fond, » murmure Marylou.
Le maton regarde Sony d'un air ironique, vicieux.
« Regarde ta pute comme elle se régale, sourit le gardien, et attend, c'est pas fini. »
Il montre le majeur et l'index plein de mouille, et fait pivoter la jeune femme d'un demi-tour.
Il écarte les fesses, et enfonce ses doigts dans le petit trou.
« Allez petite, fais voir à ton mec comme tu bouge ton cul. »
En effet, c'est Marylou elle même qui fait des va et vient sur les doigts qui l'enculent.
« Hou...doigte moi le clito aussi, supplie Marylou. Prends-moi de partout ! »
Sony est en rage, se jette contre la paroi de verre, mais est vite maitrisé par les gardes.
« Espèces d'enfoirés, hurle-t-il, vous allez me le payer !!! »
Mais rien n'arrête Marylou qui s'offre un superbe cuni, pendant qu'un autre gardien la sodomise.
Les orgasmes s'enchainent, résonnent dans le parloir.
Les gardiens d'en face ne sont pas vache. Ils finissent de baisser le jogging de Sony, pour libérer sa bite raide comme un gourdin. Ils lui ont même libéré un bras pour qu’il puisse se faire une petite gâterie. Sony, même s'il est en colère, à quand même de fortes pulsions sexuelles. Il se palpe les couilles, puis saisit son pieu tendu, qu'il se met à branler.
Autour de lui, les autres gardiens en font autant. Ce n’est pas tous les jours qu’on assiste à un tel spectacle en direct !
La jeune femme les regarde, et son excitation est décuplée. Elle s’enfonce elle-même encore plus profond le pieu qui la sodomise sauvagement. Elle attrape un petit jeune, se penche et le pompe comme si sa vie en dépendait. Il ne tarde pas à décharger dans la bouche gourmande.
Marylou se retourne juste au moment où son copain éjacule contre la paroi de verre.
« Ah, ah ah... Bande de salauds, je crache ! Ah ah, ah,, je me vide les ouilles !!!
- Oh mon chéri, tu vois que ça t'excite de me voir me faire baiser, vois comme il m'encule celui là. Et regarde... »
Marylou ouvre sa bouche pour montrer à son copain sa langue chargée de sperme.
« J'avais tellement envie, et puis, ils ont été si gentils avec moi, je leur devais bien ça. Tu ne seras même pas puni ! Bon, j'y vais mon chéri, y a un gardien qui m'a proposé d'aller au bâtiment des femmes, prendre une douche avec les prisonnières. Il parait qu'elles sont très vicieuses, mais t'inquiète pas, ça va bien se passer. Je te raconterai…. »
Sonny se laisse tomber, assommé par sa jouissance et ce qu’il vient de voir. C’est alors qu’un gardien lui dit :
« Si tu nous suces, on te laissera la baiser la semaine prochaine… »
- Commentaires textes : Écrire
La petite salope de la fac (gay)
Je suis à la Fac et j'ai une piaule dans une cité universitaire à Rabat (Maroc). Au début de l'année, j'ai eu la visite d'un voisin super gentil, très amusant qui frappe et me demande si je peux lui prêter un peu de shampooing qu'il a oublié d'acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon demandé.
Une demi-heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir, et j'étais en slip sur mon lit, révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper, et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les polycopies du jour.
« Ouah ! me dit-il, tu es un vaillant, toi ! »
Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court, mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire, mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection.
Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
« Tu as vu dans quel état tu m'as mis ? » me dit-il.
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
« Tu me fais le même effet ! »
Et en étendant les jambes, je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland, et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat... Puis j'ouvris grand la bouche, et happai d'abord son gland entre mes lèvres, et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche.
Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante, et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer... J'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche, et le retenai par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais, que je bus aussitôt avec délice, jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale, et il se dégagea pour remonter son short.
« Toi, tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu. »
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus, mais je restais sur ma faim, car je bandais toujours...
Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir, lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit : « Tant pis, je repasserais… »
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service, et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement.
Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter, et je commençais à le sucer délicieusement.
Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement, quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit : « Je voudrais te parler. »
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir il dégrafa son jeans et sortit son sexe d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça, mais j'admirais...
Je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit : "tu suces bien petit blanc"
J'étais devenu la petite pute de ce trio où venait s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et à peine entrés, ils me soumettaient leur zob que je faisais jouir avec délice.
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Chienne Célina
Bonjour je suis Céline, femme de presque cinquante ans et maman de deux belles et grandes jeunes filles, Aurore et Emilie.
