Les Mémoires très Libertines de Sophie
Les Saintes-Marie-de-la-Mer
C'est à huit heures du matin, en ce vendredi de juillet, que j'ai rendez-vous aux Saintes Maries de la Mer, pour le traditionnel marquage des taureaux. Les gardians m'ont réservé un accueil des plus chaleureux, dans la pure tradition camarguaise. C'est toujours un réel plaisir de chevaucher à travers les étangs, et les marais.
Après une dure matinée sous la canicule, nous regagnons la ferme. Un apéritif léger, et nous passons à table. Il est treize heures.
« Tiens, Michel, l'amour de ma vie, dit Angélica. Bisous, je peux m'asseoir à côté de toi ?
- Mais bien sur, » je lui réponds en l'embrassant.
Angélica est une magnifique gitane, à la longue chevelure noire, avec un corps de rêve. C'est une amie d'enfance, avec qui j'ai fais les quatre cent coups. Pendant dix ans, nous avons été élevés pratiquement ensemble. Les bains, les noëls, les anniversaires. Nous avons trente-cinq ans aujourd'hui, et elle n'est toujours pas mariée.
« Je t'attend, me répète-t-elle sans cesse. »
A table, nous nous remémorons ces années bonheur.
« Tu te rappelles quand on allait jouer au cabanon, évoque Angélica. On se mettait tout nu, on se battait, pour rire. Je t'attrapais par ta petite queue. Elle a du grandir maintenant ? On avait quel âge ? Dix ans ? Moi, j'étais plate, avec une toute petite fente. Maintenant, à peine tu la touches, elle devient toute mouillée. Comme on était innocent à cette époque ! »
Je la regarde en souriant. Et dire qu’on n’a jamais couché ensemble !
Le repas terminé, les femmes débarrassent la table, pendant que les gardians vont faire un brin de sieste. Je me retrouve seul, perdu dans mes pensées, regardant la campagne endormie sous la chaleur estivale.
Je suis dans la torpeur de la sieste, quand Angelica s’approche de moi :
« Tu veux qu'on aille faire du cheval ? On pourrait aller jusqu'au cabanon, et... »
Je la regarde, et découvre un air canaille.
« Si tu veux, ça nous rappellera des souvenirs. Allez, on fait la course. »
Nous préparons deux superbes étalons Camarguais, et nous voilà partis. J'arrive le premier au cabanon. Rien n'a changé, le coin cuisine, les toilettes, le canapé qui permet aux gardians de se reposer, ou de faire autre chose. L'intérieur est sobre, mais très bien entretenu. Les souvenirs ressurgissent. Machinalement, je me déshabille, entièrement, quand la porte s'ouvre, brutalement. C'est Angélica.
« Tu as encore gagn...putain...si elle a grandi, dit-elle en regardant un endroit précis de mon anatomie.
- Mais elle est normale, tout simplement. »
Lentement, elle ôte ses vêtements, et s'approche de moi. Elle est superbe dans toute sa nudité. Nos lèvres se frôlent. Elle prend ma main.
« Allons chevaucher la Camargue comme ça, murmure-t-elle. Ne prenons qu'une monture. »
J'enlève la selle du cheval, et le monte. Je saisis Angélica par le poignet, Et la fais grimper, face à moi. Elle se cramponne à ma taille. Nos corps brulants ne font qu'un. Je tape des pieds sur les flancs du cheval.
« Allez, Vagabond, va doucement. »
La situation est excitante, nous sommes seuls dans cette immensité. Chevaucher dans l'odeur iodée des étangs, accompagnés par un nuage de flamand rose. Quel érotisme !
Très vite, les secousses provoquées par les galops du cheval, font leur effet. Mon sexe, jusque là relativement calme, se dresse contre le ventre de ma cavalière. Je sens ses seins gonfler contre ma poitrine, ses bouts durcir. Je croise son regard pétillant entre ses longs cheveux noirs. Puis les yeux se ferment, elle attend.
