Les Mémoires très Libertines de Sophie
La jeune Baronne
Oana, roumaine de quarante ans, est employée au château comme femme de ménage.
Le baron et la baronne sont très gentils avec elle. Il n’en est pas de même pour leur fille,
Chlothilde, jolie blonde de vingt-deux ans, récemment mariée.
En effet, celle-ci n’hésite pas à l’humilier devant ses amis, lors de réceptions au château, se moquant de son physique. Il est vrai que comparé au corps parfait de la jeune épouse, Oana est un peu complexée. Elle n’a rien d’un top model. Pas très grande, assez enveloppée, cheveux noirs geai mal entretenus.
Rien à voir avec la beauté plastique de la jeune fille. Elle accepte très mal les allusions de Chlothilde. Elle attend la faute, murit sa vengeance.
« Qu’un jour je t’attrape, et tu vas le regrette, ma petite. Tu vas en baver, » rumine-t-elle.
Oana connait la vie tumultueuse de Chlothilde, qui n’est pas la première sur le podium de la fidélité. Elle n’est pas farouche, aime prendre du bon temps. On lui sert un verre, elle le boit, On lui offre une cigarette, elle la fume, on lui offre une bite, elle la suce. Seule une relation lesbienne la répugnerait, sentir les mains d’une femme parcourir son corps, la débecte.
Cette semaine, le baron et la baronne, sont partis pour affaires. Ils ont emmené Pierre, leur gendre. Il faut bien le former, car plus tard, c’est lui qui reprendra l’affaire familiale. Connaissant leur fille, ils ont laissé des consignes à Oana. Elle doit contrôler les messages sur le téléphone, sur internet. Elle lit même un ancien sms de Kader, le jeune jardinier, sur le portable. Une mine d’or pour l’employée de maison.
Ce jour là, elle arrive au château vers dix-sept heures. Chlothilde est dans la salle de bains, en train d’avoir justement une communication plutôt chaude avec le jeune beur.
« Allez Kader, déconne pas, ça fait trois jours que tu m’as pas baisée à fond. Je te taillerai une pipe, tu m’en diras des nouvelles… S’il te plait… Oh la, demain ? Boon, ok… »
Oana suit la conversation par l’entre-bâillement de la porte. Elle voit les vêtements de rechange sur le plan de toilette. Elle ferme la porte derrière elle et se cache derrière une cloison en verre martelé.
Sans se douter de rien, Chlothilde, nue, admire son corps devant le miroir de la salle de bains. Doucement, elle se masse le cou, caressent les seins.
« Vous êtes en manque de caresses mes chéris, pourtant vous êtes si beaux », se dit-elle.
Puis les mains descendent lentement, épousent le galbe parfait des hanches, palpent les fesses. Une main vient se loger entre les cuisses, lisse le fin duvet de la chatte. Cette minutieuse opération a pour effet de donner des frissons à tout son corps… une agréable sensation envahit ses entrailles.
N’y tenant plus, elle s’assied sur le bidet, appuie sa tête contre les faïences. Elle écarte ses jambes presque à cent quatre vingt degrés. La jeune femme ferme les yeux. Un doigt court sur la fente humide, une main caresse un sein, fait rouler le bout entre ses doigts, puis les mains se rejoignent entre les cuisses, deux doigts écartent les lèvres gorgées d’excitations, et pénètrent la chatte.
« Oh ma petite chatte… soupire-t-elle. Comme tu es mouillée… Tu as besoin d’un coup de bite ! Attend ma chérie, je vais jouer avec toi… Ha, ha, tu aimes salope ! Et toi mon petit bouton, je vais bien te décalotter, bien te doigter… Hum, que tu es dur ! Ah que c’est bon de se branler ! Ha oui… Je vais jouir ! Oui, crache salope, oui… ouiiiiiii… »
Chlothilde se cambre sur ses pieds, envoie des coups de reins vers la vasque de la salle de bains. Elle se regarde jouir dans la glace face à elle. Son corps tout entier est pris de spasmes. Elle hurle de plaisir, sort ses doigts plein de mouille, les portent à sa bouche, et les lèche. Le surplus s’écoule de la chatte dans le bidet.
« Hum…que c’est bon… il va falloir que je me trouve un mec dès que possible ! j’ai trop envie qu’un gros pieu me défonce la chatte à fond ! »
Elle ferme les yeux à cette douce pensée…
Elle sursaute quand elle ouvre les yeux. Oana, debout devant elle, la regarde en souriant.
Mais son sourire en dit long sur ses intentions.
« Oh, dit Chlothilde en mettant une main devant sa bouche, mais comment es-tu rentrée ? »
Oana s’approche d’elle, et caresse tendrement la joue de la jeune femme d’un revers de main.
« Mais par la porte, tout simplement, répond l’employée de maison, elle était ouverte.
Alors comme ça, on a envie de se le faire mettre, de tromper son mari ? Ce n’est pas gentil, ça belle dame !
- Heu… Mais non, je disais çà comme ça, bafouille Chlotilde. Tu comptes faire quoi, me balancer ? Ou puis-je compter sur ta discrétion ? »
Oana glisse une main entre les cuisses toujours ouvertes. Interloquée, Chlothilde essaie de bloquer le bras. Sa bonne lui fait les gros yeux, parvient à enfoncer deux doigts dans la chatte, et les portent à la bouche de Chlothilde.
« Tiens, sourit-elle, il en reste encore. »
Tel un automate, Chlothilde lèche les doigts.
« De quoi on parlait déjà ? Ah oui, de discrétion. Mais ça dépend de toi, ma chérie. Je veux que tu sois docile, que tu m’obéisses au doigt et à l’œil… »
Oana se penche sur Chlothilde pour lui prendre les lèvres. Celle-ci la repousse brutalement.
« OK...apparemment, tu n’as pas compris, dit-elle. Tchao.
- Non, non, pars pas, implore Chlothilde. Qu’attends-tu de moi ?
- Je veux juste jouer avec toi, te goder, répond Oana.
- Mais je ne suis pas une gouine… j’ai jamais fais ça, pleure Chlothilde, honteuse de subir de chantage de son employée…
- Ca n’a jamais tué personne, reprend l’employée, tu vas voir comme c’est bon. Attends, on va bien trouver quelque chose. »
Oana ouvre l’armoire de toilettes, et en sort un tube de dentifrice de dix-huit centimètres sur quatre de diamètre, et une bombe de laque de vingt-cinq centimètres par cinq. Elle fixe les bouchons à l’aide d’un sparadrap rugueux.
Chlothilde, stupéfaite assiste à la préparation de ces engins de plaisirs si inhabituels. Elle ouvre grand les yeux en voyants les deux engins. Jamais elle n’aurait imaginé se faire baiser par du dentifrice et de la laque ! Est-elle tombée si bas ? Comment ses appétits sexuels ont-ils pu la mener à cette déchéance ?