Voici mon histoire, qui est devenue notre histoire à nous trois.
Ce récit est une suite de mails envoyés à mon maître rencontré sur le net...
Le 21 mars :
« Bonjour, merci pour ton dernier message, mais excuse moi, j’avais l’impression que tu avais des questions à me poser lors de l’avant-dernier message. J’ai dû me tromper !!
J’espère que mes mails te plaisent car ils ne sont que la réalité de ma passion et désormais je devrais dire de nos passions……puisqu’Aurore participe depuis quelques jours maintenant.
Oui en effet notre chien arrive encore à nous combler toutes les deux, mais tu sais pour ma fille ce ne sont que des débuts, mais j’avais bien découvert en l’observant qu’elle était prête à franchir le cap, à tenter l’expérience.
Elle est très motivée et très active dans cette découverte, ce n’est pas facile de se donner comme cela surtout à un animal, la démarche est toute aussi physique qu’intellectuelle.
Elle est pleine de vie, c’est une joie de la guider sur ces chemins de plaisirs et de jouissance…
Ma deuxième fille, Emilie, est plus timide et beaucoup plus réservée dans la vie de tous les jours. Je ne sais pas si elle m’a déjà vue ou entendue me faire prendre. J’en ai discuté avec sa sœur qui ne sait pas non plus, que faire, je ne sais pas trop !!
C’est plus délicat qu’avec l’aînée.
Je pense qu’avec le temps et avec deux femmes sur trois qui pratiquent, elle viendra elle-même à la zoo.
Le plus dur désormais c’est de cacher cela aux autres…
Bises Céline »
Le 25 mars :
« Bonjour maître, Je reprends mon message là où hier je l’ai interrompu, dans la journée je suis allée acheter un bustier en dentelle noire et à lacets (le dernier Aubade !!) pour Aurore. En rentrant je l’ai posé sur son lit afin de lui faire la surprise.
Je suis passée ensuite dans ma salle de bain afin de me préparer, je me suis mise nue et j’ai pris un bain, puis je me suis épilée complètement du sexe à l’anus. Plus un poil rien, lisse comme une jeune adolescente… !
Drôle de sensation...
Aurore est rentrée en fin de journée avec l’achat demandé, le collier et la laisse. Elle a choisi un collier en cuir large, noir et avec quelques rivets. La laisse est une laisse assez courte en métal avec une poignée en cuir noir.
J’étais curieuse et excitée de voir cet achat, je pense avec du recul que j’aurais pris la même chose.
Emilie, encore en vacances, était absente pour la journée et la nuit.
Après le repas du soir, Aurore est montée prendre un bain et se relaxer dans sa chambre. Je suis montée dans la mienne et me suis mise nue, j’ai placé le collier autour de mon cou, puis accroché la laisse et ensuite j’ai fait monter le chien…
Nous sommes allées dans la chambre d’Aurore et je suis rentrée quand elle était nue devant la glace en train d’essayer le bustier.
Elle m’a regardée, puis m’a fait un grand sourire, je me suis mise en quatre pattes, la laisse pendait devant moi. Elle est venue et a de suite compris ce qu’il fallait faire...
Elle m’a fait rentrer un peu plus dans sa pièce, le chien me suivait sans comprendre et commençait déjà à me renifler l’entrejambe.
Aurore ne disait rien et me faisait marcher de long en large dans sa chambre.
(Aurore est une très jolie jeune femme, brune 1m68 pour cinquante-deux kilos, un tour de poitrine de 90 bonnet D et ne possédant sur le pubis qu’une toute petite touffe de poils, de belles lèvres roses et à peines ouvertes.)
Elle m’arrêta devant le chien, comme tu le désirais, je me suis mis à le masturber puis je l’ai pris en bouche complètement, une longue et lente fellation sur toute la longueur du membre. Il bandait dur et mon sexe dégoulinait de plaisir, il était bien dur, je demandais alors à Aurore de se placer en levrette, le chien s’est placé sur son dos, j’ai pris le membre à pleine main et de l’autre j’ai ouvert le sexe rose et frais…
Le membre s’est enfoncé brutalement dans les chairs lui faisant pousser un cri de jouissance. Il l’a pistonnée un bon moment puis je l’ai vu de raidir et jouir en elle. Après quelques minutes, il s’est retiré et est allé se coucher dans un coin. Aurore, extenuée, était toujours en levrette sur le sol, le sexe dégoulinant légèrement de la jouissance du chien. Je me suis penchée et j’ai pris dans la bouche le sperme puis j’ai, comme voulu, embrassé à pleine bouche les lèvres et la bouche d’Aurore, mélangeant ainsi la jouissance du mâle et nos salives……..