Je la saisis par les hanches et la soulève légèrement. Je sens le bout de ma queue contre la chatte humide. Elle jette sa tête en arrière dans un râle de plaisir, quand elle coulisse lentement sur mon membre. Elle me prend par le cou, et se plaque contre mon torse. Je sens sa respiration s'accélérer. Soudain, elle relève la tête. Sa bouche est grande ouverte. Des larmes perlent sur ses joues.
« Bon sang, gémit-elle, je vais jouir... Que c'est bon, se faire prendre sur un cheval... Si on m'avait dit !!! hou...hou... »
L'orgasme d'Angélica est fort, le cri de plaisir traverse les marais, à tel point, que les taureaux tournent la tête, et découvrent cette scène inhabituelle pour eux. Ma semence s'éjecte en jets puissant dans la grotte chaude de ma partenaire, dans un « han » de bucheron.
« Vas-y mon chéri, vide tes couilles dans mon ventre, fais-toi plaisir. »
Nos lèvres se rejoignent dans un long baiser. J'arrête le cheval près d'un point d'eau. Il faut qu'on se rince.
C'est elle qui tient absolument à s'occuper de ma toilette.
« Hum... Mais tu es une petite vicieuse toi. Hé, doucement ! Mais tu me tailles une pipe là, ma belle garce... »
Ma queue toujours dans sa bouche, on s'allonge au sol. Je glisse un doigt entre ses cuisses, excite le clitoris, puis le suce. Angélica se tord comme un ver sous la caresse, envoie des coups de reins.
« Prends-moi encore... Je suis encore novice dans ce domaine ! Apprends-moi, s'il te plait. »
J'avais remarqué qu'Angélica n'avait pas encore tout connu, même si je ne suis pas un dieu. Le, ou les amants, n'ont peut être pas su s'en servir. J'ose des positions inconnues pour elle. Et la coquine apprend vite. J'ai sans doute réveillé la cochonne qui sommeillait en elle.
Toujours est-il, que nous allons tout essayer, cunni, levrette, tout. Nous allons jouir plusieurs fois.
« Quel amant merveilleux, soupire-t-elle. On m'a jamais niquée comme çà. Tu m'as rendue heureuse tu sais.
-Toi aussi, et tu es si belle. Viens, allons au bord de l'étang. »
Je me place dans son dos, et l'enveloppe dans mes bras. Nos corps nus, encore chaud, sentent l'amour.
« Regarde, tu vois le taureau qui s'approche la bas? Il vient en éclaireur. Après, il va se retourner, comme pour faire signe au reste du troupeau, qu'il n'y a aucun danger, qu'ils peuvent venir boire. »
On reste un moment à contempler ce spectacle hallucinant, sans dire un mot. C'est Angélica qui rompt le silence.
« Tu sais ce qui me surprend ? Pendant nos ébats, tu m'as jamais dis je t'aime, ou ma chérie.
- Chut... Tais-toi, profite de l'instant présent. »
Nous regagnons le cabanon, et nous rhabillons.
« Michel, tu veux qu'on passe la nuit ensemble? Je n’ai pas tout compris tu sais. J'ai besoin d'un cours de rattrapage. Tu sais que je ne connais pas la sodomie.
- Ah bon. Minuit, ça te va ? Je te rejoins dans ta chambre, polissonne que tu es ! »
Le baiser est langoureux, annonciateur d'une nuit extrêmement chaude.
Le soir, une quarantaine de personnes sont conviées à une soirée. Ma tante a prévu une rouille avec aïoli, et une gardiane de taureau, au cas où certains invités n'aimeraient pas l'ail.
Après le diner, deux jeunes guitaristes gitans animent la soirée sur une musique tsigane. Déguisée en Esméralda, Angélica entame un diabolique flamenco. A chaque passage, elle me fusille du regard, passe sa langue sur ses lèvres pulpeuses. Sûr, elle m'allume.
Minuit pétante, je pousse la porte de la chambre d'Angélica, personne. Le lit est vide. Tiens, elle a du avoir un imprévu. Du coup, je regagne mes quartiers. Dans la demie- obscurité, je distingue une forme sous le drap. Je m'avance en souriant, et m'allonge sur le dos.