« Kader a du déjà te prendre en levrette, n’est-ce-pas ? Tu aimes cette position ?
- C’est ma préférée, se surprend à répondre Chlothilde. Mais comment connais-tu Kader ?
- Peu importe, mets-toi en place ma chérie, bien écartée, d’accord ? »
Sans un mot, très excitée malgré tout, Chlothilde obéit, se met à quatre pattes, en se demandant quel calibre va aller dans quel orifice… Elle est de plus en plus trempée à l’idée d’être perforée par un objet. Ses doigts sont bien trop courts et fins…
Oana se met à genoux à côté d’elle, caresse le dos, puis insinue une main entre ses cuisses. Les doigts pénètrent la grotte encore humide, barbouille le petit trou bien offert à sa vue. Oana prépare sa soumise du jour en lui doigtant les orifices, arrachant déjà les premiers gémissements. Le traitement peut commencer.
La bombe de laque caresse la fente de la jeune femme, écarte les lèvres, et s’enfonce doucement dans l’antre chaud du vagin inondé. Chlothilde pousse un râle de plaisir au moment du passage du sparadrap. Petit à petit, l’objet prend sa place, en faisant des va et vient dans la grotte d’amour pleine de mouille.
« Oh putain, gémit-elle. On dirait Kader ! Vas-y… Baise-moi ! C’est bon tu sais… »
Tellement bon que Chlothilde ne se rend pas compte qu’en même temps, le tube de dentifrice a dilaté son petit trou bien plus que d’habitude.
Oana s’aperçoit avec plaisir que le deuxième orifice n’offre aucune résistance, qu’il n’en est pas à sa première pénétration.
« La chienne, pense-elle. Elle cache bien son jeu, la baronne !
Là, Chlothilde ne peut s’empêcher de crier. Oana enfonce le tube en entier. Il aurait fallu plus gros…
Tout est en place, Oana peut mettre en œuvre ce qu’elle rêve depuis longtemps : soumettre la pimbêche hautaine. Par contre, elle ne se doutait pas que Chlothilde prendrait autant de plaisir. Sa satisfaction en est un peu amoindrie.
La jeune baronne cambre sa croupe, donne de violents coups de reins, pour aller à l’encontre du calibre qui la baise, et de celui qui l’encule. Les cris de plaisir s’intensifient. L’orgasme est terrible, intense, fort comme jamais avant.
« Haaaaaa…. haaaaaaa… ouiiiiii… ouiiiii…
- Vas-y, petite salope, sourit Oana. Lâche toi, crie, crie, il n’y a que nous dans la maison ! »
Chlothilde sent la sueur couler sur ses joues, la mouille cyprine sur ses cuisses.
Lentement, Pana retire les deux godes improvisés des entrailles de la jeune femme.
« Oh non, soupire celle-ci, encore ! S’il te plait, s’il te plait…
- Assez pour aujourd’hui, répond Oana. Ce soir, c’est toi qui fais le service. Ne tarde pas trop.
- Comment ça ?
- Eh oui, on ne s’arrête pas là. tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte ! Ce soir, tu me sers à table, en tenue de bonniche, s’il te plait ! S’il ne te plait aussi, d’ailleurs. Sinon, ton mari et tes parents sauront quelle salope tu fais… »
Oana quitte la salle de bains, en emportant la petite culotte de Chlothilde.
« Mais… laisse mon string, proteste cette dernière.
-Tu n’en as plus besoin », sourit l’employée.
Chlothilde ne peut qu’obtempérer. Le reste de sa journée se passe à se demander comment elle va être traitée par sa bonne. Elle commande un repas, incapable d’en préparer un elle-même.
Oana passe à table vers vingt heures. Chlothilde la sert à table, simplement vêtue d’une minijupe, couverte par un mini tablier blanc, et d’un petit haut. Elle se place à la droite d’Oana pour la servir. Brusquement, l’employée de maison glisse une main à l’intérieur des cuisses, et remonte vers la chatte. Chlothilde monte un genou sur la table pour lui faciliter la tâche. Difficile de plus s’offrir aux caresses odieuses d’Oana !
Deux doigts écartent les lèvres intimes, gorgées d’excitation, et pénètrent vivement la jeune femme. Le pouce lui, taquine le petit trou, qui s’ouvre sous la caresse.
« Mais cette petite chatte est encore toute mouillée, la vilaine. Et ça, si dur, c’est quoi ?
- Tu le sais, gémit Chlothilde, c’est mon clitoris. Vas-y, doigte le, J’ai envie… Allons au lit… »
Mais Oana refuse. Elle oblige Chlothilde à se coucher sur la table, bras et cuisses écartées. Excitée par ce nouveau jeu, la baronne se laisse faire. De sur une chaise, la bonne sort des liens, et attache la jeune femme par les poignets et ls chevilles, solidement arrimés aux chaises qui entourent la table.
Elle attend, à la fois impatiente et inquiète, le traitement qui l’attend. La porte s’ouvre, et stupéfaite, elle voit Kader entrer, nu comme un vers, la queue érigée vers le plafond.
« Alors ma belle, on joue sans moi ? Ce n’est pas bien ça, tu avs devoir m’obéir en tous points… »
Incapable de formuler un mot, Chlothilde acquiesce d’un mouvement de tête. Oana revient devant elle. Elle aussi est nue, un bras derrière le dos.
« Regarde, Kader, cette pute est prête à tout pour baiser. Eh bien, on va lui en donner. Et pour garder des souvenirs, on va filmer le tout… »
La jeune baronne panique, et tente de protester. Mais d’un bond, Elle monte sur la table, et bâillonne sa maitresse de sa chatte.
« Tais-toi, et lèche ! »
Sans pouvoir dire un mot, elle sort sa langue et entreprend de fouiller les chairs odorantes qui l’étouffent à moitié.
Elle se remet à peine de cette situation, qu’elle sent le gros pieu familier de Kader s’enfoncer dans son abricot bien ouvert. D’habitude, il fait preuve de plus de tendresse.. Mais là, il la baise sauvagement, sans aucun ménagement. Elle entend ses employés s’embrasser au-dessus d’elle. Elle en est jalouse. Comment elle, Chlothilde, Baronne de M… en est-elle arrivée là ???
La vision qu’en aurait un voyeur extérieur est fort excitante. Une jeune femme allongée, écartelée, pieds et poings liés, un homme la besognant vivement et une femme, assise sur sa bouche, se tordant de plaisir sous la caresse linguale...
Ils décidèrent de changer de position ! Oana se souleva, et vint se positionner à quatre pattes au-dessus du visage de sa maitresse. Kader sortir du vint de l’une, pour entrer dans le vagin de l’autre. Chlothilde entreprit de dévorer les couilles qui passaient à sa portée, ne négligeant pas le clito sur excité de son employée.