Es tu satisfait ?
Qu’aimerais-tu ?
A te lire, bise
Céline. »
Le 31 mars :
« Bonjour maître, Je vais te raconter les derniers événements en matière de sexe et de ma sexualité.
Oui tu as raison je suis assez, voire, très soumise.
Maman l’avais bien compris et c’est pour cela qu’elle m’a initiée au plaisir zoophile.
Mon mari est un homme charmant, mais il n’a jamais bien compris ma sexualité et préfère s’investir dans son travail……..
Je m’accepte comme soumise zoo, et suis très heureuse d’avoir découvert les talents cachés de ma fille Aurore.
Dans ton dernier message, tu m’indiquais une nouvelle idée… Voyons ce que j’en ai fait...
Tout d’abord pour l’extérieur, nous allons devoir attendre un peu, car il fait froid encore dehors…
J’ai longuement discuté un soir avec ma fille, et nous avons beaucoup échangé sur le sexe, elle est ravie du chemin que nous prenons ensemble, et ne semble pas du tout le regretter.
Elle a accepté l’idée de s’épiler complètement comme moi, et l’a fait le soir même, puisqu’elle est venue me le montrer dans ma chambre.
Elle adore le bustier que j’ai offert et le réserve pour nos séances intimes.
La zoophilie, bien que pratique peu courante et plutôt hors normes, la satisfait complètement, et elle a même mis fin à sa relation avec son copain. Elle adore cela et compte bien poursuivre et progresser totalement dans cette sexualité.
J’en suis ravie, comme tu peux bien sûr l’imaginer.
Pour ce qui est donc du collier, j’ai eu une idée pour en faire un de mes fétiches et ainsi montrer à Aurore ma soumission. Je le porte avec un chemisier assez ouvert comme tour de cou, et comble de l’audace la laisse me glisse le long de la colonne vertébrale. Je le porte soit avec un jean moulant et des bottes soit avec un tailleur très chic et des bas….et dessous très hot.
J’ai commandé et reçu, un bustier en latex seins nus avec des lacets afin de bien me serrer la taille.
Hier, je me suis préparée afin de retrouver ma fille.
J’ai pris un bain, massé mon corps avec des huiles essentielles et épilé soigneusement mon sexe afin qu’il soit bien lisse.
J’ai enfilé le bustier et j’ai serré les lacets afin de mette en valeur mes seins qui sont lourds et assez gros. Je me suis regardée dans la glace de ma chambre et me suis trouvée belle et perverse. J’ai accroché le collier et sa laisse, puis j’ai attendu qu’elle arrive, en position assise sur mes talons dans ma chambre.
Elle est venue assez tard, mais je savais qu’elle allait venir !
Elle était accompagnée du chien qui, désormais docile et performant, attendait sagement le moment de rentrer en action.
Elle m’a tiré les cheveux et me traitant de salope, de traînée, de pute à chien, mon sexe dégoulinait... Elle m’a fait mettre allongée sur le dos sur le sol les jambes grandes ouvertes et repliées sur mon torse, et de sa main entière elle a fouillé mon sexe, ma chatte de pute et de soumise.
Elle m’a fait hurler de plaisir et de jouissance, puis elle a sucé le mâle et m’a fait couvrir telle une femelle. Il m’a défoncée littéralement, labourée pendant de longues minutes qui m’ont laissée pantelante et haletante…
Voila notre dernière soirée hot ou hard, elle te plait ? Qu’en penses-tu ? As-tu des idées ?
A te lire…………….Céline
Ps : je suis châtain, 1m60 pour environ cinquante et un kilos, épilée, TP 95 bonnet D...voila…. »
Le 04 mai :
« Bonjour maître,
Il y a bien longtemps que je n’ai donné de mes nouvelles, ni des nouvelles d’Aurore et d’Emilie, mais j’ai eu peur pendant un long moment de la dérive que prenaient nos échanges et de ce que je pouvais vivre avec Aurore...
Je suis toujours soumise, et elle profite de plus en plus de mon corps et de mes orifices… tu vois désormais je dis orifices, car ce ne sont plus que des orifices… !