« Ah tiens, un peu de repos. Une bonne nuit de sommeil me fera le plus grand bien.
- Quoi, bondit Angélica, non non non, mais tu n'y penses pas ?
- Mais tu es là? Je ne savais pas. »
Aussitôt, je sens le poids d'une jambe sur mon ventre. Je sens la chatte humide sur ma cuisse. Petit à petit, ma queue s'étire, grossit.
Doucement, Angélica glisse le long de mon torse. Elle me décalotte le gland, et le prend en bouche. Délicatement, je sors le clitoris de sa capuche, et le doigte. On part dans un soixante neuf de folie.
« Laisse toi faire mon chéri, je veux être ta chose cette nuit. Tu ne vas pas être déçu. »
Finalement, elle suce divinement. Sa langue s'enroule autour de mon gland, ses mains soupèsent mes couilles. Puis, elle se relève, et vient se plaquer dos à moi, jambes écartées. Elle saisit ma bite, et la place contre son petit trou. J'ai un mouvement de recul.
« Si si, j'y tiens, soupire-t-elle. Fais sauter le verrou, déflore-moi, mouille-le un peu. »
Je récupère un peu de mouille dans sa chatte onctueuse, et en barbouille le petit orifice brun. Je pousse doucement, pour ne pas lui faire mal. Je sens l'œillet se dilater, céder sous la pression de ma queue tendue au maximum.
« Ha, ho… Ca y est… Tu m'encules, salaud ! Vas-y, c'est bon, tu sais ! Doigte-moi... Oui, oui, mes seins, caresse mes seins. Oh oui ! Viens toi aussi, vide-toi !
- Ha, je crache...Ha, hum, hum... Merci ma gitane chérie...
- Quoi ? Tu peux répéter ? C'est pour moi ??? »
Angélica se retourne et m'embrasse. Nous roulons enlacés sur le lit, soudés par nos lèvres. On va passer une nuit d'enfer. Nous allons faire l'amour dans toutes les positions, tout l’éventail des jeux sexuels va y passer.
Il est dix heures du matin quand je rejoins le groupe. Je tombe sur ma tante Maria.
« Bonjour, tu n'as pas vu Angélica ?
- Si, ce matin, elle sortait de ta chambre. Elle devait chercher les toilettes. Elle a du se tromper, » ironise Maria.
Légèrement honteux, je me baisse pour prendre la selle de mon cheval, quand je sens mes jambes se dérober.
« Qu'est-ce qu'il t'arrive ? demande ma tante.
- Ben, je sais pas, je vois tout trouble.
- Julien, viens vite, Michel se sent mal, je ne sais pas s’il ne fait pas un malaise. »
D'un coup, je vois le sol se rapprocher de mon visage, puis, plus rien.
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La formation d'une bourgeoise cochonne.
Cela remonte à quelques semaines, lorsque j’étais dans une formation à Paris, dans un luxueux hôtel pas loin des Champs Elysées. C’était une très belle occasion de rencontrer des cadres venant de plusieurs pays, d’ailleurs je venais d’Italie, et ça m’a fait plaisir de rencontrer mes ex-collègues Français.
La formation était étalée sur dix jours, les cours étaient assurés juste les matinées, donc on était libre pendant le reste de la journée. Alors que la plupart des collègues partaient visiter la ville des lumières après la fin du cours, je partais à la piscine de l’hôtel pour profiter du soleil et de l’eau douce.
Le premier jour, il n’y avait personne à la piscine, à part une famille qui jouait avec leurs enfants, et une femme qui devait avoir trente huit ans, qui était trop belle avec un corps magnifique. Un peu timide que je suis, et pour éviter qu’elle ne s’apperçoive que je la mate, j’ai decidé d’aller me baigner. Deuxinutes après, je l’ai trouvée à coté de moi dans l’eau.
Elle m’a salué et m’a demandé si on se connait deja, vu que j’ai pas cessé de regarder son joli corps..Timidement, je lui ai dit qu’on se connait pas, mais que son charme et son corps sont si beaux que mes yeux ne pouvaient pas s’en echapper.