Par moment, le jardiner enfonçait d’un coup sa bite dans la gorge de la baronne. Elle le pompait alors comme si ca vie en dépendait. Pendant un long moment, il baisa alternativement la chatte de la servante, et la bouche de la baronne. Il finit par jouir, jutant au fond du vagin un foutre épais et chaud. Il s’affala sur elle, épuisé.
Quelques secondes après, un flot de cyprine inonda le visage de la jeune femme, la jouissance de sa bonne secouée de spasmes de plaisir la fit s’étouffer à moitié. Compatissant, Kader se souleva pour qu’elle respire enfin.
Les deux employés de maison la contemplaient dans cette position si humiliante pour elle. Toujours attachée aux chaises, les cuisses ouvertes, la grotte intime dilatée…
Ils riaient de plaisir…
« On va quand même la faire jouir, tu ne crois pas ? demanda Kader à Oana.
- Oui, si tu veux, je me charge d’elle. Mais je veux encore ta bite dans mon cul !
- Détachez-moi, implora la jeune femme.
- Non, pas tout de suite, on n’en n’a pas encore fini avec toi ! »
Elle émit une plainte dont non en savait pas si c’était de douleur ou d’impatience…
Oana remonta sur la table, et se mis en levrette, le cul offert à Kader. Il prit de la mouille et du sperme mélangés dans l’intimité de Chlothilde, qui n’osait plus rien dire… Il lubrifia l’anus de la servante, pendant qu’elle commençait à lécher la chatte crémeuse de sa patronne. D’un doigt inquisiteur, il dilata la rondelle brune, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre de façon satisfaisante. Il cracha pour accentuer la lubrification et prit son élan pour d’enfoncer d’un seul coup de rein dans l’anus. Il avait surement vu d’autres, car il s’ouvrit facilement sous la poussée assez brutale.
Cette dernière fit basculer Oana sur la chatte qu’elle mangeait, et elle croqua par inadvertance dans les chairs rouges.
Chlothilde poussa un hurlement qui déchira le silence du château. Le temps fut comme suspendu, et les sanglots de douleur et d’humiliation de la jeune maitresse raisonnaient dans la grande pièce. Presqu’avec tendresse, la servante embrassa l’abricot meurtri, et calma la fouleur à petits coups de langue. Kader ne bougeait plus. Et lentement, il reprit sont va et vient, pour que la servante bécote en rythme la fleur dévastée. Petit à petit, les plaintes de Chlothilde se muèrent en soupirs de plaisir.
Elle ondulait de plus en plus sous la langue agile de sa bonne.
« Oh oui, vas-y, bouffe-moi, mange ma chatte, tu es une salope. Mais je t’aime !
- Tu n’es qu’une chienne qu’on baisera à volonté, continua Kader.
- Oh oui, on recommencera, haleta la jeune femme. Oh ouiiiiiiiiii je vais jouir, je viens, je viens… »
Ses derniers mots se confondirent avec un extraordinaire cri de plaisir.
Kader, défonçait de plus en plus le conduit anal d’Oana, qui cria elle-aussi :
« Défonce-moi, baise mon cul, crache ton venin ! »
Il ne se fit pas prier plus que ça, et il juta une nouvelle fois dans les intestins de la roumaine. Elle cria aussi, s’affalant sur Chlothilde.
Dans le silence retrouvé, les amants du soir imbriqués les uns dans les autres, repus de fatigue et de sexe, entendirent la porte grincer, et d’ouvrir. Effarés, ils virent le baron, la baronne et leur gendre entrer dans la pièce, muets d’horreurs de les trouver ainsi….
La virée de Janet - suite et fin
Ils montent en voiture, Janet, vaguement gênée, n’ose pas parler… En silence, ils roulent un long moment.
Ludovic décide de prendre la route de la corniche, itinéraire bis qu’utilisent les poids lourds pour désengorger la vallée. Il fait un temps splendide. Dès les premiers lacets, on aperçoit une file impressionnante de camions qui regagne l'Italie.
Ayant envie de parler à nouveau, elle lance une banalité à son cousin :
« Tu te rends compte, dit Janet, ces pauvres mecs, seuls toute la semaine, sous cette chaleur…
- Ne les plaint pas trop, répond Ludo, ils leur arrivent de prendre du bon temps. Tu sais, une fois, sur un blog, j'ai lu un récit sur les routiers. C'est un chauffeur qui s'arrête dans un relais, pour présenter son épouse à des copains. Tu sais quoi, pendant que les chauffeurs trinquaient avec lui, sa femme se faisait mettre par deux autres routiers dans la cabine du camion....
-Ah bon, et il n’a rien dit ?
- il n’ pas pu, il en faisait autant après avec la patronne… Au fait, pourquoi tu n’essaierais pas de leur donner un peu de bonheur toi aussi ?
- Ah bon ? Et tu veux que je fasse quoi, dit Janet en riant, que je monte dans une cabine... Hi..hi..hi… ?
- Non, mais imagine la scène, poursuit Ludo, tu dégrafes ton sous-tif, tu écartes ton string, et tu te caresses. Moi, je ralentis à la hauteur du bahut pour que le chauffeur puisse se rincer l'œil. Je suis sur qu'il adorerait !
- Quoi ? Mais tu n'y penses pas ! sursaute Janet. Tu es vicieux jusqu'au bout des ongles toi...
- Mais si… Vas-y, je peux te doigter si tu veux...Allez, amuse toi un peu... Oh la la... Mais, dégourdis-toi... décoince-toi...Regarde, tout à l’heure, chez toi.. je t’ai prise à la sauvage, et tu as adoré…
- Euh oui… j’ai un peu honte mais tu…
- Attrape une serviette derrière, mets-là sur le siège, » lui intime-t-il.
Plus on avance dans le trajet, plus Janet trouve l'idée de Ludovic excitante, et décide de se lâcher. Elle ouvre sa chemise, libère sa superbe poitrine, puis un doigt glisse entre ses cuisses, sur la fente parfaitement épilée. Très vite, la chatte s'humidifie.
« Qu'est-ce-que tu me fais faire ? glousse Janet. Et moi, comme une conne, je t'écoute et je t’obéis. »
Soudain, le chauffeur médusé, aperçoit la scène, il voit Janet se tordre comme un ver, enfoncée dans le siège du cabriolet. Ses mains pétrissent les seins prêt à s'éjecter sur le pare brise.
Ce sont maintenant les doigts de Ludovic qui, inlassablement, harcèlent le clitoris de sa belle cousine, s'enfoncent profondément dans la chatte baveuse à souhait.
« Vas-y, hurle-t-elle, doigte moi..fort...comme tu sais faire... Yu avais promis.. Ou... hou, hou... oui... Tu me paralyses salaud...Tu sais que j'aime ça, hein... Je me faire maquer... »
Les rochers renvoient l'écho des klaxons jusque dans la vallée. La CB doit fonctionner, puisque à chaque dépassement, Ludo ralentit pour que les autres chauffeurs puissent en profiter, et pour peu qu'on y regarde de plus près, on peut voir le clitoris entièrement décalotté, et la chatte pleine de mouille. Le dernier routier assiste à l'orgasme en direct, les cris de plaisir montent jusque dans la cabine. Janet, cambrée sur le siège, envoi des coups de reins, empalée sur les doigts de Ludovic.