Comme tu l’avais demandé lors de ton dernier courrier, elle m’a élargi le sexe et l’anus si bien que maintenant elle peut, sans aucune difficultés, me prendre ou me branler avec les plus gros objets possibles ou me rentrer les deux mains en même temps dans mes trous…
J’arrive à me faire prendre par des objets de la taille d’une belle aubergine ou bien encore tout récemment elle m’a pris le sexe avec une bouteille de vin mais par le culot et non par le goulot. Ce n’est pas facile de voir son sexe s’élargir à ce point mais je prends désormais beaucoup de plaisir à m’offrir ainsi...
Je porte en permanence le collier de chien et la laisse, qui pour être plus discrète, pend dans mon dos toute la journée sous mes vêtements, bien sûr je suis aussi désormais et depuis quelque temps maintenant entièrement lisse du con au cul….. Et toujours sans aucun sous-vêtement pour être le plus souvent accessible et disponible….
Aurore est de plus en plus autoritaire et je suis devenue sa chose, sa soumise, sa petite pute comme elle m’appelle maintenant… même devant Emilie !!
Tu voulais que je m’occupe du sexe d’Aurore mais elle a refusé, et se branle sauvagement devant moi avec de gros objets, elle veut suivre ma progression mais je suis inquiète, car elle est jeune et ne doit pas abîmer son sexe ni son anus…..
Elle est toujours autant zoophile et ne fréquente plus de garçons, ne pensant qu’à de nouvelles expériences extrêmes avec des animaux… l’autre soir elle s’est faite prendre par tous les mâles du chenil devant moi, cela a duré presque la nuit entière, et elle a débauché une de ses amies afin de l’aider !!!!
Quand les chiens me prennent je ne ressens plus grand-chose vu mon sexe, mais les grands mâles sont bien montés et me font encore bien jouir et dégouliner telle une bonne chienne que je suis, de toute façon je ne dois pas prendre trop de plaisir, mais juste me contenter de leur vider les couilles, soit avec ma bouche, soit en leur donnant un de mes orifices…
J’ai été prise par un poney, pas facile et l’animal était très tranquille, comme drogué, mais quel morceau ce sexe, Aurore m’a en fait plus branlée avec, qu’une vraie saillie…
Emilie est désormais en main et la grande s’occupe d’elle………….
A te lire, Maître
Ta soumise Céline »
Le 15 mai :
Bonjour c’est Chienne Céline,
J’ai bien trouvé ton dernier message, en effet je suis devenue une soumise zoophile, une bonne salope, une vraie femelle, car j’ai accepté (difficilement au début !!) cette perversion, cette déviance de ma sexualité....
Tu sais ce n’est pas facile tous les jours dans notre société d’être et de cultiver la différence. Personne ne sait (à part bien sûr mes chéries et Clarisse), et personne ne doit jamais savoir ce que je suis devenue, ce que maman a voulu que je sois.. C’est grâce (ou à cause) d’elle que mon tempérament de soumise et cette pratique inavouable (car si encore tabou...hélas !!) est devenue le moteur de ma sexualité et presque le moteur de ma vie de femme.
Je ne pense plus qu’à cela, je ne connais pas un instant de calme et de répit, car je suis toujours excitée à l’idée d’être prise sauvagement... Dans la rue, dès que je croise un chien je m’imagine prise par lui, je flatte du regard (seulement) son flanc et j’essaye de voir si la nature l’a bien monté.... Quel doux enfer, je suis fière d’être une femme libérée et triste de ne pouvoir pas être totalement libre... Mais il est des règles dans notre société que tu ne peux pas franchir, pas encore.
Tu sais, j’aimerais tant pouvoir soulager tous les chiens (de grande taille !!), me donner à eux, leur offrir ma chatte et mon anus pour qu’ils se vident en moi…………j’aimerais tant pouvoir être libre de me faire saillir n’importe où, n’importe quand sans aucunes restrictions. Peut être même être vendue, comme une prostituée, afin de soulager les chiens, voire un gang bang canin….enfin je délire je crois !!!
Pour ma chérie Emilie, je suis d’accord avec toi, je pense en effet aussi, qu’elle va désormais avancer rapidement sur ce nouveau chemin, mais je n’ose pas la pousser, la pervertir encore et encore... Ai-je tort ? Ai-je raison ? Je ne sais pas, je ne sais plus.... !!!
Je pense qu’elle en phase avec elle-même, car personne ne l’a poussée à passer à l’acte. C’est son choix, son désir, sa découverte de cette sexualité. Je ne suis qu’un petit et modeste modèle...