Elle souriait et ainsi, accepta mes compliments. Je l’ai invité pour un café, mais elle a refusé, vu qu’elle devait aller faire du shopping, et c’etait deja un peu tard. Je lui ai demandé de l’accompagner, et ainsi lui offrir un café aux Champs-Elysées, ce quelle a accepté volentiers, sans cacher son sourire coquin.
Chacun est parti dans sa chambre, et à notre grande surprise, nos chambres étaient au meme etage. Du coup elle m’a demandé de la rejoindre dans la sienne quand je serai prêt.
Apres une douche rapide, j’ai choisi des habits un peu sport et plus sexy et je suis parti la joindre dans sa chambre. J’ai tapé à sa porte plusieurs fois mais elle ne m’a pas repondu, peut etre à cause de la forte musique qu’elle mettait. J’ai decidé ainsi d’entrer vu que la porte etait entrouverte, à ma surprise, elle etait nue, en train de sécher ses cheveux. Heureusement, elle ne m’a pas vu.
Mais son corps doux ne m’a pas permis de quitter la chambre et je suis resté bloqué devant tout ce charme. J’étais en sueur, et je sentais quelque chose en moi, oui des choses, des promesses cachées d’ébats langoureux, des heures de plaisir délicieux. Elle avait de gros seins bien énormes, des fesses bien remplies et un corps magique.
Pour la première fois de ma vie, j’ai surmonté ma timidité, et j’ai décidé de faire le premier pas. Je mis derrière elle, je sentais ses cheveux chauds me chatouillant le visage, et là ma bite devint très grosse, mon Cœur battait la chamade, et mes lèvres se sont collées sur sa nuque.
Pas du tout surprise, elle a éteint son sèche cheveux, et me laissa faire, j’ai compris donc qu’elle m’a vu entrer, ou peut être elle avait tout préparé…
Mes lèvres léchaient sa nuque et son cou, mes mains caressaient son corps doux. J’avais toujours les yeux fermés et je sentais juste sa respiration de plus en plus forte. Mes doigts caressaient ses fesses, sa chatte bien épilée, on dirait celle d’une adolescente, et son trou de cul, qu’elle tentait de me faire éviter, dès que je le touchais…
Ses mains me touchaient la bite bien bandée sous mon jean, et ses fesses s’y collent pour me donner des vibrations tres fortes. Je tourne ma ch_re inconnue, et je l’embrasse, ce qu’elle me rend avec plaisir aussi. Elle m’a déshabillé sans rien que je ne m’en rende compte.. J’ôte mes tennis et je suis entièrement nu pour elle.
D’un seul coup rapide et fort, elle m’a mis sur son lit, et commença à me lécher la bite, qui devenait énorme. Elle la mettait dans sa bouche, jusqu’à avoir des larmes dans ses yeux. Puis j’ai pris les choses en main.
Dominateur que je suis, j’ai renversé son corps d’un seul geste, et on se retrouve en position 69, si agréable ! Je suçais sa chatte et son clitoris tellement bien qu’elle arrêtait de me sucer la queue, et les seuls mots que me disait étaient :
« Dévore-moi la chatte, mange-moi, je suis à toi… »
Notre 69 a duré plus de vingt minutes, puis je l’ai mise à plat ventre sur le lit, pour lui faire des caresses douces et un petit massage. Mais ce n’etait que le debut, puisque après, je lui ai bandé les yeux avec un foulard qu’elle voullait mettre pour sortir.
Elle n’a pas protesté, elle a plutot apprecié en me disant :
« Oh oui, prends-moi comme une cochonne ! »
En la tenant par les cheveux, je l’ai tirée jusqu’au fauteuil, je l’ai mise en levrette et lui donnant ma bite pour bien la sucer, alors que mes doigts caressaient sa chatte qui mouillait sans cesse.
Ma bite prête à lui defoncer la chatte, je me suis mis derrière elle, introduisis doucement mon pieu dans son vagin. Elle gémissait, mordillait ses lèvres, mes va et vient devenaient de plus en plus fort, de plus en plus rapides. Elle criait et gémissait sans fin.