Puis, petit à petit, le corps épuisé, s'apaise, retrouve une respiration normale.
« Je ne sais pas si je n’ai pas fais une connerie de venir avec toi... il faut que je me rince... J'ai la chatte sale, toute mouillée...
- Il y a un petit bosquet plus haut, on s'y arrête pour que tu puisses te nettoyer... Je peux le faire si tu veux..
- Non non non...tu es trop polisson... »
Le jeune couple éclate de rire.
La voiture s’arrête dans un petit coin calme. Adossé à sa voiture, Ludo regarde sa cousine se laver, écarter de ses doigts sa chatte trempée pour l’arroser d’une eau rafraichissante. Elle a vraiment son abricot en feu ! Il en bande à nouveau, rongé par l’envie de le croquer, ce fruit juteux !
Pendant que Janet fait ce semblant de toilette, Ludo reçoit un appel sur son portable, pour l'avertir que le festival est annulé, suite à l'annonce de violents orages sur la région. Effectivement, le ciel se charge de gros nuages noirs, et commence à s'assombrir. La nuit va tomber de bonne heure.
« Ben, dit Janet, on pourra se promener dans le bois, en amoureux. »
Même si ce n'est pas sa tasse de thé, Ludo trouve l'idée pas si con que ça, et suis sa cousine.
« Ouais... Mais faut faire gaffe, sourit Ludo, il y a des loups qui rodent par ici. »
Janet se retourne, se plaque contre son cousin, à lui frôler les lèvres
« Ah oui, dit Janet, et que font-ils aux petites filles. Ils leur mangent la chatte ? Leur donnent un coup de queue, Dis-moi, ça peut être intéressant... »
Janet plonge dans le bermuda de son cousin.
« Whoua !!! Surtout si le loup est bien bité, bien couillu... »
Sous la caresse subite, il gonfle d’ »un coup, encore plus excité. Janet le branle doucement dans son fourreau de tissu. Il n’en faut pas plus pour qu’un beau gland rouge et humide ne jaillisse près du nombril. Janet se penche et le lape comme une Chupa chups.
-Veux-tu qu'on installe la tente pour la nuit ? propose Ludovic, au bord de l’explosion
- C'est toi qui décide mon amo... Heu.. Ludo pardon. »
Elle rougit sur ce lapsus si révélateur. Son cousin reprend ses esprits, et ils attrapent prestement le matériel de camping.
La petite tente est montée en cinq minutes. Ludo installe le duvet et invite Janet à le rejoindre.
« Mais tu es tout nu, fait Janet, semblant s’offusquer.
- Ben oui, et toi, tu vas dormir habillée? Tu as déjà foutu une culotte en l'air, tu en as d'autres ?
- Il m'en reste deux, répond-elle, mais c'est vrai qu'à cette allure... »
Janet se glisse dans le duvet, entièrement nue, et s'enroule littéralement autour de son cousin. Sous le duvet, la nature reprend ses droits, leurs mains, avides de découvertes, partent en reconnaissance, et les premiers râles se font entendre, étouffés par leur sulfureux baiser.
Ludovic rampe sous le duvet. Sa bouche trouve la chatte mouillée de sa cousine, et la langue n'a aucun mal à trouver le clitoris, tendu hors de sa capuche.
Janet sent la bite décalottée de Ludovic passer devant son visage. Elle l'a happe du bout des lèvres et l'avale jusqu'aux couilles. Le 69 est lancé, féroce. Ils se dévorent l’un l’autre, sans aucune retenue ni aucune gène. Janet s’aventure même à lécher la rosette brune qu’elle n’a jamais osé toucher chez son mari… La langue de Ludo est douce et forte, s’insinue partout. Il écarte bien grand ses lèvres intimes, avec ses doigts, pour plonger au plus profond de la grotte de son amante. Elle se tord, mais arrive à pomper à fond la grosse queue qui lui remplit la gorge.
Quand elle sent monter la sève, elle explose aussi. Les deux amants jouissent ensemble, en hurlant à mort. Leurs cris résonnent dans la montagne…
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anet empêche Ludo de se retirer quand celui-ci se vide copieusement dans sa bouche.
Janet n'est pas rassasiée, elle a une faim… de louve. Elle se positionne pour se faire prendre.
« Vas-y... murmure Janet... Fais-moi aimer la queue maintenant... »
Ludovic se place entre ses jambes, passe son gland sur la fente humide, et pénètre la chatte brulante. Janet ne peut retenir un « mhum » de plaisir, et noue ses jambes dans le dos de son amant.
Avec douceur, il la pistonne doucement, puis de plus en plus fort. Les hanches de Janet ondulent au rythme des coups de rein de son cousin.
Presque sans s’en rendre compte, elle atteint une nouvelle fois l'orgasme… Mine de rien, c'est le troisième de la journée.
« Je savais que ce serait bon avec toi, dit-elle, on m'a jamais niquée comme ça...quel mâle ! »
C'est sur que si les loups existent dans la région, ils ont du être attirés par les hurlements de plaisir de Janet !
Le lendemain, le retour se fait dans la grisaille des Alpes. Le cabriolet s'engouffre dans les lacets, capote fermée. Le couple, encore dans l'euphorie de la nuit, décide de voyager tout nu, tan qu’il seront en zone quasi désertique.
Janet se penche et prend la bite de Ludo en main, celle qui l'a faite crier une partie de la nuit.
« Je vais te faire une gâterie, dit-elle, dommage qu'il n'y est pas de routier aujourd'hui.
- Déconne pas dit-il, on va salir la voiture.
- Quoi ? J'ai pas sali ton duvet cette nuit que je sache, poursuit Janet, je peux tailler une pipe, et tout avaler, sans en perdre un goutte !!! »
Et sans lui laisser le temps de répondre, enfourne le pieu dressé au fond de sa gorge.
Pendant la fellation, Janet n'est pas en reste, elle glisse une main entre ses cuisses, et se fait un doigté, dont elle seule à le secret. Elle avait prévu une serviette pour protéger le siège. Elle fait tant et si bien, que Ludo jute entre ses lèvres serrées. Comme promis, elle avale tout, ne laissant rien filtrer hors de sa bouche. Ludo a du mal à garder le cap de la conduite…
Sur le retour, le couple d'amants évoquent la nuit torride passée sous la tente, sachant qu'elle sera sans lendemain. Ludovic ne remarque pas la larme qui coule sur la joue de Janet, quand il la dépose devant chez elle. Ils échangent un dernier baiser torride, qui ravie une flamme impossible à éteindre à cet instant précis… Le mari de Janet doit rentrer d’un instant à l’autre…
Trois jours après, Ludovic est au bar avec ses copains, mais le cœur n'y est pas. Soudain, il reçoit un sms.