Tu sais, elle est encore jeune et son corps n’a pas l’épanouissement du mien. Moi je peux me permettre désormais de me faire ouvrir, dilater, élargir, car je vais désormais vouer ma vie sexuelle à la zoophilie, mais elle doit faire sa vie de jeune femme...... !!
Aurore est une maîtresse-femme, depuis son plus jeune âge, elle aimait diriger les jeux, commander et son caractère est le reflet de tout cela. C’est une écorchée vive, une rebelle et qui fonctionne toujours pour être en avance sur les idées ou en décalage avec les autres. Elle aime cette vie, cette nouvelle approche de notre vie à toutes les trois, elle est belle et épanouie et se réalise dans nos ébats.
Je ne sais pas si réellement elle a abandonné les relations normales, mais je ne vois plus de copains passer la porte de chez nous... Elle est imaginative et pleine d’idées toujours plus perverses les unes que les autres, elle m’a surpris d’avoir avancé si vite. Sans doute attendait elle que je me révèle au grand jour pour enfin vivre sa vie, cette vie !!!
Je ne sais jamais avec elle de quoi demain sera fait, sera-t-elle toujours cette jeune femme perverse, sans doute non, car elle aussi doit construire sa vie de femme, alors pour l’instant je profite du bon temps quelle m’offre…
Bises
Céline »
Le 26 mai :
Bonjour c'est Chienne Céline,
Je vais te raconter ma soirée de lundi, je suis rentrée du travail assez fatiguée et énervée, alors juste après le repas du soir que j'ai pris seule avec Emilie (Aurore étant absente pour quelques jours), je suis montée dans ma chambre, j'ai pris un bain avec de la mousse, lissé mon sexe, enduit mon corps d'un lait douceur et surtout mes seins (je pense qu'ils sont beaux !!!).
J'ai ensuite revêtu un déshabillé en satin noir, et suis redescendue dans le salon passer un moment avec Emilie. Elle était assise sur le canapé, vêtue d'un long tee-shirt sans rien dessous, tu sais comme quand on aime être à l'aise après la douche... Nous avons partagé un moment de télé niaise, puis elle m'a demandé sans préavis si elle pouvait me poser des questions.
Surprise par cette entrée en matière, j'ai bien sûr dit oui. Elle m'a alors questionnée sur ma maman, sur sa façon de vivre, sur ces idées, sur ses passions. Elle est venue se coller à moi, comme quand elle était plus jeune, puis sans me regarder a continué ses questions. Plus curieuse, elle a alors abordé le sujet du sexe, si je connaissais la vie sexuelle de ma maman, si je savais « des choses », si elle aimait les hommes ou autres ???
J'ai répondu en toute franchise, dans les moindres détails ce que je connaissais, ce que j'avais vu, entendu dans mon enfance et adolescence... sans rien cacher. J'ai donc abordé le sujet de la zoophilie, et pourquoi je suis devenue moi aussi ainsi. Emilie se trémoussait tout au long de mes explications et je sentais et voyais sa poitrine se gonfler et sa respiration devenir saccadée.....excitée la petite !
J'ai continué à expliquer jusqu'au moment où elle m'a dit :
« Aide-moi, guide-moi, j'ai trop envie de réessayer !! »
J'ai compris son désir, je me suis levée, suis allée chercher les chiens, puis de retour dans le salon, j'ai ôté mon déshabillé. Nue j'ai entrepris le premier en regardant Emilie, masturbation, fellation sur toute la longueur du sexe, rose, long, dur, le jugeant ok, j'ai demandé à Emilie de se mettre en levrette sur le tapis, cuisses ouvertes.
Le chien a compris et a grimpé sur son dos, son sexe cherchait l'entrée, j'ai donc aidé à la saillie. Quelle saillie !!! Comme d'habitude, longue et puissante… Elle miaulait, feulait comme la première fois, et pourtant je t'assure qu'il ne la ménageait pas !!
Pendant ce temps, et tout en observant, j'ai entrepris le second, pour le faire durcir, mais de façon lente pour ne pas trop l'exciter. Le premier, après de longues minutes, a joui et sans trop de mal s'est retiré.
Elle semblait éteinte, absente, prise dans sa jouissance, je ne lui ai rien demandé et le second l'a montée comme une femelle, une jeune chienne... Je me suis branlée devant cette scène, cette seconde saillie......c'était beau…
Chienne Céline.
A suivre...
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J'adore ces histoires d'hommes qui ne font pas de gachis, qui dégustent le sperme tout chaud.