A un moment donné, elle m’a prié d’arreter parce que ma bite est tellement enorme qu’elle lui fait un peu mal… Alors là, je lui ai donné deux gifles en lui disant de cesser de se comporter comme une gamine. Ellle n’est plus la femme bourgoiese qui donne les ordres, elle n’est qu’une cochonne, et elle est à moi.
Elle s’est excusée, mais hélas les excuses ne servent à rien, donc elle a eu vingt fessées. Puis j’ai continué mes va et vient jusqu’à ce qu’elle a eu un fort orgasme Deux minutes après, j’ai éjaculé au fond d’elle.
Je lui ai enlevé le bandeau de ses yeux, et mis ma bite dans sa bouche pour qu’elle la nettoie. Elle m’a dit :
« Merci maitre... »
Puis sans un mot, je suis parti prendre ma douche. A ma sortie, elle était toujours à quatre pattes, ne pouvant plus se mettre debout, les fesses bien rouges et les jambes tremblaient.
Mais la cochonne ne sait pas encore ce qu’elle lui attendait…
A suivre…
shymanlovesex@gmail.com
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La virée de Janet
Il fait une chaleur étouffante quand Ludovic gare sa Golf cabriolet dans la cour de sa mère Annabelle, veuve d'un riche industriel. Ludovic est un garçon de vingt ans, cheveux noir, yeux bleus, très séduisant, qui mord la vie à pleine dents.
Fêtes avec les copain, sorties nocturnes, etc..etc. Sans compter les innombrables conquêtes féminines.
« Te dérange pas man', je suis juste passé me changer, je repars. Bisous.
- Attend mon chéri, j'ai un colis à faire passer à Janet, tu peux le lui porter ?
- Oh non. ! Merde, mes copains m'attendent man.. .allez, donne-le moi...vite.. »
Il se saisit du colis, et file à toute allure vers la maison de sa cousine Janet.
Elle est une superbe créature blonde de vingt-quatre ans, et vit dans une magnifique villa sur les hauteurs de la ville. Son mari, Jean-Yves, est employé par l’Ong « Médecin sans frontière », et s'absente souvent.
Janet en profite pour recevoir des copines, ou organiser des soirées entre amis. Certains mâles voient là l'opportunité de passer une nuit avec elle, et n'hésite pas à la draguer tous azimuts. Hélas, Janet est d'une fidélité à toute épreuve.
Cet après midi, Jean-Yves s'est envolé pour une quinzaine de jours, pour une aide humanitaire en Afrique. C'est elle qui l'a déposé à l'aéroport. De retour, elle prend une bonne douche, et s'installe confortablement devant la télé, vêtue d'un simple peignoir. Elle s'est préparé un dvd un peu chaud, et met le lecteur en mode lecture. Elle regarde presque sans y penser les images de cinq personnes se mélangeant en tous sens, se suçant, se léchant, se baisant, sans distinction de sexe. L’orgie est totale, et l’excite de façon intense. Alors, elle laisse glisser sa main ver sa grotte en feu, et commence à se la caresser pour soulager la tension qui monte en elle…
Ludovic déboule à la villa vers dix sept heures. Il est vêtu d'un bermuda, et d'une chemise blanche ouverte sur le torse. Tout est calme. Il sonne une première fois, rien, une deuxième, toujours rien. Il se permet d'ouvrir la porte, en habitué des lieux. Il pense juste deposer le colis sur la table basse.
« Janet doit prendre une douche ou faire une sieste, » pense-t-il
Arrivé à l'entrée du salon, il tombe sur le cul : Janet est assise, peignoir ouvert, une jambe posée sur le sol, l'autre repliée sur le canapé. Une main s'active entre ses cuisses, une autre caresse les seins. Il lui arrive aussi de porter, ses doigts à la bouche, faire le plein de salive, puis regagnent la source d'amour, comme pour lui donner à boire.
« Régale-toi salope... » murmure-t-elle.
Le majeur, plus vicieux, affole le clitoris, à fleur de peau. La tête de Janet vacille de droite à gauche, sa longue chevelure blonde balaie le visage, passe devant les yeux mi-clos, et la langue court sur les lèvres pulpeuses, la respiration s'accélère.