« Ludo..c'est Jean-Yves... Il faut qu'on parle. Urgent. »
« Oh putain, se dit Ludo, blême, j'espère qu’elle n’a pas balancé ! »
Après moultes hésitations, il décide de se rendre à la villa de son cousin. Celui-ci l'accueille sur le pas de la porte, et l'invite à rentrer. Janet est dans la salle de bains. Ludo respire, son cousin n’a pas l’ai en colère ou contrarié…
« Ludo, dit Jean-Yves, je n'irai pas par quatre chemins. Des ouvriers viennent faire des travaux la semaine prochaine, et je dois m'absenter. Je ne tiens pas à ce que Janet reste seule avec ce genre de lascars. Pourras-tu t'installer ici quelques jours? S'il te plait, j'y tiens. »
Ludovic lâche intérieurement un grand « ouf » de soulagement, il s'attendait à tout, sauf à ça.
« Heu... Mais bien sur...pas de problème Jean-Yves... Entre cousins... »
Janet, qui a tout entendu, arrive resplendissante, dans une robe rouge au décolleté affriolant.
« Mais chéri, ce ne sont pas des loups. Viens beau gosse, dit-elle à Ludo, je te raccompagne. »
Une fois sur la terrasse, Janet prend Ludovic par la nuque, et l'embrasse au bord des lèvres.
« Prend des forces mon chéri, tu vas en avoir besoin, j'aime la queue maintenant...
Heu... pour ce qui est de ton univers libertin, ce sera pour une autre fois... hum... bisous... que je t'aime toi... »
- Commentaires textes : Écrire
Les étranges relations d'André.
Monique arrive dans le café presque vide. Irène vient vers elle, l'embrasse et lui demande ce qui se passe. En effet, elle aurait du venir plus tôt ce matin.
Elle lui dit qu'elle était souffrante. Sa mine fatiguée fait que l'autre la croit. Monique remarque que son haleine pue l'alcool. C'est vrai qu'elle boit de plus en plus. Cela se voit sur son visage de plus en plus bouffi et sur son corps qui s'arrondit de plus en plus.
Irène et Monique ont été très intimes à un moment, elles le sont beaucoup moins maintenant mais sont toujours proches l'une de l'autre.
L'établissement fonctionne surtout grâce à la présence de Monique. Celle-ci pense depuis un moment à se faire aider, mais jusqu'ici elle butait au sujet de la personne à embaucher. C'est vrai qu'il n'est pas évident de mettre une annonce disant recherche femme ayant très bonne présentation, libre, sachant rire avec le client, ne craignant pas les attouchements et plus si celui ci paye.
Pas évident dans une région où la mentalité est plutôt arriérée à ce sujet.
Depuis ce matin, elle pense avoir trouvé la solution, ou plutôt André son fils, lui a apporté la solution sur un plateau.
Lucie, qu'elle connaît depuis longtemps, bien sur puisqu'elle est sa voisine, mais surtout par sa réputation de belle salope qu'elle traîne derrière elle et qui semble amplement justifiée depuis qu'elle a entendu le récit de son fils, devrait faire l'affaire. Il baise régulièrement avec elle.
Oui, il faut qu'elle en parle à Irène. Celle-ci est en train de se servir un verre d'alcool.
Monique a essayé de la freiner il y a quelque temps mais Irène se laisse aller. Après tout c'est son problème se dit-elle.
Depuis qu'ils travaillent ensemble, Monique a acquis des parts dans l'affaire. Les deux femmes sont associées dans l'affaire.
Monique explique ce qu'elle pense au sujet d'une aide, lui laissant entendre qu'elle, Irène pourrait se reposer plus. Irène, un peu fatiguée de cette vie, voit le bon côté de la chose, elle pourra tranquillement cuver son alcool, accepte avec joie la proposition.
Rassurée, Monique se met à la tache et s'occupe des clients à son accoutumée, réfléchissant à la façon d'aborder Lucie.
André a eu un arrêt de travail de cinq jours. Le docteur n'a pas fait de difficulté, bien qu'il se soit douté que c'était plus de la dissimulation. Mais il y a plusieurs docteurs ici et la concurrence est rude.
« Autant contenter le client plutôt qu'il aille chez un confrère, » s'est dit le praticien.
Vers seize heures, il va frapper à la porte de ses amis.
Lucie vient lui ouvrir, l'embrasse sur le coin de la bouche, met un doigt sur ses lèvres, lui rappelant la présence de son père.
Il entre, va saluer le père qui est en train de bricoler dans la cour. Lucie invite André à boire une bière dans le salon.
André propose à Lucie de venir chez lui, puisque Sonia et Jacques, sa sœur et son beau-frère, sont partis. Elle accepte de le suivre, avertissant son père qu'elle serait de retour vers vingt heures pour le repas.
C'est la première fois qu'ils se trouvent ensemble seuls. Il l'amène directement dans sa chambre et se déshabillent sans perdre de temps.
André bande depuis longtemps, il s'est retenu pour ne pas se branler, mais a très envie de se vider les couilles.
Ils se jettent sur le lit et s'enlacent aussitôt. Ils se caressent furieusement tous les deux.
Lucie a autant envie que lui de jouir. Très vite elle se retrouve sous lui et il l'embroche d'un grand coup de reins puissant. Elle crie un grand coup.
« Ah ! Ah oui ! Vas-y fort, j'ai trop envie ! Ah oui continue ! »
Elle rentre tout de suite dans un délire érotique. Sa tête roule de droite à gauche sur l'oreiller tandis qu'elle lui répète de la baiser.
Très vite elle a un premier orgasme.
« Oui ! Oui ! Ah oui ! Je jouis ! Ahhhh ! »
André continue à la baiser avec autant de vigueur tout le temps de la jouissance. Ses cris s'apaisent un peu, elle rouvre ses yeux fous de désir, respirant à grand peine.
« Ah quel pied ! Ah que c'était bon ! Ah j'y ai pensé toute la journée à ta queue ! »
André continue ses va et vient dans un véritable marécage de mouille. Il se dit qu'il aurait bien fait de mettre quelque chose sous les fesses de Lucie mais il est trop tard. Il pense à sa mère quand elle va faire le lit demain matin….
Lucie se remet à crier de plus en plus fort. Lui aussi sent qu'il ne va plus pouvoir tenir longtemps. Il commence à gémir de satisfaction.
« Tu vas bientôt jouir ! Je le sens ! Ah oui ! Ta bite grossit encore ! Ah mon dieu quelle est bonne ! Quelle est bonne ! Oui ! Oui ! Ahhhhh !
Et elle jouit de nouveau au moment où André lui arrose l'intérieur de son sperme dont elle ressent nettement les giclées.
« Tiens ! Tiens prends ! Encore ! Encore ! Ahhhh !