Elle n'a pas vu son beau cousin, qui a reculé d'un pas. Il sent que sa queue bande très vite. Il faut dire qu’il est un coquin affirmé, et ne rate pas une occasion de pratiquer le sexe à fond, avec toutes et tous, quelques soit l’endroit où le lieu. Pourtant, Ludovic est pressé, ses copains l'attendent. Il décide d'intervenir, même sil meurt d’envie de dévorer cette chatte accueillante !
« Rrumm...rrum », tousse-t-il.
Janet sursaute sur le canapé, rabat les pans du peignoir pour cacher sa nudité.
« Oh mon dieu, dit-elle, mais comment es-tu rentré?
- Ben... par la porte, répond-il, elle était ouverte...houa ! Chaud le dvd..
- Heu... je suis désolée, rougit Janet, ne va pas croire que... je suis vraiment confuse. »
Ludovic s'assied à côté de Janet, passe tendrement un bras autour de son épaule.
« Mais je n'ai pas à te juger, dit Ludo, je suis simplement surpris. Jean-Yves ne te satisfait pas, il ne s'occupe pas de toi ?
- Si si, mais je préfère un bon doigté, qu'un coup de queue. Je suis plutôt clito... »
Soudain, le peignoir s'ouvre, et dans un réflexe, Ludovic tente de le remonter. C'est ce moment que choisit Janet pour lui prendre la main. Furtivement, leurs regards se croisent. Ludovic ne peut s'empêcher de mater entre les cuisses de Janet.
« On t'a déjà dit que tu avais une jolie petite chatte, sourit Ludovic.
- Tais-toi... Oui, ton cousin me l'a dit... Mais il s'en sert si peu...
- Quel dommage ! Des lèvres si charnues, une fente parfaite, bien épilée... Mum... tout ce que j'aime ! Serait-elle mouillée ? »
La chaleur est toujours présente, et se consume dans les entrailles de la jeune femme.
« Vérifie par toi même... » souffle Janet, étonnée de sa propre audace.
En effet, Janet a un superbe abricot, bien juteux, qui ne demande qu’à être cueilli.
Ludovic a une pensée pour son cousin, mais sa cousine est tellement attirante.
Après une brève hésitation, il écarte les jambes de Janet, et glisse une main entre ses cuisses. Ses doigts frottent les lèvres une contre l'autre, pianotent sur le clitoris, puis pénètre la chatte encore toute mouillée. Janet décide de s'offrir totalement, et même si elle a une pensée pour son mari, elle veut vivre à fond l'instant présent, quitte à passer aux yeux de Ludo, pour une moins que rien.
Très vite, le plaisir reprend le dessus, la respiration devient de plus en plus saccadée, ses mains malaxent les seins dur comme du béton.
Elle se cambre pour mieux sentir les doigts de son jeune cousin.
« Tu me rends folle...comme tu me clites salaud... Qui t'a appris ça ?
- Personne, pourquoi, ce n’est pas bon?
- Putain... Si que c'est bon, quel talent ! On ne m’a pas souvent chattée comme ça ! Je vais venir là... Vas-y... oui... oui... doigte... Ha... ha... hou… hou... »
Janet lâche un terrible orgasme, son corps est secoué par de violents spasmes.
Elle passe un bras autour du cou de Ludovic, et pose sa tête au creux de son épaule.
« Tu es fou... qu'est-ce-que tu m'as fait, salaud ?
- Putain, sourit Ludo, quel volcan, c'est toujours comme ça ? Quelle santé… Oh putain, tu es vraiment une bombe, ma belle !
- Quand même pas... répond timidement Janet. Jouir comme ça, c'est plutôt rare... »
Epuisée, Janet s'écroule sur le canapé. Ludovic referme le peignoir et lui prend la main.
« Il faut que j'y aille Janet. Mes copains m'attendent. Demain on va à un festival au dessus de Gap, on campe la haut. Tu veux venir, ça de sortira, tu verras l'univers libertins dans lequel je vis.
- Tu sais que c'est impossible, répond Janet, je ne peux pas faire çà. Si ça vient aux oreilles de Jean-Yves, après ce que je viens de faire….
- Mais il n'en saura rien... Tu es jeune, belle, il faut s'amuser, profiter de la vie, réfléchis... Bon, si tu changes d'avis, tu m'appelle, ok? Allez, j'y vais. »
En signe d'au revoir, Ludovic lui donne un simple baiser sur la joue. Aucune allusion.
Janet regarde son cousin franchir le portail de la villa, un sourire éclaire son visage.
« Merci beau gosse, merci pour tout… »
Janet se couche, vers minuit, et se prend à rêver. Il est indéniable que Ludovic l'attire, tout comme son mode de vie la fascine. Le film de son sulfureux après-midi défile dans sa tête, elle a l'impression de sentir les doigts de son cousin harceler son clitoris, elle entend aussi la proposition indécente.
« Viens dans mon univers libertin. »
Janet sait qu'elle est en train de basculer dans le monde de l'infidélité. Au réveil, elle se sent encore imprégnée des caresses de Ludo, à tel point, qu'elle est, sans jeux de mots aucun, à deux doigts de se mettre deux doigts. Et la nuit, même si elle a été très agitée, apporte conseils. Elle tourne et retourne la situation dans sa tête, puis décide d'appeler Ludovic.
« Allo...Ludo ? C'est Janet, ça va ? Qi tu tiens toujours à me faire visiter ton univers, j'accepte.
- Sérieux ? No problem...je te prends… Disons, vers seize heures...On va passer un week-end de folie, fais moi confiance… »
Seize heures pétantes, Ludovic arrive à la villa de Janet. Il trouve la jeune femme dans le salon, vêtue d'un ensemble noir, pantalon à pinces, veste, et chemise blanche. Elle s'est même fait un petit chignon fixé par un chouchou rouge. Elle est tout simplement magnifique.
« C'est quoi cet accoutrement, demande Ludovic, c'est une blague ? Enfin ! On va à un festival, pas à une cérémonie ! Tu n’as pas plus court... plus sexy ?
- Ah bon ? Ben non, répond-elle déçue, a part ma jupette de tennis.
- Ce sera parfait, allez va te changer. »
Sans piper mot, et vaguement gênée, la jeune femme obtempère, et va dans sa chambre se changer. Quand elle revient, Ludovic lui tourne le dos, contemplant la vue sur le mer.
« C'est bon comme ça ? » demande-t-elle.
Ludo se retourne, ses molaires prêtent à tomber au sol. En effet, Janet est vêtue 'une jupette de tennis ultra courte, accompagné d'une chemise rouge nouée sur le ventre, qui laisse entrevoir un soutien gorge noir. La chevelure blonde, est lâchée sur les épaules.
« The » bombe... Janet pivote sur elle même.
« Finalement, je me trouve assez canon, sourit-elle, qu'est-ce-que tu en dis, toi qui t'y connais ?
- Whoua...c'est vrai que... Dommage que tu sois uniquement clito... je t'aurai bien mis un coup de queue, là, maintenant, tout de suite ! «
Janet s'avance vers son cousin, dans un déhanché provocateur. Elle passe ses bras autour de son cou, provocante :
« Va savoir, murmure-t-elle, le fait de changer de partenaire peut réveiller la cochonne qui sommeille en moi. Il va falloir qu'on se programme un plan baise tout les deux. »
Il n’en faut pas plus à Ludovic pour envoyer balader ses bonnes résolutions.
« Après tout, on n’est pas à cinq minutes près… » murmure-t-il comme pour lui-même.
Il décroche les bras de Janet, et la fait pivoter sur elle-même. Presque brutalement, il la pousse vers le dossier du canapé. Elle se laisse faire, sans un mot. Il la courbe sur le dossier, et ce geste fait apparaitre les fesses rebondies de Janet, pas du tout cachées par le string noir qu’elle porte.
Il l’écarte, et emprisonne les deux globes entre ses mains. Il les écarte, laissant apparaitre la rosace brune qui frémit, et juste en-dessous la chatte en feu de sa cousine. Il voit nettement qu’elle coule beaucoup.