- Ah oui ! Ah oui, remplis-moi la chatte ! Ah qu'est ce que c'est bon ! Ahhhh ! »
Et ils s'arrêtent enfin, leur plaisir assouvi. André donne de petits baisers sur la figure ravagée de la fille qui a les yeux fermés, les narines pincées, essayant de reprendre sa respiration après cette double jouissance.
Il en profite pour l'admirer. Sa belle poitrine tient très bien. Les tétons, très foncés sont auréolés de petits poils tout autour des gros bouts bandés. C'est vrai que Lucie est très poilue, enfin d'après ses critères à lui. Sonia et sa mère le sont beaucoup moins. Peut-être parce qu'elles sont blondes ?
Continuant son « inspection », il descend vers le pubis. Là encore les poils noirs ressortent sur la peau un peu mate. La toison monte très haut, tout en diminuant d'intensité vers le nombril.
Il imagine la raie envahie par les poils, et il a hâte de revoir ce spectacle quand elle s'est mise à quatre pattes devant lui, avant de se faire enculer.
Doucement, la fille s'étire, un sourire fatigué mais heureux sur le visage apparaît tandis qu'elle le regarde de façon émerveillée.
Surgissant de la douce torpeur d'après l'amour -et de l'amour bien fait-, elle étire ses bras à fond sur les cotés puis le ceinture en l'attirant vers elle, l'embrassant sur les lèvres. Un long baiser les tient soudés puis, l'écartant d'elle, elle lui dit :
« C'est la plus belle jouissance que j'ai jamais ressentie, je te le jure ! »
André est plutôt flatté par cet aveu. Ils se bisoutent gentiment pendant un moment puis il lui demande :
« Je voudrai te demander quelque chose.
- Bien-sur ! Tout ce que tu veux mon chéri !
- Et bien, heu.., je voudrai voir ton cul. »
Elle éclate d'un rire nerveux. Lucie adore s'exhiber, elle ne demande pas mieux, au contraire, ça lui donne une excuse pour satisfaire un de ses vices. De nouveau elle l'embrasse, plus longtemps, plus passionnément. Quand leurs lèvres se dessoudent, il aperçoit dans ses yeux toute la lubricité du monde. Il se retire du con dans lequel il était toujours fiché et s'écarte.
Lucie se retourne, se met à quatre pattes devant lui, écarte bien ses jambes et allonge son buste sur le lit.
La vue sur le cul de la belle salope est fabuleuse. Les deux beaux hémisphères sont largement séparés par la superbe raie culière remplie de poils abondants qui débordent sur les fesses et remontent jusqu'au bas des reins. La grosse figue éclatée montre ses deux beaux bourrelets gonflés.
L'anus violet est bien en évidence à travers la toison qui, à cet endroit a laissé un peu de peau libre, sans doute pour le mettre plus en valeur.
André est soufflé par le spectacle. L'autre jour il avait entre-aperçu le décor, à présent il le découvre dans toute sa splendeur.
Il s'assoit et ne dit plus rien. C'est trop beau. Trop irréel pour lui. Lucie attend, le laisse se repaître de la vue. Elle écarte encore un peu plus les jambes, ramenant ses bras derrière elle, elle écarte le plus qu'elle peut sa raie.
André ne dit toujours rien. Doucement, presque timidement, il avance une main, puis la deuxième et se met à caresser doucement les deux beaux globes bien rebondis.
Comme dans un songe, il entend à peine le soupir de satisfaction de Lucie. Ses doigts explorent, faisant des ronds sur les belles fesses, ses pouces se touchant presque en remontant le long de la raie culière.
André glisse ses jambes allongées entre celles de Lucie et viennent se caler sous le corps de celle ci. Elle se lève un peu, pour l'aider puis se rallonge sur elles. Il sent les gros nichons sur ses mollets. La tête de la fille se pose sur ses pieds.
André a la figure tout près du cul de la belle salope. Un parfum envoutant se dégage de l'endroit. Un parfum de pisse, de sperme et d'autre chose encore et qui le grise.
Les mains toujours sur les fesses, il vient poser ses lèvres sur l'anus qu'il voit palpiter depuis un moment et qui l'hypnotise.
Lucie réagit instantanément. Un cri de délivrance s'échappe de ses lèvres et retentit dans la pièce.
« Ahhhhh ! Oui ! Oui salaud ! Bouffe-moi le cul ! Fous ta langue dedans ! Enfonce là ! Plus fort ! Plus profond ! Ahhh ! Ah oui ! Oui ! »
Sa tête remue dans tous les sens. Elle lâche les jambes d'André qu'elle étreignait pour les passer derrière elle. Empoignant ses grosses fesses, elle tire dessus, ouvrant son trou merdeux à la langue qui la pénètre mais pas assez loin pour elle.
La langue d'André se glisse dans le doux fourreau. Sa bouche collée sur le cul, il essaye d'aller le plus loin possible. Les cris de la belle salope continuent de retentir dans la pièce.
« Oui ! Oui branle moi le cul avec ta langue salaud ! Plus vite, plus vite ! Ah oui ! Ah comme c'est bon ! Ahhh ! »
Elle pleure presque de plaisir. On ne lui a jamais fouillé le cul aussi profond avec une langue, du moins elle n'en a pas le souvenir. André continue, il sent une douleur dans la gorge tellement il essaye d'aller loin.
Aux cris de Lucie, il pense qu'elle ne va pas tarder à jouir et il accélère ses mouvements de langue.
Les hurlements s'amplifient encore.
« Ah oui continue ! Plus fort ! Encule-moi avec ta langue salaud ! Ah oui ! Oui ! Ah oui ! Ouiiii ! Ahhhh ! »
Et cette fois, elle jouit pour de bon. De ses poings fermés elle frappe le lit de toutes ses forces. Elle a mis sa tête dans les couvertures, ce qui atténue l'intensité des cris. André qui n'en peut plus se force quand même à continuer, voulant satisfaire Lucie le mieux qu'il peut.
Elle s'arrête après un long moment d'intense jouissance. Elle ne bouge plus, on n'entend plus que sa respiration saccadée. André se détache, libérant l'anus qui reste un peu ouvert, montrant un intérieur rouge foncé. Il le regarde se fermer doucement, comme des pétales autour d'une fleur.
Lorsque le petit trou a repris une apparence normale, il vient poser un baiser dessus, le caressant doucement avec une langue molle. Lucie a un nouveau sursaut mais ne dit rien.
Il allonge les bras sous le corps de la belle vicieuse et ses doigts viennent étreindre les deux nichons aux gros bouts bandés. Il les malaxe gentiment, attendant qu'elle réagisse enfin.