« Mais tu es excitée, ma chère.. En effet, tu vas devenir une vraie cochonne…. »
Pour toute réponse, Janet pousse ses fesses vers lui.
Il ne lui en faut pas plus pour extraire sa belle bite dure de son jean’s. On voit qu’il en a nettement l’habitude, si jeune soit-il !
Il la prend dans sa main gauche, et de la droite, écarte les chairs intimes de Janet. Il pose son gland devant l’entrée de la grotte palpitante ; Et vivement, il s’enfonce d’une seule poussée dans l’intimité de la jeune femme. Elle sursaute sous l’assaut, mais très vite, elle accompagne les va et vient qui la ravage de l’intérieur.
Ludo se lâche, persuadé que de toutes façons, elle ne jouira pas. Inutile de faire trainer les choses en longueur. Janet, elle, soupire de plus en plus fort, et commence à pousser des gémissements assez bruyants.
Déconcerté, Ludo amplifie ses mouvements, et se penche pour branler le clito. C’est maintenant elle qui pousse son cul vers son « agresseur ». Il la besogne si fortement qu’il ne peut se retenir, et éjacule au fond du vagin qui se crispe. Ila à peine le temps de se rendre compte que.. Mais oui, Janet jouit !
Elle se tord, et crie. Elle crie à s’en rompre la gorge. Il retombe sur elle, pantelants tous les deux. Ils se laissent glisser sur le sol, repus et fatigués.
« Eh bien ma chère, pour une clitoridienne…
- Oh oui, je ne sais pas ce qu’il s’est passé ! Tu as su trouver le déclic... C’était magique. Même si j’ai honte. Tu e sur que mon mari ne saura rien ?
- Mais non, sauf si tu le lui dis.
- Tu es fou ? Il me tuerait !
- Allez ma belle, on s’en va, on a une longue route à faire ! »
Il se redresse, et se rhabille prestement. Janet en fait autant, et elle attrape son sac. Le temps presse, il faut partir.
A suivre….
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Petit mot de rentrée
Cher amis, douces coquines,
Pendant quelques jours, vous n'avez pas trouvé de nouvelles publications, j'étais un peu trop prise par la rentrée.
Pour ceux qui l'ignorent, je suis formatircez. Et non, pas en techinques sexuelles : ;-)
Ce métier que j'adore, m'oblige d'une part à un gros travail personnel de préparation, puis, lorsque je suis en formation, m'interdit l'accès à un pc, donc à internet. Diffiicle de faire une formation professionnelle tout en pianotant sur le net !
Cette année est une année de changement pour moi, et je vais donc avoir peu de temps à consacrer à la rédaction d'histoires. Aussi, je fais appel à vous toutes et tous, qui avez des talents cachés.
Si vous avez des histoires à raconter, que vouvs avez envie de voir publier, n'hesitez pas à me les envoyer.
Ne vous dîtes pas : "'mais je ne sais pas ecrire, je fais des fautes, etc". Lancez-vous. je corrigerai si necessaire.
Souvent, on se découvre de vraies capacités pour raconter. On en a juste perdu l'habitude.
Alors, lancez-vous, racontez vos premiers emois, vos experiences inédites, vos fantasmes, même les plus fous.
Bref, LACHEZ-VOUS !
Intuile de penser "mais ca n'interessera personne..." Bien au contraire !
Je compte sur vous, sur votre particpation active.
A toutes et tous, je souhaite une rentrée coquine, pleine de bonnes reésolutions très "hot", et surtotu plein de belels histoires très très chaudes !
Bisous très coquins...
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@Alain, merci du no de portable, mais je ne fonctionne pas ainsi.
Quelle queue ;)
Merci de ton commentaire... je t'en remercie d'autant plus que quasiment personne n'en laisse... et ca m'attriste !
Je te souhaite une bonne visite, et j'espère que tu trouveras ton plaisir ici, même s'il y a peu de photos...
j'aime la 1ere photo, elle a de la chance de recevoir cette longue tige comme je les aime, votre site démarre fort, je vais à la découverte du reste pr le plaisir des sens