Après de longues minutes, elle remonte son buste, s'appuyant sur ses avant bras, tourne la tête vers lui. Il aperçoit un visage gonflé, bouffi par le plaisir ressenti, des larmes perlent même autour de ses yeux. D'une petite voix elle dit :
« Cette fois tu m'as tuée pour de bon, cochon ! »
Il lui sourit tendrement puis lui dit :
« Dommage, il va falloir que je me branle alors ? »
Elle pivote sur elle même, lui demande :
« Comment veux-tu jouir ? Tu veux que je te suce ? »
André avait pensé à autre chose. Voyant qu'il avait une autre idée en tête elle dit :
« On ne m'a jamais fait jouir autant de cette façon. Demande-moi tout ce que tu veux. »
Et elle l'embrasse, retrouvant sur ses lèvres un petit peu de son intimité secrète.
Quand ils se désunissent, il lui dit :
« Il y a une chose que je n'ai jamais faite avec une femme. »
Elle comprend tout de suite. Elle lui murmure tout près des lèvres :
« Tu veux m'enculer, c'est ça que tu veux ? »
Il acquiesce.
« D'accord, mais je veux te voir m'enculer. Et puis je veux pouvoir te freiner. Jamais je n'ai pris une telle bite dans le cul, j'ai peur que tu me fasses mal. Allonge-toi sur le dos. »
A suivre demain, ou sur mon autre blog !
Un trajet inhabituel
Voici une petite histoire qui m’est réellement arrivé, il y a maintenant près de quatre ans.
A l’époque je venais d’être diplômé et je travaillais depuis bientôt trois mois dans l’entreprise qui m’avait accueilli lors de mon dernier stage.
Je sortais avec une fille depuis trois ans : Claire.
Régulièrement, on se retrouvait toujours avec les mêmes amis pour se faire un resto, une sortie en boîte ou juste une soirée chez l’un ou l’autre…
Il y avait donc : Julien (éternel timide), Marion (la « bonne » copine, avec qui on ne va jamais plus loin), Martial (le « fou » du groupe), sa copine Maude, Emma (mon amie la plus proche dans le groupe) et son mari Pierre, Claire et moi-même.
Donc, un soir de printemps, on a décidé de faire un resto et de finir la soirée dans un « bar-boîte » qu’on connaissait bien.
Je vous raconte donc cette soirée :
Le dîner est vraiment génial. On rit beaucoup, mange bien et le vin est un délice : une bonne soirée. Tout le monde a réussi à se libérer et a envie d’évacuer le stress de la semaine.
Comme à son habitude, Martial fait des trucs débiles, et Pierre et Emma n’arrêtent pas de se faire les yeux doux et de se bécoter. Ces deux-là sont vraiment fous amoureux et se sont mariés un mois seulement après la remise des diplômes.
Une seule chose me trouble : Emma est très attirante, belle et sexy. Une jolie poitrine, pas très grosse mais bien proportionnée, une taille fine mais de superbes hanches lui moulant un corps aux courbes féminines au possible. Il se trouve que ce soir, elle a mis une sorte de chemisier très léger et très fin rouge avec un décolleté plutôt sympathique et un tout petit short noir en toile qui épouse merveilleusement ses formes. J’avoue que je jette de (trop ?) nombreux regards vers ses seins, pendant une grande partie du repas.
On se décide à quitter le resto pour aller dans notre boîte habituelle, mais Julien nous propose de changer de bar car il en découvert un super, bien qu’un peu loin. Pour une fois, qu’il propose quelque chose, tout le monde accepte. Reste à voir comment s’y rendre.
Martial et Maude sont venus en moto, Pierre et Emma en voiture et les autres en transports en commun. Nous sommes donc six pour une seule voiture…
Pas de problème pour nous ! Pierre va chercher la voiture et viens nous récupérer devant le restaurant.
Claire étant souvent malade en voiture, nous la laissons monter devant. Du coup, à l’arrière, Julien se met derrière Pierre, Marion se cale au milieu car elle est la plus petite et je m’installe derrière ma copine. Reste Emma. Pierre lui lance :
« T’as qu’à te mettre sur les genoux de quelqu’un… »
Et voilà qu’Emma arrive vers moi et se pose sur mes genoux…. Nous y voilà.
Comme le trajet est long, on essaye de s’installer le mieux possible. Emma également. Et là je sens ses fesses se coller à mes cuisses, la chaleur de son corps, son parfum…
Je pense que les mecs voient venir le problème. Je commence à repenser à son décolleté, ses jambes, ses hanches, si proches de moi… et je sens arriver une belle érection, bien comme il faut. J’essaye de lutter mais rien n’y fait, je bande.
Ca va être ma fête !! La honte internationale !!
Je me prépare au déluge de rires, de cris et de gêne… mais rien ne se passe.
Du coup, je bande de plus en plus, ne pouvant m’empêcher de penser au corps d’Emma et de l’imaginer entièrement nue.
Pierre s’engage sur l’autoroute et demande si tout va bien à l’arrière, si tout le monde est bien installé. On rigole un coup, vu la manière dont nous sommes serrés et Emma râle contre la petite taille de la voiture et commence à remuer. Son cul se déplace et je sens ma bite se déplacer et venir se positionner juste entre ses deux fesses !!! Elle s’installe « confortablement » sans rien dire !
Impossible que, dans cette position, elle ne sente pas mon pieu raide. Malgré la honte, je suis encore plus excité, et ma queue prend des proportions assez importantes dans mon caleçon.
Et là…. Emma commence à faire de petits mouvements de bassin, quasi imperceptibles à l’œil, mais totalement divin à mon niveau…. Je dois rêver.
Je sens ses fesses épouser la forme de mon sexe en érection, l’envelopper de plaisir. Elle continue son déhanchement…
Petit à petit, ce mouvement se transforme en vraie branlette. Ma bite a trouvé sa place et Emma continue son manège.
Ca y est, je prends carrément mon pied. Putain c’est bon !! Presque dans un état second, ma main droite remonte doucement et vient se poser sur le côté de la cuisse de mon amie. Comme elle ne porte pas de collants, je suis directement au contact de sa peau…
Soudain, elle me prend discrètement la main et la serre très fort. On dirait qu’elle apprécie ce trajet autant que moi. Le moment est assez irréel.
Personne ne remarque notre manège et Emma continue de me chauffer comme un dingue. Elle relâche ma main et la plaque sur sa cuisse. Je démarre de lentes et discrètes caresses…. Ses fesses continuent de me branler en douceur. Son petit short est si fin !! Je n’ai qu’une envie, lui prendre les seins et titiller ses tétons, mais je ne peux rien faire !!
Soudain, j’ai plus chaud et je sens monter en moi l’apogée. Emma s’appuie de plus en plus fort sur ma verge, tout en continuant son mouvement de bassin.
Quel plaisir….Oh oui !!
Je serre sa jolie cuisse de ma main et, en étouffant un râle, cette petite coquine me fait jouir ! J’éjacule une bonne dose de sperme directement dans mon caleçon. Elle a senti sa victoire et stoppe son petit jeu. Je conserve néanmoins ma main sur sa cuisse tout le long du trajet…
Une fois arrivés à destination, tout le monde sort de la voiture et s’étire, en pestant un peu sur l’étroitesse du véhicule.
Emma prend la main de Pierre, l’embrasse et dit en me jetant un petit regard complice :
« Au final, il n’était pas si long ni si désagréable ce trajet. »
Rien d’autre ne s’est passé durant le reste de la soirée si ce n’est qu’en rentrant à la maison, j’ai vite pris une douche et en repensant à cette « aventure », j’ai fait l’amour à Claire, comme une bête. Je n’ai jamais couché avec Emma, même si d’autres petites péripéties ont pu se passer…
Franck
Voici une petite histoire qui m’est réellement arrivé, il y a maintenant près de quatre ans.
A l’époque je venais d’être diplômé et je travaillais depuis bientôt trois mois dans l’entreprise qui m’avait accueilli lors de mon dernier stage.
Je sortais avec une fille depuis trois ans : Claire.
Régulièrement, on se retrouvait toujours avec les mêmes amis pour se faire un resto, une sortie en boîte ou juste une soirée chez l’un ou l’autre…
Il y avait donc : Julien (éternel timide), Marion (la « bonne » copine, avec qui on ne va jamais plus loin), Martial (le « fou » du groupe), sa copine Maude, Emma (mon amie la plus proche dans le groupe) et son mari Pierre, Claire et moi-même.
Donc, un soir de printemps, on a décidé de faire un resto et de finir la soirée dans un « bar-boîte » qu’on connaissait bien.
Je vous raconte donc cette soirée :
Le dîner est vraiment génial. On rit beaucoup, mange bien et le vin est un délice : une bonne soirée. Tout le monde a réussi à se libérer et a envie d’évacuer le stress de la semaine.
Comme à son habitude, Martial fait des trucs débiles, et Pierre et Emma n’arrêtent pas de se faire les yeux doux et de se bécoter. Ces deux-là sont vraiment fous amoureux et se sont mariés un mois seulement après la remise des diplômes.
Une seule chose me trouble : Emma est très attirante, belle et sexy. Une jolie poitrine, pas très grosse mais bien proportionnée, une taille fine mais de superbes hanches lui moulant un corps aux courbes féminines au possible. Il se trouve que ce soir, elle a mis une sorte de chemisier très léger et très fin rouge avec un décolleté plutôt sympathique et un tout petit short noir en toile qui épouse merveilleusement ses formes. J’avoue que je jette de (trop ?) nombreux regards vers ses seins, pendant une grande partie du repas.
On se décide à quitter le resto pour aller dans notre boîte habituelle, mais Julien nous propose de changer de bar car il en découvert un super, bien qu’un peu loin. Pour une fois, qu’il propose quelque chose, tout le monde accepte. Reste à voir comment s’y rendre.
Martial et Maude sont venus en moto, Pierre et Emma en voiture et les autres en transports en commun. Nous sommes donc six pour une seule voiture…
Pas de problème pour nous ! Pierre va chercher la voiture et viens nous récupérer devant le restaurant.
Claire étant souvent malade en voiture, nous la laissons monter devant. Du coup, à l’arrière, Julien se met derrière Pierre, Marion se cale au milieu car elle est la plus petite et je m’installe derrière ma copine. Reste Emma. Pierre lui lance :
« T’as qu’à te mettre sur les genoux de quelqu’un… »
Et voilà qu’Emma arrive vers moi et se pose sur mes genoux…. Nous y voilà.
Comme le trajet est long, on essaye de s’installer le mieux possible. Emma également. Et là je sens ses fesses se coller à mes cuisses, la chaleur de son corps, son parfum…
Je pense que les mecs voient venir le problème. Je commence à repenser à son décolleté, ses jambes, ses hanches, si proches de moi… et je sens arriver une belle érection, bien comme il faut. J’essaye de lutter mais rien n’y fait, je bande.
Ca va être ma fête !! La honte internationale !!
Je me prépare au déluge de rires, de cris et de gêne… mais rien ne se passe.
Du coup, je bande de plus en plus, ne pouvant m’empêcher de penser au corps d’Emma et de l’imaginer entièrement nue.
Pierre s’engage sur l’autoroute et demande si tout va bien à l’arrière, si tout le monde est bien installé. On rigole un coup, vu la manière dont nous sommes serrés et Emma râle contre la petite taille de la voiture et commence à remuer. Son cul se déplace et je sens ma bite se déplacer et venir se positionner juste entre ses deux fesses !!! Elle s’installe « confortablement » sans rien dire !
Impossible que, dans cette position, elle ne sente pas mon pieu raide. Malgré la honte, je suis encore plus excité, et ma queue prend des proportions assez importantes dans mon caleçon.
Et là…. Emma commence à faire de petits mouvements de bassin, quasi imperceptibles à l’œil, mais totalement divin à mon niveau…. Je dois rêver.
Je sens ses fesses épouser la forme de mon sexe en érection, l’envelopper de plaisir. Elle continue son déhanchement…
Petit à petit, ce mouvement se transforme en vraie branlette. Ma bite a trouvé sa place et Emma continue son manège.
Ca y est, je prends carrément mon pied. Putain c’est bon !! Presque dans un état second, ma main droite remonte doucement et vient se poser sur le côté de la cuisse de mon amie. Comme elle ne porte pas de collants, je suis directement au contact de sa peau…
Soudain, elle me prend discrètement la main et la serre très fort. On dirait qu’elle apprécie ce trajet autant que moi. Le moment est assez irréel.
Personne ne remarque notre manège et Emma continue de me chauffer comme un dingue. Elle relâche ma main et la plaque sur sa cuisse. Je démarre de lentes et discrètes caresses…. Ses fesses continuent de me branler en douceur. Son petit short est si fin !! Je n’ai qu’une envie, lui prendre les seins et titiller ses tétons, mais je ne peux rien faire !!
Soudain, j’ai plus chaud et je sens monter en moi l’apogée. Emma s’appuie de plus en plus fort sur ma verge, tout en continuant son mouvement de bassin.
Quel plaisir….Oh oui !!
Je serre sa jolie cuisse de ma main et, en étouffant un râle, cette petite coquine me fait jouir ! J’éjacule une bonne dose de sperme directement dans mon caleçon. Elle a senti sa victoire et stoppe son petit jeu. Je conserve néanmoins ma main sur sa cuisse tout le long du trajet…
Une fois arrivés à destination, tout le monde sort de la voiture et s’étire, en pestant un peu sur l’étroitesse du véhicule.
Emma prend la main de Pierre, l’embrasse et dit en me jetant un petit regard complice :
« Au final, il n’était pas si long ni si désagréable ce trajet. »
Rien d’autre ne s’est passé durant le reste de la soirée si ce n’est qu’en rentrant à la maison, j’ai vite pris une douche et en repensant à cette « aventure », j’ai fait l’amour à Claire, comme une bête. Je n’ai jamais couché avec Emma, même si d’autres petites péripéties ont pu se passer…
Franck
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tout bonnement magnifique
le plaisir et la vengeance est un dour melange de plaisir superbe